Réveiller Jésus

Date: 63-0117 | La durée est de: 1 hour and 52 minutes | La traduction: Shp
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1 Bonsoir. Comme toujours, c’est un privilège d’être dans la maison du Seigneur.

2 Combien j’étais surpris de voir ce jeune homme de l’Arkansas ici. C’est un ami à moi. Ça fait longtemps, je pense que la dernière fois que je vous ai vu, c’était là en Californie, n’est-ce pas ? Oh ! la la ! Oh ! la la ! Etes-vous toujours en Californie ? Ici ? Oh ! la la ! De penser que je serai obligé de déménager . Tout l’est vient à l’ouest.

3 Et, bien, est-ce que tout le monde est content ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] C’est bien.

4 Bien, je pense que ceci est pratiquement notre sixième service là. Il nous faut continuer jusque la semaine prochaine, et–et jusque le prochain lundi soir. Eh bien, n’oubliez pas le banquet du lundi soir à Tucson, et nous nous attendons à un moment glorieux là-bas, ce prochain lundi soir.

5 Aujourd’hui, je parlais à frère Williams et à frère Rose. Et alors, j’ai dit : « Vous savez, je vais commencer la prière pour les malades. » J’ai dit : « Je garde ces pauvres gens là chaque soir jusque vers 22h ou 23h. » J’ai dit : « J’ai vraiment honte de moi-même, de faire cela comme ça. » Excusez-moi vraiment de vous garder si longtemps, mais il ne m’arrive pas de vous voir très souvent.

6 Et je ne peux avancer pareille excuse, parce que, chez moi, je fais pire que ça. Voyez ? Des fois, je commence tôt le matin, et je prêche jusque dans l’après-midi et parfois, ou n’importe quand que nous sommes prêts à rentrer à la maison. Et nous restons simplement assis là, comme ça, serrés au possible, passant simplement ainsi un bon moment.

7 Il fait beau être ici, Frère Groomer. Où… [Quelqu’un parle à frère Branham. – N.D.E.] Oui. Oui. J’avais un peu perdu cela de vue. N’était-ce pas… J’étais ici l’année dernière quand nous sommes venus, n’est-ce pas ? [« Oui. »] J’y ai pensé. Je me rappelle le lieu et l’église. Je suis très heureux d’être ici ce soir ! Que Dieu vous bénisse tous.

8 Et maintenant, nous nous attendons à ce que le Seigneur guérisse les malades ce soir. Nous avons plutôt changé un peu le programme, et j’aborde le Message, la prédication de l’Evangile, ou ce que j’ai à l’esprit, en essayant, au mieux de ma connaissance. Et donc, je–je commence et je ne sais exactement quand arrêter. Je continue simplement d’avancer, et je vous garde trop longtemps. Je me disais donc que ce serait un moment approprié ce soir, après tant de soirées de prédication, d’essayer bien maintenant de prier pour les malades. Aujourd’hui donc, nous nous sommes plutôt préparés à cela et nous nous attendons au Seigneur. Et hier soir, j’ai commencé à en constater la conduite. Il vous faut plutôt suivre Sa conduite pour vous, vous savez. Vous–vous sentez quelque chose vous inspirer, et directement des visions apparaissent, et vous savez que quelque chose approche alors.

9 Donc, aujourd’hui, je sortais aussi dans le… J’étais dans le… mon motel, et le Saint-Esprit m’a dit de suivre une certaine direction. Et il y avait là une piscine. Je pensais que peut-être un petit enfant s’y était noyé. Je suis allé là, il s’est fait que j’ai regardé et j’ai vu des gens. Ce soir, ils sont assis ici devant. Ils savent que c’était le Seigneur qui était allé là et que ce qu’Il avait dit est exactement la vérité. J’ai alors su qu’il était temps de me mettre à prier pour les malades.

10 Et maintenant, nous allons nous approcher de Lui dans la prière avant d’aborder Sa Parole. Et vous êtes une si agréable assistance. Vous avez été très attentifs chaque soir. Je sais que certains d’entre vous sont parfois obligés de se lever pour partir avant. Je sais que ce n’est vraiment pas parce que vous voulez sortir. Vous devez attraper les bus. Vous devez aller au travail. Je–je comprends ça.
Et maintenant, inclinons donc la tête juste un instant pour la prière.

11 Eh bien, je vois qu’il y en a debout là derrière autant qu’il y en a assis ici. Et nous voudrions… Nous savons que Dieu exaucera leurs requêtes tout comme Il le fait ailleurs. Eh bien, avez-vous une requête ? Faites-la connaître en levant la main. Dieu exaucera.

12 Notre Père céleste, nous entrons maintenant dans la Présence de Jésus en–en Son Nom. Et nous allons au Trône de grâce pour demander le pardon de nos péchés ; en effet, nous savons que chaque jour, nous faillissons envers Toi. Chaque heure de notre vie, c’est rare qu’il en passe une sans que nous ayons à nous arrêter pour dire : « Seigneur, pardonne-moi. Je–je n’avais pas l’intention de le faire ainsi. J’aurais dû le faire de telle–telle autre manière. » Aussi, nous savons, Seigneur, que Tu es toujours tellement plein de miséricorde et prêt à pardonner Tes enfants. Tu entends leur cri le plus faible. Nous sommes très contents d’avoir un Avocat.

13 Et ce soir, nous prions, Père, pour cette église, pour notre frère bien-aimé. Je le connais depuis toutes ces années passées ici, je trouve en lui, son caractère, un merveilleux serviteur de Christ. Combien nous Te remercions pour un tel homme ! Je… C’est un grand privilège, Seigneur, d’être avec lui parmi son peuple, d’être associé à eux, de nous assembler pour communier avec eux autour de la Parole de Dieu. Nous Te prions d’affluer en marée haute ce soir et de–d’accorder ces bénédictions. Je suis si heureux de rencontrer de vieux amis que je connais depuis des années, depuis le début du ministère.

14 Et maintenant, Seigneur, ensemble, nous Te prions de nous bénir alors que nous sommes assemblés ce soir dans les lieux célestes en Jésus-Christ. Nous nous sommes assemblés dans ce but, Seigneur, et nous Te prions de–de satisfaire nos besoins ce soir et d’exaucer nos requêtes que nous T’adressons pour la guérison des malades, le salut des perdus et l’encouragement de ceux qui sont découragés. Nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.

15 Eh bien, nous aimerions que vous qui le voudriez, qui le souhaiteriez ce soir, vous ouvriez cette sainte Parole sacrée, dans le Livre, l’Evangile de saint Matthieu, au chapitre 8. Et nous aimerions commencer à lire à partir de... prendre aujourd’hui Matthieu, chapitre 8, à partir du verset 23.

16 Aujourd’hui, après avoir quitté frère… ou plutôt frère Williams et frère Jewel Rose ont quitté l’endroit où nous étions, je… je suis tombé sur une occasion. Et alors, j’ai juste tendu la main… En effet, nous causions, et le Saint-Esprit s’était vraiment approché de nous. Alors, aussitôt après leur départ, je me suis dit : « Oh ! la la ! Maintenant, Il va certainement parler. » Et il m’est venu à l’esprit un cas qui est arrivé dans la Bible, j’ai vite recouru à cela. Et j’ai quelques passages des Ecritures qui soutiennent cela. De là, j’ai tiré un sujet à propos duquel j’ai quelques notes par écrit. J’aimerais vous les donner.

17 D’abord, lisons donc dans Saint Matthieu, chapitre 8, à partir du verset 23. Il monta dans la barque, et ses disciples le suivirent. Et voici, il s’éleva sur la mer une si grande tempête que la barque était couverte par… flots. Et lui, il dormait. Les disciples s’étant approchés le réveillèrent, et dirent : Seigneur, sauve-nous, nous périssons! Il leur dit : Pourquoi avez-vous peur, gens de peu de foi? Alors il se leva, menaça les vents et la mer, et il y eut un grand calme. Ces hommes furent saisis d’étonnement : Quel est celui-ci, disaient-ils, à qui obéissent même les vents et la mer?

18 C’est un petit texte ou passage des Ecritures vraiment frappant. Je vais en tirer un drôle de sujet : Réveiller Jésus. Réveiller Jésus.

19 Ça doit avoir été un–un jour difficile pour Lui. Il était fatigué. Son corps était épuisé. Vous savez, pendant son déplacement, les gens avaient tiré Dieu de Lui. Ils avaient tiré de Lui ce qu’ils désiraient. Et alors… Nous n’oserons pas entrer en détails pour expliquer cela, car personne ne peut le faire. Comment pouvons-nous expliquer des choses que nous ne connaissons pas ?

20 C’est pourquoi il n’y a pas moyen, pas du tout, d’être donc sauvé à moins d’être prêt à accepter ce que vous ne pouvez pas expliquer. Voyez ? Il vous faut croire. « Celui qui s’approche de Dieu doit croire qu’Il existe. » Eh bien, il n’y a aucun moyen de le prouver scientifiquement, mais il vous faut le croire de toutes les façons. Et si vous pouvez le prouver, ce ne sera donc plus un acte de foi. Et la foi… Dieu s’est tellement caché qu’il vous faut croire qu’Il existe sans L’avoir vu, savoir qu’Il est là, de toutes les façons. Que vous voyiez cela ou pas, croyez-le. Croyez-le fermement de toute façon.

21 Eh bien, je pense que c’est merveilleux, et cela offre une possibilité aux illettrés comme moi, à tout le monde, de croire cela, du fait de l’entendre : « Et la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole de Christ. » Ainsi, nous acceptons Cela, et nous Le croyons. Et sur base de notre foi en Cela, nous sommes sauvés et guéris. Et tout ce que nous obtenons de Dieu vient d’une Source invisible.

22 Chrétiens, toute l’armure du christianisme, c’est la foi. Tout ce que nous avons est invisible. Les choses véritables, ce sont uniquement celles qui sont invisibles et inexpliquées. Les choses qui peuvent être expliquées ne sont pas réelles. Elles sont superficielles et elles périssent. Mais celles qui ne peuvent pas être expliquées sont immortelles, dans tous les domaines. Considérez l’armure du christianisme. L’amour, quel organe en vous est l’amour ? L’amour, la joie, la foi, la longanimité, la douceur, la patience. Voyez ? Vous ne pouvez voir aucune de ces choses. Elles sont invisibles, mais pourtant, nous les croyons. L’amour ne meurt jamais. La foi, c’est la–c’est la victoire. Nous croyons ce que nous ne voyons pas.

23 Eh bien, Dieu était en Jésus. « Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. » Et ces gens croyaient Son témoignage. Et ceux qui croyaient réellement cela, ont pu tirer de Lui les bénédictions de Dieu. Et alors, Il a dit : « Une vertu est sortie de Moi. » La vertu, c’est la force. Il… En d’autres termes, comme nous le dirions aujourd’hui, Il s’affaiblissait quand les gens tiraient de Lui quelque chose. Eh bien, si ce sont là les effets que cela avait produits sur ce corps humain-là, ça produira les mêmes effets sur un autre corps humain.

24 Et nous créons notre atmosphère autour de nous, chacun de nous. Vous avez été avec des gens qui étaient des gens bien, mais c’est à peine si vous pouvez rester en leur compagnie. D’autre part, vous avez été avec d’autres personnes dont vous appréciez la compagnie. C’est vous qui créez cette atmosphère. Et, oh ! n’auriez-vous pas aimé être en compagnie de Jésus juste un instant ? C’est merveilleux ! Voir l’atmosphère qu’Il créait, je m’imagine que c’était un très grand faisceau de rayons d’amour, de respect, de crainte divine. Eh bien, j’ai souvent entendu des gens dire…

25 Beaucoup parmi vous, je pense, ont déjà joué la bande où est rapportée cette dernière vision là-bas, pourquoi je suis présentement ici en Arizona. Et c’était… Oh ! la la ! Si vous l’obtenez, c’est Monsieur, quelle heure est-il ? Alors, si vous l’obtenez, si jamais vous avez acheté une bande chez nous, achetez celle-là. Eh bien, elles ne m’appartiennent pas. Elles appartiennent à un autre service qui est avec nous, qui est chargé de bandes, et elles ne m’appartiennent pas. Ainsi, mais, je sais que le jeune homme en a.

26 Et il ne m’était jamais arrivé pareille chose. Certains disent : « Quand vous êtes dans la Présence de Dieu, pourquoi ne Lui demandez-vous pas ceci ou cela ? » C’est–c’est différent de ce que vous… Voyez, ce que nombreux appellent la puissance de Dieu, ce sont seulement les bénédictions de Dieu. La puissance de Dieu, c’est tout à fait différent des bénédictions de Dieu. La puissance de Dieu, dans Sa Présence, vous ne savez simplement pas quoi faire. Vous… vous êtes–vous êtes si… Vous êtes si effrayé que vous devenez engourdi, complètement.

27 Il y a deux jours, tout était insensible, même dans mon dos et ma nuque, et dans tout mon corps. J’étais donc totalement engourdi, saisi d’une grande crainte, quand cette constellation d’anges est apparue ici même; donc, je me tenais là, les regardant tel que je le fais maintenant.

28 Et si vous pensez que ça devrait être : « Oh ! C’est ça » ? Non. Si vous êtes là et que vous voyez réellement cela, c’est différent.

29 Et alors, le Seigneur Jésus, comme c’était Emmanuel, a dû être fatigué. La vertu était sortie de Lui. Et un grand travail L’attendait le jour après, après qu’Il aurait débarqué là sur l’autre rive, comme nous le savons tous ; en effet, Il allait à Gadara, et c’est là qu’Il avait trouvé ce fou. Il s’était peut-être dit que pendant que la barque traverserait la Galilée, ce qui prenait probablement un peu temps, Il en profiterait bien pour se reposer un peu. Ce n’est que–que naturel, c’est ce que ferait n’importe qui.

30 Ils sont montés à bord de la barque avec Lui, et ils L’ont embarqué. Et ils ont traversé la mer pour prêcher de l’autre côté. Et Jésus a saisi cette glorieuse opportunité, étant fatigué et faible, car Il était humain. Il n’était pas immortel en ce moment-là. Il était un Homme, et Il devait mourir. C’est pourquoi Dieu a dû devenir Homme, pour mourir. Eh bien, Il était là, endormi et fatigué. Ses disciples ont pris des rames et ont pris la mer .

31 A l’époque, ils avaient… S’il y avait du vent, ils pouvaient louvoyer la barque et–et cela pouvait avancer à l’aide du voile. Et quelquefois, si ça se faisait trop lentement, cela aidait alors un peu; en pagayant, ils prenaient les rames et avançaient avec. Et avec le voile aussi, ils pouvaient passer un très bon moment. L’un s’asseyait derrière. Généralement, à bord d’une grande barque comme cela, il fallait environ huit ou dix personnes pour la pagayer. Eh bien, ils avaient un–un gouvernail , et un homme, là derrière s’en occupait, si le voile était hissé. Alors, au cas où ils pagayaient, ils pouvaient bien sûr immobiliser ce gouvernail en l’attachant et tirer avec leurs rames.

32 Eh bien, imaginons-nous bien qu’ils avaient hissé le voile, parce qu’il a dû souffler un peu de vent après ce qui s’était passé, peu après. Et tout le monde sait que dans cette partie de la Galilée, ou quelque part là, oh ! la la ! tout peut arriver n’importe quand. Et, ils étaient donc en route sur leur chemin, naviguant.

33 Et Jésus doit être allé là au fond de la petite barque, Il s’est recroquevillé et s’est couché dans un petit tas là-bas, afin de pouvoir prendre un peu de repos et récupérer la force qu’Il avait perdue, en vue du service qui L’attendait.

34 Et les disciples devaient être en train de se réjouir les uns avec les autres, de ce qu’ils L’avaient vu faire. Ça a dû être un moment merveilleux pour eux; en effet, ils–ils passaient un bon temps, témoignant peut-être les uns aux autres. Et peut-être qu’ils discutaient sur ce qu’ils L’avaient vu faire.

35 Et maintenant, arrêtons-nous ici juste une minute et suivons leur discussion. Ils discutaient peut-être sur ce qu’Il avait dit, quelque chose comme ceci : « JE SUIS LE JE SUIS. » Quand Il avait dit… Ils ont dit : « Nos pères ont mangé la manne dans le désert et ils étaient sous Moïse. »

36 Et Jésus a dit : « Et ils sont tous morts. » Il n’y en avait eu que deux qui étaient entrés dans la Terre promise, voyez, Josué et Caleb. « Ils sont tous morts. Mais Je suis le Pain de Vie qui est descendu du Ciel, d’auprès de Dieu. Un homme peut manger ce Pain et ne pas mourir. » C’était changé, c’était différent. Comment pouvait-Il être le Pain ? Peut-être qu’ils discutaient sur ça. Et peut-être qu’ils discutaient…

37 Etant donné qu’il y a peut-être des étrangers ici pour le service de guérison, je pourrais dire ceci. Peut-être qu’ils avaient dit… Eh bien, c’était peut-être une déclaration qu’Il avait faite, qu’Il était ce « JE SUIS » qui était dans le buisson ardent. En effet, ils avaient dit : « Toi, un homme de pas plus de cinquante ans, Tu dis avoir vu Abraham. Maintenant, nous savons que Tu es cinglé. » Voyez, cinglé signifie fou. « Toi, un homme de pas plus de cinquante ans, » alors qu’Il n’en avait que trente. « Mais, ont-ils dit, Tu n’as pas plus de cinquante ans, et Tu–Tu dis avoir vu Abraham ? Maintenant, nous savons que Tu es fou. » Voyez ?

38 Mais Il a dit : « Avant qu’Abraham fût, JE SUIS. » Oh ! la la ! Non seulement Il avait vu Abraham, mais : « Avant qu’Abraham fût, JE SUIS. » Et Il est tout autant « JE SUIS » aujourd’hui qu’Il L’était alors. Eh bien, souvenez-vous : « JE SUIS » n’est pas « J’étais » ou « Je serai. » « JE SUIS », c’est constamment, tout le temps, le même hier, aujourd’hui et éternellement. « JE SUIS. »

39 Et peut-être qu’ils ont aussi dit : « Eh bien, maintenant, voici une raison pour laquelle nous sommes sûrs qu’Il était le Messie. En effet, Il… nous savons. » Eh bien, Lui s’était endormi en ce moment-là. « Et nous savons qu’Il doit être le Messie parce que les Ecritures nous disent ce que ce Messie quand Il viendra. » Eh bien, ça, c’est une bonne philosophie pour n’importe qui, une bonne doctrine saine et orthodoxe.

40 C’est à cela que je voulais en venir hier soir, là ailleurs, à Mesa. Ne jugez jamais par les émotions. Jugez par la Parole. Ça doit être la Parole. Eh bien, observez la Parole et ce que la Parole dit, alors, reconnaissez que c’est vrai, parce que c’est Dieu qui l’a dit. C’est ce qui fait que c’est donc vrai. Et eux Le jugeaient là par la Parole.

41 Eh bien, pour savoir s’Il était le Messie ou pas, vous pouvez retourner à l’homme qui leur avait donné la loi. Dieu la leur avait bien sûr donnée, mais c’est Moïse qui l’a apportée de la montagne, de la part de Dieu. Et il leur a dit qu’il les quitterait un jour. Mais que le Seigneur Dieu suscitera un Prophète comme lui, semblable à lui : Un législateur, un–un Roi Prophète. Et–et il arrivera que tout celui qui refusera d’écouter ce Prophète sera retranché du milieu de Son peuple. » Eh bien, ils ont vu cela quand Jésus était venu.

42 Et tout au long des Ecritures, les Juifs avaient un commandement qui disait : « S’il y en a un parmi vous qui est spirituel ou prophète, Moi, le Seigneur, Je me ferai connaître à lui par une vision. Et si ce qu’il dit arrive, alors écoutez ce prophète, car Je suis avec lui. Mais si cela n’arrive pas, alors ne l’écoutez pas. » Eh bien, ça, c’est clair. C’est vraiment raisonnable.

43 C’est comme quand un homme a été une fois suscité, Jérémie, un prophète majeur. Le Seigneur lui avait dit que–que Juda ferait soixante-dix ans là à Babylone. Il a dit : « N’écoute pas quelqu’un qui a des songes, ni un prophète ou quiconque dit le contraire de cela. Il a mis un joug à son cou. »

44 Et Hanania, eh bien, Hanania était un prophète. Et non seulement cela, mais il était le fils d’un prophète. Son père était un prophète. Et il s’avança, sous l’inspiration, ôta ce joug de son cou et le brisa en disant : « AINSI PARLE L’ETERNEL, dans deux ans, ils vont revenir. » Les gens avaient peut-être applaudi cela. Oh ! la la ! C’était bon. Ils voulaient écouter Hanania, mais cela était contraire à la Parole. Cela n’était pas conforme à la Parole. Voyez-vous ?

45 Par conséquent, Jérémie a dit : « Hanania, amen, que l’Eternel accorde que tes paroles s’accomplissent. Mais, attends une minute, souvenons-nous qu’il y a eu des prophètes avant nous. Et quand un prophète prophétisait, on le reconnaissait… on reconnaît un prophète par l’accomplissement de sa prophétie. »

46 Je vois des amis indiens assis ici. Je lisais leur histoire il y a quelque temps, au début du christianisme chez les Indiens. Et ils devaient suivre des gibiers pour vivre. Et si un prophète venait parmi eux, qu’il prophétisait en leur disant où se trouvait le gibier, il devenait chef. Mais s’il prophétisait un mensonge, c’était sa fin. Ils se débarrassaient de lui à l’instant même. Il ne vivait plus.

47 Eh bien, c’est sur cette même base que Dieu agissait. Dieu dit à Jérémie : « Hanania a menti. Je ne lui ai point dit ça. » Voyez, c’était contraire à Sa Parole. « Et il va être retranché de la terre dans un an. » Au septième mois, il mourut. Il l’a retranché de la terre. Eh bien, vous voyez, bien qu’il fût inspiré, cela était pourtant contraire à la Parole.

48 Peu importe combien un prédicateur peut être puissant, quel bel aspect il peut donner à cela, si c’est contraire à la Parole, laissez cela de côté. Tenez-vous-en éloigné, enlevez cela.

49 C’est la Parole. C’est le programme de Dieu, la révélation complète de ce qu’Il était, de ce qu’Il est et de ce qu’Il sera. C’est une révélation continue de Jésus-Christ. Et cette Bible est une révélation complète de Jésus-Christ. Toute révélation contraire à Lui, disant ce qu’Il ferait, ce qu’Il est aujourd’hui : « Oh ! Ça, c’était dans le passé », ne croyez pas cela. Ça doit être le même Jésus, voyez, et c’est donc la Parole.

50 Eh bien, nous voyons que ces disciples avaient peut-être parlé de ce cas. Peut-être que Pierre a pu dire : « Vous savez, je pensais moi-même que… Je me souviens que mon père me disait qu’un jour, il y aurait une grande agitation (Ils avaient toujours eu de petits soulèvements), qu’Il y en aurait avant la Venue du Messie, qu’il s’élèverait probablement de faux messies. Mais il m’a dit : ‘Mon fils, souviens-toi d’une chose. Nous sommes des Juifs. Nous sommes les élus de Dieu. Et nous avons un commandement de notre Père céleste, selon lequel, et nous le savons, ce Messie sera un Prophète. Et si on reconnaît le prophète uniquement par ses paroles, par l’accomplissement de ses paroles, c’est ainsi donc qu’on identifiera le Messie.’ »

51 Et quand Pierre est entré dans Sa Présence, ayant été invité peut-être par André, son frère, qui L’avait entendu et qui avait vu le jour où Jean L’avait présenté, que c’était Lui...

52 Et Jean, il avait vu l’Esprit, il avait entendu la Voix. Personne d’autre n’avait entendu Cela ni vu Cela à part lui. De tous les milliers qui se tenaient là, personne n’a vu Cela à part Jean. C’était envoyé pour lui. « Jean a rendu témoignage qu’il avait vu l’Esprit de Dieu descendre (Voyez ?) et une Voix se faire entendre du Ciel. »

53 Quand Paul a été terrassé par une Lumière qui l’avait aveuglé, personne d’autre n’avait vu cette Lumière. Elle était tellement réelle pour Paul qu’Elle avait aveuglé ses yeux.

54 Les mages avaient suivi l’Etoile depuis Babylone jusqu’au bout. Et ils déterminaient le temps à partir des étoiles. Elle est passée par-dessus chaque observatoire, et personne n’avait vu Cela. Cela était révélé aux mages.

55 Dieu choisit qui Il veut choisir, Il fait ce qu’Il veut faire. Il est Dieu. Mais Il n’ira jamais à l’encontre de Sa Parole. Il reste donc toujours avec Sa Parole.

56 Et Simon avait peut-être dit cela, vous savez, pendant qu’il hurlait… pagayait dans le… dans ce lac, et Jésus dormait à l’arrière de la barque. Il a dit : « Quand je suis entré dans Sa Présence et qu’Il m’a dit : ‘Tu t’appelles Simon, et tu es le fils de Jonas’, c’était réglé pour moi. J’ai alors su que c’était le vrai Messie, parce qu’Il m’avait dit l’exacte vérité, Il ne m’avait jamais vu. »

57 Philippe a peut-être donné son témoignage à propos de quand il était parti chercher Nathanaël et que Jésus lui a dit où il se trouvait avant de venir. Ils ont peut-être parlé de la femme au puits. Ils ont peut-être parlé de l’aveugle Bartimée qui avait touché Son vêtement alors qu’il se tenait à une centaine des yards [91 m] de Lui, peut-être, et sa–sa foi en Dieu L’avait touché; de la femme qui avait touché le bord de Son vêtement ! Toutes ces choses prouvaient qu’Il était le Messie. Quel glorieux moment !

58 Eh bien, alors, peut-être qu’ils ont discuté sur l’attitude des gens envers Lui. Eh bien, nous sommes… Ils traversaient le lac, tout ce temps. Certains disaient à Son égard : « Certains croyaient. D’autres ne croyaient pas. »

59 C’est pareil aujourd’hui. Certains croient Cela. Non, vous le pouvez; peu importe combien cela est clairement confirmé, d’autres ne croiront pas cela. Et il y en a qui sont tellement spirituels qu’au moindre petit hochement de tête, ils saisissent la Chose. Et d’autres peuvent être secoués jour et nuit, mais ils ne saisissent jamais cela.

60 Permettez-moi de m’attarder une minute là-dessus pour expliquer quelque chose. Les semences qui tombent en terre, si elles ont le germe, elles poussent quand le soleil les frappe, s’il y a l’humidité. Mais si elles n’ont pas de germe, le soleil peut briller sur elles, elles vont néanmoins pourrir. Rien ne se passe.

61 Nous avons le Germe. Nos noms sont appelés et inscrits dans le Livre de Vie de l’Agneau avant la fondation du monde. Peu importe combien nous sommes religieux, cela n’a rien à faire avec la chose ; quelquefois, c’est contre nous.

62 Je me sens à l’aise en compagnie d’un frère aussi brave que frère Groomer ici, et de ces autres frères ici. Je–je trouve convenable de dire ceci.

63 Observez Jésus. Nous savons donc qu’Il était le Messie. Et quand Il est venu, Il s’est manifesté comme le Messie devant les gens pieux, les pharisiens, les saducéens, qui étaient sacrificateurs suivant la lignée d’Aaron, pendant des centaines et des centaines d’années. Leurs arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-arrière grands-parents étaient des sacrificateurs, ils étudiaient la Parole, ils étudiaient les prophètes. Et les prophètes avaient clairement parlé de ceci. Mais quand Jésus est venu et qu’Il a accompli cela, ils étaient aussi aveugles qu’une chauve-souris. Religieux jusqu’à la moelle, habiles, intelligents, intellectuels au possible, de loin plus que n’importe qui parmi nous aujourd’hui, ils étaient formés et élevés dans la Parole depuis l’enfance. Et quand la Vérité authentique a resplendi devant eux et que cette Lumière a brillé, ils ont dit : « Cet Homme, nous n’arrivons pas à comprendre cela, Il doit donc être un démon, Béelzébul. C’est un esprit très puissant. Il peut lire les pensées des gens. » C’est un télépathe, comme nous le dirions aujourd’hui. Ils ne comprenaient pas.

64 Mais maintenant, écoutez. Un jour, là à Sychar, une petite ville de la Samarie, Jésus passait et s’est assis sur la bordure d’un mur. Et une petite femme de mauvaise réputation, de mauvaise renommée. (Elle avait eu plus de maris qu’elle n’aurait dû en avoir), la voilà venir pour puiser de l’eau. Et Jésus lui a dit : « Donne-Moi à boire. Apporte à boire » Et elle Lui a dit qu’ils–ils ne pouvaient pas faire ça. Ce n’était pas juste. C’était une insulte pour elle que de… pour Lui de demander pareille chose à une Samaritaine.

65 Et sans tarder, Il lui a dit : « Si tu connaissais Celui à qui tu parles ! » Eh bien, elle ne le savait pas. Il a dit : « Si tu connaissais Celui qui te parle, c’est toi qui M’aurais demandé à boire. »

66 La conversation s’est poursuivie pendant un moment. Peu après, Jésus, ayant été envoyé là au puits, lui a dit : « Va chercher ton mari. »

67 Elle a dit : « Je n’en ai point. » Elle était encore aveuglée, voyez, parce que n’importe qui pouvait enseigner la théologie, voyez, ou pouvait faire n’importe quel genre de déclaration. Il pouvait dire tout ce qu’Il voulait, cela ne rendait toujours pas la chose vraie.
Il a dit : « Va chercher ton mari. »
Elle a dit : « Je n’ai point de mari. »

68 Il a dit : « Tu as dit vrai, car tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. Tu as dit vrai. »

69 Observez cette Lumière frapper ce germe de Vie. La plante s’est mise à pousser. Rapidement, comme par un coup magique, rapidement ; cette prostituée, un fléau rejeté, pas un sacrificateur instruit ! Une femme de mauvaise vie, mais elle était prédestinée à la Vie Eternelle. Et quand cette Lumière a frappé cela, elle a rapidement reconnu la chose.

70 Elle a dit : « Seigneur, je vois que Tu es prophète. Eh bien, nous n’en avons pas eu depuis 400 ans, mais pourtant, nous savons que le Messie viendra. Et ce Messie sera un prophète, et il nous dira ces choses. » Voyez, elle savait qu’un Homme qui lui avait dit cela ne lui dirait pas un mensonge.

71 Et Il le savait. Et Il a dit : « Je Le suis, Moi qui te parle. »

72 Elle n’a jamais posé une autre question, mais elle est entrée dans la ville et a dit : « Venez voir un Homme ! »

73 Regardez la différence. Voyez, quand cette Lumière frappe, soit Elle aveugle, soit Elle amène à la Vie. Voyez ? Absolument. La Vie, les Ecritures de la Bible !

74 Eh bien, il y avait peut-être beaucoup de choses dont ces gens avaient pu parler. Certains disaient par exemple ceci : « Jamais homme n’a parlé comme cet Homme. » D’autres croyaient, disant : « Cet Homme semble avoir de l’autorité. Il semble très convaincu de ce qu’Il dit. Nous n’avons jamais vu un homme qui pouvait se lever et parler des choses comme ça. Nous avons entendu des sacrificateurs parler. Nous avons entendu des rabbins, des sacrificateurs et ainsi de suite, tout, des érudits et autres. Mais cet Homme parle avec autorité. Il sait de quoi Il parle. Jamais homme n’a parlé comme cela. » D’autres disaient : « C’est Béelzébul. »

75 C’est peut-être Jean, un jeune homme à l’esprit vif, vous savez. C’est peut-être lui qui a dit : « Pensez-y donc ! Celui qui pouvait prendre cinq petits pains et deux poissons et nourrir cinq mille personnes (Amen !), Celui qui connaît le secret de coeur est avec nous dans la barque. Nous L’avons ici même. Frères, vous témoignez, a-t-il peut-être dit, mais Celui à qui nous pensons, Il est juste ici parmi nous. »

76 C’est la même chose maintenant même : Celui que nous prêchons, Celui dont nous parlons. A quoi sert le Dieu de Moïse s’Il n’est pas le même Dieu aujourd’hui ? Celui dont nous parlons est ici avec nous. Oh ! Quelle chose à laquelle penser !

77 Et alors, vous voyez, ils étaient aussi sur un lac dangereux. Et quel sentiment de sécurité, pendant qu’ils naviguaient sur ce lac agité des tempêtes, de connaître Celui qui était couché là avec eux dans la barque !

78 Comme on peut se sentir en sécurité ! Que les mers soient agitées ou pas, cela ne change rien. Tant que vous savez qu’Il est couché là même, qu’est-ce que ça change ? Advienne que pourra, cela ne change rien du tout. Ça y est. Je le sais. Dites : « Je… Que le Seigneur soit béni ! » Le médecin dit que vous allez mourir d’un cancer ; dites simplement : « Gloire à Dieu ! C’est peut-être un retour rapide à la maison. » Voyez ? Ils ne s’en soucient pas.

79 L’autre jour, je causais avec un groupe de médecins. L’un a dit–il a dit : « J’ai lu votre livre sur la guérison divine. »
J’ai dit : « Je pense que vous l’avez critiqué. »
Il a dit : « Non, non. J’admets que vous avez raison. »
J’ai dit : « Merci, Docteur Schoen. »

80 Il a dit–il a dit : « Frère Branham, nous savons que quand nous disons à quelqu’un qui souffre d’une malignité, ou–ou de quelque chose comme cela qui va le tuer, un ulcère qui est sur le point d’éclater, ou de la tuberculose, ça dépend de l’attitude qu’il affiche. S’il se met dans tous ses états, a-t-il dit, il mourra dans peu de temps. Mais, a-t-il dit, s’il affiche une attitude du genre : ‘Eh bien, la mort, c’est juste une partie de la vie. C’est bien, si je meurs’, a-t-il dit, vous savez, cela retarde pratiquement le cas. »

81 J’ai simplement pensé : « Si une telle attitude mentale réussit comme ça, qu’arrivera-t-il quand le Saint-Esprit frappera cet homme intérieur ? » Voilà. C’est… Je le lui ai demandé.

82 Il a dit : « Certainement, c’est vrai ; si vous pouvez en arriver là, arrivez-en là. » C’est l’un des meilleurs chirurgiens et médecins au Sud ; il a dit : « Si c’est… Monsieur Branham, cela peut être prouvé. Si un homme en arrive... peut en arriver à ne même pas reconnaître qu’il a cela, penser qu’il a cela, mais ne fait même pas attention à cela, a-t-il dit, ça se fera, s’il peut croire cela. » C’est vrai. Voyez ?

83 L’attitude mentale que vous affichez envers cela amènera… Eh bien, ce n’est pas la pensée qui fera cela. Mais si vous affichez cette attitude envers quelque chose qui a la Vie, alors cette Vie descend et accomplit la chose. Non pas votre attitude mentale ; elle ne fait que vous introduire dans Sa Présence. ça, c’est ce que vous faites, avec votre pensée. Les cinq sens sont utiles tant qu’ils ne renient pas Dieu. Mais dès qu’ils se mettent à renier Dieu, alors laissez-les de côté. C’est Dieu qui les contrôle. C’est Lui le Créateur.

84 Eh bien, quelle sécurité, comme je l’ai dit, de naviguer sur cette mer houleuse, tout en sachant qu’Il est couché là dans la barque ! Ces disciples étaient dans un certain état cette nuit-là, comme nous ce soir ; ils se réjouissaient des effets d’une réunion ; après le réveil, ils se régalaient des résultats du réveil.

85 Eh bien, frère Groomer, et ce frère ici, et beaucoup d’autres, il y a environ quinze ans, nous sommes venus dans cette contrée, et il y a eu un réveil. Oh ! la la ! Savez-vous ce que nous faisons aujourd’hui ? Nous ne faisons qu’en parler. Le réveil est terminé. Ça fait longtemps que c’est terminé. Nous vivons simplement de ses résultats, en attendant.

86 Et ces disciples faisaient de même, ils se réjouissaient, vivant de ce qu’ils avaient vu s’accomplir, probablement le jour précédent, la semaine précédente, ou l’année précédente. Ils en témoignaient, donnant (Oh !) un grand témoignage de cela.

87 Comment savons-nous si, (Comme Jésus, en ce jour-là, se reposait entre deux réveils) comment savons-nous si peut-être Il ne se repose pas maintenant entre deux réveils ? Oui.

88 « Oh ! direz-vous, eh bien, attendez une minute, Frère Branham ; vous sortez un peu de la ligne maintenant. Jésus n’a pas à se reposer. »

89 Si, Il l’a fait. La Bible dit : « Dieu créa les cieux et la terre en six jours, et se reposa le septième. » Certainement qu’Il l’a fait. Il se reposa. Jésus, étant fatigué, s’était couché dans la barque, s’était endormi et se reposait.

90 Et peut-être qu’après le dur labeur du réveil qui vient de passer, peut-être qu’Il se repose maintenant comme Il le fit alors. J’espère que c’est ça.

91 Et les disciples se réjouissaient de ce qu’ils L’avaient vu faire, voyez, et ils savaient qu’Il était avec eux.

92 C’est comme ça avec l’homme, l’esprit de l’homme. L’esprit de l’homme parle toujours et se réjouit de ce que Dieu a fait, il parle de ce qu’Il va fera, mais ignore ce qu’Il est en train de faire.

93 Il n’était pas tout à fait endormi. Nous y arriverons dans quelques minutes. Voyez ?

94 Ils croiront ce qu’Il avait fait et crieront à ce sujet. Ils parleront de ce qu’Il va faire et glorifieront Dieu. Mais ce qu’Il est en train de faire maintenant même, ils l’ignorent. C’est ça la nature de l’homme. C’est comme ça qu’il s’y prend.

95 Alors, pendant qu’ils se réjouissaient des bénédictions de leur communion, les uns avec les autres, et, oh ! comptant tout ce qu’ils avaient vu être fait, tout à coup, il y eut des troubles.

96 Et ça, c’est le propre de Satan, faire ça, voyez, juste en pleine réunion des témoignages ou de quelque chose comme cela. Souvent, je…

97 Il n’y a pas longtemps, j’étais dans une réunion, je m’apprêtais au possible à faire l’appel à l’autel. Et un vieil homme est tombé par terre, raide mort, voyez, suite à une crise cardiaque. Et toute la salle était dérangée. Et j’oublie… c’était à Shawano, dans le Wisconsin. Je me suis dit : « Ô Dieu, que puis-je faire ? » J’ai regardé ici, et j’ai vu le vieil homme en vision, sortant par la porte. J’ai alors su quoi faire.

98 Il n’y a pas longtemps, avec ce grand sponsor d’Oral Robert, un médecin là en Philadelphie, qu’est-ce ? Il est un… Son nom m’échappe maintenant. C’est un dentiste. C’est un grand sponsor de ses émissions télévisées. Et je ne me rappelle pas son nom. Et nous… [Quelqu’un dit : « Barton. » – N.D.E.] Barton. Nous avions une réunion, et je m’apprêtais simplement à faire l’appel à l’autel. J’ai vu une femme agir de façon vraiment drôle, alors sa fille a couru là et elle s’est mise à lui frotter le visage. Je me suis dit : « Eh bien, elle est sur le point de s’évanouir. » Et, tout d’un coup, ses jambes sont devenues vraiment raides, et ses mains ont été renvoyées en arrière, comme ça.

99 Docteur Barton a couru là où elle se trouvait, il a pris son pouls. Il n’y en avait pas. Il a levé les yeux vers moi, il a secoué la tête. Eh bien, j’essayais de garder l’esprit des gens (Ils étaient là, une grande foule), de le garder loin de cela comme cela, pour continuer simplement à parler. Et alors, il a dit : « Allez chercher le petit Branham. » C’était Billy. Et Billy a vu cette femme morte. Il n’avait rien à faire avec cela. Voyez ? Il n’en voulait pas. Eh bien, aussitôt que je me remis à parler… Eh bien, docteur Barton... puisque vous le connaissez, vous pouvez le lui demander.

100 Je me remis à parler, j’ai dit : « Maintenant, tout le monde, ne soyez pas excité. Restez calme. » Des fois, quand on voit un démon essayer de sortir d’une personne, on devient si irrespectueux, la foule est tout agitée. C’est ce qu’il ne faut pas faire. « Restez tranquilles. Ne soyez pas excités. Il est ici. »

101 Et pendant que je parlais comme cela, je ne sais pas comment c’est arrivé, mais je me suis retourné vers elle et je l’ai appelée par son nom. « Marie, regarde ici. » Et alors, elle est revenue à elle-même, oui.

102 Voyez, il y a ce temps de troubles. Soudain, il y eut des troubles, juste à ce moment-là.

103 Eh bien, vous pourrez donc poser la question au docteur Barton à ce sujet. Je l’ai rencontré le lendemain, et il a dit : « Frère Branham, a-t-il dit, cette femme n’avait pas de pouls ; je l’ai tâtée ici sur la–la poitrine. J’ai tâté son pouls au cou, partout. » Il a dit : « Elle était partie. » Et, à l’époque, c’était une famille vraiment riche, et c’était sa première fois d’être dans une pareille réunion. Et elle…

104 Je suis parti, il m’a amené chez elle, et elle a dit : « Je vous ai entendu m’appeler par le nom. » Et je n’avais jamais vu cette femme de ma vie, mais c’était le Saint-Esprit. Voyez ?

105 Eh bien, soudain, il y eut des troubles. La barque commença à tanguer. Les vagues s’élevèrent haut. Et le voile, probablement que le vent s’y abattit avec une grande furie et l’arracha du mât principal. Alors, la barque tangua, il y eut de grands moutons et l’eau entra dans la barque. Et la barque commença à se remplir d’eau. Des troubles ! Il n’y avait plus d’espoir de survivre, semblait-il, bien qu’ils L’aient vu accomplir beaucoup de choses. Ils avaient vu cela, mais, quand les troubles ont surgi, tout avait été oublié.

106 Je me demande si ce n’est pas pratiquement là le cas ce soir. Nous savons ce que nous avons vu Dieu accomplir dans ce réveil. Vous les ministres, vous le savez. Vous voyez Sa–Sa puissance, Sa… comment Il a ressuscité les morts, attestations médicales à l’appui. Il avait prédit des événements qui sont arrivés à la lettre. Il a guéri les malades. Des milliers et des milliers ont été guéris à travers le monde. Mais maintenant, pendant une petite accalmie, alors, quand les troubles surgissent, oublierons-nous cela si rapidement ?

107 C’est juste comme Israël, après que Dieu eut envoyé toutes ces plaies en Egypte et qu’Il eut accompli de grandes choses qu’Il avait faites. Puis, quand ils sont arrivés devant la mer Rouge, Moïse a dû crier : « Vous avez vu dix miracles, et vous continuez à douter de Dieu ? » Quand ils n’ont pas trouvé d’eau au vieux puits d’eau, ils ont murmuré, ils se sont plaints. C’est simplement ça, les êtres humains. Ils avaient oublié tous les miracles accomplis par Dieu. Voyez ? ça nous arrive, à nous aussi.

108 Peut-être que ces disciples avaient tout oublié à cause de la détresse du moment. Alors, quand nous avons un… Ils ont eu des ennuis auxquels ils ne pouvaient pas remédier. Tant que nous pouvons trouver une solution, nous nous y accrochons. Mais ils avaient eu des ennuis auxquels ils ne pouvaient pas remédier, et ils ont eu peur. Ils ont crié. Ils ont eu peur puisqu’ils n’y remédiaient pas.

109 Je me suis fait la promesse de libérer l’église à 9h. Je pouvais donc m’y attarder longtemps, mais je–j’essaie d’aborder juste les points essentiels, afin que vous puissiez voir.

110 Frère, il y a ce soir beaucoup de troubles auxquels nous ne pouvons pas remédier. J’ai toute une file, une liste ici, des troubles nationaux. Il n’y a pas de solutions pour cela. Ils ne savent comment s’y prendre. Les Nations Unies, la Société des Nations et tout ce discours, ça ne fait que s’empirer tout le temps.

111 Ce soir-là, en Finlande, quand ce petit garçon avait été tué dans la rue ce jour-là, le maire de la ville avait écrit cela, et j’ai fait authentifié cela par lui. J’avais vu cela en vision des années auparavant. Quand je suis venu ici en Arizona, je vous en ai parlé : « Un petit garçon ressuscitera des morts », et j’ai décrit son aspect. Vous vous en souvenez tous, beaucoup d’entre vous. Eh bien, c’est exactement ainsi que ça s’est passé. Je vous avais dit que ce serait publié dans La Voix de la Guérison. ça s’est fait, environ deux ou trois ans plus tard. Voyez ? Eh bien, eux tous étaient dérangés, toute cette agitation, mais pas de solution. Dieu avait la solution, et Il avait guéri le petit garçon.

112 Ce soir-là, je descendais la rue à Kuopio. Et pendant que nous descendions la rue, environ six de ces jeunes Finlandais… Ils venaient de subir une guerre, et les jeunes gens ne s’étaient jamais rasés. C’était–c’était… C’étaient des jeunes gens qu’on a dû enrôler dans l’armée. Ces Russes les avaient tués. Alors, ils allaient là, avec ces vieux, gros et larges sabres, retenant les foules, pendant que je descendais vers ce qu’on appelait Messuhalli, là où on faisait entrer environ 35.000 personnes. Puis, on les faisait sortir, ensuite on me laissait parler à un autre groupe de 35.000 ou 40.000 personnes.

113 Et, il y avait des soldats russes le long de la rue. Et quand je passais, ils exécutaient le salut russe, avec des larmes coulant sur leurs joues. Et quand je passais, ils tenaient ces soldats finlandais et les embrassaient. Frère, tout ce qui peut amener un Russe à embrasser un Finlandais ou un Finlandais à embrasser un Russe, peut mettre fin aux guerres. Ils sont passés par-dessus la chose qui met fin aux guerres, mais ils ne seront jamais en mesure de trouver une solution humaine.
ça a déjà été trouvé. Un Homme est mort dans ce but.

114 L’église a des troubles contre lesquels on n’a pas de solution. Comment tous les méthodistes vont-ils amener tous les baptises à devenir des méthodistes ? Je me le demande bien. Comment tous ceux des assemblées vont-ils faire de tous les unitaires des membres des assemblées, ou vice-versa ? Comment tous les pentecôtistes vont-ils gagner tous les presbytériens et les luthériens ? Et comment les catholiques vont-ils tout engloutir ? Voyez ? Ils n’arrivent simplement pas à se représenter cela, lequel d’entre eux va régner. Voyez ? Ils ne le savent pas. Ils n’ont pas de solution. Très bien.

115 Mais, savez-vous qu’eux, là, n’avaient pas de solution pour arrêter cette tempête-là, alors que la Solution était couchée là ?

116 Et ce soir, permettez-moi de dire ceci, frère. Malgré tous nos troubles, nous avons toujours la Solution. La voici, car Il est la Parole. Elle se trouve Ici même, et Son Esprit est juste ici pour manifester Cela. Ainsi, nous avons la Solution. Mais nous cherchons à trouver d’autres choses pour commencer une autre organisation. ça, c’est nous. Voyez ? Nous n’arrivons pas à maîtriser cela. C’est déjà maîtrisé. Nous manquons simplement de suivre dans la voie tracée pour nous.
Mais ils avaient des ennuis.

117 « Si on va tenir un service de guérison là, chez Groomer, eh bien, vous savez qu’il y a quelque chose que je n’apprécie pas chez ces gens. Ce sont des saints exaltés. Je n’irai pas là-bas. » Eh bien, vous y êtes. Voyez ? C’est ça. C’est juste comme ça que ça se passe. Voyez ? Oui. C’est…

118 Mais Christ est cette Solution. C’est Lui qui peut accomplir cela. Aujourd’hui, Ses disciples, connaissent beaucoup de troubles, et ils ne connaissent pas la solution. C’est vrai.

119 Et permettez-moi de dire ceci. Souvent, Ses précieux saints connaissent aussi des problèmes, des problèmes physiques, mais nous avons le Remède ici. Amen. Nous avons la cure.

120 Je pense donc à cette femme assise ici, souffrant d’une affection des poumons ; cet oxygène, on l’entend respirer à l’aide de cela. Je me demande comment cette pauvre créature dort la nuit. Pensez au coût. Soeur, là, je connais le Remède. Cela est Ici. Vous n’avez pas à faire cela. Mais il vous faut utiliser Cela. Voyez ?

121 Eh bien, les disciples attrapent des maladies dans le corps, des maladies pour lesquelles les médecins n’ont pas de remède.

122 Juste comme ces disciples d’autrefois, ils avaient des ennuis. C’étaient des disciples, et ils avaient–ils avaient des ennuis auxquels les navigateurs ne pouvaient pas remédier. Ils… Personne ne pouvait remédier à cela, mais le Remède était couché juste là.

123 Et ce soir, vous pouvez avoir un problème auquel le médecin ne peut pas remédier. Mais nous L’avons ici même maintenant, comme eux autrefois. Il est juste ici. C’est vrai. Nous, comme ces gens-là, nous avons oublié Qui est dans la barque. Ce n’est pas juste une église. Ce ne sont pas juste des règlements que nous observons. Mais c’est le Créateur des cieux et de la terre. Peut-être qu’Il se repose maintenant même après un réveil. Il en a envoyé un. Peut-être qu’Il se repose.

124 Il en avait un autre qui L’attendait le lendemain; un fou devait être guéri. Mais, en ce moment-là, Il se reposait, et des troubles ont surgi. Et Il était endormi, se reposant. Mais ils ont oublié Qui c’était, voyez, dans cette agitation. « Eh bien, je sais, mais tire cette rame, Simon. André, plus rigoureusement avec cette rame ! Qu’allons-nous faire ? » Voyez ? Ça y est.

125 Pourquoi êtes-vous tout agités ? « Le médecin a dit ceci. Le médecin a dit cela. » Eh bien, il l’a peut-être dit. Peut-être que cet homme a raison. C’est ce qu’il a dit. Mais, que dit Ceci ? C’est ça la chose suivante. Voyez ?

126 Et, autre chose. Après qu’ils L’eurent connu tel qu’ils L’avaient connu, ils devaient savoir qu’un Homme qui pouvait révéler les pensées d’un autre, et qui connaissait la fin depuis le commencement, savait que cela aurait lieu de toute façon. Amen ! Eh bien, ne–ne manquez pas ceci. Il savait que cela aurait lieu. Je doute fort qu’Il fût endormi. Mais Il savait que cela aurait lieu. Il était Dieu, et Dieu est infini, Il savait donc que cela aurait lieu. Et Il savait quand cela aurait lieu. Et cela s’est passé juste pour éprouver leur foi. Ne l’a-t-Il pas dit plus tard ?

127 Et c’est peut-être pourquoi vous êtes malades ce soir. C’est pourquoi il y a une accalmie, quant au réveil, c’est pour voir ce que vous allez faire concernant ce que vous avez vu être accompli. Allez-vous prendre cela et en faire une autre organisation ?

128 C’est ce Dieu qui est entré en scène quand cette soeur, assise ici, a été amenée dans la ligne, là dans cette petite église mexicaine ce jour-là, souffrant du cancer du coeur. Son médecin l’avait examinée aux rayons x. Son mari est assis là. On a dit : « Il y a une femme morte dans la ligne. »
J’ai dit : « Amenez-la ici. » J’étais sûr qu’Il était là.

129 Soeur Waldrop, ça fait longtemps, 16 ans. Voyez ? Elle se mourait du cancer ! Souvenez-vous, ce même Dieu est toujours dans la barque. Ne soyez pas agités. Voilà un témoignage qui peut bouleverser Phoenix, la vallée de Maricopa, ou le monde, un sur des dizaines de milliers.

130 Il est toujours ici. Mais nous sommes tout agités, voyez, comme eux autrefois. « Oh ! la la ! Pagayer. Qu’allons-nous faire après ? » Eh bien, n’y pensez pas. Tant qu’Il est dans la barque, oubliez ça. Certainement. Eh bien, Il avait fait cela uniquement pour éprouver leur foi. Et notre Bible ne nous dit-Elle pas : « Ces épreuves qui nous arrivent sont plus précieuses que l’or » ? Ce n’est pas notre avis, mais la Bible a raison.

131 Pouvez-vous vous imaginer Job se réjouissant d’être couvert d’ulcères et d’avoir perdu toutes ces choses, toute sa richesse, ses enfants et tout ? Ce n’était pas très facile, mais Dieu prouvait à Satan qu’Il avait quelqu’un en qui Il pouvait placer Sa confiance. Peut-être que c’est ce qu’Il cherche à faire dans votre cas et pour vous autres. « Oh ! il Te délaissera. Il va… » Oh ! non ! Job, on ne pouvait pas amener Job à faire cela. Non, non. Voyez ? Il cherchait à l’éprouver, c’est tout.

132 Souvenez-vous, quelques minutes plus tard, Il a dit : « Oh ! vous, hommes de peu de foi ! Ne pouvez-vous pas comprendre ce qu’il en était du pain rompu pour nourrir 5.000 personnes ? Ne savez-vous pas que Je suis le même Jéhovah qui les avait nourris pendant quarante ans là dans le désert, depuis les fours, depuis le Ciel, alors que Je faisais tomber cela chaque nuit ? De quoi avez-vous si peur ? Ne savez-vous pas qu’un jour, J’ai fait sécher la mer Rouge ? Ne savez-vous pas que J’ai ouvert la terre pour engloutir les incroyants ? Un jour, J’ai mesuré la terre et J’ai projeté cela là, dans l’espace. » Et Il est dans la barque. Eh bien, ce n’est pas un mythe. C’est la vérité. Oui.

133 C’est pareil aujourd’hui. Il cherche à nous mettre à l’épreuve pour voir si nous supporterons ou pas. Il retire un réveil et déclenche une discussion dans l’église, juste pour voir ce que vous ferez. Il lâche Satan parmi vous, parmi… pour voir votre position. Il le laisse vous frapper avec quelque chose, pour voir quelle position vous prendrez. Job a dit : « Voici, qu’Il me tue, j’espérerai en Lui. » Amen ! Amen ! C’est ça.

134 Shadrac, Méschac, et Abed Nego ont dit : « Notre Dieu peut nous délivrer de ce feu, mais néanmoins, nous ne céderons pas. » Assurément !

135 Mais nous, nous sommes tout agités, vous savez, comme eux autrefois, les disciples. Ils… Nous sommes des humains tout comme eux.

136 Et Il avait prouvé qui Il était ; alors, c’était même après qu’Il eut prouvé qu’Il était le Dieu de la création. Il était le Créateur. « Comment a-t-Il fait ? Eh bien, dites-moi ce qu’Il a lâché pour cuire ce pain et cuire ces poissons. » Eh bien, Il–Il n’avait pas seulement créé les poissons, mais Il les avait cuits au même moment. C’est la vérité.

137 D’où venait cette manne, du Ciel, cette nourriture naturelle qui les avait gardés en vie pendant quarante ans ? Le pain tombait du Ciel. D’où trouvait-Il cela ?

138 Où est-ce que ces corbeaux trouvaient cette viande et ce pain pour nourrir Elie ? Un corbeau avec de l’intelligence pour cuire de la viande, tuer une vache, la dépecer, la cuire, faire des steaks, mettre cela dans le pain, cuire cela et l’apporter à Elie.

139 Il est Dieu. Si nous ne croyons pas cela, alors nous sommes des incroyants. C’est tout. Nous devons croire.

140 C’est ce qu’Abraham a fait : « Il considéra tout ce qui était contraire à cela comme ne s’étant même pas produit. » Peu importe son âge ou combien… il continuait simplement à louer Dieu pour la promesse, et il avançait avec cela.

141 Eh bien, Il avait prouvé ce qu’Il était par Sa Parole et par les signes confirmés. Il a dit : « Si Je ne fais pas les oeuvres qui sont écrites à Mon sujet, alors ne Me croyez pas. » Voyez ? Eh bien, voici comment on saisit cela. J’espère que vous y réfléchissez à fond là. Voyez, Observez toujours cette Parole.

142 C’est avec cela–c’est avec cela que Satan avait attaqué Eve dans le Jardin d’Eden, et il l’a fait raisonner avec cela, les raisonnements.

143 Mais quand il est revenu attaquer Christ, il Lui a encore lancé ces histoires. Il a dit : « Si Tu es le Fils de Dieu, eh bien, j’aimerais voir un miracle. Tu sais, je n’en ai jamais vu un. J’aimerais que Tu transformes ces… Tu as faim. Change ces pierres en pain. »

144 Il a dit : « Il est écrit… » Oh ! la la ! Vous y êtes. Sur le haut du temple : « Il est écrit… » Sur une haute montage : « Il est écrit… » Il est demeuré fidèle à cette Parole, et Il a bien remis le vieux gars à sa place.

145 Eh bien, Il a dit à ces gars qui ne croyaient pas en Lui, qui pensaient qu’Il était un diseur de bonne aventure ou–ou une espèce de–de–de Béelzébul, un démon, agissant par spiritisme, qu’Il connaissait les pensées des coeurs de gens et tout, qu’Il essayait de faire cela. Il a dit : « Qui d’entre vous peut M’accuser du péché ? » Il a encore dit : « Si vous ne croyez pas en Moi. » Il a dit : « Vous sondez les Ecritures, parce que vous pensez avoir en Elles la Vie Eternelle : ce sont Elles–ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi. Ce sont Elles qui font de Mon ministère ce qu’il est. »Voyez-vous ce que je veux dire ? « Ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi. » Voyez ? Se référant à quoi ? Droit aux Ecritures, une fois de plus. « Ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi. Elles vous disent qui Je suis. » Amen ! Gloire à Dieu !

146 Les Ecritures vous disent si vous êtes croyant ou pas. Les Ecritures vous disent si vous êtes en ligne ou pas. C’est comme ça que vous connaissez un homme, par son témoignage. Pas ce qu’il dit avec ceci, mais comment il s’aligne sur les Ecritures. C’est vrai. C’est comme ça que vous reconnaissez cela.

147 C’est ce que Jésus les a invités à faire. « Si Je ne remplis pas toutes les conditions pour être le Messie, alors dites-Moi où J’ai failli. » Oh ! la la ! C’est bien, n’est-ce pas ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] « Dites-Moi où J’ai failli, si Je n’ai pas satisfait à une exigence, si J’ai exactement fait ce que les Ecritures ont dit que Je ferai. »

148 Oh ! chrétien, si seulement nous pouvons nous aligner sur cela, faire ce que les Ecritures disent qu’un chrétien doit faire !

149 Ils auraient dû reconnaître qu’Il était le Dieu de la création et qu’Il pouvait… C’est même Lui qui avait créé l’eau et le vent. Ils auraient dû reconnaître cela. Et s’ils avaient su qu’Il était cela, n’auraient-ils pas compris que cette création de ce Créateur pouvait obéir à Sa Parole ? Oh ! la la ! Si c’est Lui qui avait créé cela... Qui est le plus grand, la création ou le Créateur ? Comme Jésus l’a dit : « Qui est le plus grand, celui qui est envoyé ou Celui qui envoie ? » Oui, oui. Voyez ? Qui est le plus grand, la création ou le Créateur ? Le Créateur. Et ils ont vu, et Il a prouvé qu’Il était ce Créateur. Et alors, s’Il était ce Créateur, sa création ne pouvait-elle pas Lui obéir ?

150 Souvenons-nous aussi que c’est Lui qui a créé nos corps. Nos corps ne Lui obéiraient-ils pas ? « Crache ce cancer », dit-Il à ce corps, et ça part. Prenez simplement cette Parole et plantez-La ici dedans et voyez ce qui se passe. Assurément. Oui. Oui. Nos corps doivent obéir à Son commandement.

151 Vous dites que vous êtes chrétien. Je crois que vous l’êtes. Vous croyez. Sur quoi vous reposez-vous ? Un jour, Il ressuscitera nos corps, après qu’ils auront complètement, totalement péri. Si vous ne croyez pas cela, pourquoi allez-vous à l’église ? Voyez ? « S’il n’ y a pas de résurrection, ne sommes-nous pas, parmi les hommes les plus misérables ? »

152 Mais Sa Parole de promesse est : « Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort. (Amen !) Je suis la Résurrection et la Vie. (Amen !) Celui qui mange Ma chair et boit Mon Sang a la Vie Eternelle, et Je le ressusciterai aux derniers jours. » Pourquoi ? Le corps, la cendre, la cendre volcanique dont nous sommes constitués, obéit à Son commandement parce qu’Il est son Créateur.

153 La vie qui est en nous n’est pas seulement une vie créée, mais c’est une partie de Sa propre Vie. C’est pourquoi nous avons l’autorité de parler à un démon, parce que c’est la Vie même créatrice de Dieu, si vous êtes oint. Voyez? C’est exact. Ce n’est pas vous, ce n’est pas vous qui parlez, mais c’est le Père qui demeure en vous. Voyez ? « Ne vous inquiétez pas de ce que vous direz, car cela vous sera donné à l’heure même.’ » Allez simplement de l’avant, accrochez-vous-y. Oh ! J’aime cela !

154 Après que les disciples s’étaient retrouvés au bout du rouleau, l’un d’eux s’est peut-être rendu compte qu’Il était toujours avec eux. Après qu’ils furent arrivés au bout du rouleau, quelqu’un doit s’être rendu compte : « Eh bien, ici, après tout, nous étions en train de donner ce témoignage ici. Le voilà couché là même. (Voyez ? Il prenait juste un repos entre les réveils.) Et nous voici, nous tiraillant, tout inquiets et agités, dans l’incertitude, effrayés et tout le reste. Et le Créateur est couché ici même dans la barque. » Oh ! la la !

155 Ô Dieu, que certains parmi nous s’en rendent encore compte. Que cela ait lieu, Seigneur, qu’on s’en rende compte, que nous nous en rendions compte.

156 C’est le Dieu même qui vous a pris, qui vous a séparé de votre mère. Le Dieu même qui vous donne le Saint-Esprit ! Il est tout autant Dieu maintenant même qu’Il l’était quand – quand Il – quand Il vous a donné le Saint-Esprit. Il est tout aussi près de vous qu’Il l’était en ce moment-là même. Tout à fait. Vous ne devez pas oublier qu’Il est toujours là, toujours. C’est vrai.

157 Certains d’entre eux se sont rendus compte que le Créateur était avec eux dans la barque.

158 Je me demande ce soir si les malades, étant donné que je vais parler aux malades dans un instant, si vous pouvez vous rendre compte que le Dieu même en qui vous croyez, le Créateur des cieux et de la terre, qui a créé votre corps, est juste ici. Il est tout aussi grand ce soir qu’Il l’a toujours été. Il est Dieu. Il ne peut pas diminuer et demeurer Dieu, tant qu’Il est Dieu.

159 Vous demanderez : « Est-ce vrai, Frère Branham ? Est-ce Scripturaire ? »

160 Hébreux 13. 8 : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Oui. Il est le même.

161 Quelle devrait donc être notre requête ce soir, Frère Groomer, Frère Noël ? Quelle est notre requête ? Réveiller Jésus. S’il y a des troubles, appelons-Le sur la scène. Amen ! Réveillons Jésus, car Il est avec nous. Il est avec nous. Assurément, Il l’est, juste le même qu’Il l’a toujours été. Ils avaient simplement vu la Parole des Ecritures que Dieu avait prononcée à Son sujet être confirmée par Lui. C’est le cas pour nous.

162 Vous savez, le jour de la Pentecôte, Pierre, inspiré par le Saint-Esprit, s’est levé. Et tout le monde se moquait, riait de cette petite poignée de Juifs là, qui chancelaient, crachaient, bavaient et agissaient comme une bande d’ivrognes. Et ces gens très religieux se tenaient là, disant : « Eh bien, ces hommes sont pleins de vin nouveau. »

163 Et Pierre s’est levé, et ces gens eurent le coeur vivement touché après avoir entendu ce sermon apporté par ce prédicateur. Il avait vraiment apporté l’Evangile. Il a dit : « Hommes Juifs, et vous qui séjournez à Jérusalem, sachez ceci et prêtez oreille à mes paroles. Ces gens ne sont pas ivres, comme vous le supposez, car c’est la troisième heure du jour. Mais c’est ici… » « Peut-être » ? Non. « C’est ici ce qui a été dit par le prophète Joël. ‘Dans les derniers jours, dit Dieu, Je répandrai Mon Esprit sur toute chair : sur Mes fils, Mes serviteurs et Mes servantes, Je répandrai Mon Esprit. Je ferai paraître des signes en haut dans le ciel, et du feu et une vapeur de fumée. Et–et sur Mes servantes, et ils prophétiseront ; et vos vieillards auront des songes, et vos jeunes gens auront des visions. » Est-ce vrai ?
Et ils ont dit : « Que pouvons-nous faire ? Comment pouvons-nous avoir Ceci ? »

164 Il a dit : « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. » Mais, les autres nous disent que ça s’est arrêté là. Mais eux, c’est… Si vous vous arrêtez là, ça sera la fin, mais continuez, ce qu’Il a dit : « Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. »

165 Devant ce monde dénominationnel froid, nous avons prouvé que c’est la Vérité. Amen ! Si cette partie de la Parole est vraie, le reste de Cela est vrai. Oui. Ils ont vu les Ecritures être confirmées par Lui. Nous aussi.

166 Ce n’était pas difficile de Le faire entrer en scène pour agir. C’est très facile de L’appeler. Observez-Le quand Il entre cependant en action. C’est ce que j’aime, Le voir quand Il entre dans une foule de gens. Observez-Le quand Il… Ils ont dit : « Maître, nous périssons. »

167 Il s’est frotté les yeux, Il a dit : « Vous, gens de peu de foi, pourquoi avez-vous douté ? N’avez-vous pas vu tout ce que J’ai fait ? N’avez-vous pas… N’ai-Je pas–n’ai-Je pas prouvé les Ecritures ? Toutes les Ecritures pointaient vers Moi. Et vous avez dit tout du long que vous croyez en Moi. ‘Oui, Seigneur, nous croyons en Toi. Nous ferons ceci, cela ou autre.’ Et quand un petit problème survient, alors, vous êtes emballés. »

168 N’est-ce pas notre cas aujourd’hui ? Assurément. C’est vrai. Oui. « Vous avez dit que vous croyiez en Moi, mais pourquoi n’avez-vous pas cru ? Pourquoi avez-vous douté ? »

169 Une femme m’a dit il y a quelque temps, peut-être que j’ai… elle a dit ici, il y a quelque temps. On supportera la répétition. C’était une femme de la science chrétienne. Et elle a dit : « Frère Branham, je–j’apprécie vos commentaires sur les Ecritures. Mais, a-t-elle dit, il n’y a qu’une faute que vous commettez. »

170 J’ai dit : « Merci. Juste une seule ? Oh ! la la ! » J’ai dit : « J’ai certainement trouvé grâce à vos yeux. »

171 Et elle a dit : « Voici cette faute : vous vantez trop Jésus. »

172 J’ai dit : « Oh ! la la ! » J’ai dit : « Si c’est là mon unique faute, je souhaite qu’une fois arrivé là, Dieu ne voie–ne voie qu’une seule faute. Et s’il n’y a que ça, je suis sûr que je vais entrer. » J’ai dit : « Même si j’avais dix mille langues, je ne pourrais pas Le vanter assez. Peu importe ce que je dirais, je ne pourrais pas Le vanter assez. »

173 Elle a dit : « Mais, Frère Branham, vous Le rendez Divin. Vous faites de Lui Dieu. »

174 J’ai dit : « Il L’était, et Il L’est. S’Il ne L’était pas, Il était le plus grand séducteur que le monde ait jamais eu. » C’est vrai.
Elle a dit : « Oh ! Ne… »
J’ai dit : « Ne croyez-vous pas cela ? »

175 Elle a dit : « Oh ! Monsieur Branham, je crois qu’Il était un docteur. » Et elle a dit : « Je crois qu’Il était un prophète, mais Il était un simple prophète comme les autres. »
J’ai dit : « Oh ! la la ! Oh ! Vous êtes en erreur. »
Elle a dit : « Je vais vous le prouver. »
J’ai dit : « Comment ? »

176 Elle a dit : « Dans les Ecritures, quand Lazare… Saint Jean, chapitre 11, quand Lazare est mort, la Bible dit : ‘Jésus pleura.’ » Et elle a dit : « Comment pouvait-Il être divin et pleurer ? »

177 J’ai dit : « Ça, c’était le côté humain qui pleurait. Ça, c’était l’Homme ; Le côté immortel était à l’intérieur. C’était Dieu en Lui. »
Elle a dit : « Ah ! C’est absurde ! »

178 J’ai dit : « J’aimerais vous poser une question. Quand... Ce soir-là à bord de la barque, c’était un Homme qui était couché là, endormi. C’est vrai. Il était endormi et fatigué comme un homme. Mais quand Il a pu mettre Son pied sur le bastingage de cette barque et dire : ‘Silence, tais-toi,’ et que tous les vents et les vagues Lui ont obéi... Peut-être qu’en tant qu’Homme Il pleurait, mais quand Il a dit : ‘Lazare, sors’, et qu’un homme mort depuis quatre jours est sorti... Il était un Homme quand Il descendait de la montagne, affamé et cherchant quelque chose à manger, Il a regardé un arbre ; mais quand Il a pris cinq petits pains et deux… et a nourri cinq mille personnes, c’était le Créateur. » C’est vrai. Assurément.

179 En action, Dieu en action ! Oh ! j’aime ça ! Non pas une idole, non pas une conception mythique qui consiste à frotter une statue, non pas un mât totémique, mais un véritable Dieu vivant en action. Amen ! Amen ! Pas quelque chose qui était, quelque chose qui est maintenant même. Voyez, ça passe pour de la folie pour le monde. Mais, oh ! Combien c’est gracieux pour le saint qui croit cela ! Comme c’est merveilleux ! Certainement. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

180 Vous savez, Il était plus qu’un prophète, et pourtant Il était un Prophète. Il était Dieu-Prophète. Voyez ? En effet, les prophètes étaient la Parole. La Bible dit que la Parole venait au prophète; tant que le prophète proclamait la Parole, lui et Dieu étaient… L’homme ne savait pas ce qu’il faisait. Il proclamait la Parole de Dieu, tout simplement. Voyez ? Il ne savait pas ce qu’il faisait, il prophétisait sous l’inspiration. Voyez ? Donc, ce n’était pas la parole de l’homme. C’était Dieu qui parlait au travers des lèvres.

181 Eh bien, Dieu a choisi d’utiliser l’homme. Eh bien, Il aurait pu choisir d’utiliser le soleil pour prêcher l’Evangile. Il aurait pu choisir d’utiliser le vent pour prêcher l’Evangile. Il aurait pu choisir les étoiles. Il aurait pu choisir tout ce qu’Il voulait, mais Il a choisi l’homme.

182 Et quelqu’un va le faire. C’est vrai, quelqu’un. Si jamais Il peut trouver un homme, un seul homme qu’Il peut avoir dans Sa main, Il le fera. Voyez ? Il a eu un temps si difficile pour trouver un seul homme.

183 Je pense à Samson. Il avait trouvé un homme très fort. Et Samson avait dédié sa force à Dieu, mais il ne voulait pas donner son coeur. Il avait donné cela à Delila. Voyez ?

184 Dieu veut votre coeur, votre force, votre âme, votre corps, votre esprit, tout ce que vous avez. C’est l’unique moyen pour Lui de pouvoir vous utiliser, utiliser l’homme tout entier. Oui.

185 C’est ce que Jésus était. « En Lui habitait corporellement la plénitude de la divinité. » Nous, nous avons cela avec mesure.

186 En effet, quand cette Colonne de Feu est descendue à la Pentecôte, remarquez, la Bible dit : « Des langues, semblables à des langues de feu séparées, se posèrent sur eux. » Qu’était-ce ? C’était cette Colonne de Feu qui se séparait, se divisant parmi Son peuple. Quelle chose gracieuse ! Voyez ? Dieu en vous, voyez ? Dieu dans Son peuple. Remarquez donc.

187 Quelqu’un dit maintenant dans l’église ce soir, il pourrait dire ceci. Aujourd’hui, les gens pourraient dire : « Si seulement nous pouvons savoir qu’Il est ici avec nous ! Y a-t-il un moyen de le savoir ? »

188 Vous voyez, eux là pouvaient Le regarder. Eh bien, écoutez attentivement maintenant avant que nous formions la ligne de prière. Eux là pouvaient Le regarder et dire : « Il est couché là, dans la barque. Eh bien, Il est là. »

189 Or, si seulement nous avions un moyen de faire quelque chose comme cela, si simplement nous pouvons Le voir quelque part, nous pourrions dire : « Le voilà, juste là. »

190 Eh bien, mais Il est si près. Il est même plus près, car « Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde. » N’est-ce pas vrai ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Il est plus près qu’Il ne l’était vis-à-vis d’eux, car eux, il leur fallait traverser le–le pont du bateau et aller tout au fond pour Le réveiller. Vous, vous n’avez pas à faire cela. Oh ! la la ! Ouf ! Oh ! Je me sens religieux maintenant même. Je commence à me sentir vraiment bien, maintenant même. Oh !

191 Hébreux 13. 8 dit : « Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Et Il a encore dit : « Voici, Je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin, le temps du soir. » J’ai prêché là-dessus hier soir. « Au temps du soir, Je serai là. » Encore : « Je ne vous abandonnerai pas. » Peu importe ce qui arrive à la barque, combien il tangue et ballotte, ou n’importe quoi d’autre, Je serai avec vous, Je serai avec vous jusqu’au temps de la fin, Je ne vous abandonnerai point. »
Vous direz : « Comment est-ce possible, Frère Branham ? »

192 Saint Jean… 12, chapitre 14, verset 12, dit qu’Il va prouver cela. Voyez ? « Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. »

193 Vous direz : « Je souhaiterais que vous me prouviez et me démontriez qu’Il est tel qu’Il a toujours été. Si vous pouvez me le prouver ! »

194 Eh bien, voici le défi qu’Il a lancé, la preuve : « Celui qui croit en Moi fera les oeuvres que Je fais. » En d’autres termes, vous serez un Messie amateur, un Messiette. C’est tout à fait vrai. Car si Sa Vie est en vous, ce n’est plus vous ; c’est Lui. Voyez ? Et il vous est ordonné de continuer Son oeuvre. « Celui qui croit en Moi, Je prouverai que Je suis le Messie. Et celui qui croit en Moi fera la même chose. » Eh bien, en cela, Il ne peut pas mentir et être ce que vous pensez qu’Il est, et ce que je sais qu’Il est, et que vous aussi, vous croyez qu’Il est. Voyez ?

195 Savez-vous ce qu’Il est en train de faire ? Il est ici ce soir, attendant d’être manifesté. C’est vrai. Savez-vous ce qu’il nous faut faire ? Il nous faut faire comme eux. Réveiller Jésus qui est en nous. Réveiller Jésus dans nos propres vies : le Dieu qui a enflammé nos âmes par le Saint-Esprit ; le Dieu qui a pris mes yeux aveugles et les a ouverts ; le Dieu qui m’a relevé du lit des morts. Le Dieu que j’ai vu ressusciter les morts après qu’ils furent morts pendant des heures, déclarés morts par le médecin, attestation écrite à l’appui, c’est arrivé à cinq reprises. Réveiller ce Dieu. Le Réveiller. Nous devions invoquer Jésus et Le réveiller, L’appeler sur la scène. Nous avons besoin de Lui. Oui, oui.

196 Donc, L’appeler pour confirmer Sa Parole. Si nous Le réveillons, gardons-Le éveillé en nous jusqu’à ce que nos doutes et nos agitations soient passés. Alors, invoquez-Le et dites : « Seigneur, Tu as promis qu’encore un peu de temps et le monde ne Te verra plus. Et je ne suis pas du monde. Tu as prié que je ne sois pas du monde, et je ne suis pas du monde. Je suis à Toi. Et Tu as dit : ‘Le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez.’ Oui, oui. ‘Vous Me verrez.’ Seigneur, je voudrais Te déranger. Je voudrais Te réveiller dans mon propre corps endormi, mon propre coeur endormi, à ces réalités. » Réveillez Jésus. « Viens à Moi. » Alors, les doutes et la peur s’évanouiront.

197 Toutes les agitations et les inquiétudes au sujet de : « Oh ! le médecin a dit ceci et cela, il va faire telle chose. Et je–je–je ne sais pas ce que je vais faire. Je–je… » Tout cela va s’arrêter, parce qu’Il est Dieu. Il parle, et tout le reste se tient tranquille.

198 Eh bien, nous pouvons continuer à parler, j’ai encore des notes sur beaucoup de pages. Mais permettez-moi de vous poser une question maintenant, parce qu’il est presque environ 20h50’. Naturellement, ça fait deux heures plus tôt qu’hier soir, vous savez, aussi. Mais, regardez, permettez-moi de dire ceci, pour arrêter maintenant même, et je pourrais terminer ceci à un autre moment.

199 Dieu peut-Il faillir ? [L’assemblée dit : « Non. » – N.D.E.] Sa Parole non plus ne peut faillir, parce qu’Il est Sa Parole. « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et a habité parmi nous. » « Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez. Car Je… » Et « Je » est un pronom personnel. « Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin de la consommation, la fin de temps. Au temps de la fin, Je serai là. » La Lumière brillera au temps de la fin.

200 « Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. » C’est ce qui est écrit dans Hébreux 13.8. Croyez-vous cela ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] C’est ce qui est écrit dans Hébreux 13.8. Si c’est ce qui est donc écrit, que cela s’accomplisse maintenant. Amen ! N’ayez pas peur de mettre Sa Parole à l’épreuve. Elle est là. Lui est ici. Tout ce qu’il vous faut faire, c’est Le réveiller. Vous…

201 Nous aspirons trop d’histoires spirituelles non filtrées, trop au point que ça nous amène à chercher à nous rappeler autre chose, et à finir par : « Je suis fatigué. Je–je suis trop épuisé. J’ai vu ceci se faire. » Pourquoi montrez-vous une épave ? « Je vais vous amener à… » Il a dit : « Je connais quelqu’un qui faisait confiance à Dieu et qui est mort. »

202 J’en connais des millions au même moment qui sont morts pendant qu’ils suivaient des soins médicaux. Voyez ? Assurément. Assurément. Si le médecin a fait tout son possible, il ne vous reste qu’à faire confiance à Dieu, et si vous croyez cela.

203 Eh bien, vous ne pouvez pas tout simplement dire : « Eh bien, je–je vais Lui faire confiance. » Ce n’est pas ça. Il s’agit de faire réellement confiance. Ce n’est pas ça.

204 Vous devez Le déranger jusqu’à ce que vous Le voyiez venir. Nos prières ne peuvent-elles pas Le déranger ? Nos prières ne peuvent-elles pas Le réveiller de Son repos, L’amener sur la scène ? Oui, elles l’ont fait. Ils ont crié : « Seigneur, nous périssons. » Et Il est entré en scène. Eh bien, nous pouvons faire la même chose. Croyez-vous cela, maintenant? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]
Alors, prions.

205 Ô Seigneur, cette simple petite pensée : « Réveiller Jésus. » Seigneur, ça fait longtemps que nous n’avons–nous n’avons pas utilisé Son Esprit et Sa foi au point que cela s’endorme pour ainsi dire dans nos âmes. Accorde-nous de nous secouer ce soir. Accorde-nous de nous réveiller et de nous débarrasser du sommeil afin que nous puissions voir qu’Il est toujours dans la barque.

206 Ô Seigneur, aujourd’hui, j’ai essayé de secouer mon âme. Je savais que j’avais à me tenir devant un petit groupe de gens ici ce soir. Et je me secoue. Seigneur Jésus, réveille-Toi, viens. Je leur ai présenté Ta Parole. Elle est mise à l’épreuve. Prouve à cet auditoire ce soir, Seigneur, que Tu es toujours vivant, que Tu es toujours ici avec nous. Tes Paroles sont vraies : « Je suis toujours avec vous, même jusqu’à la fin du monde. » Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Tu es toujours dans le bateau, Seigneur, le vieux bateau de Sion qui nous fait traverser les mers agitées. Et quand le diable envoie une tempête sur nous, qu’est-ce que cela change tant qu’Il est dans le bateau ? Sois avec nous maintenant, Père. Et puisses-Tu entrer directement dans les coeurs des gens ce soir.

207 Puisses-Tu entrer dans mon coeur, mon âme, mon corps, mon esprit, mes yeux, mes lèvres. Et puisse ma consécration confirmer Ta Parole que Tu as promise dans Saint Jean 14.12 : « Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. »

208 Que cela ait donc lieu. Va dans l’auditoire afin qu’ils puissent le croire ainsi : « Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez. » Et ce soir, pendant que nous sommes assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ, manifeste-Toi, Seigneur. C’est Ta promesse. Tes Paroles ne failliront point. Et alors, naturellement, que ce soit donc sur base de la foi des gens afin qu’ils puissent donc Te recevoir. C’est tout ce que nous pouvons faire.

209 Je Te prie, ô Dieu, d’en tirer la gloire pour Toi-même. Je Te confie cet auditoire, ce Message, la Semence qui a été semée. Que le Saint-Esprit vienne, qu’Il fasse briller Sa Lumière. Comme je le disais au sujet de la semence de cette petite femme samaritaine, qu’il arrive, aussitôt que la Lumière brillera, que les croyants voient vite cela. Que l’homme, la femme, le jeune homme ou la jeune fille malades voient cela. Et ceux qui le désirent au profit des autres, qu’ils voient vite Cela et qu’ils soient guéris. Au Nom de Jésus. Amen.
Croyez-vous maintenant ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]

210 Eh bien, je crois… Les cartes de prière ? Eh bien, je vais essayer. Je ne peux faire venir qu’un petit nombre à la fois, commençons donc à les faire venir, quelques personnes, pour prier pour elles. Et maintenant, je sais que c’est bien bondé.

211 Restez simplement tranquilles, frères ministres. Je vais reculer juste ici, contre ceci. Prenez place ici. Très bien.

212 Maintenant, ne doutez pas. Croyez. Allez-vous le faire ? « Tout est possible à celui qui croit. » C’est vrai. « Tout est possible à celui qui croit. » Très bien. Eh bien, il vous faut croire. Vous devez croire que la Parole de Dieu est la Vérité. Très bien. Maintenant, que nous…

213 Combien pouvons-nous en mettre debout à la fois ? Environ huit, dix ? Très bien.

214 Commençons par le numéro 1, et prenons du numéro 1 jusqu’à environ 10 ou 15, de la série A. A, numéro 1 à 15. Qui a la carte de prière A numéro 1 ?

215 Je vois qu’il y a ici ce soir et les Espagnols et les Indiens. Il se peut qu’ils ne puissent pas comprendre cela.

216 Très bien. Voici venir une femme, juste par ici. Numéro 2 ? Juste ici. Oui, oui. Juste ici. Oui. Juste ici. Très bien. Numéro 2. 3, numéro 3 ? Très bien, juste par ici, s’il vous plaît. Numéro 4, 5, 6, 7, 8 ? Que quelqu’un enlève le petit garçon là pour qu’on ne le piétine pas. 8, 9, 10. Eh bien, environ 10. Très bien. Nous voyons comment, on dirait, nous… Oh ! Nous sommes… Je ne sais pas. Peut-être–peut-être que j’en ai trop maintenant. Très bien. 10. C’est bien. Qu’ils s’alignent comme cela. C’est bien.

217 Combien croient maintenant de tout leur coeur ? [L’assemblée répond : « Amen. » – N.D.E.] Eh bien, nous n’en avons pas beaucoup ici, 10. 11, 12, 13, 14, 15. Très bien.

218 Maintenant, tout le monde, je veux que vous soyez vraiment respectueux. Eh bien, j’ai fait juste une heure ou un peu plus, à parler. Ce que je dis ne représente rien à moins que Dieu ne l’appuie. Et même s’Il ne l’appuie pas, voyez, la Parole reste toujours vraie, oui, qu’Il le fasse ou pas. Il l’a fait auparavant, voyez, et Il ne m’a jamais fait défaut. Et je–je sais qu’Il ne fera pas défaut parce qu’Il a dit qu’Il ne le fera pas. Voyez ? Et je–je sais qu’Il le fera. Mais il nous faut croire cela. Nous devons croire cela de tout notre coeur. Eh bien, à ce que je sache…

219 J’aimerais que vous, qui êtes dans la ligne de prière, vous regardiez dans cette direction-ci, tous ceux qui seront dans la ligne de prière. Je–je pense que chacun d’eux m’est inconnu. Je pense qu’eux tous sont inconnus. Si c’est bien votre cas, levez simplement la main. Si je ne vous connais pas tous, levez simplement la main comme ceci. Très bien. Voyez ? Eh bien, je ne connais pas ces gens. Ils… Il n’y en a pas beaucoup ici…

220 J’en connais quelques-uns ici dans ces lignes ici. Je n’en suis pas sûr. Je pense que c’est la femme de frère Noel. Je n’en suis pas sûr. Ça fait longtemps.

221 Et alors, comment va frère Johnson ? Je pense qu’il a eu une attaque, n’est-ce pas ? Oh ! la la ! Que dites-vous ? Est-ce vrai ? Que son coeur soit béni. Ces gens étaient comme un père et une mère pour moi quand je venais de commencer avec les réunions, ce petit groupe de gens de l’Arkansas. Je n’oublierai jamais l’Arkansas. Non, non. Jamais je n’ai été dans une réunion quelque part sans qu’il y ait beaucoup d’Arkies. Combien y en a-t-il ici ce soir qui viennent de l’Arkansas ? Levez la main. Eh bien, les autres viennent de l’Oklahoma, vous pouvez donc en être sûrs. Voyez ? C’est comme ça. Mais nous allons tous au Ciel, voyez : « Assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ. »

222 Soeur Jones et frère Jones, ça fait des années que je suis allé dans votre église, je pense que c’était à Moark. N’est-ce pas ? Et vous vous rappelez que quand je suis allé là, l’unique moyen, à ma connaissance, par lequel je découvrais les maladies de gens, c’était par… Vous les conduisiez sur l’estrade et ils plaçaient leur main sur la mienne, et alors, j’attendais là juste une minute. Et alors, je n’essayais pas d’utiliser ma propre voix, Cela parlait, disant : « Tumeur, cataracte. » Et je vous disais qu’il viendra un temps où, Il me l’a dit là, si je suis sincère, alors je connaîtrai le secret même de leur coeur. Voyez ? C’est vrai. Combien s’en souviennent, quand je suis venu pour la première fois à Phoenix ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Très bien. Cela est-il arrivé ? [« Amen. »] Voyez ?

223 Eh bien, rappelez-vous. Suivez cette bande. Nous montons droit un peu plus haut maintenant. Voyez ? Cela monte un peu plus haut. Souvenez-vous-en. Souvenez-vous-en bien–bien. Voyez ?

224 Eh bien, nous voudrions voir Jésus. Je veux Le voir. Eh bien, nous savons que Son corps ne reviendra pas sur la terre jusqu’à ce qu’Il vienne chercher Son Eglise, car cela doit demeurer Là comme sacrifice. Est-ce vrai ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Cela doit être sur l’autel. Il est assis sur le Trône de Dieu ce soir. Et il doit rester là car par Ses meurtrissures, Il est le Sacrifice, et le Sacrifice est sur l’autel. Voyez ? Et Son Corps ne peut pas venir. Mais Sa Vie, qui était en Christ, est retournée, Elle est revenue sur l’église sous forme du Saint-Esprit. Et le Saint-Esprit…

225 Ce n’était pas ce corps-là qui accomplissait cela, après tout. Il a dit : « Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres. C’est Mon Père qui demeure en Moi qui fait les oeuvres. » Eh bien, nous croyons cela, n’est-ce pas ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]

226 Eh bien, si je vous disais que l’esprit d’un gangster est en moi, vous vous attendriez à ce que j’aie de gros fusils et que je sois méchant. Voyez ? Si c’était l’esprit d’un artiste, vous vous attendriez à ce que je prenne un pinceau et que je peigne.

227 Si je vous dis que c’est l’Esprit de Christ, alors, Il accomplira les oeuvres de Christ. « Celui qui croit en Moi… les oeuvres que Je fais. » C’est juste comme mettre la vie d’une plante grimpante dans une autre plante, cela portera les–les fruits de la vie qui est dans la plante grimpante.

228 Eh bien, je ne sais pas s’Il va faire ceci. Je ne peux le dire. Mais si moi, par un don… Eh bien, c’est inutile d’essayer d’expliquer cela. Je ne le peux pas.

229 Mais beaucoup parmi vous savent que j’ai fait le tour du monde, je l’ai fait plusieurs fois. Devant un demi-million de gens, en une fois, cinq cent mille personnes, voyez, il y avait diverses langues, je pouvais noter ce que j’avais dit en attendant que cela soit interprété par quinze personnes, puis revenir à ce que je disais. Et voir cet Esprit de Dieu aller droit là et faire exactement la même chose qu’Il fait ici. Voyez ? Voyez ? Toutes les nations, les langues, sans excuse.

230 Eh bien, souvenez-vous, cela n’ira pas chez tout le monde. Quand Jésus était sur terre, pas plus d’un tiers de la race juive n’avait jamais su qu’Il était sur terre. Vous le savez. Il est venu chez les Elus, et ils ont reçu Cela. C’est vrai. C’est là que l’Esprit va ce soir, chez les Elus.

231 Eh bien, si vous avez pu croire que Jésus est mort pour vos péchés, et que vous L’avez accepté comme votre Sauveur, qu’Il a pris votre vie et l’a remodelée, alors, souvenez-vous : « C’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. » Voyez ? Eh bien, vous l’avez été. Vous êtes déjà guéris. Croyez-vous cela ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Eh bien, la Bible dit : « Nous avons été. » Est-ce vrai ? [« Amen. »] Non pas « serons ». Nous, déjà. Nous l’avons déjà été.

232 La question du péché a été entièrement réglée quand Jésus mourut au Calvaire. Croyez-vous cela, frère ? [Les frères disent : « Amen. » – N.D.E.] Voyez ? « Il est l’Agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde. » Eh bien, cela ne vous fera aucun bien à moins d’accepter votre pardon. Voyez, vous devez accepter cela. Et vous devez mêmement accepter votre guérison.

233 Si un homme vient et dit : « Je vais vous guérir », eh bien, il est dans l’erreur. C’est contraire aux Ecritures. On peut vous montrer ici où Jésus l’a déjà fait pour vous, et cela repose sur votre foi. Dieu ne peut jamais faire quelque chose… Dieu ne peut pas travailler à l’encontre de votre foi. Vous devez croire cela.

234 Eh bien, Jésus, quand Il est venu vers les Siens, écoutez ce que la Bible dit : « Il ne pouvait pas faire beaucoup de miracles à cause de leur incrédulité », après qu’Il s’était manifesté comme le Messie. Eh bien, Il l’a prouvé en ce jour-là, qu’Il était le Messie.

235 Que Dieu m’aide à humilier mon esprit au point que je pourrai prouver qu’Il est toujours le Messie ; que le même Dieu qui était sur terre peut prendre le–le corps d’un mortel, le soumettre à Lui, et oeuvrer au travers de cela exactement comme Il avait promis de le faire. Cela ne convaincrait-il pas ? Cela ne montrerait-il pas qu’Il–qu’Il ne dort pas ? Il est éveillé. Il est disposé à ce que vous L’appeliez en action.

236 Eh bien, qu’en est-il de moi ici debout ce soir ? Qu’ai-je à faire ? Il y a cent cinquante personnes ici, je pense, quelque chose comme cela. Que ça soit cent cinquante, que ça soit une–une personne, que ça soit cinq cents personnes, cela ne change rien. C’est pareil. Voyez ?

237 Maintenant, si quelqu’un pense que c’est faux, que ce n’est pas vrai, je vous demande de monter prendre ma place et de faire la même chose. Oui, oui. Oui. Voyez ? Vous êtes mieux avisé pour oser ça. Oui, oui. Voyez ? Remarquez. Mais maintenant, Dieu doit prouver s’Il est ici ou pas. Eh bien, si le Seigneur Dieu…

238 Est-ce l’un des… Donnez à ce garçon-là votre carte. Venez ici. Voici une dame, de loin plus jeune que moi. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. C’est vrai. Nous ne nous connaissons pas.

239 Eh bien, quand vous rentrerez chez vous, lisez Saint Jean, chapitre 4, et vous verrez si ceci n’est même pas un petit endroit circulaire… Quelqu’un a-t-il déjà été en Palestine, là à–à Sychar ? Ce petit puits est toujours là, là où cette femme se trouvait ; un petit endroit circulaire, recouvert des plantes grimpantes. Et Jésus était assis, dos contre mur, quand cette femme s’approchait. Il était devant un petit panorama quand la femme s’avança depuis la rue, là; elle venait puiser de l’eau au bout de la rue. Alors, elle s’est avancée là. Et alors, Il a engagé une conversation avec elle jusqu’à ce qu’Il a découvert son problème, puis Il le lui a révélé.

240 Et quand Il l’a fait, elle a rapidement dit : « Seigneur, Tu dois être prophète (Voyez), parce que Tu… » Il devait avoir… Si donc Il était prophète, c’est que la Parole de Dieu venait à Lui. Mais elle a dit : « Nous savons que nous attendons le Messie. Et quand Il viendra, c’est ce qu’Il fera. » Combien savent que ce sont les Ecritures ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Ce sont les Ecritures.

241 Eh bien, voici ma main sur la Bible. Moi, à ce que je sache, je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Et elle dit que nous sommes de parfaits inconnus l’un à l’autre. Eh bien, la Parole doit être soit vraie, soit fausse. Exact. C’est soit vrai, soit faux. Nous ne pouvons pas en faire autre chose.

242 Maintenant, madame, juste pour vous parler un instant, comme notre Seigneur l’a fait avec la femme… S’Il peut me révéler…

243 Eh bien, si je vous disais : « Oh ! bien sûr, vous avez eu une carte de prière. Venez ici. Vous êtes malade. » Voyez ? Eh bien, si je disais ensuite : « Gloire à Dieu », et que je vous imposais les mains. « Gloire à Dieu, vous allez vous rétablir », ce serait très bien, il n’y a rien de mal là. C’est exactement ce qu’il faut faire. Voyez ? C’est vrai.

244 La Bible dit : « Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » C’est vrai.

245 Mais maintenant, vous pouvez vous gratter la tête et vous poser des questions : « M’a-t-il dit la vérité ? Vais-je me rétablir ? »

246 Eh bien, qu’en sera-t-il si–si Quelque Chose qui connaît votre vie, ce que vous avez été, ce que vous avez fait et... ou ce qui cloche en vous, comme Il avait révélé à cette femme son problème ? Et s’Il peut vous révéler ces choses, eh bien, assurément s’Il connaît ce qui a été, Il connaît ce qui sera. Est-ce vrai ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Assurément.

247 Eh bien, si cette femme est malade… Peut-être qu’elle est là pour quelqu’un d’autre. Peut-être qu’il s’agit de la maladie. Peut-être que ce sont des problèmes financiers. Peut-être que ce sont des problèmes au foyer. Je ne sais pas. Je ne peux vous le dire. C’est vrai. Voyez ? Mais quoi que ce soit, s’Il le disait, elle saurait si c’est vrai ou pas. Elle le saurait. Vous saurez si c’est ça ou pas. Et alors, si c’est faux, donc, ce n’était pas l’Esprit de Dieu, parce que le prophète l’a dit, et sa prophétie s’est avérée fausse. Mais si c’est vrai, alors c’était l’Esprit de Dieu. Voyez ?

248 Eh bien, cela ne nous réconforterait-il pas et ne nous ferait-il pas éprouver un sentiment merveilleux, si nous savons que Jésus était ici avec nous ce soir ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Cela vous donnerait-il la foi ? [« Amen. »] Voyez ? Certainement.

249 Eh bien, pour ce qui est de guérir cette femme, je ne le peux pas. Je–je ne le peux pas. C’est déjà fait. Voyez ? Voyez ? C’est fait, et maintenant, cela repose sur sa foi, de croire cela. Eh bien, s’Il se tenait Lui-même ici, portant ce costume, Il ne pourrait pas la guérir. Il dirait qu’Il l’a déjà fait. « Si tu peux croire, voyez, J’ai déjà fait cela, c’est fini. » Voyez ? C’est ça. Voyez ?

250 Mais maintenant, tout ce qu’Il pourrait faire, Il pourrait prouver qu’Il est toujours le Messie, ce Dieu Prophète qui devait venir. Et Il a promis que Ses disciples feraient la même chose, vous y êtes donc. Voyez ? Ça revient droit aux Ecritures. Et ce sont les Ecritures, frères. Je sais que c’est tout contraire à la croyance moderne, mais c’est la croyance de Dieu. C’est la voie de Dieu, car Il l’a dit. Voici une Ecriture que vous lirez pour vous-même. Ils essayent simplement de la tordre et de Lui faire dire autre chose.

251 Eh bien, j’aimerais vous poser une question. Cette femme est une croyante. J’aimerais…

252 Quelque chose se produira. Souvenez-vous-en bien, quelque chose se produira. Eh bien, si ça se produit, combien vont alors accepter et dire : « Cela règle la question pour moi » ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Allez-vous croire cela, madame ? Croyez-vous cela, là-bas ? Vous autres, croyez-vous cela ? [« Amen. »] Que Dieu soit juge.

253 Eh bien, à peine ai-je dit cela que… la raison pour laquelle j’ai dit ça. Combien ont déjà vu la Lumière, la photo de cette Lumière, cet Ange du Seigneur ? George J. Lacy, vous le connaissez. Voyez ? Très bien. Cette Lumière est juste entre elle et moi, maintenant. Et Elle est la bienvenue. Je sais qu’elle est une croyante. C’est vrai.

254 Voici ce pour quoi vous voulez que je prie pour vous : des plaies, des plaies sur votre corps. Autre chose, ce sont juste des complications. Vous avez tant de choses. Mais, attendez une minute. Je suis en contact avec votre esprit. Vous êtes sur le point de subir une intervention chirurgicale. C’est vrai. Sur le point de subir une intervention chirurgicale. Eh bien, Il a dit que c’était sur la vésicule biliaire. C’est vrai. Eh bien, qu’en pensez-vous ? Que Dieu vous bénisse. Croyez tout simplement. C’est ça. Amen.

255 N’est-Il pas le Christ ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Eh bien, posez la question à la femme si vous le voulez. C’est… Voyez ?

256 Eh bien, c’est Lui hier, aujourd’hui et éternellement. Voyez ? Votre foi L’a réveillé maintenant. Voyez ? Il est sur la scène pour faire des choses, afin de vous venir en aide, vous bénir et vous donner ces choses que vous désirez ardemment avoir.

257 Eh bien, cette seule vision m’a affaibli plus que ce sermon d’une heure et demie. Voyez ? Vous sentez que vous tremblez, ça vous emporte. Voyez ? Pour être franc, c’est la première fois que je tiens un service…

258 L’autre soir, le Saint-Esprit s’est déversé là, dans une église, je le sais, et Il a appelé trois ou quatre personnes. Et alors, elles n’ont pas vite répondu, et puis, Il a été attristé. Il s’en est directement allé, voyez, et m’a laissé juste là. Il vous–vous faut il vous faut Lui répondre. Oui, oui. Souvenez-vous-en bien, Il ne vous est pas obligé ; c’est vous qui Lui êtes obligé.

259 Nous sommes inconnus l’un à l’autre. [La soeur dit : « Je vous ai vu une fois. » – N.D.E.] Vous m’avez vu une fois. [« Oui. »] Ici en Arizona ? [Oui. J’étais…?... dans la ligne de prière. »] Dans une ligne de prière. C’est depuis quand ? [« C’était soit en 54 soit en 55. »] Oui. Ça fait longtemps. Oui, oui. [« Je ne suis pas sûre du temps. »]

260 Je me rappelle la ligne de prière la plus longue que j’aie jamais tenue de ma vie, c’était là à Phoenix, un après-midi. Là…

261 J’oublie le nom de cette église. Il y avait un… C’était un petit bonhomme qui avait cette église. J’oublie ce qu’il… Une très grande église là à Phoenix. Etait-ce Fuller ? Non. Je connais frère Fuller. Que dites-vous ? Je me souviens de Garcia. Mais ça, c’est une très grande église là où Docteur Sauton était pasteur, ou quelque chose comme ça. Quel était le nom de cette grande église là-bas ? C’est l’une des plus grandes églises du Plein Evangile de la contrée. [Quelqu’un dit : « Faulkner. » – N.D.E.] Faulkner, c’est ça. C’est ça, Faulkner, là dans son église.

262 Vous souvenez-vous de cette ligne-là ? J’ai commencé cet après-midi-là, j’ai prié jusqu’à minuit ce soir-là, je pense. Juste con… Juste imposer les mains aux gens, je m’étais tellement affaibli que je n’arrivais même plus à bouger, à peine. Voyez ?

263 Ça, c’était avant qu’il y ait des visions. Il y en avait, mais rarement, de temps à autre. Et puis, des fois, quand j’étais seul, Il m’annonçait quelque chose qui se produirait. Je venais vous dire tout ce qu’Il me disait, que quelque chose se produirait. Cela se passait toujours. N’est-ce pas ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Oui. Eh bien, qu’est-ce que Cela dit ? « Croyez cela. » Dieu confirme cela. Voyez ?

264 Eh bien, la dame, comme ça fait de nombreuses années, je pense que j’ai prié pour deux millions et demi de gens à travers le monde, ou peut-être, depuis lors, vous savez, peut-être plus que cela. Mais je–je ne saurais pas qui, à votre sujet, ni rien à ce sujet. Mais à présent, la Bible dit qu’une fois…

265 Et à propos, cette ombre qui était sur cette femme l’a quittée. C’est vrai. Oui, oui. Je le sais. Vous sentez un changement, n’est-ce pas ? Si seulement vous gardez cette foi, c’est tout ce qu’il faut. Maintenant, comblez cela de joie et de foi. En effet, il reviendra avec cinq autres ou sept autres, pires. Voyez ? Restez simplement là et dites : « Je crois. C’est réglé. »

266 Eh bien, étant donné que nous sommes inconnus l’un à l’autre, je le dirais juste pour avoir deux témoins. La Bible dit : « Sur la déposition de deux ou trois », je crois. N’est-ce pas ? « Sur la déposition de deux ou trois témoins, trois témoins, tout sera établi. »

267 J’ai l’intention de consacrer le reste de mon temps ici, si possible, à la ligne de guérison. Je ne veux donc pas en prendre trop pour le discernement. C’est simplement pour que vous le sachiez.

268 A propos, cette dame assise là a des malaises. Vous ne les aurez plus si seulement vous croyez cela. Dites-moi ce qu’elle a touché. Je–j’ai vu cette Lumière tournoyer ici, puis aller directement là dans ce coin. J’ai vu en vision cette femme se tenir la tête, comme ceci, faisant des va-et-vient, comme ça. Oui, oui. Voyez ? Qu’a-t-elle fait ? Elle a touché Son vêtement. Non pas… La Bible dit : « Il est le Souverain Sacrificateur (Est-ce vrai ?) qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. » C’est ce qu’elle a fait. Voyez-vous comment elle a vite réagi ? Ça s’est passé là. Voyez ? Croyez simplement. Eh bien, cela devrait tout régler. Ça confirme que c’est la vérité.

269 Eh bien, vous voyez pourquoi je ne me précipite pas dans la ligne. J’essaye simplement de me retenir, au possible, car j’aimerais avoir une autre ligne demain soir. Mais c’est juste pour que vous voyiez qu’Il est entré en scène. C’est Lui. Ça ne peut pas être moi. Je n’ai jamais vu cette femme de ma vie ; je ne sais rien à son sujet. Voyez ?

270 C’est tellement simple que les gens très intelligents s’achoppent aujourd’hui devant une telle simplicité. Voyez ? C’est pourquoi ils manquent cela. Ils cherchent à comprendre cela. On ne peut pas le comprendre. Croyez-le. Croyez-le, c’est tout.

271 Cette jeune Indienne a des maux de tête, si seulement elle croit cela, ça va la quitter aussi. Je ne l’ai jamais vue. Elle n’est même pas… Voyez ? Voyez ?

272 Touchez-Le. Touchez-Le simplement une fois et voyez si ce n’est pas vrai. Voyez ?

273 Ces gens sont inconnus. Demandez à la dame. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. C’est vrai, devant Dieu, à ce que je sache donc. Voyez ? Voyez ? Il est sur la scène, si vous pouvez croire en Lui. Mais ne vous achoppez donc pas à cela ; croyez-le. Ça vous fera quelque chose si vous le croyez. Il vous guérira. Vous pouvez être guéris vous tous si seulement vous croyez cela.

274 Vous voyez, voici une femme debout sur l’estrade. Et le Saint-Esprit se déplace là dans l’assistance, guérissant les gens, Il prouve qu’Il est partout, omniprésent, omniscient et omnipotent. Amen ! Gloire ! Réveillez Jésus en vous. Laissez-Le entrer en vous sous la forme du Saint-Esprit, qu’Il agisse en vous.

275 Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît. Le Seigneur Dieu peut me révéler ce pour quoi vous êtes ici. Vous me croiriez, n’est-ce pas ? Très bien. Regardez-moi. Je–je veux dire par là, comme Pierre et Jacques, vous savez, ont dit : « Regardez-nous. » Détournez-vous juste de...

276 Ça vient simplement de partout. Je pense qu’il y aura un vrai service de guérison dans quelques minutes. Voyez ? Voyez ? Voyez ?

277 Une chose, vos yeux vous dérangent. Vous devenez pratiquement aveugle. Les nerfs optiques se meurent.

278 C’est la première fois, j’ai saisi cela depuis longtemps. Quelqu’un a dit : « Il a deviné cela. » Je ne l’ai pas deviné. Je ne l’ai pas deviné. Eh bien, souvenez-vous, je capte vos pensées ici par le Saint-Esprit.

279 Voyons si j’ai deviné cela. Regardez ici, soeur. Vous êtes une croyante. Vous avez mal à la poitrine ; le cancer, le cancer de peau à la nuque. Eh bien, croyez-vous que Dieu ôtera cela ? [La soeur dit : « Oui, oui. » – N.D.E.] Oui, oui. Voulez-vous retourner à New Mexico, d’où vous venez, croyant que Dieu vous a guérie ? Très bien, madame Watkins, rentrez… ?... là-bas. Soyez guérie au Nom du Seigneur Jésus-Christ.
Tu peux croire. Ayez simplement foi.

280 Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Vous m’avez vu dans les réunions. Mais, je veux dire, quant à vous connaître, dire vraiment que je vous connais, non.

281 Eh bien, juste un petit instant. J’ai de loin dépassé mon temps là, mais vous savez certainement qu’Il est ici. Cette femme est de nouveau ici debout, alors nous allons nous allons prier pour eux. Je pense qu’il y en a eu au moins trois. N’est-ce pas ? Oh ! oui ! C’est partout dans l’auditoire, alors.

282 Je n’en ai aucune idée. Vous me semblez être en bonne santé et forte. Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît. Mais, il y a quelque chose dans votre coeur. C’est un désir que vous avez pour quelque chose. Et c’est pour quelqu’un d’autre. Je vois un jeune homme, non, deux jeunes hommes. Ce sont vos fils. Non, l’un est votre fils, et l’autre, votre beau-fils. Et tous les deux ont la gastrite. Et tous les deux sont recouverts d’une ombre noire. Tous les deux sont des pécheurs. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous maintenant ?
Combien croiront avec elle ? Prions.

283 Seigneur Jésus, nous Te croyons maintenant pour cette requête en faveur de notre soeur. Je la bénis en Ton Nom. Puisse-t-elle aller recevoir ce qu’elle a demandé, pour Ta gloire. Amen.

284 Croyez-vous tous maintenant de tout votre coeur ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]

285 Eh bien, venez par ici. Croyez-vous qu’Il peut me dire ce qui cloche ? Ne serait-ce pas bien que cet asthme qui date de longtemps disparaisse et que vous puissiez rentrer chez vous en bonne santé ? Bien, si vous le croyez, ça se fera.

286 Parlez-vous anglais ? La maladie du coeur, la gastrite. Croyez au Seigneur Jésus et cela vous quittera. Amen. Très bien.

287 Venez, madame. Parlez-vous anglais ? Il vous est difficile de reprendre le souffle ; l’asthme. Allez en croyant. Respirez ! Croyez cela, au Nom du Seigneur Jésus.

288 Venez. Parlez-vous anglais ? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Votre maladie est dans le dos. Croyez ! Cela ne vous dérangera plus.

289 Croyez-vous que je suis Son serviteur ? C’est l’arthrite qui vous dérange. Je vous vois essayer de quitter le lit. C’est à peine que vous y arrivez le matin. Allez en croyant et vous n’aurez plus à faire cela, et vous serez rétabli.

290 Croyez-vous ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] De tout votre coeur ? [« Amen. »] Réveillez Jésus en vous, maintenant. Christ est ici. Il est sur la scène. Croyez-vous tous cela ? [« Amen. »]

291 Maintenant, imposez-vous les mains. Imposez-vous simplement les mains, maintenant.

292 Je vais citer une Ecriture. Jésus a dit : « Allez par tout le monde, » à Tempe, en Arizona, « et prêchez la Bonne Nouvelle. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en Mon Nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ; ils saisiront des serpents ou s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. »

293 Eh bien, avec Jésus qui est présent maintenant, si vous croyez qu’Il est présent, dites : « Amen. » [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Le même Esprit qui était en Jésus-Christ est ici dans cette église ce soir.

294 Maintenant, priez pour celui à qui vous avez imposé les mains. Priez tout simplement et dites : « Seigneur Dieu, guéris cette personne. » On prie pour vous.

295 Seigneur Jésus, je Te prie, ô Dieu, d’envoyer Ta puissance et Ton Esprit sur cet auditoire, sur cette petite femme ici, Seigneur, avec ce masque sur son visage. Je Te prie de les guérir, Seigneur. Que le démon et les tempêtes se calment, et que la puissance de Dieu s’empare de cet auditoire et chasse chaque puissance démoniaque et l’incrédulité.

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