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Les Conférences
1 ... temps dâĂ©couter vos tĂ©moignages, et rentrer aprĂšs avoir Ă©tĂ© dans les champs missionnaires, et entendre quelquâun tĂ©moigner. Je suis certainement heureux de voir lĂ frĂšre Jeffries (Je lâappelle Creechy.). Je ne savais pas quâil Ă©tait prĂ©sent Ă la rĂ©union. Et je sais que cela reprĂ©sente beaucoup pour vous aussi, revenir du champ de bataille, oĂč les lumiĂšres sont faibles, et revenir dans cette⊠sous cette belle atmosphĂšre des chrĂ©tiens, et les gens sont tous ensemble et libres dans lâEsprit. Je â jâaime ceci, lĂ oĂč les gens sont libres, se sentent libres. Et cela fait quelque chose. Nous nâessayons pas dâavoir un comportement guindĂ©. Ils sont simplement â simplement... On avait lâhabitude de dire : « DĂ©barrassez-vous de votre col et sentez-vous chez vous. » Jâaime cela. Je suis certain que nous tous, nous le faisons, nâest-ce pas ?
2 Je... Je rĂ©flĂ©chissais, quand jâai regardĂ© ma fille Rebecca par ici; je me souviens dâune fois oĂč jâĂ©tais en voyage pour une sĂ©rie de rĂ©unions. Et elle Ă©tait petite Ă lâĂ©poque, sa... Et elle a une petite soeur de quatre ans plus jeune. Et donc Becky a des yeux bleus et elle est plutĂŽt grande, et Sara a des yeux bruns et elle Ă©tait plutĂŽt petite de taille. Elles Ă©taient donc toutes des filles Ă papa. Et jâaime vraiment les enfants, et le Seigneur mâa donnĂ© de bons enfants.
Et ainsi, elles attendaient pour me voir. A mon retour, elles voulaient jouer un peu avec moi. Alors, le marchand de sable est passĂ© par lĂ , et elles ont dĂ» aller dormir vers minuit ou une heure. Et ce nâest que vers deux ou trois heures du matin que lâavion a atterri. Et je suis entrĂ© pour me coucher, mais je nâarrivais pas Ă dormir. Et je suis allĂ© au salon, je me suis assis dans le fauteuil. Et câest en quelque sorte une petite plaisanterie que je raconte Ă leur sujet. Et câĂ©tait un...
3 Quelque temps aprĂšs, le jour sâest levĂ©, et Rebecca que voici sâest rĂ©veillĂ©e et â et elle savait que je devais ĂȘtre Ă la maison. Et â et elle a jetĂ© un coup dâoeil et a vu Sara encore endormie. Alors elle a regardĂ© et mâa vu assis dans la piĂšce, et la voici qui vient aussi vite que possible. Et elle a sautĂ© sur mes genoux, les deux bras [autour de moi]. Et Ă ce moment-lĂ , Sara, sa petite soeur, sâest rĂ©veillĂ©e. Eh bien, elle a regardĂ©, et⊠mais Becky lâavait dĂ©jĂ devancĂ©e auprĂšs de moi. Je compare donc en quelque sorte ceci Ă lâĂ©glise qui existe depuis longtemps. Et Becky Ă©tait plutĂŽt mince, avec de longues jambes, et elle pouvait se tenir trĂšs facilement sur mes genoux et ses deux pieds touchaient le plancher. Elle Ă©tait trĂšs bien en Ă©quilibre, vous savez. Je dis ceci plutĂŽt Ă notre frĂšre mĂ©thodiste qui est ici, câest depuis longtemps quâil est lĂ , vous savez, et il a grandi un peu.
Eh bien, Sara Ă©tait un peu petite de taille. Et je ne sais pas si vos enfants le font ou pas (les miens le font), lâun va... Si le plus ĂągĂ© reçoit quelque chose de neuf, aprĂšs, cela ira au suivant, et puis au suivant. Et â et Sara portait le pyjama de Becky. Et câĂ©tait ce pyjama aux pattes de lapin quâelles avaient dans le temps, vous savez. CâĂ©tait un peu grand, et ses petits pieds nageaient dedans. Elle a donc traversĂ© la maison.
4 Et Rebecca mâa entourĂ© de ses bras, puis elle sâest retournĂ©e et a regardĂ© en arriĂšre vers Sara, et elle a dit : « Sara, ma soeur, je veux que tu saches que je suis arrivĂ©e ici la premiĂšre. » Elle a dit : « Et jâai pris papa tout entier et il ne reste rien pour toi. »
Eh bien, Sara sâest sentie un peu dĂ©laissĂ©e, vous savez. Alors ses petites lĂšvres se sont rabattues.
Et cela me rappelle un peu les Ă©glises qui sont peut-ĂȘtre sur la route depuis longtemps, vous savez. Elles connaissent tous les tenants et aboutissants de la chose, et elles peuvent sâasseoir avec toute la thĂ©ologie et vous lâexpliquer, et en parler en grec, et ainsi de suite. Je compare cela Ă Rebecca.
Ainsi donc, Sara a regardĂ© tout autour, avec ses petites lĂšvres rabattues, elle sâest retournĂ©e et sâest mise Ă rentrer en chambre. Je lui ai fait en quelque sorte un clin dâoeil et je lui ai fait signe comme cela, et je lui ai tendu mon autre jambe. Câest justement ce quâelle attendait. La voici venir, elle a sautĂ© sur cette jambe. Et elle Ă©tait⊠ses petites jambes Ă©taient courtes, vous savez, et elle ne pouvait pas toucher le plancher. Elle Ă©tait plutĂŽt confuse. Je lâai donc entourĂ©e de mes bras pour lâempĂȘcher de tomber, je lâai fortement Ă©treinte. Elle a mis sa tĂȘte sur ma poitrine et y est restĂ©e un peu, puis sâĂ©tant tournĂ©e vers Rebecca, elle a dit : « Et, Rebecca, ma soeur (Voyez-vous ?), a-t-elle dit, je veux que tu comprennes aussi quelque chose. Il est peut-ĂȘtre vrai que tu es arrivĂ©e la premiĂšre et que tu as papa tout entier. Mais je veux que tu saches que papa mâa prise tout entiĂšre. »
Il en est donc â donc ainsi. Je... Vous savez, je peux ne pas connaĂźtre tous les tenants et aboutissants, mais aussi longtemps quâIl mâa pris tout entier, câest tout ce qui nous prĂ©occupe. QuâIl nous prenne et nous utilise comme Il le veut.
5 JâapprĂ©cie certainement mon sĂ©jour de cette fois, et cette belle communion fraternelle parmi ces bons frĂšres ministres, toute la collaboration des ouvriers indĂ©pendants, et tout ce qui a Ă©tĂ© fait, le Ramada, et leur prĂ©cieuse collaboration. Seulement, je suis dĂ©solĂ© que ce soit juste â juste quatre jours. Voyez-vous, Ă peine vous commencez Ă connaĂźtre les gens, et les gens commencent Ă vous connaĂźtre, et câest alors â câest alors que vous devez partir, juste au moment oĂč quelque chose peut rĂ©ellement ĂȘtre fait pour â pour que Dieu soit vraiment magnifiĂ©. Et les choses qui se dĂ©roulent, il se pourrait que ça soit nouveau pour beaucoup dâentre vous, et vous ne comprenez peut-ĂȘtre pas cela. On ne peut pas expliquer la chose juste en une ou deux soirĂ©es. Et puis, aprĂšs que vous vous ĂȘtes familiarisĂ©, bien sĂ»r, vous pourrez le faire.
Bien des choses se sont produites. Vous les pasteurs, retenez que dans vos Ă©glises, dans les prochaines semaines, des femmes viendront vous dire : « Vous savez, jâavais un trouble fĂ©minin. Câest â câest parti. » Une dira : « Jâavais une gastrite. Câest parti. » Je ne pouvais pas citer tous les cas. Câest simplement partout, la foi monte en flĂšche simplement partout.
6 Par exemple, il y a quelques instants un homme est venu ici et â et il a posĂ© sa main sur mon Ă©paule et a dit... Jâai regardĂ© lâhomme ; je me suis dit : « Je dois â je dois connaĂźtre cet homme. » Je lâavais vu quelque part.
Et il a dit : « Vous souvenez-vous de moi? »
Et jâai dit : « Je ne pense pas. »
Ainsi donc, il a dit : « JâĂ©tais Ă votre rĂ©union Ă Saskatoon, dans le Saskatchewan, dans les annĂ©es 40, aux environs de 42, ou Ă peu prĂšs cela. » Cela fait trĂšs longtemps, plusieurs annĂ©es.
Et jâai dit : « Oui. » Je me suis dit : « Jâai vu cet homme quelque part, mais je nâarrive pas Ă situer cela. »
Et alors, nous... Il a continuĂ© Ă parler. AprĂšs quelques instants, jâai commencĂ© Ă me rappeler que, quelques soirĂ©es plutĂŽt, pendant la sĂ©rie de rĂ©unions, il y avait une â une dame plutĂŽt grisonnante, je pense, debout sur lâestrade. Et si je faisais face Ă lâest, câest vraiment une tradition, jâaime simplement faire face Ă lâest, parce quâIl vient de lâest... Et quand je baptise, dâhabitude je baptise les gens de cette façon-lĂ . Et câĂ©tait comme si la⊠toujours Ă ma droite, parce que chaque fois que cette LumiĂšre vient, Elle vient par la droite. Et câest pour cela que jâessaie toujours dâamener les gens Ă venir vers moi par la droite. Et je me tenais plutĂŽt comme ceci, je pense, cĂŽtĂ© position donc, tel que ce bĂątiment-lĂ est orientĂ©.
7 Et jâai remarquĂ© quâĂ ma gauche se tenait prĂšs de moi une femme beaucoup plus jeune que celle qui se tenait devant moi. Et elle portait des vĂȘtements roses. CâĂ©tait diffĂ©rent de ceux de la femme qui se tenait lĂ . Jâai continuĂ© Ă observer, puis je suis tombĂ©, et je... Il nây a pas moyen dâexpliquer cela; vous devez simplement croire cela; câest tout.
Et jâai baissĂ© les yeux. Il y avait une dame assise juste ici, juste Ă ma gauche, et elle Ă©tait plutĂŽt... Quelque chose nâallait pas chez elle. Et jâai regardĂ© en arriĂšre, et alors un homme se tenait ici Ă cĂŽtĂ© dâelle. Je me suis dit : « Il y a quelque chose dâĂ©trange. » Et jâessayais de garder Ă lâesprit cette femme Ă qui je parlais, parce que, voyez-vous, peut-ĂȘtre que si vous voyez arriver quelque chose, voyez-vous, cela pourrait rĂ©vĂ©ler Ă cette femme ce quâelle a. Vous voyez? Donc, vous... Câest trĂšs... Et Satan se met juste lĂ pour chaque occasion quâil peut saisir. Câest simplement la grĂące de Dieu, vous voyez, quâIl laisse cela arriver.
8 Et alors, je â jâai regardĂ© et jâai vu cette femme un peu... Lâune Ă©tait beaucoup plus jeune que lâautre. Et une femme Ă©tait un peu⊠avait un... Elle Ă©tait dĂ©chirĂ©e, mentalement troublĂ©e. Et lâautre femme avait en quelque sorte une trĂšs profonde affliction. Et alors, cet homme...
Et jâai compris finalement ce matin, pendant que je me tenais ici, que câĂ©tait cet homme. Et jâai dit : « Nâavez-vous pas une femme malade, qui est â qui est troublĂ©e mentalement, en quelque sorte dĂ©rangĂ©e ? »
Et il a dit : « Si. »
Et jâai dit : « Etait-elle Ă la rĂ©union dâavant-hier soir, et Ă©tait-elle assise Ă ma gauche, habillĂ©e dâune certaine robe rose, ou quelque chose comme ça? »
Il a dit : « Oui. »
Et câĂ©tait elle. Et câest comme ça que jâai reconnu cet homme. Eh bien, je crois que je... Je crois que jâai notĂ© son nom. Je deviens... Je nâarrive pas Ă me rappeler trĂšs bien, un certain pasteur M-a-c-k ; il est assis ici quelque part. Et câĂ©tait juste, nâest-ce pas? Et il mâa parlĂ© et a dit : « Il y a plusieurs annĂ©es, ma femme Ă©tait Ă votre rĂ©union, et elle a Ă©tĂ© instantanĂ©ment guĂ©rie par un miracle dont vous lui parliez et alors que vous lui rĂ©vĂ©liez ses troubles. Et elle a Ă©tĂ© instantanĂ©ment guĂ©rie, une...?... deux fois, dâune rare maladie de sang et des ulcĂšres et tout comme cela. »
9 Voyez-vous donc ce qui sâest passĂ© ? Si je pouvais essayer de vous faire voir ce que je veux dire ! La dame avait la foi. Voyez? Dans sa foi elle croyait, mais probablement sans carte de priĂšre ni rien. Mais elle croyait, et peut-ĂȘtre plus fermement que la dame qui Ă©tait assise devant moi.
Et maintenant, je pense quâil a dit que sa femme est venue. Et si je ne me trompe pas, câest elle qui est assise juste lĂ Ă cĂŽtĂ© de lâhomme en question. Et câest bien la femme. Câest bien la femme. A la voir, câest â câest bel et bien la dame.
Maintenant, voyez-vous la grĂące de Dieu lĂ -dedans? La dame croyait effectivement, vraiment de tout son coeur. Et sa foi Ă©tait beaucoup plus grande que celle de la personne qui se tenait ici ; cela est allĂ© vers elle. Evidemment donc, et alors lâhomme mâa demandĂ©, il a dit : « FrĂšre Branham, y a-t-il quelque chose de trĂšs grave chez ma femme? Va-t-elle se rĂ©tablir ou quoi? »
Jâai dit : « Monsieur, je ne sais pas. »
Voyez-vous, câest vous qui faites que la vision se produise. Câest votre propre foi qui fait cela. Voyez? Câest votre foi qui le fait, pas la mienne. Il sâagit de vous. Voyez? JĂ©sus se tenait lĂ , devant ces gens, et cette femme a touchĂ© Son vĂȘtement. Il ne savait mĂȘme pas qui Lâavait touchĂ©. Il a dit : « Qui Mâa touchĂ©? » Or, JĂ©sus ne dirait rien juste pour le dire. Lui⊠rĂ©ellement Il ne savait pas qui Lâavait fait. Et Il a parcouru lâauditoire de yeux jusquâĂ ce quâIl eĂ»t trouvĂ© cette femme. Voyez? Et alors, Il lui a parlĂ© de la foi quâelle avait.
10 Eh bien, moi je â je ne sais pas, et puis des fois... Voyez-vous, cela nâa pas Ă©tĂ© expliquĂ©, je pense. Mais maintenant, voyez-vous, ce que vous â ce que vous ĂȘtes â ce que vous avez comme problĂšme, câest le Saint-Esprit qui le rĂ©vĂšle. Et quelquefois, jâobserve cela, cela devient sombre, comme une ombre. Je ne dis rien, parce que câest peut-ĂȘtre la mort. Et ainsi, je dis simplement : « Partez, que le Seigneur vous bĂ©nisse. »
Et peut-ĂȘtre que si vous restez assez longtemps⊠Attendez simplement lĂ , voyez ce que le Seigneur dit. Et alors, il sâagit de ce quâIl dit. Maintenant, câest ce que â que la vision a montrĂ© comme votre problĂšme ou ce que vous avez fait. Toutefois, restez alors tranquille et attendez. Je remarque que les gens sâen vont tout simplement. Voyez? Restez tranquille; tenez-vous simplement lĂ , et attendez, et voyez ce quâIl dit, et alors vous verrez.
Si cela revient et que je voie une vision de ce que vous allez ĂȘtre... Cela montre ce que vous avez Ă©tĂ©. Si donc je vois ce que vous allez ĂȘtre, vous le remarquerez, câest toujours AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et alors, notez alors cela, et voyez si cela nâarrive pas exactement comme tel. Cela ne faillira jamais.
11 Si une vision... Voici une chose dont je suis certain. Si une vision mâapparaissait ce matin, oĂč il mâest dit que George Washington va ressusciter du cimetiĂšre prĂ©sidentiel, que je dois aller lĂ pour lâappeler, jâinviterais le monde Ă venir voir cela sâaccomplir. Câest juste. Cela ne pourrait pas faillir. Cela ne peut pas faillir. Cela nâa jamais failli et ne faillira jamais, tant que vous nâessayez pas dâutiliser vos propres impressions.
Et maintenant, bien des fois... Je pense que tous nous sommes des pentecĂŽtistes ici ce matin, nâest-ce pas? Bien des fois, lĂ oĂč je pense que les gens deviennent enthousiasmĂ©s, vous voyez, câest quand vous avez lâimpression que le Seigneur a dit ceci ou cela, et vous dites la chose alors quâen fait ce nâest pas ça. Et ce serait faux de dire cela. Voyez? Attendez jusquâĂ ce que vous soyez certain que Dieu a sĂ»rement parlĂ©, et ce sera chaque fois parfait. Mais si vous ĂȘtes simplement poussĂ© Ă dire cela, vous pouvez le dire, mais... Et quand vous le faites, cela provoque quelque chose comme une imitation charnelle et cela... Vous... Franchement, frĂšre, soeur, cela nâaide pas Dieu; cela fait obstacle Ă Dieu. Voyez? Et peut-ĂȘtre que Dieu vous appelle Ă ĂȘtre un tĂ©moin ou quelque chose dâautre. Alors, restez fidĂšle Ă ce que Dieu vous dit de faire. Soyez un vĂ©ritable tĂ©moin.
12 Eh bien, ceci a Ă©tĂ© une grande sĂ©rie de rĂ©unions, lâun des plus beaux amas de foi derriĂšre moi, de ces ministres avec lesquels je suis jamais restĂ©. Et les gens dans lâauditoire ont Ă©tĂ© merveilleux. Et je suis seulement dĂ©solĂ© quâon doive clĂŽturer si vite comme cela. Mais jâespĂšre revenir un jour, si câest la volontĂ© du Seigneur.
Je pense que lâorganisateur ici prĂ©sent, frĂšre Borders, a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© aux gens et jâaimerais quâil se lĂšve tout simplement. FrĂšre Roy Borders a Ă©tĂ© avec moi dans beaucoup de grands combats. Voulez-vous vous tenir debout, FrĂšre Borders. Il est trĂšs humble. FrĂšre Borders ne sait pas ceci, mais cela mâa encore frappĂ©. Je vais le lui dire maintenant. Et... FrĂšre Borders est malade. Je dois le rencontrer pour partir â partir avec lui aprĂšs le service de ce matin. FrĂšre Borders, jâespĂšre que cela ne vous cause pas un choc. Mais il faut que le Seigneur touche frĂšre Borders immĂ©diatement. Il a une valve qui se bouche dans son coeur. Câest tout Ă fait juste. Je ne lui ai jamais parlĂ© Ă part ce que vous me voyez faire sur lâestrade, mais câest la vĂ©ritĂ©.
13 Et maintenant, je vais dire Ă cette femme, pendant que le Saint-Esprit est sur moi, et je dois donc arrĂȘter, voyez-vous, parce que cela commence Ă agir. Cette dame qui est assise ici maintenant et qui regarde par ici, au sujet de laquelle lâhomme a posĂ© la question. Il nây a rien de grave; câest le retour dâĂąge, juste la mĂ©nopause, un Ă©tat dâĂ©puisement, elle se sent morne et toute dĂ©boussolĂ©e. Tout ira bien ; ne craignez rien. Il sâagit juste de cela. Maintenant, le Glorieux Saint-Esprit dans Sa PrĂ©sence...
14 Jâai une fillette ici dont cet homme vient de parler, jâai des choses Ă©crites ici. Une â une fillette a subi une opĂ©ration hier Ă Phoenix, un rein a Ă©tĂ© enlevĂ© ou quelque chose de ce genre ; elle est de lâĂ©glise de frĂšre Outlaw, un homme qui est partout oĂč je vais, si câest dans un rayon de cent ou deux cents miles [161 ou 322 km â N.D.T.], cet homme assiste Ă chaque rĂ©union. Et lâun des membres de son assemblĂ©e est ici ce matin. Et une fillette a Ă©tĂ© opĂ©rĂ© dâune tumeur au rein, et cette tumeur est maligne. Seul Dieu peut sauver la vie de cette enfant.
Une petite fille sourde dont frÚre Jenkins a parlé... Oh ! il y a tant de gens qui sont malades et nécessiteux.
Et maintenant, juste avant que nous passions Ă la partie prĂ©dication du service, je â jâaimerais que nous priions juste un moment. Inclinons la tĂȘte. Et sâil y a dâautres requĂȘtes, levez simplement la main.
15 Notre PĂšre cĂ©leste, les glorieuses Ecritures divines, les Paroles inspirĂ©es de Dieu sous forme imprimĂ©e, nous enseignent que nous serons assis ensemble dans les lieux cĂ©lestes en JĂ©sus-Christ. Et nous sentons cela ce matin, en voyant un â un groupe de gens Ă destination du ciel, formĂ© de toutes les diffĂ©rentes dĂ©nominations, assis ensemble, en les regardant et en voyant des hommes qui sont plus ĂągĂ©s que moi, des jeunes gens qui viennent... Et juste comme les feuilles, les fleurs et toute la nature travaille, les vieilles feuilles et les vieilles fleurs tombent et les jeunes poussent... PĂšre cĂ©leste, nous Te remercions pour le Saint-Esprit qui nous donne cette glorieuse assurance quâun certain glorieux jour nous nous reverrons.
Nous Te remercions pour Sa glorieuse puissance. Il nous aide dans notre faiblesse. Et nous prions pour cette fillette Ă qui â Ă qui on a enlevĂ© cette tumeur du rein, et câest cancĂ©reux. Seigneur Dieu, sois misĂ©ricordieux envers cette fillette. Je me dis : et si câĂ©tait mon enfant ? Câest la chouchoute de quelquâun. Je Te prie de la guĂ©rir. Que la puissance de Satan soit ĂŽtĂ©e dâelle. Que cette enfant vive pour la gloire de Dieu.
16 Je Te prie ce matin de bĂ©nir la petite fille sourde dont on a parlĂ©. Je Te prie de rendre lâouĂŻe Ă cette petite fille, la petite Jenkins. Je prie, PĂšre cĂ©leste, pour frĂšre Borders, mon prĂ©cieux frĂšre, alors que nous voyons Satan chercher Ă lâĂŽter du champ missionnaire. Ă Dieu, nous le rĂ©clamons Ă cause du Royaume.
Et nous prions pour toutes ces requĂȘtes spĂ©ciales. Et pour cette dame qui se tenait lĂ lâautre soir, avec cette foi grandissante, maintenant Tu lui as expliquĂ© la chose, Seigneur, et maintenant tout ira bien. Nous Te remercions pour cela. Nous Te prions de continuer dâĂȘtre avec nous.
BĂ©nis ces ministres. BĂ©nis tous ceux qui ont aidĂ© : les musiciens, ce petit quatuor qui a chantĂ©, et le quatuor de cette Ă©glise lĂ -bas (ces braves jeunes gens), car la dame a chantĂ© pour nous les cantiques spĂ©ciaux. Et toutes ces choses, Seigneur, il y en a trop pour que nous nous en souvenions, mais Toi Tu les connais toutes. Pour cette Auberge Ramada, pour ce brave homme qui sâest tenu ici il y a quelques instants, et qui a dit : « Que Dieu vous bĂ©nisse. », ĂŽ Dieu, nous prions que cela lui soit rendu, ĂŽ Seigneur, et quâil soit rempli du Saint-Esprit, quâil devienne un grand tĂ©moin de JĂ©sus-Christ dans le monde, câest la plus grande chose qui puisse se faire, PĂšre.
17 Maintenant, nous Te prions de bĂ©nir frĂšre Tony, et ces braves hommes qui sont ici, mĂȘme les membres laĂŻcs de lâĂ©glise. Et ils⊠une fois encore, ils essaient de (les Hommes dâaffaires) â de sâorganiser ensemble pour rendre un autre tĂ©moignage. Que Dieu agrĂ©e leurs efforts, quâils soient remplis de lâEsprit et de discernement pour savoir ce quâil faut faire, et comment le faire, pour agir au Nom du Seigneur JĂ©sus.
Seigneur, bĂ©nis le message de ce matin, alors que je parle. Et je Te prie dâoindre cela de Tes bĂ©nĂ©dictions ; et lorsque nous nous en irons puissions-nous dire comme ceux qui revenaient dâEmmaĂŒs : « Nos coeurs ne brĂ»laient-ils pas en chemin ? »
Et puis, PĂšre, sâil y a quelquâun ici qui nâest pas sauvĂ©, quelquâun qui ne Te connaĂźt pas, qui est juste un membre dâĂ©glise, que la glorieuse puissance du Saint-Esprit lui rĂ©vĂšle quâil a besoin du salut aujourdâhui Ă travers la voie appropriĂ©e de Dieu, la seule voie, JĂ©sus-Christ, car nous le demandons en Son Nom. Amen.
18 Je vous remercie une fois de plus. Tout Ă lâheure, jâai oubliĂ© de mentionner une chose, ils... FrĂšre Tony, en sortant de la voiture hier soir, il a dit... Jâai dit : « Je ne regarde jamais Ă ... » Cela fait maintenant environ trente-trois ans que je suis dans le ministĂšre. Et jâai Ă©tĂ© pasteur du Tabernacle Ă Jeffersonville pendant dix-sept ans, sans jamais recevoir un centime comme salaire. Et je nâai jamais prĂ©levĂ© dâoffrande, de toute ma vie. Je nâen ai jamais prĂ©levĂ© et je nâen ai jamais eu lâintention. Et hier soir, frĂšre Tony a dit quâils Ă©taient... Jâai dit : « Avez-vous couvert toutes les dĂ©penses ? »
Lâentente quâil y avait quand jâai rencontrĂ© ce brave frĂšre Brock et (Ai-je prononcĂ© cela correctement? Brock?), et frĂšre Gilmore, et quelques autres frĂšres lĂ -bas lâautre soir. Jâai dit : « Eh bien... » Ils ont demandĂ© la situation financiĂšre. Jâai dit : « Juste tout ce que reprĂ©sentent les dĂ©penses, câest tout ce quâil faut. »
« Eh bien, a-t-il dit, nous voulons prélever une offrande pour vous. »
Jâai dit : « Non, non, ne faites pas cela. Je â je â je reçois â je reçois de mon Ă©glise cent dollars par semaine et cela suffit. » Et jâai dit : « Je... tout ce dont jâai besoin. » Je â je ne manque de rien. Vous voyez? Je â je pense Ă lâautre cĂŽtĂ© lĂ -bas, Ă quelque chose lĂ de lâautre cĂŽtĂ©. Et je sais que â que jâai essayĂ© de garder mon ministĂšre... Tant de gens sont venus, ainsi que lâorganisateur, en disant : « FrĂšre Branham, cela devrait ĂȘtre sous des lumiĂšres Ă©tincelantes. »
19 Et la prĂ©sidente de la Distillerie de Quatre Rose Ă©tait ici chez nous il y a quelque temps, et elle a amenĂ© sa fille. Et elle a dit, oh, que la petite fille voulait ĂȘtre guĂ©rie. Et elle a dit : « Elle en avait entendu parler, et elle devait subir une opĂ©ration. » Et alors, elle a dit : « Oh, elle voulait venir. Elle ne voulait pas subir une opĂ©ration. »
Eh bien, elle est entrĂ©e en courant pendant que je parlais et voulait quâon prie pour elle immĂ©diatement, il fallait que ce soit sur-le-champ. Eh bien alors, elle ne pouvait pas attendre; sa mĂšre la suivait. La mĂšre est donc entrĂ©e au fond de la salle et sâest assise avec cet air arrogant. Ainsi donc, nous sommes allĂ© lĂ , nous avons priĂ© pour la petite fille puis nous sommes rentrĂ©.
Eh bien, quelques jours aprĂšs que le mĂ©decin avait dit, quâil avait dit : « TrĂšs bien. Câest un tas de sottises. » Il a dit : « Mais... »
Elle a dit : « Non, je me sens bien. Je nâai pas dâappendicite. Je vais trĂšs bien. »
Ainsi donc ils ont continuĂ©, quatre ou cinq jours. Quelque temps aprĂšs... Vous voyez, juste comme je lâai expliquĂ©, environ soixante-douze heures aprĂšs, ce symptĂŽme rĂ©apparaĂźt, si vous ĂȘtes rĂ©ellement guĂ©ri (Voyez?), la guĂ©rison. Je ne parle pas des miracles. Et cela a rĂ©apparu parce que lâappendice a commencĂ© Ă enfler. Et le mĂ©decin a dit : « Maintenant, vous voyez? Maintenant, vous feriez mieux dâaller chercher encore ce saint exaltĂ© de prĂ©dicateur. »
20 Ainsi donc, il nâa pas voulu opĂ©rer. Mais, Ă©videmment, puisquâenviron mille cinq cent dollars Ă©taient en jeu, il â il â il a pu le faire. Il avait dit quâil ne voulait pas le faire. Mais il lâa fait. Il sâest fait quâun ami faisait partie de cette Ă©quipe-lĂ , quand on a fait lâablation, quand ils ont opĂ©rĂ© la fille pour enlever lâappendice, il nây avait aucun problĂšme. Vous voyez ? Ils ont opĂ©rĂ© pour rien. Ils ont tout simplement laissĂ© lâappendice lĂ , parce que ce nâĂ©tait mĂȘme pas du tout affectĂ©. Et le mĂ©decin est venu mâen parler, un ami qui faisait partie de cette Ă©quipe, et qui a assistĂ© Ă cette opĂ©ration.
21 Maintenant, vous voyez ce que câĂ©tait? Elle Ă©tait toute excitĂ©e et ne savait pas comment sâen tenir Ă cette foi. Voyez? Et lĂ , nous nâavons pas lâoccasion dâexpliquer cela. Cela a donc fait le... Mon ami mĂ©decin a parlĂ© Ă la mĂšre, et a dit : « Lâappendice est toujours lĂ . » Ils ont dit : « Elle avait besoin de cet appendice, et il nâĂ©tait pas infectĂ©. Il nâavait rien du tout, il Ă©tait tout Ă fait normal, rose. Juste, oh, tel quâil devait ĂȘtre. »
Et la mĂšre est devenue une croyante. Alors elle mâa dit : « Ce quâil y a Ă faire, câest que votre ministĂšre ne doit pas rester dans un coin avec juste un groupe de gens ordinaires. Il devrait ĂȘtre amenĂ© partout Ă travers le pays, il devrait figurer sur les panneaux dâaffichage. » Câest donc ça que le diable veut. Câest juste. Voyez? Mais non ; moi je ne le veux pas comme cela. Je â je le veux de façon Ă pouvoir aller partout, faire tout... OĂč que le Seigneur appelle, câest lĂ que je veux aller, juste lĂ oĂč Il... Juste garder cela humble, et laisser le Seigneur nous amener oĂč Il veut.
22 Et maintenant, Ă vous, si vous⊠pour qui on a priĂ©, si vous... AprĂšs soixante-douze heures environ, la corruption sâinstalle. Nous savons que la mortification se produit aprĂšs soixante-douze heures. Rien ne rĂ©apparaĂźt. Si vous croyez vraiment cela de tout votre coeur, rien nâarrĂȘtera cela. Croyez cela de toute façon. Tenez-vous-en juste Ă cela. Ăa ira bien. Ne... pas. Mais vous ne pouvez pas juste en donner lâimpression. Vous devez vraiment en ĂȘtre certain, que câest fait. Il y a une grande diffĂ©rence entre lâespĂ©rance et la foi. LâespĂ©rance espĂšre simplement la chose ; la foi, elle, est certaine que câest fait. VoilĂ la diffĂ©rence.
23 Eh bien, ce matin je ne â je ne veux pas vous retenir. Il est dĂ©jĂ presque 10 h 00â, dâaprĂšs cette montre que Billy mâa offerte. Et maintenant, je veux lire un verset du chapitre 1 du livre dâEsaĂŻe pour un petit commentaire. Et jâai notĂ© ici quelques Ecritures auxquelles je pourrais me rĂ©fĂ©rer. Et nous ne vous garderons que trente minutes, et alors nous serons prĂȘts pour partir, le Seigneur voulant. EsaĂŻe chapitre 1 verset 18:
Venez et plaidons! dit lâEternel. Si vos pĂ©chĂ©s sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige; sâils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine.
Maintenant, que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole. Et je voudrais parler sur ce sujet : « Les Conférences », tenir une conférence.
Seigneur, bĂ©nis maintenant la Parole, et que les semences tombent dans nos coeurs, lĂ oĂč il y a un besoin. Et, Seigneur, que le mien soit ouvert, ainsi que ceux de tous ceux qui sont ici, afin que nous puissions comprendre lâheure dans laquelle nous vivons et ce que nous devons faire. Nous le demandons au Nom de JĂ©sus. Amen.
24 A propos des confĂ©rences, nous â nous en entendons beaucoup parler ces jours. Pour tout, il y a une confĂ©rence. Et, franchement, câest dans une confĂ©rence que nous nous trouvons ici ce matin. Et nous en entendons tellement parler, et il y a tant de diffĂ©rents endroits oĂč elles se tiennent ; tant de choses sont accomplies Ă partir des confĂ©rences. Je pense que sâil y a une chose que nous devrions faire, câest tenir une confĂ©rence. Et, gĂ©nĂ©ralement, quand⊠elles sont tenues quand il y a une urgence. GĂ©nĂ©ralement, quand il y a une urgence, on tient alors une confĂ©rence, on convoque vite une confĂ©rence. Et câest sous ce rapport-lĂ que nous y pensons.
25 Eh bien, beaucoup dâentre vous ici peuvent se rappeler la⊠par exemple, la confĂ©rence quâon a eue lors de la crise mondiale, quand lâAllemagne et le reste du monde Ă©taient en guerre, quand le PrĂ©sident Roosevelt Ă©tait prĂ©sident des Etats-Unis, et â et quâil y avait eu les autres Quatre Grands, comme on les appelle. Ils ont tenu ce quâon appelle la ConfĂ©rence des Quatre Grands, avec Churchill et... Ils se sont rencontrĂ©s, ils devaient avoir ce quâils appelaient la ConfĂ©rence des Quatre Grands du monde libre, parce quâils devaient se rencontrer et mettre en commun leurs idĂ©es pour en arriver Ă une certaine stratĂ©gie, vu que lâennemi avançait, et il fallait le â lâarrĂȘter.
26 Et ainsi, ils â ils devaient se rĂ©unir afin de pouvoir... Toujours le plus sage du groupe... Et alors, lâun avait son idĂ©e, et lâautre une idĂ©e, et alors ils mettaient cela ensemble, pour voir Ă quoi ils allaient aboutir. CâĂ©tait la ConfĂ©rence des Quatre Grands. Et lĂ oĂč ils devaient contre-attaquer, lĂ oĂč ils devaient placer leurs armĂ©es, la⊠une certaineâŠ, par exemple la CinquiĂšme ArmĂ©e, la QuatriĂšme ArmĂ©e, la DixiĂšme ArmĂ©e, et ainsi de suite, et comment ils pouvaient travailler ensemble, et oĂč lâennemi avait sa forteresse.
Et si vous faites bien attention, ils essaient toujours de frapper cette moelle Ă©piniĂšre. Câest le point vital. Et il sâagit toujours de frapper lâennemi... Si vous voulez le tuer, vous devez le frapper Ă un point vital. Sinon, vous ne le tuerez pas. Et alors par consĂ©quent, il nây aura quâune chose Ă faire.
27 Câest comme prĂ©parer une rĂ©union. Si nous pouvions⊠ConsidĂ©rer le â le Royaume de Dieu, comme bien des fois des hommes dans le ministĂšre lâont dit... Et par exemple, pour citer encore la femme, elle a dit : « Si vous preniez et rĂ©unissiez les grands hommes, les grands cerveaux, et mettiez cela ensemble, puis frappiez la chose juste Ă partir de lĂ ... » Mais, vous voyez, vous ne frappez pas la chose quâil faut. Voyez?
Si je peux rĂ©unir des ministres, si je peux rĂ©unir un groupe dâhommes sauvĂ©s par Dieu et les laisser voir la puissance qui est en JĂ©sus-Christ, montrant que â montrant quâIl vit rĂ©ellement dans nos coeurs, et quâIl peut connaĂźtre les pensĂ©es de lâesprit, prĂ©dire, annoncer, et â et faire que cela soit parfait, alors ces ministres seront inspirĂ©s, et ils apporteront cela Ă leurs fidĂšles, et... Voyez-vous ce que je veux dire? Câest lĂ quâil faut frapper, lĂ oĂč se trouvent les armes.
28 Bon, et ils ont tenu cette grande confĂ©rence entre les Quatre Grands. Puis on a eu une autre confĂ©rence quâon a appelĂ©e la ConfĂ©rence de GenĂšve. Je suis certain que beaucoup dâentre vous se souviennent du moment oĂč ils devaient tenir la â la ConfĂ©rence de GenĂšve. Et il y en a eu une autre appelĂ©e la ConfĂ©rence de Paris, quand ils se sont rencontrĂ©s Ă Paris. Cela se fait constamment, tout le temps, les confĂ©rences succĂšdent aux confĂ©rences, parce quâil y a un grand besoin dans la vie de nations. Le â le cerveau du monde semble si embrouillĂ© que â quâon ne sait oĂč⊠que faire. Et le monde entier a terriblement peur en ce moment mĂȘme.
Cela me rappelle un petit garçon qui rentre Ă la maison en pleine nuit, qui traverse le cimetiĂšre en sifflant. Il siffle aussi fort que possible ; en effet, il fait juste semblant. Il â il ne veut pas penser quâil a peur, mais il siffle pour essayer de se dĂ©tendre. Mais, au fond de lui-mĂȘme, il a peur que derriĂšre chaque pierre tombale il y ait un petit esprit malĂ©fique, ou â ou... Voyez-vous, il a peur et il siffle juste pour se tranquilliser un peu.
29 Et câest la raison pour laquelle nous avons tant de bĂȘtises aujourdâhui Ă la radio et Ă la tĂ©lĂ©vision, des hommes⊠par exemple des hommes qui ont des talents, des chanteurs comme Ernie Ford, et Elvis Presley, ces garçons qui vendent leurs droits dâaĂźnesse pour un plat de potage. Ils vont lĂ -bas, et tout ce que vous devez ĂȘtre câest un plaisantin, ou faire une plaisanterie, ou â ou quelque chose comme cela pour faire rire le public amĂ©ricain ; quand vous savez que vous essayez seulement de les calmer, et vous savez que derriĂšre cela nous sommes tous conscients que le jugement est proche. Câest juste.
Autant mieux regarder cela en face. Nous sommes au bout du chemin, frĂšres. Et toutes les plaisanteries dâErnie Ford, le rock and roll et toute cette histoire dâElvis Presley, câest une autre fĂȘte de Nebucadnetsar. Ăa ne fera aucun bien. Le jugement va frapper.
30 Cette nation est arrivĂ©e au mĂȘme point que Sodome et Gomorrhe. Et le Dieu juste laisserait ce pays sâen tirer avec ce quâil fait maintenant... Etant un Dieu juste, Il se trouvera dans lâobligation morale de ressusciter Sodome et Gomorrhe, et de sâexcuser pour les avoir brĂ»lĂ©es, câest juste, si nous nous en tirons sans ĂȘtre jugĂ©s. Mais rappelez-vous simplement que cela sâapproche de nous. Fuyez vers le Rocher aussi vite que possible. Ne remettez pas cela Ă plus tard. Ne regardez pas Ă toutes ces choses consistant juste Ă adhĂ©rer Ă lâĂ©glise et aux crĂ©dos et ainsi de suite. Faites comme ces frĂšres mĂ©thodistes qui sont ici ; fuyez vers le Rocher jusquâĂ ce que quelque chose fasse Ă©cho que vous voyez Christ reflĂ©tĂ©.
31 Il se peut que vous devriez ĂȘtre un peu battu par cela. Dans les anciens temps bibliques, quand les gens, les... De nos jours, ici dans cet Etat de lâor dâArizona, dans lâancien... Ils ont maintenant des hauts fourneaux pour fondre le fer et la pyrite, ce qui est appelĂ© la chalcopyrite, et on extrait cela du vrai or par fusion au moyen de haut fourneau. Autrefois, le seul moyen quâils avaient pour sĂ©parer cela, câĂ©tait que le batteur battait lâor Ă lâaide dâun marteau, comme le battent les Indiens. Et le seul moyen par lequel le batteur savait que lâor Ă©tait prĂȘt, câest lorsquâil en avait ĂŽtĂ© toutes les scories en le battant. Et il le battait puis le retournait, et le battait sans cesse jusquâĂ ce que toutes les scories en Ă©taient Ă©liminĂ©es. Quand il voyait son propre reflet dans le â lâor, il savait alors que toute la saletĂ©, le fer, et les matiĂšres Ă©trangĂšres Ă©taient sorties de lâor.
32 Et ce que Dieu essaie de faire avec Son Ă©glise, câest la battre jusquâĂ en faire sortir tous les crĂ©dos, les absurditĂ©s, et, oh, toute la mondanitĂ©, en la battant, jusquâĂ ce quâelle reflĂšte la Vie de JĂ©sus-Christ. Rappelez-vous, lâĂ©glise... Je sors dâune sĂ©rie de glorieuses rĂ©unions chez moi, oĂč les six sceaux... Et ce sixiĂšme sceau... ou plutĂŽt les sept sceaux, et ce sixiĂšme portait sur la purification de lâEglise. LâEglise passe bien sĂ»r par la pĂ©riode de tribulations pour ĂȘtre purifiĂ©e. Mais lâEpouse est enlevĂ©e. Il y a une diffĂ©rence entre lâEpouse et lâEglise.
33 JâespĂšre quâici je nâentre pas dans la doctrine maintenant, ou plutĂŽt⊠Si je dis quelque chose que vous ne croyez pas, eh bien, faites comme moi quand je mange la tarte aux cerises. Je â jâaime la tarte aux cerises. Mais quand je tombe sur un noyau, je ne jette pas la tarte; je jette simplement le noyau. Faites donc la mĂȘme chose. En mangeant le poulet, quand vous tombez sur un os, vous ne jetez pas le poulet, vous jetez simplement lâos. Si je dis quelque chose que vous ne croyez pas, jetez simplement lâos. Voyez-vous?
Maintenant, il y a cependant une urgence, et il y a une crise. Et on convoque constamment le PrĂ©sident, le â le⊠final â les confĂ©rences, et ils doivent se rencontrer pour ceci ou cela. Et que Cuba apparaisse, ils doivent alors convoquer une confĂ©rence. Et que quelque chose dâautre apparaisse, ils doivent convoquer une confĂ©rence. Pratiquement tout ce dont on entend parler, câest des confĂ©rences. Que font-ils dans une confĂ©rence? Comment est-elle organisĂ©e?
34 PremiĂšrement, ils se rĂ©unissent, et ensuite ils choisissent un certain endroit. A GenĂšve... Jây ai Ă©tĂ©, câest une trĂšs belle ville. Et gĂ©nĂ©ralement, ils essaient de trouver un lieu qui, en quelque sorte, inspire, afin de sây retrouver, et ils choisissent cet endroit, et y invitent tous les grands hommes, et ils font une⊠Je nâai pas notĂ© cela ici. Quelle est cette ville en Suisse oĂč nous nous sommes rendus, Billy, lĂ oĂč ils ont tenu⊠CâĂ©tait Ă â Ă GenĂšve, nâest-ce pas? Et je pense que câest un beau pays. Je nâai pas Ă©crit le â le nom de cette confĂ©rence, mais je me souviens avoir Ă©tĂ© Ă cet endroit-lĂ . Et ils se rencontrent et ils obtiennent ces endroits, ils choisissent le meilleur endroit possible et ils travaillent Ă cela.
35 Maintenant, ça câest pour les choses du monde. Et tout ce qui est faux, tout ce qui est du monde, si câest faux, câest un type de ce qui est juste. Or, le pĂ©chĂ© en soi nâest que la justice pervertie. Eh bien, il nây a quâun seul CrĂ©ateur, et câest Dieu. Et Satan nâest pas un crĂ©ateur. Il a simplement perverti la crĂ©ation originale. Un mensonge est une vĂ©ritĂ© dĂ©formĂ©e. LâadultĂšre est un acte correct dont on a fait un mauvais usage. Chaque chose est toujours une perversion de ce qui est juste. Satan peut pervertir, mais il ne peut pas crĂ©er. Voyez-vous? Et â et, souvenons-nous-en, le mal, le mensonge, ou tout ce qui est pĂ©chĂ©, câest la justice pervertie.
36 Et nous voyons donc que Satan tire toujours un type de ce que Dieu a fait, pour ce quâil va faire. Par exemple, beaucoup de gens (voyez-vous ?) dans les rĂ©unions disent : « Câest de la tĂ©lĂ©pathie. » Ou bien : « Câest un... Cet homme est un... » On mâa traitĂ© de ce que⊠de Simon le magicien, et de quelque chose comme cela. Voyez? Pourquoi? Quand vous voyez un acte spirite ou dĂ©moniaque, câest juste une perversion dâune chose vĂ©ritable et authentique de Dieu. Câest juste. Voyez-vous, il... Et les gens devraient ĂȘtre â devraient ĂȘtre avisĂ©s et assez spirituels pour ĂȘtre capables de discerner le vrai du faux.
Avez-vous dĂ©jĂ entendu parler dâun spirite qui chasse les dĂ©mons, guĂ©rit les malades et prĂȘche lâEvangile ? « On les reconnaĂźt Ă leurs fruits. » Voyez? Ils ont un petit poste quelque part lĂ dans un coin et lisent la paume de votre main, et devinent quatre ou cinq choses, tandis quâune dizaine de choses sont fausses. Et vous y ĂȘtes. Voyez? Câest juste une perversion, en essayant de plonger les esprits des gens dans le trouble, en les Ă©loignant du vĂ©ritable et authentique Saint-Esprit, oĂč nous pouvons nous asseoir ensemble dans les lieux cĂ©lestes pour que Christ nous rĂ©vĂšle ce que nous devons faire.
37 Câest ainsi que les Ă©glises devraient ĂȘtre. Les gens qui parlent en langues... Je â je veux dire ceci parce que je suis votre pĂšre, pour ainsi dire, et je vais me comporter comme tel ce matin. Voyez? Nous avons reçu une chose glorieuse. Mais câest â câest... Je crois quâelle nâest pas bien prĂ©sentĂ©e. Voyez? Et elle se vendra toute seule si elle est trĂšs bien prĂ©sentĂ©e. Maintenant, je pense quâil y a beaucoup de mĂ©thodistes, de baptistes, et de presbytĂ©riens qui aimeraient avoir ceci. Mais cela dĂ©pend de la façon dont cela leur est prĂ©sentĂ©. Voyez?
38 Maintenant, supposons que vous voyiez un homme qui construit une maison et qui utilise un marteau pour enfoncer des clous dans la maison, et vous vous amenez lĂ . Et vous avez un appareil dans lequel vous pouvez charger un demi-tonnelet de clous et « br-r-r-r », et vous enfoncez simplement cela, deux fois plus vite, et obtenez un meilleur travail. Si vous vous approchez de cet homme et lui dites : « Oh ! que faites-vous ? Vous ĂȘtes vieux jeu. Vous ne devez pas faire cela. Ce nâest pas une bonne façon de faire. Voici un appareil que jâai pour faire cela. » AussitĂŽt vous aurez gĂąchĂ© votre marchĂ©. Vous les hommes dâaffaires, vous savez cela. Vous aurez gĂąchĂ© votre marchĂ©. La chose Ă faire, câest dâaller lĂ et de le vanter, combien â combien il est capable de bien construire, et ensuite prĂ©senter le produit. Sâil est bon, il se vendra. Vous les vendeurs, vous savez cela.
Et vous savez quâil nây a rien de mieux que le baptĂȘme du Saint-Esprit. Il nây a rien de mieux dans le Ciel, qui ait Ă©tĂ© donnĂ© Ă lâhomme en dehors du Saint-Esprit. Mais, vous voyez, nous â nous essayons de jeter lâautre Ă terre. Essayons de le relever un peu, et de mettre notre bras autour de lui, et quâil⊠que nous sachions que la couverture sâĂ©tend dâun bout Ă lâautre du lit. Voyez? Et quâon tienne ce genre de confĂ©rence. Vous voyez? Faites-lui un peu de place aussi. Mais aprĂšs tout il a luttĂ©.
39 Maintenant... mais, vous voyez, bien des fois dans nos Ă©glises, on permet aux gens de se mettre debout mĂȘme quand on prĂȘche, et de parler en langues; et pendant quâon fait un appel Ă lâautel, quelquâun parle en langues, et quelquâun⊠et il donne lâinterprĂ©tation, simplement... Lâun dâeux, je crois... Je crois que cette personne parle rĂ©ellement en langues. Mais je crois que lâautre prophĂ©tise plus ou moins ; en effet, lâun parle en langues peut-ĂȘtre pendant cinq minutes, et lâautre donne quatre mots dâinterprĂ©tation. Voyez? Cela doit ĂȘtre le mĂȘme son, la mĂȘme inflexion de la voix. Et puis, de plus, sâils disent la chose, et quâelle ne sâaccomplit pas, alors Ă©loignez de vous ce mauvais esprit. Vous nâen avez pas besoin.
40 Dans mon tabernacle, quand quelquâun parle comme cela, il ferait mieux dâavoir la chose. La chose est notĂ©e. Si cela ne sâaccomplit pas, on va chasser de lui ce mauvais esprit. Il doit en ĂȘtre ainsi, il ne doit pas sâagir dâune rĂ©pĂ©tition. JĂ©sus a dit : « Ne multipliez pas de vaines paroles, comme les paĂŻens. » Cela doit ĂȘtre quelque chose directement destinĂ© Ă quelquâun, ou â ou pour aider lâĂ©glise, ou pour soutenir la cause. La chose est notĂ©e, et si cela nâest pas...
Et les gens qui parlent en langues, et ceux qui ont de grands dons pour aider le Corps de Christ se rencontrent des heures avant que nous arrivions lĂ . Et le Saint-Esprit agit Ă travers eux, et alors cela est dĂ©posĂ© sur la chaire. Et nous annonçons ici ce quâils ont dit. Et si cela ne sâaccomplit pas exactement tel que cela avait Ă©tĂ© annoncĂ©, alors ils ne pourront plus le faire jusquâĂ ce que ce mauvais esprit sorte dâeux.
Vous dites : « Eh bien, FrÚre Branham, ce... »
Eh bien, suivez. Je dois me tenir ici. Je nâai pas peur, parce que câest Dieu. Cela doit toujours ĂȘtre juste, ici. Et cela doit toujours ĂȘtre juste, lĂ -bas. Puis quand les gens voient ces choses arriver, alors ils croient.
41 Ce dont lâEglise pentecĂŽtiste a besoin ce matin, câest une bonne confĂ©rence. Câest tout Ă fait juste. Toutes les dĂ©nominations : les â les unitaires, les binitaires, les trinitaires, les quatretaires, et nous autres, ainsi que lâEglise de Dieu, les AssemblĂ©es de Dieu, tous unissons-nous et plaidons au sujet de ces choses (Câest juste.), et faisons avancer lâEglise.
Aussi longtemps que Satan peut faire que vous continuiez Ă vous tirer dessus, il sâinstalle confortablement dans un fauteuil et dit : « FrĂšre, je nâai mĂȘme pas besoin de combattre. »
Mais si seulement nous pouvions nous mettre ensemble et â et lever les yeux vers Dieu comme des frĂšres, puis marcher la main dans... dans lâunitĂ©. Vous nâavez pas besoin de changer, et que lâun aille Ă une Ă©glise et... Faites comme vous voulez. Ces petites diffĂ©rences que vous Ă©tablissez ne changent rien de toute façon. Dieu donne Ă chacun de vous le Saint-Esprit. Câest pourquoi la Bible dit que Dieu donne le Saint-Esprit Ă ceux qui Lui obĂ©issent. Câest donc sĂ»rement celui qui a obĂ©i Ă Dieu.
42 Mais le problĂšme est que tant que Satan peut maintenir les petits diffĂ©rends, câest ce qui fait que lâĂ©glise soit dans un tel dĂ©sordre aujourdâhui. Oublions cette chose et rassemblons-nous. Et, rappelez-vous, lâautre frĂšre est tout autant en Christ que nous. Il nây a pas de grands hommes, de petits hommes, de supĂ©rieurs. Nous sommes des enfants. Nous sommes un en Christ. Et nos petites diffĂ©rences ne changent rien. Que Becky dĂ©sire une robe bleue et que Sara dĂ©sire une rouge, elles reçoivent toutes deux des robes. Cela â cela... Voyez-vous ce que je veux dire? Elles ne doivent donc pas se disputer lĂ -dessus. Je pense donc que câest vraiment ce que nous â nous devrions faire.
43 Bon, Ă propos des confĂ©rences du monde, au moment des crises dans le monde... Vous savez, Dieu a tenu aussi des confĂ©rences. Nous pensons Ă la ConfĂ©rence de Paris, Ă celle de GenĂšve, Ă celle des Quatre Grands, et Ă beaucoup dâautres confĂ©rences. Pensons maintenant Ă quelques confĂ©rences que Dieu a tenues ; en effet, celles-lĂ Ă©taient un type de â de celles que Dieu a tenues. Je â je pense que la premiĂšre confĂ©rence dont je me souviens maintenant, du point de vue scripturaire, je vais lâappeler la ConfĂ©rence de Dieu en Eden. « Dieu fit lâhomme Ă Son image, Il le crĂ©a Ă lâimage de Dieu, Il les crĂ©a mĂąle et femelle. » Ils Ă©taient Ses enfants bien-aimĂ©s. Et on les a placĂ©s sur la base du libre arbitre.
Bien des fois, le vieil incroyant a dit : « Pourquoi un Dieu juste ferait-Il une chose comme cela, quâon connaisse toute cette souffrance quâon a endurĂ©e Ă travers les Ăąges? » Dieu nâa pas fait cela. Câest lâhomme lui-mĂȘme qui a fait cela. Dieu ne voulait pas quâil fasse cela. « Eh bien, alors si Dieu Ă©tait omnipotent, pourquoi a-t-Il permis que cela arrive? Pourquoi nâa-t-Il pas fait lâhomme parfait? »
44 En fait, au commencement, il nây avait rien en dehors de Dieu. Et en Dieu il y avait des attributs, Il avait un attribut de Sauveur. Nous savons que câest vrai, Il est un Sauveur, et câĂ©tait en Lui. Et il nây avait rien de perdu quâil fallait sauver. En Lui il y avait des attributs de PĂšre, mais il nây avait rien dont Il pouvait ĂȘtre le PĂšre. En Lui il y avait lâattribut de GuĂ©risseur. Rien nâĂ©tait perdu, rien nâĂ©tait malade. Donc, la seule chose quâIl pouvait faire, câĂ©tait crĂ©er lâhomme et le laisser sur la base du libre arbitre, sachant quâil ferait la chose. Dieu nâa pas Lui-mĂȘme fait la chose; câest lâhomme lui-mĂȘme qui a fait cela.
Et câest pareil pour vous ce matin. Vous pouvez accepter la vie ou la rejeter. Mais câest ainsi que Dieu a fait lâhomme, pour quâil ait⊠sachant quâil le ferait, sans vouloir quâil le fasse, mais sachant quâil le ferait, afin que cela manifeste Ses attributs. Il nây a donc rien qui soit hors du temps. Tout marche exactement selon la grande horloge de Dieu. Voyez? Et cela ne fait que manifester Ses attributs, de choisir Ses enfants qui Lâaiment vraiment et qui croient en Lui. Et tous les hommes ont les mĂȘmes droits.
Dieu, Ă©tant infini, savait dĂšs le commencement ce qui serait et ce qui ne serait pas, ainsi donc Il ne voulait pas que quiconque... Mais, Ă©tant infini, Il devait savoir. Par consĂ©quent, Il pouvait donc dire quâIl aurait une Ă©glise sans tache ni ride, parce quâIl savait quâIl lâaurait. Il est Dieu.
45 Maintenant, dans ce bel endroit, dans le jardin dâEden, (oh !) oĂč les hommes et les femmes vivaient ensemble... Dieu est un grand Entrepreneur. Eh bien, vous en avez beaucoup ici Ă â Ă Tucson, comme câest en construction. Il y a quelques annĂ©es, quand jâĂ©tais ici, câĂ©tait juste une toute petite ville. Et bien, lĂ -bas oĂč jâhabite, eh bien, les coyotes et les Papagos se promenaient lĂ quand jâĂ©tais ici, il y a quelques annĂ©es. Mais maintenant, il y a... Eh bien, câest un⊠de grands projets, des maisons, et des bĂątiments sâĂ©rigent sans cesse et partout. Eh bien, que se passe-t-il? Voyez-vous, les entrepreneurs arrivent et achĂštent un terrain, ils en font un lotissement, et Ă©rigent des maisons.
46 Eh bien, Dieu a fait cela. Voyez? Il â Il a prĂ©parĂ© tous les matĂ©riaux pour faire nos corps pendant que ce monde Ă©tait en formation. Or, nous sommes constituĂ©s de seize Ă©lĂ©ments. Notamment la potasse, le calcium, le pĂ©trole, la lumiĂšre cosmique, et ainsi de suite. Et câest tout cela mis ensemble qui forme lâhomme. Mais câĂ©tait ici avant quâil y ait un homme sur la terre. Voyez? Dieu a fait nos corps et a dĂ©posĂ© ici les matĂ©riaux avant que la terre existe. Eh bien, câest Dieu qui vous a mis lĂ -dedans et câest Lui qui vous amĂšne ici. Et maintenant, vous avez lâoccasion de vivre Ă©ternellement si vous faites ce choix. Câest exactement ce quâAdam et Eve avaient devant eux. Chaque... Dieu ne peut pas changer. Il doit rester le mĂȘme, donner Ă chaque homme la mĂȘme occasion.
Eh bien, nous voyons que Dieu... Cela Lui a plu quand Il a fait lâhomme. Il a regardĂ© Sa â Sa fille et Son fils, et Il Ă©tait trĂšs content dâeux. Et puis, nous voyons que dĂšs quâAdam et Eve ont pĂ©chĂ©, et que la nouvelle est parvenue Ă Dieu, notre PĂšre : « Ton enfant est dĂ©chu de la grĂące. Il sâest Ă©loignĂ© de Toi... » Oh ! la la ! comme cela a dĂ» alarmer Son coeur !
47 Et maintenant, observez la nature. Quand Adam sâest rendu compte quâil Ă©tait perdu, quand il a compris quâil avait mal agi, et que câĂ©tait rendu manifeste devant lui quâil Ă©tait tombĂ© dans le mal, au lieu dâappeler : « à PĂšre, viens Ă moi. Je suis perdu. Jâai mal agi. Jâai Ă©tĂ© sĂ©duit. Viens Ă moi. » Il sâest cachĂ©. Câest plutĂŽt Dieu qui parcourait le jardin, en criant : « Adam, oĂč es-tu? »
Nâest-ce pas la mĂȘme chose aujourdâhui? Vous pouvez montrer Ă lâhomme avec la Parole de Dieu quand il a failli. Câest exact. Adam savait quâil avait failli. Il avait abandonnĂ© la Parole de Dieu. Et, rappelez-vous, cela ne demande pas beaucoup. Savez-vous ce qui a Ă©tĂ© Ă la base de toutes ces maladies, de tous ces problĂšmes, de la mort et de la peine pendant ces six mille ans? Câest parce quâune femme nâavait pas cru Ă une petite sphĂšre, Ă un petit point de la Parole de Dieu, juste un petit iota. Elle croyait presque toute la Parole. Satan lui a dit presque toute la vĂ©ritĂ© sur la chose. « Vous ferez ces choses, et ce... » Et puis, il a dit : « Vous ne mourrez certainement pas. » Mais, douter juste dâun petit iota fut Ă la base de tous ces problĂšmes. Est-ce juste?
Pensez-vous que douter dâun iota vous ramĂšnera aprĂšs que cela a causĂ© tout ceci? Non, non. Nous devons venir Ă la Parole. Câest la seule... Et câest Dieu. « Au commencement Ă©tait la Parole, et la Parole Ă©tait avec Dieu, et la Parole Ă©tait Dieu. »
48 Et voyez, quand Dieu a fait lâhomme, quand Il sâest mis Ă couver la terre, les fleurs des PĂąques sont apparues, lâherbe a poussĂ©, des espĂšces sont apparues, en montant de plus en plus. Le Glorieux Saint-Esprit, en couvant... « Couver » signifie « pouponner, roucouler ». « Coucou, coucou. » Les fleurs sont apparues. Le PĂšre a dit : « Câest merveilleux. Continuez Ă monter avec cela. » Et Il a couvĂ©, et peu aprĂšs, des oiseaux sont apparus. Et ensuite sont apparus des animaux. Il a continuĂ© Ă monter de plus en plus et de plus en plus. Et finalement, la terre a reflĂ©tĂ© lâimage de Celui qui couvait: Dieu. Et il Ă©tait Ă lâimage de Dieu. Il nây a jamais eu quelque chose de plus Ă©levĂ© que lâhomme, mĂȘme pour nos bien-aimĂ©es soeurs, la femme. Elle nâest pas dans la crĂ©ation originale. Elle est un sous-produit de lâhomme, une partie de lui. Et ils sont un en Christ. Oh ! quelle grande leçon nous avons maintenant ici juste devant nous, qui nous prendrait des heures, pour apporter la lumiĂšre lĂ -dessus !
49 Remarquez, nous voyons donc quâensuite, quand cet homme a reflĂ©tĂ© Dieu, alors Dieu est descendu dans Son propre reflet sous la forme dâun Homme, JĂ©sus-Christ. Et Dieu Ă©tait en Christ, le... Dieu en Christ, reflĂ©tant Lui-mĂȘme au monde ce quâIl Ă©tait : un Sauveur, un Dieu, un GuĂ©risseur, Dieu manifestant Ses vrais attributs au travers dâun Homme qui Ă©tait Son reflet. Et Dieu, pour ĂȘtre⊠parvenir Ă ceci, ne pouvait pas venir par le sexe, ce qui, au dĂ©part, a commencĂ© Ă faire rouler la balle. Mais Il a amenĂ© cela par une naissance virginale. Ne pouvez-vous pas voir ce â ce quâĂ©tait le premier pĂ©ché ? Plusieurs nâacceptent pas cela, et on crie contre la semence du serpent. Mais la chose est bien lĂ . Voyez ?
50 Maintenant, le reflet, Dieu qui se reflĂ©tait en Christ. Mais alors, quand cet homme Ă©tait perdu... Aujourdâhui, quand on montre Ă lâhomme par la Parole quâil ne devrait pas faire ces choses, quelquefois il est fidĂšle Ă une Ă©glise. Si mes amis catholiques sont ici ce matin, pardonnez-moi un instant pour ceci. Toute ma famille est aussi catholique, vous savez, de lâEglise catholique romaine.
Maintenant, remarquez. Quand ce prĂȘtre est venu me voir au sujet de beaucoup de grandes guĂ©risons, il a dit : « Vous ĂȘtes issu dâune famille catholique. Comment se fait-il que vous nâĂȘtes pas catholique? »
Jâai dit : « Je suis catholique. »
Et il a dit : « Oh ! je ne peux pas croire cela. »
Jâai dit : « Votre Ă©glise nâenseigne-t-elle pas que cette Bible, que câest JĂ©sus-Christ qui a Ă©tabli la premiĂšre Eglise catholique, et que ces apĂŽtres Ă©taient catholiques? »
« Oui. »
Jâai dit : « Alors, je crois simplement ce quâils ont Ă©crit. »
Il a dit : « Mais, Monsieur Branham, a-t-il dit, lâĂ©glise continue Ă changer. Il a donnĂ© Ă Pierre le pouvoir de â de dĂ©tenir les clefs. Et il a le pouvoir de lier ainsi que la succession apostolique des papes », et ainsi de suite.
Jâai dit : « Jâai tous vos Ă©crits, ou plutĂŽt la plupart, lĂ -bas, Les Actes de notre foi, et ainsi de suite. » Mais jâai dit : « Ecoutez. Si ces hommes qui ont Ă©crit cette Bible avaient marchĂ© cĂŽte Ă cĂŽte avec JĂ©sus (Disons que câĂ©taient des catholiques) et ils ont Ă©crit cette Bible, ne pensez-vous pas quâils en savaient plus sur la volontĂ© de Dieu et sur les commandements de Dieu que ce groupe de gens modernes dâaujourdâhui? » Et jâai dit : « Remarquez, si câest une Ă©glise, alors quand ils obĂ©issaient Ă ce que Dieu avait dit au commencement, et câest la Parole de Dieu, considĂ©rez les prodiges et les miracles et autres quâils avaient. Et vous, vous nâen avez pas du tout aujourdâhui. Câest une preuve que Dieu nâest pas avec vous. »
Il a dit : « Monsieur Branham, nous ne sommes pas censés discuter. »
Jâai dit : « Monsieur, je ne voudrais discuter avec personne. Je vous pose simplement une question. » Alors jâai fait mention du Concile de NicĂ©e et ainsi de suite.
Il a dit : « Nous ne devons pas discuter. » Il a dit : « Vous essayez de parler de la Bible, de la Parole. » Il a dit : « Dieu est dans Son Ă©glise. LĂ , câest ce que lâĂ©glise Ă©tait. Ceci, câest ce quâelle est aujourdâhui. Nous sommes censĂ©s Ă©couter lâĂ©glise aujourdâhui. »
Jâai dit : « Dieu est dans Sa Parole. »
Il a dit : « Dieu est dans Son église. »
Jâai dit : « Il est dans Sa Parole. Et si la Parole nâest pas dans lâĂ©glise, alors Dieu nâest pas dans lâĂ©glise, parce que la Parole câest Dieu. » Et jâai dit : « En outre, croyez-vous lâApocalypse? » Ce qui veut dire RĂ©vĂ©lations, câest en grec.  Croyez-vous que lâApocalypse est inspirĂ©? »
Il a dit : « Certainement. »
Jâai dit : « Alors, JĂ©sus-Christ a dit Lui-mĂȘme dans Apocalypse que quiconque retranchera une seule Parole ou Y ajoutera une seule parole, sa part sera retranchĂ©e du Livre de Vie. Comment donc pouvez-vous dire que vous avez le pouvoir de retrancher, ajouter ou faire ce que vous voulez, alors que le Fondateur de lâEglise chrĂ©tienne, JĂ©sus-Christ, vous a dĂ©fendu de le faire ? Vous ne pouvez pas faire cela. » Voyez?
51 Oh ! cette heure, ce temps terrible dans lequel nous vivons ! Et quand on montre aux hommes leurs erreurs, au lieu de chercher Ă revenir en disant : « PĂšre, jâai tort, pardonne-moi », ils se cachent quand mĂȘme derriĂšre les feuilles de figuier. Ce sont des feuilles de figuier quâils ont cousues. Et ils ont essayĂ© de... Le mot « religion » veut dire « une couverture ». Et ils ont essayĂ© de se confectionner une couverture Ă la main. Et jusquâaujourdâhui lâhomme nâa pas encore changĂ©.
Dieu a donc dĂ» convoquer une confĂ©rence. Et Il devait rencontrer Son homme, Son enfant. Et, rappelez-vous, Ses commandements disaient : « Le jour oĂč tu en mangeras, ce jour-lĂ tu mourras. » Et Dieu ne peut pas enfreindre Ses propres lois et ĂȘtre juste. Alors Il a fait un grand abĂźme entre Lui et lâhomme. Ainsi quand ils... Il voulait racheter Son enfant. Il ne voulait pas quâils sâen aillent comme cela. Il devait donc le racheter. Alors Ils ont convoquĂ© une confĂ©rence, et ce fut la premiĂšre confĂ©rence oĂč Dieu a rencontrĂ© lâhomme, la ConfĂ©rence dâEden.
52 Comment va-t-Il sauver cet homme? Que peut-Il faire pour ramener Ă Lui Ses enfants perdus? Et, rappelez-vous, Sa premiĂšre dĂ©cision est parfaite, toujours. Si câĂ©tait des crĂ©dos, des feuilles de figuier, Il aurait dit : « Adam, tu as bien agi. Sors de derriĂšre les arbres. Je pense que tu es un homme sage. Tu me reflĂštes parce que tu es sage. Tes feuilles de figuier sont tout Ă fait en ordre. »
Lâhomme continue Ă essayer cette feuille de figuier, mais Dieu a pris une dĂ©cision. Et la dĂ©cision, câĂ©tait que quelque chose devait mourir ; en effet, cela parlait de Lui, de Sa saintetĂ©, de Sa justice, vis-Ă -vis de Sa propre loi. « Le jour oĂč tu prendras cela, tu mourras. » Et il fallait un substitut qui Ă©prouvait des sensations. Les vĂ©gĂ©taux nâĂ©prouvent pas de sensation. Il devait donc tuer quelque chose pour avoir les peaux afin de les couvrir. Et câĂ©tait la dĂ©cision de Dieu sur la façon de sauver lâhomme, de ramener lâhomme Ă la communion avec Lui en Eden. Et cela est restĂ© Ă jamais ainsi.
53 Aucun homme... Je ne sais pas pendant combien de temps on a essayĂ© dâinstruire lâhomme, et de lui dire quâun programme Ă©ducatif fera lâaffaire. Combien de fois les Ă©glises ont-elles essayĂ© cela? Chaque fois cela a failli, et cela faillira. Nous essayons dâorganiser, chacun a... Eh bien, je ne suis pas contre lâinstruction. Je ne suis pas non plus contre lâorganisation. Mais lâorganisation et les programmes Ă©ducatifs, ainsi que tout le reste que nous avons fabriquĂ© de nos mains, ce sont des feuilles de figuier. Il faut revenir Ă la dĂ©cision originelle de Dieu lors de la premiĂšre confĂ©rence en Eden ; revenir au sang.
54 Les Juifs, dans les temps anciens... Maintenant, jâen arrive Ă nous pour la PentecĂŽte, juste pour quelques minutes. Dans les temps anciens, quand Dieu agrĂ©ait ce substitut, le Juif venait sur la route avec son taureau splendide. Et il disait : « Tu sais, je suis un pĂ©cheur. JĂ©hovah exige que jâoffre le sang. » Il va donc chercher son agneau ou son taureau. Il lâamĂšne au souverain sacrificateur, au temple, et il pose ses mains sur son sacrifice. Quâest-ce que cela fait? Cela identifie lâadorateur Ă son sacrifice. Et le sacrificateur vient et tue le taureau, ensuite il recueille le sang et lâasperge sur... Et cet adorateur, ce Juif, reconnaĂźt avec sincĂ©ritĂ© que câest ce que JĂ©hovah lui a exigĂ©.
Lâhomme rentrait chez lui avec un sentiment de bien-ĂȘtre, aprĂšs avoir senti le tremblement, le frĂ©missement de cet agneau, le sang qui se rĂ©pandait sur ses mains, et ainsi de suite ; et il a vu ce petit animal gigotant et mourant pendant quâon lui tranchait la gorge. Il savait que ça devait ĂȘtre lui. Il considĂ©rait son sacrifice. Il sâidentifiait Ă cela en posant ses mains dessus, en disant : « Ce devrait ĂȘtre moi. » Et alors, quand on lui tranchait la gorge, et quâil mourait, il bĂȘlait et continuait ainsi, le petit animal tremblait puis devenait inerte, et lâadorateur qui se tenait lĂ disait : « à JĂ©hovah, Tu lâas acceptĂ© Ă ma place. Jâai honte de moi-mĂȘme. » Et lâhomme rentrait chez lui justifiĂ©, parce quâil avait fait exactement ce que JĂ©hovah avait exigĂ©.
55 CâĂ©tait bien. Mais bien vite, câest devenu une tradition familiale. Eh bien, lâhomme prend son sacrifice et dit : « Eh bien, voyons donc. Oh, oui, ce sera la fĂȘte de la nouvelle lune. Je pense que je ferais mieux de commencer par purifier le tabernacle. Câest la fĂȘte de la PentecĂŽte. Je pense que je ferais mieux dâaller offrir un agneau pour moi. » Il va lĂ -bas et le tue sans rien sentir du tout, il le place⊠rentre avec la mĂȘme pensĂ©e quâil avait en arrivant lĂ . Et quâa-t-Il fait alors? Parlant de cela un peu plus tard, JĂ©hovah a dit ici dans EsaĂŻe, Il a dit : « Vos fĂȘtes solennelles sont devenues une puanteur dans Mes narines. »
Nous ne devons pas nous approcher comme une bande de Rickys et de Rickettas. Nous ne devons pas nous approcher comme une bande de gens formalistes, et tout ce quâon a aujourdâhui, de ces religions traditionnelles. Nous sommes des pentecĂŽtistes. Venons avec une sincĂ©ritĂ© profonde, posons nos mains sur notre Sacrifice lĂ au Calvaire, et sentons JĂ©sus-Christ saigner et souffrir, alors que nous nous identifions comme Ă©tant morts aux choses du monde et Ă ces idĂ©es modernes dâaujourdâhui.
56 Nous sommes comme Sodome et Gomorrhe, et nous vivons en plein lĂ -dedans. Que lâesprit juste en nous... Ces pĂ©chĂ©s tourmentent tous les jours notre Ăąme. Que les pĂ©chĂ©s du monde et les modes dâHollywood, et tout cet Ă©vangile dâHollywood et toutes ces absurditĂ©s, tout ce maquillage, et la musique qui est jouĂ©e, on sautille, puis quand la musique sâarrĂȘte, vous devenez calme. Quand un homme est lavĂ© dans le Sang de lâAgneau, il nâa pas besoin de musique ni de rien dâautre. La puissance de Dieu agit sur lui, et il peut crier, hurler, louer Dieu, ou faire nâimporte quoi dâautre, quâil y ait de la musique ou pas. Le Saint-Esprit est en lui. Il est identifiĂ© Ă JĂ©sus-Christ.
Mais aujourdâhui, nous voulons simplement... Il nous faut sauter un peu comme les pentecĂŽtistes, parce que nos ancĂȘtres lâont fait. Ils avaient quelque chose qui les poussait Ă sauter, câest ce Saint-Esprit qui les faisait sauter. Et puis, quand vous descendez, vivez toujours aussi haut que vous sautez. Sinon, ne sautez pas du tout. Nous descendons aujourdâhui et menons toutes sortes de vie. Nous jetons le discrĂ©dit sur la chose mĂȘme que nous soutenons.
57 Et nos organisations deviennent mondaines. Elles en arrivent lĂ et laissent nos frĂšres pentecĂŽtistes aller lĂ dans ces grandes Ă©coles. Elles sont trĂšs bien, je nâai rien contre elles, mais jâessaie seulement de montrer un point. Elles les instruisent et leur enseignent la psychologie, et leur donnent un diplĂŽme de licence, juste comme le font les autres, puis elles les envoient lĂ -bas. Et ce quâils sont, ils sont absolument... Ce ne sont pas des pentecĂŽtistes.
Dieu nâa pas de petits-fils; Dieu a des fils. Nous essayons de penser que notre mĂšre Ă©tait pentecĂŽtiste, notre papa Ă©tait pentecĂŽtiste et tout; ils nous ont amenĂ©s Ă lâĂ©cole du dimanche et, automatiquement, nous sommes des pentecĂŽtistes. Ăa, ce sont des petits-fils. Dieu nâa pas de petits-fils; Il a des fils et des filles de Dieu. Et tout homme doit payer le mĂȘme prix que le premier homme. Il doit venir sous le Sang versĂ© de JĂ©sus-Christ. Câest ce quâil doit faire.
58 Eh bien, nous voyons maintenant que câest ce qui... Au dĂ©but, la sincĂ©ritĂ©... Maintenant, nous essayons de penser que parce que nous avons un jeune homme ici qui veut ĂȘtre instruit... Il frĂ©quente les Ă©coles et tout ; il en sort instruit. Il sâexprime avec Ă©loquence ; il sait se tenir sur lâestrade; il a du charme. Eh bien, câest ça Hollywood. Ils veulent quelque chose qui brille. On veut avoir un homme cultivĂ©, avec une instruction raffinĂ©e. On veut avoir malgrĂ© tout un homme qui est large dâesprit, pour quâil voie... Que les femmes se coupent les cheveux, cela lui est Ă©gal. La Bible dit quâelle ne doit pas le faire. Cela lui est Ă©gal que le⊠du moment quâun diacre vient Ă lâĂ©glise, quâil est un homme de bien, quâil peut trĂšs bien payer, cela lui est Ă©gal que lâhomme soit mariĂ© plusieurs fois. « Câest en ordre, câest un homme de bien. » Mais la Bible rejette cela. Exactement.
59 Nous nâentrons pas dans lâEglise par la thĂ©ologie; nous y entrons par la genouologie. Câest juste. Nous entrons en Christ. Mais, vous voyez, aujourdâhui nous avons â nous avons cette idĂ©e selon laquelle il nous faut faire comme les autres. Câest cela qui a créé des ennuis Ă IsraĂ«l, il a voulu faire comme les autres. Notre fĂȘte solennelle de la PentecĂŽte est devenue juste une adoration formaliste. Nous savons tous cela. Et nous voyons cela devenir... Nous ne devons pas faire cela. La chose que nous devons faire, câest revenir et nous identifier Ă JĂ©sus-Christ. Suivons Sa voie et laissons-Le agir Ă travers nous. Alors les hommes suivront avec joie Celui qui a enseignĂ© autrefois : « Jâattirerai tous les hommes Ă Moi. » Comme nous aimerions continuer un peu et dire dâautres choses sur cette ConfĂ©rence dâEden. Mais jâai dâautres confĂ©rences auxquelles je voudrais en venir.
60 Prenons par exemple cette autre confĂ©rence, la ConfĂ©rence du Buisson Ardent, que jâappellerais le Buisson Ardent. Eh bien, Dieu avait un prophĂšte fugitif. Quand Dieu appelle un homme Ă faire quelque chose, celui-ci ferait mieux dây aller, sinon il sera malheureux le reste de ses jours. MoĂŻse est entrĂ© en action. Dieu lâavait appelĂ©. Il Ă©tait ordonnĂ© pour un travail. Et alors, quand il sâest mis Ă agir, les gens ne lâont pas cru, alors il a simplement laissĂ© les gens tranquilles.
Il sâest enfui et a Ă©pousĂ© une belle Ă©thiopienne et a reçu en hĂ©ritage⊠a hĂ©ritĂ© un troupeau de moutons. Et le voilĂ lĂ , et il a perdu toute la vision concernant le peuple, concernant lâEglise du Dieu vivant. Mais Dieu lâavait ordonnĂ© Ă faire la chose. Il lâavait suscitĂ©, il est sorti du sein de sa mĂšre un bel enfant, et Dieu lâavait suscitĂ© dans ce but-lĂ . Il est inutile dâessayer dây Ă©chapper, vous allez le faire de toute façon.
61 Et vous qui nâĂȘtes que des membres dâĂ©glise et qui sentez quâil y a quelque chose de plus profond dans votre coeur, vous serez misĂ©rable et malheureux jusquâĂ ce que vous acceptiez ce Christ comme cela. Vous avez vu le VĂ©ritable et Authentique Saint-Esprit Ă lâoeuvre dans les gens. Vous serez misĂ©rable jusquâĂ ce quâIl vienne Ă vous. Câest Dieu qui vous appelle. Abandonnez-vous, sortez de derriĂšre les buissons. Câest une affaire rĂ©glĂ©e, Dieu a tracĂ© Sa voie. Câest par le Sang.
Vous dites : « Eh bien, je suis membre de lâĂ©glise. » Cela ne veut rien dire de plus que si vous Ă©tiez membre du rodĂ©o, rien du tout. Je nâai rien contre lâorganisation, mais... Je ne suis pas contre les gens qui sont dans lâorganisation, mais il sâagit du systĂšme.
62 Maintenant, remarquez ceci. Eh bien, nous voyons ce buisson ardent. Dieu savait que ce prophĂšte menait une vie facile. Alors Il a dĂ©cidĂ© quâIl devrait parler Ă ce prophĂšte. Il a donc choisi un lieu. Il y avait urgence : « Jâai entendu les cris de Mon peuple. Et voilĂ lâhomme que jâai envoyĂ© pour les dĂ©livrer, et il est faible et amorphe. »
Ă Dieu, jâespĂšre quâIl en appelle un ici ce matin, les ministres pour quâils soient en feu. ConsidĂ©rez la vision. Nous mourons. Le monde est perdu. LâĂ©glise est rĂ©trograde. Dieu essaie dâappeler une Epouse Ă sortir.
Il a donc choisi un lieu, un lieu vraiment drĂŽle pour nous; câĂ©tait un buisson au sommet de la montagne. Mais cela a attirĂ© lâattention du prophĂšte. Et Il lâa appelĂ© lĂ pour une confĂ©rence.
63 Observez, il devait y obĂ©ir Ă la lettre. « Ăte tes souliers, MoĂŻse. La terre sur laquelle tu te tiens est sainte. »
Quâen serait-il si MoĂŻse avait dit : « Eh bien, maintenant, Seigneur, je viens de recevoir de lâinstruction. Pour tĂ©moigner du respect, on ĂŽte son chapeau ; donc je vais ĂŽter ce chapeau. » Cela nâaurait jamais marchĂ©. Quand Dieu a dit souliers, Il voulait dire souliers.
Quand Dieu a dit naĂźtre de nouveau, Il voulait dire naĂźtre de nouveau. Il ne veut pas dire une poignĂ©e de main ou rĂ©citer un credo. Tout le monde a peur de cette nouvelle naissance. Le diable a remplacĂ© cela par une poignĂ©e de main ou une espĂšce dâaffaire psychique qui vous ferait reconnaĂźtre : « Oui, je suis nĂ© de nouveau. » Mais votre vie rĂ©vĂšle ce que vous ĂȘtes, la vie qui est en vous.
Si vous dites que vous ĂȘtes nĂ© de lâEsprit de Dieu et que vous reniiez une seule Parole de cette Bible, cela montre que vous ne lâĂȘtes pas. Vous essayez de renvoyer cela Ă une Ă©poque rĂ©volue sur quelque chose dâautre, cela montre que ce nâĂ©tait pas le Saint-Esprit ; en effet, Il ne renie jamais Sa propre Parole. Vous dites : « Eh bien, câest ce que mon Ă©glise enseigne. » LĂ , cela montre que vous ne lâĂȘtes pas. Vous ĂȘtes nĂ© de lâĂ©glise, pas de Dieu. Ăa câest Dieu, Sa Parole.
Le voici, MoĂŻse, lâoint. « Ăte tes souliers. La terre sur laquelle tu te tiens est sainte. »
« Eh bien, mon chapeau ne ferait-il pas autant lâaffaire? »
Il a dit « souliers ». Et Il voulait bien dire « souliers ». Si Dieu dit de naßtre de nouveau, cela veut dire « naßtre de nouveau. »
64 Maintenant, Ă©coutez. Eh bien, je suis dans un groupe mixte, et il y a des jeunes enfants. Mais vous Ă©coutez votre mĂ©decin. Vous Ă©coutez... JâespĂšre que vous mâĂ©coutez et me comprenez. Toute naissance est un gĂąchis. Que ce soit dans une porcherie ou â ou dans une chambre dâhĂŽpital dĂ©corĂ©e au rose, toute naissance â naissance est un gĂąchis. Et il en est ainsi de la nouvelle naissance. Câest un gĂąchis. Elle vous fera faire des choses que vous ne pensiez pas pouvoir faire. Mais de cette mort et de cette corruption sort la vie. Et aucune semence ne peut produire sa vie si elle nâest pas morte et nâa pas pourri. Et de ce gĂąchis pourri, quand il ne reste plus rien Ă faire pourrir, câest seulement la vie qui vit.
65 Quand un fils vient Ă Dieu, il est soumis Ă des Ă©preuves. Quand je me suis tenu lĂ ce jour-lĂ , je me souviens que je passais mon Ă©preuve. Alors que jâavais passĂ© des jours et des jours, des mois et des mois, et des annĂ©es, quatre ou cinq annĂ©es aux coins des rues, prĂȘchant lâEvangile pour essayer de faire ce qui Ă©tait juste aux yeux de Dieu, mais Il a laissĂ© ma femme mâĂȘtre carrĂ©ment ĂŽtĂ©e, mon bĂ©bĂ© Ă©tendu lĂ , en train de mourir. Et je suis descendu lĂ auprĂšs du bĂ©bĂ©. Jâai dit : « Seigneur Dieu, ne laisse pas mon bĂ©bĂ© mourir. » Un pauvre petit bĂ©bĂ© ĂągĂ© de huit mois â neuf mois...
Jâai levĂ© les yeux, et câĂ©tait comme si un drap noir descendait. Il a mĂȘme refusĂ© de mâĂ©couter. Il nâa mĂȘme pas voulu me regarder. Je me suis levĂ©, jâavais environ vingt-trois ans. Ma femme gisait lĂ Ă la morgue. Il a refusĂ© de mâĂ©couter Ă propos dâelle. Alors que tout ce que jâavais fait... Jâai dit : « à Dieu, dis-moi ce que jâai fait. Si jâai mal agi, punis-moi, pas elles. » Jâai dit : « Quâai-je fait? Je travaille toute la journĂ©e, et je prĂȘche toute la nuit, et je me tiens aux coins des rues et jamais... Quâai-je fait? Dis-moi ce que jâai fait. » Il nâa mĂȘme pas voulu me parler.
66 Alors Satan sâest approchĂ© de moi. Il a dit : « Et puis, tu vas Le servir, alors quâune seule parole changerait toute la situation? Une seule parole sauvera ton bĂ©bĂ©, mais Il refuse de le faire. Il ne veut pas le faire, alors quâune seule parole pourrait... Puis tu vas continuer Ă Le servir ! »
Tout le raisonnement humain... Câest juste. Pourquoi devrais-je Le servir sâIl ne veut mĂȘme pas ne fĂ»t-ce que baisser les regards vers mon bĂ©bĂ©? Câest tout ce quâil fallait, et avec tout ce que je pensais avoir fait pour Lui, et puis Il ne voulait mĂȘme pas Ă©couter pour mon propre bĂ©bĂ©. CâĂ©tait la tentation la plus dure. Tous les raisonnements humains avaient cĂ©dĂ©. « Pourquoi devrais-je Le servir sâIl ne peut pas faire autant pour moi? Et je travaille jour et nuit pour Lui. Et Il refuse mĂȘme de me dire ce que jâai fait. »
67 Eh bien, les raisonnements humains ont disparu. Mais, oh, quand un homme est nĂ© de nouveau, quelque chose lĂ -dedans tient bon ! Cela en est arrivĂ© Ă ce point-lĂ , quand je me suis dit : « OĂč lâai-je eue? DâoĂč est-elle venue? Qui suis-je de toute façon? DâoĂč suis-je venu? » Voyez? Tout ce qui est de lâhomme sâĂ©tait envolĂ©. Alors ce VĂ©ritable et Authentique Esprit de Dieu Ă©tait lĂ .
Je suis allĂ© vers elle et jâai posĂ© mes mains sur sa tĂȘte. Elle souffrait tellement que ses petits yeux louchaient. Jâai dit : « ChĂ©rie, dans quelques instants, je vais te prendre pour te dĂ©poser dans les bras de Maman, lĂ Ă la â Ă la morgue. Je vais vous enterrer ici sous les pins. Et un jour, papa vous reverra. » Et jâai levĂ© les yeux; jâai dit : « à Dieu, mĂȘme si Tu me tues, cependant jâaurai confiance en Toi. Tu lâas donnĂ©e, Tu lâas reprise. Que le Nom du Seigneur soit bĂ©ni ! »
En effet, Ă ce moment-lĂ tous mes raisonnements humains avaient disparu. Je me trouvais au bout du rouleau. Mais quand vous vous trouvez au bout du rouleau, câest alors lĂ que ce VĂ©ritable Esprit de Dieu prend le dessus, Ă ce moment-lĂ , et vous relĂšve.
68 Il vous faut naĂźtre de nouveau. Tout doit mourir. Toute votre thĂ©ologie, toute votre pensĂ©e, tout ce que vous avez jamais Ă©tĂ© ou que vous espĂ©rez ĂȘtre, votre vie et tout le reste meurent. Et alors le Saint-Esprit vient. Câest alors que vous ĂŽtez les chapeaux, les souliers, que vous vous tenez devant Dieu. « Je ne porte rien dans mes mains, je mâattache simplement Ă Ta croix. » Câest lĂ que MoĂŻse a dĂ» en arriver, lĂ oĂč il pouvait obĂ©ir Ă ce que Dieu a dit de faire : la ConfĂ©rence du Buisson Ardent. Alors Dieu a dit : « Je vais te montrer Ma gloire maintenant », aprĂšs quâil fut disposĂ© Ă aller. Et il est descendu en Egypte.
69 Il y a la ConfĂ©rence dâEden ; il y a la ConfĂ©rence du Buisson Ardent. Prenons-en une autre rapidement. Prenons la ConfĂ©rence de la mer Rouge. Vous savez, des fois, juste quand on est en plein dans la ligne du devoir, Satan croise notre chemin. FrĂšres ministres, vous tous savez cela. ChrĂ©tiens, vous savez cela. Juste ...
Voici MoĂŻse ; il est allĂ© montrer les signes Ă IsraĂ«l, ceux Ă qui il avait montrĂ© premiĂšrement nâavaient pas voulu Ă©couter. Il revient dans la ligne du devoir, Ă©tant sous lâonction de Dieu, avec la voix mĂȘme de Dieu pour appeler mĂȘme des choses Ă lâexistence par la Parole. Il pouvait appeler des mouches. Il a utilisĂ© la voix de Dieu. Il a dit : « Que des mouches viennent. » Et il nây avait mĂȘme pas une mouche dans le pays. Il sâest retirĂ©.
Il savait que cela arriverait, parce quâil avait prononcĂ© la Parole de Dieu. Il sâest retirĂ©, et directement une vieille mouche verte a commencĂ© Ă dĂ©crire des cercles. Et aprĂšs, il y en avait deux livres [environ 907 gr â N.D.T.] sur chaque mĂštre carrĂ©.
Lâoeuvre de la crĂ©ation relĂšve aujourdâhui de lâEglise de JĂ©sus-Christ, sous le Sang de JĂ©sus-Christ, par Sa Parole qui nous met en contact avec Lui. Aucune diffĂ©rence. La Parole que nous entendons est ici. Et câest Dieu. Nous Le voyons debout lĂ . Nous savons que câest Lui qui nous parle, la mĂȘme chose. Jâai vu cela ĂȘtre fait et je sais que câest juste. Câest en accord avec la Bible.
70 MoĂŻse a reçu lâautoritĂ© lĂ , il est parti et il a montrĂ© les signes Ă IsraĂ«l. Et IsraĂ«l est sorti avec lui. Et les voici bien dans la ligne du devoir, et il y a la mer Rouge qui leur barre la route. MoĂŻse a convoquĂ© une confĂ©rence. Dieu a dĂ» choisir un lieu derriĂšre le rocher. MoĂŻse y est allĂ© et a dit : « Eternel... »
Si vous marchez dans la ligne du devoir, vous avez le droit de convoquer une confĂ©rence. Câest pour cela que nous venons prier. Câest pour cela quâon nous envoie Ă lâhĂŽpital. Câest pour cela que nous nous approchons du lit des malades : pour convoquer une confĂ©rence. Oh ! la la ! Je me sens religieux maintenant ! Convoquer une confĂ©rence. Câest ce dont les pentecĂŽtistes ont besoin aujourdâhui, convoquer une confĂ©rence. Quel est le problĂšme ? Nous avons ralenti. Il y a un lingot quelque part dans le camp. Convoquez une confĂ©rence.
71 MoĂŻse a convoquĂ© une confĂ©rence, il a dit : « Eternel, jâai fait exactement ce que Tu mâas dit, et nous voici dans un piĂšge. La mort vient, elle fond sur nous », comme un malade atteint dâun cancer. « La mort fond sur nous. » Et MoĂŻse sâest tenu lĂ jusquâĂ ce quâil ait obtenu une audience avec Dieu. Il est restĂ© lĂ jusquâĂ ce que Dieu ait parlĂ©. Il connaissait Sa voix, il Ă©tait un prophĂšte.
Il a dit : « Pourquoi cries-tu Ă Moi, MoĂŻse? Je tâai donnĂ© lâautoritĂ© pour amener ces gens lĂ -bas, et Jâai dit que câest toi qui le ferais. Parle au peuple et allez de lâavant. » Amen.
La mer Rouge a commencĂ© Ă se retirer, et tout le reste, quand Dieu a prononcĂ© la Parole, quand il avait Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© de ce quâil devait faire. « Me voici en face de cela, que dois-je faire ? »
« Parle et va de lâavant. » Et la mer Morte sâest retirĂ©e.
Notre temps sâenvole, et je â jâai tellement⊠dâautres passages auxquels jâaimerais me rĂ©fĂ©rer. Allons vite. Jâen ai encore beaucoup : David et les autres.
72 Mais ici, rappelez-vous, une fois il y eut la ConfĂ©rence de GethsĂ©mani, oĂč Dieu et Son Fils devaient se rĂ©unir. AprĂšs tout, il nây avait personne dâautre qui pouvait mourir pour les pĂ©chĂ©s du monde. Personne nâĂ©tait digne de mourir, aucun homme. Chaque homme de ce monde Ă©tait nĂ© par un dĂ©sir sexuel. Et câest ce qui a Ă©tĂ© Ă la base du chaos au commencement. Câest ce qui a coupĂ© cela, câest ce qui a fait de nous des crĂ©atures hybrides. Nous sommes nĂ©s du sexe, par un dĂ©sir humain. Câest hybride. Quelque chose Ă©tait... Câest la raison pour laquelle la mort y est attachĂ©e, comme je lâai dit hier soir.
Mais lorsque Dieu crĂ©a Son premier homme, Il nâa jamais demandĂ© Ă la femme et Ă lâhomme de sâunir. Il lâa créé Ă partir de la terre. Il Ă©tait une plante authentique. Câest son pĂ©chĂ© qui lâa rendu hybride. Câest ça le problĂšme aujourdâhui, câest la raison pour laquelle nous avons tant de pentecĂŽtistes hybrides. Vous Ă©coutez le raisonnement au lieu de la Parole. Revenez, frĂšres; revenez.
73 Remarquez, lĂ dans les groupes mĂ©langĂ©s, je ne dis pas ceci. Câest entre vous, vous pentecĂŽtistes qui ĂȘtes ici, et nous. Nous ne venons pas ici pour ĂȘtre entendu. Je viens ici pour essayer dâaider. Je viens... Si je â si je me tiens ici pour dire que je â jâai parlĂ© dâun certain sujet ce matin, cela fait de moi un hypocrite. Je viens ici avec la vĂ©ritĂ©, et une vĂ©ritĂ© que je veux que vous connaissiez, quelque chose que je crois que Dieu a mis sur mon coeur pour vous aider, afin que nous voyions lâheure dans laquelle nous vivons. Voyez?
74 Il y a la ConfĂ©rence de GethsĂ©manĂ©, oĂč Celui-lĂ qui, seul, pouvait mourir en Ă©tait arrivĂ© Ă lâheure cruciale. Alors quand ce grand moment est venu, câest lĂ quâIl a dĂ» prendre Sa derniĂšre dĂ©cision. Sans doute que le PĂšre a dit : « Es-tu toujours disposĂ© Ă faire cela, Mon Fils? »
Il a dit : « Est-il possible, PĂšre, que Tu puisses trouver quelquâun dâautre quelque part? Jâaime Mon peuple. Jâaime les frĂšres que Tu mâas donnĂ©s. Est-il possible que quelquâun dâautre puisse... »
« Non, Tu es le Seul qui peut faire cela. Tu es le seul qui est nĂ© dâune vierge. Tu es le seul qui est nĂ© en dehors du sexe. Aucun autre homme, aucun Ă©vĂȘque, aucun pape, aucun cardinal, personne ne peut Tâaider. Câest Celui-lĂ . Tu es le Seul qui puisse faire cela. » Alors la confĂ©rence Ă©tait...
Satan se tenait lĂ , prĂȘt Ă rĂ©clamer la race humaine. Il a dit quâil en avait le droit parce quâils avaient pĂ©chĂ©.
75 Comme vous avez ici les bandes sur les Sept Sceaux, quand lâAgneau sâest avancĂ© pour rĂ©clamer Sa rĂ©demption, ce quâIl avait rachetĂ©, le temps Ă©tait alors terminĂ©. Il est Ă lâoeuvre maintenant, faisant lâoeuvre de la rĂ©demption. Mais un jour, Il quittera le sanctuaire pour prendre le Livre de la rĂ©demption quâIl a acquis au prix de Son propre Sang. Alors il nây a plus de temps. Il vient donc pour rĂ©clamer ce quâIl a rachetĂ©.
Il se tenait lĂ Ă GethsĂ©manĂ©, dans cette grande souffrance. Le pĂ©chĂ© de chaque homme Ă©tait sur Lui. Tout ce qui soit jamais mort, la mort de tout cela Ă©tait mise sur Lui. Et Il Ă©tait innocent, mais Il devait devenir pĂ©chĂ©. « Peux-Tu, saint Fils de Dieu, accepter le pĂ©chĂ© dâadultĂšre? Peux-Tu accepter le pĂ©chĂ©, la peine dâadultĂšre? Peux-Tu accepter le pĂ©chĂ©, la peine du mensonge? Peux-Tu accepter le pĂ©chĂ© de toutes ces choses et porter celles-ci sur Toi, quoique Tu sois innocent? » Il Ă©tait le seul. La confĂ©rence sâest tenue. Quâa-t-Il dit? « Non pas Ma volontĂ©, que Ta volontĂ© soit faite. » Ă Dieu, puissions-nous tous arriver Ă une ConfĂ©rence de GethsĂ©manĂ©, Ă ce contrĂŽle final.
76 Puis un jour il y a eu une autre confĂ©rence. Quelques jours aprĂšs cela, environ quarante jours, il y a eu une confĂ©rence aprĂšs Sa mort, Son ensevelissement, et Son ascension. LâEglise chrĂ©tienne allait ĂȘtre organisĂ©e. Les mĂ©thodistes, les baptistes, les presbytĂ©riens, les luthĂ©riens, nous tous. Ecoutez maintenant juste un instant, pour terminer.
Il vint un temps oĂč Dieu nâenvisageait pas prendre seulement un peuple, tel quâIsraĂ«l est Son peuple. IsraĂ«l sera sauvĂ© en tant que nation (Câest la Bible qui le dit.), et naĂźtra en un seul jour. Dieu traite avec IsraĂ«l en tant quâun pa⊠en tant que â en tant quâun peuple. Mais Il traite avec lâEglise comme des individus. Il a appelĂ© du milieu des Gentils un peuple qui portĂąt Son Nom.
Maintenant, nous voyons que le moment est donc arrivĂ©. Comment cette Ă©glise doit-elle ĂȘtre dirigĂ©e? On leur a dĂ©fendu, bien quâils avaient prĂȘchĂ©, bien quâils avaient guĂ©ri (Ecoutez-moi.), bien quâils â ils avaient prĂȘchĂ©, bien quâils avaient guĂ©ri, bien quâils avaient vu de grands miracles et prodiges, et bien quâils Ă©taient tĂ©moins quâIl Ă©tait le Fils de Dieu, cependant Il leur avait dĂ©fendu de prĂȘcher jusquâĂ ce quâils auraient tenu cette confĂ©rence.
« Attendez lĂ dans la ville de JĂ©rusalem. Je vous ferai savoir comment lâEglise chrĂ©tienne doit ĂȘtre dirigĂ©e. Je vous le ferai savoir, si Je dois avoir un Ă©vĂȘque, ou un cardinal, ou un pape, ou tout ce que je vais avoir. Je vous le ferai savoir. Je mâen vais au Ciel tenir une confĂ©rence, et vous, attendez lĂ jusquâĂ ce que vous entendiez les conclusions. » Amen, amen.
77 Je me souviens que lorsquâils tenaient cette ConfĂ©rence de GenĂšve, mon vieil ami prĂ©dicateur, Dr. Pettigrew, Ă Louisville, a dit quâil suivait la radio, il suivait. Le sort de la nation Ă©tait en jeu. Il voulait savoir ce que serait la dĂ©cision, ce quâils allaient faire. Et un hippie est venu Ă la porte avec ses cheveux qui lui tombaient sur le visage, et il a dit : « Dr. Pettigrew, si je comprends bien, vous ĂȘtes un â un homme trĂšs â trĂšs influent. » Il a dit : « Je â jâai quelques chansons du rock and roll que... Les â les gens ne mâĂ©couteront pas. Si vous voulez bien me donner un petit coup de pouce... »
Il a dit : « Fiston, reste lĂ juste un instant. » Il a dit : « Je suis â je suis en train de suivre pour voir ce que seront les conclusions. »
Il a dit : « Mais Dr. Pettigrew, a-t-il dit, ceci est trĂšs important. » Il a dit : « Ăa reprĂ©sente beaucoup pour moi. » Comme si cela Ă©tait plus important que suivre les conclusions de la ConfĂ©rence des Quatre Grands.
Câest ainsi que sont les gens aujourdâhui. Un petit hippie, ou quelque chose comme ça, vient tout autour au nom de la â de la religion et cherche Ă dĂ©tourner votre attention pour que vous ne suiviez pas les vĂ©ritables conclusions. Une petite poule mouillĂ©e minable, mesquine, religiositĂ© (sâil existe un tel mot dans lâusage), qui a plus de membres et de meilleurs gens, qui a une plus grande Ă©glise et une grande foule derriĂšre, essayant dâattirer votre attention. FrĂšres, ne lâĂ©coutez pas. Nous avons les conclusions Ă©crites ici.
78 Comme Ă la ConfĂ©rence de la PentecĂŽte, il a Ă©tĂ© dit : « Ne chantez plus de cantiques. Ne prĂȘchez plus. Mais allez lĂ -bas et attendez jusquâĂ ce que cette confĂ©rence sera terminĂ©e ; Je vais vous envoyer les nouvelles. Je vais vous dire qui est le plus grand parmi vous. Je vais vous dire exactement ce que vous devez faire, si vous devez avoir une organisation, si vous devez avoir un pape, ou un Ă©vĂȘque, ou quoi que ce soit que vous ĂȘtes censĂ©s avoir. Je vais vous dire quoi. Mais attendez jusquâĂ ce que vous entendiez les conclusions. Nous allons au Ciel pour en dĂ©cider. » Et Il est montĂ© en haut, Il a emmenĂ© des captifs, Il sâest assis Ă la droite de Dieu, et Il a envoyĂ© des dons aux hommes.
Alors le jour de la PentecĂŽte, ils attendaient. Oh ! que serait-il arrivĂ© si câĂ©tait... Et si â si AndrĂ© avait dit, environ six jours aprĂšs : « Vous savez, frĂšres, je crois que nous ne devons plus attendre. Je crois que câest par la foi que nous recevons notre ministĂšre. Nous devrions aller de lâavant, commencer carrĂ©ment et exercer dĂ©jĂ notre ministĂšre, tout de suite. » Câest lĂ le problĂšme dâun grand nombre de ministres. Ils ne restent pas lĂ assez longtemps, jusquâĂ ce quâils entendent les conclusions, quâils reçoivent leur commission.
79 « Eh bien, vous savez... » Peut-ĂȘtre quâil y aurait eu un autre du nom de Philippe, qui se serait levĂ© et qui aurait dit : « Vous savez, je me sens trĂšs bien. AprĂšs tout, nous connaissons ceci, ce quâIl veut faire. »
Ăa pourrait ĂȘtre ça, frĂšres. Vous pouvez avoir une licence Ăšs lettres, un doctorat en thĂ©ologie, un doctorat en droit, et que sais-je encore, et cela ne veut rien dire. Votre connaissance ne signifie rien. Tous vos sĂ©minaires ne veulent simplement rien dire. Vous devez attendre les conclusions pour voir ce que Dieu dit. Aucun homme nâa le droit de prĂȘcher lâEvangile sans avoir rencontrĂ© â premiĂšrement rencontrĂ© JĂ©sus-Christ comme une Personne, pas comme un certain thĂ©olog⊠â thĂ©oloâŠ(Eh bien, vous savez ce que je veux dire.), un certain diplĂŽme en thĂ©ologie, diplĂŽme en thĂ©ologie. Il nâa aucun droit de le faire sur base de cela. Peu importe combien il est capable dâexpliquer cela, ce nâest pas ça.
80 Câest tout Ă fait comme MoĂŻse. Il pouvait enseigner la sagesse aux Egyptiens. Il Ă©tait lâhomme le plus intelligent du pays, mais il a dĂ» aller en confĂ©rence avec Dieu. Et aucun homme nâa le droit de prĂ©tendre ĂȘtre un chrĂ©tien, aucune femme, aucun enfant, aucun prĂ©dicateur surtout, Ă moins quâil ait Ă©tĂ© en personne sur ces sables sacrĂ©s oĂč il a rencontrĂ© Dieu. Tous les thĂ©ologiens du monde, tous les infidĂšles du monde ne peuvent pas lui ĂŽter cela Ă force dâexplications. Il Ă©tait lĂ ; cela est arrivĂ©. Cela lui est arrivĂ©. Il sait oĂč il se tient.
Ils sont allĂ©s lĂ le jour de la PentecĂŽte. Et nous nâavons pas vu un... Maintenant, je ne suis pas... Je fais juste une remarque. Nous ne voyons pas cela lĂ -bas, lĂ oĂč lâĂ©vĂȘque sâamĂšne avec son cartable en main, pour dire : « Eh bien, câest le Seigneur qui mâa envoyĂ©. Je veux vous imposer les mains, frĂšres, et vous envoyer. » Ăa, câest la version 1963 de la chose : lâĂ©vĂȘque et son staff.
Pendant que nous pensons Ă eux, prenons simplement cela, avec le respect quâon doit Ă nos amis catholiques. Disons quâun prĂȘtre sâamĂšne lĂ avec les soi-disant derniers sacrements. « Faites sortir la langue et prenez lâhostie, et moi, je vais boire le vin. Et alors vous deviendrez membre. » Si câĂ©tait cela, câest ce qui aurait Ă©tĂ© au dĂ©but. Dieu est infini. Sa dĂ©cision est juste comme câĂ©tait dans le jardin dâEden. Il... Sa premiĂšre dĂ©cision rĂšgle la question.
81 Eh bien, quâont-ils fait? Ils ont attendu, et attendu, et ils nâĂ©taient pas satisfaits. Ils ont attendu jusquâĂ ce quâil vint du Ciel un bruit comme celui dâun vent impĂ©tueux. Cela a rempli toute la maison oĂč ils se trouvaient. Des langues semblables Ă des langues de feu se posĂšrent sur eux, et ils furent tous remplis du Saint-Esprit, et se mirent Ă parler en dâautres langues, selon que lâEsprit leur donnait de sâexprimer.
Un groupe de poltrons qui avaient peur dâĂ©vangĂ©liser, un groupe de poltrons qui avaient peur de faire face aux dignitaires et aux cĂ©lĂ©britĂ©s de la ville ainsi quâaux critiqueurs religieux, Ă©tait dehors dans la rue, tĂ©moignant : « Câest ça la chose. » CâĂ©tait la dĂ©cision de Dieu.
Quelques jours aprĂšs que les Samaritains... Philippe est allĂ© lĂ , il leur a prĂȘchĂ© et les a baptisĂ©s au Nom de JĂ©sus-Christ, bien que le Saint-Esprit nâĂ©tait encore tombĂ© sur aucun dâeux. Alors ils ont envoyĂ© chercher Pierre et lâont amenĂ© lĂ . Ils savaient... Ils Ă©taient dans une grande joie. Ils Ă©taient heureux et se rĂ©jouissaient, et ils ont passĂ© de grands moments. Et ils ont eu de grandes guĂ©risons et tout. Maintenant, vous les frĂšres nazarĂ©ens, pĂšlerins de la saintetĂ©, mĂ©thodistes, Ă©coutez. Il ne sâagit pas de la guĂ©rison. Il ne sâagit pas de la joie. Il sâagit dâune expĂ©rience. Il sâagit du Saint-Esprit, de Christ Lui-mĂȘme qui entre en vous en tant quâune Personne.
82 Ils ont envoyé chercher Pierre et Jean qui sont venus leur imposer les mains, et le Saint-Esprit est venu sur eux. Dans Actes 10.49, nous voyons que pendant que Pierre parlait aux païens : « Comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit descendit sur tous ceux qui écoutaient cela. Car ils les entendaient parler en langues et glorifier Dieu. »
Et Pierre a dit : « Peut-on refuser lâeau Ă ceux qui ont â ont reçu le Saint-Esprit aussi bien que nous au commencement? »
Paul, dans Actes 19, parlait Ă un groupe de baptistes, aprĂšs avoir parcouru les hautes provinces dâEphĂšse. Il rencontra quelques disciples. Ils Ă©taient heureux. Ils avaient lĂ un grand prĂ©dicateur baptiste du nom dâApollos. Et câĂ©tait un avocat qui sâĂ©tait converti. Et il disait quâil Ă©tait prouvĂ© dans la Bible que JĂ©sus Ă©tait le Christ.
83 Et Aquilas et Priscille, qui faisaient des tentes avec Paul, ont dit : « Notre frĂšre Paul est en prison lĂ -bas. » Quel endroit pour un prĂ©dicateur ! Il Ă©tait en prison pour avoir chassĂ© le dĂ©mon dâune diseuse de bonne aventure. Et il a dit : « Il â il est en prison, mais il nous visitera bientĂŽt, et il tâexpliquera plus exactement la Parole de Dieu. »
Et ils ont passĂ© de bons moments, comme tous les bons baptistes, en criant, en louant Dieu, ayant des guĂ©risons, des miracles et tout. Mais quand Paul, un apĂŽtre, est arrivĂ© et quâil les a Ă©coutĂ©s, il a dit : « Avez-vous reçu le Saint-Esprit aprĂšs avoir cru ? » Ils pensaient Lâavoir. Voyez? « AprĂšs avoir cru. » Nous pensons que nous Lâavons quand nous croyons. Câest faux. Il a dit : « Avez-vous reçu le Saint-Esprit aprĂšs avoir cru ? »
Ils ont dit : « Nous ne savons pas ce que câest, ou quâil y en ait Un. »
Il a dit : « De quel baptĂȘme avez-vous Ă©tĂ© baptisĂ©s ?
Ils ont dit : « De Jean. »
Il a dit : « Cela ne peut plus marcher. Vous devez ĂȘtre rebaptisĂ©s. »
Alors il les a baptisĂ©s au Nom de JĂ©sus-Christ, il leur a imposĂ© les mains, et le Saint-Esprit est venu sur eux, et ils ont parlĂ© en langues et ont glorifiĂ© Dieu. Comment? Juste comme les autres lâavaient fait au commencement. Câest la mĂȘme formule qui a Ă©tĂ© appliquĂ©e.
84 Lorsquâun mĂ©decin fait une prescription, ne laissez aucun de ces pharmaciens charlatans essayer de sâamuser avec cela. Sâil vous donne trop dâantidotes, cela ne pourra pas faire de mal⊠vous aider. Et sâils mettent trop de poison, cela vous tuera. Ne vous amusez pas avec la formule de Dieu ; appliquez-la telle quâelle a Ă©tĂ© donnĂ©e Ă la confĂ©rence. CâĂ©tait lĂ les ordres. Amen. Je Lâaime.
Cela me rappelle les parents de JĂ©sus. Ils sont allĂ©s Ă la fĂȘte de la PentecĂŽte. Sur leur chemin du retour, ils se sont rendu compte⊠Ils avaient fait trois ou quatre jours, et ils ont remarquĂ© quâIl nâĂ©tait pas avec eux. Ils ont commencĂ© Ă se poser des questions. Câest ce quâil en est aujourdâhui. Nos Ă©glises commencent Ă se rendre compte : « OĂč est parti JĂ©sus ? Quâest-il arrivé ? Nous sommes des pentecĂŽtistes, mais quâest-il arrivé ? Nous sommes des mĂ©thodistes, mais quâest-il arrivé ? OĂč est parti JĂ©sus ? »
Ils ont commencĂ© Ă chercher parmi leurs membres de famille. Câest ce que⊠Nous nous mettons Ă penser Ă ce que Moody a dit, Ă ce que Sankey a dit, Ă ce que Finney a dit. Ăa, câĂ©tait leur jour. Nous sommes plus loin sur la route.
85 Si nous nous mettons Ă chercher derriĂšre comme eux⊠Ils sont allĂ©s auprĂšs de leurs membres de famille et ils ne Lâont pas trouvĂ©. Ils sont allĂ©s auprĂšs de tous leurs membres de famille, des Ă©vĂȘques, et ainsi de suite. Ils ne Lâont pas trouvĂ©. Finalement, ils Lâont trouvĂ© juste Ă lâendroit oĂč ils Lâavaient laissĂ©. OĂč Lâavaient-ils laissé ? A la fĂȘte de la PentecĂŽte. Ils devaient rentrer jusque-lĂ oĂč ils Lâavaient laissĂ© avant de Le trouver.
Et, Ă©glise, câest ce que nous devons faire : rentrer lĂ oĂč nous Lâavons laissĂ©. Il nous faut nous Ă©loigner de certaines de nos traditions, retourner Ă lâendroit oĂč nous Lâavons laissĂ©. Si vous voulez savoir oĂč vous Lâavez laissĂ©, tenez une petite confĂ©rence biblique et sans mettre des gants. Dites simplement la vĂ©ritĂ©.
Nous allons attendre maintenant jusquâĂ ce que nous voyions comment câĂ©tait. Aucun Ă©vĂȘque, ni rien, seul le Saint-Esprit Ă©tait censĂ© conduire lâEglise. Câest le seul conducteur que nous avons, le Saint-Esprit. Et Il conduit conformĂ©ment Ă la Parole. Vous dites : « Eh bien, jâai le Saint-Esprit », et vous reniez la Parole. Alors, ce nâest pas le Saint-Esprit, parce que câest le Saint-Esprit qui a Ă©crit la Bible. Câest juste. Ce nâest donc pas le Saint-Esprit.
86 Ecoutez, alors que nous terminons. Dans les confĂ©rences du monde, que font les gens ? Ils mangent ensemble, ils parlent ensemble, ils font des histoires ensemble, ils se racontent des mensonges lâun Ă lâautre Ă la confĂ©rence du monde, Ă la confĂ©rence du monde des nations.
Mais ce que⊠Quand Dieu convoque une confĂ©rence, quâarrive-t-il ? Les gens se rencontrent. Ils ne festoient pas, mais ils font le jeĂ»ne. Ils ne font pas des histoires, mais ils prient. Ils attendent de recevoir des ordres pour aller de lâavant. Câest ce dont lâEglise a besoin aujourdâhui, aller de lâavant. Recevoir des ordres. Et vous dites : « Eh bien, comment puis-je trouver les ordres ? » Les voici. Voici les ordres.
« Comment le savez-vous, FrÚre Branham ? »
La maniĂšre dont Dieu avait conçu la rĂ©demption au dĂ©part, câĂ©tait par le sang, et Il ne changera jamais cela. Quand Dieu prend une dĂ©cision⊠Câest la raison pour laquelle vous pouvez accrocher votre Ăąme Ă cette Bible, Ă chaque point de ce quâElle dĂ©clare, parce que câest la Parole de Dieu. Et Dieu, Ă©tant infini, ne peut pas dire : « Eh bien, je mâĂ©tais trompĂ© il y a deux mille ans. » Dieu est Ă©ternel. Il nâa jamais eu de commencement. Il nâaura jamais de fin. Et le seul moyen pour vous de pouvoir ĂȘtre comme Lui, câest dâĂȘtre une partie de Lui.
87 Le jour de la PentecĂŽte⊠Cette glorieuse Colonne de Feu qui avait suivi IsraĂ«l, ou plutĂŽt quâIsraĂ«l avait suivie dans le dĂ©sert, voyez-vous, cette glorieuse Colonne de Feu Ă©tait Dieu, lâAnge de lâAlliance, JĂ©sus-Christ. MoĂŻse a regardĂ© lâopprobre de Christ comme un trĂ©sor plus grand que ceux de lâEgypte. Alors il a abandonnĂ© lâEgypte et a suivi Christ. Remarquez, quâest-ce que Dieu a fait le jour de la PentecĂŽte ? Il a pris cette grande Colonne de Feu et Lâa divisĂ©e. CâĂ©tait Lui-mĂȘme. Des langues de feu, des langues divisĂ©es, des langues sĂ©parĂ©es les unes des autres, sont descendues, des langues divisĂ©es, et se sont posĂ©es sur chacun dâeux.
Oh ! ne pourrions⊠Nous devrions avoir honte de laisser nos organisations nous diviser, alors que Dieu sâest divisĂ© Lui-mĂȘme parmi nous afin que nous soyons un. « A ceci tous connaĂźtront que vous ĂȘtes Mes disciples. » Entendez-vous cela, frĂšres et soeurs ? Dieu sâest divisĂ©. Nous ne sommes jamais divisĂ©s, lâun et lâautre, parce que nous faisons parti de Dieu.
88 Laissez simplement ce feu se joindre Ă ce feu-ci, un moment aprĂšs vous verrez que cela va se mettre en marche. Câest passĂ© par Luther, Wesley, la PentecĂŽte. Et nous verrons que la pyramide sera coiffĂ©e lâun de ces jours. Vous savez quâelle nâa jamais Ă©tĂ© coiffĂ©e, la pyramide qui se trouve au verso de votre dollar. « Le grand sceau », comme on lâappelle. Et nous, en AmĂ©rique,⊠Voici le sceau amĂ©ricain de ce cĂŽtĂ©-ci, mais pourquoi appelle-t-on le grand sceau, celui quâEnoch a construit ? Maintenant, il ne sâagit pas de la doctrine sur la pyramide, car je ne crois pas dans ce genre dâhistoires.
Mais ils nâont jamais coiffĂ© la pyramide. Pourquoi ? La â la Pierre de faĂźte a Ă©tĂ© rejetĂ©e. Mais un de ces jours, Elle reviendra. Dieu soit loué ! Et, voyez-vous, dans cette Pyramide, jây ai Ă©tĂ©, les pierres sont taillĂ©es de maniĂšre si correspondante que vous ne pouvez mĂȘme pas y faire passer une lame de rasoir, il nây a pas de mortier entre elles. Elles sâassemblent si parfaitement que câest comme si câĂ©tait une mĂȘme pierre. Et quand cette Ă©glise sera taillĂ©e et amenĂ©e Ă lâimage parfaite de JĂ©sus-Christ, Il viendra, Il ressuscitera tous les saints quand Il viendra et Il les amĂšnera avec Lui. LâEglise du Dieu vivant sera enlevĂ©e.
89 Mais, frĂšres, nous ne serons pas comme Eve, lâun ayant ceci et lâautre ayant cela, un corps dĂ©figurĂ©. Ce sera littĂ©ralement ce que Dieu a dit. Vous dites : « FrĂšre Branham, quâa-t-Il dit alors ? Il ne nous lâa jamais dit. »
TrĂšs bien, Pierre lâa dit. Quand les gens ont voulu savoir : « Comment entre-t-on dans ceci ? » Quâest-il arrivé ? Il nous a donnĂ© la formule.
Eh bien, sâIl avait dit de serrer la main et de se joindre Ă lâĂ©glise, ce serait cela la chose. Et sâIl avait dit de se tenir sur la tĂȘte, ce serait cela la chose. SâIl avait dit, nous allons instituer un grand homme, et Ă©tablir un grand corps, un grand pape, un grand ceci, cela, ce serait cela la chose.
Mais quâa-t-Il dit ? « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisĂ© au Nom de JĂ©sus-Christ pour le pardon de vos pĂ©chĂ©s, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. »
90 Et tant que Dieu appelle, ça doit ĂȘtre la mĂȘme formule, pas serrer la main, rĂ©citer un credo, mais ĂȘtre baptisĂ© du Saint-Esprit pour former le Corps de JĂ©sus-Christ. Câest ainsi que lâEglise chrĂ©tienne doit ĂȘtre dirigĂ©e, pas par des crĂ©dos, pas par une dĂ©nomination, pas par lâinstruction, pas par la thĂ©ologie, mais par le baptĂȘme du Saint-Esprit, afin de conduire des hommes et des femmes. Et Il ne vous conduira jamais en dehors de la Parole de Dieu. Il vous conduira droit Ă la Parole de Dieu, parce que « lâhomme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu ».
Avez-vous encore deux ou trois minutes, quatre ? Jâai une autre confĂ©rence que jâaimerais Ă©voquer pour vous. Jâai mentionnĂ© cela ici, câest Actes 4 qui en parle, et je sais ce que cela signifie.
Actes 4, aprĂšs que les disciples eurent commencĂ© Ă prĂȘcher, les Ă©glises se mirent Ă les critiquer. Elles ont commencĂ© Ă leur faire⊠Les Ă©glises disaient : « Eh bien, attendez un instant. Vous pouvez aller de lâavant et accomplir vos miracles. Vous pouvez faire toutes ces choses. Mais ne prĂȘchez plus au Nom de JĂ©sus-Christ. » Ils les ont frappĂ©s jusquâà ⊠meurtrissures et tout le reste. Quâont-ils donc fait ? Il fallait que quelque chose soit fait. Ils Ă©taient frappĂ©s dâune interdiction ; la loi dĂ©clarait quâils ne pouvaient plus prĂȘcher comme cela.
91 Oh ! frĂšre, jâaurais souhaitĂ© avoir juste un peu plus de temps. Lâheure vient oĂč soit vous ferez entrer votre organisation dans le conseil mondial des Ă©glises, vous allez⊠Si vous faites cela, vous recevez lâimage de la bĂȘte ; en effet, vous avez un pouvoir exactement comme câĂ©tait Ă Rome. Et si vous ne le faites pas, vous serez une Ă©glise isolĂ©e, indĂ©pendante. Et alors, lâimage de la bĂȘte va fermer vos portes, et vous serez frappĂ© dâinterdiction. Et alors, vous aurez besoin dâune confĂ©rence. Voyez-vous ?
« Les gens nous disent que nous ne pouvons plus, que nous ne pouvons pas prĂȘcher au Nom de JĂ©sus. Consultons Dieu et voyons si nous le pouvons ou pas. » Ils sont donc montĂ©s tenir une confĂ©rence. Eh, oh, oh, oh ! excusez-moi. Il nous en faut une comme celle-lĂ ce matin. « Est-il convenable pour nous dâobĂ©ir Ă lâhomme ou Ă Dieu ? », a dit lâapĂŽtre.
92 Ils ont tenu une confĂ©rence sur ce que nous avons eu ce matin. Ils se sont levĂ©s et ont donnĂ© la⊠leur⊠« LâĂ©glise nous dit que nous ne pouvons pas prĂȘcher, Ă moins de nous joindre Ă leur groupe », et ainsi de suite. « Et nous ne pouvons pas avoir ce ministre, Ă moins que lâorganisation le dĂ©clare. Et peu importe combien câest oint, nous devons faire ceci, cela », et vous savez comment ça se passe, chaque groupe et ainsi de suite.
« Quâallons-nous faire ? » Ils ont tenu une confĂ©rence, ils se sont agenouillĂ©s et ont commencĂ© Ă prier. Câest la ConfĂ©rence dâActes 4. Et alors, tous dâun commun accord : « Seigneur, pourquoi de vaines pensĂ©es parmi les peuples, ou plutĂŽt ce tumulte parmi les nations, et ces vaines pensĂ©es parmi les peuples ? Etends la main de Ton Saint Fils, JĂ©sus, pour guĂ©rir les malades. On nous a interdit de faire ceci. » Et tous priaient dâun commun accord.
93 Vous parlez⊠Certains nous critiquent parce que tout le monde prie au mĂȘme moment. Comment auriez-vous voulu ĂȘtre dans ce groupe-lĂ , tous dâun commun accord ? Quelquâun a dit : « Comment Dieu peut-Il entendre cela ? »
Combien de priĂšres pensez-vous quâIl entend Ă la fois de toute façon ? Vous oubliez une chose : Il nâest pas limité ; Il est infini. Voyez-vous ?
Et quand ils ont tous priĂ© dâun commun accord, la Bible dit que la maison oĂč ils sâĂ©taient assemblĂ©s trembla. Amen. Les conclusions Ă©taient envoyĂ©es. Et ils sont allĂ©s prĂȘcher JĂ©sus-Christ partout, Dieu oeuvrait avec eux, confirmant la Parole. La confĂ©rence dâActes 4 â 4.
94 Oh ! frĂšre, juste une minute. Il y a une autre confĂ©rence. Il se peut que vous nâayez pas assistĂ© Ă lâune de ces confĂ©rences ; il se peut que vous nâayez pas assistĂ© Ă ces confĂ©rences du monde. Rappelez-vous, il se peut que vous nây ayez pas assisté ; mais, rappelez-vous, il y a une confĂ©rence dont je vais parler maintenant, et Ă laquelle vous allez assister. Peu importe qui vous ĂȘtes, vous allez y assister. Vous Ă©tiez excusable jusquâĂ maintenant. Mais Ă partir de cet instant, vous ne le serez pas. Câest la confĂ©rence qui se tiendra au Jugement. Câest juste. Vous allez tous ĂȘtre lĂ , chacun de nous. Et nous allons rendre compte de ce que nous avons fait et dit sur cette terre. Câest une confĂ©rence Ă laquelle vous allez assister.
Chaque fois que vous entendez une sirĂšne passer dans la rue, rappelez-vous, cela vous interpelle. Vous nâĂȘtes pas ici pour trĂšs longtemps. Quand vous voyez un cheveu gris apparaĂźtre, des Ă©paules se voĂ»ter, quand vous voyez un hĂŽpital, une tombe, quâest-ce ? Câest un tĂ©moignage que vous nâĂȘtes pas ici pour toujours, et vous vous dirigez vers cette confĂ©rence. Et nous allons tous y ĂȘtre.
95 Nous allons devoir rendre compte de ce que nous avons fait de JĂ©sus-Christ. Est-ce juste ? Et qui est JĂ©sus-Christ ? La Parole. « Au commencement Ă©tait la Parole, et la Parole Ă©tait avec Dieu, et la Parole Ă©tait Dieu. Et la Parole a Ă©tĂ© faite chair, et Elle a habitĂ© parmi nous ; JĂ©sus-Christ le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement. » Dieu oeuvrant dans les trois dispensations.
Câest la raison pour laquelle Il a dit quâIl sâappelle PĂšre, Fils et Saint-Esprit. Voyez-vous ? Non pas trois Dieux diffĂ©rents. Câest lĂ que vous vous embrouillez. Il ne sâagit pas de trois Dieux diffĂ©rents, il sâagit dâun seul Dieu dans trois manifestations (Voyez-vous ?) de â dâun seul Dieu. Nous nâavons quâun seul Dieu. Nous ne sommes pas des paĂŻens. Voyez-vous ? Mais nous avons un seul Dieu, et trois manifestations. Câest la raison pour laquelle Matthieu a dit : « Baptisez-les au Nom du PĂšre, Fils et Saint-Esprit », parce que, voyez-vous, câĂ©tait un⊠un⊠Ce mĂȘme Dieu qui Ă©tait dans lâAncien Testament, câĂ©tait le mĂȘme Dieu qui a Ă©tĂ© rendu manifeste, et câest le mĂȘme Dieu qui est ici aujourdâhui. JĂ©sus-Christ, le mĂȘme pour lequel MoĂŻse a abandonnĂ© le monde en Egypte, le mĂȘme qui Ă©tait alors est ici aujourdâhui. Et ce sera Ă©ternellement le mĂȘme : JĂ©sus-Christ, et Il est la Parole. Amen.
96 Dieu doit juger lâEglise par quelque chose. Dieu doit juger le monde par un certain standard. Croyez-vous cela ? Eh bien, sâIl va le juger par lâĂ©glise, quelle Ă©glise ? SâIl le juge par lâEglise catholique romaine, les grecs sont perdus. SâIl le juge par les grecs, les romains sont perdus. SâIl le juge par les mĂ©thodistes, les baptistes sont perdus. SâIl le juge par les baptistes, les mĂ©thodistes sont perdus, et vice versa. SâIl le juge par les unitaires, les binitaires sont perdus. SâIl le juge par les binitaires, les trinitaires sont perdus. SâIl le juge par les trinitaires, les autres sont tous perdus. Vous y ĂȘtes.
97 Quâest-ce ? Quâest-ce, frĂšre ? Câest un tas dâabsurditĂ©s. Dieu doit avoir un certain standard. Si je devais me joindre Ă une Ă©glise, Ă laquelle vais-je me joindre ? Il nây en a quâune seule, et on ne sây joint pas. Je suis dans la famille Branham depuis cinquante-quatre ans, et je ne me suis jamais joint Ă cette famille. Je suis nĂ© un Branham. Je suis un Branham parce que mon pĂšre est un Branham. Je suis un chrĂ©tien parce que mon PĂšre un⊠est Dieu. Amen. Nous sommes des chrĂ©tiens sur cette base-lĂ . Nous sommes des chrĂ©tiens. Nous sommes nĂ©s de Son Esprit. Et lâEsprit de mon PĂšre Ă©tant en moi, jâai les attributs de Dieu en moi, et ils se manifestent comme ils se sont manifestĂ©s dans Son Fils JĂ©sus-Christ. Vous y ĂȘtes. « Sur cette pierre Je bĂątirai Mon Eglise. Non par⊠La chair et le sang ne tâont pas rĂ©vĂ©lĂ© cela, mais câest Mon PĂšre qui est dans les cieux qui lâa rĂ©vĂ©lĂ©. Sur cette pierre Je bĂątirai Mon Eglise. »
98 Si Dieu juge le monde par lâEglise catholique, les protestants sont perdus. SâIl le juge par â par les protestants, par quelle Ă©glise protestante sera-ce ? SâIl juge par lâEglise catholique⊠Il existe plusieurs diffĂ©rentes peurs de⊠sphĂšres de lâEglise catholique. Alors laquelle sera-ce ? Vous voyez, quelquâun peut ĂȘtre dans la confusion ; il ne saurait que faire.
Mais voici par quoi Dieu va le juger : la Parole. Câest ça le standard. « Le ciel et la terre passeront mais Ma Parole ne faillira pas. » Câest sur ça que je me tiens. Tout autre terrain nâest que sable mouvant, tout autre terrain nâest que sable mouvant. Sur Christ, le Roc solide, je me tiens. Tout autre terrain nâest que sable mouvant.
Je compte lĂ -dessus. Je ne me fie pas Ă ce que je suis. Je me fie Ă ce quâIl est. Je ne peux pas â je ne peux pas aller au Ciel. JĂ©sus a dit que je dois ĂȘtre parfait pour y aller. « Soyez donc parfaits, comme votre PĂšre cĂ©leste est parfait. » Comment pouvez-vous lâĂȘtre ? Mais quand vous avez⊠Ne regardez pas Ă vous-mĂȘme, mais Ă votre sacrifice.
99 Eh bien, au temps de lâAncien Testament, si un petit mulet naissait avec les oreilles rabattues, les genoux cagneux, quâil louchait, eh bien, il savait quâon lui briserait la tĂȘte. Il ne valait rien. Mais si la mĂšre pouvait lui dire : « Fiston, tu es nĂ© avec un droit dâaĂźnesse. Puisque tu es donc nĂ© ainsi, tu vivras, mais celui qui meurt pour toi devra ĂȘtre un agneau parfait, il devra ĂȘtre offert afin que toi, tu puisses vivre. » On brisait le cou du â du â du cheval sâil ne valait rien. Et il ne vaut rien. Mais, voyez-vous, mais un agneau parfait doit mourir pour que lui puisse vivre.
Si vous dites que vous ne valez rien⊠« Je ne suis pas digne dâĂȘtre guĂ©ri, FrĂšre Branham. Je ne suis pas digne de venir Ă Christ. » Ne regardez pas Ă vous-mĂȘme, regardez Ă votre Sacrifice. Je ne vaux rien. Il nây a rien de bon en moi, pas mĂȘme une pensĂ©e. Il nây a rien de bon, rien de bon en vous. Aucun dâentre nous ne mĂ©rite quoi que ce soit sinon lâenfer. Câest exact.
100 Mais, oh, regardez ce qui se tient lĂ pour nous reprĂ©senter. Regardez ce qui se tient lĂ pour nous reprĂ©senter. Et voici Sa Vie sous forme imprimĂ©e, essayant dâĂȘtre manifestĂ©e Ă travers nous. Et puis, Ă cause dâun petit credo quelconque, nous la rejetons. Oh ! il nous faut une confĂ©rence. Oui. Câest la raison pour laquelle je peux monter sur lâestrade, sans avoir peur que quelque chose arrive, se passe de cette façon-ci, de cette façon-lĂ , ou faillisse, ou que quelque chose ne marche pas. Non, je regarde Ă mon Sacrifice.
« Billy, quâas-tu fait cette semaine ? » Jâai fait assez pour mourir dans une heure. Pour commencer je â je suis un pĂ©cheur. Mais je regarde Ă Celui qui mâa fait la promesse. Je regarde Ă Celui qui a dit ceci. « Nâaie pas peur. Tiens-toi lĂ . Câest dans ce but que tu es nĂ©. Je tâai suscitĂ© dans ce but. » Alors tous les dĂ©mons de lâenfer ne peuvent pas mâĂ©branler. Je me tiens lĂ sur Christ, ce Roc solide.
101 Quelquâun parmi vous se souvient-il de Paul Rader ? Un grand guerrier de Dieu. Quand jâĂ©tais petit, je mâasseyais Ă ses pieds⊠Il est mort ici en Californie, il nây a pas longtemps. Quand il mourait⊠Lui et son frĂšre Luc Ă©taient attachĂ©s lâun Ă lâautre, comme moi et mon fils ici prĂ©sent. Ils partaient ensemble, la main dans la main, comme des frĂšres, juste comme un pĂšre et son fils. Et Paul est arrivĂ© Ă la fin de la route.
LâInstitut Biblique Moody avait envoyĂ© chanter lĂ un petit quatuor. Et ils avaient baissĂ© tous les stores de lâhĂŽpital. Et Luc avait une espĂšce de⊠Je veux dire, Paul avait le sens de lâhumour, vous savez. Et il sâest tournĂ© vers ce petit quatuor, et ils chantaient Mon Dieu, plus prĂšs de Toi. Il a dit : « Qui est mourant, vous ou moi ? » Il a dit : « Relevez ces rideaux-lĂ et chantez-moi de bons et chauds cantiques Ă©vangĂ©liques. » Et ils se sont mis Ă chanter :
LĂ Ă la croix oĂč mourut mon Sauveur.
LĂ jâai criĂ© pour ĂȘtre purifiĂ© du pĂ©ché ;
Là le sang fut appliqué à mon coeur ;
Gloire à Son Nom !
Il a dit : « Ăa sonne mieux. » Il a dit : « OĂč est Luc, celui qui mâest restĂ© fidĂšle envers et contre tout ? »
Ce dernier ne supportait pas de voir son frÚre mourir. Il était dans la piÚce à cÎté. On est allé le chercher. Paul a levé son énorme main vers Luc, et Luc a saisi sa main. Les larmes coulaient sur ses joues.
Il a dit : « Luc, penses-y. Nous sommes ensemble depuis longtemps. Nous avons attrapĂ© des tas dâĂ©pines Ă travers beaucoup de fossĂ©s. Mais penses-y, dans cinq minutes, je serai dans la PrĂ©sence de JĂ©sus-Christ, revĂȘtu de Sa justice. » VoilĂ Â !
102 Paul mâa raconté⊠Il a dit quâil⊠Quand il Ă©tait jeune, il est venu de lâOregon. Il Ă©tait un â un forestier, et il abattait les arbres. Et il a dit que pendant quâil Ă©tait dans lâune de ces Ăźles⊠Jâoublie oĂč câĂ©tait ; en AmĂ©rique du Sud, câĂ©tait lĂ . Et il oeuvrait comme missionnaire lĂ -bas. Et il a contractĂ© la fiĂšvre bilieuse hĂ©moglobinurique. Vous savez â vous savez ce que câest. Cela vous tue aussitĂŽt. Tout au fond de la jungle, Ă des kilomĂštres dâun mĂ©decin. Paul Ă©tait un grand croyant de la guĂ©rison divine, comme vous le savez.
Ainsi donc, il â il a parlĂ© Ă sa femme, il a dit⊠On est allĂ© chercher un mĂ©decin. Il a dit : « Cela ne changera rien. Je ne pourrais pas tenir jusquâalors. »
Alors sa femme a dit : « Chéri, agenouille-toi ici à cÎté du lit et parle à notre Médecin. Appelons-Le sur la scÚne. »
Alors sa femme a commencé à prier : « à Dieu, ne laisse pas mourir mon bien-aimé mari. Il est ici dans les champs missionnaires pour Toi. Ne le laisse pas mourir. »
103 La fiĂšvre faisait rage, il Ă©tait presque inconscient, partant et revenant. Il a dit : « ChĂ©rie, il fait de plus en plus sombre. Je ne pourrais tenir encore quâun petit moment. » Il a dit : « Continue simplement Ă prier, chĂ©rie. »
Et il est entrĂ© dans le coma. Il a dit quâil a eu un songe. Il a dit que dans le songe, il Ă©tait rentrĂ© dans lâOregon, un jeune homme. Et il a dit quâil avait un patron dans le camp des bois de charpente. Ce dernier a dit : « Paul, monte lĂ au sommet de la colline, et abats pour moi un arbre de telle dimension, ensuite apporte-le-moi. »
Il a dit : « Dâaccord, Patron. »
Et il est montĂ© jusquâau sommet de la colline, et il a dit quâil a vu cette hache⊠Vous savez, plus vous allez au nord, eh bien, plus le bois devient tendre ; et plus vous allez au sud, plus il devient dur, le mĂȘme bois. Il est donc montĂ© lĂ , et il a dit quâil a commencĂ© Ă voir la hache sâenfoncer davantage, le morceau dans lâarbre, alors quâil abattait lâarbre. Il lâa Ă©laguĂ©, et il lâa arrangĂ©, il a enfoncĂ© la hache dans le tronc, jusquâau tronc de lâarbre, la grande partie, et vous savez, en soulevant, il devait mettre ses genoux ensemble pour le soulever. Il a dit quâil Ă©tait un homme fort. Vous savez comment Paul Ă©tait : un homme petit de taille et fort.
Il sâest donc mis Ă soulever lâarbre, et il nây arrivait simplement pas. Il a dit : « Je me suis battu et jâai essayĂ©, et je me suis senti trĂšs⊠Je devais amener ce rondin au patron lĂ en bas. » Il a dit : « Je nâarrivais simplement pas Ă le soulever. » Il a dit : « Jâai tirĂ© fort â tirĂ© fort et jâai essayĂ© de traĂźner, et jâai tirĂ© fort et jâai essayĂ© de traĂźner, a-t-il dit, jusquâĂ ce que jâai perdu toutes mes forces. » Et il a dit : « Je me suis assis contre lâarbre, et je me suis dit : âJe suis tellement Ă©puisĂ© que je nâarrive mĂȘme plus Ă bouger.â » Il a dit : « Directement, jâai entendu la voix la plus douce que jâaie jamais entendue. CâĂ©tait mon patron. Et il a dit : âPaul, pourquoi te dĂ©bats-tu avec cela ?â »
Il a dit : « Patron, je â je â je nâarrive simplement pas Ă le soulever. Câest trop grand. Le fardeau est trop lourd pour que je le transporte. Je nâarrive pas Ă aller plus loin avec ça. »
Il a dit : « Paul, il y a un ruisseau qui coule juste à cÎté de toi. Pourquoi ne le jettes-tu pas dans le ruisseau, et ne sautes-tu pas dessus pour descendre les courants ? Et il passe juste à cÎté du camp. »
Il a dit : « Je nâavais pas du tout pensĂ© Ă cela. »
Et quand il a jetĂ© cela dans les courants, il sâest retournĂ©, et son Patron câĂ©tait JĂ©sus. Et il a dit quâil a carrĂ©ment sautĂ© sur le tronc et il a descendu les courants, faisant clapoter lâeau, criant : « Je chevauche cela ! je chevauche cela ! je chevauche cela ! » Et il a dit quâil a repris connaissance, et quâil se tenait juste au milieu de la piĂšce, les deux mains en lâair, disant : « Je chevauche cela ! je chevauche cela ! je chevauche cela ! »
104 « Je ne porte rien dans mes mains, je mâattache simplement Ă Ta Parole. » FrĂšre, soeur, il nây a rien de bon dans nâimporte quel homme. Il nây a rien de bon dans qui que ce soit dâautre que JĂ©sus-Christ. Et je chevauche chaque promesse ici ce matin. Et un jour, je compte chevaucher, jusque dans Sa PrĂ©sence, le Sang versĂ© du Seigneur JĂ©sus-Christ.
Inclinons la tĂȘte.
Je chevauche cela. Je chevauche cela. Non pas mon adhĂ©sion ni ma dĂ©nomination, ni ma propre justice, mais je chevauche la Parole de Dieu. Je crois que par le Sang juste de JĂ©sus-Christ, je Le verrai un jour. Je serai changĂ© et rendu semblable au corps de Sa gloire. Je serai Ă Son image. Je Le verrai tel quâIl est.
105 Alors que je me vois prendre peu Ă peu de lâĂąge, ma petite chevelure grisonne, mes Ă©paules se voĂ»tent, je nâen ai plus pour longtemps. Je suis derriĂšre la chaire depuis une trentaine dâannĂ©es. Jâaurais souhaitĂ© avoir mille vies Ă vivre pour Lui. Jâaurais souhaitĂ© avoir cela. Jâaime Son peuple.
Sur quoi comptez-vous ce matin ? Sur une quelconque bonne oeuvre que vous avez faite ? Sur une Ă©glise que vous frĂ©quentez ? Vous tenez-vous vraiment sur la Parole de Dieu ? Avez-vous rĂ©ellement fait une expĂ©rience ? Avez-vous entendu que⊠Avez-vous tenu une confĂ©rence personnelle avec Dieu, et les conclusions sont-elles retournĂ©es comme Ă la PentecĂŽte ? Pas sur base dâune substitution, pas sur base dâune poignĂ©e de mains, pas sur base dâune confession mentale, mais sur base du Feu du Saint-Esprit qui vient dans votre vie et change tout ce que vous faites et dites ? Si vous nâavez pas connu cela, je vous prie de lever la main et de dire simplement : « Priez pour moi, FrĂšre Branham. Je ne suis pasâŠÂ » Que Dieu vous bĂ©nisse. Que Dieu vous bĂ©nisse. Oh ! la la ! les mains !
106 Et vous les pentecĂŽtistes ? Certains dâentre vous qui⊠Vous connaissez cela juste dâaprĂšs la tradition, vous allez Ă lâĂ©glise, vous aimez la musique, et vous pouvez vous comporter comme un pentecĂŽtiste. Mais en fait, tout au fond de vous, vous savez quâil manque quelque chose. Vous savez quâil manque quelque chose. Ce matin, Ă cette table de petit-dĂ©jeuner, si vous voulez vraimentâŠ
Vous savez quâil peut se faire que je ne vous revoie plus jamais Ă un autre petit-dĂ©jeuner, mais je veux vous voir Ă un souper, quand tout sera terminĂ©. Vous qui nâavez jamais fait cette expĂ©rience, voulez-vous lever la main et dire : « Priez pour moi, FrĂšre Branham. Maintenant, je veux devenirâŠÂ » Que Dieu vous bĂ©nisse. Câest juste. Vous dites : « Cela fait-il quelque chose de lever la main ? » Si, si vous ĂȘtes sincĂšre. Il vous verra.
Maintenant, croyez-vous que je suis Son serviteur ? Beaucoup mâont appelĂ© prophĂšte. Je ne prĂ©tends pas ĂȘtre un prophĂšte. Non. Mais si vous croyez que Dieu me parle, Ă©coutez-moi maintenant. SincĂšrement, quand vous levez la main et croyez cela, observez ce qui vous arrivera.
107 Maintenant, sâIl me permet de savoir ce quâil y a dans votre coeur⊠Sâil peut me dire ce pour quoi vous avez priĂ© avant de quitter chez vous et ce que vous avez fait, les paroles que vous avez prononcĂ©es, ce que vous avez fait dans votre vie, qui vous ĂȘtes, dâoĂč vous venez, ce qui va vous arriver aprĂšs, et que cela arrive, alors certainement quâIl me parle maintenant.
Tenons⊠Faisons de ceci une confĂ©rence, ce matin. Quâen pensez-vous, mĂ©thodistes, baptistes, presbytĂ©riens, pentecĂŽtistes, unitaires, binitaires (Oh ! ce queâŠ), Eglise de Dieu, AssemblĂ©es de Dieu, qui que vous soyez ? Tenons simplement une confĂ©rence. Voyons si nous nâavons pas besoin dâun peu dâamour les uns pour les autres. Voyons si cela ne va pas plutĂŽt guĂ©rir la chose, si nous avons simplement un peu plus dâamour et de considĂ©ration les uns pour les autres. Allez-vous le faire ? TrĂšs bien.
108 Tenons-en une comme celle dâActes 4, et confessez tout mal que vous avez commis. Et juste par-dessus cette table oĂč vous vous trouvez, cet autel oĂč nous demandons la bĂ©nĂ©diction⊠Câest un autel familial, la table, lĂ oĂč vous remerciez Dieu pour le pain quotidien. Et, rappelez-vous, quand vous mangez⊠Pour que vous mangiez, quelque chose doit mourir, afin que vous puissiez vivre physiquement. Le savez-vous ? Si vous mangez de la viande, un animal est mort. Si vous mangez du pain, le blĂ© est mort. Si vous mangez des lĂ©gumes, des lĂ©gumes sont morts. Câest une forme de vie. Et le seul moyen pour que vous viviez physiquement, il faut que quelque chose meure, afin que vous viviez physiquement.
Nâest-ce pas la chose, mes amis, pour vous montrer que les feuilles de figuier et les idĂ©es humaines ne peuvent pas marcher ? Quelque chose a dĂ» mourir afin que vous viviez Ă©ternellement. Quelque chose a dĂ» mourir. Pas une Ă©glise, pas⊠Vous⊠Câest â câest Christ qui est mort pour vous. Recevez cela, maintenant, je vous prie. Alors que nous avons la tĂȘte inclinĂ©e, que chacun de vous garde dans son coeur ce dont il a besoin. Au revoir, et que Dieu vous bĂ©nisse.
109 PĂšre cĂ©leste, jâai retenu cet aimable auditoire de gens, car je ne sais pas, Toi, Tu le sais, ceci pourrait ĂȘtre la derniĂšre fois. Une chose est vraie, Tu peux revenir avant la tombĂ©e de la nuit. Tu peux revenir avant mon retour. Une chose est certaine : Tu reviens. Il se peut que je meure. Il se peut que je doive quitter la terre. Il y en a beaucoup ici. Si je dois revenir ici dans un an, sans doute quâil y a des gens ici qui ne seront plus lĂ . Ils seront partis. Cette occasion est la derniĂšre, Seigneur, oĂč nous nous rencontrons. Certains dâentre nous ici savent que ceci sera notre derniĂšre rĂ©union ici sur la terre. La prochaine fois que je les rencontrerai, ce sera lĂ au Jugement. Et il me faudra rĂ©pondre pour tout ce que je leur aurai dit ce matin en tant que ministre. Je leur ai prĂ©sentĂ© cette Parole, PĂšre. Câest tout ce que je pouvais faire.
110 Maintenant, il y a beaucoup de gens qui ont dit, Ă cette confĂ©rence ce matin, quâils veulent en parler avec Toi. Câest ce quâils font maintenant, Seigneur ; ils ont levĂ© la main. Ils tĂ©moignent quâils â ils â ils⊠Ils sont fatiguĂ©s, Seigneur ; ils sont Ă©puisĂ©s, et ils savent que les confĂ©rences du monde ne peuvent plus rien donner.
Il nây a plus dâespoir. Nous ne pouvons rien bĂątir. Toutes les nations ont des bombes atomiques, Ă hydrogĂšne, des bombes Ă poison, des astronautes et tout, Seigneur. La terre entiĂšre frĂ©mit et tremble. Elle sera bientĂŽt purifiĂ©e et apprĂȘtĂ©e pour un glorieux MillĂ©nium. Elle aura des secousses comme un⊠oh ! et voler en Ă©clats. Elle titube donc comme un homme ivre rentrant chez lui Ă minuit, en chancelant dans les tĂ©nĂšbres, et elle ne sait pas oĂč elle va.
111 Ă PĂšre, mais il y a un fondement. Il y a une assurance. Car nous recevons un Royaume inĂ©branlable. Je prie, ĂŽ PĂšre, que chacun se hĂąte pour venir dans ce Royaume ce matin, en JĂ©sus-Christ. BĂ©nis-les, PĂšre, pendant quâils ont la tĂȘte et le coeur inclinĂ©s. Ils attendent la rĂ©ponse maintenant. Nous sommes dans une confĂ©rence. Envoie la rĂ©ponse maintenant mĂȘme , ĂŽ PĂšre, Ă tout le monde.
Certains ont besoin du salut. Dâautres, câest pour eux la premiĂšre fois, dâautres câest⊠Câest⊠Ils vont â ils vont simplement oublier leurs crĂ©dos. Ils â ils veulent trouver cette⊠la maniĂšre dont Cela est descendu la premiĂšre fois. Ils ont besoin de Ta dĂ©cision, pas de la dĂ©cision de lâĂ©glise, pas de la dĂ©cision dâun certain credo, mais de la dĂ©cision de la Bible, de la dĂ©cision que Dieu a prise dans Actes 2, lorsquâIl a envoyĂ© le Saint-Esprit et le Feu sur lâEglise. CâĂ©tait la dĂ©cision quâIl avait prise, sur la maniĂšre dont lâEglise devrait vivre et ce que les gens devraient faire. En laissant de cĂŽtĂ© tout le reste, PĂšre, nous nous attendons Ă cette dĂ©cision. Ă Seigneur, envoie Ta puissance maintenant mĂȘme, et baptise tout le monde.
112 Pendant que nous avons la tĂȘte inclinĂ©e,
Ils étaient dans la chambre haute,
Ils Ă©taient tous dâun commun accord,
Quand le Saint-Esprit est descendu,
Comme lâavait promis notre Seigneur. (Câest Sa Parole de la promesse.)
Ă Seigneur, envoie Ta puissance maintenant mĂȘme, (Priez maintenant)
Ă Seigneur, envoie Ta puissance maintenant mĂȘme,
Ă Seigneur, envoie Ta puissance maintenant mĂȘme,
Et baptise tout le monde.
Ă Seigneur, envoie Ta puissance ⊠mĂȘme,
Je vois des prĂ©dicateurs faire tourner les gens vers la table pour prier avec eux. Câest juste.
⊠la puissance⊠mĂȘmeâŠ
Ne pensez pas que nous nous tenons simplement ici en train de parler, Il est ici.
Ă SeigneurâŠ
Si vous ĂȘtes⊠Ne regardez pas Ă quelquâun dâautre. Fermez vos yeux et regardez Ă Lui par la foi.
⊠baptise tout le monde. (Rappelez-vous)
Ils étaient dans la chambre haute,
Ils Ă©taient tous dâun commun accord,
Quand le Saint-Esprit est descendu
Comme lâavait promis notre Seigneur.
Nous y voilà , tous les différents crédos.
Ă Seigneur⊠(Nous sommes dans une⊠nous sommes dans lâunitĂ© maintenant.) maintenant. (Croyez maintenant.)
Ă Seigneur, envoie Ta puissanceâŠ
ConsidĂ©rez comment Il est venu vers nous cette semaine. Le voici ici mĂȘme maintenant, juste Ă cĂŽtĂ© de vous, si vous voulez bien croire cela.
⊠maintenant,
Et baptise tout le monde.
Ă Seigneur, envoie Ta puissance maintenant mĂȘme,
Ă Seigneur, envoie TaâŠ
Je Te donne mon coeur, Seigneur. Je Te donne tout. Voici ma main ; je â je me consacre Ă Toi maintenant. Envoie Ta puissance sur moi maintenant.
Et baptise tout le monde. (Encore.)
Ă SeigneurâŠ
Chantez-le jusquâĂ ce que cela devienne une rĂ©alitĂ© pour vous. Voyez ? Maintenant, fermez vos yeux, fermez vos coeurs Ă toutes les folies et Ă tout ce qui est du dehors.
⊠maintenant mĂȘme,
Ă Seigneur, envoie Ta puissance maintenant mĂȘme,
Et baptise tout le monde.
Ă Seigneur, envoie Ta puissance maintenant mĂȘme,
Ă (priez maintenant ; demandez-Lui cela.) puissance maintenant mĂȘme,
Ă (Confessez vos pĂ©chĂ©s.) Seigneur, envoie Ta puissance maintenant mĂȘme,
Et baptise tout le monde.
113 Maintenant, PĂšre, je Te prie de purifier chaque coeur. Nous confessons nos pĂ©chĂ©s. Nous confessons nos torts. Nous avons tort, Seigneur, nous tous ensemble. Nous sommes tous coupables. Nous sommes privĂ©s de la gloire de Dieu. Ă Dieu, ne veux-Tu pas, dans Ta misĂ©ricorde et Ta compassion, poser Ton regard sur nous, Seigneur ? Nous sommes un peuple nĂ©cessiteux, et nous voyons la vision de la Venue du Seigneur. Il foule la vendange, lĂ oĂč les raisins de la colĂšre sont emmagasinĂ©s. Il a lĂąchĂ© le fatal Ă©clair de Sa terrible et rapide Ă©pĂ©e. Sa vĂ©ritĂ©, la Bible, est toujours en marche, en marche. Elle marche sur les crĂ©dos ; elle marche sur les dĂ©nominations ; elle marche sur tout. Ta vĂ©ritĂ© est toujours en marche.
⊠envoie Ta puissance maintenant mĂȘme,
Ă Seigneur, envoie Ta puissance maintenant mĂȘme,
Ă Seigneur, envoie Ta puissance maintenant mĂȘme,
Et baptise tout le monde.
Ă Seigneur, envoie Ta puissance⊠mĂȘme (Je le crois, Seigneur, je le crois.)
Ă Seigneur, envoie Ta puissance maintenant mĂȘme,
Ă Seigneur, envoie Ta puissance maintenant mĂȘme,
Et baptise tout le monde.
114 Pendant que la musique continue de jouer et que vous ĂȘtes en priĂšre, maintenant si vous purifiez Ă fond votre coeur, que tout est confessĂ©, que vous avez vraiment dĂ©posĂ© cela sur lâautel maintenant⊠Eh bien, Il est le Souverain Sacrificateur de votre confession. Il ne peut â ne peut vous aider que si vous croyez cela. Si vous avez confessĂ© vos pĂ©chĂ©s, vous avez confessĂ© vos torts, vous avez fait tout, vous avez confessĂ© que vous avez Ă©tĂ© trop lent, quoi que vous ayez confessĂ©, cela repose Ă prĂ©sent sur lâautel du sacrifice. Maintenant, posez vos mains sur JĂ©sus et identifiez-vous. Identifiez-vous par la foi. Posez vos mains sur JĂ©sus. Et alors, levez les yeux vers Lui et dites : « Jâaccepte cela, Seigneur. Je crois en Toi maintenant. »
Je le peux, je le veux, je le crois ;
Je le peux, je le veux, je le⊠(Croyez cela de tout votre coeur maintenant.)
Je le peux, je le veux, je le crois;
Que Jésus me sauve maintenant.
115 Oh ! croyez-vous cela maintenant, avec votre sacrifice sur lâautelâŠÂ ? Sur lâautel, ce que vous avez dĂ©posĂ©, tous vos diffĂ©rends ; vous avez dĂ©posĂ© cela sur lâautel. Maintenant, par la foi, posez vos mains sur votre Sacrifice, JĂ©sus, qui est assis Ă la droite de Dieu pour intercĂ©der pour vous sur base de votre confession, selon laquelle vous croyez de tout votre coeur quâIl a agréé ce que vous Lui avez offert. Si vous croyez que JĂ©sus-Christ a agréé ce que vous Lui avez offert ce matin : « Je Te donne ma vie, Seigneur. Jâai Ă©tĂ© froid, jâai Ă©tĂ© indiffĂ©rent. Je â jâai fait des choses que je nâaurais pas dĂ» faire. Mais dĂšs cet instant, je veux me rapprocher de Toi, et je crois que je reçois cela. Je pose mes mains sur Toi maintenant, pendant que je fais ma confession. »
Croyez-vous cela ? Croyez-vous que Dieu a Ă©coutĂ© votre priĂšre ? Si oui, levez la main vers Dieu, et dites : « Je crois que Tu as Ă©coutĂ© ma priĂšre. Jâai fait ma confession, et je crois que tu Ă©coutes ma priĂšre. Maintenant, je vais me lever et Te louer pour cela. Je vais Te rendre grĂąces. »
Levez-vous maintenant et dites : « Merci, Seigneur. Merci, Seigneur. Je crois en Toi, je Te loue maintenant de mâavoir donnĂ© lâassurance dans mon coeur. » Maintenant, levez simplement les mains et louez Dieu Ă lâancienne maniĂšre, tel que Dieu voudrait que vous le fassiez.
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