Etre pardonné

Date: 63-1028 | La durée est de: 1 hour and 33 minutes | La traduction: Shp
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1 Seigneur, je crois.
Restons debout juste un instant pour la prière. Inclinons maintenant la tête.
Notre Père céleste, nous considérons ceci comme un très grand privilège, de pouvoir nous tenir ici parmi les sauvés, et de pouvoir chanter ce glorieux vieil hymne de l'église, «Seigneur, je crois.», de voir la foi de nos pères toujours vivante dans les coeurs de Ses enfants à travers les âges. Et comme vient de nous le dire le cantique, nous sommes en route vers le pays de Canaan. Nous prions, Père, que ce soir, s'il y en a ici qui n'ont pas encore pris cette décision, qui n'en arrivent pas à - à croire simplement la Parole, je prie que cette soirée soit celle où ils diront leur dernier mot et recevront Christ en tant que Sauveur et où ils seront remplis de Son Esprit.

2 Nous Te remercions pour ce groupe appelé «Les Hommes d'affaires du Plein Evangile», et pour ce qu'ils soutiennent et pour leur droiture. Nous sommes heureux de savoir que dans notre pays il y a des gens de. dans le monde des affaires, qui consacrent leur temps à Te servir, parlant aux autres, consacrant constamment leur - leur argent et leur temps à aider les autres à devenir des citoyens du Royaume de Dieu.
Nous Te remercions pour nos frères ministres qui sont ici ce soir, ceux qui tiennent le flambeau pour montrer à ce monde enténébré qu'il y a un chemin qui mène à la gloire, pour tout membre de l'Eglise du Dieu vivant, et pour ceux qui sont venus ici, Seigneur, les nouveaux venus. Nous prions maintenant, pendant que nous essayons d'ouvrir la Parole, que Tu La partages aux gens selon nos besoins. Et quand le service sera terminé ce soir et que nous rentrerons dans nos maisons, qu'il y ait des nouveaux-nés ajoutés au Royaume. Ou peut-être, s'il y en a ici ce soir, Seigneur, qui sont très malades et qui ont besoin d'être touchés par le grand Médecin, puissent-ils recevoir cela ce soir. Accorde-le, Seigneur. Et nous Te glorifierons humblement. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.

3 Vous pouvez vous asseoir. C'est. L'un des moments les plus glorieux de ma vie, c'est quand je dois me tenir devant les gens pour parler de la joie de ma vie, Jésus-Christ, et ce qu'Il représente pour moi, et ensuite quand j'ai le privilège de partager cette joie avec quelqu'un d'autre qui n'a jamais connu cette joie. L'autre jour je parlais. J'étais autrefois un jeune prédicateur. Cela fait trente-trois ans que je suis dans le ministère. Et je vivais sur cette réputation d'être un jeune prédicateur. Mais maintenant, j'ai dépassé ce temps, et maintenant je deviens le vieux prédicateur.
Mais comme l'a mentionné le cantique, chaque jour Il - «Il devient toujours plus doux que la veille.» Comme je commence à. j'ai franchi l'âge moyen et je tends vers le coucher du soleil, Christ devient plus doux pour moi, jour après jour. Et quand j'ai ce privilège de me tenir devant les hommes et les femmes d'affaires des communautés et de leur dire quelque chose qui, pour eux, vaut plus que - que tout au monde. et c'est la Vie Eternelle. Je ne pense pas qu'il y ait quelque chose de plus grand au. auquel je puisse penser, que la Vie Eternelle.

4 Quand on est jeune, on se met à penser à. Eh bien, en tant que jeune garçon, on joue au policier, et la petite fille découpe des poupées en papier. Après quelque temps, il est question de vos études. Et puis, allez-vous épouser la fille aux yeux bruns ou bleus ? Et puis, il faut payer pour la maison, les enfants doivent faire leurs études ; où donc en êtes-vous ?
Mais je suis si heureux qu'il y ait quelque chose de réel après que tout ceci sera terminé. Alors vous vous engagez dans quelque chose qui vaut plus que toutes ces autres choses. Certes, elles sont - elles sont essentielles. Elles le sont assurément pour ce qui est de la personne qui va être la mère de nos. et le père de nos enfants, pour ce qui est de nos foyers et ainsi de suite, et de l'éducation des enfants. Mais même tout cela périra. Cela s'en ira, sauf la Vie Eternelle, la chose la plus glorieuse, à ma connaissance. Elle m'a satisfait quand j'étais un jeune homme. Elle me satisfait maintenant alors que je suis un homme d'âge moyen. Et je suis certain que quand les rideaux tomberont sur ma vie, je serai heureux d'aller à la rencontre de Celui à qui j'ai consacré ma vie.

5 Eh bien, à l'adresse de frère Tony, le - le président de ce chapitre, je suis heureux de communier avec lui ici ce soir, avec frère Carl Williams et d'autres membres ou représentants des chapitres, et avec vous tous, les visiteurs qui êtes avec nous, nous sommes heureux d'être ici.
Une fois je parlais, je crois que c'était à Little Rock, dans l'Arkansas, dans l'auditorium Robinson Memorial, et c'est là qu'a été guéri un homme qui, pendant plusieurs années, était sur des béquilles, et il s'installait dans la rue pour vendre des crayons. Et il pouvait. Oh, ses membres tout tordus étaient paralysés, et ils se balançaient. Les gens le prenaient vraiment en pitié.

6 Un soir, il est venu à la réunion. Et il a obtenu une carte de prière, puis il est entré dans la ligne et a été guéri. Et le lendemain, il portait ses béquilles sur son dos, parcourant la rue en témoignant. Et j'essayais de parler. Et - et un moment après, il s'est mis debout, et il a dit : «Frère Branham, a-t-il dit, je ne sais plus très bien de quel côté me tourner.»  Il a dit : «Quand je vous ai entendu parler, a-t-il dit, j'ai pensé que vous étiez un nazaréen.» C'est ce que lui était. Et il dit : «Et puis, j'ai vu tant de pentecôtistes à vos côtés, a-t-il dit, quelqu'un a dit que vous étiez pentecôtiste. Et ensuite, je vous ai entendu dire que vous étiez baptiste, ou plutôt que vous étiez ordonné dans une église baptiste.»  Il a dit : «Je suis tout embrouillé. Qu'êtes-vous ?»
J'ai dit : «Oh, c'est facile. Je suis un baptiste nazaréen pentecôtiste.» Ainsi c'était. ensemble.

7 Quand je suis arrivé parmi les pentecôtistes, il y a quelques années, en fait, le Seigneur m'y avait envoyé, quand Il m'a ordonné de prier pour Ses enfants malades. Et l'église dénominationnelle à laquelle j'étais affilié à ce moment-là ne croyait pas beaucoup à la prière pour les malades ou plutôt à la guérison divine. Cela leur était étranger. Ils m'ont dit que je deviendrais un saint exalté. Eh bien, peut-être que je suis devenu un saint exalté. Je ne sais pas, mais, quoi que je sois, je suis très heureux. Et quelqu'un m'a dit que j'ai perdu la tête. J'ai dit : «Laissez-moi donc tranquille, parce que je suis plus heureux comme ça qu'autrement.» Ainsi je - je me sens bien ainsi. Et je. C'est une joie inexprimable.
Mais quand je suis arrivé parmi les pentecôtistes, je - je pensais qu'ils ne formaient qu'un seul groupe. Et puis, j'en suis arrivé à découvrir qu'il y a presque autant de groupes séparés parmi eux qu'il y en a dans l'Eglise baptiste d'où je venais. Alors, je n'ai pas voulu me ranger du côté d'un groupe. J'ai essayé de me tenir entre eux tous et de dire : «Nous sommes frères.»  Voyez-vous ? Et cela a été depuis lors mon attitude : voir la grande Eglise du Dieu vivant s'unir ensemble dans la foi, dans la prière, et dans les efforts.

8 Et puis quand les Hommes d'affaires du Plein Evangile ont mis en place leur organisme. En effet, ils ne sont pas une organisation ; c'est un organisme. Et cela a englobé tous les groupes. Et ils m'ont donné une place, et ils m'ont pris en charge. Et je suis très reconnaissant de l'occasion que j'ai de parler pour les Hommes d'affaires Chrétiens, parce que là je peux exprimer ma croyance à tous les groupes au même moment. Et c'est une grande chose pour moi. Et je suis membre d'une organisation ; c'est celle des Hommes d'affaires du Plein Evangile.
Et pour faire cela, il y a maintenant en Afrique, là où nous avons l'intention d'aller immédiatement, en Afrique du Sud, là où le Seigneur nous a donné. L'une des plus glorieuses réunions qu'Il nous ait données, je pense, s'est tenue en Afrique du Sud, là où nous avons vu trente mille purs indigènes recevoir Christ comme Sauveur en une seule réunion de l'après-midi. On a enregistré trente mille personnes.
Le lendemain matin, pendant que Sidney Smith, le maire de Durban, qui avait participé à la réunion, m'appelait au téléphone. nous avions eu quelque chose comme deux cent mille personnes au stade. plutôt. de chien. plutôt au champs de courses. Et il a dit : «Allez à la fenêtre et regardez par la fenêtre.»  Et voilà venir sept fourgonnettes chargées (et ces grands camions anglais étaient pratiquement, presque aussi grands que cette salle), remplies de béquilles, de fauteuils roulants, et - et de choses que les gens avaient déposées la veille. Et ils marchaient derrière les camions, chantant, les mains en l'air, le cantique que vous avez chanté il y a quelques instants, «Crois seulement, tout est possible.»

9 Et je. Dans mon cour, j'ai dit : «Seigneur, ce jour sera un mémorial pour moi.» Et les quelques jours. le jour. Je ne devais y rester que trois jours. Et c'est là que je rentre encore maintenant. Et là, en trois jours, et je - je ne sais exactement pas tout ce qui s'était passé. C'était arrivé par un miracle que le Seigneur avait accompli à l'estrade : il a accordé à un garçon qui marchait sur ses mains et ses pieds comme un chien, Il lui a fait recouvrer le bon sens et l'a redressé devant les gens. Et la veille, ces gens devaient être séparés par une clôture parce qu'ils avaient une guerre tribale. Et là, ils étaient en paix, marchant bras dessus bras dessous, chantant : «Crois seulement, tout est possible.»
Je vous assure que le glorieux vieil Evangile, malgré sa simplicité, n'a jamais perdu Sa puissance quand Il est prêché dans la simplicité de la résurrection de Christ. Et je. Chaque jour, Il devient plus cher pour moi.

10 Et si vous êtes ici ce soir, un homme d'affaires, et que vous n'ayez jamais assisté à une communion d'hommes d'affaires, permettez-moi de vous recommander ces Hommes d'affaires du Plein Evangile. Vous n'êtes pas obligé d'être membre d'une quelconque église, ou - ou quelle que soit l'église dont vous êtes membre, la chose est tout à fait en ordre. Ça s'appelle «Les Hommes d'affaires du Plein Evangile,» et point n'est besoin d'être un homme du Plein Evangile pour le faire. Les méthodistes, les baptistes, les luthériens, les presbytériens, même les prêtres catholiques, et qui que ce soit. Ils sont.
Vous savez, je crois que Jacob avait creusé un puits et les Philistins l'en avaient chassé. Et je crois qu'il l'a appelé «malice» ou quelque chose de ce genre. Et il a creusé un autre et ils l'en ont chassé. Et il l'a appelé «querelles». Et il en a creusé un troisième ; il a dit : «Il y a de la place pour nous tous.» Ainsi, je pense que c'est ce qu'il en est ; il y a de la place pour nous tous ici. Et nous serons heureux de vous recevoir ici dans cette contrée, à Tucson, pour venir communier avec nous.

11 Et puis, n'oubliez pas la réunion de Phoenix. Et maintenant, je sais que nous ne sommes pas censés faire de la publicité à partir de cette estrade, car nous en avons fait un principe. Mais étant donné que ceci est tout à fait en rapport avec les Hommes d'affaires du Plein Evangile, je dois prier pour les malades et prêcher pendant quatre jours avant la série de réunions de Ramada ce décembre prochain - janvier, du 19 au 23. Quatre jours. Je commencerai le 19, est-ce juste ? Je commence le 19. Et puis, j'aurai une série de réunions de quatre jours.
Et pour vous, les gens de Tucson, dimanche prochain au soir je prierai pour les malades, là aux Assemblées de Dieu, à Grantway, à l'église de frère Arnold Mack. Si quelqu'un est malade et aimerait venir, je parlerai là-bas, le Seigneur voulant, dimanche prochain au soir, je prierai pour les malades.

12 Et maintenant, puissent les bénédictions de Dieu reposer sur vous. Et si vous avez votre Bible, j'aimerais aller rapidement à la Parole, parce que je sais que beaucoup d'entre vous travailleront demain. Et je vous parlerai ce soir en partant d'un passage que j'aimerais lire dans le Livre des Romains, Romains chapitre 8. Et nous voulons commencer au verset 28 et lire jusqu'au verset 32 compris ; Romains 8. 28.
Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. Car ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de son Fils, afin que son Fils fût le premier-né entre plusieurs frères. Et ceux qu'il a prédestinés, il les a aussi appelés ; et ceux qu'il a appelés, il les a aussi justifiés ; et ceux qu'il a justifiés, il les a aussi glorifiés. Que dirons-nous donc à l'égard de ces choses ? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? Lui, qui n'a point épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui ?

13 Puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole. Et maintenant, j'aimerais parler sur le sujet du «Pardon». La Bible dit ici ce soir qu'Il nous a donné toutes choses. Eh bien, nous ne pourrons certainement pas parler de toutes choses, mais nous prendrons une chose qu'Il nous a donnée, et c'est le pardon. Et je pense que c'est un grand mot, être pardonné. Car nous sommes tous coupables de péché. Nous avons tous péché et sommes privés de la gloire de Dieu, et Dieu, en Son Fils, nous a pardonnés de cette culpabilité d'iniquité et de péché.

14 Et un pardon me rappelle une histoire que j'ai lue une fois concernant un. je crois que c'était pendant la guerre de révolution, qu'il y avait un homme, un soldat, un fantassin, qui avait fait quelque chose qui était. Les tribunaux l'avaient déclaré coupable et il était condamné à être passé par les armes. Je crois qu'il avait déserté son poste du devoir pendant la bataille. Et il - il allait passer devant un peloton d'exécution.
Et un ami a eu si pitié de cet homme qu'il s'est finalement rendu auprès de - de Sa grandeur, le Président Lincoln. Lincoln étant un gentleman chrétien. On raconte qu'il était à bord de sa carrosse quand le messager l'a rencontré. Et il est tombé sur ses genoux et a dit : «Monsieur Lincoln, Président des Etats-Unis, gentil Monsieur, a-t-il dit, j'implore la miséricorde pour quelqu'un, sachant que vous êtes chrétien, et je sais que vous êtes tendre de cour envers ceux qui sont abattus.»
Il a dit : «Mon ami était à son poste du devoir, là où il avait été placé, mais quand les armes ont grondé et que les canons ont tonné, il a eu peur et a déserté son poste du devoir. Monsieur Lincoln, il n'avait pas l'intention de faire cela. C'est un brave homme. Et maintenant, dans une semaine, il doit passer devant un peloton d'exécution. Il n'y a pas moyen de le sauver sauf si vous signez son pardon.»

15 Monsieur Lincoln, les larmes aux yeux, a tiré un bout de papier de son dossier et a écrit dessus : «Moi, Abraham Lincoln, je pardonne cet homme de cette chose, qu'il ne meure pas.» Et il a signé cela de son nom.
Et cet homme a prononcé sur lui les bénédictions de Dieu et est retourné à la prison où il a dit à son ami : «J'ai obtenu ton pardon.» Et il l'a pris, rédigé sur un bout de papier, et le lui a montré.
Et l'homme a dit : «Ne te moque pas de moi. Me voici sur le point de mourir, et toi, tu viens donc avec un truc de ce genre ? Je n'y crois pas. Je ne peux simplement pas croire. Ce n'est pas vrai. N'importe qui peut signer du nom d'Abraham Lincoln.»
Il a dit : «Mais voici la signature du Président, a-t-il dit ; tu es gracié.» Et il lui a tourné le dos et est reparti. Et cet homme a été passé devant le peloton d'exécution.
Et ainsi voici une - une mise en liberté par Abraham Lincoln, le Président des Etats-Unis, pour relâcher cet homme, et il a été cependant fusillé. Ainsi, ce cas a été examiné par les cours fédérales, et voici ce qu'a été la décision : La grâce n'est grâce que si elle est acceptée comme grâce.

16 De même, ce soir j'ai lu ceci, que Dieu nous donne toutes choses, et Il nous accorde le pardon ; c'est un pardon pour ceux qui désirent accepter la Parole de Dieu comme un pardon. Mais seulement cela. Le simple fait de lire cela ne signifie pas que vous êtes pardonné. C'est-à-dire que vous devez accepter cela comme votre pardon, que Dieu a donné Son Fils pour mourir à votre place, et alors c'est un pardon.
Libéré de la culpabilité, c'est ce que nous voulons dire par là. Un pardon venant de Dieu est une libération de la culpabilité. Ce n'est pas se détourner au moyen d'une certaine doctrine psychologique susceptible de vous donner tant soit peu un petit sentiment que vous avez fait la chose juste en vous joignant à une église ou en acceptant un credo. Mais c'est une libération de votre culpabilité par la puissance du Calvaire. Quelque chose vous a libéré. Il n'y a plus de culpabilité. La Bible dit, je crois dans Romains 5. 1 : «Maintenant il n'y a donc pas de condamnation pour ceux qui sont en Christ Jésus, qui marchent non selon la chair, mais selon l'Esprit.»

17 Maintenant, un homme, quand il est libéré du péché, un homme ou une femme, dans son coeur, il n'a plus le désir de suivre les choses du monde. Il est pardonné gratuitement et devient une nouvelle créature en Christ Jésus. Et il s'affectionne aux choses d'En haut, là où Christ est assis à la droite de Dieu. Il est libéré gratuitement. Il ne lui faut pas un prêtre pour le lui dire ou un ministre pour le lui dire. Il sait de lui-même qu'il est pardonné, car il a accepté cela en raison du fait que Dieu le lui a envoyé par Jésus-Christ. Quel sentiment on éprouve d'être libre du péché !

18 On m'a dit que quand on a signé la déclaration de l'affranchissement des esclaves dans le Sud, il y a de cela plusieurs années, le moment fixé pour qu'ils soient libres, c'était au lever du soleil, un certain matin. Alors, ils sont tous sortis de leur vieille plantation. Et beaucoup de jeunes gens ont gravi le sommet de la montagne, parce que de là ils pouvaient, les premiers, voir le soleil se lever, et ensuite les hommes plus âgés étaient un peu en dessous, et puis venaient les femmes et les enfants au bas de la montagne. Et ils ont attendu longtemps avant le point du jour, parce que les ceintures d'esclave, les dures épreuves avaient marqué leur vie de tristesse, et ils ont soupiré pour ce jour quand ils ont su qu'ils étaient pardonnés.
Et la déclaration de l'affranchissement mentionnait qu'un certain jour, au lever du soleil, ils seraient libres. Et ils avaient désiré ardemment voir le moment où le soleil surgirait, et très anxieux, ils sont montés sur les montagnes. Oh, si seulement ce soir les pécheurs pouvaient être vraiment anxieux de savoir qu'ils sont pardonnés. Vous êtes pardonné au moment même où vous acceptez Jésus-Christ comme votre Sauveur. C'est alors que vous êtes pardonné.
On disait que les jeunes gens ont attendu. Et dès que le soleil a commencé à briller à l'est, ils ont crié aux plus âgés : «Nous sommes libres !» et les plus âgés aux femmes et aux enfants : «Nous sommes libres ! nous sommes libres !» parce que le soleil s'était levé.

19 Oh, quand l'homme a tout vendu au péché, et que le Fils de Dieu, ce matin-là, est sorti de la tombe pour notre justification, je pense qu'il a dû y avoir un cri à travers la nation disant : «Nous sommes libres du péché et de la honte, nous sommes gratuitement pardonnés par les liens du Calvaire.» Rien de plus grand ne pouvait être donné à la race humaine.
Quand l'homme a péché au jardin d'Eden, il a traversé un grand gouffre, se séparant de l'Eternel. L'homme à ce moment-là était éternel avec Dieu. Il n'était pas sujet à la maladie, à la tristesse ou à la mort. L'homme n'était pas créé pour mourir. L'enfer n'avait pas été créé pour l'homme ; l'enfer était créé pour le diable et ses anges, et non pour l'homme. En effet, les hommes avaient été créés sur la terre pour être des fils et des filles de Dieu. Mais quand l'homme a péché et qu'il a franchi la ligne de démarcation entre le bien et le mal, il s'est séparé de Dieu, se privant de tout moyen de retour. Il était totalement perdu. Il ne pouvait plus revenir parce qu'il avait péché.
Mais le Dieu qui est riche en miséricorde, a accepté un substitut. En effet, Il avait dit : «Le jour où tu en mangeras, ce jour-là tu mourras,» et la justice de Dieu ainsi que Sa sainteté exigent la mort, parce que c'est Sa Parole. Et Il doit tenir Sa Parole pour être Dieu.

20 Et maintenant. L'amour qu'Il avait pour la race humaine, et cependant Il a dû voir celle-ci séparée de Lui, et la communion qu'Il avait avec Ses enfants dans le jardin d'Eden, et ce chagrin immense qu'Il a connu pendant tout ce temps, car Sa Parole avait dit : «Le jour où tu en mangeras, ce jour-là tu mourras.» . Alors nous pouvons nous reposer sur ceci : tout ce que Dieu dit est vrai, cela doit arriver. Dieu ne peut pas retirer Sa Parole (voyez-vous ?), car Il est infini, et Il est éternel. Et Sa première décision reste une décision de tous les temps. Il n'a pas à - à la retirer comme s'Il avait appris mieux à ce sujet. Il est infini, pour commencer. Et par conséquent, quand Dieu dit quelque chose, c'est parfaitement tel quel. Cela ne peut jamais être changé, parce que c'est une décision parfaite.
Et puis, la manière dont Dieu traitera les - les individus qui acceptent Sa décision, ce sera toujours la même manière pour chaque individu qui accepte ainsi Sa décision. Par conséquent, s'Il a pourvu à une voie pour qu'un homme soit sauvé, la première voie à laquelle Il a pourvu est restée toujours la même voie. Si Dieu a promis la guérison aux malades sur base de la foi, en croyant cela, il en sera toujours ainsi. Il ne peut pas retirer cela. Voyez-vous ? Il doit à jamais rester le même.

21 Maintenant, Dieu a accepté un substitut pour l'homme dans le jardin d'Eden, et c'était la voie du sacrifice de Sang. Le Sang devait payer le prix. Et il en a toujours été ainsi. Jamais un autre moyen ou quelque chose d'autre n'a remplacé cela. C'était le Sang. La seule voie par laquelle Dieu ramène Ses enfants, c'est par ce substitut du Sang. Aucun autre prix ne peut être payé. Rien d'autre ne conviendra. La première décision de Dieu est toujours parfaite, et elle est éternelle. Et nous savons que cela est vrai, parce que Dieu ne peut pas mentir, et Il ne peut pas retirer Sa Parole. Depuis lors, cela a été la seule voie de Dieu et le seul lieu de communion avec l'homme.

22 Eh bien, le sujet était. Eh bien, le mot «mort» signifie «séparation». Quand nous mourons de ce côté-ci, cela ne signifie pas. Notre mort physique ne signifie pas que nous sommes morts. Jésus a dit : «Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ; celui qui vit et croit en moi ne mourra jamais.» Eh bien, cette mort dont il est question ici, c'est la séparation d'avec la Présence de Dieu. Mais la mort physique par laquelle nous devons passer ici, n'est pourtant pas la mort. Nous sommes toujours dans la Présence de Dieu. Nous quittons cet endroit pour un endroit plus proche de Lui, dans Sa Présence. Ce n'est pas à la mort que nous, nous appelons mort, que nous faisons allusion ici.
Rappelez-vous, Il a dit de la fille qui était morte, la fille de Jaïrus : «Elle n'est pas morte, mais elle dort.» Et les gens se sont moqués de Lui avec mépris. Il. sachant qu'elle était morte, que c'est cela sa fin, qu'elle était morte. Mais Jésus a dit : «Elle dort.» Et Il est allé la réveiller, et elle est revenue à la vie.

23 Eh bien, d'Adam jusqu'aujourd'hui, l'homme a essayé de faire son propre substitut. Il a essayé de son mieux de faire quelque chose d'un peu meilleur que ce que Dieu a fait à ce moment-là. Et c'est tout à fait naturel chez l'homme. L'homme essaie toujours de - d'améliorer quelque chose, de faire cela autrement. Il veut injecter ses propres idées dans le plan de Dieu. Et c'est pourquoi nous, les chrétiens de par le monde, sommes séparés ce soir par des barrières, par des barrières dénominationnelles. Nous. Cela arrive parce que l'homme a injecté sa propre pensée dans le plan de Dieu. D'Adam jusqu'aujourd'hui, comme je l'ai dit, cela a été ainsi.
Adam a exprimé la pensée humaine dans le jardin d'Eden, quand il s'est fait un tablier de feuilles de figuier pour se présenter devant Dieu. C'est quelque chose qu'il s'est fait ; et après ces feuilles de figuier, il a cherché à avoir l'instruction, les pouvoirs, les villes, les idoles, la civilisation, la dénomination. Mais cela ne change rien. Dieu n'accepte Ses sujets que sous le Sang. Et c'est tout.

24 L'instruction a totalement failli. Plus nous sommes instruits, plus nous nous éloignons les uns des autres. La dénomination a totalement failli. Nous traçons des limites et des barrières, et chacun essaye de faire en sorte que cette dénomination soit plus élevée que l'autre, et cela brise la communion. La civilisation a tout simplement amené la confusion. Les villes, les tours, ou quoi que ce soit d'autre, tout cela a failli. Et le plan de Dieu reste toujours le même : sous le Sang.
Ce Sang doit être un Sang exhibé. Dans le jardin. Là dans le temps, (plutôt) d'Israël, lorsqu'Israël a dû tuer l'agneau et appliquer le sang sur le linteau et sur le poteau, Dieu avait exigé cela. Et ce signe devait être là, peu importe quel autre signe les hommes pouvaient avoir exhibé, comme quoi ils étaient des Israélites circoncis. Il se pourrait qu'ils aient confessé ceci : «Nous croyons chaque Parole que Jéhovah a dite.» Mais cela n'excluait pas la chose. Ils devaient exhiber ce signe. Le sang devait être montré. Et c'est ainsi qu'il en est ce soir. Je crois que tout chrétien doit malgré tout exhiber le Sang de Jésus-Christ, qui l'a purifié des choses du monde.

25 Maintenant, en ce temps-là, le signe devait être sur la porte. Il doit être là, peu importe combien la maison est religieuse, combien les gens sont religieux, combien ils ont bien éduqué leurs enfants, combien ils ont été assidus à l'église, combien ils ont exhibé toutes les choses que Dieu avait exigées. Cependant, en cette dernière heure c'était soit la vie soit la mort, le sang devait être exhibé. Et le sang montrait qu'un substitut innocent avait été pris à la place de l'adorateur. Et les composants chimiques du sang, le sang rouge lui-même était un signe sur la porte comme quoi cette maison était en sécurité sous le sang.

26 Eh bien,  cela était un type. Maintenant, dans ces derniers jours nous revenons encore à l'heure à laquelle Dieu délivre Son Eglise. Je - je crois cela. Et aussi certain que ce sang a dû être là comme mémorial, de même le signe doit être. est exigé aujourd'hui. Car. Eh bien, on ne peut pas prendre le sang chimique du Seigneur Jésus et le placer sur la porte de chaque cour. Mais, voyez-vous, en ce temps-là un animal mourait ; c'était un agneau. Et pour montrer que cet animal était mort, le sang était sur la porte. Ainsi, la vie qui était dans l'animal ne pouvait pas revenir sur l'adorateur, parce que l'animal n'a pas d'âme. Ainsi, la vie qui était dans l'animal ne pouvait pas revenir sur l'adorateur.

27 Mais aujourd'hui, quand le Sang du propre Fils de Dieu a été versé au Calvaire pour notre pardon et notre libération. La Vie qui était dans ce Sang, c'était Dieu Lui-même. Et le Saint-Esprit retourne sur Son Eglise, sur Son croyant, et c'est cela le signe en ces derniers jours. Et Il passera par-dessus l'homme ou la femme qui a accepté la mort de Jésus-Christ comme son substitut, et le Saint-Esprit rend témoignage.
Vous pourriez dire : «J'ai accepté cela.» Et vous vivez toujours dans le monde, vous vivez toujours comme le monde. Alors il n'y a pas d'évidence que cette vie était pour vous, avant que cette évidence du Saint-Esprit ait rempli votre vie. Voilà l'exigence de Dieu, c'est que dans ces derniers jours, chaque homme ou chaque femme doit avoir cette évidence comme signe. «Quand Je verrai le Sang.»
Jésus a dit : «En vérité, en vérité, je vous le dis, si un homme ne naît de nouveau d'eau et d'esprit, il n'entrera pas dans le Royaume.» Cela a donc été tout le temps le programme de Dieu : le Sang.

28 C'était le Sang dans l'Ancien Testament. C'était le Sang dans le Nouveau Testament. Dans l'Ancien Testament, c'était le sang chimique qui était le type de la vie à venir. Cela montrait qu'un substitut avait été pris. Mais l'adorateur s'en allait avec la même conscience de culpabilité qu'il avait en venant offrir son agneau. Mais ici, une fois purifié du péché, l'adorateur n'a plus conscience de la chose, cela est mort, passé, et vous êtes passé de la mort à la Vie. Et vous êtes de nouveau vivant en Christ Jésus, avec la Vie Eternelle, le Saint-Esprit reposant en vous et apportant de nouveau la Vie de Jésus-Christ. Car la Bible dit dans Hébreux 13.8 : «Il est le même hier, aujourd'hui et pour toujours.»
Dieu attend le moment où Il verra Son Eglise atteindre cette position, ne regardant pas à la dénomination, ne regardant pas au credo, à la race, à quoi que ce soit, quand toute Son Eglise parviendra à cette position où Elle montrera le signe de la mort de Jésus-Christ. «Encore un peu de temps, a-t-Il dit, et le monde ne me verra plus ; mais vous, vous me verrez, parce que je vis, vous vivrez aussi. Je serai avec vous, même en vous jusqu'à la fin du monde ;» Jésus-Christ le même hier, aujourd'hui et pour toujours.

29 Des fois, je me retrouve au milieu des chrétiens qui prétendent être des saints hommes et femmes de Dieu. Ils ont honte d'un témoignage. Ils ont honte de dire : «Amen.» Ils ont honte de chanter les cantiques de Sion. Ils ont honte partout. J'aime me trouver au milieu de ceux qui n'ont pas honte de l'Evangile de Jésus-Christ. Même si cela paraît comme de l'hérésie, ils n'ont néanmoins pas honte. Quelque chose est arrivé, et pour eux, cela vaut plus que la vie. C'est la Vie. C'est la Vie Eternelle parce qu'ils ont accepté le substitut de Dieu.

30 J'aime ce genre de cantique. Il y a quelques instants, quand j'étais là derrière priant pour certaines personnes qu'on avait amenées dans. Et ceci n'est pas une réunion de prière, c'est simplement pour parler, j'étais là-dedans et j'ai entendu les cantiques, le battement de leurs mains, et nous nous sommes demandés. Certains d'entre eux, je les ai même vus courir ça et là sur le parquet, ce qu'ils appellent danser dans l'Esprit.
Au début, je critiquais cela, quand j'ai vu les pentecôtistes danser dans l'Esprit. Et je me disais : «Qu'est-ce ? Ça doit être un tas d'absurdités.» Alors, je me suis mis à lire la Bible. Et j'ai trouvé que quand on danse dans l'Esprit. Le diable a copié cela et il a exhibé les gens là avec du rock and roll et tout, mais l'authentique et véritable danse vient de Dieu. C'est exact. Et cela. la danse a toujours été le signe la victoire.

31 Quand David tua Goliath, et que ce petit garçon rougeaud entra dans la ville, traînant la tête de ce géant, les gens sont allés à sa rencontre, en dansant. Ils avaient obtenu la victoire. Quand Moïse a traversé la mer Rouge par la puissance de Dieu, et qu'il a amené les enfants d'Israël de l'autre côté, Myriam a pris un tambourin, ainsi que toutes les filles d'Israël, et elles ont parcouru la rive, jouant du tambourin et dansant dans l'Esprit. Et si ce n'était pas une réunion pentecôtiste à l'ancienne mode, c'est que je n'en ai jamais vu une de ma vie. Mon problème, c'est que je n'avais pas eu assez de victoires. Mais quand vous avez finalement cette victoire et que le signe du Sang de Jésus-Christ vient sur vous.

32 Je me souviens de David, le grand psalmiste de la Bible. Quand il avait fait quelque chose qui. cet exploit, on lui a donné la fille de Saül. Et elle était une sorte de soi-disant croyante, prétentieuse, guindée. Et l'arche était restée loin de Dieu pendant longtemps, la Présence visible de Dieu, la Colonne de Feu qui était suspendue sur cette arche. Sous le règne de Saül, les Philistins étaient venus et l'avaient emportée. Et un jour, quand David a vu l'arche revenir à la maison de Dieu, David a couru devant l'arche et a dansé devant l'Eternel, en chantant les louanges de Dieu. Et la fille de Saül s'est sentie très embarrassée à cause du comportement de cet homme. Son mari, son jeune et beau mari a fait le pitre et s'est mal conduit en sa présence à elle, la fille du roi. Et David a dit : «Si. tant. Si tu n'aimes pas cela, regarde un peu ceci.» Et il a fait le tour de l'arche, puis un autre tour, puis un autre, puis un autre, dansant dans l'Esprit. Et elle était embarrassée. Et Dieu a frappé cette femme d'un malédiction.
Oh, la victoire par le Sang de Jésus-Christ, le signe de la résurrection de Christ, Sa vie est vivante dans Son Eglise. Il n'y a pas d'autre moyen de communion sous. si ce n'est sous le Sang. Nos dénominations nous sépareront, et l'une dira : «C'est absurde.» Et l'autre dira ceci ou cela.

33 La Pentecôte a été notre modèle. Personne ne devra dire que ce que. ou plutôt ne peut nier que l'Eglise avait été inaugurée le jour de la Pentecôte. Et le même Esprit qui était tombé sur eux ce jour-là. Chaque fois dans la Bible et sans faillir, quand le Saint-Esprit est descendu sur les gens, ils agissaient de la même façon.
Permettez-moi de dire ceci, que chez les païens, là où j'ai eu la place. le privilège d'aller, et de voir les purs indigènes des îles, et chez les Hottentots, de les voir se tenir là où on devait parler par l'intermédiaire d'un interprète. Ils n'ont jamais entendu le Nom de Jésus-Christ de leur vie. Mais racontez-leur l'histoire et demandez-leur de lever la main pour recevoir Dieu, ils feront la même chose que vous qui êtes ici quand vous recevez le Saint-Esprit. Cela montre que c'est universel. C'est la puissance du Dieu Tout-Puissant, la démonstration de Son signe sur Ses enfants, qu'ils soient Rouges, Noirs, Blancs ou quoi que ce soit. C'est le seul lieu de communion qui ait été donné.

34 Nimrod avait construit une tour, et Nebucadnetsar une ville, et ainsi de suite. Ils perpétuent cela à travers des savants et tout, mais il n'en reste pas moins que c'était le Sang que. Dieu avait décidé qu'un substitut innocent prenne la place de l'homme coupable pour son pardon, et la même chose demeure ce soir. Il n'a jamais changé cela.
Job a vécu par cela. Job, le plus vieux livre de la Bible. Et même si cet homme en avait vu de toutes les couleurs, il resta toutefois ferme, parce qu'il savait qu'il avait satisfait aux exigences de Jéhovah. Il savait que c'était en ordre ; Abraham de même, ainsi que plusieurs d'entre eux. Israël rencontra seulement. Il n'y avait qu'un seul lieu où Israël pouvait avoir la communion. C'était sous le sang répandu. Les hommes de partout devaient adorer à Jérusalem. Avant qu'il y ait un sacrifice, il n'y avait pas d'adoration, et le sacrifice était le sang.

35 Aujourd'hui, aujourd'hui, si instruite que paraisse pourtant la - la nation, et si cultivés que paraissent les gens, et toutes nos recherches scientifiques pour décomposer un atome, et tout ce qui arrive, lancer une fusée à la lune, ou envoyer un - un satellite, ou quoi que cela soit. toutes nos recherches scientifiques, toutes nos dénominations, toute notre instruction et toutes nos écoles, elles nous ont simplement éloignés davantage de Dieu qu'il n'en était au commencement.
Ce qu'il faut, c'est un cour livré à la puissance du Dieu Tout-Puissant par Sa volonté, et le Saint-Esprit viendra comme un signe sur cette personne. «Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.» Cela reste toujours le même. Christ l'a dit. «Allez par tout le monde, prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé ; celui qui ne croira pas sera condamné. Et voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.» C'est la manifestation du Saint-Esprit pour montrer que Dieu a accepté l'adorateur, car l'Esprit et la Vie qui étaient en Christ viennent sur l'adorateur.

36 Pouvez-vous vous imaginer un Juif dans l'ancien temps sous le sang répandu ? Le voici descendre la route. Ce - c'est le jour de l'expiation. Il va offrir un sacrifice. Il a une belle vache grasse. C'est ce que Jéhovah a exigé. Ou disons peut-être qu'il a un - un agneau, un bel agneau gras. Il va être examiné par le sacrificateur pour voir s'il a un défaut. Ensuite, il va au lieu d'adoration. Il se rend compte qu'il est un pécheur. Il a commis un mal.
Maintenant, il pose ses mains sur ce sacrifice. En posant les mains sur le sacrifice, il s'identifie à son sacrifice. Et ensuite, quand l'animal est égorgé, ou plutôt quand sa vie est ôtée, - ses mains étant posées sur lui, et sa vie est ôtée, et il sent cette douleur pendant que cet animal meurt et que le sang gicle sur ses mains, il comprend que cet animal prend sa place. Et il rentre justifié, parce qu'il a fait exactement ce que Jéhovah lui a exigé.

37 Et il en est de même des chrétiens aujourd'hui. Il ne s'agit pas de signer une carte pour montrer que vous viendrez à l'école du dimanche autant de jours, ou plutôt autant de dimanches en une année. Il ne s'agit pas de jurer que vous ne boirez plus pendant six mois. Ce n'est pas ça. Il s'agit de poser vos mains sur le sacrifice auquel Dieu a pourvu, Son pardon, la tête de Jésus-Christ, et de sentir le déchirement de la chair au Calvaire, et puis de vous identifier à Lui dans le baptême, car de même qu'Il est mort et est ressuscité, vous aussi, vous avez été enseveli en Son Nom pour ressusciter en nouveauté de vie, pour marcher comme une nouvelle créature en Christ. Quand vous faites cela avec sincérité.

38 Quand ceci est fait, l'ordre de Jéhovah. Et alors il se sent justifié. Eh bien, le Juif pouvait être justifié parce qu'il avait fait ce que Jéhovah lui avait ordonné de faire. Finalement. C'était correct. Jéhovah avait fait cela, et c'est ce qu'Il avait exigé. Mais finalement, cela est devenu une tradition familiale. Le jour de l'expiation arrivait, et peut-être que le Juif avait commis un mal. Il disait : «Eh bien, je crois que c'est le jour de l'expiation. Je ferais mieux d'amener mon agneau.» Voyez-vous, c'était devenu une tradition familiale. Les gens ne l'amenaient pas avec sincérité. Ils faisaient cela simplement parce que les familles avaient fait cela. «C'est juste la - la chose que nous devrions faire. Toutes les familles le font, nous devrions donc le faire nous aussi.»
Et c'est exactement là où en est arrivé notre christianisme. C'est exactement là où nos mouvements pentecôtistes en arrivent. C'est une tradition de famille. Voyez-vous, nous ne - nous ne nous identifions pas à notre Sacrifice, pour montrer que nous sommes morts avec notre Sacrifice. Nous sommes. Nous disons : «Oh, nous sommes chrétiens parce que nous sommes allés nous joindre à l'église.»
Se joindre à une église est une bonne chose. Mais à moins que vous soyez identifié, que vous ayez posé vos mains sur Lui, que vous et Lui deveniez un, à moins que l'Esprit de Christ vienne en vous et vous en Christ, à moins que vous deveniez fils et fille de Dieu. Il ne semble pas y avoir la sincérité que les gens - les gens devraient avoir. Cela devient un rite. Juste la même chose aujourd'hui ; pour les gens, devenir chrétien, ce n'est qu'un rite.

39 Récemment là, j'ai demandé à une jeune dame dans la ligne de prière : «Etes-vous une chrétienne ?»
Elle a dit : «Eh bien, je suis une Américaine, je vous l'apprends.»
Eh bien, comme si cela avait quelque chose à voir avec. Une Américaine, c'est merveilleux d'être une Américaine, mais cela ne veut pas dire que vous êtes une chrétienne. Vous devez naître de nouveau.
J'ai demandé à une autre femme : «Etes-vous une chrétienne ?»
Eh bien, elle était tellement fâchée qu'elle a dit : «Je vous apprends pour votre gouverne que je brûle un cierge chaque soir.»
Comme si cela avait quelque chose à voir avec. Vous devez être identifié à Christ et Sa vie doit vivre en vous. C'est quand vous êtes identifié à Christ, c'est quand Christ vit en vous. Il ne s'agit pas d'un rite. Il ne s'agit pas d'être membre d'église. Tout cela est bien. Mais vous voyez, la véritable sincérité.
Quand nous venons aux services de guérison, si vous remarquez lors du discernement dans la ligne, c'est constamment : «Dis aux gens de se repentir.» Voyez-vous ? Ils sont. Vous devez.

40 Nos prières sont devenues une tradition. Nous nous mettons à genoux la nuit et disons : «Seigneur, bénis Untel, et bénis Untel, et fais ceci, et aide Jean, fais tout ceci.» Vous faites de Dieu une mascotte, ou plutôt vous faites de Lui une espèce de garçon de course. «Dieu, fais ceci, et fais ceci, et fais ceci.» Ce n'est pas ainsi que Jésus nous a dit de prier. Il nous a dit de prier comme ceci : «Notre Père qui es aux cieux ! Que Ton Nom soit sanctifié ; que Ton règne vienne ; que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.» Mais nous essayons d'ordonner à Dieu ce qu'Il doit faire pour nous.
Et c'est la raison pour laquelle l'Eglise se refroidit. C'est la raison pour laquelle le grand réveil qui vient de frapper la nation en a fait entrer des millions dans l'église. C'est. cela. Les gens en sont arrivés à utiliser ces expériences, et autres, comme une tradition au lieu d'éprouver une pieuse tristesse, et de laisser le Saint-Esprit faire l'oeuvre de Son office en vous et de créer en vous une nouvelle vie, et de vous rendre si assoiffé d'aller à l'église que vous ne pouvez rester loin de l'église. C'est donc ce qu'il en est. Ce n'est pas signer des tickets et devenir membre et avoir. et ainsi de suite. Il s'agit d'être. d'avoir la Vie de Christ en vous, de sorte qu'Il a hâte de partir. Il y a quelque chose en vous qui vous pousse.

41 Comme je le disais hier à un jeune homme dans une causerie, un petit entretien, j'ai dit que je passais d'habitude près d'une petite source quand j'étais garde chasse dans l'Indiana. Et il y avait. C'était toujours la source la plus heureuse que j'eus jamais vue de ma vie. Les grandes sources de l'Indiana bouillonnent avec une bonne eau fraîche, de l'eau calcaire. Et un jour, je me suis assis près de la source afin de lui parler, juste comme je pense que Moïse s'était assis près du buisson ardent afin de lui parler. Et j'ai dit : «Petite source, qu'est-ce qui te rend si heureuse pour que tu bouillonnes tout le temps ? Quand je viens ici en hiver, tu bouillonnes. Quand je viens au printemps, en automne, en été, n'importe quand, tu bouillonnes. Est-ce peut-être, peut-être parce que tu es très contente du fait que les lapins viennent boire de toi ?»
Eh bien, maintenant, si elle pouvait parler, elle dirait : «Non, c'est - ce n'est pas ça.»
Je dirais : «Eh bien, peut-être parce que les cerfs viennent boire de toi ?»
Elle dirait : «Non, ce n'est pas ça.»
Je dirais : «Eh bien, alors, peut-être parce que je viens ici de temps en temps boire de toi ?»
«Non, ce n'est pas ça. Je suis heureuse que tous viennent boire, mais ce n'est pas la raison pour laquelle je bouillonne tout le temps.»
«Eh bien, qu'est-ce qui te fait bouillonner comme ça ? Qu'est-ce qui te rend si heureuse ? Toujours jaillissante ?»
Si elle pouvait parler, elle dirait : «Ce n'est pas moi. C'est quelque chose derrière moi qui me pousse.»

42 C'est ainsi qu'il en est d'une expérience chrétienne. Ce n'est pas quelque chose que vous essayez de fabriquer. C'est quelque chose derrière qui opère en vous. C'est la Vie Eternelle qui se meut, qui jaillit, comme un. Comme Il l'a dit à la femme au puits : «Ce sera des fontaines d'eau qui jailliront jusque dans la Vie Eternelle.» C'est quelque chose qui se passe dans l'adorateur quand il est identifié à Christ puisqu'il sait qu'Il est vivant. Mais ne cherchons pas à ce que cela devienne une tradition.
Quand Israël en arriva à faire des commandements de Dieu une tradition, avec leurs sacrifices, c'est alors que le puissant prophète Esaïe leur fut envoyé par Dieu avec le AINSI DIT LE SEIGNEUR. Quelque part, d'une façon ou d'une autre, Dieu peut toujours mettre Sa main sur un homme qui n'a pas peur de mettre la chose à nu. C'est cela. Quelque part, à un endroit.

43 Esaïe se leva, si vous lisez Esaïe 1. J'ai cela écrit ici. Esaïe leur parla, disant : «Vos sacrifices (que Jéhovah a exigés) sont devenus une puanteur à mes narines. Je les méprise ainsi que la graisse des béliers, et - et des génisses» et ainsi de suite. Dieu avait méprisé cela. La chose même qu'Il leur avait ordonné de faire, puisqu'ils en avaient fait un rite, alors Dieu a eu cela en dégoût, car ils en avaient fait un rite.
Et nous pouvons faire la même chose de la Parole de Dieu (C'est vrai.) quand nous L'abordons comme une tradition, comme un rite. Nous devons L'aborder, sachant que c'est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Si Dieu a promis ceci, Dieu veillera à Sa promesse. Il est plus grand que Sa promesse. Il l'a toujours été. «Il est capable, comme l'a dit Abraham, d'accomplir ce qu'Il a promis de faire.» Il est toujours capable de faire cela, de garder Sa Parole.

44 Bien. Esaïe a dit aux gens, il a dit que toutes ces choses qu'ils faisaient, ils les faisaient sans sincérité. Ils avaient fait cela simplement parce que les autres le faisaient. Ils étaient devenus. faisaient aussi cela parce que c'était exigé par Jéhovah. Et toutes les familles ont fait cela, et les mamans ont fait cela, et les grand-pères ont fait cela. Pourquoi eux ne pouvaient-ils pas le faire ?
Maintenant, nous faisons la même chose. «Mon grand-père était presbytérien, aussi suis-je presbytérien.»
«Mon père était baptiste, aussi suis-je baptiste,» et ainsi de suite.
«Et mon père était pentecôtiste, aussi suis-je pentecôtiste.» Ce n'est pas cela.

45 Nous en sommes arrivés à un point où nous nous rendons compte que nous sommes séparés. Nous sommes séparés de Dieu. Et nous venons sur base du Sang répandu de Jésus-Christ. Sous ce Sang, c'est là que le méthodiste, le baptiste, le luthérien, le presbytérien et les pentecôtistes peuvent tous se rencontrer, sur un terrain commun, sans regarder à la tradition qu'ils. ou au rite. Ils peuvent se rencontrer là sous une chose commune, et c'est sur base du Sang de Jésus-Christ.
A moins que l'Eglise revienne à une certaine position, et s'éloigne de ses rites et qu'Elle revienne au plan originel de Dieu, afin que les hommes naissent dans le Royaume de Dieu et ne se joignent pas à une église. C'est alors que la communion régnera partout, et que l'Esprit du Seigneur couvrira la terre comme les eaux couvrent la mer, si on en arrive au point où les hommes peuvent oublier leurs différences et se rassembler et communier sous le Sang.

46 Nous ne pouvons pas tous venir sous la tradition baptiste ni sous la tradition presbytérienne, sous la tradition méthodiste, sous la tradition pentecôtiste. Mais nous pouvons tous nous rencontrer et communier sous le Sang de Jésus-Christ, parce que c'est le plan originel de Dieu. C'est vrai. Amen. C'est là qu'il y a le pardon.
Un méthodiste peut regarder un baptiste et garder sa tête tournée de côté, et un baptiste regardera un pentecôtiste, un pentecôtiste fera de même vis-à-vis d'un baptiste, à cause de leurs traditions. Mais quand on se rencontre sous la croix, là où le Sang de Jésus-Christ purifie tout homme du péché, on devient une nouvelle créature en Christ Jésus. On est frère. Peu importe la marque qu'on porte, on est frère. Car c'est sur ce seul terrain que nous pouvons tous nous rencontrer. C'est de cette façon que Dieu procède. Ces autres choses sont des crédos humains qui sont injectés là-dedans. Mais le plan originel de Dieu pour le pardon, c'est sous le Sang de Jésus-Christ. C'est le plan de Dieu pour faire la chose. Oui.

47 Les tra - les traditions en ces jours-là. le grand prophète a crié et il a dit : «Vos traditions sont sans puissance. Elles sont une puanteur à mes narines. N'ayez pas foi en elles.» Les gens offrent ces choses sans même avoir foi en ce qu'ils font. Eh bien, posons-nous une question. N'est-ce pas la même chose aujourd'hui? Dommage que nous n'aimions pas le dire, nous devons affronter la réalité quelque part. Il y a quelque chose qui cloche quelque part.
Eh bien, cette église devait être à des milliers de kilomètres sur la route, de l'endroit où elle se trouve maintenant. Jésus attend que Son Eglise soit prête. Son Epouse s'est Elle-même préparée. Nous avons des potentialités. Le Saint-Esprit est ici. Dieu est ici. La puissance pour guérir les malades, la puissance pour faire toutes les oeuvres que Christ a faites, j'ai moi-même vu cela être manifesté par le Saint-Esprit. Les potentialités sont donc ici.
Dieu attend que nous nous éloignions de nos traditions et que nous revenions sous le Sang de Son Fils Jésus-Christ, et devenions l'Eglise du Dieu vivant, là où le méthodiste, le baptiste, le luthérien, le presbytérien, et que sais-je encore. «Que celui qui veut vienne et boive aux eaux de la vie gratuitement.» Je crois cela de tout mon être. Nous. Dieu a envoyé le Saint-Esprit faire cela. Mais nous, avec nos rites, et sans sincérité. Nous. On y va parce que c'est une tradition, et parce que c'est un rite. Nous y allons sans sincérité, sans un regret sincère du péché.

48 L'autre soir, j'ai remarqué dans cette réunion très populaire de l'un de nos très célèbres frères de Californie. Et j'ai remarqué à cette réunion comment ces gens venaient, des jeunes adolescents. j'ai admiré le frère pour sa brillante position. N'importe qui l'admirerait. Si vous êtes bien placé pour voir la place qu'il occupe dans ces derniers jours, vous l'admirerez aussi. Et comme j'observais ces gens qui s'approchaient de l'autel pour prendre leur décision, les filles mâchaient du chewing-gum, les garçons se donnaient des coups de poing, les gens riaient. Ce n'est pas de cette façon-là qu'on s'approche avec une tristesse pieuse. Vous devez venir étant convaincu. Ô Dieu, envoie-nous un réveil pentecôtiste du Saint-Esprit à l'ancienne mode qui dévoilera la cause du péché et apportera la conviction aux hommes et aux femmes.
Il ne s'agit pas de dire : «Je retournerai à l'église et je renouvellerai ma communion. Je signerai une carte.» Ça, c'est bien. Mais vous pouvez vous joindre aux Francs Maçons, aux Odd Fellows et tout, et obtenir le même résultat. Mais quand vous venez sous l'expiation du pardon de Dieu par le Sang de Jésus-Christ, il faut qu'il y ait la sincérité là-dedans. Dieu exige la sincérité.
Si cela Lui a coûté un tel prix que de donner Son Fils unique, comment allons-nous nous en sortir avec une petite histoire pour rire, et venir nous joindre à l'église, et remplir une carte d'engagement, et l'apporter à l'église, et quoi que ce soit. Ce n'est pas ça l'exigence de Dieu. «Celui qui marche en semant avec larmes, revient avec allégresse quand il porte ses gerbes.» Nous avons besoin des gens qui portent des gerbes.

49 J'ai entendu ce grand évangéliste dire une fois, pendant que j'assistais à l'un de ses petits déjeuners. Il a pris la Bible, et. Je l'ai toujours admiré. Il a dit : «Voici la référence. C'est cela que Dieu exige.» Il a dit : «Je peux aller dans une ville, y tenir un réveil.» Il a dit : «Je peux amener vingt ou trente mille personnes à prendre la décision. Je reviens après quatre ou cinq ans environ, ou peut-être deux ans, a-t-il, et je ne peux pas trouver quinze ou vingt personnes.» Il a dit : «Saint Paul est allé dans une ville et il a fait un converti. Il est revenu une autre année, et à partir de ce seul converti, il avait trente ou quarante.» Alors il a dit : «Ce sont les prédicateurs paresseux qui s'asseyent les pieds sur la table et qui ne vont pas rendre visite aux gens.»

50 J'admire le courage qu'il avait de réprimander ses frères et tout, d'après sa conviction, mais j'aimerais lui poser cette question : «Quel prédicateur parlait à cet unique converti du temps de Paul, alors qu'il n'y avait pas d'église où il pouvait aller?»
Qu'était-ce? Paul l'avait fait sortir d'une tradition, ou du fait de signer une carte, et l'a amené au baptême du Saint-Esprit, comme son âme était en feu pour Dieu. Il devait rendre témoignage et dire des choses. Toute son âme était enflammée par le feu que Dieu avait allumé dedans. Ce dont nous avons besoin ce soir, c'est un signe qui montre qu'un homme ou une femme est sauvée ; vous les verrez aller à la recherche d'autres âmes aussi vite que possible.

51 Une fois il a dit qu'un barman. un petit garçon est entré et a dit : «Monsieur le barman?»
Il a dit : «Oui, fiston.»
Il a dit : «Votre enseigne est tombée.»
Il a dit : «Eh bien, merci, fiston.» Puis il est sorti, et le petit garçon se tenait les mains derrière, et le barman a levé les yeux. Et là, il y avait la publicité d'un grand bar sur une grande plaque en cuivre. Et il a pris son tablier et l'a astiquée. Il a dit : «Fiston, tu t'es trompé. Mon enseigne est debout. "
Il a dit : «Non, Monsieur, a-t-il dit, elle n'est pas debout.» Il a dit : «Je veux dire votre - votre meilleure enseigne.»
Il a dit : «C'est la meilleure enseigne que j'aie.»
Il a dit : «Oh, non. Regardez, celle qui est étendue là.» Et là dans un caniveau était couché un ivrogne. C'était la meilleure enseigne qu'il avait (Certainement !), quand il a vu un homme sous le pouvoir de ce qu'il vendait à l'intérieur.
Et quand nous voyons un homme sous l'influence du Saint-Esprit, jusqu'à ce que sa vie brûle du feu de la Pentecôte à l'ancienne mode, c'est ça la meilleure enseigne que Dieu ait jamais eue, montrant qu'un homme est sauvé. Eh bien, certainement. C'est ça la meilleure enseigne.
Maintenant, comment cela arrivera-t-il? Ce n'est pas en vous joignant à l'église, mais c'est en acceptant Son pardon à travers Jésus-Christ, votre Substitut innocent.

52 Pas de sincérité, pas de vraie tristesse pour le péché. Il a dit qu'Il S'est détourné de leur rite. Leurs prières étaient sans puissance. Ils priaient. Oh, certainement. Ils allaient là et offraient des prières. Ils offraient des sacrifices. C'était devenu du formalisme.
Savez-vous que dans II Timothée verset 3, ou plutôt II Timothée chapitre 3, on nous dit que nous aurons la même chose dans les derniers jours ? La Bible dit : «Ici dans les derniers jours, sachez-le, le temps viendrait où les hommes seraient emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, déloyaux, calomniateurs, intempérants, et ennemis des gens de bien, ayant l'apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Eloigne-toi de ces gens-là. Ce sont eux qui vont de maison en maison, et qui captivent des femmes d'un esprit faible et borné, agitées par des passions de toute espèce, et n'apprenant jamais - apprenant toujours, et ne pouvant jamais arriver à la connaissance de la vérité.»

53 Eh bien, comme la Bible prédit que le moment viendra ou l'église s'introduira dans la même tradition où les autres étaient à cause de leurs rites. La voici de nouveau, une religion traditionnelle, sans puissance. «Oh, disaient-ils, ceux-là, c'étaient des communistes.» Non, ils ne l'étaient pas. «Ayant une forme de piété.» Les gens vont à l'église ; ils se joignent à l'église ; ils essaient de faire une longue démonstration comme quoi ils sont. ils vont à l'église et tout. et s'en vont et mènent une vie différente. Il n'y a pas de feu dans leur âme. Il n'y a rien ; ils ne se préoccupent pas des autres. Les autres peuvent mourir et s'en aller s'ils le veulent. Nous sentons que nous sommes sauvés. Les autres, laissez-les s'en aller.»
Ce n'est pas là le vrai christianisme. Le christianisme, c'est aller à la recherche des perdus. Aller chercher ce frère-là. Aller faire quelque chose à ce sujet. Et nous nous tenons là, bras croisés, bien que nous, nous prétendions être sauvés, et nous voyons des hommes et des femmes mourant de tous côtés. Et les rues sont pleines de femmes qui se rendent à l'église en culottes et - et les visages fardés,  et - et elles courent les rues, la cigarette à la main, et - et les visages pleins de maquillage. c'est comme des renards ou des loups, ou quelque chose de ce genre - et les hommes courent les rues, se joignent aux églises et des choses de ce genre. Et vous appelez cela du christianisme et vous restez tranquille ?

54 Que ferait saint Paul s'il se promenait dans Tucson ? Eh bien, je dis qu'on le mettrait en prison avant le matin. C'est vrai ! Pourquoi ? Son âme brûlerait pour Dieu au point qu'Il ne pourrait s'empêcher de faire cela. Certainement. Mais nous nous joignons à l'église. Voyez-vous, nos traditions sont devenues une puanteur devant Dieu.
Ce dont nous avons besoin aujourd'hui, c'est d'un prophète qui apparaisse sur la scène avec le AINSI DIT LE SEIGNEUR et qui dénonce ces choses jusqu'au fond et qui dise qu'elles sont devenues une puanteur. Nos dénominations se sont agrandies, et nos églises sont grandes, et elles sont plus belles que jamais. Nous ferions beaucoup mieux de sortir avec une casserole en fer blanc, de nouveau debout dans la ruelle avec une guitare. là dehors, battant le tambour, ou l'une ou l'autre chose, avec un vrai feu de Pentecôte brûlant dans nos âmes, plutôt que nous asseoir sur des bancs magnifiques sur lesquels nous sommes assis aujourd'hui, mourants, avec le monde mourant à nos pieds.

55 Bien sûr que oui, Dieu a un pardon, et ce pardon c'est seulement par Jésus-Christ. L'instruction, la tradition, la dénomination, la science, rien ne peut remplacer cela. C'est sous ce Sang. C'est sous la tradition - pas la tradition, mais sous le Sang de Jésus-Christ, la voie pourvue par Dieu pour les pécheurs, la seule voie par laquelle nous pouvons nous rencontrer. Eh bien, je vous le dis, prenez un méthodiste, prenez un baptiste, et un presbytérien, un luthérien et un pentecôtiste, et laissez chacun venir sous ce Sang. Ils sont frères. Ils ne feront pas d'histoires à ce moment-là. Certainement pas, ils sont frères. Ils voient tout de la même façon.
Mais laissez un méthodiste se disputer avec un baptiste sur l'ordre du baptême. Laissez un unitaire se disputer avec un trinitaire, un trinitaire avec un unitaire, et que sais-je encore. Observez l'agitation et l'affolement. Mais laissez les deux venir sous le Sang, puis observez ce qui arrive. [Espace vide sur la bande. Ed]

56 Et il le sera jusqu'à ma mort Puis dans un chant plus noble et plus doux,
Je chanterai cette puissance qui sauve
Quand cette pauvre langue balbutiante et zézayante
Sera couchée silencieuse dans la tombe. Je témoigne ce soir que le Sang de Jésus-Christ fait d'un méthodiste, un baptiste, un luthérien, un presbytérien, quoi qu'il soit, mon frère. Certainement. Il y a quelque chose dans cet homme, parce que son esprit est - est un frère. Il n'est pas un faiseur d'histoires et - et l'une ou l'autre chose ; il est un frère en Christ. Il croit chaque Parole qui se trouve dans cette Bible.
Comment le Saint-Esprit qui a écrit la Bible, peut-Il renier Cela ? Comment le Saint-Esprit vivant dans un homme, peut-Il dire : «Non, ça c'était pour les disciples.» Cela.
Jésus a dit : «Que celui qui veut.»
Pierre a dit : «La promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Le Saint-Esprit était pour celui que Dieu appelait.
Et ici Il dit : «Ceux qu'Il a prédestinés, Il les a connus d'avance.» Il a ordonné et eux ont accepté. «Nul ne peut venir à moi, a dit Jésus, si le Père ne l'attire, et tout ce que le Père m'a donné viendra à moi.»

57 Venons-nous sous l'émotion ? Venons-nous pour nous joindre à l'église ? Venons-nous parce que nous ne voulons pas aller en enfer ? Ou plutôt venons-nous parce que nous aimons Dieu qui a donné Son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ait la Vie Eternelle ? Venons-nous parce que c'est un sacrifice d'amour que Dieu nous offre afin que nous puissions manifester cela ?
Dieu déteste une religion sans puissance. Leur religion n'a pas de puissance. Alors que doit-Il faire à ce jour ? Il déteste une. Dans la Bible, chaque fois que Dieu. dehors. ce côté, la Bible, chaque fois qu'on en est arrivé à une réforme ou plutôt à un réveil, celui-ci était accompagné de grands signes et des puissances. Quand Luther est apparu, quand Wesley est apparu, quand tous les réformateurs : Sankey, Finney, Knox, Calvin, qui que ce soit, quand ils sont venus, il y avait une démonstration de puissance. Là où Dieu est, Il est surnaturel. Là où Dieu se manifeste, il doit y avoir du surnaturel.

58 Considérez les Pharisiens qui étaient venus vers Jésus en ce jour-là. Et vous parlez de la douceur et de l'humilité. Qui était plus humble que le vieux sacrificateur ? Qui était plus grand que leur sacrificateur ? Il vient vous voir à votre naissance. S'il y a une dispute dans le voisinage, il vient et règle le problème. Et c'est toujours un pacificateur. C'est un homme affectueux. Vous savez qu'il l'est. Quand vous avez des ennuis, vous pouvez aller le voir, il vous aidera. Quel homme gentil !
Alors, parler de ce Jésus de Nazareth. Ce sacrificateur, nous savons qui était son père, le père de son père, le père de son père. Nous avons ici une école qui le reconnaît. Qui est ce Jésus de Nazareth ? De quelle école est-il sorti ? A quelle organisation appartient-il ? Que fait-il si ce n'est toujours faire des histoires ?
Que dit-il de votre gentil vieux sacrificateur ? «Il est du diable, a dit Jésus. Vous êtes - vous êtes le. Vous avez pour père le diable, et ce sont ses oeuvres que vous voulez accomplir.» Pouvez-vous vous imaginer ? Il est entré dans le temple, Il a regardé les gens avec colère, Il a renversé les sacrifices que Jéhovah exigeait, et Il s'est écrié : «Il est écrit : ' La maison de mon Père est une maison de prière, et vous en avez fait une caverne de voleurs.'»
Que ferait-Il aujourd'hui s'Il venait dans nos églises modernes ? Il y aurait davantage de tables en l'air. Davantage de bancs qui sauteraient. Eh bien, Il mettrait cela en pièces. Exactement. Ce serait la même chose. Ne voyez-vous pas que Jésus est très scripturaire ? Il était la Parole. Il n'avait pas à écrire quoi que ce soit. Il était la Parole. Il était la Parole vivante. Et les gens ont manqué de reconnaître cela.

59 Et aujourd'hui, comment un homme peut-il, sur base des principes de ce que. Jésus a promis ces signes au monde entier, et cette bénédiction au monde entier, que le Saint-Esprit tomberait sur celui que Dieu appellerait, juste comme au commencement. Comment un homme peut-il se dire chrétien, et renier cette Parole, puis dire que le Saint-Esprit est en lui ? Le Saint-Esprit ponctue chaque Parole de Dieu d'un amen. C'est tout à fait exact.
Oh, frère, nos systèmes d'instruction nous ont éloignés de cela. Et nos - nos dénominations nous ont séparés les uns des autres et de Christ. Mais ce  que. Ils continueront à le faire. Lorsque vous prenez un substitut, n'importe quoi d'autre, ce n'est rien de plus que les feuilles de figuier, de nouveau. Dieu rejette cela. Mais quand l'église vient sous le Sang de Jésus-Christ, ayant sur elle le signe du Saint-Esprit, alors vous allez voir de nouveau la fraternité. Vous allez voir une église remplie de puissance. Vous allez voir.

60 Dieu déteste une religion sans puissance. Elle doit avoir la puissance. Certainement. C'est une puissance pour sauver l'homme du péché. C'est une puissance qui peut accomplir des signes, des prodiges et des miracles comme l'a promis Jésus-Christ. Autrefois les gens portaient toute leur attention sur la Parole de Dieu et La croyaient, et le but était atteint. Portez de même toute votre attention sur la Parole de Dieu, et le but sera de nouveau atteint. Il en sera ainsi, parce qu'Il est le même hier, aujourd'hui et pour toujours. Dieu n'aime pas une religion sans puissance. Dieu n'aime pas cela. Dieu veut agir, Dieu veut montrer qu'Il est vivant. Notre vraie espérance, c'est la résurrection. Est-ce juste ? Notre espérance de vie, c'est la résurrection, la résurrection de Jésus-Christ.

61 Vous voyez, Dieu veut travailler dans Son Eglise. Jésus a dit : «Je serai toujours avec vous, même jusqu'à la fin du monde. Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi.» Saint Jean 12.14 : «Les oeuvres que je fais, vous les ferez aussi ; vous en ferez même davantage, car je m'en vais au Père.» Maintenant, l'église cherche à renier cela, à trouver un moyen pour avoir plus de membres, pour être plus populaire.
Eh bien, j'aimerais vous poser une question. Le. Dieu veut agir dans Son Eglise, et l'Eglise veut agir par le credo, et les deux ne peuvent pas marcher ensemble. Vous devez vous débarrasser du credo et recevoir Christ. Mais comment y arriver ? Quand Il voit le Sang, quand le Sang a été appliqué avec un cour sincère et avec une main posée sur Jésus-Christ, et un cour qui est sincère devant Dieu pour confesser qu'on a tort et pour naître du Saint-Esprit, alors les oeuvres de Dieu suivront, comme Il l'a promis. Oui, l'Eglise veut agir par les crédos pour voir combien de membres elle peut avoir. Dieu cherche à agir par la puissance du Sang pour que les chrétiens naissent de nouveau. C'est exactement cela la différence.
Pour faire ceci, vous devez rejeter. Pour faire ceci, ils. vous devez rejeter le Saint-Esprit et Sa puissance agissante avant d'accepter un credo. Vous devez voir la vérité avant que vous n'acceptiez une erreur. Si vous voulez être un chrétien, vous ne pouvez pas. Vous devez passer outre la promesse de Dieu pour tomber dans l'erreur. En effet, il y a tout le temps un feu rouge devant vous, disant : «Voici la Parole.»

62 Vous dites : «Eh bien, ça c'était pour un autre jour.» C'est pour aujourd'hui, parce que Christ est la Parole. Est-ce vrai ? Saint Jean 1 : «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et elle a habité parmi nous.» Et la Bible dit : «Il est le même hier, aujourd'hui et pour toujours.» Si donc Christ est la Parole, chaque promesse est vraie, et elle est la même hier, aujourd'hui, et pour toujours. Elle doit l'être. Il faut une foi née de nouveau pour croire cela et faire que cela agisse. Seulement. Vous ne pouvez pas faire cela avec la tradition. Cela ne marchera pas. Vous devez venir à ce Sang, aussi sûr que deux et deux font quatre.

63 Après qu'Israël eut dit. Après que Esaïe eut dit à Israël qu'ils avaient pollué leur substitut par leurs traditions, un autre prophète apparut. (Avant que nous ne terminions.) Un autre grand prophète vint sur la scène, et c'était Jean Baptiste. Bien. Il leur montra un Agneau qui pouvait prendre - pouvait agir, non seulement pour Israël, mais pour toute la race déchue d'Adam. Il a dit qu'il y avait. Dieu allait envoyer un Agneau. Et cet Agneau serait et pour les nations, et pour les Juifs, et pour tout celui qui viendrait.
Il ne s'est pas passé longtemps que l'Agneau fût cloué sur la croix de Son autel. Son Sang fut répandu. Le Saint-Esprit revint. Eh bien, quand ce vieil agneau (un animal) mourait, l'esprit de l'animal ne pouvait pas revenir. Ainsi, ce sang n'était appliqué qu'à une nation. Mais maintenant, c'est pour toute la race d'Adam que l'Agneau de Dieu a été répandu - Son Sang ; le signe est revenu sous la forme du Saint-Esprit pour venir sur l'adorateur. Ainsi, c'est ce que Dieu exige. C'est ce qu'ils ont fait en ce temps-là. Et c'est ce qu'ils font aujourd'hui.
Eh bien, si une personne sent le poids du péché et que vous saviez que vous avez tort. Ecoutez, il y a un pardon. Et ce pardon, c'est par l'Agneau de Dieu. Croyez-vous cela ? C'est par l'Agneau, par le Sang de l'Agneau.

64 Une fois on m'a raconté une petite histoire. Cela m'a beaucoup aidé. Un garçon avait été kidnappé autrefois. Je pense que vous tous, vous avez appris l'histoire de la Bible et vous avez appris l'histoire de l'église. Et là, je pense que c'était le Fox. Non, ce n'était pas cela. C'était les pères nicéens, plutôt la vie de saint Patrick. Saint Patrick était. Evidemment, c'était juste un nom qu'on lui avait donné. Son nom était Suscat. Et il avait été - il avait été kidnappé par une bande de - de pirates, et il a été embauché pour élever des cochons.
Et l'histoire dit que cet enfant avait été kidnappé et embarqué à bord d'un bateau et qu'il se débrouillait. Et le vieux capitaine tomba malade un jour et il fut - il fut sur le point de mourir. Et il était très malade, très loin en mer, et le vieil homme à la barbe grise était couché dans sa cabine. Et il appela son équipage, ses matelots, et dit : «Y a-t-il une Bible parmi vous ?» Il dit : «Quand j'étais un enfant, j'étais élevé en chrétien, et, dit-il, je suis en train de mourir. Et, mes amis, je n'aimerais pas mourir comme ça.» Il dit : «Avez-vous la Parole de Dieu ? Y a-t-il ici un homme qui a la Parole de Dieu ?»

65 Finalement, là derrière dans le groupe de gens, un petit garçon se tint debout et dit : «Monsieur, j'ai une Bible. Je suis un chrétien. Je l'ai avec moi.»
Il dit : «Approche, fiston.» Il dit : «Es-tu sérieux en disant que tu as une Bible ?»
Il dit : «Oui.» Il dit : «Ma mère et mon père étaient chrétiens, et j'ai donné ma vie à Christ quand j'étais encore tout petit, et j'amène Sa Parole avec moi partout où je vais.» Il dit : «Je L'ai mise sur mon cour et Elle est dans mon cour.»
Il dit : «Lis-moi quelque chose là-dedans, fiston, avant que je ne meure.»
Et le petit ami ouvrit dans Esaïe 53.5, et il y était écrit ceci : «Il était blessé pour nos péchés ; Il était brisé pour notre iniquité, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui ; et c'est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.»
Et quand il a dit cela, le vieux capitaine dit : «Peux-tu continuer de lire ?»
Le petit garçon dit : «Puis-je faire un commentaire ici ?»
Et le vieux capitaine dit au garçon, il dit : «Vas-y.»
Il dit : « Avant que je ne sois arraché à ma mère qui était une chrétienne, dit-il, vous savez, elle me lisait beaucoup cette Ecriture. Et savez-vous comment elle la lisait ?»
Et le vieux capitaine dit : «Non, fiston, j'aimerais entendre comment ta mère, une chrétienne, lisait cela.»

66 Elle dit. Il dit : «Voici comment elle lisait cela : 'Il était blessé pour les péchés de Willie Pruitt, Il était brisé pour l'iniquité de Willie Pruit ; le châtiment de Willie Pruit est tombé sur Lui, et c'est par Ses meurtrissures que Willie Pruit est guéri.'»
Le vieux capitaine dit : «J'aime cela. J'aime cela.» Il dit : «Oh, si seulement mon nom pouvait être lu là-dedans.» Il dit : «Penses-tu pouvoir le faire, fiston ?»
Il dit : «Je vais essayer.» Il dit : «Il était blessé pour les péchés de John Quartz, Il était brisé pour l'iniquité de John Quartz ; le châtiment qui donne la paix à John Quartz est tombé sur Lui, et c'est par Ses meurtrissures que John Quartz est guéri.»
Les larmes coulant sur sa barbe, il dit : «Apportez-moi mes habits. Jésus-Christ m'a guéri. Je Lui donne ma vie.» Voyez-vous ?

67 Oh, mon ami, si seulement vous pouvez lire votre nom là-dedans. Oh, si je peux lire mon nom. «Il était blessé pour les péchés de William Branham, Il était brisé.» Non pas l'église, non pas ceci, non pas les crédos, mais «brisé pour mon iniquité ; le châtiment qui me donne la paix est tombé sur Lui ; et c'est par Ses meurtrissures que William Branham est guéri.» Oh, si seulement nous pouvons lire notre nom dans l'Ecriture et réellement exprimer cela. C'est. C'est ce que cela fait. Lire notre nom là-dedans fait que nous recevions le pardon. Car, quand nous réalisons qu'Il était blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité.»

68 Autre chose, nous voyons dans Hébreux 9.11 que le pardon produit la pureté, l'adorateur n'ayant plus conscience du péché et s'étant purifié des traditions mortes. Quand nous venons sincèrement sous le Sang, nous sommes purifiés des traditions mortes. L'Ecriture le dit, Hébreux 9. Observez : «Purifiez votre conscience des traditions mortes.»
Ainsi, si vous faites cela, oubliez que vous êtes baptiste, oubliez que vous êtes méthodiste, oubliez que vous êtes pentecôtiste, quoi que vous soyez. Et oubliez ces traditions mortes et venez au Sang. Venez-Y. Lisez votre nom là-dedans et ensuite faites ceci. Ensuite venez à la table de communion. Puis venez et voyez qui a raison et qui a tort, si cela va être une communion fermée ou pas. Voyez si vous pouvez laisser votre frère dehors. Vous ne pouvez pas faire cela. Vous ne pouvez simplement pas le faire. Il y a quelque chose en vous qui ne vous laissera pas faire cela. Il y a justement quelque chose. Voyez-vous ? Votre nom est inscrit là-dedans et vous - vous ne pouvez pas faire cela. Cela vous purifie ; cela vous purifie.

69 Souvenez-vous de Lui pendant que nous sommes à genoux à la croix. Que ce soit un prêtre catholique, un presbytérien, quoi qu'il puisse être, que cet homme vienne pendant qu'il lit son nom là-dedans : «Il était blessé pour les péchés de ce prêtre. Il était blessé pour ce méthodiste, ce baptiste, ce pentecôtiste, ce que. blessé pour nos péchés.» Mon nom, votre nom, peu importe qui vous êtes. Croyons donc cela. Non pas ce que le credo dit ; ce que la Parole dit. Ensuite agenouillons-nous ensemble à la croix ; nous sommes frères.
Oh, oui, les traditions. Nous nous purifions alors de toutes les traditions mortes. Il se pourrait qu'il y ait quarante évêques de district ; il se pourrait qu'il y ait quarante souverains sacrificateurs ; il se pourrait qu'il y ait des cardinaux, des évêques, des papes, et toute autre chose, criant : «Sortez de là. Ne vous souillez pas.» Mais vous, mettez votre bras autour de votre frère, frère. Il y a quelque chose de réel. Vous avez reçu le pardon sous la même expiation par laquelle il a été pardonné. Vous êtes des frères. Cela rapproche plus qu'un frère. Il y a là quelque chose qui vous attire si près de Dieu. Et quand vous êtes près de Dieu, vous vous rapprochez l'un de l'autre. Comment pouvez-vous haïr votre frère que vous voyez, ou le mépriser, et dire que vous aimez Dieu que vous n'avez pas vu ? Vous devenez un menteur, et la vérité n'est pas en vous.
Mais quand nous en arrivons à ce point où le Sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché, alors nous sommes frères. Alors il n'y a pas de distinction parmi nous. Nos vieilles petites marques que nous avons apposées sur nous ne représentent rien.

70 Je me souviens que je franchissais là le portail l'autre jour et j'ai pensé à l'un des frères qui est assis ici, là où je paissais le bétail. Et lorsque ce bétail passait par là, le garde forestier faisait le marquage, pendant que ce bétail passait, lors du rassemblement de printemps. Et il observait. Jamais il ne. Les bêtes portaient toutes sortes de marques. Mais il ne faisait pas attention à la marque. Il surveillait la plaque de sang. Et elle devait être un Hereford pur-sang sinon elle ne pouvait pas aller dans la forêt Arapao, car c'est l'association Hereford qui faisait paître là. Il fallait que ce soit un Hereford pur-sang.

71 Je pense qu'il en sera ainsi au temps de la fin. Il ne dira pas : «Es-tu méthodiste ? Etais-tu baptiste ?» Ça, c'est la grande question aujourd'hui. Qui - qu'êtes-vous ? Etes-vous méthodiste ? Baptiste ?»
Je dis : «Non.»
«Eh bien, qu'êtes-vous ? Presbytérien, luthérien, nazaréen, pentecôtiste ?»
«Non.»
«Qu'êtes-vous ?»
«Un chrétien.»
Un chrétien, la plaque de Sang, voyez sous le Sang. Cela signifie que sous ce Sang, chaque frère, soeur, est mon frère, ma soeur. Avec une très profonde sincérité là devant Christ, nous, le prêtre, le ministre, ou que sais-je encore, posons nos mains sur le sacrifice et déclarons : «Nous sommes des pécheurs coupables. Nous ne sommes pas dignes de Ta miséricorde, ô Dieu. Mais Tu as envoyé Ton Fils mourir à notre place et nous recevons gratuitement cela.» Oh, nous sommes donc frères.

72 Toute cette vieille histoire est terminée ; c'est entièrement parti. Nous sommes réellement pardonnés. Vous êtes pardonnés et vous êtes purifiés du péché, purifiés de la tradition. Les choses anciennes sont passées, les vielles querelles sont terminées. Tous les baptistes, les méthodistes, et les presbytériens sont tous purifiés par le même Sang et nous sommes devenus des frères. Les histoires traditionnelles sont terminées. C'est alors que la communion peut avoir lieu. Et c'est seulement là que nous pouvons avoir la communion.
J'ai vu des presbytériens se tenir debout dans ces réunions des Hommes d'affaires du Plein Evangile, parler en langues et crier aussi fort que possible, et certains des presbytériens les plus remarquables des Etats-Unis. Jim Brown (Combien l'ont déjà vu ?), un presbytérien formidable, se tenant ici et dansant en Esprit, et parlant en langues, et continuant à faire cela ici, ainsi que le pasteur de l'une des églises presbytériennes les plus connues des Etats-Unis. Les luthériens, les méthodistes, les Prés-.tous ensemble, qu'est-ce ? Ils sont venus sous le Sang. Là, il n'y a pas de marque ; là, il n'y a pas de barrières dénominationnelles. Nous sommes un. Nous sommes chrétiens. Nous avons des choses en commun. Oui.

73 Récemment (pour terminer), un homme et une femme, mari et femme, étaient en train de se séparer. Et ils ont essayé de se réconcilier. Ils sont allés consulter un psychiatre pour voir s'il pouvait rapprocher leurs idées. Mais il n'a pas pu. Ils ont recouru à tout ce qu'ils pouvaient imaginer pour essayer de rester ensemble, mais ils ne faisaient que se quereller et étaient continuellement divisés. Et ils ne pouvaient pas se supporter, et ils ne pouvaient pas supporter l'un la présence de l'autre, et ils ont continué à se quereller. Ils ont donc décidé de divorcer. Alors ils ont payé le service d'un avocat pour obtenir le divorce.
Et il a dit : «Eh bien, maintenant avant de faire cela, a-t-il dit, nous allons vendre la maison.» Et il a dit : «Vous feriez mieux tous les deux d'aller vous partager le reste avant que le divorce vous soit accordé et que la maison ne soit vendue.»

74 Le mari et la femme sont donc partis ensemble, ils sont allés à la maison. Puis ils sont entrés au salon, et elle a dit : «Je vais prendre ceci.»
Et lui a dit : «Je vais prendre ceci.» Et ils se sont querellés, et ils se sont fait des histoires et ils ont continué à se traiter ainsi.
Quelques instants après, ils ont dit : «Eh bien, je te donnerai ceci si tu acceptes de prendre ceci.»
«Très bien !» Cela a marché pendant un instant.
Ensuite ils sont allés au salon et à différents endroits, dans la cuisine et dans la chambre à coucher. Ils se sont partagé le reste.

75 Puis finalement ils se sont rappelé qu'il y avait des choses au grenier. Alors ils sont montés au grenier et ils ont sorti la vieille malle. Puis ils ont commencé à faire sortir les différents effets, disant : «Tu peux prendre ceci, et tu peux prendre ceci.»
Puis finalement, leurs yeux sont tombés sur une certaine petite chose et ils se sont tous deux saisis de cela. Ensuite ils se sont regardés. Qu'était-ce ? Une paire de petites chaussures blanches qui appartenaient à leur bébé qui était mort. Il était une partie de tous les deux. Là, avec leurs mains serrées comme cela sur la chaussure du bébé... A qui appartenait-elle réellement ? A qui était-elle ? Elle leur appartenait à eux deux. Ils avaient des choses en commun.
Quelques minutes après, comme ils se regardaient l'un l'autre, les larmes ont commencé à couler sur leurs joues. Qu'est-ce ? Ils pouvaient partager tout le reste, mais quand ils en sont arrivés à ce qu'ils avaient en commun, l'enfant, et qui était au ciel, alors la querelle était terminée. Quelques minutes après, ils étaient dans les bras l'un de l'autre ; le divorce était une affaire oubliée. La paix s'était rétablie.

76 Et, frères, permettez-moi de vous dire ceci ce soir. Nous ne voulons pas que vous vous joigniez à une église. Mais je vous demande ceci ; il y a une chose que nous avons en commun : c'est Jésus-Christ. Il nous est commun. Nous ne pouvons pas tous être des baptistes ; nous ne pouvons pas tous être des méthodistes ; nous ne pouvons pas tous être des unitaires, ou des trinitaires, ou quoi que ce soit. Nous ne pouvons pas être cela. Mais il y a une chose que nous avons en commun. C'est le don du pardon de Dieu, Son Fils, Jésus-Christ. Nous avons toutes choses en Lui. Mais cela est la première chose qu'il nous faut accepter. Ensuite, nous pouvons avoir les autres choses quand nous acceptons le pardon que Dieu nous a offert.
Et cela ne se fera pas au moyen de notre système d'instruction, au moyen de notre système dénominationnel, mais ce sera par le Sang de Jésus-Christ. Nous pouvons tous nous rencontrer sous la croix et être un et avoir des choses en commun. Croyez-vous cela ? Inclinons la tête juste un instant pendant que nous prions.

77 [Un message est donné à partir de l'auditoire - Ed.] Amen. Avec la tête inclinée, le coeur certainement incliné, inclinons le coeur juste un instant maintenant avec la tête, disant : «Seigneur, avec mon cour incliné maintenant, avec toute ma tradition, ai-je raison ou ai-je tort ?»
Que le Saint-Esprit sonde le coeur maintenant. Et si celui-ci n'est pas exactement là où il doit être, et que vous voudriez qu'on se souvienne de vous dans la prière de clôture, puisque vous savez que nous pouvons tous nous rencontrer sous une seule chose, le Sang, l'expiation. Et quand nous le faisons, nous sommes alors purifiés de toutes les choses du monde. Et vous qui aimeriez que l'on se souvienne de vous dans la prière, voulez-vous le faire savoir en levant la main vers Dieu, disant : «Sou.» Que Dieu vous bénisse. Oh, la la ! les mains. «Souviens-Toi de moi, ô Seigneur.»

78 Réalisez-vous que nous n'avons pas beaucoup de jours pour nous balader sur cette terre ? Vous dites : «Eh bien, je suis jeune.» Je sais. Je ne sais pas, soeur, frère. Beaucoup d'adolescents vont mourir ce soir à travers le monde, des centaines. Non, la seule chose que vous avez et qui vous reste, c'est votre souffle. Voulez-vous maintenant dire : «Seigneur Dieu, avec ma main levée, j'accepte le pardon que Tu as offert, le Sang de Jésus-Christ. Maintenant, que le Signe qui vient du Sang, le Saint-Esprit, vienne sur moi. Je n'ai pas reçu le Saint-Esprit. Je - je le sais. Et j'aimerais recevoir cette chose qui fera que je me sente tel que Tu le dis, que mes péchés sont morts, et le monde, l'amour du monde est mort, et que je suis une nouvelle créature. Je veux être sûr de cela dans mon cour. Et, ô Dieu, je ne lève pas ma main vers frère Branham, mais c'est vers Toi que je la lève, et Tu connais mon cour.»
Et que personne ne regarde. Que Dieu seul voie ceci. Et dites : «O Dieu, je - je - je veux avoir le signe comme quoi le Sang a été appliqué sur moi. Et je veux l'avoir.» Levez la main et dites : «Priez pour moi, Frère Branham.» Que le Seigneur vous bénisse. C'est bien.

79 Qui que vous soyez, méthodiste, baptiste, presbytérien, c'est pour quiconque veut. Maintenant, j'ai. Je ne dis rien contre ces églises, le. elles sont bien. Mais ce que j'essaye de dire, c'est que cela ne peut pas vous sauver. Vous voyez ? Il faut le pardon de Dieu, la grâce qui pardonne. Et cela est seulement représenté, non par une église, mais par le Sang de Jésus-Christ. C'est cela votre Substitut, quand vous pouvez poser vos mains sur Lui et dire : «Maintenant, j'accepte ce substitut. Que Dieu soit miséricordieux envers moi.»
Il se peut qu'il y ait peut-être des membres d'églises ici qui se sont joints à l'église en toute et profonde sincérité. Je crois cela de tout mon cour, que vous vous y êtes joint avec sincérité. Mais, dites : «Frère Branham, sincèrement, mon cour n'a pas été purifié de toutes ces traditions et tout. Je - je crois que si quelqu'un disait du mal de l'église même que je. Si même la Bible disait, me le disait, la Bible me révélait que mon église est dans l'erreur, je - je ne pourrais toujours pas accepter cela de tout mon cour, je - je ne le pourrais pas. Mais j'aimerais bien. Priez pour moi.» Voulez-vous lever la main pour dire : «Priez.» Je le ferai. Oui, certainement. Que Dieu vous bénisse. C'est bon. C'est bien.
«Je - j'aimerais pouvoir accepter tout ce que Dieu a dit, juste tel qu'Il l'a dit dans Sa Bible. Et je veux que le Sang de Jésus-Christ vienne sur moi.»

80 Et si le Sang est appliqué, le Signe. Voyez-vous, il y a un Signe du Sang qui est offert, et c'est le Saint-Esprit. Et quand le Saint-Esprit est descendu le jour de la Pentecôte, vous savez ce qu'Il a fait aux gens. Et chaque fois qu'Il viendra sur les gens, Il fera exactement la même chose. Pierre a dit : «Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera», cette même promesse.
Si dix cents valent dix cents ici, cela vaut dix cents là dehors. Où que ce soit, cela vaut dix cents. Si ceci est un diamant ici, c'est un diamant là-bas. Si ceci est une maison ici, c'est une maison là-bas. Si ceci est le Saint-Esprit qui est tombé le jour de la Pentecôte, c'est le même Saint-Esprit aujourd'hui. Et vous qui n'avez pas encore fait cette expérience, acceptez cela maintenant pendant que nous prions, je vous en prie

81 Notre Père céleste, sachant que - que le soleil se couche rapidement, qu'il n'y aura plus de temps, un jour le grand Archange apparaîtra sur la scène du temps, venant de l'éternité. Et la trompette de Dieu sonnera et chaque homme et chaque femme répondra de ce que nous savons être la Vérité, la Parole de Dieu. Il faut que Dieu ait une référence ici sur la terre par laquelle nous devons être jugés. Et si nous prenons comme référence notre église, notre dénomination, combien manquerons-nous la chose ? Et quelle dénomination aurait raison ? Alors, nous serions confus. Nous ne saurions que faire.
Mais il existe une Référence, et c'est Ta Parole. Et Ta Parole dit : «Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut même pas voir le Royaume de Dieu.» En d'autres termes, il ne peut pas le comprendre. Il doit l'accepter par la foi et naître de nouveau, et alors il comprendra cela. «Voir», c'est comprendre.

82 Et ce soir nous prions, ô Dieu, que la plupart de ces mains qui se sont levées ce soir dans tout le bâtiment, des hommes d'affaires de la ville, des femmes, des garçons, et des filles, je pense qu'ils ont levé la main en toute sincérité. Ainsi, ils n'auraient pas levé la main à moins d'être convaincus. Et le Saint-Esprit leur a montré par cela qu'ils ont tort, et Il les a convaincus qu'ils ont besoin de se mettre en ordre. Et c'est vers Toi, le Grand Créateur, qu'ils ont levé la main, sachant qu'ils doivent Te rencontrer un jour. Et ils étaient sincères, je crois, Seigneur, et j'intercède en faveur de chacun. Seigneur, pendant que je prie ce soir, je crois qu'aucune main qui s'est levée ne pourra avoir du repos avant que le Saint-Esprit ait rempli leur vie. Accorde-le, Seigneur. Je les réclame comme trophées de Jésus-Christ. Accorde-le, Père, je prie.

83 Sauve les perdus, remplis du Saint-Esprit ceux qui ont accepté Christ. Déverse-Le sur leurs âmes, Père. Reçois Toi-même la gloire. Jésus, Tu nous a dit : «Nul ne peut venir à moi, si Mon Père ne l'attire premièrement.» Et la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend de la Parole de Dieu. Et maintenant, la Parole de Dieu étant prêchée, la foi vient de ce qu'on entend. Et ils ont été attirés, car la Bible dit : «Ceux qu'Il a connus d'avance, Il les a aussi prédestinés. Et ceux qu'Il a prédestinés, Il les a appelés. Et ceux qu'Il a appelés, Il leur a donné la Vie Eternelle.»
Et maintenant, là au commencement, avant le monde, Tu avais mis leurs noms dans le Livre de Vie de l'Agneau. Et ce soir, le Saint-Esprit a appelé. Et ils ont levé la main. Maintenant, Seigneur, donne-leur la Vie Eternelle. Je le demande pour la Gloire de Dieu, que le Saint-Esprit descende dans leurs coeurs et les circoncise de toutes les oeuvres mortes et des traditions, et qu'Il leur pardonne gratuitement et les remplisse de Sa Présence, afin qu'ils aillent de l'avant dès aujourd'hui, en ce temps de ténèbres, semblable à ce qui était aux jours de Sodome où les femmes au visage maquillé, l'immoralité, avaient ébranlé les nations.
Ô Seigneur Dieu, que les hommes et les femmes aillent de l'avant comme des flammes ardentes. Que le Saint-Esprit envoie littéralement le feu sacré sur eux, Seigneur, jusqu'à ce qu'ils soient si remplis de la bonté de Dieu et - et afin qu'ils aillent appeler tous les pécheurs de venir entrer en contact avec la croix. Accorde-le, Seigneur, qu'eux aussi tombent là et reçoivent le pardon. Fais-le avec le méthodiste, avec le baptiste, avec le presbytérien, avec les pentecôtistes, et avec tous, Seigneur. Accorde-le. Ils T'appartiennent maintenant. Je les confie entre Tes mains, afin que Tu leur accordes cela. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.

84 L'aimez-vous ? Je. Ceci peut être un peu inadéquat. Un instant. Chantons ce bon vieux cantique. Je - j'aime chanter. Vous savez le. Des fois en prêchant, on dit des choses qui blessent, mais elles. il y a du baume en Galaad, n'est-ce pas, qui guérit l'âme ? Chantons ce bon vieux cantique, s'il vous plaît. «Je L'aime, je L'aime, parce qu'Il m'aima le premier.» Connaissez-vous ce cantique ? Que quelqu'un l'entonne alors pour moi. Je L'aime, je L'aime
Parce qu'Il m'aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du calvaire.

85 Fredonnons-le. Maintenant, pendant que vous fredonnez «Je L'aime,» combien y a-t-il de baptistes ici ? Levez la main. De presbytériens ? De luthériens ? De nazaréens ? De pèlerins de la sainteté ? De pentecôtistes ? Oh ! la la ! tout le monde. Tous ensemble. Qu'avons-nous donc fait en venant sous la croix, sous cette grâce qui pardonne ? Nous sommes tous pardonnés, non par notre église, mais par le Calvaire. Serrons maintenant la main aux méthodistes, aux baptistes, et aux pentecôtistes pendant que nous chantons une fois de plus. Je L'aime, je L'aime
Parce qu'Il m'aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire. Maintenant, chantons-le afin que chacun l'entende. Maintenant, inclinons la tête et levons nos deux mains à Dieu. Et de tout notre cour, si nous L'aimons, disons-le donc maintenant. Je L'aime, (Ô Dieu !), je L'aime
Parce qu'Il m'aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.

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