Expectative

Date: 50-0405 | La durée est de: 1 heure et 38 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci...?... Bonsoir, assistance. Je suis très content d’être ici à cette dernière soirée de nos réunions ici dans le... ce beau pays que j’aime de tout mon coeur, l’Amérique. Je pense à nos aïeux quand ils chantaient:

            Que longtemps dure la flamme de notre pays,

            Brillant de la sainte lumière de liberté,

            Protège-nous par Ta puissance,

            Ô Grand Dieu, notre Roi.

2          Je suis très reconnaissant d’aller dans d’autres nations représenter une nation comme celle-ci, l’Amérique, où nous avons la liberté de religion, et nous pouvons parler comme–comme nous nous sentons conduits par l’Esprit de Dieu. Et je suis content que... de sentir l’appel de l’Evangile, que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, m’a appelé à aller dans d’autres pays pour–pour leur prêcher.

            Chaque fois, dans mes voyages, je me souviendrai de cette dernière soirée, je me souviendrai de New York, je me souviendrai de vous tous. Vous avez été très gentils envers nous, durant ce court séjour que nous avons eu. J’espère qu’un jour, vous m’accorderez de revenir pour–pour être encore avec vous, et... Merci.

            Toute ma vie, j’ai–j’ai apprécié des amis. Il n’y a rien que j’aime comme les gens, et je voulais que les gens m’aiment.

3          Lorsque j’étais plus jeune, je n’avais pas tellement d’amis. J’étais plus ou moins... Eh bien, je... Quand j’étais jeune, comme je ne fumais pas, je ne dansais pas, et tout le reste, eh bien, les gens pensaient que j’étais une poule mouillée. Puis, plus tard, dans mon église, quand je fus converti il y a quelques années, je compris que l’Evangile était la puissance de Dieu ; alors, je passais pour un fanatique à leurs yeux. Et puis, plus tard, quand j’ai découvert qu’il y avait un groupe qui me croyait et qui m’acceptait comme leur frère, oh! la la! certainement que je suis reconnaissant pour... que Dieu m’ait placé à vos côtés.

            Et, maintenant, je remercie chacun de vous qui avez chanté, il y a quelques instants, Car je prie pour toi. C’est ce que je veux que vous fassiez. C’est–c’est sur la prière que je compte. C’est le secret de tous les mystères de Dieu. C’est la clé qui ouvre la porte de toute chose de Dieu, c’est la prière. Si vous priez et que vous croyez quand vous priez, alors croyez que vous recevez ce que vous demandez, et Dieu le fera connaître.

4          Un prédicateur m’a appelé de Louisville il y a quelques instants. Il était tout embrouillé et il avait quitté son église parce que quelqu’un l’en avait fait sortir... Il a dit: «Frère Branham, j’aimerais bien en être fixé.» Il a dit: «On m’a dit que j’étais l’une ou l’autre chose dans l’église.» Et il a dit: «J’ai quitté mon église, et je suis... Je ne sais que faire maintenant.»

            J’ai dit: «Je vous conseillerais de retourner directement à votre église.»

            Dieu n’appelle pas les gens à sortir de leurs églises, Il les appelle à Lui, à Lui-même, à nous unir.

5          Je sais qu’une fois les gens du Plein Evangile étaient considérés comme des fanatiques. On vivait dans–dans l’allée, n’importe où qu’on pouvait trouver une place pour prêcher. Et... Mais maintenant, les cheveux de Samson ont poussé, et on est unis. Quand ils étaient divisés en différentes dénominations et avaient un préjugé religieux, eh bien, Dieu ne pouvait pas traiter avec les gens. Mais maintenant que ce mur mitoyen est tombé, que nous sommes réunis comme un seul bloc, c’est l’Eglise la plus puissante sur la surface de la terre.

            Et, vous savez, pratiquement tous les tableaux célèbres, avant d’être accrochés au musée, doivent d’abord passer par la commission de censure et doivent passer par les critiques. Ensuite, après qu’ils sont passés par les critiques, c’est alors qu’ils peuvent être accrochés au musée.

            Eh bien, je pense que c’est le cas de notre petite église. Elle a subi toute critique, elle a été taxée de tous les noms sales et ridicules. Mais je pense que Dieu va l’accrocher au musée un de ces quatre matins et l’emporter dans l’Enlèvement, et je–j’aimerais être avec eux quand ils partiront.

6          N’oubliez pas de prier pour moi. Et lorsque vous–lorsque vous priez, n’importe quand que vous pensez à moi, chantez Crois seulement, s’il vous plaît. C’est ma chanson favorite. C’est une...

            C’est Paul Rader qui l’a composée. Paul Rader était mon ami. Et un soir, je venais d’entrer dans l’église et on jouait cela. Je ne savais même pas que c’était lui le compositeur. Et c’était juste après que l’Ange du Seigneur m’avait visité. Alors, quelque chose m’avait bien frappé. Et depuis lors, c’est devenu la chanson qui sert de thème de campagne: Crois seulement.

            Si je m’en vais et que je doive être enseveli avant la Venue de Jésus, les dispositions sont prises afin qu’au moment où on m’ensevelira, eh bien, on se mette à chanter Crois seulement, tout est possible. Si vous apprenez que je suis parti à cette heure-là, voudriez-vous juste vous arrêter quelque part et vous souvenir de moi? Fredonnez pour vous-même Crois seulement. Car je crois qu’un jour, j’en ressortirai.

7          Nous nous dirigeons vers une chambre noire, une chambre de la mort. Tout le monde entre dans cette chambre-là. Et à chaque battement de coeur, nous nous en approchons d’un pas de plus. Un jour, j’entrerai dans cette chambre-là. Et quand j’en arriverai à mon dernier battement de coeur, je n’aimerais pas y entrer comme un lâche ; j’aimerais être revêtu de Sa justice, m’envelopper dans cela et entrer dans cette chambre-là, Le connaissant dans la puissance de Sa résurrection. Et quand on... l’ange s’écriera, la Voix, la trompette retentira, j’aimerais sortir d’entre les morts.

            J’espère vous voir tous là. Combien j’aimerais recevoir tout le monde ce soir, m’asseoir et vous parler pendant des heures. Cela m’est pratiquement impossible. Néanmoins, je vais vous donner un rendez-vous et, par la grâce de Dieu, je le tiendrai. Si vous le prenez avec moi, un jour, quand ça sera terminé, nous nous assiérons à côté des rivières de la Vie là-bas ; là nous parlerons simplement pendant mille ans avec chacun de nous, parler simplement des choses d’autrefois.

8          Je crois que cela aura lieu. Je crois que ça va être réel, juste comme la Bible dit que ça sera. Et je... Nous n’aurons pas moins de temps. Alors, quand j’aurai terminé de parler avec vous tous, nous allons simplement avoir la même durée de temps, et ce sera un moment glorieux. Et nous déployons des efforts, nous débattant pour atteindre ce lieu-là.

            J’ai... Ce n’est pas pour prendre trop de votre temps, mais je... Juste avant de partir d’ici, j’aimerais simplement dire quelques mots. Je pensais, il y a quelques instants, quand je suis arrivé, à quelques-uns de mes amis d’Arkansas et de différentes parties du pays qui sont venus pour nous dire au revoir demain. Et j’en suis certainement reconnaissant.

            Je vois une jeune fille ici au piano. Et elle était juste dans une réunion et... là où je prêchais, ou j’essayais de prêcher. Je ne suis pas un prédicateur, seulement je... Elle avait reçu le baptême de l’Esprit à la–à la réunion. Ainsi donc, j’étais content de la voir.

            Et frère Moore venait de me dire qu’il y en a plusieurs ici qui viennent de différentes parties du pays. Et nous en sommes reconnaissant. J’espère revenir un jour auprès de vous tous une fois de plus.

9          Maintenant, dans l’Evangile selon saint Luc, chapitre 2, je–je souhaite juste lire quelques paroles. J’envisageais venir un peu plus tôt et parler juste un peu plus, mais je–je crois que nous devons lire la Parole de Dieu à chaque service. Voyez, mes paroles failliront, comme celles de tous les mortels, mais la Parole de Dieu ne peut pas faillir. Elle demeure éternellement vraie.

            Et juste vous parler pendant un court moment avant de former la ligne de prière ; Saint Luc, chapitre 2, à partir du verset 25...

            Quand je regarde la Bible, j’ai de petits caractères ici, une Bible Scofield, pendant que vous tous, vous prenez ce chapitre, cela me réjouit beaucoup de voir la Bible et de pouvoir lire.

            Une fois, j’étais pratiquement aveugle. On devait me conduire ici et là. J’avais perdu la vue. Je portais des lunettes très épaisses. Et à un moment donné, mes yeux ont changé, de la cécité à la vue, et je peux... Quand on examine mes yeux, c’est vingt sur vingt. Et je peux lire un journal de petits caractères à cinq pieds [1,5 m] de moi. C’est la grâce de Dieu qui a fait cela.

10        Si le monde entier doutait de Cela, je croirais toujours Cela de tout mon coeur. Si je priais pour dix mille personnes outre-mer, ou ici, et que toutes les dix mille mouraient un moment après que j’aurai prié pour eux, je dirais toujours que la guérison divine est vraie. C’est la Parole de Dieu. Et si je prêche à dix mille et qu’eux tous mouraient, qu’ils étaient morts pendant vingt ans, et qu’ils revenaient me dire que Jésus n’existe pas, que Dieu n’existe pas, qu’il n’y a pas d’éternité, et que Jésus n’était pas le Fils de Dieu, et que j’en étais à l’article de la mort, je dirais: «Laissez-moi aller auprès de Lui, je prends ma barque.» Peu importe ce que quelqu’un d’autre dirait, je crois en Lui de tout mon coeur. C’est vrai. Je crois en Lui.

            Au verset 25, nous lisons l’adoration de Siméon qui prophétisait.

            Et voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.

            Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.

            Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi,

            il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit:

            Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole,

            Car mes yeux ont vu ton salut.

11        Inclinons la tête juste un instant pour la prière.

            Notre Père céleste, alors que nous entrons dans Ta Présence maintenant, nous consacrant nous-mêmes, ainsi que ce bâtiment et tout ce qu’il y a à l’intérieur, à Ton service ce soir, nous nous rendons compte que ceci peut être la dernière fois pour certains ici d’entendre l’Evangile, ou d’avoir le privilège d’être dans l’église ; et ceci peut établir la destinée éternelle de leur être. Ainsi, aide-nous ce soir, Père, à être très respectueux et très loyaux envers l’Evangile, et vis-à-vis de l’appel que Tu nous as donné pour aller dans ce monde. Et je Te remercie ce soir, Père, du privilège que j’ai de me tenir devant cette assistance de gens.

            Je me suis souvent dit que je chérirai beaucoup un récipient contenant une seule goutte du Sang de Ton Fils si je l’avais entre mes mains, mais je sais que, ce soir, je tiens plus que Cela, selon Son évaluation. Il y a devant moi les rachetés par Son Sang, ceux pour qui Il a donné Son Sang, afin qu’ils Lui appartiennent.

12        Et, Père, il m’incombe ce soir de parler à ces gens. Ainsi, puisse Ton Esprit diriger chaque parole. Et combien nous Te sommes reconnaissants pour la grâce de Dieu, de savoir qu’autrefois nous étions étrangers, séparés de Dieu, sans miséricorde, sans espoir. Christ est mort pour nous, à notre place, portant notre opprobre et nos péchés dans Son propre corps, sachant qu’un jour Il viendra. Nous ne savons pas maintenant à quoi nous ressemblerons, mais nous savons que nous aurons un corps semblable au Sien, car nous Le verrons tel qu’Il est. Et, Père, ça sera un corps glorifié, exempt de maladies, de tristesse, de chagrin et de la mort. Oh! Nos esprits gémissent dans l’attente de cette délivrance.

            Et aide-nous ce soir, Père, alors que nous continuons le voyage maintenant, sachant que Tu as pourvu à une voie, afin que les malades soient guéris et que les perdus soient sauvés. Alors que nous sommes assemblés ici, comme des mortels en route vers l’éternité, aide-nous à affectionner les choses d’En Haut, là où Christ est assis à la droite de Dieu. Accorde-le, Père. Et puisse l’Ange de Dieu, qui m’a guidé dans la vie, qui m’a nourri depuis ma naissance, être ici ce soir pour guérir les malades et les affligés, car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ. Amen.

13        Juste comme petit sujet, si je devais l’appeler ainsi, j’aimerais parler pendant une minute ou deux sur le mot Expectative.

            Nous recevons toujours ce à quoi nous nous attendons. Quand les gens s’attendent à quelque chose, eh bien alors, ils obtiennent généralement ce qu’ils attendent. Ce qui compte, c’est l’attitude mentale que vous affichez.

            Rappelez-vous ceci, et ne l’oubliez jamais. Une bonne attitude mentale envers n’importe quelle promesse de Dieu la fera s’accomplir, une bonne attitude mentale envers n’importe quelle promesse de Dieu.

            Il ne faut pas de dons de guérison pour guérir les malades. Toute personne ici présente a le droit d’affronter Satan n’importe où, s’il est chrétien, et de le vaincre sur n’importe quel terrain où il peut se tenir.

            Quand Jésus-Christ était ici sur terre, et en Lui demeurait la plénitude de la Divinité corporellement, toutes les grandes puissances de Dieu étaient dans Son Fils, Jésus-Christ. En effet, les Ecritures nous rapportent que Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Toute chose Lui a été donnée ; toutefois Il ne disait que ce que le Père Lui disait. Il ne guérissait que celui qu’Il avait d’abord vu être guéri. En effet, Il a dit: «En vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» C’est Saint Jean 5.19.

14        Saint Jean 5.1: Il est passé près de la piscine de Béthesda, il y avait des multitudes de boiteux, d’estropiés, d’aveugles, de paralytiques, qui attendaient que l’eau soit agitée. Et quand les eaux étaient agitées, alors la première personne à y entrer, avec foi, recevait la guérison. Ils étaient obligés de croire cela. Et alors, la vertu de l’ange entrait dans la personne, elle était guérie. Et puis, les gens attendaient un autre moment, peut-être une ou deux semaines, un ou deux mois. Et elles restaient couchées là, des multitudes de gens.

            Jésus passa par là, Il vit un homme qui n’était pas estropié, mais qui avait une indisposition qui avait duré trente-huit ans. Et Il a dit: «Veux-tu être guéri?»

            Et il a dit: «Je n’ai personne pour me jeter dans l’eau.»

            Il a dit: «Prends ton lit, et va chez toi.»

            Et c’était un jour de sabbat, mais l’homme prit son lit et obéit. Et quand Il fut interrogé, au verset 19 de ce même chapitre, par les Juifs, les sacrificateurs de l’époque, Il a dit: «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.»

15        Cela était chaque fois vu d’avance, ce qui allait arriver, grâce aux dons de l’Esprit. C’est la révélation de Dieu, ce qui est révélé. Et par conséquent, vous ne faites que répéter un acte, représenter une scène que vous avez déjà vu arriver.

            Beaucoup de gens s’embrouillent des fois au sujet des dons et des appels. Les dons et les appels sont sans repentir. Dieu ordonne d’avance ces choses et Il les envoie sur terre. Et puis, Il les confirme, qu’ils existent.

            Il n’y a pas longtemps, un homme s’est avancé vers moi. Eh bien... Souvent, ils le font, et il a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, le Seigneur a dit: ‘Faites ceci.’ Si vous n’allez pas à tel endroit, ou telle chose, que vous ne faites pas telle chose, le Seigneur va vous frapper et vous arracher ce don.»

16        Eh bien, ce n’est pas vrai. Ce n’est pas vrai. Les dons et les appels sont sans repentir. Il y a des esprits qui sont dans l’église. C’est vrai, tels que les dons de prophétie, de guérison et autres. Mais ils sont dans le corps entier. Ils peuvent descendre sur une personne ce soir, une prophétie, et cela peut ne jamais redescendre sur la même personne ; cela peut être quelque part ailleurs dans le corps. Et ces esprits sont censés être jugés. «Qu’une personne parle, que deux ou trois jugent», a dit Paul.

            Eh bien, ceux-là sont des esprits de dons qui sont dans l’église. Mais l’unique personne qui a le droit de dire AINSI DIT LE SEIGNEUR, c’est un prophète confirmé. Vous n’avez jamais vu quelqu’un juger Esaïe, ou Jérémie, ou ces gens-là. Ils étaient des prophètes, ordonnés d’avance et nés dans ce monde pour être prophètes. Et ils voyaient d’avance la chose en vision et, ensuite, ils disaient: «AINSI DIT LE SEIGNEUR», car le Seigneur avait déjà dit cela.

            Alors, ce dont l’église a besoin aujourd’hui, c’est d’un bon enseignement de l’Evangile à l’ancienne mode. C’est vrai. Savoir où ils... Je ne veux pas juste parler d’un enseignement d’érudit ; je veux parler d’un enseignement spirituel. Il y a des gens qui parlent de Dieu, mais–mais qui ne savent rien à Son sujet. Vous ne... Voyez, vous devez en venir au fait et traiter effectivement avec l’esprit lui-même, vous voyez, pour savoir de quoi vous parlez.

17        Et alors, Siméon était un homme, un grand homme, conduit par le Saint-Esprit. Croyez-vous dans la conduite du Saint-Esprit? Certainement. Nous tous qui sommes chrétiens, nous croyons que le Saint-Esprit nous conduit.

            Alors, Siméon était un grand homme. C’était un homme honorable, un sacrificateur ; et il approchait les quatre-vingt-dix ans, selon ce qui nous est rapporté. Et il restait au temple.

            Et, rappelez-vous, il jouissait d’un grand prestige, en tant que sacrificateur, ou docteur, là en–en Israël. Mais le Saint-Esprit lui avait révélé qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu premièrement Christ. Et il n’a pas eu peur de déclarer cela à tous. Peu importe sa réputation, ou son prestige, ou son titre, le Saint-Esprit lui avait révélé qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu premièrement Christ.

18        Eh bien, regardez. Personne n’avait jamais vu Christ. On en avait parlé depuis l’aube même du temps, depuis le commencement, dans le jardin d’Eden. Et quatre mille ans s’étaient écoulés, et chaque grand homme avait attendu Sa Venue sur terre. Le sang juif, je pense, est le sang le plus pur qu’il y a sur terre ce soir, dans l’attente de la Venue du Messie. Et ils–ils attendaient la naissance de cet Enfant-là. Et ils L’attendaient.

            Ainsi donc, eux tous avaient attendu. Mais Siméon a eu une révélation du Saint-Esprit, qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu premièrement Christ. Il ne mourrait point avant d’avoir vu Christ. Et il a annoncé à tout le monde que c’est ce qui arriverait. Il n’avait pas peur que cela n’arrive pas. Il savait que, puisque le Saint-Esprit l’avait dit, cela devait arriver.

            Quand Dieu vous dit quelque chose, c’est une vérité établie. Vous ne pouvez pas vous en détacher et cela doit arriver.

19        Quelqu’un a dit: «Frère Branham, n’avez-vous pas peur de commettre une erreur lorsque vous êtes... quelqu’un monte à l’estrade, que vous lui disiez une maladie qui n’est pas vraie?» Non, monsieur.

            «N’avez-vous pas peur...»

            Tenez, l’autre jour, un homme a été arrêté dans le sud pour avoir dit à un autre qu’il était infidèle à sa femme et tout le reste, il a été arrêté, car c’était une rumeur. Eh bien, assurément, si c’est une rumeur, tout peut arriver. Vous le faites de vous-même. Mais lorsque vous êtes sous la promesse divine de Dieu, il n’y a point de peur en Dieu. C’est vrai. Cela doit arriver. C’est parfait. Cela n’a jamais failli, et cela ne faillira jamais, car Dieu ne peut pas mentir.

            Vous ne pouvez croire en Dieu que quand Il vous parle et vous donne une révélation ; alors, vous agissez sur base de ce qu’Il ordonne de faire.

20        Eh bien, ce sacrificateur n’avait pas honte de rapporter aux gens qu’il croyait que Jésus était... ou que Christ naîtrait et qu’il Le verrait avant sa mort.

            Eh bien, remarquez. Quand Dieu vous fait une promesse, Il l’accomplira. Vous n’avez pas à craindre qu’Il ne tienne pas Sa Parole, car Dieu tiendra Sa Parole. Je... C’est vrai. Vous devez simplement Lui faire confiance.

21        Et puis, voici ce que je constate. Oh! la la! Quand Jésus naquit alors, eh bien, la... Il n’y avait pas de radio ni de presse, comme nous en avons aujourd’hui. Ils devaient se transmettre le message de bouche à oreille.

            Et huit jours plus tard, Marie a amené le petit Enfant Jésus au temple pour accomplir ce qu’ordonnait la loi, offrir des tourterelles, ou–ou des pigeons si on était pauvre et ainsi de suite ; elle devait offrir le sacrifice pour sa purification à elle.

            Et remarquez, tout ceci me frappe quand j’y pense. Eh bien, Siméon était probablement là quelque part dans une pièce de prière, ou en dehors du temple. Et peut-être que, ce matin-là, il y avait probablement cinquante enfants, dirions-nous, en ligne, attendant la circoncision.

            Mais remarquez, juste quand Marie a fait entrer Jésus, le Saint-Esprit a parlé à Siméon, ailleurs, dehors. Et il a été conduit par le Saint-Esprit tout droit vers l’Enfant Christ. Il est entré en ce moment-là même, il L’a pris dans ses bras et a dit: «Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix, car j’ai vu Ton salut.» Pensez-y.

22        Eh bien, il avait la promesse. Et n’est-ce pas étrange que le Saint-Esprit qui avait donné cette promesse-là, une fois la promesse accomplie, que le Saint-Esprit ait conduit Siméon, celui-là qui avait la promesse, tout droit vers Cela? Voyez-vous comment Il s’y prend?

            Eh bien, je ne crois pas qu’il y ait quelqu’un ici... Combien ici sont malades ce soir et aimeraient qu’on prie pour eux? Faites voir les mains, partout dans la salle. Je ne crois pas que vous soyez venus pour être vus. Je ne crois pas que vous êtes venus pour critiquer. Je crois que vous êtes venus parce que vous vous attendez à être guéris. Et vous croyez dans la guérison, n’est-ce pas? Vous croyez dans la guérison divine. Et la raison même pour laquelle vous croyez dans la guérison divine, c’est qu’il y a quelque chose en vous qui vous fait croire dans la guérison divine.

            Et n’est-ce pas le même Saint-Esprit ce soir, s’Il a promis d’envoyer ces choses dans les derniers jours? A-t-Il promis d’envoyer ceci dans les derniers jours: «Et dans les derniers jours», dit Dieu? Comme Il avait promis dans Marc 16: «Allez par tout le monde...» C’est New York. Voyez? «Prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Il l’a promis. Et aussi, Il a promis la pluie de la première et de l’arrière-saison. Et nous vivons maintenant, ça fait des années, sous la pluie de l’arrière-saison.

23        Et juste avant que Dieu ne rompe les relations avec les Juifs, Il a placé neuf dons spirituels dans l’Eglise. Et juste avant la fin de l’âge des Gentils, Il restaure dans l’Eglise ces neuf dons spirituels, donnant à l’église des Gentils son dernier appel avant de retourner vers Israël.

            Et maintenant, ce soir, pendant que ces dons sont promis et que vous êtes malade, ne pensez-vous pas que le Saint-Esprit vous a conduit ici ce soir juste comme Il avait conduit Siméon vers Jésus quand Il vint? Le même Saint-Esprit conduisant... Le fait même pour vous de croire dans la guérison montre qu’il y a là derrière quelque chose qui vous fait croire dans la guérison.

            Tenez, avant qu’il soit créé un désir dans votre coeur, il doit y avoir un Créateur pour créer cette création-là. N’est-ce pas vrai?

            En d’autres termes, c’est comme ceci: avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il devait premièrement y avoir de l’eau pour qu’il y nage, sinon, il n’aurait pas eu des nageoires. Voyez-vous ce que je veux dire?

            Avant qu’il y ait un arbre qui pousse sous terre, il a dû y avoir premièrement une terre où il pousserait, sinon il n’y aurait pas eu d’arbre.

            Et si vous avez dans votre coeur le désir d’être guéri par la guérison divine, il doit y avoir une Fontaine de la guérison quelque part, sinon ce désir-là ne serait pas dans votre coeur.

24        S’il y a un désir d’adorer Dieu... Même les Hottentots et les Indiens dans les années passées, ils adoraient des objets, car la création même de... l’adoration était dans leur coeur, et ils adorent quelque chose. Ils adoraient quelque chose comme leur Créateur. Et cela montrait qu’il y avait un Créateur quelque part à adorer, un Dieu.

            S’il y a dans votre coeur une faim pour davantage de Dieu, il doit y avoir pour vous davantage de Dieu quelque part à trouver.

25        Ma mère avait une superstition. Les petits enfants que je... elle nous a eus dix. Et quand les petits enfants étaient... Ils avaient eu l’habitude de se lécher les lèvres. Et elle disait qu’ils réclamaient de goûter quelque chose. Elle y mettait peut-être du sel. Cela ne marchait pas. Peut-être qu’elle mettait un peu de miel, ça ne marchait pas. Peut-être un peu de pastèque, ça ne marchait pas. Mais peu après, quand elle trouvait ce qu’ils voulaient goûter, eh bien, ils étaient... On arrêtait de se lécher les lèvres.

            Eh bien, c’était peut-être une superstition. Mais ceci, quand il y a une faim de quelque chose dans le coeur humain, il doit y avoir Quelque Chose qui crée cette faim là-dedans.

            En d’autres termes, David a dit: «Quand la profondeur appelle la profondeur...» Et quand il y a une profondeur qui appelle, il doit y avoir une profondeur quelque part pour répondre. Et s’il y a une profondeur qui appelle pour davantage de Dieu, pour la guérison, il doit y avoir une Fontaine de guérison et la puissance de Dieu quelque part pour répondre. Croyez-vous cela? De tout mon coeur, je sais que c’est la vérité. Et quand nous appelons, alors il y a en nous quelque chose qui nous dit qu’il y a un Pays au-delà de la rivière.

26        J’ai enseveli une femme et une enfant il y a quinze ans ; je me tenais à la tombe quand, on dirait, tout cédait autour de moi, toute ma famille. Alors, on jetait des fleurs sur le cercueil de la petite enfant, morte quelques heures après la mort de sa mère. Et j’avais le coeur brisé, je n’arrivais pas, on dirait, à supporter plus longtemps. J’ai entendu le prédicateur dire: «Tu es poussière, tu retourneras à la poussière. Tu es terre, tu retourneras à la terre. Tu es cendre, tu retourneras à la cendre.»

            Et on dirait qu’une brise parcourait les arbres, disant:

            Il y a un pays au-delà de la rivière,

            Que nous appelons le doux au-delà,

            Nous atteignons ce rivage par la décision de la foi ;

            Un à un nous atteignons le portail,

            Pour demeurer là avec les immortels,

            Un jour, les cloches d’or retentiront pour toi et pour moi.

27        [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... quelque chose appelle, une profondeur. Il y a un lieu plus glorieux, un Pays meilleur. Voyez-vous ce que je veux dire? Je m’attends à ce que cela soit là. Je m’attends à Dieu. Quand je priais dans la pièce il y a quelques instants, avant d’entrer dans la salle, on dirait que Quelque Chose était venu sur moi, qui a dit que quelque chose allait se produire ici ce soir, une grande guérison spontanée. Je m’y attends. Dieu a...

            J’ose dire ceci à vos pasteurs. Vous découvrirez qu’au moins soixante à quatre-vingt pour cent de tous les malades dans cette salle seront guéris dans la prochaine heure. Je... Voyez, si ce n’est pas vrai, vous pouvez me coller l’étiquette de faux prophète. Je sais de quoi je parle. C’est vrai.

28        Eh bien, je–je crois cela. J’ai prié, j’ai demandé à Dieu de bien vouloir se mouvoir sur les gens dans ce service, et que d’une façon ou d’une autre... En effet, je n’atteins qu’un certain nombre. Mais j’ai demandé au Père de bien vouloir juste... Et pendant que je priais, Quelque Chose d’apaisant est venu sur moi. J’ai alors su que Dieu allait exaucer ma prière. Je ne sais pas ce qui arrivera, mais quelque chose va arriver qui va–qui va accomplir cela. J’aimerais que vous soyez constamment en prière.

            Remarquez donc. Quand vous vous attendez à quelque chose... Siméon s’attendait à ce que Jésus vienne pendant qu’il était vivant. Il s’y attendait, et Dieu l’a récompensé pour sa foi. Je m’attends à ce que Dieu guérisse au moins soixante ou quatre-vingt pour cent de gens ici présents ce soir, qu’ils soient parfaitement rétablis avant la fin de ce service. Je crois cela de toute mon âme. Voyez? Je m’y attends.

29        Daniel s’attendait à ce que Dieu le délivre de la fosse aux lions.

            Les enfants hébreux, quand ils sont entrés dans la fournaise ardente, ils ont dit: «Notre Dieu est capable...» Ils s’attendaient à ce que Dieu les délivre. Ils ont effectué le dernier pas avant qu’Il vienne, mais Il est toujours tout au bout. Jésus arrive à l’heure la plus sombre, c’est alors que Jésus vient. Ils s’y attendaient.

            La femme à la perte de sang avait une attente. Si elle pouvait toucher le bord de Son vêtement, c’était terminé. Quand elle toucha le bord de Son vêtement, son attente fut comblée.

            Si vous êtes venu ce soir, vous attendant à être guéri, vous serez guéri. Si vous êtes venu ce soir, vous attendant à trouver quelque chose à critiquer dans la réunion, vous trouverez certainement cela. Vous obtenez ce pour quoi vous êtes venu. C’est vrai.

30        Remarquez. L’aveugle Bartimée avait une attente. S’il pouvait arriver auprès de Jésus, il... ou attirer Son attention, il serait guéri. Alors, on cherchait à le faire asseoir, mais il criait de plus belle: «Toi, Fils de David, aie pitié de moi», car il savait que si jamais il pouvait attirer l’attention de Jésus vers lui, il s’attendait à ce que Jésus le guérisse.

            Si vous vous attendez à être guéri ce soir, vous serez guéri. Tout ce qui fait l’objet de votre expectative...

            Juste une pensée de ma vie intérieure... Je pars maintenant d’ici peu pour traverser vers un autre pays. Ainsi, je vais vous raconter juste une petite chose. Il y a des choses qui se passent en rapport avec ceci, amis, que personne ne connaît. C’est vrai. Je ne raconte pas aux–aux gens tout ce que Dieu dit. Tout le monde a cela dans sa vie. C’est votre affaire privée, entre Dieu et vous.

31        Mais ceci a été une chose glorieuse, si jamais je ne revenais pas. Je sens que Dieu a confirmé et prouvé que j’ai dit la vérité à la nation, si jamais je ne revenais. C’est vrai. Il a scientifiquement prouvé cela. Il a prouvé cela à plusieurs reprises, que j’ai dit la vérité. Cet Esprit conduit. Il accomplit des choses que... Souvent, dans ma chambre, je–je peux être là en train de prier et je vois des choses qui vont arriver dans des réunions, je réunis mes organisateurs et tout, et je leur annonce des choses qui vont arriver en plein dans la réunion, des heures avant que cela arrive donc, des fois des semaines avant que cela arrive. Et certaines choses... Non pas que je sache ça, mais Dieu me le montre, et je sais que ça doit être ainsi. Je le crois.

32        Il n’y a pas longtemps à Fort Wayne, nous tenions une réunion, une réunion glorieuse, là où Paul Rader avait l’habitude de prêcher, B.E. Rediger, beaucoup parmi vous connaissent ces prédicateurs de renommée nationale et internationale. Et j’étais dans une pièce quand on chantait Crois seulement, dans la pièce même où Paul Rader avait composé le cantique, il y a quelques mois. Et nous restions à l’hôtel Indiana. Souvent, on ne fait pas savoir aux gens l’endroit où je reste.

            Eh bien, c’est ce qui m’est difficile, avoir à passer au milieu des gens que je sais qu’ils m’aiment. Et juste je–je... Mon coeur les réclame à grands cris. Mais vous–vous... Il y en a beaucoup. Cela me soutire pratiquement la vie. C’est...

            Quand ces vibrations frappent la main ici, parfois, observez mon frère et les autres. Ils me surveillent. Ils savent quand j’en ai assez ; ils vont me tenir et me faire vite quitter l’estrade. Parfois, amis, ça en est complètement fini de moi. On me fait circuler dans la ville pendant peut-être deux ou trois heures, essayant de me faire revenir à moi-même. Cela m’épuise complètement.

33        Vous pouvez penser que c’est étrange. Vous pouvez penser que c’est–que c’est drôle, pour quelque chose comme cela, un don, mais cela vous épuise. Cela vous vide. Ce n’est pas comme prêcher l’Evangile, ou juste imposer les mains aux malades, c’est un Etre Divin qui opère au travers du corps d’un mortel. J’ai vu ma main gonfler tellement qu’il me fallait la maintenir dans de l’eau chaude pendant pratiquement une heure pour qu’elle récupère la sensibilité, après des vibrations émises par des cancers hideux et autres, comme ça marche. Pratiquement, personne ne connaît ces choses. Mes organisateurs et les autres le savent.

            Mais je me rappelle, dans cette réunion-là, on avait découvert où je restais. Et le lendemain, eh bien, c’était pathétique de voir les gens.

34        Je me rappelle, dans une réunion dans... là dans une autre réunion où j’étais, j’avais tenu un service du soir, là à Missouri, dans une ville bien vaste. Et quand j’ai quitté l’auditoire, c’était petit, juste environ... une assistance à peu près comme celle de ce soir. Je suis monté au... au troisième étage. J’ai quitté le–le tabernacle, ou l’auditorium, je suis monté au troisième étage de l’hôtel, et je me suis endormi juste un moment avec mes habits, en travers du lit. Et je devais rencontrer ma femme le lendemain au Poplar Bluff, et on avait une émission radiophonique, qui couvrait jusqu’en Arkansas.

            Et je me rappelle, pendant que j’étais couché là, environ dix minutes, j’ai entendu quelqu’un frapper à la porte. Et quand je suis allé à la porte, c’était le gérant de l’hôtel. Il a dit: «Est-ce vous révérend Branham?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Eh bien, monsieur Branham, il vous faudra quitter l’hôtel.»

            «Eh bien, ai-je dit, qu’ai-je fait, monsieur?»

            Il a dit: «Eh bien, nous ne pouvons pas avoir ceci autour de l’hôtel.»

            Il a ouvert la porte et, amis, il y avait environ quatre files de ligne de prière, depuis la porte jusque là, dans le couloir, jusque dans la rue, des gens se suivaient là. Et j’ai jeté un coup d’oeil là. Il a dit...

            J’ai dit: «Eh bien, je ne sais que faire, monsieur.»

            Il a dit: «Vous descendez l’issue de secours, et je descendrai appeler un taxi pour vous. Il passera par l’allée et vous prendra.»

            Je suis descendu là et il neigeait. J’ai regardé dehors, j’ai vu ces vieilles petites mères là dehors tenant des histoires au-dessus de leurs enfants pour protéger leur visage de la neige ; des gens appuyés sur des cannes, et ceux qui tremblaient de paralysie. Je ne pouvais simplement pas passer outre là.

35        Je suis allé là dehors dans la rue et j’ai commencé une ligne de prière. Ils ont contourné la rue et ont commencé à affluer. Et le Seigneur guérissait, ils jetaient leurs béquilles et autres, s’en allant en courant. Et les policiers étaient partout là, réglant la circulation. Nous avions passé là un glorieux moment, car les gens croyaient qu’ils seraient guéris.

36        Maintenant, à Fort Wayne, ils avaient découvert l’hôtel où nous logions, l’Indiana Hotel. Et alors, en cette soirée-là, nous nous sommes engagés à descendre. Nous n’arrivons simplement pas à sortir. C’était vraiment plein de gens. C’était terrible. Et alors, nous avions environ trois autres jours à passer là.

            Ainsi donc, le garçon d’hôtel... Mon frère a loué les services d’un garçon d’hôtel. Et il lui a indiqué la voie par laquelle nous allions descendre et traverser le... passer par la pièce abritant le système de réchauffement et sortir dans l’allée. Ainsi donc, c’était difficile à faire. Mais on m’a fait descendre, on a continué vers le lieu des réunions, on a remonté l’allée, ma femme et l’une des infirmières de chez les Mayo qui avait été guérie du cancer. Et elle était avec nous.

            Ainsi donc, elles–elles m’amenaient prendre un petit-déjeuner, et je mangeais dans un petit restaurant appelé Toddle House, je pense que c’était ça. Et... Non, c’est Hobb’s House. Et un matin, nous descendions, le deuxième matin ; j’avais relevé mon manteau pendant que nous descendions la rue, et je portais ma fillette. Et tout d’un coup, le Saint-Esprit est descendu. Croyez-vous dans la conduite de l’Esprit? Et j’ai donné l’enfant à ma femme, et elle a dit: «Qu’y a-t-il, chéri?»

            J’ai dit: «Le Saint-Esprit me conduit.»

37        Et j’ai senti l’Ange du Seigneur... Vous avez vu la photo. Cela est simplement descendu. Et faites simplement ce qu’Il ordonne. Et je pensais que nous nous dirigions droit au Hobb’s House, nous étions à peu près à un pâté de maisons de là. Et l’Esprit du Seigneur a dit: «Tourne à ta gauche.»

            Et je suis descendu, j’ai simplement continué à marcher. Elles me suivaient. Et je me suis arrêté à une place appelée Cafétéria Miller. Je suis descendu au sous-sol, on dirait, là où se trouvait la cafétéria. Et aussitôt... J’ai commandé des pruneaux, je pense, et du pain grillé, je me suis assis pour manger. Alors, j’ai entendu quelqu’un dire: «Gloire au Seigneur.»

            J’ai regardé là, une dame venait de se lever, les larmes lui coulant sur les joues. Et madame Morgan, l’infirmière, a dit: «Voyez? Vous vous êtes fait prendre maintenant.» Voyez?

            Et j’ai dit: «Juste un instant.»

            La dame s’est avancée, elle a dit: «Frère Branham, a-t-elle dit, je vous ai suivi réunion après réunion.» Elle a dit: «J’ai un frère ici. Son coeur est perforé au niveau du diaphragme.» Elle a dit: «Rien ne peut être fait pour lui.» Elle a dit: «Il ne peut vivre qu’un petit moment de plus.» Elle a dit: «Nous avons vendu nos biens pour suivre. Nous avons fait tout notre possible pour entrer dans la ligne. Nous avons reçu des cartes, mais elles n’ont jamais été appelées.» Et elle a dit: «Nous sommes à court d’argent et tout.» Elle a dit: «Nous–nous ne pouvons rien faire.» Elle a dit: «J’ai prié toute la nuit.» Elle a dit: «Ce matin, j’étais à genoux à côté du lit, à l’hôtel, et je me suis endormie.» Et elle a dit: «J’ai vu en songe que je devais venir ici à la cafétéria Miller à neuf heures.» J’ai regardé ma montre, il était bien exactement... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

38        Croyez-vous au fait d’être conduit? C’est le Saint-Esprit qui avait conduit Siméon. Ceci est donc la vie intérieure. Et j’ai dit: «Faites venir votre frère ici.»

            Eh bien, en un instant, le Seigneur l’a guéri. Il criait et pleurait. Il a dit: «Je ne me suis jamais senti comme ceci depuis que j’étais un petit garçon.»

            Ils étaient sortis du bâtiment, je me suis rassis pour manger, et Quelque Chose m’a simplement fait me lever. Je suis sorti, ma femme et les autres m’ont suivi. Aussitôt que j’avais franchi la porte, j’ai entendu quelqu’un dire: «Oh! Dieu merci.» Une petite femme habillée en noir. Elle s’est agenouillée dans la rue. Elle s’est mise à pleurer. Et j’ai dit: «Levez-vous, soeur.»

            Elle s’est levée. Elle a dit: «Frère Branham.» Elle venait de Chicago. Elle a dit: «J’ai le cancer de sein.» Elle a dit: «J’ai fourni tous mes efforts pour vous atteindre, partout.» Elle a dit: «Je n’y arrive pas.» Et elle a dit: «Ce matin, je commençais à manger. Et je pleurais, car il me fallait rentrer chez moi.» Elle a dit: «L’Esprit du Seigneur a dit: ‘Va te tenir devant la cafétéria Miller à neuf heures dix.’»

39        La chose était là. Je l’ai rencontrée là dans l’Arkansas l’autre jour, criant simplement ; il y a de cela des semaines. Elle a dit: «Le tout... tout a disparu. C’est parti.»

            Et je m’engageais à descendre la rue. Je m’engageais... Ma femme a dit: «Ne vas-tu pas manger?»

            J’ai dit: «Non. L’Esprit du Seigneur est en train de conduire.»

            Et j’ai traversé la rue. Je me dirigeais vers un drugstore pour acheter quelques petits livres de coloriage. Nous devions garder l’enfant enfermé, une fillette de trois ans, dans une pièce toute la journée, avec nous. Ainsi, je passe mon temps dans la prière. C’est ainsi que je connais ces choses, c’est en priant, en priant.

            Alors que je m’engageais pour traverser la rue, Quelque Chose a dit: «Arrête-toi.»

            J’ai dit: «Oh! la la!» Je me suis retourné.

            Ma femme a dit: «Où vas-tu?»

            J’ai dit: «Vous toutes, allez droit à l’hôtel. Il a autre chose à faire pour moi.» Alors, j’ai reculé au coin pour voir les moulinets (j’aime la pêche et tout), j’ai reculé là, pour me rassurer que personne ne me regardait, et j’ai incliné la tête et j’ai dit: «Père, que veux-Tu que je fasse?»

            Et je me tenais là. Pas juste imaginer donc. J’ai entendu une Voix dire: «Va au coin.»

40        Je suis descendu au coin, de l’autre côté de la rue. Je me suis tenu là, et on s’est mis à siffler, et la circulation allait reprendre dans la rue. Alors–alors, ils sont passés là suivant les feux. Et–et je me tenais là depuis environ dix minutes. Et j’ai simplement continué à me tenir là. Peu après, un autre coup de sifflet a retenti, un groupe de gens a traversé la rue, tout aussi occupés que possible.

            J’ai vu une dame en petite robe à carreaux venir derrière. Elle portait un petit... canadien...?... Elle portait un porte-monnaie sur le bras. Elle a traversé la rue, et l’Esprit du Seigneur a dit: «Approche-toi d’elle.»

            Et je me suis directement avancé vers elle comme cela, et elle est passée à côté, regardant par terre, elle est passée à côté de moi. Eh bien, je me suis dit: «C’est étrange. Peut-être que Dieu a simplement fait quelque chose là que je n’ai pas reconnu.»

41        Elle a fait environ quinze pieds [4,5 m]. Elle s’est retournée et a regardé comme cela. Elle a dit: «Oh! Frère Branham.» Et elle a dit–elle a dit: «Oh!...» Elle s’est simplement mise à se taper. Elle a dit... Oh! Elle ne savait pas ce qui était arrivé.

            J’ai dit: «Quel est le problème, soeur?»

            Elle a dit: «Je viens du Canada.» Elle a dit: «J’ai dépensé tout l’argent que j’avais. Ma rente s’élève juste à cent cinquante dollars.» Elle a dit: «J’ai une main atrophiée.» Elle a dit: «J’ai passé la nuit derrière dans un couloir, j’avais cinq cents pour le café ce matin.» Elle a dit: «J’allais ici sur la route faire de l’autostop et retourner chez moi.» Une jeune femme, d’environ trente ans. Elle a dit: «Je descendais ici à environ deux pâtés de maisons, et Quelque Chose m’a dit: ‘Tourne de ce côté-ci.’»

            Oh! la la! La chose était là. J’ai dit: «Tendez-moi la main, soeur.»

            Et sa main s’est étendue là. Et ce gros policier irlandais qui se tenait là, regardait. Il a dit: «Je vous connais, Frère Branham.»

            Et il est venu en courant. Oh! la la! Une foule de gens, là. On a dû chercher une équipe pour quitter. Tout le monde là, un service de guérison. Le Seigneur à l’oeuvre.

42        Dieu conduit. Vous croyez cela, n’est-ce pas? C’est vrai. Il n’y a pas longtemps, j’étais de retour d’une réunion, je sortais. Cela est arrivé dans–dans ce... à Camden, dans l’Arkansas. Je sortais d’une réunion. Et, juste voir comment le Seigneur traite.

            D’abord, juste avant que j’aie enlevé mon uniforme. J’étais garde-chasse de l’Indiana il y a trois ans. Et à... Juste avant que j’aie enlevé mon uniforme... Le Seigneur m’avait appelé, Il m’était apparu, l’Ange du Seigneur, je vous ai raconté comment cela était arrivé.

43        Alors, je descendais (ma fillette venait de naître), je descendais lui acheter des tétines de biberon pour son thé à l’herbe aux chats, ou je ne sais pas comment on appelle cela. Et j’avais un chèque de vingt-huit dollars que j’allais toucher. Et je suis entré... Alors, un bus s’est arrêté là sur la rue Spring, dans la petite ville où j’habitais. J’ai remarqué un homme au comportement étrange en descendre et il m’a regardé. Je suis entré dans le drugstore, j’ai touché le chèque, et–et j’ai acheté les tétines de biberon, puis je suis revenu. Et quand je quittais la rue, quelqu’un a posé sa main sur moi. Je me suis retourné. Il a dit: «Monsieur, je vois que vous êtes un agent d’un service public.»

            Et j’ai dit: «Oui, monsieur. Je travaille pour le service de la conservation de la nature de l’Indiana.»

            Il a dit: «Comme vous êtes un agent de service public, j’aimerais vous poser une question.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Et il a dit: «Je ferais mieux de vous raconter d’abord.» Il a dit: «Ma–ma santé se détériore depuis environ deux ans.»

44        Et l’Ange m’était apparu il y avait environ quatre ou cinq jours avant cela, et Il m’avait parlé de ceci. Et il a dit... ou du don. Et il a dit: «J’étais... j’habite à Paducah, dans le Kentucky.» Il a dit: «Hier soir, j’ai eu un drôle de songe.» Il a dit: «J’ai vu un Ange descendre du Ciel. Et Il est descendu, Il m’a dit de venir dans cette ville de Jeffersonville et de chercher quelqu’un du nom de Branham pour qu’il prie pour moi.» Il a dit: «Pourriez-vous savoir où serait quelqu’un ici, n’importe qui, du nom de Branham?»

            Oh! la la! Mon coeur semblait bien être gros comme ça. Et j’ai dit: «Ma mère gère une pension juste au coin.»

            Il a dit: «Vous êtes...»

            J’ai dit: «Ma mère.»

            Il a dit: «Est-ce que votre nom, c’est Branham?»

            J’ai dû lui passer mes bras. J’ai dit: «Frère, venez ici au coin.» Et j’ai commencé à lui raconter ce qui était arrivé. Alors, il s’est mis à pleurer. Nous nous sommes agenouillés là dans la rue, là même dans la rue, et j’ai prié pour lui. Et quand je me suis relevé, les gens retenaient leurs enfants, avaient ôté leurs chapeaux par respect, là dans la rue. Et Dieu est descendu des Cieux et Il l’a guéri là.

45        Quelques semaines plus tard, je sortais d’un bâtiment, et j’ai entendu quelqu’un crier: «Pitié, pitié!»

            Quatre policiers me faisaient sortir, me faisant traverser la foule. Des milliers de gens m’entouraient. Et la veille au soir, l’Ange du Seigneur était entré directement dans la salle où j’étais, Il était descendu. Il y avait là des boiteux, des estropiés, des aveugles et tout. J’essayais d’expliquer, amenant les gens à croire cela. Je disais: «Ne pouvez-vous pas croire?» Je disais: «Je vous ai dit la vérité.» Et je disais: «C’est la vérité.»

            Mon frère passe à côté me rappeler le temps. Je sais que je parle trop. C’est vrai. Mais je–je vous aime, et je–je veux... Et j’aimerais vous raconter ceci de toute façon.

            Et il y avait un... Quand je suis arrivé là sur le–sur le lieu, je parlais, je leur parlais de l’Esprit du Seigneur. Et juste en ce moment-là, Il est entré par la porte de devant, Il est arrivé là. J’ai dit: «Je n’aurai plus à parler. Il est ici Lui-même.»

46        Et Il a directement parcouru la salle comme ça. Il a tournoyé là où j’étais, comme cela. Et les aveugles, les sourds, les muets et tout le reste, étaient juste... se levaient et marchaient dans la salle en glorifiant Dieu.

            Le lendemain, quatre agents de police me faisaient sortir d’une–d’une église où je parlais. Je sortais du bâtiment, et j’ai entendu quelqu’un crier: «Pitié, pitié, pitié!»

            Et j’ai regardé là ; un vieil homme de couleur aveugle se tenait à l’écart de la foule, une petite couronne de cheveux blancs tout autour de sa tête, portant un bonnet, criant: «Pitié, pitié!»

            Il ne pouvait pas se tenir avec des blancs, évidemment. Et il criait comme cela. Et je partais, alors Quelque Chose est entré en action et a dit: «Va là-bas.»

            Et j’ai dit: «Allons là où se trouve cet homme-là.»

            Et il a dit... l’agent de police a dit: «Oh! Frère Branham, vous ne pourrez pas imposer votre main à cet homme-là.» Il a dit: «On vous arrêterait.» Il a dit: «Vous ne pouvez pas faire cela ; vous êtes en Arkansas.»

            J’ai dit: «Eh bien, regardez. Mais le Saint-Esprit me dit d’aller là...»

            Il a dit: «Vous provoqueriez une émeute raciale.» Il a dit: «Vous ne pouvez pas faire cela. Ici, on est au Sud.»

            Et j’ai dit: «Je n’y peux rien, où que ce soit. Le Seigneur me dit d’aller ici, et je...»

47        Ils m’ont accompagné. Ils ont formé un cercle autour. Et je n’oublierai jamais. J’ai entendu sa femme dire: «Chéri, le pasteur vient vers toi, le pasteur.»

            Et alors, j’ai quitté, je me suis avancé là où il était. Et il a dit: «Est–est–est–est–est-ce vous, pasteur Branham?» Il a dit: «Puis-je tâter votre visage?» Et il a placé ses vieilles mains tremblantes sur mon visage.

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Pasteur Branham, pouvez-vous écouter juste un instant mon histoire?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur. Allez directement de l’avant.»

            Et les gens cherchaient à percer, mais les autres se tenaient les bras, empêchant les gens. Et il a dit: «Pasteur Branham, a-t-il dit, ma vieille mère avait une ‘ligion comme la vôtre.» Une ‘ligion comme la vôtre. Il a dit: «Elle ne m’a jamais dit un mensonge de toute sa vie.» Il a dit: «Elle est morte voici maintenant dix ans.» Il a dit: «Cela fait environ huit ans que je suis devenu aveugle.» Et il a dit: «Hier soir, a-t-il dit, je n’avais jamais entendu parler de vous de ma vie.» Et il a dit: «Hier soir, vers vingt heures, a-t-il dit, j’habite à quelque cent cinquante miles [240 km] d’ici.» Il a dit: «Ma vieille mère se tenait juste à côté de mon lit. Et elle a dit: ‘Mon enfant chéri, descends à Camden, en Arkansas, et cherche quelqu’un du nom de pasteur Branham, et tu recouvreras la vue.’»

            Oh! la la! J’ai simplement imposé ma main sur son pauvre vieux visage ridé et noir. J’ai dit: «Seigneur Jésus, je ne comprends pas ceci. Mais je réclame sa vue en Ton Nom.»

            Et alors que je faisais descendre ma main, amis, Dieu me jugera à la barre du Jugement, et alors que je faisais descendre les mains, les larmes ont commencé à couler sur ses joues. Il a dit: «Chérie, je vois.»

            Elle a dit: «Chéri!» Elle s’est mise à crier, disant: «Peux-tu voir?»

            Il a dit: «Chuuu, c’est une voiture rouge qui est parquée juste là.» Il a dit: «Là se tient pasteur Branham.» Et il criait comme cela. Et il était là, parfaitement guéri.

48        Il y a quelques mois, je revenais de Dallas, mon avion avait été cloué au sol. Je vais vous raconter ceci avant de partir. Mon avion était co-... cloué au sol à Memphis, dans le Tennessee. Je suis resté toute la nuit et, le lendemain matin, on nous a appelés pour dire que l’avion décollerait à neuf heures.

            Et je suis descendu. J’avais répondu à certaines lettres, j’allais à la poste, tenant ma mallette. Je descendais à la poste pour expédier les lettres, et je descendais la rue en chantant ce petit cantique que vous, les pentecôtistes, vous chantez: Je suis si heureux de dire que je suis l’un d’entre eux. N’est-ce pas ça? Quelque chose au sujet des gens, racontant partout. J’essayais de chanter cela, vous savez. Et j’allais traverser la rue, alors Quelque Chose m’a dit: «Arrête-toi.»

49        J’ai repris, et j’ai compris que C’était l’Esprit du Seigneur. J’ai reculé dans le coin d’une banque. J’ai dit: «Père, que veux-Tu que je fasse?»

            Il a dit: «Fais demi-tour.»

            Je suis descendu, passant à côté de l’hôtel, j’ai continué à marcher, chantant, pour moi-même: Crois seulement, tout est possible... Conduit par l’Esprit, je suis allé là loin près de la rivière, vers de petites cabanes des hommes de couleur, là-bas à la rivière... Et je descendais. Il a dit: «Tourne maintenant à ta droite.»

            Je descendais une petite colline, comme ceci. C’était un bon matin, le soleil montait, les fleurs étaient en floraison à Memphis. Et j’étais... Le soleil se levait au-dessus de la colline, et il avait plu la veille au soir ; ainsi donc, il faisait tout beau là dans le Sud. Alors, j’ai regardé, il y avait un genre de tante Jemima appuyée sur le portail. Elle avait un... Au lieu de... Elle avait noué une chemise d’homme autour de la tête. Elle regardait par-dessus le portail. Je venais en marchant, faisant... [Frère Branham fredonne.–N.D.E.], descendant la rue, en regardant, me demandant où le Seigneur me conduisait. Elle regardait, elle avait des larmes sur ses grosses joues grasses. Elle a dit: «Bonjour, pasteur.»

            J’ai dit: «Bonjour, tantine.» Cela m’avait frappé: «Pasteur?» Je me suis retourné, j’ai dit: «Me connaissez-vous?»

            Elle a dit: «Oui, monsieur.»

            Et j’ai dit: «Connaissez-vous mon nom?»

            Elle a dit: «Non, monsieur.»

            J’ai dit: «Comment avez-vous su que je suis pasteur?»

            Elle a dit: «Pasteur, a-t-elle dit, avez-vous déjà lu au sujet de la femme sunamite qui avait eu un enfant avec... Le Seigneur lui avait promis un enfant, et l’enfant était mort?»

            Et j’ai dit: «Oui.»

            Elle a dit: «J’étais ce genre de femme. J’avais promis au Seigneur d’élever mon enfant pour Lui.» Et elle a dit: «Le Seigneur nous a donné, à mon mari et moi, un beau garçon.»

            Elle a dit: «Pasteur, il a pris une mauvaise voie quand il avait environ... il y a quelques années.» Elle a dit: «Il a attrapé une–une maladie dangereuse, une maladie vénérienne.» Et elle a dit: «Cela s’est beaucoup développé en lui, nous n’avions pas soupçonné cela.» Et elle a dit: «Et maintenant, il est couché dans la pièce, mourant.» Elle a dit: «Le médecin lui a administré toutes sortes de piqûres.» Et elle a dit: «Il n’arrive pas à se rétablir.» Et elle a dit: «Il est inconscient depuis hier. Le médecin était revenu ici, il a dit: ‘Attendez-vous au pire à tout moment.’ Il n’y a pas d’espoir pour lui. Son sang était quatre plus, et rien ne pouvait l’aider, pas du tout.» Et elle a dit: «Il se meurt.»

            Et elle a dit: «Je me suis agenouillée.» Et elle a dit: «J’ai prié.» Elle a dit: «J’ai prié: ‘Ô Seigneur, a-t-elle dit, je suis une femme comme la Sunamite. Où est Ton Elie?’ Et je me suis juste mise à prier, a-t-elle dit, j’ai prié et prié.» Et elle a dit: «Ce matin, juste avant l’aube, a-t-elle dit, le Seigneur a dit: ‘Tiens-toi à ce portail-ci.’»

50        Et là, son dos était mouillé, de se tenir là. Elle ne me disait rien de faux. Elle a dit: «Et regardez.»

            Oh! la la! Je me suis mis à... Je suis entré dans la maison. Il y avait un grand gaillard costaud. Et elle l’a tapoté. Il était couché là, tenant une–tenant une couverture en main, faisant: «Hum, hum, hum», comme ça. Et il disait: «Maman, il fait très sombre. Hum! Je ne sais où je vais, maman», comme cela.

            Elle a dit: «Mon enfant chéri, reconnais-tu maman?»

            Mon enfant chéri! Il était... Evidemment, peu importe votre âge, vous êtes l’enfant de votre mère, malgré tout. Peu importe ce que vous avez fait, vous êtes toujours le fils de votre mère.

            Et elle était là, le tapotant et le chérissant. Elle a dit: «Reconnais-tu maman?» Elle disait: «Reconnais-tu maman?»

            Il ne semblait pas la reconnaître. Il criait: «Maman», continuant sans cesse ; il était dans un état d’inconscience, on dirait.

            Et alors, elle a dit: «Pouvons-nous prier, pasteur?»

            J’ai dit: «Oui, madame.»

51        Alors, cette vieille sainte s’est agenouillée et a prié. Oh! la la! Ça vous pince simplement le coeur. Je me suis relevé, et j’ai touché ses pieds. Ils étaient froids et collants ; la mort était sur lui. Et alors, nous nous sommes encore agenouillés et on s’est mis à prier. Et j’ai dit: «Dieu bien-aimé, je ne sais pourquoi Tu m’as envoyé ici. Mais Tu m’as fait faire demi-tour sur la route comme cela, Tu m’as amené ici. Et je sais que le temps de prendre l’avion est passé.» Cependant, l’avion avait un retard de deux heures. Alors, j’ai dit: «Je–je ne sais pourquoi Tu m’as amené ici. Mais maintenant, par obéissance à la conduite de l’Esprit, j’impose les mains à ce garçon au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ.»

            Il a dit: «Maman, il fait clair.»

            Quelques instants après, il s’était levé et était sur ses pieds. Je suis passé par là il y a quelques mois. Il m’a rencontré à la gare Abbey. Il a dit: «Frère Branham, je suis parfaitement rétabli maintenant. Et tout cela m’a quitté.»

52        Oh! Frère, soeur, le Dieu même qui avait conduit Siméon est ici ce soir. C’est vrai. Il peut conduire ceux-là mêmes... Heure après heure, je peux témoigner.

            Mais regardez. Au même moment, il y eut une vieille prophétesse aveugle du nom d’Anne. Regardez-la. Quand Siméon a pris l’Enfant Jésus, étant conduit par le Saint-Esprit, allant droit vers Lui... Ne croyez-vous pas que c’est le même Saint-Esprit ce soir?

            Et regardez, une vieille femme aveugle, Anne, se faufilait à travers la foule, se frayant un chemin dans la foule. Personne ne lui en avait parlé. Mais elle alla droit là où Il était, leva les mains et bénit Dieu. Le Saint-Esprit l’avait conduite au milieu des gens.

53        Il guide le poisson dans des eaux sans chemin, des oiseaux dans l’air sans chemin. Oh! la la! Il peut guider Son peuple, si seulement vous Le laissez faire. Nous sommes conduits par l’Esprit de Dieu. Nous sommes ici, nous attendant à ce que Dieu fasse quelque chose ce soir. Et je crois qu’Il est ici maintenant pour faire quelque chose en ce moment-ci, guérir les malades.

            Père, nous Te remercions pour Ton Esprit et Ton amour. Je m’attends ce soir, Père, à Te voir Te mouvoir sur les coeurs des gens et leur faire voir Ton divin programme, conduire les gens que Tu as appelés en ce jour-ci. Et je crois, Père, que Tu vas faire s’accomplir ce soir ce que Tu m’as révélé, que plusieurs malades vont être guéris ce soir. Accorde-le, Père. Exauce la prière de Ton humble serviteur. Car je le demande au Nom de Jésus. Amen.

54        Pendant que je me mets à prier, priez avec moi, s’il vous plaît, et priez pour moi. Les frères formeront la ligne de prière. Et priez avec moi. Combien feront cela pour moi, car lorsque je sors, je... s’Il m’oint quand je reviendrai. Peut-être que je ne serai pas en mesure de beaucoup parler. Mais, voyez, amis, je ne peux pas compter sur moi-même. Je dois compter sur Cela. Je ne dis rien ; c’est Cela qui parle.

            Maintenant, regardez. Quand Dieu fait quelque chose à l’estrade, vous tous, croyez cela. Ceci n’est rien que pour montrer l’attitude de Dieu. Si cela peut s’accomplir une fois, cela devrait être une preuve pour vous tous que Jésus est ici pour faire cela. Est-ce vrai?

            Moïse était un prophète envoyé de Dieu. Il avait deux signes pour montrer aux gens qu’il était... qu’il avait le Message de Dieu. Et quand il a accompli ces deux signes, les gens l’ont cru. Il n’avait plus jamais eu à accomplir cela davantage ; les gens l’avaient cru.

            Et si je venais vers vous comme cela, et que je posais des questions sur ces choses, ne croiriez-vous pas de tout votre coeur? Si je pouvais accomplir les signes que Dieu m’a promis d’accomplir, alors vous tous, vous devriez croire de tout votre coeur. N’est-ce pas vrai? C’est vrai.

55        Eh bien, avant même que je monte à l’estrade, ou que j’aille prier pour les gens, j’aimerais que vous croyiez. Alors, quand vous verrez ces choses se passer, j’aimerais que chacun de vous me promette ceci: que vous ferez exactement ce que Dieu ordonne.

            Je Lui ai demandé de laisser cet Ange oint, qui vient vers moi, se mouvoir au-dessus de cette assistance et de toucher l’un et puis l’autre, comme cela, et de les guérir ce soir pendant que le service est en cours. Je vais demander. Je Lui ai demandé de faire cela. Et je crois qu’Il le fera. Je le crois de tout mon coeur. Croyez aussi, et que Dieu vous bénisse. [L’assemblée chante: Crois seulement.–N.D.E.]

56        Inclinons la tête juste un instant. Ô Père, aide-nous maintenant à recevoir Ton Fils bien-aimé et Sa promesse, sachant que Son Esprit est parmi nous ce soir. Et je Te demande de guérir chaque personne malade dans la salle. Je le demande par le Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, vous pouvez vous asseoir si vous le voulez.

57        Que tout le monde soit très respectueux. Et maintenant, il peut y avoir des étrangers qui n’ont pas encore entendu parler comment l’Esprit de Dieu qui m’a donné ce ministère opère. Cela m’a été donné par un Ange à ma naissance. Cela s’est manifesté il y a trois ans. Cela m’a toujours suivi, Cela me faisait savoir que Cela était proche. Puis, Cela est venu vers moi, C’était un Homme. Il a été vu dans des réunions plusieurs fois. C’est un Homme grand et costaud, d’environ 200 livres [90,7 kg], aux cheveux noirs tombant sur Ses épaules. Il a témoigné quand Il est arrivé, Il a dit: «Je suis envoyé de la Présence de Dieu pour te dire que ta naissance et ta vie, c’est pour montrer que tu dois amener un don de guérison aux peuples du monde.» Et Il s’est mis à me dire différentes choses qui arriveraient.

            Je Lui ai dit que je n’étais pas instruit et que je ne pouvais pas aller. Il m’a dit qu’il me serait donné deux signes.

            J’ai dit: «Les gens ne me croiront pas, car je ne suis pas assez instruit pour leur parler.»

            Il a dit: «Il te sera donné deux signes, comme il en a été donné au prophète Moïse.» Il a dit: «Un signe sera que tu–tu détecteras les maladies par ta main. Quand les gens entreront en contact avec toi, eh bien, tu pourras leur révéler les maladies dont ils souffrent par un discernement spirituel.» Et puis, Il a dit: «Si tu es sincère, il arrivera alors que tu révéleras aux gens les secrets de leurs coeurs et les choses qu’ils ont faites dans leur vie, qui ont peut-être empêché leur guérison, et tout.»

58        Et j’ai dit: «Je vais... Je–je suis... Ils ne me croiront pas.»

            Il a dit: «Je serai avec toi.»

            Alors, j’ai dit: «J’irai.»

            Et la Lumière s’est mise à se condenser dans la pièce, Elle est montée... L’Ange est monté dans la Lumière, formant une Lumière très sacrée, comme Ce que vous voyez sur la photo, et Il s’en est allé. Il revient soir après soir, et Il entre dans des réunions.

            Je ne prétends pas... Afin que tout le monde sache avec certitude, je ne prétends pas être un Guérisseur divin. Les journaux et autres appellent Cela comme ça, mais c’est une erreur. Personne ne peut guérir, même pas Jésus. Jésus ne prétendait pas être un Guérisseur divin. Il disait: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi ; c’est Lui qui fait les oeuvres.»

            Aucun mortel ne peut donc s’attribuer le mérite de la guérison divine. Ainsi donc, si Lui n’a pas pu s’attribuer le mérite de la guérison divine, alors certainement que moi, je ne le ferai pas. Aucune chair ne peut se glorifier ; cela vient par l’Esprit de Dieu. C’est Lui le Guérisseur.

59        Mais je–je... Cela détecte les maladies et différentes choses qui arrivent, qui se passent dans la vie des gens, et parfois s’ils sont... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ...?... Eh bien, cela dénonce et leur fait savoir qu’ils sont des pécheurs. S’ils ont un péché secret dans leur vie, non confessé, rappelez-vous, Cela le dénoncera ; et–et Cela vous en parlera.

            Et c’est donc la raison pour laquelle, quand les gens viennent, parfois quand ils, disons, ils viennent vers moi lorsque je ne suis pas sous l’onction, ils disent: «Oh! Je–je–je suis un croyant, Frère Branham.» Je les crois sur parole. Mais sous l’onction, vous–vous percevez clairement qu’ils sont ici en bas ; vous devez monter ici en haut, à ce niveau-ci, disons, si je l’illustre. Voici le don ici en haut, et vous venez en croyant que vous êtes ici en haut ; cela ne fait pas que vous soyez ici en haut. Vous devez élever votre foi ici en haut. Alors, quand cette foi croit parfaitement, la puissance qui vous retient doit quitter.

60        Je n’ai jamais vu cela faillir. Peu importe à quel point on est aveugle, estropié, boiteux, ou n’importe... Y a-t-il ici quelqu’un qui a déjà assisté à mes réunions auparavant? Faites-nous voir les mains, ceux qui ont assisté à mes réunions. Est-ce que je dis la vérité? Cela arrive-t-il? Si oui, levez vos mains. Tout celui qui vient à l’estrade, peu importe ce qui cloche chez lui... C’est vrai. Puissent leurs secrets être dévoilés ; leurs... maintenant, leurs...

            Je ne peux pas guérir. Mais je sais certainement s’ils ont assez de foi pour être guéris ou pas. Voyez? Ce–c’est ce qu’il en est ici.

            Mais pendant que Dieu se meut ici en haut, Il va aussi se mouvoir là en bas. Voyez? Et, rappelez-vous donc, quand Il fait quelque chose ici...

61        Eh bien, tout ce que Moïse pouvait faire, c’était accomplir ces miracles, mais les gens devaient croire en lui. C’était là la confirmation qu’il était envoyé de Dieu. Comprenez-vous? C’est la confirmation que ce qu’il disait était vrai. Si un homme dit quelque chose et que Dieu ne rende pas témoignage à cela, alors cet homme est en erreur. Mais si un homme dit quelque chose et que Dieu rende témoignage après cela, alors cet homme est véridique. Voyez? Pas seulement une fois, mais à plusieurs, plusieurs, plusieurs reprises ; ça doit être le... un–un temps. Eh bien, c’est ce qu’a fait Moïse et il a prouvé aux gens.

            Eh bien, si vous... si ces... Si Dieu exauce ce soir et prouve que ce que je vous ai dit est la vérité, alors, écoutez ma parole. Dieu guérira tout le monde dans la salle. C’est si–si vous promettez de Le servir et de croire en Lui.

62        Maintenant, rappelez-vous donc, en quittant la salle, mettez-vous à témoigner que vous êtes guéri. «La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.» Si ces gens viennent ici, ce n’est pas exactement la foi, c’est une foi dans un sens, mais leur foi doit être édifiée. Partez en témoignant que vous croyez cela et que vous êtes guéri, alors vous serez guéri. Eh bien, croyez-vous cela? Tout comme vous aviez témoigné que vous avez été sauvé, cela opère la justice. Témoignez que vous êtes guéri, cela opère la guérison, et Dieu accordera cela.

            Très bien. Maintenant, voyons par où commencer la–la ligne. Très bien, à partir d’ici même. Très bien. Que tout le monde soit très respectueux.

63        D’où venez-vous, soeur? De New York. Vous êtes de cette ville-ci. Maintenant, si vous remarquez la patiente... Juste le–l’Esprit du Seigneur est ici, et la–la patiente, je–je ne la connais pas. Elle est de New York. Mais une–une sensation très étrange... Observez les gens, quand ils arrivent à environ huit ou dix pieds [2,4 m ou 3 m], vous verrez l’expression sur leur visage. Eh bien, la dame, je ne la connais pas.

            Mais vous éprouvez une sensation étrange, n’est-ce pas, madame? Etrange, très drôle. Eh bien, afin que cette assistance sache, voudriez-vous avancer juste un peu plus près du micro? C’est la vérité, n’est-ce pas? [La soeur répond: «C’est la vérité.»–N.D.E.] Une sensation très drôle, très étrange. C’est sacré.

            Ce que c’est, la Lumière que vous voyez sur la photo est maintenant ici sur l’estrade. Vous pourrez ne pas être... Cela peut apparaître clairement. Vous pouvez voir Cela. Mais Il est ici. Je sais que Cela est ici. Tout semble devenir laiteux partout dans la salle. Et c’est... Je sais que Cela est ici. Voyez-vous? L’onction vient maintenant.

64        Maintenant, voyons. J’aimerais que vous soyez en prière. C’est...?... souffrant de ces choses...?... nerveux...?.... C’est vrai. Et vous en souffrez depuis un temps...?... marcher. Vous n’avez pas servi Dieu comme vous le devriez. Je peux voir cela. Vous en avez eu le désir, mais vous ne l’avez pas fait. Aimeriez-vous désormais Le servir? Promettez-vous cela? Il n’y a aucun moyen pour moi de le savoir, si ce n’est par Dieu. Est-ce vrai? Je vous vois essayer. Vous avez même prié avant de venir ici, cherchant à trouver une faveur, n’est-ce pas? Vous étiez agenouillée à côté d’un fauteuil tout récemment, il y avait là une petite table, à droite ; vous étiez en train de prier (Est-ce vrai?), cherchant à trouver grâce. Personne, à part Dieu, vous et moi, ne sait cela. Est-ce vrai?

            Si donc moi, par l’Esprit de Dieu, je vous répète maintenant la même chose, comme ce qui a été dit à la femme au puits... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Quand le Maître était là, Il lui a révélé la chose cachée qui l’empêchait de jouir de la liberté. Elle a dit qu’elle L’avait accepté. Elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a tout dit.»

            Son Esprit est ici maintenant, opérant au travers de Son serviteur, vous disant... Croyez-vous cela? Je vous ai dit la chose qui vous bloque. Vous allez L’accepter maintenant, n’est-ce pas?

65        Inclinons la tête. Père céleste, Tu es ici pour guérir notre soeur. Accorde, Dieu bien-aimé, que Tu la guérisses maintenant, corps et âme. Puisse-t-elle quitter la salle maintenant en se réjouissant. Pardonne-la, Seigneur, de tout péché. Accorde-le, Père, qu’elle devienne Ton enfant à partir de maintenant, voyant qu’elle T’implore, voyant cette faute qu’elle a commise là, Père, et Ton esprit a été capable de dénoncer cela ici même à l’estrade.

            Mais, toi démon, sur base de la confession de foi de cette femme dans le Fils de Dieu, je viens au Nom de Jésus-Christ, confessant le don de guérison divine. Tu es dévoilé. Tu ne peux plus te cacher. Sors de cette femme, par Jésus-Christ.

            Quelque chose vous a quittée. L’acceptez-vous? Vous êtes guérie. Vous y êtes. Vous vous sentez différente maintenant, n’est-ce pas? Très bien. Vous pouvez redresser la tête. Soeur, vos péchés vous sont pardonnés, et vous êtes guérie maintenant. Redressez-vous et quittez l’estrade. Vous êtes bien portante. Marchez très vite.

            [Un frère dit: «Ce que j’aimerais que vous remarquiez ici à ce sujet, c’est que frère Branham discerne ceci entièrement par l’Esprit de Dieu. Sur cette carte-ci, il est mentionné: ‘Etes-vous sauvée?’ La femme dit en réponse: ‘Non?’ J’aimerais vous faire remarquer comment l’Esprit de Dieu détecte avec exactitude ce qui est dans la vie de chaque individu.»–N.D.E.]

66        Que tout le monde soit très respectueux, tout aussi respectueux que possible. Très bien. Faites venir votre patient donc.

            Et que tout le monde soit respectueux, et–et qu’il y ait juste–juste la foi. Maintenant, voici ce que j’aimerais que vous fassiez. Je–je sais déjà que Dieu va accorder ce que je Lui demande ce soir. J’aimerais que vous regardiez dans cette direction. C’est à peine que j’arrive à distinguer avec exactitude qui est-ce, mais j’aimerais que vous regardiez dans cette direction et que vous croyiez de tout votre coeur tout ce qui a été dit.

67        Oui, l’Esprit du Seigneur est ici maintenant. La dame a le dos tourné. Je lui ai tourné le dos. J’aimerais que vous vous approchiez un peu plus près, madame, ici de l’estrade, vous. Vous m’êtes inconnue. Mais je peux vous dire ce qui cloche chez vous. Allez-vous accepter cela comme envoyé de Dieu? Vous avez souffert de l’arthrite, n’est-ce pas? Levez les mains ; vous êtes guérie. Jésus-Christ vous guérit maintenant. Martelez vos pieds de haut en bas, comme ceci. Comme ceci, en haut, en bas ; vos pieds, en haut et en bas, comme ceci. Eh bien, quittez l’estrade tout aussi... on dirait, en vous–vous et moi, très vite. [Un frère dit: «Sur la carte de la dame, il est mentionné arthrite.»–N.D.E.]

68        Que tout le monde croie de tout son coeur. Maintenant, ayez simplement foi, croyez. Maintenant, c’est comme ça. L’Esprit du Seigneur est ici. Ceci peut détecter, discerner.

            Monsieur, vous debout là. Croyez de tout votre coeur maintenant. Me croyez-vous? M’acceptez-vous en tant que serviteur de Dieu? Croyez-vous que je suis Son prophète, envoyé ici pour vous, afin que vous soyez guéri? Allez-vous donc obéir à ce que je vous dis de faire? Allez-vous le faire, si je peux vous dire ce pour quoi vous voulez qu’on prie pour vous? Vous souffrez aussi de l’arthrite. Est-ce vrai? Levez les mains comme ceci. Sautez comme ceci, car Jésus-Christ vous guérit. Amen. Maintenant, vous pouvez parcourir l’estrade. Vous êtes guéri, mon frère. Redressez-vous. Que Dieu vous bénisse, mon bien-aimé frère. Vous êtes guéri.

            Maintenant, que tout le monde soit très respectueux. Continuez simplement à prier maintenant.

69        Là loin dans l’assistance, on dirait que ça a été bien reconnu. Quand ils s’approchent, des fois, ils deviennent inconscients, quand ils–quand ils viennent ; et par conséquent, ils ne–ils ne se rendent pas compte avec exactitude que c’est... Il va là, serrant la main à ses amis. Pouvons-nous dire: «Merci Seigneur», tout le monde...?...

            [Un frère dit: «Sur la carte de cet homme, il est mentionné arthrite.»–N.D.E.]

70        Tout le monde peut comprendre comment les cartes sont distribuées. Vous voyez, ces gens-ci sont... Vous avez été dans des réunions pendant trois soirées. Que pensez-vous qu’il arrivera dans une semaine ou deux, comme la foi des gens commence à être édifiée? Eh bien, ils monteront aux balcons, ils viendront avec des fauteuils roulants, se lèveront simplement, sortiront de fauteuils d’un bond et courront, car ils–ils croient. Et quand ils croient de tout leur coeur, cela attire simplement la force de l’Esprit de Dieu droit vers les gens, tout droit–droit vers eux. Eh bien, si le... si... Il vous faut croire ; il vous faut avoir foi, avoir... Vous...

            Combien croient en Dieu? Faites voir les mains. Croyez-vous en Christ? Croyez-vous dans le Saint-Esprit? Maintenant, j’aimerais vous poser une question. Croyez-vous que je vous ai dit la vérité? C’est–c’est... Voyez, si vous croyez cela, c’est ce qui apporte la bénédiction. Il a dit: «Si tu amènes les gens à te croire–te croire, et que tu es sincère quand tu pries, rien ne résistera à la prière.»

71        Maintenant, rappelez-vous, je ne peux pas guérir. Cela dit seulement ce qui arrive quand les gens sont là, ils–ils se mettent à regarder, ils se posent des questions, et... Et puis, quand l’Esprit commence à leur parler et leur révéler leurs maladies et leurs afflictions, eh bien, leur foi s’élève directement et la chose les quitte.

            Maintenant, si je peux dire que le... ce qui est sur vous, ce qui est à la base de cela par l’Esprit de Dieu, je sais donc quand cela quitte. C’est comme Moïse, s’il pouvait dire d’avance ce qui allait arriver et que cela était arrivé, nous croyons que la création a été faite selon Sa Parole, n’est-ce pas? En effet, c’est Dieu qui parle dans les deux sens.

            Très bien. Maintenant, j’aimerais que tous prient et soient très respectueux, partout dans la salle. Où que vous soyez, tout le monde, soyez respectueux. Mais maintenant, priez. N’inclinez pas la tête jusqu’à ce que je vous le demande, vous...

            Très bien, vous pouvez faire venir votre patient, frère. Maintenant, que tout le monde soit tout respectueux.

72        Je sens toujours que ce soir quelque chose de glor-... Eh bien, parfois, quand l’Esprit du Seigneur est très près, eh bien, C’est... Je perds de vue ce que je dis. Voyez-vous? Mais maintenant, juste à remarquer maintenant même que je... Si je peux essayer de vous dire... Cela commence à descendre, maintenant, pour cette patiente. Voyez-vous, je ne connais pas la dame, je ne sais rien à son sujet. Eh bien, juste un instant. Quand Cela–Cela établit le contact, Cela est sur moi maintenant. Maintenant, quand je m’empare de... Approchez-vous de moi...?... Oh! Elle est sourde. Très bien. Que tout le monde incline la tête, partout maintenant.

            Notre Père céleste, Toi qui as ressuscité Jésus d’entre les morts, Tu es ici pour guérir notre soeur et manifester Ta puissance divine. Et nous avons hardiment fait la déclaration que rien ne peut résister au don de Dieu, ce qui sera dit ; et la femme, apparemment, a la foi. Je Te demande de la délivrer ce soir de cette affliction que Satan a placée sur elle, qu’elle devienne un témoignage de la puissance de guérison de Dieu dans sa communauté, que son témoignage déclenche un réveil à l’ancienne mode. Accorde-le, Seigneur.

            Toi, esprit de surdité, qui es venu sur la femme, je t’adjure par Jésus-Christ, le Fils de Dieu, quitte la femme. Sors d’elle.

            Tu te sentais très mal dernièrement, n’est-ce pas? C’est un régime de tuberculose. Oui. Tout cela a quitté.

            Très bien. Vous pouvez redresser la tête, assistance. Je vais placer mes doigts dans ses oreilles.

73        M’avez-vous entendu? [La soeur répond: «Oui.»–N.D.E.] Dites: «Amen.»  [«Amen.»] Je vais mettre... M’entendez-vous maintenant? Dites:  «Amen.» [«Amen.»] J’aime Jésus [«J’aime Jésus.»] Vos yeux vous dérangent. Dernièrement, vous vous êtes sentie faible, n’est-ce pas? Très faible ; et le soir, surtout l’après-midi. J’ai attendu que vous recouvriez votre ouïe afin que vous compreniez. Tard les après-midi, vous devenez très faible. Et la nuit, non pas... Vous êtes... Vous avez un... des nuits agitées et tout. Maintenant, ce qui est à la base de cela, c’est que vous souffrez de la tuberculose, soeur. J’ai perçu cela à partir des vibrations. Mais tout est parti maintenant. Vous êtes guérie ; votre ouïe est correcte ; vous êtes parfaitement normale ; vous pouvez enlever vos lunettes et quitter l’estrade...?... Vous êtes guérie.

            Très bien, faites venir votre...?... Que tout le monde dise: «Merci, Jésus.» Amen. C’est bien. Très bien.

            [Un frère dit: «Sur sa carte, il y a: Surdité et glaucome des yeux.»–N.D.E.]

74        J’aimerais que vous regardiez dans cette direction juste un instant. Vous avez été extrêmement nerveuse toute votre vie. Et l’autre chose qui cloche chez vous maintenant, évidemment vos yeux vous ont causé des ennuis... l’astigmatisme, c’est ce qui ne va pas avec vos yeux. Vous avez eu des troubles d’estomac. N’est-ce pas vrai? Oui. Je vous vois assise au bureau, louchant, cherchant à lire alors que vous étiez une petite fille. Un certain jour, quand une certaine chose est arrivée, vous portiez–portiez une robe rose à carreaux...?... Maintenant, quand vous... Maintenant que vous souffrez ainsi de l’ulcère peptique à l’estomac, cela vous cause des troubles d’estomac. N’est-ce pas vrai? Maintenant, une sensation très étrange vous envahit. N’est-ce pas vrai? Soeur bien-aimée, Jésus-Christ vous guérit. Ôtez vos lunettes ; rentrez chez vous manger ce que vous voulez, car vous êtes guérie maintenant. Que Dieu vous bénisse.

            Que tout le monde soit très respectueux et prie. Très bien. Vous pouvez faire venir votre patient. [Un frère dit: «Nervosité, troubles d’estomac, troubles d’yeux. Remarquez qu’elle a reçu sa guérison maintenant, sans prière.» - N.D.E.]

75        Croyez de tout votre coeur, que vous... Vous essayez de croire. Vous êtes une femme malade, n’est-ce pas? Vous avez connu une profonde dépression, n’est-ce pas? Vous avez eu des ennuis. Et vous savez de quoi je parle. Je ne le dirai pas. Très bien. Puis-je avoir votre main? Il y a autre chose ; oh! c’est le cancer, soeur. C’est vraiment dommage. Mais croyez-vous que Jésus-Christ vous guérira et vous rétablira? Je vais... Afin que... Voyez, vous avez eu des ennuis et des épreuves. Evidemment, maintenant, cette sensation étrange est sur vous, c’est l’Esprit du Seigneur.

            J’aimerais que vous regardiez ici afin que vous ayez plus de foi pour croire. Voici donc ce que j’appelle des vibrations. Approchez-vous. J’aimerais que vous observiez ma main, là. J’aimerais que vous regardiez son aspect. Voyez-vous comment ça devient tacheté et noir? Et comment cela garde de petites choses blanches, qui parcourent là? Je vais enlever votre main, et je vais placer ma main dessus. Eh bien, cela n’est pas là maintenant, n’est-ce pas? Cela a l’aspect de la main de n’importe qui. Je vais placer cette main ici dessus. Ça a un aspect tout aussi normal, n’est-ce pas?

            Mais, révérend Lindsay, voudriez-vous avancer? Je vais placer la main de révérend Lindsay là-dessus. Tout aussi normal. Je vais placer ma propre main ; c’est normal. Maintenant, observez. Je vais prendre cette main ici même et la placer là-dessus. Maintenant, regardez-la. Voyez-vous comment elle gonfle, devient très rougeâtre, tachetée de sang, ces petites choses blanches? C’est ça votre cancer, soeur. C’est la vie d’un démon qui cherche à vous ôter la vie. Et cela bouge par ici maintenant. Cela se fait sentir parfaitement sur mes poignets et mes bras. Voyez-vous? Cela me monte droit au coeur. Et c’est ce qui est à la base.

76        Maintenant, j’aimerais que vous observiez ma main. Et alors, si elle demeure ainsi, c’est que votre vie est très courte. Si ça quitte... Vous avez la foi. Je m’attends à ce que cela quitte à tout moment. Mais jusque-là, ça n’a pas quitté. Mais vous êtes... vous souffrez de–de vertige aussi, cela est causé par l’hypertension. Et–et autre chose, c’est le moment, votre nervosité est causée par la ménopause, un changement de vie, ça agit sur vous. Est-ce vrai? Vous avez aussi des enfants, n’est-ce pas?

            Je–je veux... je veux que vous... Oui. Je veux que vous me croyiez de tout votre coeur. Maintenant, pour confirmer que ce que je vous dis est vrai, j’aimerais que vous observiez ma main. Si cela s’arrête comme... J’aimerais que vous preniez cette autre main et que vous sentiez ces petites choses alors qu’elles se déplacent sur ma main ; ça se fait voir. C’est–c’est la vie de ce cancer-là. Il se déplace, on dirait–on dirait qu’on sent cela faire: thrrrrr, thrrrrr, thrrr. [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Maintenant, si ça s’arrête, j’aimerais que vous voyiez cela.

77        Or, la Bible dit: «Toute parole sera établie sur la déposition de deux ou trois témoins.» Est-ce vrai? Vous êtes chrétienne, et moi... Et vous croyez, et vous venez maintenant, vous êtes une inconnue. Je vous ai dit ce qui clochait chez vous, et ce qui vous est arrivé dans la vie. Est-ce vrai? C’est un témoignage, n’est-ce pas? Vous regardez ici à quelque chose de surnaturel qui arrive sur ma main, est-ce vrai? Ça fait deux témoins. Que cela demeure, c’est trois ; que cela quitte, c’est trois.

            Mais ceci détermine si vous serez bien portante ou pas. Maintenant, il– il n’y a rien d’autre que Dieu peut faire pour vous amener à croire. N’est-ce pas vrai? Maintenant, j’aimerais que toute l’assistance incline la tête pendant que le patient observe ma main.

78        Notre Père céleste, nous nous souvenons du temps où Nathanaël était venu auprès de Toi. Philippe était parti le chercher, et quand il est arrivé auprès de Nathanaël, il l’a trouvé en prière. Et il a dit à Nathanaël: «Viens voir Qui j’ai trouvé, Jésus de Nazareth, Celui dont Moïse, le prophète, avait parlé.»

            Il a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Il a dit: «Viens, et vois.»

            Et quand il est arrivé dans la ligne de prière, ô Dieu, nous pouvons voir l’Esprit de Dieu mettre Jésus en action. Il a dit: «Voilà un chrétien. Voilà un croyant, vraiment un Israélite», en d’autres termes.

            Et Nathanaël a dit: «Quand m’as-Tu connu?»

            Il a dit: «Avant que tu viennes, tu priais sous un arbre.»

            Et il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.»

            Oh! Tu as promis que Ton Esprit serait toujours parmi nous, même jusqu’à la fin du monde. Et Tu es ici ce soir pour détecter, révéler et guérir par la foi. Et, Père, nous sommes très reconnaissants de ce que Tu as dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus–plus. Mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Combien nous sommes reconnaissants de ce que Tu es ici à New York avec nous ce soir dans cet auditorium. Et notre soeur que voici, pour qui on a prié, est une chrétienne... Et nous avons appris que toutes choses concourent au bien de ceux qui T’aiment. Et, Père, je lui ai dit tout ce que Tu as placé dans ma bouche, et je m’attends à ce que Tu la guérisses. Ne voudrais-Tu pas accorder cela, Seigneur, avant qu’elle... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... emportée? Je Te demande de l’accorder. Donne-moi la foi, Père, dans cet affrontement alors qu’elle observe ma main.

79        Toi démon, au Nom de Jésus-Christ, quitte la femme. Evidemment, vous voyez, cela ne s’est pas fait. Cela a commencé...?... les mains. [Une soeur parle en langues.–N.D.E.]

            Seigneur Jésus, Fils de Dieu.

            Accorde Tes bénédictions, ô Dieu, à cette mortelle. Accorde-le, Père.

            [Un frère interprète.–N.D.E.] [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Vous voyez ce qui est arrivé, n’est-ce pas, soeur? C’est parti. La dame est guérie. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Maintenant, la dame, d’où êtes-vous? Ma main est tout aussi normale que celle de n’importe quel homme. Est-ce vrai?

            Maintenant, la dame est ici debout, elle se regarde. C’est une femme de New York. Je n’ai point bougé ma main. Elle est tout aussi normale que celle de n’importe quel homme, n’est-ce pas? Cela est simplement parti, cela a simplement disparu. Maintenant, c’est... Voilà les trois témoins. Et le Saint-Esprit, parlant par l’église, a témoigné que Cela a été envoyé. Maintenant, il y a...?... il y a... votre guérison est accomplie, soeur. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez rentrer chez vous et...

            Inclinons la tête et rendons grâce.

80        Faites venir votre patient, s’il vous plaît. Père, je Te prie d’être miséricordieux. Que Ton peuple voie, Père bien-aimé, Tes oeuvres et qu’il Te connaisse. Je demande cette bénédiction par Jésus-Christ. Amen. [Un frère dit: «Sur la carte de la dame figuraient les mots cancer depuis trois ans.»–N.D.E.]

81        Dieu Tout-Puissant, Tu as promis, par Ton Fils Jésus, de chasser ces esprits étouffants de la femme. Sors d’elle, Satan. Je t’adjure par Jésus, le Fils de  Dieu. D’accord. Vous pouvez–vous pouvez voir ce qui lui est arrivé. Le goitre a directement quitté sa gorge. Eh bien, que Dieu vous bénisse...?...

            Mes amis, Il est ici pour guérir tout le monde. Croyez-vous cela? Maintenant, regardez. J’aimerais vous poser une question. C’est l’Esprit du Seigneur qui parle. Les gens n’ont pas à monter ici à l’estrade pour être guéris, ils peuvent être guéris n’importe où dans la salle.

            Or, le seul fait que ces gens ont des cartes de prière et qu’ils sont montés... Voyez, nous distribuons cinquante cartes ou une centaine. Et puis, nous venons à la réunion, on–on bat simplement ces cartes, de 1 à 50, ou je ne sais...

82        Nous avons donc connu un temps où les gens s’assemblaient simplement s’ils ne pouvaient pas obtenir la carte numéro 1, ils ne voulaient pas venir. Et s’ils n’obtenaient pas un numéro entre 15 ou 20, ce que nous prenions en une soirée, ils ne voulaient pas de carte. Alors, nous avons eu à battre ces cartes. Et puis, on demandait par quel numéro nous allions commencer. Au lieu de cela donc, nous les laissions simplement se rassembler, nous distribuions les cartes, nous choisissions un numéro quelque part dans ce groupe. Et puis, on appelait, on priait pour tous ceux pour qui nous pouvions prier le soir. Eh bien, c’est–c’est le procédé que nous avons trouvé le plus efficace. Et les gens montent à l’estrade.

            Le seul bien qu’il y a à venir à l’estrade, c’est juste avoir soi-même... c’est juste de se tenir ici, afin que cela... Vous n’avez pas à venir pour ça, car Dieu peut révéler ici même maintenant le secret de chaque coeur dans cette salle.

83        Et voici une seule chose que je connaisse: il y a ici un grand, un grand groupe de gens qui croient. Il semble y avoir une pression qui vient de partout. Dieu peut tout faire. Tout est possible à ceux qui croient. Est-ce vrai? Oui, oui.

            Maintenant, Il peut–Il peut parler là dans l’assistance. Mais maintenant, regardez, s’Il a confirmé que ceci est la vérité, croyez-vous que c’est la vérité? C’est l’Esprit du Seigneur Jésus-Christ. Rappelez-vous, si jamais je ne vous revois, je vous ai dit la vérité. Et maintenant, Dieu guérira, et Il guérira tout le monde ici, si seulement vous croyez cela.

            Cela... Maintenant, je Lui ai demandé de faire cela ce soir. Et je–je crois en Dieu. Je crois qu’Il va faire ce que je Lui ai demandé de faire. En effet, je–je me dis: Et si c’étaient ma mère, mon père, mon frère, ou mon enfant, ou je ne sais qui, qui était assis là dans l’assistance, ou malade...

84        Il y avait une petite fille qui regardait simplement dans cette direction, tout à l’heure, une douce petite créature, et elle est... Ses petites vibrations sont montées. Il y a un... je... Elle est assise ici, une petite fille aux cheveux noirs. Chérie, tiens-toi debout. J’aimerais te regarder juste une minute. Regarde ici. Oui, tiens-toi debout. Lève les yeux dans cette direction, chérie.

            Vous vouliez que cette enfant entre dans la ligne de prière, n’est-ce pas, soeur? Si je peux, par l’Esprit de Dieu, vous dire ce qui cloche chez cette enfant, allez-vous m’accepter comme serviteur de Dieu? L’enfant a une grosseur à la gorge. Est-ce vrai? Cela la dérange. C’est quelque chose à sa gorge qui dé... Est-ce vrai, chérie? Avale, et place ta main sur ta gorge. Jésus-Christ te guérit maintenant. Que Dieu te bénisse, chérie. Est-ce vrai, mère? Dieu sait tout au sujet de toute chose.

85        Il y a un homme assis ici devant moi, tenant une canne à la main. Bien-aimé frère, me croyez-vous? Regardez dans cette direction. Vous souffrez de coeur, n’est-ce pas? Déposez cette canne par terre et sortez de la salle. Vous êtes guéri, monsieur. Vous n’en avez plus besoin.

            Croyez-vous tous en Jésus-Christ? J’aimerais que vous regardiez dans cette direction et... C’est... Dieu connaît tous vos coeurs.

            Il y a une femme assise ici, assise ici en blouse rouge. Regardez dans cette direction, soeur. On dirait que vous avez des ennuis. C’est votre mari qui est assis là, il vous tient, votre chéri. Regardez ici. Vous souffrez. Vous avez connu des ennuis tout récemment, n’est-ce pas? Vous avez été à une clinique ou à un hôpital. Oui, vous avez subi une intervention chirurgicale, n’est-ce pas? C’était chez les frères Mayo. Est-ce vrai? Je peux voir l’institution. Cela se place entre vous et moi. C’est une intervention chirurgicale sur la vésicule biliaire, si je ne m’abuse. Est-ce vrai? Vous vous inquiétez à ce sujet, car vous êtes faible. Levez-vous. Jésus-Christ vous guérit maintenant. Vous êtes guérie. N’ayez pas peur.

86        Tout le monde, croyez. C’est bien. Ayez foi en Dieu. Croyez de tout votre coeur. Rassurez-vous, Il connaît toute chose. Croyez-vous cela?

            Voici une pauvre vieille dame de couleur assise là, portant un chapeau noir. Levez-vous. Vous étiez sourde, femme. Vous pouvez entendre maintenant. Jésus-Christ vous guérit. Vous étiez sourde. Est-ce vrai? Entendez-vous très bien maintenant? Pouvez-vous m’entendre? Assurément. Vous êtes guérie. Jésus-Christ vous rétablit...

            Eh bien, Il guérira tout le monde dans la salle maintenant même. Croyez-vous cela? Levez-vous une minute. Levez les mains. Prions.

            Là au balcon. Vous là, qui souffrez du cancer, vous êtes guéri. Jésus-Christ vous a guéri.

            Vous qui êtes là, estropié, sortez de ce fauteuil-là. Jésus-Christ vous guérit.

            Vous, ici même, cet homme là, il y a un... Oui, monsieur, frère. Jésus-Christ vous a guéri tout à l’heure. C’est vrai. Quittez cet endroit-là.

            Là même, assis là même au balcon. Cette jeune fille debout là même. Ce sont des yeux louches. C’est fini. Regardez et voyez. Vos yeux sont droits.

            Oh! Il est ici, amis. Il guérit en cette minute-ci. Tout le monde, levons les mains ainsi que nos voix pour louer le Seigneur Jésus.

87        Maintenant, je réprimande chaque puissance de doute, chaque esprit démoniaque, qu’il lâche cette assistance en ce moment-ci, au Nom de Jésus-Christ.

            Vous dans les fauteuils, levez-vous. Vous qui êtes malades, vous êtes guéris.

            Dieu Tout-Puissant, je Te confie ceci et loue...?... Seigneur Dieu du Ciel et de la terre, envoie Ta puissance sur cette assistance qui attend, en accomplissant ce que Tu as promis. Je réclame maintenant une délivrance totale de chaque malade dans la salle, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu.

            Acceptez cela. Croyez-le. Maintenant même, je sens la pression, qu’il y a des centaines de gens maintenant même qui sont guéris. Si je vous ai dit la vérité, je vous dis la vérité. Maintenant, Dieu a confirmé ce...

 

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