Le Ministère Expliqué

Date: 50-0711 | La durée est de: 52 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Lindsay. Et bonsoir, assistance. C’est un grand privilège ce soir d’être ici en ce bel endroit, de notre nation, pour commencer la première réunion depuis notre retour de l’Europe.

Je suis un peu fatigué ce soir, de... Nous avons eu à conduire durement. Nous venons de New York, et nous sommes passé par la maison, et nous sommes directement venu ici sans tarder.

Et je suis très content d’être ici et de rencontrer, déjà, certains amis que nous avions rencontrés dans d’autres réunions, surtout frère Richey et frère Hall. Nous avons eu frère Hall à Carlsbad, à New Mexico, et j’ai appris à l’aimer ; et frère Richey, à la réunion de Houston. Et on a l’impression de revenir à la maison. Et puis, on trouve cette merveilleuse atmosphère de communion, eh bien, bon, on dirait que c’est... Je crois qu’un prophète a dit une fois: «J’entends le bruit d’une pluie abondante.» J’espère qu’il en sera ainsi pendant ces quelques jours de réveil à venir.

2          J’ai toujours voulu avoir une chance, une opportunité plutôt de venir à Minneapolis. Je reportais cela pendant les trois ou quatre dernières années, de venir ici. Il est toujours arrivé que quelque part nous avons contourné vers ailleurs et on a dû rater Minneapolis. Et quand j’ai appris que nous venions, eh bien, je m’étais certainement réjoui pour cela.

Et comme je suis un peu fatigué, et que je reviens de mes vacances, cela peut prendre une ou deux soirées avant que nous allions... que la réunion atteigne son rythme normal. Une chose, c’est du neuf pour la plupart d’entre nous, je pense, ici, la plupart d’entre vous plutôt. Et autre chose, c’est que j’ai dû me dépêcher afin qu’en ce... Généralement, avant que je commence les lignes de prière, je passe trois jours à jeûner et à prier, comme beaucoup de gens savent comment je–j’essaie d’être, d’avoir le... Combien ici ont été dans l’une des réunions auparavant? Faites-nous voir les mains. Eh bien, c’est vraiment merveilleux.

3          Eh bien, et cette fois-ci, après être arrivé à la maison à temps pour commencer ici, eh bien, je n’ai pas fait cela. Et je peux être juste un peu...

Nous prenons on dirait notre temps pour la première ou la deuxième soirée, et je suis sûr que vous me supporterez et vous prierez pour moi pendant que je suis... Je ferai tout mon possible, avec l’aide de Dieu, pour aider les nécessiteux dans cette réunion et faire tout mon possible pour prier pour tout le monde. J’espère que ça sera comme... Le Seigneur a été vraiment bon envers moi dans la prière pour les malades et les nécessiteux.

4          Et depuis mon retour d’Europe, c’est ma prière réunion. Et suis-je un peu trop... pas très bruyant, Frère Hall... Je suis–je suis un peu petit, et je ne parle pas à très haute voix pour commencer. Et puis, c’est un peu difficile sous une tente. Mais je...

Ce sera pour moi la deuxième fois de tenir donc un service de guérison sous une tente. Mon premier réveil, c’était sous une tente, quelque chose à peu près comme ça, juste après ma conversion. Et j’ai toujours aimé entendre cette toile de tente flotter au vent.  Et on dirait qu’il y a quelque chose à ce sujet. Je–je me souviens de l’époque où Abraham habitait sous tentes avec Isaac, Jacob aussi, là. Ils étaient héritiers du Royaume, et nous sommes ses enfants. Si nous sommes morts en Christ, nous revêtons la nature d’Abraham et nous sommes héritiers selon la promesse.

5          Et maintenant, chaque soir, d’après ce que je comprends, la série de réunions prendra douze soirées, si le Seigneur nous le permet. Et nous aimerions essayer de faire en sorte que chaque soirée compte. Ainsi donc, pendant les quelques premières soirées, la première ou la deuxième soirée, pendant que je serai en train de jeûner et prier...

Beaucoup parmi vous comprennent que le ministère que notre Seigneur Jésus-Christ m’a permis d’avoir, a... (Comme je le dis humblement) est un peu étrange, un peu différent peut-être de, peut-être, de ce à quoi vous êtes habitué dans vos campagnes de guérison. Mais je ne peux que faire ce qu’Il m’ordonne. Comme quelqu’un d’autre, nous devons juste faire ce qu’Il ordonne. Cela opère de façon un peu étrange, car c’est sous... la conduite d’un Etre surnaturel. Et ce–c’est bien un phénomène... un phénomène plutôt, par rapport–par rapport–par rapport à ce qu’on vous a dit.

Evidemment, cela dénonce les maladies, les péchés de votre vie, et vous dit pourquoi, ce qui a fait que vous soyez malade. Mettez simplement cela en ordre, eh bien, je n’ai jamais vu cela faillir jusqu’à présent, en ce qui concerne la guérison des gens. Et cela...

Souvent, la faiblesse, là, c’est le manque de foi après que les gens ont été guéris. A l’estrade, ici devant le don divin, cela délivrera n’importe quoi. Tout... Peu importe à quel point  on est estropié, aveugle, on a des membres tordus, ils seront guéris ici l’estrade.

6          Mais maintenant, on m’a souvent fait des remarques que... Combien de temps cela dure-t-il? On dit: «Eh bien, dans quelques jours, la plupart de ces cas vont rechuter dans leurs états.» Alors, on ose dire que c’est de l’hypnotisme et autres, en fait, nous les chrétiens, nous ne sommes–nous ne sommes pas lents, sur ces choses, à comprendre que l’ennemi a toujours eu quelque chose à dire contre Dieu. Et nous nous y attendons. Nous ne nous attendons pas à passer la vie sans persécution, car la Bible déclare: «Tous ceux qui vivent pieusement en Jésus-Christ seront persécutés.»

Et je ne peux qu’être honnête. Et si quelqu’un est honnête, véridique et sincère, Dieu sera avec lui. Et si un homme dit tout... Eh bien, nous avons le libre arbitre, et nous pouvons dire tout ce que nous voulons. Mais si je disais quelque chose, et que cela n’était pas vrai, alors Dieu ne rendrait pas témoignage à cela. Mais si je dis quelque chose au sujet de Dieu, quelque chose que Dieu a fait, et qu’ensuite Dieu en retour vienne rendre témoignage que cela est vrai, alors vous devriez croire cela, car Dieu l’a dit, et pas un homme. Et c’est absolument loyal pour n’importe quelle assistance. Et c’est ce qu’on soutient.

7          Et il n’y a rien que j’aie à faire de moi-même, je suis juste un–juste un homme comme le reste d’entre vous, frères, un pécheur sauvé par la grâce. Et cela...

Je suis né dans une famille très pauvre, j’ai grandi sans religion. Les membres de ma famille avant moi, mes grands-parents, étaient catholiques ; ma mère et mon père n’avaient jamais fréquenté une église, pas du tout. Nous sommes de souche irlandaise, de nationalité plutôt. Et nous ne fréquentions pas l’église. Jusqu’au moment où j’étais un petit garçon d’environ sept ans, ou premièrement à ma naissance, une chose très particulière étant arrivée le matin, à ma naissance. Une Lumière est entrée dans la pièce. Eux tous se sont mis à crier. Là, dans les montagnes où je suis... Kentucky, où je suis né. Cela a continué pendant sept ans. Et à l’âge de sept ans, Cela m’est apparu pour la première fois comme une Voix me parlant, me disant de ne jamais fumer, ni boire, ni souiller mon corps de quelque manière que ce soit, car il y aurait un travail pour moi à accomplir quand je serais devenu plus grand.

8          Plus tard dans la vie, Cela a continué à apparaître. Cela me montrait des choses ; je disais juste ce que Cela me montrait. Cela n’a jamais manqué de s’accomplir jusque là. En 1947, ’46 plutôt, en avril, le se... ou plutôt le 7 mai, dans une pièce, l’Ange du Seigneur est entré dans la pièce. Quand j’ai vu cet Homme, Cela... Depuis, Il me parlait, je ne Le connaissais pas. Quand Il... Je L’ai vu, c’était la première fois pour moi de Le voir donc, sous une forme humaine. Il est apparu plusieurs fois. A la rivière après mon premier réveil, Il est descendu sous forme d’une étoile quand c’était à distance, mais quand Cela s’est approché, Cela avait l’apparence d’une Lumière. Et C’était un... Cela est apparu et plusieurs personnes s’étaient évanouies, il y en avait là quelque dix mille, je pense, qui étaient présents et qui ont vu Cela. Et puis, Cela juste... Je n’avais jamais su ce que Cela voulait dire.

9          Plus tard, eh bien, quand Il m’a rencontré, Il m’a dit ce que cela devait faire, c’était d’aller prier pour les malades. Je Lui ai dit que les gens ne me croiraient pas.

Il a dit: «Il te sera donné des signes, comme il en a été donné au prophète Moïse. De même qu’il a été donné deux signes à Moïse pour qu’il prouve aux gens qu’il... que Dieu l’avait envoyé les libérer, a-t-Il dit, de même il me serait délivr-... donné deux signes. L’un d’eux arriverait immédiatement, et l’autre suivrait si j’étais sincère.»

En fait, je pense qu’il y a beaucoup parmi vous ici ce soir qui savent comment cela s’est passé. Premièrement, c’était le discernement des maladies... le genre de maladies. J’ai donc exercé cela jusqu’à ce que cela était devenu si parfait que Cela ne faillissait jamais. Ensuite, Cela a commencé à dire aux gens les secrets de leurs coeurs, ce qu’ils avaient fait dans la vie, tout au long du parcours de la vie ; beaucoup parmi vous peuvent s’achopper à cela maintenant, et mal comprendre cela.

10        Mais, rappelez-vous, quand Nathanaël est arrivé auprès de Jésus, Philippe, son frère était allé le chercher et lui avait dit que rien de bon ne pouvait venir de Nazareth. Et quand il est arrivé auprès de Lui, Jésus lui a dit, quand il était dans la ligne de prière, Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

Il a dit: «Quand m’as-Tu connu, Rabbi? Quand m’as-Tu connu?»

Il a dit: «Quand tu étais sous l’arbre, avant que Philippe t’appelât, Je t’ai connu.»

Et il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.» Son coeur avait été préparé à Le recevoir.

11        A la femme au puits, quand Jésus parlait avec elle, Il a dit: «Va, chercher ton mari.»Elle a dit: «Je n’en ai point.»

Il a dit: «Tu as dit vrai, car tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»

Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète. Et nous savons que le Messie viendra», et ainsi de suite. Et elle est entrée dans la ville, elle a annoncé cela aux hommes de la ville: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Christ même?»

12        Eh bien, amis chrétiens, nous allons tous dans l’éternité. Chacun de nous ici doit rencontrer Dieu et faire face à Dieu un jour. Et nous allons rendre compte des oeuvres qui ont été accomplies dans notre vie. 

Eh bien, si je vous disais que j’étais un gangster, et que j’avais l’esprit de–de John Dillinger, eh bien, vous vous attendriez à ce que j’aie des armes et que je sois ce genre de personnage, car son esprit serait sur moi. Si je vous disais que j’avais un esprit d’un artiste, d’un très célèbre artiste, vous vous attendriez à ce que je sois capable de saisir une scène de vagues déferlant au coucher du soleil, et que je reproduise presque cela sous des couleurs de la réalité. Si j’avais l’esprit d’un artiste, je ferais le travail d’un artiste.

Et si nous avons l’Esprit de Christ, nous faisons donc des oeuvres de Christ. Et l’Esprit qui était sur Lui, Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin de l’âge.»

13        Je ne voudrais pas que vous sachiez une cho-... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Ils me taxent de fanatique, non pas que je me considère trop bon pour être un fanatique, mais à cause de l’Evangile que je représente, je veux que vous reconnaissiez en moi votre frère, et non un guérisseur divin. Ça, c’est juste un qualificatif que les journaux et les magazines m’ont collé. Il n’y a personne qui soit un guérisseur divin. Aucun  homme ne peut vous guérir. Il y a... Même Christ, le Fils de Dieu, ne prétendait pas être un Guérisseur divin. Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres ; c’est Mon Père qui demeure en Moi qui fait les oeuvres.»

Si donc Jésus, notre tendre Sauveur, n’a pas voulu s’attribuer le mérite d’être un Guérisseur, à combien plus forte raison nous, nous ne devrions pas nous l’attribuer. Nous prions seulement pour les malades.

Et c’est par la foi que vous êtes guéri. C’est par la foi que vous êtes guéri. Eh bien, avant que vous puissiez avoir foi... Je trouve que beaucoup de gens accèdent à la foi on dirait par hasard, si vous permettez cette expression-là, on dirait en devinant cela. Et quatre-vingt-dix pour cent de gens qui viennent dans la ligne ont l’espérance plutôt que la foi.

14        Or, l’espérance est une chose et la foi en est une autre. La foi est un sens sûr. Ce n’est pas une chose qu’on devine ; vous n’imaginez simplement pas cela. C’est tout aussi réel que n’importe quel autre sens de votre corps, tout autant que la vue. La vue est réelle. L’ouïe est réelle. Voir, goûter, toucher, sentir avec l’odorat et entendre, les cinq sens du corps qui contrôlent le corps, ce sont des facultés réelles pour vous, si aucune d’elles n’est lésée. Et puis, la foi est tout aussi réelle que n’importe lequel de cinq sens, plus réelle, car elle pénètre et dépasse ces cinq sens.

Maintenant, la première cause fondamentale de la guérison divine, c’est que Dieu l’a dit dans Sa Bible. C’est l’unique... C’est le fondement sûr, c’est la Parole de Dieu.

15        Et maintenant, je pense, pendant que je parle ce soir, j’aimerais premièrement essayer de commencer cette réunion d’une nouvelle façon, non pas juste me dépêcher comme j’avais l’habitude de le faire et passer trois ou quatre soirées à... avant que les gens se rendent compte de ce qui arrive. Si vous édifiez leur foi, je crois fermement d’abord, sur base de ce qu’est le fondement, la Parole de Dieu, je crois qu’il y aura de meilleurs résultats ici même à Minneapolis, dans ce réveil, par rapport à ce que nous avons eu jusqu’à présent.

J’ai essayé cela en Europe, et ça a merveilleusement marché. Quand souvent... A ma dernière soirée, quand je parlais, beaucoup, beaucoup de centaines de gens, pendant que je parlais à l’aide d’un interprète, ont reçu le baptême du Saint-Esprit. J’oublie combien de centaines à la fois, des jeunes gens, juste quand ils ont vu. La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend la Parole. Eh bien, la Parole de Dieu vaincra Satan en tout lieu, à n’importe quel endroit, partout, à n’importe quel moment. La Parole de Dieu...

16        Quand Jésus... Nous croyons tous qu’Il était le Fils de Dieu. Est-ce vrai? Nous acceptons qu’Il était le Fils de Dieu. Il était plus qu’un homme ; Dieu était en Jésus. Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même. Il était Dieu-Homme, Dieu oeuvrant au travers de Lui.

Or, mais quand Il a affronté Satan, ou quand Satan L’a affronté, Il ne s’est pas servi de l’un de Ses beaux dons, je crois qu’en Lui habitaient toutes les puissances des cieux, c’étaient en Lui. Mais Il n’a point utilisé l’un d’eux pour vaincre l’ennemi. Quand Il a rencontré Satan, Satan L’a tenté. Il a dit: «Il est écrit: l’homme ne vivra pas de pain seulement.»

Puis au pinacle du temple, Il l’a encore affronté avec la Parole de Dieu. Quand il L’a amené sur la montagne, Il l’a encore affronté avec la Parole de Dieu, nous donnant ainsi un exemple, que la Parole de Dieu vaincra l’ennemi en tout lieu, partout, en tout temps. «Il est écrit.»

17        Là, c’est quand on prie pour vous ; n’entrez pas dans la ligne de prière à moins de comprendre premièrement ce que vous faites et comment vous devez accepter Dieu.

Il n’y a pas longtemps, ici même à la plus grande clinique qu’il y a au monde, les frères Mayo m’avaient abandonné comme un cas désespéré. Ils ont dit que ça en était fini de moi, pour la vie, que je ne pourrais plus jamais être utile ; que j’étais une épave pour la vie alors que cela, je pense, c’est le meilleur au monde. Quand ils m’ont abandonné, j’étais une créature désespérée, sans secours. Oh! Je L’aime. C’était le plus long jour que je vis. Alors, Il m’a rencontré. Et par la foi, je crois en Lui. Et ce soir, je pèse plus que jamais je n’ai pesé de ma vie, et j’ai la meilleure santé jamais eue de ma vie. Pourquoi? C’est parce que la foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole. Jésus a dit dans Luc: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous le recevez.» Vous y êtes.

18        Observez l’ordre de la Parole, et vous allez re-...vous allez recevoir cela, vous allez avoir ça. Premièrement, vous croyez que vous l’avez reçu ; ensuite, cela vous sera accordé. Et quand vous venez, faites votre confession, croyez en Dieu, croyez qu’Il le fera, et Il est tenu de le faire.

Dieu ne vaut pas plus que Sa Parole. Aucun homme ne vaut plus que sa parole. Et Dieu est infaillible. Il ne peut pas mentir. Sa Parole est vraie. Et nous L’acceptons uniquement sur base de Sa Parole et nous croyons cela. Cela doit arriver.

19        J’ai vu des cas de cancer que les meilleurs médecins avaient abandonnés. D’autres étaient des aveugles de naissance, des enfants handicapés moteurs, des membres tordus, toutes sortes de formes. Je n’ai jamais vu une seule fois où Il ait donc failli de délivrer ces gens à l’estrade. Eh bien, c’est vrai. Pourquoi? Il est Dieu. Et quand on Le prend au Mot, tout est possible. Et cela se produira, si nous le croyons, nous agirons sur base de notre conviction.

20        D’abord, nous devons nous rassurer que c’est–que c’est la volonté de Dieu de guérir. Nous devrions consacrer du temps là-dessus dans des réunions, les organisateurs le feront probablement, sur la volonté de Dieu de guérir, comment Jésus est mort pour guérir, comment la commission a été premièrement donnée pour guérir.

La première chose qu’Il a dite quand Il a envoyé Ses disciples: «Guérissez les malades ; purifiez les lépreux ; ressuscitez les morts. Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement.» C’était Sa première commission, Matthieu 10. Et Marc 16, la dernière commission, Il a dit: «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé ; et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Pourquoi? Par tout le monde. «En Mon Nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues, s’ils saisissent les serpents ou boivent quelque breuvage mortel cela ne leur fera point de mal ; et ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»

Le problème, c’est que nous les chrétiens nous devenons trop faibles lorsqu’on en arrive à la confrontation. Si c’est réel, c’est réel. Si ça ne l’est pas, ça ne l’est pas. Et si je ne croyais pas en Lui de tout mon coeur et que je ne savais pas que c’était réel, je ne me retrouverais pas ici ce soir. Mais je crois cela. Et non seulement cela, je sais que c’est réel. Voyez? Et j’ai vu cela à des milliers d’endroits.

21        Quand Il–Il m’a rencontré cette nuit-là et qu’Il m’a parlé, moi–moi avec ma simple instruction de l’école primaire, comment pouvais-je aller rencontrer des gens du monde pour apporter ce don-là? Il a dit: «Je serai avec toi.»

J’ai dit: «Ils ne me croiront pas.»

Il a dit: «Il te sera donné deux signes.»

Or, rappelez-vous, les signes ne guérissent pas ; les signes suscitent la foi pour être guéri. Mais c’est uniquement par la foi qu’on est guéri. Comprenez-vous? Voyez? Voyez? Les signes suscitent seulement la foi.

Et alors, Moïse, quand il est allé dire aux enfants d’Israël que Dieu l’avait envoyé les libérer, il a accompli deux signes. Il a introduit sa main en son sein et il l’a fait sortir: la lèpre ; il a remis cela en son sein, et c’était redevenu normal. Il a jeté sa verge par terre, c’est devenu un serpent ; il a ramassé cela, et c’est redevenu une verge. Israël a cru Moïse.

Or, ces signes qui ont été donnés pour connaître les pensées, le coeur des² gens et des choses qu’ils ont faites, ce n’est pas par un homme ; c’est par l’Esprit de Dieu qui descend et révèle cela. Cela entre souvent dans la réunion, une grande Lumière circulant dans la réunion.

22        Il n’y a pas longtemps, je pense, à Houston, on a photographié Cela, un photographe. Beaucoup parmi vous, je pense... Combien ont déjà vu la photo? Faites-nous voir la... Oh! beaucoup parmi vous...

Là, c’est la partie... C’est Lui qui opère la guérison. Ce n’est pas moi-même ; je suis juste un canal. C’est comme la piscine de Béthesda, ce–ce n’était pas l’eau qui guérissait ; c’était l’Ange sur l’eau qui opérait la guérison. Ce n’est pas l’homme qui guérit, c’est l’Esprit de Dieu sur l’homme qui opère la guérison. Voyez? Comprenez-vous ce que je veux dire?

Maintenant, je ne connais personne parmi vous. Je–je ne vois personne dans l’assistance que je connaisse. Et Dieu sait que je ne sais pas ce qui cloche chez vous, chez personne. Mais sous l’onction, il n’y a personne qui puisse venir à cette estrade sans qu’il lui soit dit ce qui ne va pas chez lui, ce qu’il était, ce qu’il a fait dans la vie (Voyez?), peut-être la cause de la maladie.

23        Maintenant, le but de cela, c’est d’édifier la foi du patient. J’essaie, et je l’ai fait, et je le disais quand j’étais en Europe, j’essaie de retenir cela longtemps que possible, car je ne peux pas... Cela m’affaiblit tellement que je n’arrive pas à me tenir debout. Parfois, on me porte pour me faire quitter l’estrade, comme beaucoup de gens le savent, cela vous soutire la vie même.

Et pendant que nous sommes ici ce soir, j’espérais, avant que je me mette à prier, pouvoir expliquer cela aux gens, afin que vous compreniez. Je ne pense pas qu’il y ait quelque chose qui cloche chez moi ; cela ne me fait pas mal ; je m’en dégage un tout petit peu. Mais ça commence à tirer. Et alors, cela change de traits, tout. Je ne sais qui est près de moi, rien à ce sujet. Le patient vient à l’estrade, et si...

24        Vous pouvez venir maintenant même me dire que vous avez eu la foi, je vous croirai. Je vous croirai sur parole, car je crois que vous êtes un chrétien et que vous êtes sincère en disant que vous avez la foi. Mais parfois, vous dites que vous avez la foi alors que vous pensez simplement avoir la foi. Mais alors, je croirai donc que vous avez eu la foi. Mais sous cette onction là, cela... On sait si vous avez la foi ou pas. Et quand il n’y a pas de foi, on dirait que votre patient est ici en bas, et vous, vous êtes ici en haut. Et lui est ici en bas, disant qu’il a la foi, mais il est censé être ici en haut. Voyez-vous ce que je veux dire? Mais quand la foi de ce patient s’élève ici en haut, alors je n’en ai jamais vu de ma vie, Dieu est mon Juge, manquer d’être délivré là même à l’estrade (C’est vrai), peu importe ce que c’était.

J’ai vu des journalistes bondir à l’estrade et crier en voyant de petites jambes, de cette grosseur à peu près, devenir normales, mesurer cela et autres. Et de petits enfants tordus, recroquevillés, devenir normaux et quitter l’estrade en marchant ; les gens s’évanouissaient et tout, en voyant cela, et autres ; des estropiés, et même les morts sont du coup ressuscités après avoir été morts et étendus au bord de la route et tout.

25        Eh bien, il n’y avait rien, je n’avais rien à faire là. Je pense ce soir que si Jésus entrait sous cette tente, et qu’Il nous appelait tous à répondre au jugement, le plus faible des saints aurait une récompense plus grande que la mienne. Eh bien, c’est–c’est du fond de mon coeur que je le dis. Je ne le dis pas pour faire l’humble ; je le dis du fond de mon coeur, car j’étais... Je n’ai pas souffert comme vous, beaucoup parmi vous, de la manière que ça évolue depuis longtemps.

J’ai grandi dans l’Eglise baptiste quand mon ministère... Et quand ce don m’a été apporté, eh bien, ils m’ont dit qu’ils pensaient que j’avais perdu la tête ; et ils m’ont demandé ce que j’avais mangé. Avais-je eu un cauchemar? Et je n’ai pas apprécié cela, et ils ne croyaient pas cela, et ils ont dit: «Toi, avec ton instruction de l’école primaire, prêcher aux gens à travers le monde?» Ils disaient: «Tu ferais mieux de courir vite à la maison», comme cela.

26        Eh bien, ils ne voulaient pas de moi. Alors, les gens du Plein Evangile ont dit: «Nous avons prié pour que ce don vienne à notre église.» Ils m’ont reçu. J’avais toujours été une brebis galeuse jusqu’à ce moment-là. Finalement, j’ai trouvé les miens.

Toute ma vie, on dirait que je–je n’arrivais pas à trouver ma catégorie. Quand j’étais un jeune garçon, je ne fumais pas et je ne buvais pas, alors les–les jeunes gens n’avaient rien à faire avec moi, alors... Et les jeunes filles, toutes, quand j’ai commencé à aller avec des jeunes filles, elles allaient aux danses et moi, je n’y allais pas. Je faisais donc tapisserie. Et quand je fus sauvé, je crois en une religion à l’ancienne mode qui touche le coeur. Ce que l’église ne croyait donc pas. Ils ont pensé que j’étais un fanatique et... Eh bien, je... les oiseaux de plumage... je pense que j’ai finalement trouvé le bon endroit. Et j’en suis très reconnaissant. Je suis donc très reconnaissant d’être avec des groupes avec lesquels, je crois, nous serons ensemble dans la Gloire.

27        Maintenant, quant au discernement de cela, quelqu’un arrive, je ne sais rien à son sujet, et Cela commence à lui parler. S’il vient avec une foi correcte, il n’y a rien à faire. C’est juste alors là haut.

Mais maintenant, je vais par exemple prendre une réunion, une soirée... Je vais... juste le genre de réunion, je–je prends la réunion de Beaumont. Vous étiez là, Frère Richey? Etiez-vous à Beaumont et à Houston? D’accord. Je vais prendre la dernière réunion de Beaumont, afin que vous ayez une idée sur la façon dont nous nous y prenons à la réunion. Juste avant d’aller outre-mer, par la voie...

28        Nous sommes arrivés, nous avons eu plusieurs soirées de réunions, nous étions à Houston. Frère Richey là, je pense que vous tous vous le connaissez, nous avons tenu une série de glorieuses réunions à Houston. Nous sommes allés à Beaumont pour terminer, car nous ne pouvions plus trouver d’espace. Un festival, ou quelque chose comme cela allait avoir lieu au Colisée et nous n’avions plus de place pour les gens à Houston. Et on a parrainé un train pour amener la cargaison, beaucoup de wagons de Houston à–à Beaumont.

Nous sommes entrés à la réunion, il y avait une ligne de prière formée comme nous en formons dans des réunions ordinaires. Nous distribuons un certain nombre de cartes chaque jour. Le côté difficile de cela, c’est que juste après quelques cas, la vie me quitte, on doit me retirer de la ligne. Et alors, mes frères et ceux qui sont près, les organisateurs, s’en occupent.

Alors, nous distribuons des cartes. Et puis, nous choisissons juste un certain nombre à partir de ces–de ces cartes et on commence à en appeler à l’estrade.

Et deux ou trois personnes étaient passées à l’estrade. Et il ne vous faut pas nécessairement avoir une carte. Alors, les gens montaient à l’estrade pour qu’on prie pour eux. Et il m’est juste arrivé de regarder, on amenait un–un brancard d’ambulance comme ceci. Et cet homme était couvert, j’ai juste vu son visage.

29        Et alors, tout était vu en vision. Tout, c’est par vision. Quand je vois ce que vous avez fait dans la vie, je vois simplement–vois simplement cela. Mais c’est comme je vous regarde maintenant. Et ça a été comme ça dans une mesure depuis que j’étais un petit garçon.

C’est pourquoi je crois que les dons et les appels sont sans repentir, qu’on naît dans ce monde avec des dons. Je crois qu’on doit naître musicien. Des fois, vous prenez des enfants, vous leur inculquez toutes sortes d’instructions en musique, ils ne deviennent jamais musiciens. Tandis que d’autres qui ne peuvent même pas lire leur ABC, ou répéter leur ABC, peuvent jouer toute sorte de musique. C’est inné. On n’y peut rien.

30        Ainsi donc, ce n’était pas ma justice, la bonté de ma famille ; c’était la grâce de Dieu qui a apporté le don aux gens. Voyez? Et il s’est simplement fait que Dieu a choisi cela dans ce but-là. Alors, au fur et à mesure, cela s’est graduellement davantage développé tout le temps, augmentant de plus en plus.

Et alors, cette nuit-là, deux ou trois personnes étaient passées, on avait prié pour elles et elles avaient été guéries à l’estrade. J’ai cherché et j’ai vu cet homme. J’ai constaté, alors que je le regardais, j’ai vu qu’il était couvert. Et quand il est apparu là, son visage paraissait très rouge. Et juste au-dessus de lui, j’ai vu une chaire comme celle-ci, et un homme en train de prêcher. J’ai encore regardé en bas, et c’était le même homme. J’ai dit: «Monsieur, vous êtes un prédicateur.»

Il a dit: «Oui, monsieur.»

Alors, j’ai commencé à voir quelque chose se dévoiler juste devant moi, et je l’ai vu. J’ai dit: «Oui, vous êtes un prédicateur. Il y a de cela environ quatre ans, Dieu vous a dit de faire quelque chose que vous n’avez pas fait. Et vous avez manqué de le faire. Et depuis lors, il n’y a que des ennuis. Et vous venez de sortir de l’hôpital maintenant, avec une greffe d’un os dans votre jambe.» Il s’est mis à crier et à pleurer. Et Dieu l’a guéri là.

31        Et quand j’allais me retourner pour voir mon patient venir, on amenait une jeune dame à l’estrade.

J’ai regardé en bas, il y avait un homme sur un brancard, couché là. Et j’ai regardé juste au-dessus de lui là, il se tenait là à mi-hauteur, en l’air, j’ai vu un jeune homme en train de travailler, un monteur régleur. Savez-vous ce que c’est un gréeur? Beaucoup parmi vous le savent. Voyez? Il nouait un double noeud de jambe de chien sur quelque chose, un noeud pour–pour lever... J’ai regardé, et j’ai vu l’homme. J’ai continué à regarder. Et je regardais pour voir où... là était couché le même homme sur une civière. J’ai de nouveau regardé; cela est apparu encore devant moi. J’ai vu cet homme tomber. J’ai dit: «Monsieur, vous êtes un monteur régleur, n’est-ce pas?»

Il a dit: «Oui, monsieur.» Et il commençait à...

J’ai dit: «Il y a tel temps (J’oublie depuis combien de temps ça faisait alors), vous êtes tombé. On vous a amené dans un hôpital, et un homme élancé, aux cheveux noirs, en lunettes, était votre médecin.»

Il a dit: «C’est vrai.»

J’ai dit: «Votre femme est une blonde. Vous avez deux petits enfants.»

«C’est tout à fait vrai.»J’ai dit: «Vous avez connu une paralysie de dos, ça fait trois, quatre ou cinq ans, ou plus.»Il a dit: «C’est tout à fait vrai.» Et–et il a dit–il a dit: «Eh bien, je ne comprends pas comment vous le savez.» Il a dit: «Que dois-je faire?»

J’ai dit: «Monsieur, je ne sais pas.»

Et je me retournais, j’ai encore regardé, j’ai vu cet homme, ayant juste la même taille, en costume brun, marchant droit au-dessus de la tête de gens, parcourant la salle, en disant: «Gloire au Seigneur! Gloire au Seigneur!»

Et j’ai dit: «Monsieur, Jésus-Christ vous a guéri. Levez-vous.» Paralysé depuis la taille jusqu’en bas, il s’est levé, il a parcouru la salle en louant le Seigneur.

32        Et–et puis, quand je me suis retourné de ce côté-ci, j’ai regardé et j’ai vu une femme assise dans un fauteuil roulant, et j’ai vu une femme debout à côté d’elle avec un petit enfant handicapé moteur dans ses bras sous une petite couverture bleue avec une petite frange blanche suspendue tout autour de cela. Eh bien, je me suis retourné pour voir le patient une fois de plus, il venait vers moi dans cette direction. Et j’ai encore regardé, j’ai encore vu, vérifiant si la vision était toujours là. Alors, j’ai regardé, j’ai vu la dame tenir ce petit enfant. Et alors, cela a disparu. Et la da–dame était assise avec ses bras comme ceci, elle pleurait.

J’ai dit: «Jeune dame, vous êtes née handicapée moteur, n’est-ce pas?»

Elle a dit: «Oui, monsieur.»

Et j’ai dit: «J’ai vu en vision votre mère, vous tenir dans une petite couverture bleue avec une frange blanche tout autour.» J’ai juste regardé tout autour comme ceci, j’ai dit... Cela se tenait juste... Et j’ai dit: «Votre mère se trouve ici. Il y a de cela environ vingt-cinq ans, mais je vois encore ses traits. Celle-ci est votre fille, n’est-ce pas?»

Elle a dit: «Oui, monsieur.»

J’ai dit: «Venez vous tenir à côté d’elle.» J’ai dit: «Ça y est, bien exact.»

Elle a dit: «Que dois-je faire, monsieur? Suis-je guérie?»

J’ai dit: «Soeur, tout ce que je sais, c’est tout ce que j’ai vu. Cela m’a quitté. Je ne peux dire que ce qu’Il me dit de dire. Nul... Aucun vrai prophète ne peut jamais parler sans que Dieu ait premièrement mis cela dedans. S’il le fait, ça sera un échec, et cela ne marchera pas. Alors, vous ne ferez que jeter l’opprobre, tout simplement. Voyez, dites seulement ce que Dieu dit de dire. Que ce soit ma propre mère, je ne peux dire que ce qu’Il me dit de dire.

33        Et quand j’ai encore regardé la dame, j’allais prier pour cette autre dame. Et juste à ce moment-là, elle s’est levée, la dame, une jeune belle dame, elle avait des cheveux noirs qui lui tombaient jusqu’aux épaules. Et j’ai dit: «Bonsoir.»

Elle a dit: «Bonsoir.»

Et j’ai tenu sa main, eh bien, cela semblait étrange. Il y a eu une–une–une vibration de la surdité. J’ai dit: «M’entendez-vous?»

Elle a dit: «Oui, monsieur.»

J’ai dit: «Eh bien, vous... c’est–c’est une surdité...»

Elle a dit: «Je suis sourde d’une oreille.»

J’ai dit: «Je savais que c’est un esprit de surdité. Je ne pouvais pas déterminer l’exacte portée de l’affection.»

Elle a dit... Elle a dit: «Oui, monsieur. Je suis sourde d’une oreille depuis plusieurs années.»

Et j’ai dit: «Croyez-vous que Jésus vous guérira si je le Lui demande?»

Elle a dit: «De tout mon coeur, je crois cela.» Et c’était une petite fille à l’air très sainte. Et je... Une jeune fille d’une vingtaine d’années, je suppose... J’ai incliné la tête pour prier pour la jeune fille. Et alors, je me suis relevé, j’ai tenu sa main, la vibration ne s’arrêtait pas. On dirait que ça avait dépassé. En effet, on sent cela–cela juste comme quelque chose qui tire sur vous comme cela. Juste... Quand on est sous l’onction, on peut bien le dire. On sent cela simplement partout. Cela se passe juste comme quelque chose qui tire comme cela.

34        Et maintenant, ce soir, je vous ouvre simplement mon coeur, or je suis fatigué et en voyage, et je voulais vous donner une toile de fond de–de réunions, afin que vous voyiez. Et alors, si ces choses ne sont pas vraies, alors... au cours de cette réunion, eh bien, vous dites... vous avancerez droit et direz: Frère Branham est un faux prophète. Voyez? Et si c’est vrai, alors glorifiez Jésus-Christ pour Sa grandeur et Sa bonté.

Et alors, quand le... Je me suis mis à prier encore pour la jeune fille, et cela ne la quittait pas. Eh bien, c’était en la touchant avec mes mains.

35        La patiente met sa main droite là-dessus, il faut... ce que... c’est un genre de discernement. Amis chrétiens, je ne sais pas. Je–je ne peux pas le dire. Tout ce que je sais, je peux le dire, ce que c’est. Vous pouvez voir cela sur ma main. Ma main va gonfler beaucoup, et vous pouvez bien remarquer cela, ces petits points blancs qui parcourent juste sur ma main, ça me paralyse le coeur, de part et d’autre, comme cela, au point que je ne peux pratiquement pas bouger les mains. Et c’est l’effet du germe de maladie dans une personne. Cela ne faillit jamais de le détecter.

Et je sais quand cela est là. Je sais quand cela quitte, mais je ne peux pas faire partir cela. C’est votre foi en Dieu qui doit faire partir cela. Je ne peux pas faire partir cela moi-même. C’est votre foi.

36        Et alors, j’ai regardé la jeune fille, et j’ai dit: «Eh bien, c’est étrange.» Et j’ai donné... J’ai encore demandé à Jésus de la guérir, cela résistait ferme là. Eh bien, j’ai dit: «Il y a quelque chose qui cloche. Cela ne veut pas partir.» J’ai dit... Je l’ai regardée comme cela. Et aussitôt que j’ai regardé la jeune fille, elle avait, oh! probablement cinq pieds [152 cm], deux ou trois pouces [5 ou 7,5 cm] de taille, et elle... J’ai vu cette jeune fille rajeunir sur la scène. C’est ainsi que cela s’est passé, elle a rajeuni juste sur la scène... J’ai vu la jeune fille, à l’âge de quatorze ans, se tenant là. Elle avait de longues tresses qui lui tombaient dans le dos, avec de petits rubans à carreaux.

J’ai dit: «Vous, quand vous aviez environ quatorze ans, vous portiez de longues tresses, n’est-ce pas?»

Elle a dit: «Oui, monsieur.»

37        Et j’ai vu cette jeune fille prendre la mauvaise voie, et ça a commencé là. Je me suis simplement mis à parler, disant ce que je voyais. J’ai dit: «A quatorze ans, vous aviez pris une mauvaise voie. Vous avez eu un enfant d’un homme avant de l’épouser.» Maintenant, rappelez-vous, amis, si vous avez un péché manifeste, confessez-le avant de monter ici, si–si vous ne voulez pas que le public le connaisse, car tout est certainement dénoncé par Cela.

Alors, la jeune fille a dit... Elle s’est mise à pleurer. Elle a dit: «C’est vrai.»

J’ai dit: «Vous avez épousé un homme que vous n’aimiez pas.»

Elle a dit: «C’est vrai.»

J’ai dit: «Vous l’avez quitté.»

«C’est vrai.»

J’ai dit: «Puis, vous avez adopté une espèce de culte religieux, et on vous a amenée à épouser un autre homme.»

«C’est vrai.»

J’ai dit: «Vous ne l’aimiez pas et vous l’avez quitté.»

«C’est vrai.»

J’ai dit: «Vous avez épousé un autre homme.»

«C’est ça.»

Et cette fois-là, j’ai dit: «Vous avez une fois été chrétienne, vous avez fait marche arrière et vous avez rétrogradé par rapport à Dieu.»

«C’est vrai.»

Elle a titubé comme si elle allait s’évanouir pour tomber par terre. Et alors, elle a lâché un cri, et Dieu lui a pardonné ; son ouïe a été restaurée, elle a reçu le baptême du Saint-Esprit, debout à l’estrade comme cela, pendant qu’elle se tenait là tout–tout d’un coup.

38        Et je me suis retourné. Et alors, j’ai vu cette jeune fille estropiée assise dans ce fauteuil, tout aussi clairement que je vois ce gentleman assis ici, sortir du fauteuil, seulement elle était habillée différemment de ce qu’elle portait pendant qu’elle était assise là, elle a parcouru l’allée en marchant, on dirait, agitant ses mains comme cela, et en disant: «Dieu merci. Dieu merci.» Et je l’ai regardée jusqu’à ce que cela a disparu. Je me suis retourné. J’ai dit: «Soeur bien-aimée...»

Oh! Cela... amis, vous ne... Vous ne saurez jamais le sentiment qu’on éprouve quand on sait... Quand on sait où on se tient, il n’y a pas... Il n’y a rien... Tous les démons de tourment ne peuvent alors pas arrêter cela. Non, monsieur. J’ai vu des fois où les médecins se tenaient à côté du lit et disaient: «Il ne peut pas entrer. Ce fanatisme, eh bien, nous ne pouvons pas laisser entrer cela ici.»

Je disais: «Voulez-vous juste vous mettre de côté et examinez le patient d’ici quelques minutes?» Oh! la la! Alors qu’ils sont... les voir parfaitement normaux en quelques minutes. Cela n’a jamais failli. Dieu est mon Juge.

39        Alors, je regardais la petite fille ; j’ai dit: «Soeur, Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a exaucé vos prières et vous a guérie. Levez-vous.»

Et cette jeune fille n’avait pas marché depuis l’âge de huit ans. Elle est sortie de ce fauteuil roulant, et elle s’est tenue debout là. Frère Richey, vous étiez là. Elle a parcouru la salle, glorifiant Dieu. On a reculé le fauteuil roulant. La gloire de Dieu s’est déversée dans la salle, et les gens ont commencé à se lever, à jeter leurs béquilles et des cannes et à marcher.

Qu’est-ce? Cela ne guérit pas les gens, c’est pour vous dire ce qui ne va pas chez vous. Mais voici ce qui se passe, amis. Cela amène à se rendre compte que le Dieu surnaturel  opère parmi nous. Tout à fait exact.

40        Et ce que je crois... Maintenant, je suis... Je–je sais que c’est Dieu. Mais ce que je pense, amis, c’est que c’est une répétition du temps apostolique. En effet, si...

N’essayez pas de taxer cela maintenant, comme beaucoup de gens, de fanatisme, d’hypnotisme, de spiritisme ; ou de je ne sais quoi. Ils veulent exposer cela. Mais n’est-ce pas qu’une fois saint Paul prêchait et il a dit: «Je vois que vous avez la foi pour être guéri ; levez-vous, afin que Jésus-Christ...?...» Mais évidemment, Satan va essayer de coller à cela un qualificatif. Eh bien, nous le savons.

Mais je crois que la Venue de Jésus-Christ approche. Je–je crois cela de... Vous–vous... si vous voulez taxer cela de fanatisme, allez simplement de l’avant et taxez-moi alors de fanatique. En effet, je crois dans la Venue littérale, physique de Jésus pour la deuxième fois, et je crois que cela s’approche maintenant. Je crois que nous avons juste un peu de temps pour travailler.

41        Je crois que ce réveil universel qui balaie les pays aujourd’hui est un signe du Message, comme c’était du temps de Noé, pendant que les hommes et les femmes s’adonnaient aux loisirs, dans le péché. Et Noé avait un Evangile fanatique qu’il prêchait. Mais il a appelé les gens à se réfugier dans l’arche.

Et je crois que le glorieux Evangile du Fils de Dieu, manifesté par le Saint-Esprit, est en train de balayer le pays aujourd’hui et de faire entrer les gens dans l’Arche qui est Jésus-Christ, en sécurité contre tous les jugements qui vont s’abattre. Et quand le jugement frappera la terre et que les puissances atomiques ébranleront les nations, nous irons dans la Gloire, naviguant au-dessus des vagues. Je crois cela.

Et je crois qu’il y a une petite Eglise qui a été taxée de fanatique depuis longtemps.

42        Maintenant, je sais certes bien qu’il y a des fanatiques. Certainement qu’il y en a. Il y en a plein. Mais une petite Eglise qui a essayé de combattre, non pas devenir une quelconque dénomination ou un quelconque nom, mais je veux dire des gens qui aiment Dieu, et qui ont tenu ferme pour le surnaturel, et pour Dieu qui habite au milieu de nous aujourd’hui comme Il avait promis qu’Il le ferait, par le Saint-Esprit... Ils ont été taxés de saints exaltés, de fanatiques, de guérisseurs divins ; ils ont été relégués dans les allées et traités de tous les noms.

Mais chaque tableau célèbre, avant d’être accroché au musée, doit passer par la commission de censure. Et je crois que la petite Eglise est passée par la commission de censure. Et très bientôt, un cri se fera entendre des cieux, et Dieu va L’accrocher au musée, L’emmener dans l’Enlèvement, L’amener dans la Gloire. Et nous voyons des signes et des prodiges, comme nous les voyons aujourd’hui, pour stimuler la foi, croire que lorsqu’Il viendra, nous serons enlevés et amenés ensemble à Sa rencontre dans les airs avec ceux qui nous ont précédés.

43        Maintenant, je crois que beaucoup d’entre eux sont tombés, ont rétrogradé et se sont éloignés... J’utilise ce mot rétrogradé. C’est un mot un peu dur pour un baptiste, n’est-ce pas? Mais je–je crois que vous pouvez très bien rétrograder. Ce–c’est vrai. Je–je sais donc que vous le pouvez.

Et je crois que Cela appelle ceux qui ont été une fois rebelles et qui se sont éloignés de Dieu. Je crois que Cela les rappelle, rassemble l’Eglise juste avant que le jour grand et redoutable de l’Eternel arrive, quand Dieu enverra Jésus pour la seconde fois sur la terre pour rassembler les rachetés, ceux qui ont été rachetés par Sa mort au Calvaire, pour les ramener à la Maison dans la Gloire.

44        Et maintenant, amis, maintenant pour ce soir, je ne voudrais pas prendre davantage du temps. Je pense que nous aimerions prier pour quelques malades ce soir, amener les gens au point où nous pouvons nous détendre. Mais pendant une ou deux soirées, plus ou moins, nous familiariser les uns avec les autres pendant que je suis en prière. Allez-vous me promettre maintenant... Etre juste appelé comme ceci une fois, directement dans la réunion, c’est un petit choc pour moi. Voudriez-vous prier avec moi, afin que Dieu accorde cela?

Maintenant, je ne peux rien faire à ce sujet avant qu’Il vienne vers moi. Vous voyez? Je suis tout aussi impuissant que n’importe quelle créature dans le monde, avant qu’Il vienne. Il peut venir ce soir juste pendant que nous sommes dans la prière. J’espère qu’Il viendra. Cela ne s’est jamais passé si vite. Généralement, je jeûne et je prie deux ou trois jours, ensuite je commence à sentir Cela me quitter, et puis Cela s’approche de moi. Peu après, Cela est sur moi, et puis cela... Je... Cela change tout alors. Dans les réunions, je–je ne parle pas, j’entre simplement, et on commence la ligne de prière, alors je prie pour les malades. Ainsi donc, priez avec moi.

45        Maintenant, le... Pendant que nous prions ce soir, et les gens ici, certains d’entre eux sont probablement des cas urgents, peut-être des gens très malades qui ne peuvent pas revenir, peut-être, demain soir, ou une autre soirée... Mais si vous vous engagez ensemble et que vous commencez une réunion de prière chez vous... Eh bien, vous tous les méthodistes, les baptistes, les luthériens, qui que vous soyez, rassemblons-nous tous. Et maintenant, nous ne représentons aucune dénomination ; nous représentons Jésus-Christ (Voyez?), pas une quelconque dénomination.

Franchement, maintenant même, je ne suis membre d’aucune dénomination d’église, pas du tout. Je–je n’appartiens à rien. J’ai été ordonné dans l’Eglise baptiste. Et selon leur désir, je–je ne suis plus baptiste. Je...

46        Quelqu’un m’a dit il n’y a pas longtemps... J’étais à Little Rock, dans l’Arkansas. Et un homme qui était horriblement estropié, pratiquement toute la vie, il marchait avec des béquilles. Il avait reçu une carte de prière, il a été appelé, on était arrivé à ce numéro, à l’estrade et il a été guéri. Et quand il est sorti, il m’a rencontré il y a quelques jours dans la rue. Il parcourait les rues, ses béquilles en mains, criant et allant de l’avant. Il a dit: «Frère Branham.» Il a dit: «Vous savez, a-t-il dit, quand...» C’était un nazaréen, et il a dit: «Vous savez, la première fois que–que je vous ai entendu prêcher, a-t-il dit, je me suis dit que vous étiez certainement un nazaréen.» Il a dit: «Et puis, j’ai vu beaucoup de pentecôtistes autour.» Il a dit: «Quelqu’un m’a dit que vous étiez pentecôtiste.» Il a dit: «Maintenant, a-t-il dit, je vous ai entendu dire que–que vous étiez un baptiste. Alors, je–je ne comprends pas ça.»

J’ai dit: «C’est facile.» J’ai dit: «Je suis un pentecôtiste nazaréen baptiste.» C’est donc ce que nous sommes. Nous représentons juste le Seigneur Jésus-Christ dans Sa miséricorde. C’est vrai. Car nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps et devenir un seul peuple.» Et cela...

47        Jésus ne va pas me demander si j’étais méthodiste, luthérien, baptiste ou pentecôtiste ; Il va me juger d’après ce que j’ai été dans mon coeur. C’est vrai. Et c’est sur cette base qu’Il nous jugera tous.

Ainsi donc, n’allez donc pas penser qu’il y a juste une seule église. Nous représentons toutes les églises. Et beaucoup de ceux qui viennent dans la ligne sont méthodistes, baptistes, catholiques, et toutes sortes, tout genre de... Je n’ai jamais vu un seul jusqu’à présent qui soit venu et qui n’ait pas été sauvé alors qu’il est venu sur base de la foi. C’est vrai. Car c’est par la foi que vous êtes guéri. Pas sur base de votre bonté.

J’ai vu des gens venir, des chrétiens de renom, se tenir là et il leur avait été dit la raison pour laquelle ils ne pouvaient pas être guéris. J’ai vu des racoleuses, des prostituées, des gens de mauvaise réputation, venus des rues, être guéris, de l’état d’estropiés, d’aveugles et tout, des pécheurs.

Or, vous n’avez pas à être chrétien pour être guéri. Mais il vous faut être chrétien pour rester guéri. Car la Bible déclare: «Va et ne pèche plus, de peur qu’une chose pire ne t’arrive.» Est-ce vrai?

48        Le péché, c’est quoi? Le péché, c’est quoi? Ce n’est pas boire, fumer, jouer à l’argent, rejeter l’église. Le péché, c’est l’incrédulité. Est-ce vrai? Celui qui ne croit pas est déjà condamné. Voyez? Vous n’êtes pas... Vous ne faites pas... Vous n’êtes pas détruit ou séparé de Dieu parce que vous êtes un pécheur. Vous êtes séparé par rapport à Dieu, de Dieu, parce que vous refusez de marcher avec Lui, de marcher dans la voie à laquelle Il a pourvu.

Vous avez la mort et la vie devant vous. Juste comme Adam et Ève, chaque homme a le libre arbitre. Et l’Arbre de la Vie et l’arbre de la mort sont devant nous tous. Vous pouvez prendre soit l’un, soit l’autre que vous souhaitez. Ça dépend de l’arbre dont vous mangez, c’est ce que vous êtes. C’est vrai. Et Dieu est... Dieu vous a créé avec le libre arbitre pour faire tout ce que vous voulez faire à ce sujet. Il ne peut pas vous contraindre à L’aimer, Il ne vous force pas à L’aimer.

49        Si j’avais forcé ma femme à m’aimer, je redouterais de l’épouser. Mais elle est venue sur base... Elle m’a accepté tel que j’étais et elle m’a épousé. C’est bien. Elle m’a aimé, elle m’a accepté tel quel. Et c’est ainsi que nous devons venir vers Dieu. Il veut que nous L’aimions, que nous venions, que nous croyions Sa Parole. Et la Parole de Dieu enseigne la guérison divine. Combien croient cela? Faites-nous voir les mains. C’est bien. C’est bien. La Parole enseigne cela ; c’est réglé. Combien croient dans les dons et les appels? Faites-nous voir votre... C’est bien.

Eh bien, les dons et les appels ne vous guérissent pas. Les dons et les appels stimulent la foi pour... C’est la foi qui vous guérit.

50        Maintenant, la personne à l’estrade, si elle n’a pas la foi, il lui sera dit immédiatement qu’elle n’a pas la foi. Et puis, peut-être ici maintenant, en voici une illustration: Voici venir monsieur Jones, il s’avance ici. Il dit: «Bonsoir, frère.»

«Avez-vous foi, Frère Jones?»

«Oui, j’ai la foi», et voici, il est ici en bas.

Voici un... Je vais me servir de cela, mes propres termes, une vibration qui passe ici en haut. Et frère Jones est ici en bas. Très bien. Il dit: «J’ai la foi.» Il–il ne sera jamais guéri ici en bas. Il le sera dans un–un certain temps, car il a le plus petit brin de foi, si vous vous y accrochez, cela vous fera sortir.

51        Mais je veux parler de la guérison instantanée, comme ce à quoi vous vous attendez à l’estrade, lorsque vous faites la déclaration que tout est guéri à l’estrade. Il y a des critiqueurs, des centaines, assis en train d’observer, les journaux et tout le reste pour critiquer cela. Alors... Or, je ne suis pas responsable après qu’ils sont partis d’ici et qu’ils se sont éloignés du don. Je ne suis pas responsable.

Mais toute puissance qui ouvrira les yeux d’un aveugle à l’estrade au point qu’il peut lire la Bible peut lui faire lire cela tout le temps s’il garde la foi. C’est la foi. Dès que vous perdez la foi... Vous fréquentez un groupe d’incroyants, et ils disent: «Il n’y a rien là», et Satan se met à vous tromper. Alors, vous retombez droit dans l’ornière où vous étiez pour commencer. C’est... Vous êtes...

52        Quelqu’un dit: «Comment la guérison divine... Est-ce... Dure-t-elle tout le temps?» Elle dure aussi longtemps que dure votre foi. Et le salut dure aussi longtemps que dure votre foi. Lorsque vous trouvez que vous n’êtes plus sauvé, vous n’êtes plus sauvé. Car c’est par la foi que vous avez été sauvé au moyen de la grâce. Est-ce vrai?

Lorsque vous venez à l’autel, que faites-vous? Vous confessez vos péchés et vous demandez à Dieu de vous pardonner. Et puis, dans votre coeur... Maintenant, saisissez cela. Dans votre coeur, vous devez croire qu’Il vous a pardonné. Est-ce vrai? Vous devez croire cela.

Ensuite, vous quittez l’estrade. Et alors, vous devez confesser premièrement cela, que vous êtes sauvé. Vous ne pouvez simplement pas garder cela sous un boisseau ; vous perdrez cela aussitôt. Vous devez confesser cela et dire à tout le monde que vous en êtes content. Or, et si vous marchez dehors et que quelqu’un dise: «Il n’y a rien à cela ; vous avez été juste excité à l’autel»?

53        Combien de chrétiens y a-t-il ici présents? Faites-nous voir les mains. Très bien. Oh! la la! Cent pour cent, je crois. Très bien.

Chacun de vous a été sauvé de la même façon par Dieu, par la foi. Vous pouvez venir ici, crier, prier, prier, crier toute cette semaine, et la semaine prochaine, un mois, vous resterez toujours un pécheur tant que vous ne L’accepterez pas par la foi. Est-ce vrai? Ce ne sont pas vos cris qui vous sauvent. C’est votre foi qui vous sauve. Très bien.

Alors, une fois que vous acceptez cela, vous croyez cela et quelqu’un dit: «Voyons si vous paraissez différent. Eh bien, vous avez toujours des yeux bruns, vous... Vous êtes juste le même qu’autrefois.» Vous ne pouvez rien montrer qui prouve que vous avez été sauvé, seulement vous témoignez l’invisible. Votre foi dit que vous êtes sauvé. Puis vous...?... ce que vous faites. Vous croyez que vous êtes sauvé ; ensuite vous dites que vous êtes sauvé ; puis, vous agissez comme étant sauvé ; enfin, vous vous associez avec ceux qui sont sauvés ; et cela produit la justice. N’est-ce pas vrai? Et peu après, tout le monde sait que vous êtes sauvé. N’est-ce pas vrai?

54        Eh bien, Il a été blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Jésus (Hébreux 3.1) est le Souverain Sacrificateur de notre confession. Eh bien, n’importe quel érudit parmi vous sait que le mot profession est traduit de la même façon que le mot pro-... confession. Il est le Souverain Sacrificateur.

Eh bien, ça y est, saisissez cela maintenant, vous n’aurez même pas à venir ici pour être guéri! Vous serez guéri là même où vous êtes assis. Je crois que cela est possible maintenant même, que les gens dans cette salle soient guéris juste ici même maintenant. J’ai vu cela. J’ai vu des fois où il ne restait plus un seul fauteuil roulant dans la salle, pas une béquille, pas un aveugle, pas une personne sourde sur des milliers qui étaient assis.

55        Une nuit, pendant que je parlais, les gens ont vu un miracle être accompli par Dieu, ils l’ont simplement accepté là même, et il n’y avait pas de civière, pas de fauteuil roulant, ni rien qui n’ait été vidé, et ils sont sortis. C’était à Vandalia, dans l’Illinois (C’est vrai), dans une réunion sous une grande tente.

Maintenant, voici ce qu’il y a, amis. C’est... Voyez, si vous comprenez cela, vous êtes chrétien parce que vous croyez que vous êtes chrétien. Et tout est réglé parce qu’il est le Souverain Sacrificateur.

Maintenant, remarquez. Il est le Souverain Sacrificateur de votre confession. Comprenez-vous ce que je veux dire? Ce que vous confessez que vous êtes, c’est ce que vous êtes. Tout homme ne vivra jamais au-delà ou plus haut que ce qu’il croit, qu’il vit.

Prenez un homme qui parle tout le temps de boire. Il parle de boire ; il pense à boire, il tombe directement dans cette catégorie-là, il devient un soûlard. Un homme qui tout le temps pense à des choses vulgaires, il regarde des choses vulgaires, il pense aux choses vulgaires ; il lit la vulgarité...

 

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