Il En Sera Comme Il M’a Été Dit

Date: 50-0818 | La durée est de: 1 heure et 32 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1          Bonsoir, mes amis. Je suis content d’être de retour ici ce soir. Et j’aimerais remercier frère Baxter pour ses commentaires sur... de ma propre part et de la part de ma mère.

J’aimerais que ma mère soit à l’estrade avec moi si elle veut. Elle est aussi timide que je l’étais, et dimanche, lorsque je tiendrai le dernier service...?... D’habitude, elle me retournait sur son tablier à carreaux. Ainsi donc... Elle peut toujours le faire. Je–je...

Eh bien, tout le monde pense à sa mère, vous savez. Je pense qu’une mère, une bonne mère fidèle, c’est le cinquième Evangile: Matthieu, Marc, Luc, Jean et la mère. La mère occupe la première place. C’est elle qui vous élève en premier, c’est la maman.

2          Ainsi donc, nous sommes contents d’être dedans ce soir. Je suis désolé de ce qu’il pleut comme cela, mais je suis... Nous allons donc... Ça nous est bien égal. Cela ne dérangera rien.

Et beaucoup de ceux qui sont debout, qui le désirent, je pense, il y a quelques sièges ici à l’autre bout, s’ils désirent s’asseoir, juste faire... Tout ce que vous trouvez de mieux, c’est ainsi qu’il faut que ça soit. C’est–c’est ce que nous aimerions pour tout le monde, qu’on soit le plus à l’aise possible. C’est mon... C’est la raison de ma présence ici, essayer d’aider ces gens à être en meilleure forme.

Je sais que, maintes fois, je commets beaucoup d’erreurs et j’ai des manquements en beaucoup de choses, et j’ai honte de moi-même. Mais je... Mais dans mon coeur, j’essaie de tout mon mieux. Je fais simplement tout ce que je sais faire.

3          Et si... à la fin, je... Et si–et s’Il me rejette à–à la fin... Eh bien, je sais que chaque soir, ça diminue. Mais s’Il me regarde au bout du chemin, Il est toujours juste. Voyez-vous? Il... Eh bien, Il est juste, car où est-ce que je... S’il me fallait vivre et qu’il n’y avait pas de Ciel où aller, si le Ciel n’existait pas, je–j’aimerais toujours mener la vie d’un chrétien. Je–je–j’aimerais... Eh bien, c’est de loin mieux, de loin pacifique, et tout ce que je sais, c’est que cette espérance bénie que nous avons... Et vivre pour Lui, c’est... Et s’il n’y avait pas de Ciel, je choisirais toujours d’être un chrétien. J’ai essayé de deux côtés, et je sais que le meilleur, c’est toujours d’être un chrétien.

4          Et, oh! que c’est irréfutable! Que de preuves irréfutables nous avons de ce que le Ciel existe, que nous Y irons un jour! Et tout aussi certains que nous sommes en Christ, Dieu ramènera avec Lui en ce jour-là ceux qui gardent Christ.

Et nous... Beaucoup de gens essaient de se débrouiller pour y entrer. Beaucoup de gens essaient d’y entrer sur base de beaucoup d’actes de mérite. Ce n’est ni par les bonnes oeuvres, ni par vos mérites, ni par rien que vous puissiez faire, ni rien que vous puissiez fabriquer par vous-même; c’est en croyant en Lui, en acceptant. Par la foi vous êtes...

Il est suspendu là à la croix. Vous n’aurez jamais à endurer le jugement. Dieu a jugé vos péchés en Lui. Voyez? Dieu L’a jugé, Lui avait pris votre place. Est-ce vrai? Nous étions coupables, étrangers à Dieu, sans espérance, sans miséricorde, des païens, emportés par des idoles muettes, étrangers à Dieu. Et Christ a pris notre place.

5          Et, remarquez, Abraham est mort; Isaac est mort; Jacob est mort; les patriarches sont morts, mais Christ mourut: une séparation. A Sa mort, Dieu n’était pas avec Lui. Il dut endurer l’absence de Dieu à Sa mort afin que nous ayons la Présence de Dieu à notre mort. Voyez? Et là, Dieu a fait tomber sur Lui notre jugement. Voilà notre jugement.

Les péchés de certains hommes les précèdent et ceux des autres les suivent. Confessons les nôtres maintenant afin qu’ils nous précèdent. Et Christ a subi notre jugement. Et Dieu, dans le jardin d’Eden, quand Il a proclamé la mort sur la race humaine: « Le jour où tu en mangeras, ce jour-là, tu mourras », chaque être humain... Et la mort veut dire la séparation. C’est pourquoi nous appelons cela la mort des uns par rapport aux autres. Nous nous séparons simplement les uns des autres.

Mais un chrétien ne meurt pas: « Celui qui vit et croit en Moi ne mourra jamais. » C’est cela: « Ne mourra jamais. » Et celui qui croit Mes Paroles et qui entend Mes Paroles... Jean 5.24: Celui qui écoute Mes Paroles et croit à Celui qui M’a envoyé, est passé (au passé) de la mort à la Vie... Il ne viendra point en jugement. » Vous voyez?

6          Eh bien, alors, Dieu a placé sur Christ mes péchés et les vôtres. Et Celui-ci les a portés au Calvaire. Il a placé ma maladie sur Lui. Il a placé mon iniquité sur Lui. Et là, Il a offert le sacrifice suprême pour vous et pour moi, et pour chaque homme au monde. Chaque personne qui ait jamais souffert d’une maladie a été guérie au Calvaire. Chaque pécheur qui ait jamais existé ou qui existera jamais a été pardonné au Calvaire. Mais ce qu’il nous faut faire, c’est accepter cela. Voyez? Voyez? C’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris: au passé. C’est alors qu’Il a accompli cela. Tout...

Un certain groupe religieux à Louisville, dans le Kentucky, enseigne que, si un enfant meurt et que ses parents n’avaient pas le Saint-Esprit, l’enfant n’existera plus jamais, que ça en est fini à jamais pour lui.

Et j’avais une petite discussion là-dessus avec l’un d’eux. Je disais: « Oh! Ce n’est pas possible. Ce pauvre petit enfant innocent n’a pas de contrôle de son... Eh bien, il n’a aucun moyen... Comment est-il venu ici? Il n’y pouvait rien au fait d’être ici. Il n’y pouvait rien au fait que son père et sa mère étaient des pécheurs. »

7          Voici ce que je dirai sur base de l’autorité de la Parole de Dieu. Chaque enfant qui meurt avant l’âge de la raison va dans la Gloire. Oui, oui. Christ est mort pour ôter le péché du monde. Et quand vous atteignez l’âge de la raison... Nous étions tous nés dans le péché. Mais quand Il est mort, Il a ôté le péché. Et quand vous atteignez l’âge de la raison, alors, à partir de ce moment-là, vous êtes responsable. Voyez? Ce n’est pas...

Vous n’êtes pas responsable de quelque chose que vous n’avez pas fait. Christ est effectivement mort pour vous sauver, pour ôter le péché d’Adam. Mais lorsque vous péchez, vous devez confesser vos péchés. Premièrement, vous devez confesser cela.

Mais l’enfant n’a commis aucun péché, si... Il n’est pas responsable de ses actes. Et Christ est mort pour libérer cet enfant-là. Et je... Qu’il soit né d’un parent ivrogne, ou de n’importe quoi qu’il puisse être, cet enfant-là va au Ciel. Je le crois. Et je crois qu’il arrivera à reconnaître la croix lorsqu’il arrivera là, savoir que Christ était mort pour lui. Je crois cela. Oui, oui.

Oh! Je–je suis le croyant le plus fervent en Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je... et en ce qu’Il a fait, ce qu’Il représente pour moi ce soir. Il est plus que la vie pour moi.

8          Et je me mets simplement à vous parler, et je dépasse mes limites. J’aimerais consacrer juste un peu de temps et... Beaucoup parmi vous peuvent se demander pourquoi je ne prie pas pour beaucoup de gens à la réunion. Je...?... pour commencer, juste vingt-cinq ou trente par soirée sur l’estrade, et tout. J’essaie bien de me préserver pour tenir le coup jusqu’à la semaine prochaine...?... le temps.

Celle-ci sera la–la série de réunions la plus longue que j’aie jamais tenue, le moment le plus long. Et frère Lindsay me parlait, disant: « Frère Branham, montez simplement prêcher quelques soirées, et préservez-vous. » Il m’a dit...

En effet, je viens directement d’une série de grandes réunions là. Et nous sommes directement rentré à la maison, et on a été constamment en mouvement, et puis on est encore arrivé ici. D’ici, on va droit à Kansas City, et droit en Californie. C’est difficile de dire où on sera, à partir de là. C’est ce qui le rend très ardu. Voyez-vous? Eh bien, s’il n’y avait que cette réunion, ça serait différent.

9          Mais je n’aimerais plus jamais, jamais me laisser aller loin, comme je l’avais fait l’autre fois, rester à l’estrade huit jours et huit nuits, sans quitter (Voyez-vous?), mangeant à l’estrade, dormant à côté de la chaire; la ligne de prière était toujours là. Je m’étalais, je dormais un peu et je me réveillais. J’entendais cette musique, jouant sans cesse Crois seulement, crois seulement. On me faisait entrer dans un véhicule pour dormir. Je n’arrivais alors pas à dormir. On me faisait entrer dans le véhicule juste pour... On avait alors l’habitude... Il y avait des entretiens d’environ cinq minutes.

Puis, je me mettais en route vers chez moi. Je remontais sur la route en voiture. J’avais une vieille Ford. Elle était pratiquement déclassée. Et je–je remontais la route sur une petite distance, puis je m’arrêtais. Je me tirais tous les cheveux avec les mains (Il n’y en a pratiquement aucun là maintenant) cherchant à me garder éveillé, pour prier pour les malades, me gardant éveillé, comme cela. Et je cognais le côté du genou contre la vieille Ford jusqu’à ce que ce côté-là a eu une bosse, comme cela, cherchant à me garder éveillé, visitant les malades.

10        Je me rappelle une petite plaisanterie. Ce n’est pas une plaisanterie. Je ne voulais pas le dire ainsi. Mais juste quelque chose d’un peu amusant. Je roulais sur la route, alors que je dormais très profondément, j’ai entendu des véhicules klaxonner. J’étais sur l’autre bande de la route. Et je...

Mais une fois, je me suis réveillé, et j’étais là loin dans le pâturage des vaches avec mes mains dehors, en train de dire: « Cela arrivera, soeur, si seulement vous croyez. » Je priais réellement pour les malades. Je pensais que je priais pour les malades là dans le pâturage des vaches.

Ma femme... Ecoutez. Je–je suis rentré chez moi, et elle a essayé de me mettre au lit. Et je–je n’arrivais pas à dormir. Les gens étaient là en ligne tout autour de la maison. Et j’étais...

Je me suis réveillé, je serrais un oreiller sous mon bras, comme ceci, disant: « Que Dieu te bénisse, chérie. Rassure-toi, tu vas te rétablir. »

Et elle se tenait là, pleurant, criant et me secouant. Elle disait: « Chéri, qu’y a-t-il? »

Je disais: « Oh! Chérie, je pensais que je priais pour les malades. » Et j’ai déposé l’oreiller. Et je suis allé là. Je me rappelle que je dormais à peine, je dormais à peine. Et elle est sortie. Nous avions une petite cabane à deux pièces, il faisait froid au possible. Nous avions une vieille couverture à la porte pour préserver ensemble les enfants de la pneumonie. Et il y avait...

11        Je me rappelle que je m’étais étalé de travers sur le lit. Et j’étais très fatigué. Et je ne pouvais simplement pas bouger. Ma fillette ne me reconnaissait pas, j’avais tellement perdu du poids, je suis entré et je me suis étendu là. Et j’ai entendu un vieux véhicule venir et s’arrêter... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Il y avait dehors une vieille Chevrolet modèle 30 à peu près, les phares rattachés avec du fil de fer. J’ai entendu là dans la cuisine un petit enfant faisant du bruit. Et j’étais dans l’autre pièce.

J’ai entendu ma femme là dehors dire: « Eh bien, ne... Ne le réveillons pas. » Elle a dit: « Il vient à peine de dormir. » Elle a dit: « Restez bien là et, de toute façon, on tend vers l’aurore. »

Et j’ai entendu un petit enfant faire un drôle de bruit, faire... [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Et je–et j’ai entendu la maman dire: « Ça fait pratiquement six semaines maintenant qu’il continue à pleurer. » Elle a dit: « Personne ne sait ce qui cloche. Le médecin n’arrive pas à arrêter cela. On ne sait pas ce qui cloche. » Elle a dit: « J’ai roulé sans arrêt depuis tout là-bas dans l’Ohio (En fait, ils venaient de l’Ohio), depuis tout là-bas. » Et–et je l’ai entendue dire: « Eh bien, si vous... »

« Il vient de dormir il y a environ cinq minutes », a dit Meda.

12        J’étais étendu là. Je me suis dit: « Eh bien, je tâcherai de revenir dormir. » Puis-je revenir dormir, alors qu’une pauvre petite vieille mère est assise là dehors, dans la cuisine, avec un enfant dans les bras? De penser qu’une petite intercession aiderait peut-être l’enfant. Je ne pouvais pas faire cela. Je me suis levé, j’ai porté la chemise et j’ai essayé de sortir sous le froid. Je suis allé dans la cuisine. La mère était assise là avec un petit enfant. Et ma femme lui parlait, elle voulait lui faire quelque chose de froid, ou plutôt une tasse de café, ou quelque chose comme cela. Elle a dit: « Non, nous avons pris quelque chose à manger en venant. »

J’ai demandé: « Depuis combien de temps pleure-t-il, maman? »

Elle a dit: « Pratiquement six semaines. On ne sait pas ce qui ne va pas chez lui. »

J’ai dit: « Si–si je demande au Seigneur, croyez-vous qu’Il le bénira, et qu’alors vous pourrez... vous retournerez chez vous en croyant, en gardant cela? »

Elle a dit: « Oui, Frère Branham. »

Je me suis agenouillé, ma femme aussi, nous étions autour de la table. La maman a couché son petit enfant sur la table. J’ai placé mes mains sur la petite créature. Et j’ai dit: « Père, cela... C’est Toi qui as fait venir ce petit enfant dans le monde. Il ne peut pas parler. On ne sait pas ce qui cloche chez lui. Les médecins n’arrivent pas à trouver la maladie. Mais voudras-Tu simplement aider la petite créature?

Et pendant que nous avions encore notre main posée sur le petit enfant, il a arrêté de pleurer. Quelques instants après, il gazouillait et riait. Nous sommes restés assis là, causant quelques instants, et l’enfant était normal et bien portant. Ils l’ont simplement pris et ils sont rentrés chez eux.

13        Et, oh! la la! mes amis, Dieu seul sait. Un jour, j’aimerais prendre chacun de vous, nous asseoir et vous parler un petit instant.

Aujourd’hui, je... Ma fillette, on l’a amenée dans un petit endroit par ici, un petit...?... un petit zoo. Et je pensais qu’elle resterait un peu longtemps, j’étais donc un peu inquiet. C’étaient mon frère et les autres qui l’avaient amenée là, ainsi que maman. Nous nous sommes assis; nous avons pris le véhicule et nous avons dévalé les poteaux indicateurs. Eux étaient bien entrés, ils visitaient. Le véhicule était parti. Alors, ils s’étaient dirigés... étaient déjà rentrés.

Cette soeur s’était avancée là. Mon frère, d’abord. Et il a dit: « Frère Branham? »

J’ai dit: « Oui, monsieur. »

Il s’est retourné, il lui a serré les mains, il a dit: « Je viens d’Indiana. »

J’ai dit: « Oui, monsieur. »

Il a dit: « J’assiste à la réunion. »

J’ai dit: « Quel est votre problème? »

Il a dit: « C’est ma femme. » Elle s’est avancée.

Pendant que je me tenais là, cette pauvre petite femme souffrait d’une–une maladie grave. Je l’ai regardée. J’ai perçu ce qu’il y avait. Et j’ai dit: « Je peux vous dire ce qui cloche chez vous, soeur. » J’ai dit: « Vous souffrez de tumeur du coeur. »

« C’est exact, Frère Branham. » Il a dit: « Oh! Si seulement je peux avoir une carte de prière avant la fin des réunions pour entrer dans la ligne de prière. » J’espère qu’elle l’aura.

14        Dans Actes, au chapitre 27, lisons juste quelques versets, à partir du verset 20. C’est le voyage missionnaire de Paul. J’aime vraiment lire sur... pendant que vous prenez... Je vois certains d’entre eux ouvrir leur Bible. J’aime lire ces choses, de l’époque.

Je pensais à Pierre, sur le toit, attendant le dîner. Il était là chez Si-... chez Siméon, le corroyeur, là à Joppé. Et Corneille, un homme juste, un homme bon, était en prière. Un ange vint à lui et dit: « Envoie des gens chez Simon, le corroyeur, chercher quelqu’un du nom de Pierre qui viendra vous annoncer toutes choses. »

Pendant que Pierre était sur le toit, il a vu descendre une nappe pleine de toutes espèces de reptiles. Et...?... attendant, il a eu une vision.

15        Et je pensais à–à... Voilà venir... Quand Paul passait par chez Philippe, c’était... Ce dernier avait quatre filles qui étaient des prophétesses. Et quand ils sont arrivés: « AINSI DIT LE SEIGNEUR, cet homme sera lié à son arrivée à Jérusalem. »

Je pensais à Agabus, un prophète de Dieu confirmé. Il venait de Jérusalem, il a vu Paul, peut-être qu’il était là dans la cour, il s’est avancé, et il a défait la fermeture de la ceinture de Paul, il s’est lié les mains et a dit: « AINSI DIT LE SEIGNEUR, l’homme à qui appartient ceci sera lié avec des chaînes aussitôt arrivé à Jérusalem. » Voir des gens en visions, ensuite lire sur Paul: des tempêtes. Il leur a parlé, disant: « Ne partez pas de cet endroit, car ça sera votre ruine. » Voyez, Dieu a toujours eu des esprits à Son service. Je crois en eux. Je crois aux esprits qui sont au service, envoyés de la Présence de Dieu. Le Saint-Esprit, les prédicateurs, conduire l’église, les anges gardiens qui veillent sur nous. « Leurs anges voient toujours la face de Mon Père qui est au Ciel. » Est-ce vrai?

16        Remarquez, verset 20 maintenant, quand Paul était là et que l’orage était terrible.

Le soleil et les étoiles ne parurent pas pendant plusieurs jours, et la tempête était si forte que nous perdîmes enfin toute espérance de nous sauver.

Toute espérance, pensez-y. Peut-être que vous êtes assis ici ce soir, et que toute espérance est perdue. Peut-être que votre petite barque à bord de laquelle vous êtes, naviguant sur la terre, toute espérance est perdue: vous souffrez du cancer, ou de quelque chose d’autre, de la tuberculose, du coeur, ou de quelque chose qui vous tuera tout de suite.

Rappelez-vous, une personne atteinte de cancer, souffrant du coeur, ou de la tuberculose, quelque chose comme cela, si rien n’est fait tout de suite, elle ne vivra pas longtemps. La maladie du coeur, c’est le numéro 1. Le cancer, c’est le numéro 2. La tuberculose, c’est le numéro 3.

17        Remarquez, toute espérance était perdue.

On n’avait pas mangé depuis longtemps. Alors Paul, se tenant au milieu d’eux, leur dit: O hommes,... (Oh! la la! Je pense qu’il a été dans la cale en train de prier. Ne le pensez-vous pas?) il fallait m’écouter et ne pas partir de Crète, afin d’éviter ce péril et ce dommage.

Maintenant, je vous exhorte à prendre courage; car aucun de vous ne périra, et il n’y aura de perte que celle du navire.

Pensez-y. « Pourquoi dis-tu cela, Paul? Il fait toujours tout aussi sombre qu’auparavant. Et la tempête est tout aussi forte que jamais. Qu’est-ce qui te donne tant de courage de te tenir là maintenant? »

Tout le monde... Quatorze jours, quatorze nuits, pas de soleil, pas de lune, pas d’étoiles, ni rien; le navire emporté par les vents, le vent soufflant, ils ne savaient où ils étaient là en plein océan. Et si jamais vous avez été là, alors que les navires les plus grands d’aujourd’hui paraissent comme une gousse d’arachide, pratiquement, sur ces vagues, à quoi ressembleraient ces vieux petits navires-là de l’époque? Toute espérance était perdue.

Paul a dit: « O Hommes (J’aime ça.), il fallait m’écouter et ne pas partir. Mais il n’y aura de perte que celle du navire. » Suivez le verset 23.

Un ange de Dieu à qui j’appartiens et que je sers m’est apparu cette nuit,

et m’a dit: Paul, ne crains point; il faut que tu comparaisses devant César, et voici, Dieu t’a donné tous ceux qui naviguent avec toi. (Ecoutez sa–sa foi dans sa vision.)

C’est pourquoi, ô hommes, rassurez-vous, car j’ai cette confiance en Dieu qu’il en sera comme il m’a été dit.

Oh! N’aimez-vous pas simplement cela? Il en sera comme il m’a été dit. Si c’est un ange venu effectivement de Dieu, envoyé de Dieu, il doit en être ainsi. C’est un message direct de la Gloire.

18        Maintenant, j’aimerais juste prendre un cas, je vous avais annoncé que je le raconterais, et faire passer la ligne de prière. Cela vous dérange-t-il que je vous raconte ces quelques cas? Voyez? Si c’est le cas, je vais juste commencer...

Je–je ne le fais que pour glorifier le Seigneur Jésus-Christ avec vous, amis. Et certains des prédicateurs parlent d’autres choses pendant les réunions du jour, et autres. J’essaie d’apporter quelque chose qu’ils...

Un livre, mes amis, de ce volume-ci, de trois ou quatre cents pages ne contiendrait pas les témoignages sur ce que le Seigneur a déjà accompli directement. Il n’est pas étonnant qu’Il ait dit: « Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez de plus grandes, car Je m’en vais au Père. »

19        Eh bien, observez cette unique chose. C’est pour votre foi, afin que vous ayez une parfaite confiance... Lorsqu’on vous dit quelque chose, accrochez-vous-y. Ne laissez rien de cela. Qu’il pleuve ou qu’il neige, tenez ferme là même. Dieu l’a promis; Dieu le fera. Est-ce vrai?

Eh bien, selon ce... selon l’opération du don... La Parole accomplira cela Elle-même. Mais l’opération du don, c’est une double confirmation de Dieu.

Eh bien, vous êtes assis ici. Vous tous, vous regardez de ce côté-ci et vous suivez la Parole. Dieu au Ciel sait que je ne vois personne que je connais. Il n’y a qu’un Seul qui vous connaît, c’est Dieu. Dieu sait tout à votre sujet. Et Dieu peut vous guérir.

20        A présent, Il est ici. D’abord, Sa Parole vous dit ce qu’Il va–ce qu’Il va faire. La Parole de Dieu dit ce qu’Il fera, Elle vous donne une promesse. Nous tous, nous le croyons, n’est-ce pas? C’est... la Parole de Dieu. Ensuite, Il envoie un don dans l’église. Et maintenant, un don... Les gens...

Eh bien, je–je vous aime tous. Dieu le sait. Quand cette vie sera passée, j’aimerais prendre un rendez-vous avec chacun de vous qui avez assisté à cette réunion, pour passer juste mille ans ensemble, juste un jour à parler des choses, là à côté de la mer de la Vie.

Celle-ci est la série de réunions la plus courte que j’aie jamais tenue, avec le moins de gens. Mais ça a été l’une des séries de réunions les plus douces et les plus glorieuses que j’aie jamais tenues de ma vie. Il ne s’est pas produit beaucoup de miracles. Il ne s’est pas produit beaucoup de choses. Il y a régné juste une douce atmosphère céleste.

Eh bien, je sais ce que c’est. Ce sont des groupes de gens qui n’ont jamais connu cette incomparable voie glorieuse. Ils viennent chaque jour, ils donnent leur coeur à Christ. Et cela plaît au Père. C’est ce qui se passe. Je souhaiterais avoir une possibilité de rester à Cleveland, une raison pour y revenir (Voyez?), juste... En effet, c’est ici qu’on en a besoin.

21        En parcourant la ville et en voyant son état, en me promenant dans la ville, je vois... Beaucoup de gens sortent... Ce don est un novateur. Il doit aller à des endroits. Cela doit produire. Il y aura des gens qui me suivront ici, des prédicateurs de l’Evangile et autres, avec de réveils.

Mais premièrement, avant que vous attrapiez des gens, il doit y avoir une démonstration divine de quelque chose qui les attire et qui leur fait reconnaître que c’est la vérité. C’est exact.

Et maintenant, remarquez, les réunions sont glorieuses et merveilleuses. Je vous aime tous. Les dons doivent être confirmés. Tout le monde peut dire tout ce qu’il veut. Ils peuvent avoir l’impression. Mais quand Dieu envoie réellement quelque chose, Il confirmera que c’est la vérité. Voyez? Dieu en parlera. La Bible dit dans Hébreux: « Dieu rendant témoignage à Ses dons... » Hébreux 11.10. Est-ce vrai? Dieu rendant témoignage, alors vous avez le témoignage de Dieu. Le Saint-Esprit est le Don de Dieu. Croyez-vous cela? Quand Il vient à vous, Il confirmera qu’Il est là. Tous les dons de Dieu rendent témoignage. Ce n’est pas quelque chose que vous faites semblant de croire. Cela ne marchera pas. Vous devez être sûr.

22        Eh bien, une confirmation de la Présence de Dieu est qu’Il est ici dans la Parole; ensuite, Il est ici dans des dons. Maintenant, remarquez comment ils opèrent et comment ils sont confirmés.

Rapidement. Je vais vite me dépêcher maintenant. Et votre foi atteint un niveau très élevé, je crois le niveau le plus élevé que je peux voir la foi atteindre. Ce qu’il vous faut maintenant, c’est libérer votre foi. Voyez? Mais la question que vous vous posez, c’est comment monter ici à l’estrade, voir ces gens être guéris ici... Mais si seulement vous vous libérez... vous libérez votre foi là où vous êtes, ça sera tout à fait pareil là où vous êtes. Après tout, c’est votre foi qui compte. Voyez? C’est votre foi. La foi seule est l’unique moyen pour vous d’obtenir cela auprès de Dieu, tout. Vous obtenez le salut, le pardon, tout ce qui provient de Dieu par la foi. Croyez cela. Acceptez cela.

23        Peu importe comment cela apparaît ici... Nous ne regardons pas à ce que nous voyons; nous regardons à ce que nous ne voyons pas. Est-ce vrai? De toute façon, voir ne veut pas dire regarder. Le mot voir veut dire comprendre. Jésus a dit: « Si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut voir le Royaume de Dieu. » En d’autres termes, il ne peut pas comprendre le Royaume de Dieu avant sa nouvelle naissance. Voyez? Vous devez accepter cela par la foi. Et ensuite, quand Il entre en vous, vous comprenez cela.

Vous acceptez la guérison de la même façon. Accrochez-vous-y bien. Non pas ce que vous regardez, ce que vous croyez, ce que vous comprenez comme étant la vérité, ce que vous regardez, les choses invisibles, alors vous vous y accrochez. C’est la raison de toutes ces visions. Je donnerai ma vie pour n’importe laquelle, car cela ne faillit jamais. J’ai foi en cela. Je crois cela. Si je peux vous amener à croire de même, ça sera alors terminé. Voyez?

24        Maintenant, venons-en vite à une vision. (Je vous avais dit que je vous la raconterais ce soir. Je vais juste prendre environ quinze minutes de plus, si possible.) Cela est arrivé il y a deux ans. J’étais dans ma chambre, juste après une grande réunion. J’ai vu une région montagneuse, rocheuse, tout aussi naturelle.

Ce n’est pas ce que vous avez eu au... Eh bien, ce n’est pas un songe, ami. Un songe est un songe. Une vision est quelque chose que vous regardez, comme je vous vois maintenant même, ou comme vous me voyez.

Parfois, je me tiens juste comme ceci; je peux être assis dans ma chambre, assis dans ma chambre en train de parler à ma famille, puis je m’éloigne complètement, je suis parti pour une heure et demie ou deux heures. Je reste assis, tout à fait immobile, sans aucun souffle. C’est ce que la médecine n’arrive pas à comprendre. Quand il n’y a même aucun souffle. Vous pouvez placer un... un appareil aussi efficace que vous aimeriez placer à mon nez, aucun souffle, me dit-on. Mais ma respiration, mon coeur bat tout bonnement, mais ils ne comprennent pas cela.

Je suis parti dans une autre région, un autre monde... Et une fois revenu à vous, vous avez exactement ce que Dieu avait dit. Et cela n’a jamais failli. Cela ne peut pas faillir; c’est Dieu.

25        Maintenant, je sais que cela a peut-être l’air bien étrange pour quelqu’un de penser qu’une personne, sans même une instruction de l’école primaire ou quelque chose comme cela, fasse ce genre de déclaration et dise: « Oh! Où est-ce possible? Ça serait quelque chose... Si les dons viennent, ils devraient passer par une grande église, peut-être, disons le–le... »

L’autre jour, quelqu’un a dit... Eh bien, rappelez-vous, les membres de ma famille ont été élevés... Avant moi, on était catholique. Je n’ai rien contre les catholiques. Ce sont des gens tout aussi braves que n’importe qui. C’est tout à fait vrai. Nous sommes tous... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Mais nous sommes nés de nouveau. Si les protestants étaient tout aussi fidèles à leur croyance que les catholiques le sont aux leurs, ça serait de loin différent.

26        C’est la raison pour laquelle vous le remarquez, on peut amener un catholique à cette estrade. Frère, il est... Je sais de quoi je parle... Ils croient que ce que le prêtre dit est vrai. C’est bien. Ce que le prêtre dit, ça a force de loi et c’est la parole d’Evangile. Alors, s’ils arrivent à voir les signes et les prodiges être accomplis, alors, ils me croient. C’est tout ce qu’ils ont à faire, c’est croire cela (Voyez?), et cela se produit.

Eh bien, ces dons et ces appels sont sans repentir. Maintenant, remarquez, Dieu accomplit ces choses à Sa propre manière.

Eh bien, quand cela se produit en chambre, je deviens semi conscient, je quitte la terre, je suis quelque part, je reviens, je vois exactement ce qui était arrivé, j’en parle aux gens, je note cela. Et peut-être que certains ont cette vision, que je suis sur le point de vous raconter maintenant, écrite dans leurs Bibles. Je l’ai racontée partout en Floride, d’un bout à l’autre de l’Amérique Centrale, au Canada, à travers Windsor et dans la région orientale de l’Amérique avant que cela arrivât. Elle est écrite dans mon livre qui va paraître, ça figure déjà dans le livre.

La vision est... C’est une vision qui ne s’était jamais accomplie, mais j’avais dit: « AINSI DIT L’ESPRIT DE DIEU, elle s’accomplira. » Et avant l’impression du livre, la vision a été accomplie. Allez prendre cela pour la vérifier.

27        Eh bien, j’étais en vision, j’ai vu une région rocheuse, tout autour. J’ai vu un enfant de l’âge de ce petit garçon couché ici maintenant, qui semble avoir une terrible affliction. Et il était... il avait des cheveux noirs, des cheveux bruns sombres, un petit visage plat, un nez plat, un petit garçon mignon. Il avait environ dix ans, mais il était pauvrement vêtu, étendu mort au bord de la route, tué dans un accidentEt je passais.

L’Ange du Seigneur a dit: « Ce garçon peut-il vivre? »

Et j’ai dit: « Seigneur, je ne sais pas. »

Et Il m’a montré comment m’agenouiller devant le garçon. Et je lui ai imposé les mains. On s’apprêtait à l’amener à la morgue ou quelque part. Et le petit garçon a repris vie et il a vécu de nouveau. Et je commence...

Y a-t-il ici quelqu’un qui m’avait entendu répéter cela auparavant? Faites voir vos mains là. Oui, oui, il y en a. Très bien. Je suis sur le point de vous raconter l’histoire maintenant, comment cela s’est accompli. Et toute la nation en a été témoin (C’est vrai), les gouverneurs en chef.

28        J’allais à Miami, en Floride, dans une réunion de docteur Bosworth, quand cela avait commencé. J’allais là. Il tenait là une petite réunion que... Je vous demande pardon. J’y allais assister un petit garçon dans une série de réunions de quelques soirées. Et il m’avait cédé la tente. C’est un petit garçon, le petit David, pour qui nous avons prié l’autre soir lorsqu’il avait connu un moment inconscient.

Alors, j’allais... il m’avait demandé de bien vouloir aller passer la soirée avec lui. Et j’y allais passer la soirée. Et la veille au soir, j’ai eu cette vision. Je me suis dit: « Eh bien, comme j’y vais, me disais-je, cela peut arriver là-bas. »

Mais on dirait que c’était une région rocheuse. Ainsi donc, je disais que je n’arrivais pas tellement à oublier cela. J’observais simplement afin d’identifier la région. Juste exactement comme j’avais vu cela, et je... quand je regardais et que je voyais ce qui se passait...

Je suis entré sous la–sous la tente, une tente à peu près de cette dimension-ci, je suppose. Et j’en ai parlé aux gens. J’ai dit: « Il y a un petit garçon quelque part. » J’ai décrit son aspect. « Il va ressusciter des morts. Vous tous, écrivez cela dans vos Bibles. » J’ai dit: « Si cela n’arrive pas, vous qui recevez le journal de frère Lindsay là, le petit Voice of Healing... » [La Voix de la Guérison.] J’ai dit: « Frère Lindsay va publier l’article dans le journal. » J’ai dit: « Cela... » Et frère Lindsay en témoigne lui-même.

29        Alors, nous sommes allés de l’avant. Et le lendemain après-midi, il y a eu un petit garçon qui s’était noyé dans une–dans une rigole d’irrigation qui passait par là, à l’ouest de Miami. Et quand je suis allé à la tente ce soir-là, il y avait un groupe là loin derrière, qui disait: « Il y a un petit garçon qui s’est noyé ce matin. Il gît là derrière en ce moment. On ne l’avait pas amené à la morgue. Et comme vous en avez fait mention hier soir, les gens se sont demandé si c’est ce petit garçon. »

J’ai dit: « Je serai content de faire cela. »

Les huissiers et beaucoup de prédicateurs m’ont amené là derrière. J’ai dit: « Eh bien, vous rappelez-vous l’aspect de ce petit garçon? »

Je suis donc allé, le petit garçon avait environ cinq ans, la tête noire comme du charbon. J’ai dit: « Non, non. Ce n’est pas du tout cet enfant. » Alors, j’ai dit: « Le... Ce garçon-là a huit ou environ, entre huit et dix ans, il a une coiffure drôle, drôle comme un–un... coupée ici par derrière, comme cela. Sa chevelure est très... » Ce petit garçon avait une très bonne coiffure soignée, et c’est un tout petit garçon. J’ai dit: « Non, ce n’est pas le garçon en question. Il est trop jeune. » J’ai dit: « Ce garçon-là n’a pas cinq... environ cinq ans. » J’ai dit: « Ce garçon-là a environ huit ou dix ans, il est plus costaud que cet enfant-là. » Il... ce petit garçon était assez bien habillé, mais cet autre petit garçon était tout... Oh! Il n’avait presque pas d’habits sur lui. Et j’ai dit: « Et je suis sûr que c’était un accident de véhicule. Je ne suis pas... Car on dirait qu’il était complètement écrasé et déchiqueté. » J’ai dit: « Mais de toute façon... » Et j’ai offert une prière pour consoler la famille.

30        Il y avait là un prédicateur d’Indianapolis, du nom de Raymond Huckstra. Beaucoup parmi vous l’ont peut-être connu. Et il était avec le petit David. Il a enseveli le petit garçon. C’étaient quelques jours après.

J’ai continué le parcours, racontant aux gens partout dans des réunions. Je disais: « Maintenant, il y a une vision qui ne s’est pas encore accomplie: une grande vision principale, qui va tout bouger. » Et nous avons parcouru le Canada. Et beaucoup parmi vous, comme vous le savez, étaient dans la réunion. Je disais: « Ecrivez cela dans votre Bible, car, AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT, elle s’accomplira. Absolument. »

Et à Kuopio, en Finlande, nous étions là-haut, là loin, près de Laponie, au pays du soleil de minuit. Et j’étais monté dans une tour, j’étais en jeûne. Beaucoup de prédicateurs étaient là-haut. J’avais une interprète, madame Mae Isaacson; beaucoup parmi vous peuvent l’avoir connue, l’avoir vue... Ainsi donc, c’était une Américaine, une Américaine d’origine finlandaise. Et nous sommes descendus. Il y avait là un Anglais, venu de l’Angleterre, ivre, et qui faisait...

Ils... ils chantaient le cantique: A Golgotha. Et eux tous chantent leurs cantiques en mineur.

J’aime ça. J’aime quelque chose qui touche votre âme (Voyez-vous?), une émotion. Je–j’aime les chants de jubilée. Frère, donnez-moi Mon Dieu plus près de Toi; Jésus, garde-moi près de la croix. C’est bien, ce sont des choses qui me vont au coeur.

31        Et cet homme... Nous étions conduits... essayions de le conduire à Christ. Frère Lindsay, frère Baxter, un groupe d’entre eux, nous sommes montés à bord du véhicule et nous descendions la colline. Beaucoup d’entre eux avaient précédé.

Et la plupart d’entre eux là-bas, ils... Je sais que je m’adresse aux Finlandais. Et ils sont très pauvres. Si certains parmi vous, femmes américaines, jeunes filles surtout, aviez à vous habiller comme ces pauvres jeunes filles finlandaises, en habits très amples et lourds, et... Oh! la la! Mais elles sont aimables, juste la–la crème même du christianisme.

Ainsi donc, nous... Pendant qu’on descendait, ils avaient eu leur... On avait fait venir un taxi là-haut, des chevaux et des calèches comme taxis, descendant la colline. Eh bien, beaucoup parmi eux avaient précédé, et j’étais resté avec quelques prédicateurs. Et frère Lindsay, frère Jack Moore et moi, et madame Isaacson, ainsi que deux autres prédicateurs, nous descendions la colline.

Et les véhicules sont très, très rares en Finlande. Nous avons connu des moments où on en avait dix mille ou plus de rassemblés, avec des milliers debout dans la rue, et peut-être cinq véhicules parqués là. C’est... Le carburant, c’est environ soixante-cinq, soixante-dix cents le gallon, et les véhicules coûtent à peu près quatre ou cinq mille dollars. Vous pouvez vous représenter cela.

32        Eh bien, alors, en descendant la colline, nous étions arrivés là loin aux pieds de la colline, et nous sortions. J’étais en arrière. Ils m’ont dit: « Frère Branham, pouvez-vous interrompre votre jeûne et manger juste un peu? »

J’ai dit: « Non. Le Saint-Esprit ne veut pas que je mange. »

Et je suis descendu. Je me disais qu’il y avait quelque chose de drôle. Et tout d’un coup, j’ai regardé. J’ai vu des foules réunies sur la route. Il y avait un petit garçon écrasé et tué par un véhicule.

Deux petits garçons traversaient la route, et un véhicule les a percutés directement d’un côté, il a heurté un petit garçon au menton et lui a roulé dessus, de l’autre côté. Et une voiture de tourisme Ford 35, roulant à la vitesse d’environ soixante miles [96 km] à l’heure, avait projeté un petit garçon de cet autre côté. On l’a fait entré dans un véhicule, un autre véhicule, et on l’a amené à l’hôpital.

33        Mais ce petit garçon, il n’avait pas dévié alors que cela se retournait, cherchant à éviter les enfants, il l’a tamponné sur la route, le projetant vers le nord. Et l’autre petit garçon était tombé, projeté vers le sud, et il l’a cogné en le projetant vers le nord, il a roulé sur lui, il l’a écrasé sous le véhicule, et il l’a refoulé de dessous le véhicule; ce sont les roues qui ont fait cela, en roulant sur lui. Il était étendu au bord de la route, tout écrasé comme... sur, là sur des herbes plates, à la distance de ce poteau. On l’avait couvert de quelque chose; c’était très pathétique.

Et frère Lindsay, pleurant comme un enfant... Et alors, quand nous sommes sortis, il y avait un grand groupe de gens assemblés là. Et le maire de la ville (On l’appelait le gouverneur en chef là-bas, je pense, ou quelque chose comme cela, c’était l’équivalent de maire de la ville), se tenait là.

Et à mon arrivée sur le lieu, ils ont dit... Eh bien, voici ce qu’ils ont dit. C’est madame Isaacson qui me l’a rapporté. Ils disaient: « Voilà le faiseur des miracles venu de l’Amérique. Voyons ce qu’il fera à ce sujet. » Voyez-vous comment Satan... Oh! la la! « Nous verrons ce qu’il fera. » Comme si je pouvais faire quelque chose à ce sujet. Mais en tout, la sagesse providentielle de Dieu, oh! comme Il peut...

34        Eh bien, j’avais vu beaucoup d’enfants auparavant. Quand on a présenté le petit enfant là, je l’ai regardé, j’ai dit: « Dites donc, j’ai vu cet enfant quelque part. » Très excité. J’ai moi-même un petit garçon un peu plus grand, et je pensais à cette pauvre mère, au coeur brisé; son petit garçon gisait là mort, il rentrait à la maison après l’école, le petit garçon était très pauvrement vêtu. Mais j’étais très ému par cela, et frère Lindsay pleurait, et eux tous. Je pleurais moi-même. Je ne pouvais pas m’en empêcher. Quiconque éprouve de la compassion pour un être humain pleurerait...?... Et madame Isaacson pleurait, frère Moore...

Et j’ai dit à madame Isaacson; j’ai dit: « Demandez à ce pasteur-là si ce petit garçon fréquente son église. »

Il a dit: « Non. »

Et j’avais déjà parlé par l’interprète. Et j’ai dit: « Eh bien, demandez s’il lui donne... »

35        [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... réprimander, le regardant. J’ai continué à me poser des questions. « Où ai-je vu cet enfant? » Et j’ai dit à frère Lindsay et frère Moore, j’ai dit: « Je–j’ai vu cet enfant quelque part. » Je l’ai encore regardé. Je me suis dit: « Eh bien... » J’ai tenu son petit manteau, j’ai dit: « Depuis quand est-il mort? »...?... froid, raide, sa petite bouche ouverte, ses yeux étaient enfoncés là, sale, un peu de sang sur son visage. Il était là, tout écrasé, sa petite jambe placée comme ceci, les jambes de son petit pantalon en arrière, comme cela (Oh! la la!), là où le véhicule l’avait écrasé. Et ils pleuraient tous.

Et j’ai dit: « Ô Père, sois miséricordieux, console la chère pauvre mère qui va apprendre cette nouvelle ainsi que le père. » J’ai dit: « Aie pitié d’eux. »

Et j’ai encore regardé l’enfant. J’ai dit: « Je n’arrive pas à oublier cela. J’ai vu cet enfant-là. » Et l’Ange du Seigneur m’a parlé, disant: « C’est le petit garçon que Je t’avais montré. Ça fait pratiquement deux ans. »

J’ai dit: « D’accord. Je le reconnais maintenant. AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT DE DIEU: Le petit garçon va ressusciter. » Oh! la la!

J’ai dit: « Frère Moore, prends ta Bible. » Il avait mentionné cela. J’ai dit: « Il s’agit de ce petit garçon. Regarde la description. Il est là tout à fait. Il va revivre. » Oh! la la! Je me suis agenouillé, tel que j’avais vu en vision et j’ai imposé les mains au petit garçon.

Il a lâché un cri, il était là, revenu à lui-même. Les gens ne savaient que faire. Il était normal, pas un seul os brisé dans son corps, ni rien, tout aussi normal qu’il pouvait l’être, il est rentré à la maison.

36        Deux jours après, la mère de l’autre enfant ainsi que le père étaient étendus sur les marches. Ils avaient dû me tirer. Je vous assure, ils ont causé une agitation telle que des milliers se sont tenus dans des rues, partout.

Une fillette estropiée, je me rappelle que j’allais entrer ce soir-là. Je n’oublierai jamais ce témoignage. J’allais entrer ce soir-là. Deux officiers m’escortaient, deux hommes derrière. On allait entrer. Aucun d’eux ne parlait l’anglais. Ils devaient me rencontrer à environ deux pâtés de maisons plus loin pour entrer dans des lignes, arriver dans la salle.

Je m’engageais pour entrer, et il m’est arrivé de passer par là. Il y avait–il y avait un dortoir derrière. Et je l’ai remarqué. Ça devait être une fillette qui venait de sortir des toilettes. Alors, en passant... Je n’oublierai jamais ce témoignage. Ai-je le temps pour le rapporter?

37        Eh bien, supportez-moi une minute, allez-vous le faire? Je dois simplement apporter celui-ci, ce témoignage. C’est si doux. J’ai regardé, il y avait une pauvre fillette finlandaise. Elle portait des appareils orthopédiques, de la taille aux jambes. Cette jambe était paralysée, plus courte, et elle était chaussée de gros souliers. Quelque chose au bout de son soulier remontait, allait jusqu’aux épaules, et cela était rattaché ici par un bouton-pression derrière. Elle se servait de deux béquilles. Et elle m’a regardé comme cela. Elle cherchait à traverser vers moi, elle se tenait là. Et de ses petits yeux bleus d’enfant coulaient des larmes qui tombaient sur ses petites joues, elle a souri. Elle m’a regardé. Son petit coeur, on dirait qu’il bondissait simplement. Elle avait ses petites béquilles. Alors, elle m’a regardé. Et elle voulait s’approcher de moi au moment où je–j’allais passer.

J’ai aussi une fillette chez moi. J’en ai une au Ciel, morte depuis environ dix ans. Je vous raconterai cela dimanche.

Alors, je l’ai regardée, je savais qu’elle voulait venir là où j’étais, la pauvre petite créature. Je me suis arrêté. Et elle a fait avancer ses petites béquilles. Elle a renvoyé sa petite épaule en arrière pour permettre à cette bretelle de tirer son orteil. Cette jambe était infirme. Et elle a avancé cela là, et ces gros appareils orthopédiques, de part et d’autre, supportaient... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... pour la faire avancer à l’aide de ses béquilles, afin qu’elle puisse faire un pas. Sinon, cela resterait bien mou sans aucun moyen de se maintenir debout. M’entendez-vous? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... comme cela...

38        Et je suis simplement resté tranquille. Les deux derrière moi s’étaient arrêtés, ils cherchaient à me pousser. Et je ne pouvais pas leur dire non. Je suis simplement resté tranquille. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Et je souhaitais... Je ne pouvais pas utiliser cela. Et je sortais dans des rues pendant qu’eux tous entraient dans la salle. J’allais là où se trouvaient tous ces petits enfants, vous savez. Je leur donnais de l’argent. Oh! la la! J’avais une file d’enfants. Oh! ils étaient... Il y avait un petit groupe qui me rencontrait là dehors chaque soir, de petits enfants les plus doux. Et j’aime vraiment de petits enfants.

Et–et ces petites filles finlandaises, elles tiraient leurs petites jupes comme ceci, en disant: Kiitos. Cela veut dire: « Merci. » Voyez? Je donnais de l’argent, vous savez, et ils disaient: « Kiitos. » Alors, je l’ai vue s’avancer vers moi. Elle s’est approchée, et je me suis demandé: « Que veut-elle? »

Et elle s’est approchée davantage de moi. Elle s’est servie de ses petits appareils orthopédiques, elle s’est arrêtée. Et elle... Ces petits yeux bleus d’enfant se sont levés vers moi; ses petites lèvres tremblaient. Et elle s’est emparée de mon manteau, l’a rapproché d’elle, elle l’a baisé, et elle l’a lâché. Elle a pris sa petite béquille, elle a reculé, a levé les yeux, et ses petites lèvres tremblaient, elle a tiré sa petite jupe et a dit: « Kiitos. » Oh! la la!

39        Je me suis dit: « Quelle aimable enfant! » Je savais que cette enfant était guérie. Dieu au Ciel ne pouvait pas s’empêcher de guérir cette enfant-là. Absolument pas. Cet Ange a dit: « Si tu amènes les gens à te croire... » C’est exact. Cette enfant croyait à la manière simple d’enfant. Oui, oui. Je savais que cette enfant était guérie.

J’essayais de le lui dire: « Tu es guérie. Tu peux enlever tes appareils orthopédiques. Tu es guérie. Dieu t’a guérie. »

Et on continuait à me pousser. Je suis allé à l’estrade. Ce soir-là, après la réunion, il y a eu beaucoup d’estropiés là dans la ligne. Si vous prenez le journal Voice of Healing, je pense que vous remarquerez qu’il y avait une cargaison de béquilles et autres, sur lesquels les gens étaient transportés, les Lapons et tous... Je prenais un petit repos; on était sur le point de me faire partir. Et j’ai dit: « Appelons encore environ dix cartes de prière. »

Ils ont dit: « A partir de quel numéro va-t-on appeler? »

J’ai dit: « Appelez à partir d’un numéro quelconque. » Et je me suis retourné comme ceci pour prendre un verre d’eau. Et là... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] était la première sur l’estrade. Oh! la la! [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Comme son petit coeur bondissait simplement, vous savez. Elle essayait de m’atteindre, se basculant vers l’arrière comme cela... Elle s’est approchée de moi.

J’ai dit: « Chérie... Venez ici, soeur Isaacson. J’aimerais que vous lui disiez quelque chose. Dites-lui qu’elle a été guérie là dehors. Voyez? Descendez du côté de l’estrade devant cette assistance. » Une jambe était un peu plus courte que l’autre. Et j’ai dit: « Dites-lui de se débarrasser des appareils orthopédiques. Laisse descendre droit tes mains, comme cela, au fur et à mesure que ça s’enlève. Tu es guérie. »

Je suis allé... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] les appareils orthopédiques. Elle est allée là, elle a dit: « Kiitos. » Et elle est allée là. Elle a enlevé ses appareils orthopédiques. Elle est revenue à l’estrade, courant avec ses appareils orthopédiques sur la tête, criant et pleurant, montant et descendant les marches à la cause, aussi vite que possible.

Et il est arrivé que l’une des autorités qui l’avait amenée était là. Alors, nous avons tenu un service, assez sûrement, dans la ville. On ne pouvait même pas retenir les gens. Le lendemain... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... quelqu’un les retenait au loin. Alors, pour essayer de garder les gens à distance...

40        Et alors, soeur Isaacson a dit: « Frère Branham, a-t-elle dit, ce petit garçon, l’autre petit garçon qui avait été tamponné, a-t-elle dit, il se meurt. C’est le troisième jour. Et elle a dit: « Il se meurt. » Elle a dit: « On veut vous parler. »

J’ai dit: « Eh bien, faites-les monter. » Et je suis sorti là, et je...

Par l’interprète, ils ont dit: « Nous sommes venus afin que... »

J’ai dit: « Que voulez-vous de moi? »

« Nous voulons que vous alliez guérir notre petit garçon, comme vous avez guéri... comme l’autre. »

J’ai dit: « Ecoutez, soeur, frère. Je ne peux pas faire cela. C’était une vision. Dieu m’avait montré cela il y a deux ans. »

Ils ont dit: « Voulez-vous descendre à l’hôpital et relever notre petit garçon? Il va mourir. Et nous l’aimons. »

Et j’ai dit: « Certainement que vous l’aimez, mais, ai-je dit, je ne peux rien faire avant que Dieu me montre premièrement quoi faire. » Et j’ai dit: « Si donc Il me dit quelque chose, eh bien, alors... »

Elle a dit: « Allez... » [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

J’ai dit: « Non. » J’ai dit: « Ecoutez, si je voulais trouver grâce devant Dieu... Si je voulais obtenir de Lui une faveur, j’essaierais de trouver grâce devant Lui premièrement. » J’ai dit: « Maintenant, écoutez, je ne dis pas que votre petit garçon mourra, ou qu’il va... Je ne sais pas. »

Elle a dit: « Si l’autre a pu ressusciter d’entre les morts, sûrement que notre petit garçon peut être sauvé de la mort. »

J’ai dit: « Dieu peut le faire. Mais je ne suis que Son serviteur. C’est Lui qui doit me le dire. »

41        Alors, elle a dit...J’ai dit: « Donnez votre vie à Christ. Si votre petit garçon meurt maintenant, et que vous tous, vous n’êtes pas chrétiens, vous ne serez plus jamais avec lui. Mais si vous mourez... s’il meurt, et que vous, vous êtes une chrétienne, quand vous mourrez, vous irez au Ciel et vous serez avec lui éternellement. »

Eh bien, ils ont compris que c’était une–une bonne proposition. Alors, ils ont simplement demandé quoi faire. Nous nous sommes agenouillés là-bas. Et je leur ai fait répéter la prière et donner leur coeur à Christ, ce qu’ils ont fait. Et puis, ils se sont relevés. Et ils ont dit: « Entrez et demandez à Dieu quoi faire. »

Eh bien, j’ai dit: « J’entrerai prier, ensuite, je vous ferai savoir. »

Ils ont dit: « Nous attendrons pour découvrir ce qu’Il dit. »

J’ai dit: « C’est très gentil. Mais Il n’est pas obligé de me répondre. Voyez? Il peut ne pas me répondre pendant une semaine. Il peut ne pas me répondre, Il peut me répondre dans une heure. Mais vous, rentrez chez vous, et je vous ferai savoir ce qu’Il aura dit. »

Ils ont dit: « Non, descendez à l’hôpital. »

J’ai dit: « Il peut me répondre dans cette pièce tout comme Il peut me répondre à l’hôpital. » J’ai dit: « Allez et croyez donc. Et tout ce qu’Il dira... S’Il dit que votre enfant va mourir, je vous enverrai le message. S’Il dit que votre enfant va vivre, je vous enverrai le message. Mais je ne peux pas parler avant que Lui m’ait premièrement parlé. »

42        Très bien. Je suis entré et j’ai prié: rien. Je suis donc allé à l’hôpital. L’état du petit garçon empirait, il s’affaissait tout le temps. Cette nuit-là est passée. C’était la nuit où la fillette estropiée avait été guérie. Puis, la nuit suivante, rien ne s’est passé. Je suis allé...

Et, oh! ces gens étaient dans un état d’affolement. Ils téléphonaient à madame Isaacson pratiquement toutes les quinze minutes: « Qu’a dit le Seigneur sur notre enfant? » Rien n’a été dit.

Je suis rentré cette nuit-là. Mon frère Howard (assis... debout de ce côté, il travaille dans la ligne de prière), il est entré avec moi. Et leur bonbon là-bas... ces pauvres gens n’ont pas de sucre à y mettre. Et il tenait deux petits morceaux de bonbons ce jour-là, à peu près gros comme ça. Il a dit: « Frère, je vais te donner ceci », alors que nous montions. Frère Baxter est allé dans sa chambre, frère Lindsay dans l’autre chambre.

43        Et j’occupais une chambre pour moi, afin que je puisse tout le temps être seul pour prier. J’ai pris ces deux petits morceaux de bonbons et je suis entré. Et quand je suis entré, je les ai déposés, comme ça. Et je me suis avancé là à la fenêtre. Et il faisait encore jour. Il ne fait pas nuit là à cette époque de l’année. Et j’ai levé les mains et j’ai dit: « Ô Grand Jéhovah, combien c’est merveilleux... » à la fenêtre de l’hôtel. Et j’ai dit: « Oh! Tu es la source de toute bonté. Tu es la Fontaine de la Vie. Tu es le Commencement et la Fin. Tu es Dieu. » Je me suis mis à Le louer à la fenêtre. Et je disais: « Oh! Combien je T’aime. Comme Ton Fils est mort pour me racheter, et ce que Tu as fait pour cette fillette ce soir.... Combien j’apprécie travailler pour Toi, Père. »

Alors, je me suis retourné pour partir. Et en me retournant pour regarder dans cette direction, je me suis retourné, j’ai regardé... la Bible dans la main... Il se tenait là à me regarder. Il a placé un vase sur la table. Et dans ce vase, il y avait deux fleurs American Easter. Nous les appelons tous des jonquilles ou je ne sais comment vous les appelez, vous savez, des jonquilles brillantes, des fleurs de Pâques. Et peut-être que je les désigne mal. Je ne sais rien au sujet des fleurs. Mais de toute façon, je les appelle les fleurs de Pâques.

44        Et elles étaient dans un petit vase d’à peu près cette hauteur. Je les ai regardées, et l’une est tombée vers le sud et l’autre vers le nord. J’ai vu ça. Il a dit: « Ce sont les deux petits garçons. »

Et celle qui était tournée vers le nord s’est relevée; et l’autre qui était tournée vers le sud s’est relevé en partie, puis est descendue en flétrissant... Celle tournée vers le nord, c’était le petit garçon qui avait été... qui était revenu d’entre les morts. Et celle tournée vers le sud, c’est celui qui se mourait, il dépérissait.

Et j’ai dit: « Ô Dieu, aie pitié. »

Il m’a regardé, et Il a dit: « Que t’a donné ton frère? »

J’ai dit: « Des bonbons, Seigneur. »

Il a regardé et Il a dit: « Mange. »

J’en ai pris un et j’en ai mangé. Ça avait un très bon goût. Alors, celle du nord, ça s’est redressé directement.

45        Eh bien, j’allais faire sortir cela. Et c’était... et cette fleur de Pâque, tournée vers le nord, ou plutôt vers le sud dépérissait. Eh bien, je pense que j’étais... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Oh! la la!

Il a dit: « Si tu refuses de manger cela, cet enfant mourra. »

J’ai mis cela dans la bouche, je l’ai mâché, et je l’ai avalé, très vite. Et aussitôt que j’avais avalé cela, celle qui était tournée vers le sud s’est redressée et s’est tenue avec celle qui était tournée vers le nord. Alors, Il m’a regardé, Il a disparu de ma vue. Je me tenais là.

J’ai couru dehors. J’ai dit: « Frère Moore, venez. Soeur–soeur Isaacson, vous tous, venez ici. Trouvez le père et la mère, et dites: AINSI DIT LE SEIGNEUR, votre enfant vivra. »

En effet, ce qu’il a fait... le docteur l’avait déjà abandonné. On ne le lavait pas depuis qu’il était là, il était dans un état très critique, il avait une commotion cérébrale et tout. Il n’avait pas été lavé. Cet après-midi-là, on l’a lavé, car on disait qu’il allait mourir de toute façon.

Et alors, on a appelé chez eux à la maison. Une femme qui s’occupait de l’autre petit enfant a dit: « Ils sont à l’hôpital, ils ont reçu un appel urgent. L’enfant se mourait il y a quelques instants, ils se sont précipités à l’hôpital. »

Elle a appelé l’hôpital. La mère est venue au téléphone en pleurant. Elle a dit... Madame Isaacson a dit: « Frère Branham a dit: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, votre enfant vivra et ne mourra pas.’ »

Elle a dit: « Oh! Soeur Isaacson, il y a environ cinq minutes, nous surveillions le dernier souffle. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... debout en train de pleurer, nous tous... Le maire de la ville est arrivé avec... Eux tous ont écrit dans leurs livres et tout. Tous, nous essayons et...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

46        Jamais...?... pouvait être prouvé... Vous croyez cela, n’est-ce pas? Dieu, devant qui je me tiens et qui me jugera à la barre du Jugement, sait que c’est vrai. C’est vrai. Ces visions ne peuvent pas faillir. C’est le moyen principal et le premier moyen par lequel le don opère. Le moyen secondaire, c’est le même ici. Nous connaissons par le discernement. Il y a trois moyens par lesquels cela opère. Premièrement, c’est par... C’est le moyen par lequel il opère. Le deuxième moyen, c’est de se tenir ici. Vous voyez des maladies et de petites choses que les gens ont faites et autres; ça, c’est secondaire. Troisièmement, c’est de passer imposer les mains aux malades. Car Jésus a dit: « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » Est-ce vrai? Dieu sait que ces témoignages sont la vérité.

Maintenant, prions. Père céleste, je vois dehors la pluie faire beaucoup de bruit maintenant. Tu es ici, Fils de Dieu. Tout ce que j’ai vu...?... outre-mer, des milliers de ces pauvres petits enfants... Je me souviens chaque jour du grand privilège que nous avons, en tant qu’Américains, de nous asseoir à table avec tout ce que nous aimons manger. Oh! Il y a beaucoup de restes. Je pense ce soir, là loin en Finlande, ces pays-là, aux petits enfants affamés qui parcourent les rues en pleurant, se tordant les petites mains sales et les yeux, implorant pour un morceau de pain, ayant quelque...?... Ô Dieu, nous sommes indignes.

47        Un jour, ça sera terminé, n’est-ce pas, Père? Alors, nous nous rassemblerons tous à Ta grande table accueillante. Comme, ce soir, nous sommes assis ici dans cet auditoire, de grands hommes et de grandes femmes qui ont mené des combats de la vie... Je vois certains parmi eux frappés par des maladies, d’autres par l’âge. Je pense qu’une nuit, quand tout sera terminé, nous nous rassemblerons chez Toi, là où il n’y aura pas de pluie, mais la puissance de Dieu prédominera.

Nous serons assis à table, une table accueillante. Puissions-nous tous nous rassembler là comme des familles qui avaient été brisées, Seigneur. Accorde-le à tout celui qui est présent ici ce soir, d’être là quand on appellera. Je regarderai par-dessus la table, je verrai quelques-uns d’entre eux, ces vieux vétérans, ces saints de Dieu... Nous serons assis là; nous aurons à pleurer un peu, à tendre la main par-dessus la table et à nous la serrer, en disant: « Te souviens-tu de Cleveland, alors que nous tenions des réunions? » Pleurer...

Alors, le Roi sortira dans Sa beauté, Il longera la table, Il tendra Ses mains portant des cicatrices de clous, Il essuiera toutes les larmes de nos yeux et dira: « Ne pleurez plus. Tout est terminé maintenant. Il n’y a plus de maladies. » Vous n’aurez plus à avoir une autre campagne de guérison. Il n’y aura plus de nuits fatigantes. Tout est terminé. Il n’y aura plus de faim; vous tous, mangez ici. » Voir chaque...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... de ce monde de chaos, pour entrer dans la merveilleuse lumière de l’Evangile du Fils de Dieu. Accorde-le, Père bien-aimé. Que des signes et des prodiges s’accomplissent ce soir pour Le glorifier, Lui que nous aimons, car nous le demandons en Son Nom. Amen.

48        [Un frère forme la ligne de prière.–N.D.E.] [Une soeur donne une prophétie.–N.D.E.] Amen. Béni soit le Nom du Seigneur. Que Dieu bénisse la soeur qui a donné cela. Ayez foi et croyez.

Vous essayez de croire, n’est-ce pas, soeur? Ayez simplement foi. C’est pour votre jeune garçon, n’est-ce pas? Le jeune garçon souffre du coeur, n’est-ce pas? Est-ce vrai? N’êtes-vous pas aussi devenue chrétienne récemment? Je me le disais. Me croirez-vous si je vous disais quelque chose? Vous avez déjà fait ce qui amènera le jeune garçon à être guéri. Ne doutez de rien; croyez simplement. Croyez-vous que si je demandais à Dieu à partir d’ici, vous pourrez prendre le jeune garçon et rentrer chez vous, et qu’il sera bien portant, si je le Lui demande? Inclinons la tête une minute.

Père, un petit garçon...?... ici va mourir si quelque chose n’est pas fait pour lui. Je sais que Tu nous as promis de lier sur terre ce que nous aurions lié. Et je Te prie de lier l’esprit de l’ennemi qui cherche à ôter la vie de cet enfant. Que cette mère récemment convertie et cet enfant soient heureux et en bonne santé le reste de leurs jours, car je les bénis au Nom de Ton Fils maintenant, Jésus-Christ.

Maman, prenez votre enfant et rentrez chez vous. Il va se rétablir.

49        Vous, frère, assis juste derrière ici, tout inquiet et brisé par la tuberculose. C’est vrai, n’est-ce pas? Vous pouvez aussi rentrer chez vous. Vous êtes aussi guéri.

Ayez simplement foi. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur. Dieu vous rétablira de n’importe quoi, vous qui avez foi et qui croyez en Lui. Croyez-vous cela? Très bien.

Oui, soeur. C’est en ordre maintenant. C’est–c’est en ordre...?... soeur. Vous êtes guérie, soeur. [La bande devient inaudible.–N.D.E.] ... vous étiez née. Vous étiez née. Vous êtes de parents divorcés...?... C’est ça votre problème. C’est dans votre...?... Maintenant, si Dieu peut révéler le passé, vous dire ces choses que vous savez être la vérité... Est-ce vrai? Eh bien, alors, la chose suivante, c’est pour vous de reconnaître, que vous vous tenez maintenant dans la Présence du Dieu Tout-Puissant... Un jour, au Jugement, quand nous nous tiendrons là, Il rendra témoignage qu’Il était ici. Adorez-Le.

50        Maintenant, ce que je vous ai dit, c’était la vérité, n’est-ce pas? Maintenant, la chose suivante, si j’ai vu ce qui a été depuis que vous étiez une petite fille, là dans le pèlerinage de votre vie, et même vos parents avant vous jusqu’ici, Dieu vous guérira de cette jambe estropiée et vous rendra...?... Croyez-vous cela? De tout votre coeur?

Très bien. Tout le monde, inclinez-vous. Ô Jésus, miséricordieux Fils de Dieu, né de la vierge Marie, qui as souffert sous Pilate, crucifié à la croix du Calvaire, l’Innocent à la place du coupable, qui es mort, qui as été enseveli et qui ressuscitas le troisième jour, Tu es assis à la droite de Dieu le Père, intercédant maintenant pour nous; je viens à Toi pour aider une soeur ici. Là au cours du cycle du temps, Tu lui as parlé avant même qu’elle vienne sur la terre, concernant ses parents; et d’elle, jusqu’à cet âge-ci... Elle se tient ici ce soir, liée à sa jambe gauche, souffrant des nerfs. Beaucoup de choses l’ont liée. Et Toi qui connais ce qui a été dans le passé, Tu connais ce que sera le futur. Dis-le au travers des lèvres de Ton serviteur, ô Dieu. Exauce ma prière.

Satan, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, quitte la femme.

Très bien, soeur, regardez dans cette direction, en croyant...?... aller à un hôpital...?... J’ai huit...?... Remerciez le Seigneur pour votre jambe gauche, soeur.

51        Vous pouvez être guérie de ce mal de dos, si seulement vous croyez. Croyez-vous? Tenez-vous alors debout, car Christ vous a déjà guéri de cela. Amen. Amen.

Venez. D’accord, vous pouvez vous avancer. Bonsoir, monsieur. Permettez-moi de vous tenir la main maintenant, frère. Venez ici, frère. Je vais vous poser une question ici même, frère, devant l’assistance. Maintenant, lorsque vous montiez là... Après que vous avez passé quelques moments là, vous avez commencé à éprouver une sensation étrange. Cela est sur vous maintenant même. N’est-ce pas vrai? Levez simplement la main. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Très bien. Juste...?... lever la main afin que les gens voient que c’est vrai. Ecoutez, mon frère, vous êtes déjà guéri. Jésus vous rétablit. Vous croyiez cela avant même que je vous aie dit ce qui clochait chez vous. Mais vous souffriez des nerfs...?... Votre maladie est terminée. Disons: « Gloire au Seigneur! » Maintenant, sa foi l’a guéri. Maintenant, soyez en prière. Amis...?... Maintenant, Dieu est...?...

52        D’accord. Bonsoir, monsieur. Avancez, faites voir la main. Oui, avant que je vous saisisse, je sens cela me frapper déjà, c’est...?... C’est le plus...?...

Il y a beaucoup de vibrations qui se font sentir, j’aurais probablement pu saisir cela avant. Il m’est juste arrivé de sentir cela alors qu’il s’approchait. Maintenant, ce démon-là sait. Maintenant, si– si seulement cet homme a la foi, il doit partir. Maintenant, je ne peux pas le faire partir de lui, à moins que lui me croie. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Oh! Oui! Voici un... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Continuez de croire, alors cela aura à vous quitter. C’est cela donc l’ennui maintenant même. Il sait que Dieu est ici pour le faire partir. Croyez de tout votre coeur.

Inclinez la tête. Mères, gardez vos enfants.

Père, bénis cet homme que je bénis en Ton Nom. Satan a lié cet homme, pour lui ôter la vie et le jeter n’importe où, ou essayer de le tuer, écourter ses jours. Mais Tu as promis que tout ce que nous demanderions en croyant que nous l’avions reçu, nous le verrons s’accomplir. C’est écrit dans la Parole.

Satan, au Nom de Jésus-Christ, je t’ordonne de quitter cet homme. Maintenant, regardez ici, monsieur. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Disons: « Gloire au Seigneur », tout le monde. Très bien. Tout le monde, soyez respectueux.

53        Très bien, soeur. Oh! Oui. C’est vous la dame que j’ai rencontrée là au zoo l’autre jour. N’est-ce pas vrai? Amen. Faites voir la main, soeur. Très bien. C’est elle la dame; et finalement, vous avez eu votre carte de prière. Elle me demandait s’il y avait un moyen pour elle d’arriver...

J’ai dit: « Soeur, je ne peux pas donner une carte de prière. » J’ai dit: « Si je–si je... Eh bien, allez demander à mon frère, c’est lui qui distribue les cartes. Et si vous vous tenez dans la section, il vous en donnera une. Mais maintenant, quant à être appelée, ça, c’est la providence de Dieu. » (Est-ce vrai?) Mais on dirait que cela doit avoir agi. Je ne sais pas. Cette dame s’était approchée de moi et elle se tenait là; son mari et elle parlaient. Aussitôt qu’elle s’est approchée, elle avait une foi telle que l’Esprit du Saint... le Saint-Esprit a frappé, a parlé directement et Il lui a dit ce qui clochait chez elle. C’est vrai, n’est-ce pas, soeur? Très bien. Prions maintenant? Inclinons la tête.

Notre Père céleste, Tu es près pour guérir cette pauvre petite femme frêle. O Dieu, je sais que, sans Ton secours, il lui est totalement impossible d’exister. Mais Tu es ici pour l’aider. Et je la bénis maintenant au Nom de Jésus-Christ pour sa guérison. Puisse cela la quitter et ne jamais revenir. Puisse-t-elle rentrer chez elle en chantant, heureuse, louant Dieu. Et puisse cela déclencher un réveil à l’ancienne mode dans cette partie d’Indiana, car je demande ceci au Nom de Jésus-Christ. Amen.

Très bien, soeur; regardez dans cette direction maintenant, de tout votre coeur, et croyez. La vibration quitte maintenant. Que Dieu vous bénisse. Poursuivez votre chemin. Ecrivez-moi votre témoignage, et je vais...?... croyez que « Dieu va me rétablir. » Que Dieu vous bénisse, soeur.

Disons: « Gloire au Seigneur », partout...?... cela l’a affaiblie. Très bien. Tout le monde, soyez respectueux. (Qu’est-ce? Oh! C’est...?... )

54        Très bien. Cet homme est... Cet homme est dans un état pire. Cela vous a rendu faible, n’est-ce pas, soeur? N’ayez simplement pas peur.

Toute puissance qui peut tuer un cancer, ou redresser un membre estropié, ou qui peut ramener un homme de la mort à la vie, ne doit pas être considérée avec légèreté. Maintenant, l’homme ici entend très difficilement. Et il a au niveau du poignet quelque chose qui bloque la circulation, au niveau de son poignet; en effet, il ne peut pas serrer le poing ni rien. Très bien, inclinez la tête partout.

Notre Père céleste, Toi qui as fait sortir Jésus de la tombe, je Te demande d’être miséricordieux envers cet homme. Satan l’a ruiné. Un esprit de surdité est venu sur lui pour l’amener à marcher devant un véhicule quelque part et être tué, écourter ses jours, en bloquant la circulation vers ses jambes, en ôtant l’une de ses mains. Mais il vient ce soir, Père, en tant que croyant. Rends son témoignage puissant dans la communauté où il vit. Que son témoignage suscite un réveil. Il avance en âge. Juste un peu de temps, les oeuvres de Jésus. Puisse-t-il être à mesure, par son témoignage, de gagner beaucoup, beaucoup d’âmes à Toi. Accorde-lui cette opportunité, Père. Nous avons appris que toutes choses concourent au bien de ceux qui T’aiment. Aide-moi maintenant dans ce défi de foi contre Satan.

Vous, puissances démoniaques qui avez lié notre frère que voici, au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, sortez de lui. Continuez à être respectueux. La vibration l’a quitté. Juste un instant maintenant...?...

Répondez-moi. Très bien. Vous pouvez redresser la tête. M’entendez-vous maintenant? Dites: « Amen. » J’aimerais que vous disiez cela. J’aimerais que vous... M’entendez-vous? Pouvez-vous m’entendre très bien? D’accord. Bougez votre main de haut en bas comme ceci. Basculez votre main en avant en arrière, comme ceci. Que Dieu vous bénisse. C’est terminé; vous pouvez rentrer chez vous et être bien portant, frère.

Disons: « Gloire au Seigneur », tout...

55        Avancez, soeur.

Maintenant, frère bien-aimé, dans environ... Vous pourrez entendre un murmure ou n’importe quoi vers le matin ou le lendemain. Ensuite, vous allez pratiquement redevenir totalement sourd. Continuez simplement à louer Dieu. Continuez à garder ce cornet acoustique enlevé. Que Dieu vous bénisse. Vous avez reçu cela.

Bonsoir, soeur. Et si je vous dis ce que... que vous avez été guérie pendant que vous étiez assise dans le fauteuil, me croirez-vous? La maladie du coeur, vous pouvez donc quitter l’estrade maintenant, bien portant, pendant que vous louez.

Disons: « Gloire au Seigneur! », tout le monde. Il est ici pour faire connaître Ses secrets et rétablir toute chose.

Bonsoir, soeur bien-aimée. Croyez-vous de tout votre coeur? Je sais ce qui cloche chez vous, mais vous n’avez pas encore reçu votre guérison maintenant. Vous avez cependant deux choses qui clochent chez vous. J’en vois une autre apparaître. Laissez-moi... ainsi... Vous essayez d’avoir foi, n’est-ce pas? Vous vous efforcez, n’est-ce pas? Mais ce n’est pas cela. Détendez-vous simplement, soeur, et dites: « Je crois. » Ce n’est pas ce que vous pouvez faire par vous-même, c’est juste ce que la simple foi... juste...

Quelle est la couleur de ma chemise? C’est blanc. Eh bien, vous avez le sens de la vue qui vous dit que c’est blanc, n’est-ce pas? Eh bien, si votre foi dit: « Je vais être guérie maintenant même, c’est pareil. » Vous savez cela tout aussi certainement que votre vue dit que cette chemise est blanche; c’est fini. Croyez-vous cela de tout votre coeur? Voyons. Ça y est.

56        Maintenant, il me faudra être honnête avec vous, soeur...?... Je–je–j’aimerais vous voir guérie là même. Mais cela... J’aimerais que vous regardiez ma main ici un instant. Voyez-vous comment elle devient rouge et de petites taches blanches qui la parcourent? Je vais enlever votre main de la mienne, placer ma main dessus. Cela n’est pas là maintenant, n’est-ce pas? Je vais prendre votre autre main. Ne tenez rien dans cette main. Ici, placez cette main ici. Cela n’est pas là maintenant, n’est-ce pas? Or, il y a autant de sensation dans cette main que vous en avez dans cette autre main, n’est-ce pas? Mais alors, Il m’a dit de prendre la main droite du patient dans ma main gauche, celle qui est près du coeur. Voyez? Et je le fais de tout mon coeur. Voyez?

Eh bien, regardez. J’aimerais que vous observiez. Maintenant, voyez-vous ma main? Eh bien, regardez ici. Voyez-vous cela maintenant? Eh bien, ramenez votre main à la position où elle était. Regardez là. Voyez-vous ce que je veux dire?

Maintenant, soeur, c’est la puissance de Satan. Vous souffrez des troubles gynécologiques, n’est-ce pas? Ça tend pratiquement vers un cancer. J’aimerais vous poser une question. Je pensais avoir vu ici... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Maintenant, c’était juste une question. Eh bien, demandez-lui, était-ce vrai, soeur, ce que je vous ai dit? Si c’était vrai? Exact. Juste un–un secret que je ne pourrais pas dévoiler devant l’assistance. Croyez-moi de tout votre coeur et soyez guérie. Allez-vous le faire, soeur?

57        Inclinons la tête, partout. Père, je Te remercie pour Ta miséricorde ce soir. Bénis notre soeur bien-aimée maintenant. Que cette puissance de l’ennemi la quitte. Elle essaie, Seigneur, elle essaie d’avoir foi. Elle vient vers Ton serviteur pour qu’il l’aide par la foi, à intercéder pour elle. J’unis ma foi à la sienne. Et j’entre dans ce canal maintenant de la foi pour défier ce démon qui l’a liée.

Satan, toi qui as lié cette pauvre petite femme pour lui ôter la vie, je viens dans ce défi de la foi, au Nom de Jésus-Christ, soutenant le don de la guérison divine qui m’a été confié par un Ange. Sors de la femme par le Nom de Jésus-Christ. Maintenant... Amen.

Voilà, cela l’a quittée. Maintenant, avant que je lève les yeux pour regarder... Soeur, regardez ma main. Est-elle aussi normale que l’autre main maintenant? Maintenant, écoutez, soeur bien-aimée, quelque chose est arrivé, n’est-ce pas? Maintenant, vous savez cela sans aucun doute. Pendant que je me tiens ici, vous disant des choses sur votre vie (Est-ce vrai?), ce qui clochait chez vous... Maintenant, suivez. Eh bien, voici ma main, juste la même. Maintenant, prenez la vôtre, juste pareille. Maintenant, placez cette autre main, dans la même position où vous l’aviez placée il y a quelques instants. Quelque chose est arrivé, n’est-ce pas? Eh bien, vous êtes guérie, soeur. C’est ce qu’il y a. Oui. Voyez? Poursuivez votre chemin en vous réjouissant.

(Tout le monde, soyez aussi respectueux que possible.) Croyez de tout votre coeur. C’est différent maintenant. Observez cela baisser.

58        Très bien. Faites venir la dame. Bonsoir, soeur. (Venez...?... ) Regardez dans cette direction. Oh! Votre maladie, c’est dans le dos. N’est-ce pas vrai? Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que si je demande à Dieu, Il vous accordera encore sa liberté? Très bien. Inclinons la tête, s’il vous plaît.

Notre... céleste... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] pour lui parler, elle Te sert dans ses fonctions ici dans ce camp, car Tu as donc ordonné qu’elle fasse ceci. Nous Te remercions pour sa guérison. Et nous prions, ô Dieu, qu’elle devienne un grand témoignage dans sa communauté, par Jésus-Christ. Amen.

Que Dieu vous bénisse, soeur. Vous savez quand cela est arrivé, c’est donc... Très bien. C’est parti.

Disons: « Gloire au Seigneur », tout le monde. Oh! la la! Vous pensez que cela... la puissance du Saint-Esprit l’a simplement engourdie aussi quand Il...

59        Très bien. Faites venir la dame, et que tout le monde soit très respectueux maintenant. Que Dieu vous bénisse, soeur; ayez foi maintenant. Vous êtes juste un peu...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... votre maladie.

Oh! Je vois. J’allais vous dire quelque chose. Vous aviez eu deux ou trois choses qui clochaient chez vous, mais la chose principale, c’est que vous–vous souffrez de l’arthrite, n’est-ce pas? Maintenant même, je vois comment vous vous déplacez. Et quand une vision est apparue devant moi, j’ai vu ce qui se passait, la façon dont vous vous teniez. Très bien.

Eh bien, vous avez eu des ennuis dans votre vie, n’est-ce pas, un bon nombre? Vous avez subi une intervention chirurgicale dans votre vie. Vous avez été dérangée par d’autres maladies, et vous savez de quoi je parle. Vous comprenez. Est-ce que tout cela est vrai? Tout est vrai. Très bien. Votre foi est au bon niveau, soeur, au bon niveau pour que vous soyez guérie, si seulement vous acceptez cela maintenant. Allez-vous le faire?

Inclinons la tête. Père céleste, bénis Ta servante que voici, Seigneur; qu’elle soit libre ce soir de ce démon qui la lie.

Satan, au Nom de Jésus-Christ, quitte cette femme. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] C’est maintenant le moment pour vous d’agir sur base de ce que je vous dis de faire. Levez la main en l’air. Soulevez et baissez les pieds comme ceci. Vous y êtes; votre arthrite vous a quittée, soeur.

Disons: « Gloire au Seigneur », tout le monde.

Vous serez bien portante le reste de vos jours. Que Dieu soit avec vous et qu’Il vous bénisse.

60        Tout le monde, croyez. Bonsoir, jeune fille. Vous avez un très...?... la foi d’être guérie. Est-ce que vous... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Vous pensez que c’est merveilleux. Croyez-vous que ce que je vous ai dit est la vérité? Tout ce que vous avez entendu, est-ce la vérité? Croyez-vous? Je veux dire ce que vous m’avez entendu dire ici, ce que vous pensiez ce soir, et je vous ai dit ce qui clochait chez vous. Mais je pourrais faire cela, car Il m’a promis que je le pourrais; ainsi donc, je–je sais que je pourrais... ça sera en ordre. Vous avez quelque chose dans votre coeur, n’est-ce pas? Ce sont des troubles gynécologiques. Vous souffrez d’une... gynécologique. C’est vrai. N’est-ce pas vrai? Cela vous a quittée maintenant. Que Dieu vous bénisse, soeur. Mais comment...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... Seigneur Jésus... Que personne...?... croire...?...

Je déteste devoir dire ces choses, mais quand le Saint-Esprit les dit, on doit les dire. C’est vrai. Que Dieu vous bénisse...?...

Très bien. Allez directement de l’avant, soeur. Quittez l’estrade et soyez guérie de votre tumeur. Que Dieu vous bénisse. Et vous pouvez rentrer chez vous...?...

Disons: « Gloire au Seigneur! » Croyez-vous de tout votre coeur?

61        Madame, votre petit garçon est à environ cinquante pour cent différent maintenant de ce qu’il était, car la lumière commence à l’entourer pour rendre... Vous pouvez donc le ramener à la maison maintenant si vous le voulez. Soyez bien portants.

Combien aimeraient recevoir leur guérison maintenant même? Maintenant, rappelez-vous, amis, si Dieu est ici pour révéler des choses et annoncer des choses, si jamais quelque chose arrive pour vous faire douter de cela, que Dieu ait pitié. C’est tout ce qui peut être fait. N’est-ce pas vrai? Que Dieu ait pitié. Maintenant, vous devez croire de tout votre coeur en vue de demeurer ou de garder votre guérison.

Il y a des mouchoirs ici. Il veut que je prie dessus. Oui. Cette partie ici dedans, je venais de prier sur ceci. Il y a quelqu’un en Hollande, ou plutôt Hot Hollander Hotel. Holland, H-o-l-l-a-n-d-e-r, Hollander. Très bien. Ceci est... Son mouchoir est posé ici même. On peut venir le récupérer. Je l’ai reçu il n’y a pas longtemps dans la pièce. Ce sont tous ces...?...

Tenez, qu’est-ce? C’est un télégramme. Juste une minute. « S’il vous plaît, priez pour la guérison de mon... mourant. » Oh! En voilà la raison, cette requête de prière.

Maintenant, juste avant... Inclinons la tête pendant que nous prions sur ceci.

Notre Père céleste, Tu connais toutes choses et Tu peux tout faire. Nous Te confions maintenant ces lettres, ces requêtes, déposées ici sur cette estrade, sur cette chaire; que Tu guérisses tous ceux qu’ils représentent. Il y en a plusieurs qui sont profondément et sincèrement en détresse et dans le besoin. Ô Dieu, écoute la prière de Tes enfants alors que nous nous unissons ensemble maintenant. Et d’un commun accord, nous Te prions de guérir tous ces gens et de les rétablir par le Nom de Jésus-Christ. Amen.

62        Maintenant, combien aimeraient... croiront que si nous demandons à Dieu maintenant même, ils seraient... ils recevraient leur guérison? Maintenant, regardez, cela prendrait ... Cela prendrait environ une heure pour terminer un... Oh! Plus que ça. Maintenant, Dieu sait tout cela.

Maintenant, voyez, quand... Voici ce qu’il y a, amis. Lorsque vous vous mettez à croire comme cela, cela–cela commence à paraître comme si c’est juste... Vous devez isoler cela. Et quand tout le monde cherche... Représentez-vous simplement, juste environ trois mille choses se lancent sur vous au même moment. Il vous faut pratiquement amener la personne juste devant vous quand cela arrive comme cela, avant que vous sachiez ce que c’est.

Mais, s’il vous plaît, si j’ai trouvé grâce à vos yeux, si vous me croyez... Et Dieu, devant Qui je me tiens, sait cela au sujet du don et des visions, que c’est vrai, je dis la vérité. Bien-aimé Seigneur Jésus... J’aimerais aller au Ciel quand je quitterai cette terre. Je n’aimerais pas aller là-bas et oser entrer comme un imposteur. Je n’y entrerais pas. Et je rends témoignage à la vérité.

Et le soir, je me sens condamné d’avoir... Nous faisons monter les gens, nous leur disons ce qui cloche, et nous apportons... et amenons les gens à atteindre un niveau; pourtant ils disent... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... maintenant, pour amener tout le monde dans la ligne de prière. Ce n’est pas nécessaire, mes chers amis.

63        Maintenant, je sais qu’il y a des gens qui parcourent le pays et disent qu’ils sont les seuls à avoir le droit de prier pour les malades et tout. Eh bien, c’est une erreur. Tout chrétien a le droit de prier pour les malades. La Bible déclare: « Confessez vos fautes les uns aux autres et priez les uns pour les autres. » Tout le monde. Vos pasteurs ici ont autant que moi, ou n’importe qui d’autre, le droit de prier pour les malades

Vous n’avez pas à suivre des campagnes de guérison. Parfois, dans les campagnes de guérison, vous verrez des choses se passer. Quelqu’un peut avoir un–un témoignage de guérison. Cela stimule votre foi. Vous voyez des signes...

64        Mais, rappelez-vous, l’Ange du Seigneur a dit: « De même qu’il a été donné à Moïse deux signes pour prouver à Israël que son témoignage était vrai, il te sera donné aussi deux signes. » Avez-vous entendu cela auparavant? Vous avez entendu l’histoire. Et Moïse a accompli ces signes une seule fois. C’était assez. Est-ce vrai? Israël l’a suivi vers la Terre promise.

J’espère que Dieu vous accordera la grâce, pendant les cinq prochaines minutes, de croire que je vous dis la vérité. Voyez? Je dis cela sur base des mérites de Jésus-Christ, et la Bible, et le témoignage du don pour confirmer cela, que l’attitude de Christ est exactement la même envers chacun de vous. Il est ici pour vous guérir ce soir.

65        Peut-être que vous pouvez ne pas avoir la foi pour susciter quelque chose instantanément, juste un miracle pour vous seul. Vous pouvez ne pas avoir ce genre de foi. Mais Jésus a dit: « Si vous aviez la foi comme un grain de sénevé, vous pourriez dire à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’, et petit à petit, cela s’accomplirait.’ Cela ne disparaîtrait pas instantanément. Mais petit à petit cela s’accomplira.

Or, le grain de sénevé, la raison pour laquelle Il a dit cela... Vous pouvez hybrider le chou frisé; vous pouvez hybrider l’épinard, hybrider cela ensemble, mais on ne peut pas hybrider quoi que ce soit avec le grain de sénevé. Ça ne s’hybridera pas. C’est juste le sénevé avec le sénevé.

Si vous avez juste le moindre petit grain de foi, c’est-à-dire la foi authentique du grain de sénevé, qui ne bouge pas, accrochez-vous-y; cela vous fera sortir.

Maintenant, il y a des gens qui ont une foi comme ceci. D’autres en ont comme ça; d’autres, comme cela, d’autres peuvent plonger leur tête droit dans des miracles. Mais le fait que vous n’avez pas une foi grande comme cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas être guéri. Si vous avez la moindre petite foi, accrochez-vous-y simplement. Elle vous fera sortir. Allez-vous croire cela? C’est la vérité. Dieu me fera répondre pour cela si je ne vous ai pas dit la vérité. Pouvez-vous accepter cela maintenant sur base de... de Dieu?

66        Petite fille, tu as été guérie depuis les vingt dernières minutes, chérie, toi assise là-bas, la petite fille Espagnole assise là. Voyez? Et ne–ne t’inquiète pas à ce sujet. Je t’ai vue guérie il y a quelques instants.

Maintenant, remarquez. Regardez. Chaque personne ici présente peut recevoir sa guérison maintenant même. Quand vous croirez être guéri, tout autant que vous croyez que c’est blanc, croyez que vous êtes guéri, acceptez cela et dites: « Merci, Seigneur. » Partez directement, prenez cela, acceptez-Le sur ces bases-là et soyez guéri. Combien croient cela maintenant. Dites: « Amen. »

Très bien. J’aimerais que vous vous leviez pendant que nous offrons la prière.

Regardez. Il y a un homme assis ici pour qui mon coeur saigne. Venez ici. Etes-vous un vrai croyant en Christ, frère? Je vois que vous êtes huissier. Venez ici juste un instant.

Comment vous sentez-vous, soeur? Mieux? Très bien. C’est ainsi qu’il faut accepter cela de toute façon. Rentrez chez vous et soyez bien portante maintenant. Vous sortez de votre fauteuil roulant. Vous pouvez rentrer chez vous et être bien rétablie Eh bien, vous n’avez pas à lui imposer les mains maintenant. Que Dieu vous bénisse, soeur. Votre foi vous a sauvée; une petite femme mennonite.

67        Inclinons la tête. Notre Père céleste, Tu es ici pour guérir les malades, accomplir des miracles, chasser les démons, révéler les secrets des coeurs de gens, appeler les démons par leurs noms, guérir toutes sortes de maladies et d’afflictions parmi les gens. Seigneur Dieu, nous Te remercions pour tout ce que Tu as déjà fait ce soir, et nous Te prions, ô Dieu, que ceci soit une glorieuse soirée, où chaque personne dans le bâtiment se lèvera, comme cette femme est sortie du fauteuil roulant tout à l’heure, debout par la foi, croyant. Ô Dieu, puissent-ils rentrer chez eux guéris, eux tous, complètement rétablis. Je demande cette bénédiction maintenant pour leur guérison, par le Nom de Jésus-Christ.

Satan, toi esprit impie, toi qui essayes de lier les gens par l’incrédulité, qui essayes de les faire douter, tu es un perdant. Tu es vaincu. J’implore maintenant que le Sang de Jésus-Christ soit sur chaque croyant, que toi... impur...?... esprit quitte cette assistance. Sors des gens, au Nom de Jésus-Christ. Libère-les par le Nom de Christ.

 

Up