Notre Espoir Repose En Dieu

Autres traductions de ce sermon: Le Prophète Connaît Le Cœur - MS
Date: 51-0929 | La durée est de: 1 heure et 20 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Baxter; merci beaucoup. Bonsoir, mes amis. Je suis content d’être encore ici ce soir pour représenter notre Seigneur Jésus-Christ ainsi que Sa grande puissance pour sauver et guérir pleinement. Les frères venaient de me dire que ce microphone n’était pas très bon ce soir. M’entendez-vous là derrière, tout au fond? Là en-haut? Pouvez... Si vous le pouvez, levez la main afin que je voie cela, que je sache que là au fond... C’est bien; c’est bien.

            Je suis un peu fatigué ce soir, je suis resté éveillé jusque vers deux heures ce matin, et le Seigneur... J’ai quelque chose à l’esprit, et Il... Je suis resté bien éveillé et j’ai prié jusqu’à ce qu’Il eût envoyé Sa grande puissance là et m’eût révélé ce que c’était. Et ça s’est passé aujourd’hui exactement comme Il a dit que ça se ferait. Et combien nous sommes reconnaissant pour cela!

2          Maintenant, je pense que demain après-midi, nous avons annoncé que je devais parler ici à l’auditorium. Ainsi, je–j’espère et j’ai confiance que vous priez pour moi. Et je prie constamment pour vous tous. Il nous reste encore un jour, et puis, nous devons parcourir beaucoup de milliers de kilomètres. Et j’espère que, par la grâce de Dieu, nous reviendrons sains et saufs, et nous pourrons, un jour, tenir ici à New York le genre de réunions que j’aimerais voir, le genre qui continuera sans cesse, jusqu’à ce que...

            Souvent, les gens, quand ils sont dans la réunion, je ne suis jamais là, et–et Satan en profite. Comme on fait trois ou quatre jours, parfois il faut plus que ça, avant que la bénédiction commence à se produire réellement dans l’individu. Alors, quand–quand Satan retourne à ce moment-là, l’esprit impur qui était sorti de l’homme, il essaie alors de tenter de nouveau cette personne. Et souvent, celle-ci cédera directement. Et alors, cela revient donc. Voyez, si la réunion continuait, les gens pouvaient revenir. Ils pouvaient voir ce qui se passait et rester simplement jusqu’à ce que la réunion soit réellement établie. Ils verraient des dizaines de milliers être guéris, je–je pense, si nous pouvions simplement rester assez longtemps.

3          Maintenant, ayez foi. Et voici ce que je vais dire: après mon départ, eh bien, vous–vous découvrirez que beaucoup de gens ont été déjà guéris dans l’assistance. C’est que, peut-être, ils ne s’en rendent pas compte en ce moment-ci, mais je–je sais que c’est vrai.

            Eh bien, j’aimerais lire un passage des Ecritures, car ma parole est comme celle de n’importe quel autre homme, elle faillira. Mais la Parole de Dieu ne faillira pas.

            Je viens de repérer mon cher ami et frère, frère Raymond T. Richey. Je pense qu’il a été déjà présenté et–et... Mais j’ai certainement un chaleureux amour chrétien pour frère Richey. Il était présent à l’auditorium le soir où la photo de l’Ange du Seigneur a été prise. Il était là, lors de la discussion, quand ce prédicateur s’est avancé, cherchant à me taxer de guérisseur divin. Je lui ai dit que je n’étais pas un guérisseur divin; qu’aucun homme n’était un guérisseur divin. Personne ne peut guérir, pas du tout, à part Dieu. Et les médecins, ils ne guérissent pas; ils ne font qu’assister la nature. Ils ne prétendent pas guérir, ils peuvent suturer un endroit, mais ils ne peuvent pas le guérir. Ils peuvent mettre un os en place, mais ils ne peuvent pas guérir cela. Il faut Dieu; c’est Lui le Guérisseur. Il a dit: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» En effet, toutes les maladies, ça doit être déterminé par Dieu.

4          Eh bien, nous sommes reconnaissant pour les médecins et autres, qui peuvent nous accorder une assistance médicale, mettre les os en place, arracher les dents, et–et–et tout, mais cela est en ordre. C’est... Les médecins sont des serviteurs de Dieu pour les gens, et ils aident les gens. Dans les hôpitaux et les institutions psychiatriques, nous sommes très reconnaissants de les avoir. Et je n’ai rien contre eux; tout ce que je fais, c’est prier Dieu de continuer à les aider. Car tout ce qui aide, bénit, ou fait quelque chose pour aider les gens, je le soutiens. Et je sais que Dieu est dans chaque mouvement qui essaie d’aider les gens.

            C’est ce que nous sommes... nous devrions toujours faire: chercher à faire quelque chose qui aide quelqu’un d’autre. Après tout, c’est ça l’attitude chrétienne vis-à-vis des choses.

5          Ceci est un très grand fardeau dont personne ne sait rien. Il n’y a que Dieu et moi seul. Mais quand il m’arrive d’aller au lit, quel merveilleux privilège pour moi de m’agenouiller devant Dieu et de dire: «Père, j’ai fait de tout mon mieux aujourd’hui. J’ai fait de tout mon mieux pour rendre la vie un peu plus agréable pour les gens.» Et je suis sûr que ces bénédictions reviennent et reviennent et me rendent la vie un peu plus agréable. Si vous voulez faire quelque chose pour Dieu, faites quelque chose pour Son peuple. Si vous voulez qu’on parle en bien de vous, dites quelque chose de bien au sujet de quelqu’un d’autre. Bénissez quelqu’un d’autre, et comme vous bénissez quelqu’un d’autre, vous bénissez Dieu. Car Jésus a dit: «Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de Mes enfants, c’est à Moi que vous les avez faites.» Donc, nous savons que c’est la vérité. Alors, que le Seigneur Jésus nous bénisse donc ce soir, alors que nous lisons Sa Parole.

6          Et regardez, tout le monde maintenant, nous sommes ici représentant différentes dénominations: méthodiste, baptiste, luthérienne, catholique, tout... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] types de l’église, mais cela ne représente pas grand-chose devant Dieu, l’église dont vous êtes membre. C’est l’état de votre coeur qui compte. C’est ce que Dieu considère. Ce n’est pas l’église dénominationnelle, elles sont toutes bonnes...?... juste comme une entente entre les hommes et autres, et je ne suis pas venu représenter une quelconque église. Oh! Je représente l’Eglise, l’Eglise que chacun de vous représente. Ceux qui sont nés de Lui sont dans le Royaume de Dieu, le Corps de Christ.

            Je suis dans la famille Branham, ça fait quarante ans. On ne m’a jamais demandé d’y adhérer. Je suis né dans la famille Branham. Et c’est ainsi que vous entrez dans la famille de Dieu. Ce n’est pas en adhérant à l’église; je n’ai rien contre cela. C’est en ordre; et vous devriez le faire. Mais vous entrez dans l’Eglise de Dieu par la naissance. C’est votre naissance. Alors, vous devenez un enfant de Dieu en naissant de nouveau, en étant régénéré et en devenant une nouvelle créature en Jésus-Christ. Alors, vous êtes un fils ou une fille de Dieu, peu importe l’église dénominationnelle dont vous êtes membre.

7          Maintenant, dans le Livre de 2 Rois, chapitre 6... J’aime vraiment lire cette Parole et je suis... Frère Baxter s’excusait d’avoir pris trop de temps. J’ai dit: «Ne le faites pas, Frère Baxter.» En effet, je me tenais simplement derrière le rideau, en train de suivre son merveilleux message. Frère Baxter est un très grand prédicateur. Et je suis très content de l’avoir dans notre équipe, de faire de lui l’un de nous. Et frère Bosworth ici est l’un des plus grands enseignants de la guérison divine que j’aie jamais entendus de ma vie, frère Bosworth. Il est vieux, et il est... il–il ne... il ne va pas... il ne va pas du tout aimer ça.

            J’étais là à l’hôtel Biltmore, à Miami un soir; il était tout brave et il se tenait droit et fort. Alors, je l’ai regardé, je l’ai apprécié. Je connaissais les batailles qu’il avait livrées au cours de la vie, et je suis juste en train de suivre le chemin qu’il a tail-... qu’il a taillé dans le désert. Et j’ai dit: «Frère Bosworth, vous avez soixante-treize ans maintenant. A quel moment vous êtes-vous trouvé en votre meilleure forme?» Il a renvoyé ses épaules en arrière comme Caleb d’autrefois et a dit: «Maintenant même, a-t-il dit, je le suis maintenant même.» Il a dit: «Frère Branham, vous ne me comprenez pas, a-t-il dit; je suis juste un enfant dans une vieille maison.» C’est ce qu’il en pense donc, et Dieu l’a gardé ainsi. Merveilleux!

8          Oh! Si je... Si Jésus tarde et que je peux rester si longtemps, que je sois comme cela. C’est vrai. Frère Richey ici, comment je peux parler de lui! Comment au cours du temps où j’étais un petit garçon à l’école, il était là, prêchant l’Evangile et priant pour les malades, alors que j’étais juste un petit garçon. Vos mères et vos pères l’ont écouté prêcher l’Evangile sur la guérison divine, et tous deux viennent de Zion, dans l’Illinois. Les candidats qui s’asseyaient aux pieds du–du grand enseignant, le regretté docteur Dowie. Et docteur Dowie, à sa mort, avait prophétisé que j’irais à cette cité-là quarante ans après sa mort. Je n’en savais rien, il est mort un jour, et moi, je suis né le lendemain. Et quarante ans jusqu’au jour où, je suis entré dans la ville, je n’en savais rien. Oh! Comme le grand mouvement de Dieu est en train de se rassembler; j’entends le bruit d’une pluie abondante.

9          Maintenant, au chapitre 6, verset 8, suivez attentivement. Dieu n’a jamais promis de bénir ma parole, mais Il a promis de bénir Sa Parole. Et maintenant, écoutez attentivement donc, alors que nous revivons ce jour où ce grand homme, Elisée, avait une double portion de l’Esprit d’Elie.

            Il n’y a jamais eu dans un âge deux prophètes majeurs sur la terre au même moment. Il y a eu plusieurs prophètes mineurs, mais il y avait un seul prophète majeur. Et Elie était le prophète jusqu’à ce qu’Elisée fût venu. Alors, quand Elie était enlevé, une portion, une double portion de l’Esprit d’Elie, l’Esprit d’Elie est venu sur Elisée.

             Voyez, rappelez-vous toujours ceci, Dieu retire Son homme de la terre, mais Il ne retire jamais Son Esprit. Son Esprit redescend directement de ce côté-ci. Il reposait sur Elie, Il est parti d’Elie vers Elisée, d’Elisée Il est venu sur Jean-Baptiste, de Jean-Baptiste, il a été prédit qu’Il doit revenir dans les derniers jours, le même Esprit. Voyez? C’est l’Esprit de Dieu.

10        Le Saint-Esprit était sur l’Eglise à la Pentecôte, Il a continué directement au cours de l’âge, Il a parcouru l’âge jusqu’aux luthériens, baptistes, méthodistes, ainsi de suite, jusqu’à cet âge-ci. Il est toujours le même Saint-Esprit. Quand la foi des gens s’élèvera au niveau où ils obtiendront les bénédictions, savoir qu’elles leur appartiennent, alors la même opération du Saint-Esprit s’effectuera dans l’Eglise comme elle s’était effectuée dans le passé, exactement la même. Maintenant, suivez ceci attentivement.

     Le roi de Syrie était en guerre avec Israël, et, dans un conseil qu’il tint avec ses serviteurs, il dit: Mon camp sera dans un tel lieu.

     Mais l’homme de Dieu fit dire au roi d’Israël: Garde-toi de passer dans ce lieu, car les Syriens y descendent.

     Et le roi d’Israël envoya des gens, pour s’y tenir en observation, vers le lieu que lui avait mentionné et signalé l’homme de Dieu. Cela arriva non pas une fois ni deux fois.

     Le roi de Syrie en eut le coeur agité; il appela ses serviteurs, et leur dit: Ne voulez-vous pas me déclarer lequel de nous est pour le roi d’Israël?

     L’un de ses serviteurs répondit: Personne! ô roi mon seigneur; mais Elisée, le prophète, qui est en Israël, rapporte au roi d’Israël les paroles que tu prononces dans ta chambre à coucher.

11        Inclinons la tête. Père céleste, nous Te remercions ce soir de savoir que le grand Esprit de Dieu qui était sur le prophète Elisée est sur la terre aujourd’hui agissant encore au travers des fils de Dieu. Le grand Saint-Esprit qui avait été donné à la Pentecôte est ici ce soir. Et Tes enfants, beaucoup en ont marre d’avoir été menés par le bout du nez, tout pour leur propre bien, leur enseignement, leur formation en tant qu’enfants, pour les amener à apprécier le Seigneur. Les épreuves sont plus précieuses que l’argent et l’or, cependant, comme il est écrit: «Il est vrai que tout châtiment semble d’abord un sujet de tristesse, et non de joie pour le moment.»

            Mais à la fin, quand l’Eglise aura reçu sa formation, alors ils seront des fils adoptés, ou des fils placés, pour hériter de Dieu, ils hériteront toutes choses et seront égaux en puissance et en bénédictions au Fils de Dieu, ils seront Ses frères.

12        Nous pensons comment Il est né dans ce monde, le Fils de Dieu. Mais à l’âge de trente ans, Dieu L’a placé. Sur les rivages du Jourdain ce jour-là, quand Il se tenait dans l’eau, trempé depuis Ses cheveux, Dieu L’a confirmé comme Son Fils en disant: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui J’ai mis toute mon affection.» L’adoption, le placement, le placement dans Son Royaume pour l’oeuvre qu’Il devait achever. Et combien nous sommes reconnaissants ce soir de ce qu’Il avait achevé la course. Il n’a donc pas considéré la honte, mais Il l’a endurée. Il a été cloué au Calvaire comme notre Substitut, Il a subi la peine capitale: Il est entré par une naissance dans une mangeoire, Il est sorti par une peine capitale.

            Le Roi de Gloire descendit et tabernacla parmi les hommes, loin des palais en ivoire. Il n’a pas pris la forme d’anges, mais celle d’un serviteur de l’homme. Il s’est revêtu de l’humilité, Il allait çà et là, sans lieu où reposer Sa tête, Il dormait partout où Il pouvait, Il fut méprisé par ceux qu’Il aimait et, finalement, Il a été fait un Sacrifice sanglant. Mais Il était tellement agréable au Père qu’Il a dit: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le.»

13        Il a ensuite souffert sous Ponce Pilate, Il a été crucifié, Il est mort, Il a été enseveli, Il est ressuscité le troisième jour, Il est assis à la droite de Dieu le Père, intercédant maintenant pour nous qui avons accepté le Saint-Esprit, la troisième Personne de la trinité. Et Il règne et domine dans nos coeurs ce soir. Et Il a dit: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu et vous le verrez s’accomplir.» Nous croyons cela.

            Et maintenant, Seigneur, les grandes heures sombres viennent au temps de la fin. Aide-nous maintenant ce soir dans ce service. Que le glorieux Esprit de Dieu descende visiblement parmi nous, que chaque personne ici présente sache qu’Il se tient près d’elle. Ô Dieu, prends l’argile, la voix des êtres mortels, et proclame, Seigneur, les oracles de Dieu. Que les gens voient, craignent Dieu et Le servent.

            Que tous les malades et les affligés ici ce soir soient tous guéris, qu’il ne reste personne de faible. Accorde, Seigneur, que ça soit une soirée qui sera un mémorial. Ceux qui se souviendront de cette arène saint Nicolas se souviendront toujours de cette soirée. Bénis-nous maintenant ensemble, car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus. Amen.

14        Que c’est merveilleux de considérer les Ecritures juste un instant! En effet, le temps est écoulé, environ douze, quinze minutes. Je voulais terminer de vous raconter la vision qu’on examinait hier soir, le petit garçon qui était ressuscité en Finlande. Combien ici dans l’auditorium avaient écrit cela dans leur Bible avant qu’elle s’accomplisse, ceux qui m’avaient entendu en parler? Levez la main. Avais-je posé la question hier soir? Au sujet du petit garçon qui était ressuscité en Finlande. Faites-nous voir les mains, en les levant, ceux... Partout dans la salle, partout, regardez ça.

            Voyez, c’était longtemps avant que cela arrivât. Cela l’annonce toujours ainsi, et cela...Vous le notez simplement, que c’est parfait, car ce n’est pas un homme qui parle, c’est Dieu. Ceci est la Voix de Dieu pour les gens. Chaque Parole de Dieu est une Semence et Elle se reproduira exactement telle qu’Elle est proclamée dans la Bible, si Elle est reçue dans une bonne terre. Donc, c’est la Voix de Dieu pour Son Eglise.

15        Eh bien, parfois pour des individus, Il se sert de la voix d’un être humain, ce qui est secondaire. Cela doit se conformer à Ceci, la Parole écrite. Maintenant, en faisant ceci, Dieu nous a bénis. Et Elie le prophète... Quand le roi de Syrie déclarait la guerre contre Israël, il y avait inimitié entre eux. Eh bien, Elie le prophète était chez lui. Et il voyait ce que l’ennemi allait faire. Alors, il se rendait auprès du roi d’Israël et lui disait là où le roi de Syrie se mettrait en embuscade pour–pour tomber sur eux, les faire tomber en embuscade sur leur passage. Et le roi d’Israël envoyait des gens là-bas voir et ils trouvaient cela exactement comme Elie le prophète le lui avait dit.

            Que Dieu nous aide, en tant que peuple Américain, au point où nous pourrons revenir à Dieu une fois de plus. Ce Dieu qui était capable d’aider la nation d’Israël dans une sphère divine, Il peut aider l’Amérique aujourd’hui dans une sphère divine à sortir de tout ça. Et l’unique espoir que nous avons repose en Dieu. Notre espoir ce soir n’est pas dans la bombe atomique, notre espoir ce soir est en Jésus-Christ. Christ est la réponse.

16        Alors dans... l’aumônier à Tokyo, Tokyo au Japon plutôt, pendant la guerre, un ami aumônier était là, il a levé les mains et a dit: «Ô Dieu», dans un camp de consécration, il a dit: «Je pense que je rentrerai à la maison Te rencontrer à partir de cet endroit-ci.» Il a dit: «J’aurais voulu visiter ma femme et mes enfants une fois de plus, mais néanmoins, Seigneur, si Tu veux que je rentre à la maison à partir d’ici, je suis prêt à partir.»

            Il a vu une petite sentinelle marchant à son poste, il s’est approché d’elle, on dirait que la sentinelle voulait lui parler. Il a regardé à droite et à gauche pour voir ce que... Il a demandé: «Etes-vous chrétien?»

            L’aumônier a dit: «Oui.»

            Il a dit: «Moi aussi, chrétien.»

            Voilà la réponse. Pas les Quatre Grands, pas les Nations Unies, mais la voie offerte par Christ. Là en Finlande, vous avez vu les Russes et les Finlandais s’embrasser, s’étreindre, s’enlacer avec les larmes leur coulant sur les joues. Frères, ils n’avaient rien l’un contre l’autre. Le dieu de cet âge était entré dans les coeurs des dirigeants. Tous les royaumes du monde appartiennent à Satan en ce moment-ci. Vous ne voulez pas croire cela, mais c’est l’Ecriture.

17        Satan avait transporté Jésus et il Lui avait montré tous les royaumes du monde, il a dit: «Ça m’appartient, je peux faire avec tout ce que je veux.» Jésus a reconnu cela, mais Il savait qu’Il les hériterait. Il Lui a dit: «Si Tu Te prosternes et m’adores, je Te les donnerai.»

            Jésus a dit: «Il est écrit: ‘Tu adoreras le Seigneur Ton Dieu, et Tu le serviras Lui seul.’»

            Dans Apocalypse, il est écrit: «Réjouissez-vous, cieux, et vous saints prophètes, car les royaumes de ce monde sont devenus les royaumes de notre Seigneur et de Son Christ; et Il régnera et dominera aux siècles des siècles.» Il n’y aura alors plus de guerre. Les conducteurs, l’égoïsme partout. Mais en plein milieu de tout ceci, l’Eglise de Dieu est enlevée par le Saint-Esprit.

18        Elie voyait où le roi allait faire cela, il envoyait donc le roi d’Israël et disait: «Eh bien, ne prends pas tel chemin, disait-il, car ils sont en embuscade là.»

            Et observez ce même prophète, après être allé à Dothan, il n’avait pas vu le... l’Ange du Seigneur ne lui a point montré les Syriens venir assiéger la ville, car Dieu avait un autre moyen pour cela. Dieu ne montre pas tout à Ses serviteurs, mais Il montre à Ses serviteurs juste la Parole de connaissance qu’il leur faut connaître. Vous voyez donc que cela relève de la puissance de Dieu, pas de la puissance d’un homme. Même si un homme est béni, mais cependant, Dieu reste le Père et le Seigneur de tout.

            Balaam a autrefois dit: «Un prophète ne peut dire que ce que Dieu place dans sa bouche. Comment peut-il parler si Dieu ne parle pas?» Et c’était vrai.

19        Maintenant, nous lisons sur les prophètes d’autrefois, nous lisons sur les puissances de Dieu et comment cela faisait fonctionner l’église. Et ce soir, ami, elle est tiède et elle n’est pas au niveau où elle devrait être en Christ, avec les très glorieuses puissances de Dieu régnant et dominant dans Son Eglise une fois de plus. Ne soyez pas celui qui est derrière. Ne cherchez pas à être populaire dans le monde et être en ordre avec Dieu, car vous ne le pouvez pas. Vous devez être en ordre avec Dieu, et ensuite ne pas être populaire dans le monde. En ce jour-ci où nous vivons, cherchez Dieu de tout votre coeur. Invoquez-Le pendant qu’il est temps de L’invoquer, pendant que vous avez l’occasion de vous repentir, et pendant que la miséricorde de Dieu est venue jusqu’à vous. Car l’heure vient où il ne servira à rien d’invoquer. Ça sera alors trop tard. Invoquez maintenant.

            Si vous aviez vécu dans le passé quand on crucifiait Jésus, vous diriez aujourd’hui: «J’aurais pris position pour Lui; j’aurais donné ma vie pour Lui.» Vous avez une opportunité de faire cela maintenant plus que vous n’en auriez eue à l’époque. Prenez position maintenant, l’opposition est plus forte aujourd’hui qu’autrefois.

20        Hier soir, je parlais au petit tabernacle GladTidings où nous avions tenu notre service, car la salle était utilisée hier soir ici. Je racontais comment le Seigneur avait ressuscité un petit garçon en Finlande, ce qui avait été vu en vision deux ans auparavant comme devant s’accomplir. Eh bien, qu’est-ce qui a fait cela? Ce n’est pas votre frère, mais l’Esprit de Dieu. Le même Esprit qui était sur Elie, sur les–les hommes qui sont partis; c’est le même Esprit qui est dans le monde aujourd’hui, en train d’agir. Il voit, Il prédit. Vous le constatez. Je prie qu’Il soit dans la réunion ce soir pour faire la même chose.

            Il était sur notre Maître, Jésus-Christ. Quand un homme venait à Lui et qu’il allait douter de Lui, Jésus a dit, quand Il a vu Nathanaël venir, Il a dit: «Oh! Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude», en d’autres termes, un chrétien, un croyant.

            Il a dit: «Quand m’as-Tu connu?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

21        Or, Philippe n’a pas cherché à considérer cela comme la lecture des pensées ou–ou de la télépathie mentale, il a juste dit: «Tu es le Fils de Dieu; le Roi d’Israël.» Aujourd’hui, son nom est immortel parmi les hommes grâce à sa décision. Votre nom deviendra immortel quand vous prendrez votre décision pour Jésus-Christ en tant que Fils de Dieu, le Roi d’Israël. Alors, quand Il a parlé à la femme au puits de son péché, Il lui a parlé un peu, Il a dit: «Va chercher ton mari.» C’était ça; c’était son... c’était l’obstacle pour elle.

            Il a été interrogé une fois pourquoi Il... au sujet de la guérison, quand Il avait vu un homme qui souffrait d’une espèce de maladie, et Il a laissé un grand nombre: Saint Jean 5. On L’a interrogé. Il a dit: «En vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement. Saint Jean 5.19. Car le Père aime le Fils, et Il Lui montre toutes choses, Il Lui montrera des oeuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l’étonnement», le verset 20.

22        Maintenant, l’Ecriture déclare que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il ne prétendait pas être un Guérisseur, Il disait: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi; c’est Lui qui fait les oeuvres.» Il ne prétendait pas être une personne importante, mais ce qu’Il affirmait être, Il l’était; et Dieu confirmait cela. Il était ce qu’Il affirmait être. Et Dieu confirmera chaque personne qui dira la vérité. Dieu prouvera que c’est vrai. L’homme peut dire n’importe quoi, cela ne le rend pas vrai. Mais quand Dieu parle, cela se confirme. Et Il a dit qu’Il faisait uniquement ce que le Père Lui montrait.

            Et l’Ecriture déclare: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement», trois, Hébreux 13.8. Donc Jésus-Christ, s’Il est le même aujourd’hui qu’Il l’était hier, Il accomplit toujours les mêmes oeuvres aujourd’hui comme Il l’avait fait hier. Sinon, Il n’est pas Jésus-Christ. Et ce qu’Il soutient n’est pas vrai.

23        Et comment accomplit-Il ces oeuvres? Dans un corps visible? Non. Car il est écrit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, et vous en ferez de plus grandes (Ou davantage), car Je M’en vais au Père.»

            Et chaque soir, Il fait davantage dans la réunion, dans une seule réunion, Il fait davantage, en révélant aux gens quoi faire et tout, en une seule réunion, par rapport à ce qui est écrit à Son sujet, ce qu’Il a révélé aux gens dans le Nouveau Testament (Pensez-y), pendant les trois ans du ministère. En effet, il a fait beaucoup de choses qui ne sont pas écrites, d’après Luc, mais ce qui est écrit ...

            Une fois, Il a dit à un homme où se trouvait un poisson qui avait une pièce d’argent dans sa bouche. Il leur a dit où se trouvaient les ânes qui étaient attachés, à la bifurcation. Il savait où se trouvait un homme qui portait une cruche, qui avait apprêté la chambre haute. Environ six, sept choses, c’est tout ce qu’Il... ce qui est écrit, qu’Il a dit. Mais Il connaissait leurs pensées; Il lisait leurs pensées.

24        Saviez-vous que Jésus lisait les pensées des gens? Il connaissait leurs pensées. Est-ce vrai? Il connaissait donc ce qu’ils en pensaient. Il sait ce soir ce que vous en pensez. Il est ici maintenant, Il sait ce que vous en pensez et Il peut révéler par Ses canaux ce que vous en pensez.

            Evidemment, nous savons que le diable a des imitations et des types de tout ce que Dieu a. Tout ce que le diable a, c’est une copie de la chose de Dieu. Chaque contrefaçon a–a un original à partir duquel elle a été calquée. S’il n’y avait pas un dollar authentique, le faux dollar deviendrait l’original et le premier. Et tant qu’il y a une contrefaçon, c’est la preuve qu’il y a un authentique quelque part (Amen!), un véritable. Donc, quand vous voyez quelque chose que le diable fait, rappelez-vous, Dieu a quelque chose qui dépasse cela de loin, que le diable essaie d’imiter. Mais Jésus a dit: «C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.»

25        Très bien, maintenant Son Esprit est ici. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il agit dans Son Eglise. Eglise, savez-vous ce qu’est le problème avec ça? Voici ce que c’est. Vous ne vous abandonnez pas au Saint-Esprit. Vous recevez le Saint-Esprit et vous vous dites: «Eh bien, c’est aussi loin que je vais.» Eh bien, vous êtes simplement prêt à vous mettre alors au travail pour Dieu. Quand vous êtes dans... recevez le Saint-Esprit en croyant en Jésus-Christ et en recevant le Saint-Esprit, alors, vous devenez simplement un candidat pour vous mettre au travail pour Dieu. Livrez-Lui donc vos membres, voyez ce qu’Il vous fera faire. Il peut vous faire prêcher, chanter, témoigner, distribuer des tracts, parler aux gens, amener quelqu’un à l’église. Toutes sortes de dons et d’assistances qui sont dans le Corps de Christ... Certains sont appelés pour une chose, d’autres, pour une autre.

            Mais, peu importe ce que vous avez, combien modeste cela est... Vous dites: «Eh bien, Frère Branham, tout ce que je peux faire, je peux parler aux gens.» Eh bien, cela peut ne pas représenter grand-chose pour vous, mais placez cela entre les mains de Jésus, et voyez ce qu’Il fera avec. C’est comme le peu de poissons qui étaient entre les mains du petit garçon, cela pouvait seulement le nourrir. Mais quand il a placé cela entre les mains de Jésus, cela a nourri cinq mille personnes. Il en sera de même pour vous. Placez ce que vous avez entre Ses mains.

26        Cette nuit-là en Finlande, quand le petit garçon était ressuscité des morts, comme je vous l’ai raconté hier soir, la petite fille... l’autre petit garçon avait été tamponné et projeté de l’autre côté. Sa tête, il avait une commotion cérébrale. On nous a appelé depuis l’hôpital; le petit garçon était mourant. Cette pauvre petite mère finlandaise, jamais je n’avais éprouvé tant de pitié que pour elle. Il y avait des milliers et des milliers. On ne pouvait pas s’approcher de l’auditorium. Sur une distance de deux ou trois pâtés de maisons, c’était bien bondé partout, à Kuopio, en Finlande, c’est près de Laponie.

            Et, oh! quel merveilleux et glorieux moment nous passions en Christ! Et une nuit, quand je suis revenu, on a dû me tirer vers la petite mère. Et le lendemain, madame Isaacson a dit: «Frère Branham, ces pauvres petits père et mère», le deuxième jour, elle a dit: «Ils sont assis ici dehors.» Elle a dit: «C’est–c’est pathétique de les voir.» Elle a dit: «Ils pleurent, ils veulent que vous alliez là-bas.»

            J’ai dit: «SoeurIsaacson, je ne peux rien faire, Dieu devra premièrement me montrer.» J’ai dit: «Je prie pour l’enfant.»

            Elle a dit: «Voudriez-vous juste sortir leur parler?»

            Alors, on les a fait entrer dans une salle. La pauvre petite mère, elle a couru et a dit: «Oh! Allez guérir mon enfant.» Evidemment, par l’interprète, elle ne parlait pas anglais.

            Et j’ai dit: «Soeur, je ne suis pas capable de guérir votre enfant.»

            Elle a dit: «Eh bien, on a ressuscité l’autre petit garçon après qu’il était mort.» Elle a dit: «Vous pouvez guérir mon petit enfant; lui, il est mourant.»

            J’ai dit: «Non, madame, quand j’étais là dans ma patrie, en Amérique, il y a de cela deux ans, Dieu avait montré en vision, Il avait décrit l’endroit exact où le petit garçon serait étendu, son aspect, comment le petit garçon serait.» Beaucoup parmi vous ont lu cela dans Voice Of Healing, n’est-ce pas? Je vous avais dit que cela serait publié dans Voice Of Healing, et cela–cela–cela l’a été.

27        Et puis, la pauvre petite créature, j’avais vraiment pitié d’elle. Alors, elle a dit... J’ai dit: «C’était une vision.»

            Et elle a dit: «Eh bien, allez, ayez une vision pour mon petit garçon.»

            Eh bien, c’était bien beau, mais vous ne pouvez pas avoir des visions quand vous le voulez; ce n’est pas à volonté, c’est sur l’ordre divin de Dieu. Ce n’est pas ce que moi je veux, mais c’est ce que Lui veut. Eh bien... Alors... Voici ce qui est arrivé. J’ai demandé: «Etes-vous chrétienne?»

            «Non.»

            J’ai dit: «Ecoutez, votre petit garçon peut être mourant, comme le médecin le dit. Et il ira au Ciel parce que c’est un enfant.» Il avait environ six, sept ans. J’ai dit: «Il ne sait pas encore ce que c’est le péché.» J’ai dit: «Il montera au Ciel. Et si vous mourez dans vos péchés, vous ne pourrez plus jamais être avec lui. Et si vous êtes sauvé, et que le petit garçon meure et monte au Ciel, alors si vous... quand vous mourrez, vous monterez au Ciel; vous serez toujours avec lui, là où il n’y a pas d’accidents.» Et j’ai dit: «Et peut-être alors, si vous vouliez une faveur de ma part, vous feriez quelque chose pour moi, quelque chose de bien. Si vous voulez trouver grâce aux yeux de Dieu, faites alors quelque chose de bien.»

            Et alors, elle... On dirait qu’ils ne pouvaient pas manquer cela, alors ils se sont agenouillés, ils se sont mis à pleurer et à prier, ils ont donné leurs coeurs à Christ. Ils se sont relevés. Alors, la pauvre petite créature a dit: «Maintenant, entrez, et ayez une vision pour mon petit garçon.»

            J’ai dit: «Je vais prier.»

            Elle a dit: «Alors, allez à l’hôpital.»

            J’ai dit: «Non, Il peut me montrer dans ma chambre tout comme Il peut me montrer là.» J’ai dit: «Il peut ne pas me montrer du tout.»

            Alors, madame Isaacson a fini par les faire partir. Et à chaque intervalle de quelques minutes, ils rappelaient et demandaient: «Est-ce que frère Branham a déjà eu la vision?» Et ils s’intéressaient à leur petit garçon, car le médecin avait dit qu’il n’était pas revenu à lui-même, et c’était le troisième jour.

28        Nous venions de sortir de l’auditorium ce soir-là et, oh! je me tenais à la fenêtre, j’avais cette même Bible sur mon coeur; je me suis avancé à la fenêtre. Il ne faisait pas nuit là-bas à cette époque-là de l’année. Les soldats finlandais passaient là, et le... ainsi que les civils, se parlant simplement, vous savez, probablement qu’ils revenaient de la réunion, car ils avaient tous été congédiés de l’auditorium. Tout le pays, là-bas, était bien animé avec les gens.

            Et j’ai déposé ma Bible sur une table. Mon frère Howard s’est avancé, beaucoup parmi vous se rappellent qu’il était avec nous la dernière fois ici. Eh bien, s’il y a des Canadiens ici, mon intention en disant ceci n’est pas de dénigrer votre pays. Voyez? Quand nous étions au Canada, nous avions eu des bonbons et, oh! lala! ils n’ont simplement pas des produits à y mettre comme les Américains en ont. Eh bien, c’est... C’était, on dirait, fade. Il a dit: «Vous dites que les bonbons du Canada sont fades, goûtez ça.» Il m’a donné deux morceaux de bonbons, je les ai simplement déposés sur la table et je suis allé là. J’ai levé les mains comme cela, et j’ai dit: «Ô Grand Jéhovah, que Tu es merveilleux, magnifique!» Il venait de guérir cette petite orpheline de guerre ce soir-là, vous savez, celle qui était estropiée, avec une jambe courte de six pouces [15 cm] par rapport à l’autre, comme je vous l’ai raconté hier soir. Vous avez vu sa photo dans Voice Of Healing, comment elle ne pouvait pas se déplacer avec cela, une petite orpheline de guerre. Et je remerciais Dieu pour sa guérison.

29        Et pendant que je me tenais là, j’ai senti quelque chose d’étrange; j’ai regardé, et Il était là à mes côtés, Il s’y tenait. Il tenait un vase dans Sa main. Je pourrais appeler cela un vase. Je ne connais pas trop bien. C’est une espèce d’une affaire longue. Et là-dedans, il y avait deux... ce que j’appelle les fleurs de Pâques, des jonquilles d’aspect jaune. Je... Nous les appelons lys dans l’Indiana et dans le Kentucky. Je... Cela peut porter un autre nom ici mais, c’est une espèce de fleur jaune qui pousse à Pâques.

            Et elles étaient placées là dans ce petit récipient qu’Il avait, une petite chose. Alors, Il a déposé cela là sur la table. Et l’une de ces petites fleurs de Pâques qui s’inclinait vers le nord était tout étendue par terre. Et l’autre était en train de se faner, de dépérir.

30        Alors, Il m’a regardé, c’était un Homme grand et élancé, d’environ deux cents livres [90,7 kg], Il a des cheveux noirs qui Lui retombent sur les épaules. Il est d’un teint olive, Il a toujours les bras croisés, Il vient chaque fois vers moi par la droite. Il vient depuis que j’étais un tout petit enfant. Je n’avais que quelques minutes quand Il a fait Sa première apparition dans une petite cabane en rondins dans le Kentucky.

            Alors, Il se tenait là, Il a déposé ces... cette petite chose, Il me regardait. Et j’ai regardé cela, et Il a dit: «Qu’est-ce que ton frère t’a donné?»

            J’ai dit: «Seigneur, deux bonbons.»

            Il a dit: «Mange-les.»

            Alors, j’ai pris un des bonbons, je me suis mis à le croquer, il avait un très bon goût, et je l’ai avalé. Et alors, la fleur de Pâques qui penchait vers le nord... Tout à fait, du point de vue géographique, la position dans laquelle le premier garçon était tombé, vers le nord, quand la voiture l’avait cogné; tandis que l’autre garçon était tombé vers le sud. Il avait été frappé à la mâchoire et il s’était cogné contre l’arbre. Et l’autre garçon, on lui avait carrément roulé dessus, il a été écrasé sous le véhicule, celui qui était mort. Et celui qui était vivant, il revenait donc de l’école, et ce petit garçon était toujours à l’hôpital, nous n’étions pas encore allés auprès de lui.

31        Et alors, celui qui était étendu dans cette direction-là, quand j’ai mangé le premier, il s’est fait, ouf, qu’il s’est directement relevé.

            Il a dit: «Mange le deuxième.»

            Alors, je l’ai pris et, oh! quel goût terrible! Je faisais sortir cela de ma bouche comme cela, et cette fleur a commencé à faire: teuff, teuff, teuff [Frère Branham illustre.–N.D.E.]», s’affaissant.

            Il a dit: «Si tu manques de le faire, le petit garçon mourra.»

            J’ai remis ça dans la bouche, j’ai mâché très vite et je l’ai avalé. Et alors, ça fait teuff [Frère Branham illustre.–N.D.E.]» Cela s’est directement redressé avec l’autre. Alors, Il m’a regardé, cet anneau de Lumière que vous voyez sur la photo est descendu là où Il était; Il est monté dans la Lumière et Il est parti.

32        Frère Baxter et mon frère Howard étaient allés dans leur chambre. Frère Lindsay et frère Moore étaient allés dans la leur, et soeurIsaacson, dans la sienne. Et j’étais allé dans ma chambre. Je suis sorti en courant et j’ai appelé, j’ai dit: Rappelez-vous, c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR, cet enfant va vivre, cet enfant qui se meurt à l’hôpital.» J’ai dit: «Appelez-la et dites-le-lui.»

            Ainsi donc, les téléphones qu’ils ont là-bas, c’est une toute petite affaire qu’on place plutôt à l’oreille, et on tourne une petite manivelle. Elle a appelé à la maison, madame Isaacson l’a fait. Les membres de la famille avaient été appelés à l’hôpital, le petit garçon sombrait et se mourait. Ils avaient une babysitter qui était restée avec l’autre enfant. Eux étaient allés voir le dernier enfant.

            Et pendant qu’ils–pendant qu’ils téléphonaient à l’hôpital, le médecin est arrivé et il a amené la dame au téléphone et elle a dit: «L’Ange du Seigneur vient d’apparaître dans la chambre et Il a dit: ‘Ton enfant va vivre.’»

            Elle a dit: «Oh! Eh bien, je le sais. Il est assis là-dedans maintenant, il a repris conscience, il est dans un bon état, prêt à être lavé pour rentrer à la maison.»

            L’enfant vit aujourd’hui en Finlande, en parfaite santé et bien portant, car Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a honoré la prière d’une mère. Voyez? Pas moi, c’était la prière de la mère, sa promesse à elle envers Dieu, qu’elle Le servirait, le père aussi. 

33        Juste un instant, je vais commencer la ligne de prière. Hier soir, quand nous sommes arrivés à la maison, nous avons reçu un message très triste. Ma femme est assise ici devant moi avec l’enfant. Nous avons une petite enfant d’environ six mois à la maison, et vous ne savez combien c’est pénible de quitter cette petite enfant là. Elle a eu une petite nodosité à la tête; elle l’a déposée sur moi comme ceci l’autre jour, et j’ai simplement eu l’impression que le fin fond de mon coeur me quittait. Je L’aime de tout mon coeur.

            Hier soir, nous avons reçu une lettre d’une... de la secrétaire, qui disait: «L’enfant est malade.» Evidemment, la maman, vous savez comment elle s’est sentie. Elle s’est mise pratiquement dans tous ses états. Et–et l’enfant reste avec la grand-mère qui habite à une certaine distance du téléphone. J’ai dit: «Eh bien, il est presque minuit; n’appelez pas ce soir, appelez le matin.»

34        Nous nous sommes endormis là juste quelques instants. Je n’arrivais pas à dormir. J’ai entendu ma femme, son souffle devenir alors lent, normal. Alors, je me suis doucement levé, je suis allé dans l’autre pièce et je me suis agenouillé. Je me suis mis à prier. Vers trois heures ce matin, j’ai regardé dans la pièce, j’ai vu Quelqu’Un venir vers moi portant mon enfant. Elle étouffait, son petit visage était devenu rouge; ses petits yeux étaient fixes. Elle étouffait, elle n’arrivait pas respirer, et tout le monde était paniqué. On m’a tendu l’enfant, je l’ai placée dans mes bras et j’ai dit: «Ô Dieu, ne laisse pas mon enfant mourir. Epargne sa vie, s’Il Te plaît, Seigneur.»

            Vers ce moment-là, je l’ai entendue reprendre le souffle. Elle m’a regardé, et elle était alors bien portante. Je l’ai remise, et l’Ange du Seigneur a parlé dans la pièce, disant: «Le matin, tu recevras des nouvelles que ton enfant a été malade, que tout va bien maintenant.» J’ai attendu juste un peu, je suis allé dormir. Je me suis réveillé le matin vers neuf heures; ma femme est entrée dans une pièce et elle a dit: «Je vais aller téléphoner le... Je vais téléphoner maintenant pour voir ce qu’il en est de l’enfant.»

            J’ai dit: «Chérie, tu n’auras pas à téléphoner, mais voici ce que sera le message que tu vas recevoir, quand cette dame ira se renseigner, la dame va dire: ‘L’enfant a été terriblement malade, mais tout va bien maintenant; Dieu l’a guérie hier soir.’»

35        Et alors, elle a téléphoné. Mon petit garçon, Billy Paul, eux tous se sont rassemblés au téléphone. J’ai dit: «Observe ces paroles, mot à mot.» Elle a donc téléphoné, elle a eu la dame, et elle a dit: «Traverse le champ, demande à la grand-mère des nouvelles de l’enfant.»

            Elle a dit: «L’enfant a été terriblement malade, mais tout va bien ce matin.»

            Exactement mot à mot. Ô amis, cela prendrait des heures à révéler; je ne peux pas le faire; c’est illimité, ce qu’Il fait. Qu’est-ce? Cela montre que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Celui qui était autrefois avec Elie, Celui qui était sur le Fils de Dieu, Jésus-Christ, Celui qui est dans l’église ce soir, le Saint-Esprit connaît le secret de chaque coeur, et Il connaît exactement ce qui arrivera. Croyez-vous cela? Inclinons la tête.

36        Père céleste, bénis ce soir d’une façon merveilleuse. Tu connais toutes choses, Seigneur, Tu sais que je ne parle pas de moi-même, mais je parle de Ton Esprit qui est ici maintenant. Oh! Que l’Ange de Dieu vienne avec une grande onction ce soir, et que ces gens qui sont ici pour qu’on prie pour eux, Seigneur, beaucoup d’entre eux, des centaines d’entre eux, qu’ensemble ils voient la gloire de Dieu. Et si c’est possible, si c’est Ta volonté divine ce soir, Père, qu’Il apparaisse ici même sur l’estrade visiblement, que chaque oeil ici présent puisse témoigner avoir vu Sa glorieuse forme. Oh! Je sais qu’Il se tient près maintenant.

            Ô Dieu, aide les incroyants ce soir à savoir que Tu es près, que Ton serviteur a dit la vérité. Seigneur, si je dis la vérité, alors Tu confirmeras cela Toi-même, car Tu es la Vérité. Tu es la Vérité, le Chemin, la Lumière. J’ai parlé de Toi, Père, et par conséquent je sais que c’est la vérité. Et je ne redoute pas que Tu vas confirmer ce soir que cela est la vérité, devant Ton peuple. Et que ceci soit une très glorieuse réunion, et que demain après-midi, Seigneur, littéralement des centaines de gens Te trouvent. Demain soir, donne-nous l’apogée final, Seigneur, ce pour quoi nous avons prié durant toute la réunion. Bénis-nous maintenant ensemble, car nous le demandons au Nom de Ton Fils, Jésus. Amen.

37        Je suis terriblement en retard, on est le samedi; assurément, vous pouvez vous reposer un peu demain. Que tout le monde soit tout aussi respectueux que possible maintenant. Ne dérangez pas. Je suis très content de voir ces frères ici, juste toute une ligne de ces enregistreurs, et quel travail ils font pour le Seigneur! Ces enregistrements sont envoyés à travers le pays, ils s’introduisent dans des maisons, dans des salles et ailleurs. On en a même eu sous forme de films, l’autre jour, pour présenter ces choses. Et des centaines de gens sont sauvés et guéris directement par ces enregistrements. N’êtes-vous pas contents de ce qu’un homme ait le Message à coeur? Peut-être qu’ils ne sont pas des prédicateurs, ils cherchent à apporter le Message aux gens. Les médecins, me dit-on, ainsi que des hommes de–de haut standing dans le monde, sortent pour chercher à gagner des âmes pour Christ. Dieu peut se servir de ces choses; comme un moyen secondaire, comme ceci. Que le Seigneur Jésus bénisse chacun de ceux qui écoutent le Message. Qu’ils soient sauvés et guéris.

38        Maintenant, s’il vous plaît, chers amis, au Nom du Seigneur, soyez tout aussi respectueux et calmes que possible pendant les quelques prochains instants, s’il vous plaît. Je tâcherais d’être aussi rapide que possible. Et puis, j’aimerais vous poser une question juste avant que nous formions la ligne de prière, j’aimerais vous poser une question.

            Maintenant, regardez. Chaque personne ici présente, à ce que je sache, à part ma femme et monsieur et madame Roberson, monsieur et madame Upshaw, mademoiselle Brown, ce sont les seules que je connaisse dans toute la salle, autant que je peux voir ou connaître, n’importe où, excepté frère Bosworth là derrière, frère Richey, et notre frère ici, frère Baxter, mon fils.

            Maintenant, vous êtes malade et vous avez des ennuis. Et pouvez-vous vous imaginer? Préféreriez-vous prendre ma place, vous tenir ici maintenant et savoir qu’il y a ici quelques... entre cinq et six mille personnes peut-être assises ici, et tous les yeux sont braqués sur vous, et vous pouvez sentir ces vagues froides de scepticisme et tout affluer maintenant? Satan, agité, des puissances démoniaques affluent. Vous auriez dû savoir quel sentiment on éprouve. Juste une vague froide après une autre, puis la foi avance, et une vague froide avance. Des vagues, des canaux, c’est juste comme cette radio ou n’importe quoi, la télévision. La télévision, ce sont les ondes, et cela se matérialise au fur et à mesure que les ondes passent dans une espèce de cristal, ou je ne sais pas ce que c’est.

39        Et c’est ainsi que se matérialise la puissance du Dieu Tout-Puissant. La vision se matérialise devant vous juste comme la radio, juste comme la télévision. Si Dieu vous a appelé à le faire... Croyez-vous cela? Ça se fait. C’est confirmé. Je vais vous demander d’être aussi calmes que possible, de ne pas vous déplacer, car vous allez certainement interférer.

            Et tous les chrétiens, priez pour moi silencieusement dans votre coeur, s’il vous plaît. Et puis, je suis ici pour représenter le Dieu que vous aimez. Et un glorieux jour, vous et moi, chaque personne ici présente, nous nous tiendrons devant Dieu pour rendre compte de notre vie et de ce que nous avons fait de Jésus-Christ. J’aimerais me tenir en ce jour-là et dire: «De tout mon coeur, Dieu bien-aimé, quand j’étais à New York, j’ai essayé de Te représenter par tous les moyens possibles. Et je suis reconnaissant que Tu sois descendu et que Tu aies confirmé que ce que je disais était la vérité.» Cela dépendra donc de vous, ce que vous en faites. Moi, je serai alors quitte, comme Paul d’autrefois avait dit: «Je suis quitte du sang de tous les hommes.» Et je serai quitte quand ce temps arrivera, si je rends témoignage à la vérité, et que Dieu confirme que c’est la vérité.

40        Et quand quelqu’un sera guéri ici à l’estrade, que chaque personne qui souffre là dans l’assistance croie juste à ce moment-là. Croyez pour vous-même, et Dieu vous guérira. Acceptez cela et croyez-le.

            Très bien. Où est Billy?...?... Où est...?... Très bien, commençons donc par 50 alors, de J-50. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] L’aimez-vous? De tout votre coeur? Maintenant, soyons tout aussi calmes que possible devant Lui, afin qu’Il soit là où nous sommes. Les as-tu, tous les quinze, Billy? Fais venir environ vingt là. Très bien, tout le monde, tout aussi respectueux que possible maintenant. Très bien. Faites venir votre patient. Tout le monde, tout aussi calme et respectueux que possible maintenant.

41        Combien de ce côté-ci croient maintenant? Combien de ce côté ici croient? Et en bas de ce côté ici? De deux côtés? Oh! N’est-ce pas merveilleux, Frère Baxter? Frère Lindsay, regardez là, ou vous, Frère Bosworth, Frère Richey. Nous sommes... quelque chose doit arriver, amis, quelque chose a simplement...

            Dieu connaît ceci, que l’Ange du Seigneur qui m’a rencontré a dit: «Si tu amènes les gens à te croire et que tu es sincère quand tu pries, rien ne résistera à ta prière.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Il n’y aura rien. Pensez-y donc. Quelle que soit la maladie dont vous souffrez, elle ne résistera pas à la prière si vous croyez. Maintenant, que devez-vous croire? Croyez premièrement en Dieu. Croyez au Fils de Dieu, Jésus-Christ. Croyez au Saint-Esprit. Croyez aux anges. Et enfin, vous devez me croire, que je vous dis la vérité. Croyez-vous cela? Maintenant, c’est merveilleux.

            C’est à dessein que je fais ça, ami. Voyez, l’ennemi se tient ici pour me combattre (Voyez-vous?), disant: «Oh! Ce groupe de gens de New York ne croient pas.» Mais le Saint-Esprit est ici, Il dit: «Il est en erreur. C’est faux. Ils croient effectivement.» Et cela me donne l’initiative d’avancer. Voyez-vous? Très bien.

42        Voici une femme ici debout. C’est vous la patiente, n’est-ce pas, madame? Très bien. Maintenant, cette femme veut être guérie. Je ne sais rien au sujet de la dame, je n’ai jamais... Dieu le sait, je ne l’ai jamais vue de ma vie, à ce que je sache. Elle m’est une parfaite inconnue; je ne sais rien à son sujet. Il n’y a rien au monde que je sache. Dieu aura à me le révéler. Maintenant, je ne sais pas; je ne peux rien faire pour sa guérison, car elle est déjà guérie. Il y a mille neuf cents ans, Jésus-Christ a mis au Calvaire ce dont elle a besoin pour être guérie. Maintenant, tout ce qu’elle doit faire, c’est accepter cela. Et il lui sera fait selon sa foi. Si elle croit instantanément maintenant même, d’une grande foi qui prend le dessus sur sa tête, elle ira droit de l’avant et elle sera guérie ici. Si elle croit beaucoup cela, il faudra deux, quelques semaines pour qu’elle se rétablisse. Si elle est petite comme le grain de sénevé, si c’est seulement ce genre de foi qu’elle a, qu’elle s’y accroche, cela vous amènera directement à la Lumière; accrochez-vous-y donc. Croyez cela, témoignez-le, confessez-le, et Dieu fera s’accomplir cela.

43        Maintenant, que tout le monde soit respectueux. Et que tous ceux qui sont ici maintenant sans carte de prière lèvent la main, ceux qui veulent qu’on prie pour eux. Tous ceux qui n’ont pas de cartes de prière, ceux qui n’ont pas de cartes de prière lèvent la main. Très bien, c’est comme ça. Maintenant, soyez respectueux.

            Eh bien, regardez dans cette direction, partout dans la salle et croyez que c’est la vérité, et si vous êtes malade, acceptez Jésus comme votre Guérisseur et dites: «Seigneur Dieu, pour confirmer ma foi, pour confirmer ma foi, que frère Branham m’appelle. Que frère Branham m’appelle ici et me dise que je suis guéri.» Allez-vous le faire? Et si seulement vous ne–vous ne... n’y allez pas par hasard, mais croyez vraiment cela de tout votre coeur, Dieu détournera mon attention de cette estrade, Il me montrera ce qui se passe là dans l’assistance, Il vous appellera, ce que vous êtes, qui vous êtes, quel est votre nom, et tout à ce sujet. Croyez-vous cela? Très bien. Maintenant, soyez donc en prière, tout le monde, avec révérence.

44        Père, aide-nous maintenant. Voici une femme ici debout à mes côtés. Je ne la connais pas. Tu la connais, Seigneur. Tu sais ce qu’elle est. Tu l’as nourrie depuis qu’elle est sur la terre, chaque souffle qu’elle a aspiré, c’est par Ta grâce divine. Chaque bouchée de nourriture qu’elle ait jamais mangée, c’est par Ta grâce divine. Et je Te prie, Seigneur, que si elle se tient ici malade et affligée, de laisser Ton Esprit qui était sur Ton Fils, Jésus-Christ, descendre sur ce pauvre vase indigne.

            Indigne, c’est vrai, Seigneur, mais si Tu cherchais des mains saintes ce soir, où les trouverais-Tu? Nous avons tous péché et nous sommes privés de la gloire. Mais, oh! combien nous sommes encouragés de lire dans les Ecritures qu’Elie était un homme de même nature que nous. Ce n’était pas sa–sa moralité, c’est que Toi, Tu l’avais appelé à être et ce qu’il avait fait avec le don que Tu lui avais donné. Maintenant, viens en aide, Dieu bien-aimé, afin que Ta puissance qui avait révélé à la femme au puits ses péchés, qui avait dit à Philippe où il était, leurs besoins et leurs causes, puisse-t-Il venir ce soir. Comme j’ai témoigné de Toi, maintenant, Père, témoigne que j’ai dit la vérité. Et ces gens croiront en Toi et seront guéris. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

45        Frère Baxter, je n’aimerais pas que vous soyez loin maintenant pendant un moment. Maintenant, m’entendez-vous très bien là tout au fond? Quand parfois l’onction est très forte, je... on dit que ma voix ne porte pas assez haut. Vous veillerez à cela, n’est-ce pas, frères, quelque part?

            Maintenant, madame, vous et moi, nous sommes inconnus. Je ne vous connais pas. Je suis totalement, pleinement, dépendant de Jésus-Christ. Et vous êtes ici, il y a ici plusieurs milliers de gens qui se tiennent ici ce soir et qui regardent. Beaucoup parmi eux ont levé la main pour dire qu’ils sont chrétiens. Ils croient, et ils croient que j’ai dit la vérité. Maintenant, voyez dans quelle situation cela me place. Vous voici, vous êtes venue de l’assistance, là, une parfaite inconnue, vous avez reçu une carte qui porte un numéro dessus, et vous voici montée ici. Il s’est fait que c’est votre numéro qui a été appelé. Et vous êtes la première de la soirée. Oh! lala! Comme c’est magnifique!

46        Maintenant, si je peux connaître quelque chose... Je vois que vous respirez très vite. J’aimerais que vous ne soyez pas excitée, soyez simplement respectueuse. Voyez? Ayez foi en Dieu. Etes-vous consciente de quelque chose d’étrange? Eh bien, c’est l’Ange du Seigneur. Assistance, j’aurais voulu que vous soyez tous assez près maintenant pour sentir ce qui est en train de descendre. Cela s’établit. Cela vient directement à ma droite maintenant. L’Ange de Dieu, devant Qui j’aurai à me tenir au jour du Jugement, est en train de venir sur moi. La dame en devient très consciente maintenant.

            Je vois une vision se dérouler. Elle disparaît de devant moi maintenant. Oh! Quelle Lumière! Regardez-moi, soeur. Vous cherchez à croire, n’est-ce pas? Vous souffrez de l’asthme; ça, c’est une chose. Vous en avez souffert depuis un bon bout de temps aussi. Dites donc, je vous vois sous une intervention chirurgicale, ou quelque chose comme cela. Cela a aussi eu lieu il y a quelque temps. Je vois un médecin au teint sombre qui dit, on dirait, qu’il y a quelqu’un qui vous attend dans le couloir, en costume gris.

            Je vois un homme s’approcher de vous, oui, vous avez un, vous souffrez maintenant aussi suite à un examen... une tumeur. N’est-ce pas vrai? Cette tumeur se trouve sur votre sein, n’est-ce pas, le sein gauche, sur le flanc gauche. Je vois le côté de la table sur laquelle vous êtes couchée, sur laquelle ils examinent. N’ayez pas peur. Cela me quitte maintenant, juste un instant. Vous voulez aussi servir Dieu d’une façon différente de celle dont vous Le servez. Vous avez promis à Dieu, si vous pouvez vous rétablir, que vous irez de l’avant et que vous chercherez des choses profondes de Dieu, n’est-ce pas? Vous étiez en train de prier à côté du lit, là où est placé, est disposé un fauteuil. Est-ce vrai? Il y a une petite chose verte suspendue là du côté du mur. N’est-ce pas vrai? En chambre. Me croyez-vous en tant que Son prophète? Allez-vous accepter ce que je vous dis? Allez-vous accepter Jésus comme votre Guérisseur maintenant? Levez la main, dites: «J’accepte maintenant Jésus-Christ comme mon Guérisseur.» Allez en paix, Jésus-Christ vous guérira. Poursuivez donc votre chemin en vous réjouissant, et guérissez de votre maladie. Allez par ici, en vous réjouissant simplement.

47        Disons: «Gloire à Dieu!» Maintenant, tout le monde, soyez respectueux. J’aimerais que tout le monde sache que ce que je dis, ce n’est pas de moi-même. Ce n’est pas ma voix; c’est ma voix, mais ce n’est pas moi qui l’utilise. J’entre dans une autre place et je vois ce qui se matérialise devant moi. Les gens disparaissent. En ce moment-ci, je ne peux pas vous dire ce qui clochait chez la personne pour qui je viens de prier. J’ai simplement eu une vision; et je dois simplement dire cela tel que cela me vient. Et puis, la personne témoigne après que cela m’a quitté, si c’est vrai ou si c’est faux. Très bien. Faites venir le patient. Et que tout le monde soit très respectueux.

            Bonsoir, monsieur. Je vois évidemment de par votre habillement que vous êtes un prédicateur. Voudriez-vous vous approcher un peu plus, monsieur? Notre Christ est merveilleux, n’est-ce pas, frère? Je vois que vous êtes bien un croyant. Oui, oui, je le vois. Dites donc, vous avez un ministère de prier pour les malades vous-même. Vous priez pour les malades, n’est-ce pas? Vous écrivez beaucoup de livres et autres sur le même sujet, n’est-ce pas? Vous venez du Canada, n’est-ce pas? C’est vrai. Vous souffrez d’une maladie dans vos intestins. Je dis que c’est–c’est le cancer des intestins, c’est ce que c’est. Cela a formé l’ulcère, ça commence à vous causer beaucoup d’ennuis. N’est-ce pas vrai? Mon frère, laissez-moi prendre votre main.

48        Dieu miséricordieux, je tiens maintenant dans ma main la main qui a écrit les paroles qui apportent le soulagement et pour cette souffrance. Satan cherche à détruire ce combattant. Mais Tu es ici pour le guérir. Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie et Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur mon frère, alors que je parle en Ton Nom. Et, ô Dieu, si Ton serviteur a trouvé grâce à Tes yeux, épargne la vie de mon frère. Et qu’à partir de ce soir, Tu l’en débarrasses et qu’il soit un combattant, sur les champs là-bas, qui amènera littéralement des milliers à trouver une grande assistance. Accorde-le, Seigneur. Et maintenant, je maudis ce démon appelé cancer au Nom de Jésus-Christ, qu’il sorte de lui, et que cet homme vive. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Votre vaillante foi vous a sauvé. Retournez à la maison. Et votre ministère va prospérer, et vous ferez pour le Seigneur plus que ce que vous avez déjà fait. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Disons: «Gloire à Dieu!»

49        Connaissez-vous cet homme, Frère Baxter? Eh bien, disons: «Gloire au Seigneur!» [Frère Baxter parle: «J’aimerais dire juste une chose sur cet homme-ci. Il y a eu un échange des lettres en lui et en moi au sujet du déplacement vers New York. J’ai dit: ‘Viens.’ J’ai dit: ‘Il n’y a rien que je puisse vous promettre.’ Quand frère Branham a dit que cet homme a écrit des livres, j’étais sur le point de sauter, car dans la dernière lettre qu’il m’a adressée, il m’a envoyé un de ses livres sur la guérison divine. Tout ce que frère Branham a dit au sujet de cet homme est vrai. Et frère Branham ne savait pas ça.–N.D.E.]

            Je ne peux que dire ce que Dieu m’a montré et me dit de dire. Mais je ne peux seulement que le voir se matérialiser devant moi, c’est ce que je peux faire. Il n’y a rien d’autre que je puisse faire. Mais cet homme ne va pas mourir de cancer. Il va vivre. Très bien, faites venir le patient.

50        Bonsoir, soeur. Voudriez-vous vous approcher un peu plus? J’aimerais que vous vous approchiez un peu plus afin que je sache quand Cela commence à parler, Cela va... votre voix va être captée au microphone. Voyez-vous? Je vois que vous êtes une chrétienne. Oui. Dernièrement vous vous êtes fait beaucoup de soucis. Vous êtes... Quelque chose vous dérange. Je vois quand vous vous tenez en chambre, inquiète. Dites donc, c’est dans votre... C’est une tumeur, n’est-ce pas? C’est une tumeur qui vous dérange. Et cette tumeur-là, je vous vois montrer cela. C’est–c’est dans votre bouche, n’est-ce pas? C’est une tumeur dans votre bouche. C’est vrai. Il est arrivé quelque chose donc, n’est-ce pas? La vie de la tumeur a quitté, soeur. Rentrez chez vous bien portante. Au Nom du Seigneur Jésus, faites...

            Disons: «Gloire à Dieu!», qui nous donne la victoire par Jésus-Christ notre Seigneur. Très bien. Que la dame vienne, s’il vous plaît.

51        Oh! Quel merveilleux moment! Vous devriez simplement sentir cela maintenant. La foi agit simplement partout maintenant, cela agit simplement. Oh! Que c’est merveilleux! Oh! Si seulement je pouvais faire comprendre aux gens cette unique chose maintenant même, ce qui arriverait serait inconnu par rapport à la gloire qui a existé.

            Eh bien, voyons, vous êtes... Excusez-moi, soeur, cela me met un peu hors de moi. Approchez un peu plus. Je–je–je ne crois pas, humainement parlant, que je vous ai déjà vue. Sommes-nous inconnus? Oui, madame. Maintenant, j’essaie simplement de–de vous aider. Vous êtes une chrétienne, ayant le Saint-Esprit, là. Quelle joie ça a été quand vous L’avez reçu! Je vous vois crier et faire signe de la main. Eh bien, votre problème maintenant, c’est que vous souffrez. Vous êtes horriblement nerveuse; cela est sur vous depuis un temps. Cela est dû à vôtre âge, votre cycle de vie, la ménopause. Je vous vois aussi souffrant d’un désordre gynécologique, cela vous dérange, n’est-ce pas? Oui, madame. Votre estomac est beaucoup troublé. N’est-ce pas vrai? Est-ce vrai, ce qui a été dit. Me croyez-vous en tant que Son prophète? Levez la main et dites: «Jésus-Christ, je crois maintenant que Tu es mort pour ma guérison. J’accepte ma guérison maintenant.» Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez manger tout ce que vous voulez, cet écoulement s’arrêtera. C’était un abcès sur l’ovaire, mais vous allez vous rétablir maintenant. Partez. Que Dieu vous bénisse.

52        Disons: «Gloire à Dieu!» Que tout le monde soit respectueux, s’il vous plaît, s’il vous plaît, tout respectueux, juste quelques instants. Ne vous déplacez pas, cela me dérange beaucoup ici. Si seulement vous saviez la pression que causent le déplacement et la friction entre les gens! Voyez, vous êtes en ligne avec le–le Surnaturel. Et rien qu’un petit geste, vous pouvez percevoir cela. Ça dérange et cela me désarçonne ici. S’il vous plaît, soyez respectueux. Il n’est pas étonnant que Jésus ait pris un homme... Vous direz: «Frère Branham, qu’en est-il?» Eh bien, Jésus avait pris un homme par la main et Il l’a fait sortir de la ville, à l’écart de la foule. N’est-ce pas vrai? Il est écrit: «Regarde-nous», ont dit Pierre et Jean.

            Très bien, venez, monsieur. Soyez très respectueux, s’il vous plaît, juste un instant. Je sais qu’il se fait tard, mais pensez à la souffrance. A la clinique Mayo, vous attendriez jour après jour. J’ai été à la clinique Mayo il y a deux ans. Et la chose merveilleuse, ce qui réjouit mon coeur, c’est qu’à la clinique Mayo, il y a deux semaines, ils ont commandé mon petit livre que vous avez là derrière au point de vente, sur la guérison divine, qu’on placera dans leur–dans leur lab-... dans leur bibliothèque, pour leurs étudiants. La clinique Mayo a commandé mon livre sur la guérison divine, ils veulent savoir comment ces miracles se sont accomplis. On ne peut pas nier qu’il y en a, mais ils veulent étudier comment ça s’accomplit. Gloire à Dieu! Voici le livre qui révèle tout cela. Le secret de Dieu.

53        Très bien. Frère, croyez-vous de tout votre coeur? Votre diabète vous a quitté, vous pouvez donc quitter l’estrade et être heureux.

            Très bien. Disons: «Gloire à Dieu!» Très bien. Faites venir la dame.

            Soeur, ayez foi. Vous souffriez de la même chose, n’est-ce pas? Quittez l’estrade, soyez également bien portante au Nom du Seigneur. Amen.

            Croyez-vous de tout votre coeur? Que tout le monde soit respectueux. Qu’en est-il de là tout au fond maintenant? Mettez-vous à croire. Je crois que le Seigneur va faire une percée dans cette assistance d’ici quelques instants. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas, croyez.

54        Qu’en pensez-vous, vous assise là? Eh bien, la dame dans ce fauteuil roulant, qu’en pensez-vous? Suivez les instructions de l’infirmière. Elle sait au sujet de Dieu. Très bien. Qu’en pensez-vous, monsieur, couché sur le fauteuil roulant? Croyez-vous de tout votre coeur? Ayez foi maintenant. Dieu peut faire... Il a déjà fait cela, si seulement votre foi peut s’élever. Ayez foi; ne doutez pas.

            Vous tous dans la ligne, allez-vous croire maintenant? Très bien, faites venir la dame. Il est au milieu de nous maintenant même, je regarde ici en bas et je vois le membre du Congrès Upshaw qui était infirme pendant soixante-six ans. Il avait postulé pour devenir président des Etats-Unis. Il est connu dans tout le pays, partout, en Angleterre. Cet homme en était arrivé à... La même chose se passe ici même, c’est la même chose quand on l’amenait sur un fauteuil roulant en Californie dans l’une des réunions. J’ai vu un homme se fracturer et tout ce qu’il avait enduré. Et là, il était assis là, il avait été invalide pendant soixante-six ans. J’ai dit: «Je vois un jeune garçon. Il s’est fracturé à côté d’un tas de foins, près d’une meule de foins.» Il a parlé d’un certain médecin et autre, et tout ce qu’il avait fait. Et alors, quand frère Baxter est venu, il m’en a parlé, il a dit: «Cela...»

55        J’ai vu là où il était assis, et l’homme là a dit: «Eh bien, cet homme est un membre du congrès. Il est dans cet état-là depuis des années.» Et j’allais quitter. Et alors, j’ai vu monsieur Upshaw sans béquilles, sans fauteuil roulant ni rien, allant en marchant tout aussi agilement que possible. Et cet homme était là, après avoir été estropié pendant soixante-six ans. J’ai dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Il est ici ce soir, âgé de quatre-vingt-cinq ans, tout aussi agile que n’importe quel homme de trente ans dans la salle. On dirait que s’il devait être guéri, il aurait dû être guéri dans le passé, quand ses os étaient... contenaient du bon calcium et autres. Mais Dieu, dans Sa puissance, a montré qu’Il pouvait tout faire. Il est le Dieu qui était... Il est ici maintenant même, vous faisant signe de la main. Grâce étonnante, oh! quel doux son!

56        Très bien, madame. Votre maladie du coeur vous a quittée pendant que vous étiez là debout. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant et soyez heureuse.

            Venez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Ne voudriez-vous pas perdre cette drôle de tumeur? Vous allez quitter l’estrade étant heureuse. Cela vous a quittée. Disons: «Gloire à Dieu!»

            Que quelqu’un là dans l’assistance prie maintenant et accepte Jésus. Acceptez-Le comme votre Guérisseur maintenant. Dans votre coeur, dites: «Je crois.» Là tout au fond, là en haut. S’il vous plaît, tout le monde, soyez respectueux; soyez respectueux, s’il vous plaît. Ne doutez pas; croyez.

            Venez, madame, ayez foi. Bonsoir, soeur. J’aimerais juste vous parler un moment. Oui, madame. Vous–vous pensez que tout va mal chez vous, la maladie du coeur. Cette maladie du coeur est causée par l’indigestion. Cela s’empire pour vous lorsque vous vous couchez après avoir mangé, n’est-ce pas? Tout votre problème, c’est la nervosité, n’est-ce pas vrai? Vous... Il y a aussi la nervosité. Je vous vois vous–vous tenir la tête comme ceci en marchant. Vous pensez parfois avoir perdu la tête. N’est-ce pas vrai? Mais Jésus-Christ vous guérit maintenant. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Que Dieu vous bénisse, vous...

            Disons: «Gloire à Dieu!»

57        Très bien. Venez, monsieur. Croyez-vous de tout votre coeur? Vous ne souffrirez donc plus de cette maladie du coeur, vous pouvez quitter l’estrade et être bien portant. Que Dieu vous bénisse, mon frère.

            Disons: «Gloire à Dieu!»

            Je vois un homme assis là tirant ses genoux, priant et pleurant. Il a quelque chose enfoncé à l’oreille. Croyez-vous, monsieur? Evidemment, je vois que quelque chose cloche à votre oreille. Dieu peut guérir cette oreille-là, n’est-ce pas? Croyez-vous cela? Tenez-vous debout juste une minute. Oh! Ce n’est pas tellement une maladie d’oreille, c’est le trouble d’estomac qui vous dérange. N’est-ce pas vrai? Si c’est vrai, levez la main. C’est vrai. Rentrez chez vous et mangez ce que vous voulez. Jésus-Christ vous guérit. Amen. Maintenant, vous tous, vous pouvez être heureux.

            Très bien. Venez, soeur. Je vois entre vous et moi le sang couler, ça paraît très clair. On dirait qu’il contient du sucre, ou de l’eau. Vous êtes anémique, n’est-ce pas? Quittez l’estrade et recevez la transfusion du Calvaire par Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Que Dieu vous bénisse.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» Très bien. Faites venir votre patient.

58        Allez-vous croire, soeur, de tout votre coeur alors que vous avancez? Je vois que vous êtes gravement malade, je sens la pression de l’ennemi. Vous souffrez du cancer, n’est-ce pas? Venez ici une minute. Déposez votre mouchoir ici même. Me croyez-vous en tant que Son prophète? Venez ici, j’aimerais que vous voyiez ma main. Elle est juste comme la main d’un homme ordinaire, n’est-ce pas? J’aimerais que vous placiez la vôtre ici sur la mienne, que vous me touchiez donc. Maintenant, regardez ce qui est arrivé. Voyez-la gonfler et ces choses blanches qui la parcourent. Maintenant, je vais enlever votre main, je vais placer ma main dessus. Il n’y en a plus là maintenant, n’est-ce pas? J’aimerais placer votre autre main ici dessus. Il n’y a rien là maintenant, n’est-ce pas? Eh bien, vous êtes toute aussi humaine dans cette main-ci que vous l’êtes dans cette main-là. Venez ici, Frère Baxter. Mettez votre main ici dessus, il n’y a rien là maintenant, n’est-ce pas? Viens ici, Billy Paul. Il n’y a rien là maintenant, n’est-ce pas? Il n’y a rien là maintenant. Maintenant, placez votre main là-dessus, mais ça y est maintenant. Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez cette main afin que l’assistance voie.

            Maintenant, ma main devient rouge très sombre et blanche comme des choses la parcourent, est-ce vrai? Ces petits... c’est comme de petits boutons ou des bosses qui parcourent ma main. Maintenant, observez comment cela va et vient: cela va là, ça se déplace là, ça revient. Vous savez quoi? C’est une vie, un cancer, une grosseur maligne qui est en vous, multipliant les cellules, cherchant à vous ôter la vie.

59        Je vois que vous avez beaucoup prié également à ce sujet, n’est-ce pas? On dirait sans résultats. Vous avez essayé de croire. Vous avez essayé d’accepter cela. Vous avez prié il n’y a pas longtemps, et vous pensiez que vous alliez réellement très bien alors, mais il s’est fait que ce n’était pas ça. N’est-ce pas vrai? Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais je vois là où vous étiez. C’est vrai. Mais quand vous avez appris que je... Ou avez vu... Je crois que vous avez vu quelque chose, vous avez lu quelque chose que vous... Je vous vois regarder en bas, et puis, je vous ai entendu dire: «Quand je... Frère Branham, quand j’irai à sa réunion, il priera pour moi, je vais me rétablir.» Est-ce ce que vous avez dit? Levez la main si c’est vrai. Alors votre foi vous a sauvée, soeur. Où sont les vibrations maintenant? Elles ont disparu. Maintenant, vous pouvez partir et vivre. Que Dieu vous bénisse. Oh! lala! Disons: «Gloire au Seigneur!»

60        Sans prière, votre foi vous guérit. Est-ce vrai? Vous êtes heureuse, n’est-ce pas? C’est vrai. Et Il vous a guérie de la maladie du coeur tout à l’heure. Maintenant, vous pouvez quitter l’estrade, heureuse, car vous ne souffrez plus de la maladie du coeur. Disons: «Gloire au Seigneur», tout le monde.

            Qu’en est-il de vous, soeur; me croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Vous souffriez des nerfs, n’est-ce pas? Levez-vous et soyez guérie. Au Nom du Seigneur Jésus, et sortez de... Que Dieu vous bénisse, soeur. Vous n’éprouverez donc plus ces sensations. Allez et réjouissez-vous. Disons: «Gloire au Seigneur.»

            Je sens simplement quelque chose... C’est différent maintenant, n’est-ce pas, frère? Amen. Amen. C’est vrai. Amen. Votre foi vous a sauvé, mon frère.

            Très bien, venez, soeur. Voulez-vous guérir de cet asthme? Levez la main et dites: «Je T’accepte Jésus comme mon Guérisseur.» Que Dieu vous bénisse. Je vous impose les mains selon la Parole qui dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Au Nom du Seigneur Jésus, allez et soyez guérie.

61        Voulez-vous être guéris, vous là dans l’assistance? Croyez-vous de tout votre coeur? Je vois une petite dame. Vous sentez donc un changement au sujet de cette nervosité, n’est-ce pas, soeur? Vous venez d’être guérie, vous sentez un changement: plus calme, certainement. Eh bien, que tout le monde soit respectueux.

            Si seulement vous pouvez savoir, mon ami chrétien, ce qui se passe maintenant même. Je regarde là dans l’assistance, je pense maintenant former une autre ligne de prière, appeler un autre numéro juste dans une minute. Pourquoi avez-vous levé la main, madame? Me croyez-vous? La dame en chapeau rouge là-bas, me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Croyez-vous que Dieu peut me révéler ce qui cloche chez vous là-bas? Regardez-moi juste une minute. Oui, vous souffrez d’une tumeur, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? Je le vois exa-... C’est une tumeur qui est sur la jambe gauche, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? Si c’est vrai, faites signe de la main de part et d’autre comme ça. Rentrez chez vous et recevez votre guérison, soeur. Au Nom du Seigneur Jésus, Il vous guérit.

62        Qui aimerait être guéri? Qui aimerait croire? Maintenant, que notre Père céleste me parle maintenant même. Je vois un homme debout ici même, juste de ce côté-ci. C’est un homme un peu costaud. Il se tient... Oh! Oui, il souffre de–de la hernie. Je vois où je peux voir l’homme. Il a disparu de ma vision tout à l’heure, il se tient juste...

            Un homme est assis ici même, il a des cheveux plutôt fins, un homme grand. Oh! N’est-ce pas que vous souffrez de la hernie, hernie? C’est vrai. Que Dieu vous bénisse, mon frère, que le Seigneur Jésus vous rétablisse complètement.

            Juste un instant, je vois un homme debout devant moi maintenant, il vient dans cette direction, un homme un peu mince, portant un costume gris et une cravate violette. Il est assis juste ici en bas. Levez-vous juste une minute, monsieur. Hein? Cet homme, là, en cravate violette, un homme un peu mince... Oh! Oui, vous souffrez de–de troubles d’estomac, est-ce vrai? Et dites donc, vous avez quelque chose qui cloche aussi à votre vessie, n’est-ce pas? Une affection de la vessie, un ulcère dans la vessie; est-ce vrai? Levez la main. Recevez votre guérison, mon frère. Au Nom du Seigneur Jésus.

63        Juste un instant. Maintenant, soyez respectueux, amis. Je me sens terriblement faible. Juste un instant, croyez maintenant de tout votre coeur. Maintenant, je vois un homme venir dans cette direction, il vient jusqu’ici. Juste un instant. Cet homme a quelque chose qui cloche avec son... Je vois, non, c’est... On l’examine, un médecin le consulte. Il s’arrête et revient dans cette direction. Il se déplace, oui, c’est–c’est son foie. Il souffre d’une affection de foie. Je vois l’homme maintenant, le voici... Cet homme est assis là, il est assis là même. Vous souffrez de foie, n’est-ce pas, monsieur? Le foie est enflé, n’est-ce pas vrai? Levez-vous et recevez votre guérison, mon frère. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

            Y a-t-il quelqu’un d’autre ici présent qui aimerait être guéri? Qui accepterait Jésus comme son Guérisseur? Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez. Maintenant, allez-vous me croire? Vous ai-je dit la vérité? Est-ce que le Dieu Tout-Puissant a été ici pour confirmer que j’ai dit la vérité? Croyez-vous que c’est vrai? Croyez-moi en tant que Son prophète: Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a guéri chacun de vous. Il n’a pas à vous prendre. Tout est en train de beaucoup bouger maintenant, je ne sais pas si je peux voir quelqu’un ou pas. Mais allez-vous faire–faire ce que je vous demande de faire? Imposez-vous les mains les uns aux autres, comme ceci. Placez vos mains les uns sur les autres, s’il vous plaît. Venez ici, Frère Richey, Frère Bosworth, quelqu’un, très vite, venez ici. Donnez-moi de l’eau à boire, très vite...?... Je suis désolé, mon... que voici...?... Je me sens très faible, je n’arrive guère à me tenir debout.

            Ô Dieu, Auteur de la Vie, Donateur de la miséricorde, envoie Tes bénédictions sur ces gens et bénis-les, Seigneur. Guéris-les tous, au Nom de Ton Fils Jésus. Je maudis chaque maladie ici présente au Nom du Seigneur...?...

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