Trois Témoins

Date: 51-0728 | La durée est de: 1 heure et 47 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Baxter. Bonsoir, mes amis. Je suis très content d’être ici ce soir pour représenter encore notre Bien-Aimé Seigneur Jésus. J’aimerais vous complimenter pour ce cantique-là, alors que j’arrivais, comme vous chantiez cela. Mon fils est arrivé au sommet des marches et il est redescendu, il a dit: «Entends-tu cela?» C’était un très beau chant. J’ai toujours dit: «J’aime beaucoup chanter. Quand vous arriverez donc au Ciel et qu’on sera en train de chanter... là où il y aura des chants, c’est là que je serai.» J’aime entendre cela.

            Je disais aux miens dans mon église, je disais, là au... Je crois que c’était pour moi une petite chose mystique, que je leur racontais, je disais: «La rivière de la Vie coule depuis le Trône de Dieu, et elle fait une courbe ici, disais-je. Et de ce côté-ci de la colline, il y a une grande chorale d’anges, de grands chanteurs de tous les âges chantent là jour et nuit.» Je disais: «De cet autre côté-ci, il y a un petit arbre, et je serai assis sous ce petit arbre-là en train d’écouter, si jamais vous voulez me trouver.» C’était pour moi simplement quelque chose que je disais à mon–mon église. Que cela soit ainsi ou pas, je ne sais pas, mais peu importe ce que ce sera, ça sera glorieux tant que Jésus sera là. Ce sera–ce sera glorieux.

2          Demain après midi, me disait le frère, j’étais censé parler à quatorze heures trente, je pense, demain après-midi. Et puis, demain soir, il y aura notre service de clôture. Nous espérons que ce sera quelque chose de glorieux pour vous tous, que Dieu vous aidera et vous bénira tous. Et je–je sais bien qu’Il le fera. Et je Lui fais simplement confiance. Rappelez-vous, celle-ci est l’une de mes dernières réunions en Amérique. Ainsi donc, je fais simplement confiance en Dieu que ce sera une chose glorieuse.

            Et c’est ma première fois donc de tenir un service ici en Pennsylvanie. J’ai rencontré ce matin des amis qui me parlaient de frère Roberts, un autre frère qui prie pour les malades. Je me rappelle qu’il était dans la rangée, la rangée de côté; il observait l’oeuvre. Il est venu vers moi, il a dit: «Frère Branham, pensez-vous que Dieu fera cela pour moi?»

            J’ai dit: «Que voulez-vous dire, Frère Roberts?»

            Il a dit: «Exaucer la prière.»

            J’ai dit: «Il le fera pour n’importe qui.» C’est vrai.

3          Et aussi, frère Osborn est ici. Beaucoup parmi vous connaissent frère Osborn, j’aime vraiment ce jeune homme. Il a assisté à ma réunion, cette soirée-là, je pense, à Portland, dans l’Oregon, quand ce fou courut à l’estrade, un homme de pratiquement trois cent livres environ [136 kg]; il venait de sortir de l’asile des fous. Il détestait vraiment les prédicateurs. Il avait cogné un homme la veille. Il était recherché par la police. Il lui avait cassé la clavicule, la mâchoire, et l’avait terrassé dans la rue. Et il évitait la police, et alors il était entré. Il y avait cinq mille... cinq cents là-bas cette nuit-là. Et je venais de monter à la chaire, je me tenais simplement là en train de parler sur la foi. Et tout d’un coup, quelqu’un est venu en courant à l’estrade, il a couru vers la chaire. Environ trois cents prédicateurs étaient assis là derrière et eux tous connaissaient cet homme. Il portait un costume gris, un homme colossal. Il est monté en courant et martelant simplement comme cela, très vite. Et j’ai pu détecter que quelque chose clochait. Mais jamais je...

            Vous savez, la Parole de Dieu vient en premier. Cela passe en premier. Quand cette Parole est proclamée, c’est là que tout devrait se passer avec respect. Et alors, il a couru à l’estrade. Il a dit: «Toi hypocrite, a-t-il dit, toi serpent dans l’herbe.» Il a dit: «Je vais te prouver à quel point tu es homme de Dieu, a-t-il dit. Je vais te briser chaque os du corps.»

4          Alors, je me suis retourné vers lui, j’ai vu qu’il était possédé des démons. Et je venais de conduire deux jeunes agents de police à Christ, c’était derrière dans la salle d’attente, dans le vestiaire. Et rapidement, ils se sont précipités à l’estrade, je leur ai fait signe. Ce n’était pas une affaire de la chair et du sang; c’était entre des puissances spirituelles. Je suis simplement allé de l’avant avec le... J’ai commencé le message, et ces prédicateurs, trois cents d’entre eux, ont commencé à reculer. Frère Baxter était présent, il est assis là. Je venais de faire sa connaissance. Beaucoup de prédicateurs, je pense que vous tous, vous connaissez. Et docteur Wyatt, vous souvenez-vous de lui? Il est... il était là. Et Booth, frère Booth-Clibborn, vous vous rappelez qu’il était là, et beaucoup de ceux qui sont là dans les environs de Portland, en Ore-... la région.

            Et, oh! quel homme c’était! Il s’est retourné et a dit: «Toi hypocrite, a-t-il dit, toi séducteur, a-t-il dit, tu te tiens ici à l’estrade et tu te fais passer pour un homme envoyé de Dieu, devant ces gens, tu te comportes comme ça.» Il a dit: «Je vais te prouver à quel point tu es envoyé, a-t-il dit, je vais te briser chaque os de ton corps frêle ce soir.»

5          Eh bien, sur le plan physique, il en était certainement capable. Et il pesait pratiquement trois cents livres [136 kg], je suppose; il mesurait environ six pieds et deux pouces [1,88 m] et il avait des bras à peu près comme ça. Et il avait les yeux fixes, les dents... ensemble tranchantes comme des ciseaux. J’ai simplement continué à parler. Et il s’est rué vers moi, a foncé vers moi, disant: «Je vais te briser chaque os du corps.»

            Alors, je me suis retourné, pour le regarder... Eh bien, vous feriez mieux d’être sûr, vous savez ce dont vous parlez en de tels moments. Il n’y a là aucune possibilité pour vous de–de vous tromper, vous feriez mieux de laisser Dieu s’y prendre à Sa façon. Alors, je... Il m’a dit... Il m’a promis, en m’envoyant, de prendre soin de moi. C’est donc à Lui de faire cela. Voyez-vous? Donc, je... Eh bien, je... Et Il le fera, dans chaque bataille.

            Alors, je me suis retourné vers lui. Je me suis tenu là juste quelques instants, juste une ou deux secondes, et il m’a encore traité de serpent dans l’herbe, d’hypocrite. Et je n’avais jamais dit quoi que ce soit, j’ai encore levé les yeux et il a dit: «Ce soir, je vais te briser chaque os du corps.» Et il a dit... [Frère Branham illustre le fait de cracher.–N.D.E.] Il m’a craché droit au visage, comme cela. Et j’allais dire quelque chose. Je ne ferais pas cela, amis, j’allais dire cela. Au lieu de cela, l’Ange du Seigneur est descendu en tourbillonnant et a dit: «Ce soir, tu tomberas sur mes pieds. Tu t’inclineras au Nom du Seigneur Jésus-Christ.»

6          Eh bien, ce n’était pas moi, c’était Dieu. Tous deux avaient donc prononcé leurs prophéties. Tous deux avaient lancé leurs défis, les deux esprits. Eh bien, la chose suivante, c’était: Qui avait raison? Il a dit: «Je vais te montrer comment je vais m’incliner à tes pieds.» Et il a foncé comme ça, il a tiré son gros poing vers l’arrière. Et tout le monde était resté bien fasciné. Evidemment, tous ces démons étaient là, c’était leur légion. Je suis sûr que je parle à des gens spirituels. C’étaient des légions. Tout était entré dans cet homme. Comme Goliath d’autrefois. Et il était... Oh! Il a lancé ce défi avec audace, il s’est précipité vers l’avant, il a dit: «Je vais voir sur les pieds de qui je vais tomber.» Et il a tiré son gros poing vers l’arrière comme ça.

            J’ai dit: «Satan, sors de cet homme.»

            Et alors il a fait... Il a lâché un cri très fort, il a levé les mains, ses yeux se sont écarquillés comme ça, il s’est écroulé au point que la police a dû le repousser pour le retirer de mes pieds, comme il me clouait au plancher.

            Ils ont demandé: «Est-ce que cet homme est mort?»

            J’ai dit: «Non.»

            «Eh bien, ont-ils demandé, est-il guéri?»

            J’ai dit: «Non. C’est seulement Dieu qui montre Sa puissance pour amener ce démon à s’incliner devant Lui.» C’était tout. Voyez? J’ai dit: «Il n’est pas mort.»

7          Combien ont lu cela dans le livre? Oh! Beaucoup parmi vous ont mon livre, le récit là-dessus. Et c’est... Concernant ces livres-là, j’aurais voulu en avoir beaucoup, mais nous n’en avons pas, passez simplement la commande au bureau, nous en aurons encore dix mille très bientôt.

            Et frère Osborn, sa femme était là cette nuit-là. Alors, frère Osborn a dit (Il a jeûné seul dans une chambre, la porte fermée), il a dit: «Seigneur, si Tu es toujours Dieu comme cela, Tu peux aussi m’aider», le jeune homme.

            Et puis, quelques semaines après cela, il a parqué chez nous à bord d’une voiture, sa femme et lui. Il a dit: «Frère Branham, pensez-vous que Dieu me bénirait si je priais pour les malades?»

            J’ai dit: «Il bénirait quiconque priera pour les malades.»

            Il a dit: «Eh bien, voici, je m’en vais.»

            J’ai dit: «Que Dieu soit avec vous, frère.»

8          Et il a certainement fait un grand travail pour notre Seigneur. C’est un frère très humble et doux, et je l’aime. Et j’ai appris qu’il est de nouveau aux Etats-Unis maintenant. Il va souvent outre-mer beaucoup plus avec le... là dans les îles, il a accompli un grand travail pour notre Seigneur. Et si jamais il est dans les parages, eh bien, vous... Je–je vous assure, c’est un bon frère; allez simplement écouter. Il est très bien. Il est très sincère, et c’est ce qu’il faut.

            Et je me rappelle que j’étais entré discrètement dans l’une de ses réunions une fois; il ne savait même pas que j’étais là. Il a dit: «Eh bien, vous qui passez dans la ligne de prière, a-t-il dit, je ne suis pas frère Branham.» Il a dit: «Ne me demandez pas ce qui cloche chez vous; je ne le sais pas, a-t-il dit, mais je sais que la Parole dit qu’Il vous guérira.» Et il ne savait même pas que j’étais là, et il n’a jamais su que j’étais là. J’avais juste pris un avion–pris un avion juste là et j’étais assis au fond de la salle, j’étais sorti cette nuit-là. Il n’a donc jamais su que j’étais là, mais... C’est ce que j’aime, la sincérité (Voyez?), la sincérité. Et à vous les frères ici présents, Dieu bénira chacun de vous dans vos églises. Vous n’avez pas à tenir des campagnes de guérison, mais Dieu vous bénira dans votre église, si vous priez pour les malades, chacun de vous, assurément.

9          Eh bien, en ce qui concerne le discernement spirituel, comme ça, il y a–il y a dans l’église neuf dons spirituels qui–qui peut-être peuvent être ce soir sur quelqu’un et sur un autre, mais il y a... Je dis ceci avec respect: les dons et les appels sont sans repentir. Cela va... Il y aura... Il y a un don de discernement dans l’église; c’est vrai. Voyez-vous? Mais, un don prophétique est ordonné à venir avant la fondation du monde. Cela n’arrivera jamais avant que je meure; il passera de moi à quelqu’un d’autre. Voyez-vous? Mais cela... Mais maintenant, cela n’enlève pas la–la valeur au Saint-Esprit qui est ici pour faire tout ce que vous voulez qu’Il fasse. C’est vrai. Et chaque frère dans le... chaque personne qui croit dans la prière pour les malades a le droit de prier pour les malades. C’est–c’est vrai.

            Maintenant, si vous remarquez bien dans les milieux des pentecôtistes et ceux de toutes les religions, il est censé y avoir dans le Corps de Christ neuf dons spirituels. Croyez-vous cela? Eh bien, c’est... Eh bien, si vous remarquez bien: «Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par Son Fils, Jésus-Christ.»

10        Eh bien, il y a un Corps; et dans ce Corps, nous avons tous été baptisés dans le Saint-Esprit pour former ce Corps, et nous sommes devenus participants de Dieu et de la Vie Eternelle, par le don de Dieu, qui est un don gratuit de Dieu donné à «quiconque veut, qu’il vienne.»

            Maintenant, c’est cela qui nous place dans le Corps. Et quand nous sommes dans le Corps, neuf dons spirituels opèrent dans ce Corps. Voyez? Et cela viendra sur quelqu’un.

            Eh bien, tenez... Je ferais mieux de laisser ce sujet de côté. Voyons, je ne suis point venu ici pour enseigner. Je–je suis venu parler, prier pour les malades. Ça peut être un peu contraire à votre enseignement théologique, voyez-vous. Mais de toute façon, que Dieu soit avec vous, qu’Il vous aide, et qu’Il vous bénisse, c’est ma prière. Très bien.

11        Maintenant, L’aimez-vous? Il est tout aussi merveilleux. Oh! la la! Il vous aime vraiment, vous tous. Et je suis sûr que vous L’aimez. En effet, il y a une grande communion de l’Esprit ici ce soir. Et c’est vraiment dommage que nous ayons à quitter demain. J’aurais voulu que nous puissions rester un mois et voir ce qui arriverait, voyez-vous, jusqu’à ce que donc nous... D’abord, c’est tout nouveau. Et ensuite, cela s’établit simplement, on dirait qu’il faut deux ou trois soirées pour repousser les puissances de l’ennemi, vous savez...

            Les chrétiens arrivent parfois, et ils–ils se disent: «Eh bien, il me–il me faut simplement voir cela; c’est tout.» Et puis, la soirée suivante, ils se demandent: «Eh bien, comment cela peut-il se faire?» Et vers la troisième ou la quatrième soirée, ils sont prêts à dire: «Eh bien, Seigneur, me voici.» Eh bien... Et en ce moment-là, il est alors temps pour moi de partir. Mais à mon retour de l’Afrique, le Bon Seigneur voulant, je n’ai pas l’intention d’être encore dans la précipitation, sous pression, être poussé et prendre quelques chemises et attraper un avion. Je–je vais aller là où le Seigneur me montre et rester là même jusqu’à ce qu’Il me dise de quitter. S’il me faut rester dans les coins d’une rue ou emprunter un champ à un fermier, nous–nous resterons là même jusqu’à ce que le Seigneur dise qu’il est temps de quitter.

12        S’Il peut me montrer ce qui cloche dans la vie des gens, Il peut me montrer où aller, quoi faire, et combien de temps rester. Et j’ai en tout cas été trop pris. Je vais dans... Eh bien, premièrement, quand j’avais quitté l’Eglise baptiste pour devenir interdénominationnel, pour aider les frères à se rassembler, faire tout mon possible... Voyez? Je crois que nous sommes tous frères en Christ. Et je ne crois pas que nous devons être divisés. C’est bien d’avoir différentes églises, de petites croyances propres, mais cela fait... ce n’est pas la partie fondamentale. L’essentiel, c’est que nous sommes frères (Voyez?); nous sommes ensemble. Nous sommes tous entrés dans un seul Corps par la naissance.

            Eh bien, j’avais–j’avais... j’ai eu neuf frères, deux d’entre eux sont–sont morts. Et–et il n’y a aucun d’eux qui me ressemble, ou probablement qui agit comme moi, mais ce sont mes frères. Ainsi donc, sur le plan familial, nous sommes tous des Branham parce que nous sommes nés dans la famille Branham. Et nous sommes tous frères du moment que nous sommes entrés en Christ par la naissance. Et je crois que bientôt, eh bien, le Seigneur va me permettre d’avoir une issue grâce à laquelle je pourrai être libre. Frère Baxter et moi, nous en avions parlé.

13        Et j’avais commencé, et nous... j’avais monté un petit journal intitulé The Voice of Healing [La Voix de la Guérison.]. On l’a toujours ici. Eh bien, j’ai découvert après que cela exigeait beaucoup d’argent et autres. Alors, je me suis débarrassé de cette histoire il y a longtemps. Donc, The Voice of Healing n’est pas mon journal. Je n’ai rien à faire avec cela, rien du tout. Il appartient à frère Lindsay, de Shreveport, en Louisiane.

            Et j’ai fini par découvrir, quand j’étais entré dans cela, et je pensais sortir des organisations, et j’étais entré dans une. Alors, c’était toujours pratiquement organisé au point que chacun d’eux là, et alors, je... J’appartiens à mon... juste au Seigneur Jésus. Ainsi donc, je peux venir, aller n’importe où je veux. Et tout ce qu’Il me conduit à faire, je peux être libre.

            Frère Ro... Combien reçoivent ce Voice of Healing? Faites voir les mains. C’est un très bon petit journal. Combien reçoivent The Healing Waters [Eaux de la Guérison] de frère Roberts? C’est là un autre bon journal. Et je pense... N’est-ce pas que frère Osborn en a un appelé The Voice of Calvary [La Voix du Calvaire]? Ou, n’y a-t-il pas quelque chose comme cela, quelque chose du genre Voice of Calvary? Ou quelque... Il me l’a envoyé. Je pense qu’il l’imprime de temps en temps; c’est trimestriel, ou quelque chose comme cela. Ce sont de très bons journaux, et–et que Dieu les fasse prospérer. Je crois que les Ecritures déclarent qu’on doit publier Ses oeuvres, ou quelque chose comme cela. C’est donc bien. Pour ces hommes qui sont instruits, qui peuvent aller de l’avant et faire cela, eh bien, je–je suis... C’est bien. Mais, quant à moi, je ne suis pas capable de faire pareille chose. J’ai une piètre instruction du septième niveau de l’école primaire, en plus. Vous le savez sans que je vous le dise en tout cas.

14        Il n’y a pas longtemps, j’étais là à Fort Wayne, par ici, et je venais de terminer une réunion, et je suis passé derrière. Et il y avait là une petite fille qui avait été aveugle et qui était guérie. Combien reçoivent le... Combien ont vu ce We The People, le livre We The People? Y avez-vous vu l’article? C’est un livre de portée internationale, et ce–et ce sont des publications largement répandues; ça va dans le monde entier et c’est traduit dans diverses langues. Et un article se rapportant à moi y était publié dans la rubrique réservée à la religion. Et alors, il y avait...

            Combien reçoivent le journal de l’Assemblée de Dieu? C’est quoi? Pentecostal Herald. Est-ce que c’est ça ou...?... Evangel... Pentecostal Evangel? [Evangile pentecôtiste] Combien reçoivent cela? Y avez-vous vu l’article sur la petite fille de Fort Wayne? Eh bien, c’était juste après que cela était arrivé.

15        J’étais derrière les rideaux, et il y avait là derrière un homme, je pense, qui avait tellement d’instruction qu’il ne savait qu’en faire. Il m’a vraiment attaqué. Il a dit: «Frère Branham, quelle idée! Vous utilisez la grammaire la plus pauvre.»

            J’ai dit: «Je le sais.»

            Et il a dit, il a dit: «Eh bien, votre grammaire est horrible. Vous tenir devant des foules comme celle devant lesquelles vous vous tenez!» Et il a dit: «Votre grammaire est si horrible.»

            «Oui, monsieur, ai-je dit, je le sais.» J’ai dit: «Je suis né dans une famille pauvre, et j’ai dû travailler toute ma vie.» J’ai dit: «Je n’ai pas eu l’occasion...»

            Il a dit: «Oh! Cela n’est pas une excuse présentement; vous êtes un homme.»

            J’ai dit: «Eh bien, c’est vrai, frère.» Et j’ai dit: «Mais quand j’étais devenu un homme, ai-je dit, le Seigneur m’a appelé à telle oeuvre, et donc, je... Je dois passer toute ma vie à prier pour les malades», ai-je dit.

            Il a dit: «Oh! Il n’y a pas d’excuse pour ça.» Il a dit: «Oh! la la! Je vous suis, a-t-il dit; c’est une honte, le mot que vous utilisez.» Il a dit: «Corrigez-vous maintenant.» Il a dit: «Je vous ai entendu dire là-bas ce soir: ‘Vous tous qui passez par ce polpit’». Et il a dit: «Eh bien, c’est horrible, Frère Branham.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur, je pense que c’est vrai.»

            Il a dit: «Or, ces gens vous apprécieraient davantage si vous disiez pulpit au lieu de polpit.» Il m’a bien asséné un coup un peu dur là, vous savez.

            Et j’ai dit: «Frère, écoutez, je vous aime, ai-je dit, je pense que vous êtes un merveilleux homme, mais ces gens-là dans l’assistance ne se préoccupent pas que je dise pulpit ou polpit. Ils veulent me voir mener le bon genre de vie et manifester ce dont je parle.» J’ai dit: «C’est–c’est ce que je suis...» Et j’ai dit: «Alors, ils...» [L’assistance applaudit.–N.D.E.] Merci, merci. Cela... Je crois que c’est vrai. Eh bien, je ne cherche pas à soutenir mon ignorance, mais c’est...

            Amis, il ne vous faut pas avoir une grande instruction pour connaître Dieu. Voyez? Franchement, l’instruction est l’un des pires obstacles que l’Evangile de Christ ait jamais connu. Je dis cela avec respect et révérence. C’est vrai. Le pire obstacle.

16        Dans le jardin d’Eden, il y avait deux arbres. L’un était la connaissance. Et l’autre, l’Arbre de la Vie. Et quand l’homme a quitté l’Arbre de la Vie et qu’il a pris la première bouchée de l’arbre de la connaissance, il s’est séparé de Dieu. Ainsi donc, il prend une bouchée de poudre à canon, il se détruit. Il a pris une bouchée d’électricité, il extrait le charbon de la terre, là où... sous cela, à huit mille miles [12.875 km], il y a un volcan qui brûle, et ces...

            Eh bien, il se tape une bouchée de l’automobile, il tue plus de gens que toutes les guerres. Il se tape la bombe à hydrogène présentement; je me demande ce qu’il va en faire. Il prend toujours une bouchée de cet arbre de la connaissance. Et chaque fois qu’il prend une bouchée, il se sépare simplement, il se détruit.

            Et on ne connaît pas Dieu par la connaissance, on connaît Dieu par la foi. Par la foi, vous croyez. Ne cherchez pas à comprendre cela, croyez simplement. Et c’est ainsi qu’on connaît Dieu. Que Dieu vous bénisse.

17        Maintenant, nous pouvons incliner la tête. Père céleste, rien que se tenir à cette chaire et prononcer ces quelques paroles sans... juste informelles, nous Te remercions vraiment pour cela, d’avoir eu une possibilité de dire, d’exprimer nos pensées aux gens et de les entendre réagir à cela. Cela réjouit mon coeur de savoir cela, Père, que ces bien-aimés assis ici sont Tes enfants et que nous nous sommes rassemblés au Nom de Ton Fils, qui a promis que «là où deux ou trois sont assemblés, Je serai au milieu d’eux.» Nous voici.

            Et juste dans quelques instants, nous allons devoir tourner les pages de ce précieux vieux Livre appelé la Bible. Je dois lire Cela, Seigneur, quelques extraits là-bas en rapport avec les jours passés. Et je Te prie, Père, de rendre cela manifeste pour nous ce soir. Et quand nous quitterons ce bâtiment ce soir et que nous nous engagerons dans les rues vers nos maisons respectives, que–que nous puissions dire dans nos coeurs: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous lorsque le Christ ressuscité était là avec nous?»

            Que beaucoup de ces malades... Nous sentons la grande pression juste en ce moment-ci, une traction provenant des mourants étendus là. Certains ne peuvent pas vivre très longtemps; ils souffrent du coeur, de cancer, de tuberculose, de beaucoup d’autres maladies qui leur ôteront rapidement la vie si Tu ne leur permets pas d’avoir assez de foi ce soir pour accepter la voie à laquelle Tu as pourvu pour eux. Ô Dieu, que les anges descendent ce soir et qu’ils se tiennent à côté de chaque patient dans la salle. Exauce-moi, Père.

18        Et si Ton humble serviteur a trouvé grâce à Tes yeux, alors exauce ma prière. Que celle-ci soit la soirée des soirées, Seigneur, ce samedi soir juste avant l’aube du sabbat. Ô Dieu, accorde-le maintenant, ce soir, que les anges, des légions d’entre eux descendent dans cette salle. Que toute méchante pensée, tout ce qui n’est pas la foi soit repoussé. Et qu’il y ait une telle réaction et un tel embrasement de la foi que les estropiés se lèveront des fauteuils, que chaque cas de cancer sera guéri, chaque cas de tuberculose, chaque cas de maladie du coeur. Et que la gloire de Dieu remplisse tellement la salle que ça sera comme dans les jours anciens, quand Salomon consacrait le temple et que le Saint-Esprit était entré, ou plutôt le feu, et s’était posé au-dessus de l’autel. Que le grand Ange de Dieu qui a guidé Ton serviteur déploie maintenant Ses ailes sur cette salle ici. Et que les gouttes de la rosée de grâce et les puissances de guérison de Dieu tombent sur chaque âme, au point que la foi ira, surpassera tous les doutes, s’introduira dans les sphères au-delà de ce...

            Ô Dieu, réveille-nous de ce rêve rattaché au sens dans lequel nous sommes. Puissions-nous aller au-delà de cette sphère, entrer dans ce... là où tout est possible, et là, nous emparer de la Vie Eternelle et de la guérison divine, et sortir d’ici ce soir victorieux en Jésus-Christ. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

19        Maintenant, alors que j’ouvre cette sainte vieille Parole, Elle représente vraiment beaucoup pour moi. Je souhaiterais lire divers passages sur notre Seigneur. J’aimerais premièrement lire là où notre Seigneur parle Lui-même, une confirmation, Dieu parlant de Son Fils. C’est dans Saint Jean, chapitre 4, à partir du verset 14. Jésus, lors de Sa conversation au puits:

            Mais celui qui boira des eaux que je lui donnerai n’aura jamais soif, et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui... source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle...ou la vie éternelle, (Pardonnez-moi.)

            La femme lui dit: Seigneur, donne-moi cette eau, afin que je n’aie plus soif, et que je ne vienne plus puiser ici.

            Va, lui dit Jésus, appelle ton mari, et viens ici.

            La femme répondit: Je n’ai point de mari. Jésus lui dit: Tu as eu raison de dire: Je n’ai point de mari.

            Car tu as eu cinq maris, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari. En cela tu as dit vrai.

            Seigneur, lui dit la femme, je vois que tu es prophète.

            Et dans l’Evangile selon Saint Jean, chapitre 1, à partir du verset 42, voici ce que nous lisons:

            Le lendemain, Jésus voulut se rendre en Galilée, et il rencontra Philippe. Il lui dit: Suis-moi.

            Philippe était de Bethsaïda, de la ville d’André et de Pierre.

            Philippe rencontra Nathanaël, et lui dit: Nous avons trouvé celui... qui Moïse a écrit dans la loi, et dont les prophètes ont parlé, Jésus de Nazareth, fils de Joseph.

            Nathanaël lui dit: Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon? Philippe lui répondit: Viens, et vois.

            Jésus, voyant venir à lui Nathanaël, dit de lui: Voici vraiment un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.

            D’où me connais-tu? Lui dit Nathanaël. Jésus lui répondit: Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous le figuier, je t’ai vu.

            Nathanaël répondit et–et lui dit: Rabbi, tu es le Fils de Dieu... le roi d’Israël.

            Et au chapitre 5, au verset 36, Dieu parle premièrement de Son Fils, Il confirme Ses déclarations. Le suivant, c’est Jean qui parlait de Lui. Maintenant, le Fils parle de Lui-même, le verset 36 du chapitre 5.

            Moi, j’ai un témoignage plus grand que celui de Jean; car les oeuvres que le Père m’a donné d’accomplir, ces oeuvres mêmes que je fais, témoignent de moi que c’est le Père qui m’a envoyé.

20        Il y a trois témoins: Jean parle, Dieu parle pour Lui, et Il parle pour Lui-même; trois témoignages qui établissent qu’Il a été envoyé de Dieu pour accomplir les oeuvres de Dieu. Et maintenant, Il est le même aujourd’hui. Et il est écrit qu’en ce jour-ci, les choses que nous voyons et entendons maintenant devaient être ici. Tout cela, c’est pour accomplir ce que le Seigneur avait dit. Toute Ecriture est inspirée. Et son accomplissement doit vite avoir lieu comme le temps approche.

            Qui aurait pensé, il y a quelques années, que votre arrière-grand-père avait rencontré son voisin et avait dit: «Vous savez, il est écrit dans la Bible qu’il arrivera un temps où des chars sans chevaux se précipiteront sur les places; ils se lanceront avec furie; ils courront comme des éclairs.»

            Eh bien, peut-être que son voisin critiqueur aurait dit: «Eh bien, Jean a un peu perdu la tête. Il a trop lu la Bible.»

            Mais ses arrière-petits-fils roulent à bord de l’un de ces engins aujourd’hui. Voyez, quand Dieu parle, c’est définitivement–c’est définitivement réglé au Ciel. Cela doit donc s’accomplir. Et alors, Jésus était venu, et Sa guérison, c’était pour accomplir le ministère d’Elie et de tous les prophètes depuis la fondation du monde. Il en était l’accomplissement. La loi et les prophètes ont subsisté jusqu’à Jean; depuis lors, c’est le Royaume des Cieux.

21        Maintenant, ce soir, le Saint-Esprit est dans Son Eglise pour accomplir ce que le Nouveau Testament avait dit devant s’accomplir dans les derniers jours. Et vous voyez dans la rue et partout les gens qui critiquent et disent: «Ces choses-là ne sont pas vraies.» Je suis simplement désolé pour eux. Car ce sont les gens... peut-être... Il doit y avoir quelqu’un de ce côté-là. Et, rappelez-vous, ils seront plus nombreux que vous, que nous. Voyez? Il y aura des moqueurs dans les derniers jours. Et la Bible déclare qu’ils viendront dans les derniers jours et seraient des religieux. Ils seront enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, intempérants, ennemis des gens de bien. Ils vous taxeront de saints exaltés, de tous les noms qu’ils peuvent, juste pour se moquer de vous. Saints exaltés, ennemis des gens de bien, ayant l’apparence de la piété, ils fréquentent l’église, l’école du dimanche, mais renient ce qui en fait la force. Eh bien, cela n’allait pas avoir lieu en ce jour-là. Cela doit se passer en ce jour-ci. L’Esprit dit expressément que dans les derniers jours, c’était la fin tel qu’Il... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

22        Voici ce qui se passe: L’esprit antichrist n’est pas l’esprit communiste. L’esprit antichrist est un esprit religieux. J’ai livré mon âme; c’est ce que Dieu voulait que je fasse, là même. Amen.

            Père, nous Te remercions. Maintenant, je–je suis Ton serviteur, et je crois de tout mon coeur, aussi certainement que je crois que je me tiens ici avec ma main sur Ta Parole, que c’est ce que Tu voulais que je dise. Et j’ai attendu, tournant tout autour en balbutiant, jusqu’à ce que Tu as prononcé la Parole. Maintenant, nous Te remercions, Seigneur. Et nous Te prions d’accorder aux hommes et aux femmes ici ce soir de faire attention, de marcher prudemment, car nous savons qu’il est écrit en ces jours-ci sur ce qui doit arriver. Et c’est vrai, cela vient de nouveau dans mon esprit maintenant, que là dans l’Evangile de Matthieu, Jésus a dit: «Les deux esprits seront si proches que cela séduirait même les élus si c’était possible.»

            Et, Père, nous savons que ces choses existent maintenant. Et nous Te remercions. Puissions-nous prendre cet avertissement à coeur pour veiller à tout ce que nous faisons. Nous Te remercions au Nom de Jésus-Christ. Amen.

23        Eh bien, hier soir (et frère Baxter m’a dit que ce soir il quitterait juste un peu tôt), je voulais donner un témoignage. Est-ce que je rends cela misérable pour vous en vous retenant ici assez longtemps pour donner un témoignage? Si c’est le cas, je–je regrette vraiment. Et je dois donc attendre un peu que mon assistance se détende un peu, et puis ça sera de loin plus glorieux quand nous nous mettrons à prier pour les malades. Et je m’attends simplement à ce que Dieu fasse quelque chose de merveilleux ce soir. Je–je le Lui ai demandé. Cet après-midi, je Lui ai demandé de bien vouloir faire cela. Et je Lui ai demandé de bien vouloir aider, et si encore une fois Il...

            Eh bien, hier soir, c’était l’unique soirée où j’ai vu qu’on en arrivait réellement à une vraie réunion. Mais il y a eu une explosion très spontanée de foi. La salle devant moi était illuminée. Et j’ai été inconscient pendant un petit moment jusqu’à ce qu’on m’a fait sortir dans la rue, et il pleuvait. Et mon petit garçon continuait à me parler, et je ne répondais pas. Alors, il a simplement ouvert la fenêtre et la pluie est tombée sur moi. Et cela m’a un peu fait revenir à moi-même.

24        J’ai connu des fois où je marchais pendant... On me faisait sortir dans la rue, on me faisait marcher pendant des heures. Voyez? Ce n’est pas quand vous êtes là en haut; ce n’est pas quand vous êtes ici en bas; c’est quand vous êtes entre les deux endroits, c’est ce qui fait ça. C’était un peu difficile pour moi à comprendre au début. Peut-être que je prends trop de temps. Il est déjà venu à l’estrade. Très bien. Je vais terminer ce témoignage, le Seigneur voulant, une partie de cela; et puis, demain soir, je vais essayer d’apporter plus de cela.

            Hier soir, je disais que j’ai été en Finlande, je veux dire en Angleterre, je pense, là où le...madame Florence Nightingale avait été guérie; n’est-ce pas là que j’étais arrivé? C’était lors de notre tournée en Europe. Nous sommes partis de là, et aussitôt que j’avais foulé le sol d’un autre pays, on dirait que l’Ange du Seigneur me quittait difficilement jour et nuit. C’était constamment...

25        Eh bien, monsieur Baxter ici et tous les autres le savent. Nous sommes allés en ville, nous étions assis là, j’ai dit: «Frère Baxter, quand on va remonter la route, deux femmes apparaîtront; elles sortiront du coin; elles seront habillées de telle manière et elles demanderont une certaine chose. Puis, nous effectuerons une courte distance, et un homme descendra de l’escalier; il va demander une certaine chose. Différentes choses se produiront.» Et demandez-le-lui simplement. Cela ne manque jamais d’arriver tel quel.

            Et aussi, ici récemment à Cleveland, dans l’Ohio. Je me demande s’il y a ici quelqu’un qui était à la réunion de Cleveland. Eh bien, c’est merveilleux. Eh bien, vous avez probablement entendu ceci, c’est juste une petite confirmation.

26        Dimanche... Maintenant, on est samedi soir. On doit donc aller à l’église le matin, c’est donc en ordre. Soyez à votre poste de devoir le matin. Et ayez de la considération pour tous les pasteurs, même s’ils ne collaborent pas dans cette série de réunions. Vous qui venez ici, exprimez-leur mon amour et mon estime. Allez-vous le faire? Et dites-leur que du fond de mon coeur, je les aime, et j’ai confiance que–que Dieu bénira bien leur ministère. Et puissent-ils prospérer, que votre église croisse et prospère vraiment. Et ramenez les bonnes nouvelles dans vos églises le matin, partout.

            Et vous les étrangers qui êtes ici, vous avez vu les pasteurs ici à l’estrade, et autres; allez dans leurs églises demain pour l’école du dimanche et passez un glorieux moment, c’est ma bénédiction pour vous.

27        Maintenant, ceci... A Cleveland, il y a eu un petit cas remarquable là-bas. Et souvent, cela arrive et des choses se passent. Je ne dis rien à ce sujet, et je vais simplement de l’avant et j’observe simplement ça. En effet, j’ai de fois l’impression que je dis trop de choses aux gens après tout. Et alors, pendant que nous étions assis au–au déjeuner, et peut-être que certains de ministres sont présents. Et on continuait à me demander: «Frère Branham, comment connaissez-vous ces choses?»

            J’ai dit: «Je les vois simplement comme je vous vois.»

            Alors, il y a... Et il y avait là un homme qui peut être assis ici ce soir. C’était un homme riche, il gère une fabrique des pare-chocs, là où on fabrique des pare-chocs des véhicules. Et il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, vous avez cette toute petite tente là-bas d’une capacité d’environ trois ou quatre mille personnes, et le premier groupe ou deux groupes l’entourent, les autres retournent à bord de leurs véhicules.» Il a dit: «Si vous veniez dans un auditorium, vous pouvez faire s’asseoir des gens...» Des centaines venaient chaque soir et ils ne pouvaient pas entrer. Quand ils terminaient le travail, ils prenaient leur dîner; eh bien, ils étaient là, mais ils ne pouvaient pas entrer. Il a dit: «Je vais vous dire quoi, je pense qu’il faut payer environ mille neuf cents par soirée à cet endroit. Il a dit: «Je paierai pour cela si seulement vous venez et que vous approuviez ça.»

            J’ai dit: «Frère, même si vous payiez pour une année, je ne pourrais pas aller avant que Dieu me dise d’aller.» Et alors, j’ai dit: «En plus, à part ce programme, je suis obligé vis-à-vis de ce frère, de par un contrat écrit, ai-je dit; avant la fin de cela, je suis tenu vis-à-vis d’eux.»

            Il a dit: «Eh bien, vous aurez deux ou trois jours de plus, a-t-il dit, revenez pour un autre jour.»

            J’ai dit: «Si le Seigneur pourvoit.»

28        Alors, ce matin-là, pendant qu’on était assis au petit-déjeuner, ils me posaient différentes questions. Je pense qu’un prédicateur ukrainien m’a demandé, disant: «Comment cela apparaît-il?»

            J’ai dit: «Eh bien, par exemple maintenant, je peux être debout en train de regarder», et j’ai dit: «Tenez...»

            Combien connaissent frère Bowen de là, frère Bowen? Il était présent. Et je ne sais pas qui était le frère qui était venu avec moi. Il avait une grosse Cadillac bleue. Et–et alors, je suis monté à bord de la voiture, nous sommes partis, et–et j’ai dit: «Eh bien, voici ce qui va arriver, afin que vous le sachiez», avec ces ministres qui sont là. J’ai dit: «Maintenant, sur notre chemin en remontant la rue, nous sommes... il y aura une dame qui traversera la rue avec deux fillettes en petites robes à carreaux, avec leurs petites coiffures (Comment appelez-vous cela? Ramassées, ou je ne sais quoi c’était), ça remonte comme ça par derrière, vous savez, et c’est rattaché au sommet.» Et certaines de ces coiffures bizarres, je ne peux rien dire, car je n’ai rien à faire. Alors, elles–elles avaient arrangé cela au bout. J’ai dit: «Il y aura deux fillettes, et on sera en train de les conduire.» Et alors ils... j’ai dit: «Alors, nous entrerons dans la voiture, au lieu de retourner à bord de la voiture bleue, nous allons monter à bord d’une voiture d’apparence rouge. Et puis, nous serons dans la rue, et nous allons dépasser trois jeunes filles en longs costumes. Et si cela a lieu, alors, j’ai le feu vert et la permission de Dieu de retourner pour le service.

29        Eh bien, frère Lindsay ici et nous tous, nous avancions, frère Bowen, plusieurs ministres parlaient, quand les fillettes ont traversé la rue à environ trois pâtés de maisons de l’endroit où nous prenions le petit-déjeuner. J’ai dit: «Les voyez-vous?»

            Et là, il a dit: «Oh! la la!»

            Et nous sommes allés là, je ne sais pas ce qui, je pense, ce qui était arrivé à la Cadillac, mais nous avons dû monter dans l’autre voiture. C’était la voiture de frère Bowen, et c’était une voiture d’apparence rouge. Et nous avions pris un virage. Et vous savez, on a une police montée là, et nous étions censés prendre le virage à gauche, en sortant du parking. Au lieu d’aller à gauche, frère Bowen qui a grandi dans cette ville-là a pris la droite, le mauvais sens sur une rue. Et un grand policier irlandais était là sur un cheval. Oh! la la! Il l’a pris. Et je veux dire, il lui a vraiment parlé. Nous étions tous assis là, et il a dit: «Eh bien, vous êtes de cette ville-ci, a-t-il dit, vous n’avez pas d’excuse.»

            Frère Bowen a dit: «C’est exact, monsieur. C’est exact», et il lui disait combien il regrettait. Il a dit: «Nous sommes des prédicateurs.» Il ne se souciait pas de ce que nous étions. Il le taillait simplement en pièces. Nous avons passé là environ trois minutes, et ce policier s’est simplement–simplement mis à le tailler en pièces.

30        Et juste à ce moment-là, les trois jeunes filles en costumes sont sorties du coin, elles ont traversé la rue. Il nous le fallait. Il devait nous retenir tout ce temps afin que cela s’accomplisse. Voyez? A ce moment-là, elles sont passées. J’ai donné un coup à frère Bowen, j’ai dit: «Regardez, frères, elles sont là.»

            Et tout le monde a dit: «Gloire au Seigneur! Gloire au Seigneur!»

            Et ce policier a dit: «Vous, fous, partez d’ici.» Ha! ha! ha!

            Alors... Eh bien, il pensait que nous étions fous, mais je crois que saint Paul parlait à Agrippa, disant: «Je sers le Dieu de mes pères selon la voie qu’ils appellent une secte.» Je suis content de me joindre à lui ce soir, pas vous? Mais ce policier ne savait pas ce qu’ils étaient... Ils se sont mis à crier, à parler en langues et tout. Je n’avais jamais entendu un tel groupe. En effet, les trois jeunes filles passaient là, les jeunes filles en ces longues tenues after supper, ou je ne sais quoi, une espèce de costume, vous savez. Ah! Le dîner, je pense que c’est ainsi que vous l’appelez par ici, excusez-moi.

31        Là dans le Sud, je n’arrive pas à me représenter cela. Quand j’arrive ici, on prend le dîner vers dix-sept heures. Là-bas, nous prenons le dîner à douze heures. Ceci, c’est le souper. On appelle cela... Je pense que j’ai raté un repas la journée si je... Donc, de toute façon, quoi que ce soit donc, c’est en ordre.

            Et elles passaient là vêtues de ces longues robes, et elles sont allées. Et j’ai dit: «Maintenant, nous allons retourner.» Et cette fois-là, quand nous sommes retournés là, il y avait à peu trois fois le nombre de ceux qui étaient dans la tente là-bas cette soirée-là. Voyez? Il avait simplement approuvé.

            Mais voyez comment Dieu peut agir, comment ce policier... Oh! Frère Bowen habitait cette ville là. Combien en ont entendu parler, ce témoignage sur la tente de cette soirée-là? Est-ce que vous...? Vous y êtes. Très bien. Est-ce que frère Bowen peut être ici? Cela... Il peut même être ici, certains de prédicateurs qui étaient là-bas. Si c’est le cas, eh bien, je ne sais pas. Et de toute façon, c’est... ces choses arrivent simplement chaque jour.

32        Eh bien, nous étions en Finlande, ou plutôt en Angleterre. Nous avons pris un vol direct jusqu’en Finlande pour commencer. A Helsinki, nous avons eu une merveilleuse assemblée. Les Finlandais sont très aimables et très doux. Et souvent, quand je pense combien les gens sont pauvres là-bas, et combien, nous les Américains, nous avons de la classe, nous devrions avoir honte de nous-mêmes. C’est–c’est vrai. Ces pauvres gens...

            Il y a une Finlandaise qui est montée à l’estrade l’autre soir. Et j’essayais de rester sous l’onction, mais quand elle est passée, elle a dit: «Jumalan rauhaa», ce qui veut dire: «Que la paix de Dieu repose sur vous.»

            Et je lui ai dit: «Kiitos», ce qui veut dire: Merci.

33        Ainsi donc, je... Nous sommes arrivés là, et ils–ils ne... Si vous, les femmes américaines, vous deviez vous habiller comme elles, avec de très amples jupes épaisses, et de gros bottillons! Et pour tout ce qu’ils ont, ils doivent se fier à Dieu pour ça. Ils sont juste là à la frontière. C’est un champ de bataille. Et que c’est dommage!

            Et j’ai vu l’autre jour (J’étais en Californie) une femme passer une commande, elle a payé huit dollars pour un plat d’une chose ou d’une autre, et des femmes, elles émiettaient juste pour goûter un peu. Elles abandonnaient cela là, après avoir payé huit dollars pour cela, et on jetait tout ça dans la poubelle. Je me suis dit: «Plus d’un petit enfant finlandais aujourd’hui se tord ses petites mains sales, avec ses petits yeux; il serait content d’avoir ce morceau de pain qu’on a jeté dans cette poubelle-là.»

34        Vous savez, nous ne méritons pas cela, peuple américain. Maintenant, je suis un Américain d’une génération, une génération. Il y a un... Quand je survolais la France il y a quelques semaines, j’ai juste regardé en bas. Je me suis dit: «Il y a plus d’un Américain mort là-bas, plus d’un Branham qui gît là-bas, mort pour la cause. Et si mon tour arrive, je suis prêt à partir comme eux.» C’est vrai.

            Mais, oh! frère, soeur, nous avons besoin d’une correction ici. C’est vrai. Ce n’est pas le rouge-gorge qui picore le ver... la pomme qui l’endommage, c’est le ver qui est dans le trognon qui tue la pomme. Ce n’est pas la Russie qui va nous faire du mal; c’est notre propre dépravation des moeurs, parmi nous, qui nous tue. Les termites ont rongé la fondation en dessous de notre civilisation.

35        Et je sais qu’il y en avait beaucoup qui étaient assemblés là à Messuhalli. Cela offrait plusieurs milliers de places assises, et j’ai une photo où ils étaient debout, je pense, sur environ quatre à six pâtés de maisons, une foule compacte, à quinze heures, attendant, cherchant à entrer à Messuhalli. Lorsqu’ils vidaient l’endroit, et puis d’autres entraient.

            Et de là, nous allions à Kuopio. Et pour insérer ce cas, ici, l’un d’eux me vient à l’esprit maintenant, qui était arrivé. Généralement, pendant que je suis en chambre, Dieu peut me montrer quelque chose qui va arriver. Je peux en parler aux gens. Ça peut être une ou deux semaines, ça peut être un mois, peut-être six mois avant que cela arrive, peut-être juste quelques heures. Et peut-être que je vais recevoir un appel téléphonique dans quelques minutes, et ça sera là même la chose même qu’Il m’avait montrée. Et peut-être qu’une femme est au téléphone. Je dirai: «Ne portez-vous pas une robe noire, ou quelque chose comme cela?»

            «Oui.»

            «Un certain–certain...»

            «Oui.»

            «Et vous habitez une maison juste à côté des murs, une certaine chose?» Je vois exactement cela après l’appel téléphonique, comme cela. Et je lui dis: «Le Seigneur vous a guérie.»

36        Et alors, j’étais... j’ai eu une vision à Miami, en Floride, et beaucoup parmi vous ici ce soir l’ont probablement écrite dans leur Bible. Et j’avais vu une région très montagneuse, et un petit garçon était tué dans un accident. Il avait environ huit ou dix ans; il avait une coiffure drôle, les yeux bruns, le visage dodu et il était très pauvrement habillé. Et on lui a roulé dessus, ou quelque chose comme cela. Il était tout défiguré. Et j’ai vu le Seigneur Jésus envoyer Son ange et restituer la vie à ce jeune garçon.

            Eh bien, j’étais à Miami, en Floride, et j’ai raconté la vision aux gens, et j’ai dit: «Maintenant, la chose à faire, c’est écrire cela dans votre Bible.» Combien se rappellent m’avoir entendu dire cela avant que cela s’accomplisse? Ai-je un témoin? Oui, regardez partout dans la salle; c’est bien. Et j’ai dit: «Ecrivez cela dans votre Bible, car, AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous verrez cela, et cela apparaîtra dans la Voix de la Guérison.» Vous rappelez-vous que j’avais dit cela? Cela apparaîtra dans la Voix de la Guérison, un petit garçon, et j’avais décrit son aspect.

37        Environ trois soirées, au cours du service, on a envoyé me chercher au fond, on disait: «Un petit garçon s’est noyé par ici, et le père a assisté à votre réunion; et il ne permet pas à l’entrepreneur des pompes funèbres d’amener son petit garçon avant que vous veniez voir si c’était son fils.»

            J’ai dit: «Je serai content d’y aller.»

            Je suis allé là derrière: le petit garçon avait environ cinq ans, il avait des cheveux très noirs, il était bien habillé. J’ai dit: «Non, ce n’est pas ce petit garçon.» J’ai dit: «Ce petit garçon-là ne s’était pas noyé. C’était dans un accident.» Et j’ai offert la prière pour consoler la famille et je suis rentré.

            J’ai parcouru l’ouest et j’ai parcouru le Canada et ailleurs, et dans chaque réunion je témoignais. Cela a été écrit dans des centaines et des centaines de Bibles. Je disais: «Maintenant, prenez votre crayon et écrivez ceci dans la Bible, que j’ai dit ceci, afin que quand cela s’accomplira, vous le reconnaissiez. C’est l’unique vision, disais-je, que j’ai eue, qui ne s’est pas accomplie, mais elle s’accomplira.» Je disais: «Où? Quand? Je ne sais pas, mais cela s’accomplira! AINSI DIT L’ESPRIT DE DIEU, car Il a montré cela, et cela ne peut pas faillir.» Et je disais: «Ce n’est pas une impression. C’était une vision, j’ai vu cela, et cela s’accomplira exactement ainsi.»

38        Et alors, nous... Je suis allé de l’avant et j’en témoignais, pendant longtemps, environ un an avant que cela s’accomplisse. Et nous sommes allés à Helsinki, de Helsinki à Kuopio; c’est un pays on dirait du soleil de minuit, près de là, et je sais... Au milieu de la nuit, il n’y avait rien de semblable à ces ténèbres. Et alors, en cette période de l’année, eh bien, cela, le soleil ne se couche pas du tout, il descend simplement et il se relève. Et les gens étaient cependant plus pauvres là-bas que ceux de Helsinki, mais seulement aimables au possible.

            Et à... Nous remontions à bord d’un train. Eh bien, si par hasard il y a un Finlandais dans cette salle, mon cher ami et compagnon chrétien, n’allez pas penser que je dénigre votre pays. Si nous les Américains, nous avions dans nos coeurs l’amour de Dieu que vous avez dans votre pays, avec les–les choses que nous avons, ça serait un... le millénium serait pratiquement ici. C’est vrai. Mais nous avons une grande abondance. Nous ne nous faisons simplement pas confiance. Nous laissons simplement cela aller, et nous sommes plutôt insouciants, nous ne voulons pas traverser la rue.

39        N’allez pas penser qu’en Finlande... Ils venaient par dizaines de milliers, pas de véhicules; ils marchaient. Ils faisaient de l’autostop. Les journaux publiaient cela, et avec des fardeaux sur le dos. Des estropiés, ils se poussaient les uns les autres, ils pouvaient arriver n’importe comment. Un homme a roulé un drôle de petit engin, qui avançait lentement comme cela, je pense sur quatre mille miles [6.400 km] pour arriver à la réunion. Et Dieu l’a guéri pendant qu’il était là. Dieu aura de la considération pour la foi partout où elle est.

            Et je... Certaines de ces choses me déchireraient en plein milieu, quand j’y pense. Et je me rappelle, nous remontions à bord de ce vieux train, ils nous offraient le meilleur qu’ils avaient. Et je–je remontais à bord de ce vieux train en première classe et, je vous assure, mes amis, vous les Américains, c’est comme le–le cheval de fer qu’on avait à l’époque. Ils n’avaient pas de charbon à brûler, ils mettaient du bois, le petit bois à brûler pour produire de la vapeur. Et frère Baxter disait que cela avait des roues carrées, il était très gros, et la façon dont cela roulait et le projetait pendant la nuit. Et ils allaient... Oh! C’était un petit peuple pauvre, et donc, ils... mais ils étaient juste... Ce qu’ils avaient, c’était à vous; ils étaient libres.

40        Et quand nous sommes descendus là, nous sommes entrés dans l’auditorium pour tenir la réunion. Oh! Quelles foules de gens s’étaient rassemblées! Oh! la la! Et je me rappelle, le deuxième jour, il y a eu quelques merveilleuses guérisons qui se sont produites, et le Saint-Esprit... Voici comment cela opérait. Eh bien, voyez, tout cela a dû être interprété. Madame Isaacson était notre interprète, et c’est la meilleure que j’aie jamais vue de ma vie. Frère Baxter, aussi rapide qu’il prêche, elle le suivait de très près dans son sermon en interprétant cela. La meilleure que j’ai jamais connue. Elle a interprété pour moi.

            Et je me tenais là, et l’Esprit venait sur moi, je disais: «Il y a une personne ici.» Eh bien, si vous remarquez bien, chaque fois que je parle aux gens, je ne les regarde jamais trop longtemps, car quand l’onction est là, cela amène directement la personne vers vous. Voyez-vous? Et je regarde toujours de part et d’autre. Je regarde une personne et je saisis comme cela, et je lui dis exactement où elle était, ce qu’elle avait fait, tout sur sa vie, ce qui clochait chez elle. Et je disais cela en anglais, et elle interprétait, et cette personne-là se levait et poussait des cris juste comme cela. Tout exact. Oh! Il est merveilleux.

41        Et je me rappelle, cette nuit-là en entrant, eh bien, j’étais monté sur une colline à–à Kuopio, et nous descendions. C’était un jour de jeûne; je jeûne beaucoup à cause des réunions qui continuent, au point que je deviens très faible, et après, je dois manger un peu. Mais à cause de ce genre qui sort uniquement par le jeûne et la prière. Et je ne sais quand ce genre-là va passer sur l’estrade.

            Ainsi donc, j’étais là et eux chantaient A Golgotha, c’est un chant russe. Et deux ou trois Russes étaient là. Et ces gens-là... Permettez-moi de glisser ceci: Ces Russes me suivaient et, à mon passage, ils s’arrêtaient, et des larmes leur coulaient simplement sur les joues, comme cela, alors que je passais à côté d’eux. Ils se tenaient au garde-à-vous, comme cela, et je passais derrière; ils regardaient et pleuraient simplement.

42        Ecoutez, frère, ce n’est pas le Fourth Term, ce ne sont pas les Big Four, c’est la réponse. Christ est la Réponse. Ils... J’étais un Américain; ils étaient des Russes, mais l’amour de Christ est dans nos coeurs et nous nous aimions les uns les autres. Il y avait là des ambassades avec des gardes, le rideau de fer et autres, et ces Finlandais et ces Russes s’en prenaient les uns les autres à la gorge. Mais les chrétiens avaient leurs bras les uns autour des autres, coeur à coeur.

            Pourquoi les gens ne peuvent-ils pas voir cela? Le dieu de ce monde leur a aveuglé les yeux. Ceci est le royaume du diable. C’est une grosse bouchée, n’est-ce pas? Mais c’est la vérité. Chaque royaume de ce monde est dirigé par le diable. Quand Jésus prendra le pouvoir, le roi... Lisez Apocalypse. Regardez, quand Jésus fut amené par l’Esprit... Je sais que vous ne compreniez pas cela, je ferais donc mieux de l’expliquer.

43        Quand Jésus fut transporté sur une montagne élevée par Satan, celui-ci L’a laissé regarder tout le cours du temps et Lui a montré le monde entier et ses royaumes, et il a dit: «Ça m’appartient.» Est-ce vrai? «Et je Te les donnerai si Tu Te prosternes et m’adores.» Est-ce vrai?

            Jésus savait qu’Il les hériterait après tout. Il a dit: «Retire-toi de Moi, Satan.» Et puis, dans Apocalypse, il est dit: «Réjouissez-vous, cieux, et vous les saints prophètes, car le royaume de ce monde est devenu les royaumes de notre Seigneur, et de son Christ.» Et tant qu’ils sont dirigés par Satan, il y a ces pensées et ces puissances sataniques, ils se battront jusqu’à la Venue de Jésus. Et un jour, une Pierre se détachera de la montagne sans le secours d’aucune main, Elle mettra ces royaumes du monde en pièces; il en sortira un Royaume. Alléluia! Je suis content ce soir d’être un candidat de ce Royaume-là. Oui, oui. Et alors, il n’y aura plus de guerre; il n’y aura plus de guerre après cela.

44        Et maintenant, ceux qui sont dans cette communauté de ce Royaume-là, il n’y a pas de guerre entre eux. Un aumônier me racontait que quand il était dans un camp de concentration au Japon, disait-il, il était là un jour, et il savait... il appartenait...C’était un frère de la sainteté. Et il disait qu’il savait que probablement il mourrait dans ce camp-là. Et il avait tellement faim et on ne le nourrissait pas, et–et un vieux morceau de pain moisi et tout. Alors, il a dit qu’il marchait là... On lui avait permis de sortir. Alors, il a levé les mains et a dit: «Alléluia! Alléluia! Alléluia!» Il s’est agenouillé et a dit: «Ô Dieu, je T’ai servi de tout mon coeur. Maintenant, si Tu veux que je retourne à la maison dans la Gloire à partir de ce lieu ici, en crevant de faim, a-t-il dit, je suis prêt à partir.»

            Et il s’est relevé, il lui est arrivé de constater un petit Japonais qui marchait comme ceci, il continuait à observer, marchant comme cela, une sentinelle, passant à côté, et il a dit que c’est comme s’il voulait le voir. Alors, il s’est simplement approché davantage. Quand il est passé à côté, il a demandé: «Es-tu chrétien?»

            Il a dit: «Oui.»

            Il a dit: «Moi aussi, chrétien.»

            Eh bien, ces frères ont détruit cette cage-là et ils se sont entourés de leurs bras, la guerre était terminée. Voyez-vous? Mais les royaumes de ce monde sont dominés par les royaumes, par les puissances de Satan (Voyez?); ils vont se battre. Mais un jour, nous tous, ce sera: «Moi aussi, chrétien.» Amen. Ça sera merveilleux. Ça sera la réponse pour tous.

45        Et de là-haut, je descendais de la tour de Kuopio, et alors, eux chantaient là-haut. Et un Anglais venu de l’Angleterre, un négociant, était là-haut, très ivre, et il a entendu ce chant là: A Golgotha. Tous leurs chants sont en mineur. Et quand il est descendu, eh bien, il pleurait. Et nous sommes allés auprès de lui et nous lui avons parlé. Il parlait anglais. Et nous l’avons conduit à Christ là sur la colline.

            Et frère Baxter et les autres ont dit: «Voyons donc», ou pas frère Baxter, frère Baxter n’était pas là; ce jour-là, frère Lindsay. Et il a dit: «Voyons donc; mangeons.» Il y avait environ trente ministres là-haut.

            Et j’ai dit: «Non, je ne peux pas manger. Je n’aimerais pas manger avant dix-huit heures.»

            Nous nous sommes assis. Je les ai entendus causer et tout, par l’interprète. Et j’ai dit à frère Lindsay et frère Moore pendant qu’on sortait, j’ai dit: «Quelque chose est sur le point d’arriver.» J’ai dit: «J’en ai bien un pressentiment que quelque chose va arriver.» Et j’ai dit: «Je ne sais quoi.»

46        Et nous sommes montés dans des taxis. Ils n’ont pas beaucoup de taxis en Finlande; la plupart d’eux sont tirés par des chevaux. Nous descendions donc à bord d’un véhicule. Et là au bas de la colline, un accident s’était produit. Et un véhicule, une Ford américaine Sedan, modèle 35, avait cogné deux petits écoliers. Elle roulait à soixante miles [96 km] à l’heure. Et les deux petits garçons traversaient la rue; il n’y a pas beaucoup de véhicules, alors ils étaient... Ils se sont engagés dans cette direction, et ils ont vu le véhicule venir, ils se sont mis à rebrousser chemin en courant; et l’un a couru dans cette direction et l’autre dans cette autre. Alors, l’aile... le chauffeur a dévié à droite, et alors, il a cogné le petit garçon au menton, de ce côté-ci, il l’a renversé et l’a écrasé à côté d’un arbre, et ça a commotionné sa petite tête, comme cela.

            Et l’autre petit garçon, il l’a projeté directement de l’avant alors qu’il tournait, il a roulé sur lui, il l’a écrasé sous les roues, et il a projeté son petit corps en l’air, quand les roues étaient... Il en avait perdu le contrôle. Et il avait appuyé sur l’accélérateur plutôt que sur le frein, et cela donc... Le corps du petit garçon a roulé simplement comme cela, il a été projeté en l’air, et une fois dans la rue, il est tombé comme cela. Oh! Le petit garçon était tout écrasé.

47        Nous étions loin en haut là sur la colline, là loin, et nous avons vu l’accident se produire. Et alors, les gens ont commencé à affluer de l’école, c’était à une courte distance, environ quinze minutes, jusqu’à ce que nous sommes descendus là où étaient les petits garçons.

            Et on avait déjà pris un petit garçon; je ne savais pas qu’il n’y en avait qu’un. Mais l’autre, on l’avait déjà mis dans un autre véhicule et on l’avait amené. Et il n’y avait plus de véhicules là. J’ai roulé, ou plutôt on a roulé jusque-là.

            Et frère Moore, quand il est sorti, il s’est mis à pleurer, il est revenu au véhicule en courant et il a dit: «Frère Branham...» Et frère Lindsay est arrivé; lui aussi avait un petit garçon; et moi, Billy Paul que je n’avais pas vu depuis longtemps.

            Et la mère de Billy, vous le savez, est morte, et j’ai été à la fois papa et maman pour lui. Je–je le portais, son biberon serré contre mon sein ici pour le réchauffer quand il faisait froid, il pleurait, et nous parcourions les rues. Vous avez lu l’histoire de ma vie, comme cela, je ne savais que faire. Et le petit enfant s’appuyait contre mon épaule. Il avait toujours peur chaque fois que je partais. Bien sûr, il est pratiquement un jeune garçon maintenant. Mais je pensais à lui: «Et si c’était lui?» Et si je recevais un télégramme venant d’outre-mer disant: «Billy Paul a été écrasé dans un accident de véhicule, et il est étendu mort, et on veut que vous retourniez à la maison»?

48        Et, oh! comme je me suis mis à penser comment cette pauvre mère, on était allé la chercher, et le petit garçon était étendu là, un manteau couvrant son visage. Ils m’ont dit: «Viens le regarder.»

            Je ne pouvais pas regarder cet enfant-là. Je suis resté simplement assis là et je tremblais, comme cela. Et frère Lindsay retenait son souffle comme cela et pleurait. Il avait aussi un petit garçon. Et alors, finalement, j’ai jeté un coup d’oeil au petit garçon. On allait le transporter. Nous devions l’emmener à un endroit.

            Eh bien, si je n’avais pas été très excité, j’aurais très vite saisi cela. Et aussitôt que j’étais sorti du véhicule, madame Isaacson a dit: «C’est terrible, n’est-ce pas?»

            Elle a dit... Ces gens disaient: «Voilà ce faiseur des miracles venu de l’Amérique, voyons ce qu’il fera dans ce cas-ci.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, ce sont simplement des gens qui n’ont pas compr-...»

49        Et l’autorité municipale, je pense, c’était plutôt comme le maire de la ville, il était là. Et alors, nous–nous sommes allés... je suis allé là-bas, on a regardé et, oh! la la! le pauvre petit garçon gisait là, la bouche ouverte comme cela, ses petits yeux écarquillés, ses petites mains comme ceci. Et il portait ce petit, je pense, ce petit ensemble chemise et pantalon rattaché et boutonné pour les jeunes garçons, comme on les appelle, vous savez; et il portait ces gros bas lourds à côtes. Et ses petits souliers étaient détachés de ses pieds, et l’un de ses petits pieds qui était tordu comme ceci sortait directement, son petit pied ressortait par son–son bas, au bout. Oh! Il était un... il était étendu là, dans un état horrible, les yeux écarquillés comme cela, couché. J’ai dit: «Pauvre petit garçon.» Et cela empirait simplement son état. Et je... On allait l’amener au véhicule.

            Et quand je me retournais, j’ai regardé devant ce petit garçon, j’ai senti Quelque Chose faire: «Whoush.» [Frère Branham souffle.–N.D.E.] J’ai dit: «C’est peut-être la compassion que j’ai pour le petit garçon.» J’allais effectuer un pas de plus, Quelque Chose a fait: «Whoush.» [Frère Branham souffle.–N.D.E.] J’ai attendu juste un instant. Je me suis retourné. J’ai dit: «Laissez-moi revoir ce petit garçon.» On a enlevé le–le manteau, dont on l’avait recouvert. J’ai dit: «J’ai vu ce petit garçon quelque part.» J’ai dit: «Cela... Demandez à ces prédicateurs s’il a été dans l’église, un membre de leur église.»

            «Non.»

            J’ai dit: «A-t-il jamais été dans la ligne de prière?»

            Frère Lindsay a dit: «Non.»

            J’ai dit: «Je l’ai vu quelque part, je ne sais où, mais on dirait...»

            J’ai regardé tout autour, j’ai vu ces grosses pierres entassées là, j’ai dit: «Gloire à Dieu, je sais où je l’avais vu.» J’ai dit: «Frère Moore, prends ta Bible. Frère Lindsay.»

            Ils ont dit: «Qu’y a-t-il, Frère Branham?»

            J’ai dit: «Regardez la feuille de garde de vos Bibles.» J’ai dit: «C’est le petit garçon qui va ressusciter d’entre les morts.»

            Et ils... Frère Moore a couru à la voiture, il a pris sa Bible et a dit: «Des cheveux châtains, des yeux bruns, environ huit ans, mal habillé, estropié, écrasé dans un accident, dans une contrée rocailleuse, a-t-il dit. Frère Branham, c’est lui!»

            J’ai dit: «C’est lui.»

            Oh! la la! Vous ne savez quel sentiment on éprouve. On sait alors où on est. Tous les démons de l’enfer, même si on alignait là tout ce qu’il y a en enfer, cela n’arrêterait jamais la chose. Elle est là. Ça doit arriver. Eh bien, tout cela, c’est juste une représentation.

            J’ai dit: «Maintenant, je me rappelle, je m’étais agenouillé de ce côté-ci, dans la vision, quand je priais.» Vous devez faire exactement comme vous l’avez vu. Et je me suis agenouillé. Ils s’étaient tous rassemblés tout autour. J’ai dit: «Maintenant, observez, AINSI DIT L’ESPRIT DE DIEU, la vie de ce petit garçon reviendra en lui.»

            Et il gisait là mort. On avait prélevé son pouls et tout; il était mort. Ainsi, il était tout écrasé, comme cela. Je me suis agenouillé et j’ai dit: «Père céleste, à plusieurs milliers de kilomètres de l’autre côté de la mer, dans ce beau pays d’où je viens, l’Amérique, ai-je dit, là, cette nuit-là, quand Tu es entré dans cette chambre-là, dans ce beau bâtiment, Tu m’as annoncé que ceci arriverait, j’ai rendu témoignage à cela, je me suis tenu là et j’ai dit que Tu feras s’accomplir cela. Et maintenant, Ton serviteur voit le jour où cela doit être accompli.» J’ai dit: «Je Te remercie, Père céleste, pour la puissance de la vision, et je Te remercie pour toute Ta bonté. Et maintenant, Eternel Dieu, Auteur de la Vie et Donateur de tous les dons excellents, je Te demande de bénir de Ta Présence cette scène.»

            Et quand l’Ange du Seigneur a commencé à descendre, j’ai dit: «Ô Toi, mort, qui retient l’esprit de ce petit garçon, conformément à la vision que Dieu avait déjà montrée que tu ne peux pas retenir cet enfant, par conséquent, je rappelle sa petite âme vers lui au Nom de Jésus-Christ.»

            Et aussitôt que j’avais dit cela, le petit garçon a sauté sur ses pieds tout aussi normal et bien portant que possible, tout aussi parfait, normal et guéri que possible. Cela a été diffusé partout en Finlande, partout; ça a été répandu à l’étranger aussi, je vous assure. C’était au temps du soir. L’autre petit garçon, j’aborderai cela demain soir.

50        Une autre petite chose, je vois que j’ai encore environ six minutes; je vais essayer d’aborder cela rapidement.

            Oh! Quand je suis arrivé à la réunion ce soir là, l’autre petit garçon était étendu là mourant, je ne le savais pas. Et sa mère ne faisait que crier et pleurer, cherchant à ce qu’on aille là auprès de ce petit garçon. On en parlait partout. Cela s’était répandu. Je ne sais comment cela s’était donc répandu, car on ne peut pas diffuser des nouvelles comme cela dans... ni rien en Finlande; c’est tout à fait absolument différent.

            Et puis, la chose suivante, vous savez, je suis entré dans le bâtiment... je me dirigeais vers l’église ce soir-là, et la–la renommée de notre Seigneur s’était tellement répandue qu’Il était au milieu des gens jusque là-bas, à trois pâtés de maisons vers le bas, là où se trouvait l’auditorium, les rues étaient simplement bondées, comme cela. Et on ne pouvait pas s’approcher. Et quelque...

            On avait placé la milice là, les soldats finlandais. Et certains d’entre eux, de tous petits garçons avaient l’air de ne s’être même jamais rasés de leur vie. Les pauvres petits garçons! Et ils avaient formé un petit groupe pour me faire passer jusqu’à la ligne. Et j’y allais, ils repoussaient les gens pour me laisser passer.

            Alors, quand je suis arrivé au bâtiment et que j’allais entrer là où se tenaient les services (Je n’oublierai jamais cela), de pauvres Finlandais se tenaient là, ils se sont simplement mis à pleurer; des soldats se tenaient au garde à vous. Et maintenant, juste un instant, je vais former la ligne de prière maintenant.

51        J’entrais dans l’auditorium et il y avait un dortoir pour dames, ou des toilettes, on dirait. Je... Ils avaient fermé les portes, les agents de police étaient derrière moi; il y en avait deux devant et deux derrière. Et je m’avançais pour entrer. Les portes étaient fermées. Et j’ai regardé, et une porte s’est ouverte vers les toilettes, et une petite fille finlandaise est sortie. Je n’oublierai jamais l’aspect de cette petite créature.

            Eh bien, j’aime vraiment les petits enfants. On me donnait de cet argent finlandais. Et après–après que tous étaient entrés dans l’auditorium, je descendais la rue, je trouvais ces petits Finlandais, des enfants, vous savez, je leur donnais cet–cet argent pour acheter des bonbons. J’avais une file de petits enfants sur deux pâtés de maisons, qui me suivaient pratiquement. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

52        Et elles portaient de petites... leurs petites jupes, ces petites filles finlandaises... Maintenant, à vous les jeunes filles américaines... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Elle ne contrôlait pas le soulier. Elle avait un–un appareil orthopédique de part et d’autre, qui remontait comme ceci, et puis au niveau de ses flancs et à l’orteil (Je vais représenter cela ici), au bout de son soulier on dirait, ici même, elle avait un fermoir. Et le fermoir allait jusqu’à ce pied droit; c’était sa jambe droite, ça montait ici, et ça passait par son épaule, et c’était rattaché ici derrière, au dos, à l’appareil orthopédique. L’appareil orthopédique contournait comme ceci, et descendait comme ici... Et elle avait deux béquilles. Et la façon dont elle marchait, elle faisait avancer les deux béquilles, et ensuite, elle oscillait son épaule, et cela avançait l’orteil et posait cet appareil orthopédique raide par terre, ce qui dégageait sa jambe dans l’appareil orthopédique; alors, elle pouvait effectuer des pas à l’aide des béquilles. C’est ainsi qu’elle marchait.

53        Et quand la petite créature est sortie de là, à peu près de cette taille-ci... Vous tous... beaucoup parmi vous savent et ont vu sa photo; elle est dans mon livre là-bas, je pense. Et quand elle est sortie, et elle–elle m’a regardé; et cette petite en lambeaux, les cheveux coupés, en petite jupe qui descendait bas, juste ses pans pendaient, en lambeaux. Et quand elle a regardé... Elle a ouvert la porte et elle a fait avancer ses béquilles, elle a regardé et elle m’a vu, elle a sursauté. Elle a incliné sa petite tête; les larmes lui coulaient des joues. Je savais que cette enfant-là voulait venir vers moi. Mais elle avait été avertie; ils ne devaient pas venir, vous savez. Alors, je me suis arrêté, ces soldats ont commencé à me pousser. J’ai secoué la tête: «Non.» Je n’y pouvais rien. J’ai fait signe à la jeune fille. Je sais qu’elle voulait venir là-bas, et je lui ai fait signe.

            Elle est venue là, elle a fait avancer ses petites béquilles et elle a fait faire un mouvement à sa petite jambe. Et quand elle s’est avancée, je me suis simplement tenu tranquille pour voir ce qu’elle allait faire. J’aime beaucoup les enfants. Elle s’est vraiment approchée de moi, elle m’a regardé. Elle a disposé ses petites béquilles de façon à s’appuyer dessus. Elle a regardé en bas; elle n’a pas levé la tête. Elle a tenu mon manteau, elle a soulevé cela, elle a baisé la poche, elle a laissé tomber cela comme cela. Elle a levé les yeux vers moi, ces petits yeux bleus d’enfants avec des larmes qui coulaient sur ses joues; elle a reculé comme ceci, elle a soulevé sa petite robe et a dit: «Kiitos.»

54        Et j’ai découvert que c’était une petite orpheline de guerre, son père et sa mère avaient été tués dans la guerre contre la Russie. Et pendant que je la regardais, j’ai dit: «Ô chérie, que Dieu bénisse ton petit coeur.» J’ai dit: «Tu es guérie.» Mais elle ne pouvait pas comprendre ce que je disais. Je savais que Dieu honorerait une telle foi. J’ai dit: «Tu es guérie, chérie.» Et alors, ces soldats ne cessaient de me pousser.

            Et je suis entré. Et ce soir-là, quand les oeuvres s’accomplissaient, les gens jetaient simplement leurs béquilles, ils repoussaient leurs fauteuils et tout. Vous avez vu les photos dans Voice Of Healing, juste des brassées de béquilles et des cannes, ils avaient... Et j’ai dit: «Faisons-en encore venir quelques-uns de plus.»

            Mon frère a dit: «Billy, rappelle-toi, longtemps, outre-mer, on doit partir d’ici.»

            Mais je n’étais pas encore complètement épuisé. Alors, j’ai dit: «Juste quelques-uns encore.» Et par la grande providence de Dieu, j’ai entendu un bruit, et elle était la personne suivante à monter à l’estrade. J’ai regardé là, et je vous assure, je n’avais jamais éprouvé pareil sentiment. Elle est venue là, elle pleurait encore. Et j’ai dit: «Soeur Isaacson, approchez-vous.» J’ai dit: «Rapportez mes paroles, répétez ma parole.» Et j’ait dit: «Que Dieu te bénisse, chérie. Tu es la petite fille qui était dehors dans le couloir il y a quelques instants quand j’entrais.» J’ai dit: «Jésus-Christ t’a déjà guérie, chérie. Quand tu iras là, et que tu auras... assieds-toi et demande à quelqu’un d’enlever ces appareils orthopédiques, et mets tes mains à ta petite hanche. Et pendant qu’on enlève ces souliers et cet appareil orthopédique, laisse tes mains descendre doucement à peu près à la même distance que ta jambe courte, alors, fais-moi voir.» J’ai dit: «Faites venir le prochain cas.»

55        Et certains frères finlandais sont allés là et ils enlevaient cela. Et l’autre dame se tenait là, les diagnostics, le discernement sur cette dame se faisait, vous savez, on exerçait le discernement. Et tout d’un coup, je l’ai entendue lâcher un cri et elle venait là, les béquilles et les appareils orthopédiques sur la tête, courant à toute vitesse, tout aussi normale et bien portante que n’importe qui. Et elle montait et descendait ces marches, encore et encore, merveilleusement guérie.

            Qu’est-ce, mes amis? «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Soyez humble. Soyez le plus petit de tous. Ne vous élevez jamais vous-même. Si vous le faites, vous allez être abaissé. Humiliez-vous, et Dieu vous élèvera. Ne vous dites pas que Dieu vous doit quoi que ce soit. Rappelez-vous, vous Lui devez tout. Et nous ne sommes pas tenus, ou Dieu n’est pas tenu vis-à-vis de nous. C’est nous qui sommes tenus vis-à-vis de Dieu. Et aimez-Le de tout votre coeur; croyez en Lui, et Dieu vous bénira, j’en suis sûr.

56        Pendant que nous avons nos têtes inclinées... Père, oh! quand je me souviens de cette scène-là que je viens de repasser en revue. Je me suis souvenu de cette pauvre petite créature qui sortait de cette pièce-là en se traînant, de son respect, son amour; Tu as dit: «Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de Mes enfants, c’est à Moi que vous les avez faites.» Elle a eu du respect, Seigneur, pour ce qui lui avait été dit, que Tu étais avec nous et que Tu guérissais les gens. Elle T’aimait, Seigneur, et l’unique moyen pour elle d’exprimer son amour, c’était de chercher à aimer Ton serviteur. Et, ô Dieu, accorde-moi ceci, le veux-Tu? Si j’ai le privilège de traverser la–la frontière ce jour-là, quand Tu appelleras les justes à entrer, et si j’ai trouvé grâce à Tes yeux en ce jour-là, que je puisse toucher Tes pieds, que je rampe depuis quelque part, Seigneur, accorde que je puisse me tenir avec cette petite fille-là. Je pourrais ne jamais la revoir au cours du pèlerinage de la vie.

            Et ce petit garçon-là, Tu sais tout à son sujet, Seigneur. Je peux bien voir la vision maintenant, quand Tu m’avais montré ce petit garçon, j’avais vu ses petites jambes nues étendues là, et comment il était tout fracturé. Je me rappelle la vision, je me rappelle avoir répété cela devant des dizaines de milliers de gens. Et je me tenais là ce jour-là quand le Saint-Esprit est descendu... Je suis vraiment illettré, Seigneur; je n’aurais jamais su cela. Je serais passé à côté de cela n’eût été Ta grâce souveraine qui m’avait alors parlé pour me le révéler: «C’est ça.» Après que Tu m’avais montré cela, j’étais trop stupide, Seigneur, trop ignorant pour savoir cela, si rattaché au sens. Ô Dieu, aie pitié de nous, pauvres mortels. Et aie pitié de moi, Seigneur.

57        Et je prie ce soir qu’il se passe ici ce soir quelque chose, d’une certaine manière. Maintenant, Tu as dit dans Ta Parole, Jésus, que tout ce que nous demanderions en priant, que nous croyions que nous l’avons reçu. Et Dieu bien-aimé, j’ai raté une de ces réunions, non pas parce que je le voulais, mais, Seigneur, Tu le sais, il y avait une raison à cela. Peut-être que si j’étais venu, quelque chose se serait passé. Tu as dû me retenir pour m’épargner d’un accident ou de quelque chose comme cela; je ne sais pas, c’est Toi qui conduis, Seigneur. Je Te prie d’aider ces gens.

            Et ce soir, je Te demande et je crois que Tu vas exaucer ma prière, et Tu vas répondre. Veux-Tu nous accorder une grande effusion de Tes bénédictions? Secoue simplement tout le monde, Seigneur. Et que quelque chose soit dit ou fait quelque part, qui amènera les gens à se débarrasser simplement de leurs cartes de prière et à Te recevoir comme leur Guérisseur.

58        Et que ces gens ici sur ces civières, ces brancards, ces fauteuils, et beaucoup parmi ceux qui sont ici mourant, qu’à partir de cette heure-ci, ils soient bien portants en acceptant Jésus-Christ. Qu’Il étende Ses saintes mains pour guérir ce soir, Seigneur. Envoie Ton Ange du Ciel, qu’Il oigne Ton serviteur avec cet Esprit de l’Etre prophétique, qui montre des choses qui ont été et des choses à venir, que je Te proclame devant les gens, disant: «Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement», le même Seigneur qui avait su où était Nathanaël, qu’il priait sous l’arbre, et que la femme au puits avait des maris, le poisson qui avait une pièce d’argent dans sa bouche, où se trouvaient les mulets à la jonction de deux chemins... Oh! Tu sais tout, Père. Je prie que ce même Esprit soit ici ce soir, qu’Il soit parmi nous, qu’il nous aide et nous bénisse.

            Augmente la foi de nous tous, encourage Tes prédicateurs, ô Dieu, afin que quand ils rentreront de cette réunion-ci, il y ait des services de guérison divine dans chacune de leurs églises. Et puissions-nous tous avoir un baptême frais de l’Esprit. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.

59        Billy...?... Très bien, très bien. Merci, frère...?... Je pensais que vous étiez peut-être parti...?... Vous vous teniez ici. «H.» Mon fils a dit qu’il a distribué des cartes de prière H aujourd’hui, un à cinquante. Eh bien, je ne sais à partir d’où appeler. Appelons à partir de 20, de 10 à 30... de 20 à 35. Ça fera, combien? 20? 15, c’est en ordre. Très bien, 20 à 35. Qu’ils s’alignent suivant leurs numéros ici.

            Maintenant, si certains parmi vous qui êtes sur des civières, ou des brancards, ou n’importe où, ou qui ne peuvent pas se lever, ceux qui ont cette carte de prière, levez la main comme cela, quand le tour de votre numéro arrivera, alors un huissier vous amènera à l’estrade si vous êtes incapable ou trop faible pour vous lever. Attendez simplement que votre numéro... Nous commencerons à 20, et si vous êtes 25, attendez que quatre passent et puis le prochain, le cinquième, ça sera vous. Levez la main, et un huissier vous transportera à l’estrade.

60        Eh bien, voici ce que je déclare: que Dieu seul, Dieu est l’unique qui peut guérir. Nous le savons, n’est-ce pas? Il est l’unique qui guérit. Et je prie que Dieu guérisse chaque personne ici ce soir. Quand on amènera les gens à l’estrade, cela ne veut pas dire qu’ils sont guéris. Il y en a plusieurs qui passent à l’estrade et qui ne sont pas guéris. J’en connais deux ou trois, que je connais personnellement au début, qui–qui n’ont pas été guéris, qui étaient passés par l’estrade. Et je–je n’ai rien à faire avec cela. Tout ce que je peux faire, c’est leur parler. Ils doivent avoir la foi. Mais quand vous entendez l’Esprit du Seigneur les déclarer guéris, dites-leur ce qui va arriver, notez cela. Il en sera ainsi. En effet, je ne suis pas responsable de cela; c’est Lui qui est responsable, pas moi. Moi, je suis responsable de venir ici; c’est à Lui de s’occuper du reste.

            Eh bien, quand... Excusez-moi. Vous êtes prêts? D’accord. Excusez-moi un moment. J’avais un peu soif. Maintenant, vous qui êtes dans la ligne de prière, j’aimerais que vous regardiez dans cette direction-ci. Croyez-vous de tout votre coeur que ce qu’on vous a dit, que je vous ai dit au sujet de l’Ange du Seigneur, est la vérité? Voyez-vous, monsieur? Oh! Et vous sur l’estrade, madame, croyez-vous?

61        Sommes-nous inconnus? Nous... Sommes-nous tous inconnus...? S’il... Si nous le sommes, levez les mains, si vous pouvez lever vos... Nous sommes inconnus. Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre. Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre, nous sommes inconnus; Très bien. Très bien.

            Maintenant, combien là n’ont pas de cartes de prière? Faites-nous voir les mains. Oh! la la! C’est partout devant. Très bien. J’essaie de regarder, généralement, quand je me mets à parler aux gens, si je fixe mon regard droit sur eux quelques instants, alors je vois la vision se lever. Cela commence à partir de là, et ça commence simplement à se lever en l’air. Puis-je expliquer cela juste un instant?

            Quand je regarde quelqu’un, si je le fixe, et que j’entre en contact avec son esprit, eh bien alors, on dirait que je commence à voir quelque chose apparaître devant moi. Peut-être que je verrai une certaine chose, une intervention chirurgicale; peut-être que j’aurai à regarder cela quelques minutes. Et peut-... Si l’assistance se tient très calme, je peux dire de quoi les gens parlent. Combien étaient à Cleveland cette soirée-là quand une femme se tenait là et que je n’arrivais pas à faire partir cela d’elle? Elle était juste... Je lui ai dit qu’elle était un peu sceptique, et elle ne voulait guère accepter cela. Et quelques instants après, je lui ai dit que le... je me suis mis à répéter la prière qu’elle venait de faire avant de quitter la chambre. C’était... Vous rappelez-vous cela? Levez vos mains, si vous le pouvez. J’ai répété la même prière qu’elle avait offerte environ une heure auparavant avant de venir à la réunion, textuellement. J’ai dit: «Qui était dans la chambre pour écouter cette prière-là?» «Le Saint-Esprit.» Il connaît toutes choses, n’est-ce pas?

62        Eh bien alors, parfois, si les gens, s’il y a du bruit ou de l’excitation, ou quelque chose comme cela... Le Saint-Esprit est très timide, très timide. A la moindre petite chose qui l’attriste, Il s’en va.

            Vous rendez-vous compte maintenant? Laissez-moi vous montrer quelque chose de beaucoup plus grand que ce qui est arrivé du temps des apôtres. Du temps des apôtres, on amenait les gens à l’écart. Le saviez-vous? Et beaucoup de gens disent aujourd’hui, quand je leur demande d’incliner la tête, ils disent simplement: «C’est de la psychologie.» Eh bien, ils disent donc: «Vous regardez quelqu’un. Oui, vous lisez ses pensées.»

            Eh bien, je me demande si Paul lisait les pensées de cet homme là quand il a dit, quand il a fixé le regard sur lui comme cela et a dit: «Je vois que tu as la foi pour être guéri.» Je me demande si c’était de la psychologie. Je me demande si c’était de la psychologie quand Pierre et Jean, passant par la porte appelée la Belle, ont dit: «Regarde-nous.»

            Non, mes amis, les gens ont... ils se font juste une image ecclésiastique d’un séminaire théologique qui leur enseigne ça et ils pensent que cela doit être ainsi. Dieu n’est pas tenu vis-à-vis d’un séminaire théologique, Il n’est tenu qu’à Sa Parole. C’est vrai. Ils pensaient avoir compris comment Jésus viendrait, ce qu’Il devrait être, en tant que Maître. Mais quand Il est venu, c’était différent de ce qu’eux pensaient. Voyez? Eh bien, que tout le monde soit respectueux.

63        Maintenant, vous qui venez dans la ligne, par la grâce de Dieu, je pourrais peut-être vous dire ce qui cloche chez vous, ou autre. Je ne sais pas. Mais si je–si je ne sais pas, Il... S’Il ne me le montre pas, j’aurai simplement à dire: «Je ne sais pas ce qui cloche chez vous.» Peut-être que j’offrirai un mot de prière pour vous et je vous laisserai continuer. Mais s’Il me le montre et qu’Il puisse dire ce qui a été dans votre vie passée, c’est qu’Il sait ce qui arrivera dans votre vie à venir. Est-ce vrai?

            Maintenant, Il révèle parfois beaucoup de choses. Mais s’Il peut vous dire une seule chose, Il sait toutes choses. Regardez la femme au puits. Il avait seulement dit: «Va chercher ton mari», Il lui a parlé de son mari. Et elle a dit aux gens de la ville qu’Il lui avait dit tout ce qu’elle avait donc fait. Lui ne l’avait point fait. Il lui avait simplement dit une seule chose qu’elle avait faite. Mais elle a reconnu que s’Il avait su cette seule chose, Il connaissait toutes choses. Est-ce vrai? Mais c’était juste le Père qui Lui avait fait connaître cela.

64        Maintenant, je vous assure, peut-être que j’ai vraiment provoqué certains d’entre vous en prenant mon temps. Mais, amis, je... C’est à dessein. Voyez? Il n’y a que nous qui sommes pressés. Dieu n’est jamais pressé. Voyez? Il a laissé les enfants hébreux entrer droit dans la fournaise ardente. Si seulement nous Le laissions tranquille, Il fera pour nous quelque chose qui sera de loin plus que les trois cents que nous pourrons faire passer ici précipitamment ce soir. Voyez? Laissez-Le simplement s’y prendre à Sa manière. Attendez. Croyez, ayez foi, acceptez-Le comme votre Sauveur et votre Guérisseur.

            Mais je sais, frère, qu’il y a ici maintenant un chrétien. Car ce–c’est... Je sens un accueil chaleureux d’une étreinte d’un chrétien. Eh bien, monsieur, comme vous m’êtes inconnu, que je ne vous connais pas, et vous ne me connaissez pas; nous sommes juste ici comme deux hommes. Et il y a peut-être quelque chose qui cloche chez vous. Si c’est le cas, Dieu peut me le révéler. Et s’Il le révèle, eh bien, je serai reconnaissant et je sais que cela augmentera votre foi. Mais quant à votre guérison, évidemment, cela devra venir par le fait d’accepter Jésus-Christ au Calvaire: Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection.

65        Mais maintenant, après Sa mort et Sa résurrection, eh bien, Il est monté en haut, Il a donné des dons aux hommes. Mais Il est le Christ ressuscité. Il n’est pas mort. Il–Il–Il est ressuscité. Et Sa puissance, Il a promis d’être avec nous, même en nous, jusqu’à la fin du monde. C’est vrai.

            Maintenant, vous êtes conscient qu’il se passe quelque chose, monsieur. Maintenant, à l’assistance, cette Lumière que vous voyez sur la photo est très proche. Cet homme, aussi certainement qu’il se tient là, je ne l’ai jamais vu de ma vie, mais il sait qu’il se passe quelque chose. C’est sa foi et ma foi qui s’unissent par le Saint-Esprit qui est proche. Oui, oui, je vois que vous êtes une personne extrêmement nerveuse. N’est-ce pas vrai? Et cela est dû à une maladie physique, c’est la glande prostatique. Est-ce vrai? Vous avez souffert–vous avez souffert de l’arthrite... Non, vous avez connu une attaque d’apoplexie, n’est-ce pas? Vous avez connu une attaque d’apoplexie. C’est quelque chose qui vous a frappé, on dirait, un peu, cela n’a jamais fait de mal... Dites donc, vous êtes un prédicateur de l’Evangile aussi, n’est-ce pas? Je vous vois debout à la chaire. Eh bien, cela me quitte. Vous ai-je dit...? Etait-ce la vérité? Vous avez entendu ma voix, mais ce n’était pas moi qui parlais, mon frère. Est-ce que ce que j’ai dit est vrai? Venez ici.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie et Donateur de tous dons excellents, envoie Tes bénédictions sur cet homme que je bénis, en Ton Nom. Que celle-ci soit l’heure la plus douce de sa vie alors qu’il se tient ici, mûr pour l’éternité; ses cheveux sont décolorés pour demain. Ô Dieu, accorde-le, Seigneur, alors que cette vaillante âme s’avance vers Toi. Toi qui T’es tenu à côté de Paul et Silas, tiens-Toi à côté du frère maintenant. Alors que je le bénis en tant que Ton prophète, qu’il parte d’ici un homme bien portant le reste de ses jours. Au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Allez et soyez bien portant.

66        Très bien. Faites venir le... Frère Baxter, le... Eh bien, parfois, j’essaie de retrouver mon équilibre, mon appui (Voyez-vous?) avant que je... Si seulement vous saviez ce que cela vous fait! Cet homme pour qui on vient de prier il y a quelques instants, vous, si quelqu’un parmi vous le connaît, vous–vous, ses amis, ou les membres de sa famille, observez-le. Cet homme va connaître un grand changement dans quelques heures. Il est vaillant; il est âgé. On dirait qu’il... Combien connaissent cet homme-là? On dirait qu’il... Eh bien, oh! la la! Oh! Le pasteur de l’église italienne, eh bien, c’est merveilleux. Qu’est-ce qui a été–qu’est-ce qui a été discerné dans son cas? Etait-ce un ... A-t-il dit... [Quelqu’un dit: «L’attaque d’apoplexie.»–N.D.E.] Oh! Eh bien, gloire au Seigneur. C’est bien. Eh bien, disons: «Merci, Seigneur.» Je suis content, bien-aimé pasteur. Eh bien, Dieu sait que je–je... Il le connaît; pas moi. Voyez-vous? Il sait tout à son sujet. Mais je sais que l’homme avait une... on dirait une merveilleuse et vaillante foi qui s’est élancée là. Et je–je sais que Dieu va honorer une telle foi.

67        Très bien. Ceci est...?... Bonsoir, madame. Eh bien, c’est vous la patiente, et j’aimerais vous parler juste un tout petit peu, madame. Eh bien, vous et moi, nous sommes inconnus dans–dans–dans le pèlerinage. Mais, et vous... Maintenant, je n’ai aucun moyen de savoir quoi que ce soit à votre sujet, à moins que Dieu le révèle, si nous sommes inconnus. Est-ce vrai? Et puis, si Dieu me le révèle, alors vous saurez que c’est–c’est donc la vérité.» Vous savez que c’est vrai. Et maintenant, vous–vous êtes conscient qu’il se passe quelque chose, évidemment, comme je le dis, et j’ai demandé à l’assistance de surveiller l’expression sur la foi... le visage des patients. Mes paroles ne sont parfois pas exactes, quand cela se meut sur moi, mes lèvres et ma langue deviennent très engourdies, c’est Lui qui est sur le point de parler. Voyez-vous? Je sais qu’Il va parler, soit montrer une vision dans quelques instants. En effet, vous croyez, madame; vous avez beaucoup prié pour cela; vous avez attendu impatiemment ce moment, où vous pourrez vous tenir ici, n’est-ce pas? Quelle heure! Quel moment pour vous...

            Je vous vois. Oui, vous avez des ennuis à la tête, n’est-ce pas, soeur? Je vous vois vous tenir toujours. Je vais dire... Je peux... C’est une espèce de maux de tête, n’est-ce pas vrai? Et c’est–c’est depuis que vous étiez enfant. N’est-ce pas vrai? Et vous êtes... Dites donc, vous avez été–vous avez été une monitrice de l’école du dimanche, ou une espèce de ministre. En effet, je vous vois avec une Bible à la chaire. Est-ce vrai? Que Dieu vous bénisse. Quelque chose est donc arrivé, n’est-ce pas? C’est à ce moment-là que cela était arrivé. Que Dieu vous bénisse, vous pouvez partir maintenant et Il vous aidera. Que Dieu vous bénisse, soeur.

68        Que tout le monde dise: «Béni soit le Seigneur!» Rappelez-moi d’en parler, rappelez-moi de nouveau cela, ce cas-là.

            Bonsoir, soeur. Voici une femme qui est vraiment une bonne croyante. Elle n’en parle pas trop. Mais elle garde toutes ces choses pour elle-même. Je ne lis pas vos pensées, soeur. Oui, vous êtes une personne très sincère. Vous avez eu des ennuis, n’est-ce pas, soeur? Avez-vous des enfants? Oui. Un enfant, c’est alors que votre problème a commencé. N’est-ce pas vrai? Cela vous a causé une espèce d’infection, ou un ulcère, ou quelque chose comme cela dans ce flanc-là, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? Très bien, rentrez chez vous et soyez bien portante, soeur. Que Dieu vous bénisse, soeur.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» Que Dieu vous bénisse. Que le Seigneur Jésus soit glorifié et béni dans Son peuple, béni dans nos coeurs alors que nous Le voyons dans Sa puissance. Très bien. Frère Baxter, voudriez-vous faire venir la dame?

69        Bonsoir, soeur. Oui, j’aimerais que l’assistance la regarde. Quelque chose arrive, n’est-ce pas, madame? Vous avez beaucoup souffert. Vous avez été nerveuse; et ce, depuis longtemps. Vous avez aussi souffert du coeur, n’est-ce pas? Et une affection de reins, n’est-ce pas vrai? Croyez-vous que je suis Son prophète? Venez ici. La Parole de Dieu dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Croyez-vous que je suis un croyant? «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Maintenant, rentrez chez vous bien portante, car vous l’êtes. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse.

            Disons: «Gloire au Seigneur!»

            Bonsoir, soeur. Je vois que vous êtes aussi une croyante. Vous n’avez pas joui d’une bonne santé depuis un temps, n’est-ce pas? Oui, vous êtes anémique. On ne le saurait pas en vous regardant, mais vous l’êtes. Et vous avez souffert d’une maladie gynécologique qui vous a aussi dérangée depuis longtemps. Cela vous a fait tomber malade souvent, ça vous a donné des maux de tête et autres. C’est vrai. Maintenant, vous pouvez quitter l’estrade, car vous avez reçu une transfusion ce soir, venant de Dieu. Vous allez vous rétablir, soeur. Que Dieu vous bénisse. Allez, et que Dieu vous bénisse.

            Disons: «Gloire à Dieu!»

70        Bonsoir, soeur. Croyez-vous? Je vois que vous portez des lunettes. Croyez-vous que Dieu m’a envoyé pour être Son prophète, pour vous aider à avoir foi en Son Fils Jésus? Satan n’est qu’un menteur, n’est-ce pas, madame? Il vous ment. Et beaucoup de gens ne sympathisent pas avec vous. Ils vous disent: «Ressaisissez-vous.» Mais vous n’y pouvez rien, car vous êtes nerveuse, n’est-ce pas? Vous n’y pouvez rien, car cela a stigmatisé vos yeux. Mais enlevez simplement vos lunettes et rentrez chez vous, car Christ vous a rétablie, soeur...?... Allez seulement...

            Maintenant, que tout le monde dise: «Gloire au Seigneur!»

            Que pensez-vous, maman? Croyez-vous de tout votre coeur? Juste un instant. C’est une Finlandaise; maintenant, juste une seconde. Inclinons la tête.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, aie pitié de cette pauvre bien-aimée femme. Je viens de parler de son peuple qui est outre-mer. Elle se tient ici ce soir, souffrant, je lui ai imposé les mains. Eternel Dieu, Auteur de la Vie, c’est Toi qui as ressuscité quelqu’un de sa race, ce petit garçon qui était ressuscité d’entre les morts, l’autre petit garçon, et la petite fille que Tu avais guérie. Tes bénédictions reposent encore sur la Finlande. Que Dieu bénisse cette femme, que ses lettres traversent la mer pour annoncer qu’elle a été guérie. Au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen.

            Maintenant, Jumalan rauhaa. La maladie du coeur dont vous souffriez vous quitte. Allez et soyez bien portante. Au Nom de Jésus. Que Dieu vous bénisse.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» Dites donc, vous souffriez de la même chose, n’est-ce pas? La maladie du coeur. Passez directement à l’estrade, car Jésus vous a guérie pendant que vous veniez.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» Tout le monde. C’est ainsi qu’il faut recevoir cela. Croyez; ayez foi maintenant, tout le monde; ne doutez pas.

71        Très bien, madame, avancez. Qu’est-ce que je veux dire? J’observe; j’essaie de vous aider, je–je... De tout mon coeur, je–je vous aime. Cela vient du plus profond de mon coeur en tant qu’humain; oui. Et j’essaie simplement de vous aider, ne me jugez pas mal, s’il vous plaît. Maintenant, il y a ici quelqu’un qui sait pourquoi j’ai dit cela. Voyez-vous? Je sais ce que vous en pensez, alors–alors... Très bien, bien-aimée soeur.

            Nous sommes inconnus, n’est-ce pas, soeur? N’aimeriez-vous pas manger comme autrefois? Très bien, vous le pouvez à partir de maintenant. Vous pouvez aller manger tout ce que vous voulez. Que Dieu vous bénisse, soeur.

            Disons: «Gloire au Seigneur Jésus!»

            Ayez foi en Dieu. Vous tous là-bas dans l’assistance, priez. Je crois... Maintenant, je n’ai pas exactement vu une personne donnée être guérie, mais j’ai vu beaucoup de choses se passer là. On dirait que là derrière, dans cette section-ci, là derrière dans cette direction-ci, quelqu’un derrière moi cherche à croire, et il fait même que je me retourne de temps en temps. Ayez donc foi en Dieu. Très bien, soyez prêt à faire venir la personne.

72        Très bien. Bien-aimée soeur, croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que cet Esprit qui se meut maintenant à l’estrade, c’est l’Esprit de Dieu? Je crois cela. Vous croyez que... Voyez, je ne vous demande pas ceci pour que vous croyiez en moi, mais voici ce que l’Ange du Seigneur, la première chose qu’Il m’a dite: «Je suis envoyé de la Présence de Dieu, du Dieu Tout-Puissant, pour t’annoncer que ta naissance et ta vie particulières, c’est pour indiquer que tu dois apporter un don de guérison divine aux peuples du monde.» Et Il a dit: «Si tu es sincère et que tu amènes les gens à te croire, rien ne résistera à ta prière.»

            Maintenant, amener les gens à me croire, c’est la raison pour laquelle je–je vous demande, ou... Quand vous vous êtes approchée, j’ai senti un esprit accueillant montrant que vous êtes une chrétienne. Je sais que vous croyez donc en Dieu. Alors, la chose suivante, si je parle de moi-même, ce que je représente, alors, je sens cette réaction-là, si vous croyez réellement cela ou pas. Ce n’est qu’un test. Mais vous croyez que je suis Son prophète, n’est-ce pas? En effet, votre maladie du coeur vous a déjà quittée quand vous êtes arrivée ici, soeur. Vous pouvez quitter l’estrade, étant guérie. Que Dieu vous bénisse. Disons: «Gloire au Seigneur!»

73        Bonsoir, monsieur. Eh bien, ne laissez plus Satan vous tromper. Voyez? En effet, vous êtes bien portant. C’est juste ce trouble causé par l’accident qui vous a un peu ébranlé, mais vous allez surmonter cette nervosité. Venez ici.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie et Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur mon frère. Et que cette puissance qui cherche à le retenir maintenant, que cela le lâche. Satan, au Nom de Jésus-Christ, laisse aller cet homme; sors de lui. Partez d’ici en vous réjouissant et heureux. Ne pensez plus jamais à cela, frère, continuez. Très bien. Disons: «Gloire au Seigneur!»

            Bonsoir. Vous voulez guérir de l’asthme, n’est-ce pas? Allez simplement de l’avant et louez le Seigneur, dites-Lui que vous croyez de tout votre coeur, et vous aurez ce que vous avez demandé. Que Dieu vous bénisse. Amen.

            Dites: «Gloire au Seigneur!» L’insuline est une chose horrible, n’est-ce pas, pour le diabète? Mais une seule piqûre du Calvaire s’en occupera, soeur. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ...?... Gloire au Seigneur. L’arthrite l’a rendue estropiée, et elle a d’autres choses. Dieu l’a rétablie.

            Disons: «Gloire au Seigneur.» Béni soit Son Nom.

74        Venez, frère. Ayez foi, tout le monde. Disons: «Gloire à Dieu! Loué soit Son Nom.»

            Avancez. Oh! Ce sont les oreilles. Vous croyez de tout votre coeur? Vous croyez que Dieu vous accordera votre...?...

            Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, toi démon, quitte cet homme. Allez-vous très bien? Vous êtes guéri, mon frère, quittez l’estrade, entendant normalement. Voyez? Disons: «Gloire au Seigneur!»

            Croyez-vous? Je pense que c’est la fin de la ligne. Que l’assistance regarde maintenant dans cette direction. Combien là n’ont pas, dites-vous, de cartes de prière? Faites voir les mains partout, vous qui n’avez pas...? C’est bien, d’accord.

75        Maintenant, j’aimerais juste vous parler un peu avant de former une autre ligne. Voyons, peut-être que le Saint-Esprit nous parlera bien, là dans l’assistance, sans former une ligne. Ça serait mieux, peut-être. Très bien. Regardez dans cette direction; nous n’aurons pas besoin de ligne. Eh bien, j’aimerais juste–juste regarder. En effet, j’essaie d’être très sincère. Que le Saint-Esprit me tire où Il veut que j’aille. Voyez? Et nous ne cherchons pas à regarder l’assistance, ou à leur parler, comme je fais avec l’un après l’autre sur l’estrade, mais là où, semble-t-il, Il m’appelle.

            Petit garçon, qu’en penses-tu? Crois-tu de tout ton coeur? Tu essaies de me contacter pour une raison, n’est-ce pas? N’est-ce pas que tu cherchais à ce que je te parle? Il y a au moins une douzaine là qui me tirent. Tiens-toi simplement debout une minute. Oh! Oui, le petit garçon, là, papa, que je viens de voir en vision juste là à côté de lui. Je peux juste voir qui il est, et juste un instant. Je vais arriver à vous juste une seconde, frère, restez assis. Oh! Oui, c’est une hernie, une hernie, n’est-ce pas vrai? N’est-ce pas vrai? Très bien, rentre à la maison, petit garçon, crois de tout ton coeur, Jésus-Christ te rétablira...?...

            Croyez Dieu, que cette arthrite vous quitte; vous pouvez partir de là ce soir en marchant. Ayez simplement foi. Croyez-vous? Croyez-vous? Très bien. Qu’il vous soit fait selon votre foi.

76        Dites donc, juste un instant, vous, la maman assise là-bas en train de regarder dans cette direction, une dame à l’air très sainte. Je vois quelque chose de sombre suspendu au-dessus d’elle. C’est un... Oh! oui, cela a un cancer. N’est-ce pas vrai, madame? Levez-vous juste une minute. Il sait que son temps est arrivé. Croyez-vous que je suis Son prophète? Comme le prophète de Dieu? Croyez-vous cela? Rentrez chez vous et soyez guérie de ce cancer-là; ça vous quitte.

            J’ai vu un esprit sombre la quitter. Elle... sa prière... Vous étiez assise là en train de prier, n’est-ce pas, madame? Vous vouliez–vous vouliez être guérie. La dame assise juste à côté de vous, on dirait qu’elle s’intéresse beaucoup à quelque chose. Que pensez-vous, madame? Croyez-vous cela? Connaissez-vous la dame assise à côté de vous? Vous ne la connaissez pas. Vous êtes simplement très heureuse de savoir qu’elle a été guérie, n’est-ce pas? Oui, oui. Vous souffrez du coeur, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? Très bien, levez-vous; recevez votre guérison de la part de Jésus-Christ, au Nom du Seigneur Jésus.

77        Maintenant, ceci est étrange pour elle, elle ne sait que faire à ce sujet. Quelque chose est arrivé juste... Attendez une minute, là même à côté d’elle, je vois qu’il y a autre chose. Je crois que la dame assise juste à côté... Avez-vous souffert aussi du coeur, un rhumatisme cardiaque aigu, ou quelque chose comme cela? Levez-vous, vous avez été aussi guérie, soeur. Frappée... vous a trompée, n’est-ce pas? Je vais vous dire quoi faire, ce que vous les femmes, vous faites. Allez à une église du plein Evangile et servez Dieu le reste de votre vie. Amen. Et recevez le baptême du Saint-Esprit. Amen. Que Dieu vous bénisse. Disons: «Gloire soit rendue à Dieu.»

            Qu’en est-il de vous avec le mouchoir au niveau du visage là, madame? Oui, vous aimeriez guérir de cette tumeur-là, n’est-ce pas? Est-ce vrai? Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez vous lever et être guérie de cette tumeur-là. Au Nom du Seigneur Jésus.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» Il est ici pour guérir.

78        Dans les rangées, quelque part de ce côté-ci. Que quelqu’un regarde dans cette direction. Croyez de tout votre coeur. Juste un instant, j’examine ces cas ici présents; je vais arriver à vous. Et puis, j’aimerais aller dans l’assistance là où les choses... On voit que vous êtes estropié (Voyez-vous?), mais j’aimerais arriver à vous juste dans un instant.

            Là quelque part derrière, croyez. Où que le Saint-Esprit peut me conduire, que Son Esprit me conduise et me dirige maintenant. Evidemment, cela frappe parfois dans une rangée. Si je peux me mettre à parler à un certain...

            Madame, une femme on dirait d’âge moyen, vous venez de mettre la main à la bouche toute à l’heure. Vous souffrez, n’est-ce pas? N’est-ce pas que quelque chose cloche chez vous? Etes-vous ici comme une patiente? Peut-être qu’elle n’entend pas très bien. Je n’arrive pas à distinguer ce que... Oh! Oui, ça y est. Oui, oui. Elle n’entend pas. Vous écoutez juste un écho. Vous pouvez m’entendre très bien maintenant, n’est-ce pas? Oui, oui, quelque chose cloche chez vous. C’est la sinusite, ou quelque chose dans la tête. N’est-ce pas vrai? C’est vrai. Très bien, rentrez donc chez vous. Acceptez-vous votre guérison? Rentrez chez vous et soyez bien portante, au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

79        La dame assise à côté de vous, en train de regarder dans cette direction. Votre maladie, c’est une maladie interne, n’est-ce pas, interne. Très bien, levez-vous et recevez vote guérison au Nom du Seigneur Jésus.

            Qui est celui qui a levé la main juste derrière vous là? Voyons quelle dame là-bas (Très bien), en robe rouge, assise là. Qu’en est-il de vous, madame? Croyez-vous de tout votre coeur? Oh! Oui, vous souffrez des varices, vous cherchez à en être débarrassée. N’est-ce pas vrai? Que le Seigneur Jésus envoie Ses bénédictions sur vous, qu’Il vous bénisse.

            Très bien. Juste une minute, laissez-moi regarder la rangée des estropiés ici. Vous sur les brancards, là-bas. Je ne peux pas vous guérir, madame. Et vous dans le fauteuil, assise ici, vous. Soyez respectueuse maintenant. J’aimerais simplement vous parler une minute, commencer de ce côté, descendre dans cette direction-ci.

80        Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Nous sommes inconnus. Que pensez-vous de ces réunions? Croyez-vous qu’elles sont envoyées de Dieu? Vous croyez. Vous êtes juste un peu excitée. Vous pouvez être guérie si vous croyez. Ac-... vous... Croyez-vous cela? Je parle à la dame couchée, oui. Croyez-vous? M’acceptez-vous comme Son prophète? Vous acceptez. M’obéissez-vous comme Son prophète? Vous êtes liée par la tuberculose, n’est-ce pas, soeur? N’est-ce pas vrai? Levez-vous et soyez guérie.

            Qui est cette autre sur le brancard? Que pensez-vous, maman? Regardez dans cette direction, placez votre main sur l’homme, regardez dans cette direction. Ça va. Croyez, ici même, madame, avec ce garçon ici aussi, ici...?... qui est ici. Regardez dans cette direction, monsieur, j’aimerais juste voir ce qui cloche chez vous. Oh! Oui, vous mourez du cancer. Pourquoi n’acceptez-vous pas votre guérison, ne vous mettez-vous pas debout, pour être guéri au Nom de Jésus-Christ...?... Levez-vous. Même l’enfant...?... Très bien, madame...?... Père céleste, au Nom de Ton Fils Jésus-Christ, envoie Tes bénédictions sur ces gens et, Satan, sors, au Nom de Jésus-Christ, sors...?...

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