Croire En Dieu

Autres traductions de ce sermon: Croire Dieu - MS
Date: 52-0224 | La durée est de: 1 heure et 31 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1          Quand viendra le moment

            Où je déposerai mes armes,
            Et où je demeurerai en paix à la Maison?
            Nous travaillerons jusqu’à ce que Jésus vienne,
            Nous travaillerons jusqu’à ce que Jésus vienne,
            Nous travaillerons jusqu’à ce que Jésus vienne,
            Et alors nous serons rassemblés à la Maison!
            Je ne connais aucune joie tranquille sur la terre,
            Aucun abri comme refuge paisible ;
            Ce monde est un désert de peines,
            Ce monde n’est pas chez moi.
            Nous travaillerons jusqu’à ce que Jésus vienne,
            Nous travaillerons jusqu’à ce que Jésus vienne,
            Nous travaillerons jusqu’à ce que Jésus vienne,
            Et nous serons rassemblés à la Maison.
            Je me suis refugié auprès de Jésus-Christ pour trouver du repos ;
            Il m’a invité à cesser d’errer,
            Et à m’appuyer sur Son sein pour téter
            Jusqu’à ce qu’Il me conduise à la Maison.
            Nous travaillerons jusqu’à ce que Jésus vienne,
            Nous travaillerons jusqu’à ce que Jésus vienne,
            Nous travaillerons jusqu’à ce que Jésus vienne,
            Et nous serons rassemblés à la Maison!
            J’ai aussitôt cherché mon Sauveur,
            Mes pas ne vont plus jamais errer ;
            Avec Lui j’affronterai les vagues froides de la mort,
            Et j’arriverai à ma Demeure céleste.
            Nous travaillerons jusqu’à ce que Jésus vienne,
            Nous travaillerons jusqu’à ce que Jésus vienne,
            Nous travaillerons jusqu’à ce que Jésus vienne,
            Et nous serons rassemblés à la Maison.

2          Maintenant, numéro 227: Rassemblant les belles gerbes. J’aime le chanter parce que c’est un chant missionnaire, et cela me revigore un peu–un peu ; le numéro de ce cantique, c’est 227. Très bien maintenant, le...?... de clôture. Maintenant, que tout le monde se mette carrément à chanter maintenant avec moi. Aimez-vous ces vieux cantiques? Dites «amen», si c’est le cas. [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] C’est merveilleux. Très bien, tous ensemble maintenant.

            Nous irons joyeux ce jour moissonner au champ lointain,
Rassemblant les gerbes, oh! les belles gerbes ;
Dès l’aube jusqu’au soir nous travaillerons avec force,
            Rassemblant les gerbes, oh! les belles gerbes.

            Rassemblant les gerbes, les belles gerbes ;
Rassemblant les gerbes, les belles gerbes ;
Oh! gloire à Dieu, nous sommes en route vers le pays du jour éternel,
            Rassemblant les gerbes, oh! les belles gerbes.

            Sur les montagnes, collines ou plaines, nous moissonnerons le grain,
Rassemblant les gerbes, les belles gerbes ;
Oui, nous travaillerons partout sans faiblir, sans craindre,
            Rassemblant les gerbes, oh! les belles gerbes.

3          Tout le monde maintenant, allons-y:

            Rassemblant les gerbes, oh! les belles gerbes ;
Rassemblant les gerbes, les gerbes dorées, les belles gerbes dorées ;
Gloire à Dieu, nous sommes en route pour le pays du jour éternel,
            Rassemblant les gerbes, les belles gerbes.

4          Un instant. Maintenant, quand nous arriverons de nouveau à cette partie qui dit: «Gloire à Dieu, nous sommes en route pour le pays», pointons le ciel, «pour le pays du jour éternel, rassemblant les gerbes». Essayons ce refrain. Maintenant, allons-y.

            Gloire à Dieu, nous sommes en route pour le pays du jour éternel,
Rassemblant les gerbes, les belles gerbes.

5          Bien, maintenant reprenons cela. Très bien.

Nous chanterons et prierons, et nous obéirons à la voix du Maître

Rassemblant les gerbes, oh! les belles gerbes ;

            Pendant que nous allons dans un pays étranger, accomplissant l’ordre de notre Seigneur,

            Rassemblant les gerbes, les belles gerbes.

Rassemblant les gerbes, les belles gerbes ;
Rassemblant les gerbes, les belles gerbes ;
Oh! gloire à Dieu, nous sommes en route pour le pays du jour éternel,
            Rassemblant les gerbes, les belles gerbes.

6          Tenons-nous debout maintenant, s’il vous plaît. Ô Maître de la Vie, ce matin nous Te voyons dans une scène dramatique, dans le Livre qu’on appelle la Bible, tandis que nous imaginons que cela devait être un beau dimanche matin que Tu te tenais sur la montagne, après avoir réuni Tes disciples autour de Toi et que Tu leur enseignais à travers les béatitudes, juste les choses qu’ils devaient faire. Tu as dit: «Heureux les débonnaires, car ils hériteront la terre. Heureux les pauvres en esprit, car le Royaume de Dieu est à eux. Heureux serez-vous quand on vous outragera, qu’on vous persécutera et qu’on dira faussement de vous toute sorte de mal à cause de Mon Nom. Réjouissez-vous et soyez dans l’allégresse, parce que votre récompense sera grande dans les Cieux.»

7          C’est ainsi que Tu nous as tous montré que nous devrions prier comme ceci. [Frère Branham conduit l’assemblée dans la prière du Seigneur.–N.D.E.]

...Notre Père qui es aux Cieux! Que Ton Nom soit sanctifié;

Que Ton règne vienne ; que Ta volonté soit faite sur la terre comme au Ciel.

Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien ;

Pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés ;

Ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du malin.

Car c’est à Toi qu’appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen!

8          Maintenant, les classes peuvent prendre leurs places. Que la classe des adultes avance, si possible, pendant que les jeunes gens nous jouent La Nuée et le Feu. [On joue La Nuée et le Feu.–Espace vide sur la bande]

9          Maintenant, il–il y a des sièges inoccupés devant, si certains d’entre vous là tout au fond veulent bien les occuper... Je sais que notre tabernacle n’est pas... L’acoustique ici n’est pas très bonne ; en effet, il y a une résonance entre chacun de ces poteaux qui sont là, les chevrons qui sont suspendus. Il y a une résonnance. Si vous voulez bien vous approcher un peu plus, il y a encore quelques sièges. Ne vous gênez pas, pendant que nous faisons ceci, si vous le désirez.

10        Ouvrons maintenant Genèse, chapitre 22, et ensuite nous prendrons aussi Romains, chapitre 4, juste pour un–un court message ce matin, avant le service de guérison, de notre enseignement de l’école du dimanche: Genèse 22.

11        Y a-t-il quelqu’un qui a besoin d’une Bible? Avez-vous oublié la Vôtre? Si c’est le cas, levez simplement la main, si vous en voulez Une pour faire l’étude. Nous en avons un certain nombre ici derrière. Nous serons heureux de demander à l’un des huissiers de vous L’apporter directement, si vous en voulez une. Je vois des mains levées. Frère Roy, ces frères veulent-ils...?... distribuer ces Bibles par là en arrière. C’est juste ; c’est bien.

12        Madame Harvey, ici présente, madame G. H. Harvey de Danville, dans l’Illinois, vous êtes-vous fait accompagner de votre fils? Très bien. Nous prierons pour lui dans un petit instant. Très bien, Madame Hervey.

13        Très bien. Maintenant, nous allons parler un petit peu, ou plutôt avoir une classe de l’école du dimanche ; comme d’habitude, ici, nous avons notre leçon de l’école du dimanche. Mais pendant que je suis à la maison, eh bien, d’habitude je... on cède la place, on me laisse tenir l’école du dimanche à cause de la prière pour les malades. Et ensuite, notre pasteur apporte le message du matin juste après cette partie du service. Et nous allons tâcher de lui céder l’estrade aussi vite que possible à onze heures, si notre Bienveillant Maître le permet.

14        Maintenant, il y a beaucoup de requêtes. Et je–je suis constamment en prière pour vous tous, et partout, et je désire que vous priiez pour moi. J’ai quelque chose, la raison pour laquelle je suis si longtemps à la maison en ce moment, c’est que je cherche la voie divine de Dieu pour commencer mes prochains services, tel que je le Lui ai promis.

15        Maintenant, je ne cherche pas à presser le Seigneur, parce qu’Il connaît toute chose ; mais je Lui demande de me montrer une vision de ce que je dois faire, ou de l’endroit où je ferai la chose suivante. Et depuis mon retour de l’Afrique, une seule vision s’est accomplie, et c’était l’autre matin, et ensuite, il y en a eu deux ou trois pendant la journée. Et je crois qu’Il est proche maintenant.

16        D’habitude les visions viennent par vagues. Et si vous l’avez remarqué dans la Bible, concernant les–nos frères d’autrefois, d’habitude un tas de visions venaient à Daniel, ou à Joseph, et ensuite venait un–un intervalle où il n’y en avait aucune.

17        Je me suis souvent demandé si je devais conduire mes services tel que je le fais, c’est-à-dire juste prier pour... oh! parfois j’arrive à avoir une ou deux dizaines de personnes par soirée, ou quelque chose comme cela, alors qu’il y en a des milliers qui attendent ; et je ressens sans cesse sur mon coeur que je ne devrais pas faire cela, que Dieu m’a donné l’autorité pour–pour mettre les maladies... pour briser la puissance de Satan.

18        Et mercredi soir, ça fera une semaine, je suis venu ici au tabernacle, et un groupe de gens s’étaient réunis, alors je me suis simplement étendu devant le Seigneur comme une toison ; j’ai dit: «Seigneur...» Je ne suis jamais sorti...»

19        J’ai bien des fois, j’ai toujours demandé d’abord aux gens: «Croyez-vous? A quel point croyez-vous? Croyez-vous que je peux faire ceci?» et toutes ces différentes choses comme cela. Et puis–et puis, j’attends et je les reçois sur l’estrade, et j’attends de voir une vision, pour voir très exactement ce qui s’est passé, ensuite je déclare la chose, exactement ce que c’était. Et le rythme était si lent que je n’arrivais pas à atteindre les gens. Mais il y a quelques jours, je me demandais...

20        Bien des fois, je me tiens sur l’estrade, où il y a peut-être cent mille personnes. Et bien vite, quelque chose de très hardi, quelque chose se soulève tout simplement en moi, et je vais carrément de l’avant, et je dénonce ce démon et je le chasse. Et je me suis dit: «C’est étrange.» Et puis, ici je commence à me dire... Beaucoup d’entre vous ont lu mon petit livre, sans doute tout le monde qui est ici, et concernant plusieurs moments où il y...

21        J’ai vu au cours d’une soirée à Portland, où un démon... Oh! la la! un homme qui pesait environ trois cents livres [environ 136 kg] a couru à l’estrade, et il disait: «Eh bien, espèce d’hypocrite!» Il disait: «Je vais te montrer à quel point je suis un homme.» C’était un fou sorti d’un asile. Et il a couru à l’estrade, et–et avec l’intention de me briser le cou.

22        Et–et cinq cents prédicateurs ont reculé en le fuyant. Et il a ramené le bras en arrière, et il a dit: «Je vais briser chaque os de ton corps.» Je pesais cent vingt-huit livres [58 kg], et lui, environ trois cents [136 kg], et il avait un torse énorme. Et, oh! quel homme fort et bien en mesure d’exécuter ses menaces. Et dans le...

23        Et au milieu de tout ça, eh bien, quelque chose se mouvait au-dessus de moi, et je me suis simplement avancé là où il était. Il a dit: «Ce soir, je vais briser chaque os de ton frêle corps.»

            J’ai dit: «Dans les... Parce que tu as défié l’Esprit de Dieu, ce soir, tu vas tomber sur mes pieds, au Nom du Seigneur.» Ce sont les deux prophéties qui ont été faites.

24        Et il s’est rué vers moi, il a dit: «Je vais te montrer sur les pieds de qui je vais tomber», il m’a simplement craché au visage quand il a approché, et il a ramené en arrière son énorme poing.

25        Juste à ce moment-là, j’ai dit: «Satan, sors de cet homme!» Et il a levé les bras, il a crié et il est tombé en travers de mes pieds, si bien que la police a dû l’en retirer. Eh bien, il n’avait aucune foi en moi. Il ne croyait pas en moi. Et je comprends qu’il faut un défi audacieux. Je prie pour tous ceux qui viennent.

26        L’autre soir il y avait des gens ici, une femme qui ne savait pas parler. Dès que cette puissance démoniaque a été défiée, la femme a parlé normalement.

27        Il y avait ici une dame qui avait un gros goitre à la gorge. Je me suis simplement avancé vers elle et j’ai dit: «Satan, je–j’ai l’autorité de briser ton pouvoir. Tu dois sortir d’elle.»

28        J’ai dit: «Il est parti.» J’ai dit: «Croyez-vous cela?»

            Et elle a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Très bien, rentrez chez vous et placez une ficelle autour de votre cou, mesurez cela, et voyez quelle–quelle grosseur cela a. Et tous les trois jours, coupez le bout de la ficelle à cet endroit-là, voyez comment cela commence à se rétrécir.»

29        Le premier jour, là-bas, c’était à peu près comme ça, le deuxième jour, c’était à peu près comme cela, et le troisième jour, à peu près comme cela ; cela avait diminué. Voyez-vous? Juste pour démontrer la chose, elle a amené cela ici à l’estrade.

30        Et alors, je commence à apprendre que cela arrive. Et je demande simplement à Dieu si cela serait Sa volonté divine. Et l’autre matin vers...

31        J’ai une fillette de huit, dix–dix mois, la petite Sara, et c’est un doux petit amour. Et je ne passe pas beaucoup de temps avec elle. Et je l’ai gâtée, je dois le reconnaître ; je la garde tout le temps dans mes bras. Vous le feriez aussi, si vous n’arriviez pas à connaître ce petit bout d’amour, pas plus que moi je ne la connais, vous savez, quelque fois quand je suis à la maison. Je–je pense donc que je l’ai beaucoup gâtée.

32        Elle fait pousser quelques dents et cela l’a rendue très malade. Elle doit aussi avoir une diarrhée. C’est un peu partout ; je pense que quelques-uns de vos enfants ont eu cela aussi, on est très malade, on vomit et on fait la dysenterie. Et elle était donc en train de pleurer. Sa mère était très fatiguée ; elle ne s’est même pas réveillée ; moi non plus. Puis je me suis réveillé, et je dormais derrière, dans la seconde chambre après celle-ci ; et sa mère et elle étaient là-dedans, et la fillette et moi dormions dans l’autre chambre, la petite Rebecca.

33        Et ainsi... et Billy Paul était resté ce soir-là avec sa grand-mère. Alors, je–je me suis réveillé ; j’ai entendu... Je me suis dit: «Qu’est-ce qui m’a réveillé comme cela?»

            J’ai entendu Sa voix dire: «Va voir ton bébé et donne-lui un verre d’eau.»

34        Je suis entré dans la chambre, et elle était en train de pleurer. Cela faisait longtemps qu’elle pleurait. Etant dans son petit berceau, elle n’avait certainement pas réveillé sa mère. Je suis allé chercher un verre d’eau et quand je suis entré, la petite créature a bu presque tout le verre d’eau, à ce moment-là dans l’état où elle était, avec la dysenterie qu’elle faisait, j’ai simplement pensé: «N’est-ce pas gentil, ça ; comme c’est gentil de Sa part de faire cela.» C’est la deuxième ou la troisième fois.

35        Une fois j’étais à Sioux Falls ; elle n’avait que trois mois. On dormait sur le lit. Sa mère était sortie pour parler à certaines personnes. Et moi, je me rasais comme cela, m’apprêtant à aller à la réunion. Et pendant que j’étais debout là en train de me raser, j’ai entendu l’Ange du Seigneur dire: «Prends vite ton bébé.»

            Et j’ai déposé mon rasoir et j’ai couru là ; juste en moins d’une minute, elle serait morte. Elle était sur un lit d’à peu près cette hauteur. Et elle avait les deux bras... Elle se retournait, sa tête s’était retournée, sa petite tête pendait, ses bras, et elle glissait tout simplement ; et j’ai dû courir très vite pour l’attraper juste au moment qu’elle tombait. Il est aimable et gentil.

36        Peu après cela, il y avait une jeune fille. Elle est peut-être assise ici ce matin. Je ne la vois pas, mais elle vient rarement. Elle est membre d’une église de New Albany, une église bien connue, une église remarquable de New Albany.

37        J’ai été là-bas. Elle veut... Elle souffre d’une maladie mentale, en quelque sorte une psychonévrose. Et elle ne peut pas–elle ne pourra même pas quitter la ville ni aller ailleurs ; elle se met à crier et à pleurer, et à faire des histoires. Alors je–j’ai prié pour elle à deux ou trois reprises, mais quelque chose ne me permettait pas de défier ce démon, je ne sais pas trop pourquoi. Je ne sais pas ; je n’y arrivais tout simplement pas. C’est une grande amie à une infirmière qui habite là dans le voisinage. Elles sont venues là. Son état empirait. Cela fait environ huit ans qu’elle est dans cet état-là.

38        Et ainsi, l’autre jour elle est venue, et elle a dit... Je lui ai parlé ; j’ai dit: «Soeur, la seule chose que je sais, c’est qu’il y a une cause là quelque part. Je–je ne sais pas ce que c’est.» J’ai dit: «Je... Si vous pouviez venir...»

39        Elle a dit: «On a prié pour moi ; mon pasteur...» Et elle a dit: «Mon pasteur m’a envoyée ici, il a dit: ‘Va voir frère Billy et vois ce qu’il dira.’»

            Eh bien, j’ai dit: «Je ne–je ne sais pas, soeur», j’ai dit: «Je suis comme votre pasteur.» J’ai dit: «Avez-vous confessé tous vos péchés?»

            «Tout.»

40        Cette monitrice de l’école du dimanche a une grande classe, et elle fait du bon travail. Mais, seulement cela était suspendu au-dessus d’elle. Eh bien, je–je ne savais que faire. Imaginez tout simplement comment je me sentais. Je–je ne savais vraiment que faire. Nous l’avons fait entrer dans la pièce. J’ai dit: «Très bien, approchez.» Quand les gens venaient, on arrêtait simplement tout. Je l’ai reçue seule dans la pièce.

41        Je me suis assis et je me suis mis à parler des généalogies et du commencement, de l’origine du temps et de tout, tout en l’observant. C’était ce même matin-là. Dieu est toujours là au moment crucial, vous savez. Et au bout de quelque temps, j’ai regardé dehors ; et voici une vision qui se déroulait. J’ai vu une voiture roulant rapidement.

42        J’ai dit: «Votre état a un rapport avec une voiture.»

            Elle a dit: «Non, je n’ai jamais connu d’accident.»

            J’ai dit: «Soyez humble.» J’ai dit: «Je vous vois dans une voiture. Un train a failli vous heurter.» Elle–elle a sursauté, elle a fait: «Oh!»

43        Et j’ai dit: «Oui. Vous n’êtes pas en compagnie de votre mari. Vous êtes en compagnie d’un autre homme. Votre mari était à l’étranger à la guerre à ce moment-là.» J’ai continué et j’ai commencé à dévoiler la chose. J’ai dit: «Les choses que vous avez faites, les choses immorales, vous lui avez raconté quelques-unes, mais vous ne lui avez pas tout raconté.» Et elle s’est mise à pleurer, en se tenant le visage comme cela. J’ai dit: «Il n’y a pas longtemps, vous alliez subir aussi une opération pour vos amygdales ; vous aviez peur de recevoir l’anesthésie, vous aviez peur de dire cela sous l’effet de...» Elle a tout simplement crié et est tombée sur le plancher.

44        Elle a dit: «C’est la vérité.»

            J’ai dit: «Comment pouvez-vous aboutir quelque part avec cette chose en suspens?»

            Elle a dit: «J’ai demandé à Dieu de me pardonner.»

            J’ai dit: «Ce n’est pas contre Dieu que vous avez péché, c’est contre votre mari et votre voeu que vous avez péché.» J’ai dit: «Retournez mettre cela en ordre, puis revenez. C’est alors que je pourrai avoir autorité sur ce démon. Voyez-vous?»

45        Et j’ai dit: «Au fait, votre mari...» J’ai décrit son apparence ; je ne l’avais jamais vu de ma vie ; j’ai dit: «Il doit vous confesser la même chose.»

46        J’ai dit: «Eh bien, si vous ne croyez pas, appelez-le au téléphone et dites-lui de vous rejoindre.»

47        Elle est allée, elle l’a appelé au téléphone. Ils se sont retrouvés sur la route. Les voilà qui reviennent, les larmes coulant sur leurs joues, et ils se sont pardonnés l’un l’autre. Le démon l’a quittée, et voilà qu’elle était libre. Voyez-vous?

48        Maintenant, j’aurais pu crier et hurler sur ce démon, le chasser, et tout le reste, mais il ne serait jamais parti avant que cela soit arrangé. Voyez-vous? Vous voyez, vous devez trouver la cause avant de pouvoir trouver le remède.

49        Si vous allez chez le médecin, et dites: «J’ai mal à la tête.» Eh bien, il pourrait vous administrer de l’aspirine. Eh bien, cela pourrait revenir. Peut-être que c’est la gastrite qui est la cause de ce mal de tête. Peut-être que vous avez quelque part une infection qui donne de la fièvre, qui fait que vous ayez des maux de tête, ou quelque chose d’autre. Vous devez retourner ; ce médecin doit faire le diagnostic de ce cas jusqu’à ce qu’il découvre où se situe la cause, alors à ce moment-là vous vous débarrassez de la cause.

50        C’est juste comme un trou dans un seau, quand vous y versez de l’eau, l’eau va continuellement s’échapper ; il serait mieux de boucher d’abord le trou. Voyez-vous? Et c’est...

51        Maintenant, c’est là que je me tiens. Que dois-je faire? Eh bien, la chose la plus importante dans mes réunions, l’une d’entre elles, on–on ne prie pas pour que vous ayez cela. J’ai prié et j’ai imploré dans la prière pour tout le monde, mais les gens disent: «Eh bien, si seulement vous m’aviez touché et aviez fait telle chose...», et juste... les gens voient arriver ces choses...

52        Et c’est juste, la Bible dit qu’on imposait les mains aux malades et que les malades étaient guéris. Et puis, quand vous commencez ce... J’ai essayé cela et j’ai fait aligner les gens, je leur ai imposé les mains, mais s’ils... le Saint-Esprit n’a pas passé leur vie au peigne fin pour voir s’il s’y trouve quelque chose, les gens n’ont pas l’impression qu’on a prié pour eux. Voici assis ici mon secrétaire et les autres qui savent, ils reçoivent les lettres, n’est-ce pas juste? Les gens pensent tout simplement qu’ils ne sont pas...

53        Maintenant, là je suis confronté à quelque chose. Et je–je crois que si je pouvais peut-être–je pouvais prêcher... Je ne suis pas fameux comme prédicateur, mais si je peux amener les gens à comprendre qu’il faut absolument qu’ils soient en ordre avec Dieu, alors je crois que j’aurai l’autorité par Jésus-Christ de briser la puissance de chaque démon qu’il y a.

54        Quand le... Pierre et Jean ont franchi la porte appelée la Belle, ils n’ont pas du tout demandé à cet homme s’il était un croyant ou ce que–ce qu’il était, ni rien à ce sujet.

55        Pierre a dit: «Je n’ai ni argent ni or, mais ce que j’ai, je vais te le donner.» Il a dit: «Au Nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche.» Il l’a relevé, il l’a tenu là jusqu’à ce que ses chevilles soient devenues fermes, et il est parti en marchant. Eh bien, il y a là quelque chose que j’étudie. Et je voudrais que vous priiez pour moi. Très bien, allez-vous le faire? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Très bien. Que Dieu vous bénisse.

56        Ouvrons maintenant Genèse 22. Je vais lire quelque chose pour la leçon avant le service de prière. Très bien, nous allons commencer vers le... Parlons de cela un petit peu.

57        Je vais vous dire ce que nous allons faire. Je veux que vous alliez aussi dans Romains 4. Je vais enseigner un peu sur la foi. C’est ce dont nous avons tous grandement besoin, n’est-ce pas? La foi, ce n’est pas une–ce n’est pas une démonstration ; c’est seulement une ferme assurance... En soi, la foi est une ferme assurance et une démonstration des choses que les sens du corps ne peuvent percevoir. Et je me suis dit que peut-être en enseignant ceci, ça pourrait–pourrait stimuler votre foi (Voyez-vous?), l’élever à un niveau où Dieu peut entrer en vous et vous bénir.

58        Maintenant, commençons la lecture vers le verset 8 du chapitre 22. Cela parle d’Abraham. Et il s’appelait d’abord Abram ; et par la suite il a reçu son nom de sacrificateur, ou plutôt son nom de père, lequel était Abraham, qui veut dire père des nations. Maintenant, écoutez.

            Abraham prit le bois pour l’holocauste, le chargea sur son fils et porta dans sa main le feu et le couteau. Et ils marchèrent tous deux ensemble.

59        Quelle scène dramatique ici, cela remonte à (il y a bien longtemps)–à mille huit cent soixante-douze ans avant la Venue du Seigneur, Dieu faisant donc une préfiguration, parlant, se préparant à donner une–une parabole... Et lui, Abraham, était un vieillard de quatre-vingt-dix ans, et Sara, ou plutôt Abraham avait cent ans et Sara en avait quatre-vingt-dix, c’est-à-dire environ quarante ans après la ménopause...?... la vie en elle était morte. Et la vie en Abraham était morte, un vieillard de cet âge-là.

60        Et Dieu lui est apparu quand il avait quatre-vingt-dix-neuf ans, et Il lui a dit: «Abraham, marche devant Moi et sois parfait.» Pensez-y un peu, à cent ans... Et Il lui a dit ce qui allait arriver. Il a dit: «Toutes les nations seront bénies en toi, parce que tu vas... Je vais te donner un fils par Sara.» Pensez-y donc, à cent ans.

61        Et puis la Bible dit qu’Abraham... Vous savez comment il... il a offert son sacrifice, il a éloigné les oiseaux du sacrifice jusqu’au coucher du soleil, et les ténèbres sont venues et l’Esprit de Dieu est descendu et lui a parlé. Et Abraham a cru en Dieu.

62        Maintenant, je désire traiter de ce sujet: Croire en Dieu, ou Le prendre au Mot.

63        Maintenant, Abraham n’avait pas une grande nuée de témoins comme nous en avons aujourd’hui, car Abraham lui-même était un Chaldéen, et pourtant c’est le père des Juifs. Mais c’était un Chaldéen de la cité d’Ur. Et il fut appelé à sortir du milieu de son peuple pour se rendre dans une terre étrangère.

64        Combien c’est un merveilleux type de la marche du chrétien aujourd’hui, montrant que nous devons quitter nos associés du monde pour nous rendre dans une terre étrangère, et étrangère par rapport à la–la première terre où nous étions entrés! Et la terre à laquelle nous faisons allusion aujourd’hui, c’est marcher à la manière du chrétien, marcher avec Christ, se séparer des choses du monde.

65        Et il fit cela par la foi, et il séjourna dans une terre étrangère, ne sachant même pas où il allait. La seule chose qu’il savait est que Dieu avait dit: «Sors, Abraham, va dans un pays», et il cherchait une cité dont l’architecte et le constructeur était Dieu.

66        Maintenant, si c’est à cela que nous pourrions nous référer dans la vie naturelle, je dirais que naturellement on appellerait cela instinct, mais nous, nous appelons cela la conduite du Saint-Esprit. Dieu l’a appelé à sortir du milieu de son peuple, à sortir d’un pays, de sa propre patrie, de–du milieu de son peuple. Et il a demeuré dans une terre étrangère, confessant qu’il était pèlerin et étranger, à la recherche d’une cité, cherchant une cité. Oh! la la! cela se transmet toujours au travers de Ses enfants, cette prédisposition consistant à rechercher une cité dont l’architecte et le constructeur est Dieu. Et Dieu l’a béni.

67        Et ensuite, quand il est devenu très âgé, Il a dit: «Eh bien, Abraham marche devant Ma face, sois parfait», et Il allait le bénir et le rendre fécond. Eh bien, si l’on considérait le côté naturel, eh bien, il lui–lui était impossible d’avoir cet enfant par Sara. Oh! toutes les sources vitales étaient mortes. Sara avait quatre-vingt-dix ans, et Abraham cent.

68        Eh bien, dites cela à un médecin aujourd’hui, qu’un–un homme de cent ans avec son épouse de quatre-vingt-dix, et qu’elle va avoir un enfant, eh bien, savez-vous ce qu’il ferait? On vous enfermerait quelque part dans un asile de fous, en disant: «Eh bien, ce vieil homme et cette vieille dame sont un peu détraqués quelque part ici. Mais ne regardez pas aux circonstances, regardez à la promesse. Voyez-vous? Si vous vous mettez à considérer...

69        Eh bien, c’est peut-être la même chose pour la dame qui se trouve ici dans le fauteuil roulant, ou pour quelques-uns d’entre vous là qui souffrez du cancer. Le–le médecin dit: «Vous–vous ne pouvez pas vous rétablir.» Eh bien, si vous croyez cela, alors vous ne pourrez pas vous rétablir. Mais vous devez regarder à la promesse divine.

70        Un vieil homme m’a appelé chez lui, il a dit: «Frère, venez prier pour mon bébé ; il a attrapé la diphtérie noire ; cela a atteint le coeur. Le cardiogramme indique que le coeur a complètement ralenti au point qu’il est foutu.»

71        Eh bien, on ne nous a pas permis d’entrer pour prier pour le bébé. Mais quand je suis entré là, eh bien, oh! le clinicien, le médecin a dit: «Non, monsieur. Non, monsieur. Vous ne pouvez pas faire cela. Vous avez vos propres enfants ; vous ne pouvez pas faire cela.»

72        Et pourtant, croyant en Dieu, persuadant... Cet homme était catholique. J’ai dit: «Maintenant, eh bien, si le patient était mourant et qu’un prêtre se présentait ici pour lui administrer les derniers sacrements, le laisseriez-vous entrer?»

            «Oh! lui n’a pas d’enfants.»

73        Je...?... «Ce n’est pas là–ce n’est pas là le problème. Ceci est tout aussi sacré que les derniers sacrements (Voyez-vous?) de l’église.»

            «D’accord.»

74        Finalement, je suis entré et je me suis agenouillé à côté du bébé, et j’ai fait une simple petite prière, j’ai imposé les mains au bébé, j’ai dit: «Seigneur Dieu des cieux et de la terre, Toi qui as créé toutes choses, Tu nous as donné la puissance divine pour briser la puissance de Satan sur cette vie. Au Nom de Jésus-Christ, Satan, sors de cet enfant! Il faut qu’il vive.» Je me suis retourné...

75        Le père a dit: «Merci, Seigneur. Merci» La mère et les autres se sont mis à rire et à se comporter drôlement.

76        La petite infirmière était bouleversée. Elle a dit: «Dites donc, vous ne... comment...» Elle a dit: «C’est bien d’avoir la foi, mais ce bébé est en train de mourir.» Elle a dit: «Comment pouvez-vous faire l’insouciant à son sujet? Oh! a-t-elle dit, vous avez mal compris le médecin.» Elle a dit: «Le médecin a dit que le bébé était en train de mourir. Cela fait plus d’un jour maintenant qu’il est inconscient.» Elle a dit: «Vous avez mal compris les médecins.»

77        Le vieux patriarche a dit: «Non, je n’ai pas comp-... mal compris le médecin.» Il a dit: «J’ai entendu ce qu’il a dit ; il a dit que le bébé est en train de mourir.»

78        Elle a dit: «Eh bien, mais (Voyez-vous?) quand ce cardiogramme indique que ce coeur est dans cet état-là, a-t-elle dit, dans toute l’histoire cela ne s’est jamais redressé.» Elle a dit: «C’est bien d’avoir la foi, mais, a-t-elle dit, la chose–la chose est impossible. La foi ne peut rien faire maintenant.» Voyez-vous?

79        Levant un doigt fermement, le vieil homme a regardé l’infirmière et a dit: «Madame, vous, vous regardez à ce diagramme. Moi, je regarde à la promesse divine.»

80        Le garçon en question est même marié aujourd’hui. Très bien. Il est resté étendu comme cela pendant environ vingt-quatre heures, et tout à coup ce coeur a commencé à remonter. Le voilà reparti. Voyez-vous?

81        Quand une promesse divine est faite, Dieu est tout à fait sous le serment et dans l’obligation d’accomplir chacune de Ses promesses. Et Sa... la... Dieu ne vaut pas plus que Sa Parole. Si cette Parole n’est pas efficace, alors Dieu n’est pas efficace. Elle est Dieu. Le croyez-vous? Elle est Dieu. La Bible dit: «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.» Et je ne vaux pas plus que ma parole ; et vous vous ne valez pas plus que votre parole.

82        Si j’avais une poignée de blé ici dans ma main et que je la mette sur ce pupitre, cela ne serait rien d’autre que du blé se trouvant là. Mais plantez ce blé en terre, il vous produira peut-être un boisseau de blé. Voyez-vous? Mais le germe de vie est dans le blé, mais le blé doit tomber en terre et mourir, a dit Jésus, ou plutôt Paul, je crois, a dit cela. «Si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul.» Voyez-vous?

83        Ainsi ceci c’est Dieu, Sa Parole. Et quand cette Parole s’ancre profondément dans le–dans le coeur... Oh! si je pouvais vous amener à voir cela. Quand cette Parole s’ancre là, Elle–Elle produit exactement ce qu’Elle a dit. Elle fera exactement... Elle est Dieu ; Elle doit le faire.

84        Mais si vous dites tout simplement: «Eh bien, je sais que la Parole est là ; oui, c’est exact.» C’est juste une poignée, oui ; Elle sera inactive. C’est juste ; Elle n’agira pas, parce que... «Oh! je–je lis la Bible.»

85        Mais à moins que vous ne puissiez ancrer Cela, et dire: «Oui, Seigneur, c’est pour moi», alors quelque chose va se produire. Forcément. Avant cela, ce n’est que la Parole écrite. C’est juste. Mais une fois qu’Elle est ancrée...

86        Eh bien, Abraham n’a pas considéré son corps. Il a dit: «Très bien, Seigneur, nous allons avoir un enfant.» Nous pourrions continuer pendant des heures là-dessus, mais nous ne voulons pas prendre trop de temps.

87        Maintenant, il arrive au moment où le petit Isaac vient au monde. Et le voilà qui s’en va après l’avoir reçu. Et peut-être... Abraham avait probablement cent vingt ans, et peut-être qu’à ce moment il avait cent quinze, cent vingt ans, et le jeune Isaac probablement quinze, dix-huit. Et Dieu a dit: «Maintenant, Abraham, a-t-Il dit, Je veux que tu amènes ce garçon jusque là-haut, à la montagne, et que tu l’offres en sacrifice.»

            Eh bien, après l’avoir reçu, et il lui était promis qu’il serait le père des nations, et voici maintenant la seule postérité qu’il a, et Dieu dit: «Emmène-le là-haut et tue-le.» Vérifiez à nouveau... Oh! la la! Voyez-vous? «Eh bien, Je sais que tu es vieux, et tu as cru en Moi, et Je t’ai donné cet enfant. Et maintenant, tu as une–tu as une idée ici maintenant, la promesse va s’accomplir parce que tu as eu le fils en question. Mais maintenant Je veux que tu amènes le fils là-haut pour le tuer.»

88        Eh bien, maintenant, que serait-il arrivé si Abraham avait dit: «Dans ce cas, Seigneur, maintenant écoute, j’aimerais Te demander quelque chose. Me voici, j’ai peut-être cent vingt ans, et j’ai reçu ce fils ; et la pauvre Sara arrive à peine à se déplacer ; elle est vraiment âgée, et–et elle est toute ridée et elle est pratiquement partie. Et me voici, un vieil homme, je dois m’appuyer sur un bâton, et marcher comme ceci», peut-être qu’il arrivait à peine à marcher, «et je suis si vieux, et–et voici mon fils est un–un jeune homme. Je comprends ce que Tu as fait, mais ce que... Est-ce que Tu veux réellement dire que je le tue? Tout d’abord, cela–cela va arracher mon coeur. Et puis, comment vais-je être père des nations alors que Tu vas le tuer?»

89        Mais Abraham n’a pas douté, il a dit: «Oui, Seigneur», il a pris le garçon, et les voilà partir. Il ne savait pas comment les choses allaient se passer. Ce n’était pas à lui de poser des questions. Il a obéi.

90        Cette dame ici pourrait se dire: «Comment vais-je marcher?» Peut-être que cela fait longtemps que vous êtes infirme ; je ne sais pas. Peut-être que d’autres disent: «Eh bien, le médecin m’a dit que je ne pourrais pas survivre, Frère Branham. Je vais mourir.»

91        Ce n’est pas de cela que nous parlons. Ça, c’est le naturel. Voyez-vous? Et si vous considérez l’une de ces choses, vous ne survivrez pas. Cependant vous devez regarder à la promesse que Dieu a faite, et c’est cela la promesse. Voyez-vous, au-dedans de vous...

92        Cet extérieur, c’est le péché. Savez-vous cela? Savez-vous que votre corps, c’est le péché? C’est la raison pour laquelle ne cherchez pas à trop soigner ce corps ; c’est le péché. Le savez-vous? Il est né dans le péché, il a été conçu dans l’iniquité, il est venu au monde en proférant des mensonges.

93        Et c’est pareil pour cette âme jusqu’à ce qu’elle meure et soit ensuite née de nouveau de Dieu, à ce moment-là cette âme ne peut plus mourir. «L’âme qui pèche est celle qui mourra. Mais celui qui croit en Moi a la Vie Eternelle», alors une Vie immortelle vit dans ce corps. Maintenant, c’est comme un fil qui descend du Ciel, comme un noyau au-dedans de l’homme. Eh bien, c’est la partie qui est pieuse ; Elle dirige ce corps.

94        Mais avant que ce corps ne puisse devenir parfait, l’Esprit va l’amener à se soumettre à Dieu pour faire en sorte que vous... Cela vous fera tout le temps une guerre perpétuelle. Paul l’a dit. Nous ne serons jamais meilleurs que lui. Voyez-vous? Paul a dit: «Quand je veux faire le bien, alors le mal est attaché à moi.» Voyez-vous? Et il y a une guerre perpétuelle, la chair est contre l’Esprit.

95        Et ici vous vous mettez à regarder à la chair, vous dites: «Le médecin l’a dit, et je crois.» Considérez combien c’est simple. Alors vous ne pouvez pas servir Dieu.

96        A part vos sens, vous avez une âme. Dieu ne vous a jamais donné ces sens pour que vous croyiez en Lui par cela. Dieu vous a donné Son Esprit pour croire–pour vous permettre de croire. Vos sens ne servent qu’à établir un contact ; la vue, le goût, le toucher, l’odorat, et l’ouïe. Mais pour ce qui est de vous-même, il y a cet esprit qui vit en vous. Et quand cet esprit est régénéré, et que le vieil homme est mort, le nouvel homme est né de nouveau, c’est là une partie de Dieu ; alors vous devenez un fils de Dieu, un enfant du Créateur. Alors vous pouvez croire aux choses impossibles, parce que vous êtes le produit du Dieu des miracles. Vous faites partie de Lui.

97        Je devrais être en principe quelqu’un qui boit. Mon papa buvait. Je devrais en principe être un fumeur de tabac. C’est ce qu’était mon papa. Ceux de ma famille qui viennent avant moi faisaient cela. Certains ont dit: «Pourquoi n’avez-vous jamais bu ou fumé?»

98        Eh bien, quand je n’étais qu’un gosse, avant que je ne m’y mette, le Saint-Esprit est descendu et a dit: «Ne le fais pas.» C’est là la conversion (Voyez-vous?) au commencement.

99        Et même bien avant cela, le matin où je suis né, quand l’Ange de Dieu s’est tenu au-dessus de l’endroit où je me trouvais, cette semence de bardane, pendant qu’elle était en terre, fut changée. Ne voyez-vous pas ce que je veux dire?

100      Saisissez-vous ce que je veux dire? Donc là à l’intérieur il y a un esprit, et c’est de là que vient votre vie immortelle. Par conséquent, un homme qui est né de l’Esprit de Dieu ne commet pas le péché. Vous redressez alors l’Ecriture. S’il... si... Celui qui rend le culte, étant une fois purifié, n’a plus le désir de son péché, ou plutôt il n’en a plus conscience. Dans l’Ancien Testament, celui qui rendait le culte venait offrir son sacrifice, puis il s’en retournait avec le même désir de pécher. Mais ici... Tenez ; saisissez la chose. Hébreux dit, concernant ce cas-ci, que lorsque celui qui rend le culte place ses mains sur la tête du Fils de Dieu, et que ses péchés sont purifiés par la puissance de sanctification de Dieu, il n’a plus en lui, là à l’intérieur, le désir de pécher. Oh! c’est là que se trouve la Vie. Alors cela fait de vous un enfant de Jéhovah.

101      Et alors Satan ne peut pas me faire du mal sans faire du mal à mon Père. Vous ne pouvez pas faire du mal à cette fillette qui est là sans me faire du mal ; je vous assure: on ne peut pas faire du mal à vos enfants sans vous faire du mal. Et puis, Dieu ne veut pas qu’aucun périsse ou ne souffre.

102      Mais maintenant, avant que cette chair-ci, avant que cette chair-ci ne soit rendue parfaite, elle doit mourir comme l’âme est morte.

            Ça n’a jamais été la volonté parfaite de Dieu que des femmes et des hommes amènent des enfants sur la terre. Le savez-vous? Dieu Lui-même a fait l’homme à partir de la poussière de la terre.

103      Après la chute... Maintenant, je ne veux pas discuter là-dessus ; en effet, vous savez que j’ai des opinions très drôles là-dessus. Mais c’est après la chute que la femme a mis des enfants au monde. Dieu lui a dit: «Puisque tu as ôté du monde la Vie, tu dois L’apporter dans le monde.» Voyez quel genre de vie c’était: selon le désir sexuel, charnel.

104      Mais alors, quand ce corps meurt et retourne à la terre, à la poussière de la terre, alors Dieu en retire l’Esprit immortel pour L’amener dans le Royaume de Dieu, ou plutôt jusqu’à Son Trône, dans le Paradis, et ensuite, à la Seconde Venue de Jésus, ma mère qui est assise là et mon père qui est déjà mort ne devront plus donner cet autre corps, mais Dieu va en façonner un qui est parfait et immortel et qui ne peut mourir.

105      Maintenant, Abraham prend Isaac, et ils se dirigent vers la montagne. Maintenant, le verset 9...

Lorsqu’ils furent arrivés au lieu que Dieu lui avait dit, Abraham y éleva un autel, et rangea le bois. Il lia son fils Isaac, et le mit sur l’autel, par-dessus le bois.

106      Maintenant, juste avant d’arriver, je peux les voir partir ; il n’a pas dit à Sara où ils allaient, parce qu’elle aurait poussé de grands cris. Je crois que c’est la foi d’Abraham qui a accompli le miracle dans le sein de Sara ; parce qu’elle avait douté de la chose, elle avait même ri quand–quand cela a été annoncé. C’était la foi d’Abraham.

107      Ainsi donc c’est la raison pour laquelle il est dit: «La prière de la foi sauvera le malade», cette prière individuelle. «La prière fervente du juste a une grande efficace.» Oh! si seulement vous saviez que du fait que vous êtes des chrétiens, Christ a mis dans vos mains l’autorité par Son Nom, l’arme la plus puissante que le monde ait jamais connue: la prière ; elle change même toute chose. Elle change la pensée de Dieu. Elle l’a fait. Après que la mort fut prononcée sur un homme, il a prié ; Dieu a dit au prophète: «Retourne lui dire que Je l’ai exaucé.» Voyez là, la prière, tenez bon...

108      On a demandé tout récemment à Billy Graham ... Mattsson Boze est là-bas, il a amené mon livre à Billy Graham lors d’un entretien. Mais... Et les gens veulent que je le suive maintenant là-bas à Washington, dans cette grande salle. Nous pouvons l’obtenir. Mais alors, est-ce la volonté du Père?

109      Et hier soir ils m’ont envoyé chercher pour que j’aille au... ou plutôt avant-hier soir, pour que j’aille à Seattle ; il se tient une grande réunion là-bas, et le capitaine Al Farrar et tous les autres veulent–veulent s’y rendre à cause de ma présence là-bas. Ils ont une campagne d’évangélisation, ils veulent avoir cela. Mais est-ce la volonté du Père? C’est ça l’essentiel.

110      On m’a téléphoné: une salle libre, à Baltimore, d’une capacité de dix mille personnes, je n’ai pas à payer un seul sou pour cela. Cinq cents ministres ont signé un document que j’ai chez moi maintenant, disant: «Nous allons parrainer cela à cent pour cent. Nous sommes tous en prière, partout.»

111      «Maintenant, Père, où désires-Tu que j’aille?» Voyez-vous, c’est ça. «Dis-le-moi maintenant, et j’irai.» Voyez-vous?

            Alors Billy a dit: «Savez-vous à quoi j’attribue mon succès?»

            L’autre a dit: «Aucune idée.»

112      Il a dit: «Je tiens de toutes petites réunions.» Il a entendu parler de ces réunions. Il est allé dans une petite tente, c’était là à Los Angeles, je tenais une petite réunion. Et toutes les universités du nord-ouest se sont mises à jeûner et à prier. Et Dieu a envoyé environ quinze reporters de journaux, et ils sont venus dans sa réunion ; cela s’est répandu dans toute la nation.

113      Quand j’ai commencé à faire ces déclarations-ci, j’ai dit à mon église: «Restez sur vos faces et priez.» Dieu a commencé à agir. Bien vite, j’ai reçu des appels de l’Afrique, du monde entier. Comment les choses en sont-elles arrivées là? Je l’ignore. La prière est montée. Priez. Croyez lorsque vous priez. C’était cela. Croyez.

114      Abraham, quand il était vieux, il croyait. Et Dieu lui a dit d’aller, et il a obéi. Et en route, je peux le voir prendre les serviteurs, les petits mulets, et les mettre en route ; ils sont arrivés à la montagne de Dieu. Oh! j’aime ceci. Ecoutez ceci. Il a dit aux serviteurs, il a dit: «Restez ici pendant que nous allons là-bas, puis le jeune homme et moi nous reviendrons.» Oh! oh! la la! Excusez-moi ; parfois je ne contrôle pas mes émotions. «Le jeune homme et moi, nous reviendrons. Comment? Je l’ignore. Je vais là-haut pour le tuer.» Eh bien, quand il... Il savait que d’une manière ou d’une autre, d’une certaine manière, il reviendrait, et ici il avait un couteau attaché à sa ceinture.

115      Et il a placé le bois sur les épaules d’Isaac. Et Isaac a gravi la colline, conduit par Abraham: un merveilleux type. Son fils unique, il l’amenait sur la colline, et l’autel même sur lequel il a placé son fils, il le fait monter sur la colline sur le dos de son fils: un type de Dieu envoyant Son Fils à Golgotha avec une croix de bois sur Son dos, la croix même sur laquelle Il fut cloué, et où «Dieu n’épargna pas Son propre Fils...»

116      Là, le petit Isaac a regardé tout autour ; il a dit: «Père, a-t-il dit, voici l’autel et le–le feu, et... mais, a-t-il dit, où est le sacrifice?»

            Il a dit: «Dieu se pourvoira Lui-même d’un sacrifice.»

117      Il a lié son unique jeune fils, il l’a déposé sur l’autel, il a tiré le couteau, et était sur le point de lui ôter la vie. «Ô Dieu, c’est Toi qui l’as donné.»

118      Au moment où il allait enfoncer le couteau, un Ange lui a saisi la main, disant: «Abraham, Abraham, arrête ta main.»

119      Juste à ce moment-là un petit agneau, un bélier, a bêlé dans le désert, ses cornes étaient accrochées à des lianes. Abraham s’est vite dépêché, il a saisi le bélier, il a délié son fils, et à sa place (Voyez-vous?) il a tué le bélier.

120      Alors, Dieu a parlé à Abraham, Il a dit: «Abraham, Je sais maintenant que tu M’aimes ; tu ne M’as rien refusé.»

121      Maintenant écoutez, pour le texte que je désire prendre, lisons les versets 13 et 14.

Abraham leva les yeux, et vit derrière lui un bélier retenu dans un buisson par les cornes ; et Abraham alla prendre le bélier, et l’offrit... holocauste à la place de son fils.

122      Et savez-vous qui était ce bélier? C’est Christ: il L’a offert à la place.

Abraham donna à ce lieu le nom de Jéhovah-Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui: A la montagne de l’Eternel il sera pourvu.

123      Jéhovah-Jiré, ce qui était le premier Nom rédempteur de Dieu, Jéhovah- Jiré signifie Le Seigneur pourvoira à un sacrifice.

            Eh bien, Il était Jéhovah-Jiré, Il était Jéhovah-Rapha, Nissi, et ainsi de suite comme cela. Il avait sept Noms composés de la Rédemption. A la place de la vie humaine, Il a pris un agneau et l’a offert comme le sacrifice auquel il avait été pourvu, afin qu’en Isaac toutes les nations soient bénies, et au travers d’Isaac vint Christ. «Et nous étant morts en Christ, nous devenons la Semence d’Abraham et nous sommes héritiers selon la promesse.» Vous y êtes!

124      Et cela apporte, non pas dans nos corps... nous sommes des Gentils dans nos corps ; nous sommes des pécheurs dans nos corps. Mais dans nos âmes, étant nés de nouveau du même Esprit qui était sur le fidèle Abraham, cette disposition-là au fond nous amène à vouloir nous confier en Dieu, mais le corps est dans la crainte. Oh! si nous sommes des enfants d’Abraham, soyons comme était le père Abraham.

125      Maintenant, Jéhovah-Jiré, le Seigneur pourvoira au sacrifice. Il a effectivement pourvu au sacrifice.

126      Maintenant, dans Romains, chapitre 4, commençons au verset 17.

(Selon qu’il est écrit: Je t’ai établi père d’un grand nombre de nations)... (parenthèse)... Il est notre père devant celui auquel il a cru, Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient.

127      Maintenant, voyez-vous? Alors nous, en tant que des chrétiens, nous ne regardons pas, nous ne touchons pas, nous ne voyons pas, nous ne goûtons pas, nous ne sentons pas, nous n’écoutons pas, lorsque nous parlons à Dieu. Nous croyons tout simplement en Dieu ; et cela fut imputé à Abraham à justice.

128      Eh bien, les sens sont des instruments du monde. Croyez-vous cela? Or, Dieu peut les contrôler ; j’admets cela. Mais ils ne nous ont pas été donnés pour entrer en contact avec notre Père céleste, parce que Lui n’est pas dans une chair humaine. Dieu est Esprit. Et nous entrons en contact avec Lui par l’Esprit, au moyen de la foi, en croyant. Maintenant, si nous... Par exemple, je–j’ai un... Quand j’avais des cheveux, j’avais une chevelure ondulée exactement comme mon père. Mon père avait des yeux bleus rapprochés, et enfoncés. Beaucoup de gens disent: «Vous ressemblez à votre père», ou bien «vous ressemblez à votre mère».

129      Bien, j’ai beaucoup de traits des membres de ma famille. C’est mon vieux grand-père qui a construit ce tabernacle-ci. Certains disent: «Oh! vous êtes exactement comme votre grand-père. Vous ressemblez à votre grand-père. Vous parlez comme lui. Vous avez la même nature que lui.» Qu’est-ce? C’est une prédisposition qui a été léguée à travers cette génération, que je possède maintenant. Vous ressemblez à vos parents ; il y a quelque chose qui vient d’eux. Quand vous voyez une jeune fille, vous dites: «Ne ressemble-t-elle pas à sa mère? Elle se comporte exactement comme sa mère.» Vous avez vu les gens faire cela.

130      Maintenant, si nous naissons de notre Père céleste, Dieu, «qui appelle ces choses qui ne sont pas comme si elles étaient», il doit y avoir quelque chose en nous de semblable à cela. Voyez-vous?

131      C’est la raison pour laquelle un chrétien vraiment consacré, qui est entièrement livré à Dieu, considère ce que Dieu a dit plutôt que ce que l’on voit ou que l’on sent. Là, c’est l’homme terrestre ; si nous marchons selon la chair, nous ne pouvons pas être agréables à Dieu. Marchons selon l’Esprit. Voyez-vous?

132      Maintenant, Dieu a tout fait, et même plus que ce qui était de Son devoir. Il a envoyé des prophètes et des sacrificateurs. Il a envoyé–Il a envoyé Son Fils. Il a envoyé le Saint-Esprit. Il a tout fait, et même qu’Il a Lui-même fait le serment selon lequel Il accomplirait ces choses.

133      Maintenant, quand Dieu se développe et s’enracine davantage ici... Voyez-vous, plus vous recevez Dieu ici dedans, plus vous croyez en Dieu, parce qu’il y a davantage de Lui. Et plus vous cultivez ceci ici au fond, plus vous pouvez croire en Dieu. C’est juste comme un enfant ; quand il est tout petit, peut-être qu’il ne connaît pas grand-chose, mais au fur et à mesure qu’il grandit, il commence à connaître davantage de Dieu. Et c’est alors que cet esprit ici dedans revêt la nature de notre Père céleste, qui est Dieu, comme je reçois la nature de mon père terrestre, venant de mes parents terrestres...

134      Maintenant, suivez. Oh! j’aime vraiment ceci. Ecoutez maintenant.

... Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient.

135      Savez-vous quoi? Comment Dieu a-t-Il fait la terre, cette terre sur laquelle vous vous tenez ce matin? Les gens ne veulent pas croire à la foi. Comment Dieu a-t-Il fait la terre? Il l’a appelée à l’existence par la Parole. Amen. Comprenez-vous cela? Il a parlé, et le monde est venu à l’existence. Et ce matin, ce monde c’est la Parole parlée de Dieu, et Dieu croyait dans Sa propre Parole.

136      Tenez. Suivez. Et si Dieu, dont vous êtes le rejeton, et si Dieu est en vous, Il croira à Sa propre Parole. Même si la chose n’est pas visible, qu’elle n’est pas palpable, qu’elle n’est pas perceptible ni rien du tout, Lui, Il y croira. Voyez-vous ce que je veux dire? Car Dieu en vous croira à Sa propre Parole. Est-ce juste? Alors ne regardez pas aux choses visibles. Regardez à ce que Dieu a dit.

137      L’homme ne remporte pas beaucoup de victoires quand il descend. Je sais bien cela. C’est Dieu qui accomplit des miracles au travers de l’habile chirurgien, au travers des médicaments ; c’est Dieu qui fait cela. Ce n’est pas l’oeuvre d’un homme ; c’est Dieu qui fait cela.

138      Dans Psaumes 103.3, il est dit: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» La guérison ne peut s’opérer que par Dieu.

            Quelqu’un a dit: «Le diable peut guérir.» Le diable ne peut pas guérir ; il peut prétendre le faire.

139      C’est comme quelqu’un qui, en essayant de prendre sa revanche sur le manager, a dit: «Oh! Frère Branham, a-t-il dit, eh bien, oh! la la! Jésus a dit: ‘Plusieurs viendront à Moi ce jour-là et diront: ‘Seigneur, n’ai-je pas chassé les démons en Ton Nom?’» et tout comme cela. «Eh bien, a-t-il dit, cela ne veut pas dire que vous êtes chrétien.» Il parlait de «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru».

140      Le frère a dit: «Mais juste une minute, et c’est comme ça avec vous la bande d’ecclésiastiques.» Il a dit: «Vous ne comprenez pas le vrai sens des Ecritures. Votre coeur s’égare toujours, en enseignant comme doctrine la tradition des hommes.»

141      Ils ne voyaient pas que c’était le Fils de Dieu. Ils ont dit: «Il est Béelzébul.» Ils n’ont pas compris que les Ecritures indiquaient clairement que Jésus était le Fils de Dieu.

142      Il a dit: «Oh! a-t-Il dit, vous savez discerner l’aspect des cieux, mais vous ne pouvez discerner les signes du temps. Car si vous les aviez connus, vous M’auriez connu et vous auriez connu Mon jour, les choses qui devaient arriver.»

143      Et on voit aujourd’hui que Dieu a promis dans ces derniers jours que ces choses s’accompliraient. Qu’arrive-t-il aux gens? Ils sont aveugles.

144      Ces puissances démoniaques, même dans le domaine ecclésiastique... Vous avez dit: «Jésus n’a jamais dit quoi que ce soit.»

145      Les gens ont dit: «Nous avons chassé les démons.»

            Jésus a dit: «Je n’en savais rien.» Ils disaient des choses qu’ils ne faisaient pas. «Oh! nous...»

146      Quelqu’un a dit, un membre d’une certaine église dénominationnelle, il a dit: «Que le prédicateur Branham en guérisse un ; et moi, j’en guérirai une dizaine.»

            J’ai dit: «Si j’en guérissais une, vous pourriez en guérir une dizaine.»

147      Il a dit: «Si vous avez le don que vous prétendez avoir comme cela, a-t-il dit, pourquoi n’allez-vous pas à l’hôpital pour dire: ‘Vous tous qui êtes malades, levez-vous et sortez’?»

            Il a dit: «Ils devraient tous vous obéir.»

            J’ai dit: «Etes-vous un prédicateur de l’Evangile?»

            Il a dit: «Bien sûr que oui.»

148      J’ai dit: «Rendez-vous ici dans les débits de boissons et dites ; ‘Vous êtes tous sauvés, sortez.’»

            Il a dit: «Je pourrais le faire s’ils me croyaient.»

            J’ai dit: «C’est pareil pour moi.»

149      Vous y êtes ; la foi dans la Parole. Voyez-vous? Vous ne pourriez sauver personne. Et le fait de prêcher l’Evangile du Salut ne fait pas de vous un Sauveur divin, pas plus que le fait de prêcher la guérison divine ne fait de vous un guérisseur divin, il est plutôt question de la foi dans la Parole parlée de Dieu.

150      Et voici ce que je reconnais: certains parmi nous ont plus de foi que d’autres, et ceux qui ont la foi en abondance devraient prier pour ceux-là. Mais si vous ne menez pas le genre correct de vie, vous feriez mieux de vous tenir loin de cela ; le diable se moquera de votre prière. Mais lorsque vous vivez correctement, que vous agissez correctement, que vous vous comportez correctement, et que vous avez la foi en Dieu, Satan tremblera quand vous parlerez, parce que Dieu est tenu par un serment de prendre soin de cette prière. C’est vrai.

151      Maintenant, écoutez. Abraham était alors un vieil homme (Oh! je vais me dépêcher)–alors un vieil homme, avancé en âge, il avait cent ans ; Dieu lui avait donné ce fils ; environ seize ou dix-huit ans plus tard, et peut-être–peut-être à l’âge de cent dix-huit ans, cent vingt ans... Il a dit: «Maintenant, amène-le là-haut pour le tuer.»

152      Et Abraham n’a pas douté de la promesse. Ecoutez ceci. Il était comme Dieu ; il avait une partie de Dieu en lui, parce qu’il croyait. Ecoutez, verset 18:

Et espérant contre toute espérance, il crut... (Il n’y avait même pas d’espérance pour cela, cependant il crut avec espérance)... ensuite qu’il devint père d’un grand nombre de nations, selon ce qui lui avait été dit: Telle sera ta postérité.

153      Maintenant, écoutez, verset 19. Ouvrez votre entendement ; tenez-vous prêt. Suivez.

Et, sans faiblir dans la foi, il ne considéra point que son propre corps était déjà usé...

            Eh bien, si votre père Abraham, dont vous êtes fils par Christ, n’a pas considéré que son corps était mort, qu’en est-il du vôtre qui est plein de vie ce matin? Voyez-vous ce que je veux dire?

154      Et ça, c’était avant la Venue de Christ ; c’était avant qu’une quelconque expiation ne soit faite ; c’était avant qu’il n’y ait eu la grande nuée de témoins, avant que le Saint-Esprit ne vienne ; Abraham crut Dieu. «Sans faiblir dans la foi, il ne considéra point son propre corps.» Ne considérez pas votre maladie ; considérez ce que Dieu a dit à ce sujet.

155      Si j’avais considéré le mien, quand les Frères Mayo m’ont dit: «C’en est fini de vous», c’en serait fini de moi. Mais je n’ai pas considéré mon corps. Je n’ai pas considéré ma maladie. Je n’ai pas considéré ce qu’ils ont dit. J’ai considéré ce que Dieu a dit.

156      Mais lorsque j’étais aveugle, allant çà et là avec des lunettes, je ne pouvais même pas me faire coiffer ; en ôtant mes lunettes chez le coiffeur, ma tête tremblait. Je devais m’asseoir, le laisser coiffer quelqu’un d’autre pendant un moment, et ensuite je me remettais sur la chaise du coiffeur pour qu’il essaie de me coiffer. Que serait-il arrivé si j’avais considéré cela? Mais je n’ai pas considéré la cécité de mes yeux lorsque j’ai été enseigné de Dieu.

157      Quand le médecin m’a dit: «Une bouchée de nourriture solide vous ôtera la vie.»... Quand j’ai pris... Ma mère est assise là comme témoin. On me donnait du sirop d’orgeat et du jus de prune filtré ; je me suis nourri de cela pendant près d’une année. Et les médecins disaient: «Eh bien, une seule bouchée de nourriture solide le tuerait.»

158      Je me suis simplement mis à lire la Bible, et dans mon âme j’ai trouvé Dieu. Et j’ai lu là où il est dit: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu.»

159      Jamais on ne disait un mot de prière lorsqu’on était à table. Je me souviens que papa était assis là au coin. J’ai dit: «Prions.» Maman a regardé et s’est mise à pleurer. Papa ne savait que faire.

160      J’ai dit: «Ô Dieu...» J’avais posé la Bible sur la table ; j’ai dit: «Si je meurs, je vais rentrer à la Maison en Te faisant confiance. C’est ce que Ta Parole a dit. Je dois soit considérer ce que le médecin a dit, soit considérer ce que Toi Tu as dit. J’ai accepté la parole du médecin pendant une année et je ne vais pas mieux ; mon état empire. Je ne vais plus considérer ce qu’il a dit. Je vais considérer ce que Toi Tu as dit.» Et j’ai demandé la bénédiction.

161      Nous avions des haricots avec du pain de maïs, et des oignons. J’en ai pris tout un plat et je me suis mis à manger cela. La première bouchée qui est descendue dans mon estomac a failli me tuer. J’ai dû garder la main sur la bouche pour empêcher cela de remonter. Mais cela ne cessait de remonter, et je ravalais cela ; ça remontait, et je ravalais cela. Mais je ne considérais pas mon estomac. Je considérais ce que Dieu avait dit à ce sujet, pas ce que je ressentais ; cela me brûlait.

162      Je suis sorti dans la rue, et j’ai marché dans la rue comme ceci, le liquide coulant de ma bouche. On me disait: «Comment te sens-tu, Billy?»

            Je disais: «Merveilleusement bien.»

163      Des jours passèrent ; des semaines passèrent ; je continuais à marcher, à me tenir dans le fossé avec mon estomac comme ceci et gardant ma main comme cela, damant comme cela, en chantant: Oh! combien j’aime Jésus! Je déposais cela et jetais encore de la terre dedans, je criais: Oh! combien j’aime Jésus! Cette nourriture remontait tout simplement, et redescendait ; et j’avais la tête qui tournait, j’arrivais à peine à travailler.

164      On me demandait: «Comment te sens-tu ce matin? Billy, tu es malade?»

            Je disais: «Non, je me sens merveilleusement bien.»

            Ensuite, plus tard, quand j’ai témoigné, quelqu’un a dit: «Alors, tu avais menti.»

165      J’ai dit: «Non, pas du tout. Je ne parlais pas de ces sens qui sont ici dans le corps ; ils sont morts. Je reconnais que Christ est vivant en moi.» J’ai dit: «Je recevais ce qu’Il disait, et je me sentais très bien à propos.»

166      Voilà! Ne considérez pas votre propre corps. Ne considérez pas les maladies, car elles sont du diable. C’est juste. Considérez la promesse de Dieu.

167      Récemment, quelqu’un a dit: «Maintenant, écoutez: on ne peut pas prêcher la guérison divine dans l’expiation.» C’était un prédicateur baptiste intelligent qui, de toute façon, était allé trop loin.

168      J’ai dit: «Eh bien, je ne veux pas discuter avec vous sur l’expiation, car je sais que vous n’avez aucune base sur laquelle vous tenir: c’est très fondamental.» J’ai dit: «Je sais que vous n’avez aucune base... Voici une Ecriture juste devant vous, qui va changer toute la chose: ‘Il était blessé pour nos péchés, et brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.’» J’ai dit: «Où appliquez-vous cela, au Calvaire?»

169      J’ai dit: «Croyez-vous dans les sept Noms Rédempteurs, les Noms composés qui se rapportent à Jésus? S’Il ne L’était pas, et qu’Il ne l’ait pas accompli, mais qu’en Lui étaient ces sept Noms composés, c’est qu’Il n’était pas Jéhovah-Jiré. Il y a Jéhovah-Jiré, le sacrifice auquel Dieu a pourvu, et vous devrez admettre cela, sinon dites qu’Il n’était pas le Fils de Dieu. Si donc Il est Jéhovah-Jiré, Il est Jéhovah-Rapha, Il est aussi Celui qui guérit. Car tous les sept Noms composés, ‘notre victoire’, ‘notre bannière’, ‘notre bouclier’, ‘notre protection’, ‘notre guérison’, ‘notre salut’, ‘le sacrifice auquel il a été pourvu pour nous’, tout était en Lui. Et quand Il est mort au Calvaire, Il a dépouillé les dominations, Il est ressuscité, Il a levé les mains, Il a dit: ‘C’est accompli.’ Alléluia! Les démons ont tremblé ; l’enfer a été ébranlé ; le...?... se sont dispersés. Et Il est ressuscité le matin de Pâques: ‘Je suis Celui qui était mort et qui est revenu à la Vie.’ Le voilà, Jéhovah-Rapha, Jéhovah-Manassé. Jéhovah-Jiré, le sacrifice auquel Dieu a pourvu.» Il ne pouvait plus rien dire.

170      Et puis, autrefois là, Jésus a dit: «Comme Moïse éleva le serpent d’airain dans le désert, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé.» Et si l’éclat de cette lumière de Dieu autrefois là en type... regarder un serpent d’airain, lequel était un symbole...

171      [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Il a dit: «Je dois tenir ma parole. Tu dois mourir.» Le pauvre gars tremblait ; le roi a dit: «Que puis-je faire pour toi avant que je ne te tue.»

            Il a dit: «Un verre d’eau.»

172      On est donc allé chercher le verre d’eau. Et il le tenait dans sa main, et il tremblait comme cela ; il n’arrivait pas à le tenir. Et le roi a dit: «Maintenant, une minute, redresse-toi.» Il a dit: «Je ne vais te tuer ou t’ôter la vie que lorsque tu auras bu cette eau.» Et l’esclave l’a jeté par terre. Que va-t-il faire? Si c’est un homme juste, il va tenir sa parole... S’il ne tient pas sa parole, il n’est pas un homme juste. Il doit le libérer, peu importe ce que déclarent les lois du pays.

173      Et si Jésus a dit: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu», Il doit tenir cela ; Il est juste. Expiation ou sans expiation, c’est Sa Parole.

174      Récemment un jeune homme est allé dans un certain séminaire pour apprendre tout un tas d’histoires qu’il n’aurait pas dû apprendre. Alors, sa vieille mère est tombée malade. Une de ses voisines était membre d’une église du Plein Evangile ; on a amené le pasteur chez elle. Elle a dit: «Que j’amène le pasteur ici pour qu’il prie pour toi.» Elle a dit: «C’est un brave homme, un homme juste qui croit en Dieu, a-t-elle dit, qu’il vienne prier pour toi.»

            Alors elle a dit: «D’accord.»

175      Le médecin ne pouvait rien faire pour elle, alors le jeune homme est venu là, le pasteur, et il a prié pour la dame âgée, il lui a imposé les mains conformément à Jacques, ou plutôt conformément à Marc 16: «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Il est venu et il a imposé les mains à la–la femme. Quelques jours plus tard, elle était debout et vaquait à ses travaux, elle était guérie.

176      Quand son fils, revenant des études, est rentré à la maison, eh bien, il était très heureux, vous savez ; et il a dit qu’il a vu sa mère très heureuse, il a dit: «Comment te portes-tu, maman?»

177      Elle a dit: «Très bien.» Elle a dit: «Oh! fiston, j’ai oublié de te dire quelque chose.» Elle a dit: «Quand tu étais absent ces quatre années, a-t-elle dit, je suis tombée malade. Et connais-tu madame Unetelle par ici qui est membre de cette église du Plein Evangile?» Elle a dit: «Son pasteur est venu m’imposer les mains conformément à Marc 16, et je me suis rétablie.» Elle a dit: «Les médecins ne pouvaient rien faire pour moi pendant cette période où j’étais tombée malade.» Elle a dit: «C’est ainsi que j’ai été guérie.»

178      Il a dit: «Eh bien, Maman, j’aimerais t’informer de quelque chose.» Il a dit: «Bien entendu, là à l’université nous avons appris ceci.» Il a dit: «Les neuf derniers versets de Marc 16 ne sont pas inspirés.» Il a dit: «C’est le Vatican qui a inséré cela.» Il a dit: «Aucun témoignage dans l’histoire ne montre que cette Parole-là est inspirée.»

            Et la petite femme a dit: «Gloire à Dieu! Gloire à Dieu!»

            Il a dit: «Que t’arrive-t-il, Maman?»

179      Elle a dit: «Si Dieu a pu me guérir avec des Paroles qui ne sont pas inspirées, que pourrait-Il faire avec Celle qui est inspirée?»...?... Vous y êtes. «S’Il a pu faire cela à l’aide de la Parole qui n’est pas inspirée, que ferait-Il avec Celle qui est inspirée?»

180      Alors qu’il y a six cents et quelques promesses qui sont faites directement à l’Eglise dans les derniers jours, montrant que ces choses vont arriver, et que Sa puissance est exactement la même, «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu. Si vous demeurez en Moi, et que Ma Parole demeure en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. Les choses que Je fais, vous les ferez aussi ; vous en ferez de plus grandes, car Je m’en vais à Mon Père. Voici, Je suis toujours avec vous, même jusqu’à la fin du monde. Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, et s’ils s’accordent au sujet de quelque chose et le demandent, ils le recevront.»

181      Oubliez cela, frère. C’est la volonté de Dieu que de faire cela. Absolument. C’est seulement Satan qui vous vole. Croyez en Lui.

182      Et contre toute espérance, il crut, en sorte qu’il devint père d’un grand nombre de nations, selon ce qui lui avait été dit: Telle sera ta postérité.

Et sans faillir dans la foi, il ne considéra point que son corps était déjà usé,...

            Pas les circonstances, pas ce que quelqu’un d’autre a dit: «Et si quelqu’un d’autre mourait, alors que vous avez la même maladie?» Ne considérez pas cela. Voyez-vous?

...puisqu’il avait près de cent ans, et que Sara n’était plus en état d’avoir des enfants.

183      Elle était incluse là-dedans. Dieu n’a jamais fait la promesse à Sara ; Il a fait la promesse à Abraham, mais Sara était incluse. Il a fait la promesse en Jésus-Christ, et moi j’étais inclus en Lui, vous aussi. Voyez-vous?

Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu ; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu ;

Et ayant la pleine conviction que ce qu’il promet il peut aussi l’accomplir.

C’est pourquoi cela lui fut imputé à justice.

Mais ce n’est pas à cause de lui seul qu’il est écrit que cela ne fut pas imputé qu’à lui

C’est encore à cause de nous, à qui cela sera imputé, à nous qui croyons en celui qui a ressuscité des morts Jésus notre Seigneur,

184     

Lequel a été livré pour nos offenses, et est ressuscité pour notre justification.

            Oh! frère, cela est simplement... je peux flanquer cela à la figure du diable tous les trois cent soixante-cinq jours de l’année (Voyez-vous?), et dire: «Tu es un menteur ; voilà la Parole ; je suis guéri.»

185      Si quelqu’un vient et met cela sur vous, si quelqu’un par ici vous fait une certaine chose et que vous vous rétablissiez, cela ne vous inspire pas. Mais voici ce qu’il en est, celui qui croit: «Maintenant je suis guéri.»

186      Si Dieu descendait et me guérissait de façon certaine, directement par un miracle, cela ne serait pas aussi glorieux que si je vois la promesse de Dieu et la reçoive dans mon coeur, et que je me tienne là et dise: «Jésus me guérit maintenant, car j’ai reçu Sa Parole. Elle est dans mon coeur. Il intercède maintenant en ma faveur devant le Père. Je vais me rétablir.» Voilà ce que Dieu aime. Tenez-vous là sur Sa Parole et dites qu’Elle est vraie. «Il me guérit maintenant, chaque jour.»

187      Voilà une femme qui avait un goitre. Je vois, je lui ai simplement demandé de faire quelque chose, alors cela...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... ne serait pas devenu cela du tout. Mais elle était heureuse, elle disait: «Oh! regardez, regardez.» Et le lendemain, cela avait à peu près cette dimension. Ensuite, le surlendemain cela avait à peu près cette dimension. Elle a rassemblé tout cela, elle a dit: «Eh bien, ça–ça ne peut pas être faux. Mais, regardez, voyez-vous, c’est...» Vous y êtes.

           

188      Quand Elie a fermé les cieux, de sorte qu’il ne tombât pas de pluie pendant trois ans, Elie a fait cela, afin qu’il ne tombe pas de pluie pendant trois ans et six mois, et quand il a placé sa tête entre ses pauvres genoux très maigres... S’il venait à votre porte ce matin, probablement que vous le chasseriez: il avait une tête couverte de poils comme un... je ne sais quoi, il avait une vieille peau de mouton enroulée autour de lui comme ceci, et il avait une cruche d’huile et un bâton, et le voilà venir. C’est tout.

189      Et tout le temps qu’il se tenait là, il plaçait ses genoux–ou plutôt sa tête entre ses genoux, il priait: «Ô Dieu, maintenant le problème a été résolu. Israël s’est repenti. Viens, Seigneur, et envoie-leur la pluie.»

            C’est comme cette femme l’autre jour, quand le péché avait été ôté, j’ai dit: «Satan, tu ne peux plus la retenir.» Non, non. C’est tout.

190      «Viens, ô Seigneur. C’est en ordre, le problème est écarté.» Il a prié à six reprises, il s’est remis à genoux. Cela ne l’a pas arrêté ; il a continué de prier. C’est juste. Ensuite au bout d’un moment, Guéhazi, son serviteur, est monté regarder, puis il est revenu et il a dit: «Oh! je vois un petit nuage qui est comme la paume de la main d’un homme.»

191      Eh bien, les cieux, alors qu’il n’avait pas plu pendant trois ans et six mois, un ciel d’airain... L’airain parle du jugement divin, l’autel d’airain, le jugement sur cette nation qui avait abandonné Dieu ; les cieux d’airain. J’aurais souhaité avoir le temps d’aborder cela. Mais alors l’incrédulité aurait attrapé cela et aurait rejeté cela, disant: «Tiens! si c’est tout ce que Tu peux m’envoyer...» Oui.

192      Mais qu’a vu Elie quand il a vu la toute première roue tourner? Oh! la la! il a dit: «J’entends le bruit d’une grande pluie.» Il n’y avait pas de nuage plus gros que ça, qu’est-ce que cela ferait pour arroser le pays? Eh bien, si le nuage est si... Il faisait si chaud dans ces cieux que cela l’aurait (Fiou!) vaporisé, la vapeur se serait dissipée comme cela. Mais dès qu’Elie a vu le premier signe, le premier mouvement minuscule, il a dit: «J’entends le bruit d’une grande pluie», alors que ce n’était qu’un nuage de cette taille.

193      Frère, je crois que le–que maintenant même, à cet instant, la puissance du Saint-Esprit qui est dans cette salle pour réconforter chaque personne malade qui se trouve ici, si vous sentez le nuage qui est comme la paume de la main d’un homme, criez et hurlez: «J’entends le bruit d’une guérison parfaite.» Dieu est tenu...

194      Si vous rejetez cela et dites: «Eh bien, je n’ai rien eu.», alors cela va disparaître ; les vagues brûlantes de l’enfer et du doute vont faire disparaître cela de votre âme. Mais lorsque vous recevez ce petit grain de Semence, tenez-vous là-dessus. Ce n’est pas comme le rocher de Gibraltar, mais comme le Rocher des âges.

195      Tenez-vous là et vous sentirez le bruit d’une grande pluie. Vous êtes un enfant de Dieu. Satan a placé sur vous cette affliction, et, vous savez, Christ a déjà guéri chacun de vous.

196      Un pécheur vient à l’autel et dit: «Frère Branham, je–je...» Il dit: «Je désire que vous priiez pour moi. Je–je veux être bon, mais je... Priez pour moi», puis il regagne son siège.

197      Le soir suivant, on dit: «Combien veulent être sauvés?» Le voilà qui se lève. «Voulez-vous être sauvé, jeune homme?»

            «Oui, monsieur.»

            «Eh bien, pourquoi n’êtes-vous pas sauvé?»

            «Je ne sais pas.»

198      J’ai dit: «Vous êtes juste...» Le diable retient ce garçon. C’est tout. Il veut faire ce qui est bien, mais il y a un esprit, une puissance qui ne le laisse pas faire ce qui est bien.

199      Eh bien, alléluia! Tenez! Il n’est pas étonnant que Dieu ne puisse jamais permettre qu’un vrai homme de Dieu dise qu’il peut guérir quelqu’un. Christ a fait cela quand Il est mort. Je ne pourrais sauver personne, et personne d’autre ne pourrait sauver quelqu’un, à part Dieu.

200      Et Dieu ne peut pas vous sauver, parce qu’Il l’a déjà fait. La seule chose que vous devez faire, c’est accepter cela. Cela a déjà été fait. Je n’ai pas été sauvé il y a vingt ans ; j’ai été sauvé il y a mille neuf cents ans. Mais il y a vingt ans, j’ai reçu cela et j’ai accepté cela. Si ce n’était pas le cas, au premier péché que j’ai commis, Dieu m’aurait effacé de la surface de la terre. En effet, Il a dit qu’Il le ferait, et Il doit tenir Sa promesse. J’ai été guéri il y a mille neuf cents ans, mais je dois accepter cela.

201      Et la seule chose qui m’empêchait d’être sauvé quand j’avais douze ans, c’est un esprit qui était suspendu au-dessus de moi, un démon, qui disait: «Attends encore un peu.» C’est la raison pour laquelle vous n’étiez pas sauvé lorsque vous avez atteint l’âge de la responsabilité. Un esprit! Vous vous êtes associé à un groupe, et cela a plané au-dessus de vous et continue à être suspendu au-dessus de vous. Vous vouliez faire ce qui est juste. Mais il n’y a aucun homme qui, étant dans son bon sens, ne voudrait pas faire ce qui est juste, mais il y a quelque chose qui ne vous laissera pas faire ce qui est juste. Est-ce exact? C’est le diable. Alléluia! Christ a payé pour votre guérison et votre salut.

202      Maintenant, tenez. Préparez-vous. Il a donné à Son Eglise la commission de chasser ces démons. Vous y êtes. «En Mon Nom, ils chasseront les démons. Vous ne guérirez personne, mais vous chasserez des gens les démons, afin que les gens puissent accepter la guérison que J’ai déjà opérée.» C’est juste.

203      Le prédicateur s’est tenu là à l’estrade et il a prêché l’Evangile, les démons ont fui. L’homme est venu à l’autel étant convaincu, disant: «Je veux être sauvé.» Lui n’a pas sauvé cet homme ; il a chassé le démon (C’est juste), et l’homme a été sauvé. Il est venu, il a accepté son salut.

204      C’est pareil avec la guérison divine. Vous qui êtes malades ici ce matin, croyez cela, vous êtes nés de nouveau et vous êtes des fils et des filles de Dieu, Christ vous a déjà guéris. La seule chose qui vous empêche de vous rétablir ce matin, c’est un esprit qui est suspendu au-dessus de vous et qui ne vous laissera pas totalement sortir là-bas pour croire la promesse de Dieu, selon laquelle Il l’a fait. C’est juste.

205      Voilà, c’est là ma commission. C’est ce que Dieu m’a donné ; c’est ce qu’Il a donné à tout prédicateur de l’Evangile qui croit en Lui: la puissance et l’autorité pour neutraliser cet esprit. Je crois de tout mon coeur que toute puissance démoniaque qui est ici en ce moment est déjà brisée. Je le crois. Je crois que chaque personne malade qui est ici à l’instant même sent un grand changement. Si c’est juste, levez la main, vous qui étiez malades. Regardez là. Vous, qu’y a-t-il? Ce démon vous a quitté. Il est obligé. «La foi vient de ce qu’on entend, de ce qu’on entend la Parole.» Jésus-Christ est mort pour vous.

206      Vous pouvez être guéri maintenant même pour accomplir cette commission. Vous ici qui êtes malades ce matin, ou qui êtes venus dans cet état-là, pendant que cet Esprit est sur vous, pendant que vous sentez l’Esprit de Dieu...

207      Cela devient... Oh! je suis désolé ; on est fort en retard. Vous tous qui êtes malades, qui étiez malades quand vous êtes entrés, je veux que vous veniez ici afin que je puisse accomplir ma commission. Je suis redevable à mon Seigneur.

208      Et voici ce que je déclare: un Ange m’est apparu à ma naissance, et Il m’a donné une commission quand j’avais douze ans, et Il m’a envoyé ici il y a quelques années, et Il a déclaré ces choses, et cela est incontestable, partout dans le monde. Des démons, et–et des infidèles, des sceptiques, des agnostiques, et–et des modernistes, des communistes, et tous les autres ont combattu cela en disant que c’était... Certains d’entre eux ont dit que c’est du spiritisme. D’autres ont dit que c’est l’oeuvre des démons. Et les autres ont dit que c’est de la–c’est de la télépathie. Et toutes les fois sans exception que cela s’est levé, le Dieu Tout-Puissant s’est tenu devant moi et a vaincu cela. C’est juste. Amenez cela partout où vous voulez, et dans n’importe quelle nation que vous voulez. Dans chaque nation où j’ai été, pratiquement dans chaque ville, j’ai dû combattre cette chose ; les gens disent: «C’est de la télépathie.»

            J’ai dit: «Faites sortir d’ici tous ceux qui pensent que c’est de la télépathie. Faites sortir tous ceux qui savent quelque chose à mon sujet. Apportez-moi le patient.»

            Les gens ont dit: «C’est du spiritisme.»

209      J’ai dit: «Si donc moi, par le spiritisme, je gagne des âmes à Jésus-Christ et je vaincs des démons, qu’allez-vous faire de ce que vous avez? ‘Jugez-les par leurs fruits, a dit Jésus, c’est ainsi que vous les reconnaîtrez.’ Avez-vous déjà vu un spirite chasser des démons? Vous ne verrez jamais cela. C’est juste.» J’ai dit: «Jésus a dit: ‘C’est à leurs fruits qu’on les reconnaîtra.’» J’ai dit: «Durant les quelques dernières années, par la grâce de Dieu, j’ai gagné trois cent cinquante mille âmes à Christ ; et vous, qu’avez-vous fait?»

210      Un homme est venu me voir ici, et il a dit qu’une certaine femme lui avait dit que j’étais un–j’étais un démon, et que toutes les oeuvres que je fais, c’est par le diable que je les fais. Ils se sont retirés de cette église-ci, et ils ont un groupe qui est sorti avec eux, et ils sont là comme cela.

211      J’ai dit: «Qu’avez-vous fait? Montrez-moi les fruits. C’est là que vous avez commencé, et Dieu a déraciné la chose.» J’ai dit: «Tout sarment que votre... notre Père céleste n’a pas planté sera déraciné.»

212      Quand j’ai établi ce Tabernacle au coin, je me suis agenouillé ici sur des stramoines et vergerettes ici en-dessous de ceci, juste là où se trouve cette chaire ce matin, quand c’était une mare, Dieu a dit: «Je bénirai cela.»

            Le faux prophète s’est tenu ici et a dit: «J’ai vu des voitures venir et partir. Et j’ai vu les pierres tomber les unes des autres.» Il y a de cela vingt ans, mais aujourd’hui cela continue à naviguer, et cela continuera à naviguer, parce que cela a été fondé ici sur la sueur et les larmes de prière, et sur la promesse de Dieu. Cela prévaudra. «Sur cette pierre Je bâtirai Mon Eglise ; les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle.» Vous y êtes. Oui, oui. Ne prêtez pas attention à ce que disent les gens. J’ai appris une leçon sur le fait d’écouter les gens qui ne savent pas de quoi ils parlent. Je n’écoute qu’une seule Personne, c’est le Dieu Tout-Puissant. Jésus a dit: «Désormais, si vous demandez quelque chose en Mon Nom, que vous le demandez au Père en Mon Nom, vous le recevrez.» Je le crois.

213      Une fois à Arlington, au Texas... Je... Ce–c’est-à-dire même si j’essaie de m’en éloigner, cela brûle dans mon coeur. Les gens sont venus là et... j’ai cela dans mon... non, ça se trouve dans mon petit manuel où sont mentionnés des événements. Les gens ont dit que j’étais un... Le FBI était là pour me dénoncer, disant que j’étais un–un–un démon. Et les ministres, un groupe d’entre eux étaient là quelque part, là au nord de Houston (Je vais citer le nom de cette ville dans un instant), ils ont lancé tout un tas de tracts qu’ils ont distribués partout comme cela, dans la salle, et cela disait que j’étais Simon le sorcier, que je chassais les démons comme Simon le magicien: la sorcellerie.

214      Alors, ce soir-là, deux filles avaient été guéries, là, et elles sont venues en pleurant et tout, elles ont dit: «Eh bien, vous devriez...» J’ai dit... Elles ont dit qu’elles allaient rentrer chez elles ; elles avaient peur. Elles ont dit: «Le FBI a arrêté frère Branham. Cette jeune fille a recouvré son bon sens quand vous avez vu cette vision à son sujet.» Et elle a dit: «Je–je–je suis peut-être à la base de ces ennuis.»

215      J’ai dit: «Oh! vous avez peur.» J’ai dit: «Vous avez vu Dieu, le Guérisseur, n’est-ce pas?» J’ai dit: «Observez-Le en tant que Guerrier. Observez-Le dans la bataille. Voyez combien Il est grand. Voyez combien Dieu est grand dans la bataille en tant que Guerrier.»

216      Et ce soir-là je suis allé, et j’ai dit: «Que tous ceux qui sont ici dans ma campagne, monsieur Baxter, mon frère, et les deux jeunes filles qui ont été guéries, ainsi que ces–ces prédicateurs qui ont dit aujourd’hui que vous faisiez partie de leur groupe ; je vous demande de quitter la salle.» Ils ont quitté la salle. J’ai dit: «Maintenant, j’ai ici un bout de papier que le concierge de la salle est allé arracher des voitures par milliers; il a loué le service de petits Mexicains pour aller les arracher.» J’ai dit: «J’ai ici un petit tract qui dit que je suis ce soir Simon le magicien et que je vais être dénoncé par le FBI ici ce soir.»

217      J’ai dit: «Très bien, messieurs du FBI, je suis à l’estrade au Nom du Seigneur Jésus-Christ ; venez maintenant à l’estrade pour me dénoncer.» J’ai dit: «Si je fais quelque chose en dehors de la Bible du Dieu Tout-Puissant, venez ici pour me dénoncer.» J’ai dit: «Où êtes-vous?» Des milliers de personnes étaient assises là et tout le monde pleurait, j’ai dit: «J’attends le FBI. Selon votre article du journal qui est ici, vous alliez me dénoncer ce soir.»

            Juste à ce moment-là j’ai attendu quelques minutes, et j’ai senti cet Esprit venir. J’ai dit: «Ce n’était pas le FBI. Je ne suis pas un criminel.» J’ai dit: «Chaque fois que les agents du FBI viennent à ma réunion, il est–ils sont sauvés. Leur chef a été sauvé à ma réunion, le capitaine Al Farrar.» J’ai dit... Et oh! j’ai dit: «Le FBI ne fait rien de pareil.»

218      J’ai dit: «Il s’agit de deux prédicateurs rétrogrades.» J’ai regardé, et là était suspendu... une énorme chose noire était suspendue au-dessus de l’assistance. J’ai vu cela monter directement comme ceci jusqu’au second balcon. J’ai dit: «L’un est assis juste là en complet clair, et l’autre est en complet gris.» Et ils sont descendus comme cela. J’ai dit: «Ne descendez pas. Je pensais que vous alliez me dénoncer. On dirait quelqu’un d’autre.» J’ai dit: «Vous êtes deux prédicateurs rétrogrades. Vous n’avez rien à avoir avec cela.»

219      Et j’ai dit: «Maintenant, si je suis Simon le magicien et que je chasse les démons par la sorcellerie, comme vous le prétendez, et que vous soyez saints et justes en Dieu, descendez et venez jusqu’à à l’estrade. Si je suis Simon le magicien, je vais tomber mort. Si vous êtes Simon, si c’est vous qui êtes dans l’erreur, vous allez tomber morts. Descendez maintenant ; nous allons voir qui a raison.» C’est juste, je leur ai lancé un défi. Ils ont gardé la tête baissée. J’ai dit: «Ne baissez pas subitement la tête comme cela.»

220      J’ai dit: «Maintenant, vous autres, vous voyez qui est dans le vrai et qui est dans l’erreur. Ils ont peur.» Et là, tout en haut ils sont sortis aussi vite qu’ils le pouvaient. J’ai dit: «Oh! je vois qu’ils s’en vont. Il est possible qu’ils soient peut-être en train de venir ici.» Ils sont sortis de la salle aussi vite qu’ils le pouvaient, ils ont descendu les marches. Je me suis tenu là et j’ai attendu. J’ai dit: «Maintenant, nous allons simplement voir. Qu’ils viennent à l’estrade. Que Dieu montre qui est qui.» C’est juste. J’ai dit: «Si je suis dans l’erreur, alors Dieu montrera que la chose est fausse. Si j’ai raison, Dieu rend toujours témoignage à ce qui est juste.»

221      C’était comme à Houston, quand ce prédicateur baptiste a dit que j’étais un démon et tout, et voyez ce qui s’est passé lorsque l’Ange du Seigneur est descendu.

222      Maintenant, savez-vous ce qui s’est passé? Nous ne les avons plus jamais revus. Ce soir-là le Seigneur a remporté là une victoire dont on parle encore à Arlington. Voyez-vous? «Moi l’Eternel, Je l’ai planté. Je l’arroserai jour et nuit de peur que quelqu’un ne l’arrache de Ma main.»

223      Approchez maintenant, les garçons, voulez-vous bien gagner rapidement le piano? Que les malades ou ceux qui sont malades viennent autour de l’autel rapidement maintenant. Il ne nous reste maintenant qu’environ dix minutes, et nous allons vous libérer de chaque puissance démoniaque qui vous hante au Nom du Seigneur Jésus. «Je leur donne Mon Nom et Mon autorité.»

224      [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... essayer ceci, parce que je crois que Dieu m’ordonne de faire ceci. Je le crois. Si seulement je peux amener les gens à croire cela. Si donc ceci ne marche pas, alors je crois que le Seigneur... J’ai placé une toison devant Lui ; je vais revenir tout droit aux visions, juste une ou deux, ou trois, ou tout ce que je peux atteindre en une soirée.

225      Vous avez tous assisté à mes réunions ; pas une seule fois vous n’en avez jamais vu faillir. Cela vous dira où se trouve votre péché. C’est la seule chose que cela peut faire. La guérison est déjà vôtre. La seule chose qu’il y a alors c’est le péché, il s’agit peut-être de quelque chose que vous faites dans votre vie et qui n’est pas correct, soit c’est un–un démon qui a une emprise sur vous, qui ne veut pas vous laisser croire. Maintenant, vous savez, si ce n’est pas le cas, Jésus a dit quelque chose de faux. «Tout est possible à celui qui croit.» Est-ce juste? Cela dépend donc de vous ; ça ne dépend pas de Dieu.

226      Si je disais ici, si je disais: «Voici posé ici le... Si vous voulez... aviez besoin d’un billet d’un dollar.» Je pense que j’en ai un. Très bien. S’il y a un billet d’un dollar, il y est déjà pourvu pour celui qui est dans le besoin. Si c’est le cas, cela vous appartient si vous venez le prendre. Je n’ai rien d’autre à faire pour cela ; je l’ai posé là. Est-ce juste?

227      Eh bien, Jésus, quand Il est mort, Il vous a guéri, «Il fut blessé pour nos péchés ; c’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéri», au temps passé. Cela dépend de vous maintenant. Venez vous en emparez ; cela vous appartient. Je le crois. «En Mon Nom, ils chasseront les démons.» Je crois cela. Il m’a permis de le faire auparavant, et je crois qu’Il me permettra de le faire ce matin. Croyez-vous cela?

228      Très bien. Que les gens qui sont au bout ici reculent directement par ici, je veux descendre là afin de pouvoir prier, et au fur et à mesure que je prie et que je chasse les mauvais esprits, les gens peuvent retourner s’asseoir à leurs places vers ce mur. S’il vous plaît, frères, avancez carrément par ici.

229      Maintenant, regardez ici. A quoi bon s’amuser et croire à moitié?

230      Où est cette dame qui était dans ce fauteuil roulant? Vous, madame. A quoi–quoi bon être assise là? Jésus-Christ vous a rétablie. Certainement, Il l’a fait.

231      J’ai vu des gens conduire une–une femme tout à l’heure. Je crois que c’est cet homme qui se tient là qui conduit peut-être sa femme là ; elle est infirme ou quelque chose comme cela. Madame, vous n’êtes pas obligée d’être dans cet état-là.

232      Une dame a dit qu’elle avait une fillette ici, une petite, qu’elle avait un problème, toutes sortes de maladies et tout, qu’elle était sourde, muette, aveugle, quoi que ce soit. Elle n’est pas obligée d’être ainsi.

233      Inclinons la tête. Je veux que vous croyiez.

            Ô Dieu, notre Père céleste, je viens à Toi ce matin en tant que Ton serviteur. Seigneur, j’ai prêché la Parole. C’est Ta Parole ; ce n’est pas la mienne. Je sais que Tu es ici pour guérir les gens et pour les rétablir. Je crois que Tu vas le faire, ô Dieu bien-aimé. Et je Te prie d’avoir pitié. Seigneur, on réalise que ces visions, la seule chose qu’elles peuvent faire, c’est de révéler les péchés des gens. Mais, Seigneur Dieu, que le Saint-Esprit fasse cela maintenant même. Puisses-Tu révéler dans chaque coeur ce qui fait obstacle. S’il y a un péché dans leur vie, que cela soit alors pardonné maintenant même, Seigneur, je prie au Nom de Jésus-Christ.

            Et que ces gens, le groupe qui est ici dans cette... aujourd’hui, soit comme celui de l’autre soir ; que chacun d’eux ait une délivrance parfaite. Qu’ils soient guéris ce matin, qu’ils viennent mercredi soir, heureux, criant et se réjouissant. Accorde-le, Père.

            Maintenant, sur base de l’autorité de Ta Parole, je m’avance pour chasser les démons, pour accomplir Ta Parole, au Nom de Jésus-Christ.

234      Maintenant, Satan, je sais que tu retiens ces gens ; toi cette chose noire, sombre, hideuse, qui as une emprise sur eux, et qui dis: «Eh bien, je vais faire un essai.» Mais je veux m’adresser à toi. Je me tiens à leur place, entre eux et Dieu ce matin. Je me tiens là en tant que serviteur du–du Dieu Tout-Puissant. Mes péchés ont été effacés par le Sang de Jésus-Christ, par la foi divine que j’ai en Lui en tant que le Fils de Dieu. Et je déclare, et premièrement c’est la Bible qui le déclare, et je le dis comme la Bible, qu’Il t’a dépouillé au Calvaire de toute puissance que tu avais. Et la Bible déclare que Ses disciples doivent poursuivre cette commission qu’Il avait ici sur terre jusqu’à la fin de l’âge.

235      Et je suis Son disciple ; par conséquent, ce matin je viens en tant que Son représentant, un représentant de Jésus-Christ avec Ses actes. Je suis envoyé à Sa place. Et lorsque j’appellerai la personne, ta puissance sera brisée, et la personne sera libre et sortira, s’en ira d’ici rétablie. Maintenant, je te défie dans le Nom, le Nom de Jésus-Christ, je me tiens dans Son Sang. Et toi, quitte chaque personne à qui j’impose les mains. Non pas par ma sainteté, pas en mon nom, car mon nom ne représente rien pour toi ; ma sainteté ne représente rien ; je n’en ai pas. Et tu ne reconnaîtras pas mon nom, mais Tu reconnaîtras le Nom de Jésus, et tu vas sortir, et je m’adresse à toi. Je m’engage maintenant dans un défi. Et si tu essaies de retenir l’un d’eux, que la malédiction de Dieu descende sur toi. Puisses-tu sortir, ôter ta main de ces chrétiens. Ta sale main répugnante, qui afflige et rende infirmes et malades ces gens, qui leur donne ces maladies, ôte ta main, au Nom de Jésus-Christ.

236      [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je vous demande de vous lever dans le... Son Nom, de rentrer étant parfaitement bien portant à la gloire de Dieu. Levez-vous. Et que les gens relèvent la tête. [L’assemblée loue Dieu. Espace vide sur la bande–N.D.E.]

237      Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur cet homme qui se tient ici, sachant que c’est la seule chance qu’il aura dans sa vie pour redevenir normal, alors qu’il a les hanches et tous les membres dans cet état, et il s’est servi de ces béquilles pour marcher ; il désire rentrer chez lui pour témoigner à la gloire de Dieu ; il a parcouru de nombreux kilomètres en voiture pour parvenir ici. Et, Père, je prie pour que cette heure-ci soit celle où il dira dans son coeur: «Si d’autres le peuvent, moi aussi. Et Tu es mort pour moi pour me libérer exactement comme Tu l’as fait pour les autres.» Accorde-le, Père.

238      Par conséquent, toi démon qui as rendu son corps infirme, je viens dans ce défi de foi contre toi pour te défier dans ce duel. Je t’adjure par Jésus, le Fils de Dieu, sors de cet homme.

239      Soyez respectueux, partout. Cela retient le frère. Maintenant, un instant ; il ne s’agit pas des... Ne soyez pas agités, les amis. La Présence du Seigneur est là. Soyez aussi respectueux que possible, à l’intérieur et à l’extérieur. Le pauvre homme est venu ici ; il ne marchera plus jamais sans béquilles, si Dieu ne lui vient pas en aide maintenant. Ça sera... Il est venu ici ; son état sera pire qu’avant, s’il n’est pas guéri.

            On devra probablement le transporter s’il n’est pas guéri. En effet, Satan, s’il peut trouver assez de puissance pour le briser, il va le briser carrément s’il le peut. Ainsi donc, soit que Satan va le briser, soit que Dieu va le délivrer et le rétablir complètement. Maintenant, tout le monde, combien ici croient que Dieu m’a envoyé pour libérer cet homme ce soir par Son Fils Jésus-Christ? Très bien. Maintenant, soyez très respectueux ; gardez la tête inclinée.

240      Croyez-vous cela de tout votre coeur, monsieur? Croyez-vous que vous allez prendre ces vieilles béquilles et les jeter dans la voiture et rentrer chez vous, et les porter demain sur vos épaules, et parcourir les rues de votre ville, témoignant pour Dieu? Vous n’avez pas... La vie qui vous reste, frère, donnez-la pour la gloire de Dieu. Allez-vous Le servir? Vous allez Le servir. De toute façon, vous y avez pensé tout récemment (N’est-ce pas?), vous avez pensé à une marche plus intime. L’autre jour vous vous êtes dit: «Si je... seulement Dieu me guérissait, je marcherais plus près de Lui.» Et c’est juste ; c’est ce que vous avez dit.

241      Et puis, autre chose, lorsque vous étiez... Je vois que vous étiez récemment dans une voiture, et vous parliez à quelqu’un de ces choses. Il y avait un homme assis à l’avant, tandis que vous étiez assis à l’arrière. Est-ce vrai? Vous avanciez sur la route, vous êtes passés sur un petit monticule, en tournant à droite, lorsque vous parliez de cela. Est-ce vrai? Je ne lis pas votre pensée, monsieur. C’est Dieu. Maintenant–maintenant, vous commencez à sentir ce dont je parle. C’est maintenant le moment de votre délivrance.

242      Dieu Tout-Puissant, maintenant pendant que la puissance de Ta Présence est ici, qu’Elle se tient ici pour délivrer cet homme, ô Dieu éternel, Auteur de la Vie, envoie Tes bénédictions sur lui, alors que je le bénis au Nom de Ton Fils. Accorde-le, Seigneur, par Jésus-Christ.

            Toi démon qui as rendu cet homme, mon frère infirme... Il a fait sa confession. Ses secrets ont été dévoilés. Il est ici maintenant pour marcher. Tu ne peux plus le retenir. Il veut glorifier Dieu. Je viens dans un défi contre toi au Nom de Jésus-Christ, par un don de guérison qui m’a été donné par un Ange ; je t’adjure par Jésus le Fils de Dieu de sortir de lui. Le voilà qui s’en va. Gardez la tête inclinée, partout.

Up