Être Conduit Par Le Saint-Esprit

Date: 52-0727 | La durée est de: 58 minutes | La traduction: Shp
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1          Je vous adresse mes compliments et salutations au Nom de notre Seigneur Jésus-Christ. Que Sa grâce et Sa miséricorde incomparables soient sur vous tous.

            Juste avant que vous quittiez l’estrade, Frère Baxter, restez tout près; j’aimerais vous parler un instant.

            J’ai été associé à frère Baxter depuis plusieurs années maintenant. Voici environ cinq ans que nous sommes étroitement associés, lui et moi. Nous avons appris à nous aimer mutuellement d’un amour chrétien éternel, la communion ainsi que l’amour que nous avons l’un pour l’autre. Et je–j’ai prêché cet après-midi sur la Divinité de Jésus-Christ.

            Et Frère Baxter, si ce n’est pas trop vous demander, j’aimerais que vous puissiez venir, et que vous chantiez simplement mon cantique favori. Il fut écrit par un ami à frère Baxter et à moi. Il a écrit ce cantique là, dans un champ de maïs, un soir, lorsque l’inspiration est venue sur lui: Il est descendu de Sa Gloire. Voulez-vous le faire, Frère Baxter? Merci, Frère Baxter. [Frère Baxter parle, puis chante: Il est descendu de Sa Gloire.–N.D.E.]

2          Je me suis aussi arrêté là. J’espère qu’ils ont enregistré cela, afin que je puisse de nouveau écouter cela un jour. Je m’en souviendrai pendant plusieurs jours. La façon dont ça s’est terminé, ces femmes-là, qui donnaient ce contralto élevé, en faisant entendre le ton là. C’est merveilleux!

            Pensez-y tout simplement, le Grand Créateur devint mon Sauveur. Oh! la la! Cela fait simplement frémir mon coeur d’y penser, que Dieu s’est humilié et est descendu sur terre, et a habité dans un corps de chair pour me racheter. Moi qui étais perdu, complètement in-... indigne; et le Seul qui soit digne est descendu afin de nous racheter de la vie du péché. N’est-ce pas... C’est plus... Ce n’est pas étonnant qu’il soit dit: «L’oeil n’a point vu, l’oreille n’a point entendu.» Comme Il est merveilleux!

            Maintenant, mes chers et bien-aimés amis chrétiens, que la paix de Dieu soit sur vous. Que les plus riches bénédictions de Dieu demeurent à jamais ici à Zion sur vous.

            Je vous aime d’un amour chrétien éternel. Et aussi longtemps que je me souviendrai de Zion, il y aura de la tendresse dans mon coeur pour Zion et ses habitants. Je prierai pour vous, afin que Dieu vous accorde un–un autre réveil avant la Venue du Seigneur; en fait, Il le fera. J’aurai souhaité voir cela. J’espère que je vivrai assez longtemps pour voir le temps où je verrai le... verrai les gens venir de toute la nation pour s’assembler de nouveau à Zion. Ne serait-ce pas merveilleux? Continuez à prier et à garder les yeux levés. Dieu se manifestera.

3          Je suis votre serviteur dans le Seigneur, pour faire pour vous tout ce que je peux. Je disais souvent aux gens: La nuit ne sera pas trop sombre ni la pluie trop forte pour m’empêcher de venir, de ramper, ou de faire tout mon possible. J’ai dû en quelque sorte revoir cela après que j’ai eu des millions d’amis. Cependant, cela ne m’amène pas le moins du monde à penser que je suis supérieur. Je me sens simplement le même, frère. Je ferai cela, frère, soeur. Chaque fois que je le peux, que je peux vous faire une faveur, et que Dieu m’accordera simplement de le faire, je serai aussi heureux de le faire. Voyez-vous? Peut-être, si je disais que je... Peut-être que s’il y a un...

            Au téléphone, par exemple, il arrive des fois que mon téléphone sonne jusqu’à 64 fois en moyenne en vingt-quatre heures, des appels à longue distance sur un téléphone pendant des heures, jour et nuit. Voyez-vous? Eh bien, vous imaginez que je ne saurais pas répondre à tous ces appels. Voyez-vous? Vous n’y arriverez pas.

            Mais lorsque je les reçois, on les enregistre tous. On les enregistre. Il y a des dames qui répondent aux téléphones à ces appels et–et qui les enregistrent. Je prie sur cela, je suis constamment en prière. Et ensuite, lorsque Dieu dit: «Va là à tel endroit.», j’y vais. Je fais juste ce qu’Il me dit de faire, c’est ce que je–j’essaie de faire. Et je crois que vous apprécierez cela plus que n’importe quoi. Voyez, suivez simplement la conduite du Saint-Esprit. C’est ce que je–je veux faire.

4          On ne sait pas. Ce soir, dans mon coeur... J’espère... J’ai dû mettre un...?... Voyez-vous, je suis une personne sensible, le genre de personne mélancolique. Je n’arrive pas à m’en débarrasser. Satan en tire un avantage sur moi. Voyez-vous? Je suis du genre de ceux qui peuvent faire la dépression. Bien sûr, je pourrais vous dire adieu dans quelques minutes. Je–je ferais mieux de le faire. Mais juste pour m’exprimer, je me mets parfois à pleurer. Voyez-vous?

            Mais je n’aimerais pas faire cela. Je dois placer quelque chose ici devant. La vérité de Dieu vient donc en premier. Je ne peux pas vous dire adieu, parce que si je demeure en Christ et si vous demeurez en Christ, nous nous rencontrerons de l’autre côté-là, où il n’y aura pas d’adieux. Nous sommes déjà ancrés en Christ. Voyez-vous?

            Je pourrais devoir venir ici dans le champ missionnaire, et tout, et vous pourriez devoir aller dans votre champ missionnaire. Mais Dieu sera avec nous deux, et Il veillera sur nous jusqu’à ce que nous nous rencontrons de nouveau.

5          J’ai appris que quelques gentlemen ont accompli quelque chose ici en rapport avec les dépenses pour cette salle. Comme je vous remercie, mes frères. Que Dieu vous bénisse.

            Nous ne sommes jamais dans le champ pour recevoir de l’argent, jamais. Si jamais j’ai eu cela dans ma–ma pensée, que Dieu m’aide à être suffisamment gentleman pour quitter le champ missionnaire et prier jusqu’à ce que Dieu amène mon coeur à être encore droit vis-à-vis de Lui. Voyez-vous? Il n’est pas question de cela. Mais nous sommes maintenant un peu terriblement dans le besoin. C’est vrai, parce que je m’étais retiré des réunions pendant environ sept mois. J’avais des centaines de dollars de dette, et je devais régler cela. Et ensuite je dois préparer mon budget pour les voyages d’outre-mer, là où je sais qu’une vision m’appelle. Et je crois que lorsque tout sera prêt, à ce moment-là Dieu me laissera partir.

            Et votre offrande, elle est allée aujourd’hui... Frère Baxter a dit qu’ils ont prélevé une offrande d’amour. J’apprécie cela de tout mon coeur. Aussitôt que je le pourrais, le Seigneur m’enverra dans un–dans le champ missionnaire.

6          Oh! J’aimerais me réchauffer à votre feu tout le temps. J’aime être juste ici, non loin de chez moi, m’entretenir avec vous, aller chez vous à la maison pour vous rendre visite. Personne ne sait comment je peux le faire. Dieu le sait. Je–j’aimerais bien le faire. Il n’y a personne parmi vous dans cette salle chez qui je n’aimerais pas aller ce soir, et passer toute la nuit, et m’entretenir avec vous, me lever le lendemain matin et m’asseoir sur le porche de devant, ou sous un arbre quelque part et parler de Christ avec vous. Mais c’est totalement... Je ne peux pas le faire pour tout le monde. Vous comprenez ce que je veux dire? Et puis pour donner le meilleur de moi à mon Maître, et à vous, alors je reste seul dans une pièce. Je suis constamment en prière. «Ô Dieu, aide-moi afin que lorsque je descendrai là-bas, je puisse Te représenter, et que de mon mieux je puisse amener les gens à voir l’amour de Dieu» (Voyez-vous?), quelque chose pour vous aider.

            Maintenant, si vous avez donné cette offrande d’amour ce soir, laissez-moi vous donner un passage des Ecritures. Jésus a dit: «Tout ce que vous avez fait au moindre (c’est moi) de Mes petits, c’est à Moi que vous l’avez fait. Quiconque donnera à l’un de Mes disciples, à ceux qui croient en Moi, un verre d’eau, parce qu’il est Mon disciple, il ne perdra point sa récompense.» Et que le Seigneur vous rende cela au centuple.

            Merci beaucoup. Je sais qu’il y a un petit...?... attaché à cela. Monsieur Baxter n’est pas ce genre d’homme là. Et c’est simplement pour vous dire «merci.»

7          J’aimerais que vous sachiez tous que le gardien... (Je crois que c’est celui qui se tient ici, si je ne me trompe pas. Peut-être que c’est quelqu’un ici dans la salle.) Et les autres qui travaillent, les huissiers, les ministres, les laïcs, et chacun de vous... Certains parmi vous ont envoyé de petites choses à manger au camp.

            Un certain frère est assis dans cette salle ce soir. Je viens de le reconnaître il y a quelques instants. J’étais dans un restaurant l’autre jour et il est entré. Je suis allé payer la note. J’avais amené ma femme, soeur Baxter et les enfants. La note avait déjà été payée. Quelqu’un l’avait payée. Je ne pense pas qu’il aimerait que je mentionne ici son nom, ou que j’attire l’attention des gens sur lui. Mes amis chrétiens, nous ne désirons pas faire ces choses. Voyez-vous? Nous ne permettons pas à cette main de savoir ce que cette main-ci fait.

            Ainsi j’apprécie tout cela. Et vous savez, Dieu sait, je prie que ces bénédictions soient à jamais avec vous. Et là de l’autre côté, dans les...?... sombres, dans les pays des païens, quand la bataille fera rage, que Satan sera de tout côté, je me souviendrai qu’à Zion les gens prient pour moi. Merci. Que Dieu vous bénisse. Si jamais vous passez à Jeffersonville, passez me serrer la main. Lorsque je suis à la maison, je serais heureux de vous recevoir à n’importe quel moment.

8          Très bien, lisons quelques passages des Ecritures et entrons directement dans le service. Au chapitre 2 de Luc, j’aimerais lire ceci, l’adoration ici, cela a été merveilleusement écrit. J’aime cela.

            Toutes les Ecritures ont été écrites d’une manière merveilleuse. Au verset 25 du chapitre 2 de Luc, il est écrit ceci:

            Et voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste... pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.

            Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.

            Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi,

            il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit:

            Maintenant, Seigneur, ...laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole.

            Car mes yeux ont vu ton salut.

9          Inclinons la tête juste un instant. Eternel Dieu, oh! combien nous T’avons aimé ce soir. Quand je me tiens ici devant ces gens, je me dis souvent: «Que ferais-je si j’avais dans ma main deux gouttes du Sang de Ton Fils dans un verre ou dans un récipient, les gouttes du Sang littéral provenant du Calvaire?» Combien les larmes couleraient sur mes joues pendant que je tiendrais cela, sachant que je tiens dans mes mains le Sang de Jésus-Christ, dans un petit récipient! Mais ce soir, à Tes yeux, conformément aux Ecritures, je crois que ceci est plus glorieux; car je tiens ce que Ton Sang a acquis. Tes enfants, car Tu te souciais plus d’eux que de Ta propre Vie, Tu l’as donnée pour eux. Et me voici ce soir pour être un enseignant pour ces gens. Ô Père, quel genre de personne devrais-je être? Modèle-moi et façonne-moi, Seigneur. Je sens qu’il y a un grand changement ou quelque chose qui approche, qui est tout près. Et je prie, ô Dieu, que ce soit pour le bien de ces gens, pour la gloire de Dieu. Je suis heureux que... de commencer à me sentir ainsi ici à Zion, cela est en train de prendre forme en ce moment. Je crois que Tu le révéleras bientôt.

10        Et maintenant, Père, je m’attends humblement à Toi. Je prie ce soir pour chacun de ces gens, du ministre jusqu’au concierge du bâtiment. Chacun d’eux, Seigneur, je Te demande de les bénir, et de leur accorder le meilleur que je puisse demander. Et puisent-ils vivre longtemps, en bonne santé et heureux, libres du péché et de la maladie.

            Dans ce glorieux pays, un jour, lorsqu’on aura dressé une grande table, tous les rachetés de tous les âges s’assembleront à cette table-là. Nous nous regarderons, assis l’un en face de l’autre, des larmes de joie coulant sur nos joues. Je regarderai en face et je verrai les vieux vétérans qui ont combattu pour remporter le prix, et qui ont navigué à travers des mers de sang; nous allons tendre la main par-dessus la table et nous serrer la main. Combien nous pouvons louer le Seigneur! Ensuite le Roi dans Sa beauté sortira et essuiera les larmes de nos yeux et dira: «Ne pleurez plus. C’est complètement fini. Nous voici. Entrez dans la joie du Seigneur.»

            Ô Dieu, accorde que chaque personne ici présente ce soir soit là au grand souper des noces, vêtue de blanc et prête pour couronner le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs.

            En attendant, Seigneur, puissions-nous être tous occupés à l’oeuvre du Maître. Nous Te confions le service de ce soir, et tout ce qui a été fait ou dit au Nom du Seigneur Jésus-Christ, afin que Tu en tires gloire. Amen.

11        A vous mes frères ministres, prêchez la Parole; soyez à l’oeuvre. Si jamais il y a eu un temps où il faut que vous prêchiez, c’est bien maintenant. Mettez-vous à l’action, rapidement. Ne laissez rien vous arrêter. Partez. Allez partout dans les environs. Allez quelque part.

            Tout récemment, je disais... Les Russes, ils sont retournés là après la guerre, peut-être qu’ils étaient en train de faire sécher leur blé. Et c’était... C’était à la fin de l’automne. La neige allait commencer à tomber. Et chaque jour, chaque nuit, ils labouraient à la herse. Ils ne pouvaient pas attendre que le blé soit–que le champ soit labouré. Ils devaient simplement faire de leur mieux. Et la nuit, on pouvait entendre ces petits enfants marcher devant leurs parents, tenant une lanterne. Et les parents, les femmes et les hommes labouraient à la herse comme ceci, grattant le sol. Ils ne pouvaient pas attendre pour labourer la terre, la neige était trop proche.

            M’entendez-vous très bien? Tout au fond, levez la main si vous m’entendez. Très bien, c’est bien.

12        Ils ne pouvaient pas attendre jusqu’à ce que... Si–s’il neigeait, alors l’année suivante, ils mourraient de faim. Il n’y aurait pas de récolte. Il leur fallait mettre cette petite semence dans le sol à tout prix. Il leur fallait gratter la terre et y planter la semence. Et pour ce faire, ils devaient travailler jour et nuit, tenant le sandwich en main et le mangeant, et continuer à labourer à la herse. Ils ne pouvaient jamais tirer assez rapidement. Ils devaient chercher des hommes, c’est l’homme lui-même qui tirait la herse.

            Je me suis dit: «Ils grattent la terre. S’ils n’y plantent pas la semence, il n’y aura pas de récolte.»

            Et, frères ministres, si jamais il y a eu un temps où le champ de Dieu doit être gratté... Si on doit avoir une moisson, plantons la semence maintenant même. Elle doit être plantée. Vous verrez ce dont je parle. Cela approche. Allez partout, chrétiens. Ne faites aucun cas de vos barrières dénominationnelles. Allez là-bas et faites quelque chose pour Dieu. Plantons la semence en terre afin qu’il y ait une récolte pour demain. Que Dieu vous bénisse.

13        Maintenant, venons-en à l’Ecriture que nous avons lue ce soir, c’était juste avant le–juste au moment de l’apparition de l’enfant Jésus. Il y avait un vieillard du nom de Siméon, un vieux sage. Probablement... Je pourrais le décrire comme quelqu’un qui ressemble au docteur Dowie; il portait une longue barbe blanche qui flottait. Il jouissait d’une grande réputation en tant que docteur en Israël, un merveilleux ancien père de l’église.

            Et vous savez, le Saint-Esprit lui a parlé un jour, et lui a dit qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Et il a cru cela.

            Or, ils attendaient la Venue de Christ depuis des années et des années. Ils étaient là en captivité. Et, oh! la la! comment Christ pouvait-Il donc venir?

            Mais le Saint-Esprit lui avait donné la promesse. Alors il n’avait pas peur d’aller partout dire: «Eh bien–eh bien, je–je ne mourrai pas avant d’avoir vu le Christ.»

14        Je peux m’imaginer certains dire: «Dites, le vieil homme est devenu plutôt trop vieux, vous savez. Quelque chose cloche dans sa tête. Il va partout là-bas raconter qu’il verra le Christ. Pensez-y, un tel vieillard de près de cent ans maintenant, qui va partout ici disant qu’il verra le Christ. Et de grands hommes L’ont attendu pendant bien des années. Pensez-y.»

            Mais il... c’est ce qu’avait dit le Saint-Esprit. C’est ce qui faisait la différence. Il n’avait pas perdu la tête. Il écoutait le Saint-Esprit.

            Or, il n’existe pas deux Saints-Esprits. Il n’existe qu’un seul Saint-Esprit. Est-ce juste? Et le même Saint-Esprit d’alors, c’est le même Saint-Esprit d’aujourd’hui.

            Jésus est né à Bethléhem. Quelques mages, des astrologues, sont venus, des observateurs des étoiles. Ils ont vu l’étoile passer juste au-dessus de chaque observatoire. Personne n’a dit... ne l’a vue du tout. Les mages eux l’ont vue. Pourquoi? Ils l’attendaient: l’Etoile de Jacob. En effet, leur prophète, Balaam, avait dit: «L’Etoile de Jacob se lèvera.» Et ils surveillaient cela. Cela est carrément passé inaperçu des gens qui observaient les étoiles, et ils ne l’ont pas vue. Mais eux ont suivi l’étoile.

            Je crois qu’ils ont vu une étoile. Qu’en pensez-vous? Les observatoires ne l’ont pas vue, mais les mages eux l’ont vue.

15        Vous recevez ce que vous cherchez. Si vous vous attendez ce soir à être guéri, vous serez guéri. Si vous ne vous y attendez pas, d’habitude vous... Si vous venez à la réunion ce soir juste pour dire: «Eh bien, je vais voir ce qui se passe.» C’est tout ce que vous verrez. Si vous dites: «Je–je–je sais que ce n’est pas vrai.» Le diable vous montrera quelque chose qui n’est pas juste.

            Si vous dites: «Seigneur, je Te crois. Je réclame une bénédiction dans mon coeur.» Vous le recevrez. La chose à laquelle vous vous attendez, c’est cependant ce que vous recevrez. Soyez toujours dans l’expectative. Voyez-vous? Tout ce à quoi vous vous attendez de Sa part, tout ce que vous vous attendez voir, c’est ce que vous recevrez.

            Bien, et puis je peux voir... Lorsque les bergers sont descendus... Les Anges sont allés... non pas chez les ecclésiastiques, là, non pas chez Caïphe, non pas chez le souverain sacrificateur d’alors, mais chez les bergers et les autres. «Aujourd’hui, dans la ville de Bethléhem, est né le Christ, le Sauveur.»

16        Et ces bergers sont allés et L’on adoré. Ils ne disposaient d’aucun moyen pour répandre la nouvelle, tel que nous le faisons aujourd’hui, au moyen de la radio et de la presse. Donc la nouvelle ne s’est pas répandue. Et après huit jours, la mère devait venir au temple offrir un sacrifice, qui était un agneau, dans le cas d’une femme riche. Une femme pauvre offrait des tourterelles. C’était donc l’offrande d’une paysanne. Mais c’était l’offrande pour sa purification et la circoncision de l’enfant, et ainsi de suite.

            Faisons maintenant un petit voyage, dans notre esprit, et comme dans une vision, retournons à il y a deux mille ans (environ deux mille ans), et considérons la situation qu’il y avait là à Jérusalem, et là dans toute la Palestine.

            Ils étaient dispersés. Ils étaient dans la captivité de Babylone, et... Mais un vieillard va partout en disant: «Le Saint-Esprit m’a dit que je verrai le Christ.»

            Maintenant, je le vois assis tout au fond du bâtiment dans une petite salle de prière ce matin-là, peut-être en train d’étudier les Ecritures. Disons que c’était–que c’était lundi matin. Et je pense qu’il y avait environ deux ou trois millions de juifs qui vivaient en Palestine en ce temps-là. Il y avait probablement beaucoup d’enfants qui naissaient dans le... en un seul jour. Probablement cinquante, soixante, soixante-cinq ou cent, ou peut-être deux cents ou trois cents bébés naissaient chaque jour.

17        Néanmoins, après huit jours, on devait... Le huitième jour, il y avait chaque jour un–une ligne de circoncision. Et ce matin, chacun était occupé à ses affaires.

            Et en regardant en arrière, nous voyons qu’il y a ici une ligne d’environ deux cents femmes debout là. Et voici certaines d’entre elles qui tiennent ici un petit agneau en laisse, attendant avec leurs bébés enveloppés dans de fins lins, et tout. Et–et les autres mères juives donnaient des pourboires, vous savez, comme elles sont heureuses!

            Parcourons la ligne. Je vois madame... Je regarde et je la vois debout là, et elle–et elle porte son bébé. Et toutes les... Elle faisait partie des gens de la haute société, vous savez. Et, oh! la la! elles avaient de beaux enfants qui étaient bien vêtus et ainsi de suite. Et je continue...

            Mais là se tenait une petite, je vois une jeune fille d’environ dix-huit ans, un voile sur son visage, portant un bébé, enveloppé dans des langes.

            Si je comprends bien, c’était ce qu’on avait retiré du joug d’un boeuf, ce qu’on y met lorsqu’il laboure, vous savez, pour empêcher que cela écorche le boeuf.

18        Et il n’y avait pas de place pour eux dans l’auberge. Elle enfanta son Fils premier-né, et elle L’emmaillota. Et ils ont simplement tendu la main et ont retiré ce morceau d’étoffe du joug et ils en ont enveloppé Son corps.

            Et elle Le tenait dans ses bras. Elle n’avait pas un petit agneau, un beau petit agneau lavé et apprêté pour... beau pour le souverain sacrificateur ou plutôt pour le sacrifice. Mais, étant pauvre, elle avait une petite tourterelle en main, l’offrande d’une paysanne.

            Je peux entendre les autres dire: «Savez-vous qui se tient là? C’est cette femme qui a eu un bébé d’un... hors–hors des liens sacrés du mariage. Ne vous tenez pas à côté d’elle. Gardez votre distance.» Elles mettaient leur main sur la bouche, vous savez, disant: «Gardez votre distance. Ne vous tenez pas près d’elle. C’est–c’est tout simplement une fille... C’est une prostituée.»

            Mais au fond de son coeur, Marie savait ce qu’elle était.

            Et vous pourriez dire: «Regardez ce fanatisme. Regardez ce–ce...» Mais, souvenez-vous, au fond de leur coeur, ils savent où ils se tiennent.

19        Très bien. Et puis, je peux la voir debout là, veillant sur son Bébé. Et elle gardait cela dans son coeur. Et pendant qu’elle se tenait là, veillant sur son petit Bébé, tenant la colombe, attendant son tour pour la purification... Le... Une seule colombe allait être tuée, et ainsi de suite. Et les deux devaient...?... Et puis elle tenait la colombe, et elle ne prêtait nullement attention aux autres. Elle s’occupait de ses propres affaires.

            Mais juste à ce moment-là, tout au fond du bâtiment bondé de milliers de Juifs, et les trompettes sonnaient, et le sacrifice était offert, et on faisait des prières, et le jubilé commençait et ainsi de suite, mais tout au fond, dans une salle de prière, je vois un vieillard assis là au fond, qui avait reçu la promesse du Saint-Esprit. Il est assis là, lisant un vieux parchemin au sujet de... Peut-être qu’il lisait dans Esaïe, ou un certain passage là qui disait: «Nous étions tous errants comme des brebis. L’Eternel a fait retomber sur Lui l’iniquité de nous tous.»

20        A ce moment-là, je vois le Saint-Esprit s’avancer et dire: «Siméon, lève-toi.» Siméon a roulé le parchemin, il l’a rangé dans le... Il s’est levé. Le Saint-Esprit est sur lui. Croyez-vous que les hommes sont conduits par l’Esprit? Je le crois. Je crois qu’ils le sont encore.

            Le voici qui sort. «Qu’y a-t-il, Seigneur?»

            «J’ai quelque chose à te dire, Siméon, ce matin. Je t’ai fait une promesse. Sors d’ici.»

            «Je ne sais pas où je vais, mais j’y vais.»

            Le voilà qui sort. Il passe à travers la foule, il avance en titubant dans la foule, il traverse celle-ci.

            Certains disent: «Voilà ce vieil homme qui a perdu la tête, qui va voir le Christ.»

            Ce Dernier se trouvait juste là dans la salle, et cependant les gens ignoraient cela. Le voici venir, conduit par le Saint-Esprit. Il atteint cette ligne de femmes venues pour leur purification. Le voici qui parcourt la ligne, conduit par le Saint-Esprit.

            Et lorsqu’il arrive juste devant cette petite femme méprisée et rejetée, portant ce Bébé enveloppé dans des langes, il prend le Bébé dans ses bras. Et les larmes coulant sur sa barbe blanche, il dit: «Maintenant, Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut.» Quelle différence! Il était conduit par l’Esprit.

21        Et presque à ce moment-là, avons-nous appris, il y avait dans le temple une vieille prophétesse qui s’appelait Anne. Les théologiens croient, selon l’histoire, qu’elle était aveugle. Elle restait dans le temple jour et nuit, offrant constamment des prières, priant pour les péchés du peuple. Et elle L’attendait. Et le Saint-Esprit est venu sur elle. Elle attendait.

            La voilà venir, aveugle, avançant au milieu des gens, se heurtant contre celui-ci ici: «Qu’y a-t-il?» Aveugle, elle avance, elle longe la ligne, elle parvient là où étaient ces femmes. Elle parcourt directement la ligne, et elle s’arrête devant l’Enfant Christ, elle lève ses mains et bénit Dieu. Elle était conduite par le Saint-Esprit, elle croyait que le Christ allait venir. Siméon avait témoigné par le Saint-Esprit qu’il Le verrait.

            Et le même Saint-Esprit qui conduisit Siméon ce matin-là, qui conduisit Anne ce matin-là, c’est le même Saint-Esprit qui vous a conduit ici ce soir.

22        Vous croyez dans la guérison divine, n’est-ce pas? Croyez-vous qu’aussi longtemps que la profondeur appelle la profondeur, comme je l’ai dit aujourd’hui, il doit y avoir une profondeur pour y répondre? Si vous croyez dans la guérison divine, il doit y avoir une fontaine ouverte quelque part.

            Et le même Saint-Esprit qui les avait conduits là vous a conduit ici, juste à l’endroit où vous pouvez...?... l’action de Son Esprit, montrant qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Ensuite, Seigneur... Oh! la la! Quoi d’autre pourrait arriver ici ce soir? Conduit par l’Esprit de Dieu, vous êtes venu ici et vous avez occupé une place, croyant que Dieu va vous rétablir, vous attendant à être guéri. Vous attendez-vous tous à cela? Combien parmi vous qui êtes malades s’attendent à être guéris ce soir? Très bien. Vous allez obtenir cela: vous le verrez aussi s’accomplir. Croyez-le et attendez-vous à cela, cela doit s’accomplir. Je crois tout simplement en Dieu, pas vous? Certainement. Ce qu’Il dit est la vérité. Ne–ne cherchez pas à comprendre cela. Croyez tout simplement.

23        Remarquez, lorsque l’Ange de l’Eternel a rencontré Zacharie et lui a dit là qu’il allait avoir un fils par sa femme Elisabeth: «Eh bien, a-t-il dit, cela ne peut pas se faire. Elle est trop vieille, et je suis vieux.»

            L’Ange a dit: «Je suis Gabriel, je me tiens à la droite de Dieu, et dans la Présence de Dieu. Puisque tu as douté de Mes Paroles, tu seras muet jusqu’au jour où le bébé naîtra, car Ma Parole s’accomplira en son temps.»

            Alors il fut frappé de mutité jusqu’au jour où l’enfant naquit. Les gens disaient... Sa mère l’appela du nom de Jean. Et les gens ont dit, ont fait venir la mère–ils lui ont donné une tablette pour que le père écrive le nom de l’enfant, il a écrit son nom. C’est le nom qu’il devait porter. Son nom est Jean, a dit le père. Dieu avait déjà donné le nom de l’enfant.

24        Ensuite, lorsque le Saint-Esprit, l’Ange de Dieu, Gabriel descendit dans la ville de Nazareth vers la petite Marie, qu’Il avait donnée à un–un veuf...

            La voici, à la manière des gens de l’Orient, probablement qu’elle portait de l’eau sur la tête, elle portait cela pour la lessive, longeant la rue. Et soudain une Lumière brilla devant elle. Elle s’arrête. Elle se dit: «C’est étrange.»

            Alors quelque chose commence à se matérialiser dans cette Lumière-là. Elle regarde alors qu’elle se tient là, et là se tenait le grand Archange. Il a dit: «Salut! Marie.» Cela effraya la petite vierge. Il a dit: «Tu es bénie d’entre toutes les femmes.» Elle était effrayée. Cela vous effraierait. Cela m’a effrayé. Le voilà, Il a dit: «Tu auras un Bébé, sans connaître un homme.» Elle n’a pas discuté là-dessus. Il a dit: «Le Saint-Esprit viendra sur toi, et–et te couvrira de Son ombre. Et ce saint Enfant sera appelé Fils de Dieu.»

            Elle a dit: «Voici, je suis la servante du Seigneur. Qu’il me soit fait selon Ta Parole.» Au lieu de discuter, de poser des questions, et faire comme Zacharie, elle a tout simplement pris Dieu au mot. Ô Dieu, donne à Zion ce soir quelques Marie qui vont prendre...

25        Elle est allée partout témoigner qu’elle allait avoir un Bébé, sans connaître un homme, avant d’avoir le moindre signe physique. Oh! la la! Qu’avait-elle? La Parole de Dieu. C’est tout ce qu’il lui fallait. Elle est partie, elle a dit: «J’aurai un Bébé.»

            –As-tu senti la vie?

            –Non, non.

            –Es-tu certaine?

            –Je suis certaine.

            –Eh bien, si tu n’as pas senti la vie, c’est qu’il n’y a rien. Comment sais-tu que tu auras ce Bébé?

            –Dieu l’a dit. Cela règle la question.

            –Est-ce que tu vas guérir?

            –Oui, oui.

            –As-tu une quelconque évidence?

            –Oui, oui.

            –Qu’est-ce?

            –Dieu l’a dit. C’est juste. Cela me suffit.

26        Considérez-la. Je la vois prendre ces...?... là-bas pour voir sa cousine. Jean et Jésus étaient des cousins issus des germains. Elisabeth et Marie étaient des cousines germaines. Donc, l’Ange lui a parlé d’Elisabeth. Alors elle est allée là voir Elisabeth. Voici Elisabeth qui sort pour aller l’accueillir, elle l’étreint et l’embrasse. Et elle dit: «Oh! J’ai appris que tu vas avoir un enfant.»

            Elle a dit: «Oui.» Maintenant, illustrons cela sous forme de drame pendant quelques instants. «Oui, je vais avoir un enfant. C’est vrai.»

            «Et Dieu t’a visitée dans ta vieillesse.»

            «Oui, je vais avoir un bébé. C’est vrai. Et je suis maintenant à mon sixième mois. Mais j’ai un peu peur; jusqu’ici il n’y a encore aucun signe de vie.»

            Voyez, ce n’est pas du tout normal.

            «Eh bien, a-t-elle dit, écoute, moi aussi je vais avoir un Bébé, car l’Ange de Dieu qui m’a dit que–que tu auras un bébé a dit que je serais couverte par l’ombre du Saint-Esprit. Et l’Enfant qui naîtra de moi portera le Nom... je Lui donnerai le Nom de Jésus.»

            Et aussitôt que cette salutation a frappé les oreilles de cette femme, le petit bébé Jean qui était mort dans le sein de sa mère s’est mis à tressaillir et à bondir d’allégresse. Aussitôt que...

27        La première fois que le Nom de Jésus-Christ fut prononcé par des lèvres mortelles, cela ramena à la vie un bébé qui était mort dans le sein de sa mère et il reçut le baptême du Saint-Esprit. Alléluia! Si Cela a eu un tel effet sur un bébé mort, qu’est-ce que Cela devrait faire à une église née de nouveau? Je ne comprends pas. Oh! la la! Il a dit: «S’ils se taisent, les pierres crieront immédiatement.» Ça, c’est croire la promesse de Dieu sur Parole.

            «Comment sais-tu que tu auras ce Bébé?»

            «Dieu l’a dit.»

            Et lorsque les neuf mois furent accomplis, le Bébé naquit, parce que Dieu l’avait dit.

            «Tout ce que vous désirez, lorsque vous priez, croyez que vous le recevrez.» Dieu l’a dit. La Parole de Dieu vaincra Satan n’importe où, n’importe quand, à n’importe quel endroit. Le croyez-vous?

28        C’est comme je parlais cet après-midi de la Divinité de Jésus-Christ, le Père était en Lui, tout ce que Dieu était–Il a placé Ses dons dans Son Fils, afin que ce soit manifesté sur terre. Lorsqu’Il a affronté Satan, Il n’a jamais utilisé un seul de ces dons. Il n’a pas recouru à cela afin de montrer que le chrétien le plus faible...

            Lorsque Satan vient et dit: «Si...» Ce point d’interrogation est toujours placé à l’encontre de la Parole. «Si Tu es le Fils de Dieu, ordonne à ces pierres de se changer en pains», au moment où Il était affamé.

            Jésus a dit... n’a jamais dit: «Eh bien, écoute. Je suis le Fils de Dieu. Je te réprimande.» Il n’a jamais dit cela. Jésus a dit: «Il est écrit (la Parole du Père), l’homme ne vivra pas de pain seulement.»

            Il L’a amené au sommet du temple, Jésus a dit: «Il est écrit.» Il L’a transporté sur la montagne, Jésus a dit: «Il est écrit.» Est-ce vrai? Alors Jésus vous a montré que Satan peut être vaincu par la Parole de Dieu. La Parole de Dieu vaincra Satan ce soir, même s’il n’y avait jamais de dons dans l’Eglise. Voyez-vous ce que je veux dire? Combien croient que c’est la vérité? C’est la Parole de Dieu.

29        Et si vous pouvez considérer Cela, croyez cela, et acceptez cela. Et demain lorsque Satan dira: «Tu vois, tu es toujours malade. Tu as toujours l’air très malade.»

            «Il est écrit. Il est écrit.» Lorsqu’on m’a dit chez Mayo que je ne pouvais pas me rétablir... Ils disaient que c’en était fini de moi, j’ai dit: «Il est écrit.»

            Ils ont dit: «Eh bien, vous ne pourrez pas vous en tirer, Révérend Branham...»

            J’ai dit: «Il est écrit; ‘Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.’» Je le crois.

            Satan a dit: «Tu ne vas pas te rétablir.»

            J’ai dit: «Eh bien, écoute ceci, mon gars. Si tu veux m’entendre témoigner et glorifier Dieu, reste là.» J’ai dit: «Mais je vais Le glorifier jour et nuit en criant aussi fort que je peux.» Il s’est éloigné de là aussi, voilà ce que je veux dire. Et maintenant, j’ai plus de poids que je n’en ai jamais eu dans ma vie. Et je suis en meilleure santé que je ne l’ai jamais été dans ma vie. Pourquoi? Il est écrit. Dieu l’a dit; c’est la vérité. Cela règle la question. Si Dieu l’a dit, je le crois.

30        Jésus a dit: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.» Je le crois. Et je crois que si vous avez été conduit ici ce soir par le Saint-Esprit, comme Siméon autrefois, vous ne seriez pas venu ici pour voir ces réunions à moins d’avoir quelque chose dans votre coeur, qui tirait, qui vous faisait croire que cela existait.

            Vous voyez cela chaque soir, vous lisez cela dans les journaux, vous voyez les gens témoigner çà et là. Celui-ci se mourait de cancer: il est guéri. Celui-là était infirme: il marche. Celui-là était aveugle: il voit.

            Eh bien, croyez cela. Vous devez le croire. Si vous avez un brin–un brin de christianisme en vous, vous croirez cela. Si vous avez une ombre de Dieu en vous, vous reconnaîtrez cela.

            Si–s’Il est le Dieu Tout-Puissant, Il peut tout faire. Et s’Il ne peut pas tout faire, Il n’est pas le Dieu Tout-Puissant. Et s’Il est le Dieu Tout-Puissant, Il... Jésus est Son Fils, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Je le crois. Pas vous?

31        Et il est écrit: «Vous ferez aussi les choses que Je fais. Vous en ferez de plus grandes...» Ou en fait le terme–le terme correct là, c’est: «Vous en ferez davantage (vous en ferez en plus grand nombre)...»

            J’ai entendu un homme, il n’y a pas longtemps, qui disait: «Oui, de plus grandes, Frère Branham. Il a dit: ‘De plus grandes que celles-ci.’ C’est ce que Jésus a dit. C’est là la traduction de Roi Jacques.»

            J’ai dit: «D’accord. De plus grandes.» J’ai dit: «Qu’est-ce qui est plus grand? Il a arrêté la nature. Il a ressuscité les morts. Il a guéri les malades. Il a ouvert les yeux des aveugles, selon que le Père Lui montrait de faire. Il ne faisait rien avant que le Père ne Lui ait montré de le faire.» Est-ce vrai?

            C’est ce qu’Il a dit: «Je ne peux rien faire, à moins que le Père me Le montre premièrement. Ensuite Je vais et je le fais.»

            Les gens disaient: «Pourquoi ne fait-Il pas ceci, pourquoi ne fait-Il pas cela? Pourquoi ne descend-Il pas de la croix? Il a les yeux bandés. Nous L’avons frappé sur la tête.» «Pourquoi ne nous dis-Tu pas qui T’a frappé, et nous croirons que Tu es un prophète?»

            Il n’a pas fait le pitre pour les gens. Il a dit: «Je fais ce que le Père me dit de faire, et ce qu’Il Me montre de faire», en d’autres termes. Saint Jean 5.19 dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père premièrement. Et tout ce que le Père fait, Il le montre au Fils, et le Fils aussi le fait pareillement; car le Père aime le Fils et Il Lui montre ce qu’Il fait.» Voyez-vous?

32        Maintenant, c’est vrai. Voilà la raison pour laquelle il ne pouvait pas guérir tout le monde là à la piscine de Béthesda ce jour-là, tous les infirmes–et les infirmes et les paralytiques, et les autres. Le Père Lui avait montré un homme qui souffrait du diabète depuis trente-huit ans, ou quelque chose de ce genre. Il a dit: «Prends ton lit, et rentre chez toi.» Et c’est ce qu’Il a fait.

            Pourquoi n’a-t-Il pas guéri les autres? Il a dit: «Je ne peux rien faire à moins que le Père Me montre de le faire.»

            Or, s’Il est le même hier et aujourd’hui, Il fera la même chose. Cet homme a dit: «Eh bien, maintenant, écoutez ceci.» Il a dit: «De plus grandes choses... Jésus ne pouvait pas prêcher l’Evangile partout dans le monde.» Et il a dit: «Et nous avons accompli de plus grandes choses en prêchant l’Evangile partout dans le monde.»

            J’ai dit: «Qu’est-ce que l’Evangile?»

            Il a dit: «Oh! le euh!–le euh!–la Parole.»

            J’ai dit: «Pas tout à fait, mon frère.» J’ai dit: «Ça, ce n’est pas conforme aux Ecritures.»

            «Oh! a-t-il dit, eh bien, Révérend Branham...»

            J’ai dit: «Oh! Non.»

            Paul a dit: «L’Evangile n’est pas venu vers nous en Parole seulement, mais avec la puissance et la démonstration du Saint-Esprit.» Effectivement.

            Lorsqu’Il a dit: «Allez par tout le monde, et prêchez l’Evangile à toute la création.» Il a aussi dit: «Démontrez la puissance du Saint-Esprit dans le monde entier.» Oui, oui.

            Il n’est pas venu vers nous en Parole seulement. La Parole doit être vivifiée et rendue manifeste par la démonstration de la puissance du Saint-Esprit. J’ai dit: «Si donc vous appelez cela de plus grandes choses, certainement que vous pouvez accomplir de plus petites choses. Allez guérir les malades, prier pour les malades, chasser les démons. Accomplissez les oeuvres de ce genre-là.»

            Jésus a dit: «Vous ferez aussi les choses que Je fais.»

            Et si vous les faites, c’est Lui qui les fait.

            «Vous ferez aussi les choses que Je fais, et vous en ferez de plus grandes; car Je M’en vais au Père.» Pour que ça soit de plus grandes, il faudrait que plusieurs d’entre vous... davantage. Oh! la la! N’est-Il pas merveilleux? Maintenant, croyez en Lui ce soir alors que nous prions.

33        Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, ce soir c’est notre service de clôture ici à Zion, dans l’Illinois.

            Ô Dieu, je vois là dans le tiroir de cette chaire où je me tiens en ce moment un petit papier, un petit livre à la couverture bleue, qui a beaucoup de pages et où sont inscrits des noms de personnes, des noms des sociétés de cette ville, Zion. Je suis revenu dans cette ville. Je me souviens de cette soirée, quand je conduisais la petite église Grâce Mission qui est là-bas, j’ai dit: «Je reviendrai.» Tu m’as accordé le privilège de revenir. Je crois, Seigneur, que ces services ont été une bénédiction au-delà de ce qu’ils peuvent reconnaître en ce moment. Que cela déclenche juste ici dans cette ville quelque chose qui ne finira pas jusqu’à ce que Jésus vienne. Que cela soit un réveil, c’est juste ce qu’il nous faut, juste ici dans cette ville, qu’il éclate quelque part juste au milieu des gens qui sont ici. Accorde-le, Seigneur.

            Et maintenant ce soir, alors que nous terminons, daigne venir vers Ton humble serviteur. Daigne me bénir ce soir, Seigneur, d’une manière puissante. Envoie simplement Ton Ange. Montre de grandes visions, Seigneur. Parle à ces gens; montre-leur des signes et des miracles. J’ignore ce que Tu vas faire. Tu le sais, Seigneur. Mais Tu connais toute chose. Et je prie que cette prière change les circonstances. Je demande une bénédiction spéciale sur cette assistance ce soir. Accorde-le, Seigneur. Je demande ceci dans l’humilité, au Nom de notre Sauveur Jésus-Christ, Ton Fils. Amen.

34        Très bien. Il est assis derrière moi à l’ombre. Je ne l’ai même pas vu, mon–mon fils. Qu’est-ce qui...numéro...?... Très bien. Nous allons commencer notre ligne de prière ce soir en appelant quelques personnes dans la ligne de prière. Billy a dû venir ce soir et a distribué des cartes de prière. Il n’a pas pu les distribuer cet après-midi, alors il est venu ce soir. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Très bien, que tout le monde écoute. Très bien, Paul, es-tu prêt? Très bien, amenez la dame.

            Cela ne vous fait-il pas frémir, ce cantique de mon coeur?

            Oh! combien je L’aime! combien je L’adore!

            Très bien. Maintenant, est-ce vous la patiente, madame? Maintenant, madame, j’aurais souhaité qu’il y ait un certain moyen par lequel je puisse faire quelque chose pour vous, ou quelque chose. Je ne peux pas. Si j’avais quelque chose en main, ou dans mon corps qui vous guérirait, je saurais avec certitude que vous quitterez cette estrade bien portante. Je le ferais. Pas seulement cela, mais je descendrais vers cette petite fille qui est assise là dans ce fauteuil roulant. Je lui imposerais les mains et–et la guérirais. J’irais vers cette dame-ci, je la guérirais. J’irais vers ce pauvre vieux papa là, qui a les mains portées aux oreilles, essayant d’entendre. Je l’ai vu au cours de deux ou trois dernières soirées, essayant d’entrer dans la ligne. J’ai vu ce qu’était son problème, je sais ce qui ne va pas chez lui. Je crois que Dieu le guérira ce soir. J’aurais souhaité pouvoir le faire. J’aurais souhaité pouvoir le faire. Mais je n’en suis pas capable, je suis un homme. Je suis juste–comme un de vos bien-aimés. Je–je suis juste comme frère Baxter, ou ce... tout homme qui est ici. Je suis simplement un homme. Mais Dieu conduira.

35        Eh bien, je suis né avec un don. Ces dons ne viennent pas par l’imposition des mains. Ces dons viennent selon la souveraineté de Dieu. Les dons et les appels sont sans repentance. Ils sont préordonnés par Dieu. Les dons sont innés.

            Jésus-Christ, au jardin d’Eden, était la Semence de la femme qui devait écraser la tête du serpent. Moïse était né un bel enfant. Jean-Baptiste était la voix de celui qui crie dans le désert, conformément à ce qu’avait dit Esaïe, sept cent douze ans avant sa naissance. Avant que Jérémie vienne sur terre, ce grand prophète Jérémie, Dieu a dit: «Avant même que tu fusses formé dans le sein de ta mère, Je t’avais connu, Je t’avais appelé, Je t’avais consacré, et Je t’avais établi prophète des nations.» Voyez-vous? Il ne s’agit pas de ce que fait un individu; il s’agit de ce que Dieu fait–ce que Dieu fait. Amen. C’est vrai. C’est vrai.

            Maintenant, voyez-vous cela? Alors que je ne savais rien au sujet des gens du Plein Evangile... J’étais méfiant au départ. Je ne savais quoi faire. Mais Dieu m’a appelé et m’a envoyé vers eux, alors que je ne les connaissais pas. Voilà pourquoi je suis ici en ce moment.

36        Je suis ici pour essayer de vous aider. Croyez-vous que je serais un hypocrite à l’égard de mes amis? Vous ne le croiriez pas, n’est-ce pas? Vous penseriez... Vous croyez vraiment qu’en tant que chrétien, je serai au moins sincère, n’est-ce pas? Si je suis sincère, Dieu m’aidera et sera avec moi. Mais si un–si je ne suis pas sincère, alors Il ne sera pas avec moi. Ça, c’est certain.

            Mais je–j’essaie de représenter Jésus pour les gens, de leur dire que je suis simplement un serviteur, juste un serviteur. C’est tout.

            Et si je mourrais ce soir et que je me présente devant Ses portails, et qu’Il dise: «Tu es condamné», et qu’alors Il m’envoie en enfer, et tout en étant en enfer, je lèverais mes mains et dirais: «Tu es juste et fidèle, ô Dieu.» Voyez-vous? Je Le louerai même si j’étais dans les tourments, car Il est réel. Et tout ce qu’Il fait est juste. C’est vrai. Maintenant, nous nous tenons ici afin de trouver la volonté de Dieu.

37        Maintenant, croyez-vous que je suis Son serviteur, Son prophète? Eh bien, je suis juste en train de vous parler comme dans une conversation, comme Jésus avait fait avec la femme au puits. Si vous le remarquez ce soir... Avez-vous déjà assisté aux réunions auparavant? Lorsque j’étais ici la dernière fois, vous étiez à la réunion. Eh bien, à ce moment-là, ceci ne s’était pas manifesté.

            Puis (Voyez-vous?) le soir, la première personne, j’ai coutume de lui parler un tout petit peu jusqu’à ce que l’onction de l’Esprit vienne. Voyez? Et là se produit un éloignement et les visions apparaissent. Voyez? Et alors je–je–je comprends à partir de là.

            Maintenant, j’aimerais que vous puissiez simplement regarder par ici un moment. Et je–je ne cherche pas à lire votre pensée. J’aimerais que vous puissiez penser à moi, soeur, au Seigneur Jésus. C’est ce que je désire. Oui, merci. Merci.

            Oui, elle a une tumeur. Pas vrai? Non seulement cela, mais on–on avait prié pour vous auparavant. Pas vrai? Une partie de vos tumeurs était guérie, et une autre partie n’était pas guérie dans mes réunions. Pas vrai? Maintenant, est-ce que vous croyez? Dieu au Ciel sait que je ne vous aurai pas reconnue, mais j’ai vu une vision pendant que je me tenais là, en train de prier pour vous. Est-ce vrai?

38        Voyez, je vois cela revenir. Un instant. Vous avez un–vous avez aussi un problème gynécologique. Pas vrai? Cela cause un écoulement. Est-ce vrai? Voyez-vous, ça se trouve dans le dos. Est-ce vrai? Je mets ma main par là parce que nous sommes dans une assistance mixte. Est-ce vrai?

            Dites, n’avez-vous pas une sorte de contractions, ou de crampe, ou de spasmes dans les muscles de votre–de votre estomac là-dedans? Est-ce vrai? Effectivement. Oui, oui. Et on dit que rien ne peut être fait à ce sujet. Mais on... Mais c’est–c’est simplement des contractions continuelles, n’est-ce pas? Oui, oui. Oui. Oui, oui, oui, oui...?... Vous voyez, cela se calme (Voyez-vous?) lorsque vous parlez, cela éloigne la vision devant moi. Voyez-vous?

            Ces choses que j’ai dites sont-elles vraies? Je suppose que cette assistance comprend. Est-ce vrai? je ne connais pas cette dame. J’ignore maintenant ce que je lui ai dit. C’est simplement ce que Dieu dit. C’est ce qu’a montré la vision. Et c’est ce que... Dieu connaît tout ce qui la concerne. Moi, je ne la connais pas, mais Dieu la connaît effectivement et lui a dit ce qu’était son problème.

39        Maintenant, si Sa Présence est si proche, allez-vous croire que si je Lui demandais de vous guérir, ainsi que le reste de ces chrétiens (Priez toujours avec moi.), croyez-vous que vous allez vous rétablir? Croyez-vous de tout votre coeur? Oui, madame. Très bien, inclinez la tête partout.

            Notre Père céleste, alors que cette pauvre femme se tient ici, souffrante et dans le besoin, je Te demande de tout mon coeur de l’aider. Accorde-le, Cher Seigneur. Que Ton Esprit vienne sur elle et la rétablisse. Je lui impose les mains conformément aux Paroles des Saintes Ecritures qui disent: «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Accorde-le, Père, au Nom de Jésus. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Maintenant, continuez votre route, étant heureuse et en vous réjouissant. Et écrivez-moi votre témoignage.

40        Très bien. Approchez, monsieur. Très bien, monsieur. Est-ce que vous–est-ce que vous croyez de tout votre coeur, que la chose qui s’accomplit ici dans le service vient de Dieu? Croyez-vous cela? Très bien, si vous croyez vraiment cela de tout votre coeur, alors peut-être que je pourrais... Je peux alors vous aider à avoir la foi. Voyez-vous? Eh bien, la seule chose qu’il vous faut, c’est simplement la foi. La foi fait tout. Et c’est tout ce que n’importe qui peut faire. Les gens peuvent prêcher la Parole. Vous entendez cela par la Parole. La foi vient de ce qu’on entend la Parole. Maintenant, voici la Parole de Dieu. Est-ce vrai? C’est la première chose; c’est la Parole de Dieu. Ça, c’est pour tout le monde.

            Eh bien, peut-être qu’il y a quelque chose dans la vie d’un individu qui ne permettra pas que cette guérison ou quelque chose d’autre s’accomplisse. Et puis, en deuxième position, alors la Parole de Dieu vient sur–sur terre afin d’aider cette personne-là à se mettre en ordre, à se redresser ou quelque chose du genre. Est-ce vrai? Voilà comment... C’est là la manière dont Dieu a ordonné les choses. Voilà comment Dieu procède. Il agit de cette manière-là.

41        Maintenant, si... Etes-vous un inconnu pour moi? Sommes-nous des inconnus l’un pour l’autre? Vous avez assisté à... Vous avez assisté à la réunion cette semaine. Mais je–je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais été présenté ni rien, ni ne sais rien de ce qui vous concerne, il n’y a aucun moyen du tout pour que je vous connaisse.

            Très bien. Et puis, vous êtes dans le besoin ou vous souffrez, ou quelque chose de ce genre. Et si donc il y a quelque chose que je saurais, parce que Dieu me montrerait quelque chose qui vous concerne, alors croirez-vous–croirez-vous de tout votre coeur? Eh bien, je vois maintenant que... En vous regardant, j’aurais peut-être estimé que c’était quelque chose d’autre. Mais c’est votre estomac. Pas vrai? C’est vrai. Je pensais que vous–vous avez un teint plutôt jaunâtre, je pensais que c’était... Juste en vous regardant, je pensais que c’était en quelque sorte comme la jaunisse. Mais ce n’est pas le cas. C’est votre estomac. C’est votre estomac.

            Dites, vous avez aussi subi une opération. Est-ce vrai? Une partie de cet estomac a été retranchée. N’est-ce pas... Oui, oui, monsieur. C’est vrai. Vous éprouvez toujours des faiblesses, et ainsi de suite, à cause de cela. Et croyez-vous qu’Il vous rétablira? Approchez, monsieur.

            Notre Père céleste, le médecin a fait tout ce qu’il pouvait. Et je l’ai vu secouer la tête. Mais, Seigneur, Tu es tout près pour aider cet homme. Je Te prie, ô Père, parce que Ton Esprit est proche, de le bénir, de le guérir, de le rétablir complètement, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Maintenant, frère, continuez votre route étant heureux, en vous réjouissant, et soyez guéri au Nom du Seigneur Jésus.

42        Disons: «Gloire à Dieu!» Maintenant, premièrement, je vois que cet homme a un cornet acoustique dans l’oreille. Cela montre tout d’abord qu’il–qu’il est sourd, ou quelque chose comme cela. Très bien. C’est...

            M’entendez-vous bien? Très bien. Approchez. Est-ce que vous m’entendez, alors que je parle, à travers ce–cet audiophone ici? Bien, alors, comme vous pouvez entendre. Voyez-vous? Eh bien, si je peux d’abord vous parler alors... Maintenant, est-ce que... Que pensez-vous de–de Jésus-Christ et de l’Evangile, de toutes les oeuvres, est-ce que cela... Pensez-vous que c’est merveilleux? Certainement. Très bien.

            Maintenant, si Dieu... Si le... Si Jésus est le Fils de Dieu, chose que nous croyons, Il est le Rémunérateur de ceux qui Le cherchent. Et vous êtes ici ce soir, cherchant de l’aide. Sans doute pour cette oreille, en fait c’est cela. C’est de l’oreille qu’il s’agit. Oui, monsieur. Vos deux oreilles. Très bien.

43        Eh bien, je ne peux pas vous guérir. Comprenez-vous cela? Je ne peux pas vous guérir. Je n’ai aucun moyen du tout pour vous aider, ou pour vous guérir. Tout ce que je peux faire, c’est prier pour vous. Vous comprenez cela, n’est-ce pas? Et vous avez besoin de Jésus comme votre Sauveur. Maintenant, n’est-ce pas vrai? Soyez sincère avec moi. C’est–c’est vrai. Est-ce vrai? Vous n’êtes pas converti à Christ. Est-ce le même Esprit qui a parlé à la femme au puits, disant: «Va chercher ton mari», le Jésus-Christ qui savait que vous n’êtes pas converti?

            Avez-vous été dans une affaire en rapport avec la guerre ou l’armée, ou quelque chose comme cela? Avez-vous été un soldat? Est-ce vrai? Croyez-vous que je suis Son prophète? Approchez. Allez-vous accepter Jésus maintenant comme votre Sauveur? Promettez-vous que vous allez... que vous n’allez pas... que vous n’allez pas L’abandonner, que vous Le servirez pour le reste de votre vie à partir de ce soir? L’acceptez-vous maintenant comme votre Sauveur?

44        Voici autre chose que j’ai remarqué que vous faites d’après la vision. Cela s’est passé récemment. Evidemment étant un pécheur, vous faites cela. Vous fumez la cigarette. Vous devez abandonner cela. Voyez-vous? Ne le faites plus maintenant. Il vous faut devenir un chrétien maintenant, et marcher avec Dieu.

            Dieu Tout-Puissant, conformément à la confession de cet homme qui se tient ici avec un cornet acoustique dans l’oreille, il est sourd, j’implore miséricorde pour cet homme. Il T’a maintenant accepté comme son Sauveur personnel. Je Te prie, ô Dieu bien-aimé, de le guérir et de le rétablir. Que l’Esprit de Dieu vienne sur cet homme et ôte la malédiction de lui, la malédiction du péché, la malédiction de la maladie d’une mauvaise audition, et qu’Il fasse de lui une nouvelle créature en Jésus-Christ. Dieu Tout-Puissant, exauce ma prière. Je prie au Nom de Jésus. Amen.

            Maintenant, laissez ceci ici. Voyez ce que... Voir pour... Tenez cela. Très bien. M’entendez-vous? M’entendez-vous? Dites: «Amen. J’aime le Seigneur.» Vous êtes guéri, frère. Vos péchés sont pardonnés. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant.

45        Disons: «Gloire à Dieu!» Aimez-vous le Seigneur? Levons donc les mains et disons: «Gloire au Seigneur!» Les gens ont exalté Dieu. Cet homme n’est pas seulement guéri, mais ses péchés sont pardonnés. Il était mort, et maintenant il est vivant. Il était perdu, et il est retrouvé. Grâces soient rendues à Dieu!

            Approchez, monsieur. Croyez-vous que je suis Son prophète, le prophète de Zion? Sommes-nous des inconnus l’un pour l’autre? Votre visage m’est inconnu. Je ne vous ai jamais vu, à ce que je sache. Très bien.

            Si donc je suis prophète de Dieu, Il me le révélera. Vous–vous êtes... Je ne peux pas vous guérir. Mais maintenant vous ne pouvez pas me cacher votre vie. Car vous êtes conscient que quelque chose est en train de se passer. Est-ce vrai? C’est vrai.

            Maintenant, vous souffrez d’un mal de dos. Pas vrai? Et n’avez-vous pas une sorte d’affection du rectum? Est-ce vrai? Quelque chose comme des hémorroïdes? Est-ce vrai? Et vous avez aussi une habitude que vous devriez abandonner: fumer la cigarette. Allez-vous le faire? Alors partez et portez-vous bien au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

            Disons: «Gloire à Dieu!» Oh! combien je L’aime! combien je L’adore!

46        Approchez, madame. Voulez-vous être guérie? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            «Gloire à Dieu!»

            Très bien. Approchez, monsieur. Approchez. Croyez-vous en Lui? Est-ce que vous croyez, madame? Oh! Que peut-il arriver maintenant? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Monsieur, voulez-vous guérir de cette maladie cardiaque? Oh! le voulez-vous? Acceptez votre guérison maintenant, et partez au Nom de Jésus et soyez rétabli.

            Disons: «Gloire à Dieu!» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Une maladie de l’estomac, aussi. Pas vrai, monsieur? Est-ce vrai? Avez-vous une maladie de l’estomac? Tenez-vous debout. Rentrez maintenant chez vous et soyez guéri au Nom du Seigneur Jésus.

            Cette dame qui est assise là, juste derrière vous, souffre de la vésicule biliaire. Vous pouvez rentrer chez vous et être guérie aussi, si vous le voulez. Tenez-vous debout, madame. Que Dieu vous bénisse.

            Prenons cette dame-ci, qui est assise juste derrière cet homme, juste là, et...?... Tenez-vous debout. [Espace vide sur la bande] Rentrez chez vous et soyez guérie au Nom de... [Espace vide sur la bande]

            Je vous ai vu aller à...?... vous vous couchez la nuit en pensant à ceci. Est-ce vrai? Si c’est le cas, tenez-vous debout... [Espace vide sur la bande]

            Qu’en penses-tu, jeune homme de couleur assis là? Oui, toi. Tu es tourmenté par le diable. Est-ce vrai? Satan te tourmente tout le temps, tu n’es qu’un jeune converti. Est-ce vrai? Est-ce vrai? Veux-tu être libéré du diable?

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