La Voie De Dieu Qui A Eté Frayée Pour Nous

Date: 52-0900 | La durée est de: 1 heure et 3 minutes | La traduction: Shp
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1          Ensemble maintenant, à haute voix, très fort maintenant.

            Grâce étonnante! oh! quel doux son,
            Qui sauva un vil comme moi!
            Autrefois, j’étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé,
            J’étais aveugle, mais maintenant je vois.

2          Inclinons maintenant la tête. Notre Père céleste, nous Te remercions pour ce grand privilège que nous avons de venir auprès de Toi. Premièrement, nous ne pouvons venir que par Christ. Ainsi donc, nous plaçons Son Nom devant notre prière. Et puis, nous savons par Sa Parole que Tu exauceras cela, car nous le demandons en Son Nom. Nous n’avons pas notre justice à nous, nous n’avons rien que nous puissions faire, si ce n’est qu’en venant par la grâce seule, demandant au Nom de Christ.

3          Père, il y a peut-être beaucoup d’hommes et de femmes ici présents, dans cette salle ce soir, qui sont des pécheurs. Tu es effectivement mort pour les pécheurs. Que cette soirée soit celle où Dieu parlera à leurs coeurs et où Il les appellera par Sa grâce dans le Royaume. Accorde-le, Père. Peut-être qu’ils ont gaspillé plus d’une année à errer dans les péchés, mais que ceci soit l’heure.

4          Merci, Seigneur, pour Billy Paul ce soir, le pauvre petit garçon sans mère, qui était ballotté. Merci, Seigneur, pour lui avoir donné le Saint-Esprit comme l’assurance maintenant qu’un glorieux jour, nous reverrons maman, que tout sera en ordre. Ô Dieu, laisse que les anges fassent savoir à maman aujourd’hui. Elle avait beaucoup pleuré à sa mort, disant : «Sers Dieu... Un jour, Billy Paul deviendra un homme et il recevra le Saint-Esprit.» Les prières sont exaucées. Ô Dieu, bénis le jeune homme maintenant, qu’il suive les empreintes des pas du Maître. Oh! Comme sa petite voix tremblotait alors qu’il disait : «Papa, je viens de recevoir le Saint-Esprit. Je suis très content.»

5          Ô Dieu, puisse cela être l’expérience de–de tout celui qui n’est pas né de nouveau ici ce soir. Qu’ils reçoivent le Saint-Esprit ce soir. Si nous avons commis n’importe quel péché, pardonne-nous, Seigneur. Guéris les malades. Bande les coeurs brisés.

6          Et maintenant, Seigneur, je ne sais même pas par où commencer à parler ce soir, mais Tu pourvoiras. Je Te crois, et je Te demande de nous donner quelque chose qui aidera les gens, car nous le demandons en Son Nom. Amen.

7          Juste comme petit passage des Ecritures ici, j’aimerais lire dans Esaïe 35. En effet, mes paroles failliront; la Parole de Dieu ne faillira jamais. Ainsi, aucun–aucun service n’est complet sans une lecture préalable des Ecritures.

            Le désert... les pays arides se réjouiront; la solitude s’égaiera, et fleurira comme un narcisse;

            Elle se couvrira de fleurs, et tressaillira de joie, avec chants d’allégresse et cris de triomphe; la gloire du Liban lui sera donnée, la magnificence du Carmel et de Saron. Ils verront la gloire de l’Eternel, la magnificence de notre Dieu.

            Fortifiez les mains languissantes, et affermissez les genoux qui chancellent;

            Dites à ceux qui ont... coeur troublé; prenez courage, ne craignez point; voici votre Dieu, la vengeance viendra, la rétribution de Dieu; Il viendra lui-même, et vous sauvera.

            ...s’ouvriront...s’ouvriront les oreilles des sourds;

            Alors le boiteux sautera comme un cerf, et la langue du muet éclatera de joie. Car des eaux jailliront dans le désert, et des ruisseaux dans la solitude;

            Le mirage se changera en étang et la terre desséchée en sources d’eaux; dans le repaire qui servait de gîte aux chacals, croîtront des roseaux et des joncs.

            Il y aura là un chemin frayé, une route, qu’on appellera la voie sainte; nul impur n’y passera; elle sera pour eux seuls; ceux qui la suivront, même les insensés, ne pourront s’égarer.

            Sur cette route, point de lion; nulle bête féroce ne la prendra, nulle ne s’y rencontrera; les délivrés y marcheront.

            Les rachetés de l’Eternel retourneront, ils iront à Sion avec chants de triomphe, et une joie éternelle couronnera leur tête; l’allégresse et la joie s’approcheront, la douleur et les gémissements s’enfuiront.

8          Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lec–lecture de Sa Parole. Ce soir, j’aimerais vous parler, si Dieu le veut, juste quelques instants. Je surveillerai ma montre ici, afin que je ne vous garde pas trop longtemps ce soir.

9          Après les services de cette semaine au cours desquels j’ai essayé de montrer aux gens qu’il ne sert à rien d’avoir peur... La pire des choses que le diable puisse placer sur vous, c’est la peur. Même si vous souffriez d’un cancer et que vous n’aviez pas peur, que vous croyiez que Dieu vous guérira, vous ne seriez pas dans une si mauvaise situation. Dieu s’en occuperait; si vous étiez malade, n’importe quoi que ce soit, si vous n’avez pas peur... La peur est donc l’une des pires choses que Satan puisse placer sur quelqu’un.

10        Eh bien, cette semaine, j’ai essayé de prouver par les Ecritures qu’un homme né de nouveau dans le Royaume de Dieu n’a rien à craindre. On est absolument en sécurité en Jésus-Christ. «Tous ceux que le Père m’a donnés, a-t-Il dit, viendront à Moi. Nul ne peut venir à moins que le Père l’appelle. Le Père doit le guider à Moi; et Je ne chasserai pas celui qui vient à Moi. Et tous les... Nul ne peut les arracher de la main de Mon Père; personne n’est plus grand que Lui. Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle; il ne viendra point en jugement, mais il est passé de la Vie... de la mort à la Vie. Celui qui mange Ma chair et qui boit Mon Sang a», pas aura, mais «a (au présent) la Vie Eternelle, et Je le ressusciterai au dernier jour.»

11        «C’est pourquoi n’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu par Lequel vous avez été scellé pour le jour de votre rédemption.» Vous y êtes. «Scellé pour le jour de votre rédemption.» Pas juste d’un réveil à un autre, mais pour le jour de votre rédemption.

12        Oh! la la! Oh! Comme le Saint-Esprit est venu ce matin et nous a bénis là-dessus, Il nous a gardés ici jusqu’à treize heures trente, ce matin, depuis environ neuf heures trente. Oh! Qu’Il nous a bénis!

13        Maintenant, ce soir, j’aimerais parler de... Esaïe dit ici : «Il y aura une route, et une voie de sainteté.» Eh bien, j’aimerais parler de : La Voie de Dieu–la Voie de Dieu qui a été frayée pour nous.

14        Eh bien, si j’allais à New York City, la meilleure chose à faire pour moi, c’est de ne pas chercher à trouver, du point de vue géographique, là où je me trouve, pour prendre le nord... Mais le meilleur moyen pour moi d’y parvenir, c’est de prendre une carte routière et de la suivre (Est-ce vrai?), une route. Si je ne le fais pas, j’aurai des ennuis.

15        Il n’y a pas de raccourcis dans le Royaume de Dieu. Vous savez, si nous cherchons à suivre un raccourci, nous nous retrouverons ici dans un étang quelque part et dans la boue. Et c’est ce qui nous arrive quand nous nous éloignons de la vieille et grande autoroute de Dieu. Dieu a frayé un sentier, une voie.

16        Quand les enfants d’Israël sortirent du pays d’Egypte, ils suivirent le sentier de Dieu. Celui-ci menait à la mer Rouge. C’est étrange que Dieu fasse passer Son sentier par cette voie-là. Mais Son sentier traversait la mer.

17        Alors quand le temps arriva, et la confrontation, Israël se tint là devant la mer, le sentier de Dieu traversait la mer. Alors, Dieu regarda en bas au travers de la Colonne de Feu, la mer eut peur et recula, Israël traversa à sec. Le sentier de Dieu la traversait.

18        Ensuite, Il monta droit vers le désert, à la source de Mara, l’eau amère. N’est-ce pas étrange que Dieu conduise Ses enfants par les eaux amères? Mais tout cela va avec la route. Mais comme Il était là, le remède contre les eaux amères se trouvait sur le rivage. Moïse coupa un arbre, le jeta dans l’eau, et elle redevint douce.

            Certains par les eaux, d’autres par l’inondation,

            D’autres par les épreuves ardentes, mais tous par le Sang.

19        C’est ainsi que Dieu conduit Ses enfants : le sentier de Dieu, la voie de Dieu à laquelle il a été pourvu. Si les enfants d’Israël avaient essayé de contourner, de descendre dans cette voie-ci, ils auraient eu des ennuis. Ils devraient suivre la Nuée de Feu, la Colonne de Feu qui les conduisait. Ils ont suivi Cela.

20        Et ce soir, si l’Eglise suit seulement la Colonne de Feu, le Saint-Esprit, vous atteindrez Canaan aussi certainement que tout. Dieu a une voie, la voie à laquelle il a été pourvu.

21        Il y a deux voies qu’un homme peut suivre, et ce sont : sa voie ou la Voie de Dieu, et c’est la bonne Voie ou la mauvaise voie. Et votre voie est toujours la mauvaise, tandis que la Voie de Dieu est toujours la bonne. Vous ne pouvez pas être dans votre propre voie et dans la Voie de Dieu à la fois, il vous faut donc sortir de votre propre voie afin que Dieu puisse avoir Sa Voie en vous. C’est vrai. Dieu pourvoit à une voie.

22        L’homme a toujours voulu suivre sa propre voie. Dans le jardin d’Eden, Dieu avait créé un homme de telle façon qu’il n’ait pas à se débrouiller pour quoi que ce soit. Dieu l’avait créé parfait, mais l’homme a voulu sa propre voie. Il voulait essayer de forcer. Il voulait découvrir. Et puis, aussitôt qu’il est tombé... Nous avons examiné cela cette semaine, lors de l’étude des Ecritures. Il s’est confectionné une religion. Il n’a pas attendu que Dieu lui en donne une. Il s’en est confectionné une lui-même, mais il a découvert que sa religion, sa couverture, n’avait pas marché. Ça a toujours été ainsi avec l’homme. Il veut sa propre voie. Mais Dieu avait une Voie. L’homme s’était donc confectionné des feuilles de figuier et s’en est couvert, sa femme et lui, mais quand il est venu rencontrer Dieu, il a découvert que cela ne marcherait pas.

23        Et je vous assure, amis, il y a eu plus d’un homme, et il y en a ce soir, qui arrivent au bout du chemin, qui découvriront que cette petite religion superficielle à laquelle on s’accroche ne marchera pas. Rien de moins que la nouvelle naissance ne marchera. Jésus a dit : «Si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il n’entrera en aucun cas dans le Royaume.» En aucun cas, peu importe qu’il soit méthodiste, baptiste, presbytérien ou quoi qu’il soit, il n’entrera pas à moins de naître de l’eau et de l’Esprit. Naître veut dire être changé. Il doit mourir avant de pouvoir naître de nouveau. Vous devez donc mourir à vous-même, renaître en Jésus-Christ. C’est exact.

24        Eh bien, j’aimerais vous faire remarquer qu’il s’est retrouvé en train de se frayer sa voie. Nous avons vu ce matin comment Caïn avait essayé de suivre sa voie. Il apporta des pommes, des poires, des pêches, des potirons, et je ne sais quoi c’était, il a déposé cela sur l’autel et a dit : «Maintenant, là, Seigneur, j’ai bâti un autel. J’ai bâti une église. Je suis un bon membre de l’église.» Voyez? «Je fréquente l’église chaque jour. Je suis venu ici, j’ai bâti l’autel. J’ai placé le sacrifice là-dessus. Maintenant, je vais m’agenouiller et prier. Et maintenant, Seigneur, j’aimerais que Tu me reçoives.» Mais Dieu l’a rejeté.

25        Et ce même vieil esprit religieux vit jusque là, dans l’église aujourd’hui, la même chose, tout aussi religieux que possible, il ne connaît pas Dieu, pas plus qu’un Hottentot ne connaît le chevalier égyptien. Vous savez que c’est la vérité : Les esprits religieux. Je ne pense pas que c’est Staline qui est l’antéchrist. La Bible dit que les deux esprits seront si proches qu’ils séduiront même les élus si c’était possible.

26        Nous voyons que Judas Iscariote est arrivé jusque là, il est allé, il s’est réjoui, il a prêché l’Evangile, il est revenu, hurlant et criant, se tapant un bon moment avec les autres disciples. (Matthieu, chapitre 10.) Mais il avait suivi les disciples jusque là, pourtant il était un démon incarné, il avait cheminé droit; de même que Jésus était le Dieu incarné; Caïn et Abel depuis le jardin d’Eden. Mais quand le temps arriva pour lui de monter à la Pentecôte et de recevoir la bénédiction, il montra ses couleurs.

27        Et quand vous vous mettez à parler de la nouvelle naissance, de recevoir le baptême du Saint-Esprit, neuf fois sur dix, ces esprits montrent leur couleur, ce qu’ils sont. Ils diront : «C’est un tas de fanatisme. Laissez cela de côté.» Frère, c’est la Voie à laquelle Dieu a pourvu pour l’homme aujourd’hui. Alléluia!

28        Regardez, Dieu a toujours pourvu à une voie. Dieu est tenu de frayer une voie. Dieu fraye une voie pour la nature. Pourquoi avons-nous ces grandes inondations dans le pays? On coupe les bois et tout comme cela, on laisse l’eau emporter. Vous construisez un barrage ici et vous faites déborder le lit de la rivière; et la voilà partie, l’eau. Vous dérangez la nature. Dieu a pourvu à une voie. C’est ça qui est à la base de l’inondation, tout ce que l’homme altère, que Dieu avait créé parfait, qu’ensuite vous rendez imparfait. C’est vrai.

29        Maintenant, c’est juste comme, par exemple, comme les–les canards. J’aime observer les canards, pendant les saisons où je vais chasser dans les montagnes. Je monte là-haut, en automne. Eh bien, là, tous les canards viennent de la Louisiane, et là-bas, là dans des marécages. Ils montent au nord et s’établissent, ils se font un nid et élèvent leurs canetons. Puis, les canetons grandissent, ils arrivent peut-être vers septembre, en ce temps de l’année, ou la dernière partie de septembre. Et puis, un drôle de petit canard, un caneton, qui n’a jamais quitté cet étang-là, il est là même dans un étang.

30        Peu après, la gelée s’envole là sur la colline. Un peu de neige se pose là, et un vent froid souffle dans cette montagne-là. Ce drôle de caneton flaire cela. Eh bien, il n’a jamais été nulle part ailleurs que dans cet étang-là, il n’a qu’un an jusque-là. Il dresse sa tête en l’air, son petit bec, il court au milieu de l’étang et se met à cacarder, chaque canard sur l’étang viendra à lui. Chaque canard sur l’étang sait qu’il est né chef. Et ce drôle de caneton s’élèvera de cet étang-là sans boussole ni rien d’autre et se dirigera tout droit vers la Louisiane, vers les champs de riz, à toute vitesse.

31        On dirait que les chrétiens devraient avoir le sens du canard, après tout. N’est-ce pas? C’est vrai. Exact.

32        Pourquoi? Vous dites : «C’est l’instinct.» Non, ils suivent la voie à laquelle Dieu a pourvu. Dieu les a dotés d’un moyen, un instinct pour les conduire là-bas, et ils se fient à cela.

33        Mais Dieu donne à l’homme le Saint-Esprit, celui-ci Le rejette, il veut sa propre voie. Mais Dieu a une voie à laquelle Il a pourvu pour nous. Alléluia! Je me sens un peu religieux ce soir, après ceci, et quelques soirées de réveil.

34        Remarquez, ça y est. Oui, oui, ce caneton ira là.

35        Et je vais vous dire autre chose. Si vous sortez ici et qu’un journal annonce : «Demain, il fera un très beau temps», et que vous alliez à la chasse et vous voyiez ces lapins aller se terrer sous cette herbe-là, ne vous intéressez pas à ces journaux.

36        Vous voyez cette vieille truite déplacer ses petits du nord de la colline vers là, au sud de la colline, et se faire un–un lit du côté sud de la colline. Elle est plus avisée là-dessus que tous les commentateurs des journaux du monde. Exact. Elle a un instinct. Elle se déplace vers le flanc sud pour s’abriter contre le vent froid du nord qui descend. [Frère Branham frappe sur la chaire plusieurs fois.–N.D.E.] Oh! la la!

37        Si une truite a assez de bon sens pour s’abriter contre la brise, qu’en est-il de vous avec le Saint-Esprit? Alléluia! C’est cela votre instinct. Oui, oui.

38        Et Dieu les a dotés d’un instinct. C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu pour eux. Ils vivent selon la voie à laquelle Dieu a pourvu.

39        Prenez une fleur; quand elle meurt, elle va sous terre. Ce n’est pas sa fin, elle revivra. Dieu a pourvu à une voie pour elle, et elle se fie à cela.

40        Dieu a toujours pourvu à une voie. Parfois, elle ne traverse pas des choses agréables; elle traverse des épreuves, mais c’est la voie à laquelle Dieu a pourvu. C’est Dieu qui la fraye après tout.

41        Une fois, Il avait un homme dans la voie à laquelle Il avait pourvu, il devait la suivre, dans la fosse aux lions, mais il a suivi la voie à laquelle Dieu avait pourvu. Dieu l’en a fait sortir une fois de plus. Alléluia!

42        Je peux voir les enfants hébreux assis là à Babylone un matin. Ils avaient refusé de se prosterner devant une idole. C’est vrai. Ils ont dit : «Nous ne ferons pas cela. Jouez toute la musique que vous voulez, faites retentir les cornets et les trompettes, mais nous ne nous prosternons pas devant votre idole.» Alléluia!

43        Donnez-nous d’autres Schadrac, Méschac et Abed-Nego (Oui, monsieur) qui ne se prosterneront pas devant votre histoire mondaine. Nos n’avons pas à nous y plier. Dieu nous a créés libres par le Saint-Esprit. Alléluia! Oui, oui.

44        Eh bien, je peux voir là-bas un matin. Tournons nos caméras en bas dans cette direction-là, une minute, regardons et voyons. Je peux voir ces jeunes gens là-bas, un matin. Ils ont dit : «Maintenant, écoutez, le roi a dit : ‘Tout celui qui ne se prosternera pas, nous allons le jeter dans la fournaise ardente.’»

45        Ils sont allés et ont prié jusqu’à l’exaucement une nuit. Le lendemain, quand le son a retenti afin qu’ils se prosternent devant la statue, eh bien, ils ont tourné leur dos à cela.

            Alors, il est arrivé, il a dit : «Jeunes gens, avez-vous fait cela?»

            «Oui.»

46        «Eh bien, nous allons chauffer la fournaise, sept fois plus que jamais.»

47        Eh bien, n’est-ce pas étrange? Il y avait une passerelle qui passait par ici, qui montait jusqu’à l’entrée de la fournaise. Toute la Babylone était rouge ce matin-là, le feu ronflait.

48        Je peux voir le roi Nebucadnetsar, comme un homme moderne d’aujourd’hui, il était assis là dehors et il a dit : «Maintenant, nous allons faire sortir de ces jeunes gens toute cette religion du Saint-Esprit à force de les brûler.»

49        Oh! Oui, ne pensez pas que le diable ne va pas vous brûler. Il le fera certainement. Mais rappelez-vous, le Saint-Esprit est Lui-même le Feu.

50        Maintenant, j’aimerais que vous observiez. La voie de Dieu menait droit par cette passerelle-là. Je peux voir Schadrac, Méchac et Abed-Nego, effectuer la marche de la mort. Je peux entendre Schadrac dire : «Abed-Nego, as-tu prié jusqu’à l’exaucement?»

            «Oui.»

            «Très bien, alors.»

            «Es-tu sûr d’être dans la voie de Dieu?»

51        «Oui, oui.» Et Dieu a dit dans Sa Parole que vous ne vous prosterneriez pas devant des idoles, et nous ne le ferons pas. Dieu est capable de nous délivrer de cette fournaise ardente. Mais s’Il ne le fait pas, qu’en est-il? Nous n’allons pas nous prosterner. Nous suivrons la voie à laquelle Dieu a pourvu.

52        Je peux entendre quelqu’un demander : «Etes-vous sûr de suivre la voie à laquelle Dieu a pourvu?»

            «Oui.» Alléluia.

53        Quelqu’un a dit : «Eh bien, ne pensez-vous pas que tous ces gens peuvent, probablement, être dans le vrai, plutôt que vous?»

54        «Non, monsieur. La Bible le déclare, et nous restons fidèle à cela.» Ils ont monté directement cette passerelle-là. Je peux... la chaleur si... Une intense chaleur était presque... Cela a effectivement tué les hommes qui les ont fait monter là.

55        Ils étaient sur le point d’y entrer. Dieu n’avait pas dit un mot. Ils étaient toujours en train de suivre la voie à laquelle il avait été pourvu. Ils sont allés droit jusqu’à l’entrée de la fournaise. Juste au moment où ils étaient prêts à entrer dans la fournaise ardente... Vous savez, j’ai un tableau horriblement noir ici, devant moi maintenant même. Des hommes qui essaient de vivre fidèlement devant Dieu, de marcher dans la voie à laquelle Dieu a pourvu, étaient sur le point d’être consumés. Quel tableau!

56        Remarquez, chaque fois qu’il se passe quelque chose ici bas, il y a quelque chose qui se passe là en haut, au même moment. Regardons là en haut un petit moment, et voyons ce qui se passe. Je peux Le voir assis là, Ses robes royales, tout autour de Lui. Alléluia! Je peux voir, la première chose, à sa droite, un très grand ange s’avance, son nom est Micaël. On en a un là-haut. Saviez-vous cela. Je peux l’entendre s’approcher là, à Ses côtés en courant, et dire : «Maître!» Je peux le voir dégainer son épée du fourreau, comme ceci, et dire : «As-Tu regardé à Babylone ce matin? Il y a des hommes qui suivent la voie à laquelle Dieu a pourvu. Il y a des hommes disposés à sceller leur témoignage ce matin. Nos frères sont sur le point d’être brûlés.» Je peux L’entendre dire : «Permets-moi de descendre là en bas. Je vais changer le tableau.» Je crois qu’il aurait pu le faire. Oui.

57        Je peux L’entendre dire : «Non, Je ne peux pas te laisser le faire. Gabriel, tu as été un... ou plutôt Micaël, tu as été un très bon ange. Remets donc ton épée et tiens-toi au garde-à-vous là.»

58        Un autre ange arrive là. Son nom est Absinthe. C’est lui qui rend les eaux amères. Il s’avance là et dit : «Maître, regarde là en bas. C’est moi qui ai le contrôle de toutes les eaux. Tu m’as confié cela lors de la destruction antédiluvienne, et j’avais emporté le monde entier par les eaux, tout sauf Noé et les membres de sa famille. Eh bien, a-t-il dit, permets-moi de descendre là en bas, j’ôterais Babylone de la carte par les eaux.»

59        Je peux L’entendre dire : «Absinthe, Tu peux le faire, c’est vrai, mais Je ne peux pas te permettre d’y aller. Ça, c’est un travail pour l’homme.» Ha, ha.

60        Oh! Je peux Le voir se lever, comme ça. Ils étaient bien sur le point d’effectuer le dernier pas. Je peux Le voir tendre la main là et dire : «Viens ici», s’adressant au grand cumulo-nimbus, suspendu là-bas. Oh! la la! Cela Lui a obéi.

61        Je peux Le voir, L’entendre dire : «Vent de l’est, du nord, de l’ouest et du sud, venez ici et poussez ce cumulo-nimbus. Je vais te monter comme des chevaux. Je vais m’asseoir sur ce cumulo-nimbus ce matin, comme un char. Je descends à Babylone Moi-même.» Alléluia!

62        Je peux Le voir tendre la main et s’emparer d’un éclair zigzag et le faire lézarder dans les cieux, comme cela. Et juste au moment où ils effectuaient leur dernier pas, en suivant la voie à laquelle Dieu avait pourvu. Et au moment où ils entraient là-dedans, Lui est passé par la Mer de la Vie, Il a cueilli un rameau, Alléluia! Il était là, éventant, les préservant de la cendre de charbons! Il est toujours là chaque fois que des hommes suivront la voie à laquelle Dieu a pourvu. Oui, oui.

63        Une fois, il y eut un vieux prédicateur charlatan, un vieux prédicateur de la sainteté, là dans le passé, il y a longtemps, du nom de Noé. Il disait : «Vous savez, il va pleuvoir, une tempête va éclater.»

64        Je peux entendre les gens se promener et dire : «Dites donc, entendez-vous ce vieux saint exalté là-haut? Il dit : ‘Il va pleuvoir.’ Eh bien, il n’a jamais plu sur la terre. Et il va pleuvoir? Comment? D’où viendra cette eau-là? Eh bien, allons consulter la science et voyons s’il y aura de l’eau là-haut. Eh bien, non, il n’y a pas d’eau là-haut. Qu’y a-t-il? Ce vieux prédicateur-là a perdu la tête.»

65        Mais Dieu l’avait dit. Dieu avait dit : «Prépare une arche, Noé, pour le salut de ta famille, pour le salut des gens.» Et Noé a eu assez de bon sens pour faire cela. C’est tout. Il est allé préparer une arche.

66        Et un jour, j’entends certains parmi eux là dans un coin en train de parler, là dans le coin des affaires. Certains d’entre eux disent : «Hein, qu’en est-il de cette histoire de la pluie là-haut, ce vieux prédicateur charlatan, disant qu’il va pleuvoir là-haut? Avez-vous déjà entendu parler de pareille histoire? Et il pense qu’il suit la voie à laquelle Dieu a pourvu.» Il la suivait. Amen.

67        La chose suivante, vous savez, un tonnerre a grondé, et il y a eu un éclair. Je peux voir la vieille maman chamelle là dehors lever les yeux et dire : «Papa chameau, as-tu entendu ce que c’était? C’était un tonnerre. C’est ce que Noé a dit. Allons à l’arche.» Ils ont descendu la colline. Et voilà papa cheval et maman jument venir, et tous les autres, par couple, ils entrèrent droit dans l’arche, un à un. Dieu ferma la porte et envoya la pluie. Noé suivait la voie à laquelle Dieu avait pourvu.

68        Quelques-uns parmi eux sont montés sur des rondins, ils ont dit : «Je m’en tirerai en flottant.» Mais je vous assure, quand les tempêtes se mirent à faire rage, l’arche monta. Alléluia! Eh bien, ils étaient dans la voie à laquelle Dieu avait pourvu. Dieu bénira toujours les gens qui suivront la voie à laquelle il été pourvu. Il n’avait jamais pourvu à un rondin. Il n’avait jamais pourvu à cela. Il avait pourvu à une arche.

69        Et aujourd’hui, mon frère et ma soeur, il y a une voie à laquelle il a été pourvu pour les hommes et les femmes, c’est par Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui mourut là au Calvaire, et par Son Sang, nous avons le pardon de péchés, nous pouvons recevoir le baptême du Saint-Esprit, comme l’approbation de la part de Dieu, qu’Il nous acceptés dans Son Fils, Jésus-Christ, qu’on est en sécurité. Alléluia!

70        Vous allez me taxer de saint exalté de toutes les façons, vous feriez tout aussi mieux de commencer maintenant. Très bien. Je me sens très bien. D’accord.

71        Croyez-vous cela? C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu et l’unique voie. Ce n’est pas la voie des méthodistes, ce n’est pas la voie des baptistes, ce n’est pas celle des presbytériens, ce n’est pas celle des pentecôtistes. C’est le chemin de Christ. Christ est la voie à laquelle Dieu a pourvu. Il est le Sacrifice auquel Dieu a pourvu. Il est Jéhovah-Rapha. Il est Jéhovah-Jiré. Il est Jéhovah-Manassé.

72        Quand Abraham offrit Isaac, il appela ce lieu Jéhovah-Jiré : L’Eternel se pourvoira d’un sacrifice. Et ça y est, le Fils de Dieu. Amen. Dieu fraye toujours une issue. Oui, oui.

73        Il y eut une fois un vieux prédicateur qui prêchait là-bas, du nom d’Elisée. Il monta là et parcouru du regard tout le pays et dit : «Je vous assure, c’est le plus horrible que j’aie jamais vu.»

74        Un vieux roi là en bas était allé épouser une drôle de petite Jézabel fardée, avec assez de maquillage sur son visage pour faire... L’unique femme dans la Bible qui se soit jamais maquillé le visage. Et savez-vous ce que Dieu a fait d’elle? Il l’a donnée en pâture aux chiens. C’est l’unique que je connaisse.

75        Si vous voyez une femme avec beaucoup de maquillage sur le visage, savez-vous comment vous pouvez l’appeler? Dites : «Salut, mademoiselle viande pour chiens.» C’est ce qu’elle est, comme une viande pour chien. Oh! la la! Ecoutez, frère, je suis revenu de l’Afrique il n’y a pas longtemps. Cette histoire vient de... du paganisme. Ce sont les païens qui se maquillent.

76        Ô frère, quand un homme ou une femme se met en ordre avec Dieu, vous n’avez pas à lui en parler; il a lui-même honte. Alléluia! C’est vrai.

77        Mon vieux, la chose suivante, vous savez, elle avait entraîné toutes ces Israélites à faire cela. Elie a dit : «Seigneur, ferme les cieux. Fais quelque chose à ce sujet.»

78        Dieu a parlé et a dit : «Maintenant, Elie, Je vais te dire quoi faire. Descends parler à Achab.»

79        Et voici passer un vieux prédicateur, il passe par là, enveloppé dans un gros morceau de peau de brebis, comme cela, le visage ébarbé, avec des moustaches comme un ver laineux. Il est passé devant le roi et a dit : «Même pas la rosée ne sera appelée... ne tombera, sinon à ma parole.» Alléluia! Il suivait la voie à laquelle Dieu avait pourvu. Oui, oui.

80        «Ah! Va-t’en d’ici, toi fanatique. D’accord, nous savons ce que nous faisons.»

81        Le vieil Elie a dit : «Seigneur, que dois-je faire? Tu pourvoies au reste de la voie. J’ai fait cela.»

82        Il a dit : «Monte là au torrent de Kérith et assieds-toi.» D’accord, c’est un très mauvais endroit, mais j’y monterai et m’assiérai. Tu as dit : ‘Montes-y.’ si Ton sentier mène là-haut, je monterai là-haut.»

83        Il est monté là-haut et il s’est assis. Il a dit : «Maintenant, Seigneur, que vais-je faire ici?»

            «Assieds-toi là. Reste simplement là.»

84        Et la chose suivante, vous savez, il a commencé à avoir faim. Il a dit : «Seigneur, j’ai un peu faim.» Et un corbeau est passé par là.

85        Il y en a qui ont dit : «Regardez ce vieux prédicateur saint exalté, assis là-haut sur la colline. Eh bien, n’est-il pas fou? Eh bien, ce gars assis là-haut sous le soleil mourra. Eh bien, c’est un fanatique.»

            Et la chose suivante, vous savez, toutes les eaux avaient séché. Il n’y avait plus d’eau à boire dans le–dans le pays. Mais chaque fois qu’Elie avait besoin d’eau à boire, il s’accroupissait simplement au torrent de Kérith et buvait. Alors, quand il avait faim, le corbeau passait par là avec un sandwich à son bec, et disait : «Voici, Elie.»

86        Vous direz : «Où est-ce que le corbeau trouvait... Vous voulez dire que vous croyez cela, Frère Branham?» Oui, oui. Oui, oui. «Vous voulez dire qu’un corbeau a apporté à Elie quelque chose à manger pendant trois ans et six mois?» Je le crois. Vous dites : «Où trouvait-il cela?»

87        Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c’est qu’un corbeau trouvait cela quelque part, il l’apportait à Elie; Elie mangeait cela et il a vécu de cela trois ans et six mois. C’est vrai. Je le crois.

88        C’est la même chose concernant... Vous dites : «Qu’est-ce qui vous rend si heureux? Qu’est-ce qui vous fait secouer le bras?» Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c’est que le Calvaire a payé le prix pour Cela, et la Bible l’a enseigné, le Saint-Esprit L’a apporté, je L’ai reçu. Alléluia. Je ne sais même pas d’où Cela vient, mais je L’ai reçu. Alléluia! C’est vrai. Je ne peux pas vous dire d’où Cela vient, mais Cela est arrivé ici. Oh! la la! Cela fait que votre manteau vous va mieux. Assurément. Alléluia! Ne soyez pas excité. Cela veut dire : «Gloire à notre Dieu.» Amen. Cela veut dire : «Ainsi soit-il.» Oh! la la! Assurément, c’est ça. Je ne sais pas.

89        Et ils ont dit qu’il était fou, parce qu’il était assis là-haut. Oh! la la! Quand le temps de manger arrivait, un porteur de couleur s’approchait et disait : «Voici, Elie. Voici votre petit-déjeuner.» Eh bien, il était de loin mieux que la moitié des gens ici ce soir. Je m’imagine qu’il n’y en a pas beaucoup ici présents ce soir qui ont des serviteurs de couleur. Mais lui avait des serviteurs de couleur, des corbeaux qui lui apportaient quelque chose à manger à chaque repas. Alléluia! Gloire! Dieu avait une salle à manger quelque part. Il préparait cela, le cuisait, le lui envoyait. Alléluia! Ce même Dieu vit et règne aujourd’hui.

90        Il est resté dans la voie à laquelle Il avait pourvu. Dieu a dit : «Monte là-haut et assieds-toi», c’est ce qu’il avait donc fait. C’est tout ce qu’il savait faire. Qu’en pensez-vous? Croyez-vous que c’est vrai? Ça l’est. Amen. Oui, oui.

91        Un jour, une petite fille descendait la rue, elle a dit...?... Elle allait, elle a dit : «Oh! Alléluia! Alléluia!» Elle venait de recevoir le Saint-Esprit.

92        Il y avait donc un vieux infidèle assis dans un coin, il a dit : «Qu’est-ce qui te rend si heureuse, petite?»

93        Elle a dit : «Oh! Jésus vient de me sauver et de me remplir du Saint-Esprit.» Elle a dit : «Je suis très heureuse.»

            Il a dit : «Regarde, qu’as-tu en main?»

            Elle a dit : «Ma Bible.»

94        Il a dit : «Crois-tu Cela?»

            «Assurément.»

            Il a dit : «Crois-tu tout Cela?»

            «Tout Cela.»

95        Il a dit : «Crois-tu cette histoire de Jonas?»

            «Oui.»

            Il a dit : «Crois-tu que le grand poisson avait réellement englouti cet homme-là?»

96        «Oui, monsieur. Je le crois.»

            Il a dit : «Comment vas-tu prouver cela autrement que par la foi?»

97        Elle a dit : «Eh bien, quand j’arriverai au Ciel, je demanderai simplement au frère Jonas.»

            L’infidèle lui a dit, il a dit : «Et si frère Jonas n’est pas au Ciel?»

98        Elle a dit : «Alors, c’est toi qui auras à le lui demander.» Alléluia! L’unique endroit qui restait pour lui, c’était l’enfer.

99        Si vous rejetez la voie de Dieu, vous devez aller en enfer. Absolument. C’est tout ce qui reste comme voie. Vous êtes donc soit dans une voie, soit dans une autre. Amen. Très bien.

100      Je peux le voir là-bas, assis là-haut, et les corbeaux lui apportaient quelque chose à manger.

101      Il est redescendu là. Un jour, il est descendu la colline. Et Dieu a dit : «Maintenant, l’étang s’est desséché. J’aimerais que tu descendes chez une veuve.» Quelle place où aller pour un prédicateur! Dieu lui avait dit d’aller. C’était la voie à laquelle il était pourvu. Il est descendu là. Elle n’était pas une Israélite non plus. Non, elle ne l’était pas. Et elle est passée par derrière... Et lui descendait la colline.

102      Et pendant qu’il descendait la colline, il a rencontré une vieille veuve qui se tenait dans la cour, rassemblant ses bâtons. Il a dit : «Rentre et apporte-moi quelque chose à manger, et apporte-moi de l’eau.»

103      Elle a dit : «L’Eternel est vivant, et ton âme ne mourra jamais, j’ai juste assez de farine dans la maison pour faire un petit gâteau pour mon fils. Je ramasse deux morceaux de bois afin que je puisse cuire ce gâteau. Lui et moi, nous en mangerons et nous mourrons.»

104      Il a dit : «Va, apporte-moi un peu d’eau d’abord; cuis le gâteau et apporte-le-moi.» Alléluia!

105      Qu’allait-elle faire? Voilà la voie à laquelle Dieu avait pourvu : «Cherchez premièrement le Royaume de Dieu et toute Sa justice.»

106      Vous direz : «Frère Bill, ma mère va fuir la maison.» «Mon mari ne vivra pas avec moi.»

107      «Cherchez premièrement le Royaume de Dieu et Sa justice (Alléluia!); toutes ces autres choses vous seront données par-dessus.» C’est exact.

108      «Comment vais-je m’y prendre, Frère Bill?» Allez simplement de l’avant et faites ça. Jésus a dit : «Suis-moi.» C’est exact. Garde l’oeil sur une seule chose. Très bien.

109      Et la chose suivante, vous savez, elle entre, elle prend ces deux morceaux de bois et les brise. Vous savez comment les anciens Indiens brisaient un morceau de bois? Cela formait évidemment la croix. Et à la croix, ils allumaient le feu juste au point d’intercession. C’est là qu’on allumait le feu, on cuisait le gâteau.

110      Elle a ramené le gâteau et l’a donné au prédicateur. Celui-ci s’est tenu là et il a mangé. Il a dit : «Maintenant, rentre et fais-en un pour toi-même et pour ton fils–fils. Car, AINSI DIT L’ETERNEL, le pot ne se videra pas, ni la cruche ne sèchera jusqu’au jour où Dieu enverra la pluie sur la terre.» Alléluia!

111      Quoi? Parce qu’elle avait cherché premièrement le Royaume de Dieu. En effet elle avait suivi la voie à laquelle Dieu avait pourvu; Dieu l’avait récompensée. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit : «Amen.»–N.D.E.] Oui, oui.

112      Il y eut une fois une femme qui avait perdu son frère. Son nom était Lazare. Oh! C’était un bon garçon. Elle détestait le perdre. Mais il était mort. Elle a envoyé appeler son Pasteur, ou l’Evangéliste, qui était Jésus. Elle était sortie de l’église, elle avait abandonné tout ce qu’ils avaient. Alors, elle a envoyé appeler Jésus pour qu’Il prie, et Celui-ci a simplement poursuivi son chemin. Elle L’a encore envoyé chercher, Il a simplement poursuivi Son chemin. Il a dit : «Je ne fais que ce que le Père Me montre.» Le Père Lui avait déjà montré que Lazare mourrait.

113      Il est arrivé peu après, après environ trois ou quatre jours. Il a dit : «Lazare est mort, mais Je me réjouis à cause de vous de ce que Je n’étais pas là. Mais Je vais le réveiller.»

114      Ainsi donc, elle a entendu dire que Jésus venait, elle est alors allée à Sa rencontre.

115      C’était la voie à laquelle Dieu avait pourvu, aller à la rencontre de Jésus. C’est exact, toujours. Quand vous êtes triste chez vous, allez à la rencontre de Jésus. Si la maladie frappe votre maison, allez à la rencontre de Jésus. Si vous avez des chagrins dans votre maison, allez à la rencontre de Jésus. Alléluia! Si vous avez besoin de quoi que ce soit, allez à la rencontre de Jésus. Allez à Sa rencontre. Il a tout le remède, tout, là. Il n’a pas le remède. Il a la cure. Amen! Elle est donc allée à Sa rencontre, elle s’est prosternée à Ses pieds.

116      Une fois, elle avait lu dans la Bible l’histoire d’une femme dans le passé, une Sunamite. Elle s’était beaucoup préoccupée d’un prédicateur du nom d’Elisée. Elle avait donc fait construire une petite chambre à côté de sa maison là, elle avait placé un lit et une chandelle, un tabouret, et tout. Et Elisée est passé, il a vu toute cette bonté qu’elle avait témoignée pour le prédicateur, elle payait ses dîmes et tout, vous savez.

117      Alors, il a dit : «Va demander, vois ce que nous pouvons faire, si je dois parler au roi ou au commandant en chef.» Elle a dit : «J’habite au milieu de mon peuple et tout va bien.»

            Il a dit : «Tout va bien, va lui demander ce que je peux faire.»

            Guéhazi a dit : «Elle est stérile. Elle n’a pas d’enfants.»

118      Il a dit : «Va lui dire : AINSI DIT L’ETERNEL, à cette même époque, l’année prochaine, elle aura un fils.» Et elle l’a eu.

119      L’enfant avait atteint environ onze ou douze ans. Un jour, vers midi, il était dehors avec son papa. Je pense qu’il avait eu une insolation, il s’est mis à crier : «Ma tête. Ma tête.» Il l’a renvoyé avec l’un des serviteurs, le jeune garçon, on l’a placé sur les genoux de sa mère. A midi, il est mort.

120      Quel lieu approprié! Elle l’a relevé, elle l’a déposé sur le lit du prédicateur, là où dormait le prophète. Un bon lieu où aller. Elle l’a déposé juste au lit du prédicateur.

121      Elle a dit : «Scelle-moi un mulet maintenant et avance, ne t’arrête pas de chevaucher à moins que je te l’ordonne.»

122      J’aime ça. Avance et ne t’arrête pas. Continue simplement d’avancer. C’est bien. Le problème en est que nous nous arrêtons pour parler à trop de gens. Nous nous arrêtons pour trop des fêtes en société. Nous avons trop de coutures, nous organisons une fête de tricotage, vous savez : «Tricotage et couture, parler de miss Unetelle.»

123      Vous savez comment ça se passe. Toutes ces différentes choses entrent dans l’église, alors que vous devriez jeter toutes ces eaux du ravin et avoir un réveil à l’ancienne mode, envoyé de Dieu. Prier jusqu’à l’exaucement, jusqu’à ce que vous enfonciez le ciel, et que le Saint-Esprit vienne comme un vent impétueux remplir le lieu et les gens. Amen. C’est ce dont nous avons besoin. Elle a dit : «Ne t’arrête pas.»

124      Et son mari a dit : «L’homme n’est pas à Carmel.» Il a dit : «Ce n’est ni la nouvelle lune ni le sabbat.»

125      Elle a dit : «Tout va bien.» Elle tenait à arriver auprès du prophète. Elle a donc continué directement. Elisée a regardé de loin et a dit : «Voici venir cette Sunamite. Il y a quelque chose qui cloche chez elle; je ne sais pas ce que c’est.»

126      Elle est arrivée en courant. Et il lui a demandé : «Tout va-t-il bien avec toi? Avec ton mari? Avec ton enfant?»

127      Elle a dit : «Tout va bien.» J’aime ça. Elle suivait la voie à laquelle Dieu avait pourvu. Elle a dit : «Tout va bien maintenant.»

128      Et alors elle s’est mise à le lui révéler.

129      Il a parlé à Elisée, disant : «Va prendre mon bâton et dépose-le...», ou plutôt il a dit à Guéhazi : «Va prendre mon bâton et dépose-le sur l’enfant.»

130      Mais elle a dit : «Je ne vais pas te quitter.» Alors, le prophète est allé là, il a prié, il a parcouru la pièce, il s’est couché sur l’enfant mort, et celui-ci est revenu à la vie.

131      La femme, Marthe, savait que la Sunamite s’était rendue compte que Dieu était dans Son prophète. Et si Dieu était dans Son prophète, certainement que Dieu était dans Son Fils. Si donc elle pouvait arriver auprès de Jésus, elle aurait le remède. Elle court donc et se prosterne devant Lui. Elle dit : «Seigneur, si...» C’est ce qu’Il était. «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Oh! J’aime ça. «Maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»

132      C’est valable ce soir. Vous dites : «Je suis un pécheur, Frère Branham.» Maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera. «Aie pitié de moi, pécheur», Il le fera. Si tu es malade : «Aie pitié de moi, Seigneur», et Il le fera, maintenant même. Vous dites : «Le médecin m’a abandonné; mais : «Maintenant même, Seigneur.» Je n’ai pas marché ça fait cinq ans; mais : «Maintenant même, Seigneur.» Je n’ai rien entendu depuis je ne sais quand : «Maintenant même, Seigneur.» Je n’ai pas prononcé un mot depuis je ne peux vous dire quand, mais : «Maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu...» Et Il est assis à la droite du Père, intercédant sur base de votre confession. Alléluia!

            Elle a dit : «Maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»

133      Il a redressé Son petit corps, Il a dit : «Ton frère ressuscitera.»

            Elle a dit : «Oh! Oui, Seigneur, il ressuscitera à la résurrection générale, dans les derniers jours.»

134      Il a dit : «Je suis la Résurrection et la Vie.» Oh! la la!

135      La Bible dit : «Il n’avait pas de beauté pour attirer le regard, c’était un petit homme frêle.» Mais Il a dit... Quand Il s’est redressé, Dieu était là.

136      Il a dit : «Maintenant, ton frère ressuscitera.» Il a dit : «Je suis la Résurrection et la Vie», dit Dieu. «Celui qui croit en moi, quand bien même il serait mort, vivra. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?»

137      Elle a dit : «Oui, Seigneur. Je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.»

138      Il a dit : «Où l’avez-vous enseveli?» Il se dirigea vers la tombe. Jésus pleura.

139      Une femme m’a dit il n’y a pas longtemps, une très bonne femme de la science chrétienne, elle ne croyait pas que Jésus était le... et la Divinité. Elle croyait qu’Il était un Prophète. Elle croyait qu’elle était un Homme de bien, mais qu’Il n’était pas–qu’Il n’était pas né de la vierge. Elle nie la naissance virginale.

140      Non seulement cela, mais un sondage a révélé que quatre-vingt-cinq pour cent de prédicateurs protestants aux Etats-Unis soutiennent que la naissance virginale était une imposture. Exact. Je peux facilement voir cela, je peux facilement penser cela à voir comment ils vivent cela. C’est l’exacte vérité, ils croyaient que c’était une imposture.

141      Et un plus grand pourcentage que cela ne croyait pas que Jésus reviendrait visiblement. Il n’est pas étonnant que nous ayons besoin d’un réveil. Frère, écoutez ça. Vous entendez beaucoup parler de réveil aujourd’hui. Nous n’avons point eu de réveil.

142      Je suivais un autre homme il n’y a pas longtemps, alors qu’on en parle tant. Il disait... Il est entré dans une ville et il a eu cinq mille convertis. Nous avons vérifié cela juste après (pas moi), un groupe de prédicateurs, ils ont pris des cartes et ils ont vérifié. En trente jours, ils n’ont pas pu trouver trente personnes qui affirmaient être sauvées. Savez-vous ce que je pense? Je pense qu’il s’agit de la conviction plutôt que de la conversion. Quand un homme est né de nouveau de l’Esprit de Dieu...

143      Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, ce n’est pas d’un rassemblement, mais d’un réveil à l’ancienne mode, du Saint-Esprit envoyé de Dieu, au ciel clair, qui tue les péchés, d’une religion de lavage par le Sang. Amen. Cela vous amène à restituer ces outils de pneu et à vous repentir. C’est exact.

144      Elle a donc dit, elle a dit : «Eh bien, écoutez ça, Frère Branham. Je peux vous prouver qu’Il n’était qu’un homme.»

145      J’ai dit : «Faites-le. Si vous arrivez à me prouver qu’Il n’était pas Dieu, alors j’accepterai cela.»

146      Elle a dit : «Non, Il n’était pas Dieu. Il était juste un homme. Et je peux vous le prouver par la Bible, qu’Il était juste un homme.»

147      J’ai dit : «Si vous arrivez à le prouver par la Bible, alors je l’accepterai.»

            Elle a dit : «Etes-vous prêt?»

            J’ai dit : «Oui.»

148      Elle a dit : «En descendant, dans Saint-Jean 11, quand Il se dirigeait vers la tombe de Lazare, Il pleura.»

149      J’ai dit : «Qu’est-ce que cela a à faire avec la chose?»

150      Elle a dit : «Eh bien, c’était la preuve qu’Il n’était qu’un homme; Il pleura.»

151      J’ai dit : «Regardez ça, madame. Il était un Homme, c’est vrai. Mais Il était plus qu’un homme. Il était Dieu-Homme. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.» Oui, oui. Il était venu accomplir la volonté du Père. Il suivait la voie à laquelle Dieu avait pourvu. Il ne regardait jamais ni à droite ni à gauche. Il faisait ce que Dieu ordonnait. Il était la voie à laquelle Dieu avait pourvu.

152      Et en route vers Lazare, Il pleura. Il était un homme quand Il pleura. Mais quand Il se tint là à côté d’une tombe où gisait un homme depuis quatre jours; et les vers du corps grouillaient de part et d’autre de son corps puant, quand Il a dit : «Lazare, sors», et qu’un homme mort depuis quatre jours se tint sur ses pieds et vécut de nouveau, là, C’était plus qu’un homme.

153      Alléluia! Oui, oui. Il était un Homme quand Il pleura, mais Il était Dieu lors de la résurrection.

154      Il était un Homme quand Il descendait de la montagne cette nuit-là, affamé, cherchant partout dans les arbres quelque chose à manger. Il était un Homme quand Il avait faim.

155      Mais quand Il prit cinq petits pains et deux petits poissons et qu’Il nourrit cinq mille personnes, C’était plus qu’un homme. C’était Dieu dans la chair. Alléluia!

156      Il était un Homme quand Il était couché dans la barque cette nuit-là alors que la vertu était sortie de Ses vêtements, au point qu’Il était si faible que même une mer houleuse... dix mille démons de la mer juraient de Le noyer cette nuit-là, quand cette petite barque tanguait là comme un bouchon de liège sur la mer houleuse. Je sais qu’Il était un Homme alors qu’Il était couché là, endormi, mais quand on a dit : «Ne Te soucies-Tu pas de ce que nous périssons?»

157      Il plaça Son pied sur le bastingage de la barque et dit : «Silence, tais-toi», et il y eut du calme. C’était plus qu’un homme. Alléluia! C’était mon Dieu. Alléluia! Exact, Il l’était, oui, effectivement, Il l’était.

158      Il était un homme quand Il était suspendu au Calvaire, quand on Lui a rendu le plus grand hommage jamais Lui rendu. Quand on disait : «Il a sauvé les autres, Il ne peut pas se sauver Lui-même.»

159      Quel merveilleux hommage, ou compliment ils Lui ont rendu! S’Il avait sauvé les autres, s’Il s’était sauvé Lui-même, Il n’aurait pas pu sauver les autres. Il s’est donc livré Lui-même pour sauver les autres. Il était un homme alors qu’Il implorait la miséricorde, quand Il disait : «Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné?» Il mourut comme un homme. Oui.

160      Mais quand Il ressuscita le matin de Pâques, Il prouva qu’Il était Dieu. Il n’est pas étonnant que le poète ait dit :

            Vivant, Il m’aima; mourant, Il me sauva,

            Enseveli, Il emporta mes péchés au loin;

            Ressuscitant, Il me justifia gratuitement pour toujours;

            Un jour, Il reviendra, oh! quel glorieux jour!

            Alléluia! Je L’aime. Pas vous? Suivez la voie à laquelle Dieu a pourvu.

161      Une fois, je peux voir des mages, allant L’adorer à Sa naissance. Je peux les voir tous s’apprêter. Ils chargent leurs chameaux.

162      Je peux voir Jim Jones et tous les autres, et Dupond Durant charger. Je peux les voir mettre ces tables pour les cartes, chargées ici sur le côté comme cela, et ils ont mis tout le reste, ils allaient adorer Jésus. Ils ont fini par découvrir, une fois arrivés là, ils ont décidé que les vieux chameaux ne pouvaient pas marcher.

163      C’est ça le problème de l’église aujourd’hui. Vous l’avez surchargée du monde, et elle vous rétrograde. C’est vrai.

164      Je peux le voir au départ, comme cela, eux tous. Ils atteignent le flanc de la montagne, là, ils n’arrivent même pas à passer, car «Etroite est la porte, resserré le chemin, il y en aura peu qui le trouveront.» Oui, oui.

165      Je peux voir un drôle de gars faire ses valises. Il se dégage lui-même. «En effet, je fais ma valise pour aller au Ciel.»

            Frère, je ne me surcharge pas pour aller au Ciel, je me décharge pour aller au Ciel. Alléluia! Il y a l’Enlèvement, débarrassez-vous de tout.

166      La Bible dit : «Rejetons tout fardeau et le péché qui nous environne si facilement afin de courir avec persévérance dans cette carrière.»

167      Je peux voir ce drôle de gars aller...?... Je peux voir sa femme là, dire : «John, qu’y a-t-il, mon vieux? Où vas-tu?»

            Il a dit : «Je vais adorer le Seigneur.»

            «Comment sais-tu que tu vas y aller?»

            «Eh bien, j’y vais.»

168      «Eh bien, tu n’as même pas de boussole. Tu n’as même pas ta licence de prédicateur. Quoi diantre est ton problème? Vont-ils te recevoir? Tu vas adorer le Seigneur?»

            «Oui.»

            «Prends ta boussole.»

            «Non, je n’en ai pas besoin.»

            «Tu n’en as pas besoin? Comment vas-tu y arriver?»

169      Je peux le voir pointer l’Etoile du matin et dire : «Je vais suivre la voie à laquelle Dieu a pourvu.» Amen! Dieu avait pourvu à une Etoile pour conduire les mages. Ils n’avaient pas besoin de boussole. Ils avaient besoin de la voie à laquelle Dieu avait pourvu, l’Etoile. Gloire!

170      Et le même Dieu qui avait conduit les mages vers Christ, par l’Etoile, est ici ce soir sous forme du Saint-Esprit pour vous conduire à Christ, la nouvelle naissance, le baptême du Saint-Esprit qui est la voie à laquelle Dieu a pourvu : «Si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne verra même pas le Royaume de Dieu.» Hommes et femmes, avez-vous reçu Cela?

171      Mon temps est terminé. Oh! la la! J’ai bien envie d’aborder cela, enfoncer mes mains dans les poches de mon pantalon, et prêcher comme un vieux prédicateur sassafras. Pourquoi? J’aime ça. C’est bien d’avoir la glace, mais il vous faut avoir du lard et du haricot pour que cela colle à vos flancs, rien que Jésus...?... là. C’est ce dont nous avons besoin. Ne croyez-vous pas cela? Exact.

172      Dieu a une voie à laquelle Il a pourvu. Etes-vous dans cette Voie ce soir? Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru? Or, vous mes chers amis baptistes, et vous savez que j’étais membre... J’étais baptiste, et mon pasteur ici était un baptiste. Mais j’aimerais vous dire quelque chose. Actes 19 dit : «Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?» Non pas quand vous avez cru, mais depuis que vous avez cru. Oui, oui. Si vous ne L’avez pas reçu, C’est pour vous ce soir. Dieu a une voie à laquelle il a été pourvu.

173      Frère, soeur, n’essayez pas de suivre votre propre voie. Ne suivez pas les feuilles de figuier. Ne vous mettez pas à flotter sur un rondin comme ils avaient essayé de s’y prendre lors de la destruction antédiluvienne. Ne vous couvrez pas de feuilles de figuier comme Adam l’avait fait. Ne cherchez pas à suivre la voie du roi Nebucadnetsar : Persécuter l’Eglise de Dieu. Ne suivez pas toutes ces autres voies, ces apparences, ces rites et ces voies, plusieurs que nous pouvons men–mentionner.

174      Ne vous y prenez pas comme les pharisiens autrefois, une personne très religieuse. Ils disaient : «Eh bien, regardez ça, nous sommes d’un haut rang. Et s’il se passe quelque chose, c’est nous qui saurons tout cela.»

175      Et Dieu est allé là discrètement, Il a fait naître l’Enfant dans une crèche à Bethléhem, Il L’a fait venir au monde; et Il est sorti du monde par une peine capitale; ils n’ont rien vu à ce sujet. Exact. La voie à laquelle Dieu a pourvu.

176      Oh! Il y eut une fois une femme qui avait dépensé tout son argent. Alléluia! Les médecins ne pouvaient rien faire de bon pour elle. Et un jour, elle a failli s’évanouir. Elle avait souffert d’une perte de sang depuis plusieurs, plusieurs années. Et un jour, elle a entendu des clameurs dans un...?... Elle a regardé là, et là passait la Voie à laquelle Dieu avait pourvu. C’est exact. Oh! la la!

177      Je peux la voir dépasser les baptistes de haute classe : «Les jours des miracles sont passés.» Elle rampait droit entre leurs jambes. Ils ont dû s’écarter.

178      Je la vois arriver à Brigham Young avec toutes ses femmes; elle passe directement. Qu’a-t-elle dit?

179      J’entends les gens dire : «Marthe, où vas-tu, alors que le médecin ne peut rien faire de bien pour Toi? Où vas-tu? Je t’ai vue là-bas avec ce...?... Docteur.»

180      Elle a dit : «Je suis la Voie à laquelle Dieu a pourvu.»

            «Où est-ce? Tu ne veux pas dire que c’est cet Hypocrite là-bas?»

            «C’est là que ça se trouve. Je vais juste là.»

181      Elle s’est faufilée, elle a contourné jusqu’à arriver auprès de cet homme, ici. Et il était membre de ce genre d’églises, ceci et cela, ils ont tous essayé de la repousser. Mais elle s’est frayée le chemin jusqu’à Jésus.

182      Certains d’entre eux ont dit : «Eh bien, attends une minute, soeur. Si tu manges de la viande, tu ne peux pas faire cela.» Elle suivait la Voie à laquelle Dieu avait pourvu.

183      «Si tu n’a pas saisi de serpent, tu ne peux pas faire cela.» Elle suivait la Voie à laquelle Dieu avait pourvu. Elle tenait à arriver auprès de Jésus. C’est vrai.

184      Je pense à David d’autrefois. Alléluia! Oui, oui. Quand il a dit là... là où il parlait... Il a dit : «Goûtez et voyez, le Seigneur est bon. Cela avait le goût du miel sur le rocher.» Une ancienne petite déclaration que je faisais, je pensais à la vieille gibecière qu’ils transportaient à leur flanc, ici, un petit sac dans lequel ils mettaient du miel, les anciens bergers. Et quand le malade donnait... la brebis tombait complètement malade, ils prenaient un peu de miel de cette gibecière et mettaient cela sur la roche calcaire, ils faisaient venir la brebis malade et faisaient lécher ce rocher-là à la brebis malade. Et dès qu’elle se mettait à lécher le miel sur le rocher, elle se mettait à lécher du calcaire tout en léchant du miel. Et savez-vous ce qui arrivait? La brebis malade était guérie.

185      Maintenant, regardez ça, frère. J’en ai toute une gibecière pleine, ce soir. Je ne vais pas mettre cela sur l’Eglise baptiste, sur l’Eglise méthodiste, l’Eglise presbytérienne, ni l’Eglise pentecôtiste. Je mets cela sur Jésus-Christ, à sa place, et vous les brebis malades, mettez-vous à lécher et vous allez certainement en retirer quelque chose. Oui, oui. Léchez-Le. Comme ce vieil homme...? Léchez-Le; vous obtiendrez cela.

186      Ne faites pas attention à ce que votre église dit. Accordez votre attention à Christ. Suivez-Le, car en Lui, Il est l’Eglise. Je vois, suivez la voie à laquelle Dieu a pourvu. Il n’a jamais dit que les méthodistes étaient la voie à laquelle Dieu avait pourvu, Il n’a jamais dit que c’étaient les baptistes, ni aucune autre église. Il a dit : «Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie.» Vous dites : «Eh bien, comment sait-Il que je suis en Lui?»

187      «Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps», devenir membres de ce Corps-là, 1 Corinthiens 12. C’est vrai, candidat au... de Dieu.

188      Tout ce que Dieu a dans Son Royaume nous appartient. Il prend simplement tout le grand carnet plein de chèques, Il signe de Son Nom au bout de cela, disant : «Voici, fils. Tout ce dont tu as besoin, va le prendre.» Amen.

189      N’ayez pas peur de le remplir. Remplissez-le et présentez-le, dites : «Merci, Seigneur.» Alléluia! Cela va passer.

190      «Tout ce que vous demanderez (Marc 11.24) en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.»

191      Signez le chèque, dites : «Seigneur, j’ai besoin de guérison.» Détachez cela, dites : «Te voilà, Seigneur, je réclame la guérison au Nom de Jésus.» Dites : «Merci, Seigneur», et allez directement de l’avant, croyant pour la guérison. C’est exact. Comme ces corbeaux qui apportaient cette nourriture à Elie. Ça y est.

192      Vous dites : «J’ai besoin du salut de mon âme.» Que ferez-vous? Remplissez simplement et dites : «Il a dit : ‘Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigué et chargé; Je vous donnerai du repos.’ C’est pour moi, Seigneur.» Remplissez le chèque. «J’ai besoin du salut. Donne-le-moi, Seigneur.» «Le voici.» «Merci, Seigneur.» Partez avec cela.

            Avez-vous besoin du Saint-Esprit? Oui, monsieur.

193      «Attendez dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’En Haut. Après que ce Saint-Esprit sera venu sur vous, vous serez Mes témoins à Jérusalem, dans la Judée, dans la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre.» Croyez-vous cela? Remplissez le chèque, et envoyez-le signé, voyez ce qui arrive. Dieu l’accordera : La voie à laquelle Dieu a pourvu. Il a pourvu à un chéquier. Allez de l’avant et remplissez-le. Dieu l’a promis. Croyez-vous cela? Assurément. Dieu a toujours une voie à laquelle Il a pourvu.

194      Il y eut un jour un drôle de petit gars du nom de Jaïrus. Oh! Il avait, on dirait, adhéré à un groupe d’incroyants, comme beaucoup de prédicateurs qui se sont engagés dans la même voie aujourd’hui. La Bible déclare : «Ne vous mettez pas sous le même joug avec les incroyants.» D’accord. La chose suivante, vous savez...

195      Je me demande qui a dit cela? Est-ce vous?

196      Eh bien, la Bible déclare : «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. En Mon Nom, ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues, s’ils saisissent les serpents ou boivent quelque breuvage mortel... Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Prêchez cela dans la moitié des églises aujourd’hui, on vous boutera dehors. C’est vrai. C’est vrai. Ils ne connaissent pas la voie à laquelle Dieu a pourvu, c’est ce qu’Il a dit. C’est ce que Jésus a dit. Croyez-vous cela? Oui, oui.

197      Et alors, puisqu’Il l’a dit, amen, je le crois. Je pense que c’est la Vérité, et je suis Sa Voie, ce qu’Il a ordonné de faire. Et Il confirme Cela par des signes et des prodiges qui accompagnent. C’est vrai.

198      Faites donc simplement la même chose, suivez directement cela. C’est pour celui... quiconque veut, qu’il vienne. Allons-y donc. Si Dieu vous a appelé, vous devez venir. Entrez donc directement. N’attendez plus. Recevez cela ce soir.

199      Je vois ce drôle de petit gars, il s’est engagé lui-même, il aimait Jésus, mais cependant, il suivait, on dirait, une voie... il ne voulait pas perdre son prestige, vous savez, les bénédictions. Il est donc sorti...?...

200      Le Seigneur a donc dit : «Eh bien, regardez ce drôle de petit gars là-bas. Je l’ai prédestiné à la Vie Eternelle, et il est là avec cette bande d’incroyants. Je vais donc lui régler son compte.» Il a simplement laissé sa fille tomber malade.

            Il a dit : «Eh bien, je vais faire venir docteur Doe.»

201      Docteur Doe l’a examinée. Il a dit : «Son pouls faiblit, Jaïrus. Je vais vous dire ce que nous ferons de mieux; nous ferons mieux ceci, cela.» Et il a donné à la fille tous les médicaments, et autres. Son état continuait à empirer, elle se mourrait.

202      Alors, il a dit : «Je–je me demande si Dieu a une voie à laquelle Il a pourvu.» Oh! la la!

203      L’Homme qu’il avait tant critiqué au sujet de la guérison divine; ou il avait entendu parler de Lui... Il a dit : «Oui. Oui. Oui, oui.»

204      «Jaïrus, ne penses-tu pas qu’Il est un hypocrite?»

205      «Non, dit le Saint-Esprit, Il n’est pas un hypocrite. Vous croyez en Lui.»

            «Oh! D’accord, ouais. Oh! Je–je pense qu’Il l’est.»

206      Voyez, c’est ce que sont certains de ces prédicateurs frontaliers (C’est vrai), ils ont simplement peur. Oh! Que Dieu vous débarrasse du bréchet et qu’Il mette en vous une colonne vertébrale.

207      J’aime le témoignage de Buddy Robinson. Il a dit : «Seigneur, donne-moi une colonne vertébrale de la taille d’une scie à ruban. Mets beaucoup de bruits dans le pignon de mon âme. Et laisse-moi combattre le diable tant qu’il me reste une dent, et puis, que je le pince avec des gencives jusqu’à ma mort.» J’aime ça. C’est bien. Il a dit : «J’avais un vieux chien pour chasser les ratons laveurs. Il est mort, vieux. Il combattait les ratons laveurs jusqu’à ce qu’il ne lui restait qu’une seule dent et après, il les pinçait avec ses gencives et aboyait.» J’aime ça, exact. Alléluia.

208      Vous dites : «Frère Branham, je n’ai guère une grande instruction. Je suis trop petit. Les prédicateurs me rejetteront.»

209      Retournons à l’histoire : «Ce n’est pas le poids du chien dans le combat qui compte, c’est la combativité du chien qui compte.» C’est ce qui se passe aujourd’hui. Tenez-vous là. Voyez, de toute façon aujourd’hui, le chien subsistera là.

210      C’est comme le vieux chef le disait un jour, alors qu’il s’apprêtait à partir. On lui a demandé : «Comment allez-vous, chef?»

211      Il a dit : «...?...» Il a dit : «Il y a deux chiens en moi. L’un, noir, et l’autre, blanc. Le noir veut que je fasse le mal, et le blanc veut que je fasse le bien.» Il a dit : «Il se combattent toujours et se querellent.»

            J’ai dit : «Lequel gagne, chef?»

            Il a dit : «Ça dépend de celui que le chef nourrit le plus.»

212      C’est à peu près vrai aussi. Oui, oui. D’accord, frère. Je vais vous dire, ce dont le monde a besoin ce soir, c’est d’une vieille bonne secousse.

213      Jaïrus a dit : «Maintenant, attendez une minute.» La jeune fille tomba gravement malade. L’unique espoir qui restait pour jamais la récupérer, c’était d’aller auprès de Jésus. Elle... On est allé chercher Jésus.

214      Pendant qu’il était en route... Je le vois s’approcher. Une femme venait d’être guérie d’une perte de sang. Et le voici continuer, il dit : «Ma fille est étendue là maintenant. Peu m’importe ce que le sacrificateur dit, ce que n’importe qui dit. Veux-Tu venir lui imposer les mains? Je crois que Tu es la Voie à Laquelle Dieu a pourvu pour sa guérison. Veux-Tu lui imposer les mains? Elle guérira.»

            Il a dit : «J’irai.»

215      Le voici s’engager, allant de l’avant. La chose suivante, vous savez, un homme est venu de sa maison, en courant, il a dit : «Jaïrus, ne dérange plus le Maître, car elle est déjà morte.» Oh! la la! Je peux voir son petit coeur bondir en lui, comme cela.

216      Je peux voir ces tendres yeux aimables de Jésus se tourner vers lui, Il dit : «Ne t’ai-Je pas dit : ‘N’aie pas peur, et tu verras la gloire de Dieu’?» Il est la Voie à laquelle Dieu a pourvu.

217      Il y avait un vieil homme du nom de l’aveugle Bartimée. Un jour, il était assis à la porte, mendiant l’aumône, il faisait froid, c’était vers octobre. Il a entendu un bruit dans la rue : «Qu’est-ce?»

218      «Eh bien, lui a-t-on répondu, c’est Jésus de Nazareth.»

219      Il n’avait jamais vu... Il tira sa robe. Il ne l’a point déposée par terre, il l’a pliée de sorte, vous savez, qu’il puisse retrouver son chemin de retour vers cela de façon aveugle. Il a jeté sa robe de côté. Dieu avait pourvu à une voie, et il La cherchait. Il a couru vers là.

220      Quelque...?... disent : «Assieds-toi. Assieds-toi. Il n’a pas de temps à perdre avec toi.» Il a crié plus haut : «Jésus, Fils de David, aie pitié de moi. Aie pitié de moi.» Il passait au milieu de la foule. «Aie pitié de moi. Je sais que Tu es la Voie à Laquelle Dieu a pourvu pour mes yeux. Ô Seigneur, aie pitié de moi.» C’est exact.

221      Un jour, j’ai lu l’histoire de l’aveugle Bartimée, une petite histoire. On raconte qu’il était aveugle depuis des années. Il avait une fillette qu’Il n’avait jamais vue. Une nuit... Et ils avaient l’habitude d’aller s’asseoir là dans la rue. Il avait un petit agneau. Les agneaux conduisaient les aveugles comme les chiens le font aujourd’hui; les chiens conduisent l’aveugle. Eux avaient un agneau formé pour conduire l’aveugle. Et alors, quelqu’un a dit, un jour, que...

222      Il avait deux petites tourterelles qui faisaient de petites culbutes comme cela, pour attirer l’attention des touristes qui entraient à Jérusalem ou dans la–la cité, et ceux-ci faisaient tomber des pièces d’argent dans sa coupe. Il était aveugle.

223      Alors, une nuit, sa femme tomba gravement malade. Il alla donc auprès du Seigneur. Il dit : «Seigneur, je n’ai rien. Je suis un homme pauvre. Je suis un aveugle. Je n’ai rien à Te donner. Mais je crois en Toi, Seigneur. Et si seulement Tu me fais grâce et que Tu laisses ma pauvre femme vivre, demain, je Te donnerai ma tourterelle en sacrifice.» Le Seigneur guérit sa femme cette nuit-là.

224      Le lendemain, il alla auprès du sacrificateur, il offrit ses deux tourterelles en sacrifice. Alors, il ne lui resta que l’agneau.

225      Peu après cela, sa fillette tomba malade. Les médecins ne pouvaient rien faire pour elle. Il dit : «Seigneur, il ne me reste qu’une seule chose, et, dit-il, c’est l’agneau. Mais si Tu laisses ma fillette, que je n’ai jamais vue, si seulement Tu la guéris, alors je Te donnerai mon agneau en sacrifice.» Puis, le Seigneur guérit sa fillette.

226      Quelques jours après cela, il s’engagea dans la rue, cet agneau le conduisant. Et Caïphe, le sacrificateur, passait. Il dit : «Aveugle Bartimée, où vas-tu?»

227      Il dit : «Je vais, ô souverain sacrificateur, au temple. L’agneau me conduit au temple pour offrir l’agneau en sacrifice.»

228      «Oh! dit-il, tu ne peux pas faire cela.»

            Il a dit : «Si», Bartimée.

229      Il a dit : «Tiens, je vais te donner le prix d’un agneau. Tu vas en acheter un.»

230      Il a dit : «Je n’ai point promis à Dieu un agneau. Je Lui ai promis cet agneau-ci, cet agneau-ci.»

231      Il a dit : «Aveugle Bartimée, tu ne peux pas amener cet agneau-là. Cet agneau-là, ce sont tes yeux. Tu ne vois pas sans cet agneau-là, cet agneau-là te conduit. Ce sont tes yeux, aveugle Bartimée. Tu ne peux pas offrir cet agneau-là.»

232      On raconte que le vieil homme a tremblé un peu et a dit : «Ô souverain sacrificateur, Dieu pourvoira à un agneau pour les yeux de l’aveugle Bartimée.» Que Dieu bénisse son coeur. Quand il a entendu cela passer, Dieu avait pourvu d’un agneau. Il est là.

233      Il est l’Agneau auquel Dieu a pourvu ce soir. Il est l’Agneau auquel Dieu a pourvu pour nos yeux, vos yeux spirituels. Il est l’Agneau auquel Dieu a pourvu pour votre âme. Il est l’Agneau auquel Dieu a pourvu pour que vous échappiez à l’enfer. Il est l’Agneau auquel Dieu a pourvu pour votre gloire au Ciel.

234      Ne voudriez-vous pas Le recevoir, pendant que nous prions, avec nos têtes inclinées?

235      Ô Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur ce peuple. Ces pauvres petites choses, ils ont préparé des commentaires, Seigneur. Mais je sais que Tu as une voie à laquelle il est pourvu.

236      Tu as dit : «Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» Un temps de préparation, un temps où un lieu doit être préparé pour ceux qui voulaient échapper à la colère. Je prie, ô Dieu, que maintenant même cet Agneau de Dieu auquel il a été pourvu pour les yeux de l’homme aveugle, ou de la femme à la perte de sang, pour arrêter la perte de sang, que cet Agneau qui a été pourvu pour Lazare qui était mort... Ô Dieu, aie pitié.

237      Quand j’y pense, c’est le même Agneau qui a été pourvu un jour pour mes yeux aveugles, alors que les frères Mayo m’avaient dit, il y a de cela trois ans, qu’il n’y avait plus d’espoir de me rétablir. Dieu pourvut à un Agneau.

238      Quand Tu envoyas Ton Ange là à Green’s Mill, Il dit : «Va faire ceci.» Comment pouvais-je m’y prendre devant un grand monde d’athées et d’incroyants? Mais Dieu a pourvu à un Agneau.

239      Ô Dieu, ma pauvre petite église ici, Seigneur, alors que je la regarde... je pense à plusieurs milliers de kilomètres de l’autre côté de la mer, et de pleines gelées avec des icebergs. Que des fois je me suis mis là, seul dans une pièce, en train de prier, je pense à des fois où on ne passerait pas par ici me serrer la main... La vieille sciure de bois rependue par terre, les fenêtres bougeaient alors que le vent soufflait...

240      Je pense quand j’ai amené ma propre chère femme et je l’ai étendue là aux pieds de la croix, j’ai prêché à ses funérailles. Je me souviens avoir vu ma petite enfant, Seigneur, étendue dans les bras de sa mère.

241      Je me souviens du pauvre petit Billy Paul, que Tu as rempli du Saint-Esprit il y a quelques heures, alors qu’on descendait à la tombe de la maman là ce matin-là, déposer une gerbe de fleurs de Pâques dessus, il s’est mis à pleurer; j’ai fait passer mon bras autour du petit garçon et j’ai dit : «Dieu a pourvu à un Agneau, un Sacrifice expiatoire. Un jour, cette petite tombe s’ouvrira; maman en sortira; ta petite-soeur aussi. Dieu a un Agneau auquel il a été pourvu.»

242      L’un de ces jours, ô Dieu, alors que mon dernier sermon aura été prêché, peut-être que je serai étendu dans une pièce, et que le pouls remontera dans les manches, les vagues froides de la mort entreront dans la pièce, alors que la fenêtre est ouverte, les rideaux souffleront au vent, pousse au large alors le bateau de sauvetage, Seigneur. J’effectuerai ma dernière chevauchée. Je tendrai simplement le drap. La couverture descendra et le drap me couvrira.

243      J’aimerais descendre la vallée de l’ombre de la mort. J’aimerais arriver au Jourdain : «Dégage ma voie.» Et je crierai : «Cède la place, Jourdain. Je traverse.» Seigneur, envoie alors le bateau de sauvetage vers moi. Reçois-moi, le veux-Tu, Seigneur? Reçois-moi donc; le veux-Tu, Seigneur? Non seulement moi, mais tout celui qui est ici présent, qu’il puisse être reçu en ce temps-là, le veux-Tu, Seigneur. Accorde-le. Depuis lors, il y a eu beaucoup parmi nous qui ont traversé, qui sont retournés au paradis et qui vivent donc éternellement.

244      Père, si cet homme ou cette femme est ici ce soir, qui ne Te connaît pas, qui ne sait pas la valeur de tout cela, qui n’est jamais né de nouveau, qui n’a jamais trouvé la voie à laquelle il a été pourvu, qu’il puisse trouver cela maintenant même, alors que nous prions, par le Nom de Jésus-Christ.

245      Avec vos têtes inclinées, mon ami pécheur. Que Dieu bénisse votre coeur. Beaucoup dehors ou à l’intérieur... Le Saint-Esprit est ici. Avez-vous déjà accepté l’issue de Dieu, la voie à laquelle Dieu a pourvu pour vous? Il n’y a rien que vous puissiez faire pour mériter cela. Dieu a pourvu à cela pour vous. Ne voudriez-vous pas venir recevoir cela? Ne voudriez-vous pas, ce soir? S’il y a un ami pécheur ici, qu’il lève la main pour dire : «Frère Branham, priez pour moi. Je veux l’Agneau de Dieu auquel il a été a pourvu dans ma vie.»

246      Nous n’avons pas de place ici pour l’appel à un autel... à l’autel. Il n’y a pas de place, alors je vous demande simplement de lever la main. Allez-vous le faire, pécheur? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Et que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, et vous. Là au fond encore, n’importe qui là derrière?

247      A ma droite maintenant? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre qui lève la main pour dire : «Souviens-Toi de moi. Ô Dieu, accorde moi la grâce ce soir... Ton Agneau de la Vie.» Que Dieu vous bénisse, soeur. Je vous vois, vous assise ici. Quelqu’un dehors, avancez et déposez vos mains à la fenêtre pour dire : «Frère Branham, souvenez-vous de moi. Je veux la voie à laquelle Dieu a pourvu.»

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