Crois-Tu Cela?

Date: 53-0906A | La durée est de: 1 heure et 30 minutes | La traduction: Shp
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1          Bien, ce serait une bonne chose lors de mes funérailles. Ce serait très bien.

            J’aime certainement penser à la Divinité de notre Seigneur Jésus-Christ, pas vous? Aujourd’hui, alors que les gens essaient de dire qu’Il n’était juste qu’un philosophe d’un certain genre, moi je crois qu’Il était Dieu Emmanuel. Certainement.

            Et je pense que toute louange Lui revient. Grâces soient rendues à Son saint et vénérable Nom. Je vis en Son Nom, travaille en Son Nom, chante en Son Nom, prêche en Son Nom, et guéris en Son Nom. Je veux mourir en Son Nom et ressusciter en Son Nom. C’est exact.

            Hier soir, frère Baxter... Je lui ai demandé, j’ai dit: «Frère Baxter, voudriez-vous me faire une faveur? Je voudrais terminer un peu tôt.» J’ai dit: «Si nous devons avoir une ligne rapide, ai-je dit, je voudrais que vous prêchiez quelque chose pour moi.» J’aime l’entendre prêcher cela.

            Il a dit: «Sur quoi donc?»

            J’ai dit: «Sur Schamgar.» Il a tué tous les Philistins. J’aime bien me débarrasser d’eux, pas vous? La–la Bible déclare qu’ils seraient des chardons dans votre chair si vous les laissez vivre dans le pays. Ainsi, débarrassons-nous d’eux. Hier soir, je suis donc resté assis là, et j’ai beaucoup apprécié la prédication sur Schamgar.

2          Aujourd’hui, il a dit: «Et si on prêchait sur la résurrection de Lazare?»

            Alors j’ai dit: «J’ai peut-être déjà prêché cela auparavant.» Ainsi, je crois que Dieu nous accordera une grande soirée avec cela, et que la bénédiction de Dieu soit sur vous tous.

            Je suis heureux d’être ici dans ce tabernacle qui est un mémorial aujourd’hui, là où de grands hommes se sont tenus à l’estrade, des hommes qui sont allés au Ciel.

            Je ne sais pas à quel point ceci est vrai. D’une source digne de foi, j’ai appris que feu Paul Rader qui, je crois, était le fondateur de ce tabernacle, si je ne me trompe pas... Le fondateur du tabernacle... J’ai eu l’occasion de l’entendre une fois dans ma vie à Fort Wayne, et hier soir on a dit qu’on l’a vu dans une vision ici à l’estrade. Il n’est pas mort, mais il est vivant. Son nom sera immortel dans les coeurs des gens pendant des années et des années à venir.

3          On rapporte que lorsqu’il était mourant, et c’était en Californie, les gens chantaient des cantiques; et selon ce que j’ai appris, frère Rader, juste... ou plutôt les gens qui étaient juste autour de frère Rader; et il avait vraiment le sens de l’humour, et on dit que ces gens chantaient des cantiques mélancoliques, et il a dit: «Dites donc, qui est en train de mourir, moi ou vous?» Il a dit: «Relevez ces rideaux... ces stores, plutôt, et chantez-moi de très bons cantiques évangéliques, pleins d’entrain.»

            Ils se sont mis à chanter quelque chose: A la Croix, ou quelque chose comme ça, et il a dit: «Voilà qui est mieux!» Il a dit: «Où est Luc?» Et Luc qui, naturellement, ne voulait pas voir son frère mourir, est entré dans la pièce, et on dit qu’il saisit Luc par la main et dit: «Luc, nous avons fait un long chemin ensemble mais, penses-y un peu, dans cinq minutes je serai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice.»

            Je pense que la vie de grands hommes nous rappelle à tous,
            Que nous pouvons rendre nos vies sublimes,
            Et en partant laisser derrière nous,
            Des traces de pas sur le sable du temps.

            C’est exact. Le grand et éminent Billy Sunday qui a prêché dans ce tabernacle, semaine après semaine lors des réveils, certains d’entre vous ici probablement venaient pour l’entendre...

4          Je me rappelle, alors que j’étais encore petit garçon, quand il est mort. On disait: «Billy Sunday s’est avancé dans l’allée de sciure.» Il les a peut-être invités à plusieurs occasions à s’engager dans ces allées de sciure. On l’a trouvé mort dans son lit, pas mort, mais parti pour être avec Jésus.

            Il n’y a pas une seule Ecriture dans la Bible qui dise qu’un chrétien meurt. Les chrétiens ne meurent pas. Vous ne pouvez pas mourir. Vous avez la Vie Eternelle, comment peut-Elle avoir une fin? Elle ne peut pas en avoir.

            C’est pourquoi, lorsque nous nous mettons à y penser, cela réjouit nos coeurs, n’est-ce pas?

5          Il s’est fait que je suis arrivé à temps pour entendre frère Baxter qui prélevait une offrande d’amour pour moi. Je suis désolé que nous ayons même à faire cela. Je–je reçois une offrande d’amour chaque semaine. Et frère Baxter aussi. C’est juste... Alors on règle les dépenses de la réunion, et ensuite après que nous avons reçu ça, si toutes les dépenses ont été couvertes, alors nous recevons chacun une offrande d’amour.

            Je puis vous assurer, mes amis, de ma gratitude, du fond de mon coeur, j’apprécie cela. Je ferai tout ce que je peux pour utiliser cela avec beaucoup de crainte pour la gloire de Dieu, au mieux de ma connaissance.

            Si j’arrive à payer ma dette initiale maintenant avec les deux offrandes d’amour que j’ai reçues dans cette série de réunions, j’irai à une conférence qui est... Les gens prélèvent des offrandes missionnaires et tout pendant la conférence, et cela ne... Les gens ne peuvent pas... Ce sont peut-être seulement mes dépenses ou quelque chose comme ça qu’ils payent. J’irai ensuite à Kansas City, ensuite à Los Angeles.

6          Et nous craignons simplement pour nous rendre où que ce soit, parce que je–je sais que les réunions d’outre-mer approchent, et je–je dois y aller. C’est pourquoi je crains de prendre un itinéraire trop long, car le Seigneur pourrait m’appeler à tout moment, pour partir à tout moment. J’ai déjà reçu les injections et tout ce que je dois recevoir, et je suis prêt à partir quand le Seigneur m’appellera à partir.

            C’est aussi de cette manière que je veux être prêt à aller au Ciel: que tout soit prêt quand Il appellera.

            Et j’apprécie beaucoup ceci. Que Dieu vous bénisse en toutes choses; si cela suffit et va au-delà du montant nécessaire pour couvrir mes dépenses initiales, alors je mettrai cela dans les missions à l’étranger.

7          Et si seulement vous connaissiez les missionnaires qui sont dans cette réunion cet après-midi, et bien des fois quand je suis allé là-bas... Bon nombre d’entre vous connaissent cette histoire; Dieu m’avait dit d’aller à un certain endroit, et j’ai laissé un groupe de prédicateurs me dissuader d’y aller. Et je suis allé ailleurs, parce qu’eux voulaient que j’y aille; et j’ai certainement payé pour cela. Il m’a dit que je paierai pour cela.

            Mais alors, je suis tombé malade, des parasites, le médecin a même dit que je n’avais aucune chance de vivre.»

            Il me restait dix heures à vivre, et le Seigneur Jésus est venu vers moi dans une vision, et Il a dit: «C’est terminé.»

            Je suis retourné chez le même médecin, environ deux... huit heures après et j’ai dit: «Docteur, faites-moi examiner pour des parasites.»

            Il a dit: «Bien, Révérend, vous avez attrapé des parasites.» Il a dit: «Eh bien, je vous ai tout donné» et voici l’obs-...l’observation qu’il a faite. Il a dit: «Je vous ai tout donné, et je vous ai lancé la boîte», et il a dit: «Vous avez toujours des parasites.»

            J’ai dit: «Mais maintenant je n’en ai plus.»

            Il a dit: «Oh! Vous en avez.»

            J’ai dit: «Voudriez-vous me faire examiner?»

            Il a dit: «C’est inutile.»

8          J’ai dit: «Voudriez-vous le faire juste sur base... Je vais vous payer pour cela. Je veux juste vous montrer ce que notre Seigneur est capable de faire.»

            Il a dit: «Vous avez des parasites, Révérend.»

            J’ai dit: «Faites-moi examiner.» Après l’avoir fait, il ne savait pas... C’était totalement négatif.

            Il a dit: «Eh bien, que s’est-il passé?»

            J’ai dit: «Le Seigneur Jésus-Christ en qui je me confie, c’est Lui qui a fait cela. Il m’en a délivré.»

            Il a dit: «Révérend, où allez-vous à présent?»

            J’ai dit: «Je retourne outre-mer.»

            Il a dit: «Au même endroit?»

            J’ai dit: «Oui, oui.»

9          Il a dit: «Vous voulez me dire que vous retournez, alors que vous étiez sur le point de laisser votre épouse et vos enfants, et toutes ces choses qui arrivent, des avions qui ont fait des accidents et tout le reste, et qu’en venant cinquante-deux personnes qui vous précédaient ont perdu la vie comme cela?»

            J’ai dit: «Ça ne change rien. Quelque Chose ici au fond appelle, me disant que je dois retourner, qu’il s’agisse de vivre ou de mourir; je dois obéir à Dieu.»

            Et, les amis, c’est–c’est exact. Quand je pense aujourd’hui, quand je regarde partout dans les rues de Chicago et d’autres villes, et que je vois les–les enfants et tout, et que je regarde dans les restaurants, et que je vois des mets copieux et excellents qui sont servis et des choses semblables...

            J’apprécie un pays comme celui-ci, mais quelque part là-bas en Afrique, il y a un petit garçon noir qui ne sait même pas ce que c’est qu’un bonbon, qui n’a jamais porté un bout d’étoffe, qui n’a jamais pris un bain, qui n’a jamais bu un verre d’eau potable!

10        Le pauvre petit gars affamé, qui ôte la poussière de ses yeux en les essuyant et qui pleure comme cela, désirant entendre parler de Jésus-Christ une fois. Il a autant le droit d’entendre parler de Lui que ma petite fille assise là qui entend parler de Lui chaque jour. Est-ce juste? Quelqu’un doit l’apporter. C’est exact. Quelqu’un doit l’apporter, et j’ai cela sur le coeur de le faire.

            Et je prie Dieu de bénir tout celui qui a mis sa part dans cette offrande, et tout ce que je puis faire en dehors de mes propres... ce que je... Et nous vivons comme des hommes ordinaires, mes amis. S’il était question d’argent, je serais un millionnaire. Une fois, j’ai reçu de la part d’une personne une offrande d’un million et cinq cent mille dollars. Les agents du FBI me l’ont apportée, et j’ai refusé même de regarder à cela.

11        Il a dit: «Révérend Frère Branham, ceci... Vous ne savez pas ce que c’est.»

            J’ai dit: «Ça ne change rien, monsieur. Je ne prends pas l’argent des gens.» Je suis venu pauvre dans ce monde, et pauvre je m’en irai. Comment pourrais-je être riche alors que les gens qui sont ici... Il n’y a pas longtemps, quelqu’un voulait m’offrir une grosse Cadillac. Mon vieux petit camion Chevrolet, là-bas, était presque rétrograde, alors je... C’est un terme fort pour un baptiste, n’est-ce pas? Rétrograder, pourtant on peut faire cela.

            Ainsi c’était... Il a dit: «Etes-vous... Est-ce que c’est à bord de ça que vous roulez?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur. Elle est chouette.»

            Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, je vous assure, Frère Branham, a-t-il dit, nous avons offert une Cadillac à Avak, a-t-il dit, nous allons carrément vous en offrir une toute neuve pour que vous rentriez chez vous en roulant à bord.»

            J’ai dit: «Je–j’apprécie cela, frère.» J’ai dit: «Je–j’apprécie cela de tout mon coeur, ai-je dit, mais je–je ne pourrais pas rouler en Cadillac.» J’ai dit: «J’apprécierais que quiconque puisse rouler en Cadillac», mais j’ai dit: «Moi, je ne pourrais pas le faire.»

12        Qu’en serait-il si je devais traverser maintenant l’Arkansas (Voyez-vous?), où toutes ces pauvres petites récolteuses de coton et ces petites mères sont là dehors dans les champs avec sur le dos un sac de coton pesant environ cinquante ou cent livres [22,6 ou 45,2 kg] qu’elles traînent le matin, leurs pauvres vieilles petites mains couvertes de bourres de coton comme cela, prenant du lard gras et du pain de maïs comme petit déjeuner, et voilà–voilà frère Branham qui passe là à bord d’une grosse Cadillac?

            Pas moi. Non, monsieur. Non, monsieur. Ce n’est pas dans mon sang. Si je devais obtenir ce que je mérite, je serais à pieds, je roulerais à bicyclette ou quelque chose comme ça. Oui, monsieur. Je le déclare du fond du coeur, et je préférerais avoir la faveur de Dieu plutôt que d’avoir la plus belle maison que vous avez à Chicago et être hors de la commission de Dieu. Pour moi la chose principale, c’est avoir la faveur de Dieu.

13        Eh bien, j’apprécie chaque homme que Dieu... J’aime voir des pauvres quand ils n’ont rien, et les voir prospérer et acquérir une jolie petite maison et une automobile. Et, oh! vous ne savez pas le bien que ça me fait juste de voir des pauvres... Je sais ce que ça signifie d’être pauvre. Je suis encore pauvre, je mourrai pauvre, mais je suis... Ce que ça signifie pour moi de voir des gens quand ils prospèrent, quand Dieu les a bénis. Cela fait tressaillir mon coeur.

            Certains frères qui sont assis ici maintenant, j’étais chez eux, je suis resté chez eux la dernière fois que j’étais ici, et ce sont d’aimables familles et oh! je... Ils m’ont raconté qu’ils sont venus ici à Chicago presque sans rien, et ensuite ils ont acquis une belle maison, et ils ont de beaux enfants, et de charmantes épouses; des frères doux qui sont en plein dans le ministère et dans l’oeuvre du Seigneur. Oh! la la! Avec ça–avec ça je me mets simplement à genoux, et je remercie le Père céleste pour de telles personnes. Certainement.

14        Je pourrais dire tant de choses, mais je dirais ceci: «Que Dieu vous bénisse tous.» Je pense que c’est la plus merveilleuse parole qui puisse être... Si Dieu me bénit, voilà tout ce dont j’ai besoin. Est-ce juste? Si Dieu me bénit, c’est–c’est suffisant. C’est tout ce qui m’intéresse.

            Maintenant, je ne veux pas que mon temps s’épuise. Je dois prêcher un petit peu cet après-midi, ou plutôt–ou plutôt parler. Je ne suis pas un prédicateur. Je suis juste... Comme je vous le disais l’autre jour, je suis un pneu de rechange. Quand vous avez une crevaison, vous savez, c’est à ce moment-là que vous l’utilisez. Eh bien, nous n’avons pas de crevaison pour le moment, mais nous... Mais je suis juste un pneu qu’on a gardé en réserve cet après-midi.

            Je me rappelle par exemple une petite chose que je dis souvent aux gens, et que je me rappelle le fait d’être prédicateur. Ma mère est ici présente. Elle peut mettre les doigts dans ses oreilles maintenant. Mon père était un cavalier. Et aussi ç’en était un bon, il faisait de l’équitation. Et c’était un fin tireur. Il prenait des fusils, et il jetait là ces grosses billes en argile, et d’un fusil il tirait sur une autre bille, et il la soulevait, et il faisait éclater la bille avec l’autre fusil. Eh bien, moi je ne pourrais pas, en tirant, toucher des bassines comme cela, mais lui il... mais lui il était un excellent, et j’ai toujours désiré être comme mon père.

15        Je me souviens donc quand nous étions enfants, nous avions l’habitude de labourer, et je–j’entendais maman quand elle m’appelait. Et elle... la seule chose que j’entendais c’était: «...-iam!», vous savez. «William.» J’entendais cela tout au fond du champ, vous savez. Je prenais mon vieux chapeau de paille, et je l’agitais pour faire signe, et je prenais ces vieilles cordes. Combien ont déjà labouré avec les vieilles cordes? Voyons. Eh bien, il y a quelques garçons de campagne assis ici. Oui, oui. Les vieilles cordes, je les ôtais de mon cou, vous savez, et je rentrais pour le dîner.

            Maintenant, je me souviens qu’après avoir labouré pendant toute la journée, vous savez, et oh! on était fatigué. Ce soir-là, quand nous sommes rentrés, eh bien, papa était encore dans le champ. Moi, je devais rentrer tôt, parce que je devais traire la vieille vache. Ainsi, on faisait le tour. J’allais à l’abreuvoir. Quelqu’un sait-il ce que c’est qu’un abreuvoir, là où les chevaux s’abreuvent? Oh! Maintenant, je me sens chez moi, n’est-ce pas? Très bien.

16        J’allais là, vous savez, et je–je... Mes frères et tous les autres venaient là et me regardaient, vous savez, je rentrais et j’allais derrière la colline, en venant de la maison; j’entrais là et je prenais la selle de papa, vous savez, et je me cherchais une poignée de graterons et la mettait sous la selle, et je plaçais la selle sur le vieux cheval, vous savez, et je le montais.

            Le pauvre, il était si fatigué et si vieux aussi, vous savez, et il était raide, il n’était même plus en mesure de soulever ses pattes du sol. Elle braillait tout simplement, vous savez. Je retirais ce chapeau, vous savez, et j’étais un vrai cow-boy; je chevauchais, vous savez, et tous mes frères s’asseyaient là et m’acclamaient, vous savez. J’étais un vrai cow-boy.

            Quand j’ai eu environ dix-neuf ans, j’ai quitté la maison. Maman ne m’a pas encore suffisamment fouetté pour cela. J’ai donc quitté la maison, et je suis allé à l’Ouest. Je voulais devenir un cavalier. Je voulais alors remporter la selle d’argent, Frère Osborn. Vous savez de quoi je parle.

17        Ainsi j’étais donc... je suis allé à l’Ouest, je suis allé en Arizona, et ils avaient organisé un rodéo là. J’ai dit: «Je suis... J’ai besoin d’argent.» Et je suis allé me procurer un pantalon Levis, et je suis allé, je me disais: «Je vais faire de l’équitation. Ces gars qui sont ici n’en savent pas plus que moi sur l’équitation.»

            J’ai donc escaladé la–la clôture qui entourait le–l’endroit où se déroulait le rodéo. Et aussitôt, ils ont fait sortir les chevaux, ainsi que les chevaux qui font des ruades, et il y avait là un cheval qui était fameux. On disait: «Eh bien, quiconque peut monter ce cheval...»

18        Et on a fait venir un cavalier célèbre, et j’ai compris qu’il allait gagner environ, oh! je pense, deux cents dollars ou plus en montant un cheval. Et il... Et dans sa grande et belle tenue de beau type, il a sauté sur la selle. Quand il est sorti, s’engageant dans une lutte libre, il est sorti du couloir, et quand il est sorti de là, ce cheval n’a fait qu’environ une seule ruade, s’est cabré et la selle est allée d’un côté, et l’homme est allé de l’autre. Le personnel du ramassage a récupéré le cheval, et l’ambulance a ramassé le cavalier, et il saignait des oreilles et des yeux.

            Et l’homme longeait la clôture, et il a dit: «Quiconque d’entre vous les cow-boys qui êtes ici, quiconque d’entre vous peut monter ce cheval et rester sur lui pendant une minute, je lui donnerai cent dollars par minute.» Alors, personne ne disait mot. Il s’est avancé et il a fixé son regard droit sur moi qui étais assis là, vous savez, portant un pantalon Levis, faisant impression, et confondu parmi les autres cow-boys, vous savez. J’étais un enfant. Il a regardé comme cela, vous savez, et il s’est dirigé droit vers moi et il a dit: «Etes-vous un cavalier?»

            J’ai dit: «Non, monsieur. Non, monsieur.» Je savais que ce n’était pas le vieux cheval raide de labour de papa. Voyez-vous? Je savais qu’il y avait là quelque chose de différent.

            Ainsi donc quand je venais d’être ordonné comme ministre, j’avais l’habitude de porter ma Bible sous le bras. Les gens me demandaient: «Etes-vous prédicateur?»

            «Oui, monsieur. Oui, monsieur. Je suis un prédicateur.»

19        Un jour, j’ai entendu un prédicateur du Plein Evangile prêcher dans une réunion sous tente. Il prêchait jusqu’à perdre le souffle; son visage devenait rouge. Il descendait jusqu’au plancher, il ployait ses genoux et se redressait en reprenant son souffle. On pouvait l’entendre à environ deux pâtées de maisons, toujours en train de prêcher. Alors les gens demandaient: «Etes-vous prédicateur?»

            Je disais: «Non, monsieur.» A ce moment-là, je n’étais plus un prédicateur, après que j’avais entendu un homme qui était capable de prêcher. Et je... Alors, je me gardais toujours de dire que j’étais un prédicateur. Voyez-vous? Cependant, j’aime vraiment arriver à un point où nous pouvons avoir un... vous savez, savourer les bénédictions du Seigneur, pas vous?

20        Le jeune monsieur Osborn qui est assis là me rappelle quelque chose. Ce matin il parlait, nous étions ensemble, lui et moi, le jeune homme, et cela me rappelle une fois... De voir une bonne vieille réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode... Qui aime ce genre de réunions là? Aimez-vous cela? Dites: «Amen.» Oh! Nous aimons certainement cela.

            Ce que nous appelions une réunion pop-corn... Savez-vous ce que c’est qu’une réunion pop-corn? Prenez un petit grain de maïs jaune et placez-le sur un poêle chaud. Il double de volume et devient deux fois plus léger, et il passe du jaune au blanc. C’est cela une réunion pop-corn. C’est ce qu’il faut.

            Un petit gars qui a peur de témoigner et qui saute tout à coup, qui est prêt pour l’Enlèvement et qui change son vêtement, du jaune au blanc...

21        Ça me rappelle une fois où je faisais la pêche un matin. Je pense que j’ai beaucoup d’amis ici qui sont aussi des pêcheurs. Ce lac-ci est si près, et j’étais tout au fond dans les bois du Nord, en train de pêcher; et je–j’aime vraiment–vraiment les crêpes. Combien aiment les crêpes? Oh! la la! J’aime vraiment les crêpes, et j’avais l’habitude d’amener avec moi un seau de mélasse, vous savez, tout un seau, un grand seau, parce que je suis un baptiste. Moi, je les baptise. Je ne les asperge pas. J’en déverse une grande quantité quand je la mets dessus, la mélasse, vous savez, je les recouvre d’une couche épaisse.

            Ainsi donc, je–je me suis dit: «Oh! la la! Maintenant si je peux simplement avoir ce...» J’ai pris avec moi un grand seau de mélasse, vous savez, et j’étais là-bas, et j’avais une vieille petite tente. Il y avait beaucoup d’ours noirs dans ces bois. Votre fils a fait une expérience l’autre jour avec l’un d’eux. Alors, oh! ils ne sont pas dangereux. Je ne sais pas d’où lui vient la mauvaise réputation qu’il a, mais il est... qu’est-ce qu’il détruit! Oh! la la! Il est–il est terrible.

22        Et ainsi, j’avais dressé une vieille petite tente, et j’attrapais quelques grosses truites arc-en-ciel. Et j’avais descendu le courant, et j’avais ici dans ma main une petite hache, une petite hache de scout; et quand je suis revenu, voilà que ma tente était démolie. Et j’ai regardé, et voilà une vieille mère ourse était assise là avec quelques petits oursons: il y en avait deux. Et elle s’est plutôt enfuie quand elle m’a vu venir, sortant des saules, et elle s’est plutôt enfuie sur le flanc de la colline; et elle a appelé ses petits en roucoulant, et un seul petit ourson l’a suivie.

            L’autre petit ami avait le dos tourné vers moi, juste comme ceci, vous savez. Il ne bougeait pas du tout. Eh bien, je me suis dit: «Regardez ce qu’ils ont fait! Oh! la la! Ils ont tout détruit.» Eh bien, une ourse qui a des petits vous grifferait. Alors je–je n’ai pas voulu m’approcher trop d’elle, et, bien sûr, j’avais un fusil là, mais je ne voulais pas les laisser orphelins dans les bois. Alors, je–je... J’ai dit: «Va-t-en d’ici», comme cela, et la vieille mère s’est enfuie à une distance; et elle appelait sans cesse cet autre ourson en roucoulant, et ce dernier n’allait pas.

23        Et je me suis dit: «Qu’est-ce qui intéresse tant ce petit compagnon?» J’ai regardé tout autour. J’ai continué à faire le tour comme ceci, essayant de lui lancer une pierre, et il ne détournait même pas la tête. Il était tout simplement penché comme ceci, occupé à quelque chose. Je me suis dit: «Eh bien, qu’est-ce qui intéresse tant ce petit compagnon?»

            Chaque fois, vous n’avez pas votre appareil photo avec vous quand une telle scène se déroule, vous savez. J’ai donc contourné comme ceci, et j’ai regardé. J’ai dit: «Va-t’en de là», comme cela, et il s’est retourné et il m’a regardé.

24        Ce petit ami s’était emparé de mon seau de mélasse. Il le tenait entre ses pattes comme ceci. Il en avait ôté le couvercle. Il plongeait tout simplement sa petite patte là-dedans comme cela, et toute sa face était couverte de mélasse. Son petit ventre était tout simplement rempli de mélasse. Ses yeux, vous savez, il ne savait même plus les ouvrir. Il battait les yeux, me regardant comme cela. Il léchait comme cela, et il plongeait sa petite patte dedans, et ensuite il léchait la mélasse.

            J’ai dit: «Passe un bon moment, mon ami.» Cela m’a simplement rappelé une bonne réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode, où nous ouvrions le pot de miel, vous savez, et plongions carrément les doigts dedans, et on avait du miel jusqu’au front et tout, vous savez, on passait vraiment un temps à l’ancienne mode au point qu’on oubliait simplement où on se trouvait. Mais ce qui était amusant, c’est que lorsqu’il avait pris assez de mélasse, il en était complètement couvert.

            La mère ne cessait de l’appeler en roucoulant. Il a déposé le seau et il s’est enfui, et quand je me suis approché, la mère et l’autre ourson se sont mis à le lécher. Alors... Amen! C’est ce qu’il nous faut, une réunion à l’ancienne mode où vous pouvez pratiquement lécher cela. N’est-ce pas vrai? Oui, tout simplement une vraie réunion à l’ancienne mode.

25        Très bien. Jean, chapitre 11. J’aimerais lire maintenant un petit passage de la Parole, et ensuite nous allons prier.

            Maintenant, nous lisons ceci au verset 18:

            Et, comme Béthanie était près de Jérusalem, à quinze stades environ,

            Beaucoup de Juifs étaient venus vers Marthe et Marie, pour les consoler de la mort de leur frère.

            Lorsque Marthe apprit que Jésus arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison.

            Marthe dit à Jésus: Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.

            Mais, maintenant même, je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera.

            Jésus lui dit: Ton frère ressuscitera.

            Je sais, lui répondit Marthe, qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour.

            Jésus lui dit: Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort;

            Et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?

            Elle lui dit: Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui devait venir dans le monde.

26        Inclinons la tête. Maintenant, Seigneur, comme des enfants qui jouent sur la place du marché, tandis que nous nous tenons ici, et que nous savons que Tu désires que nous soyons heureux et que nous nous réjouissons; Tu as dit: afin que votre joie soit parfaite... Et maintenant, Père, nous avons lu la Parole de Dieu, et maintenant nous Te prions de mettre en nous de bonnes dispositions.

            Et puisse le Saint-Esprit saisir chaque coeur. Accorde-le, Seigneur, et que chaque pécheur soit sauvé aujourd’hui. Que chaque rétrograde soit ramené dans le Royaume de Dieu, et que chaque personne malade présente dans la salle sorte d’ici rétablie. Accorde-le, Père, et que le Saint-Esprit vienne maintenant prendre les choses qui appartiennent à Dieu et les apporte à chaque coeur, selon le besoin de chaque coeur, car nous le demandons au Nom de Jésus et pour Sa gloire. Amen.

27        Ce chapitre que nous lisons maintenant, nous allons en tirer juste une petite toile de fond. Je crois que je peux voir l’horloge qui est là, ainsi je ne prendrai pas trop de temps. Si vous pouvez simplement m’accorder toute votre attention maintenant... Ne pensez pas à la réunion de ce soir, ou à ce qui va se passer demain. Pensons que le Seigneur Jésus est ici maintenant même, et que chacun dise: «Eh bien, je suis un pécheur, si tu es... mais s’il y a... Seigneur, si Tu as quelque chose pour moi, Seigneur, parle à mon coeur.»

            Et que chaque personne qui n’a pas le baptême du Saint-Esprit dise: «Seigneur, je n’ai pas le Saint-Esprit, et je connais tout sauf cela, eh bien, j’ai peur. C’est pourquoi je–je désire naître de nouveau, car Tu as dit: ‘Si un homme ne naît de nouveau, il n’entrera pas dans le Royaume.’ C’est pourquoi je désire naître de nouveau.»

28        Maintenant, je ne veux pas dire que vous n’êtes pas chrétien avant d’avoir reçu le Saint-Esprit, comprenez bien cela. Je veux dire que vous êtes... le Saint-Esprit, c’est le sceau de votre foi. Voyez-vous? Dieu... Abraham crut à Dieu par la foi, et ensuite Dieu lui donna le sceau de la promesse. Voyez-vous? Et vous croyez à Dieu par la foi et vous êtes justifié par la foi, mais vous êtes scellé dans le Corps de Christ par le baptême du Saint-Esprit.

            Vous entendez ces évêques et ces archevêques, et tous les autres, venir et témoigner de cela. Si vous n’avez jamais reçu cela, venez et essayez cela. C’est merveilleux. C’est une... C’est... Je ne sais pas comment... Une fois, quelqu’un m’a dit après que je fus sorti d’une maladie, il a dit: «Frère Branham, avez-vous gardé votre religion pendant le temps de votre maladie?»

            J’ai dit: «Non, monsieur. Ce n’est pas moi qui l’ai gardée. C’est elle qui m’a gardé pendant le temps de ma maladie.» Ainsi c’est... Oui, c’est le Saint-Esprit qui me garde, ce n’est pas moi qui Le garde. Ce n’est pas là la question. C’est Lui qui me garde. Je L’ai juste reçu, et–et Il prend soin de moi. C’est ce qu’il en est de chaque croyant.

29        Bon, ceci c’était juste au commencement, notre texte de cet après-midi, lorsque le ministère de Jésus était en pleine floraison. Il est entré en scène. Il a commencé à guérir les malades, et de grandes foules ont commencé à affluer vers Lui.

            Maintenant, nous voyons que c’était la première année de Son ministère. La deuxième année de Son ministère, les gens ont commencé à trouver de quoi Le stigmatiser, et [après] la troisième année, au milieu de l’année qui a suivi, ils L’ont crucifié.

            C’est exactement ainsi que vont les choses. Un réveil commence. Oh! c’est tout flambant. Ensuite le réveil connaît une baisse. Ensuite, bien vite, il n’y a que ce qui est vraiment authentique qui demeure. Les autres s’en vont. C’est la fin de la chose.

30        Bon, mais dans ce cas-ci, Jésus restait chez Marthe et Marie. Eh bien, c’est ce que l’on nous–nous apprend, je ne sais pas à quel point c’est vrai, mais on nous apprend que Marthe et Marie vivaient à Béthanie, où il y avait... qu’elles étaient... avaient quitté l’église orthodoxe, l’église juive et qu’elles étaient venues pour croire en Jésus; et Jésus demeurait dans leur maison.

            Elles avaient un frère qui s’appelait Lazare, et j’ai appris que c’était un scribe, que son travail c’était d’écrire les lois, les lettres, et ainsi de suite, en rapport avec la loi, sur des parchemins.

            Et l’on nous apprend que Marie et Marthe faisaient des tapisseries, de petits ouvrages pour le temple, et tout comme cela. C’est ainsi qu’elles gagnaient leur vie, en faisant les travaux d’aiguille. Et à ce moment-là, la vie de Jésus devenait merveilleuse. Les gens Le voyaient, et ils L’aimaient. Et–et puis il en est arrivé au point où Il a dû être appelé à s’éloigner de cette maison. C’est étrange, la façon dont ces choses arrivent, mais parfois... Tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu.

31        Bon, Jésus, par Sa naissance, Il était merveilleux; mais quand Il est venu au monde, Il est venu ici avec une réputation d’enfant illégitime collée à Lui; en effet, les gens disaient que Son–Son père c’était Joseph, et qu’Il était un Enfant qui était... que Sa mère était enceinte avant qu’ils ne soient en fait légalement mariés.

            C’est donc ainsi que ça a commencé pour Lui, et ensuite Il est passé par la peine capitale. Il est venu par la porte d’une étable, et Il s’en est allé par la peine capitale. Voilà de quelle manière le monde a reçu le Seigneur Jésus-Christ.

            Mais juste avant Sa–Sa naissance... Dieu prend toujours des dispositions pour les choses. Ne le croyez-vous pas? Je désire que vous écoutiez attentivement. Aujourd’hui, je crois de tout mon coeur... Eh bien, ça c’est juste frère Branham qui parle. Vous voyez? Je crois que ces choses que vous voyez arriver maintenant, ce sont des dispositions qui se prennent. Dieu prend des dispositions pour quelque chose juste avant le point culminant. Dieu avertit toujours le monde, et alors si les gens ne veulent pas–ne reçoivent pas l’avertissement, alors il ne reste qu’une seule chose, c’est le jugement.

            Noé a averti le monde, et les gens n’ont pas voulu recevoir cela. Et tout au travers des âges, Dieu a toujours averti les gens. Il envoie la miséricorde, et si les gens rejettent la miséricorde, la seule chose qui reste, c’est le jugement. Mais le Père miséricordieux envoie d’abord la miséricorde.

32        Maintenant, durant la période qui a précédé la Venue du Seigneur Jésus, il y avait des hommes... L’église en était arrivée à un point où très peu de gens attendaient la chose, les gens étaient tout simplement indifférents, à peu près comme ils le sont aujourd’hui. Juste... Mais Dieu a toujours eu un reste qui croit en Lui.

            Et l’un d’eux c’était un homme du nom de Zacharie, ainsi que son épouse Elisabeth. C’était des justes, ils marchaient en suivant toutes les lois et gardaient tous les statuts et commandements de Dieu, et puis là au temple, la tâche de Zacharie consistait à brûler l’encens. Pendant que les gens priaient à l’extérieur, Zacharie brûlait l’encens.

            J’aurais souhaité que nous ayons le temps de bien appuyer cela maintenant et de poser une fondation pour montrer ce que représente l’encens, tout cela représente Christ, tout. L’encens maintenant, c’est Son Sang, la Rose de Saron, le Lys de la vallée; et le souverain sacrificateur, avant d’entrer dans le Saint des saints, devait être oint de cette huile depuis la tête, et elle coulait sur sa barbe, jusque sur les bords de son vêtement. Et quand il entrait... Si par hasard les gens–si par hasard quelqu’un vous dit que ces gens du Plein Evangile sont un peu bruyants, voici quelque chose pour eux.

33        Quand Aaron entrait dans le Saint des saints une fois l’an, il devait porter un certain genre de vêtement, il devait être oint, et il devait emmener du sang avec lui. Est-ce juste? Et sur le bord de son vêtement, il portait une grenade et une clochette... une grenade et une clochette; et en marchant il devait faire que cela résonnant dise: «Saint, saint, saint est l’Eternel.»

            Et le seul moyen que les gens avaient pour savoir que cet homme était encore en vie, que Dieu ne l’avait pas tué là-bas derrière le rideau, c’était ce bruit-là. Ils pouvaient entendre cette clochette résonner. Je vous assure; le seul moyen de savoir qu’il y a la vie dans l’église, c’est quand il commence à y avoir un peu de bruit quelque part, vous savez, juste un petit «amen», de temps en temps, ou quelque chose comme ça, vous savez, qui fait un peu de bruit.

            Certains d’entre eux ont dit: «Eh bien, Frère Branham, c’est de l’émotion.» Eh bien, je peux vous prouver scientifiquement que tout ce qui est dépourvu d’émotion est mort. Si donc votre religion ne contient pas d’émotion, enterrez la chose (c’est exact), car elle n’est bonne à rien. Elle est morte.

            Je peux donc voir maintenant ce Zacharie. Présentons ici un petit drame. Il est là, lui et sa femme, ils avaient désiré avoir un enfant depuis des années et des années; ils avaient prié et avaient vécu droitement. Il semblait que la chose allait tout simplement passer, qu’ils n’allaient pas avoir l’enfant. Mais c’est justement à l’heure la plus sombre que Jésus vient, c’est à ce moment-là que Dieu répond toujours.

34        Nous, nous sommes pressés. «Eh bien, on a prié pour moi hier soir. Ce matin, je ne me sens pas du tout mieux.» Vous êtes trop pressé. Acceptez la promesse de Dieu et tenez-vous-en à elle. Tenez-vous-en à cela.

            Ils avaient prié et prié pendant des années. A présent, Elisabeth avait vieilli. Elle n’était plus en âge d’avoir des enfants. Il semblait que tout espoir d’avoir un–un enfant était perdu.

            Eh bien, un jour Zacharie, je peux me représenter le temple, il faisait brûler l’encensoir comme ceci, il est allé au fond et il se tenait là, balançant l’encensoir à plusieurs reprises tandis que le parfum s’en échappait, à mesure qu’il faisait brûler l’encensoir. Et tout à coup il aperçut un Ange debout du côté droit.

            Dieu a toujours eu des anges, des esprits qui sont à Son service. Croyez-vous cela? Les anges ne meurent pas. Que se passait-il? Dieu s’apprêtait à faire quelque chose sur la terre. C’est pourquoi avant de faire quelque chose, Il envoie toujours une annonce.

35        Or, quand... Des anges viennent. Il est possible que l’ange puisse me visiter et... vous visiter et ainsi de suite... Il peut y avoir des anges mineurs, mais quand vous apprenez que cet Ange Gabriel est venu, faites attention, il se passe quelque chose. Gabriel a annoncé la Première Venue de Jésus-Christ, et Gabriel annoncera la Seconde Venue de Jésus-Christ. Est-ce exact? Amen. Je commence déjà à me sentir religieux. Ecoutez.

            Quand je pense à Sa Venue... Zacharie se tenait là. Il a regardé, et il était effrayé, et l’Ange lui a parlé, disant: «Zacharie...», ce qui allait arriver; et après les jours de ce service-ci, il allait rentrer chez lui, être avec son épouse qui allait concevoir et enfanter un fils.

            Maintenant, je désire que vous remarquiez ce prédicateur; c’est comme certains prédicateurs d’aujourd’hui. «Oh! a-t-il dit, comment cela pourrait-il se faire? Eh bien, mon épouse aussi est avancée en âge», quelque chose comme ça.

            Il a dit: «Je suis Gabriel qui se tient dans la Présence de Dieu. Parce que tu as douté de ma parole, tu seras muet jusqu’au jour de la naissance de l’enfant.» C’est exact.

36        Quand Dieu parle, il n’y a rien qui puisse anéantir la Parole de Dieu. La Parole de Dieu demeure à toujours. Quand Dieu La prononce, Elle est confirmée dans le Ciel pour toujours. Elle est juste là, toute prête, tout autant que si Elle était déjà accomplie, quand Dieu La prononce.

            Oh! C’est au point que nous les mortels, nous pouvons être en mesure de dire: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, c’est réglé», prenant Dieu au Mot et nous en tenant à cela malgré les circonstances et les conditions qui peuvent nous bousculer. Nous nous en tenons à la Parole de Dieu. «Dieu l’a dit. Je crois cela. Ça règle la question.» Amen.

            Eh bien, il a dit: «Tu seras muet jusqu’au jour de la naissance de l’enfant, mais Mes paroles s’accompliront en leur temps.» Dieu est déterminé.

            Peu importe combien vous dites que cette bande de–de saints exaltés va se consumer et disparaître un de ces jours, qu’il n’en restera rien, la Parole de Dieu demeurera éternellement. C’est juste. Elle demeurera très exactement telle que Dieu L’a annoncée.

37        Eh bien, quand il est ressorti, bien sûr, nous savons que les gens... il était muet. Il ne savait plus parler, et il leur faisait des signes et ensuite il est rentré chez lui. Et quand les jours de son service là furent accomplis, il est rentré chez lui, et son épouse a conçu; et elle s’est cachée pendant six mois.

            Et alors, au bout de six mois, voilà revenir cet Ange. Amen. Et il y avait une jeune fille qui vivait à Nazareth, la ville la plus méchante du pays, presque aussi mauvaise que Chicago, excusez-moi. De toutes les façons, aussi méchante que Jeffersonville où j’habite... Oh! une ville très mauvaise, très méchante, mais peu importe combien la ville est mauvaise, vous pouvez toujours mener une vie correcte dans la Présence de Dieu. Et Dieu cherche un coeur fidèle comme Il l’a fait en ce temps-là.

            Il a trouvé cette jeune paysanne. Disons que c’était un lundi matin; c’est le jour de la lessive. Et la voici qui vient marchant avec une cruche d’eau sur la tête et une autre sur la hanche. Et elle revient du puits, et elle se prépare à épouser un homme. Elle n’est qu’une jeune fille, et aussitôt, une Lumière brille devant elle; et dans cette Lumière se tient Gabriel, le grand Archange; qui dit: «Je te salue, Marie!»

38        Et elle... Cela l’a effrayée... Il lui dit qu’elle allait mettre au monde un Enfant sans connaître un homme. Il lui a parlé d’Elisabeth, sa cousine, qui avait conçu et qui allait avoir un enfant. Et il a dit qu’on L’appellerait du Nom de Jésus, parce qu’Il sauverait Son peuple du péché.

            Oh! Cela a effrayé la petite vierge, une telle salutation, cela vous effraierait aussi. Que feriez-vous si vous rencontriez un Ange se tenant là sur votre chemin comme cela, les bras étendus et disant: «Je suis Gabriel qui se tient dans la Présence de Dieu.» Certainement que cela vous ferait peur.

            Et alors, je vois la petite vierge qui dit... Maintenant, je veux que vous remarquiez. Tenez. J’espère que cela pénètre profondément, que cela s’enfonce sous la cinquième côte du côté gauche et s’y ancre. Voilà un sacrificateur, un prédicateur, qui connaissait la Parole, et qui avait beaucoup d’exemples. Agar avait reçu des enfants, Sara de même, et beaucoup d’autres avaient reçu des enfants. Il avait beaucoup d’exemples, mais il a douté de l’Ange. Mais cette jeune fille, elle n’en a pas douté un seul mot.

            Elle a dit: «Je suis la servante du Seigneur; qu’il me soit fait selon Ta Parole!» Amen. Voilà comment s’y prendre. Prenez Dieu au Mot.

            Considérez Marie. Avant d’être certaine, avant de ressentir un quelconque signe de vie... Je suis dans un auditoire mixte, mais vous... ou écoutez. Avant qu’il y ait un quelconque signe physique, elle a commencé à louer et à glorifier Dieu de ce qu’elle allait avoir un enfant, avant qu’il y ait un quelconque signe.

            Ô Dieu, donne-nous quelques-unes de ces Maries cet après-midi à Chicago (Amen), qui prendront Dieu au Mot. Amen. Ne pensez pas que je suis excité. Je–je–je ne suis pas en train de dire amen à moi-même, mais amen veut dire qu’il en soit ainsi, donc je crois la chose. Très bien.

39        La voilà qui part, elle part à la ville, disant partout aux gens qu’elle va avoir un Enfant, sans connaître un homme. Oh! Certainement. Elle a simplement pris Dieu au Mot. Elle est directement montée dans les collines de Judée. Elle avait eu des nouvelles d’Elisabeth, elle avait appris qu’elle aussi avait été bénie.

            Or, c’est ce que font les gens qui sont réellement nés de nouveau. Quand ils apprennent que quelqu’un a reçu le Saint-Esprit, ils partent pour s’en rendre compte. Amen. Quand Dieu fait quelque chose en guérissant quelqu’un, le voisin viendra se joindre et il sera content et se réjouira de cela.

            Ainsi juste en bas dans la ville de Bethléhem, elle est montée directement en Judée, et quand elle est arrivée là où était Sara, ou plutôt Elisabeth... Eh bien, Marie et Elisabeth étaient des cousines germaines. Jean et Jésus étaient des cousins issus de germains, et quand ils sont arrivés près de là où se trouvait la maison, je vois Elisabeth tout au fond de la pièce. Elle s’était cachée. Elle a soulevé le rideau. Elle a aperçu une jeune fille venir. Eh bien, elle s’est dit: «C’est Marie, ma cousine.» Et elle est sortie. Oh! la la! Je la vois si heureuse, et elle l’a entourée de ses bras et s’est mise à l’étreindre et à l’embrasser.

40        C’est de cette façon que les femmes se rencontraient autrefois, mais, frère, vous savez quoi, ces temps-là ont changé maintenant. Les gens n’ont plus ce genre d’amour là les uns pour les autres. Maintenant les gens sont tels qu’ils ne vous parlent même pas. N’est-ce pas vrai?

            Oh! autrefois là dans la ferme, quand–quand un homme tombait malade, on allait là et on coupait du bois pour lui, ou on coupait du foin ou quoi que c’était, pour nous ce n’était pas un problème, et on allait là et on restait là la nuit.

            Aujourd’hui, vous n’êtes même pas au courant du décès de votre voisin, à moins que vous le lisiez dans le journal. C’est une honte que l’amour fraternel ait disparu. C’est exact. Nous n’en avons simplement plus comme à l’époque.

            Oh! papa, quand il était à court d’argent, il allait là et il empruntait cinquante dollars pour lui permettre de s’en sortir jusqu’à la récolte. Il n’y avait pas de problème. Nul n’était besoin de mettre quelque chose en gage. Oh! aujourd’hui vous ne pourriez pas emprunter cinq dollars sans mettre quelque chose en gage. L’amour fraternel est en train de disparaître. Dieu a dit qu’il en serait ainsi. Oui, oh! combien nous en avons besoin!

41        L’autre jour, je... Mon épouse est présente, elle m’en dira probablement un mot après. Nous sommes allés en ville, et il y avait une jeune fille qui descendait la rue, une jeune femme que nous connaissions. Et j’ai dit: «Dites donc, l’as-tu vue?»

            Elle a dit: «Je–je lui ai parlé.»

            J’ai dit: «Je ne t’ai pas vue le faire.»

            Et elle a dit: «Je lui ai souri.» Ça, ce n’est pas parler. Vous savez ce que j’aime. Moi, j’aime une bonne et vigoureuse poignée de mains à l’ancienne mode de la campagne. On dit: «Bonjour, frère. Comment allez-vous?» Oui, monsieur. De nos jours, au lieu de ça, on offre tout simplement un petit sourire ridicule et on dit: «Bonjour.» Oh! la la! Moi, je n’aime pas ça. Cela me fait geler à mort.

            Un jour, frère Bosworth et moi étions chez lui à Miami, en Floride, et nous avions fait dresser une tente là. Un jeune homme tenait une réunion, et il était dans le pétrin, et je suis allé pour tenir des réunions pendant quelques jours pour lui, et il y avait une duchesse ou quelque chose comme ça. Je... Oh! la la! Je ne m’y connais pas beaucoup en matière de dignité et des parades. Alors, les gens... C’était une femme importante. Elle avait accordé que cette tente soit dressée sur son terrain ou là à un endroit où elle avait son parc.

42        Et je suis allé là, vous savez, je prêchais, et frère Bosworth a dit: «Voudriez-vous bien vous tenir là derrière, Frère Branham?» Il a dit: «La Duchesse désire vous voir.»

            Et j’ai dit: «La qui?»

            Il a dit: «La Duchesse.»

            J’ai dit: «Eh bien, qui est-elle?»

            Et il a dit: «Eh bien, c’est la dame qui nous a permis d’avoir ce terrain.»

            J’ai dit: «Eh bien, en quoi est-elle plus importante que quiconque d’autre?» Voyez-vous?

            Alors il a dit: «Eh bien, tenez-vous juste ici. Elle arrive.»

            Quelques minutes après, voilà venir une femme de très forte corpulence comme cela. Elle tenait dans sa main une paire de lunettes, montées sur un bâton, qu’elle tenait à cette distance. Vous savez, on ne peut pas voir à telle distance de vous comme cela avec des lunettes.

            Et elle est venue là, ayant sur elle suffisamment de vêtements pour mettre dans... pour bourrer un mousquet, elle se tenait comme cela, marchant comme cela. Elle a dit: «Etes-vous le docteur Branham?»

            J’ai dit: «Non, madame. Non, madame.» J’ai dit: «Je suis frère Branham.»

            Elle a dit: «Eh bien, docteur Branham, a-t-elle dit, enchantée de faire votre connaissance», en tendant cette grosse main grasse comme cela.

43        Je l’ai saisie. J’ai dit: «Ecoutez ceci, soeur, abaissez-la comme ceci afin que je puisse vous reconnaître quand je vous reverrai.» Voilà! Il y en a trop parmi nous qui cherchent à «faire de l’épate», comme on dit. Qu’êtes-vous de toute façon? C’est juste. Vous n’êtes que des hommes.

            Je passais près d’un colisée, ou plutôt d’un musée, il n’y a pas longtemps, et il y avait là la photo d’un homme qui pesait cent cinquante livres [68 kg], et il était dit que la valeur de produits chimiques qui le constituaient était de quatre-vingt-quatre cents.

            Vous mettez un complet de cent dollars sur quatre-vingt-quatre cents, vous vous promenez le nez relevé en l’air, et apparemment s’il pleuvait vous seriez noyé, et vous pensez que vous êtes une personnalité. Vous ne valez que quatre-vingt-quatre cents, si vous pesez cent cinquante livres. Vous enroulez un vison de cinq cents dollars autour de quatre-vingt-quatre cents, et vous ne voulez même pas parler à votre voisin. C’est vrai.

44        Voilà le problème qu’a le monde aujourd’hui (amen): les gens sont prétentieux et empesés. Dieu devra déverser le Saint-Esprit et détruire cette chose en vous. Chacun de nous, nous sommes très exactement au même niveau.

            Dieu nous a tous faits sur base d’un même modèle. Peu importe que vous habitiez dans un meilleur quartier, que vous fréquentiez une meilleure église, vous n’êtes que ce que Dieu a fait de vous, et qui êtes-vous pour vous glorifier? La gloire revient à Dieu. Absolument.

            Il y avait deux garçons qui se tenaient là, l’un a regardé et a dit: «Eh bien, John, nous ne valons pas grand-chose, n’est-ce pas?»

45        J’ai dit: «Ecoute, mon ami. Ça, c’est votre corps, mais vous avez une âme qui vaut dix mille mondes.» C’est juste. J’ai dit: «Ce corps retournera à la poussière un de ces jours, mais vous avez une âme qui vivra pour toujours. Prenez-en soin.»

            Considérez la valeur que Jésus-Christ y a accordée, en quittant la gloire pour mourir afin de vous racheter. Voilà le problème: nous considérons l’extérieur et nous prenons soin de l’extérieur, mais nous négligeons l’intérieur. Oui, monsieur.

            Je vois Marthe tandis qu’elle... ou plutôt Marie; elle a accouru et elle a étreint Elisabeth, et elle l’a embrassée et s’est mise à lui donner de petites tapes, vous savez, et elle se réjouissait et était heureuse. Elle dit: «Oh!...» Maintenant, suivons leur conversation.

            Je peux entendre Marthe dire... Eh bien, ceci est une illustration dramatique. J’entends Marthe ou plutôt Marie dire: «Oh! Elisabeth, je suis si heureuse. Oh! le... J’ai appris (on ne sait pas comment), mais j’ai appris que tu es enceinte.»

46        «Oui, dit Elisabeth, c’est exact, mais, dit-elle, je suis un petit peu inquiète.»

            «Pourquoi?»

            «Eh bien, cela fait six mois que je suis enceinte, à ce que je sache, il n’y a pas encore de signe de vie.» C’est anormal. Voyez-vous? La vie se manifeste environ au troisième mois, au deuxième mois. Alors elle a dit: «C’est anormal. Je ne ressens encore aucun signe de vie, et je–je suis inquiète, et je suis dans mon sixième mois.»

            Elle dit: «Mais l’Ange Gabriel m’a rencontrée, et Il m’a dit que moi aussi je deviendrais enceinte, sans connaître un homme, et Il a dit aussi que j’aurais cet Enfant et que je Lui donnerais le Nom de Jésus.»

47        Et la première fois que des lèvres mortelles ont prononcé ce Nom de Jésus, le petit Jean qui était mort, qui était dans le sein de sa mère, a reçu le Saint-Esprit, et il s’est mis à bondir et à sauter de joie. C’est exact, et si le Nom de Jésus-Christ peut apporter la vie à un bébé mort, que devrait-Il faire à une église née de nouveau? Alléluia! Amen. Absolument.

            Elle a dit: «D’où vient que la mère de mon Seigneur...? Car aussitôt que ta salutation est parvenue à mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse dans mon sein.» Alléluia! Oui, monsieur. Oh! Frère, nous ne sommes pas dans le brouillard. Nous savons où nous sommes. Certainement.

            Elle a dit: «Dès que ta salutation est parvenue à mes oreilles, mon bébé a tressailli d’allégresse dans mon sein.» Et Jean a reçu le Saint-Esprit. Amen.

48        Que fera le Nom de Jésus-Christ? Je L’ai vu lier des sorciers. Je L’ai vu lier des démons au point qu’ils... couverts de honte, je les ai vus s’effondrer sur l’estrade, s’affaisser dans leurs sièges, paralysés au Nom de Jésus-Christ, alors qu’ils étaient assis là.

            Oh! la la! Foi dans le Père, foi dans le Fils,

            Foi dans le Saint-Esprit, ces Trois sont Un.

            Les démons tremblent, les pécheurs s’éveillent;

            La foi en Jéhovah ébranle toute chose.

49        C’est exact. C’est tout à fait exact. Gardez votre foi en Dieu. C’est juste. Oh! Dieu a toujours eu un peuple qui croit en Lui. Là-bas autrefois, quand Il est sorti du désert, ou plutôt quand Il a amené les enfants d’Israël dans le désert... Quel moment!

            Après qu’ils ont traversé la mer Rouge, qu’ils sont arrivés là, ils ont eu une réunion sous tente à l’ancienne mode. Ils ont regardé en arrière, et ils ont vu tous les chefs de corvées morts dans la mer. Myriam a commencé à danser dans–dans l’Esprit et à battre un tambourin, ce qui est un tableau vraiment typique d’une réunion sous tente à l’ancienne mode. Est-ce exact?

            Moïse entra dans l’Esprit, il leva les mains et chanta un cantique dans l’Esprit. Amen. Si ce n’est pas là une réunion à l’ancienne mode, je n’en ai jamais vu une!

50        Et maintenant, écoutez. Dieu avait promis de pourvoir à tous leurs besoins, et juste au moment où ils ont traversé, eh bien, ils n’avaient rien qu’un–un petit panier de pains sur la tête. Cela s’est épuisé.

            Alors Dieu a promis qu’Il pourvoirait à leurs besoins. Le lendemain matin, lorsqu’ils se sont levés, le sol était couvert de manne, c’était comme de la gelée blanche.

            Alors, on dit que pour goûter cela, ils tiraient la langue et léchaient cela, ils ont goûté cela. Cela avait le goût d’un gâteau au miel. Oh! la la! C’était vraiment un plat baptiste, n’est-ce pas? Des gâteaux et du miel... Très bien.

            Alors, ils... Ils ont commencé à manger cela. C’était délicieux. Vous savez, je crois que c’est David le psalmiste qui a dit une fois: «Goûtez et voyez combien le Seigneur est bon! C’est comme le miel du rocher.» Est-ce exact? Oui, monsieur. Du miel du rocher...

            Le rocher a quelque chose qui a... dans la Bible, il est toujours parlé du rocher. Il était le Rocher. Il était le Rocher qui était dans le désert, et le Rocher...

51        C’est comme dans l’ancien temps, quand les gens avaient un... quand quelqu’un se faisait mordre par un chien enragé. On l’amenait à une pierre antirabique, et on le collait à cette pierre antirabique. S’il se collait, eh bien, il était guéri. S’il ne se collait pas, il mourait.

            Le pire des chiens enragés que je connaisse aujourd’hui, c’est le diable. C’est exact, et si vous vous faites mordre par lui, allez à la Pierre, au Rocher, Jésus-Christ; attachez-vous au Rocher des âges du Calvaire, qui a été fendu pour moi, laisse-moi me cacher en Toi. Accrochez-vous-Y; peu importe ce que déclare le monde, ce que déclare votre église, ce que déclare le médecin, accrochez-vous au Rocher des âges. Restez collé là; accrochez-vous-Y, et Dieu veillera à ce que vous vous rétablissiez. Ne croyez-vous pas cela? Amen. Oui, oui. Oh! la la!

            Et puis autre chose, cette manne avait le goût du miel du rocher. En avez-vous déjà pris? Avez-vous déjà goûté cela? Aujourd’hui nous avons une manne spirituelle. Croyez-vous cela? Dieu leur fournissait cette manne aussi longtemps qu’ils étaient dans le voyage.

            Dieu... C’était un type du Saint-Esprit. Croyez-vous cela? La manne naturelle était fournie pour l’homme naturel. A présent, l’homme spirituel reçoit la Manne du Ciel qui est le Saint-Esprit.

52        Lorsque l’Eglise fut inaugurée le jour de la Pentecôte, un très beau type de la descente de la première manne; ils étaient tous là-haut, d’un même accord, dans la chambre haute; et tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux, qui remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues séparées les unes des autres apparurent sur eux, comme du feu.

            Ils furent tous remplis du Saint-Esprit et sortirent dans la rue, hurlant, criant et se comportant étrangement. Et tout le–tout le monde religieux qui se tenait là dit: «Eh bien, ces gens sont ivres. Ils sont pleins de vin doux. Eh bien, écoutez-les. Je n’ai jamais entendu un tel bruit de ma vie.»

            Laissez-moi vous dire quelque chose, mon cher ami catholique qui êtes ici cet après-midi: la sainte vierge Marie était avec eux. C’est exact. Et si Dieu... Ecoutez ceci maintenant, vous qui pensez que vous êtes empesé; suivez. Si Dieu n’a pas fait acception de la mère de Jésus-Christ, et qu’elle n’a pas pu aller au Ciel jusqu’à ce qu’elle soit montée là-haut et qu’elle ait reçu le baptême du Saint-Esprit, et qu’elle se soit comportée comme une femme ivre, à combien plus forte raison vous, vous devez Le recevoir avant d’y entrer! C’est exact.

53        Et elle titubait comme si elle était ivre (alléluia!), titubant comme une personne ivre. Oh! avez-vous déjà entendu un ivrogne dire: «Oh! tout va bien»?

            Eh bien, «ne vous enivrez pas de boissons enivrantes, mais soyez ivre de l’Esprit». Alléluia. Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est un baptême du Saint-Esprit à l’ancienne mode qui enivre, qui consume le péché, qui est un double remède, une religion de l’ancien temps, du fond des bois, bleue comme le ciel, qui tue le péché. Alléluia.

            Ce dont le monde a besoin aujourd’hui, c’est d’un réveil à l’ancienne mode à la saint Paul, et c’est du retour du Saint-Esprit de la Bible dans l’Eglise. Amen. Voilà le problème qu’a l’église aujourd’hui, la raison pour laquelle elle est si formaliste et si indifférente. Absolument.

            Alors, quand ils ont tous reçu cela, les gens ont commencé à se poser des questions. Ils ont dit: «Hommes frères, que pouvons-nous faire?» Eux, ils mangeaient la manne (Oh! la la!), passant un bon moment, glorifiant simplement Dieu.

            Et Pierre a dit: «Repentez-vous, que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit.» Quoi?

54        Or, Aaron, dès que la manne est tombée pour la première fois, Dieu a dit à Aaron et à Moïse: «Sortez là, ramassez-en plusieurs omers pleins et mettez cela là dans le Saint des saints, afin que les enfants de vos enfants, afin que tous ceux qui entreront dans le sacerdoce, puissent goûter de cette manne originale.» Oh! Quel privilège quand un homme devenait un sacrificateur...

            Or, souvenez-vous qu’en dehors du Saint des saints... c’était la seule manne qui était conservée. Elle ne se conservait pas pendant vingt-quatre heures. Elle devenait infestée de vers. Voilà le problème qu’a l’Eglise pentecôtiste aujourd’hui. Amen. Qu’y a-t-il? L’expérience que vous avez eue il y a une année contient aujourd’hui des larves; débarrassez-vous-en, faisons-en une autre maintenant.

            Vous savez ce que sont ces petites termites ou je ne sais quoi qui se tortille là-dedans, dans ces citernes crevassées, dans les eaux stagnantes... Je sais ce que j’avais hier. Je sais ce que j’ai aujourd’hui. Alléluia! Je cherche davantage de cela. Ô Seigneur, remplis mon âme chaque jour. Oui, monsieur.

55        Donc, chaque sacrificateur qui entrait pouvait prendre une bouchée de la manne originale. Et maintenant, écoutez. Pierre a dit de vous repentir et d’être baptisé, et que vous recevriez le don du Saint-Esprit, car cette manne, en d’autres termes, est pour vos enfants et les enfants de vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.

            Or, aujourd’hui, eh bien, le mur de séparation a été démoli et chaque homme, chaque homme, qui qu’il soit, qui désire naître de nouveau peut entrer dans le temple de Dieu, s’agenouiller à l’autel, lever les mains, et obtenir une bouchée, pas quelque chose qui y ressemble, mais la manne originale qui était tombée le jour de la Pentecôte: les mêmes oeuvres, les mêmes manifestations, la même puissance, la même évidence. Tout ce qu’ils reçurent à la Pentecôte, nous pouvons l’avoir aujourd’hui, pas quelque chose qui y ressemble, mais exactement la même chose. Amen. Alléluia!

            Ces gens d’autrefois n’avaient pas dans ce vieil omer quelque chose qui ressemblait à cela. Ils avaient l’original. Alléluia. Je suis heureux aujourd’hui que vous puissiez recevoir le baptême original du Saint-Esprit: la puissance, les signes, les mêmes prodiges, les mêmes miracles, le même Seigneur Jésus ressuscité. Fiou! frère!

56        Oh! «la promesse est pour vous, pour vos enfants et les enfants de vos enfants, pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera».

            On a dit: «Cela a le goût du miel du rocher», a dit David: le miel du rocher.

            Vous savez, les Israélites, quand ils étaient dans leur voyage, il y avait un creux dans le rocher, et ils sont entrés dans ce rocher, ils y ont trouvé du miel. Tout ce dont ils avaient besoin était juste là dans le rocher. Tout ce dont vous avez besoin aujourd’hui est juste dans le Rocher, Jésus-Christ. Est-ce exact? Oui, monsieur.

57        Or David, étant un berger, avait l’habitude de... Les bergers avaient l’habitude de porter une gibecière sur le côté, et chaque fois qu’ils avaient une brebis malade, ils faisaient sortir de cette gibecière un peu de ce miel et ils l’appliquaient sur un rocher, sur un rocher calcaire, et alors la brebis se mettait à lécher ce miel, et elle absorbait le calcaire du rocher, et cela guérissait la brebis malade.

            Eh bien, frère, j’en ai une gibecière pleine. Je vais l’appliquer non pas sur l’Eglise pentecôtiste, non pas sur l’Eglise baptiste, mais sur Jésus-Christ; et vous brebis malades, mettez-vous à lécher. Et je vous assure, quand vous vous mettez à lécher le miel, vous allez lécher la guérison divine, aussi sûr que je me tiens debout aujourd’hui à cette chaire. C’est pourquoi léchez, léchez, léchez, léchez jusqu’à ce que vous soyez guéri. Amen.

58        Oh! C’est ce dont vous avez besoin. Versez tout simplement le miel sur Jésus-Christ. Comme c’est merveilleux! Comme c’est glorieux! Comme c’est puissant! Et que sais-je encore! Mettez-vous tout simplement à lécher cela, et voyez ce qui arrive. Vous verrez que ce cancer aura disparu. Vous verrez ces yeux aveugles s’ouvrir; ces jambes boiteuses marcheront; et cette langue muette parlera, cette oreille sourde entendra. Alléluia! Amen.

            Oh! Comme c’est délicieux! Remarquez, ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est que cela retourne dans l’Eglise. Croyez-vous cela?

            Il n’y a pas longtemps, mon frère... Oh! cela fait des années. Un jour, mon frère et moi sommes descendus là. Nous observions une–une vieille tortue d’eau douce. Vous savez ce que c’est, vous ici qui êtes nés en... la tortue. Elles marchent un peu drôlement, vous savez. Et j’en ai vu une marcher. J’ai dit: «Regarde cette drôle de créature!»

59        Et nous nous sommes approchés d’elle, et–et vous savez ce qu’elle a fait? Dès que nous nous sommes approchés d’elle, elle a fait «chhhou!», elle s’est rétractée dans sa carapace. Cela me fait penser à certains membres d’église. C’est exact. Approchez-vous d’eux avec le véritable Evangile, ils se rétracteront dans leur carapace, vous savez, et ils diront: «Je ne crois pas dans cette histoire. Les jours des miracles sont passés.» Oh! la la! Oui, monsieur.

            J’ai dit: «Sors de là!» Elle ne voulait pas sortir. Vous ne pouvez pas la faire sortir en la grondant. Je suis donc allé, et j’ai dit: «Je vais la faire sortir.» J’ai pris une badine et j’ai vraiment fait pleuvoir des coups sur elle. Cela ne lui a rien fait du tout. Elle est tout simplement restée à l’intérieur. Vous ne pouvez pas l’atteindre pendant qu’elle est dans la carapace. C’est exact. Avec vos programmes, quoi que ce soit, vous n’y arriverez pas.

60        Alors j’ai dit: «Je vais lui régler son compte!» Et je l’ai amenée au ruisseau, et je l’ai enfoncée dans l’eau. J’ai dit: «Je vais la noyer ou bien elle marchera.» Je l’ai enfoncée, et juste deux ou trois bulles sont remontées. Elle s’est carrément cantonnée dans sa carapace. Vous pouvez les baptiser face en avant, trois fois en les renvoyant en arrière, quatre fois en les renversant, les asperger, tout ce que vous voulez, ils resteront des pécheurs. Mais, frère, je me suis procuré une feuille de papier et j’ai fait un petit feu, et je l’ai posé sur elle. Mon garçon, à ce moment-là, elle s’est vraiment mise à marcher. C’est exact.

            Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est un déversement à l’ancienne mode du baptême du Saint-Esprit et du Feu. Cela mettra l’église en action quand rien d’autre ne peut la toucher. Croyez-vous cela? Amenez du Feu dans l’église.

            L’ennui est que nous l’avons entièrement mis dans la chaudière et nous l’avons ôté de l’autel. Amen. Oui, oui.

61        Je peux voir Jean là maintenant alors que... ou plutôt Zacharie. Dès que l’enfant est né, le voilà qui s’avance, il parle et prophétise, disant ce qui arriverait. Nous savons quel genre d’enfant il devait être. Toutes les régions se demandaient quel genre d’enfant ça devait être.

            Et Zacharie a prophétisé, la mère aussi, à la naissance de l’enfant. A l’âge de neuf ans environ, il n’est pas allé à un cimetière, ou plutôt à un séminaire. Vous savez, je commets toujours une erreur là, parce que ce sont des choses si semblables que je n’arrive pas à les distinguer. Un cimetière et un séminaire sont tous deux des endroits morts. Très bien.

62        Frère, aujourd’hui nous n’avons pas besoin de connaître la théologie. Aujourd’hui, nous avons besoin de la genoulogie, c’est ce qu’il nous faut pour naître de nouveau. C’est exact. La simplicité de l’Evangile...

            J’ai toujours eu pitié d’un poussin sorti de l’incubateur. Quand un pauvre petit poussin d’incubateur éclot, il ne fait que piauler sans arrêt, il n’a pas de maman auprès de qui aller. Cela me fait penser à un prédicateur de séminaire qui n’en sait pas plus sur Dieu qu’un Hottentot n’en sait sur un chevalier égyptien, qui n’a appris que la théologie et qui a lu juste un tas de choses dans le papier. Je préférerais avoir un homme qui ne connaît pas son abc, mais qui peut prêcher la Bible sous la puissance du Saint-Esprit, plutôt que toute la théologie que vous pourriez lui faire avaler pendant dix ans. Alléluia!

            Fiou! Pourquoi est-ce que je me sens comme ceci? Ecoutez. Amen. Oui, oui. Que nous faut-il aujourd’hui? C’est un nouveau nettoyage dans l’église. Ne croyez-vous pas cela?

63        C’est presque... Quand vient la saison des amours, tout d’abord les oiseaux vont construire leurs nids. Ils construisent un–un nid là-haut dans l’arbre. Ils prennent tous leurs oeufs et les placent là, et l’oiseau femelle les couve, et elle les réchauffe, elle les fait éclore, elle s’en va. Mais alors, si cet oiseau femelle n’a pas été en contact avec l’oiseau mâle... Le germe de vie vient du sexe mâle. Nous savons cela.

            Une poule peut pondre un oeuf, mais si elle n’a pas été avec l’oiseau mâle, cet oeuf n’éclora jamais. C’est exact. Le germe vient du mâle, et c’est exactement pareil chez les oiseaux. Vous pouvez prendre un oiseau femelle, si elle n’a pas été avec l’oiseau mâle, elle peut avoir construit un nid, faire un beau nid rempli de gros oeufs ronds... Elle peut se mettre là et les couver et les réchauffer, et devenir si faible qu’elle n’est même plus en mesure de s’envoler de son nid, ces oeufs resteront juste là et pourriront. C’est exact. Ils n’écloront jamais, parce qu’ils ne sont pas fécondés.

64        Et c’est ce que je pense au sujet des églises d’aujourd’hui, mes frères, nous avons un très grand groupe de diacres et ainsi de suite, qui ne connaissent rien sur Dieu, au point que nous devons les tapoter dans le dos. Et parce qu’ils sont ceci, cela, nous leur donnons des postes de direction, et tout comme cela, dans l’église. Nous avons un nid plein d’oeufs pourris.

            Ce qu’il nous faut, c’est quelqu’un qui a été en contact avec Jésus-Christ. Il est temps de vider le nid et de recommencer à zéro. C’est exact. Renversez tout simplement votre nid et placez-y quelqu’un qui a été en contact avec le Créateur, Jésus-Christ, et qui croit que Dieu est vivant. Alléluia.

            Vous allez me traiter de saint exalté de toute façon, vous feriez donc mieux de commencer tout de suite. Voyez-vous? Oui, oui. Ce que je veux dire aujourd’hui, c’est qu’il nous faut la Vie dans l’église, la Vie Eternelle.

            Hommes et femmes, si vous avez des hommes et des femmes nés de nouveau, eh bien, vous parlez d’une campagne de guérison dans votre église! Les gens diront: «Hum! ne croyez pas dans ce genre d‘histoires.» Bien sûr qu’ils ne le peuvent pas. C’est un vieil oeuf pourri. Absolument.

65        Tout d’abord, ces gens se tiennent là tout autour, et la plupart des membres... Je–je prêche... Ecoutez, frère, un jour je devrai rendre compte à Dieu. C’est exact.

            Il n’y a pas longtemps, vous gens de la sainteté, la façon dont vous faisiez votre... preniez vos femmes ici, la façon dont elles s’habillaient.

            Il n’y a pas longtemps, un gars... J’avais loué le service d’un homme pour conduire un gros camion. Il fumait la cigarette, et un homme m’a parlé disant: «Eh bien, vous ne pouvez pas avoir une telle histoire parmi nous, les gens de la sainteté.»

            J’ai dit: «Cet homme est un homme de bien. Il ne prétend pas être chrétien, je l’ai simplement laissé conduire l’un de ces gros camions là-bas.»

            Il a dit: «Eh bien, frère, vous ne pouvez pas faire ça.» Il a dit: «Cet homme fume la cigarette.»

            Et ce même jour-là, en Californie, dans mes réunions, ils ont amené une... Il a dit: «Je voudrais que vous fassiez la connaissance de notre ancien de district.»

            J’ai dit: «Bonjour, monsieur. Je suis heureux de faire votre connaissance, frère.»

            Il a dit: «Voici mon épouse. Je voudrais que vous fassiez connaissance.»

66        Et frère... Eh bien, femmes, que ceci ne vous offense pas. Voyez-vous? Mais elle était maquillée comme je ne sais quoi, avec deux grosses boucles d’oreilles qui pendaient très bas, on dirait que le diable utilisait son cou comme une selle et ces boucles d’oreilles comme des étriers, elle était assise là-haut vêtue d’habits qui la faisait paraître comme je ne sais quoi.

            Et j’ai dit: «Voulez-vous me dire que c’est elle l’épouse de ce prédicateur-là?»

            Il a dit: «Oui.»

            Et j’ai dit: «Est–est-elle une sainte?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Elle m’a l’air d’un fantôme plutôt que d’une sainte», alors qu’elle était assise là comme cela.

67        C’est une honte. Vous avez laissé tomber les barrières, frère et soeur. C’est exactement ce que vous avez. On a une église empesée. Vous devriez revenir à l’Evangile à l’ancienne mode, qui nettoie les hommes. Amen.

            Voici un petit quelque chose pour vous. Je vais vous le dire, mes soeurs, et j’ai toujours eu mon opinion au sujet des femmes qui... Aujourd’hui, je constate qu’à quatre-vingt-dix-huit pour cent, des cas de cancers de la gorge et des poumons, d’après la déclaration des médecins, proviennent de cette cigarette qu’ils fument, et les femmes fument la cigarette. Il y a plus d’hommes qui souffrent des cancers des poumons et de la gorge, mais à présent les femmes aussi commencent à attraper cela, car il faut environ vingt ans pour que cela se développe.

68        A Saint Louis, dans le Missouri, on a pris sept rats, et on les a placés dans une cage, on leur faisait absorber chaque jour la fumée de sept cigarettes, et à la fin de l’année chaque–tous les sept rats avaient le cancer. Oh! C’est une disgrâce, et aujourd’hui, quatre-vingt-dix pour cent des membres de l’église fument la cigarette. C’est exact. C’est une disgrâce. Oui, monsieur.

            Et si vous les femmes, si seulement vous vous rendiez compte des centaines de milliards de dollars que les femmes dépensent chaque année en Amérique pour la manucure, ou je ne sais quoi là que vous appliquez sur vos genoux–lèvres. Je ne sais pas ce que c’est que cette histoire-là. De toute façon, combien de millions de dollars ces gens gagnent avec cette histoire-là qu’elles appliquent sur le visage et les maquillages comme cela.

            Et pendant ce temps de pauvres petits enfants sont là-bas et des missionnaires sont ici inactifs, parce qu’ils ne sont pas en mesure d’aller. Ils n’ont pas assez d’argent pour continuer. Dieu vous demandera des comptes à cause de cela au jour du Jugement. C’est juste. C’est la vérité.

69        Oui, vous chrétiennes, vous qui vous dites chrétiennes, vous vous présentez là toutes fardées et maquillées. Dans la Bible, il n’y a eu qu’une seule femme qui s’est peint le visage et c’était Jézabel. Savez-vous ce que Dieu a fait d’elle? Il l’a donnée en pâture aux chiens. C’est exact.

            Et quand vous voyez une femme se comporter comme cela et se dire chrétienne, dites: «Bonjour, madame viande pour chiens.» C’est ce qu’elle est: de la viande pour chiens. Dieu l’a livrée aux chiens. Absolument.

            Oh! Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est une bonne secousse du Saint-Esprit à l’ancienne mode parmi les gens, pour ramener les hommes et les femmes au Dieu vivant. Quel est le problème? Le monde est mort. Nous voilà partis!

            Je peux voir quand cet homme de Jean est né, quand il est sorti du désert de la Judée, il n’était pas en smoking, il n’avait pas un col retourné, il ne prenait pas du poulet frit et de la crème glacée trois fois par jour, il prenait plutôt des sauterelles et du miel sauvage; et il était drapé d’un grand morceau de peau de mouton, et il s’était ceint d’une ceinture en peau de chameau.

70        Oh! quel prédicateur, il avait le visage couvert d’une barbe hirsute comme cela, mais, frère, il ne connaissait aucune théologie, et il ne connaissait pas ces expériences de séminaire. Il est resté dans le désert, sous l’influence de la puissance de Dieu, jusqu’à ce que Dieu l’a envoyé. Alléluia.

            Que Dieu nous donne davantage des hommes qui sont envoyés de Dieu. Quand il est sorti de là, frère, il n’était pas si éloquent pour attirer le regard. Plutôt il n’avait pas une expression très éloquente; mais je vais vous dire ce qu’il a fait: Il a apporté des sermons qui ont secoué toutes les régions qui environnaient la Judée et Jérusalem. Tout le monde venait l’écouter. Pourquoi? Il prêchait Christ (Alléluia), pas la théologie, mais Christ.

            C’est cela le problème qu’a le monde aujourd’hui; nous avons substitué au Saint-Esprit nos crédos et tout. Les crédos ne feront jamais avancer l’Eglise. C’est le Saint-Esprit qui conduit l’Eglise. Amen.

            Frère, c’est l’Evangile à l’ancienne mode et qui vient des bois, mais cela m’a sauvé, et cela fera de même pour vous. C’est la vérité. C’est dur. Je sais que c’est dur, mais, frère, parfois vous devez être mis en pièces avant que vous puissiez être remodelé. C’est la vérité.

71        Je peux voir Jean debout là en train de prêcher, mais il a secoué toutes les régions qui environnaient le Jourdain. Voici venir Jésus: Il fut baptisé par Jean. Dès qu’Il sortit de l’eau, les cieux se sont ouverts et une Voix a dit: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, en qui Je me plais de demeurer.»

            Jésus s’est avancé... Maintenant, on en vient à notre texte, rapidement à notre passage. Ecoutez attentivement. Alors Son ministère a commencé. Il est allé habiter chez Marthe et Marie et les autres, à Béthanie. Alors, Il a été appelé à s’éloigner de là.

72        Quand Jésus s’est éloigné de cette maison, la maladie et le chagrin sont entrés; et quand Jésus s’éloigne de votre maison, la maladie et le chagrin vont y entrer. Absolument. Observez. Quand vous chassez Jésus de votre maison, que vous cessez d’avoir la prière en famille, que vous cessez de lire la Bible et ainsi de suite dans votre maison, attendez-vous à ce que les ennuis y entrent. C’est exact. Ils sont en route dès ce moment-là.

            Jésus s’était éloigné, le cas était différent ici; Il n’avait pas été chassé. Ce n’est pas que Jésus ait été chassé par une vie immorale de leur part, mais Il s’était retiré parce que le Père Lui avait montré une vision. Il s’est éloigné.

            Ils L’ont envoyé chercher pour qu’Il vienne prier quand Lazare est tombé malade. Il a continué Son chemin. Oh! la la! Qu’arriverait-il aujourd’hui si votre pasteur faisait cela?

73        Eh bien, Il s’en est allé. Aussitôt, ils L’ont encore envoyé chercher: Lazare était à l’article de la mort. Il les a simplement ignorés, Il a continué Son chemin. Si cela vous arrivait avec votre pasteur, eh bien, vous diriez: «Cet hypocrite! Je vais aller chez les Assemblées de Dieu. Je ne perdrai plus mon temps avec lui.» Si les Assemblées de Dieu vous faisaient cela, vous diriez: «Je vais aller chez–chez les méthodistes ou les baptistes.»

            C’est ce qu’il y a: vous emmenez votre lettre d’une église à l’autre, d’une église à l’autre, au point que vous l’avez usée et qu’elle a jauni. Ayez votre nom inscrit dans le Livre de Vie de l’Agneau et restez stable. Amen.

74        De toute façon, vos lettres d’église ne représentent rien. Cela ne vous fait pas le moindre bien. Dieu n’en reconnaît aucune du tout. Dieu ne reconnaîtra que ceux dont le nom est inscrit dans Son Livre, là-bas, avec le Sang de Son propre Fils.

            Et dans ce cas-ci, ils étaient allés. Maintenant, souvenez-vous, Lazare est mort, c’était l’heure la plus sombre que cette famille eût jamais connue. Eh bien, ils avaient quitté leur église, on les avait chassés de la synagogue parce qu’ils avaient suivi Jésus. Et Il les avait déçus.

            Eh bien, n’est-ce pas là ce que la vie nous réserve parfois? On dirait que tous les malheurs leur étaient arrivés. Mais, rappelez-vous, la Bible dit: «Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu.» Cela doit être pour le bien.

            Aussitôt, après que tout ceci était arrivé, alors Jésus... Il a entendu dire... Il a dit: «Lazare est mort. Lazare dort», a-t-Il dit premièrement.

            Les disciples ont dit: «Oh! Eh bien, s’il dort, il va bien.»

75        Il a dit, Il leur a parlé en leurs propres termes. Voyez-vous? «Lazare est mort, et à cause de vous Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là, mais Je vais aller le réveiller.» Le voilà qui y va. Je vois que le Père Lui avait déjà montré ce qu’Il devait faire. C’est pour cette raison qu’Il était resté pendant ces trois jours. C’est pour cette raison que lorsque le temps était venu... c’est ce qui allait arriver.

            Le voilà qui y va. Maintenant, écoutez. Apparemment Marthe et Marie avaient le droit de Le réprimander, et ici nous dirions donc, Le rabrouer. «Pourquoi n’étais-Tu pas venu?» Mais Marthe, elle qui avait été lente dans bien des choses, cependant quand elle a appris que Jésus venait, elle est sortie à Sa rencontre.

            Je peux entendre les pharisiens, qui se tenaient là au coin, dire: «Ha ha! Eh bien, où est passé ce saint exalté, ce Guérisseur divin? Voilà Son copain qui est couché malade. Maintenant il est mort. Pourquoi n’est-Il pas venu? Hum! Je vous avais dit que de toute façon ce n’était que de la télépathie mentale, je vous avais dit qu’il n’y avait rien de sérieux là-dedans.» Le voilà debout au coin. Voilà venir la petite Marthe. Ils ont dit: «Voilà–voilà–voilà maintenant l’une d’entre elles. Nous l’avons chassée de la synagogue. Tu penses que tu vas rentrer.»

76        «Continuez avec votre vieille synagogue.» Elle allait à la rencontre de Jésus. Elle avait quelque chose à voir auprès de Lui. Je crois que Marthe avait lu cette histoire-là dans la Bible, là où la Sunamite était venue dans la détresse, et il lui avait fallu aller chercher son... le prophète. Et la Sunamite croyait à propos de cet enfant qui était mort que Dieu était dans Son prophète. Marthe s’est dit: «Si Dieu est dans Son prophète, alors Dieu est certainement dans Son Fils.» C’est exact.

            Alors elle s’est dit: «Eh bien, la Sunamite a dit: ‘Tout va bien. Que j’arrive jusqu’auprès du prophète et il comprendra.’» J’aime ça chez cette Sunamite.

            Elle a dit–elle a dit: «Pars et ne t’arrête même pas à moins que je te le dise.»

            J’aime ça. «Pars.» Oui, monsieur. Et quand elle est arrivée auprès du prophète, le prophète a dit: «Voici venir cette Sunamite, a-t-il dit, elle est dans l’affliction; mais Dieu me l’a caché.» Il a dit: «Te portes-tu bien? Ton mari se porte-t-il bien? Ton enfant se porte-t-il bien?» Oh! J’aime ceci!

77        Elle a dit: «Tout va bien.» Amen. Oh! je me sens bien. J’ai envie de me précipiter sur une troupe en armes, et de franchir une muraille. Ecoutez. Elle a dit: «Tout va bien.» Pourquoi? Son enfant était étendu là, un cadavre, son mari était en train de crier, il faisait frénétiquement les cent pas devant la maison, tous les voisins étaient... «Tout va bien.» Amen. J’aime cela. Qu’y avait-il?

            Elle était venue auprès du–du représentant de Dieu, de ce prophète, Elie. Elle s’est approchée de lui. Elle a dit: «Tout va bien.»

            – Te portes-tu bien?

            – Oui.

            – Ton mari se porte-t-il bien?

            – Oui.

            – L’enfant se porte-t-il bien?

            – Tout va bien.

            Alors, elle a accouru et elle est tombée à ses pieds, et elle a commencé à lui révéler ce que...

            Il a dit: «Maintenant, je ne sais que faire.» Il a dit à Elie de prendre le... ou plutôt à Guéhazi de prendre son bâton et d’aller, mais Elie est allé là, il a ressuscité l’enfant et le lui a rendu.

78        Eh bien, Marthe avait probablement lu cette histoire. Ainsi, tout allait bien du moment que cette femme pouvait parvenir auprès du représentant de Dieu sur terre. Eh bien, elle s’est dit: «Si la Sunamite a pu faire cela avec un prophète, combien plus elle l’aurait fait si elle était venue auprès du Fils de Dieu!»

            Maintenant, observez quand elle est venue. Eh bien, au lieu de Le réprimander en disant: «Pourquoi n’étais-Tu pas venu? Nous allons quitter Ton église.» Non, non. Elle a directement couru vers Lui, de là où elle était... elle... là où Il se trouvait et Il... elle est tombée à Ses pieds. Et elle a dit: «Seigneur.» C’est ce qu’Il était. Elle L’a appelé par Son titre exact qui exprimait ce qu’Il était. Elle a dit: «Seigneur, si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.» Quel compliment! «Seigneur, si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.» Maintenant, suivez attentivement. «Mais, même maintenant, Seigneur.» Il était mort depuis quatre jours. «Mais, même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te L’accordera.» J’aime ça, pas vous? Il était mort depuis quatre jours, «mais, même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu».

79        Fiston, cela fait longtemps que tu es paralysé comme cela, «mais, même maintenant, Seigneur». Beaucoup d’entre vous qui sont assis ici atteints du cancer, atteints d’un trouble cardiaque, «mais, même maintenant, Seigneur». Le médecin a dit: «Vous ne pouvez pas vous rétablir.»

            «Mais, même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu.»

            Il est assis à la droite du Père (Croyez-vous cela?) pour intercéder. «Même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas, Dieu le fera.» Tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera; même maintenant.

            Vous direz: «Frère Branham, j’ai essayé d’entrer dans la ligne de prière. J’ai essayé d’obtenir une carte de prière. J’ai essayé de faire en sorte que l’on prie pour moi. Je suis estropié. Cela fait si longtemps que je ne peux pas marcher.» Mais, même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera. Amen. Alléluia.

80        «Même maintenant, Seigneur.» La petite dame assise là dans un fauteuil roulant est paralysée comme cela depuis des années, «mais, même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te L’accordera». Et Il est assis à la droite du Père, intercédant pour vous. «Tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Oh! J’aime cela!

            Maintenant, observez. Maintenant les vieilles roues prophétiques sont en train de tourner ensemble. Quoi donc? Une femme est dans la détresse. Son frère est mort. Elle vient auprès de la seule ressource qui peut lui rendre la vie. Eh bien, elle est en train de satisfaire aux exigences. Elle a dit: «Seigneur (C’est ce qu’Il est), je sais que tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Je vous l’assure, quelque chose commence maintenant à prendre forme. Quelque chose va arriver.

            Il a dit: «Ton frère ressuscitera.»

            Elle a dit: «Oui, Seigneur, je sais qu’Il ressuscitera.» Les Juifs croyaient dans la résurrection générale. Elle a dit: «Je sais, Seigneur, qu’il ressuscitera au dernier jour, à la résurrection générale. C’était un bon garçon, et je sais qu’il ressuscitera au dernier jour, à la résurrection.»

81        Observez-Le. La Bible dit: «Son aspect n’avait rien pour nous plaire.» Jésus était un petit maigrichon. Ce n’était pas un homme très corpulent aux allures sacerdotales, c’était plutôt un petit maigrichon, et Il a redressé Son petit corps. Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie.» Alléluia! «Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort. Crois-tu cela?»

            Suivez attentivement. Tout marche comme il faut. C’est exact. Elle a dit: «Oui, Seigneur, je crois que Tu es ce que Tu as dit. Je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.»

82        Quelque chose doit arriver. Quelque chose doit arriver. La voilà qui reconnaissait, qui reconnaissait Sa divinité, qui reconnaissait Son autorité, qui reconnaissait la relation qu’Il avait avec le Dieu Tout-Puissant, qui reconnaissait Sa puissance devant Dieu. Elle a dit: «Tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera. Et je crois que Tu es très exactement ce que Tu as dit être.»

            Oh! la la! Maintenant quelque chose doit arriver. Les cordes se rassemblent et s’enroulent. Il a dit: «Où l’avez-vous enseveli?»

            Elle a dit: «Viens et vois.» Et ils sont partis.

83        Il n’y a pas longtemps... Je ne dis rien contre votre religion, vous les gens de la Science chrétienne. Mais une femme de la Science chrétienne me parlait, elle a dit: «Révérend Branham, vous mettez trop l’accent sur la Divinité de Jésus-Christ.»

            J’ai dit: «Comment est-ce que vous...»

            Elle a dit: «Vous avez lu trop de choses à Son sujet.» Elle a dit: «Vous... Vous êtes dieu; vous êtes dieu; tout le monde est un dieu en soi.»

            J’ai dit: «Oh! Non! Non, non.» J’ai dit: «Lui, Il était...»

            Elle a dit: «Il n’était qu’un simple homme.»

            J’ai dit: «Il était Dieu.»

84        Elle a dit: «Oh! Il ne pouvait pas L’être.» Elle a dit: «Si je vous prouvais par les Ecritures qu’Il n’était rien de plus qu’un homme, allez-vous l’accepter?»

            J’ai dit: «Oui, madame, si les Ecritures déclarent qu’Il était un simple homme, je croirai ce que déclarent les Ecritures, mais d’abord j’aimerais savoir où vous allez.»

            Elle a dit: «Eh bien, je vais vous le prouver maintenant.» Elle a utilisé cette même Ecriture. Elle a dit: «Quand Jésus se rendait à la tombe de Lazare, la Bible dit qu’Il pleura.»

            Elle a dit: «Cela montre qu’Il était un mortel, car Il a pleuré comme un homme.»

85        J’ai dit: «C’est vrai, madame. Il était un homme quand Il pleurait. Quand Il s’est rendu à la tombe, Il était chagriné comme les autres qui étaient tristes. Il s’est réjoui avec les autres quand ils étaient dans la joie, mais, ai-je dit, Il était plus qu’un homme.» J’ai dit: «Quand Il s’est rendu à la tombe de Lazare, Il pleurait comme un homme, mais quand Il s’est tenu là, et qu’Il s’est redressé, et qu’Il a dit: ‘Lazare, sors!’, et qu’un homme qui était mort depuis quatre jours, dont l’âme était quelque part à quatre jours de voyage, la corruption a reconnu son Maître. Son âme qui s’en était allée depuis quatre jours... Je ne sais pas où elle était allée, vous non plus, nous n’allons donc pas discuter là-dessus, mais cette âme est retournée vers le corps, et un homme qui était mort depuis quatre jours s’est tenu debout et est revenu à la vie. Frère, à ce moment-là c’était plus qu’un homme qui avait parlé. C’était Dieu qui parlait dans Son Homme.» Croyez-vous cela? Oui, monsieur.

86        C’était un homme quand Il descendit de la montagne ce soir-là, très affamé. Il cherchait à trouver quelque chose à manger, Il inspectait l’arbre de tout côté, cherchant à trouver quelque chose à manger. C’était un homme quand Il était affamé. C’est exact, mais quand Il a pris cinq petits pains et deux petits poissons, les a brisés, et en a nourri cinq milles personnes, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu qui parlait dans cet Homme. Il était un Dieu-Homme. C’est exact.

            C’était un homme quand Il était couché sur–à l’arrière de cette petite barque ce soir-là. Celle-ci flottait sur l’océan, portée par ces vagues, comme le bouchon d’une bouteille, et dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer ce soir-là. La tempête s’est levée avec de grands coups de vent. La barque s’emplissait d’eau. Les voiles avaient été arrachées. Les disciples avaient perdu courage.

87        C’était un homme quand tout ce désastre et tout ne Le réveillaient pas. C’était un homme qui était couché là, après avoir prié pendant toute la journée pour les malades. La vertu était sortie de Lui et, épuisé, Il se reposait. C’était un homme quand Il était endormi, mais quand Il a placé Son pied sur le bastingage de cette barque et qu’Il a dit: «Silence, tais-toi!», c’était plus qu’un homme quand la mer et les vagues ont obéi. C’était Dieu qui parlait dans Son Fils. Dieu était dans Son Fils, réconciliant le monde avec Lui-même.

            Croyez-vous cela? C’était un homme quand Il implorait miséricorde là-bas au Calvaire, suspendu entre les cieux et la terre, le sang coulant de Ses veines, le Sang de Jéhovah Lui-même tombant sur la terre de péchés; Il la baignait de Son Sang.

88        Quand Il a crié: «Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné?» C’était un homme quand Il est mort, mais au matin de Pâques, quand les tombeaux se sont ouverts et que le sceau de la mort et les liens furent rompus, Il ressuscita des morts triomphant, Il prouva qu’Il était Dieu. Alléluia!Vivant, Il m’aima; mourant, Il me sauva;Enseveli, Il emporta mes péchés au loin;Ressuscitant, Il me justifia gratuitement pour toujours:Un jour Il va venir, oh! quel jour glorieux!

89        Crois-tu cela? Je crois que ce même Jésus est ici aujourd’hui. Croyez-vous cela? Je crois que ce même Jésus est ressuscité parmi nous ce soir, ou aujourd’hui, manifestant des signes et des prodiges de Sa résurrection. Crois-tu cela? Je crois que c’est la même Personne dont cette femme toucha le bord du vêtement. Crois-tu cela?

            Je crois qu’Il est Celui qui ressuscita Lazare d’entre les morts. Crois-tu cela? Je crois qu’Il est Celui qui fit sortir les enfants hébreux de la fournaise ardente. Crois-tu cela?

            Je crois qu’Il est ici à cet instant même. Crois-tu cela? Je crois que c’est ce que nous ressentons dans notre âme à l’instant même. Crois-tu cela? Je crois que c’est de cela que l’assistance est ointe en ce moment. Crois-tu cela?

90        Je crois qu’Il est ici pour guérir chaque personne malade à l’instant même. Crois-tu cela? Je crois qu’Il est ici pour remplir tout le monde du Saint-Esprit à cet instant même. Crois-tu cela? Alléluia! Je crois qu’Il va le faire à l’instant même. Crois-tu cela?

            Je crois que les boiteux vont marcher, que les aveugles vont voir, que les sourds vont entendre. Crois-tu cela?

            Tenons-nous debout et rendons-Lui gloire. Je crois que Dieu va le faire. Crois-tu cela? Elevons nos voix vers Dieu. Alléluia.

91        Père, nous croyons que Tu es le Fils de Dieu. Nous croyons que Tu es ici parmi nous aujourd’hui. Nous croyons que Ta puissance est éternelle. Nous croyons que Tu ne peux pas faillir. Nous croyons que Tu as déversé Ton Esprit depuis les Cieux. Nous croyons que la Pentecôte est ici.

            Nous croyons que la puissance de Dieu est ici. Nous croyons que des signes et des prodiges sont ici. Nous croyons que le Saint-Esprit est ici. Nous croyons à toutes ces choses, Seigneur. Maintenant, envoie encore le Saint-Esprit comme un vent impétueux. Remplis la salle, Seigneur, où les gens sont assis.

            Que la puissance de Dieu déferle sur cette salle et se déverse de nouveau, Seigneur, car j’ai vu Tes miracles et des prodiges, des signes des croyants de ce jour; et donne la paix, la joie et la satisfaction, guéris les malades, ressuscite les morts et purifie les lépreux. Ô Dieu, accorde-le, nous prions au Nom de Jésus-Christ.

            Rendons gloire à Dieu. Alléluia! Alléluia! Alléluia! Gloire au Dieu vivant! Alléluia! Alléluia!

            Je crois que chaque personne ici présente peut recevoir le Saint-Esprit. Combien désirent Le recevoir? Levez votre main. Combien désirent recevoir le Saint-Esprit? Continuez simplement à agiter la main et levez les yeux. Levez les yeux, continuez à agiter la main. Seigneur, je crois. Seigneur, je crois. Sauveur, élève ma foi en Toi...?... Seigneur, je crois. Tous mes doutes sont ensevelis dans la Fontaine. Alléluia! Gloire à Dieu.

92        Quel moment merveilleux! Combien parmi vous pécheurs désirent venir ici et dire: «Je veux être sauvé maintenant même, Frère Branham. Je veux accepter Jésus-Christ comme mon Sauveur.» Levez la main. Levez la main, tous les pécheurs, levez vos mains, partout. C’est juste.

            Voudriez-vous bien venir ici? Si Dieu exauce mes prières en ouvrant les oreilles sourdes, en faisant voir les aveugles, ne m’exaucera-t-Il pas pour votre salut? Venez ici. Chaque pécheur est invité à l’instant même, pendant que nous chantons:

            Ne m’oublie pas, ô Doux Sauveur,
            Ecoute mon humble cri;
            Pendant que Tu appelles les autres,
            Ne m’oublie pas.

            Ecoutez, les amis, et si Paul Rader pouvait regarder ici bas, votre pasteur, cet après-midi? C’est le même genre de services que Paul Rader tenait. Et si le vieux Billy Sunday, qui se tient là-bas dans les lieux éternels de la Gloire, assis à côté de Dieu, là-bas sous les arbres à feuilles persistantes, qui a prêché du haut de cette même chaire venait ici cet après-midi, il crierait: «Avancez dans l’allée de sciure de bois!» C’est exact.

93        Oh! Hommes et femmes. Combien ici qui n’ont pas Jésus-Christ désirent recevoir le baptême du Saint-Esprit? Levez vos mains. Voulez-vous bien vous avancer maintenant pendant que nous chantons? Ne m’oublie pas, ô doux Sauveur. Très bien. [L’assemblée chante: Ne m’oublie pas.–N.D.E.]

            ... (Voulez-vous venir...?...)

            Oh!écoute mon humble cri;
            Pendant que Tu appelles les autres,
            Oh! ne m’oublie pas.

            Venez maintenant, avançons...?... ici près de l’autel. [L’assemblée continue à chanter.–N.D.E.]

            ... Sauveur...
            Ecoute mon humble cri;
            Pendant que Tu appelles les autres,
            Ne m’oublie pas.

            Sauveur, Sauveur,
            Ecoute mon humble cri;
            Pendant que Tu appelles les autres,
            Ne m’oublie pas.

            Sauveur, Sauveur,
            Ecoute mon humble cri;
            Pendant que Tu appelles les autres,
            Ne m’oublie pas.

94        Ecoutez, les amis. Ceci pourrait être–être le dernier jour de ce côté-ci de l’éternité, où vous avez encore l’opportunité de venir à Dieu. Ne voulez-vous pas venir maintenant? Ne voulez-vous pas venir maintenant pour recevoir Jésus-Christ dans votre coeur, ainsi que le baptême du Saint-Esprit?

            Si vous n’avez pas le Saint-Esprit aujourd’hui, ceci pourrait être la toute dernière fois où Dieu répètera encore la Pentecôte. Dans quelques minutes, cette salle pourrait être illuminée par la puissance de Dieu, les gens sortant d’ici avec le baptême du Saint-Esprit.

95        Ecoutez. Voici ici debout quelques centaines de gens, je pense, debout autour de l’autel. Ne voulez-vous pas venir prendre place maintenant pendant que nous chantons encore une fois, voulez-vous venir? Venez. Vous êtes invité. Dieu attend que vous veniez maintenant. Très bien. Tournez-vous carrément, serrez la main à quelqu’un et dites: «Etes-vous chrétien?» Très bien.

              Ne m’oublie pas, ô Doux Sauveur,
            Ecoute mon humble cri;
            Pendant que Tu appelles les autres,
            Oh! ne m’oublie pas.

            Sauveur, Sauveur,
            Oh! écoute mon humble cri;
            Pendant que Tu appelles les autres,
            Ne m’oublie pas.

96        Ne voulez-vous pas écouter l’Esprit de Dieu maintenant? Alors que vous êtes dans ces réunions, vous voyez le surnaturel se lever. Vous voyez des choses arriver, des signes que vous n’aviez jamais vus, qui ne se sont pas répétés depuis le temps de la Bible quand Jésus était ici.

            Que se passe-t-il? Le jugement va frapper ce monde très bientôt. Si vous êtes en dehors du Royaume de Dieu, que vous ne soyez pas surpris dans cet état. Venez maintenant même.

            Que Dieu te bénisse, jeune homme. Tu as donné ton coeur à Christ tout récemment. Je vois une Lumière encore suspendue au-dessus de toi. Que Dieu te bénisse. Tu vas recevoir le Saint-Esprit maintenant. Tiens-toi juste là et crois cela de tout ton coeur. Le Saint-Esprit était en train de te parler il y a quelques minutes, quand j’ai commencé à faire l’appel à l’autel. Tu sais que tu devrais venir. C’est exact. Et j’attendais de te voir venir.

97        Je sais qu’il y en a d’autres ici qui devraient se tenir ici tout autour de ce groupe à l’instant même. Ne voulez-vous pas venir, encore une fois, pendant que nous chantons: Oh! Pourquoi pas ce soir? Connaissez-vous cela, mon frère? Très bien. Oh! Pourquoi pas ce soir? Voulez-vous venir maintenant même? Veux-tu être sauvé? Oh, pourquoi pas ce soir?, un appel à l’autel wesleyen à l’ancienne mode. Très bien, s’il vous plaît, frère.

            Oh! pourquoi pas ce soir?
            Oh! pourquoi pas ce soir?
            Veux-tu être sauvé?
            Et pourquoi pas ce soir?
            Demain, le soleil pourrait ne jamais se lever
            Pour bénir ta vue qui se trompe fortement;
            Voici le temps, oh! alors sois sage,
            Sois sauvé, oh! ce soir.
            Oh! pourquoi pas ce soir? Oh...

98        Ne voulez-vous pas venir maintenant? Quittez ces allées–allées où vous êtes. Si vous vous déplacez maintenant même et que vous vous approchiez ici, Dieu va vous sauver maintenant même. Voulez-vous venir? ...sauvé? Oh! pourquoi pas ce soir?

            Inclinons la tête une minute. Seigneur Jésus, Tu connais le coeur de chaque homme ici présent. Tu connais le coeur de chaque femme, de chaque garçon ou de chaque fille, ou de chaque enfant. Ceci pourrait être le dernier appel à l’autel qui aura été fait avant la Venue de Jésus. Peut-être qu’il y a des hommes et des femmes ici qui ne seront pas de ce monde dans une semaine. Ils pourraient ne plus être de ce monde demain.

99        Ô Dieu, je Te prie de parler à leurs coeurs maintenant même, sachant que l’Evangile de Jésus-Christ a la grâce salvatrice pour tout le monde; et quiconque veut, qu’il vienne. Mourir sans Christ, c’est aller dans l’enfer du diable et dans une éternité de châtiment sans fin, mais accepter Jésus-Christ et naître de nouveau de Son Esprit, c’est la Vie Eternelle pour quiconque veut le croire.

            Ne veux-Tu pas l’accorder aujourd’hui, Seigneur? Parle encore à Ton peuple, je prie au Nom de Jésus.

            Maintenant, pendant que vous avez vos têtes inclinées, y a-t-il quelqu’un là-bas dans l’assistance qui voudrait dire: «Frère Branham, je ne suis pas suffisamment convaincu pour me tenir là avec ces gens et accepter Christ, mais veux-tu bien te souvenir de moi dans la prière?» Voulez-vous bien lever votre main et dire: «Il s’agit de moi, Frère Branham.» Je ne connais pas votre coeur. Dieu le connaît.

            Eh bien, que Dieu vous bénisse, madame, je vois votre main. Que Dieu vous bénisse. Je vois votre main. Que quelqu’un d’autre par ici lève la main et dise: «Je ne suis pas convaincu pour venir, mais je désire que vous priiez pour moi, Frère Branham.» Que Dieu vous bénisse, monsieur. Je crois que maintenant l’autel est vide ou plutôt prêt pour vous recevoir. Jésus-Christ se tient là, les bras tendus.

100      Chaque homme ou chaque femme ici présente qui a besoin de Dieu peut recevoir cela maintenant même. Croyez-vous cela? Combien croient de tout leur coeur maintenant? Avec... Maintenant, vous pécheurs et vous qui cherchez le Saint-Esprit, voici de quoi le Saint-Esprit est l’ami, vous qui Le cherchez. Vous n’avez pas à chercher, à supplier et à attendre. Il est juste avec vous maintenant. Voyez-vous?

            Vous direz: «Eh bien, il nous faut une réunion d’attente.» «Attendre» [«tarry»] veut dire «patienter» [«wait»], pas prier. Comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit... Ils durent patienter jusqu’à la fin des quarante jours ou plutôt des cinquante jours, pour la Pentecôte. Après cela, il n’y a plus à patienter. Vous pouvez Le recevoir maintenant même. Il n’est plus question d’attendre, c’est juste maintenant, il est juste question d’avoir un coeur disposé. Levez juste les mains vers Dieu.

            L’autre jour, quand cet archevêque se tenait là... Il a combattu mon... Il a dit... Il y a quatre mois il m’a critiqué, il s’est moqué de moi et tout le reste; il est entré dans la pièce, il a dit: «Je veux recevoir le Saint-Esprit.» Je lui ai simplement imposé les mains, et le Saint-Esprit est venu sur lui. Voyez-vous?

101      Le docteur Lee, l’un des grands fondamentalistes du Sud est venu là pour...?... lui qui m’a traité de sorcier, et l’autre jour, il s’est assis chez moi, les larmes coulant sur ses joues, et il a reçu le Saint-Esprit, et il n’arrivait plus à parler anglais. C’est exact. Il a dit: «Frère Branham, maintenant je suis votre frère.» Oh! Quelle différence!

            Ce qu’Il a fait pour le docteur Lee, pour le docteur Reedhead, pour l’évêque et toutes ces autres personnes, Il est juste ici prêt à le faire pour le plus petit et le plus... Le...?... personne, l’ivrogne qui quittera la rue et qui se repentira de ses péchés, Dieu vous accordera ce Saint-Esprit béni.

            Hier soir, pendant que je traversais en voiture le quartier des clochards ou le quartier pauvre par ici, j’ai vu cette scène de la vie, l’autre côté, ces pauvres personnes ivres entassées dans la rue, et frère Boze et moi nous passions par là, de voir quel spectacle pitoyable c’était! N’eût été la grâce de Dieu, ce serait vous. N’eût été la grâce de Dieu, ce serait moi.

102      Oh! Des mères, des garçons, des hommes qui autrefois étaient des hommes bien, ils étaient étendus là maintenant à cet endroit, mon coeur saignait tout simplement. Hier soir, j’ai eu de la peine à m’endormir pendant des heures après être rentré à la maison, à force d’y penser. «Que puis-je faire, Seigneur?»

            Et Dieu vous a donné le privilège de vous tenir ici aujourd’hui en bonne santé, dans votre bon sens, regardant droit là-bas au Calvaire. Eh bien, Dieu va vous bénir et vous donner le baptême du Saint-Esprit à l’instant même. Croyez-vous cela?

            Maintenant, j’aimerais que vous fassiez quelque chose. Si vous voulez bien faire ceci, oublier qui se tient à côté de vous, oublier qui est dans la salle, oublier même où vous vous trouvez, dites tout simplement: «Seigneur Jésus, je viens à Toi. Tu m’as promis le Saint-Esprit, et avec Ton aide je ne quitterai point cet autel jusqu’à ce que Tu m’aies donné le baptême du Saint-Esprit.»

103      Si vous êtes déterminé à ce point devant Dieu, et que vous soyez sincère à ce point, vous sortirez d’ici avec le baptême du Saint-Esprit, étant scellé dans le Royaume de Dieu. Pour combien de temps? Jusqu’à la fin de votre voyage ici sur terre. Ephésiens 4.30 dit: «N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu par lequel vous avez été scellé pour le jour de votre rédemption.»

            Alors vous êtes en sécurité là-bas en Christ, une fois que vous avez été... avez reçu le baptême du Saint-Esprit. Désirez-vous Le recevoir? Combien dans la salle désirent Le recevoir maintenant même, le baptême du Saint-Esprit? Très bien. Dieu est-Il un menteur? Loin de Dieu de dire quoi que ce soit de faux!

            Maintenant, Dieu a fait la promesse que quiconque désire, qu’il vienne boire aux fontaines de l’eau de la Vie. Est-ce exact? Je vais vous dire ce que je désire que vous fassiez. Tenez-vous autour de l’autel, posez vos mains les uns sur les autres, ici, chacun de vous, et partout là-bas, je veux que, vous qui êtes là et qui désirez recevoir le Saint-Esprit, vous posiez les mains les uns sur les autres.

104      Et je veux que vous répétiez ceci dans votre coeur: «Ô Dieu, je ne quitterai pas ce lieu jusqu’à ce que Tu m’aies donné le Saint-Esprit maintenant même», et Dieu va vous L’accorder. Croyez-vous cela? Maintenant, levons nos mains. Relevons nos têtes, rendons grâces à Dieu, et rendons-Lui gloire pour le baptême du Saint-Esprit.

            Seigneur Jésus, envoie le Saint-Esprit maintenant même. Remplis chaque coeur ici, Seigneur. Que la puissance du Saint-Esprit se mette à descendre sur ces gens. Que des signes et des prodiges accompagnent, Seigneur. Que ceci soit le plus grand jour de ce réveil. Que le Saint-Esprit descende, et que les malades soient guéris. Que les sourds entendent, que les aveugles voient, et que l’Esprit de Dieu remplisse le coeur de chaque croyant ici présent. Accorde-le, Seigneur.

            Maintenant, nous avons demandé. Tu as dit que lorsque le peuple a prié d’un même accord, le bâtiment où ils étaient rassemblés trembla. Envoie une secousse à l’ancienne mode sur chaque âme, Seigneur, afin que ces gens puissent recevoir le baptême du Saint-Esprit.

105      Continuez à louer. Continuez simplement à Le louer. Oubliez où vous vous trouvez. Levez vos mains. Louez-Le...?... Je demande...?... gloire. Levez vos mains. Continuez simplement à Le louer. Ne regardez pas à–ne levez pas vos yeux ici. Regardez là-bas au Ciel. Louez-Le. Dites: «Merci, Seigneur. Merci, Seigneur Jésus. Je Te loue, Seigneur. Merci, Seigneur.»

            Louez-Le tout simplement, et Dieu vous remplira du Saint-Esprit à l’instant même. Amen. Amen. Que Dieu te bénisse, fiston. Amen. Continue à Louer. Continue à Louer. Lève les yeux vers Lui, dis: «Merci, Seigneur Jésus.» C’est juste. C’est cela, maman. Il y a une femme qui a reçu le Saint-Esprit pendant qu’elle se tenait juste ici maintenant, une autre. Venez maintenant. C’est juste. Continuez à louer Dieu. Alléluia. Partout dans l’assistance, louez-Le. Louez-Le et rendez-Lui gloire. Alléluia! Gloire à Dieu. Gloire à Dieu. Amen. Alléluia!

            [Frère Branham s’éloigne du microphone.–N.D.E.]...?... Louez-Le. Louez-Le. Louez-Le. Louez, louez-Le...?... Alléluia. Alléluia. Battez les mains. Louez-Le. Dites: «Merci, Seigneur. Merci, Seigneur. Merci, Seigneur. Merci, Seigneur. Merci, Seigneur.»

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