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La Foi Qui A Eté Transmise Aux Saints Une Fois Pour Toutes
1
Bonsoir, les amis. Bon aprĂšs-midi plutĂŽt. Je confonds
toujours cela. Au
Kentucky ça, câest le soir. JâespĂšre quâil nây a ici personne du
Kentucky qui
mâentend dire cela; cependant nous sommes heureux dâĂȘtre ici au service
du
Seigneur Jésus-Christ.
Câest
toujours un privilĂšge de parler aux gens. Jâaime faire cela. Il nây a
pas...
[Espace vide sur la bandeâN.D.E.] lĂ derriĂšre lâestrade, oh ! dans
cette piĂšce
oĂč ce chant cĂ©lĂšbre fut Ă©crit. Paul Rader Ă©tait pasteur lĂ -bas, aprĂšs
frĂšre
Rediger. Je me tenais lĂ derriĂšre, et câĂ©tait juste aprĂšs le service,
il y
avait tellement de monde tout autour que je ne pouvais pas sortir,
alors on me
faisait simplement faire le tour, en faisant des va-et-vient dans le
bĂątiment.
Alors un
homme est venu là derriÚre. Il a dit: «Dites donc, FrÚre Branham.»
Jâai dit:
«Oui, monsieur.»
Il a dit:
«Oh ! la la ! votre grammaire est affreuse.»
Jâai dit:
«Oui, monsieur. Je le sais.»
2
Et il a ditâil a dit: «Vous utilisez certains des mots les
plus affreux.»
Il a dit: «Vous massacrez vraiment leâleâle...?... lâanglais.»
Et jâai
dit: «Oui, monsieur.» Jâai dit: «Jâen suis conscient.»
Il a dit:
«Oh ! vu le public devant lequel vous parlez, a-t-il dit, vous devriez
avoir
honte dâune telle grammaire.»
Jâai dit:
«Jâen ai honte, mais cela ne me sert de rien. Je ne connais pas mieux.»
Et il a
dit... «Eh bien, a-t-il dit...»
Jâai dit:
«Je nâĂ©tais quâun jeune garçon quand mon pĂšre est mort. Je devais
prendre la
charge de dix enfants, et je devais travailler pour soutenir ma mĂšre et
les
enfants. Alors depuis que le Seigneur mâa envoyĂ©, eh bien, jâaiâje nâai
plus eu
de chance.»
Et il a
dit: «Oh ! ce nâest donc pas une excuse, ça.» Il a dit: «Vous ĂȘtes un
homme.»
Et il utilisait un langage soutenu ! Je ne comprenais pas de quoi il
parlait.
Alors il a dit: «Eh bien, ce nâest donc pas une excuse.» Il a dit:
«Vous
devriez donc faire mieux que ça.»
3
Jâai dit: «Eh bien, ai-je dit, je suis tellement occupĂ© Ă
prier pour les
malades et tout, ai-je dit, je...»
Il a dit:
«Faites des cours par correspondance.»
Jâai dit:
«Eh bien, câest vrai, mais, ai-je dit, je nâai pas la chance de le
faire.»
Il a dit:
«Les mots les plus affreux.» Il a ditâil a dit: «Voici particuliĂšrement
une
gaffe que vous avez commise ce soir.» Il a dit: «Vous avez dit: âTous
ceux qui
traversent cette polpit [au lieu de pulpit, câest-Ă -dire la
chaireâN.D.T.] vont
maintenant...â» Il a dit: «Vous ne devriez jamais dire ça.»
«Moi, je
nây vois rien de mal.» Jâai dit: «Quây a-t-il de mal Ă dire traverser
le polpit?»
Il a dit:
«Votre assemblée vous apprécierait davantage si vous disiez pulpit, et
non
polpit.»
4
Jâai dit: «Bien, frĂšre, jâaimerais vous dire quoi. Câest
exact.» Jâai dit: «Cela
importe peu pour ces gens que je dise pulpit ou polpit. Ils veulent que
je mĂšne
le genre correct de vie et que je manifeste ce dont je parle. Câest de
cela
quâils parlent.» Câest...?... Jâai dit: «Aucun dâentre eux nâest trop
élevé
pour ne pas comprendre ce que je dis. Dâune maniĂšre ou dâune autre ils
comprennent cela. Ils...»
Câestâcâest...
Câest pourquoi excusez maâma grammaire. Elle nâest pas trĂšs bonne, mais
je...
Bien des fois dans la Parole... Jeâjâaime parler de la Parole. Je nâEn
connais
pas grand-chose, mais jeâjâaime En parler. Je suisâjâEn connais trĂšs
bien
lâAuteur, câest donc lâessentiel, nâest-ce pas? Pourvu que jâen
connaisse
lâAuteur. Ainsi Il est merveilleux pour moi. Il mâa sauvĂ© par Sa grĂące,
et jâen
suis trĂšs heureux aujourdâhui.
5
Dâhabitude, dimanche aprĂšs-midi, il mâest accordĂ© deâde
parler et juste de
prĂȘcher, ou de faire tout ce qui semble bon. Ainsi je ne suis pasâpas
un
prĂ©dicateur. Je suis simplement en quelque sorte ce quâon appelle un
pneu de
secours. Vous savez, câest ce que vous utilisez quand vous avez un pneu
dĂ©gonflĂ©. Nous nâavons pas de pneu dĂ©gonflĂ© maintenant. Ainsi nous...
Je
voulais voir oĂč se trouvait le docteur Vayle. Nous nâavons pasânous
nâavons pas
de pneu dĂ©gonflĂ©, mais je suis tout de mĂȘme juste un pneu de secours,
juste
pour continuer de...
Juste
pour parler un petit moment de notre Seigneur. Je Lâaime et les
services de
lâaprĂšs-midi le dimanche sont dâhabitude consacrĂ©s aux affaires
missionnaires,
aux offrandes missionnaires et ainsi de suite, car nous récoltons de
lâargent,
et dĂšs que nous en avons assez, nous retournons outre-mer vers lesâvers
les
peuples qui ont si dĂ©sespĂ©rĂ©ment besoin de Christ, et qui nâont jamais
entendu
parler de Lui, pas une seule fois.
6
Il y a lĂ -bas des milliers et des milliers de pauvres petits
enfants qui ne
connaissent rien de Dieu et qui sont affamés, et ils ont tout autant le
droit
dâentendre parler de JĂ©sus que mon enfant et votre enfant, ils en ont
tout
autant le droit. JĂ©sus est mort pour eux tout autant quâIl est mort
pourâpour
nos enfants, et... [Espace vide sur la bandeâN.D.E.]
... mais
le pĂšre dans lâEvangile mĂȘme maintenant, Ă lâĂąge de soixante-quinze ou
soixante-seize ans, désire toujours passer le reste de ses jours là en
Afrique
sur le champ de bataille. Câest juste un groupe de Chicago qui mâa
simplement
pris et qui a dit que si je lâacceptais, ils allaient acheter le Gospel
Tabernacle de Chicago, y installer la climatisation, et le réfectionner
complĂštement et amĂ©nager lâintĂ©rieur et tout, quâils mâachĂšteraient une
grande
maison lĂ -bas Ă Chicago Heights, si jâĂ©tais simplement leâle pasteur
lĂ -bas
quand je reviendrais au pays, et que jâacceptais simplement dâĂȘtre un
pasteur,
et que je demandais Ă frĂšre Bosworth de venir pour ĂȘtre mon pasteur
associé...
7
Jâai dit: «FrĂšre, il y en a partout aux Etats-Unis, mais
cependant nous ne
pouvons rien accepter avant que JĂ©sus-Christ ait dit oui.» Jâai dit:
«AprÚs...»
Et on en a parlé à frÚre Bosworth.
Il a dit:
«Moi non plus, comment pourrais-je ĂȘtre un pasteur, FrĂšre Branham,
alors que
jâentends cet appel venir depuis lâautre cĂŽtĂ© de la mer?»
Vous
nâĂȘtes simplement plus le mĂȘme une fois que vous arrivez lĂ -bas et que
vous
voyez ce que sont les choses. Eh bien, jeâje parle sĂ©rieusement, et je
suisâje
suis un Américain. Je suis né ici en Amérique, en Amérique. Quatre ou
cinq de
mes frĂšres ont participĂ© Ă la derniĂšre guerre. Jâai un fils ici qui va
trĂšs
bientĂŽt faire maintenant son service. Et quand jâĂ©tais en France et en
Allemagne, jâai marchĂ© sur les tombes de plusieurs AmĂ©ricains morts, ou
plutĂŽt
des Branham qui ont donné leur vie sous la banniÚre étoilée. Si la
mienne
devait reposer lĂ pour la cause, je la donnerais volontiers.
Mais
sâil y a un endroit qui a besoin des missionnaires, câest lâAmĂ©rique.
Câest
juste. Câest vrai. A ce que je sache, ce sont les Etats-Unis qui sont
les plus
Ă©loignĂ©s de Dieu. Câest... Je dis cela avec respect en tant
quâAmĂ©ricain.
Câest... Nous avons Ă©tĂ© tellement instruits et enseignĂ©s, avec tant de
choses
qui nous sont tombées toutes cuites dans le bec, que nous ne savons pas
croire
en Dieu. On ne connait rien...
8
Tout simplement nous... Et vous entrez dans une assemblée.
Celui-ci dit: «Eh
bien...» Eh bien, la nuit... Vous voyez cette petite poignée de gens,
tandis
que vous ĂȘtes assis ici, vous sentez lâun venir par ici, par ici, et
par ici,
et par ici, tout simplement partout, des gens, lâun pense ceci et
lâautre pense
cela. Eh bien, je sais ce quâils pensent.
Certainement
je le sais. Dieu le rĂ©vĂšle. Et lâun dâeux se dit: «Eh bien, le docteur
Untel a
dit que câĂ©tait de la tĂ©lĂ©pathie.» Celui-ci se dit: «Eh bien, câest un
spirite.»
Et celui-ci se dit: «Câest un dĂ©mon.» Câest la raison pour laquelle le
Saint-Esprit ne peut pas agir. Vous voyez? Il faut que lâon soit dâun
mĂȘme
accord. Vous voyez? Il faut que lâon soit dâun mĂȘme accord, et alors
les
bénédictions et la puissance de Dieu se déverseront sur Son peuple.
Tant que
nous nâaurons pas cela, nous nous battons contre le vent. Câest vrai.
Câest
trĂšs dur, trĂšs dur, et celaâcela vous tue presque.
9
Maintenant, je... Quand je prĂȘche, dâhabitude je ne prĂȘche
pas plus de cinq
heures dâaffilĂ©e, donc ça ne sera pas trĂšs long, ainsi... Et certains
ont dit
que lorsque je me mets Ă parler, jâignore quand je dois mâarrĂȘter. Mais
maintenant, cet aprĂšs-midi, veuillez bien mâexcuser pendant quelques
instants,
je veux essayer de prendre un texte etâet de vous parler juste un petit
peu
sous lâangle Ă©vangĂ©lique.
Câest la
cinquiĂšme semaine oĂč je suis constamment dans les services de ce genre.
Cela ne
me sert Ă rien que jâessaie de vous expliquer, mon cher ami chrĂ©tien,
la
maniĂšre dont leâcela marche. Vousâvousâvous... Câest inutile... On ne
peut pas
en parler. Et beaucoup de gens pensent que je suis un isolationniste.
Je ne
suis pas un isolationniste. Jâaime les gens. Vous ne savez pas combien
jâaimerais prendre chaque personne, mâasseoir, et passer une heure ou
deux avec
elle Ă nous entretenir. Je ne peux pas faire cela, parce quâil se passe
quelque
chose.
10 Quand au dĂ©but lâonction commence Ă venir, pour chaque
personne Ă laquelle
vous parlez, elle vient. Voyez-vous? Et puis, presque chaque fois que
je quitte
les rĂ©unions aprĂšs mâĂȘtre tenu ici, et que ça continue pendant la nuit,
ce
nâest pas un problĂšme. Peut-ĂȘtre que je ne ressens mĂȘme pas ma force Ă
ce
moment-lĂ , mais quand je sors de cela, je suis trĂšs bien. Le problĂšme
câest
lorsque vous vous retrouvez entre les deux états, juste entre les deux
états,
entre le moment oĂč vous entrez dans lâonction et celui oĂč vous en
sortez.
Laissez-moi
lâexpliquer. Laissez-moi dire ceci. Avez-vous remarquĂ© que chaque fois
les
prophÚtes, les poÚtes et ce genre de personnes sont toujours considérés
comme
des nĂ©vrosĂ©s? Savez-vous cela? Le plus grand poĂšte que lâAmĂ©riqueâqui a
donnĂ© Ă
lâAmĂ©rique ses plus grands chants populaires, je pense, câĂ©taitâcâĂ©tait
Stephen
Foster, nâest-ce pas? Old Folks At Home, vous connaissez, Swanee River,
tous
ces...
11 Il nây a pas longtemps, je me tenais lĂ oĂč il a Ă©crit My Old
Kentucky Home.
Je suis nĂ© non loin de lĂ , et jâavais la main posĂ©e sur le pupitre
comme cela.
Laâlâinspiration est venue sur Stephen Foster lĂ oĂč il a Ă©crit My Old
Kentucky
Home. Jâai vu sa photo, et lâange qui Ă©tait supposĂ© lâavoir touchĂ© et
lui avoir
donnĂ© lâinspiration et ainsi de suite. Et aprĂšs que le guide est passĂ©,
je suis
restĂ© seul, et je me suis dit: «Monsieur Foster, vous lâaviez dans la
tĂȘte mais
pas dans le coeur.» Parce que chaque fois quâil Ă©crivait, quâil
recevait
lâinspiration, quâil Ă©crivait un chant, il partait et sâenivrait aprĂšs
cela. Et
puis, finalement vous savez comment il a fini sa vie: aprĂšs ĂȘtre montĂ©
dans
cette inspiration, il est redescendu, il a appelé un serviteur, il a
pris une
lame de rasoir et il sâest suicidĂ©; telle Ă©tait la fin de Stephen
Foster.
12 Je pensais Ă William Cowper (Vous avez entendu parler de
lui) qui a écrit
ce fameux hymne:
Il y a une fontaine
remplie de Sang,
TirĂ© des veines dâEmmanuel.
Quand les pécheurs sont
plongés dans ce flot,
Ils perdent toutes leurs
taches de culpabilité.
Quelques...
Il y a environ deux ou trois ans, je me suis tenu prĂšs de sa tombe en
Angleterre, oĂč figure son histoire. Et William Cowper, aprĂšs avoir
écrit ce
cantique, quand il était ravi par cette inspiration en écrivant, il
était
considĂ©rĂ© comme un nĂ©vrosĂ©, aprĂšs ĂȘtre sorti de cette inspiration, il a
pris un
taxiâtaxi et il a essayĂ© dâatteindre la riviĂšre pour se suicider. Il ne
savait
plus oĂč il se trouvait, ce quâil faisait ni rien. Vous voyez? Il Ă©tait
monté
quelque part.
13 ConsidĂ©rez cesâces poĂštes. ConsidĂ©rez les prophĂštes.
Considérez Jonas quand
il Ă©tait en route vers Ninive et quâil a pris un bateau Ă destination
de
Tarsis, et il... Dieu... Il a désobéi à Dieu, et il fut jeté hors du
navire et
une baleine lâa avalĂ©, etâet il fut ramenĂ© Ă Ninive, et il a donnĂ© sa
prophĂ©tie, câĂ©tait une grande ville de la dimension de Saint Louis,
dans le
Missouri, dâune population de plus dâun million dâhabitants. Certains
dâentre
eux ne savaient mĂȘme pas distinguer la main droite de la main gauche.
Mais ce
prophÚte a parcouru les rues en proclamant sa prophétie comme cela au
point que
les gens se sont repentis jusquâĂ revĂȘtir leurs animaux de sacs.
Et
ensuite, aprĂšs que lâinspiration lâa quittĂ©, il sâest assis sous un
petit ricin
et il a prié Dieu de lui Îter la vie. Est-ce juste? Voyez-vous? Vous ne
comprenez pas cela. Il était là -haut quelque part, et quand
lâinspiration Ă©tait
sur lui, tout allait bien, mais lorsquâelle lâa quittĂ©, alors vous
voyez ce que
câest? Voyez-vous?
14 ConsidĂ©rezâconsidĂ©rez le prophĂšte Elie, qui se tint ce
jour-lĂ sur le mont
Carmel et qui fit venir le feu du ciel, qui fit venir la pluie du ciel
le mĂȘme
jour, et aprĂšs cela il sâest enfui dans le dĂ©sert aprĂšs que
lâinspiration lâa
quittĂ©, quand JĂ©zabel lâa menacĂ©. Il sâest enfui dans le dĂ©sert et il a
errĂ© lĂ
dans le dĂ©sert pendant quarante jours et quarante nuits, et Dieu lâa
trouvé. Il
sâĂ©tait retranchĂ© dans une caverne quelque part. Est-ce exact?
Voyez-vous?
Ăa ne
sert Ă rien dâessayer de lâexpliquer. Il sâagit tout simplement dâune
vie
solitaire. Voyez-vous? Quand vous ĂȘtes lĂ -dedans, ce nâest pas mal; et
quand
vous ĂȘtes hors de cela, mais quand on est entre les deux Ă©tats...
Voyez-vous?
Et il y a tout simplement... Vous ne savez pas oĂč vous ĂȘtes et ce que
vous
faites. De quoi il est question? Il est question dâune seule chose.
FrĂšre, il y
a un pays lĂ de lâautre cĂŽtĂ© de la riviĂšre. Nous y entrons dâune
maniĂšre ou
dâune autre. Je ne sais pas. Je ne peux pas lâexpliquer. Mais je sais
quâun
glorieux jour, quand jâarriverai Ă la fin de mon voyage, en effet, je
dois y arriver
un de ces jours, je pense, en tant quâun vieil homme. JâespĂšre bien le
devenir,
si Jésus tarde.
15 Presque tous les Branham, quand ils deviennent trĂšs vieux,
ils attrapent la
paralysie agitante. Eh bien, mon grand-pĂšre paternel avait
quatre-vingt-dix-huit
ans, et ma grand-mĂšre avait cent et dix ans quand elle est morte. Et
mon
grand-pĂšre maternel avait quatre-vingt-seize ans (je crois que câĂ©tait
ça),
quand il est mort il y a environ trois ans. Et ma grand-mĂšre est morte
jeune
de...?... quand elle nâĂ©tait quâuneâune jeune femme dâenviron trente
ans. Mais
de toute façon, quand ils deviennent vieux, ils attrapent tous la
paralysie
agitante. Ils sont nerveux, des Irlandais, trĂšs tendus, et je pense que
si je
vivais jusquâĂ devenir vieux, moi aussi jâattraperai la paralysie
agitante
quand je serai devenu vieux.
Mais un
jour, quand jâarriverai au bout de la route, quand je sentirai les
vagues se
briser contre moi, et que je saurai que mon temps est terminé, et que
je me
tiendrai sur le rivage du Jourdain de la mort, et que je sentirai la
mort venir
sur moi, jâaimerais ĂŽter mon casque, le dĂ©poser sur le rivage; et
jâaimerais
ĂŽter les souliers de lâEvangile et les dĂ©poser lĂ ; je prendrai la
vieille épée
et la remettrai dans le fourreau de lâĂ©ternitĂ©, et je lĂšverai mes mains
faibles
et tremblantes, et je dirai: «PÚre, envoie le bateau de la vie. Ce
matin, je
viens.»
16 Je crois quâIl me rencontrera lĂ . Je... Et alors, quand je
serai enlevé,
jâaimerais regarder en arriĂšre en bas les carrĂ©s de ronces, les
collines et les
vallĂ©es, les endroits escarpĂ©s et rugueux, oĂč je me suis frayĂ© un
chemin en
enseignant que JĂ©sus-Christ est le mĂȘme hier, aujourdâhui et
éternellement. Et
je crois quâIl viendra Ă ma rencontre ce jour-lĂ , pas seulement pour
moi mais
pour tous ceux qui auront satisfait Ă Ses exigences dans cette vie pour
Lâaccepter comme leur seul Sauveur personnel. Que le Seigneur vous
bénisse.
Maintenant,
jâaimerais lire un passage des Ecritures. Mes paroles failliront. La
Parole de
Dieu ne faillira jamais. Câest la raison pour laquelle dans chaque
service
jâessaie de lire une portion de la Parole de Dieu, parce que mes
paroles ne
sont que les paroles dâun homme, mais Ses Paroles Ă Lui sont
éternelles. Elles
ne peuvent pas faillir.
17 Et jâai prĂȘchĂ© ici avant sur un petit sujet, et aujourdâhui
je venais
dâavoir une nouvelle idĂ©e, sur laquelle je rĂ©flĂ©chissais en venant ici.
Je
crois... Je lisais dans le Livre de Jude pendant que jâattendais, et je
me suis
dit que je lirais les quelques premiers versets et vous parlerais un
petit peu
lĂ -dessus. Nous lisons ceci dans Jude verset 1:
Jude, serviteur de Jésus-Christ, et frÚre de
Jacques, à ceux qui ont été appelés, qui sont aimés en Dieu le PÚre,...
gardés
pour Jésus-Christ:
Je veux que vous remarquiez quâil adresse ceci non pas aux
pécheurs, mais
aux Ă©lus. Voyez-vous? Cette lettre nâest pas envoyĂ©e aux incroyants.
Maintenant
écoutez.
Que la miséricorde, la paix et la charité
vous soient multipliées !
Bien-aimés,... je désirais vivement
vous écrire au sujet de notre salut commun, je me suis senti obligé de
le faire
afin de vous exhorter à combattre pour la foi qui a été transmise aux
saints
une fois pour toutes.
18 Et maintenant, puisse le Seigneur ajouter Ses bĂ©nĂ©dictions Ă
cela.
Jâaimerais parler juste pendant quelques instants de La foi qui a Ă©tĂ©
transmise
aux saints une fois pour toutes. Je crois... Combien de chrétiens y
a-t-il ici?
Levez la main, partout dans la salle, les chrĂ©tiens. TrĂšs bien. Câest
vraiment
un moment approprié pour ceci. Je pensais que les pécheurs seraient
dehors, en
train de se baigner etâet dehors en train de jouer aux jeux dâargent et
tout,
mais les chrétiens eux devraient certainement venir dans la maison de
Dieu.
Maintenant,
PĂšre, nous Te remercions aujourdâhui pour Ta misĂ©ricorde et pour Ta
grĂące Ă
cause de Ton Fils Jésus, qui nous a rachetés et nous a ramenés à Dieu,
le PĂšre,
par Son grand sacrifice. Etant devenus des bien-aimés par les liens de
Ses
souffrances, Il nous a rachetés, et autrefois nous les pauvres gens des
nations
qui étions séparés de Dieu, sans aucune miséricorde, sans aucun espoir
dans le
monde, des idolĂątres qui se dirigeaient vers un enfer du diable, une
tombe des
pécheurs...
Et au
temps convenable, Christ, le Bien-aimé, est venu et Il a pris la forme
de la
chair de péché et Il est devenu péché pour nous. Oh ! ce grand
substitut, Lui
le plus beau pour nous les vilains, Lui le Saint pour nous les impies,
Lui le
Juste pour nous les pĂ©cheurs. Et Dieu Lâa agréé tant et si bien quâIl a
témoigné de Sa propre voix: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé.
Ecoutez-Le.»
19 Et maintenant, nous qui étions autrefois éloignés, nous
avons été
rapprochĂ©s par le lavage de lâeau de la Parole. Et maintenant, nous
avons été
rapprochĂ©s de Dieu, au point que nous sommes mĂȘme appelĂ©s des fils et
des
filles de Dieu. Ce que nous serons Ă la fin nâa pas encore Ă©tĂ©
manifesté, mais
nous savons que nous aurons un corps semblable Ă Son corps, car nous Le
verrons
tel quâIl est.
Ce
glorieux espoir repose en nous, de savoir quâun jour nous ne prierons
plus pour
les malades. Il nây aura plus de malades pour lesquels prier. On ne
prĂȘchera
plus de sermon de repentance, parce quâil nây aura personne lĂ qui
devra se
repentir; ils seront tous parfaits.
Ă Dieu,
aide-nous aujourdâhui, pendant que ceci est appelĂ© jour. Puissions-nous
courir
vers le but de la vocation céleste en Christ. Envoie le Saint-Esprit
maintenant
et prends ces quelques paroles. Je ne sais pas ce quâil faut dire, mais
Tu as
promis: «Quand vous ouvrirez votre bouche, Je la remplirai.» Tu as
accompli
cela durant les vingt derniÚres années de ma vie, et je Te prie de
lâaccorder
encore aujourdâhui. Je ne sais pas de quoi ils ont besoin, ce quâil me
faut,
mais Tu le sais, et je Te confie tout cela au Nom de Jésus-Christ afin
que la
gloire Te revienne. Amen.
20 Maintenant, jâaimerais parler un petit peu, pendant quelques
instants. Je
vais tĂącher de vous libĂ©rer Ă temps afin que nous puissionsânous
puissions
revenir pour le service du soir. Nous faisons tout notre mieux, et
vraiment,
amis chrĂ©tiens, je sais que la Floride est un endroit difficile Ă
gagner. Je
leur parlais lĂ -bas. Je...?... En fait, pourtant un de ces jours il nây
aura
plus de Floride. Elle va sombrer, et les choses que vous adorez tant
maintenant
périront.
Il nây a
que le Dieu Ă©ternel qui peut vous sauver, ainsi si vous nâĂȘtes pas lĂ
oĂč vous
pensez que vous devriez ĂȘtre, ou lĂ oĂč Dieu dit que vous devriez ĂȘtre,
câest lĂ
le problÚme. «Telle voie parait droite à un homme, mais son issue,
câest la
voie de la mort.»
21 Maintenant, en tant que Son serviteur, je dois ĂȘtre honnĂȘte
et ne connaĂźtre
personne dâautre que Christ. Et puis jeâje... comme je vous lâai dit,
étant
sans instruction et ne connaissant pas grand-chose de ce quâon appelle
la
sagesse de ce monde, cependant je Le connais, Lui qui mâa appelĂ© et qui
mâa
rachetĂ© de la vie de pĂ©chĂ©. Et je mâassocie Ă Lui et communie avec Lui.
Et je
sais effectivement ce quâIl exige du chrĂ©tien, câest pourquoi
aujourdâhui, en
venant, je me suis dit que je parlerais de combattre pour la foi qui a
été
transmise aux saints une fois pour toutes.
Maintenant,
est-ce que tous nous... Maintenant, nous sommes mĂ©langĂ©s iciâil y a
probablement des protestants, des catholiques, dans ce petit groupe de
cent
cinquante personnes, ou peu importe le nombre quâil y a ici: des
protestants,
des catholiques, des méthodistes, des baptistes et ainsi de suite. Je
nâai rien
contre aucune de ces églises, rien du tout, Dieu connait mon coeur. Et
je ne
suis membre dâaucune dâelles. Je suis simplement sorti et cependant
jâappartiens
Ă chacune dâelles.
22 Il y a quelque temps jâĂ©tais Ă Little Rock, dans lâArkansas.
Jâai reçu les
critiques les plus affreuses que jâaie jamais eues dans ma vie. Le
reporter a
Ă©crit quâĂ cause dâun prĂ©dicateur prĂ©tentieux qui guĂ©rit les malades,
un grand
nombre dâambulances qui... bloquent les rues, et ainsi de suite. Et que
les
tramways et les bus ne pouvaient pas circuler dans les rues. Eh bien,
lĂ -dessus
on ne mâa pas vraiment mĂ©nagĂ©.
Mais Ă
propos... Il y a eu un vieil homme qui a été guéri. Il se servait des
béquilles
pendant plusieurs années, il était devenu raide, et le jour suivant,
alors
quâil marchait dans le rue, il avait mis un Ă©criteau sur ses bĂ©quilles,
disant:
«JĂ©sus-Christ est le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement», et il
criait
tout simplement. Et alors, pendant que je parlais le dimanche, pendant
que je
parlais, il sâest levĂ© et a dit: «Dites donc, prĂ©dicateur.»
Jâai dit:
«Oui, monsieur.»
Il a dit:
«Vous savez, il y a une chose que je ne comprends pas.»
Jâai dit:
«Laquelle, papa?
23 Il a dit: «Lorsque je vous ai entendu prĂȘcher, jâĂ©tais
certain que vous
Ă©tiez un nazarĂ©en.» Lui aussi il Ă©tait un nazarĂ©en. Il a dit: «JâĂ©tais
certain
que vous Ă©tiez un nazarĂ©en.» Il a dit: «Et ensuite, jâai vu tous ces
pentecÎtistes, et je me suis dit que vous étiez certainement un
pentecĂŽtiste.
Et maintenant je vous entends dire que vous étiez un baptiste.» Il a
dit: «Je
ne comprends pas cela.»
Jâai dit:
«Eh bien, câest facile, papa. Je suis un baptiste nazarĂ©en
pentecÎtiste.»
Jâaime cela. Câestâcâest donc ça. Nous reprĂ©sentons tout simplement les
mĂ©thodistes, les baptistes, chaqueâvous tous, tout le monde. Nous
sommes tous
un en Jésus-Christ. Cependant maintenant chacun de nous veut croire que
câest
son Ă©glise qui est lâEglise. Vous ĂȘtes censĂ© le faire. Câest tout Ă
fait
normal.
24 Eh bien, comme je représente tout cela, faisons un recul
pour voir ce que
câest que la foi. Beaucoup de gens disent: «Eh bien, je ne vais pas
lĂ -bas
parce que câest contre ma foi. Ma foi nâenseigne pas cela.» Il nây a
quâune
seule foi. Il nây a quâune seule Eglise, un seul Corps. Croyez-vous
cela? Il
nây a quâune seule Eglise; et cette Eglise, on nây adhĂšre pas du tout.
Onâon
naĂźt dans lâEglise.
Ce 6
avril prochain, ça fera quarante-quatre ans que je suis avec la famille
Branham, que je suis dans la famille Branham; et on ne mâa jamais
demandé
dâadhĂ©rer Ă cette famille. Voyez-vous? Pourquoi? Je suis nĂ© un Branham.
Je suis
un Branham de naissance, alors cela fait simplement de moi un Branham.
Voyez-vous? Je nâai pas Ă adhĂ©rer Ă cette famille, parce que jâen fais
partie.
Et câest comme ça. Vous ne devez pas adhĂ©rer Ă lâĂ©glise. Vous en faites
tout
simplement partie. Câest tout. Vous y naissez tout simplement.
25 Et lorsque vous naissez de lâEsprit de Dieu, vous devenez un
fils de Dieu
et une fille de Dieu. Et sans cela, vous ĂȘtes alors tout simplement
membre de
lâĂ©glise. Mais lorsque vous naissez de nouveau, vous appartenez Ă
Christ; et
nous devons naĂźtre de nouveau.
Je crois
Ă une seule doctrine fondamentale. Câest Saint Jean 3. JĂ©sus a dit Ă
NicodÚme: «Si
un homme ne naĂźt dâeau et dâEsprit, il nâentrera pas dans le Royaume.»
Peu
importe combien on est sincĂšre, notre sincĂ©ritĂ© nâa rien Ă voir
lĂ -dedans.
Allez au fleuve Gange cet aprĂšs-midi, voyez ces mĂšres prendre leurs
petits
bébés et les jeter là en sacrifice aux crocodiles pour apaiser les
dieux du
Nil. Voyez donc si ceci... Eprouvez la vĂŽtre une fois. Voyez Ă quel
point vous
ĂȘtes sincĂšre sâil faut vous comparer Ă eux cĂŽtĂ© sincĂ©ritĂ©.
26 Allez en Chine et voyez comment ilsâils se brisent les pieds
et se
dĂ©figurent, et lĂ en Inde ils sâenfoncent des lances dans leur nez, des
échardes dans leurs ongles, et ils se couchent sur des lits garnis de
pointes,
et ils se font des entailles, certains dâentre eux avec les mains
levées comme
cela, ils ferment les poings jusquâĂ ce que leurs ongles transpercent
leurs
mains en poussant, au bout de quarante ans; ils disent: «Je ne
baisserai jamais
la main jusquâĂ ce que jâaurai obtenu la paix dans mon Ăąme.» Mesurez
une fois
votre sincérité à cela.
Ils
prennent une énorme cuve remplie de feu comme ceci et ils doivent
marcher dans
ce tas de feu comme cela, pour plaire Ă leurs dieux et tout. Mesurez
une fois
votre sincĂ©ritĂ© Ă cela. Voyez-vous? Ils se torturent et sâinfligent des
tourments...
27 La sincĂ©ritĂ© nâa rien Ă voir avec cela. Dieu ne considĂšre
quâune exigence,
câest que vous devez naĂźtre de nouveau. Câest juste. Si vous nâĂȘtes pas
né de
nouveau, alors vous nâĂȘtes tout simplement pas lĂ . Câest tout. Jâai dĂ»
naĂźtre
afin de devenir un ĂȘtre humain, peu importe ce que câĂ©tait, jâai dĂ»
naĂźtre. Il
est impossible de me fabriquer par une machine. Jâai dĂ» naĂźtre afin de
devenir
un ĂȘtre humain. Jâai dĂ» naĂźtre afin de devenir un chrĂ©tien. Câest tout.
Il
sâagit dâune naissance, dâune naissance effective. Lâhomme est
régénéré, une
nouvelle Ăąme entre en lui.
Maintenant,
le... faisons un recul. Si vous allez regarder avec moi pendant
quelques
instants dans les pages des Saintes Ecritures... Maintenant, les
Ecritures sont
absolument les vérités fondamentales de Dieu.
28 Eh bien, si nous allons devoir considérer ceci... A présent,
jâaimerais, si
vous le voulez bien, que vous écoutiez donc attentivement. Je pourrais
ne pas
ĂȘtre en mesure de rassembler cela correctement. Jâai juste... Je parle
uniquement
par inspiration; et lâinspiration, câest juste lorsque vous trouvez la
chose
ici, vous la saisissez et vous la transmettez. Câest par ici; vous
tendez la
main, vous la saisissez et vous la transmettez. Cela pourrait ĂȘtre
dâune façon
sassafras Ă lâancienne mode, mais cela vous fera du bien si vous le
gardez.
Câest juste. Est-ce... Cela tient Ă lâestomac et vous soutient. Cela
mâa sauvĂ©,
et cela vous sauvera.
Je ne...
Il nây a pas longtemps, alors que jâĂ©tais pratiquement dĂ©primĂ©,
quelquâun a
dit... On mâa laissĂ© rester Ă la chaire pendant huit jours et huit
nuits sans
me retirer, Ă prier pour les malades. Jâavais dit que jâallais prier
pour tous
les malades. Il y avait Ă peu prĂšs trois fois plus de gens, peut-ĂȘtre
plus,
quand jâai arrĂȘtĂ© que lorsque jâavais commencĂ©, câĂ©tait une ligne
ininterrompue
jour et nuit. Je dormais appuyé contre la chaire, je buvais du jus
dâorange, et
tout, assis à cÎté de la chaire. Et lorsque je suis sorti, je ne savais
plus oĂč
jâĂ©tais, et je fus hors dâactivitĂ© pendant environ huit mois comme
cela.
A ce
propos quelquâun a dit: «FrĂšre Branham, avez-vousâavez-vous gardĂ© votre
religion durant tout ce temps?»
Jâai dit:
«Oh ! non. Câest elle qui mâa gardĂ© durant tout ce temps. Moi, je ne
pouvais
pas la garder; câest elle qui me garde.»
29 Et câest pareil avec JĂ©sus-Christ. Câest Lui qui nous garde.
Nous ne Le
gardons pas. Câest Lui qui nous garde. La question, ce nâest pas de
savoir si
moi je peux tenir bon, câest si Lui a tenu bon ou pas. Câest la chose
principale. Câest ce que Lui a fait qui compte. Ce que je suis
aujourdâhui,
câest ce que Dieu a fait pour moi en Christ. Câest ce que vous ĂȘtes
parâpar la
grĂące souveraine de Dieu.
Maintenant,
pour... Si vous sortiez par ici et que vous regardiez votre champ, ou
un trĂšs
grand champ complĂštement labourĂ© et trĂšs bien arrangĂ©, et quâon y ait
planté
quelque chose, la seule maniĂšre que vous saurez ce quâon y a plantĂ©,
câest
dâaller lĂ et de retourner les mottes de terre pour regarder lĂ en
dessous pour
voir de quelle semence il sâagit. Vous saurez quel genre de rĂ©colte
vous aurez
par lâespĂšce de semence quâon y a plantĂ©e. Est-ce juste?
Et notre
Bible dit que nous avons reçu la semence incorruptible, impérissable de
Dieu.
Elle ne peut pas périr; la Parole de Dieu ne peut pas périr. Or, chaque
semence
se reproduit selon son espĂšce.
30 Maintenant, faisons un recul pour voir aujourdâhui dans ce
grand Ăąge dans
lequel nous vivons, lâun des plus grands, les temps les plus sombres de
toute
laâlâhistoire, en dehors des Ăąges sombres auxquels je puisse penser,
selon le
peu dâhistoire que jâai lue. Nous vivons en plein dedans maintenant
mĂȘme. Alors
quâon a eu deux mille ans dâenseignement chrĂ©tien, cependant il y a
deux ans le
monde a fait Ă©clore treize millions dâinfidĂšles. Pensez-y simplement...
Pensez
Ă cela. Lâheure la plus sombre que nous ayons jamais vue...
Nous
avons les meilleures universités que nous ayons jamais eues. Nous avons
les
meilleures écoles que nous ayons jamais eues. Nous avons certains des
hommes
les mieux instruits qui se soient jamais tenus en chaire, et nous avons
moins
de christianisme que le monde nâait jamais connu depuis des annĂ©es et
des
annĂ©es. Câest vrai.
31 Câest comme les mĂ©decins, nous avons les meilleurs mĂ©decins
que nous ayons
jamais eus. Nous avons la meilleure science que nous ayons jamais eue.
Nous
avons la meilleure médecine que nous ayons jamais pratiquée. Nous avons
les
meilleurs hĂŽpitaux que nous ayons jamais connus, les infirmiĂšres les
mieux
formĂ©es, et nous avons plus de maladies dont le monde nâa jamais
entendu
parler, parce que nous avons plus de pĂ©chĂ© et dâincrĂ©dulitĂ© dont le
monde ait
jamais entendu parler. Câest lâexacte vĂ©ritĂ©.
En ce
jour de ce que nous appelons civilisation, les gens sont devenus non
civilisés.
Nous prenons le mauvais chemin pour cela. Je dis bien des fois... Je ne
parle
pas du groupe auquel je mâadresse cet aprĂšs-midi; je parle du monde en
général.
Il est bien plus facile de parler... Je pourrais prendre un enfant de
huit ans
et lâamener Ă voir JĂ©sus-Christ des milliers de fois plus vite que je
ne le
peux avec un homme qui a deux diplĂŽmes dâune certaine universitĂ©
quelque part.
Il est trĂšs intelligent. Ilâil connaĂźt simplement tout, et vous ne
pouvez rien
lui apprendre, son esprit est tout simplement figé, et il ne voudra
pasâil ne
voudra pas sâhumilier.
32 Le salut, Jésus-Christ, la puissance de la guérison, la
puissance de Dieu,
ce nâest pas un grand mystĂšre. Câest quelque chose qui est juste Ă cĂŽtĂ©
de
vous. Oh ! la la ! Câest tout aussi simple que «un, deux, trois.»
Croyez
simplement en Dieu. Câest tout ce quâil en est. Câest tout aussi simple
que ça.
Dites Ă
votre fillette que vous allez lui procurer quelque chose. Elle le croit
tout
simplement. Câest tout. Observez les enfants quand vous montez en
chaire.
Observez et voyez si chacun dâeux nâest pas guĂ©ri, parce quâil croit
tout
simplement cela. Câest tout. Observez-les quand ils sont appelĂ©s depuis
lâestrade. Peu importe ce quâils ont comme problĂšme, quand on les
appelle.
Observez-les se lever dâun bond peu importe quâils soient infirmes,
aveugles,
ou que sais-je. Observez-les recevoir la chose sur-le-champ. Mais les
personnes
ùgées resteront assises là et diront: «Eh bien, attendez. Je ne peux
pas me
dĂ©placer. Cela fait longtemps que je nâai plus bougĂ© ce pied.» Un
enfant ne
pensera pas Ă cela; il va immĂ©diatement se lever dâun bond.
33 Câest ce que fera un enfant. Mais nous, nous essayons de
tout comprendre.
Il nous faut comprendre cela. Que serait-il arrivé ce soir-là si Pierre
sâĂ©tait
arrĂȘtĂ© pour comprendre, disant: «Eh bien, Seigneur, Tu mâas dit de
marcher sur
lâeau. Eh bien, laisse-moi voir maintenant. Je suis absolument un
scientifique,
et je connais la formule de lâeau. Câest H2O. Eh bien, nul homme ne
peut
marcher sur de lâhydrogĂšne et de lâoxygĂšne. Câest inutile que je puisse
essayer. Eh bien, Tu me demandes [de faire] quelque chose
dâimpossible»? Alors
Pierre nâaurait jamais marchĂ© sur lâeau. La seule chose... Il nâa pas
essayé de
comprendre de quoi il sâagissait. Il a simplement pris Dieu au Mot et
il sâest mis
Ă marcher. Câest ce que nous devons faire, nous ne devrions pas essayer
de
comprendre comment Dieu fait ces choses. Acceptez simplement cela et
allez de
lâavant.
Que
serait-il arrivĂ© si MoĂŻse, aprĂšs sâĂȘtre dĂ©tournĂ© pour voir le buisson
ardent,
avait dit: «Attends que je prenne quelques feuilles. Je vais les amener
au
laboratoire pour voir pourquoi les Ă©lĂ©ments chimiques deâde cette
feuille ne se
consument pas. Le feu est tout...?...»? Oh ! il ne se serait jamais
approché de
Dieu. Mais il a ĂŽtĂ© ses souliers et il sâest humblement approchĂ©, il
sâest tenu
tranquille, et Dieu lui a parlé directement à partir du buisson ardent.
Câest de
cette maniÚre que vous devez vous approcher de Dieu, avec humilité, en
acceptant Sa Parole, peu importe de quoi cela a lâair. Dieu lâa tout
simplement
dit là . Moi, je le crois, et cela réglait la question.
34 Maintenant, voyons aujourdâhui pourquoi nous avons cette
moisson de gens
que nous avons. Eh bien, si ça pique un petit peu... Je sens tout
simplement
quelque chose venir, je me sens plutĂŽt religieux juste en ce moment.
Ainsi
maintenant, quelque chose mâest tout simplement venu Ă lâesprit. TrĂšs
bien.
Peut-ĂȘtre que le Seigneur va nous bĂ©nir.
Maintenant,
faisons un recul dans la GenĂšse, etâet prenons leâle commencement. Nous
verrons
que tout ce que nous avons aujourdâhui tire son origine de la GenĂšse.
La GenĂšse
est le chapitre semence de la Bible. Tout a commencé dans la GenÚse.
TrĂšs bien,
câest parce que la GenĂšse, le mot GenĂšse signifie le commencement. Et
câest le
chapitre semence, oĂč Dieu a semĂ© la semence de toute chose. Et le
méchant a
semé sa semence, et Dieu a semé Sa semence à Lui, et ici les semences
sont en
train de pousser sur la terre, trĂšs exactement tel que Dieu lâa dit.
35 Prenons par exemple le mot Babylone. Nous le voyons ici dans
la GenĂšse. Au
dĂ©part ça sâappelait Les Portes du jardin, je crois, ou Les Portes du
Ciel. Par
la suite, cela fut appelé Confusion. Et nous voyons que Babylone a
commencĂ© lĂ
au commencement, et câĂ©tait le premier endroit oĂč lâidolĂątrie a
commencé...
Nous voyons que câĂ©tait dans la GenĂšse. Ensuite nous la voyons ici au
milieu de
la Bible, et ensuite nous la voyons rĂ©apparaĂźtre dans lâApocalypse.
Voyez-vous,
cela est venu de la GenÚse, et Babylone a évolué tout du long. Cela a
carrément
évolué, et cela monte en graine dans la GenÚse.
Maintenant,
dans la GenĂšse on va devoir commencer avec deux garçons. Câest de lĂ
que la
race humaine est issue, dâAdam et Ăve et Ă partir dâAdam et Ăve... Bien
entendu, elle avait certainement eu des filles. Si elle nâen avait
pas...
Quelquâun sâest souvent demandĂ©... La vieille question quâon sâest
toujours
posĂ©e est celle de savoir oĂč CaĂŻn a eu sa femme. CaĂŻn a dĂ» Ă©pouser sa
soeur. Il
nâaurait pu rien faire dâautre, parce quâil nây avait pas... La Bible
rapporte
rarement la naissance dâune femme. Câest toujours celle des hommes, et
siâsi la
Bible... Aujourdâhui, lâAmĂ©rique...
36 Eh bien, je suis... Vous ĂȘtes mes soeurs. Voyez-vous? Mais
Ă©coutez, il nây
a quâun seul endroit dans tout lâunivers qui rend un hommage Ă lâhomme;
câest
Dieu qui le lui rend. Aujourdâhui, le dieu de lâAmĂ©rique, câest la
femme. Eh
bien, câest juste. DĂ©vĂȘtez une de ces petites femmes, et exposez-la ici
quelque
part sur la plage en maillot de bain, et elle enverra en enfer plus
dâhommes
que tous les dĂ©bits de boisson que vous avez dans la ville. Câest
juste. Elle
est le dieu de lâAmĂ©rique. Elleâelle fait tomber des hommes, tout ce
quâelle
veut. Elle...
Le
diable savait cela au commencement. Câest la raison pour laquelle il a
choisi
la femme. Maintenant, la femme est rachetĂ©e, et elle peut ĂȘtre une
soeur et
ĂȘtre pieuse. Mais, frĂšre, ce quâil nous faut aujourdâhui câest
davantage de
bonnes mĂšres Ă lâancienne mode, nĂ©es du Saint-Esprit, envoyĂ©es de Dieu
pour
élever correctement les enfants. Vous parlez de la délinquance
juvĂ©nile, câest
la dĂ©linquance des parents qui est Ă la base de cela. Câest lâexacte
vérité.
37 Vous parlez de lâillettrisme du Kentucky, certains dâentre
nous qui vivons
là -bas...?... comment cela a gagné du terrain là -bas... Mais
permettez-moi de
vous dire quelque chose. Si une de ces vieilles mamans laissait sa...
si elle
voyait sa fille dehors, se méconduisant comme certaines autres le font
ici sur
ces plages, frĂšre, cette fille ne se lĂšverait pas de son lit pendant
toute une
semaine. Elle nâen serait pas capable. La mĂšre arracherait une de ces
branches
de noyer et la frapperait jusquâĂ lui arracher ce qui lui reste comme
jupe.
Et je
pense que si on pratiquait cela beaucoup plus ici Ă Palm Beach et dans
ces
autres villes par ici, on aurait une meilleure condition sociale et une
meilleure moralitĂ© dans la contrĂ©e. Amen. Ăa peut paraĂźtre vieux jeu,
gauche,
frĂšre, mais câest la vĂ©ritĂ© qui provient de la Parole de Dieu. Je pense
que
nous quittons notre position et tout. Câest la vĂ©ritĂ©.
38 Je ne suis pas ici pour vous dire comment vous habiller et
quoi porter.
Câest entre vous et Dieu. Mais Ă©coutez, quand une personne se met en
ordre avec
Dieu, Dieu va prendre soin du reste. Câest juste. Je nâai pas de rĂšgles
Ă vous
donner sur la maniĂšre de faire ceci, et de porter vos robes, et vos
jupes, et
dire que les hommes doivent faire telle ou telle chose. Il nây a pas de
rĂšglement.
Câest
juste comme dans ma contrĂ©e. Il y a un chĂȘne, de petites broussailles
de
chĂȘnes, il garde ses feuilles pendant tout lâhiver. Quand vient le
printemps,
vous nâavez pas besoin dâarracher les vieilles feuilles pour que les
nouvelles
puissent venir. Laissez tout simplement la nouvelle vie venir, les
vieilles
feuilles tomberont. Et quand un homme ou une femme est nĂ© de lâEsprit
de Dieu,
le Saint-Esprit fait tomber la vieille vie et la nouvelle vie apparaĂźt.
Amen.
39 Oh ! câest vraiment pitoyable de voir la condition de notre
nation, de voir
combien nous sommes polluĂ©s. Celaâce nâest pas...?.. Jâai dĂ©clarĂ© des
millions
de fois que je ne crains pas que la Russie nous fasse du mal, ou
nâimporte
quelle autre nation. Certaines autres nations nous font la guerre. Ce
nâest pas
ce qui mâeffraie. Câest notre propre pourriture juste parmi nous qui
nous avilit.
Ce nâest pas leâle rouge-gorge qui picore la pomme qui la dĂ©truit.
Câest le ver
qui est dans le trognon de la pomme qui tue la pomme. Câest notre
propre
condition ici. Ce que nous faisons maintenant brise la colonne
vertébrale de
nâimporte quelle nation. Câestâcâest la dĂ©pravation des moeurs chez la
femme,
observez ce qui va nous arriver. Lisez votre histoire et voyez. Et
câest lĂ la
chute de cette nation; câest aussi certain que nâimporte quoi dâautre
au monde.
40 Il nây a pas longtemps, dans ma propre ville oĂč jâai grandi,
jâai prĂȘchĂ©
sur ceâce sujet. Jâai prĂȘchĂ© sur la faillite du gouvernement des
Etats-Unis. Et
jâai tirĂ© cela de la Bible, lĂ oĂč les mauvais esprits sont sortis (des
esprits
de mensonge) et sont entrés dans les prophÚtes et leur ont fait dire un
mensonge, pour amener cet Achab Ă aller lĂ pour se faire tuer.
Et jâai
dit: «Les mauvais esprits de lĂ -bas, quand je suis allĂ© Ă Paris, et Ă
ces
endroits-lĂ , qui sont si dĂ©pravĂ©s, je ne mâĂ©tais jamais imaginĂ© que les
ĂȘtres
humains pourraient tomber aussi bas. Et chaque mode que nous avons tire
son
origine de lĂ mĂȘme Ă Paris, et cela vient ici Ă Hollywood, au travers
des
Ă©crans et tout. Vous vous ĂȘtes tous assis et vous avez regardĂ© cela.
Les jeunes
filles et les jeunes garçons entrent là -bas, ils ressortent, et ils
imitent ces
acteurs, et certains dâentre eux sont mariĂ©s quatre ou cinq fois, et
ils ont
trois ou quatre maris et femmes différents, et on en fait un modÚle.»
FrĂšre,
sâil y a un modĂšle que nous devrions avoir, nous devrions le tirer de
la Bible
de Dieu. Câest lâexacte vĂ©ritĂ©. Oui, monsieur. Câest lĂ quâa commencĂ©
notre
semence.
41 On dirait que câest lĂ -bas, au commencement, dans le jardin
dâEden. Jadis,
au commencement, il vint deux garçons: Caïn et Abel. TrÚs bien.
Jâaimerais que
vous les remarquiez, alors quâils viennent. Les deux garçons, aprĂšs
quâils
avaient Ă©tĂ© chassĂ©s du jardin dâEden qui se trouvait Ă lâest dâEden...
Quand je
traversais les rues ce matin Ă Palm Beach, je trouvais cela joli, ces
grandes
maisons, juste comme le jardin dâEden. Ce sont les fils de Dieu dĂ©chus
qui les
ont construites. Nous savons que si Dieu avait prévu dans leur coeur
dâavoir...
Mais chacun dâeux devra mourir et les laisser, mais un jour nous irons
vers une
maison (Alléluia !) que nous ne laisserons plus jamais. Nous y serons
pour
toujours.
42 Donc, pendant que je passais lĂ , je repassais dans mon
esprit ces
merveilleuses pensĂ©es, comment lâEden devait ĂȘtre. Et alors, lorsque
lâhomme a
pĂ©chĂ©... Jâai mon idĂ©e, ma conception lĂ -dessus. Vous pouvez avoir la
vĂŽtre.
Mais Dieu les a chassĂ©s. Un ange sâest tenu Ă la porte, et il sâest mis
Ă
garder la porte, et personne ne pouvait ni entrer ni sortir, Ă la porte
pour
les empĂȘcher dâaccĂ©der Ă lâArbre de Vie.
Or,
lâArbre de Vie, je crois, câĂ©tait JĂ©sus-Christ. «Celui qui mange Ma
chair et
qui boit Mon Sang a la Vie Eternelle.» Il est lâArbre de Vie. Dieu la
fit
garder par un chérubin, un ange qui avait une épée flamboyante.
Bon,
ensuite, lorsque CaĂŻn et Abel se rendirent compte quâils Ă©taient des
ĂȘtres mortels
et quâils devraient mourir un jour, alors ils vinrent pour trouver
grĂące devant
Dieu. Et chacun dâeux... CaĂŻn Ă©tait un laboureur. Abel Ă©tait un berger.
Et
remarquez, chacun dâeux vint pour adorer Dieu.
43 Maintenant, câest lĂ âlĂ que je dĂ©sire baser ma pensĂ©e
pendant les quinze ou
vingt prochaines minutes. Eh bien, voilà venir les deux garçons. Eh
bien, lâun
câĂ©tait CaĂŻn, qui Ă©tait de Satan. Lâautre câĂ©tait Abel, qui venait
dâAdam, qui
lui-mĂȘme venait de Dieu. Observez les deux. Câest un trĂšs beau tableau
des
Ă©glises aujourdâhui.
Maintenant,
voilĂ oĂč vous commencez... Je vais toucher aux miracles et aux
prodiges, et
vice-versa, au fondamentalisme, et on verra oĂč, combien câest
authentique.
Maintenant, remarquez. Caïn et Abel se sont approchés pour adorer Dieu.
Ils
lâont fait tous les deux. Eh bien, CaĂŻn a apportĂ© son sacrifice. Abel a
apporté
le sien. Eh bien, tous deux Ă©taient nĂ©s de la mĂȘme mĂšre.
44 Maintenant, Caïn était tout aussi sincÚre, je crois,
quâAbel. Sinon il ne
serait pas venu. Il Ă©tait tout autant croyant quâAbel. Fondamentalement
parlant, dans son adoration il Ă©tait aussi fondamental quâAbel. Tous
les deux,
les deux garçons se rendirent compte quâils Ă©taient perdus. Les deux
garçons
voulaient trouver la faveur de Dieu. Les deux garçons ont apporté
chacun un
sacrifice. Les deux garçons ont adoré. Les deux garçons étaient membres
de
lâĂ©glise.
Si une
Ă©glise, un sacrifice, une adoration, câest tout ce que Dieu exige,
Dieu, en
condamnant CaĂŻn, Ă©tait injuste. Câest correct, Il serait injuste. Car
si
lâadoration est tout ce que Dieu exige, CaĂŻn a adorĂ© autant quâAbel, et
peut-ĂȘtre que son adoration Ă©tait plus belle que celle dâAbel.
45 Maintenant, imaginez que CaĂŻn Ă©tait lâoint de Satan, le fils
de Satan, qui
est descendu... Et jâaimerais vous montrer un petit tableau lĂ aussi,
dans
un... de CaĂŻn et Abel. Quand ils sont venus... CaĂŻn est venu apporter
ce
sacrifice; câĂ©tait probablement de loin plus beau que celui dâAbel.
Caïn était
un laboureur. Et Il avaitâil avait des lys et de belles choses pour
décorer son
autel. Maintenant, Ă©coutez. Jâaimerais
que vous saisissiez ceci, et un jour, devant le Dieu Tout-Puissant oĂč
nous
comparaĂźtrons tous, vous verrez que cela nâĂ©tait pas si faux que ça.
Observez
la nature de CaĂŻn. Il avait la nature de son papa, Satan. Et lorsquâil
est
venu... Jâaimerais que vous voyiez quâil a offert un beau sacrifice,
peut-ĂȘtre,
qui Ă©tait dĂ©corĂ© de lys et de tout, comme ici dansâdans notre pays.
46 Il nây a pas longtemps un ministre mâa dit quâĂ chaque
PĂąques, un ministre
dâune certaine grande Ă©glise dĂ©nominationnelle.... Il a dit: «FrĂšre
Branham, je
ne sais simplement pas ce quâil faut faire.» Il a dit: «Jeâjeâjâai...
Chaque
fois, quand les gens viennent Ă PĂąques, a-t-il dit, jeâje leur souhaite
un
joyeux noël et un joyeux nouvel an, parce que je ne les verrai plus
jusquâĂ la
prochaine Pùques, et ce sont des membres de mon église.»
Jâai dit:
«Monsieur, vous ne croirez pas cela, mais la raison pour laquelle ils
ne
viennent pas, il nây a rien en eux pour quâils soient attirĂ©s.»
Il y a
quelque temps, quand jâĂ©tais un jeune homme, je descendais dâun poteau.
Je
travaillais pour une sociĂ©tĂ© dâĂ©lectricitĂ©, et jeâje devais procĂ©der
aux
coupures de lâĂ©lectricitĂ©. Et je suis allĂ© lĂ -bas; je devais rĂ©colter
des
factures sur lâavenue. Il y avait lĂ une jeune fille, et jâai frappĂ© Ă
la
porte, elle est venue Ă la porte et a dit: «Qui ĂȘtes-vous?»
Et jâai
dit: «Je suis un agent de la société des services publics. Je crois que
la
dameâle comptable mâa dit que vous avez oubliĂ© dâenvoyer...»
«Oh !
oui, a-t-elle dit, maman lâa envoyĂ©e,» et elle a ajoutĂ©: «Maman allait
lâenvoyer et elle lâa laissĂ©e ici.» Elle a dit: «Voulez-vous la
prendre?»
47 Jâai dit: «Oui, madame.» Elle mâa donnĂ© la facture. Je lâai
marquée comme
étant payée. Et aussitÎt je la lui ai remise, et un de ces vieux
danseurs de
gigue, ou je ne sais quoi, jouait comme cela, jouait de ce violon et
faisait
des histoires, il jouait une sorte de petite musique de boogie-woogie,
ou je ne
sais quoi; et cette jeune fille avait lĂ sur elle de petits vĂȘtements,
Ă peine
assez pour bourrer le canon dâun fusil, et câĂ©tait pitoyable.
Ecoutez.
Jâai deux filles, et siâsi on appelle bronzage... Si lâune de mes
filles, si
Dieu me laisse vivre, si elle se fait un bronzage en ayant sur elle un
tel vĂȘtement,
ça sera pourtant le fils de mon pÚre, Charlie Branham, qui lui donnera
le
bronzage avec la baguette de fusil aussi fort que je pourrai le lui
administrer. Câest le genre de bronzage quâil lui faudra. Absolument.
Câest
comme cela lĂ dehors, il nâest pas Ă©tonnant que le monde soit corrompu.
Comment
pouvez-vous, vous les hommes et les femmes... vous les hommes...
48 Maintenant, vous serez fùchés contre moi. Vous feriez mieux
de commencer,
mais vous hommes qui laissez vos femmes sortir et se comporter comme
cela, et
fumer la cigarette, danser tout autour, cela montre Ă quel point vous
ĂȘtes un
homme. Câest juste. Un vĂ©ritable homme de sang noble ne permettrait pas
une
telle histoire. Câest juste. FrĂšre, cela pourrait ĂȘtre difficile Ă
digérer,
mais si tel est le cas, recevez cela, car câest bon pour vous. Amen.
Câest
lâexacte vĂ©ritĂ©. Je vous assure, un vĂ©ritable homme viril ...
Il se
peut que ma femme fasse cela un jour. Si elle le fait, câest le jour oĂč
elle
quittera la maison de Branham. Câest lâexacte vĂ©ritĂ©. Je ne permettrai
pas
cela. Par la grĂące de Dieu, je ne pourrais pas permettre cela. Câest
juste. Et
quand des hommes se tiennent debout...
Excusez-moi.
Cette chose donne plus de voix que je nâen ai. Mais, Ă©coutez. Je ne
suis pas
excitĂ©. Je sais oĂč je me trouve. Je sais aussi de quoi je parle.
Maintenant,
Ă©coutez. Câest juste.
49 Cette jeune fille sâest mise Ă crier: «La la ! la la ! la la
! la la !», et
quand cette... Elle a dit quâelle allait avoir une sorte de partie de
swing
dans une grange ou quelque chose dâautre, elle sâest approchĂ©e de la
radio, et
elle se tortillait en quelque sorte...?... vers la radio. Elle était
tellement
emportĂ©e quâelle ne savait mĂȘme pas que jâĂ©tais Ă la porte. Elle a dit:
«La la
! la la ! mon chou. Je te verrai là -bas ce soir.»
Je me
suis dit: «Oui, tu seras là -bas. Pas de doute du tout. Tu seras là .»
Et elle
sâest avancĂ©e, elle a dit...?... dans la piĂšce en train de crier, vous
savez,
tandis quâelle dansait. Elle a dit: «Oh ! excusez-moi.» Elle a dit:
«Jâaime tellement
danser.»
Jâai dit:
«Jâai remarquĂ© cela.»
Et elle
a ditâelle a dit: «Oh ! jâaime vraiment cela.»
Jâai dit:
«Jeâje crois cela.» Jâai dit: «Voici votre diffĂ©rence.» Et je suis
reparti, et
je descendais dâun poteau.
50 Le docteur Brown est venu, il est dâune autre grande Ă©glise.
Il a dit: «Billy,
je me demande tout simplement.» Il a dit: «Jeâjâavais un trĂšs grand
nombre de
gens qui venaient dans mon église, et je leur ai fait signer une carte
comme
engagement quâils viendraient Ă mon Ă©glise pendant au moins six mois
sur
lâannĂ©e, Ă lâĂ©cole du dimanche, si bien que jâen ai envoyĂ©es cinq
cents.
Combien pensez-vous ont répondu ce dimanche?
«Je ne
sais pas, ai-je dit.»
Il a dit:
«Deux.»
Je lui
ai racontĂ© cette histoire. Jâai dit: «Pensez-vous que monsieur
Clayton...?...
devra faire signer une carte Ă ces femmes pour quâelles soient lĂ ce
soir-lĂ Ă
cette vieille danse dans une grange?» Non, monsieur, parce que dans
leur coeur
il y a un esprit qui se nourrit de cela. Et si un homme est né de Dieu,
quand les
cloches de lâĂ©glise sonnent, vous ne pouvez pas vous en tenir Ă©loignĂ©.
Il y a
quelque chose au-dedans de vous qui appelle, la profondeur parlant Ă la
profondeur. Vous devez aller. Amen. Vous devez venir carrément ici,
frĂšre. Et
si cet esprit qui est lĂ Ă lâintĂ©rieur adore encore le monde, lâamour
de Dieu
nâest mĂȘme pas en vous.
51 Si cet esprit hait le monde et aime Dieu, on nâa pas besoin
de signer une
carte et de faire des promesses pour aller Ă lâĂ©glise. Vous serez lĂ
quand les
portes sâouvrent. Vous ne pouvez pas rester Ă©loignĂ© de cela. Quelque
chose Ă
lâintĂ©rieur de vous tire. Vous ne pouvez pas vous empĂȘcher de venir.
Câest
juste. Câest quelque chose qui se passe ici Ă lâintĂ©rieur. Câest une
naissance.
Et câest ce dont lâĂ©glise a besoin aujourdâhui. Tant que ce vieil Adam
charnel,
que cette nature adamique nâaura pas Ă©tĂ© tuĂ©e dans cet homme, il est
toujours
un pĂ©cheur. Il pourrait aller Ă lâĂ©glise trĂšs souvent. Il pourrait
faire
inscrire son nom dans le registre. Aussi longtemps que ces choses sont
en lui,
il est toujours en dehors de la ligne vis-Ă -vis de Dieu. Amen. Je me
sens trĂšs
bien.
Ecoutez.
Jâaimerais vous dire quelque chose, frĂšre. CaĂŻn et Abel lĂ -bas au
commencement,
CaĂŻn sâest approchĂ©, et il a adorĂ© Dieu, il sâest mis Ă genoux. Oh ! la
la ! il
avait tous ces lys tout autour comme nous en aurons Ă PĂąques.
52 Les gens dĂ©pensent littĂ©ralement des millions de dollars Ă
travers le pays
pour dĂ©corer lâautel avec des lys. Dieu ne veut pas de lys sur lâautel.
Câest
vous quâIl veut sur lâautel. Dieu nâa que faire du lys. Câest de vous
quâil est
question. Lâautel nâa pas Ă©tĂ© fait pour le lys. Il a Ă©tĂ© fait pour
vous. Et
tout ce que vous avez et tout ce que vous ĂȘtes, vous devriez vous
mettre sur
lâautel et dire: «à Dieu, me voici.» Amen.
Câest ce
quâil nous faut. Câest ce dont a besoin cet aprĂšs-midi ce Palm Beach.
Pas dâun
nouveau maire, pas dâune nouvelle police, il lui faut un bon rĂ©veil Ă
la saint
Paul Ă lâancienne mode, et le retour du Saint-Esprit de la Bible dans
les
églises, et que vous les hommes et les femmes, vous vous mettiez en
ordre avec
Dieu. Alors vous verrez des miracles et des prodiges voler comme des
étincelles
sur une enclume. Si seulement vous commenciez cela ! FrĂšre, tant que
vous ne le
ferez pas, nous sommes perdus et nous ne serons jamais en mesure
dâavoir un
réveil.
53 LâAmĂ©rique... Il nây a pas longtemps, Billy Graham tenait
une certaine
rĂ©union. Il a terminĂ© et il a dit quâil avait eu trente mille convertis
ou
vingt mille convertis, je crois, en six semaines. Il est retourné six
semaines
aprĂšs, et il nâa pas pu en trouver vingt. Quel est le problĂšme? Câest
parce que
les gens se lĂšvent et disent: «Jâaccepte Christ comme mon Sauveur
personnel» et
ils sâasseyent, ils sont simplement tout excitĂ©s.
Câest
pour cette raison que nous ne pouvons pas avoir un réveil. Vous devez
retourner
Ă la foi de Dieu qui est dans la Bible, oĂč des hommes et des femmes
deviennent
nés de nouveau et régénérés par le Saint-Esprit. Alors cet homme-là ne
peut pas
sâempĂȘcher dâĂȘtre un chrĂ©tien. Il est un chrĂ©tien par naissance, câest
juste.
54 Vous nâavez pas besoin de lui faire faire une promesse, et
de lui donner
des cartes, et de le visiter. Quand il est né de nouveau, frÚre, vous
devez
pratiquement barricader la porte pour le garder dehors. Amen. Vous avez
mis la
charrette devant le cheval, frĂšre. Câest ça le problĂšme. Vous devez
dâabord
recevoir Christ. Au lieu de lâĂ©glise, vous devriez mettre Christ en
premier.
Câest ce quâil nous faut aujourdâhui. Câest ce dont lâAmĂ©rique a besoin
aujourdâhui. Ce dont toute la nation, le monde entier a besoin
aujourdâhui,
câest dâun rĂ©veil Ă lâancienne mode, envoyĂ© de Dieu, qui secoue.
CaĂŻn, il
Ă©tait certainement religieux, aussi religieux que lâautre. La religion,
câest
une couverture. Adam et Ăve, dans le jardin dâEden, quand ils se sont
aperçus
quâils Ă©taient nus, ils se sont fabriquĂ© une religion. Voyez, dĂšs
quâAdam a vu
quâil Ă©taitâquâil Ă©tait sĂ©parĂ© de Dieu, au lieu de trouver Dieu, il a
essayé de
se cacher de Dieu. Câest la nature de lâhomme aujourdâhui. Câest
toujours sa
nature. Au lieu de venir confesser en disant: «JâĂ©tais membre dâĂ©glise
ça fait
dix ans. Je ne connais rien au sujet de Dieu», il cherche à se cacher
derriĂšre
le nom dâune Ă©glise. Câest juste. Tous nous faisons cela. Nous les
méthodistes,
nous les baptistes, nous les presbytériens, nous les pentecÎtistes,
tous nous
faisons cela. Et nous sommes coupables devant Dieu. Amen. Câest la
vérité. Oui,
monsieur.
Maintenant,
je veux que vous remarquiez. Au lieu de sortir, câĂ©tait Adam qui aurait
dĂ»
parcourir le jardin en criant: «PĂšre ! PĂšre ! oĂč es-Tu? PĂšre ! PĂšre !»
CâĂ©tait
[plutĂŽt] le PĂšre qui parcourait le jardin en criant: «Adam, Adam, oĂč
es-tu?»
55 Quand il a vu quâil devait rencontrer Dieu, il sâest fait un
tablier de
feuilles de figuier. Câest bien lĂ un exemple typique dâaujourdâhui. Un
tablier, câĂ©tait une couverture. Une religion signifie une couverture.
Et il
sâest fait un tablier avec des feuilles de figuier. Il lâa mis autour
de lui,
et ça marchait bien aussi longtemps quâĂve et Adam se tenaient derriĂšre
dans
cette petite église-là , là derriÚre, en disant: «Eh bien, maintenant,
quand
Dieu appellera de nouveau, nous allons sortir.» Mais quand ils ont dû
faire
face Ă Dieu, ils se sont rendu compte que la religion des feuilles de
figuier ne
marchait pas. Et tout homme et toute femme qui se cache derriĂšre le
credo dâune
certaine église se rendra compte au jour de sa mort que la religion des
feuilles de figuier ne marche pas. Dieu a dit... Adam a dit: «Eh bien,
je suis
nu.» Il lâa su quand il devait rencontrer Dieu. Il a dit: «Je suis nu.»
Il a dit:
«Qui tâa dit que tu Ă©tais nu?» Oh ! alors ils ont commencĂ© Ă se faire
porter le
chapeau lâun Ă lâautre, comme le dit lâexpression de la rue. «Câest la
femme
que Tu mâas donnĂ©e, et ceci, cela.»
56 Et Dieu est allé, Il a pris des peaux et Il leur a fait des
tabliers avec.
Pour avoir les peaux Il a dĂ» tuer quelque chose. Quelque chose a dĂ»
mourir Ă
leur place. Et la seule chose au monde... Ce nâest pas lâEglise
méthodiste,
baptiste, ou presbytérienne qui couvrira vos péchés. Dieu a tué quelque
chose:
Son Fils, le Calvaire. Câest cela leur couverture, câest la seule
couverture
quâil y ait pour lâĂȘtre humain. Acceptez cela. Peu importe combien non
radical
cela...?... la religion de Jésus-Christ a toujours été considérée comme
du
fanatisme aux yeux du monde. Je vais vous le prouver dans quelques
minutes.
Câest juste.
Remarquez-le
maintenant. Les voilĂ lĂ en train dâadorer, tous les deux, tous les
deux étant
sincĂšres, tous les deux criant tout simplement Ă Dieu, Le louant et
tout. CaĂŻn
Ă©tait loin dâĂȘtre un communiste. Il Ă©tait un croyant.
Maintenant,
Ă©coutez ceci. Si la seule chose que vous devez faire, câest de croire
que Dieu
existe, alors CaĂŻn Ă©tait juste. Vous y ĂȘtes. Je vais laisser cela
pénétrer un
petit peu, car je veux que cela aille sous la cinquiÚme cÎte, du cÎté
gauche.
Voyez-vous?
57 Si tout ce que vous devez faire, câest croire que Dieu
existe, câest de
vous agenouiller et de Lâadorer, CaĂŻn Ă©tait justifiĂ©. La Bible dit que
mĂȘme le
diable croit que câest la vĂ©ritĂ©. Et le diable a confessĂ© publiquement
que
JĂ©sus-Christ est le Fils de Dieu. Cela ne lâa pas sauvĂ©. FrĂšre, nous...
Nous
ferions mieux de nous redresser. Un de ces jours ça sera une erreur.
Quelquâun
a raison et lâautre a tort.
Vous
feriez mieux dâaccepter ce que dit la Bible. Vous devez naĂźtre de
nouveau, ne
vous faites pas une idĂ©e mythique que vous ĂȘtes nĂ© de nouveau, mais
quand
lâEsprit tuera absolument en vous tout ce qui est du monde, vous serez
régénéré, vous serez une nouvelle créature en Christ. Alors vous saurez
que les
choses anciennes sont passées. Si vous aimez encore le monde, les
choses du
monde, la Bible dit: «Lâamour de Dieu nâest mĂȘme pas en vous.» Amen.
Câest
simple, mais, frĂšre, ce nâest pas blanchi Ă la chaux. Cela va vous
nettoyer et
vous rendre blanc. Câest juste. Excusez-moi de baver. Je vous ai dit
que pour
commencer je nâĂ©tais pas un prĂ©dicateur. Jâai mangĂ© beaucoup de raisins
de
Canaan, cela mâa fait baver...?... Canaan. Amen.
58 Oh ! frĂšre. Ce quâil nous faut aujourdâhui, câest une
vieille secousse du
Saint-Esprit une fois de plus. FrĂšre, cela a dĂ» mâarriver avant que
Dieu ne
puisse se manifester. Il faut quâun vent impĂ©tueux nous soit encore
envoyé
(Câest juste), comme au jour de la PentecĂŽte. Ils Ă©taient tous
religieux et
tous des disciples de JĂ©sus, mais ils ont dĂ» aller recevoir le baptĂȘme
du
Saint-Esprit. Est-ce vrai?
Et
Ă©coutez ceci, femmes. Vous devez ĂȘtre salĂ©es et Ă©couter ceci.
Réalisez-vous que
lĂ -haut, lorsquâils sont tous montĂ©s, les cent vingt, pour prier afin
que
lorsquâils... Ils nâont jamais fait ce que nous les baptistes, nous
faisons: se
donner une poignée de main et faire inscrire son nom dans le registre
et dire: «Oui,
je suis nĂ© de nouveau.» Ce nâest pas ce quâils faisaient. Il nâexiste
pas un
tel passage des Ecritures dans la Bible. Et nous les catholiques qui
sommes
venus, nous tirons la langue et nous prenons la sainte eucharistie, et
nous
disons que nous avons reçu le Saint-Esprit; il nâexiste pas un tel
passage des
Ecritures dans la Bible.
59 Nous les méthodistes, nous observons la prohibition pendant
six mois, et il
nâexiste pas un tel passage des Ecritures dans la Bible. Cependant la
Bible dit:
«Quand le jour de la PentecÎte vint, il vint du ciel un bruit comme
celui dâun
vent impĂ©tueux, qui remplit toute la maison oĂč ils Ă©taient assis.» Et
la
puissance de Dieu avait tellement saisi et oint ces gens quâils sont
sortis
dans les rues en courant, en dansant, en hurlant, en se comportant
comme une
bande de gens ivres. Câest ce que disent les Ecritures, AINSI DIT LE
SEIGNEUR.
Et
écoutez, femmes. La sainte vierge Marie a dû le recevoir comme cela; et
si Dieu
a fait que la mĂšre de Dieu passe par cela, Ă combien plus forte raison
devez-vous passer par cela. Mais il nous faut la Vie, pas de façon
mythique,
thĂ©ologique...?... par une thĂ©orie dâhommes, nous avons besoin du
retour du
baptĂȘme du Saint-Esprit Ă lâancienne mode dans la vie de lâhomme pour
produire
de nouvelles créatures en Jésus-Christ. Amen.
Je ne
suis pas en train de dire amen Ă moi-mĂȘme. Amen veut dire ainsi
soit-il. Je ne
peux mâempĂȘcher de dire cela. Suivez attentivement, mon frĂšre.
60 Oui, si câest tout ce que Dieu exigeait, donc CaĂŻn Ă©tait
justifié; mais
Dieu lâa rejetĂ©, parce que son esprit ne regardait quâĂ une chose
temporelle.
Il avait la nature de son papa. Son papa voulait avoir au Ciel une
église plus
grande et plus belle que celle de Micaël. Il fut chassé du Ciel; et en
effet,
on voit sa nature ici qui essaie dâembellir lâautel. Et voici encore la
chose
aujourdâhui. Oh ! ils construisent de grandes et belles Ă©glises.
Vous les
pentecĂŽtistes, vous ĂȘtes aussi mauvais que les autres. Câest juste.
Vous pensez
que parce quâune grande foule vient dans votre Ă©glise, ou que la haute
société
de la ville ou quelque chose comme cela vient chez vous, cela ne
changera rien.
Vous faites...?... Dieu vous rencontrera au coin de la rue ou dans une
ruelle
ou quelque part. Vous étiez bien mieux quand vous étiez dans la
mission. Amen.
61 Oh ! la la ! que câest pitoyable ! Quelle disgrĂące pour nous
qui nous
disons des chrĂ©tiens aujourdâhui, nous qui portons le nom du
christianisme !
Certains dâentre nous ne savent pas plus sur Dieu quâun hottentot nâen
sait sur
un chevalier Ă©gyptien. Amen. Excusez-moi, frĂšre. Je pense quâil me faut
vraiment
beaucoup de place pour courir autour.
Remarquez,
mon frĂšre. Toutefois je suis sincĂšre. Je le dis de tout mon coeur. CaĂŻn
sâĂ©tait
agenouillé là et il a adoré Dieu. Et Abel a adoré Dieu, mais Abel avait
une
rĂ©vĂ©lation. CaĂŻn sâest dit: «Ce sont des pommes qui nous ont fait
sortir du
jardin dâEden.» Il a offert des fruits. Combien il Ă©tait ignorant. La
mĂȘme
chose continue aujourdâhui. La beautĂ©... Il pensait quâil pouvait
apaiser Dieu
avec une trÚs belle église et un trÚs bel autel. Quelle ignorance !
Câest la
mĂȘme chose aujourdâhui, il est comme son pĂšre. Voyez-vous?
62 Mais Abel savait que câĂ©tait le sang. Amen. FrĂšre, il faut
le sang pour
nous ramener là -bas. Abel est allé derriÚre et il a pris un petit
agneau, il a
enroulĂ© des plantes rampantes autour de son cou. Je ne pense pas quâil
y avait
de cordes de chanvre à cette époque-là . Le voilà revenir. Il
tiraitâtirait un
petit agneau jusquâĂ lâautel, comme cela, jusquâĂ une pierre: il nây
avait rien
de beau lĂ -dedans. Cela me rappelle...?... Ă©glise nĂ©e libre, il nây a
rien de
beau lĂ -dedans. Il soulĂšve le petit animal et le place sur le rocher,
il prend
une pierre... Je pense quâil nâavait pas de lance. Il a ramassĂ© une
pierre
tranchante, il a renvoyĂ© sa petite tĂȘte en arriĂšre et il sâest mis Ă
lui hacher
la gorge.
Avez-vous
dĂ©jĂ entendu un agneau mourir? Câest la chose la plus pathĂ©tique que
vous ayez
jamais entendue de votre vie, entendre un agneau mourir. Et lĂ , ce
pauvre petit
agneau était tout simplement en train de mourir, de saigner, et il
bĂȘlait, et
le sang giclait comme cela, et baignait sa petite laine. Dieu a baissé
les yeux
et Il a dit: «Câest juste.» Cet homme Ă©tait spirituel. Il avait la
révélation
dâune certaine chose.
63 De quoi cela était la préfiguration? Il y a mille neuf cents
ans...?...
CâĂ©tait il y a environ quatre mille ans. AprĂšs, cet Agneau de Dieu fut
conduit
Ă la montagne du Calvaire. Et lĂ -haut sur le chemin, ils Lâont clouĂ©
sur la
croix, ils Lâont frappĂ© au dos pour la guĂ©rison, ils Lâont complĂštement
dĂ©vĂȘtu,
le sang qui trempait les boucles de Ses cheveux coulait sur Ses
épaules, Il
était couvert de crachats des moqueurs; Il criait: «Mon Dieu, Mon Dieu,
pourquoi Mâas-Tu abandonnĂ©?»
Adam ne
comprenait pas le langage de lâagneau. Il parlait dans une langue
inconnue. Et
Jésus-Christ est mort en parlant dans une langue inconnue: «Mon Dieu,
Eli,
Eli...?...», câĂ©tait pratiquement un type parfait, merveilleux, saint
et
incroyable.
Il était
lĂ . Comment...?... Regardez...?... ses beaux et grands autels, sa
glorieuse
adoration, oh ! la la ! câĂ©tait pieux et beau au possible.
64 VoilĂ Abel. Le petit...?... ici, ce nâĂ©tait pas trĂšs beau Ă
voir...?...
Non... juste une énorme pierre qui était...?... Il lui Îte sa petite
vie en le
frappant, tandis que lâanimal bĂȘlait... Mais de quoi cela Ă©tait la
prĂ©figuration? Abel avait une rĂ©vĂ©lation. Il Ă©tait nĂ© dâAdam, qui Ă©tait
un fils
de Dieu. Et aujourdâhui lâEglise qui est nĂ©e de Christ, le Fils de
Dieu, a la
révélation et la récompense pour la rémunération à venir. Peu leur
importe ce
que dit le monde, combien on est taxé de vieux jeu, combien ont dit
quâon est
ceci ou cela, nous savons ce que Dieu a dit, et câest ce Ă quoi nous
regardons.
Amen.
Oui,
monsieur. Quâils aillent de lâavant et disent ce quâils veulent. Cela
ne change
rien. Le peuple de Dieu a toujours été un peuple particulier.
Maintenant,
suivez attentivement. Je veux que vous remarquiez autre chose. Nous
allons nous
dĂ©pĂȘcher. Je veux que vous voyiez ceci.
65 Voici venir CaĂŻn. Alors il sâest retournĂ© et il a vu que le
sacrifice dâAbel
était accepté; il devint jaloux. Nous voyons donc beaucoup de cela
aujourdâhui.
Je ne dis pas quâil sâagit de tel, mais cela existe. Câest juste. La
jalousie. «Oh
! câest une bande dâimbĂ©ciles. Ils ne valent tout simplement rien. Ils
ne sont
mĂȘmes pas instruits. Ils ne savent rien au sujet de... Comment le
savez-vous?
Nous, nous avons nos diplÎmes. Nous savons ce que nous faisons.» Eh
bien, allez
de lâavant. Que lâaveugle conduise les aveugles; ils tomberont tous
dans la
fosse. Câest juste. Nous savons tous cela.
Oui, et
aussitĂŽt, il va lĂ -bas. Etâet que fait-il? Il devient jaloux. Il se met
en
colĂšre. DâoĂč cela est-il venu? Cela ne venait pas de Dieu. Cela venait
du
diable, et il est parti et il a tué son frÚre.
66 Jâaimerais vous montrer trĂšs vite ici une petite parabole.
Beaucoup de gens
nâont vu que trois croix Ă Golgotha. Il y en avait quatre. Il y avait
quatre
croix. La croix était un arbre. Est-ce juste? Ici il y avait Jésus, et
le
brigand Ă droite, et le brigand Ă gauche. Eh bien, ici il y avait Judas
qui est
allĂ© se pendre Ă un sycomore. Est-ce juste? CâĂ©tait autant une croix
que celle
sur laquelle était Jésus. La Bible dit: «Maudit est celui qui est pendu
au
bois.» Jésus était pendu à un bois comme la croix pour Îter... devenu
malédiction pour nous...?...
Maintenant,
regardez. Le fils de perdition Ă©tait ici, il venait de lâenfer et
retournait en
enfer. Ici était le Fils de Dieu qui venait du Ciel et retournait au
Ciel:
câĂ©tait parfaitement la rĂ©incarnation, Judas et JĂ©sus. Judas et JĂ©sus,
tous
deux Ă©taient frĂšres: lâun Ă©tait le pasteur, lâautre Ă©tait le trĂ©sorier.
Et
ceci...?... Ce brigand-ci à gauche a dit: «Si...» On remet en question
la
Parole de Dieu. «Si câest Toi, sauve-Toi toi-mĂȘme et sauve-nous. Montre
Ta
puissance. Fais un miracle devant nous maintenant. Si Tu es...»
67 Et cet autre brigand-ci a dit: «Seigneur, souviens-Toi de
moi quand Tu
viendras dans Ton rÚgne.» Judas était là et il a pris avec lui le
pécheur qui
ne sâĂ©tait pas repenti et est retournĂ© en enfer. Christ a pris avec Lui
le
pĂ©cheur qui sâĂ©tait repenti. «Aujourdâhui tu seras avec Moi au
paradis.» Câest
parfait, le prĂ©dicateur de lâEvangile, lâĂ©glise qui croit. Que Dieu
change les
circonstances, ils croient fermement de toute façon, et ils vont
carrément de
lâavant.
Maintenant,
remarquez. Nous allons nous dĂ©pĂȘcher pour terminer, parce quâil ne nous
reste
pas beaucoup de temps. Prenons un petit moment. Maintenant, suivez
attentivement.
VoilĂ
deux arbres qui commencent ici Ă partir de CaĂŻn et Abel. Maintenant,
observez-les
donc évoluer. Voici deux arbres qui commencent juste là . Eh bien,
aujourdâhui
nous sommes en plein dedans. Jâaimerais que vous saisissiez ceci.
Aujourdâhui
en plein dedans... Bien vite, cela a commencé.
Il y a
toujours eu le pour et le contre. Maintenant, si vous observez dans
lâarche,
vous verrez lors de la destruction du monde antĂ©diluvien, il y avait lĂ
une
colombe et un corbeau. Tous deux étaient des oiseaux, tous deux étaient
au mĂȘme
endroit, lâĂ©tage infĂ©rieur Ă©tait pour les crĂ©atures qui rampent,
lâĂ©tage du
milieu Ă©tait pour les oiseaux. Et NoĂ© Ă©taitâĂ©tait juste dans la mĂȘme
catégorie.
Cette colombe, elle dit: «Eh bien, jâai des ailes.»
68 Le corbeau dit: «Moi aussi.» Ils étaient tous les deux des
oiseaux, mais
lâun Ă©tait de Dieu, et lâautre Ă©tait du diable. On a lĂąchĂ© lâun, et
voici
comment on a pu les distinguer: par leur appétit. Le corbeau était
satisfait de
voler dâun cadavre Ă un autre, et dâen manger. Câest exactement comme
lâhomme
qui confesse ĂȘtre un chrĂ©tien aujourdâhui, et qui continue Ă fumer, Ă
boire, et
Ă courir çà et lĂ comme autrefois. Peu mâimporte Ă quel point vous ĂȘtes
membre
dâĂ©glise. Vous ĂȘtes malgrĂ© tout un pĂ©cheur aux yeux de Dieu.
Quand on
a donc lùché cette colombe, elle ne pouvait pas supporter cette odeur.
Elle a
dĂ» rentrer. Pourquoi? Câest la nature de cette colombe, la raison pour
laquelle
elle ne pouvait pas manger ces choses, câest parce quâelle nâa pas de
bile.
Elle ne peut pas digĂ©rer ces choses-lĂ . Et il en est de mĂȘme dâun
chrétien qui
est nĂ© de nouveau, la bile de lâamertume a Ă©tĂ© ĂŽtĂ©e, et vous ne pouvez
plus
digĂ©rer le monde (Voyez-vous?), ou plutĂŽt les choses du monde. Câest
complĂštement mort. Suivez encore.
69 VoilĂ EsaĂŒ et Jacob. ConsidĂ©rons-les juste un moment. Eh
bien, EsaĂŒ Ă©tait
de loin plusâplus gentleman, plus chrĂ©tien, comme on le dirait
aujourdâhui, que
Jacob. Eh bien, certainement. EsaĂŒ sâoccupait de son vieux papa
aveugle. Il
élevait le bétail. Il allait à la chasse, attrapait des cerfs et il en
donnait
Ă manger Ă son vieux papa. Et Jacob nâĂ©tait quâun petit gars qui
restait autour
de la maison, il était plutÎt paresseux.
Mais
quâest-ce qui faisait la diffĂ©rence chez Jacob? Jacob obtint la
récompense de
Dieu, le droit dâaĂźnesse. Est-ce juste? Un type parfait
dâaujourdâhui...
Quelquâun dira: «Eh bien, voici un homme de bien. Il va Ă lâĂ©glise, il
y va
chaque dimanche. Il soutient bien lâĂ©glise avec son argent. Il est
membre de la
meilleure Ă©glise de la ville. Il assure lâinstruction de ses enfants.
Il fait
telle chose.» Câest trĂšs bien. Câest bien en tant que citoyen, mais,
frĂšre,
cela nâa rien Ă voir du tout avec le christianisme. Vous allez Ă
lâĂ©glise, vous
avez fait inscrire votre nom lĂ dans le registre de chaque Ă©glise quâil
y a Ă
Palm Beach, ouâou en Floride. Cela ne vous fera aucun bien du tout.
Quand bien
mĂȘme le prĂ©dicateur pourrait mettre le drapeau en berne et dĂ©clarer que
vous
ĂȘtes allĂ© au Ciel, cependant si vous nâĂȘtes pas nĂ© de nouveau, vous
ĂȘtes perdu.
70 Eh bien, vaut mieux tirer cela au clair et le mettre en
ordre. Et
remarquez. Puis, bien vite, vous savez, Dieu a confirmé Son serviteur
Jacob. Il
lâa fait sortir, et Il a prouvĂ© par des miracles et des prodiges quâil
Ă©tait Ă
Lui. Maintenant, Dieu a toujours confirmé Ses croyants. Eh bien, gardez
cela Ă
lâesprit. Dieu confirme Ses croyants.
Il nâest
pas question de savoir combien vous ĂȘtes fondamentaliste, on nâest pas
jugé sur
base du fondamentalisme, bien que je croie que le fondamentalisme est
bon. Mais
on nâest pas jugĂ© sur base du fondam-... combien on est
fondamentaliste;
combien on est orthodoxe dans notre croyance. On est jugé sur base de
lâĂ©lection de Dieu et de la confirmation.
71 Remarquez. Voici une belle image. Voici Israël qui sort de
lâEgypte.
IsraĂ«l, et ils arrivent au pays de Moab, et quand ils sont arrivĂ©s Ă
Moab, eh
bien, voici venir... Ils avaient un prophÚte, un prédicateur là -bas. Et
câĂ©tait
un grand homme qui faisait de grandes choses. Alors Balak a dit: «Viens
donc.
Jâai beaucoup dâargent ici, je vaisâje vais te le donner si tu viens
maudire
ces fanatiques qui viennent, ces saints exaltés qui viennent, aprÚs
ĂȘtre sortis
de lâEgypte lĂ -bas, qui veulent traverser mon pays. Viens, prononce une
malédiction sur eux.» Eh bien, cela...?... un religieux. Oh !
certainement.
Balaam sâest rendu lĂ . Savez-vous ce qui sâest passĂ©? La vieille mule
sâest
retournée, elle lui a parlé en langue, elle a essayé de le corriger, et
il a
refusĂ©. Il est quand mĂȘme allĂ©. Et quand il est arrivĂ© Ă cet
endroit-lĂ , eh
bien, je voudrais que vous remarquiez maintenant combien il était
fondamentaliste.
Or, ces Moabites nâĂ©taient pas des infidĂšles. Ils Ă©taient des croyants.
[Espace
vide sur la bandeâN.D.E.]
72 ... Caïn à gauche, Abel à droite. Observez-les évoluer au
travers de la
Bible. CaĂŻn Ă gauche, Abel Ă droite. Maintenant, observez. VoilĂ
descendre ce
prophÚte. Il a dit: «La premiÚre chose que nous devons faire, nous
devons ĂȘtre
fondamentalistes sur ceci, car Dieu lâexige. BĂątissez-moi sept autels.»
Câest
exactement ce que Dieu a dit de faire. Fondamentalement parlant, il
avait
raison.
Il a dit:
«Je veux que vous mettiez dessus sept taureaux.» Câest fondamentalement
correct, câest ce que la Bible dit. «Et non seulement cela, mais je
veux que
vous mettiez sept béliers dessus, car Jésus-Christ va venir un jour, le
Messie.
Nous devons offrir un sacrifice pour cela», une préfiguration de la
Venue de
Christ. Câest tout aussi fondamental quâon peut le lire dans la Bible.
[Espace
vide sur la bande]
73 ... des enseignants fondamentalistes, et lĂ se tenait
Israël, juste là -bas
avec le mĂȘme nombre de sacrifices, les mĂȘmes sacrifices promis.
Fondamentalement tous les deux avaient parfaitement raison. Maintenant,
si la
Parole seule est ce que Dieu exige, lâun avait autant raison que
lâautre.
Est-ce juste? Dieu exigeait sept autels. Dieu exigeait sept taureaux.
Dieu
exigeait sept bĂ©liers. Oh ! câest parfait. Sept, câest le nombre
parfait, le
jour de lâadoration, sept jours et ainsi de suite. Et sept mille ans,
et
ensuite le MillĂ©nium, aprĂšs six mille, sept câest le MillĂ©nium. Et
ainsi tout
est dans les types de la Bible, et vous savez, avec des trois, des
sept, des
douze, des vingt-quatre, des quarante et des cinquante.
74 TrĂšs bien. Et dans cette adoration au chiffre sept, Dieu
était parfaitement
satisfait avec lâenseignement de ce fondamentaliste, de ces
fondamentalistes
quâIl lâĂ©tait avec IsraĂ«l. Mais tenez, observez, un groupe de croyants
se
tenait là alors jaloux de cet autre, son frÚre, Israël, et il y avait
lĂ ...
Pourquoi étaient-ils jaloux? Eh bien, scripturairement parlant les deux
ont
fait exactement la mĂȘme chose. Ils enseignaient exactement la mĂȘme
doctrine.
Amen.
Maintenant,
je me sens vraiment religieux. Remarquez. FrĂšre, je veux que vous
remarquiez
cela. JâĂ©volue avec ces arbres. Je vais les amener jusquâĂ Palm Beach,
en
Floride, avec lâaide de Dieu, dans quelques minutes. TrĂšs bien. Nous y
sommes.
Nous allons les amener tout droit jusquâĂ Palm Beach, en Floride, et
vous le
démontrer depuis la GenÚse juste ici, et entrer jusque dans
lâApocalypse. Câest
la vérité. Les voilà qui se tiennent là . TrÚs bien.
75 Ces croyants qui sont par ici sont jaloux de ces
croyants-ci. Pourquoi?
Dieu est avec ces croyants. Voilà la raison. Et Il a dit: «Viens et
maudis-les-moi donc.» Alors il prend les sacrifices et les autels, il
met des
taureaux dessus, et avec toutes leurs grandes robes, les princes, tous
les
grands docteurs, les Ă©vĂȘques et les archevĂȘques, ils se tenaient tous
lĂ autour
avec leurs robes, [Espace vide sur la bandeâN.D.E.] autour de ces
sacrifices
fumant. «à Grand JĂ©hovah. Notre pays ne veut pas ĂȘtre souillĂ© par cette
bande
de saints exaltés. Oh ! ne les laisse pas passer par ici.»
Quelquâun
dit: «Etaient-ce des saints exaltés?»
Certainement,
ils Ă©taient des saints exaltĂ©s. LâĂ©taient-ils? Quand ils ont traversĂ©
en
quittant... Ne vous fùchez pas pour cela. Quand ils ont traversé en
venant de
lâEgypte, ils ont traversĂ© la mer Rouge qui sĂ©parait, qui reprĂ©sentait
le Sang
de Jésus; Myriam, la prophétesse et Moïse, le prophÚte... Moïse fut
tellement
rempli de lâEsprit quâil leva les mains et se mit Ă chanter dans
lâEsprit.
Est-ce juste? Et Myriam fut tellement heureuse quâelle se saisit du
tambourin
et se mit Ă battre le tambourin, elle se mit Ă danser, et les filles
dâIsraĂ«l
la suivirent en dansant dans lâEsprit sur le rivage du fleuve. Si ce
nâest pas
lĂ un groupe de saints exaltĂ©s, je nâen ai jamais vu un ! Certainement,
ils
étaient des saints exaltés, et ils avaient la guérison divine dans
leurs
services, des saints exaltés.
76 Ils avaient un rocher frappĂ©, un serpent dâairain, et ils
avaient une Colonne
de Feu qui suivait ces saints exaltĂ©s. Ils lâĂ©taient certainement. Ils
avaient
des signes, des prodiges et des miracles parmi eux. Est-ce juste? Mais
du point
de vue fondamentalisme, ce groupe de fondamentalistes se tenaient aussi
fondamentalement sur la Parole quâeux, mais Dieu confirmait Son peuple.
Alléluia. Voilà . à Dieu ! aie pitié. Quand je pense à ce jour, combien
Satan a
aveuglé les yeux des hommes ! En fait...?...
Ils ont
offert leur sacrifice tout aussi pieusement. Eh bien, si Israël... Si
Dieu
disait: «Attendez une minute, ici. Je vais vous le prouver par les
Ecritures.»
Ils nâauraient pas pu dire un seul mot. Ils auraient aussitĂŽt fermĂ© la
bouche,
parce quâils avaient la Parole. Et aujourdâhui le croyant
fondamentaliste vous
fermera la bouche. Oui, monsieur.
77 «Jâai la Parole. La Parole le dit. Que Dieu vous bĂ©nisse.»
Câest vrai. Mais
attendez, Dieu vous a-t-Il déjà confirmé? Avez-vous des miracles et des
prodiges dans votre Ă©glise? Câest lĂ que Dieu vit toujours. Vous voyez
des
miracles et des prodiges, parce quâIl est Dieu. Il est un CrĂ©ateur, et
Son
peuple croit en Lui de cette maniĂšre-lĂ .
Dieu a
créé cette terre sur laquelle vous ĂȘtes assis cet aprĂšs-midi. La seule
chose
quâIl a faite, câest de dire: «Que ceci soit», et cette terre sur
laquelle vous
ĂȘtes assis est la Parole de Dieu matĂ©rialisĂ©e. Vous croyez des choses
qui
nâĂ©taient pas comme si elles Ă©taient, parce que Sa propre Parole a dit:
«Que
ceci soit.»
Et tout
homme qui est nĂ© de nouveau de lâEsprit de Dieu, ou un fils de Dieu,
quand Dieu
dit la chose, peu importe les circonstances, de toute façon il en est
ainsi.
Peu importe ce que disent tous les enseignants et les docteurs de je ne
sais
quoi, que le monde dise ceci et cela, il croit que câest la vĂ©ritĂ©,
parce que
Dieu lâa dit. - Comment cela va-t-il se faire? - Je ne sais pas. Dieu
lâa dit.
- Comment allez-vous recevoir le Saint-Esprit?- Je ne sais pas. Dieu
lâa dit.
Il mâa dit que je peux Le recevoir.
78 Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui
auront cru: en
Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues;
ils
saisiront des serpents, ils boiront des breuvages mortels, ils
imposeront les
mains aux malades, et les malades seront guéris.» Il a dit: «Voici les
miracles
qui accompagneront ceux qui auront cru.»
Oh !
nous disons: «Le croyant aujourdâhui câest un homme qui va Ă lâĂ©glise
et qui
paie ses dĂźmes. Il a son banc. Il fait placer une fenĂȘtre dans
lâĂ©glise. Câest
un homme de bien.» La Bible ne dit pas du tout que câest cela un
croyant.
Voyez-vous comment nous avons adopté nos propres traditions et avons
rendu sans
effet la loi de Dieu?
Dieu a
dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. En Mon
Nom,
ils chasseront les dĂ©mons, ils parleront de nouvelles langues; sâils
saisissent
des serpents ou sâils boivent un breuvage mortel, cela ne leur fera pas
de mal.
Sâils imposent les mains aux malades, les malades seront guĂ©ris.»
79 Il nây a pas longtemps, un jeune garçon est allĂ© au
cimetiĂšre, ou plutĂŽt au
sĂ©minaire, câest pareil. Il est donc allĂ© pour obtenir... Chaque fois,
un
ministre de sĂ©minaire... Je nâai rien contre ça. Moi-mĂȘme jâai eu un
peu de
cela, mais cela me rappelle toujours un poulet dâincubateur, que lâon a
fait
Ă©clore mĂ©caniquement. «Chip, chip, chip», et il nâa pas de maman vers
qui
aller. Tout ce quâon apprend, câest la thĂ©ologie. Ce quâil nous faut,
câest le
baptĂȘme du Saint-Esprit. Câest une honte que nous ayons adoptĂ© la
théologie
pour quâelle remplace le Saint-Esprit. Amen.
Je suis
peut-ĂȘtre en train de vous assourdir, mais je suis en train de recevoir
une
bĂ©nĂ©diction moi-mĂȘme. TrĂšs bien. MĂȘme si je suis seul, je gonfle.
Remarquez. Oh
! la la ! jâaimerais voir tout Palm Beach cet aprĂšs-midi les mains
levées vers
Dieu, louant Dieu dans une rĂ©union Ă lâancienne mode. Je vous assure,
la
puissance de Dieu va balayer cette ville. Lâalcool sera tellement banni
de
cette ville mĂȘme si les gens devaient ricaner dans quelques prochains
jours,
quâun contrebandier dâalcools devrait boire plus que de raison lui-mĂȘme
pendant
une demi-heure pour avoir assez de salive pour cracher. Amen. Câest
juste. Ce
quâil nous faut aujourdâhui câest une rĂ©union du Saint-Esprit Ă
lâancienne
mode. Cela va résoudre le problÚme. Amen. Je ne dis pas cela pour
plaisanter.
Je ne crois pas dans le fait de plaisanter Ă la chaire, mais câest la
vérité.
Amen. Oui, monsieur.
80 Fondamentaliste, câest sĂ»r, il a autant fondamentalement
raison que lâautre
homme. Il avait bien raison fondamentalement parlant, mais maintenant
observez.
Balak, le roi, a dit: «Maintenant, regarde par ici.» Et il lui a montré
les
extrĂ©mitĂ©s du camp dâIsraĂ«l.
Je me
demande si nous nâavons pas plutĂŽt considĂ©rĂ© les extrĂ©mitĂ©s du camp de
ces gens
qui prĂȘchent la guĂ©rison divine, qui croient dans les bĂ©nĂ©dictions de
Dieu. Je
crois que câest ce quâil a fait, et il a dit: «Cet homme sâest enfui
avec la
femme de cet homme-là .» Je me demande si nous les baptistes et les
méthodistes
nâavons pas fait la mĂȘme chose, en dissimulant cela continuellement. Ne
me
dites pas le contraire. Jâai Ă©tĂ© avec vous. Câest juste. Je sais que
câest la
vérité. Oui, monsieur. Certainement. Laissez-moi vous le dire, frÚre,
le péché
câest le pĂ©chĂ©, peu importe oĂč ça peut ĂȘtre.
81 Câest comme cette jeune petite mĂšre qui a envoyĂ© son fils au
séminaire pour
quâil devienne prĂ©dicateur. Oh ! la la ! Câest trĂšs bien. Je crois que
câest
une bonne chose. Certainement, aussi longtemps que câest un bon collĂšge
spirituel, envoyez-le. Mais quand vous lâenvoyez dans ces vieilles
morgues
formalistes... Vous savez ce que câest quâune morgue. Câest lĂ oĂč,
lorsque
quelquâun meurt, on lâamĂšne et on pompe quelque chose en lui, pour le
garder
mort. Câest Ă peu prĂšs comme ça: on fait sortir de lui tout ce qui est
de Dieu,
et on lui apprend la thĂ©ologie, et on le renvoie chez lui pire quâil ne
lâĂ©tait
au dĂ©part. Ainsi, câest juste.
Voici
venir ce petit... Un de ces petits séminaires... Et la petite mÚre
tomba
malade. Elle attrapa la pneumonie et elle pensait quâelle allait
mourir. On a
envoyĂ© un message Ă son fils pour quâil rentre Ă la maison. Si elle ne
se
rétablissait pas dans les prochaines vingt-quatre heures, il fallait
quâil
rentre Ă la maison. Eh bien, alors quand... AussitĂŽt, vous savez, elle
a cessé
dâĂ©crire. Quelques semaines aprĂšs cela, le garçon a pris des vacances
et il est
rentrĂ© Ă la maison. Elle a Ă©crit, et elle lui a dit quâelle se portait
bien. Il
a dit: «Maman, jâaimerais te poser une question, chĂšre maman.» Il a
dit: «Pourquoi...
Comment tâes-tu si vite rĂ©tablie?» Il a dit: «Quâest-ce que le mĂ©decin
tâavait
administré?»
82 Elle a dit: «Oh ! mon chĂ©ri, jâai quelque chose Ă te dire,
que tu ne sais
pas.» Elle a dit: «Tu connais cette vieille petite mission ici en
ville, oĂč il
y a ce groupe de gens que tu qualifies de culte fanatique?»
«Ouais.
Oui, oui.»
Elle a
dit: «Tu sais, cetteâcette femme a appris que jâĂ©tais malade, et elle
est venue
ici. Et le mĂ©decin mâavait dĂ©jĂ dit quâil ne pouvait plus rien faire,
que les
deux poumons Ă©taient congestionnĂ©s. Quâon devait tout simplement se
rĂ©signer Ă
cela, au fait quâilâquâils ne sâattendaient pas Ă ce que je survive
jusquâau
lendemain. Et elle a entendu parler de cela, et elle est venue ici et
elle a
dit: âPourquoi ne permettriez-vous pas Ă notre pasteur de venir prier
pour vous?â
Elle a dit: âIl croit dans la guĂ©rison divine.â Elle a dit: âEst-ce que
vous
ne...â»
«âOh !
a-t-elle dit, je ne sais rien de cela. Mon pasteur va venir vous en
parler.â»
83 «Alors le pasteur est venu. Il a lu Marc 3.6âMarc 16, et il
a dit: âSi
quelquâun parmi vous est maladeâ, et ainsi de suite comme cela et ce
quâil
fallait faire, âet voici les miracles qui accompagneront ceux qui
auront cru.
Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guĂ©ris.â»
Et elle
a dit: «Tu sais, il a lu cela dans la Bible et jâai dit: âEh bien, si
câest
dans la Bible, câest la vĂ©ritĂ©.â Alorsâalors il a priĂ© pour moi et il
mâa
imposĂ© les mains. Et, chĂ©ri, le lendemain matin, jâĂ©tais parfaitement
guérie.»
«Oh !
a-t-il dit, maman, tu ne sais tout simplement pas.» Il a dit: «Ces
fanatiques
ne sont jamais allĂ©s Ă lâĂ©cole.» Il a dit: «Ils ne savent pas de quoi
il
sâagit. Eh bien, a-t-il dit, au sĂ©minaire nous avons appris mieux que
cela.»
«Oh !
a-t-elle dit, est-ce vrai?»
Il a dit:
«Oui, au séminaire nous avons appris que Marc 16, à partir du verset 9
jusquâen
bas, ce nâest pas inspirĂ©. Ce nâest mĂȘme pas inspirĂ©.»
Et la
petite femme a dit: «Gloire à Dieu ! Alléluia !»
Il a dit:
«Maman, pourquoi te comportes-tu comme lâun dâeux?» Il a dit: «Cette
audace
mĂȘme...»
Et elle
a dit: «Eh bien, alléluia, fiston.»
Il a dit:
«Quâest-ce qui te prend?»
Elle a
dit: «Je réfléchissais. Si Dieu a pu me guérir avec une Parole qui
nâest pas
inspirée, que pourrait-Il faire avec Celle qui est vraiment inspirée?»
84 Amen. Câest juste. SâIl a pu faire cela avec une Parole qui
nâest pas
inspirĂ©e, quâen sera-t-il de Celle qui est vraiment inspirĂ©e? FrĂšre,
Elle est
entiÚrement inspirée. Je vais accrocher mon ùme à chaque bout de Cela.
Câest la
vĂ©ritĂ©. Mais le problĂšme, câest que notre paresse ne peut pas
satisfaire Ă
lâexigence de la foi de Dieu.
Ecoutez
ceci. Et puis, je voudrais que vous remarquiez juste avant que je
termine
maintenant. Voici venir ces fondamentalistes. Oh ! la la ! Ils
voulaient mettre
une malédiction sur ceci, lui montrer les points faibles. Et alors, le
prophĂšte
est parti. Il a pris sa parabole pour trouver lâEsprit, et quand il a
trouvé
lâEsprit de Dieu, Dieu a dit: «Ne dis que ce que Je mettrai dans ta
bouche.»
Il a dit:
«Dâaccord.» Et il est retournĂ© Ă ...?... et il a dit: «Maintenant
montre-lui combien
le roi est vilain. Combien ceâce groupe de fanatiques lĂ -bas est
mauvais, ce
groupe qui croit dans la guérison divine, qui croit dans ce serpent
dâairain
là -bas pour la guérison.» Ils regardaient à cela quand ils tombaient
malades.
Et ils se rétablissaient. Oui. Ils avaient des bénédictions. Ils
allaient au
rocher quand ils avaient soif et ils buvaient, et ils se réjouissaient
tout
simplement. Ils se comportaient tout simplement dâune façon terrible.
Câest
juste. La Colonne de Feu Ă©tait suspendue au-dessus dâeux, les
bénédictions de
Dieu les accompagnaient...
Il a dit:
«Vois-tu combien ils sont mauvais?» Câest juste.
85 Mais quand le prophĂšte est revenu, Dieu sâest mis Ă parler
au travers du
prophÚte. Il a dit: «Je ne vois aucune iniquité en Jacob. Je ne le vois
pas Ă
partir des extrémités, car je le contemple du sommet de la montagne, et
je ne
trouve aucune iniquité en Jacob.» Pourquoi? Sa confirmation était là .
Sa
puissance Ă©tait lĂ . Il y avait un rocher frappĂ©, un serpent dâairain,
une
expiation qui les précédait avec un signe de Dieu qui était au-dessus
dâeux,
avec des miracles et des prodiges. Voyez-vous?
Câest la
mĂȘme chose depuis CaĂŻn et Abel. Eh bien, ce nâĂ©taient pas des
fondamentalistes,
ils étaient aussi fondamentalistes, mais des miracles accompagnaient
les
croyants. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.»
Cela
accompagnait Jésus tout du long. Considérons-Le pendant quelques
minutes. Oh !
je pense à cela. Maintenant, quand Il est venu. Il était
fondamentaliste dans Sa
doctrine, bien quâelle Ă©tait contraire Ă celle des sacrificateurs de
lâĂ©poque.
Et, souvenez-vous, ces sacrificateurs nâĂ©taient pas des voyous.
CâĂ©taient des
gentlemen. CâĂ©taient des hommes saints et sans dĂ©faut. Des Ă©rudits? Ils
lâĂ©taient autant que ceux que nous avons aujourdâhui (Câest juste.), et
ils ont
manqué de reconnaßtre que Jésus-Christ était le Fils de Dieu. Ils ont
manqué de
Le reconnaĂźtre, parce quâIl faisait quoi? Il dĂ©molissait leurs Ă©glises.
Il
démolissait leurs credos.
86 Il a dit: «Vous avez pris vos traditions, et vous avez
annulé les
Commandements de Dieu, bande de faux jetons.» Oh ! la la !
«Oh !
ont-ils dit, maintenant nous ne pouvons pas supporter ça. Quiconque ira
écouter
une telle histoire peut tout simplement prendre ses papiers de lâĂ©glise
et sâen
aller.» Cela nâa pas changĂ© du tout. Les semences continuent carrĂ©ment
leur
chemin. Les arbres de mĂȘme continuent carrĂ©ment leur chemin. Ils nâont
pas cru
en Lui, mais pourquoi Lui avait-Il raison et les autres avaient-ils
tort? Dieu
Ă©tait avec Lui, et alors, aprĂšs ils Lâont crucifiĂ©. Dans Actes 2.4,
ActesâActes, je veux dire Actes 2.24. Il est dit ceci: «Hommes
Israélites,
est-il dit, sachez que Jésus de Nazareth, un homme à qui Dieu a rendu
témoignage devant vous par des signes, des prodiges et des miracles,
que Dieu a
opĂ©rĂ©s par Lui au milieu de vous tous...» Câest de cette maniĂšre lĂ
quâon a su
quâIl Ă©tait un Homme de Dieu, parce que Dieu Ă©tait avec Lui,
accomplissant des
signes et des prodiges.
Eux ils
se tenaient Ă lâĂ©cart et disaient: «Les jours des miracles sont passĂ©s.
Cela
nâexiste pas. Ce gars est un liseur de pensĂ©es. Câest un fanatique. Il
ne vaut
rien. Il ne croit mĂȘme pas dans nos Ă©glises. Il nâest membre dâaucune
dâelles.»
GrĂąces soient rendues Ă Dieu pour cela. Il restait lĂ oĂč Dieu voulait
quâIl
soit. Cela nâa rien changĂ©. Il prĂȘchait lâEvangile sans compromis.
Comme Jean,
Il a mis la cognĂ©e Ă la racine de lâarbre, peu importe les
circonstances. Ce
quâil nous faut aujourdâhui, câest un vieux prĂ©dicateur comme
Jean-Baptiste
(Amen), qui mettra la cognĂ©e Ă la racine de lâarbre, et qui mettra les
choses
en ordre.
Soit on
sâaligne avec la Parole de Dieu, soit on ne sâaligne pas. Amen.
87 Si vous vous alignez, Dieu le confirmera par des miracles et
des prodiges
spirituels, comme Il a promis de le faire. Mais aujourdâhui nous avons
accepté
la théologie. «Eh bien, maintenant, nous sommes un peu plus avisés.
Nous ne
sommes pas ce genre de fanatiques, etâet nousânous sommes comme ceci.»
Voyez-vous, ils expliquaient simplement tout, le sang et tout le reste,
la
puissance, les signes, les prodiges, et ici vous nâavez rien, rien
dâautre
quâune loge. Câest juste.
Permettez-moi
de dire ceci avec respect. Je suis passĂ© par lâune de vos grandes
églises ce
matin, ici dans la ville. Et il y avait lĂ ... Il mâa semblĂ© que de
toute
lâĂ©glise qui Ă©tait pleine, vingt ou trente pour cent de membres se
tenaient
dehors en train de fumer des cigarettes, en attendant la suite du
service.
88 Et lâautre jour jâai entendu un prĂ©dicateur baptiste, qui
est un grand ami
à moi, le docteur Schafer, un cher frÚre bien-aimé et pieux, dire... Et
je ne
parle pas uniquement des baptistes, les mĂ©thodistes ont la mĂȘme chose
aussi.
Mon pasteur associĂ© dans mon Ă©glise vient de lâuniversitĂ© mĂ©thodiste
Asbury.
Câest un homme pieux, nĂ© de nouveau, rempli du Saint-Esprit. Oui,
monsieur. Et
le vieux Mordecai F. Hamm, et bon nombre de ces vieux baptistes étaient
remplis
du Saint-Esprit. Certainement, ils le sont. Que Dieu ait pitié de
nous...
Eh bien,
là -bas au Kentucky quand nous les baptistes avons reçu le Saint-Esprit,
nous ne
lâavons pas reçu comme vous tous le faites maintenant. Vous vous
avancez tous
et vous serrez la main au prĂ©dicateur, et vous ĂȘtes baptisĂ© et vous
faites
inscrire votre nom dans le registre. Nous nous mettions Ă genoux Ă
lâautel et
nous nous tapions les uns les autres dans le dos, jusquâĂ ce que nous y
arrivions. Nous avions quelque chose, frĂšre. Oui, monsieur. Câest
juste. Ce
quâil nous faut aujourdâhui, câest davantage de baptistes comme cela.
89 Ce prĂ©dicateur baptiste a dit, alors quâil Ă©tait assis juste
ici devant
moi, frÚre, il a dit: «Dix de mes fidÚles sont des ivrognes invétérés,
et ce
sont des membres de cette Ă©glise, certains dâentre eux vivent avec les
femmes
dâautres hommes et tout le reste. Mais quâarriverait-il si jâessayais
de les
mettre dehors? Câest vous les membres qui me mettriez dehors.» Câest ce
qui se
passe aujourdâhui.
Les
dénominations se brisent. Dieu fait sortir Son peuple, Il prépare une
église.
AllĂ©luia. Le mot mĂȘme Ă©glise signifie les appelĂ©s Ă sortir.
«Sortez
du milieu dâeux, Mon peuple. SĂ©parez-vous, dit Dieu, et Je vous
accueillerai.»
Vous ne
pouvez pas compter sur votre dĂ©nomination. LâĂąge de lâĂ©glise
dénominationnelle
est un petit peu comme MoĂŻse. Elle a Ă©chouĂ© parce quâelle se glorifie.
MoĂŻse
sâest glorifiĂ© au lieu de glorifier Dieu, et il a Ă©chouĂ©. Mais JosuĂ©
était
carrément resté avec Lui tout le temps, il a emmené Israël jusque dans
la Terre
promise. Et aujourdâhui lâĂ©glise dĂ©nominationnelle sâest glorifiĂ©e:
celle qui
peut gagner le plus de membres et qui peut amener telle personne Ă
adhérer, et «un
million de plus en quarante-quatre», et tous ces différents slogans et
tout
comme cela, et quâavez-vous reçu lorsque vous les avez eus? AllĂ©luia,
mais
Josué avait les signes, les miracles et la puissance qui ont toujours
accompagnĂ© lâEglise, et vous avez peur de donner libre cours. Câest la
chose
qui amĂšnera lâEglise dans la gloire avec lâEnlĂšvement. AllĂ©luia !
Nâayez pas
peur. Cela signifie Gloire Ă Dieu. Voyez-vous? Non, cela ne vous fera
pas de
mal.
90 Remarquez, frĂšre. Il nây a pas longtemps, jâĂ©tais en
Colombie- Britannique,
aprĂšs mon retour dâAfrique. FrĂšre Bosworth, jâĂ©tais tellement fatiguĂ©
que je
pouvais Ă peine me tenir debout. On voulait mâemmener lĂ -bas dans un
petit
voyage. Jâallais prĂȘcher Ă Dawson Creek pour les Indiens et les
Esquimaux. Ils
savaient que jâĂ©tais un chasseur et que jâaimais chasser. Je me rendais
lĂ dans
les montagnes. Je restais seul avec Dieu en contemplant... adorer.
Il y a
quelque temps jâĂ©tais en haut dans les montagnes du Colorado. Je
chassais
lâĂ©lan, et câĂ©tait au dĂ©but de lâautomne, et la neige nâavait pas
encore
commencé pour obliger les élans à descendre. Je me tenais là -haut, et
oh !
combien mon coeur brĂ»lait pour Dieu. JâĂ©tais Ă environ trente-cinq [56
km],
quarante miles [64 km] de la civilisation, jâavais environ cinq chevaux
qui
Ă©taient chargĂ©s. JâĂ©tais lĂ -bas tout seul, et jâavançais. Une tempĂȘte
sâest
levée. Il pleut un peu, et le vent souffle un peu, et il gÚle un peu.
Ensuite
le soleil sort. Et vous savez comment est le temps pendant lâautomne
dans les
montagnes.
91 Jâavançais lĂ avec mon fusil. Une grande pluie est venue. Et
je me suis mis
derriĂšre un arbre Ă un endroit oĂč les arbres avaient Ă©tĂ© renversĂ©s par
le vent,
et jâai attendu lĂ que la pluie cesse. Jâai dĂ» me tenir lĂ la tĂȘte
baissée,
louant Dieu. Jâai dit: «à Dieu, combien Tu es merveilleux ! Tu es le
Dieu de la
montagne. Tu es le Dieu de la vallée. Tu es partout.»
La
tempĂȘte sâest dĂ©chaĂźnĂ©e. Au bout dâun moment le vent Ă©tait trĂšs froid,
jâai
regardé. Le soleil filtrait à travers les fissures de la montagne
lĂ -bas, et lĂ
oĂč les conifĂšres avaient Ă©tĂ© gelĂ©s, un grand arc-en-ciel sâest formĂ©
dans la
vallĂ©e. Oh ! la la ! je crois que Dieu est partout, pas vous? Jâai
regardé là ,
et jâai vu cet arc-en-ciel. Jâai dit: «Oui, Seigneur. Me voici ici loin
dans
les montagnes. Je Te vois là -bas dans cet arc-en-ciel. Assurément. Tu
as fait
une alliance. Jâai vu JĂ©sus dans Apocalypse 1, Il Ă©tait lĂ comme
lâAlpha et
lâOmĂ©ga, le Premier, le Dernier, avec lâarc-en-ciel au-dessus de Lui,
une
alliance.» Je réfléchissais. Je me suis mis à me réjouir.
92 Tout Ă coup, jâai entendu un vieux coyote gris hurler
lĂ -haut. Et sa
compagne lui a répondu au bas de la vallée. Ma mÚre est une métisse,
une
Indienne. Il y a tout simplement assez de cela en moi pour me faire
aimer la
profondeur qui appelle la profondeur et ces rĂ©gions sauvages. Et jâai
entendu
le troupeau dâĂ©lans lĂ en bas, et la compagne rĂ©pondre par ici. Oh ! je
me suis
mis à crier et à pleurer. «à Dieu ! laisse-moi vivre ici pour toujours.
Laisse-moi rester ici. Câest pour ici que je suis nĂ©. Laisse-moi vivre
ici.»
Considérez donc ce vieux coyote qui hurlait là -bas. Quelque chose
sâagitait en
moi. Je me suis dit: «Oh ! comme câest glorieux, comme câest
merveilleux ! Ă
Dieu, Tu vis ici au sommet de ces montagnes.»
A ce
moment-lĂ , jâai entendu un vieux petit Ă©cureuil des pins. Je ne sais
pas si
vous savez ce que câest, câest un gars petit comme ça, la crĂ©ature la
plus
bruyante des bois. Il se tenait sur une vieille souche et faisait:
«Tchat,
tchat, tchat, tchat ! Tchat, tchat, tchat !» comme sâil allait me
mettre en
piÚces. Je me suis dit: «Pourquoi es-tu si excité, mon petit ami?»
93 Et à ce moment-là de dessous un arbre (qui avait été
renversé par la
tempĂȘte) un Ă©norme aigle a surgi. Oh ! quel grand et magnifique oiseau
était-ce
! Et il était là , et ces grands yeux doux regardaient tout autour. Je
me suis
dit: «Eh bien, câest ce dont le petit ami avait peur.» Je me suis dit:
«Maintenant,
Seigneur, alors que je me tenais ici Ă Tâadorer, Ă©coutant les appels de
la
nature et Tâadorant, eh bien, comment pourrais-Tu jamais...?»
Je crois
que Dieu est partout. Vous pouvez Le voir partout oĂč vous voulez
regarder. Il
est tout simplement tout autour. Il est aussi tangible que la lampe qui
éclaire
ma main juste ici maintenant. Et je me suis dit: «Eh bien, pourquoi
as-Tu placé
cet aigle devant moi? Câest un charognard, et pourquoiâpourquoi cet
aigle
apparaßtrait-il ici pour interrompre ceci?» Je me suis dit: «Eh bien, Î
Dieu,
je vais regarder à Toi. Y a-t-il quelque chose de bon dans cet aigle?»
94 Jâai vu cet aigle se tenir lĂ , vous savez. Et il
mâobservait. Je me suis
dit: «Oh ! il a peur de moi.» Jâai dit: «HĂ©, sais-tu que je pourrais
tâabattre?»
Il a battu ses grands yeux, et il mâa regardĂ©. Il nâavait pas peur de
moi, et
je savais quâil avait peur de ce petit Ă©cureuil. Alors il est tout
simplement
restĂ© lĂ , regardant comme cela. Je me suis dit: «Eh bien, quâest-ce qui
te rend
si courageux? Je nâarrive pas Ă comprendre cela.»
Jâai dit:
«à Dieu, je sais que Tu aimes la bravoure. Tu aimes les hommes qui sâen
tiennent à leurs convictions.» Tenez-vous là ; quand vous savez que vous
avez
raison, tenez-vous lĂ . Et jâai dit: «Je sais que Tu aimes la bravoure.
Quâest-ce qui rend cet aigle si courageux? Je sais quâil est courageux.
Et
pourquoi...»
95 Jâai dit: «Sais-tu que je pourrais tâabattre?» Eh bien, il
savait que je
nâen avais aucune chance. Mon fusil Ă©tait posĂ© contre un arbre. Jâai
mis la main
sur mon fusil comme cela. Je lâai vu me regarder, et fixer ces grands
yeux. Je
me suis dit: «Eh bien, quâest-ce qui le rend si courageux?»
Alors
jâai remarquĂ© quâil remuait sans cesse ses ailes. Je vois. Dieu lâa
doté de
deux ailes, il savait quâavec ces ailes, dâun seul grand bond et avec
quelques
battements dâailes il serait hors de ma portĂ©e. Il avait confiance dans
ses
ailes. Il savait que ces ailes lâemporteraient loin de lĂ . Et aussi
longtemps
quâil pouvait sentir ses ailes lĂ , ça lui importait peu que je pose la
main sur
mon fusil, ou que ce petit écureuil des bois lui casse les oreilles en
jacassant lĂ . Il ne sâen faisait pas parce que Dieu lui avait donnĂ© des
ailes
et il avait confiance en cela.
96 Je me suis dit: «Et câest vrai. Peu importe ce que dĂ©clare
le diable, aussi
longtemps que je sens le Saint-Esprit autour de moi, ce que les gens
disent
mâimporte peu.» AllĂ©luia. Que Dieu bĂ©nisse votre coeur. Dieu mâa donnĂ©
le
Saint-Esprit pour Ă©chapper Ă tout avec, mĂȘmeâmĂȘme Ă tout, et puis mĂȘme
la mort
ne peut pas vous faire du mal. AllĂ©luia. Un jour je mâenvolerai.
Je lâai
vu lĂ . Jâai dit: «Gloire Ă Dieu pour lâaigle.» Je lâai regardĂ© comme
cela. Il
en eut marre de ce vieux petit écureuil qui était assis là à jacasser
sur lui.
Il savait que jâĂ©taisâjâĂ©tais son ami. Il savait que je nâallais pas
lui faire
du mal, et il regardait ce vieux petit écureuil. Il eut simplement
marre de
lui, et il a fait simplement un trĂšs grand bond comme cela et a battu
environ
deux fois les ailes, et savez-vous ce quâil a fait? Il a tout
simplement
dĂ©ployĂ© ses ailes, et aussitĂŽt, il a commencĂ© tout simplement Ă
sâĂ©lever. Il
nâa plus battu les ailes. Il a simplement dĂ©ployĂ© ses ailes, et chaque
fois que
ces vagues du courant dâair venaient sur cette montagne, il continuait
simplement
de monter.
97 Je me tenais lĂ , pleurant comme un bĂ©bĂ©. Je me suis dit: «Ă
Dieu ! merci,
Seigneur. Gloire au Seigneur.» Si quelquâun avait Ă©tĂ© lĂ , il aurait
pensĂ© quâil
y avait lĂ -haut un fou sorti dâun asile dâaliĂ©nĂ©s. Je tournais sans
cesse autour
de lâarbre aussi vite que je le pouvais, criant Ă tue-tĂȘte. Ce que
quelquâun
aurait pu penser mâimportait peu. Jâadorais Dieu. Ăa ne changeait rien
pour
moi, de temps en temps mon coeur est un peu transportĂ©, ainsi jâaime
cela, vous
savez, adorer Dieu.
Et je me
suis dit: «Oh ! regarde ce grand gaillard. Il ne bat pas les ailes, il
nâessaie
pas, il ne monte pas en volant, il nâessaie pas comme beaucoup dâentre
nous.
âOh ! si les mĂ©thodistes ne me traitent pas correctement, jâirai
chezâjâirai
chez les baptistes. Si les baptistes ne me traitent pas correctement,
jâirai
chez les pentecĂŽtistesâ», et vous trimballez votre lettre de lieu en
lieu. Vous
lâavez usĂ©e. Pourquoi ne la mettez-vous pas au Ciel pour oublier cela?
Câest
juste.
98 Mais que faisait-il? Il nâa pas battu les ailes. Il savait
tout simplement
comment déployer ses ailes et se laisser porter par la puissance quand
elle
venait. Je me suis dit: «à Dieu, donne-nous la foi pour savoir comment
disposer
nos ailes dans Ta puissance, et nous laisser tout simplement ĂȘtre
portés loin
de ces jacasseries terrestres, ces jacasseries qui consistent Ă dire...
Le
pauvre petit écureuil faisait: «Tchat, tchat, tchat: Les jours des
miracles
sont passĂ©s. La guĂ©rison divine nâexiste pas. ...nâexiste pas... LâĂąge
apostolique
est terminĂ©.» Et lâaigle montait, sâĂ©loignant continuellement de cela,
sans
battre les ailes, et il a simplement déployé ses ailes. Il a tout
simplement
continué à monter.
Je me
suis dit: «à Dieu, si ce nâest pas rĂ©el, je nâai jamais entendu cela.»
Eloignez-vous de cela en montant. Déployez tout simplement vos ailes.
Quand la
puissance de Dieu vient, montez en vous laissant simplement porter par
elle.
Quand la puissance de Dieu vient, laissez-vous porter par elle. Avant
longtemps, vous savez, alors vous nâentendrez mĂȘme pas leurs bruits:
«Eh bien,
si vous nâĂȘtes pas membre de notre Ă©glise, si vous nâĂȘtes pas membre de
chez
nous, vous ne...» Vous montez en vous laissant simplement ĂȘtre portĂ©
loin de
cela, encore, encore, encore et encore. Oh ! la la ! comme câest
merveilleux !
99 Alors que je parcourais la Colombie-Britannique, jâai euâje
chassais un
Ă©norme ours grizzly. JâĂ©tais Ă mille cent miles [1770 km] dâune route
asphaltĂ©e, et jâĂ©tais lĂ tout au fond, et je me suis Ă©garĂ©. Je me suis
dit: «Je
vais retrouver mon chemin. Accordez-moi assez de temps pour que je...
Et Dieu
est mon secours.» Je me suis perdu là et il commençait à faire sombre.
Jâai dit:
«Eh bien, je sais dans quelle direction il faut aller. Il vous faut
trouver un
petit repĂšre.» Alors je suis allĂ©, et jâĂ©tais trĂšs en retard. La lune
est
sortie, et je suis passĂ© prĂšs dâun endroit qui avait Ă©tĂ© incendiĂ©. Et
je me
suis dit: «Nâest-ce pas Ă©trange?» Et la lune Ă©tait sortie, et tout Ă
coup quand
je passais tout paraissait... Cela semblait sinistre, il y avait de
grands et
imposants vieux arbres couverts de boursouflures Ă cause du feu qui les
avait
brĂ»lĂ©s. Autrefois câĂ©taient de trĂšs grands pins. Maintenant, portez
votre
casque spirituel. De grands pins imposants se dressaient lĂ , vivant et
qui
faisaient des choses, mais le feu est venu et les a tous consumés. Et
je me
suis dit: «Seigneur, de quoiâde quoi sâagit-il?»
100 Et aussitĂŽt,
jâai arrĂȘtĂ© mon cheval et je lâai attachĂ©. Il Ă©tait environ vingt et
une
heures. Jâai regardĂ© tout autour, et la lune brillait sur ces vieux
arbres
couverts de cloques, et cela mâa rappelĂ© les pierres tombales quelque
part dans
un cimetiÚre. Et le vent a commencé à descendre du ciel, il soufflait
et cela
produisait le son le plus lugubre: «Whouuu.»
Je me
suis dit: «Oh ! quel endroit sinistre !» Jâai regardĂ© tout autour comme
cela.
Je me suis dit: «Eh bien, oh ! la la ! je ne... Eh bien, regarde là . Eh
bien,
pourquoi mâas-Tu arrĂȘtĂ© ici, Seigneur?» Jâai regardĂ© tout autour.
Je me
suis dit: «Eh bien, câest juste.»
Je me
suis souvenu de Joël qui dit: «Ce que le hasil a laissé, la sauterelle
lâa
dĂ©vorĂ©. Ce que la sauterelle a dĂ©vorĂ©, le gazam lâa dĂ©vorĂ©, et ce que
lâun a
laissĂ©, lâautre lâa dĂ©vorĂ© et ainsi de suite comme cela, jusquâĂ ce que
tout a
été dévoré.» Il a dit: «Ceci reviendra-t-il à la vie? Cela peut-il se
faire?»
Je me
suis dit: «Câest ce dont JoĂ«l parlait.» Et alors jâai pensĂ©...
101 Jâai
commencé à remarquer et à voir. Alors le vent est encore venu et:
«Bouuu !» Je
me suis dit: «Câest comme ça que sont devenues nos Ă©glises. Il y a des
années
les méthodistes et les baptistes avaient de trÚs grands réveils, et des
campagnes de guĂ©rison.» Et vous les mĂ©thodistes, point nâest besoin de
mâen
parler. Jâai lu votre histoire. Quand les mĂ©thodistes, quand Wesley
était ici,
il ne pouvait pas ĂȘtre reçu dans des Ă©glises. Il devait aussi prendre
des
endroits comme celui-ci, de petits bĂątiments dâĂ©coles oĂč il pouvait
aller,
parce que les grandes Ă©glises empesĂ©es sâĂ©taient dĂ©jĂ Ă©loignĂ©es de
Dieu.
Wesley a
eu un rĂ©veil. Et les gens tombaient par terre sous lâeffet du baptĂȘme
du
Saint-Esprit. On versait de lâeau sur leur visage, on les Ă©ventait; ils
restaient Ă©tendus toute la nuit sur le plancher. Câest bien dommage,
comme vous
nâaviez quâune cruche dâeau. Peut-ĂȘtre que vous nâen avez plus.
Voyez-vous? Et
on leur versait de lâeau sur le visage et on les secouait. «Oh ! il
sâest
Ă©vanoui. Il sâest Ă©vanoui.» Le Saint-Esprit Ă©tait Ă lâoeuvre sur la
personne,
ce nâĂ©tait pas encore lâĂąge pour connaĂźtre ces choses. Voyez-vous? Et
il était
lĂ .
102 Quel réveil
il avait ! Et personne ne peut dire quâils nâavaient pas un rĂ©veil. Ils
avaient
effectivement un rĂ©veil, et ces grandes Ă©glises dâaujourdâhui se
tiennent lĂ et
disent: «Câest moi lâĂ©glise. Vous nâavez rien Ă me dire. Je suis
reconnu par le
gouvernement des Etats-Unis.» Eh bien, quâavez-vous? Vous ĂȘtes mort,
couvert de
cloques. Câest juste les signes de ce que vous Ă©tiez, et chaque fois
Dieu
envoie ce vent impĂ©tueux du Saint-Esprit dans lâĂ©glise, en disant...
Vous vous
mettez à dire: «Whouuu ! Les jours des miracles sont passés. La
guérison divine
nâexiste pas. Whouuu ! câest du spiritisme. Câest le diable. Whouuu !
ne vous
approchez pas de cette vieille histoire. Dieu ne guérit plus les gens.
Les
jours des miracles sont passés.»
Et la
seule chose que le Saint-Esprit fait en soufflant en eux, il nây a rien
au
monde qui pourrait les faire gémir, se lamenter et se conduire
bizarrement. Oh
! frĂšre, cela est certainement descendu, nâest-ce pas? Jâai senti cela
aller
jusquâau fond. Câest lĂ que je voulais que cela aille. TrĂšs bien.
103 Maintenant,
mais je me demande alors ce que vous pouvez faire? Câest tout ce que
cela fait.
Mais alors je me suis dit: «Seigneur, Tu as dit: âJe restaurerai, dit
lâEternelâ, dans JoĂ«l.» Et alors, jâai regardĂ© derriĂšre et jâai vu
quâil
poussait aux pieds de ces arbres un autre groupe dâarbres, de tout
petits
arbres, qui poussaient comme ça, de petits pins et toutes sortes
dâarbres. Et
quand ce vent descendait assez bas pour les atteindre, frĂšre, ils ne se
tenaient pas là raides et empesés. Ils se laissaient tout simplement
entraĂźner
par le vent; ils avaient la vie en eux, ils rendaient simplement grĂąces
et se
réjouissaient.
Jâai dit:
«AllĂ©luia. âJe restaurerai,â dit lâEternel. âJe susciterai une autre
église. Si
elles deviennent empesĂ©es et quâelles renient la puissance de Dieu, Je
susciterai quelque chose qui recevra Cela.⻠Alléluia. Fiou ! Amen.
Vous
pourriez penser que je suis fou. Mais si je le suis, laissez-moi
tranquille. Je
suis heureux dans cet état. Je suis de loin mieux ainsi que lorsque
jâĂ©tais
avec le monde. Ainsi laissez-moi tranquille. Je suis trĂšs bien. Je ne
fais du
mal Ă personne.
104 Ecoutez,
frĂšre, si vous avez ceci, vous savez de quoi je parle. Câest juste. Le
Saint-Esprit souffle. Ils ne sont pas empesés. «Oh ! je ne crois pas
dans ce
genre dâhistoires. Whouuu !» Ces petits arbres Ă©taient tout aussiâtout
aussi
souples, et ils se laissaient entrainer par le vent, et ce dernier
soufflait.
Ils se rĂ©jouissaient et ils sâĂ©battaient. Et jâai dit: «Ăa ressemble Ă
un bon
rĂ©veil du Saint-Esprit Ă lâancienne mode. Câest tout Ă fait vrai. Cela
vient
juste autour des mĂ©thodistes, des baptistes et tout, Dieu a dit: âJe
restaurerai,â dit lâEternel.»
Il y a
eu un... Oh ! frĂšre. Ce dont lâEglise a besoin aujourdâhui... Pas
sâĂ©loigner...
Chaque fois quâune Ă©glise sâĂ©loigne du surnaturel, quâelle sâĂ©loigne de
la foi
qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, Dieu la met
carrĂ©ment lĂ
au rancard, Il sort, et Il prend quelquâun dâautre, Il va carrĂ©ment de
lâavant.
Câest exact.
Etudiez
lâhistoire de lâEglise. Voyez sâils ont eu un rĂ©veil dans un quelconque
Ăąge
sans quâils aient des miracles, des signes, la guĂ©rison divine, la
puissance de
Dieu. Dans chaque réveil, dÚs que cette église, ou au cours des deux
décennies
ou des deux gĂ©nĂ©rations desâdes rĂ©formateurs qui sont venues et qui se
sont
levĂ©es finalement, lâĂ©glise est devenue formaliste. Dieu la mettait au
rancard
et suscitait quelque chose dâautre. Câest exact. Et nous y sommes
aujourdâhui.
Quâest-ce? Les arbres qui poussent. Lâarbre... Oh ! la la ! combien
cela a
lâair ridicule pour les gens !
105 Juste une
autre remarque, si vous voulez bien mâexcuser pour une minute. Quelque
chose
mâest venu Ă lâesprit. Une fois Dieu allait dĂ©livrer un peuple qui
était en
Egypte. Il avait un vieil homme lĂ -bas de quatre-vingts ans, lĂ
derriĂšre le
dĂ©sert. Il sâappelait MoĂŻse. Un matin il est montĂ©, marchant lĂ . Il
était un
vieil... Il était rétrograde. Il était là derriÚre et il avait épousé
une Ethiopienne,
il avait eu deux enfants. Etâet il Ă©tait donc lĂ au fond du dĂ©sert en
train de
faire paĂźtre les brebis; un matin il louait Dieu, et le Seigneur lui a
montré
un buisson ardent. Il a dit: «Eh bien, regarde MoĂŻse. Je vais tâenvoyer
en
Egypte. Les unitĂ©s les plus mĂ©canisĂ©es du monde, lâarmĂ©e la plus
puissante du
monde, Je vais tâenvoyer lĂ -bas pour prendre le contrĂŽle.»
âEh
bien, a-t-il dit, Seigneur, je ne peux pas aller. Je nâai rien avec
quoi aller.
Il a dit:
«Quâas-tu dans ta main?»
Il a dit:
«Un bùton.»
106 Comme
câĂ©tait petit ! Comme câĂ©tait insignifiant ! Quâavez-vous dans la main
aujourdâhui? Vous pourriez ne mĂȘme pas avoir un bĂąton dans votre main.
Vous
pouvez témoigner. Vous pouvez chanter, ou vous pouvez distribuer des
tracts.
Vous pouvez en parler Ă quelquâun. Tout ce que vous avez dans votre
main, allez
et faites quelque chose Ă ce sujet. Allez-y ! Passons Ă lâaction.
Mettons le
réveil en branle. Remplissons ces siÚges. Amenons les gens à recevoir
le salut,
Ă ĂȘtre remplis du Saint-Esprit. Construisez des Ă©glises par ici et
mettez-les
en feu. Tous les méthodistes et les baptistes, tous, construisons. Ayez
un
endroit pour Dieu. Certainement.
MoĂŻse a
dit: «Ce nâest quâun bĂąton, Seigneur.»
Il a dit:
«TrÚs bien. Maintenant, jette-le de ta main.» Eh bien, dans la main de
MoĂŻse ce
nâĂ©tait pas grand-chose, mais quand il sâest trouvĂ© dans la main de
Dieu, câest
devenu une verge de jugement.
107 Un jour le
petit garçon qui avait cinq poissons dansâdans... Ce nâĂ©tait pas
grand-chose
dans sa main. Mais quand ça sâest retrouvĂ© entre les mains de JĂ©sus,
cela a
nourri cinq mille personnes. Ce nâest pas grand-chose dans votre main,
ce que
vous avez; mais donnez-le-Lui une fois. Le petit talent que vous avez,
donnez-le-Lui. Voyez ce que cela va devenir dans Sa main Ă Lui. Oui.
MoĂŻse a
dit: «TrĂšs bien, Seigneur, jâirai.» Et pourriez-vous imaginer...
Dépeignons un
petit drame. VoilĂ venir le lendemain matin, un vieil homme de
quatre-vingts
ans, avec une barbe pendante comme ceci, un vieux petit corps décharné,
avec un
bùton courbé dans sa main, conduisant une petite mule, avec une femme
assise
dessus Ă califourchon, portant un enfant sur chaque hanche... Un enfant
sur...
Le voilĂ qui descend en Egypte.
Jâentends
quelquâun dire: «MoĂŻse, oĂč vas-tu?»âGloire Ă Dieu ! Je me rends en
Egypte pour
prendre le contrĂŽle.
«Prendre
le contrĂŽle. Prendre le contrĂŽle. Câest ridicule !» Les gens disaient:
«Eh
bien, ils ont lĂ un million dâhommes formĂ©s.»
108 «Ăa ne
change rien. Dieu mâa dit de prendre ce bĂąton et dâaller lĂ -bas pour
prendre le
contrĂŽle. Dieu lâa dit. Je vais le faire.» Oh ! cela avait lâair
ridicule, mais
câest ce quâil a fait. AllĂ©luia. Pourquoi? Dieu prend ce qui est
ridicule pour
prouver Sa puissance. AllĂ©luia. Câest ce que je crois. Dieu prend les
choses
qui ne sont pas et Il rĂ©duit Ă nĂ©ant ce qui est. Amen. Câest
certainement ce
quâIl fait.
On dit: «Comment
va-t-il faire ceci? Comment...» Il ne vous appartient pas de poser des
questions; il vous appartient dâobĂ©ir.
Samson
se tenait lĂ un jour, les Philistins le poursuivaient. Il savait quâil
était
oint. Il savait quâil Ă©tait nĂ©ânĂ© un nazarĂ©en. Et les Philistins
étaient sur
lui. Il sâest dit: «Les Philistins sont sur moi.» Il a regardĂ© autour
et il...
Eh bien, il nâĂ©tait pas un guerrier. Il neâil ne savait pas comment on
utilise
une Ă©pĂ©e, alors il a simplement trouvĂ© la mĂąchoire dâune mule. Et il a
ramassé
cette mĂąchoire de mule, et lâEsprit de Dieu est venu sur lui, et il a
tué mille
Philistins. Amen. Comment? LâEsprit de Dieu est venu sur lui. Câest ce
qui fait
la différence.
109 Une fois je
prĂȘchais dans un stade de football; et quand jâentrais, lâendroit Ă©tait
bondé,
et je traversais en regardant. Il y avait une petite enseigne au-dessus
de la
porte. Elle disait: «Ce qui compte ce nâest pas la taille du chien dans
le
combat, câest la taille du combat dans le chien.» Câest une idĂ©e
valable. Ce
qui compte ce nâest pas la taille du chien. Câest la taille du combat.
FrĂšre,
vous les lĂ©galistes qui ĂȘtes ici, vous Ă©prouvez une juste indignation.
Soyons
excités. Alléluia ! Mettons-nous en branle pour cette chose et sortons
lĂ , et
disons: «à Dieu, Tu es réel, Tu es mon Sauveur, je veux Te servir. Peu
mâimporte ce que disent les gens. Je vais Te servir de toute façon.»
Sortez et
faites quelque chose Ă ce sujet. Certainement.
Je vois
le petit Schamgar lĂ -bas dans la Bible. On ne sait rien Ă son sujet. Ce
petit
gars, on ne sait pas grand-chose à son sujet. Il était assis là . Les
Philistins
avaient investi le pays, et il nây avait pas de juges en IsraĂ«l, et les
gens
faisaient tout ce quâils voulaient. Câest Ă peu prĂšs ainsi que sont les
églises
aujourdâhui.
110 TrĂšs bien.
Et bien vite, les Philistins sont venusâvenus, et ils ont pris ce
quâils
avaient comme nourriture. Et voici le petit Schamgar qui se tenait lĂ .
Il...
LâannĂ©e prĂ©cĂ©dente ils avaient pris tout ce quâils avaient, et le voilĂ
qui se
tenait là , sa pauvre petite femme se tenait là , et ses manches étaient
tout
arrachĂ©es, et ses petits enfants Ă©taient pieds nus, je peux mâimaginer,
et ils
se tenaient là . Il avait récolté du grain. Il avait travaillé pendant
tout
lâĂ©tĂ©. Il a dit: «Eh bien, ma chĂšre Ă©pouse, je pense peut-ĂȘtre que cet
hiver
nous ne serons pas affamĂ©s, si ces Philistins maudits ne sâemmĂšnent
pas. Nous
avons maintenant assez de blé. Nous pouvons donner du blé aux enfants,
du pain,
et il y a de lâorge. Nous avons de la bouillie de flocons dâavoine
comme
déjeuner. Et je pense que tout ira bien. Chérie, je suis vraiment
désolé. Tes
pauvres petits bras sont en si mauvais état, et tes habits sont tout
usés.
Peut-ĂȘtre que je pourrai vendre un peu etâet tâacheter des habits.»
111 Jâentends
aussitĂŽt quelque chose faire: «Pan, pan, pan, pan !» Câest ce qui vous
arrive
quand vous pensez que votre Ă©glise a commencĂ© Ă ĂȘtre spirituelle, voilĂ
que le diable
envoie quelque chose. Câest exactement ce quâil fait. Câest juste. Ne
faites
pas attention Ă lui.
Le voilĂ
qui regarde par la fenĂȘtre, il a poussĂ© la porte de la grange et il a
regardé,
et voilà venir six cents hommes armés, des hommes de grande taille et
gros qui
sâavancent, Ă©quipĂ©s dâarmures et de boucliers, qui viennent pour
sâemparer de
la nourriture de Schamgar et lâemporter. Il a regardĂ©, et il a regardĂ©
sa
petite femme. Je peux voir les larmes couler sur ses joues. Il regarde
autour
de lui. «Eh bien, si jâavais une armure et une lance. Que suis-je? Je
suis un
fermier. Je ne saurai pas me battre avec eux, et regarde, ils sont plus
nombreux. Ils sont six cents contre moi qui suis seul. Que puis-je
faire? Mais
un instant ! Je suis un Israélite. Je suis circoncis. Je suis dans
lâalliance
de Dieu.» Alléluia.
112 Tout est
contre vous concernant la guérison divine. Si tout est contre vous
concernant
le salut Ă lâancienne mode, quâest-ce que cela change? Nous sommes
circoncis.
Le Saint-Esprit a pris lâEsprit de Dieu et a retranchĂ© le monde.
Il a
regardĂ© lĂ dehors, et il a vu cela, et sa juste indignation sâenflamma.
Il
nâĂ©tait pas unâil nâĂ©tait pas un guerrier. Il nâavait pas eu le temps
dâaller Ă
lâĂ©cole pour recevoir une formation pour combattre ces Philistins. Pour
commencer il ne savait rien de cela, alors il sâest tout simplement
saisi de la
premiĂšre chose quâil avait, ou sur laquelle il pouvait mettre la main,
et
câĂ©tait un aiguillon Ă boeuf. Savez-vous ce que câest quâun aiguillon Ă
boeuf?
Câest un gros bĂąton muni dâun morceau de...?... Avec cela on enlĂšve la
terre
qui sâaccumule sur la charrue quand elle est calĂ©e, ou on sâen sert
pour
pousser le boeuf à traverser la barriÚre. Il a sauté là au milieu de la
route,
dans cette atmosphĂšre, ayant la conviction quâil Ă©tait un enfant de
Dieu. Il
nâĂ©tait pas un guerrier. Il nâĂ©tait pas un prĂ©dicateur. Il nâĂ©tait pas
ceci ou
cela, juste comme vous aujourdâhui.
113 Vous direz: «Que
le prĂ©dicateur prĂȘche. Quâil apporte le rĂ©veil.» Vous aussi vous devez
le
faire. Tenez des réunions de priÚre dans votre maison. Brûlez ces
cartes
auxquelles vous jouez. Faites sortir cette biÚre du frigo. Commençons
un
rĂ©veil. Câest juste. Oui, monsieur.
Il a
pris ce bĂąton et il a sautĂ© lĂ au milieu de la route. LâEsprit de Dieu
est venu
sur lui, et il a tué six cents Philistins. Alléluia!
On va me
taxer de saint exaltĂ© aprĂšs ceci, nâest-ce pas? Mais je me sens trop
bien. Si
câest ce quâil faut pour aller au Ciel, alors jâaimerais en ĂȘtre un. Je
ne suis
pas un saint exaltĂ©. Non, monsieur, et je nâen ai jamais vu un de ma
vie. A
trois reprises jâai naviguĂ© sur les sept ocĂ©ans Ă travers le monde, et
je nâai
encore jamais vu un saint exaltĂ©. Jâai vu des gens qui croient dans la
saintetĂ©, mais je nâai jamais vu un saint exaltĂ©. Je nâen ai jamais vu
un de ma
vie. Toutes les rĂ©unions auxquelles jâai pris part et oĂč jâai prĂȘchĂ©,
je pense
quâaujourdâhui jâai fait la connaissance directement ou indirectement
de dix
millions de personnes, et je nâai jamais vu un saint exaltĂ©. Non. Je
nâai
jamais vu une Ă©glise par ici qui a Ă©tĂ© dĂ©signĂ©e ainsi; auâau
gouvernement, il y
a neuf cent soixante et quelques différentes églises qui sont
enregistrées. Je
nâen ai jamais vu une portant le nom de saint exaltĂ©. Juste le dia-...
Câest un
nom que le diable a collĂ© Ă lâEglise. Câest exact. Quand un homme est
sauvé, on
dit quâil est un saint exaltĂ©, câest exactement lâĂ©tiquette donnĂ©e par
le
diable.
114 Maintenant,
remarquez ceci, les amis. Jésus était rejeté. TrÚs bien. Et puis, ce
que...
Considérons le grand saint Paul. Maintenant, abordons cette ligne.
Ecoutez.
Combattons pour la foi qui a été quoi? Qui a été au début transmise aux
saints:
des miracles et des prodiges. Dieu a confirmé Son Eglise tout du long
avec quoi?
Pas une adhésion; des miracles et des prodiges. Est-ce juste? Pas qui a
le plus
grand groupe, qui a la doctrine la plus fondamentaliste; mais des
miracles et
des prodiges, câest lĂ que Dieu rĂ©side.
Considérez
cela maintenant. Voilà votre semence dans la GenÚse. Considérez cela
maintenant.
OĂč en sommes-nous maintenant? Nous sommes dans lâApocalypse. Cela se
répand. Au
chapitre 13 de Matthieu, il est dit: «Le semeur a semé le blé et un
autre a
semĂ© lâivraie. Laissez les deux semences croĂźtre ensemble.»
115 Ecoutez.
Nous disons toujours combien le monde est dans un mauvais état, comment
il y a
les dĂ©bits de boissons, le whisky, et quâon a lĂ©galisĂ© lâalcool, les
jeux
dâargent, la prostitution et tout le reste qui se pratique. Nous
parlons
toujours de cela, mais vous manquez de voir... Voyez aussi lĂ oĂč en est
lâEglise. AllĂ©luia. Nous montons droit dans les hauteurs. Des miracles
et des
prodiges apparaissent partout. Elle produit aussi des semences. Nous
sommes
presque lĂ . Ne vous en faites pas. La moisson est pour bientĂŽt.
Oh !
grĂąces soient rendues Ă Dieu pour lâEglise. Oui. Quelle Ă©glise, FrĂšre
Branham?
Les nĂ©s de nouveau. Sâagit-il des mĂ©thodistes? Il sâagit de nous tous
(Amen)
qui sommes nĂ©s de nouveau. Il sâagit de nous tous. Les mĂ©thodistes, les
baptistes, les presbytériens, les pentecÎtistes, les catholiques, qui
que nous
soyons, si nous sommes nĂ©s de lâEsprit de Dieu, nous sommes des fils et
des
filles de Dieu. Nous croyons dans le surnaturel. Nous croyons dans la
guérison
divine. Nous croyons dans la puissance de Dieu. Nous acceptons cela.
Nous Le
voyons accomplir des signes et des prodiges.
116 Maintenant,
écoutez. Un dernier commentaire. Maintenant, nous sommes dans
lâApocalypse;
nous allons sortir. Ecoutons ce que Paul dit: «Sache ceci, que dans les
derniers jours (Câest la fin, nâest-ce pas?) il y aura des temps
difficiles.
Car les hommes seront égoïstes.»
«Je
viens de ceci cela.»
«Egoïstes...
hautains, fanfarons, intempérants, cruels, ennemis de ceux qui essaient
de
faire le bien.» Voyez-vous?
«Eh
bien, je vais vous lâexpliquer maintenant, FrĂšre Branham. Il sâagit des
communistes.» Oh ! non. Il sâagit des fondamentalistes: «Ayant
lâapparence de
la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Eloigne-toi de ces
hommes; il
en est parmi eux qui vont de maison en maison et qui mĂšnent des femmes
dâun
esprit faible et borné», qui ont toutes sortes dâassociation de couture
oĂč on
parle de madame Untel. Et on fait bouillir un vieux coq et on le vend
pour
payer le prédicateur. Oh ! bonté divine. Payez vos dßmes et vous
nâaurez pas
besoin de faire cela, et ils...?... Dans toutes ces autres choses comme
ceci...
«Ayant lâapparence de la piĂ©tĂ©, mais reniant ce qui en fait la force.
Eloigne-toi de tels hommes.» à Dieu ! aie pitié de nous.
117 Chrétiens,
je ne cherche pas Ă vous blesser. Je cherche Ă stimuler votre foi. Ne
faites
pas attention Ă ce que qui que ce soit vous dit si câest contraire Ă
lâAINSI
DIT LE SEIGNEUR. Ecoutez. Dieu, toujours, depuis la GenĂšse... Il a
placé les
semences lĂ . Regardez ici aujourdâhui. ConsidĂ©rez les gens qui vont Ă
lâĂ©glise.
Maintenant, revĂȘtez-vous de votre entendement spirituel. Je termine.
RevĂȘtez-vous de votre entendement spirituel.
Observez
donc ces deux tiges Ă travers la Bible maintenant. Les voilĂ qui
montent,
toutes les deux: Caïn et Abel. Tous les deux étaient des adorateurs.
Tous les
deux étaient des croyants. Dieu a confirmé celui-ci, Il a rejeté
celui-lĂ . Peu
importe combien il Ă©tait fondamentaliste, Dieu lâa rejetĂ©, parce quâil
nâavait
aucun signe. On arrive dans lâĂąge des IsraĂ©lites. On a vu que tous les
deux
Ă©taient fondamentalistes, tous les deux se tenaient lĂ , lâun tout
autant en
conformitĂ© avec les Ecritures que lâautre. Dieu a confirmĂ© celui-ci
avec des
miracles et des prodiges, Il a rejetĂ© lâautre qui Ă©tait autant
fondamentaliste
que lui, mais Il lâa rejetĂ© faute des signes et des prodiges. Vous
voyez que
lâĂ©lection et lâappel sont toujours de Dieu. Cela monte carrĂ©ment...
118 Considérez
le temps de Jésus. Les voilà apparaßtre: Jésus aussi était
fondamentaliste. Les
sacrificateurs orthodoxes lâĂ©taient aussi, mais Dieu les a rejetĂ©s, Il
a
acceptĂ© JĂ©sus, Il Lâa confirmĂ© par des miracles et des prodiges, dit la
Bible.
Câest comme ça quâon Lâa reconnu comme un Homme de Dieu. Le surnaturel
Lâaccompagnait: des miracles et des prodiges.
Maintenant,
le grand saint Paul. Croyez-vous quâil est une rĂ©fĂ©rence? Dites amen.
Le grand
saint Paul a dit: «Maintenant, une minute. JâĂ©cris ceci dans la Bible.
âDans
les derniers jours ils seront tout autant fondamentalistes, ayant
lâapparence
de la piété, mais ils vont renier ce qui fait la force du fon-... cette
grande
puissance parâpar ici. Cela va avoir une apparence de la piĂ©tĂ©. Ils
seront
aussi corrects que les autres pour ce qui est des Ecritures. Ils vont
croire en
Dieu, la Seconde Venue de Christ. Ils vont croire dans tout cela. Ils
vont
avoir de belles Ă©glises. Ils vont avoir la mĂȘme chose que les autres
avaient
par ici, ils vont voir la mĂȘme chose quâils avaient ici, ils vont avoir
la mĂȘme
chose ici, ils vont avoir la mĂȘme chose lĂ . Mais la mĂȘme Ă©glise qui
était ici
Ă©tait ici et lĂ . Et la voilĂ qui monte en graine Ă la fin.â»
Descendez
aujourdâhui de ce cep, frĂšre. Montez ici. Entrez pendant quâil fait
jour. Dieu
a frayé une voie pour vous. Dieu vous a béni.
119 Il y a
quelque temps je lisais lâhistoire sur le vieil aveugle BartimĂ©e.
CâĂ©tait un
vieil homme. Un soir, saâsa femme tomba malade. Il avait de petites
tourterelles qui faisaient des culbutes lâune sur lâautre comme ceci,
et qui
attiraient les voyageurs qui passaient. Et en passant, ils voyaient
cela, et
ils sâarrĂȘtaient. Alors ils donnaient Ă lâaveugle une piĂšce dâargent,
et câest
comme cela quâil gagnait son pain. Câest ce que dit lâhistoire.
Alors,
un jour, sa femme tomba malade. Il est allé dehors. Il était un
croyant. Il
croyait que Dieu allait la guérir. Il croyait que Dieu était réel. Il a
dit: «Seigneur
Dieu, ma pauvre femme, le docteur ne peut plus rien faire pour elle. Si
Tu
épargnes sa vie, demain, je prendrai ces tourterelles et je Te les
offrirai en
sacrifice.» Câest une chose difficile. Nous, nous voulons faire un
sacrifice,
eh bien, avec ce qui est facile. Voyez-vous? Ăa, ce nâest pas un
sacrifice. Le
sacrifice, câest quelque chose qui fait souffrir et qui fait mal.
120 Et ainsi, le
lendemainâle lendemain matin, sa femme Ă©tait guĂ©rie. Il a pris les
tourterelles
et il les a offertes. Peu aprĂšs... il est rapportĂ© quâil avait une
petite fille
blonde dâenviron huit ans; il ne lâavait jamais vue de sa vie, il Ă©tait
aveugle, elle est tombée malade. Alors il est sorti et il a prié cette
nuit-lĂ .
Il a dit: «Seigneur, si Tu guéris ma petite fille et que Tu ne la
laisses pas
mourir, je Tâoffrirai mon...» Il avait un agneau. De nos jours les
gensâles
gens sont conduits par un chien, qui conduit les aveugles. A cette
Ă©poque-lĂ
câĂ©tait un agneau qui conduisait les aveugles. Alors il avait un petit
agneau
qui le conduisait jusquâĂ la porte, et alors il sâarrĂȘtait et attachait
lâagneau.
Alors il
a dit: «Si Tu guéris ma petite fille et que Tu ne la laisses pas
mourir, ĂŽ
Dieu, demain je Tâoffrirai mon agneau.» Eh bien, le lendemain matin sa
petite
fille Ă©tait guĂ©rie. Dieu lâa guĂ©rie. Alors le voilĂ qui monte.
121 Lâhistoire
dit que CaĂŻphe, le souverain sacrificateur, sâest tenu lĂ et a dit...
Les gens
montaient pour faire des sacrifices. Il a dit: «OĂč vas-tu, aveugle
Bartimée?»
Il a dit:
«à souverain sacrificateur, je vais offrir mon agneau. Jéhovah Dieu a
guéri ma
fille hier soir. Je Lui avais promis mon agneau.»
«Oh,
a-t-il dit, aveugle Bartimée, tu ne peux pas offrir cet agneau.» Il a
dit: «Je
vais te donner de lâargent pour tâacheter un agneau chez ceux qui en
vendent,
a-t-il dit, lĂ auxâaux enclos. Ils vont te donner un agneau. Je vais te
donner
de lâargent et tu vas acheter un agneau.»
Il a dit:
«Je nâai pas promis Ă Dieu un agneau. Je Lui ai promis cet agneau-ci.»
Câest
juste. «Cet agneau-ci...»
Il a dit:
«Aveugle Bartimée, tu ne peux pas faire ça.»
Il a dit:
«Mais, souverain sacrificateur, jâai promis Ă Dieu de le faire.»
Il a dit:
«Mais, aveugle Bartimée, cet agneau ce sont tes yeux.»
Il a
dit: «Câest juste, souverain sacrificateur, mais Dieu pourvoira Ă un
agneau
pour les yeux de lâaveugle BartimĂ©e, si lâaveugle BartimĂ©e obĂ©it Ă
Dieu.»
122 Eh bien,
environ six mois aprÚs, par un jour froid du mois de novembre, il était
assis Ă
la porte, tout tremblant, pas dâagneau pour le conduire, pas de
colombes pour
divertir les gens, pas dâargent pour payer la facture de charbon, mais
il avait
obéi à Dieu. AussitÎt, vous savez, il a entendu du vacarme approcher au
bas de
la rue. «Quâest-ce?» Les gens Ă©taient simplement en train de crier, de
hurler,
de pousser des cris. Il y a toujours une sorte dâagitation lĂ oĂč Dieu
se
trouve. Il a dit: «Câest qui lĂ qui est en train de venir?» Dieu avait
pourvu Ă
un Agneau pour les yeux de lâaveugle BartimĂ©e. VoilĂ venir lâAgneau.
Et il a
été pourvu à cet Agneau pour chaque homme ou femme spirituellement ou
physiquement aveugle qui est ici cet aprĂšs-midi. Il a Ă©tĂ© pourvu Ă
lâAgneau. Ne
voulez-vous pas Lâaccepter alors que nous inclinons la tĂȘte, sâil vous
plaĂźt.
Notre
PÚre céleste, parfois je pense combien... Que pouvons-nous faire?
Comment
peut-il se faire que Tu sois si bon envers nous? Bénis-nous et
aide-nous. Nous
sommes indignes, et je prie pour implorer misĂ©ricorde. Et aujourdâhui,
alors
que nous savons que ce mĂȘme Agneau auquel il a Ă©tĂ© pourvu pour les yeux
de
lâaveugle BartimĂ©e est ici, passe par ici, Seigneur, ouvre chaque oeil
spirituellement aveugle, et fais quâil voie aujourdâhui que Ton Eglise
est une
Eglise vivante, ayant des miracles, des signes et des prodiges.
Accorde-le,
Seigneur.
123 Et que
beaucoup dâhommes et de femmes qui ne sont pas encore nĂ©s et remplis du
Saint-Esprit, ayant Ă©tĂ© amenĂ©s dâun cĂŽtĂ© par la tradition, disent
maintenant
humblement dans leurs coeurs: «Seigneur JĂ©sus, je Tâaccepte maintenant
comme
mon Agneau pour me guider. Mes yeux ont Ă©tĂ© aveuglĂ©s. Je nâai jamais
fait
lâexpĂ©rience de la nouvelle naissance. Je veux que Tu me donnes cette
naissance
maintenant mĂȘme. Je veux sortir dâici cet aprĂšs-midi avec un coeur
heureux et qui
se sent libre de savoir que mes péchés sont partis et de savoir que je
suis
rempli de Ton Esprit, de savoir que des miracles et des prodiges
accompagneront
aussi ma vie, que Tu mâapparaitras dans des visions et des songes, et
que je
peux aller dans la rue, travailler pour Toi, témoigner et faire Ton
oeuvre.»
Accorde-le
Ă chaque homme et Ă chaque femme assis ici, ĂŽ Dieu. Accepte ces
quelques
paroles, Î Dieu, qui sont si décousues et que je ne savais pas que
jâallais
prononcer. Mais je Te prie de les rassembler toutes dâune maniĂšre ou
dâune
autre, et de les présenter à ta propre glorieuse et tendre maniÚre aux
coeurs
des gens. Accorde-le, PĂšre, afin quâelles atteignent le but auquel
elles sont
destinées. Tu sais ce que je voulais dire par cela.
124 Je prie pour
que chaque personne malade assise ici entende aujourdâhui ces cris au
sujet de
lâAgneau de Dieu qui passe. «Qui Ă©tait-ce?»
Nous
savons que les incroyants disaient: «Tais-toi.»
Mais il
a crié bien plus fort: Fils de David, aie pitié de moi.» Il avait un
besoin. Il
savait que Dieu avait pourvu Ă lâAgneau. Je prie, ĂŽ Dieu, que personne
ne se
taise, mais quâils crient jusquâĂ ce que lâAgneau sâarrĂȘte et dise:
«Que
veux-tu que Je fasse?»
«Seigneur,
que je recouvre la vue.» Il a touché ses yeux, et la vue est revenue
dans ces
yeux qui ne pouvaient pas voir.
Ă Dieu,
accorde aujourdâhui que le Saint-Esprit touche chaque coeur et chaque
oeil
aujourdâhui, afin que la vue spirituelle et la vue physique soient
restaurées.
Accorde-le, Seigneur. Bénis-les tous ensemble. Aie pitié.
Un
certain glorieux jour, Seigneur, je ne sais pas quand... Un jour, je
devrai
prĂȘcher mon dernier sermon. Un jour ces gens devront entendre leur
dernier
sermon. Nous devrons nous tenir dans Ta Présence. Je vois ces grands
arbres monter.
Je les ai vus depuis la GenĂšse. Et, ĂŽ Dieu, je les vois ici en ce jour.
125 Que puis-je
faire, Seigneur? Que puis-je faire? Jeâje ne sais que faire. Mon coeur
brûle.
Mon Ăąme saigne. Je vois des hommes et des femmes qui sont enfermĂ©s lĂ
dans les
ténÚbres. Et je ne sais que faire, PÚre. Ils disent une chose, ils
disent ceci
contre cela, moi je dis telle chose, et eux ils disent autre chose.
Mais, ĂŽ
Dieu, je Te confie cela maintenant. Parle Ă chaque coeur...?...
Pendant
que nous avons la tĂȘte inclinĂ©e et les yeux fermĂ©s, sâil vous plaĂźt que
personne ne regarde, mais laissez uniquement le Seigneur et moi
regarder ce...
Pendant que le piano ou lâorgue joue doucement, je me demande sâil y a
quelquâun ici qui... Je ne crois pas quâil y a une tĂȘte levĂ©e Ă ce que
je voie.
Je me demande sâil y a quelquâun qui aimerait dire: «FrĂšre Branham,
vraiment,
devant Dieu, je sais que je nâai pas reçu le Saint-Esprit. Il mâest
inutile
dâessayer de me faire des illusions. Je sais que je ne Lâai pas. De
tels
miracles ne mâaccompagnent pas, or JĂ©sus a dit: âVoici les miracles qui
accompagnerontâ, et ils nâaccompagnent pas, et je sais que je ne suis
pas... Je
nâai pas reçu le Saint-Esprit. Priez pour moi, FrĂšre Branham. Si Dieu
exauce
vos priĂšres en ouvrant les yeux des aveugles, en faisant entendre les
sourds,
en faisant voir les aveugles, et en faisant marcher les infirmes, Il
mâĂ©coutera
certainement.»
126 Voulez-vous
bien lever la main et dire: «Priez pour moi, FrÚre Branham»? Que Dieu
vous
bĂ©nisse, vous, vous, vous. Oh ! la la ! Gardez simplement votre tĂȘte
inclinée.
Je vois votre main. Trente, quarante, cinquante mains se sont levĂ©es. Ă
Christ,
je Tâen prie, Dieu bien-aimĂ©. Il pourrait y avoir encore une seule
marche qui
nous sĂ©pare de lâĂ©ternitĂ©. Nous ne savons mĂȘme pas ce que rĂ©serve
demain, mais
je prie maintenant, maintenant mĂȘme, pendant que Ton Grand Etre
omnipotent,
pendant que le Crucifié est présent ici, regardant majestueusement, et
quâIl
bénit...
Je Te
prie dâaccorder Ă chacun de ceux qui ont levĂ© la main le baptĂȘme du
Saint-Esprit. Puisse-t-Il remplir leur coeur avec une telle puissance
que nous
allons avoir une répétition des bénédictions de la PentecÎte, comme
elles
étaient tombées au commencement. Ils sont fatigués et épuisés,
Seigneur.
Certains parmi eux sont ùgés et ont les cheveux gris. Le soleil se
couche,
lâĂ©toile du soir du temps apparaĂźt. Ă Dieu, accorde quâils reçoivent le
Saint-Esprit.
127 De pauvres
vieilles mĂšres et vieux pĂšres qui ont luttĂ© toute la vie, peut-ĂȘtre
quâils
nâavaient jamais eu lâoccasion auparavant. Je Te prie de le leur
accorder
maintenant; et que la douce et tendre Colombe de Dieu sâĂ©tablisse dans
leurs
coeurs, et les remplisse de lâEsprit de Dieu, au point que leurs vies
seront
pleines de puissance et que de grands miracles et prodiges se
produiront, et
que cette ville qui est insensible sera écrasée et broyée, et que la
Présence
de Dieu entrera dans chaque Ă©glise avec un rĂ©veil Ă lâancienne mode,
qui se
répandra dans le pays, et que les nouvelles se répandront depuis cette
ville. Accorde-le,
Seigneur.
Beaucoup
nâont pas pu lever la main. Peut-ĂȘtre quâils nâĂ©taient pas... Ils
voulaient le
faire, mais ils... Leur conviction nâĂ©tait pas suffisamment forte. Ă
Dieu, je
Te prie de les bénir aussi. Donne-leur à tous le Saint-Esprit. Sauve
ceux qui
ne sont pas sauvés. Guéris les malades. Nous demandons cela au Nom du
Seigneur
Jésus-Christ. Amen.
128 Relevez la
tĂȘte. Je vais vous demander une chose. Excusez ma façon rude de parler.
Jeâje
ne sais pas faire autrement, les amis. La seule maniĂšre de mây prendre,
câest
de faire juste ce quâIl me dit. Jeâje dis cela. Etâet jeâje suis
quelque peu...
Vous savez, je fais simplement de mon mieux. Vous ĂȘtes habituĂ©s Ă
écouter des
Ă©rudits, de fins Ă©rudits, qui peuvent garder le fil dâidĂ©e sur leur
sujet. Je
ne savais pas ce que jâallais dire quand je suis montĂ© ici. Je dois
simplement
le dire tel quel, mais je sais que câest la vĂ©ritĂ©, parce que cela
vient de
Dieu. Je nâai pas Ă©crit cela sur du papier. Et jeâje vous aime.
Je nâai
pasâne vous rĂ©primande pas pour vous amener Ă vous fĂącher contre moi.
Jeâje
fais cela pour vous corriger. Et tout vrai papa corrigera ses enfants;
il le
fera certainement. Et je savais que vous étiez assis ici, et que
cinquante
mains ou plus se sont levĂ©es pour dire que vous avez besoin du baptĂȘme
du
Saint-Esprit. FrÚre, soeur, sans cela vous périrez aussi sûr que deux
et deux
font quatre. Ne manquez pas cela. Ecoutez. Alors que ma Bible est sur
mon
coeur, jâai essayĂ© dâĂȘtre sincĂšre.
129 Maintenant,
il pourrait y avoir beaucoup de choses que jâignore, mais je connais
réellement
JĂ©sus-Christ. Jeâje Le connais du fond de mon coeur. Et un jour, je
devrai vous
rencontrer tous au TrĂŽne du Jugement de Christ. Je devrai comparaĂźtre
lĂ . Câest
juste. Je devrai rendre des comptes pour ce que je dis et ce que je
fais. Si
donc je suis dans lâerreur, câest avec sincĂ©ritĂ©. Je nâen ai pas
lâintention.
Cependant,
cher ami chrĂ©tien, si vous nâavez pas le Saint-Esprit, je vous
demanderais de
bien vouloir Le recevoir cet aprĂšs-midi, de venir Ă lâautel pour prier.
Pourriez-vous vous approcher ici, et si Dieu dans Sa misĂ©ricorde, sâIl
exauce
la priÚre pour guérir les malades...
130 Je reçois
simplement lettre aprÚs lettre venant des gens ici qui sont débarrassés
de
tumeurs et tout comme cela qui les quitte. Des gens qui étaient
infirmes suite
Ă lâarthrite, ils sont mĂȘme passĂ©s ici et ils sont allĂ©s, et je leur ai
dit
dâimposer les mains Ă leurs Ă©pouses et aux gens. Et ils ont dit: «Quand
je suis
arrivĂ© Ă la maison jâai imposĂ© les mains Ă mon Ă©pouse, elle a quittĂ© le
lit.
Câest terminĂ©. Elle se sent bien.» Dans diffĂ©rents coins... Dans cette
toute
petite poignĂ©e de gens. Vous voyez, les amis, jâessaie de vous dire la
vérité,
et Dieu confirme que je vous dis la vĂ©ritĂ©. Ce nâest pas moi. Câest
Lui. Câest
Lui. Câest Lui qui fait cela.
Maintenant,
Il est ici pour guĂ©rir maintenant mĂȘme. Il sait tout Ă ce sujet.
Maintenant
mĂȘme. Je nâai pas Ă attendre la tombĂ©e de la nuit. Je sais quâIl est
ici mĂȘme,
en train de guĂ©rir maintenant mĂȘme. Maintenant, je sais... Je sais que
quelquâun... Jeâje... Le Saint-Esprit est maintenant mĂȘme sur moi, de
la
prĂ©dication Il passe Ă autre chose, maintenant mĂȘme, parce que beaucoup
dâentre
vous sont ici pour la guérison, et je Le sens se mouvoir carrément sur
moi
maintenant mĂȘme, lâAnge de Dieu dont la photo est dans ce journal-lĂ .
Câest la
vérité.
131 Je Le vois
suspendu maintenant mĂȘme juste au-dessus de moi, Il est suspendu juste
ici. Il
se meut... Il me semble que cela... Oh ! jâaurais souhaitĂ© pourvoir
expliquer
ceci. Je sais que vous pourriez dire: «FrÚre Branham est un fanatique.»
Eh
bien, jeâjeâjeâje nâen suis pas un. Jeâje ne suis pas un fanatique. Je
suis
votre frĂšre.
Un petit
soldat se tient ici, le petit homme qui se tient lĂ , qui est assis lĂ ,
en train
de prier. Oui. Vous voulez... Vous ĂȘtes malade. Vous avez besoin de la
guĂ©rison, nâest-ce pas? Câest quelque chose dans votre oreille,
nâest-ce pas?
Oui, monsieur. Un écoulement dans votre oreille. Cela ne guérit pas.
Nâest-ce
pas juste? Mettez votre main sur votre oreille. Seigneur Jésus, je Te
prie
dâĂŽter cela maintenant mĂȘme de lui et de le rĂ©tablir. Ă Dieu, pauvre
petit
homme, il est lĂ , servant dans lâarmĂ©e. Sesâses oreilles sont malades.
Peut-ĂȘtre que Tu voulais quâil soit guĂ©ri aujourdâhui. Câest la raison
pour
laquelle Tu fais ceci. Je Te prie de lâaccorder maintenant mĂȘme comme
confirmation divine: JĂ©sus, aprĂšs avoir prĂȘchĂ©, guĂ©rissait les malades.
Maintenant, Seigneur, je prie en tant que Ton serviteur, je demande la
guérison
pour mon frÚre au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon
frĂšre.
Cela va cesser maintenant. Ăa va aller. Que Dieu vous bĂ©nisse.
132 Quelquâunâquelquâun
désire-t-il recevoir le Saint-Esprit? Voudriez-vous bien venir ici et
vous
tenir juste ici pendant que nous chantons Presque persuadé.
Voudriez-vous le
faire? Voulez-vous bien, soeur, nous donner un accord pour cela,
pendant que
lâassistance...? Voulez-vous bien venir ici? Que Dieu vous bĂ©nisse.
Câest ça.
Presque
persuadé, maintenant de croire;
[Espace
vide sur la bandeâN.D.E.] Maintenant, nous ne cherchons pas Ă vous
arracher de
chez les méthodistes, de chez les baptistes. Nous essayons de vous
amener Ă
recevoir le Saint-Esprit pour que vous retourniez dans votre propre
église
(Voyez-vous?) comblé des bénédictions de Dieu. Votre pasteur appréciera
cela.
Oh ! vous serez tellement heureux dâavoir reçu le Saint-Esprit. Il y en
a
beaucoup dâautres ici qui devraient se tenir debout ici. Et si JĂ©sus
venait
maintenant mĂȘme? Vous entendriez un cri, vous regarderiez dehors, des
arc-en-ciel
brillant dans les cieux, le soleil se couchant, suspendu lĂ -bas Ă
lâouest,
comme du sang noir qui ruisselle, ça serait alors trop tard.
Si vous
nâĂȘtes pas sĂ»r dâĂȘtre rempli du Saint-Esprit, ne voulez-vous pas venir
maintenant et chanter encore une fois? Vos pĂšres et vos mĂšres
chantaient ces
vieux chants il y a des années. Ne voulez-vous pas venir maintenant
pendant que
nous chantons... Tout...
133 [Espace vide
sur la bandeâN.D.E.] Pendant que lâorgue joue... Il y en a dâautres qui
devraient ĂȘtre debout ici. Et ne me dites pas le contraire. Je sais
quâil y en
a. Je me sens conduit Ă dire ceci. Ici mĂȘme au fond de votre coeurâde
votre
ville, un soir, je me suis senti conduit Ă faire ceci, et savez-vous ce
que
jâai fait? Jai quittĂ© la chaire, il y avait une merveilleuse jeune
fille
baptiste, et je lui ai dit: «Le Seigneur vous appelle, soeur, ce soir.»
Elle a
dit: «Si jâavais besoin que quelquâun me dise quelque chose de pareil,
je
choisirais quelquâun de sensĂ©, pas vous.»
Jâai dit:
«Pas de problĂšme, trĂšs bien.» Jâai dit: «Le Saint-Esprit mâa dit que
ceci est
votre jour, votre heure.»
Elle a
pris un air hautain, une jeune fille trĂšs ravissante, et elle est
sortie. Il y
a des vignes qui poussent lĂ -bas. Quand je suis sorti ce soir-lĂ ,
quâest-ce quâelle
mâa rabrouĂ© !
134 Environ deux
ans plus tard, jâĂ©tais dans la mĂȘme ville, et je descendais la rue.
Elle venait
dâune bonne famille. Son pĂšre et sa mĂšre Ă©taient tous les deux des
chrétiens,
ils Ă©taient membres dâune bonne Ă©glise baptiste.
Et jâai
commencĂ© Ă descendre la rue, et jâai regardĂ© de lâautre cĂŽtĂ© de la rue,
dans un
trĂšs mauvais quartier, et voilĂ cette jeune fille qui passait, sa jupe
qui
pendait offrait un spectacle horrible. Je me suis mis Ă descendre la
rue pour
mâassurer que câĂ©tait elle. Elle sâest retournĂ©e, et elle a dit: «Eh
bien,
bonjour prĂ©dicateur», dâune maniĂšre trĂšs argotique.
Jâai dit:
«Bonjour.»
Elle a
dit: «Câest vous le type qui mâaviez appelĂ©e ce soir-lĂ dans lâĂ©glise,
nâest-ce
pas?»
Et jâai
dit: «Oui, madame.»
«Ha !»
Elle a plongé la main dans son sac à main et elle a allumé une
cigarette, elle
a dit: «Vous en voulez une?»
Jâai dit:
«Honte à toi !»
Elle a
dit: «Peut-ĂȘtre que vous voulez prendre un petit coup.» Elle a fait
sortir sa
petite bouteille de whisky.
Jâai dit:
«Quelle idĂ©e que dâoffrir Ă un serviteur de Dieu une telle chose !»
Elle a
dit: «Rien ne pourrait plus mâarriver.» Elle a tirĂ© un petit peu de sa
cigarette, peut-ĂȘtre de la marijuana. Elle a dit: «Vous vous souvenez,
prĂ©dicateur, de cette nuit-lĂ oĂč vous mâaviez dit que Dieu mâappelait?»
Jâai dit:
«Oui, je mâen souviens certainement.»
135 Elle a dit: «Si
vous avez dĂ©jĂ dit la vĂ©ritĂ©, câĂ©tait bien cette fois-lĂ .» Et elle a
dit: «Mon
coeur est devenu tellement dur depuis cette nuit-lĂ mĂȘme.» Eh bien,
voici la
remarque quâelle a faite: «Je pourrais voir lâĂąme de ma mĂšre frire en
enfer
comme une crĂȘpe et mâen moquer.»
Elle
sâest retournĂ©e et elle a renvoyĂ© cette fumĂ©e, et elle a descendu la
rue, une
prostituée, ivre, toxicomane. Ne rejetez pas Dieu. Une fois Il frappera
pour la
derniĂšre fois.
Prions
encore. Seigneur, je ne sais pas pourquoi jâai dit cela, mais je
suis... Jâai
dit cela, PĂšre, parce que jâai senti que Tu voulais que je le dise.
Maintenant,
sâil y en a ici qui ont besoin de Toi, PĂšre, je Te les confie et je Te
prie de
les envoyer Ă cet autel en ce moment, afin quâils puissent recevoir Ton
Esprit.
Sâils ne
sont pas sauvĂ©s, sauve-les, et sâils ne sont pas prĂȘts Ă Te rencontrer,
nâayant
pas le Saint-Esprit, je Te prie de leur donner le Saint-Esprit ce soir
mĂȘme, au
Nom de Jésus. Amen.
136 Maintenant,
pendant que nous attendons juste un instant, voudriez-vous bien encore
nous
jouer cela, soeur? Jouez simplement cela. Soyez respectueux. Si vous
sentez que
Dieu veut que vous veniez, venez vous tenir à nos cÎtés.
Pendant
que lâon fait ceci, combien de ministres qui sont ici croient que le
baptĂȘme du
Saint-Esprit est pour le croyant aujourdâhui? Levez la main. Les
ministres de
lâEvangile, voulez-vous venir carrĂ©ment ici autour pour vous tenir aux
cÎtés de
ces gens?
Maintenant,
Ă vous croyants qui vous tenez ici et qui recherchez le baptĂȘme du
Saint-Esprit, je suis trĂšs reconnaissant pour vous. Je suis
reconnaissant du
fait que le petit ministĂšre que le Seigneur mâa donnĂ© ici est efficace,
et du
fait que vous y avez cru. Dieu vous bénira certainement pour cela. En
tant
quâun humble serviteur, jâai fait de mon mieux pour reprĂ©senter mon
Seigneur,
et je vous dis au Nom de Jésus-Christ: Il se tient juste ici
maintenant. Et
IlâIl accordera Ă chacun de vous le baptĂȘme du Saint-Esprit.
137 Maintenant,
la chose que vous devez faire... Câest un Don. Cela ne relĂšve pas de la
foi.
Câest un don. Cela ne vient pas... Vous direz: «Eh bien, je crois que
jâai
Cela.» Ăa ne marchera pas. Ce nâest pas ça. Câest un don, un don
immérité. Dieu
vous donne tout simplement cela, ce nâest pas parce que vous y croyez,
câest
parce que Dieu vous le donne. Mais vous ĂȘtes venu en Lui demandant
cela. Et
Il... «Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront
rassasiés.»
Dieu vous donnera le Saint-Esprit.
Je veux
que vous ouvriez votre coeur et que vous disiez: «PÚre Bien-aimé, je
suis un
croyant. Je suis Ton enfant, et jeâje veux maintenant que le
Saint-Esprit entre
dans mon coeur. Je dĂ©pose toute la mondanitĂ© sur lâautel. Je dĂ©pose
tout sur
lâautel.»
138 Maintenant,
pendant que vous vous tenez ici, beaucoup dâentre vous sont en train de
pleurer, les larmes coulent sur vos joues. Câest le Saint-Esprit. Câest
Lui qui
est sur vous maintenant mĂȘme, Il dĂ©sire remplir votre vie. Si
lâassistance lĂ
derriĂšre peut seulement voir cette scĂšne quâil y a ici, des jeunes
filles, des
jeunes hommes, des personnes ùgées, les larmes coulent sur leurs joues.
Le
Saint-Esprit plane... Voici lâAnge de Dieu qui se tient juste... Et Il
nâest
pasâIl nâest pas Ă cinq pieds [152 cm] au-dessus de leurs tĂȘtes en ce
moment
mĂȘme, lâAnge mĂȘme que vous voyez sur la photo se tient juste ici
au-dessus
dâeux maintenant mĂȘme (Câest juste), Il est tout simplement prĂȘt Ă se
déverser
dans chaque croyant.
Maintenant,
câest juste... Croyez tout simplement cela. Demandez-Lui et acceptez
simplement
cela. Dites: «Seigneur, je crois en Toi», et alors vous saurez quand
Cela
viendra. Vous sentirez lâEsprit de Dieu se dĂ©verser dans votre coeur.
Alors,
quand cela va se faire, levez les mains et remerciez-Le pour cela.
Dites: «Merci,
Seigneur JĂ©sus. Je Te suis tellement reconnaissant de mâavoir donnĂ© le
baptĂȘme
du Saint-Esprit», et vous sentirez la puissance de Dieu inonder votre
corps. A
partir de ce moment-là vous serez une personne différente.
139 Maintenant,
que chaque personne ici prĂ©sente incline la tĂȘte, sâil vous plaĂźt.
Maintenant,
vous les ministres qui vous tenez ici autour de ces gens,
approchez-vous dâeux,
imposez-leur les mains. La Bible dit de leur imposer les mains. Chacun
de vous,
maintenant posez vos mains sur les croyants. Câest ce que nous sommes
censés
faire. Posez vos mainsâvos mains sur ceux qui cherchent le baptĂȘme du
Saint-Esprit.
[Espace
vide sur la bandeâN.D.E.] Le Saint-Esprit est en train dâentrer dans le
coeur
de cette femme. Maintenant, posez vos mains sur les croyants et
maintenant
demandez-leur de recevoir...
Maintenant,
vous là -bas soyez profondément sincÚres. TrÚs bien. Prions maintenant,
tout le
monde. Priez tous. Faites votre propre priĂšre.
140 Maintenant,
PĂšre, comme je prie, sachant quâen cette heure mĂȘme, des millions de
priĂšres Ă
travers le monde parviennent Ă Tes oreilles. Tu les entends toutes. Il
est
impossible que Tu nâentendes pas chacune dâelles. Et maintenant,
Seigneur,
comme ces chers pauvres enfants sâapprochent, je prie, demandant
miséricorde
pour eux. à Eternel Dieu, envoie Tes bénédictions, et que le
Saint-Esprit qui
est suspendu juste au-dessus de ces gens maintenant descende droit sur
eux
juste en ce moment.
Que
chaque coeur Le reçoive, et que la gloire et la puissance de
Jésus-Christ
ressuscitĂ© viennent sur eux maintenant mĂȘme. Que de grands miracles et
prodiges
accompagnent leur vie, et quâils perdent leurs propres pensĂ©es et
quâils se
tournent vers Toi maintenant mĂȘme, sans se soucier de ce que dit
lâassistance,
sans se soucier de ce que quelquâun dâautre pense, mais quâils sachent
ce que
Toi, Tu as exigé.
141 «Vous
recevrez la puissance aprÚs que le Saint-Esprit sera venu sur vous.» Et
que la
puissance du Saint-Esprit descende sur chacun dâeux juste en ce moment,
alors
que ces ministres leur imposent les mains. Et que le Saint-Esprit les
accompagne avec des miracles et des prodiges. Que de grands exploits
soient
accomplis. Et que de ce petit rassemblement cet aprÚs-midi éclate une
série de
rĂ©unions du Saint-Esprit Ă lâancienne mode. Accorde-le, Seigneur.
Maintenant,
Satan, tu as perdu ton autorité. Tu as perdu ta puissance. Et le
Saint-Esprit
est ici pour prendre le contrÎle et pour bénir ces gens et les remplir
de la
bonté de Dieu. Je demande que le Saint-Esprit se fraie un chemin
jusquâĂ leur
coeur, au Nom de Jésus-Christ.
Maintenant,
gardez vos mains levées. Continuez à louer Dieu. Continuez à Le louer
et Ă Le
glorifier, chacun de vous. Remerciez-Le tout simplement. Dites: «Merci,
Seigneur, merci, Seigneur, pour le...»
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