Les Témoins

Date: 54-0303 | La durée est de: 1 heure et 22 minutes | La traduction: Shp
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1          Bonsoir, mes amis. Je suis très content d’être ici ce soir pour prêcher de nouveau au Nom de notre Seigneur Jésus-Christ, et pour Sa gloire. Et je suis très content de ce privilège d’être là, confiant que ça sera un moment merveilleux, pour Sa gloire. Nous aimons tous Le voir être glorifié. C’est dans le coeur de chaque croyant de voir Jésus-Christ être exalté au-dessus de tout sur la terre. Et je suis sûr que c’est notre choix, l’unique choix que j’ai dans la vie, c’est de voir cela.

2          Et maintenant, comme notre... Ce soir, je pense que celle-ci est notre dernière soirée ici dans cette salle. Est-ce vrai, frère? Et demain soir, nous serons au (Jardin Madison Square?) au Jardin Madison Square, en ville. Et vous avez un... Cela offre un peu plus de places assises, je pense.

            Et nous espérons que cela maintiendra la série de réunions en cours, et Dieu recevra la louange, beaucoup d’âmes viendront à Christ. Ceci est le... L’une des choses les plus essentielles dans la vie de tout homme, peu importe les succès qu’il a dans les affaires, ou je ne sais quoi il peut être, la plus grande chose qui soit jamais arrivée à un être humain, c’est quand il a le privilège de livrer son coeur à Jésus-Christ, de naître de nouveau et vivre.

            Il y avait dans l’Ancien Testament le serpent d’airain; on le regardait et on vivait. C’est ce que nous faisons ce soir: C’est regarder et vivre, regarder Jésus et vivre.

3          Maintenant, pour que je ne prenne pas trop de temps, je suis en train de faire quelque chose au cours de cette série de réunions, et dans les deux dernières séries de réunions avant celle-ci, que je n’avais jamais fait depuis le début de mon ministère: C’est essayer de parler un peu, le soir, avant le service de guérison. Cela dévalorise un peu la chose, je sais, car c’est difficile de revenir ou de passer d’une onction à l’autre. L’une d’elles, c’est sous la direction divine, d’un Etre angélique, par un don. Et l’autre, c’est l’inspiration du Saint-Esprit en proclamant les Paroles de la Parole écrite de Dieu.

            J’apporte donc juste un petit sermon chaque soir, car je sais que mes paroles peuvent faillir. Je suis un homme. Mais les Paroles de Dieu ne peuvent pas faillir, Lui est Dieu. Et j’aime En lire un peu chaque soir, au moins une portion. Je sais que les gens dans l’assistance recevront une vérité éternelle, tant que la Parole de Dieu est lue. La réunion sera alors absolument recouverte de bénédictions si on ne fait pas plus que lire la Parole.

4          Et ce soir, j’espère que peut-être juste... peut-être moi-même... Mais il me semble que–que Dieu va venir dans nos réunions et notre... non pas rencontrer... au milieu, se manifester avec une grande puissance. Hier soir, je pouvais à peine sortir de... me rappeler quitter le bâtiment. Quelle grande onction ! Je–j’aimerais remercier Dieu pour votre merveilleuse foi.

5          Je sais généralement que dans des villes de ce genre, comme Floride, Californie, Phoenix, il y a toujours une confusion, ou l’une–ou l’une ou l’autre chose. Il y a beaucoup de gens de toutes sortes qui viennent dans ce genre d’endroits, en ces lieux de vacances d’été, ou plutôt d’hiver, avec diverses idées. Et ils... Peu importe le genre d’idées qu’ils ont, ils trouveront quelqu’un qui croira avec eux. Et cela crée une division en différents groupes de gens et de dénominations. Et avec ça, généralement, il y a au départ un préjugé, un sentiment d’indifférence. Et cela existe dans toutes les grandes villes.

            Et je sais que Phoenix n’est pas immunisé contre ces choses-là. Mais voir ce groupe de gens ensemble comme ceci, d’un seul coeur et d’un commun accord, j’espère que cela demeurera toujours ainsi, que vous allez toujours... Si vous vous rappelez ces Paroles que je–que je vous confie, en tant que mes frères et mes soeurs bien-aimés et co-ouvriers en Christ: Il vous faudra vous aimer les uns les autres avant que vous puissiez aimer Dieu. C’est vrai, voyez?

6          J’allais quitter le dimanche après-midi. J’ai laissé ma dernière réunion pour aller à... peut-être faire escale à la Réserve, et je me demande si les missionnaires qui viennent de la Réserve n’arrivaient pas à rassembler les gens (les amis Indiens là-bas). Nous pouvons les avoir ici pour une soirée dans la réunion, leur accorder une soirée.

7          Je me rappelle la dernière réunion que j’ai tenue à la Réserve des Apaches. Quel merveilleux moment nous avions passé ! Mon coeur saigne pour ces gens. Je dis ceci avec tout l’amour et tout le respect. Je ne pense pas qu’il y ait un ou deux Indiens assis ici présents, à ce que je voie. Peut-être qu’ils ne comprennent pas un seul mot d’anglais. Mais je crois, si jamais il y a eu un temps où nous... ou une seule chose qui a été faite, qui a jeté la disgrâce sur notre drapeau, c’est le traitement infligé aux Indiens. C’est vrai. Après tout, ceci est leur pays. Dieu le leur a donné. C’est nous qui sommes des étrangers, pas eux. Nous sommes arrivés ici par force. Et nous le leur avons arraché. L’unique cause qui nous a permis d’y arriver, c’est qu’eux n’étaient pas organisés.

            C’est ce que le diable fait à l’église; c’est parce qu’ils ne sont pas unis et ne sont pas ensemble. C’est la raison pour laquelle ils se séparent tel qu’ils le font.

8          Mon coeur sympathise avec les Indiens. Je me rappelle très bien les soirées passées à la Réserve des Apaches il y a quelques six, sept ans, quand le Dieu Tout-Puissant était entré en scène. Les Indiens étaient mouillés jusqu’au niveau de la taille, ils portaient leurs bien-aimés à travers la rivière, ils arrivaient à l’aube, le martin. Comme ils étaient guéris... Ils ne demandaient pas qu’on prie pour eux; ils voulaient simplement passer par l’estrade.

9          Je me souviens d’une Indienne, une vieille femme, qui venait à l’estrade. Un petit garçon indien a cherché à la dépasser. Nous n’arrivions pas à lui faire comprendre qu’il devait garder sa place. Alors, frère Moore l’a simplement soulevé et l’a remis à sa place. La vieille femme indienne, quand elle est arrivée, avec ses deux manches à balai dont elle se servait comme béquilles, les coussinets sous les bras, elle s’est avancée vers moi, elle a levé les yeux. Il y avait de profondes rides sur son visage, des larmes lui coulaient des yeux, se frayant une voie dans les creux de son visage, elle s’appuyait sur... Elle était courbée sur ses béquilles sous l’effet de l’arthrite. Je me suis dit: «Pauvre vieille créature, c’est la mère de quelqu’un.» Je l’ai simplement regardée alors qu’elle avançait, lentement, cherchant à m’atteindre. Et quand elle s’est approchée de moi, elle a levé les yeux vers moi, et ses lèvres ont trembloté. Elle a simplement pris ces béquilles et elle me les a remises, elle s’est redressée et s’en est allée en marchant, quittant l’estrade, sans jamais demander...?...

10        Je me rappelle, très tôt un matin, pratiquement à l’aube, j’étais encore debout en prière. J’ai vu un grand gaillard se tenir là, un brave, un grand, du genre guerrier indien. Il tremblotait. Ses lèvres étaient bleues, il était mouillé jusqu’à la taille. J’ai dit: «Pouvez-vous parler anglais?»

            Il a dit: «Un peu.»

            J’ai dit: «N’avez-vous pas redouté de contracter la pneumonie?»

            «Non, a-t-il dit, Jésus-Christ prend soin de moi. J’ai amené mon papa.» Il avait une planche et un vieil homme était couché dessus, frappé d’une paralysie tremblotante.

            J’ai dit: «Croyez-vous que si je demande à Dieu, Dieu guérira votre papa?»

            «Ouais.»

            J’ai dit: «Faites-le passer.» Je lui ai simplement imposé les mains, ils sont allés de l’avant, on a appelé le suivant. Quelques instants après, il m’est arrivé de regarder, le vieux frère indien parcourait la foule, la planche sur sa propre épaule, faisant signe de la main à tout le monde, allant comme cela. Il était guéri.

11        Mais vous savez, souvent, nous... les gens intelligents et instruits s’arrêtent et cherchent à comprendre tout cela. C’est la raison pour laquelle ils ratent cela. Vous ne pouvez pas comprendre cela. Peu m’importe combien vous êtes intelligent. On ne connaît pas Dieu par l’instruction. On Le connaît par la foi. Regardez-Le simplement et croyez. Si vous ne pouvez pas voir, croyez de toute façon. C’est ainsi que nous recevons Christ.

            Que le Seigneur vous bénisse. Vous êtes une très gentille assistance. Je souhaite maintenant, alors que je surveille l’horloge, essayer de prendre autant de temps que possible, pour prier pour les malades. J’aimerais que vous fassiez quelque chose pour moi ce soir. J’aimerais que vous acceptiez cela ce soir. Acceptez simplement cela, peu importe ce que vous sentez. Croyez simplement cela dans votre coeur et réglez cela ce soir. Dites: «C’est ça. C’est tout ce qu’il en est. J’accepte cela maintenant.» Généralement, les gens attendent la dernière soirée de la série de réunions pour faire cela. Des semaines plus tard, leurs témoignages affluent ici: «Eh bien, vous savez, je n’avais pas marché pendant des années, mais je–j’étais assis dans ma chambre et je... tout d’un coup, je me suis levé et j’ai marché.» Eh bien, n’attendez pas après la réunion. Faites-le maintenant. Après votre départ, vous vous rendrez compte que la dernière soirée, c’est un moment crucial. Vous devez vous y mettre. C’est alors que ça arrive. Vous devez être poussé à bout à ce sujet. Vous êtes vraiment sérieux là-dessus.

12        Un prédicateur me racontait il n’y a pas longtemps, il disait (il quittait la ville à bord de son véhicule)... et c’était des gens pauvres, comme de véritables prédicateurs du Saint-Esprit le sont généralement. Il avait donc ses effets emballés dans le coffre de la voiture, et il sortait. Il a dit... Sa femme a dit... Son nom, c’est Vance, Levi Vance. Il a été guéri d’un cancer. Il était assis sur une bordure; l’hôpital l’avait renvoyé pour mourir. Et une gentille femme est passée et lui a dit de bien vouloir venir, qu’on prie pour lui, et qu’il serait guéri.

            Il a dit: «Je suis un Juif.» Il a dit: «Peu m’importe ce que vous êtes, Jésus l’était aussi.» Et évidemment, elle lui a dit une petite erreur. Elle a dit: «Jésus n’avait pas... C’est le sang d’un Juif qui nous a sauvés.» Ce n’était pas le sang d’un Juif. C’était le Sang de Dieu qui nous a sauvés, pas le sang d’un Juif. Il n’était pas du sang d’un homme. Il était le Sang créateur de Jéhovah Dieu, qui a créé la cellule de Sang. Il n’était ni Juif ni Gentil de sang. Il était Dieu. Le Sang de Dieu nous a sauvés.

13        Il est rentré chez lui et s’est mis à prier là-dessus, à penser à quoi faire. Et il méditait là-dessus. Il avait entendu parler de la réunion. Il a regardé vers la salle de bain, une Lumière se tenait là, suspendue là, et une voix a parlé, disant: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le.»

            On a prié pour lui cette nuit-là dans la ville où il est allé... Il était... Il est rentré chez lui. On pensait qu’on avait l’armée du salut à l’arrière du tramway. Il avait son chapeau sur sa canne, il parcourait les allées, criant à tue-tête. Et, oh ! la la ! il était... C’était vraiment un prédicateur. Il a dit que quand il quittait la ville, sa femme a dit: «Levi, j’aimerais boire.»

            Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, d’accord. Tu veux que je m’arrête ici.»

            Elle a dit: «Non, attends qu’on atteigne la prochaine prise d’eau.»

            Il a dit: «Chérie, voici une prise d’eau.»

            Elle a dit: «Eh bien, attends. Nous en trouverons une autre.» Ils ont continué jusqu’à ce que, peu après, ils soient sortis de la ville. Elle a eu très soif, elle ne pouvait guère supporter cela. Il leur est arrivé de regarder derrière, dans un champ. Il y avait un troupeau de vaches, il y avait une–une pompe. Elle a dit: «Il faut que tu t’arrêtes.» Alors, il s’est arrêté et elle a pris un gobelet. Et avant qu’il puisse arrêter le véhicule, à peine, pratiquement, elle était sortie, elle était de l’autre côté du mur de clôture. Elle avait tellement envie de boire à ce moment-là, elle s’est empressée.

            Chaque fois que vous en arrivez à vraiment vous empresser, c’est alors que Dieu entre en scène, à l’heure où vous êtes désespéré.

14        Maintenant, ce soir, j’aimerais lire une portion de la Parole: Actes chapitre 1, verset 8.

Mais vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture. Inclinons la tête pendant que nous parlons à l’Auteur.

15        Père céleste, nous Te remercions ce soir, le grand Créateur des cieux et de la terre, l’Auteur de la Vie Eternelle, le Donateur de tout don excellent, d’avoir envoyé Jésus-Christ, Ton Fils, sur cette terre, mourir à notre place, Lui l’Aimable pour ceux qui ne sont pas aimables, Lui l’Innocent pour les coupables. Combien nous Te remercions de savoir qu’Il nous a aimés pendant que nous étions des pécheurs, qu’Il nous a donné la Vie Eternelle. Et maintenant, nous sommes Ses enfants; nous Te remercions pour cela. «Et ce que nous serons bien sûr à la fin de tout cela n’a pas encore été manifesté, mais nous savons que nous aurons un corps semblable au Sien. Car nous Le verrons tel qu’Il est.» Seigneur, c’est le vif désir de chaque coeur ici, je le sais; c’est de Le voir tel qu’Il est, Lui l’Aimable, de Le contempler. Nous pouvons alors L’adorer, Le couronner notre Roi et Lui dire combien nous L’apprécions au cours des âges à venir. Pendant qu’Il sera assis sur le Trône de David, Son père, qu’Il régnera sur cette terre pendant mille ans, lors de ce Millénium... Combien nous aimerions nous tenir quelque part (qu’on me donne juste une place, à côté d’un arbre), là je pourrais m’asseoir et L’observer, Le regarder. Cela me satisfera.

            Et je prie, ô Dieu, ce soir, que Sa Présence soit si proche de tout le monde ici. S’il y a des incroyants, qu’ils deviennent des enfants de Dieu, vraiment abandonnés, ce soir. Certains sont rétrogrades. Et ils se sont éloignés du sentier bien battu. Nous Te prions de les ramener dans la voie. Guéris tous les malades et les affligés, Seigneur. Qu’il n’y ait pas des faibles parmi nous ce soir. En effet, cela a été inclus dans Tes souffrances, Seigneur. Tu as porté nos infirmités. «Tu as été blessé pour nos péchés. C’est par Tes meurtrissures que nous avons été guéris.» Aide-nous ce soir, Seigneur, à dire comme David autrefois: «Et n’oublie pas tous Ses bienfaits. C’est Lui qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes nos maladies.»

            Oins les lèvres qui parleront, Seigneur, et les oreilles qui écouteront. Et que le Saint-Esprit prenne la Parole de Dieu et L’apporte à chaque coeur selon qu’on En a besoin, car Il est écrit que l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu. Nous demandons ces bénédictions au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ. Amen.

16        Juste quelques rotations de l’horloge, pour vous parler de Témoins. Un témoin... Jésus dit ici: «Vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous et alors, vous deviendrez Mes témoins.» Non pas après que vous aurez adhéré à l’église, vous deviendrez un témoin. Non pas quand vous deviendrez un diacre, vous deviendrez un témoin. Non pas quand vous serez ordonné prédicateur, vous deviendrez un témoin; mais quand le Saint-Esprit surviendra sur vous, alors vous deviendrez un témoin.

17        Un témoin, c’est quelqu’un qui doit avoir eu une expérience, qui doit connaître quelque chose. Dans les tribunaux de notre pays, vous ne pouvez pas comparaître et dire: «Mademoiselle Unetelle m’a dit telle et telle chose au sujet de tel et tel.» On va tout de suite mettre votre affaire de côté. Vous devez être soit un témoin oculaire soit un témoin auriculaire. Vous devez savoir quelque chose avant de devenir un témoin. Vous devez savoir quelque chose avant de devenir un témoin de Dieu. Et tous les témoins appelés de Dieu sont des gens qui ont une expérience de savoir ce dont ils parlent.

            Et nous avons une expérience de témoins de Dieu à Phoenix, ce soir et tout à travers le monde. Ce sont ceux qui ont expérimenté la résurrection de Jésus-Christ. Et vous pouvez expérimenter cela, uniquement par le témoignage du Saint-Esprit.

            Vous direz: «Combien de temps cela devait-il durer?» Dans Actes 2.38, Pierre nous dit que cette expérience était pour vous, et pour vos enfants, pour ceux qui sont au loin en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. C’est jusqu’à ce moment-là qu’il y aura le témoin. Et tant que Dieu appelle, les témoins appelés de Dieu doivent avoir l’expérience.

18        Eh bien, Il n’a pas dit: «J’aimerais que vous partiez maintenant et que vous soyez mes témoins.» Il a dit: «Vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et alors vous deviendrez des témoins.» Voyez, vous devez être... Vous devez avoir une expérience originale. Si je descends ici au pire débit de boissons ou à un lieu où l’on prend le whisky, qu’il y a à Phoenix, ce soir (un appareil de jeux d’argent) que tout le monde là-dedans était en train de boire, je m’avancerais vers lui et je dirais: «Que pensez-vous de Jésus-Christ?» Il dit: «Le Fils de Dieu.» Cela ne le sauve pas. Ensuite, je dirais ceci: «Comment savez-vous qu’Il est le Fils de Dieu?»

            «Eh bien, ma mère le disait.»

            «Eh bien, peut-être que maman avait raison, mais qu’en est-il de vous?» Voyez?

            Si j’allais ici auprès d’un membre d’église et que je disais: «Que pensez-vous de Jésus-Christ? Qui était-Il?»

            «Eh bien, Il était le Fils de Dieu.»

            «Eh bien, comment le savez-vous?»

            «Mon pasteur le disait.»

            «Votre pasteur a raison, mais qu’en savez-vous?» Voyez? Voyez? La maman a raison, le pasteur a raison. Mais avant que vous sachiez qu’Il est le Fils de Dieu... La Bible dit que nul ne peut dire que Jésus est le Christ, si ce n’est par le Saint-Esprit. Le Saint-Esprit doit vous le témoigner. Ça doit être une expérience personnelle. J’espère que vous voyez cela.

19        Peu importe combien vous fréquentez l’église, comment votre nom est bien gravé sur des fenêtres tachetées, ou que sais-je encore, ou dans ses registres, cela ne représentera rien pour vous, jamais, avant que vous deveniez un témoin de la résurrection de Jésus-Christ par le remplissage de la puissance du Saint-Esprit. Vous prenez ce que quelqu’un d’autre a dit. Eh bien, je dirais...

            «Eh bien, Frère Branham, je sais que Jésus est le Christ, car la Bible le déclare.» La Bible a raison. Mais qu’en savez-vous? Voyez? C’est une affaire individuelle, avec chaque individu. Ça doit être un témoignage personnel que chaque personne doit avoir pour connaître que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, c’est quand Son Esprit rend témoignage à votre esprit, par l’Esprit de la nouvelle naissance, être né de nouveau, alors vous criez: «Abbas, Père.»

20        Oh ! la la ! Si nous avions un monde comme cela ce soir, le Millenium serait là, n’est-ce pas? C’est vrai. Quand votre esprit rend témoignage à Son Esprit que vous êtes des fils et des filles de Dieu, alors vous êtes des témoins de Dieu.

            L’autre jour quelqu’un disait, il disait: «Frère Branham, vous croyez Dieu par la foi. Abraham crut Dieu par la foi et c’est tout ce que vous pouvez faire. Il n’y a pas d’expérience avec cela.»

            J’ai dit: «Oh ! Si, mon frère.»

            Il a dit: «Comment... Quoi de plus peut-on faire que croire en Dieu?»

            J’ai dit: «C’est tout ce que vous pouvez faire.»

            Il a dit: «C’est ce que je me disais.»

            J’ai dit: «Mais Abraham crut Dieu. C’est par la foi qu’Il crut Dieu. Et Dieu lui donna la confirmation de sa foi par le signe de la circoncision. Et nous croyons en Dieu par la foi, et Dieu nous a donné le baptême du Saint-Esprit comme signe du sceau de la promesse de notre foi.» Voyez, voyez? Ephésiens 4.30 dit: «N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu par lequel vous avez été scellés pour le jour de votre rédemption.» C’est le sceau de l’alliance maintenant, c’est le baptême du Saint-Esprit.

21        Vous croyez en Dieu et vous dites que vous croyez en Dieu, et vous n’avez pas reçu le Saint-Esprit, il y a quelque chose qui cloche avec votre foi. En effet, Dieu est tenu de donner à chaque croyant qui se repent et qui s’est fait baptiser, Il est tenu de lui donner le baptême du Saint-Esprit. Et Il est disposé à vous le donner plus que vous, vous n’êtes disposé à le recevoir. C’est vrai. Il y a donc quelque chose qui cloche quelque part. Vous avez juste une foi mentale plutôt que la foi du coeur. Car Dieu est obligé de tenir Sa Parole.

            Il a dit: «Repentez-vous, que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» C’est vrai. Dieu doit tenir cette promesse-là. Oui, oui.

22        Et Il a fait cela tout au long de l’âge de la Bible, et Il le fera tout au long de cet âge. Car ceci est l’âge de la Bible: La même Bible, le même Dieu, les mêmes signes, les mêmes prodiges, le même Saint-Esprit, tout le même. Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. L’Auteur de la Bible, le Conducteur de l’Eglise, le Roi des saints, le Guérisseur des maladies; Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

23        «Vous serez Mes témoins», une expérience. Une fois, Dieu a fait une promesse. Et Dieu n’a jamais manqué de témoin dans ce monde. Il en arrive parfois à avoir juste un seul homme. Mais Il a toujours eu quelqu’un qui a eu une expérience. Quelqu’un qui savait de quoi il parlait.

24        Une fois, Dieu avait fait une promesse à Abraham, que sa postérité séjournerait dans un pays étranger et qu’elle serait maltraitée, mais qu’Il la ferait sortir par une main puissante. Et quand le jour, le temps de la promesse approcha, il s’éleva un pharaon qui ne connaissait pas Joseph. (Remarquez. Ceci est très beau.) Et un homme qui avait fui Dieu, du nom de Moïse, un vieil homme de quatre-vingts ans, habitait là derrière le désert, chez les Madianites. Il était en train de paître le troupeau de son beau-père, le troupeau de Jéthro, un matin, et Dieu attira son attention par un buisson ardent. Moïse se retourna.

            Tout ce qui paraît phénoménal à un croyant l’amène généralement à se retourner et l’amène à regarder cela. Un homme ordinaire passerait à côté et dirait: «C’est du non-sens, il a eu une illusion d’optique.» Mais Moïse se retourna pour voir pourquoi le buisson ne brûlait pas. Et quand il s’approcha du buisson, le Saint-Esprit était dans le buisson. Il a dit: «Ôte tes souliers, Moïse, le lieu sur lequel tu te tiens est saint.» Il a dit: «Je vais t’envoyer en Egypte libérer Mon peuple. Car J’ai entendu les gémissements... les maîtres de corvées et autres. Je suis descendu pour les délivrer.» Eh bien, regardez. «Je suis descendu pour les délivrer, mais Je t’envoie.»

25        Jésus-Christ est dans la salle ce soir pour accomplir des miracles, mais Il opère cela au travers de Son Eglise, Son peuple. «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. En Mon Nom, ils chasseront les esprits malins.» Est-ce vrai? La commission a été donnée à l’Eglise. C’est ça le problème de l’Eglise aujourd’hui. Elle–elle ne connaît pas sa position.

            Si vous connaissiez qui vous êtes, côté position, et ce que vous êtes ce soir, il n’y aurait pas une personne faible ici à l’intérieur dans les cinq prochaines minutes. C’est vrai. Le problème en est que vous vous attendez à ce que quelque chose arrive là dans le Millénium, alors que cela est déjà ici. «Nous sommes maintenant les fils de Dieu.» Pas que nous le serons, nous le sommes maintenant même. Quand? Cette nuit. Maintenant même, en cette minute-ci, nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ, maintenant. Oh ! Si seulement vous reconnaissiez cela ! Et l’autorité suprême que Jésus-Christ a donnée à chaque croyant. Tout ce que vous voulez, ce dont vous avez besoin, tout ce qu’il vous faut faire, c’est demander et de recevoir cela. «Tout ce que vous demanderez, en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir», Marc 11.24. Et c’est vrai. «Tout ce que vous demanderez, en priant, croyez que vous l’avez reçu. Et vous le verrez s’accomplir.»

26        Moïse, quand il s’est retourné, il a regardé le buisson. Dieu allait l’envoyer, mais avant que Moïse sache, il a dit: «Montre-moi Ta gloire.» Vous savez, parfois quand Dieu fait des choses, Il fait cela de façon très drôle, de manière bizarre, de façon particulière pour les gens de ce monde. Cela paraît comme de la folie à l’esprit charnel. La façon dont Dieu fait des choses si–si simple, cela confond simplement l’esprit charnel.

            Par exemple, la naissance virginale, et beaucoup de choses qui embrouillent complètement l’esprit charnel jusque là. Ils ne savent quoi penser à ce sujet. Mais Dieu le sait.

            C’est juste comme quand Jean-Baptiste est arrivé. Eh bien, l’Ecriture avait dit, lors de la présentation de Jésus, là à la rivière ce jour-là, que le... «Tous les lieux relevés seraient rabaissés et les vallées seraient relevées. Et les–les feuilles battaient toutes leurs mains, et les montagnes sautaient comme des petits agneaux.» Pensez-y donc. Et qu’était-ce? Un genre de prédicateur, un drôle homme de bois, au visage couvert de barbe, comme un ver pelucheux, drapé dans un grand morceau de peau de brebis, debout là sur le rivage boueux du Jourdain, en train de prêcher la repentance. Amen ! (Pas bien habillé, en soie, en satin et je ne sais quoi c’était.)

27        Et c’est là que Dieu a parlé du haut des cieux, et il a vu l’Esprit de Dieu venir comme une colombe, descendre sur un Homme qui était né dans une mangeoire. Voyez, ce que le monde appelle grand, Dieu l’appelle folie. Ce que le monde appelle folie, Dieu l’appelle grand. C’est vrai. Ne vous inquiétez donc pas de ce qu’on vous taxe de fou.

            En effet, souvenez-vous, vous ne pouvez pas avoir la pensée de Christ et la pensée du monde au même moment. Vous ne pouvez pas suivre votre voie et suivre la voie de Dieu au même moment. Vous devez sortir de votre propre voie pour permettre à Dieu de suivre Sa voie. C’est l’unique moyen pour vous d’arriver donc à faire quelque chose. Vous devez vous débarrasser de vos propres pensées, de vos propres raisonnements. N’essayez pas de raisonner; croyez simplement.

28        Et si Marie avait essayé de raisonner sur la nouvelle naissance, ou, pas la nouvelle naissance, mais la naissance virginale. Pardonnez-moi. Et si elle avait essayé de dire: «Maintenant, attendez une minute. Maintenant, regardez. Je ne connais pas d’homme. Il n’y a jamais eu quelqu’un comme cela. Comment aurais-je donc un enfant? Oh ! Vous ne pouvez pas me dire cela.» Elle n’a jamais attendu quoi que ce soit. Elle a juste pris Dieu au Mot et s’est mise à remercier Dieu pour l’Enfant. Avant qu’elle sentît quoi que ce soit de la vie, avant qu’elle sentît quoi que ce soit, avant qu’un signe lui soit donné, elle a juste pris l’Ange au Mot et s’en est allée en se réjouissant et louant Dieu, disant à tout le monde qu’elle allait avoir un Enfant sans avoir connu un homme. Que Dieu nous donne beaucoup d’autres Marie à Phoenix, ici, qui peuvent prendre Dieu au Mot et se mettre à se réjouir avant que quoi que ce soit arrive. C’est ce dont vous avez besoin. C’est tout. En effet, elle fut couverte de l’ombre par le Saint-Esprit. Et quand le Saint-Esprit couvre réellement quelqu’un de Son ombre, ce dernier prend Dieu au Mot. C’est réglé, ce que le Saint-Esprit a dit.

29        Remarquez, comment Moïse allait-il descendre en Egypte? Eh bien, il avait tué un homme là-bas et il avait été... Il avait fui là, et ça faisait quarante ans qu’il avait été absent de là. Et il était recherché là-bas comme un meurtrier. Comment cet homme pouvait-il y descendre?» Il a dit: «Montre-moi Ta gloire, Eternel.» Et l’Eternel lui a dit: «Mets tes mains dans ton sein. Fais-les sortir.» C’était couvert de lèpre. Il a dit: «Remets cela.» Il a fait sortir cela et cela était guéri; Il a accompli un signe avec une verge.

            Quand Dieu a montré à Moïse Sa gloire, Moïse était devenu témoin de la gloire de Dieu. Il était prêt à partir. Et quand Dieu montre... Observez ce que Sa gloire était. Sa gloire... L’une de Ses gloires, c’était la guérison divine. Et l’autre, c’était d’accomplir un miracle avec une verge. Et quand n’importe qui voit et sait qu’il est un témoin de la gloire de Dieu, il prend Dieu au Mot.

            Moïse a dit: «Je suis prêt à partir. Pouvez-vous vous imaginer ce vieil homme de quatre-vingts ans là, la barbe blanche descendant comme ceci, à quatre-vingts ans, appuyé sur un bâton, retournant à la maison en courant dire à Séphora: «Débarbouille très vite les enfants, nous descendons en Egypte.» Eh bien, je vois Séphora prendre les deux enfants et les laver, se mettre à califourchon sur un âne avec un enfant à chaque hanche, comme ceci. Moïse tenait une vieille verge en main, le mulet par le licou, comme ceci, la femme assise sur l’âne avec un enfant sur chaque hanche, en route vers l’Egypte pour faire l’invasion. Oh ! la la !

            «Où vas-tu, Moïse?»

            «Je descends faire l’invasion de l’Egypte.»

30        Oh ! la la ! La meilleure nation militaire du monde, qui avait conquis le monde entier à l’époque. Ce serait comme un petit homme ici à Phoenix qui va pour faire l’invasion de la Russie. Ce serait plus que cela, pire ! Ce vieil homme avait quatre-vingts ans, il avait une barbe blanche flottant au vent, il tirait un âne sur lequel était assise sa femme, il tenait une verge en main, allant d’un pas léger en Egypte pour faire l’invasion.

            «Comment sais-tu que tu vas faire l’invasion?»

            «Dieu l’a dit ! Je suis un témoin.» Ses yeux étincelaient, il avait eu cela. «Je connais Sa gloire. J’ai vu cela. Je suis Son témoin. Et je sais qu’Il peut faire cela. Il me l’a dit. Je descends donc faire l’invasion.» Et ce qui est beau là, c’est qu’il l’a fait. Amen ! Il l’a fait, car il était le témoin de Dieu (C’est vrai.), le témoin de Sa gloire.

            Il est descendu là, il paraissait ridicule. Quel esprit charnel ! J’aurais pensé... Je peux m’imaginer voir un de ces Madianites là derrière, et: «Regardez ce vieil homme. Il est un peu détraqué.» Mais il avait vu la gloire de Dieu. Il savait de quoi il parlait. Et chaque homme qui est témoin de Dieu ce soir qui a vu la gloire de Dieu, prend Dieu au Mot. Il descend faire l’invasion. Oui, oui, et il l’a fait.

31        Dieu donne toujours un témoin. Quand Elie fut enlevé, Elisée est revenu et il palpa ce vêtement sur ses épaules; il savait que c’était le vêtement d’Elie qui était sur lui. Il est descendu là à la rivière, il a ôté cela, il a frappé la rivière et a dit: «Où est le Dieu d’Elie?» Il était témoin de ce que la rivière pouvait s’ouvrir, parce qu’il avait vu cela se faire auparavant. Amen.

32        Nous sommes témoins ce soir de ce que Dieu fait marcher un boiteux, fait voir un aveugle, fait entendre un sourd, que les cancers disparaissent, que la puissance de Sa résurrection a été rendue manifeste. Vous êtes Ses témoins. Amen ! Ses témoins...

33        Une fois, les armées des Philistins avaient acculé les Israélites sur le rivage. Ils pensaient... Ces derniers s’étaient un peu éloignés de Dieu. Ils avaient là un roi rétrograde. Ils avaient commencé à enseigner et devenir formalistes, ils étaient dans le péché et tout. Alors, l’église s’est refroidie. Les jours de miracles étaient passés, pour eux. Il n’y avait pas un... Toute l’armée était acculée, un grand gaillard se tenait là-bas, du nom de Goliath et disait: «Que quelqu’un parmi vous s’avance me combattre.» Il savait qu’ils étaient tous refroidis, qu’il n’y avait pas de réveil en cours, pas de témoin pour Lui. Mais Dieu n’a jamais manqué de témoin.

            Là loin derrière le désert, Il avait un drôle de petit gars au teint rosé, là derrière. Il n’était pas très beau à voir, je m’imagine. Il s’est avancé vers le camp un jour, portant dans chaque main un gâteau de raisin à donner à ses frères. Ce vieux Goliath s’est vanté une fois de trop. Oui, oui. Il est sorti et s’est vanté. Et David a dit: «Voulez-vous me dire que vous allez laisser ce Philistin incirconcis se tenir là et insulter les armées du Dieu vivant?» Pourquoi? Ils étaient des érudits et des instruits, mais Il n’avait pas un... il n’y avait pas de témoin. David a dit: «Je suis Son témoin.»

34        Il est allé là auprès de Saül, et on l’a amené auprès de lui et il a dit... Saül a dit: «Je vais te dire quoi faire.» Il l’a tout recouvert de cette grande armure imposante, comme cela, lui mettant les D.D.L.D. (Lat-... Docteur–Latin), un diplôme par derrière et tout, sur lui. Il a fini par découvrir... David a dit: «Débarrassez-moi de cela. Je–je–je ne sais rien de cette chose.» Il a fini par découvrir que sa veste ecclésiastique ne convenait pas à un homme de Dieu. Et cela ne convient toujours pas. C’est vrai. C’est vrai. Cela ne convient jamais à un homme de Dieu, qui a eu une expérience. Il ne se soucie pas de votre doctorat en théologie, le doctorat en droit. Qu’est-ce que cela change? Il a dit: «Cette histoire n’a pas convenu. Ôtez ça. Je n’ai jamais expérimenté cela, je ne sais rien à ce sujet.» Je ne connais pas votre doctorat en droit et votre doctorat en théologie, et tous les doctorats, et je ne sais comment vous voulez appeler cela, je n’en sais rien. Il a dit: «Laissez-moi aller avec ce que je sais.» Amen. C’est ce que nous savons ce soir. Vous n’avez pas à avoir une très grande instruction, connaître beaucoup de choses. Tout ce qu’il vous faut connaître, c’est la puissance de la résurrection de Jésus-Christ. Laissez-moi aller avec cela. Cela m’a sauvé du péché. Cela me guérira de la maladie. C’est tout ce que vous avez à savoir: Le connaître dans la puissance de Sa résurrection. Etre Son témoin. Oui, oui.

            Il a dit: «Laissez-moi aller.» Alors, on lui a retiré ce vieux doctorat en théologie, on a remis cela au séminaire, il a ramassé sa fronde, ce qu’il avait expérimenté de la part de Dieu. Il s’est avancé là, il a traversé une petite rivière, il a ramassé cinq pierres dans une main. Il a enveloppé sa drôle de petite fronde dans ces cinq doigts, ici, il y a fait entrer une pierre. Et le voici venir. Goliath s’est moqué de lui, il a dit: «Suis-je un chien?»

            Il lui a répondu: «Tu viens à ma rencontre en tant que Philistin, avec une armure et une lance. Mais je viens à ta rencontre au Nom de l’Eternel Dieu d’Israël.» Il savait où il se tenait. Il savait comment l’affronter.

35        Aujourd’hui, chaque homme sait qu’il peut prendre le Nom de Jésus-Christ et rencontrer un ennemi n’importe où, n’importe quand, et il sera vaincu. J’ai affronté des sorciers. J’ai affronté des démons de toutes sortes et je ne les ai jamais vus, à aucun moment, manquer de s’incliner devant le Nom de Jésus-Christ. Je vous assure, amis, quand l’Eglise avait perdu le Nom et la puissance du Nom de Jésus-Christ, ils avaient perdu cela. Quand ils sont descendus... Quand Moïse est descendu en Egypte, si jamais on pouvait lui arracher cette verge de sa main, on l’aurait vaincu. Mais c’était dans cette verge-là que résidait la puissance. Si jamais on arrachait cette verge de sa main, on l’aurait vaincu. Rappelez-vous, c’était la verge qui frappa le rocher. C’était la verge qu’il élevait en l’air. C’était la verge qu’il avait tenue au-dessus des eaux. C’était la verge du jugement de Dieu. Et ce que–ce que la verge représentait dans la main de Moïse, c’est ce que le Nom de Jésus-Christ représente pour l’Eglise née de nouveau. Amen. Ôtez cela de là, et ça en est fini. Oui, oui.

            Oh ! Ce Nom-là, prends le Nom de Jésus avec toi, enfant de tristesse et de chagrin. Quand les tentations t’environnent, murmure ce Saint Nom dans la prière. Observe les démons se disperser. Oui, oui. Le Nom de Jésus-Christ...

            David a dit: «Tu viens à ma rencontre en tant que Philistin, avec une armure et une lance, mais je viens à ta rencontre au Nom de l’Eternel Dieu d’Israël.» Voyez. Il avait cinq pierres. Il avait cinq doigts, la fronde enveloppée dans: J-E-S-U-S, F-A-I-T-H [la foi], la foi en Jésus. Le voici s’avancer. Quelque chose doit arriver. Je vous assure, quand il a lâché cette pierre-là, l’Esprit de Dieu s’est emparé de cette pierre et a terrassé Goliath. Il l’a décapité, alors tous les autres s’étaient affaiblis. Et les armées d’Israël ont pris courage et ils ont exterminé les Philistins jusqu’aux murailles. C’est ce qu’il faut ce soir: «Quelqu’un qui a une expérience pour se lever et manifester la puissance de résurrection de Jésus-Christ. Les autres prendront courage et viendront. Certains parmi vous sur des civières, dans des fauteuils roulants, essayez cela une fois et observez le groupe vous suivre. Prenez courage. Allez de l’avant.

36        Une fois, un drôle de petit homme qui n’avait pourtant pas une grande expérience; il savait bien qu’il était un Israélite. Son nom était Schamgar. On le voit dans le Livre des Juges. On connaît très peu à son sujet, avec un tout petit–tout petit verset comme cela. Et les Philistins... C’était un temps où chaque homme faisait ce qu’il voulait; c’est à peu près ainsi avec les églises aujourd’hui. Chaque homme fait ce qu’il veut. Alors, les Philistins venaient s’emparer de ce qu’ils avaient et retournaient.

            Le petit Schamgar avait peut-être cultivé de bons produits de champs cette année-là, et l’année précédente, les Philistins étaient venus directement s’en emparer.

            Je peux m’imaginer, voir là, il avait terminé toute sa récolte, il avait tout arrangé dans sa grange. Il se tenait là dans la grange un jour en train de regarder. Il a dit: «Eh bien, je suppose que peut-être maintenant nous avons fait rentrer nos produits de champ; nous avons travaillé dur tout l’été.» Sa femme et ses enfants se tenaient là. Il a dit: «Eh bien, peut-être que nous pouvons manger cet hiver. Qu’est-ce qui arrive là?» Il écoute, ça arrive sur la route. «Qu’est-ce?» Tromp, tromp, tromp, tromp, six cents Philistins, hommes armés, arrivaient. «Oh ! la la ! C’est de nouveau là. Tout ce que nous pouvons faire, c’est reculer et les laisser prendre encore ça.»

37        C’est ainsi que le diable s’y prendra. Il vous laissera construire un tout petit peu quelque chose, puis il vient et vous désarçonne. La raison, c’est que vous le laissez faire. C’est tout. Il est juste un bluffeur. Il n’a pas un droit légal. C’est vrai.

            Si vous avez eu avec Dieu une expérience, de la résurrection de Jésus-Christ, Il a dépouillé Satan de chaque privilège qu’il avait, Il lui a tout arraché, Il lui a enlevé cela. Oui, oui. Il l’a privé, Il l’a dépouillé et Il a confié la puissance à l’Eglise. «Maintenant, allez faire les mêmes oeuvres que J’avais faite.» C’est vrai. Il a arraché l’épée de la main de Satan et Il l’a placée dans votre main. Amen.

38        Oh ! la la ! Je me sens religieux maintenant même. Vraiment. Regardez. Vous connaissez la chose... Schamgar a regardé là par terre et il a vu ça. Il s’est dit: «Oh ! Si j’étais un soldat maintenant, peut-être, peut-être que je pourrais combattre, mais je ne suis pas un soldat. Je suis un cultivateur. Je ne peux pas... Et je n’ai pas d’épée. Que puis-je donc faire?» Il a regardé tout autour et il a dit: «Eh bien, chérie...» Sa pauvre petite femme levait les mains comme ceci pour pleurer, ses coudes étaient tout ressortis. Il a regardé ses petits enfants au visage pâle en train de pleurer de ce qu’ils crèveraient de faim cet hiver-là.

            C’est ce qui se passe. Chaque fois que vous avez une bonne réunion qui a commencé quelque part, un vieil hypocrite entrera et dira: «Les jours des miracles sont passés; vous feriez tout aussi mieux d’arrêter ça.» Car... C’est le diable. C’est exact. Juste au moment où vous obtenez que l’église évolue bien, quelqu’un s’y infiltre et dit: «Maintenant, tout cela est juste de l’enthousiasme. Ce n’est que de l’émotion. C’est du fanatisme.» Cela... c’est ainsi qu’ils s’y prennent, ces mêmes dérobeurs, ces vieux Philistins, ils reviennent carrément. C’est tout à fait vrai.

            Le petit Schamgar a regardé. Et vous savez quoi? Je vous dis ceci, à vous les gens de la sainteté. Son indignation de juste a été suscitée. Vous savez ce que je veux dire; oui.

            Vous savez, j’ai vu un petit écriteau, une fois. J’entrais dans un stade de football pour tenir une réunion. Il y avait un petit écriteau au-dessus de la porte, il y était mentionné: «Ce n’est pas la taille du chien qui compte dans le combat; c’est la combativité dans le chien qui compte.» C’est vrai. Frère, si vous laissez le diable vous marcher dessus, il vous montrera juste ce qu’est sa taille. Mais prenez un peu courage, réclamez vos privilèges donnés par Dieu en Jésus-Christ, et vous vous réjouirez. C’est vrai. Oui, oui.

39        Le vieux Schamgar se tenait là, et son indignation de juste a été suscitée; et ils étaient là: Tromp, tromp, une grande et lourde armure. Qu’a-t-il fait? Il a dit: «Je suis un–je suis un Israélite. Je suis... J’ai été circoncis. (En d’autres termes, il avait reçu le Saint-Esprit.) Je ne suis pas un guerrier. Je ne suis pas un combattant. Il n’y a rien que je puisse faire. Je sais seulement une seule chose, c’est que Dieu est avec moi. C’est tout ce que je sais.» Et il a tendu la main sur le chambranle de la cheminée, il a pris un vieil aiguillon à boeufs, un drôle de petit morceau de bois avec une pièce en airain au bout, avec lequel on enlève des mottes de labour ou on oriente le veau vers la porte en le tapant. Il est sorti d’un bond, sous la puissance du Saint-Esprit, sachant qu’il savait avoir le droit, et il a tué six cents Philistins. Alléluia !

            C’est vrai, frère. Il était un témoin de Dieu. Si Dieu avait conduit Moïse, si Dieu avait conduit les autres, lui était un Israélite au même titre que les autres. C’est vrai. Et, monsieur, vous assis dans le fauteuil roulant, vous sur la civière, vous ici, où là derrière où vous êtes, si vous êtes né de l’Esprit de Dieu, vous avez le même droit de vous lever de ce fauteuil et de ce fauteuil roulant ce soir, que n’importe quel autre homme. Vous êtes né de nouveau. Ayez un peu de courage. Levez-vous. Et Jésus-Christ est ici dans Sa Parole, manifestant ce qu’Il est, accomplissant des signes, des prodiges et des miracles de Sa résurrection. Que cherchons-nous de plus? Amen !

            Oh ! Je l’aime. Ne pensez pas que je suis excité; je ne le suis pas. Je sais exactement où je suis. Oui, oui. Je me sens vraiment bien. Remarquez, il était là, il a tué ces Philistins. Certainement, il savait où il se tenait. Il savait tout à ce sujet-là. Il savait ce qu’il–il savait ce qu’il pouvait faire. Il savait ce que Dieu avait promis. Ainsi donc, il n’avait pas peur.

40        Josué n’avait guère peur, quand il traversa la rivière là et qu’il vit Dieu séparer la rivière. Il avait été témoin de ce que Dieu pouvait séparer la rivière. Et Dieu dit: «Marche autour de cette muraille-là. Le septième jour, qu’on lâche un cri fort, qu’on fasse retentir les trompettes et les portails vont s’écrouler.» Eh bien, juste... Josué n’était–n’était pas effrayé, car il était témoin de Dieu. Il avait vu la rivière être séparée auparavant, il savait ce que Dieu pouvait faire. Il a donc simplement contourné à la marche et... Les murailles ne s’étaient jamais écroulées comme cela auparavant. Cela ne change rien, que cela se fût écroulé ou pas. Il était témoin de ce que Dieu pouvait tenir sa Parole. Amen !

41        Comment... Vous tous qui avez le Saint-Esprit, dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Très bien. Vous êtes témoins de ce que Dieu tiendra Sa Parole. Est-ce vrai? Eh bien, s’Il tient Sa Parole, là, pourquoi ne tient-Il pas Sa Parole pour la guérison? Il guérira si vous croyez cela. Amen ! Recevez cela, croyez cela. Soyez Son témoin. C’est ce qu’Il veut. Un témoin appelé de Dieu, il doit avoir une expérience. L’expérience de la Parole. Oui, oui.

42        Que des fois... Je pensais à Lazare après qu’il s’était levé, qu’il était ressuscité d’entre les morts. Ils sont allés à un banquet. Et on dit que la plus grande partie des gens ne cherchaient pas Jésus, ils voulaient parler à Lazare; car il avait été un témoin de ce que vous pouvez ressusciter d’entre les morts, que Jésus ressuscitait d’entre les morts.

            Et ce soir, je déclare dans cette salle, qu’il y a au moins mille personnes assises ici, ou plus, qui sont témoins de ce que Jésus-Christ ressuscitait d’entre les morts. Alléluia ! Oui, oui. Les gens voulaient le voir, parce qu’il avait été témoin de Dieu, de ce que Jésus-Christ pouvait ressusciter d’entre les morts. Et ce soir, je suis témoin et vous êtes témoins. Et Dieu accomplit des signes et des prodiges qui montrent qu’Il a ressuscité Jésus-Christ d’entre les morts. Amen. Comment le sais-je? Il vit dans mon coeur. Comment le sais-je? Il a accompli des signes et des prodiges devant les gens. Comment le sais-je? Il m’a retiré de la vie du péché et Il m’a donné la vie de Christ, en moi. Et je sais qu’Il ressuscitait d’entre les morts. Je suis un témoin.

43        Qu’en est-il de l’aveugle de cette fois-là, qui était né aveugle. Jésus s’est avancé et Il lui a restitué la vue. Eh bien, Il était un témoin devant ces pharisiens. Ils lui ont dit: «Donne gloire à Dieu. Nous savons que cet Homme est un pécheur.» Il a dit: «S’Il est un pécheur, je ne sais; mais je sais cette seule chose, c’est que j’étais aveugle et que maintenant je vois.» Amen. Il était témoin de ce que Jésus pouvait restituer la vue aux yeux aveugles.

            Et on réprimanda sa mère et son père à ce sujet. Pourquoi? Ils n’avaient pas eu d’expérience. Cet homme avait eu une expérience, le témoignage de la nouvelle vue. Et chaque homme qui est né de l’Esprit de Dieu peut témoigner de la nouvelle vue, de la nouvelle Vie, de la nouvelle puissance. Alléluia ! Et ceux qui ne savent rien à ce sujet restent comme une verrue sur un cornichon, car ils n’en savent rien. Ils sont parfaitement...?... Alléluia ! Oui, oui.

            Il est ressuscité d’entre les morts. Il vit ce soir. Il règne ce soir de façon suprême dans chaque coeur, en chaque endroit. Alléluia ! «Nous sommes maintenant fils de Dieu, assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ.»

44                    Oh ! Je désire Le voir, contempler Sa face,
Vivre là, chanter toujours Sa grâce qui sauve;
Dans les rues de Gloire, élever ma voix;
Les soucis sont tous passés,
Je suis enfin à la maison,
Pour m’y réjouir à jamais. (Amen ! C’est ça.)

Grâce étonnante ! Ô quel doux son,
Qui sauva un vil comme moi !
Autrefois j’étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé.
J’étais aveugle, mais maintenant je vois.

Dans beaucoup de dangers, épreuves et pièges,
Par où je suis déjà passé;
C’était la grâce qui m’a gardé sain et sauf jusque là,
Cette grâce m’amènera jusqu’au bout.

            Amen ! Oh ! Combien je L’aime ! Combien vous L’aimez ! Oh ! Ses bénédictions sont ici, apaisant les gens. Il fait se mouvoir Son glorieux Esprit, Il se fraye un chemin dans les coeurs des gens, les adoucissant ensemble, et disant: «Maintenant, ayez foi et vous verrez la gloire de Dieu.» Il a dit: «Et Moi, quand J’aurai été élevé de la terre, J’attirerai tous les hommes à Moi.»

45        Tenez, il y a quelque temps, j’étais à Anderson, dans l’Indiana, observant ces grandes plaques. Quelqu’un m’avait amené là visiter cette grande aciérie là-bas, au nord de Hammond. Et je regardais. Et ils faisaient des travaux de scierie et ils travaillaient comme cela. Et alors, un coup de sifflet a retenti et chaque homme s’est arrêté. Il a déposé son tablier, comme cela, il a balayé les copeaux, les amenant dans l’allée centrale. L’homme a dit: «Regardez, je vais vous montrer quelque chose.»

            J’ai dit: «D’accord.» Quelques instants après que le coup de sifflet eut encore retenti, ils étaient tous sortis. Il a appuyé sur un bouton, et j’ai entendu quelque chose se mettre en mouvement. J’ai dit: «Pourquoi balaient-ils tous ces copeaux-là?»

            Il m’a dit: «Regardez, je vais vous le montrer.» (Les copeaux se détachant du métal.) Et alors, il a appuyé sur un bouton, j’ai entendu quelque chose venir là à distance, rugissant.

            J’ai dit: «Qu’est-ce?»

            Il a dit: «Attendez simplement.»

46        Et il y avait une voie ferrée qui parcourait cette allée-là. Et aussitôt, un très grand aimant est descendu. Il s’est suspendu au-dessus de ces copeaux à cette hauteur-ci, à peu près. Et ils ne faisaient que sauter directement, ces copeaux, s’attachaient, ils étaient déversés dans le cubilot où ils étaient désaimantés et ils tombaient dans le cubilot une fois de plus pour être moulus et recyclés. Il a dit: «Voyez-vous comment nous nous y prenons?»

            J’ai dit: «Gloire au Seigneur !»

            Il a dit: «Dites donc, qu’est-ce qui vous prend, frère?»

            J’ai dit: «Quelque chose s’est passé.»

            Il a dit: «Absolument.»

            J’ai dit: «Ça y est.» J’ai dit: «Je pense aujourd’hui, alors que je me tiens ici, à un grand Aimant là au Ciel.» C’est exact. Oh ! la la ! J’ai demandé: «Qu’est-ce qui fait que certains de ces copeaux montent et d’autres ne sont pas montés?»

            Il a dit: «Certains d’entre eux sont en aluminium. Ils ne sont pas aimantés.»

            J’ai dit: «Alléluia !» J’ai dit: «Qu’est-il arrivé à ce morceau de fer qui n’est pas monté?»

            Il a dit: «Vous voyez, il est fixé par un boulon.»

            J’ai dit: «Alléluia !»

            Il a dit: «Que vous arrive-t-il?»

            J’ai dit: «Il n’y a que ceux qui sont aimantés par Sa naissance et la puissance de Sa résurrection qui iront à Sa rencontre dans les airs.»

            Et l’un de ces jours, soyez aimantés comme Ses témoins, de la puissance de la résurrection. Quand ces pauvres corps mortels seront déversés dans le cubilot de la Parole de Dieu et modelés, de mortel à l’immortel, nous aurons alors un corps semblable à Son propre corps glorieux et nous Le verrons tel qu’Il est. Pourquoi? En tant que témoin aimanté avec la résurrection. Quand Jésus-Christ, le Fils ressuscité de Dieu met la Vie de la résurrection dans un homme, celui-ci devient un témoin de la résurrection. Prions.

47        Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir pour Ta grâce magnifique qui nous a été accordée, à nous les copeaux indignes de la terre, détachés de la famille humaine. Mais, ô Dieu, je suis si reconnaissant de ce qu’aussitôt que le premier coup de sifflet a retenti, nous nous sommes rassemblés maintenant pour l’Enlèvement. L’un de ces glorieux jours, nous Le verrons, Lui qui nous accorde cette bénédiction et qui a aimanté nos âmes par rapport à Lui. Nous Te rendons grâce de ce qu’on est témoin de la résurrection du Seigneur Jésus, que Tu as ressuscité d’entre les morts, qui a été vu pendant quarante jours et quarante nuits et qui est monté aux cieux. Et plusieurs saints sont allés avec Lui, pour rester avec Lui dans la Gloire. Et un glorieux jour, ils reviendront, ramenant avec Lui les rachetés de tous les âges. Oh ! Pour ce jour-là, Seigneur, aide-nous à être prêts.

            Et pendant que la nuit devient plus sombre et que des ténèbres épaisses couvrent la terre, puissions-nous laisser notre Lumière briller. Et je Te prie, Père, d’illuminer de nouveau chaque âme ici ce soir. Et que la puissance glorieuse de la résurrection brille maintenant dans cette assistance ce soir. Oh ! Comme Tu T’es humilié, Tu es descendu, Tu T’es humilié Toi-même, Tu T’es revêtu de la forme de l’homme pécheur, Tu as été fait chair, et Tu as habité parmi nous; et les gens T’ont contemplé, le Fils unique du Père. De penser combien Il nous a aimés, en ce qu’Il a donné Sa Vie pour nous, Il s’est humilié, afin que par Son humiliation nous soyons rapprochés de Dieu. Par Sa pauvreté, nous avons été rendus riches.

            Et nous sommes reconnaissants de ce qu’Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez même de plus grandes, car Je m’en vais au Père.» Et, ô Seigneur, je Te prie ce soir de manifester Ta puissance, non pas que Tu sois obligé, mais afin que Ta Parole soit accomplie. Car il est écrit que Tu es venu, que Tu avais accompli ces oeuvres, afin que soit accompli ce qui avait été dit par les prophètes.

            Maintenant, Seigneur, que les signes du Messie apparaissent ici ce soir afin que soit accompli ce qui a été dit par Jésus le Seigneur: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

48        D’accord. J’ai confiance que Dieu vous bénira et vous aidera, qu’Il vous fera savoir cela au fonds du coeur humain, qu’il y a un désir d’être–d’être près de Dieu. Dans le mien aussi. Et maintenant, s’il y avait quelque chose que je pouvais faire pour vous aider, amis chrétiens, (Oh !) j’aimerais le faire. Tout ce que je peux vous déclarer, c’est que ceci maintenant (juste avant que nous appelions les gens à l’estrade pour la prière)... Je déclare fermement que Jésus-Christ n’est pas mort. Il est vivant aux siècles des siècles.

            S’Il était dans la tombe et que Son corps avait été volé, alors la version juive est vraie. S’Il ne tient pas Sa Parole, la version juive est vraie. La religion islamique est tout aussi valable que la nôtre. Le bouddhisme et toutes les autres religions, sont aussi valables que la nôtre. Mais grâces soient rendues à Dieu de ce qu’en cette heure sombre nous avons la preuve de Sa résurrection.

49        Jésus, quand Il était ici sur terre, Il a dit... Nous avons vu quel genre de Personne Il était. Il n’était pas un homme de... Il était un fameux orateur, mais pas un érudit. Il parlait un langage ordinaire. Il s’habillait comme un homme ordinaire. Il ne s’habillait pas comme les sacrificateurs ou des religieux de l’époque. Il s’habillait juste comme un homme ordinaire. Les gens n’arrivaient pas à Le distinguer de quelqu’un d’autre. Il passait simplement dans la foule. Il avait une barbe et tout, juste peut-être comme les autres, à ce que nous sachions. Et aucun–aucun passage de l’Ecriture ne dit qu’Il s’habillait différemment... Deux jeunes dames, je pense, Lui avaient confectionné une robe une fois, sans couture d’un bout à l’autre. Il vivait avec ça, Il dormait avec, Il est mort avec ça. Eh bien, nous allons... Et les soldats ont tiré au sort pour avoir cela, à la croix. Mais quand Il était ici sur terre, Il était un Homme de douleur, habitué à la souffrance. Il avait trop de gens... différents traits de caractère en Lui, au point que personne ne pouvait donc peindre Son tableau correctement, je suppose.

50        Je pense... Je dis ceci avec, humblement avec la grâce dans mon coeur à votre égard, d’après des visions que j’ai eues de Lui à deux reprises. J’espère Le revoir avant de mourir. Et deux fois, avec un décalage de deux ans... Il n’y a aucun artiste qui puisse Le représenter dans un tableau, Son caractère; Il était un Homme, on dirait, s’Il parlait, le monde éclaterait en deux, et pourtant Il était si humble en Le regardant, qu’on peut pleurer en Le voyant. Voyez? Je ne pense donc pas qu’un artiste pouvait saisir cela. Mais de toute façon, nous L’aimons. Et Il nous aime. Et le tout... Tout Son être, c’est l’amour. Et quand Il était ici sur terre, Il était un parfait Serviteur obéissant. Il a été obéissant même jusqu’à la mort à cause de Son amour. Il était le Père de l’humanité, comment pouvait-Il faire autre chose que les aimer et mourir pour eux, étant le Père de l’humanité?

51        Nous L’avons donc vu. Quand Il était ici sur terre, Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres. C’est Mon Père qui demeure en Moi, c’est Lui qui fait les oeuvres. Je ne fais rien de moi-même.» Saint Jean 9... 5.19, Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père. Tout ce que le Père est... Me montre, Je vais le faire. Le Père agit jusqu’à présent, Moi aussi.» Par conséquent, Il n’a personnellement guéri personne. Il a dit qu’Il ne faisait que ce que Le Père Lui montrait en vision de faire. Et Il a dit... Eh bien, autre chose. Il était un grand Lecteur des pensées, pas le genre de lecteurs des pensées qu’on a là dans la rue, comme je le disais auparavant. Ça, c’est l’oeuvre du diable.

            Et au fait, il se fait que l’un d’eux est assis ici présentement ce soir. Mais en fait, un lecteur de pensées... Comme Jésus, Il connaissait leurs pensées. Et Il savait ce que l’assistance était. Une femme Le toucha une fois par la foi. Il n’avait point senti cela. Mais Il s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?» Est-ce vrai? Il a promené Son regard sur l’assistance jusqu’à voir qui L’avait touché. Il a dit: «Ta foi t’a guérie.» Voyez? Est-ce vrai? Or, toutes ces oeuvres qu’Il a faites, Il a dit: «Vous les ferez aussi.» Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez...» Qui sont ce vous? «Vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. Si ce n’est pas là une prédication claire de l’Evangile, je ne sais pas ce que c’est.

            Maintenant, s’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il vit en nous ce soir, les mêmes oeuvres qui L’ont confirmé confirmeront Son Eglise. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. (Est-ce vrai?)...?... confirmer Son Eglise.

52        Puisse-t-Il venir ce soir avec Ses grandes bénédictions, Sa Présence, et qu’Il vous bénisse tous. Et que l’Ange de Dieu dont la photo a été prise ici, sur ceci, vienne. A mon avis (C’est juste mon avis, qui peut être faux), Il ne me l’a jamais dit; mais c’est cette même Lumière qui est venue au-dessus du berceau, ma mère m’en a parlé alors que je n’avais fait qu’environ trois minutes dans le monde. Et la première chose dont je peux jamais me souvenir dans la vie, c’était une vision. Cela a été toute ma vie. Et cela ne m’a jamais dit une seule fois, une seule chose qui n’ait pas été parfaitement la vérité. Et c’est... C’est Dieu. Vous voyez, ce n’est pas moi; c’est Lui. Et cela, juste parce que cette photo-là est là, là où j’étais. Et, en effet, cela... Voyez, vous et moi, nous sommes frères et soeurs. Cela est avec nous tous. Cela est ici même ce soir. Je vois Cela au-dessus de vous tous souvent. Voyez? C’est vrai. Et Cela est là pour vous bénir et pour vous aider.

            A mon avis, la même Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël, tout érudit de la Bible ici présent sait que C’était l’Ange de l’alliance, qui était Christ. C’est vrai. Et Il a été fait chair et Il a habité parmi nous, Il a dit: «Je viens de Dieu, Je rentre à Dieu.» Est-ce vrai? «Je rentre à Dieu.»

53        Observez le chrétien du Nouveau Testament, comment il a vécu. Paul: des visions. Il s’engageait dans une direction, il s’est retrouvé en difficulté, une vision a dit: «Va à Macédoine.» Il avait fait quatorze jours et quatorze nuits sur la mer, sans lune, sans étoiles, il n’y avait donc pas d’espoir d’être sauvé, et l’Ange du Seigneur est venu vers lui et a dit: «Paul, n’aie pas peur. Tu dois comparaître devant César.» Oh ! Comme le petit Paul, alors que le navire tanguait toujours, était plein d’eau et tout, Paul a secoué ses petites mains, comme ceci, et s’est écrié: «Ayez bon courage. Car l’Ange de Dieu s’est tenu à mes côtés cette nuit et m’a parlé. Par conséquent, je crois en Dieu, messieurs. Il en sera exactement tel qu’Il me l’a montré.» Voyez? Le même Jésus-Christ aujourd’hui.

            Pendant que Paul prêchait, en regardant quelqu’un, il a dit: «Je vois que tu as la foi pour être guéri.» Pierre... Ananias et Saphira sont arrivés avec un gros mensonge tout monté. Pierre, ayant le Saint-Esprit sur lui, leur a réprimandé leur péché et leur a dit ce qu’ils avaient fait. Vous voyez ceci, pratiquement la même chose, soirée après soirée, le Saint-Esprit révélant et accomplissant.

54        Oh ! N’êtes-vous pas heureux? Eh bien, nous devrions être les gens les plus heureux du monde, du fait que nous sommes des chrétiens, nous vivons en ce jour-ci, ami. Ne cherchez rien de plus grand. Vous ne pouvez pas avoir plus grand que le Saint-Esprit. Vous avez Cela maintenant même. Aimez Cela et embrassez-Le. Et–et laissez Cela–laissez Cela agir pour vous et vous aider. Eh bien, tout le monde, le peu de foi que vous avez ce soir, déployez cela. Laissez Dieu disposer de vous à Sa manière. Et Dieu l’accordera.

            Maintenant, si j’ai témoigné la vérité sur la résurrection de Jésus-Christ, Il témoignera de moi si je... que j’ai dit la vérité. Donc, s’Il témoigne que j’ai dit la vérité, alors chacun de vous devrait croire en Lui. Maintenant, rappelez-vous. Voici mes paroles à votre intention: C’est que chaque personne... chaque pécheur ici présent est déjà sauvé. Il a été sauvé il y a mille neuf cents ans. Mais cela ne vous fera jamais du bien si vous ne l’acceptez pas. Et chaque malade, chaque personne affligée ici présente, le Sang de Jésus-Christ est au Calvaire, maintenant même. Vous avez été guéri il y a mille neuf cents ans. Cela ne vous fera aucun bien si vous ne l’acceptez pas. Acceptez simplement cela, croyez-le et vous serez guéri. Que le Seigneur vous bénisse. [Frère Branham parle à quelqu’un au sujet des cartes de prière.–N.D.E.] Quel est le...?...

55        C’est la carte de prière N qui a été distribuée. Prenons les quinze dernières d’entre elles, de 85 à 100. Où est le... Voyons si nous pouvons en prendre quinze ce soir, si nous le pouvons. Qui a 85, la carte de prière N-85? N-85, est-ce cette dame-ci? Très bien. Venez ici. N-85, 86, N-86, qui a cette carte de prière-là? Levez la main. Que quelqu’un regarde la carte de prière d’un autre. Il se peut que ça soit un sourd ou un muet. Ou, il ne peut pas se lever du fauteuil, ou l’une ou l’autre chose. N-86, voudriez-vous lever la main, tout celui qui a cette carte de prière-là? Regardez la carte de votre voisin, s’il vous plaît, amis. C’est une petite carte bleue. Retournez-la directement, elle porte un–elle porte votre nom d’un côté, et de l’autre côté, il y a un–un numéro, une lettre N. N-86? Très bien. Descendez voir quelques-uns parmi ces gens assis dans des fauteuils roulants. Voyez, ils peuvent, ils peuvent avoir cela. N-86? 85 est déjà dans la ligne. 86? 87, qui a N-87? Vous avez 87, soeur? Venez ici. 88? Qui a N-88? 89? Maintenant, est-ce 89? 90? 91? N-91? Est-ce ça? 92, 92 qui a 92? N-92? 93? Très bien. Qui a 93? 93? 94? N-94? 95? 96? N-96, quelqu’un? 97? Très bien. 98? 99? 100. Très bien, magnifique.

56        Maintenant, nous allons essayer cela et voir quand... Très bien, je crois qu’il y en a eu un qui a manqué là. Vérifiez et voyez qui manquait; voyons lequel. Nous essayons généralement de prendre autant... Vous voyez, parfois les gens disent, ils m’écrivent, une carte, et disent: «Frère Branham, vous aviez appelé cela, et je cherchais quelqu’un pour m’amener là et personne ne m’y a amené.» Et alors, ils ont des regrets à ce sujet. Peut-être que c’était un sourd, il était assis là, il n’a pas pu entendre, alors on est simplement passé. Et il regrette à ce sujet, alors que sa carte de prière a été appelée. C’est la raison pour laquelle quand je... Nous appelons les ratées, nous les appelons, nous aimerions avoir autant que possible des réponses à cela.

            Or, il ne vous faut pas avoir une carte de prière pour être guérie. Une carte de prière n’a rien à faire avec votre guérison. La carte de prière, c’est simplement pour vous garder en ligne ici.

57        Maintenant, s’il vous plaît, soeur, pendant que nous nous détendons maintenant, soyons tous respectueux. Combien croient que Jésus est ressuscité d’entre les morts? Il est un Dieu vivant ce soir. Merci. Amen. C’est vrai.

            Je me disais que c’était peut-être ce petit garçon qui manquait, là dans la ligne de prière...?...

            Maintenant, chantons tous doucement ce cantique maintenant. Maintenant, voyez, pas: «Je croirai»; pas: «Crois seulement», mais: «Je reçois maintenant, maintenant»; maintenant. Pas: «Maintenant, je crois», «maintenant, je reçois.» Je reçois maintenant par la foi Jésus-Christ dans mon coeur. Pouvons-nous chanter cela: «Maintenant je reçois»? D’accord, essayons cela, s’il vous plaît.

Maintenant je reçois, maintenant je reçois,
Tout est...Je re-...

            Est-ce l’unique qui manque? Eh bien, où est l’autre?

Tout est possible, Maintenant, je reçois.

            Maintenant, il manque un... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Quelle carte de prière? Nonante combien? 86, la carte de prière 86. Quelqu’un l’a-t-il déjà trouvée? La carte de prière 86; il est peut-être simplement sorti. Eh bien, c’est en ordre. O.K.

            Maintenant, ça va. Maintenant, que le Seigneur vous bénisse vous tous et vous aide. Puissiez-vous prier pour moi. Et je suis sûr que vous comprenez la position dans laquelle je me trouve en ce moment-ci, en me tenant ici pour représenter Jésus-Christ par la puissance de Sa résurrection, d’une façon dont cela ne s’est jamais manifesté depuis le siècle primitif.

            Et évidemment, il n’y a pas tout un mur de foi ici ce soir. Et si je vous demande donc d’incliner la tête, n’ayez pas de ressentiment là-dessus. En effet, il y en a beaucoup qui pensent en fait qu’ils croient, mais au fin fonds du subconscient, il y a un petit quelque chose là qui dit: «Non.» Et vous pouvez ressentir cela. Parfois donc, je dois amener les gens à incliner la tête, car l’oeil est la porte de l’âme. Ils regardent pour voir ce qu’ils peuvent voir. Voyez? Et parfois, on doit le leur demander. Vous n’allez pas mal penser à ce sujet, n’est-ce pas? Et priez pour moi maintenant.

            Et maintenant, je vais vous dire: «Bonne nuit.» Et avant... Si le Seigneur vient m’oindre, alors je vais probablement, le temps que je termine cette ligne de prière, ou peut-être un peu plus, eh bien, je ne pourrais pas–je ne pourrais pas savoir exactement ce qui est arrivé. Alors, j’aimerais dire: «Vous êtes des gens très gentils.» Et j’aimerais remercier les gens pour cet auditorium. Et que Dieu soit avec vous, tout le monde, les concierges, les huissiers, tout. J’espère vous voir demain, dans l’autre bâtiment, Dieu voulant.

58        Maintenant, priez pour moi. Et, naturellement, je dois attendre quelques instants pour voir si le Saint-Esprit va venir. Je suis juste comme les autres hommes. Et ça doit être un don divin. Et je dois attendre cela. Vous savez que je fais passer le temps pour quelque chose. Et c’est pour cela que je ferais tout aussi mieux maintenant d’être sincère. En effet, vous, vous le saurez aussitôt que cela sera là. Je dois donc L’attendre, que Ses bénédictions m’oignent, et alors je peux savoir. Mais maintenant, qu’Il accorde ceci, c’est ma sincère prière, non pas pour ma gloire. Rappelez-vous, Il écoute chaque parole qui est dite. Et non pas pour ma gloire, ni pour la gloire d’un autre, mais pour la gloire de Dieu, afin que Son peuple sache qu’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il vit parmi nous ce soir dans Sa résurrection.

59        J’ai eu une vision glorieuse il y a quelques matins; j’aimerais vous en parler avant de terminer les réunions. Cette même chose...

            Et maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque esprit ici présent sous mon contrôle pour la gloire et la confirmation de la résurrection de Jésus-Christ.

60        [Frère Branham parle à frère Moore.–N.D.E.] Frère Moore, faites venir les gens ici maintenant. Eh bien, Celui que vous voyez sur cette photo (Au jour du Jugement, quand les secrets de tous les coeurs seront dévoilés, vous verrez que c’est la vérité.), Il ne se tient pas à deux pieds de là où je me tiens maintenant même. J’aurais voulu que vous puissiez toucher ou savoir une fois le sens, ce sixième sens, alors qu’on passe de l’un à l’autre, d’une dimension, d’une catégorie, à une autre et que vous éprouvez ce sentiment qui donne l’assurance de Sa résurrection et de Sa puissance. Tout devient petit pour vous alors. Son glorieux, magnifique, magnifiant, tendre Seigneur Jésus-Christ, gloire Lui soit rendue maintenant et à jamais. La Rose de Sharon, le Lis de la vallée, l’Etoile du matin, le plus beau d’entre dix mille; c’est Lui.

            Toutes les autres religions, c’est de la contrefaçon. Toutes les autres religions sont fausses. Jésus-Christ seul est dans le vrai. Et Il est le Fils du Dieu vivant.

61        Bonsoir. Eh bien maintenant, veuillez rapprocher cela. Je ne... Certains parmi eux m’ont dit l’autre soir que ma voix ne portait pas très haut quand l’onction venait... Je ne sais pas. Soeur, je suppose que vous et moi, nous sommes inconnus l’un l’autre, n’est-ce pas? Nous ne nous connaissons pas l’un et l’autre. A ce que je sache, je ne vous ai jamais vue de toute ma vie. Par conséquent donc, vous et moi, nous sommes juste un homme et une femme qui se sont rencontrés ici dans ce–dans ce pèlerinage. Un jour, nous aurons à nous rencontrer de nouveau (Si jamais de nouveau sur terre). Nous aurons à nous tenir dans Sa Présence et rendre compte de tout. Que Dieu ait pitié de nous, voilà ma prière.

62        Quand notre Seigneur Jésus était ici, manifesté dans la chair, Il marchait juste comme un homme ordinaire. Il mangeait, Il buvait, Il dormait, Il se fatiguait, comme les autres hommes. Mais quand Il a quitté cet état, qu’Il est entré dans Sa Divinité, Il était plus qu’un homme. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Et Dieu a donné à Christ l’Esprit sans mesure, mais Il nous donne l’Esprit avec mesure. Je–je crois donc qu’Il est ressuscité d’entre les morts.

63        Et quand Il se tenait ici sur terre, Il a parlé une fois à une femme. Et peut-être qu’Il... Je ne sais pas pourquoi Il l’a fait, mais j’en ai une idée. Elle venait puiser de l’eau au puits. Et Il a dit: «Apporte-moi à boire.» Je pense qu’Il avait vu que cette femme avait besoin de quelque chose ou qu’Il avait simplement eu pitié d’elle. Il pensait que s’Il pouvait contacter son esprit à elle, Il pourrait trouver ce qu’était son problème. Ou peut-être que Dieu Lui avait montré en vision qu’elle viendrait là-bas. Je ne sais pas. Mais de toute façon, quand Il l’a contactée, Il s’est mis à lui parler et, peu après, Il a vu ce qu’était son problème, Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Et elle a dit: «Je n’en ai point.»

            Il a dit: «Tu en as eu cinq.»

            Elle a dit: «Tu es Prophète.» Elle est entrée dans la ville et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ces choses.»

            Or, s’Il est ressuscité d’entre les morts, Il a promis que les oeuvres qu’Il accomplissait, nous les accomplirions aussi. Maintenant, c’était absolument un miracle, n’est-ce pas? Parfaitement, un miracle, un miracle tout aussi grand que ce qu’Il a jamais accompli, même ressusciter les morts. Cependant, comme c’était inconnu de la femme, et pourtant, Il a manifesté Son Etre divin, car Il a su ce qu’elle était et qu’elle avait été mariée cinq fois, ou elle avait eu cinq maris.

64        C’était un miracle autant que quand Nathanaël était venu vers Lui. Il a dit: «Voici un Israélite (ou un chrétien, un fidèle.)»

            Il a dit: «Comment m’as-Tu connu?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Cela confirmait un miracle.

65        Ainsi donc, s’Il est le même Seigneur Jésus qui opère le miracle, Il peut me dire ce qu’est votre problème, aller droit à cela. Est-ce vrai? Croirez-vous cela? L’assistance croirait-elle cela? Puisse-t-Il l’accorder.

            Vous avez un coeur plein de chagrin pour quelqu’un d’autre. Et ce quelqu’un d’autre n’est pas sauvé. Il y a un point noir suspendu autour d’un–d’un jeune garçon. C’est votre propre fils. Il a les deux jambes fracturées. Est-ce la vérité? C’est vrai. Notre Seigneur Jésus vit, n’est-ce pas? Que Dieu vous bénisse. Il y a pourtant quelqu’un d’autre à qui vous vous intéressez. C’est le... Quelqu’un... Je vois cela venir d’une petite fille. Oh ! C’est–c’est votre soeur. Elle a quelque chose qui cloche à ses yeux. Et vous avez une autre soeur, elle a quelque chose qui cloche au coeur. Allez, Jésus-Christ va la rétablir. Que le Seigneur Dieu l’accorde, au Nom de Jésus-Christ.

66        Combien là dans l’assistance aimeraient être guéris, ceux qui n’ont pas de carte de prière donc? Vous n’avez pas de cartes de prière et vous aimeriez être guéris? Eh bien, ayez simplement foi. Tout ce que je vous demande de faire, c’est croire simplement de tout votre coeur.

67        Bonsoir. Donnez à monsieur Wood votre carte de prière...?... Maintenant, que tout le monde ne soit pas pressé. Prenez simplement votre temps et soyez bien respectueux. Continuez à garder Christ dans votre esprit, imaginez-Le se tenir ici même dans l’air, regardant en bas dans cette direction et dirigeant ce que je... les pensées, et ce que nous disons.

68        Très bien. Nous sommes aussi inconnus, je suppose, n’est-ce pas, madame? [La soeur dit quelque chose à frère Branham.–N.D.E.] Oh ! Et alors, je ne vous reconnaîtrais plus juste donc... Si vous m’avez vu il y a six ans et demi, je ne saurais qui vous étiez ni rien à votre sujet. Ça serait donc... Cela doit venir de Dieu, tout cela.

            Mais vous êtes–vous êtes malade maintenant. Et je vois quelque part, dans le cabinet d’un–un médecin, ou quelque chose comme cela... C’est–c’est... Oh! C’est le... Votre maladie, c’est quelque chose dans l’estomac, ou des adhérences. Les aliments n’arrivent pas à descendre. Je vois cela revenir. Est-ce vrai? Il y a donc quelque chose qui cloche au niveau du foie. Je vois cela par un rayon X, il montre cela (un genre de médecin court avec un bâton, de côté). Et vous êtes sur le point de subir une intervention chirurgicale. Eh bien, que Dieu vous bénisse. Venez ici.

            Père, Tu as dit dans Ta Parole: «Tout ce que vous liez sur la terre, Je le lierai au Ciel. Ce que vous déliez sur la terre, Je le délierai au Ciel.» Que cette femme, Seigneur, qui va subir une intervention chirurgicale, ô Dieu, que le bistouri de Dieu Tout-Puissant, le Saint-Esprit, descende et accomplisse ce miracle. Je Te demande, Père céleste, au Nom de Jésus-Christ, de l’accorder. Amen. Que Dieu vous bénisse.

69        Soyez simplement respectueux maintenant, tout le monde. Aimez vraiment–vraiment le Seigneur Jésus et dites: «Seigneur, je suis vraiment très reconnaissant que Tu sois parmi nous ce soir.» Que Dieu soit avec vous et qu’Il vous aide, j’en suis sûr, si seulement vous avez la foi. Bonsoir, monsieur.

70        Que Dieu vous bénisse, soeur. Si vous continuez à croire... Je sais que vous êtes dérangé, mais continuez simplement à avoir foi. Je ne peux pas le dire avant qu’Il me le dise. Je lui dis d’avoir foi.

71        Celui-ci est le patient. Bonsoir. Très bien. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ressuscité d’entre les morts. Il vit dans Son Eglise ce soir, Il se meut parmi Son peuple. Et Il aime Son peuple. Il aime tout le monde, même les pécheurs, Il les aime. Et Il nous aime. Il vous aime. Il m’aime. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, mais Dieu nous connaît tous deux, Il nous a nourris toute notre vie et nous a amenés à ce niveau-ci de la vie. Il peut seulement nous aider et nous faire du bien. Et si moi, votre frère, je pouvais vous aider et faire quelque chose pour vous, et bien, et que je ne le faisais pas, je serais un... je serais inhumain. Juste... Un animal aiderait pratiquement un autre. Mais si je pouvais vous aider, monsieur, je le ferais. Mais je... Il n’y a rien que je puisse faire, c’est seulement faire comme... Je peux simplement dire ce que je vois. Vous comprenez cela, n’est-ce pas?

            Mais vous–vous avez des ennuis avec... Il y a quelque chose au sujet de votre parler, ou... C’est dans votre langue, d’une façon ou d’une autre. Vous ne parlez pas nettement. Monsieur, je déteste vous le dire, en effet, c’est une chose étrange pour vous. Mais vous n’êtes pas un cas désespéré. Vous êtes un homme très gravement malade. Et vous ne savez pas ceci, mais il y a une pression qui fait cela, c’est une tumeur du cerveau, c’est ce qui fait cela. Et vous ne le savez pas. Mais c’est la vérité. Et vous êtes un... Dites donc, je vois une femme aux cheveux noirs à côté de vous. Elle est une... C’est une infirmière, ou quelque chose comme cela. Oui. Vous avez un enfant qui est malade de... C’est la leucémie, ou quelque chose comme cela. Je vois cela être examiné par un...

            Dites donc, j’ai été chez votre... quelque chose que vous... Vous avez été guéri auparavant. Je... C’était moi. Je vois quand j’avais prié pour vous. Je portais un costume gris rayé. Et vous avez été guéri du cancer. Et ce cancer était dans l’estomac. J’avais prié et vous aviez reçu le Saint-Esprit. Et vous enseignez, essayant de prêcher maintenant, ou quelque chose comme cela. Est-ce vrai? Venez ici.

            Miséricordieux Père céleste, je prie que la–la grâce de Dieu, la miséricorde et la grâce de Dieu soient accordées à cet homme. Je condamne l’ennemi qui lui retire la vie. Qu’il le quitte et qu’il sorte de lui. Satan, je t’adjure par le Dieu vivant, par Qui nous prenons le dessus sur toi ce soir par le Nom de Jésus-Christ, de quitter cet homme. Puisse-t-il aller et être guéri. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, frère. Allez, réjouissez-vous, et soyez heureux, reconnaissant et louez le Seigneur Jésus-Christ pour Sa bonté, pour Ses tendres miséricordes envers vous.

72        Croyez seulement, c’est tout ce que vous avez à faire. Ayez simplement foi en Dieu. Croyez-vous cela, madame, vous assise là souffrant de l’arthrite? Cette petite dame assise là, oui, croyez-vous que Dieu vous a guérie? Mettez votre main sur votre petite amie là aussi. Elle souffre d’une tumeur de sein et Dieu la rétablira.

            Père céleste, je Te prie de réprimander ces esprits. Ils pensaient se cacher, mais ils ne peuvent pas se cacher à Toi. Sortez. Au Nom du Seigneur Jésus, je t’adjure de quitter la femme. Amen.

            Que Dieu vous bénisse. Très bien. Rentrez chez vous maintenant et soyez guérie au Nom de Jésus, le Fils de Dieu.

73        C’est le rhumatisme qui vous a rendu infirme comme cela, n’est-ce pas? Vous assis là au bout du siège, c’est le rhumatisme, vous souffrez aussi de l’estomac. Croyez de tout votre coeur, Jésus-Christ vous guérit. Mais il vous faut croire. Voyez? C’est tout ce que je peux faire. Que Dieu soit avec vous.

74        Est-ce le patient? Bonsoir. Ayez simplement foi. Excusez-moi, monsieur. Je suppose que nous sommes inconnus, monsieur, n’est-ce pas? Je ne vous ai jamais vu de ma vie, à ce que je sache. Mais Dieu vous connaît, et Il me connaît. Et Jésus, Son Fils, est ressuscité d’entre les morts. Vous croyez cela, n’est-ce pas?

            Vous pouvez arrêter de prier, maman. Cette hypertension dont vous souffriez va baisser maintenant. Voyez-vous? Que Dieu vous bénisse. Oui.

75        Ayez simplement foi. Maintenant, vous assis là dans le fauteuil, ne pensez pas que votre cas est trop grave. Continuez simplement à croire, à regarder dans cette direction et croire de tout votre coeur.

            L’aimez-vous de tout votre coeur?

76        Eh bien, excusez-moi. Eh bien, dites donc, nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas? J’ai fait plusieurs semaines dans des réunions, et tout simplement, je... mais l’amour de Dieu... Dieu vous connaît. Il me connaît. Il sait tout à notre sujet, n’est-ce pas? Et Il peut me révéler ce qu’est votre problème, si j’ai dit la vérité. Croyez-vous que c’est ce que j’ai dit? Vous êtes gravement malade. Votre maladie est dans les poumons. Je vous vois quelque part au cabinet d’un médecin, je le vois faire un signe de la croix sur un film de rayon X. Je pense que c’est noir (l’un d’eux), à moitié noir. Et puis, l’autre est un... Il a dit que ça a le pus, je pense, à l’intérieur. Est-ce vrai? Vous avez–vous avez été chez un médecin, ou quelque chose comme cela. C’est un lieu où il y a un... Je vois du bois dur rouler comme cela. Il y a un grand lac au bout, où vous avez grandi, un immense... c’est Rochester. C’était les frères Mayo. Est-ce vrai? C’est vrai. Je peux voir la grande clinique, alors qu’elle se profilait. Venez ici. Même si eux ont échoué, Dieu ne peut pas échouer, mon frère.

            Notre Père céleste, accorde les bénédictions du Saint-Esprit à ce pauvre jeune frère que voici. Que l’Esprit du Dieu Puissant le guérisse complètement. Par Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je le demande. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère.

77        Pensez-vous que le Seigneur vous guérira de cette maladie de poumons, au même moment, là-bas, frère? Croyez-vous qu’Il vous rétablit? Pensez-vous que Dieu vous guérira? Si vous le pensez et que vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez être guéri. Acceptez-vous cela? Dites: «Gloire au Seigneur.» Levez simplement la main et dites: «Gloire au Seigneur.» C’est bien. C’est bien. Que Dieu vous bénisse. Cela le frappait et vous frappait au même moment. J’ai alors su que c’est ce que c’était. Voyez-vous? Et Il est ici. Que Dieu soit avec vous et qu’Il vous aide.

78        Bonsoir, madame. Oh ! la la ! Savez-vous ce qui cloche? Le cancer d’estomac. C’est vrai. Maman, vous pensez peut-être que vous êtes avancée en âge et que peut-être ça ne vaut pas grand-chose. Mais Abraham était plus vieux que vous quand Dieu lui a fait la promesse. Venez ici. Croyez-vous de tout votre coeur? Si la puissance du Dieu Tout-Puissant est ici, cela connaît votre vie. Pendant que l’onction est ici (Pas moi, mais Lui. Ce n’est pas l’ampoule qui donne la lumière, c’est le courant qui est dans l’ampoule.), j’impose les mains et je demande: «Va-t-Il le faire?»

            Bienveillant Père céleste, je réprimande cet ennemi. Qu’il quitte cette femme au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Qu’il sorte d’elle. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez, et que le Seigneur soit avec vous et qu’Il vous aide.

79        Vous avez éprouvé une sensation très étrange quand on priait pour elle, n’est-ce pas? C’est la même chose. Vous tous deux, cela vous a quittés au même moment. Allez directement de l’avant, en vous réjouissant et en remerciant Dieu. Amen.

80        Croyez-vous que le Fils de Dieu est ici pour vous guérir? De tout votre coeur, croyez-vous cela? Vous avez une toux aiguë, n’est-ce pas? Surtout quand vous vous levez. C’est l’asthme. Remerciez donc Dieu pour votre guérison, allez simplement en vous réjouissant, disant: «Merci, gloire à Dieu !»

81        Venez, madame. Si le Dieu Tout-Puissant est ici, Il saura exactement où est votre problème, Il vous le montrera. Allez-vous L’accepter? Je me sens très faible (Voyez-vous?), c’est la raison pour laquelle je ne vois pas... voir exactement ce qui cloche si je peux. Très bien. Vous allez accepter cela, n’est-ce pas?

82        Gloire à Dieu ! Croyez-vous que Dieu vous a guérie de cette tumeur-là, vous assise là, madame? Oui. Croyez-vous? Amen.

83        Croyez-vous qu’Il vous a guérie des troubles d’estomac? Allez prendre votre souper.

84        Que Dieu vous bénisse. Rentrez et imposez la main à cet enfant à cause de l’affection rénale, il est assis là à côté de vous. Le petit enfant qui souffre de reins, imposez-lui les mains; il est guéri.

85        Croyez de tout votre coeur. Croyez-vous que Dieu est ici pour guérir? Pourquoi n’acceptez-vous donc pas cela? Tenez-vous debout maintenant, vous tous. Sortez de vos fauteuils roulants, tout celui qui veut le...?...

86        Dieu Tout-Puissant, au Nom de Jésus-Christ, guéris chaque personne malade ici et que la puissance de Dieu se meuve dans cette assistance. Je condamne chaque démon. Sors des gens, toi esprit impur.

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