La Foi

Date: 56-0427 | La durée est de: 2 heures | La traduction: Shp
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1          Merci, frère. Prions pendant que vous restez debout juste un instant.

            Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir de ce que le Seigneur Jésus a rendu cela possible pour nous, de nous assembler une fois de plus. Et, sachant que ceci peut être notre dernière fois, de ce côté-ci de l’Eternité, nous Te remercions de ce que Tu nous as donné cette opportunité. Nous prions que Tes bénédictions se déversent à flot sur nous ce soir et que Tu fasses reposer des bénédictions sur nous juste comme des averses tombant du Ciel. Accorde-le, Seigneur.

            Pardonne-nous nos manquements, tout ce que nous avons fait de mal, même nos mauvaises pensées. Nous Te prions de nous pardonner, ainsi que nos motifs, s’ils ne sont pas conformes à Ta Parole et à Ta volonté, pardonne-nous, Seigneur, et accorde-nous d’agir uniquement selon Ta volonté.

2          Accorde un grand service ce soir, Père. Nous prions qu’il n’y ait personne de faible parmi nous quand les services seront terminés ce soir. Que tous regardent au Calvaire et reçoivent leurs bénédictions rédemptrices que Jésus a acquises là pour nous à la croix. Nous Te prions de nous l’accorder.

            Bénis tous les prédicateurs. Encourage-les fortement, Seigneur, les bergers des troupeaux, et nous Te prions d’accorder ces choses, par le Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

3          Que le Seigneur soit miséricordieux envers chacun de vous ce soir alors que nous sommes assemblés pour servir le Seigneur Jésus. On m’a dit que le petit-déjeuner des Hommes d’Affaires Chrétiens aurait lieu demain matin. Je me demande si monsieur Arganbright est déjà arrivé. S’il est dans la salle... quelqu’un sait-il si monsieur Arganbright est ici? Je le cherchais, ou monsieur Moore, ce matin, c’est la raison pour laquelle j’ai demandé cela.

            Maintenant, je suis vraiment désolé que nous ayons un bref petit séjour. Cette fois-ci, c’était tout simplement pour se familiariser les uns avec les autres et on s’attend à ce qu’un jour, on visite les Carolines avec des services sous tente. Le Seigneur m’a donné une–une vision, où j’avais une tente. Et mes services partout durent toujours environ de... (oh ! peut-être) de trois à cinq soirées, dix soirées au maximum. J’aimerais passer quatre, cinq, six semaines, là alors nous pouvons vraiment avoir et avoir un... Merci, et de la sorte nous pouvons avoir un... planifier une année d’avance, de la sorte, on sollicite de tous les prédicateurs de ne pas avoir de réveils, et je–j’aime vraiment une très bonne atmosphère parmi les prédicateurs. Je–je–j’aime vraiment cela. En effet, étant moi-même un–un berger, je–je sais ce que cela représente.

4          Et puis, peut-être qu’un frère arrive dans une ville où–où nous avons organisé un réveil, et vous–vous avez déjà un évangéliste qui vient et tout, vous savez, c’est plutôt, vous... On aimerait avoir cela, afin qu’on puisse partir, mais vous êtes simplement tenu à votre parole. J’espère donc que dans mes réunions futures, quelqu’un viendra d’avance et–et organisera toutes les réunions beaucoup, beaucoup de mois avant, de la sorte tous les frères peuvent s’assembler, et nous pourrons avoir une grande communion les uns avec les autres. Et on n’aura non seulement le service du soir, mais on aura une leçon d’enseignement sur la Bible l’après-midi. Je–j’aime vraiment cela.

            Et alors, nous essayons donc aussi d’avoir notre service de dimanche après-midi, de sorte que tout le monde puisse retourner dans son église pour ce soir-là. Et puis, les convertis peuvent aussi avoir un endroit où aller, et les pasteurs qui seront à l’estrade représenteront les différentes églises, les dénominations.

5          Nous attendons impatiemment un grand moment dans le Seigneur, et avec vos prières, je suis sûr que nous ferons de notre mieux pour la gloire de Dieu. La prière change des choses. La prière change la mort en vie. La prière change la maladie en bonne santé, elle change des pécheurs en des saints. C’est la prière. Vous pouvez trop rire. Vous pouvez trop crier. Vous pouvez trop manger, mais vous ne prierez jamais trop. La–la Bible dit: «Je veux que les hommes prient en tout lieu, en élevant des mains pures.» Vous ne pourrez donc jamais trop prier.

            Eh bien, j’ai vu ici le livre de frère Osborn, l’évangéliste T.L. Osborn. C’est un autre ami intime à moi, avec frère Roberts, et beaucoup d’autres prédicateurs remarquables du jour. J’ai eu le privilège de rencontrer beaucoup d’entre eux.

6          Frère Jack Coe. Je sais que vous avez tous entendu parler de lui. Il venait d’avoir un peu d’ennui là en Floride. Frère Jack Coe est une personne merveilleuse. Il l’est certainement. Et je me rappelle la première fois que frère Jack est venu à mes réunions. Vous parlez d’être un peu sceptique, il l’était, et c’était un petit homme mince, mais maintenant assurément qu’il est devenu trop grand par rapport à cela maintenant. Et alors, il–il est venu à la réunion et, oh ! il allait simplement tailler cela en pièces. Alors, il–il raconte cela dans son... l’une de ses histoires.

            Je lisais l’un de ces livres là où il–il était sorti. Il a dit: «Eh bien, cette histoire de dire aux gens ce qui cloche chez eux et tout, je n’y crois pas.» Alors, une dame passait par là, vous savez, il a dit: «Dites-moi ce qui cloche chez elle.»

            J’ai dit: «De quoi es-tu si sceptique?» Et je lui ai dit ce que la femme avait là, selon que le Seigneur me l’avait montré.

            Il a dit: «Eh bien, c’est la vérité.»

7          Alors, la nuit suivante, on traversait une ville. Je pense que c’était là à San Antonio, au Texas, nous longions un auditorium et voici, ce drôle de petit garçon se tenait là une fois de plus, la tête penchée. Et il a dit: «J’aimerais vous parler une minute.» J’ai dit: «Regardez, monsieur. De quoi êtes-vous si sceptique...? Pourquoi me suivez-vous partout comme cela?» J’ai dit: «Eh bien, il arrivera que vous aurez un ministère semblable à celui-ci, pour quoi donc combattez-vous?» Et c’est exactement ce qui est arrivé.

8          Je me rappelle O. L. Jaggers. C’est la personne la plus dure dont j’aie jamais eu à me débarrasser, O. L. Jaggers. Je ne voulais pas me débarrasser de lui, mais il était très sceptique. Oh ! la la ! Il martelait cela, et tout le temps je savais qu’il croyait cela dans son coeur, mais il voulait simplement voir ce que j’allais...?... alors il, frère O. L. Jaggers, c’est un ami intime, un homme très bien, de même que Tommy Osborn, il était là.

            Vous lisez l’histoire de la vie. Combien ont déjà lu le livre sur l’histoire de ma vie? Juste... Nous en avons juste quelques-uns. Je ne vends pas des livres. Eh bien, je ne suis pas un vendeur des livres. Ces livres ne sont pas à moi. C’est quelqu’un qui les a écrits, et moi, je les achète avec une réduction de quarante cents par rapport à mon prix de vente, et puis je dois les transporter et tout. Je... C’est de l’argent. Je fais des pertes là-dessus, je donne des ordres aux huissiers et autres que si un frère ou une soeur pauvre passe et qu’il en veuille un et qu’il n’a pas d’argent pour en acheter, qu’on le lui donne de toute façon (Voyez?), et ainsi quelque chose arrivera. Et ça a toujours marché d’une façon ou d’une autre. Cela marchera toujours. L’essentiel, c’est d’apporter le Message aux gens.

9          Pour vous montrer le bien que cela produit, aujourd’hui, j’étais... hier soir plutôt, on m’a remis une lettre. Cette femme peut être ici ce soir. A cette dernière réunion ici, et évidemment, je ne sais pas ce qui se passe quand ces visions sont... C’est dans un autre monde, amis.

            Et l’unique moyen pour moi de le savoir (Voyez?), j’ai un jeune homme assis là avec un enregistreur, et si n’importe qui... Vous devez surveiller donc ce que cela vous dit. La vision ne vous guérit pas, mais quand vous entendez cela agir là, vous dire ce que sera le futur, et dire AINSI DIT LE SEIGNEUR» alors, notez cela directement. Voyez si ce n’est pas tout à fait vrai. Cela ne faillira jamais, et–et ainsi donc, c’est ainsi que nous gardons ces enregistrements. Et nous savons tout exactement tout ce qui a été dit, et on le vérifie, on vérifie pour la deuxième fois, et il n’y a jamais eu une seule fois où tout ait manqué d’arriver bien exactement. Cela arrivera toujours, parce que c’est Dieu. Voyez?

10        Et je me rappelle, monsieur Osborn était venu, je pense, c’était dans l’Oregon, à Portland, dans l’Oregon. Il y avait environ six mille cinq cents personnes à l’intérieur presque, pratiquement autant qu’à l’extérieur. J’étais seul sur le champ de travail à cette époque-là, et il y avait... Oh ! Ces réunions avaient d’éclats, vous savez. Vous savez ce que je veux dire et... Alors, je me rappelle...

            Je pense que sa femme et lui (selon l’histoire), il était assis là, un fou a couru à l’estrade et il est monté là précipitamment. Et il y avait environ trois cents prédicateurs qui s’étaient retirés. Et l’homme pesait à peu près deux cent soixante-dix [122 kg]. Je n’avais jamais vu un tel géant, avec des bras très musclés. Il a couru à l’estrade. Et je parlais de la foi. A l’époque, je pesais cent vingt-huit livres [58 kg], et je regardais l’assistance. Alors, cet homme courait à l’estrade.

            Je l’ai vu parcourir l’allée en grognant très fort, balançant ses bras, et... Eh bien, je me suis dit que c’est peut-être quelqu’un qui se dépêchait pour faire quelque chose. Je n’avais rien e pensée à ce sujet, et tous les prédicateurs ont commencé à se retirer précipitamment, et–et quelques minutes après, cet homme a couru à l’estrade, il a mis ses mains à la hanche, et il a dit: «Toi, serpent dans l’herbe...»

            Je–je l’ai regardé et je me suis dit: «Eh bien, pauvre homme (Voyez?), il y a quelque chose qui cloche chez lui.» Et on pouvait voir qu’il était... qu’il y avait quelque chose qui clochait. Il venait d’une institution psychiatrique. Je ne savais guère que la police le recherchait. Il avait brisé la mâchoire et la clavicule à un prédicateur ce jour-là. Il avait la réputation de blesser les prédicateurs, et il venait de sortir d’une institution psychiatrique. Ainsi donc, il était recherché. Il avait frappé un prédicateur qui était dans la rue, tenant une réunion de rue, il lui avait fracturé la clavicule et la mâchoire, et s’en était allé.

11        Et juste quand il est sorti en courant, deux jeunes policiers que j’avais rencontrés dans le vestiaire et que j’avais conduits à Christ, tous les deux, la mère de l’un d’eux avait été guérie la veille dans la réunion, et tous ces deux bons jeunes policiers avaient incliné leur tête là, sur leurs genoux, et–et ils avaient livré leur vie à Christ. De très bons petits gars. J’ai eu des nouvelles de l’un d’eux il n’y a pas longtemps. Tous les deux tiennent toujours ferme à Dieu. Ils se sont–ils se sont familiarisés avec mon ami, le capitaine Al Farrar, là au FBI, le... C’était l’un de mes convertis aussi, il était venu, je l’ai conduit à Christ dans un champ de tire et tout, en un lieu.

            Ainsi donc, ces–ces jeunes gens ont couru à l’estrade pour le saisir, et j’ai vu que ce n’était pas une affaire de chair et de sang, alors j’ai dit: «Ce n’est pas une affaire de chair et de sang, frère.» Et les jeunes gens les plus gentils ont simplement reculé. Il s’est mis à avancer vers moi, très lentement, avec ses mains tendues comme ceci, et il... On pouvait entendre une épingle tomber n’importe où. C’était très calme.

            Il a dit: «Toi vil hypocrite.» Il a dit: «Toi, serpent dans l’herbe, tu es ici te faisant passer pour un homme de Dieu.» Il a dit: «Ce soir, je vais briser chaque os de ton misérable petit corps frêle.» Il a dit: «Je vais te projeter là loin au milieu de l’assistance, comme cela.»

12        Il était pleinement capable d’exécuter sa menace, et il... Il me fallait lever les yeux pour voir l’homme, il était très grand. Eh bien, il est venu, les dents serrées, comme ça, et il voulait... son poing serré. Il s’est mis à avancer vers moi. Eh bien, vous feriez mieux de savoir de quoi vous parlez. C’est vrai. Vous ne jouez pas avec la chair et le sang, là. Je... Le Seigneur m’avait envoyé. Je... La chose en était que ce n’était pas moi, ça devait être Lui. Puisqu’Il a envoyé, alors Il prendra soin de ce qu’Il a envoyé. Voyez?

            Alors, j’ai dit: «Que se passe-t-il?»

            Il a dit–a dit: «Ne me parle pas.» Il a tiré son poing en arrière. Il a dit: «Je vais te briser chaque os du corps.»

13        Et quand j’ai regardé l’homme, je me suis entendu moi-même parler. Je ne sais pas si... cela peut paraître étrange, mais c’était le Saint-Esprit qui parlait. La Bible dit: «Ne vous inquiétez pas de ce que vous direz. Cela vous sera alors donné.» Et Cela a dit: «Parce que tu as défié l’Esprit de Dieu, ce soir, tu tomberas sur mes pieds.»

            Il a dit: «Eh bien... Je vais te montrer sur les pieds de qui je tomberai.»

            Et il a tiré son très gros bras en arrière et il allait me frapper comme cela, et j’ai dit: «Satan, sors de cet homme (juste comme cela, à peu près), au Nom du Seigneur Jésus.»

            Et il avait son bras en arrière comme cela pour frapper, et il s’est mis à faire: «Ouu–ouu», et ses yeux se sont révulsés. Il s’est mis à tournoyer, tournoyer, comme cela, et il est tombé jusqu’à s’étaler sur mes pieds, et je ne pouvais pas du tout bouger. Ainsi, là, les deux avaient lancé un défi là... l’Esprit de Dieu et l’esprit qui était en lui. Tous les deux avaient lancé un défi, et alors quelque chose devait arriver. L’assistance attendait, et l’homme...

            Alors, les policiers ont demandé: «Est-ce que cet homme est mort?»

            J’ai dit: «Non, non.»

            Ils ont dit: «Est-il guéri?»

            J’ai dit: «Non, non. Il adore cet esprit-là. Il n’aimera pas y renoncer (Voyez?), mais voudriez-vous l’enlever de mes pieds?» Et alors, quand on l’a amené là, je me suis simplement tourné vers l’assistance. Jai dit: «Comme je le disais, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère», et un homme assis dans un fauteuil roulant s’est simplement levé, une dame sur un brancard et nulle part... tous là sur place étaient guéris là même, on les a simplement emportés. Et le lendemain matin, il y avait un très gros camion qui passait dans la rue, les gens chantaient Crois seulement, marchant derrière ce gros camion plein de brancards, de fauteuils roulants et tout.

            Qu’était-ce? Le prince de cette tribu de démons qui avait lancé le défi avait perdu là-dessus. Voyez? Et c’est alors que l’Esprit de Dieu avait saisi la salle, et tous étaient guéris.

14        Tommy Osborn était assis là au balcon, il a vu cela; il est rentré chez lui, il s’est enfermé dans une chambre pendant trois jours et il a prié. Environ deux mois plus tard, j’étais assis dans la véranda un jour, un jeune homme s’est avancé... Si jamais vous connaissez frère Osborn, c’est un jeune homme bien. Il était si nerveux qu’il ne pouvait se tenir tranquille, alors qu’il contournait sa voiture, sa femme et lui. Il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, j’ai vu cela.» Il a dit: «Oh ! a-t-il dit, je suis pasteur d’une petite église, a-t-il dit, mais je–je crois que Dieu est en action.»

            J’ai dit: «Oui, oui. Il est en action.»

            Il a dit: «Pensez-vous que j’ai un don de guérison?»

            J’ai dit: «J’oublierais cela, Frère Osborn.» J’ai dit: «Il y aurait tellement du fanatisme attaché à cela d’ici peu que tout ce qui sort doit avoir le don de guérison.» J’ai dit: «Regarde. Tu es un prédicateur, n’est-ce pas?»

            «Oh ! oui; Dieu m’a appelé à être un prédicateur.»

            J’ai dit: «C’est en ordre. Chaque prédicateur qui est appelé, est appelé à prier pour les malades aussi, chaque prédicateur.» Et j’ai dit: «Je... Ce que je ferais, c’est m’asseoir sous ce vieux chêne et apprendre toutes les techniques de la guérison divine par la Parole.»

            Et il a demandé: «Quel vieux chêne?»

            J’ai dit: «Le chauve là-bas sur la véranda, le vieux docteur F. F. Bosworth. Je crois qu’il connaît plus sur la base scripturaire de la guérison divine que n’importe quel homme que je connaisse de ma vie.

15        Il est allé avec frère–frère Bosworth pendant environ deux ans, et quand j’effectuais mon premier voyage en Afrique, je suppose, il y a environ quatre ans, il était... J’étais dans cette grande arène là à New York, là où on organise des combats, le lieu était archicomble, il y avait des caméras placés là, avec leurs projecteurs et tout là. J’étais un peu derrière l’estrade, et on a commencé à chanter Crois seulement, et j’ai vu debout là derrière l’estrade le jeune Osborn, debout là. Il m’a vu. Il s’est mis à pleurer, j’ai couru et je l’ai entouré de mes bras. J’ai dit: «Eh bien, que ton petit coeur soit béni.» Il s’est simplement mis à pleurer comme un enfant.

            Il a dit: «Frère Branham, j’ai pris l’avion jusqu’ici pour te dire au revoir. Je sais que tu vas partir le matin.»

            J’ai dit: «Eh bien... très content.» J’ai dit: «Frère Osborn, j’ai entendu parler de ton grand travail pour le Seigneur, ai-je dit, là dans les îles», et tout ce qu’il a fait. J’ai dit: «Je pense que tu es bien épuisé.»

            Il a dit: «Moi épuisé?» Il a dit: «Je n’ai rien fait pour être épuisé.» Il a dit: «Je–je n’ai pas de discernement à exercer, et à avoir à passer par tout ce châtiment.» Il a dit: «Vous savez quoi? Je me tiens simplement là, je prends la Parole, je lie Satan avec un noeud tel qu’il ne peut pas s’en défaire, et puis je prie pour les gens et je me tiens là en retrait et je me réjouis pendant qu’eux tous témoignent, par centaines.» Il a dit...?...

            J’ai dit: «Eh bien, c’est merveilleux. Je souhaiterais pouvoir faire cela.»

16        Il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, je suis content de m’être assis sous ce vieux chêne.»

            J’ai dit: «Sais-tu qu’il est toujours dressé là?» J’ai dit: «Il m’accompagne en Afrique.» Frère Bosworth était là même en ce temps.

            Oh ! Un très tendre frère, frère Tommy Osborn, et je suis sûr que vous lisez son petit livre. C’est la première fois que j’ai donc le privilège de dire un mot sur son livre. Il m’est simplement arrivé de voir cela déposé ici. Vous allez certainement apprécier cela, tout. En effet, c’est un érudit, un diplomate, un frère chrétien. Oh ! donc... Il est simplement un homme bien.

17        Et maintenant, que le Seigneur soit miséricordieux envers nous alors que nous méditons Sa Parole ensemble. Je pensais ce soir, au lieu de... Combien étaient ici hier soir? Faites voir les mains. Oh ! C’est bien. Très bien. Vous pouvez aider quelqu’un d’autre, si vous entendez quelqu’un critiquer dans des réunions, les tactiques, comment les réunions se déroulent par le Saint-Esprit.

            Et ce soir, je me disais que je pourrais parler de la foi pendant un petit instant, juste édifier la foi chrétienne. J’ai découvert que l’un de plus grands obstacles que l’église a aujourd’hui, c’est qu’ils ont peur à mort et... De quoi avez-vous peur? C’est ce que je me demande. Si seulement vous vous rendez compte de qui vous êtes... Vous ne savez pas qui vous êtes. Vous ne savez pas qui se tient à côté de vous.

            Oh ! Vous dites: «Oui, c’est mon voisin. Je sais. Je le connais très bien.» Mais il est un fils de Dieu (Voyez? C’est vrai.) adopté par Jésus-Christ dans la famille. C’est une fille de Dieu qui est assise à côté de vous. Et qui êtes-vous? Si vous êtes un croyant chrétien, vous êtes un fils ou une fille de Dieu. De quoi avez-vous peur? Ça ne sert à rien d’avoir peur. C’est donc... Tant que le diable peut vous garder dans la peur, c’est tout ce qu’il a à faire, il vous a eu là même.

            Quand Jésus est ressuscité, Il a dit: «N’aie pas peur. Je suis Celui qui était mort et qui est vivant aux siècles des siècles, Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts...» C’est vrai.

18        Maintenant, j’aimerais lire un texte ici ce soir dans la Bible, le Seigneur voulant. Et nous parlerons juste un petit instant là-dessus et ensuite, nous commencerons la ligne de prière, prier pour les malades.

            Et je pense qu’il y a un petit-déjeuner des prédicateurs... Non, un petit-déjeuner des Hommes d’Affaire Chrétiens le matin, et je pense qu’ils–qu’ils savent où ça aura lieu....?... peut-être qu’on a déjà annoncé cela.

            Dans le Livre de la Genèse, nous désirons lire une portion de la Parole de Dieu, au chapitre 22 de la Genèse, à partir des versets 7 et 8 et ensuite, le verset 14 inclus. Voici ce que nous lisons:

Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit: Mon père! Et il répondit: Me voici, mon fils ! Isaac reprit: Voici... le bois; mais où est l’agneau pour l’holocauste?

Abraham répondit: Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l’agneau pour l’holocauste. Et ils marchèrent tous deux ensemble.

            Verset 14:

Abraham donna à ce lieu le nom de Jehova Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui: A la montagne de l’Eternel il sera pourvu.

            Et maintenant, puisse-t-Il ajouter Sa Parole... Ses bénédictions à Sa Parole, à la lecture de Sa Parole.

19        La raison pour laquelle j’ai lu Sa Parole, c’est que je sais que vous allez recevoir quelque chose du fait d’être venus ici si seulement vous recevez cette Parole-là. En effet, ma parole faillira ainsi que celle de n’importe quel autre homme, mais la Parole de Dieu ne peut pas faillir. Et la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend de la Parole de Dieu.

            Maintenant, nous allons devoir examiner un petit instant ce soir pour avoir le–le contexte de ce texte: Jéhovah-Jiré. Dieu est apparu à l’humanité sous sept Noms composés de la rédemption; et sous ces Noms de la rédemption, Il s’est présenté à la race humaine, pour tout ce dont nous avons besoin dans notre pèlerinage et dans notre état déchu de la gloire.

            Il est apparu sous ces Noms rédempteurs de Jéhovah-Jiré: L’Eternel se pourvoira d’un sacrifice; Jéhovah-Rapha: «L’Eternel qui te guérit; «Jéhovah, ta Bannière», et Jéhovah... Sept différents Noms composés de la rédemption, sous lesquels Il est apparu.

20        Eh bien, ce soir, nous parlons peut-être de ce Nom rédempteur, demain soir, nous pourrons prendre Jéhovah-Jiré. Et alors, ils sont indissociables. Il est apparu comme Dieu à la race humaine au commencement, Il doit continuer sous ces Noms et sous cette disposition. S’Il ne le faisait pas, certainement qu’Il avait dit quelque chose de faux quand Il était apparu à la race humaine et qu’Il avait dit que c’est ce qu’Il était. Et regardez ce que vous feriez alors de Dieu: Juste un homme. Vous feriez de Lui un menteur. Et si les Noms rédempteurs ne s’appliquaient pas à Jésus, alors Il n’est pas le Sauveur. Si tous ces Noms rédempteurs étaient en Jésus, eh bien alors, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ainsi donc, il n’y a pas moyen d’échapper à cela. Et vous avez... Vous ne pouvez pas... Ils sont indissociables. Si Jéhovah est apparu comme Jéhovah qui–qui se pourvoira d’un sacrifice, alors Il est apparu comme Jéhovah qui guérira, Jéhovah qui est notre bannière, Jéhovah qui est notre abri, Jéhovah qui est notre force. Et Jéhovah qui est notre louange. Et tous ces différents noms sous lesquels Il est apparu, Il doit les maintenir, parce qu’Il s’est présenté à la race humaine, sous ces Noms. Voyez-vous cela?

21        Eh bien, ce vieil homme et ce jeune homme se tenaient sur la montagne, il était prêt à être offert: un très beau type de Christ et Dieu. Isaac était un type de Christ.

            Maintenant, pour voir quelque chose sur sa vie, retournons au commencement et voyons-en le tableau ici sur la colline. Nous aurons le contexte pour arriver à notre texte, et nous retournerons pour voir que Dieu avait appelé Abraham par... Dans Genèse, chapitre 12, par la grâce souveraine, Il avait appelé Abraham, non pas parce qu’Abraham était meilleur que quelqu’un d’autre, mais parce que Dieu avait appelé Abraham par prescience et par élection; c’est ainsi qu’Il vous a appelé. C’est ce que dit la Bible.

            Remarquez. Ce n’est pas parce qu’Abraham était bon. Il était issu de son père...?... ce qui veut dire retard. Et ils venaient de Babylone, peut-être qu’ils étaient des idolâtres, sous l’influence de Nimrod qui, le premier, avait construit Babylone et il en a fait une confédération, et tous devaient s’assembler là. Cela...

22        Babylone apparaît au commencement. Elle apparaît au milieu de la Bible et elle apparaît à la fin de la Bible. Et tout ce que nous avons aujourd’hui ici tire son origine dans Genèse. Genèse, c’est le Livre semence, ou le Livre des produits de champ, là où Dieu a premièrement planté, et Satan a planté l’ivraie. Et tout cela évolue comme des vignes qui croissent, et aujourd’hui, nous sommes au temps de la moisson de toute la chose. Mais chaque culte qu’on a sur terre aujourd’hui, avec le temps et les historiens, comme les Deux Babylones d’Hislop, Josèphe, et beaucoup d’autres écrivains de l’époque primitive. Nous pouvons retourner là et prouver le rapport entre chaque culte et chaque action que cela a, ça a commencé dans la Genèse, et l’Eglise du Dieu vivant a commencé dans la Genèse.

            Donc, les deux vignes croissent directement, mais c’est à leurs fruits que vous saurez ce qu’ils sont, par ce qu’elles produisent. Peut-être, le Seigneur voulant, j’en parlerai une soirée avant de quitter: La vraie et la fausse vigne.

23        Remarquez donc, Abraham fut appelé par élection et Dieu lui donna l’alliance inconditionnelle de la grâce. Vous savez, quand Dieu fait une alliance avec l’homme, l’homme brise son alliance. Vous faites une promesse à Dieu, neuf fois sur dix, vous n’allez–vous n’allez pas la tenir. Quand Dieu a fait une alliance avec l’homme dans le jardin d’Eden: «Fais ceci, et si tu fais ça», il y avait un si là-dedans. L’homme a directement changé cela, il a brisé son alliance avec Dieu. Dieu était déterminé à sauver l’homme. Ainsi, au lieu de dire si, il n’y avait pas de si pour Abraham: «J’ai.» Voyez-vous l’assurance? «Tu viendras à Moi dans ta vieillesse. J’ai déjà réglé cela, pas de si tu fais quelque chose. «J’ai déjà fait cela.» Ça doit donc être sûr.

            Et pas de: «Abraham, si tu rétrogrades, ou Abraham, si tu gardes Ma Parole, Abraham, si tu fais ceci ou si tu fais cela.» Dieu a dit: «J’ai déjà fait cela.»

24        Oh ! Vous dites: «J’aurais bien voulu être Abraham. Oh ! Frère Branham, si j’avais une telle assurance, alors je me reposerais certainement, parfaitement tranquille.» Eh bien, vous avez la même assurance et la même alliance. L’alliance n’était pas seulement pour Abraham, seulement, mais pour sa postérité après lui. Amen. Si vous commencez à voir cela, alors la guérison divine devient facile. Toute autre promesse que Dieu a donnée devient facile dès que vous voyez que ce n’est pas vous; c’est Dieu. Dieu a donné la promesse, ainsi donc, vous n’êtes pas agité.

            Comme je l’ai dit ici, là, je pense, c’était à Spindale ou ailleurs, peut-être à Columbia, ou à l’une des réunions là en Caroline. C’était juste avant que je vienne ici. Mais je me suis réveillé une nuit avec le meilleur sermon sur mon coeur, et je n’avais personne à qui le prêcher, aussi ai-je simplement réveillé mon épouse et je le lui ai prêché. Puis, elle s’est endormie.

25        Et je–je lui prêchais sur le repos du chrétien. Quand vous venez à Christ, tout est réglé: «Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués–fatigués et chargés, et Je vous donnerai du repos.» C’est réglé. Tout est fini. Christ a déjà payé le prix. Tout ce qu’il vous faut faire, c’est simplement vous reposer. Laisser tomber. Arrêtez de bondir çà et là, d’être tout troublé, de lieu en lieu et de dénominations, trimbalant la lettre de recommandation de chez les méthodistes vers les baptistes. Inscrivez cela une fois au Ciel et laissez-le là. Voyez? Ne soyez pas troublés. Que Dieu...

            Venez simplement à Lui et reposez-vous. S’Il est Jéhovah-Jiré, reposez-vous là-dessus. S’Il est Jéhovah-Rapha, reposez-vous là-dessus. S’Il est le Seigneur qui nous sauve par la grâce, reposez-vous là-dessus. S’Il est le Seigneur qui nous guérit par la grâce, reposez-vous là-dessus. S’Il est le Dieu qui vient du Ciel avec dix mille de Ses saints, reposez-vous là-dessus. Si les morts en Christ ressusciteront premièrement, reposez-vous là-dessus. Tout, c’est le repos. Oh ! la la ! Je me sens vraiment religieux maintenant même. Oh ! Se reposer, ne pas bondir de lieu en lieu et être emporté par chaque vent de doctrine, mais se reposer sur ce que Dieu a dit.

26        Chaque promesse dans le Livre est vôtre. Pour chacune, c’est amen et oui, c’est à vous. De quoi avez-vous à vous inquiéter? Même la vieillesse, cela ne devrait rien avoir à faire avec cela. La maladie n’a rien à faire avec cela. Dieu a promis, et Dieu doit tenir Sa promesse. Vous voyez ce que nous essayons de faire, c’est vous débarrasser de la peur.

            «Oh ! dites-vous, j’ai peur des voisins... Eh bien alors, vous devriez venir à Christ. Vous ne devriez pas alors aller chez le voisin. Voyez? Très bien. Mais je parle de ceux qui sont en Christ. Ne vous souciez pas de ce que quelqu’un d’autre dit; c’est ce que Lui dit qui compte. Un chrétien ne regarde pas aux choses du monde. Il ne regarde pas à ce qu’on voit. Il regarde à ce qu’on ne voit pas, mais ce qu’on croit. Le chrétien regarde à l’invisible. Nous ne voyons donc pas ce que nous croyons. Si c’est le cas, ce n’est plus la foi. Mais la foi, c’est ce qu’on ne voit pas et qu’on croit, pour vous amener à croire que Celui qui a donné la promesse est fidèle à Sa promesse.

27        Alors, Abraham, un homme de soixante-quinze ans, marié à sa demi-soeur Sara, ils avaient quitté le pays... Chaldée, la ville d’Ur pour habiter la vallée de Schinéar. Peut-être qu’ils menaient à l’époque une longue bonne vie, les gens. Ils sortaient le matin et ramassaient des baies dans les buissons et les mangeaient. Puis, vers midi, ils sortaient abattre un animal avec leur flèche ou–ou une lance et ils avaient leurs protéines et tout, et quelques baies. Et ils allaient au lit la nuit, ils menaient une bonne vie normale.

            Mais cet homme, non pas parce qu’il était différent, mais parce que Dieu... Oh ! J’aime vraiment enfoncer cela. Voyez? Parce que Dieu avait vu la grâce dans le coeur d’Abraham, et Il l’a sauvé par élection. Il lui a fait la promesse. «Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, a dit Jésus, c’est Moi qui vous ai choisis.»

            Les gens disaient: «J’ai vraiment peiné et lutté pour chercher Dieu.»

            Oh ! Non. C’est Dieu qui vous a cherchés. Vous ne pouviez certainement pas vous libérer... Aucun homme ne cherche Dieu. Aucun homme n’a cherché Dieu à n’importe quel moment; au contraire, l’homme est un lâche. Il fuit Dieu, mais c’est Dieu qui cherche l’homme.

            Cela a commencé dans le jardin d’Eden: Adam fuyait, il se cachait derrière le buisson, Dieu parcourait le jardin d’Eden, disant: «Adam, Adam, où es-tu?» C’était le Père qui cherchait son enfant perdu. Ce n’était pas l’enfant perdu qui cherchait le Père. C’est pareil aujourd’hui. Oh ! Comme nous pourrions nous attarder là-dessus un moment si le temps le permettait !

28        Mais remarquez, Dieu a appelé Abraham et lui a fait cette promesse, cette alliance, pas de si tu vas, mais J’ai, et non seulement à Abraham uniquement, mais à sa postérité après lui. Et vous dites: «Eh bien, j’aurais bien voulu être un Juif. Peut-être que je serais de la postérité d’Abraham.»

            Paul a dit: «Ce ne sont pas ceux qui sont de la postérité naturelle qui sont Juifs.» Mais regardez, sommes-nous Juifs, la postérité d’Abraham? Oui. Est-ce que la postérité d’Abraham est toujours appelée? Oui.

            La Bible déclare: «Nous qui sommes morts en Christ, nous revêtons la nature de la postérité d’Abraham et nous sommes héritiers selon la promesse.» Ainsi, chaque homme qui est mort à lui-même et qui est né de nouveau dans le Royaume de Dieu par le Saint-Esprit devient une nouvelle créature en Jésus-Christ, et il revêt la nature de la postérité d’Abraham, il a le même Esprit qui conduisait Abraham, qui conduit sa postérité. Amen.

            Excusez-moi de baver. Je mange de ces raisins par ici en Canaan, et cela me fait beaucoup baver parfois.

29        Suivez. Abraham a été choisi par Dieu. «C’est par grâce que vous êtes sauvé, et non par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie.» Est-ce vrai? C’est l’Ecriture, tout aussi claire que la vieille Bible à la couverture noire l’enseigne. Oui, oui. C’est par grâce que vous êtes sauvés.

            Dieu vous appelle: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire premièrement, et tous ceux que le Père m’a donnés viendront à Moi. (Amen.) Celui qui mange Ma chair et boit Mon Sang (C’est-à-dire dignement) a la Vie Eternelle, et Je le ressusciterai au dernier jour.» Amen. «Ceux qu’Il a appelés, Il les a justifiés; et ceux qu’Il a justifiés, Il les a (au passé) déjà glorifiés.» Et ce soir, nous sommes assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ. De quoi avez-vous peur? Dieu a promis ces choses pour les derniers jours, et nous les voyons. Réveillez-vous. Le temps de la visitation est proche, de la part du Seigneur, le rafraîchissement qu’Il avait promis: toutes les deux pluies, la pluie de la première et de l’arrière-saison, toutes les deux, se déverseront dans le dernier jour.

30        Rappelez-vous, le prophète a dit: «Ça sera un jour qui ne sera ni jour ni nuit, ni nuit ni jour.» Ça sera un jour brumeux. Ça a été ainsi pendant deux mille ans, mais le même Saint-Esprit qui a fait jaillir la Lumière sur les Orientaux au début, de ... La civilisation se dirige vers l’Ouest, du point de vue géographique. Nous sommes sur la Côté Ouest. L’Est et l’Ouest se sont joints, mais le prophète a dit: «Vers le soir, la Lumière paraîtra.»

            Nous avions eu assez de lumière pour savoir que Jésus était le Fils de Dieu, pour entrer et adhérer aux églises, commencer des organisations et autres. Mais la puissance de la Pentecôte, de l’ancien temps, qui avait été déversée le jour de la Pentecôte, nos enseignants nous ont dit que c’en était fini de tout cela. C’était réglé. C’était tout.

            Dieu est-Il juste ou injuste? Dieu est-Il vrai ou faux? Le prophète a dit: «Vers le soir, la Lumière paraîtra.» Toute la brume se dissipera, et le même Fils qui avait brillé sur les orientaux brillera sur les occidentaux dans un réveil à l’ancien temps, du Saint-Esprit, tout exactement ce que le prophète avait dit. Et c’est cela.

31        Pierre a dit le jour de la Pentecôte: «C’est ici ce qui.» Et frères, je ne dis pas ceci pour faire une plaisanterie. Mais si ce n’est pas ici ce qui, je vais garder ici jusqu’à ce que ce qui arrive. Amen. La Lumière paraîtra.

            Le voyage de la postérité d’Abraham jusqu’à l’Ouest. Mais maintenant, le même Fils qui s’est levé à l’Est sur les Juifs se couche à l’Ouest sur les Gentils avec les mêmes signes et les mêmes prodiges, le même Saint-Esprit. Chaque Parole de Dieu est vraie. Peut-être seulement si vous demandez à Dieu, Il rassemblera cela pour vous. Voyez?

            C’est juste comme un grand puzzle. Loin de moi l’intention de comparer la Bible à cela, en aucun cas. C’est la sainte Parole de Dieu. Mais vous prenez un jeu de puzzle, et si vous ne faites pas attention, vous allez avoir votre paysage tout embrouillé: Une vache broutant de l’herbe au sommet d’un arbre. Alors, ce n’est pas correct. Vous devez donc bien disposer cela, et Dieu reste le même. Et si vous rassemblez la Bible, et vous voyez qu’Elle forme un seul très grand et beau tableau de la rédemption, Dieu traitant avec Son peuple.

32        Eh bien, pouvez-vous vous imaginer Abraham et Sara... Abraham entrant et disant: «Sara, chérie, tu sais ce qui est arrivé? Je viens de parler à Dieu. Il m’a montré quelque chose.»

            «Oui.»

            «Nous allons avoir un enfant.»

            «Quoi?»

            «Oui.» Abraham, soixante-quinze ans; Sara, soixante-cinq, ils vont avoir un enfant. Il l’avait épousée alors qu’elle avait environ dix-sept ans, et voici, ils sont tous... lui avait environ vingt-sept, il a vécu avec elle toutes ces années. Elle était parfaitement stérile, et maintenant, à l’âge de soixante-cinq ans, environ vingt ans depuis la ménopause, Dieu dit: «Tu vas avoir un enfant.» Pouvez-vous vous imaginer cela? Pouvez-vous vous imaginer?

            Il a dit: «Achète toutes les couches et les épingles et apprête-toi. Nous allons l’avoir.»

            Ce qui est impossible... mais la Bible dit qu’ «Abraham ne douta point de la promesse de Dieu par incrédulité, mais il fut fortifié, rendant gloire à Dieu, appelant des choses qui ne sont pas comme si elles étaient.

33        Etes-vous la postérité d’Abraham ce soir? Amen. Soyez honnête. Si Dieu a promis la guérison divine par Jésus-Christ, et qu’Il est Jéhovah-Jiré, de quoi doutons-nous? Vous êtes la postérité d’Abraham, vous ne doutez pas. Vous croyez cela.

            Eh bien, si vous n’êtes pas né de nouveau, alors, je ne sais pas à ce sujet. Vous pouvez être ballotté par n’importe quoi. Mais si votre coeur est réellement fixé sur Christ et que vous êtes né de nouveau, vous croyez chaque Parole qu’Il a dite comme étant la vérité. Peu importe combien de théologies quelqu’un essaie de répandre et de pousser de côté, et de renvoyer cela à un autre jour. Si la promesse de Dieu est vraie là, elle est vraie ici. Il a promis qu’elle est la même hier, aujourd’hui et éternellement. Il l’est. Et pourquoi fait-Il cela pour quelques-uns et non pour d’autres? C’est parce que certains croient et d’autres ne croient pas. C’est tout ce qui peut être là. Eh bien, nous allons reconnaître que Dieu est vrai.

34        Maintenant, suivez ceci. Abraham avait demandé à Sara de tout apprêter pour avoir l’enfant. Il ne savait pas quand il viendrait. Dieu ne vous dit pas exactement quand votre guérison va s’opérer, mais Il a promis de vous l’accorder. Voyez? Il a donc dit... Abraham a dit: «Maintenant, quand–quand allons-nous avoir cet enfant?»

            «Eh bien, ce n’est pas ton affaire. Va de l’avant. Je te l’ai annoncé. C’est tout ce que tu as à faire, c’est savoir que Je l’ai promis. Et Je suis fidèle à Ma Parole.»

            «Eh bien, a dit Abraham, alléluia, je le crois.» Et il s’en est allé de lieu en lieu, annonçant à tout le monde qu’il aurait un enfant, Sara et lui, lui, soixante-quinze ans, et elle, soixante-cinq. Pouvez-vous vous imaginer cela?

            Quoi? S’avancer vers un médecin aujourd’hui. Un vieil homme prendre sa vieille femme de soixante-cinq ans et dire: «Eh bien, doc, j’aimerais prendre des dispositions pour l’hôpital.» Eh bien, vous savez, on penserait qu’il est fou. Et tout homme qui prendra Dieu au Mot sera considéré comme fou, aux yeux du monde. C’est de la folie pour le monde. Mais remarquez, Sara avait cru cela aussi, avec Abraham.

35        Et ils ont dit: «Séparez-vous.» Oh ! Voilà le moment. C’est ce qui est si contraire au monde aujourd’hui. Vous connaissez tout... Les gens aiment de bons mélangeurs.

            Quand vous choisissez votre nouveau pasteur à la conférence, vous votez pour un petit bonbon mou... (Excusez cette expression), mais un petit homme qui est un mélangeur. «Oh ! Il est gentil; il sort. Il amène les enfants à la natation, tous les enfants là à la natation. Et–et, oh ! il organise des fêtes entre amis; et nous avons des dîners au sous-sol, et–et nous... Il nous laisse toujours sortir tôt, il ne parle pas plus de vingt minutes, afin que nous puissions suivre le nouveau Molly-Dolly à la télévision», et tout, comme cela. C’est le genre que vous voulez. C’est vrai.

            Vous voulez les mélangeurs, mais Dieu veut les séparateurs. Le Saint-Esprit a réclamé que Paul et Barnabas soient séparés. Oh ! Oui. Vous voulez quelqu’un qui a l’air d’une star de cinéma, de Hollywood, avec des tresses comme une jeune fille et qui agit de même. Vous savez que beaucoup de gens recherchent ces genres de personnes: col retourné, une redingote avec queue sur un oeillet et, oh ! vous savez ce que je veux dire.

36        Je suis allé suivre un prédicateur ici il n’y a pas longtemps, il a changé deux fois de costumes pendant qu’il prêchait. Ô Dieu... Oh ! la la ! Regardez, ami, je suis simplement assez vieux jeu pour ne pas croire dans ce réveil à la Hollywood qui est en cours aujourd’hui. J’aime la religion à l’ancienne mode, du fond des bois, au ciel bleu, qui tue le péché, qui ne blanchit pas à la chaux, mais qui rend blanc, qui rend un homme pur. C’est vrai. Il nous faut retourner à l’ancien bon réveil, à la saint Paul, et au Saint-Esprit de la Bible une fois de plus, pas de salle de souper [Supper room] mais une chambre haute [Upper room]. C’est vrai. Retournez à la Bible.

37        Vous savez, l’homme choisit d’après les yeux. Dieu choisit d’après le coeur. Il y eut une fois un homme qui était parti oindre un roi à la place de Saül. Le prophète s’est avancé avec une–une grande gourde pleine d’huile pour oindre un des fils d’Isaï. Isaï étant un homme, il a dit: «Assurément. J’ai un garçon qui convient à cela. Il est grand de sept pieds [2 m]. Faites-le venir.» Comme il aura un air convenable avec cette couronne sur sa tête, sa robe sacerdotale et tout sur lui. «Oh ! Il sera un vrai roi pour Israël.»

            On l’a fait sortir et le prophète a dit: «Très bien. Je vais l’oindre.» Le voici courir.

            Dieu a dit: «Je l’ai rejeté.»

            Il a dit: «Eh bien, j’ai un autre, juste un tout petit peu plus court que lui. Peut-être que ça sera celui-là. Oh ! Il a des épaules droites et il a tel aspect.» Il a dit: «C’est celui-là.» Il a dit: «Je vais le faire sortir.»

            Le prophète a dit: «Je vais l’oindre.»

            Dieu a dit: «Je l’ai rejeté.» Il a continué jusqu’à faire venir six d’entre eux. Dieu a dit: «Je les ai rejetés tous.»

            Il a dit: «En avez-vous un autre?»

            Il a dit: «Oui, un petit monsieur mince, maigre, il est en train de paître les brebis là derrière.»

            Il a dit: «Allez le chercher et...»

            Il a dit: «Oh ! la la ! Certainement que Dieu ne se mêlera pas à quelque chose du genre.»

            «Au contraire, a-t-Il dit, c’est lui que J’ai choisi. Déverse cette huile sur lui.» Amen. Dieu regarde au coeur. Amen.

38        Remarquez. Sara s’était apprêtée. Ils avaient tout apprêté. Ils ont effectué un voyage, ils s’étaient séparés, ils étaient appelés à sortir. Ils étaient l’Eglise du Dieu vivant en ce temps-là. Eglise veut dire Les appelés à sortir, ceux qui sont appelés à sortir. Et ils effectuaient le voyage comme des pèlerins et des étrangers, confessant être pèlerins et étrangers et à la recherche d’une cité dont Dieu est le Constructeur et l’Architecte, ne sachant pas où ils allaient, mais ils allaient par la foi. Oh ! C’est beau, n’est-ce pas? Oh ! J’aime vraiment Sa Parole. Ces vieilles pépites, j’aime... Je suis un prospecteur. J’aime creuser, trouver des pépites, les raffiner, et les placer là. Tout ce que vous trouvez pointe vers le Calvaire. Oui.

39        Et les voici partir, ce vieil homme et sa femme, son neveu, ils entreprennent la traversée du pays pour être des pèlerins et des étrangers. Et pendant qu’ils partaient, Dieu l’a rencontré, Il a dit: «Maintenant, Abraham, Je vais rendre ta postérité comme la poussière de la terre.»

            Le premier mois s’écoula. «Sara, ma chère, est-ce–est-ce que ça va?»

            «Non. Pas de changement.»

            «Oh ! Il n’y en a pas?»

            «Non.» Le deuxième mois s’écoula.

            «Sara, qu’en est-il, chérie?»

            «Pas de changement, Abraham.»

            «Alléluia ! Nous allons l’avoir de toute façon.» Six mois s’écoulèrent. «Sara, sens-tu un changement?»

            «Pas de changement du tout.»

            «Gloire ! Nous allons l’avoir de toute façon.»

            Pourquoi? Dieu l’a dit. C’est réglé. Une année s’écoula.

            «Sara, comment te sens-tu maintenant?»

            «Pas de changement.

            «Alléluia ! Nous allons l’avoir de toute façon.» La Bible dit: Au lieu de faiblir davantage comme nous, il se fortifia de plus en plus, parce que ce serait plus un miracle lorsqu’il avait soixante-six ans que lorsqu’il avait soixante-cinq. Et elle n’a point eu d’enfant jusqu’à ce qu’elle eût cent ans. Gloire ! Il mit tout de côté, car il savait que ça allait arriver, il se réjouissait, il attendait le jour où Dieu accomplirait Sa promesse et il se fortifiait davantage tout le temps.

40        Oh ! Si on priait pour nous, et que le lendemain nous ne nous sentions pas tout à fait bien. «Eh bien, je suis la postérité d’Abraham, mais je–j’ai simplement manqué cela, je pense.» Oh ! Vous, piètre excuse ! La postérité d’Abraham croit Dieu, prend Dieu à Sa promesse, et elle appelle ces choses qui ne sont pas comme si elles étaient. Amen.

            Remarquez. Ils sont allés de l’avant. Dieu lui est apparu, Il lui a parlé de tout ce qu’Il ferait, et peu après, Abraham a commencé à devenir plus âgé. Il a atteint quatre-vingt-dix ans environ, et il a dit: «Maintenant, qu’en est-il de cela, Seigneur? Suis-je...vais-je avoir l’enfant tout de suite?»

            «Eh bien, Abraham, sur quoi M’interroges-tu? Eh bien, Je t’ai dit que tu aurais l’enfant. C’est réglé.»

            «Très bien, Seigneur. Voudras-Tu juste me laisser regarder au-delà du rideau du temps une fois? J’aimerais savoir comme Tu vas le faire. Tu sais, Seigneur, je ne doute pas de Ta Parole, mais je–je–j’aimerais regarder au-delà du rideau.»

            Frère, combien nous aimons tous regarder au-delà du rideau. Avez-vous déjà entendu ce cantique: J’aimerais regarder au-delà du rideau du temps? Tout le monde aimerait regarder au-delà du rideau. Vous savez que Dieu est très bon envers nous.

            Il a dit: «Alors, viens ici, Abraham. Je vais simplement te laisser jeter un coup d’oeil au-delà du rideau. Je vais te montrer comment Je vais faire cela.» Voyez?

41        Alors, il l’a fait sortir là un après-midi. Il a dit: «Maintenant, J’aimerais que tu ailles Me prendre une chèvre de trois ans. J’aimerais que tu Me prennes une génisse de trois ans, et J’aimerais que tu Me prennes un bélier de trois ans, une tourterelle et un jeune pigeon.»

            Et Abraham est allé et les a attrapés. J’aurais bien voulu que nous ayons le temps d’aborder ce que ces... ce qu’ils représentaient. Mais remarquez, il a découpé la chèvre en deux. Il a découpé la génisse en deux, il a découpé le bélier en deux, mais la tourterelle et le jeune pigeon, il ne les a point découpés (Chapitre 16 de la Genèse.) Il n’a jamais découpé ceux-là. Pourquoi? La tourterelle et le pigeon représentaient la guérison divine. Les dispensations de la grâce avaient changé; c’est vrai, entre la loi et la grâce et tout, mais la guérison divine est restée toujours la même sous chaque alliance, dans toutes les conditions. Exact.

42        Il a alors dit: «Découpe-les.» Il les a découpés en deux, il les a disposés l’un vis-à-vis de l’autre. Et alors, Il a dit: «Abraham, J’aimerais te montrer, Mon enfant (Juste à quatre-vingt-dix ans), J’aimerais te montrer donc comment Je vais faire cela donc.»

            Eh bien, Abraham a dit: «J’aimerais voir, Seigneur.» Eh bien, la première chose, la Bible dit que Dieu a fait tomber un sommeil profond sur Abraham, un sommeil profond.

            «Abraham, Je vais te montrer que tu n’as rien à faire avec ça. Je vais le faire Moi-même.» Le travail se fait bien quand c’est Lui qui le fait. Oui, frère, c’est là que je me repose, là même. Dieu l’a dit.

            Je ne suis pas sauvé ce soir parce que je me sens comme cela. Je ne suis pas sauvé par des sensations. Je suis sauvé parce que j’ai cru cela et que j’ai rempli les conditions exigées par la Bible. Le diable peut vous flouer. Demain matin, vous pouvez vous lever avec des maux de tête et sentir comme si vous êtes éloigné à des millions de kilomètres, mais la grâce de Dieu tient ferme. Oui, oui. Oui, oui, pas ce que vous sentez, mais ce que vous croyez.

            Jésus n’a jamais dit: «Avez-vous senti cela?» Il a dit:» Avez-vous cru cela?» Et c’est vrai. Voilà la différence, une bonne différence: Ce n’est pas par les sensations, mais par la foi.

43        Et Abraham, Dieu l’a pris et Il l’a fait dormir. Maintenant, montrant... «Abraham, Je vais te mettre hors du tableau. Il n’y a rien que tu puisses faire à ce sujet. Je–Je vais faire cela Moi-même. Je vais te montrer comment Je vais m’y prendre, Abraham.»

            Il a donc fait dormir Abraham, et quand Abraham s’est endormi... Il avait chassé les oiseaux de proie jusqu’au coucher du soleil, les éloignant des corps des animaux morts. Et puis, quand Abraham s’était endormi, tout d’un coup, une obscurité horrible est apparue devant lui: La mort qui s’abat sur chaque homme, la séparation, il n’arrive pas à voir où il va. Tout homme non régénéré est passible de mort. La mort est ce qui frappe en premier la race humaine, à cause de la transgression de la Parole de Dieu. Et puis, après cela, il a vu la fumée, une fournaise ardente. Chaque pécheur mérite d’aller en enfer. Chaque être humain devrait aller en enfer. Exact. Premièrement, la mort, après la mort, l’enfer: C’est ce qu’Il a promis.

            Mais remarquez, il a vu ensuite une petite Lumière passer, une petite Lumière. Oh ! la la ! Cette petite Lumière s’élevait et passait entre ces deux morceaux de chair, faisant des va-et-vient entre eux. Abraham, étant un prophète, sut ce que cela représentait. Dieu lui montrait ce qu’Il allait faire au Calvaire. Il lui permettait de voir au-delà du rideau et voir le Calvaire là. Au travers de la semence d’Abraham, au travers d’Isaac, Christ allait venir et le Sacrifice allait être offert.

44        Maintenant, exprimons cela dans le langage des orientaux afin qu’il puisse comprendre cela. Aujourd’hui, si frère Jeffries et moi concluions un accord l’un avec l’autre, eh bien, je lui prendrais la main, je dirais: «Serre-la-moi, Frère Jeffries.» C’est ça l’accord en Amérique. C’est ainsi que nous concluons un accord l’un avec l’autre. Nous nous serrons la main, la main droite d’association. «Venez à l’église, frère.» Ce–c’est la main droite. C’est un accord.

            En Chine, ou plutôt au Japon, là-bas, quand on conclut un accord, ils font un accord entre eux, et puis, ils prennent un petit pot contenant du sel, ils se tiennent là et se jettent du sel l’un sur l’autre. C’est ça l’accord au Japon.

45        Mais en Orient à l’époque, quand on concluait un accord, voici comment on s’y prenait: Vous faites un accord, vous le rédigez entièrement, tous les termes de votre accord. Très bien. Et puis, vous vous avancez, vous tuez un animal, vous le découpez en deux. Et vous vous tenez entre ces deux morceaux de chair morte, et vous vous juriez l’un à l’autre que si on brisait cette alliance, que votre corps soit comme celui de cet animal mort. Puis, on prenait cette alliance et on la déchirait. Un homme prenait un morceau, un autre, un autre morceau. Et quand cette alliance était confirmée, quand cela était assemblé, les deux morceaux s’accordaient parfaitement, lettre par lettre. Et votre voeu était tel que si vous ne le teniez pas, que vous soyez comme cet animal mort qui est mort pour confirmer cette alliance. Voyez-vous cela?

            Qu’est-ce que Dieu a donc fait? Au Calvaire, Il a pris Jésus-Christ, Son Fils, Il l’a cloué sur la croix, et Il L’a déchiré en deux. Il a séparé l’âme du corps, Il a amené le corps au Ciel et Il a renvoyé le Saint-Esprit à l’Eglise. De la sorte, en ce jour-là, le même Esprit qui était sur Jésus-Christ doit être dans Son Eglise pour s’accorder l’un avec l’autre en ce jour-là, et Dieu a juré par Lui-même qu’Il ressusciterait cette Eglise, une Eglise glorieuse. Comment Cela peut-il faillir? C’est l’alliance perpétuelle et éternelle de Dieu, Il a juré par Lui-même. Il tiendra Sa promesse. Amen. Oh ! J’espère que vous voyez cela.

46        Comment pouvez-vous faillir? Je peux faillir. Il n’est plus question de savoir si je faillis; il est question de savoir s’Il a failli. Il n’a pas failli, et Dieu a confirmé cela en Le ressuscitant d’entre les morts. Et aujourd’hui, le même Saint-Esprit qui était sur Jésus-Christ est dans l’Eglise, rédigeant la même alliance qu’Il avait conclue jadis, faisant la même chose qu’Il avait faite jadis. Et l’Eglise croit en Lui, et les incroyants doutent de Lui, et Le taxent de Béelzébul, de démons et tout, comme ils avaient fait jadis. Voilà la différence entre le peuple de l’alliance et les gens qui n’ont pas d’alliance.

            Christ est mort, et Il était devenu un homme. Il a porté nos péchés sur Lui, Il est allé là, Il a été cloué à la croix, Son âme a été détachée de Lui, et elle a été jetée dans le séjour des morts, Dieu L’a ressuscité le troisième jour pour notre justification et Il nous a renvoyé le Saint-Esprit, et le corps glorifié de Son Fils est assis sur Son Trône au Ciel. Observez quel type il y a là.

47        En Egypte, quand les pauvres Juifs étaient tout battus... Joseph étant un–un type de Christ, il était né un voyant. Il avait des visions. Il était haï de ses frères, aimé de son père. Il n’y pouvait rien au fait d’avoir des visions. Il était un jeune homme spirituel. Dieu l’avait créé ainsi, et le père l’aimait; mais ses frères le haïssaient, un type de l’Eglise aujourd’hui. Le chrétien charnel hait les choses spirituelles, il hait le surnaturel, il hait le spirituel né de nouveau, il hait la–la grande action de Dieu, il hait cela sans cause. C’est vrai. Ne leur refusez pas le titre de chrétiens, mais ils haïssent... le naturel hait toujours le spirituel.

            Maintenant, suivez. Il a été vendu pour trente pièces d’argent, pratiquement trente pièces comme Jo-... Christ l’a été. Il a été jeté dans une fosse, considéré comme mort, on l’en a fait sortir et il a été placé à la droite de la plus grande ville, la ville commerciale du monde. Et quand il passait, tout le monde se prosternait devant Joseph. Et aucun homme ne pouvait venir à Pharaon sans passer par Joseph. Et aucun homme ne peut passer... ne peut venir à Dieu sans passer par Christ. Et chaque genou fléchira et chaque langue Le confessera. Et quand il était dans sa prison là, l’échanson et le panetier... l’un fut perdu et l’autre, sauvé, juste exactement comme là sur la croix: l’un fut perdu et l’autre, sauvé.

48        Et puis, il a laissé son corps comme un mémorial. Il a dit: «Ne m’enterrez pas.» Je suis censé avoir posé mes mains sur ce vieux cercueil en cuir où il était étalé, cela est censé être au musée là en Angleterre, il n’y a pas longtemps, mais dans ce corps... et ces os gisaient là. Il a dit: «N’amenez pas mes os avant que vous sortiez d’ici.» En effet, il croyait que Dieu visiterait le peuple comme Il l’avait dit. Il était la postérité d’Abraham, aussi a-t-il pris Dieu à Sa promesse.

            Et chaque homme, Juif, avec son dos battu à coup de martinet, de badine et des verges d’Egypte, qui passait par là, regardait le corps de Joseph, et disait: «Un jour, nous rentrerons à la maison.» C’est exact.

            Et aujourd’hui, nous pouvons regarder à notre Joseph, à une tombe vide. Alors que nous ensevelissons nos bien-aimés, nous disons: «Un jour, nous retournerons à la maison.» Et quand nous arriverons là, nous sommes nés pour cette terre ici. Nous ne deviendrons jamais des anges. Dieu ne nous a jamais créés des anges. Il nous a créés des hommes et des femmes. Nous le resterons toujours. Nous aurons un corps céleste là.

49        Le genre de corps que nous aurons quand nous serons là n’a pas encore été manifesté, mais, eh bien, je ne pourrais pas manger, ni boire ni dormir comme je le fais ici, mais ça sera un–un–un corps, mais pas le corps glorifié et ressuscité. Et les âmes sous l’autel criaient: «Seigneur, jusqu’à quand?»

            Et tout le temps qu’ils étaient sous l’autel et qu’ils levaient les yeux, il y avait le véritable Seigneur Jésus ressuscité et glorifié, qui était là, montrant qu’un jour Il quittera Son Trône là, Il viendra sur la terre et tout celui qui est mort en Christ viendra avec Lui et recevra un corps semblable à Son propre corps glorieux. Nous Le verrons Tel qu’Il est. Oh ! La Bible se rattache et forme un grand et beau tableau.

50        Il a dit: «Abraham, c’est ce que je vais faire. C’est ainsi que Je vais m’y prendre.» Et Il s’est avancé là. Maintenant, regardez. Il a dit: «Abraham, compte les étoiles du ciel si tu le peux. Ils sont innombrables.»

            Il y a quelque temps, j’étais sur le mont Wilson, là où on peut regarder à travers ce grand observatoire, ce grand télescope, et voir cent vingt millions d’années-lumière. Eh bien, combien de neufs faudra-t-il pour convertir cela en miles? Cent vingt millions d’années lumière, et au-delà de cela, il y avait toujours des lunes, des étoiles et ainsi de suite, le grand système solaire. Et je me suis tenu là, étonné. Je me suis dit: «Pensez-y. Mon Père céleste a simplement fait: ‘Ouf.’ Il a soufflé de Ses mains comme cela, Il a mis cela en place, et cela Lui obéit.»

            Il était assez grand pour faire cela et Il est devenu assez petit pour me sauver. Il est devenu moi afin que moi, je devienne Lui. Christ était devenu un pécheur, afin que, par Sa pauvreté nous puissions recevoir Ses richesses et être des fils et des filles de Dieu. Amen. Cela ne ferait-t-il pas crier un méthodiste, pratiquement d’y penser? Assurément que cela le ferait. Pensez-y. Ce n’est pas une histoire fictive. Ce n’est pas le père Noël. C’est la Sainte Bible éternelle de Dieu, et Elle est tout aussi vraie que nous sommes assis ici.

51        Remarquez. Il a dit... Eh bien, suivez, dans Genèse 13, Il a dit: «Ta postérité sera comme la poussière de la terre.» Après qu’Il lui eut donné la promesse, Il allait confirmer la promesse, Il a dit: «Ta postérité sera comme les étoiles.» De la poussière de la terre aux étoiles. Oh ! Voyez-vous cela? La résurrection, de la poussière de la terre aux étoiles. (Amen.), de la poussière moussue, gluante et étincelante à l’étoile brillante. Et c’est ce qui est au-devant des étoiles, la plus grande, l’Etoile du matin, C’était Christ, les prémices de ceux qui dormaient. Alléluia !

            Regardez ce que quelques quarante ans m’ont fait. Je deviens un vieil homme, aux épaules affaissées, au visage ridé, chauve, mais, oh ! la la ! l’Etoile du matin n’a pas perdu un seul éclat depuis le jour où Dieu l’a placée là dans le ciel, et la Bible dit que nous brillerons plus que les étoiles un jour, et tout...?...

            De quoi avez-vous peur? Dieu a promis et Il l’a juré par la mort de Christ qu’Il le ferait. Et Il vous a appelé par la grâce souveraine, et Il vous a élu avant la fondation du monde. Amen.

52        Pourquoi Christ a-t-Il été appelé l’Agneau immolé avant la fondation du monde? Dieu, au commencement, quand Il a vu ce que Satan a fait, qu’il avait perverti ce qu’Il avait créé de bien... Satan ne peut pas créer, vous le savez, Satan est...

            Tout ce que Satan a, c’est quelque chose qui appartenait à Dieu et qu’il a perverti. C’est vrai. Il l’a perverti, et quand Dieu a vu ce qu’il a fait, Dieu s’est d’abord mis à réfléchir. Oh ! la la ! C’est alors qu’Il vous a vu. C’est alors qu’Il m’a vu. Amen.

            Eh bien, la Bible dit: «Au commencement était la Parole et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.» Eh bien, tant... une parole, c’est quoi–c’est quoi? Une parole est une pensée exprimée. Ainsi donc, tant que c’était une pensée, ce n’était pas matérialisé, ce n’était pas... ça ne pouvait pas encore l’être. Mais une fois que Dieu l’a exprimée, c’était tout aussi bien terminé en ce moment-là même. Oh ! la la ! Cela ferait crier un pentecôtiste.

            Pensez-y. Dieu, avant la fondation du monde, vous a vu. Vous n’étiez pas là, mais vous étiez dans Son Esprit. Il a vu cela. Par conséquent, par prescience, Il a pu annoncer cela d’avance. C’est pourquoi Il a comparé Ses prophètes aux aigles. Ils montent haut pour voir la lumière du soleil avant qu’elle soit là. Voyez? Oh ! la la ! N’est-Il pas merveilleux? Ne L’aimez-vous pas? Tout par la grâce, non pas parce que vous le méritez, parce qu’Il l’a dit. Il–Il–Il–Il vous a appelé. Vous ne L’avez jamais appelé. C’est Lui qui vous a appelé. Oh ! Quel... Comment pouvez-vous rejeter cela?

53        Pensez-y. Il arrivera un temps où ils vont... L’un de ces jours, votre... quand ce vieux monde aura été frappé par la puissance atomique, qu’il restera là tournant dans l’espace et hurlant avec le sable chaud de la déflagration, une fois qu’il aura été projeté dans le soleil, cette fois-ci... La première fois, il a été projeté loin du soleil, et c’est ce qui a amené l’eau... la chaleur par le froid. Et cette fois-ci, il sera projeté vers le soleil et tout explosera et volera en éclats, et le vent hurlera, et votre pierre tombale pourra briller sur le sable, mais vous serez quelque part.

            Mais pensez-y, par la grâce souveraine de Dieu, Il vous a donné l’opportunité de venir à Lui. Pensez-y. Il n’est pas étonnant que quand les océans se seront déversés dans les déserts, Il restera toujours le Dieu aimable. Quand la lune et les étoiles manqueront de briller, Il sera toujours Dieu.

            Il a dit: «Les cieux et la terre, le système solaire, des millions d’années et d’espace lumière passeront, mais Mes Paroles ne passeront point. Quand il n’y aura plus de mer, plus de désert, plus de montagnes, qu’il n’y aura plus de monde, Ma Parole demeure toujours la même, la même, la même.» Celui qui a fait la promesse... Qui a fait la promesse? C’est Lui. Non seulement Il a promis cela, mais Il a juré par Lui-même, car, il n’y avait pas d’autre plus élevé par qui jurer. Il a juré par Lui-même qu’Il tiendra cela. Oh ! la la !

54        Suis-je ancré? Amen. Oh ! Cache mon âme dans le sein d’Abraham. Gloire ! Vous allez me taxer d’un saint exalté après tout, vous feriez donc mieux de commencer tout de suite.

            Oh ! la la ! Pensez-y. Comme le poète l’a dit ce matin-là, l’un de ces jours, quand Il reviendra, oh ! la la ! je peux voir Adam se réveiller et secouer la tête, secouer Ève et dire: «Chérie, réveille-toi. Ça y est.»

            Ève tend la main, saisit Seth et dit: «Seth, allons.» Seth saisit Noé. Noé saisit Abraham, Abraham saisit Isaac. Isaac... Jacob. Eh bien, ils continuent simplement à se secouer les uns les autres, descendant jusqu’au bout.

            Il vient. Dieu l’a promis. Chaque Parole est vraie. Chaque Parole, chaque ligne, chaque chapitre, chaque verset. «Tous les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point.» Dieu l’a dit. Cela le confirme. Cela Le confirme du moment qu’Il l’a dit.

55        Je peux voir Abraham se tenir là, les yeux levés vers les cieux, et il baisse les yeux vers la terre: «Seigneur, Tu l’as dit. Je le crois.» Le voilà commencer, il saisit cette vieille canne, il entre dans la tente et dit: «Sara, nous allons l’avoir de toute façon.» Amen.

            Juste un petit entretien avec Jésus confirme cela. Laisse-moi regarder au-delà du rideau du temps. Il le confirmera. C’est vrai. Il est en train de le faire. Il fait cela chaque fois. Il le fera ici ce soir. Il est ici même maintenant.

            Abraham avait alors quatre-vingt-dix-neuf ans, vingt-cinq ans après que la promesse lui avait été donnée, il était toujours fort. Amen. Eh bien, le sein de Sara était desséché. Abraham était mort. Sa semence était morte en lui, mais pas la Parole de Dieu. Peu importe combien vous êtes mort, tant que cette Parole est là-dedans, il y a la vie. Pouvez-vous recevoir Cela ce soir? Pouvez-vous recevoir la Parole?

            «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies. Tournez le regard vers Moi, vous toutes les extrémités de la terre, et soyez guéries. (Amen !) Il était blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Voyez, Dieu l’a promis. Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Je me ferai connaître à chaque génération jusqu’à la fin du monde. Je serai avec vous, même en vous. Vous en ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Vous ferez même davantage, car le réveil aura lieu à travers le monde, et maintenant même, le feu est en train de brûler sur chaque colline. Alléluia ! C’est quelque chose d’universel maintenant. Ce n’est pas seulement à Charlotte. C’est dans le monde entier. Dieu envoie des anges rassembler les élus de quatre vents de la terre. La postérité d’Abraham doit apparaître. Amen. Oh ! Ne vous sentez-vous pas très bien quand vous... Le Saint-Esprit...?...

56        Abraham ne faisait que se baigner simplement dans la beauté de Dieu. Je peux L’entendre dire: «Viens ici, Abraham.» Genèse 17, maintenant. Et Dieu lui est apparu sous le Nom d’El-Shaddaï, le Tout-Puissant. «El-Shaddaï», ce mot–ce mot est un mot hébreu qui en fait veut dire les seins (Je suis votre frère maintenant), comme les seins de la femme qui allaite un enfant. En d’autre termes: «Abraham, tu sais comment Je vais faire cela? Tu sais, tu es vieux. Tu as cent ans, et Sara en a quatre-vingt-dix; mais Je suis Celui qui porte des seins, le Dieu Porteur des seins. Maintenant, Abraham, Je sais que tu es vieux, mais Je porte des seins. Eh bien, tout ce que tu fais, c’est simplement t’appuyer directement sur Ma Parole et téter de Moi la force comme un petit enfant.

            Prenez un petit enfant quand il est malade et agité, il se blottira contre sa mère et tétera, absorbant la vie de la mère. Et non seulement pendant qu’il tète, il arrête de s’agiter. Comprenez-vous cela? Il arrête de s’agiter, et il est satisfait. Il se blottit simplement contre sa mère et se met à téter. C’est tout. Tant que la mère entoure l’enfant de ses bras et que ce dernier tète la maman, il est très bien satisfait.

            Et tout le temps qu’il tète, il consomme des vitamines qui l’édifient. Et un homme, peu importe combien vous êtes malade, votre âge, combien vous êtes enfoncé dans le péché, appuyez-vous contre le Dieu Porteur des seins et mettez-vous à téter; des vitamines spirituelles vous feront crier, louer Dieu, parcourir les allées peu après, satisfait au possible. C’est vrai. Il a toutes les calories dont vous avez besoin.

57        Remarquez. Non seulement Il était un sein, mais Il avait des seins, pas un seul sein, mais deux seins, le Porteur des seins, le Tout-Suffisant, le Tout-Puissant, le Tout-Puissant. Il avait deux seins: l’un était pour la guérison de votre âme, et l’autre était pour la guérison de votre corps. «Il était blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Amen ! Oh ! Je suis très content ce soir de savoir que je Le connais dans la puissance de Sa résurrection par Sa grâce, quand Il appellera d’entre les morts. Oh ! la la !

            Je... Je me suis écarté de mon texte, ou je m’en approche plutôt. Nous commencerons là demain soir. Laissons cela aller. Il est temps pour le service de guérison. Je–je ne m’en étais pas rendu compte. Je ne pensais pas qu’il était déjà vingt-une heures. C’est le temps d’arrêter. L’aimez-vous?

            Oh ! Comme le poète a dit:

Oh ! je désire Le voir, contempler Sa face,

Chanter là pour toujours Sa grâce qui sauve;

Dans les rues de Gloire, laissez-moi élever ma voix;

Les soucis sont complètement passés,

Je suis enfin à la maison,

Pour me réjouir pour toujours.

58        Oh ! Que c’est beau ! Que c’est merveilleux de se reposer sur Sa promesse ! Faites-Lui simplement confiance. Il a fait la promesse: Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, en vous (partout où vous êtes assemblés) jusqu’à la fin du monde.» Quelle belle promesse !

            Il ya quelque temps, un négociant d’esclaves parcourait le Sud du temps de l’esclavage, et il y avait... on achetait des esclaves comme on achète des véhicules aujourd’hui. Et beaucoup d’esclaves avaient quitté leurs foyers. On les battait et tout. Ils ne voulaient pas travailler. Ils savaient qu’ils ne retourneraient jamais chez eux. Les Boers les avaient déportés de l’Afrique et les avaient vendus ici comme esclaves, alors, ils étaient découragés. Peut-être que la maman et le papa étaient là, et les enfants ici, séparés ici et là, ils ne se reverraient plus jamais. Ils ne travaillaient pas très bien. On devait les faire travailler à coup de fouet. Mais ils passaient et un homme pouvait, comme dans le commerce, passer acheter un grand tas d’esclaves à vil prix, les emmener pour les revendre dans une plantation. Ils se faisaient de l’argent sur eux, des négociants.

59        Alors, un jour, un négociant arriva dans une certaine plantation et... Je ne sais pas pourquoi je raconte ceci. Mais de toute façon, quand il arriva à cette plantation, il vit tous les esclaves, et on avait à les fouetter, sauf un jeune homme. Oh ! Il était brave, menton relevé, les épaules redressées, le moral haut. Il faisait tout ce qu’on voulait qu’il fasse. Alors, le négociant a dit au–au propriétaire de la plantation: «J’aimerais acheter cet esclave-là.»

            Il lui a dit: «Celui-là n’est pas à vendre.»

            Il a demandé: «Pourquoi?» Il a dit: «Qu’est-ce qui le rend ainsi, si brave?»

            Il a dit: «Je le remarque. Oui, monsieur. Il est bien à l’oeuvre tout le temps, tête haute, un homme brave.»

            Il a dit: «Je te donnerai le double du prix de ce que je donnerai pour un esclave ordinaire.»

            Il a dit: «Tu ne peux pas l’acheter même au quintuple du prix.» Il a dit: «Il n’est pas à vendre.»

            Il a dit: «Eh bien, pourquoi?» Il a dit: «Est-ce lui le chef des autres?»

            Il a dit: «Non, monsieur.»

            Il a dit: «Le nourrissez-vous différemment des autres?»

            Il a dit: «Non, monsieur. Ils mangent tous ensemble à la cuisine.» Il a dit: «Ils mangent tous la même nourriture, ils sont tous... ils sont bien les mêmes. Il est juste un esclave.»

            Il a dit: «Qu’est-ce qui le rend si différent des autres?»Il a dit: «Eh bien, je ne le savais pas moi-même, jusqu’à ce qu’un jour, j’ai découvert que son père était le roi d’une tribu, et quand bien même il est loin de chez lui, il continue à garder le moral des autres haut.» Il a dit: «Il est conscient qu’il est un fils du roi.»

60        Ô frère, peu m’importe ce que fait un peu de cette petite prédication d’une nuit. Frère, relevez votre menton; nous sommes fils et filles de Dieu. On a fait de nous des étrangers ici, mais notre Père est Roi. Croyez Dieu. Advienne que pourra, conduisez-vous comme des fils et des filles de Dieu. Vous femmes, ôtez le maquillage de votre visage. Laissez pousser vos cheveux une fois de plus. Vous hommes, jetez ce cigare de votre bouche, allez là et agissez comme des fils et des filles de Dieu. Laissez tout ce bréchet ici, flirter tout, et soyez... conduisez-vous comme des fils et des filles du Roi. Prions.

61        Notre Père céleste, je suis très content ce soir de savoir que nous sommes des enfants du Roi céleste. Ce que nous serons à la fin n’a pas encore été manifesté, mais nous savons que nous aurons un corps semblable à Son corps glorieux, car nous Le verrons tel qu’Il est, quittes de maladie, du péché, de soucis, de peines, assis à Ses pieds, de nouveau à la maison, papa et maman, tout le monde là.

            Dieu bien-aimé, je Te prie ce soir de sauver les perdus. Peut-être que de bons méthodistes, baptistes, presbytériens sont rétrogrades, des pentecôtistes, des pèlerins de la sainteté, quelqu’un ici qui s’est éloigné de Dieu. Ô Père, nous Te prions ce soir de les ramener à la maison. Ce pauvre garçon et cette pauvre jeune fille de Dieu perdus, ici, qui ne T’ont point encore accepté, Tu as frappé à leur porte. Tu ne veux pas qu’aucun périsse, mais que tous arrivent à la repentance; et Tu as appelé et appelé, et ils ne veulent pas répondre. Puissent ce soir, puissent-ils répondre par ceci: «Oui, Seigneur, maintenant je viens. Je crois. Sur base de la Parole du Seigneur, j’accepte Christ comme mon Sauveur.»

62        Pendant que nous avons nos têtes inclinées et que tout le monde est en prière, je me demande si ici dans la salle principale, s’il y a quelqu’un qui aimerait lever la main pour dire par cela: «Frère Branham, j’aimerais juste que Dieu voie ma main, que je reconnaisse que je suis en erreur et que j’aimerais être en ordre avec Dieu.» Nous n’avons aucun moyen de faire l’appel à l’autel pour vous faire venir ici afin de prier, mais j’aimerais si... pendant que tout le monde est en prière, que tous les yeux sont fermés, si...

            Et, chrétiens, surtout, priez en ce moment-ci. Voudriez-vous simplement lever la main, ami pécheur, pour dire: «Que Dieu soit miséricordieux envers moi»? Voudriez-vous le faire? Quelqu’un? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Vous avez peut-être fait beaucoup de grandes choses dans votre vie, mais c’est la plus noble chose que vous ayez faite.

63        Là-haut au balcon, les rangées latérales ici, dans les sièges, y a-t-il quelqu’un qui aimerait lever la main? Que Dieu vous bénisse, là-haut, monsieur. Je vous vois. Quelqu’un d’autre? Je... uniquement à Christ maintenant, vous ne levez pas votre main vers moi. C’est vers Christ. Dieu connaît votre coeur. C’est à vous qu’Il parle. Et s’Il parle, levez alors la main pour dire: «Oui, Seigneur. J’ai été en erreur. Je–j’ai été élu pour être la postérité d’Abraham. Tu m’as appelé, Tu m’as appelé maintenant. Je ne T’avais jamais accepté jusque là, mais maintenant, je vais essayer cela, maintenant même. Je vais lever la main pour dire: ‘Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi, pécheur.’ Et à partir de ce soir, désormais, je vais faire de mon mieux, ô Dieu, avec Ton aide, pour mener une autre vie à partir de ce soir.» Y en a-t-il un autre qui aimerait lever la main, n’importe où, qui n’avait pas encore levé la main?

            Voyez, vous dites: «Frère Branham, qu’est-ce que cela représente, le fait qu’ils lèvent la main?»

            Jésus a prononcé ces Paroles solennelles. (Laissez-moi vous les répéter d’abord): «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire, et tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi.»

64        Et si vous étiez prédestiné ou prédestiné par prescience à ne jamais recevoir Christ? Vous savez que c’est vrai. La Bible dit: «Les gens d’autrefois, dont la condamnation est écrite depuis longtemps, qui changent la grâce de Dieu en dissolution»; Jude, verset 4.

            Oui, et si c’était vous, que Dieu n’avait jamais parlé à votre coeur? Et si c’était vous, pécheur, et une fois que vous sortez de cette église ce soir, marchant dans la rue, là, et que là vous tombiez mort? Et si on fait venir le médecin, et qu’il arrive et dit: «Eh bien, il n’y a rien à faire, maman, ou papa, ou je ne sais qui est-ce. Il est mort»?

            Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est... Je ne vous effraye pas. Je ne fais que vous déclarer les faits. Je ne sais pas que vous allez–vous allez faire cela à un moment. Il se peut qu’Il ne puisse donc jamais... «Mon Esprit ne contestera pas à toujours avec les hommes.» Pourquoi donc ne pas juste lever la main maintenant même? Vous dites: «Va-t-Il me sauver si je le fais?» Il l’a promis.

65        Ecoutez-moi citer un passage des Ecritures maintenant. Saint Jean 5.24. Pensez à une poignée et deux douzaines d’oeufs. Lisez cela une fois rentrés chez vous: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a (maintenant même, au présent) la Vie Eternelle, et il ne vient point en Jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»

            Qu’est-ce que cela représente, lever la main avec un coeur sincère derrière cela? Cela veut dire que vous êtes passé de la mort à la Vie. «Celui qui écoute Mes Paroles, et...» Ami, je... aussi clairement que je sais présenter cela ce soir, je vous l’ai apporté. Je–je ne sais pas; ça peut ne pas avoir été bien raffiné; mais, vous savez, c’est–c’est la vérité de toute façon. Ça vient de la Parole.

            Et vous avez entendu cela, alors croyez-le, croyez en Christ, levez la main pour dire: «Je crois cette histoire-là.» Dieu est obligé de vous recevoir. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Quelqu’un d’autre juste avant de terminer, voudriez-vous le faire?

66        Voyez, j’essaie de trouver toute la grâce auprès de Dieu, que... Je vois votre main, monsieur. Vous en train de pleurer là avec votre main levée, que Dieu vous bénisse. Tu passes de la mort à la Vie quand tu lèves la main, fiston. Cela... Vous passerez directement de la mort à la Vie. C’est ce que Dieu a dit. Ses Paroles ne peuvent pas faillir. Toutes les étoiles failliront. La terre entière faillira, mais Sa Parole ne faillira pas; et nul autre que Jéhovah, dans la chair, Emmanuel m’a dit cela. «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a (maintenant même) la Vie Eternelle, il ne périra jamais ou ne viendra même pas en Jugement, mais il est déjà passé de la mort à la Vie.»

            Je me sens bien contraint de vous dire encore une fois avant de terminer, je sens simplement qu’il y en a encore ici d’une façon ou d’une autre. Je ne... J’espère que vous ne me taxez pas de fanatique, mais qui est celui qui retient maintenant même, qui fait donc pression sur mon coeur, celui qui voudrait simplement lever la main pour dire: «C’est moi, Frère Branham, j’aimerais recevoir Christ.» Maintenant même comme mon... Que Dieu vous bénisse, madame. C’est bien. Que le Seigneur soit bienveillant envers vous.

67        Maintenant, Père céleste, sachant que Ta Parole est vraie, je sens que l’Ange du Seigneur, le Saint-Esprit ici tire sur mon coeur, sachant que d’ici quelques instants, Dieu doit être glorifié, sinon les drapeaux noirs de l’enfer vont être déployés. Maintenant, les anges ont triomphé, des âmes sont venues à Christ.

            Père, Tu connais nos coeurs. Tous ceux-ci qui ont levé la main, j’agis maintenant, comme sacrificateur, me tenant entre les vivants et les morts, je Te les recommande maintenant, Seigneur, et je Te les confie, et je Te demande en Ton Saint Nom, le Seigneur Jésus, de confirmer Ta promesse à tout un chacun. Et maintenant, donne-leur le baptême du Saint-Esprit dans leurs coeurs. Car Tu as dit: «Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a (maintenant même) la Vie Eternelle.» Merci, Père, pour eux.

            Qu’ils soient baptisés du Saint-Esprit dans l’Eglise maintenant... l’Eglise des premiers-nés, qu’ils deviennent membres d’un bon groupe quelque part, prêchant le Plein Evangile quelque part. Accorde-le, Père. Nous les verrons au jour du Jugement, si pas avant. Maintenant, que Ta miséricorde et Ta grâce reposent sur nous tous, par Jésus, Ton Saint Fils, nous le demandons. Amen.

68        J’aime bien ce cantique Crois seulement. Combien en connaissent le compositeur? Mon copain Paul Rader, le prédicateur baptiste. Je n’ai pas dit qu’il était baptiste. Il était un peu comme moi, je pense, un peu calviniste et... N’avez-vous jamais entendu parler de ses dernières paroles alors qu’il se mourait en Californie? Luc et lui restaient ensemble, comme mon fils et moi restons ensemble, son frère. Luc est mort tout récemment.

            Paul était là, et il s’était brouillé avec un grand tas de religions formalistes et autres. Il était un prédicateur de l’Evangile. Il se mourait, couché à l’hôpital, et il a dit: «Où est Luc?»

            D’abord, l’institut biblique Moody avait envoyé un petit quatuor là pour chanter pour lui, on avait baissé tous les rideaux aux fenêtres et tout. Il a dit: «Qui se meurt, vous ou moi?» Il a dit: «Tirez ces rideaux et chantez-moi quelques cantiques de l’Evangile pleins d’entrain.» Il avait un peu un sens d’humour. On s’est mis à chanter: A la croix où mourut mon Sauveur.» Il a dit: «Cela sonne mieux.» Il a dit: «Où est Luc?» Luc ne pouvait pas supporter voir son frère mourir. Il était là dans une autre pièce. Il a dit: «Dites-lui de venir ici.» Il est venu, il a tenu Luc par la main, il a levé les yeux vers lui, il a dit: «Luc, penses-y. Dans cinq minutes, je me tiendrai dans la Présence de Jésus-Christ revêtu de Sa justice.» Il a serré les mains de son frère et il s’en est allé à la rencontre de Dieu.

La vie de grands hommes nous rappelle à tous, que
Nous pouvons rendre notre vie sublime,
Et en partant, laisser derrière nous,
Des empreintes de pas sur le sable du temps.
Des empreintes de pas que peut-être un autre,
Naviguant sur l’océan solennel de la vie,
Un frère désespéré ou naufragé,
En les voyants, reprendra courage.

69        C’est vrai. Oh ! Je suis si heureux ce soir. Des âmes sont venues à Christ. Maintenant, nous allons former une petite ligne de prière ou... Est-ce que les jeunes gens... Avez-vous distribué des cartes de prière? Y a-t-il des cartes de prière de distribuées? Oui. Très bien. Oh ! Oui, on a distribué une centaine de cartes de prière hier soir. Qu’était-ce? Quelle lettre était-ce? La série L. Très bien. Je crois que nous avons appelé... Qu’avons-vous appelé? A partir de 1, hier soir, n’est-ce pas? Nous avons appelé à partir du numéro 1.

            Allons ailleurs et appelons à partir de là ce soir. Appelons à partir de 50. Qui a la carte de prière numéro 50? Levez la main. La carte de prière 50? Est-ce un... Cet homme-là? Tenez-vous ici, monsieur. Appelons 51. Qui a... prière... 51. Très bien. Qui a 52? Carte de prière 52? L’avez-vous, jeune fille? La carte de prière 53? Voudriez-vous lever la main? 53? 54? Très bien. 54, vous, monsieur? 55? 56? 57? 58? 59? 60?

            Billy, prends des huissiers, et venez ici, afin que vous puissiez garder la ligne droite, s’il vous plaît. Gene ou... Est-ce que vous... vous êtes en train d’enregistrer? Frère Wood, voudriez-vous venir nous aider, ou l’un de vous? Très bien.

70        Maintenant, pendant qu’ils se mettent en ligne, laissez-moi prendre... Laissez-moi vous parler juste un instant. Maintenant, vous qui devez partir pendant les quinze ou vingt prochaines minutes, je souhaiterais que vous le fassiez maintenant, afin que vous ne dérangiez pas. Voyez, chacun de vous est une âme, et lorsque vous entrez en contact avec l’Esprit...

            Permettez-moi de vous poser une question. Vous remettre une–une lettre qui m’a été donnée. Je l’ai ouverte et la femme est peut-être ici maintenant même. Si elle est ici, j’aimerais qu’elle lève la main. Existe–existe-t-il une ville appelée Big Mountain, ou Kings Mountain, ou une espèce de ville comme cela? Cela... Qu’est-ce? Kings Mountain. C’est de là qu’elle vient. J’ai simplement reçu la lettre. Elle était là, elle était venue à la réunion à Spindale. Elle m’a écrit une lettre.

            Elle a dit: «Révérend Branham, j’ai lu–lu votre livre», et elle a dit... Qu’est-ce? «J’ai lu votre livre et, a-t-elle dit, j’ai été si étonnée que je me suis dit: ‘Je vais écrire à frère Branham et lui demander de prier sur un tissu de prière, si je savais où il était.’» Elle a dit: «Je vais simplement envoyer cela à Jeffersonville et le lui demander.»

            En effet, elle était estropiée, elle avait le cancer des intestins et elle a dit: «Je viens d’en terminer la lecture.»

71        Son mari, je pense, est un prédicateur ou quelque chose comme cela, et il a dit... Et je pense qu’elle est une enseignante, ou une monitrice de l’école du dimanche, ou quelque chose comme cela; et elle était couchée derrière, se reposant, réfléchissant: «Maintenant, je vais simplement envoyer à frère Branham et lui demander de m’envoyer un tissu oint sur lequel il a prié, et le poser sur moi.» Elle s’est dit: «Je crois que cet homme dit la vérité.»

            Et elle a dit: «Le téléphone a sonné, j’ai pris le téléphone et, a-t-elle dit, eh bien, une amie à moi m’appelé et a dit: ‘Voudras-tu aller à l’église ce soir?’»

            Elle a dit: «Non, ma chère. Je ne peux pas aller. Je suis trop fatiguée et épuisée et, a-t-elle dit, je suis tout estropiée et tout.»

            Elle a dit: «Eh bien, je pensais donc...» Elle a dit: «Là à Spindale, on tient une réunion, a-t-elle dit, frère Branham prêche là-bas.»

            Elle a dit: «Quoi?» Elle a dit que son coeur s’est mis... Elle a dit: «J’étais... Je viens de lire son livre.» Elle a dit: «Viens me prendre.» Et on l’a amenée, elle a dit que je tenais une réunion et elle a dit qu’elle s’était simplement assise quelque part devant et, a-t-elle dit, tout à coup... Eh bien, je ne sais pas ça. J’aurai à... C’est son témoignage à elle. Je n’ai pas fait passer ces bandes-là. Vous le savez, peut-être, Gene, si vous avez les bandes. Elle a dit... J’oublie le nom de la femme. J’ai la lettre. Je peux l’apporter demain soir si elle n’est pas ici maintenant.

72        Et elle a dit que le... qu’elle était assise là, a-t-elle dit, elle s’est mise à voir comment le Saint-Esprit se mouvait juste exactement comme la Bible l’avait dit et comme mon livre avait dit que ça se faisait, et alors, elle a dit: «Seigneur, c’est la vérité. C’est exactement tel que je l’ai lu dans la Bible et c’est comme ça que je l’ai lu dans le livre, et voici, cela est juste devant moi.» Elle a dit: «Ô Dieu, je crois.» Et elle a dit qu’à peine avait-elle fait sortir cela de sa bouche, Elle a dit que Je me suis retourné et je l’ai regardée je pense, je lui ai dit qui elle était ou quelque chose comme cela, je lui ai dit qui... ce qui lui était arrivé, depuis combien de temps elle était estropiée, et tout à ce sujet, et j’ai dit: «Maintenant, madame, AINSI DIT LE SEIGNEUR, levez-vous. Laissez vos béquilles là et rentrez chez vous. Vous êtes guérie.» Et elle a dit: «Frère Branham, je n’ai même–même pas un symptôme de cancer ni rien.» Elle a dit: «Je suis parfaitement normale et bien portante.»

            Cette dame est-elle dans la réunion? Voudriez-vous lever la main si elle est ici? Elle m’a envoyé un mouchoir aujourd’hui pour une amie à elle qui est très loin, qui est malade ou quelque chose comme cela, elle voudrait que l’on prie pour ça.

73        Très bien. Combien en avons-nous là? 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10. Comment... Où–où est... 50 était-ce? 50 à 60? Très bien. Demandez à 61, 62, 63, 64, 65... Peut-être que nous pouvons prendre ceux-ci...?... Je déteste m’arrêter pendant que j’amène les gens à la prière et que l’onction saisit. Je–je–je viens de sortir de cela. Peu importe le nombre ou quoi est debout. C’est juste–c’est juste pour avoir l’idée du nombre de ceux que je peux atteindre. Vous pouvez surveiller, frère prédicateur, et si je dépasse ceux-ci, alors, je vous ferai savoir et ensuite, vous donner cela. Très bien.

            J’aimerais regarder l’assistance ici. Vous tous, regardez-moi. Nous sommes tous inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas, vous qui êtes dans la ligne de prière. Si vous l’êtes, levez la main. Tout le monde ici m’est inconnu, n’est-ce pas? Je suis inconnu. Très bien.

            Combien ici n’ont pas de carte de prière et veulent que le Seigneur Jésus vous guérisse ce soir? Levez la main vers Lui, partout où vous êtes. Très bien. Ayez foi maintenant. Croyez simplement. C’est tout ce qu’il vous faut faire. Ayez foi. Maintenant, regardez de ce côté-ci.

74        Eh bien, dans la Bible... Pour ceux qui sont... qui étaient ici pour la première fois. Dans la Bible, Jésus-Christ n’a jamais prom-... n’a jamais prétendu être un guérisseur. Combien le savent? Dites: «Amen.» Il disait: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres. C’est Mon Père qui habite en Moi.» Est-ce vrai?

            Il est passé au milieu des estropiés, des affligés, des aveugles, Il ne les a pas guéris, Il est allé guérir un homme couché sur un grabat, parce que le Père le Lui avait montré. C’est ce qu’Il a dit. Il savait que cet homme était là, et puis dans Saint Jean, chapitre 19, ou plutôt chapitre 5, verset 19, Il a dit cela: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, avant qu’Il voie premièrement faire au Père.» Combien ont lu cela? Faites-nous voir les mains, savoir...

            Maintenant, c’est suffisamment d’Ecritures pour le prouver. Voyez? Jésus-Christ, le Fils de Dieu, ne peut pas mentir. S’Il ment, Il n’était pas le Fils de Dieu. Il a donc dit: «Je ne fais rien de Moi-même avant que le Père Me montre premièrement en vision quoi faire. En vérité, en vérité (cela veut dire: absolument, absolument), Je vous le dis: «Je ne peux rien faire de Moi-même, mais Je ne fais que ce que Je vois faire au Père.» Est-ce vrai? Il n’a donc jamais accompli un miracle avant que le Père le lui ait montré. C’est par vision.

75        Une fois, une femme toucha Son vêtement et elle fut guérie. Il a dit: «Ce n’est point Moi qui ai fait cela.» Elle a touché Son vêtement et elle avait couru dans la foule, et elle s’est assise, elle est restée debout, je ne sais dans quelle position elle était. Il a dit: «Qui M’a touché?»

            Elle a dit: «Ce n’est pas moi.» Personne... Tout le monde a dit: «Non, pas moi.»

            Il a dit: «Quelqu’un M’a touché là, car la vertu est sortie.»Pierre a dit: «Toute la foule Te touche. Pourquoi Tu demandes: ‘Qui M’a touché?’»

            Il a dit: «Mais Je me suis senti faible.» Puis, Il a promené le regard jusqu’à repérer la femme et Il a dit qu’elle avait une perte de sang. Il a dit: «Ta foi–ta foi t’a guérie.» Est-ce vrai? Non. «Ta foi t’a sauvée» Eh bien, le même mot sauvé veut dire guéri chaque fois dans la Bible. Le mot grec, c’est sozo. Est-ce vrai? Sozo. C’est le même mot, sur le plan physique ou spirituel: «Ta foi t’a sauvée.» Voyez?

76        Il a touché les yeux de quelques hommes aveugles qui Le suivaient. «Seigneur, aie pitié de nous.» Il n’avait pas eu de vision. Il est allé simplement de l’avant, Il est entré dans une maison, et ils sont venus auprès de Lui: «Seigneur, aie pitié.»

            Il a touché leurs yeux et a dit: «Maintenant, qu’il vous soit fait selon votre foi.» Il n’y avait pas de vision (Voyez?), juste ce que le Père Lui montrait. Très bien.

            Maintenant, si Jésus ressuscite ici ce soir... Je soutiens qu’Il est le même. Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Est-ce vrai? De plus grandes... Le mot, en fait, ce n’est pas comme c’est rendu dans notre version de plus grandes, mais davantage. Vous ne pouvez pas faire de plus grandes en qua-... qualité. Il avait guéri les malades, Il avait ressuscité les morts, Il avait arrêté le cours de la nature, Il avait tout fait. Voyez? Vous ne pouvez donc rien faire sinon en quantité. «Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, en vous, jusqu’à la fin du monde.»

            Or, s’Il est ressuscité d’entre les morts, Il doit agir de même, le même Dieu, la même Personne, la même puissance, les mêmes visions, et tout exactement comme Il le faisait la première fois. S’Il ne le faisait pas, eh bien, donc Ses Paroles sont fausses. Ça, c’est une déclaration.

77        Où trouverez-vous cela dans le monde aujourd’hui? Mais Christ est tenu à Sa Parole. Il doit tenir Sa Parole. Il L’avait tenu pour Abraham. Il doit La tenir pour la postérité d’Abraham. Il doit le faire. Il doit présenter cela, alors tout ce que vous en pensez détermine ce que vous recevez. Mais Lui est tenu au moins une fois à vous présenter cela, afin que vous soyez sans excuse en ce jour-là.

78        Oh ! Je sens dans mon coeur... Attendez que Dieu m’envoie une fois en Palestine. Les Juifs attendent cela. Ils lisent le Nouveau Testament, ceux qui sont revenus de l’Iran. Ils se sont mis à lire Cela. Ils ont dit: «Vous voulez dire que le Messie est ici?»

            «Oui, Il était mort, Il est ressuscité. Il est ressuscité.»

            Ils ont dit: «Laissez-nous Lui faire... Laissez-nous Le voir accomplir le signe du prophète et nous croirons cela.»

            J’aime les voir, les désigner comme ceci ici, par milliers, et dire: «Maintenant, acceptez donc le Messie», et sur la même base où le Saint-Esprit s’était déversé la première fois, Dieu Le déversera encore sur les Juifs. Alors, ça sera fini pour les Gentils. Vous le savez. Ils fouleront aux pieds les murs de Jérusalem jusqu’à ce que ça soit terminé pour les Gentils. Quand les Juifs recevront le Saint-Esprit, et recevront l’Evangile et commenceront, ils feront l’oeuvre missionnaire dans le monde. Ils L’amèneront là où les Gentils n’avaient même pas pensé aller. C’est vrai. Ils attendent simplement. C’est le jour de grâce pour vous. Entrez pendant que vous le pouvez.

            J’étais à cent miles [160, 9 km] ou deux cents [321,8 km] de là tout récemment, j’allais juste avec mon billet là, je suis sorti sur la rampe et le Saint-Esprit a dit: «Pas encore. Va dans l’autre direction, tourne-toi vers l’Inde.» Et c’est ce que j’ai fait. Voyez? Il ne m’a pas permis d’aller, car ce n’est pas la saison. Mais un jour, Dieu me permettra de le faire. Je le crois. J’aimerais voir cela de tout mon coeur.

79        Maintenant, je vais vous demander d’être tous respectueux, tout aussi respectueux que possible. Vous dites: «Frère Branham, de quoi parlez-vous? Vous cherchez à gagner du temps.» Oui. C’est exact. J’attends que l’Ange du Seigneur vienne. C’est tout à fait vrai. Je ne connais aucun de vous, et comment–comment pourrais-je faire quoi que ce soit? Je ne le peux pas. C’est Lui. Je ne peux pas faire cela, même quand Il vient, à moins que votre foi fasse agir cela. Ce n’est pas moi. Je ne peux pas avoir des visions à moins que votre foi fasse cela. Assurément. La volonté de Dieu par le don divin, tout ce que je peux faire, c’est continuer simplement à m’abandonner moi-même, quand je me suis complètement abandonné au Saint-Esprit, alors Il se met à parler. Ce n’est pas moi. Il se sert de ma voix, mais ce n’est pas moi. C’est Lui. Voyez? C’est bien exactement l’Ecriture. Voyez?

            Très bien. Est.-.ce–est.-.ce cet homme? Très bien. Donc, je... J’attends encore que Son... vienne. Maintenant, j’aimerais que vous tous, vous gardiez vos sièges. Soyez très respectueux. Maintenant, cette fois-ci, au Nom de Jésus-Christ, je prends ce groupe de gens sous mon contrôle pour la gloire de Dieu, et chaque esprit ici présent est soumis au Saint-Esprit.

80        Maintenant, l’homme qui se tient devant moi m’est un parfait inconnu. Est-ce vrai, monsieur? Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Vous ne m’avez jamais vu dans la vie. Eh bien, alors, c’est... Vous êtes donc venu... Vous avez entendu parler de moi, mais vous ne m’avez jamais vu. Vous êtes donc simplement venu ici, quelqu’un vous a donné une carte de prière soit hier soir, soit ce soir, et vous voici ici. Il se fait donc que vous êtes... Vous êtes le premier à être appelé à l’estrade. C’est vrai. Cela vous a été donné ce soir, et vous avez été appelé à l’estrade ce soir. Eh bien, c’est bien merveilleux de recevoir une carte de prière la première soirée et d’être appelé à l’estrade. Ça doit être... C’est donc la volonté de Dieu pour ça. Je ne sais pas. J’ai connu des gens qui ont suivi des mois et des mois et qui n’ont jamais reçu une carte de prière pour être appelés. Cela marche donc souverainement ainsi.

81        Maintenant, gentil monsieur, vous et moi, nous sommes diff-... nous sommes probablement nés avec un décalage d’âge, à des kilomètres de distance, et c’est notre première rencontre, mais cependant, si le Saint-Esprit de Dieu peut me parler comme Il avait parlé au travers de Christ à la femme au puits, ou quand Il avait su où était le poisson qui avait la pièce d’argent dans sa bouche, ou–ou différentes choses semblables.

            Comme Il avait dit à Nathanaël, quand Nathanaël avait été trouvé par Philippe, et il l’avait amené à... Jésus, au début de Son ministère... Nathanaël avait été sauvé, il est allé trouver... ou plutôt Philippe avait été sauvé, et il est allé trouver Nathanaël, oh ! à quinze miles [24 km] ou plus, de l’autre côté des montagnes. Et il l’a ramené. Il a dit: «Viens voir Qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

            Il a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Il a dit: «Viens, et vois.»

            Quand il est donc arrivé, il est entré dans la ligne comme vous vous tenez maintenant, à côté du Seigneur Jésus, et Il lui a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Eh bien, cet homme était un vrai croy-... C’était un vrai Juif orthodoxe. Il était membre du Sanhédrin. Il était un... Il était membre de l’église. Il était tout ce qu’il y a de loyal quant à la religion. Comment cet Homme, Jésus, a-t-Il donc pu savoir qu’il était un chrétien ou un croyant, comme nous le dirions, par rapport à ce temps-là, alors qu’il pouvait être un critiqueur ou tout autre chose, mais comment avait-Il su cela?

            Et il Lui a dit: «Rabbi (ou Docteur), d’où me connais-Tu?»

            Et Jésus a dit: «Avant que Philippe t’appelât quand tu étais sous l’arbre (à quinze miles [24 km]), Je t’ai vu quand tu étais sous l’arbre.»

82        Les Juifs en retour ont dit: «C’est du diable. C’est Béelzébul. Il est le prince des diseurs de bonne aventure.»

            Jésus a dit: «Je vous pardonnerai pour cela, mais quand le Saint-Esprit sera venu faire la même chose et que vous, vous dites cela, cela ne vous sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» En effet, Il prédisait que le Saint-Esprit viendrait faire la même chose que Lui faisait. Et Il est le Saint-Esprit, Christ sous forme spirituelle. Mais qu’a dit ce croyant?

            Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.»

            Eh bien, s’Il est ressuscité d’entre les morts, Il est–Il est tenu à Sa Parole s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai? Et c’est pourquoi j’engage cette conversation avec vous. L’homme debout ici avec ses yeux fermés, mais j’engage la conversation. Pourquoi? Pour contacter son esprit; exactement comme Jésus avait fait avec la femme au puits, à d’autres endroits et ailleurs. C’est vrai.

83        Maintenant, si le Seigneur Jésus me fait savoir quel est votre problème, allez-vous croire que c’est Lui qui se tient ici et non pas votre frère? Croyez-vous que c’est Jésus qui dit cela? Sera-ce là votre attitude envers Lui? Si c’est le cas, voudriez-vous lever la main? Très bien, monsieur. D’accord. Ça le sera. Maintenant, que le Seigneur l’accorde. Vous autres, croirez-vous de tout votre coeur, partout? Eh bien, débarrassez-vous de tout doute. Plus vous vous dépouillez des doutes, plus Dieu pourra agir puissamment avec vous.

            Rappelez-vous, ce n’est pas moi: C’est Christ sous forme du Saint-Esprit qui est ici maintenant. Je crois qu’Il me fera savoir ce qu’est le problème de cet homme-ci, de même qu’Il a fait savoir à Christ le problème de la femme qui se tenait au puits. Maintenant, l’homme peut en être le juge. Je... S’il sait ce qui a été dans sa vie, assurément qu’Il saura ce qui sera dans l’avenir. Il saura donc comment faire.

84        Maintenant, je... Maintenant, croyez que Christ, le Fils de Dieu, à l’Esprit duquel nous nous abandonnons... Et l’homme est conscient qu’il se passe quelque chose. Cela a commencé tout à l’heure avec lui. En effet, entre lui et moi se tient cette Lumière, le Saint-Esprit, la Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël. Il en est conscient. Si c’est vrai, monsieur, levez la main. C’est vrai.

            Cet homme souffre d’une nervosité extrême. Il est tout secoué et dérangé par quelque chose. C’est vrai, il souffre du coeur. C’est vrai. Il a une hernie, et c’est vrai. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main, monsieur. Croyez-vous? Maintenant, regardez-moi ici juste une minute, monsieur. Vous savez si c’était vrai ou pas. C’est vrai, n’est-ce pas? Exact. Vous croyez que je suis Son serviteur, juste un homme, votre frère, abandonné au Saint-Esprit.

85        Permettez-moi de vous dire autre chose. Je vois quelque chose arriver. Je vois un homme tomber, ou tomber à la renverse. Il venait de piquer une crise cardiaque et cette crise cardiaque est survenue lorsqu’il faisait chaud. Il y a de cela environ un, deux, trois, quatre ou cinq, six ou sept, en hiver, huit, neuf. C’était en août dernier, vers... il faisait chaud. Vous avez piqué une crise cardiaque il y a environ neuf mois, quelque chose comme cela, et vous avez peur à mort maintenant que cela se répète de nouveau, et comme vous avez un coeur palpitant, et frère, ne croyez pas cela. Cela l’amènera sur vous. Refusez de croire ce mensonge du diable. Quand un homme pique une crise cardiaque, il devient plus fort qu’il l’était au départ. Croyez-vous cela de tout votre coeur? Allez donc en vous réjouissant et louant Dieu, et guérissez de votre maladie. Maintenant, allez et soyez heureux, et réjouissez-vous. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu.»

86        Personne ne saura jamais la vie que cela soutire à un homme. Eh bien, je ne peux pas vous le dire. Maintenant même, il y a quelque chose au sujet d’un homme. Je le vois couché quelque part là et on lui fait quelque chose. C’est tout ce que je peux me rappeler maintenant même. C’est dans un autre monde.

            Eh bien, j’aimerais que vous soyez très respectueux. Regardez de ce côté-ci. Croyez. Ne croyez pas en moi. Croyez en Lui. Croyez en Lui. Demandez-Lui. Dites: «Seigneur, si c’est vrai...» Vous là dans l’assistance qui ne serez pas appelés dans la ligne de prière, dites: «Seigneur, je ne me demande pas si c’est vrai. Je crois que c’est la vérité; et veuille simplement me parler, cela fera de moi un plus fervent croyant.» Faites simplement cela une fois.

            Maintenant, la dame ici. Je pense que nous sommes inconnus l’un à l’autre, madame. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, mais Dieu vous connaît; pas moi. Il y a un homme ici à l’estrade à côté de la femme. Je ne connais pas. Juste un instant. Maintenant, madame, je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue, mais l’un de ces jours, vous et moi, nous allons nous tenir dans la Présence de Jésus-Christ quand Il sera dans Son corps glorifié pour rendre compte. J’aimerais que vous croyiez, et vous saurez si le... si ces choses sont vraies ou pas. Soyez-en juge. Voyez? Soyez-en juge.

87        Je ne vous ai jamais vue et je ne vous connais point, pour commencer, je–je sais que vous ne venez pas d’ici. Vous êtes venue d’ailleurs. C’est vrai. Vous êtes venue du Sud vers ici (C’est vrai.), vers Mississippi, là dans les territoires du Sud. Ensuite... Et vous êtes dérangée par un–un trouble. C’est un trouble mental. C’est une oppression, et vous êtes la femme d’un prédicateur, et votre mari souffre de la même chose, ce qui vous a amenée à être ainsi, c’est à cause de votre mari. C’est vrai, et vous avez des problèmes en famille. Vous êtes sur le point de divorcer, et votre mari est on dirait possédé. Il a laissé Satan entrer et prendre de l’emprise sur lui. C’est vrai. Croyez-vous maintenant? Est-ce vrai? Eh bien, rentrez en vous réjouissant et soyez heureuse, que le mauvais esprit sorte et qu’il ne dérange plus jamais au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Ayez foi. Ne doutez pas. L’incrédulité, c’est un péché, un péché impardonnable. Croyez simplement. C’est tout ce qu’Il veut que vous fassiez. Très bien.

88        Je peux Le voir descendre, et les disciples se tenaient là. Ils pouvaient... Ils avaient la puissance, mais ils n’avaient pas la foi pour s’en servir. Combien c’est vrai avec ce groupe de gens ce soir. Jésus, dix jours auparavant, leur avait donné la puissance de guérir les malades et de ressusciter les morts. Et ils étaient là avec un cas d’épilepsie, mais ils avaient échoué. Ils ne pouvaient pas réussir cela. Ce père a couru et a dit: «Seigneur, j’ai amené mon fils à Tes disciples, et ils n’ont pu rien faire pour lui.» Il a dit: «Peux-Tu l’aider?»

            Il a dit: «Je le peux, si tu crois, mais c’est à toi de croire.»

            Alors, après que le démon eut quitté l’enfant, les disciples ont demandé: «Pourquoi n’avons-nous pas pu réussir cela?»

            Il a dit: «C’est à cause de votre incrédulité.» Ce n’était pas par manque de puissance. Cette église a en elle assez de puissance ce soir, juste dans ce groupe de gens, pour faire n’importe quoi, mais vous n’avez pas assez de foi pour le faire. Vous ne–vous ne le ferez simplement pas.

89        Vous avez assez de foi pour marcher, monsieur. Vous auriez assez de puissance si vous aviez la foi. Vous avez aussi assez de puissance, madame, sur la civière, si vous croyez, mais ça dépend de vous. Voyez? L’oeuvre est terminée, Je ne peux rien faire. Si Christ se tenait ici même dans ce costume, Il ne pourrait rien faire pour vous. Il l’a déjà fait. C’est déjà terminé au Calvaire. Voyez? Il vous demanderait: «Ne croyez-vous pas que Je l’avais fait en ce moment-là?»

            «Oui, Seigneur.»

            Il dira donc: «Selon votre foi, croyez cela. Agissez sur base de cela.» C’est tout ce qu’Il peut faire. Il ne peut pas... Si vous êtes racheté... Si quelque chose se trouve dans un magasin de prêts sur gage, et que vous l’avez racheté, vous avez un reçu pour cela; comment pouvez-vous le racheter de nouveau? Le prix a déjà été payé.

90        Maintenant, cette jeune fille ici debout, je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Dieu au Ciel connaît nos coeurs. Mais je–je–je ne vous connais pas et, à ce que je sache, je ne vous ai jamais vue de ma vie, mais Dieu nous connaît tous deux. Il sait tout à notre sujet.

            Maintenant, comme la femme au puits, c’est le tableau même ce soir encore une fois ici, un homme et une femme. Eh bien, Jésus est allé s’asseoir contre le puits. Et la femme est sortie puiser de l’eau. Il s’est mis à lui parler. Il a dit: «Apporte-Moi à boire.».

            Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs vous demandiez pareille chose à nous les Samaritains.»

            Il a dit: «Eh bien, mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire et Je t’aurais donné de l’eau que tu ne viendrais point puiser ici.»

            Elle a dit: «Le puits est profond, et Tu n’as rien pour puiser.» La conversation s’est poursuivie sans cesse.

            Peu après, Il a découvert son problème. Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq.»

            Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit: «Nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses, toutes choses, mais Toi, qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je Le suis.» C’était le signe du Messie. Maintenant, nous voici ce soir après mille neuf cents ans et quelques, encore une fois, un homme et une femme se tiennent ici. Or, Il a dit: «Je ne fais que ce que le Père Me montre. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Voici un homme et une femme, la Bible est déposée ici, la promesse de Dieu, le Saint-Esprit, ici. Maintenant, que va-t-Il faire à ce sujet? Il doit tenir Sa Parole, madame. Il l’a fait, et si je suis un homme honnête dans mon coeur, je vous dirai que tout ce dont vous avez besoin... En effet, vous êtes une chrétienne. Votre esprit est le bienvenu, et je sais que vous êtes une chrétienne. Tout ce dont vous avez besoin a été acquis au Calvaire. Tout ce que je peux faire, c’est simplement, peut-être, en tant que–en tant que prophète, ou plutôt... Je–je n’aime pas dire ce nom-là, ce... étant capable d’avoir des visions... Voyez? Cela achoppe beaucoup les gens, c’est la raison pour laquelle je dis cela. Voyez? Ils ne comprennent pas. Merci. Vous croyez cela, vous pouvez alors le recevoir. Que Dieu vous bénisse.

91        La première chose que je dis... que je vois chez la femme, elle souffre de la sinusite. Cela la dérange. C’est tout à fait vrai. Il y a des maux de tête comme parcourant ici, la sinusite. Cela la dérange, et je vous vois...?... vous agenouiller, prier. C’est dans une chambre. Je vous entends, ce que vous dites. Vous demandez une chose valable. Vous demandez à Dieu de vous donner un enfant, un bébé. Vous êtes stérile et vous demandez à Dieu de vous donner un enfant. C’est vrai. Que Dieu vous bénisse. Je ne L’ai jamais vu faillir sur une jusque là. Une femme à Chicago, d’une cinquantaine d’années, est venue, elle a demandé un enfant. Elle a eu un beau garçon. Que Dieu vous l’accorde.

            On dirait que je vois des marécages, ou quelque chose comme cela. Je ne sais pas si c’est dans cette contrée, beaucoup de cèdres. On dirait des saules de marécages et ça passe. Cela me paraît comme l’Arkansas. Avez-vous déjà été dans l’Arkansas? Cela me paraît comme l’Arkansas. C’est l’Arkansas. C’est Jonesboro, dans l’Arkansas, dans le Blessed Old Bible Hour Tabernacle, c’est de là que vous venez. Vous avez été là, et vous cherchez à entrer en contact... Il y a quelqu’un d’autre ici présent qui–qui cherche à entrer à contact. C’est une femme avancée en âge qui est debout. Et vous venez d’une contrée vallonnée, c’est peut-être le Missouri, et il s’agit de votre mère. Voici Il va... Elle est assise là même et elle souffre de l’artériosclérose. C’est tout à fait la vérité. Amen. Allez en croyant, et que le Dieu du Ciel vous accorde le désir de votre coeur, ma soeur, par le Nom de Jésus-Christ. Amen. Amen.

92        Béni soit le Nom du Seigneur. «Tout est possible à celui qui croit.» Croyez-vous?

            Petite dame, assise au bout du siège là, vous êtes dérangée par une maladie de nerfs, n’est-ce pas? Vous avez de sérieuses crises dues à l’épuisement. N’ayez pas peur. Cela vous a quittée. Ayez foi en Dieu. «Si tu peux croire.» Vous savez, la Bible dit: «Tout est possible.» N’est-ce pas vrai? Tout est possible.

            Qu’en est-il de vous assis là souffrant de la prostatite, vous assis juste là, l’homme qui regarde au balcon, juste ici en haut, l’homme avancé en âge? La prostatite, vous vous levez pendant les nuits, croyez-vous, monsieur? Levez votre main pendant que vous vous tenez juste ici debout. C’est ça. Croyez-vous, monsieur? Vous en chemise blanche, assis... Très bien. C’est fini. Vous êtes guéri. Avez-vous une carte de prière? Vous n’avez pas de... prière. Vous n’en avez pas besoin. Vous êtes guéri, monsieur. Cela ne vous dérangera plus. Votre foi vous a guéri. Amen. Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Si vous croyez, peu importe où vous êtes... Ayez foi.

93        Très bien. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, madame. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue de ma vie, mais Dieu vous connaît certes, n’est-ce pas? Et si Dieu parle... Si je peux m’abandonner à Son Esprit.

            Quelque chose est arrivé. Je ne sais pas ce que cela... Croirez-vous alors que je suis Son serviteur?

            Vous avez une espèce différente de nervosité. La dame assise là avec un petit papier en main. Vous souffrez aussi de nerfs, mais chez vous, c’est un genre fatigant de nervosité. Vous êtes mentalement dérangée tout le temps, et–et on dirait que vous devenez triste et vous vous sentez épuisée, n’est-ce pas? C’est vrai, et souvent, vous devenez très faible avant que votre travail de la journée soit fait. Vous devez vous asseoir. Votre force diminue. N’est-ce pas vrai? Parfois, vous devenez très lasse, vous allez à la fenêtre. Je vous vois ouvrir la fenêtre, vous faites les cents pas. Le soleil se couche de ce côté. Cela vous rend vraiment triste, vous vous sentez épuisée. N’est-ce pas vrai? Si c’est vrai, levez la main. C’est vrai. Voyez? Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais, soeur, c’est terminé. Votre foi L’a touché maintenant. Maintenant, allez. Soyez vraiment heureuse.

94        Cette dame, Satan vous a menti. J’ai vu une ombre noire vous envahir, disant que vous allez perdre la raison (Voyez-vous?), vous allez attraper la folie. Il vous a dit cela. C’est vrai. C’est vrai. Il a suggéré le suicide et tout le reste, mais cela n’a fait aucun bien. Il... Dieu vous a guérie. C’est vrai. Vous rentrez chez vous maintenant pour être bien portante. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez.

            Je suis désolé. Je... juste quand cela se meut, je dois suivre cela. Voyez-vous? Ce–ce–c’est leur foi qui accomplit cela. Voyez-vous? C’est un... Je n’avais pas l’intention de vous quitter. Mais je... C’est juste... simplement je... Et juste tel qu’Il se meut, je dois parler vite, vous savez, en effet, ça vient comme une grande attraction depuis l’assistance. Et aussitôt que je sens Cela s’isoler, alors je dois surveiller Cela (Voyez-vous?), voir où Cela va pour–pour découvrir juste... Le voilà repartir.

95        C’est la dame en lunettes. Elle se tient ici même devant moi. La voilà. Amen. Des virus, n’est-ce pas, soeur? Là même. C’est vrai. Elle a attrapé un virus. N’est-ce pas vrai? Ils ne savent même pas comment désigner cela. C’est juste un prétexte que le médecin vous donne. C’est tout, mais ça ne fait aucun bien maintenant. C’est terminé. Vous pouvez aller de l’avant et être bien portante. Votre foi vous a rétablie. Il y a là au coin une grande foi. Qu’est-ce qui se passe avec les gens? Mettez-vous à croire.

            Je ne connais pas ces gens-là. Je ne les ai jamais vus. Je ne vous connais pas, mais je vous défie, au Nom de Christ, de croire que la Bible est vraie et que Jésus est ressuscité d’entre les morts. Oubliez ces credos d’église et tout et servez le Seigneur. Croyez en Lui. Il est ressuscité d’entre les morts. Vous L’avez servi dans une mesure. C’est vrai.

            Mais mon cher ami, quand l’ennemi vient comme un fleuve, Dieu élève l’étendard contre cela. Vous avez lu ces magazines et autres, comment Satan se déchaine. Oui, oui. Dieu élève un étendard contre cela. Ne vous en faites pas. Il est toujours dans le... Il est toujours du bon côté. Il a toujours le dessus sur l’ennemi tout le temps.

96        Croyez-vous cela, madame, assise là même? Oui. Elle avait plus de foi que vous ne pensiez en avoir. Voyez? La foi est une chose inconsciente, madame. La foi n’est pas un acte mental. Voyez? C’est quelque chose que vous faites inconsciemment. Les gens cherchent à compter sur leurs facultés mentales pour la foi alors que la foi ne réside pas ici. C’est le raisonnement qui réside ici. La foi réside dans l’âme. Eh bien, le problème avec votre pied et votre jambe... Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablit? Croyez-vous? Acceptez-vous cela? Croyez-vous cela? Vous avez aussi souffert un peu d’arthrite, mais Jésus-Christ vous rétablit. Croyez-vous cela? Très bien. Vous pouvez alors avoir cela. Amen. Amen. Elle a eu plutôt à revenir à elle-même, car l’Ange du Seigneur se tenait au-dessus d’elle. Voyez? Jésus a dit: «Si tu peux croire, tout est possible.»

97        Vous êtes dérangée, n’est-ce pas, madame? Vous êtes dérangée par quelque chose. C’est votre flanc. Vous avez des crises d’engourdissement on dirait sur cela. C’est vrai, n’est-ce pas? Et vous redoutez que ça soit l’affection de vésicule biliaire qui cause cela. Oui, oui, mais écoutez. Ce qu’il en est en fait, c’est que vous avez une grosseur sur la colonne vertébrale. N’est-ce pas vrai? C’est ce qui bloque le nerf. Ce n’est pas la vésicule biliaire. Il s’est trompé là-dessus. C’est cette grosseur sur votre colonne vertébrale qui pince le nerf. C’est ce qui vous cause de l’engourdissement. Vous avez une affection de vésicule biliaire, mais ce n’est pas ça qui cause l’engourdissement. C’est vrai, n’est-ce pas? Eh bien, allez et soyez bien portante. Jésus-Christ...?... au Nom de Jésus.

            Tout le monde, soyez respectueux. Soyez respectueux au possible maintenant. Ayez foi. Je sais que vous êtes en train de prier, maman. Je fais de mon mieux. Je ne peux pas le faire. Il vous faut le faire, si vous croyez pour Lui. Très bien. Je souhaiterais pouvoir le faire. Si je le pouvais, je guérirais tout le monde, mais la guérison ne réside pas en moi. Elle réside au Calvaire. Voyez?

98        Croyez-vous que Dieu vous guérira de cette hernie, la maman assise là en petite robe à carreaux? Vous étiez en train de prier, disant: «Seigneur Jésus, laisse que ça soit ma soirée.» N’est-ce pas vrai, petite mère assise là même? C’est vrai. Oui, oui. C’est vrai. Amen. Ayez foi en Dieu. Croyez en Lui. J’aurais bien voulu que vous imposiez les mains à cette dame à côté de vous, car elle souffre de phlébite, ça la dérange beaucoup, et elle... Oh ! Seigneur, je Te prie que le... Seigneur Jésus, de la guérir et de la rétablir. Accorde-le, Seigneur. Amen.

            Maman, comme vous avez fait cela... La dame avec les mains sur la dame, ramenez votre main droite en arrière et saisissez la dame assise juste derrière vous. Elle a mal au flanc. Elle veut aussi être guérie. Vous....?... Amen. Père, je Te prie de la guérir et de la rétablir aussi, Seigneur. Accorde-le pour Ta gloire, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

99        [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Voici plutôt un petit...?... Croyez-vous que Jésus vous guérira de cette affection pulmonaire? Croyez-vous qu’Il vous rétablira? Croyez-vous? Acceptez-vous cela maintenant, qu’il vous guérit? Mais... Très bien. Vous pouvez donc avoir cela.

            Et vous avec votre main posée sur la tête, monsieur. Croyez-vous de tout votre coeur? Oui, oui. Vous avez... Vous êtes... Vous avez imposé la main à la dame? C’est bien. Vous avez une–vous avez une toux et un mal de dos qui vous dérangent, mais croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablira? Si vous le croyez, vous pouvez recevoir ce que vous avez demandé. Très bien.

100      [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Elle ne voulait pas faire cela. Elle–elle pensait que je lui parlais, mais vous avez un [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... cet homme. Inclinez la tête, tout le monde. Voyez? Je ne sais combien c’est grave. Gardez simplement la tête inclinée et que personne ne se relève avant que vous entendiez ma voix, s’il vous plaît. C’est l’ouïe. Eh bien, tout le monde, soyez vraiment respectueux. Il souffre aussi des reins et de l’arthrite.

            Bien-Aimé Père céleste, il ne nous faut pas voir des miracles, mais afin que le monde sache que Tu accomplis toujours des miracles, nous demandons souverainement, Seigneur, sentant la vibration de cette surdité contre moi, sachant qu’il est venu défier. Mais, Seigneur, Tu relèveras son défi, car Tu as envoyé Jésus-Christ, Il a dépouillé Satan au Calvaire de chaque puissance qu’il avait. Et Satan a fait ceci, afin que cet homme puisse marcher devant un véhicule quelque part et qu’il soit tué et envoyé prématurément à la tombe. Mais, ô Dieu, Tu es ici pour l’en débarrasser.

            Alors, Satan, au Nom de Jésus-Christ, sors de cet homme. Chaque tête inclinée...?... [Frère Branham tape les mains.–N.D.E.] M’entendez-vous? Très bien maintenant. Vous souffriez aussi de l’arthrite. Vous souffriez aussi des reins. Maintenant, redressez la tête. Vous sentez-vous bien maintenant? Depuis combien de temps cet esprit de surdité est sur vous? Des années et des années. Quoi? Arrivez-vous à m’entendre très bien? [L’homme dit: «Oh ! oui.»–N.D.E.] M’entendez-vous maintenant? Je ne fais que murmurer à peine. Suivez, suivez, on n’arrive même pas à m’entendre au micro. Regardez ici, vous n’arrivez pas à m’entendre. M’entendez-vous maintenant? M’entendez-vous maintenant? M’entendez-vous maintenant?

101      [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Seigneur Jésus. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... savoir, il y a une Lumière autour de vous. Quelque chose doit être arrivé dans la ligne. Oh ! Vous étiez... Vous avez été guéri. Vous souffriez du cancer et vous avez été guéri; vous vous tenez ici pour quelqu’un d’autre. C’est un membre de votre famille. C’est un neveu, il souffre du cancer, ou de quelque chose sur le visage. C’est vrai. Alors, ce mouchoir que vous avez dans votre poche pour lui, amenez-le-lui. Mettez-le sur lui au Nom du Seigneur Jésus.

            Disons: «Gloire au Seigneur !» Croyez-vous? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... croire que le... Jésus-Christ, le Fils de Dieu, la postérité d’Abraham que vous êtes? Si vous croyez maintenant même, peu m’importe où vous êtes ou dans quelle condition vous êtes, Christ vous a guéris. Croyez-vous cela? Prions alors.

            Père céleste, il n’y a que le diable qui chercherait à voiler ces gens par l’incrédulité, mais je le défie sur base du Sang versé du Seigneur Jésus-Christ. Satan, tu es vaincu. Christ t’a vaincu au Calvaire. Tu es exposé ici ce soir par le Saint-Esprit, et tu es sous forme de démon: cancer, surdité, mutité, infirmité, et toutes les autres maladies. Tu as fait ceci aux gens, mais Jésus-Christ est mort pour les libérer. Sors d’eux. Tu ne peux plus les retenir longtemps. Je te défie au Nom...?...

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