La Résurrection De La Fille De Jaïrus

Date: 56-0731 | La durée est de: 1 heure et 56 minutes | La traduction: Shp
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1          ... par conséquent, quand nous prions pour les malades, nous voulons écourter le–le service, le service de prédication, autant que possible, pour continuer à faire passer la ligne de prière. Et puis, je pense que c’est beaucoup plus puissant, si nous ne nous épuisons pas rien qu’à prêcher. Alors... Et comme je l’ai toujours dit, prier pour les malades avec le don que le Seigneur m’a donné, à moi, Son serviteur inutile, je–je.... La force me quitte très vite d’une façon ou d’une autre avec cela, sous l’onction du Saint-Esprit. En fait, j’aime consacrer toute ma force à la prière pour les malades.

            Eh bien, c’est ce qui a été annoncé. Et maintenant, c’est... Peut-être que demain soir, je suppose, peut-être que nous ferions mieux de prier pour les malades. Je pense que cela est un peu douteux, frère Moore ce soir, de toute façon, avant que nous ayons à quitter demain, et... pour le Canada, sinon il leur faudra annuler la réunion du Canada, car nous n’aurons pas le temps de la tenir. Ça sera le... leur décision.

            Ainsi donc, nous annoncerons le service de guérison ou la prière pour les malades pour demain soir de toute façon. Ainsi donc, priez, venez tôt recevoir vos tickets demain soir, et puis, nous pourrons annoncer plus tard comment le Seigneur nous l’aura accordé.

2          Et maintenant, combien L’aiment? Vous tous, vous L’aimez. N’est-Il pas merveilleux? Nous sommes très indignes de ces choses. Je pense donc combien Il est bon en nous permettant de communier autour de ces grandes choses, et nous en sommes très indignes.

            Hier soir, je réfléchissais. J’étais tellement en pièces quand je suis monté à la chair hier soir, et je n’avais même pas un texte à lire, à peine, quand je suis arrivé ici. Ce temps chaud avait failli me fondre. Je viens à Shreveport en hiver. Nous allons dresser cette tente ici dehors en hiver, alors nous pourrons vraiment relever les côtés, alors nous pourrons simplement souffler une fois de plus. Je prendrai un bloc de glace et m’assiérai dessus pendant un temps...?... Je vous assure. Je ne vois pas comment vous vivez. Eh bien, vous êtes habitué à cela; c’est tout.

3          Et là au nord, eh bien, oh! la la! nous aimons bien ce temps froid. Je me lève et je tiens là les services, là où ils viennent m’entendre prêcher dans ce traineau à dômes. La température est de moins dix à moins quinze degrés. Eh bien, ils s’enveloppent simplement dans leurs couvertures, ils viennent et se mettent là, et chaque fois que je prêche, on dirait donc qu’ils vont remettre cela à plus tard; ils vont geler comme cela, et vous soufflez. C’est bien pour moi. J’aime simplement cela.

            J’ai prêché aux Indiens et à ces... Je les voyais venir, s’asseoir par milliers, ils s’asseyaient simplement sur des couvertures, comme cela, alors que c’était loin en dessous de zéro. Oh! Nous ne prêtons pas attention à cela. On s’assoit simplement là, un petit groupe se lève, ils se couvrent de leurs petites couvertures, ils s’assoient là et écoutent...?... J’ai prêché jusqu’à ce que, on dirait, ce–ce pourrait... votre souffle gèlerait en sortant, mais si le... Mais quand vous entrez là où vous–vous périssez, cela fait bien une différence.

4          Mais maintenant, cela semble bien être le contraire pour vous tous, mais nous vous aimons. Et, oh! si seulement vous demandez si...?... veut faire descendre le nord vers Shreveport ici (Voyez?) faire descendre les montagnes du nord à Shreveport, ici, j’aimerais habiter à Shreveport à cause des gens. Les gens les plus gentils que j’aie jamais rencontrés de ma vie, ce sont les gens du Sud. Et je ne dis pas cela parce que je suis ici. Je serais un hypocrite, mais c’est vrai.

            Peu m’importe... Je suis entré dans un magasin, un petit garçon là d’environ quatorze ans. Dans mon Etat, j’entre juste comme... «Eh bien, que voulez-vous?» Voyez? Ce serait tout. On ne dit jamais: «Merci. Revenez.» Eh bien, je pensais que ce petit garçon allait m’annoncer que j’étais son frère. Je... Eh bien, il était simplement très gentil. Il a dit: «Maintenant, eh bien, revenez nous revoir.»

5          Eh bien, vous savez, il y a juste quelque chose qui me touche. J’aime ça. J’aime ce genre à l’ancienne mode, vous savez. C’est comme on avait l’habitude de dire... J’étais une fois à une réunion, là à Miami, en Floride une fois. Frère Bosworth a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, quand vous sortirez par derrière, a-t-il dit, en traversant la petite tente, par derrière, a-t-il dit, on... La duchesse qui nous a cédé ce terrain ici, aimerait vous serrer la main.»

            J’ai dit: «Eh bien, qui est-elle?»

            Il a dit: «Eh bien, c’est une duchesse.»

            J’ai dit: «C’est quoi?» Et je ne savais pas quelle variété différente de femmes ou ce que c’était...?... J’ai dit: «Expliquez-moi.»

            Alors, il a dit: «Non, c’est une grande femme.» Oui, oui.

            J’ai donc dit: «Eh bien, maintenant, qu’en est-il de tous ces malades qui veulent me voir de toute façon?»

            Il a dit: «Eh bien, elle veut simplement vous serrer la main. Elle est juste là à la porte...?...»

6          Ainsi donc, je suis sorti, une dame se tenait là. Et, oh! la la! si j’avais l’argent que représentaient tous ces diamants qu’elle portait aux doigts, je pourrais faire l’oeuvre missionnaire pratiquement à travers le monde. Elle se tenait là, elle avait de lunettes fixées sur un bâton. Oui, elle en avait. Eh bien, elle ne les portait pas sur le nez, à leur place. Elle avait ça sur un bâton. Elle avait toutes sortes de bracelets autour de son bras, vous savez, comme cela, et elle m’a regardé comme ceci, alors que je sortais.

            Elle a dit: «Est-ce vous docteur Branham?»

            J’ai dit: «Non, madame. Ce n’est pas moi.» J’ai dit: «Moi, c’est frère Branham.»

            Elle a dit: «Eh bien, enchantée de faire votre connaissance.» Et elle a levé la main très haut, comme ceci. Et je... Vous savez qui aimerait... Vous savez comment vous... Eh bien, elle faisait simplement parade. Vous savez, les êtres humains n’agissent pas naturellement comme cela, n’est-ce pas? Est-ce vrai? Eh bien, ils ne le font pas. Eh bien: «Enchantée de faire votre connaissance.» Eh bien, que savais-je de cela, moi un montagnard du Kentucky?

            Alors, je–je l’ai regardée et j’ai dit... J’ai tenu sa grosse main potelée et j’ai dit: «Eh bien, abaissez-la à ce niveau afin que je vous reconnaisse lorsque je vous reverrai.» Eh bien, c’est... Vous savez, je pense que les gens font simplement parade. Eh bien, j’aime une bonne poignée de main des gens du Sud avec pompe...?... J’aime ça. J’aime réellement ça. Elle a dit: «Salut, cher prédicateur.»...?...

7          Une fois, ma femme, nous allions en ville à bord de la voiture. Oh! Il y a de cela deux ou trois ans. Et il y avait une jeune fille dans la rue qui la connaissait. Elle a dit: «Salut, soeur Branham.»

            Et Meda regardait de ce côté-là. Et je–je ne l’ai pas entendue lui parler. Et j’ai dit: «Hé, cette–cette–cette jeune fille t’a parlé.» Elle a dit: «Je lui ai parlé.»

            J’ai dit: «Je ne t’ai pas entendue, et je suis sûr qu’elle non plus.»

            Et–et elle a dit: «Eh bien, a-t-elle dit, je–je–je lui ai souri.»

            Et j’ai dit: «Tu veux me dire qu’un petit sourire sans émotion prendra la place de...?...» Je–je–j’aime vous entendre dire cela. Pas vous? Je n’aime pas sourire à ce sujet. Dites-le vraiment à haute voix...?... Et j’aime vraiment la façon dont vous tous, vous vous y prenez par ici. Vous voyez?

            Là dans le nord, on est froid et on a une différente façon... J’étais allé visiter mon oncle, et on est allé à un–à un lieu, et j’ai dit: «Oncle Charlie, qui habite à ...?... J’ai dit: «Vous savez qui est le voisin?»

            «Oui.»

            Et j’ai dit: «Depuis combien de temps habitez-vous ici?»

            Il a dit: «Vingt ans.»

            J’ai dit: «Qui est-il?»

            Il a dit: «Je ne sais pas.»

            J’ai dit: «Vous ne savez pas. A-t-il habité ici pendant le même temps que vous?»

            «Oui.»

            Oh! la la! Je me serais absolument familiarisé avec lui ou quelque chose comme ça pendant ce temps-là. Ainsi donc, ils ne se disent rien l’un à l’autre là. Ils ne se parlent pas. C’est pareil aussi à Plattsburgh, à New York. Et c’est donc ça maintenant, le côté catholique de notre famille. Et ma grande tante a fondé le couvent à Montréal et a été ensevelie là. Ainsi donc, ils étaient des catholiques très royaux.

8          Ainsi donc, en venant... J’ai dit: «Oncle Charlie, j’aimerais avoir trente-deux specials pour mon fusil. Je vais chasser la biche.»Et il a dit: «Eh bien, va au centre ville, dans tel magasin», que je pourrais trouver cela.

            Alors, j’ai dit: «Très bien.» Eh bien, je suis sorti, je n’ai pas pu repérer le magasin, j’ai cherché donc tout autour. Il y avait un–un homme qui se tenait là au coin. Il semblait être un gentleman intelligent. J’ai dit: «Bonjour.»

            Il m’a regardé, il s’est mis à descendre la rue, et je me suis dit: «Eh bien, quelque chose cloche. Peut-être que c’était moi.» Je me suis avancé, il y avait un homme qui sortait d’un magasin de cigare; et il allumait une allumette pour son cigare, il portait un petit chapeau melon et il était habillé en gentleman.

            J’ai dit: «Bonjour, monsieur. Pouvez-vous me montrer telle et telle quincaillerie?» Il s’est redressé. Je l’ai regardé. Il a continué à marcher. J’ai dit: «Quelqu’un est fou. C’est peut-être moi.»

            Alors, je–je–je n’aime simplement pas ça. Je–j’aime... Eh bien, même ici, votre police essayera de vous orienter et tout. J’aime ce que vous avez, un groupe merveilleux de gens. Si seulement vous aviez un bon temps froid, ça serait magnifique.

9          Alors, Frère Jack, ça me rassure qu’il fera froid. Alors, alors... Mais une chose à ce sujet, amis, partout où l’on va, quand on rencontre les enfants de Dieu nés de nouveau, ils sont tous pareils, peu importe le pays. Nous sommes allés chez les Hottentots de l’Afrique pour... Nous sommes allés chez les Allemands; nous sommes allés chez les Français, nous sommes allés chez les Suisses, nous sommes allés chez les Suédois, les Norvégiens, les Finlandais, partout à travers le monde, pratiquement. Et partout où vous rencontrez les chrétiens nés de nouveau, ils agissent tous de la même manière. Oui, absolument. Ils sont nés de nouveau. C’est ce qui fait cela.

            Alors, ils ont tous ce bon esprit du Sud. Quelqu’un a dit amen à cela. J’ai dit ce bon esprit du Sud. C’est ce qu’ils ont, c’est donc très bien.

10        Maintenant, nous allons aborder Sa Parole ce soir, lire Sa Parole, et commencer directement le service. Eh bien, j’aimerais que vous priiez pour moi maintenant alors que nous abordons la Parole. Mais avant tout, adressons-Lui et...?... ayons Sa grâce...?... Sa Parole.

            Quelque chose avait cloché quelque part. [Le microphone produit un bruit fort.–N.D.E] Frère L.T.? Eh bien, il est censé être mon partenaire. Voyez?

            Une fois, là au Texas, là où l’Ange du Seigneur s’est fait photographier, là où Il se tenait, la Colonne de Feu.

            Eh bien, frère L.C., le prédicateur baptiste, s’est avancé et il a giflé un autre homme en plein sur la bouche, et frère L.T. a publié sa photo dans le journal le lendemain, les séparant, alors... Et puis, il est venu, il est monté sur quelque chose là pour... Oh! Est-ce moi qui fais cela? Oh! Avez-vous cela là? Je ne veux pas le condamner injustement. Non, non. C’est un bon frère.

            Je vois donc Anna Jeanne sourire ce soir. Je... Avez-vous des nouvelles de frère Don aujourd’hui? Non? C’est en ordre. La foi, c’est ce que nous croyons. Que Dieu veuille donner à frère Don un voyage en toute sécurité, une grande effusion du Saint-Esprit, là-bas où il va, en Amérique du Sud. Très bien. Inclinons maintenant la tête pour un mot de prière.

11        Très Bienveillant Seigneur, ces gens heureux ce soir sont pleins de joie, grâce à Ta Présence et Ta visitation parmi nous. Nous Te remercions pour la climatisation ce soir, cela a été réglé pour nous, afin que nous puissions nous sentir plus à l’aise pour T’adorer.

            Nous Te prions ce soir, ô Dieu, de nous pardonner chaque péché, chaque manquement que nous avons dans la vie. Nous prions que Ta grande grâce descende et nous pardonne. Pardonne chaque péché qui est sous la tente ce soir, ô Dieu, nous... Je Te prie, comme me tenant entre les vivants et les morts, de pardonner chaque offense. Et toutes nos petites divergences, nous Te prions de–de nous pardonner simplement d’avoir fait ces choses, et nous le mettons de côté pour T’adorer ce soir en Esprit et en Vérité.

            Quand la ligne de prière sera formée, ô Dieu, fais Ton choix. Désigne tout le monde ce soir, nous prions, et guéris chaque malade. Sauve chaque pécheur ce soir. Ramène chaque rétrograde sur la voie de la Vérité et de la Vie, car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.

            Je sens comme si la Présence du Seigneur est si proche ce soir. Je pense que nous pouvons simplement–simplement commencer la ligne de prière sans dire quoi que ce soit dans la Parole. Juste lire une portion de Sa Parole ici et parler juste pendant quelques instants sur un événement qui est arrivé dans la Bible.

            Nous trouvons cela dans Saint Luc, chapitre 8, et nous commencerons au verset 48 et nous lirons juste une petite portion des Ecritures ici pour avoir un contexte ce soir:

Jésus lui dit: Ma fille, ta foi t’a sauvée; va en paix.

Comme il parlait encore, survint de chez le chef de la synagogue quelqu’un disant: Ta fille est morte; n’importune pas le maître.

Mais Jésus, ayant entendu cela, dit au chef de la synagogue: Ne crains pas, crois seulement et, tu seras sauvé... et elle sera sauvée... (Excusez-moi.)... et elle sera sauvée.

12        Maintenant, notre sujet de ce soir, c’est un exemple très remarquable dans la Bible. J’aime raconter Ses oeuvres ici sur terre, et quand Il était ici dans un corps corporel, et comme Il a dit qu’Il serait avec nous et qu’Il se manifesterait à nous jusqu’à la fin de l’âge...

            Et la Bible déclare: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Et si nous pouvons répéter l’un de Ses exemples juste avant de prier pour les malades, et déclarer aux malades et à tous qu’Il n’est pas mort, mais qu’Il est vivant... Voyez?

            Car nous sommes... Nous voyons Ses actes et Ses attitudes dans les jours passés, alors nous pouvons nous attendre à la même chose, aujourd’hui. Ne le pensez-vous pas, s’Il est le même?

            Maintenant, plaise à Dieu que cette belle atmosphère spirituelle règne dans le... ce petit groupe de gens ce soir, que chacun de vous fasse entrer dans son esprit, dans son coeur, que notre Sauveur n’est pas mort, mais qu’Il est vivant et présent maintenant, tout aussi présent qu’Il a toujours été dans n’importe quel âge passé, tout aussi présent qu’Il était avec Noé; tout aussi présent qu’Il était avec Abraham, tout aussi présent qu’Il était avec les enfants hébreux, tout aussi présent qu’Il était avec–avec tous les patriarches, avec tous les apôtres, et tout au long de l’âge. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement; le même.

13        Maintenant, ayons ça à l’esprit, et rappelons-nous qu’Il est toujours présent; il n’y a aucune autre créature qui puisse être omniprésente à part Dieu Lui-même, aucune autre créature.

            Le diable est une grande force. Le diable a une grande puissance, et le diable est fort par sa puissance; mais il est sous la puissance de Dieu. Et le diable peut uniquement être à un seul endroit à la fois. Ses diablotins peuvent être partout, dispersés, ses démons, ses collaborateurs.

            Mais Dieu Lui-même est le seul, en ce qui concerne l’omniprésence, pas un ange, mais Dieu Lui-même. Alléluia! Cela nous donne donc du courage: «Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je serai au milieu d’eux.» C’est universel, partout.

            Et maintenant, voyons Ses actes pendant quelques instants. Voyons quel genre d’attitude Il affichait envers les malades, et envers les pécheurs. Et alors, si nous voyons Son attitude envers eux par la façon dont Il opère, si donc Il fait la même chose ici, ça sera une preuve absolue et infaillible de ce qu’Il est ressuscité d’entre les morts.

14        N’êtes-vous pas contents ce soir? Avec des milliers de différentes religions dans le monde; et pourtant, il n’y en a aucune qui peut prendre position et prouver que leur dieu est vivant, à part le christianisme.

            Le christianisme est l’unique qui affirme que son Dieu est ressuscité d’entre les morts. Son Dieu était venu sur la terre, Il a été fait chair, Il est mort pour eux afin d’ôter leurs péchés et Il est réapparu dans leur chair pour se manifester jusqu’à ce que nous soyons tous manifestés dans Sa gloire quand Il sera assis sur Son Trône, le Trône de David, et qu’Il régnera pendant le Millénium. Nous Le verrons alors, le Seigneur Jésus même qui a été crucifié, nous Le contemplerons et nous Le reconnaîtrons.

            Et nous sommes Son Royaume et Son domaine d’éternité en éternité...?... J’y pense. Tout pouvoir et toute parole ont été confiés entre Ses mains. C’est vrai. Oh! Que c’est merveilleux!

15        Maintenant, nous pouvons aller là et être un missionnaire... Eh bien, vous dites: «Frère Branham, vous soutenez qu’en tant que missionnaire, on doit faire des va-et-vient outre-mer?» Oh! Oui. C’est ça être missionnaire. Celui qui va et s’y installe n’est pas un missionnaire. Il n’a fait que changer de résidence. Si vous allez là et que vous y restiez quatre ou cinq, huit et dix, douze ans, vous n’avez fait que changer de résidence.

            Paul était le plus grand missionnaire que nous ayons jamais eu, et il ne faisait qu’aller ici, pour quelques semaines, et puis par là, pour quelques semaines. C’est ça un missionnaire. Voyez? Mais celui qui va et s’installe, établit simplement sa demeure là-bas, il n’a fait que changer de résidence. Il habite simplement en Allemagne, ou il habite en Afrique, quelque part, comme cela. C’est un pasteur, ou–ou un évangéliste là-bas.

            Eh bien, nous aimerions faire remarquer que dans notre texte ce soir, il est dit ici que c’était un cas de guérison ou de résurrection d’entre les morts de la fille de Jaïrus, le petit sacrificateur.

16        Eh bien, notre Seigneur Jésus était un Homme très occupé quand Il était ici sur terre. Il était–Il était beaucoup sollicité. Il ne restait jamais à un seul endroit sinon pour un petit temps, ensuite Il allait ailleurs.

            On L’avait persuadé de rester dans la ville, à divers endroits: «Reste avec nous.» Mais Il a dit: «Je dois aller dans cette autre ville, car J’ai été envoyé pour ça.» Et Il ne restait dans une ville que juste un jour, ou peut-être une heure ou deux, à la fois, Il accomplissait un miracle, Il laissait le reste de la réunion pour Ses disciples qui allaient Le suivre.

17        Maintenant, nous Le trouvons quelques jours avant ceci, de grandes oeuvres qu’Il avait accomplies. Et juste quelques heures avant ce cas dont nous parlons, Il traversait une mer. Il était fatigué, épuisé, la vertu était sortie de Lui; les gens avaient été guéris. Il avait prêché l’Evangile, et en route vers l’autre côté de la mer, la traversée vers le pays de Gadara, Il était très fatigué et épuisé au point qu’Il était couché à la poupe.

            Certains d’entre eux avaient arrangé pour Lui un petit oreiller là derrière parce qu’ils L’aimaient, et pendant qu’ils ramaient dans le... les voiles déployés, et tous les apôtres étaient en train de pagayer, Il s’est endormi profondément, tellement Il était fatigué et épuisé... Voyez? Il était un Homme dans un sens; Il était Dieu dans un autre. Il était Homme dans la chair; Il était Dieu dans l’Esprit. Nous avons examiné cela, tout récemment.

            La Colombe était venue sur l’Agneau, et les deux devinrent Un. L’Agneau était une Créature, et la Colombe était une autre Créature; et quand la Colombe et l’Homme... la Colombe et l’Agneau s’unirent ensemble, Dieu fut manifesté dans la chair. C’est vrai.

            Et maintenant, Il est manifesté dans votre chair en étant des fils et des filles adoptés dans le Royaume de Dieu par le baptême du Saint-Esprit. C’est vrai, et vous devenez cohéritiers du Seigneur Jésus-Christ. Oh! Eglise, vous avez la puissance, si vous avez la foi pour vous en servir. C’est ça.

18        Hier soir, j’ai parlé de Noé, comment cette arche avait été construite; comment un arbre devait être coupé. Et puis, on extrayait la colophane de cet arbre à force de le battre. En fait, la colophane, c’est la sève. La vie de l’arbre a dû être extraite à force d’être battu pour faire l’expiation afin de sauver la vie de Noé et de sa famille.

            Le bois de gopher avec lequel l’arche avait été construite... Le bois de gopher a premièrement dû être coupé et séché. Toute la vie dans le bois de gopher qui n’était pas bonne, qui n’était pas préservée...

            C’est un très beau type d’un pécheur. Même si vous vous tenez debout, mais la vie qui est en vous, mon ami, ne vaut rien. Vos bonnes oeuvres et tout ce que vous êtes de par votre bonté, ça ne peut pas expier vos péchés. Il a dû y en avoir un Autre de votre espèce qui a été coupé, le Seigneur Jésus, le Parfait; et de Son corps, on a frappé Son dos avec un martinet, on a frappé sur la tête, on Lui a craché au visage, on Lui a enfoncé des clous, on L’a percé au flanc, et Sa vie a dû sortir pour qu’Il devienne le Sauveur de votre vie.

19        Maintenant, nous voyons que le bois de gopher, la première chose, l’arche était constituée du bois de gopher. On devait le couper, et sa propre vie avait séché. C’est le signe du pécheur. Le pécheur, avant de se mettre en ordre avec Dieu, doit dissiper tout...? avec le péché, blanchir.

            Ensuite, le bois de gopher est le bois le plus léger qui existe, et un pécheur qui s’est repenti et qui s’est exposé devant Dieu est le plus grand récipient qui puisse exister.

            Puis, le Saint-Esprit descend. Eh bien, si vous plongez le bois de gopher dans l’eau, il s’enfoncera en quelques minutes. C’est vrai.

            Eh bien, si le pécheur s’est complètement vidé... Et puis, quand le bois de gopher est vidé, il devient léger, flexible. Alors, nous trouvons... Etes-vous déjà devenu très léger après vous être agenouillé là et que Dieu vous a pardonné les péchés, et qu’il semblait comme–comme si vous marchiez sur les nuages? Assurément. Vous avez été vidé de votre propre vie; ensuite, Dieu vous a amené au tabernacle, au rassemblement des gens, et Il a fait de vous un morceau de bois ou une pierre dans une maison.

20        Et puis, une fois que vous êtes cloué comme le bois de gopher l’avait été, alors on a extrait la colophane de ce bois, le pin, l’arbre aux feuilles persistantes, on a mis cela... On a fait bouillir cela et on a déversé cela dans ces pores où autrefois il y avait de la sève dont on ne se servait pas, qui était sans effet, et qu’on déversait la colophane tirée d’un autre arbre là-dedans, cela devenait fort comme de l’acier. Et cela pouvait endurer le jugement.

            Et alors, une fois que vous avez été vidé de toute votre vie du péché, alors le Saint-Esprit, qui avait bouilli dans les feux du Calvaire, a été déversé en vous, cela vous a scellé dans le Royaume de Dieu. «N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu par lequel vous avez été scellé pour le jour de votre rédemption.» Amen. Que le monde explose, qu’il y ait des éclats, toutes les autres choses ne toucheront pas un chrétien né de nouveau. Amen.

            La Bible dit, Ephésiens 4.30: «Vous avez été scellé pour le jour de votre rédemption.» Amen! Ce bateau parcourt les eaux. Amen! Le vieux bateau de Sion va certainement accoster un jour (Exact.), protégé.

21        Christ était couché dans ce navire, à la fois Dieu et Homme, Dieu était en Lui.

            Il n’y a pas longtemps, une femme me parlait. Elle était une fe... Eh bien, je n’ai pas l’intention de ridiculiser la religion de qui que ce soit. C’est son affaire; mais elle était membre du groupe qui disait... Ils ne croient pas dans la naissance virginale et croient que Christ était simplement un–un homme de bien, un prophète. S’Il était seulement un prophète, alors Son Sang ne vaut pas plus que le mien ou le vôtre. Il était soit Dieu, soit le plus grand séducteur que le monde ait jamais connu.

            Elle disait: «Je vais vous prouver par la Bible qu’Il n’était qu’un homme.»

            J’ai dit: «Madame, je ne crois pas que vous puissiez le faire. J’ai lu Cela à plusieurs reprises et j’ai médité Cela dans la prière.» J’ai dit: «Si vous arrivez à me prouver que la Bible dit qu’Il n’était qu’un Homme, alors j’aimerais voir votre passage des Ecritures en rapport avec cela.»

            Et elle a dit: «Dans Saint Jean, chapitre 11, la Bible dit que quand Jésus se dirigeait vers la tombe de Lazare, la Bible déclare clairement qu’Il pleura.»

            J’ai dit: «Eh bien, qu’est-ce que cela a à faire avec la chose?»

            Elle a dit: «Il ne pouvait pas être un immortel. Il ne pouvait pas être plus qu’un homme et pleurer aux funérailles.»

            J’ai dit: «Vous n’avez simplement pas vu tout le tableau en rapport avec cela.» J’ai dit: «C’est vrai. Il était un Homme dans la chair, car Dieu était dans Son Fils, réconciliant le monde avec Lui-même. Il était un Agneau à un endroit, mais Il était une Colombe à un autre. La Colombe était dans l’Agneau. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.

22        J’ai dit: «Il était un Homme quand Il descendait vers la–la tombe de Lazare, pleurant. Il était alors un Homme, mais quand Il redressa Son petit visage et dit: ‘Lazare, sors’; et qu’un homme mort depuis quatre jours se tint là sur ses pieds, C’était plus qu’un Homme; C’était Christ; C’était Dieu qui parlait par là.»

            J’ai dit: «Il était un Homme quand Il descendait de la colline cette nuit-là, affamé, cherchant quelque chose à manger dans ce figuier-là. Il était un Homme; Il avait faim; Il cherchait à manger, Il était un Homme; mais quand Il prit cinq petits pains et quelques petits poissons et qu’Il les brisa et nourrit cinq mille personnes, là, C’était plus qu’un homme. C’était les mains de Dieu quand ce pain était brisé par là.»

            Avez-vous remarqué, ce n’était pas juste des poissons crus–crus, des poissons vivants, pas du blé, mais déjà préparés, cuits, frits et prêts à être mangés. Amen. Quel genre d’atome lâchait-Il en faisant cela? C’était plus qu’un homme. C’était le Dieu de l’atome. C’était le Dieu qui a créé l’atome. C’était le Dieu qui a créé le calcium. C’était le Dieu qui a créé la vie. C’était le Dieu qui a créé la création.

            Il était dans le monde et le monde ne L’a pas reconnu. Et le monde a été fait par Lui. «C’était plus qu’un homme», ai-je dit. Oui, oui. Il était–Il était un Homme ce soir dont je parle. La nuit où Il était couché là à la poupe, tellement fatigué dans la chair qu’Il ne pouvait même pas se réveiller. Il était si fatigué que les vagues ne L’avaient même pas réveillé. Il était un Homme pendant qu’Il était couché à la poupe, endormi.

            C’était... quand Il s’est levé et qu’Il a mis Son pied sur le bastingage de la barque, qu’Il a levé les yeux et a dit: «Silence, tais-toi», et que les vents et les vagues ont cessé, là, C’était plus qu’un homme qui parlait. C’était Dieu qui parlait par les lèvres de Son Fils, le Seigneur Jésus-Christ. Amen.

23        C’est vrai. Il fut suspendu à la croix, implorant la miséricorde. C’était là un Homme. Quand Il était suspendu à la croix, implorant la miséricorde, c’était un Homme. Le matin de Pâque, quand l’Ange du Seigneur roula la pierre, et qu’Il est sorti, Il a prouvé qu’Il était Dieu. Il n’est pas étonnant que le poète ait dit:

Vivant, Il m’aima; mourant, Il me sauva;
Enseveli, Il emporta mes péchés au loin;
Ressuscitant, Il me justifia librement pour toujours;
Un jour, Il va venir, oh! quel jour glorieux!

            Assurément qu’Il l’était. Il était Dieu-Homme. Il était divin. Il est né d’une vierge. Dieu, Jéhovah, Dieu avait couvert une petite vierge de Son ombre et Il a fait que cette vierge donne naissance au Fils de Dieu. Et C’était un Tabernacle ou une demeure de Jéhovah Lui-même. Jéhovah a marché dans un tabernacle de chair, Il a payé le prix du péché. Ne Le considérez jamais comme un prophète. Il était le Dieu des prophètes. Assurément. Il était plus qu’un homme de bien. Il était le Dieu des hommes de bien.

24        Eh bien, là sur cette petite mer agitée, dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer, pendant qu’Il était couché là derrière, fatigué.

            Vous savez, le diable prend le dessus sur vous lorsque vous êtes fatigué ou épuisé. Il fait de même pour vous. Vous êtes juste un peu fatigué et épuisé, et alors vous devenez découragé. Certainement. Il a attrapé Jésus sur ce point faible-là, fatigué et épuisé. Il était couché à la poupe, balloté; et la Bible dit qu’une tempête éclata sur la mer et commença à balloter la barque.

            Les disciples ont dit: «Ne Te soucies-Tu pas de ce que nous périssons?»

            Il a dit: «Oh! Où est votre foi?» Il a promené le regard tout autour, et des vents forts et des vagues Lui ont obéi. Que faisait-Il? Il traversait une mer houleuse cette nuit-là à cause d’une seule âme, à Gadara, qui était prête à Le recevoir: Une seule âme à Gadara.

            Il peut venir de la Gloire jusqu’à Shreveport pour une seule âme qui est prête à Le recevoir. Et, rappelez-vous, cet homme qui était prêt à Le recevoir, c’était un homme malade. Il souffrait d’une maladie mentale. C’était un fou. Il avait perdu la raison. Les médecins ne pouvaient rien faire pour lui. Il était là dans les–là dans les cavernes, au cimetière. C’est là que le diable vous amènera. Il vous mettra au cimetière.

25        Un agent de l’assurance, il y a quelque temps, est venu chez moi et a dit: «Billy, j’aimerais te vendre une assurance.»

            J’ai dit... Je n’ai rien de ce genre. Je lui ai alors dit: «J’ai l’assurance.» Et ma femme s’est arrêtée et elle m’a regardé. Elle savait que je n’avais pas d’assurance, surtout ce que lui vendait.

            Elle a dit: «Billy!»

            Et j’ai dit: «Eh bien, j’ai l’assurance.»

            Il a dit: «Qui te... Quelle est ton assurance? Quelle police d’assurance est-ce? Qui la gère?»

            J’ai dit: «Le Seigneur Jésus.» J’ai dit: «Assurance bénie, Jésus est mien. Oh! Quel avant-goût de la Gloire divine: Héritier du salut, racheté par Dieu, né de Son Esprit, lavé dans Son Sang.»

            Il a dit: «C’est bien, Billy, je suis content d’entendre cela, mais, a-t-il dit, cela ne t’amènera pas au cimetière.»

            J’ai dit: «Mais cela m’en fera sortir. Je ne me préoccupe pas d’y aller. Cela m’en fera sortir...?...» C’est vrai. Assurément, cela... Je ne me fais pas de soucis quant à aller au cimetière; c’est en sortir.

26        Et je sais une chose, frère, quand le bon baptême du Saint-Esprit à l’ancienne mode, chaque fois que le coeur bat, nous nous approchons davantage de ce grand lieu appelé la mort.

            Maintenant, voici ce que j’aimerais dire, quand j’atteindrai le bout du chemin, je Le connais dans la puissance de Sa résurrection, de sorte que quand Il appellera d’entre les morts, Il connaîtra mon nom, comme Il avait connu celui de Lazare.

            C’est pour cela que je combats ce soir. Combattre honnêtement pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Alors, nous Le connaîtrons dans la puissance de Sa résurrection, pas comme un Dieu mort; pas un Dieu dans la crèche, mais un Dieu qui règne parmi les siens ce soir, accomplissant des signes et des prodiges, manifestant Sa grande puissance.

27        Ce pauvre fou là au cimetière, c’est là que beaucoup d’églises vont, droit au cimetière.

            Alors, quand il est sorti de là, il se faisait des entailles. Quand on quitte le Seigneur Jésus, c’est ce qu’on fait. Et Jésus a traversé la mer pour apporter la délivrance à ce seul pauvre homme. Et aussitôt que ce fou L’a vu, il a couru vers Lui et s’est prosterné, il était tellement soumis au diable que le diable se servait de sa langue.

            Vous pouvez vous soumettre au diable, et il se servira de votre langue. Si vous vous soumettez à Dieu, Dieu se servira de votre langue. Et Il peut vous contrôler. Mais il vous faut premièrement Le laisser avoir le contrôle sur vous.

            Or, si vous maudissez, vous condamnez et vous allez de l’avant comme le font les pécheurs, c’est le diable qui vous a sous son plein contrôle. Laissez Dieu s’emparer une fois de vous et voyez ce qu’Il va faire.

28        Oh! Que c’est merveilleux! Alors, ce fou a couru vers Lui et le Seigneur Jésus a réprimandé ces esprits. Beaucoup de gens disent que la religion vous rendra fou, pas la religion du Seigneur Jésus-Christ. Elle vous accordera votre bon sens. Et vous n’avez pas votre bon sens avant d’avoir rencontré le Seigneur Jésus. C’est vrai.

            Eh bien, il y a des gens qui se disent des gentlemen, mais ils sont si bestiaux qu’ils arracheraient une enfant de bras de sa mère pour la violer. Ou ils ont une convoitise bestiale et brute dans leurs coeurs. Peut-être qu’il pèse deux cent cinquante livres [113 kg], avec des muscles comme une espèce d’animal; ce n’est pas ça un homme. C’est une bête. Certainement. Un homme, on ne le connaît pas par ses muscles ou par sa taille. La valeur d’un homme, c’est son caractère. Tout ce qu’il est, il l’est par le caractère.

            Et Son aspect n’avait rien, comme je le disais, Jésus, pour attirer nos regards, en dehors du caractère. Cela n’a jamais été reproduit dans le monde entier. C’est vrai.

            Comme la Bible l’a même dit, que quand nous Le regardions, ils... Son aspect n’avait rien pour attirer nos regards. Nous détournions tous le visage de Lui et tout, mais jamais caractère n’a égalé le sien. Quelle merveille!

29        Alors, ce fou, quand il a recouvré son bon sens, après que les démons l’eurent quitté, il voulait suivre le Seigneur Jésus. Tout celui qui jamais recouvre son bon sens veut suivre le Seigneur Jésus. Je n’aimerais pas vous blesser, pécheur, mais c’est vrai. Quand vous recouvrez votre bon sens, vous allez suivre le Seigneur Jésus. Jésus ne vous fait pas perdre votre bon sens. Il vous restitue votre bon sens. C’est vrai.

            Maintenant, remarquez. Alors, quand ils sont arrivés, ils allaient tenir un réveil là. Mais vous savez quoi, ces gens-là étaient des éleveurs des cochons. Ils ne voulaient jamais de réveil, car cela leur avait coûté leurs deux mille cochons, pour avoir un réveil. Ils ne s’intéressaient donc pas au réveil, du moment que cela allait leur coûter leurs pourceaux.

30        Je me demande bien si les gens dans ce pays, aujourd’hui, n’affichent pas pratiquement la même attitude. C’est vrai. Si cela va leur coûter un petit quelque chose, eh bien-eh bien, ils n’en veulent pas. Ils veulent tout sur un plateau d’argent. C’est la raison pour laquelle ils n’apprécient pas cela.

            L’une des plus grandes réunions qui ait jamais été tenue, je pense, c’était... Simplement je... Je ne sais pas si c’était Moody. J’oublie donc qui c’était maintenant. Eh bien, de toute façon, une vieille lavandière, Dieu lui avait mis cela à coeur. Frère Moore peut se rappeler le cas. Oh! Il y a de cela quelques centaines d’années et plus... Je ne veux pas dire qu’il est si vieux, mais je veux dire qu’il peut connaître cela de par son histoire. Je ne voulais donc pas dire que frère Moore était aussi vieux que ça de toute façon.

31        Mais quand cette vieille lavandière a prié, Dieu lui a dit qu’elle allait avoir un réveil. Elle a parcouru la rue, distribuant de petits tracts, elle avait loué les services d’un prédicateur pour qu’il vienne. Elle a pris sa planche à lessive, elle a nettoyé l’écurie des chevaux de louage, elle avait loué cela, elle avait loué cela avec son argent qu’elle avait gagné en faisant la lessive.

            Et alors que tout le monde jetait les–les pamphlets dans la rue et ne voulait pas recevoir cela, un drôle de petit garçon est passé par là, portant les bretelles de son papa, les cheveux lui retombant sur le visage, et il a dit: «Que distribuez-vous, madame?»

            Elle lui a donné un de petits tracts et l’a invité à la réunion. Et ce soir-là, quand le prédicateur est arrivé, cette vieille dame et ce jeune garçon étaient les seuls à assister à la réunion. Et quand le prédicateur, fidèle à Dieu, a prêché juste comme s’il y avait dix mille personnes assises là, alors le petit garçon s’est avancé à l’autel ce soir-là, était-ce A. B. Simpson? A.B. Simpson qui avait conduit pratiquement un demi-million d’âmes à Dieu. A qui en revient le mérite? Amen.

32        Vous voyez que ce ne sont pas de grandes choses que vous faites qui comptent. Ce sont les petites choses que vous laissez non faites. Il vous faut faire des sacrifices. Eh bien, c’est la raison pour laquelle les gens...?... viennent à la réunion. Eh bien, ils viennent par milliers, des fois des milliers et des milliers. Ils aiment sortir par un temps froid, ils aiment faire quelque chose pour Dieu. C’est ce qu’il nous faut faire. Peu importe ce qui se passe. Faisons quelque chose pour Dieu. Faisons un sacrifice. Car la Bible dit que nous sommes des sacrificateurs de Dieu offrant des sacrifices spirituels, les fruits de nos lèvres qui rendent des louanges en Son Nom.

            Très bien. Mais quand ces gens ont pensé que cela allait leur coûter quelques pourceaux, ils sont venus et ils Lui ont demandé de quitter le territoire. Si donc vous Lui demandez de partir, Il s’en ira. Il ne traînera pas là très longtemps. Non, non. Il ne restera jamais là où Il n’est pas le bienvenu. Il vient toujours là où Il est le bienvenu.

            Vous vous rappelez le sermon d’il n’y a pas longtemps sur la femme qui avait lavé les pieds de Jésus. Il reste toujours là où Il est le bienvenu. Il se sent à l’aise quand vous L’accueillez bien.

33        Vous priez comme tout pour qu’il y ait réveil à Shreveport. Puis Jésus peut venir à Shreveport, et un grand réveil éclate. Et quelqu’un et, (oh! la la!) au lieu de parler et de faire venir les gens, la plus grande partie d’entre eux disent que c’est du fanatisme.

            Les églises... Ici dans le pays, pas à Shreveport, partout à travers le pays, on prie pour un réveil. Tout d’un coup, vous savez, un petit esprit de réveil éclate dans le coeur d’une vieille soeur, elle dit: «Eh bien, gloire au Seigneur.»

            «Hmm.» [Frère Branham se racle la voix.–N.D.E.] On la fait sortir, on dit: «Comment cela m’interrompt-il pendant que je prêche? Eh bien, vous êtes en train de faire...?...» Oh! Vous pouvez Lui parler de temps en temps dans la cave, ou–ou dans une autre pièce, ou quelque chose comme cela. Quand il vous faut avoir une réunion de prière, vous préférerez aller faire des achats plutôt que d’avoir une réunion de prière. Pas de sacrifice, c’est pourquoi nous n’apprécions pas ce que nous recevons.

34        Je l’ai découvert chez mes enfants. Billy Paul... Je travaillais pour gagner quarante cents par heure, je savais combien j’avais dû être traité alors que j’étais un petit garçon, tout remué, sans rien du tout, même pas d’habits à porter à l’école ni rien. Je disais que même si je devais travailler jusqu’à tomber raide mort, j’avais l’intention d’avoir les meilleurs choses.

            Je suis sorti, et je lui ai acheté un petit...?... Je lui ai acheté des petites flèches et des arcs et tout ce que je n’avais pas pu faire quand j’avais... ou faisais... que j’avais quand j’étais un enfant. Vous savez ce que j’ai trouvé une fois. Chaque... chaque semaine, j’essayais d’avoir... d’épargner un peu d’argent pour lui acheter quelque chose.

            La chose suivante, vous savez, je l’ai trouvé dans la cour de derrière, malgré tous ces petits jouets dans la maison, avec une cuillère de thé, creusant dans la cour. Voyez? Vous avez tellement de choses que vous ne les appréciez pas. Pour les autres, je m’y étais mieux pris, avec les meilleurs. Ça se passe donc mieux. Oh! C’est mieux.

35        Combien auront à faire des sacrifices? Mais Il n’est jamais trop fatigué. Savez-vous ce que j’aimerais faire? Quand j’arriverai dans la Gloire, j’aimerais aller là et voir l’influence que le témoignage de légion avait exercée sur les éleveurs de pourceaux à Gadara quand Il était arrivé là.

            Je m’imagine qu’il avait embrasé ce territoire-là avec ces éleveurs de pourceaux, ne l’imaginez-vous pas, par son témoignage, alors qu’il était vêtu et qu’il était dans son bon sens? Voyez?

            Mon intention n’est pas de vous blesser, soeur, si vous qui vous déshabillez ici, en portant ces petits habits drôles... Vous voyez, vous ne jouissez pas encore du bon sens. Si jamais vous rencontrez le Seigneur Jésus, vous recouvrerez votre bon sens, vous vous habillerez, et vous n’agirez pas comme cela. Alors, vous... Quand vous rencontrez Jésus, vous portez vos habits, vous ne les enlevez pas.

            Et, prédicateur, j’espère que cela vous pénètre profondément dans le coeur, de sorte que vous reconnaîtrez que c’est la vérité. Pourquoi laissez-vous vos membres faire cela? Dites-leur la vérité à ce sujet. Très bien.

36        Eh bien, Il traverse la mer et accoste sur le rivage pourtant agité à côté de la mer. Aussitôt qu’Il foula le...?... et commence à revenir de l’autre côté une fois de plus. Oh! Quelle grande fatigue! Combien Il était fatigué quand Il a foulé le rivage. Il y avait là une petite femme qui avait résolu que si jamais elle s’approchait de Lui, elle Lui demanderait de lui accorder Sa grâce.

            Mais elle a vu qu’elle ne pouvait pas s’approcher de Lui. Elle souffrait d’une perte de sang. Elle a donc simplement touché le bord de Son vêtement et elle a été guérie.

            Eh bien, il y avait un petit homme là, du nom de Jaïrus. J’ai toujours eu pitié de Jaïrus, car je pense qu’il croyait en secret. Et savez-vous que Jaïrus est assis sous cette tente ce soir? C’est vrai. Oh! N’eût été le prestige social, ce drôle de sale chose du prestige social. Qu’est-ce que le prestige social après tout? «Oh! C’est la culture. Nos prédicateurs ont acquis de la culture. Comme ils peuvent se présenter!» Savez-vous ce que je pense que la culture est? La culture, c’est ceci: C’est un homme qui n’a pas assez de courage pour tuer un poulet, mais qui peut s’en remplir le ventre aussitôt que quelqu’un d’autre le tue. C’est ce que je pense, mon appréciation de la culture. Oui.

37        Ô Frère, ce dont nous avons besoin, c’est du salut selon la Bible, et de revenir à l’ancienne ligne de démarcation, revenir à la Bible. Alors, le vieux Jaïrus était leur chef; c’était dans son coeur. Ils l’avaient appelé dans une assemblée générale, ils avaient fait un vote pour déterminer s’ils devaient laisser Jésus de Nazareth venir dans leur contrée.

            Non! Ils n’avaient rien à faire avec Lui. «Et tout homme qui professe la foi en Lui sera aussitôt excommunié. Eh bien, Jaïrus, comprends-tu?» Et dans l’assemblée, le petit Jaïrus ne pouvait même pas dire amen. Je pense que c’est vrai (Voyez?), mais dans son coeur il voulait croire cela tout le temps.

            «Alors, a-t-il dit, maintenant, Jaïrus, souviens-toi de ceci. Si un membre de ton assemblée vient et professe qu’un miracle a été accompli par Jésus de Nazareth, excommunie-le aussitôt. Eh bien, tu sais que c’était un ordre pour les Juifs. Oui, oui. Fais-le sortir de la synagogue. Tu connais le souverain sacrificateur, l’évêque, l’ancien de district et eux tous, ils vont de lieu en lieu, donnant des consignes que si quelqu’un reçoit Jésus de Nazareth, il sera aussitôt excommunié.»

            Alors, vous savez, quand vous croyez réellement en secret, au fin fond de votre coeur, vous voulez dire: «Je veux cette religion de l’ancien temps», mais vous savez, simplement vous... Il y en a beaucoup là qui ne croient pas cela. Dieu frayera une voie pour que vous receviez cela. Oui, Il le fera. Il frayera une voie.

38        Il a alors frayé une voie pour Jaïrus. Et un jour, sa fillette tomba malade. Vous savez, Dieu peut vous avoir par vos enfants. Et alors, sa fillette tomba malade.

            Eh bien, la chose raisonnable à faire pour n’importe qui, quand un enfant tombe malade ou n’importe qui, c’est d’envoyer chercher votre médecin. Et le médecin est venu, il l’a consultée, il a dit: «Eh bien, je vais lui donner mon tonique à base des plantes, et je verrai ce que nous pouvons faire.»

            Le lendemain, il est revenu, sa maladie (Oh! la la!) s’aggravait de plus en plus tout le temps, la fièvre devenait de plus en plus forte. Alors, quand il est revenu le lendemain, il a prélevé sa pulsation cardiaque, il a dit: «Oh! la la! Son coeur bat plus vite, Jaïrus. Maintenant, pasteur Jaïrus, je regrette de vous le dire, mais vous savez, j’ai essayé pratiquement chaque remède possible sur cette jeune fille, et il n’y a rien que je puisse faire pour elle. Elle devient de plus en plus malade tout le temps, et je crains que–que vous alliez devoir la perdre, Jaïrus.»

            Il a dit: «Ô docteur, vous ne voulez pas me dire que je vais devoir la perdre.»

            «Si, Jaïrus, je regrette, mais je suis... d’après ma profession de médecin, laissez-moi vous le faire savoir, il n’y a rien au monde que je puisse faire avec mon médicament pour elle. Tout ce que je peux dire, c’est: ‘Que Dieu soit miséricordieux envers son âme.’»

39        Ce médecin était... Il avait fait tout son possible. Il a quitté la maison. Je peux voir le petit Jaïrus parcourir la pièce. Tout le temps, dans son coeur, il réfléchissait: «Si seulement je savais où était Jésus. Si seulement je peux trouver Jésus.» Très bien. Il fait des va-et-vient. Il se dit donc: «Je pense que j’irai là voir le... mon ancien de district pour voir ce qu’il pense au sujet de... Si je devrais envoyer chercher Jésus de Nazareth.»

            Eh bien, c’était dans son coeur. Il avait foi que Jésus pouvait faire cela. En avez-vous? Il avait foi qu’Il pouvait faire cela. Il s’est donc dit qu’il irait voir l’ancien de district pour vérifier si ça serait en ordre de faire venir Jésus.

            Il est donc parti voir le responsable de la synagogue et autres. Celui-ci lui a dit: «Eh bien, Jaïrus, eh bien, c’est ridicule. Eh bien, nous sommes disciples de Moïse. Nous savons que Moïse avait accompli des miracles; mais, Jaïrus, sais-tu que cela fait des centaines d’années? Les jours de miracles sont passés. Cela n’existe donc pas en ce jour-ci. Tout ce que tu peux faire, c’est que nous venions et que nous lui administrions les derniers sacrements de l’église, et que nous la laissions mourir en paix. C’est tout ce qui est à faire. Ça sera la volonté de Dieu. Si ton médecin ne peut pas l’aider, c’est la volonté de Dieu qu’elle meure.»

40        Combien cela est faux. Mais tout le temps, pendant que cela se passait, Jésus sentait une attraction; en effet, la foi de Jaïrus L’attirait là. C’est ce pour quoi vous êtes ici.

            Tout le temps qu’Il sentait comme cela, Il traversait la mer. Et maintenant, nous avons vu, il y a une ou deux soirées, que Jésus a dit dans l’Evangile: «Je ne fais que ce que le Père me montre premièrement en vision.» Est-ce vrai? Saint Jean 5.19: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père premièrement.» Jésus savait exactement ce pour quoi Il partait. Encore un appel pour une seule âme, et Il traverse la mer.

41        Et alors, tout d’un coup, vous savez, Jaïrus est revenu et il a dit... Je peux entendre sa femme dire: «Où étais-tu allé?»

            «J’étais juste là à l’église, disant une prière pour la jeune fille.»

            «Eh bien, elle est déjà inconsciente maintenant.»

            «Oh! la la!» Je peux bien me l’imaginer dire: «Si seulement je peux trouver Jésus. Si seulement je savais où Il était, je crois ce Prophète-là. Je crois vraiment en Lui. Je Le vois faire des oeuvres. J’ai suivi cela dans les Ecritures. Ceci est mon gagne-pain. Je suis pasteur de cette église, mais si seulement je peux Le trouver. Si seulement je peux trouver où Il est.»

42        Eh bien, tout d’un coup, vous savez, quelqu’un vient en courant dans la rue et dit: «Hein, savez-vous ce qui arrive, pasteur?»

            «Quoi?» «Eh bien, tous les gens sont là, évidemment, en train de pleurer et de le consoler, les braves et honnêtes gens, et braves de l’église. Il va perdre sa fille, et quand quelqu’un est passé par là, il a dit: «Vous savez quoi? Après tous les ennuis que nous avons eus par ici, cette jeune fille se meurt; cependant, j’apprends que ce fanatique de Prophète de Galilée vient de fouler le rivage par ici.»

            L’espoir commence à bondir sous la petite poitrine de Jaïrus en ce moment-là même. Si... Vous savez, la foi vient de ce qu’on entend. Est-ce vrai? Quelqu’un lui a dit que Jésus était venu. Quelqu’un dit ce soir que Jésus est ressuscité d’entre les morts: Quel espoir! Amen.

            Le pauvre Jaïrus s’est dit: «Si seulement je peux Le voir maintenant, je Lui exprimerai mon... Oh! Oh! Oh! Oh! Que ferai-je? Je perdrai mon emploi. Je perdrai mon assemblée. Que ferai-je? Eh bien, peut-être que je ferais mieux de ne pas y aller.» Il est entré et a regardé sa fillette. Elle était pratiquement morte. Qu’était-il arrivé?

            Là au fin fond de son coeur, Dieu commence à travailler: «Jaïrus, c’est maintenant ton tour.» Vous savez, Dieu donne une vision à Christ, et Dieu opère aux deux bouts de la ligne. Voyez?

43        Et Il commence à percevoir dans son coeur: «Oh! Je crois que j’irai Le voir.» Il appelle donc madame Jaïrus dehors et lui dit: «Tu sais, chérie, je pense à quelque chose.»

            «Oui, chéri, qu’est-ce?»

            «Eh bien, évidemment, tu sais que c’est moi le pasteur ici.»

            «Oui, oui, oui. Qui allons-nous prendre pour prêcher à ses funérailles?»

            «Eh bien, ce n’est pas à cela que je–je pense, tu sais, chérie. Je... Tu sais quoi? Je... Il y a quelque temps, j’étais là de l’autre côté du lac, j’ai vu ce Prophète de Galilée. Un jour, je L’ai vu accomplir là un miracle qui m’a étonné; et tu sais, je crois qu’Il peut aider ma fille, notre enfant. Ne le penses-tu pas, chérie?»

            Elle a dit: «Tu sais... J’aimerais te dire quoi, chéri. Je–je–je crois la même chose.»

            «Eh bien, chérie, veux-tu dire que tu croyais cela tout le temps?»

            «Oui.»

            «Moi aussi.»

            Oh! la la! La paix va venir très bientôt dans ce foyer-là. Quand le père et la mère peuvent se mettre en ordre avec Dieu, quelque chose va se passer.

            «Eh bien, a-t-il dit, es-tu prête, si on m’excommunie, es-tu prête à rester attachée à moi?»

            «Chéri, je resterai attachée à toi advienne que pourra. C’est mon voeu de mariage. Je resterai attachée à toi. Si tu veux aller Le chercher, je resterai à genoux ici, priant jusqu’à ce que tu reviennes. Que l’assemblée dise tout ce qu’ils veulent. Nous croyons Dieu.»

            Amen. C’est ça. Maintenant, vous vous mettez en ordre. C’est ça. C’est cela la vision. «Nous croirons Dieu.» Amen. Très bien, que les autres alors... David a dit: «Moi et ma maison, nous servirons l’Eternel.» C’est exact. Peu importe ce que les voisins disaient, ce que quelqu’un d’autre disait; servez l’Eternel.

44        Alors, nous voyons donc que le petit Jaïrus, il pensait... il a tendu la main, et il a pris son petit chapeau de sacrificateur et il l’a porté, comme ça. Il s’est engagé à sortir. Tout d’un coup, vous savez, il a rencontré quelques membres de l’assemblée.

            «Où allez-vous, Jaïrus?»

            «Oh! la la! Qu’est-ce que je vais faire maintenant? Montrer mes couleurs? Vais-je devoir faire le traître? J’ai peur qu’en niant cela, qu’Il ne vienne donc pas avec moi. Je dois être un vrai soldat.»

            C’est comme ça. C’est ça. «Eh bien, assemblée, j’aimerais vous l’annoncer maintenant. Je vais au lac. Je viens d’apprendre que Jésus est là. (Amen.) Je viens d’apprendre que Jésus est arrivé.»

            Oh! la la! Je–je me sens très religieux. «Jésus est arrivé. Je vais Le chercher.»

            E»h bien, quelle audace même, pasteur! Voulez-vous me dire que vous allez vous abaisser, érudit que vous êtes, avec toute cette licence en lettres, licence en lettres et tout, votre nouveau doctorat qui vous a été décerné, le doctorat en droit, et vous voulez me dire que vous allez vous mêler à cette bande de saints exaltés?»

            Qu’était-ce? Il n’a pas dit: «Eh bien, j’irai de nuit comme Nicodème.» Non, non. Le besoin était pressant. Frère, il ne pouvait pas attendre. Et c’est ce qui se passe ce soir. Nous ne pouvons pas attendre.

45        Avez-vous suivi les nouvelles à la radio ce soir? Avez-vous lu vos journaux? Le monde entier est dans l’agitation à cause du canal de Suez, il y a une troisième guerre mondiale qui arrive, une guerre atomique. Et pendant qu’elle se prépare, qu’est-ce qui peut arriver? Ça dépend de qui tire la première bombe atomique.

            Votre journal a publié qu’il faisait de loin plus chaud dans ce pays que cela ne l’a jamais été en cette période de l’année. A divers endroits, il fait plus chaud qu’il ne l’a été en cette période-là. Pourquoi? Leurs bombes atomiques ont déjà basculé cette terre de son orbite, la projetant vers le soleil. C’est ce que Dieu a dit qu’il en serait.

            Le temps est proche. Il n’y a pas de temps à attendre. Allons très vite vers Jésus. Ils disent: «Eh bien, maintenant, Frère Branham, êtes-vous instruit? Vous savez ce que vous...»

            Je n’ai peut-être pas d’instruction, mais je sais de quoi je parle. Je ne connais peut-être pas très bien le Livre, mais j’En connais très bien l’Ecrivain, l’Auteur. Je sais que le temps est proche. Nous ne pouvons pas attendre plus longtemps. Que ceux qui sont souillés se souillent encore; que ceux qui sont saints se sanctifient davantage.

            L’heure de la décision est là pour vous maintenant. Celle-ci peut être la dernière soirée où l’occasion vous est offerte. Vous ne savez pas.. Beaucoup doivent bomber le torse, comme Jaïrus l’avait fait.

46        Il a dit: «Peu m’importe qu’on me chasse, qu’on m’excommunie.» Oh! Il a eu la sainte hardiesse. C’est ce dont tout le monde a besoin. Prendre position pour vos droits. «Mais je m’en vais chercher Jésus de Nazareth.»

            Et quelqu’un s’est déplacé discrètement et il a dit à–à l’ancien principal et aux autres: «Allez l’intercepter le long de la route. Il a perdu la tête. Il est devenu fou. Il est allé là avec cette bande de saints exaltés, aussi certainement que deux fois deux font quatre. Il est descendu là.»

            Ne sont-ils pas fous? Assurément qu’ils le sont. Assurément, c’est comme ça que le monde les taxait. Ils les taxent d’hérétiques, de fous. Ainsi donc, tout d’un coup, vous savez, là sur la route sont venus les... tous les responsables, tout le conseil général, eux tous l’ont rencontré là, au coin de la route, et ils ont dit: «Regarde, ça, ami. Où vas-tu?»

            Oh! Il–il avait déjà quelque chose qui se mouvait dans son coeur. Si jamais cela se meut dans votre coeur, il vous importera peu, celui qui essaie de vous arrêter. C’est vrai. Si Dieu commence à tirer sur ce coeur-là, et que vous commenciez à réagir avec cette attraction, il n’y a rien au monde, dans le séjour des morts, qui va vous retenir. Vous irez de toute façon.

47        Je peux l’entendre leur donner une très bonne réponse, disant: «Arrêtez-vous. Je suis en route pour voir Jésus de Nazareth.» Amen. Alléluia! «Je suis en route. C’est Lui seul qui peut me secourir maintenant; et je suis en route, et peu m’importe ce que vous faites. Si vous voulez mon autorisation de prédicateur, vous pouvez l’avoir. Ça y est. Prenez ça. Je suis en route.» Amen.

            C’est par là que l’église devrait commencer ce soir. C’est par là que les gens devraient commencer. Débarrassez-vous de cette vieille théologie morte et sèche que vous adorez depuis longtemps et trouvez le Seigneur Jésus ressuscité, Lui qui est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Lui qui est Omnipotent, Tout-Puissant, Omniprésent. Le même que Son... la résurrection tel qu’Il était le jour où Il marchait sur les rivages de Galilée.»

48        «Sur ma route...» Quand Il voit Jésus, cette femme venait d’être guérie. Je peux voir Jésus là debout, disant: «Aie bon courage, ma fille. Ta foi t’a sauvée.»

            Jaïrus a dit: «Oh! Qu’est-ce qui est arrivé? Qu’est-ce qu’Il fait? Qu’est-ce qu’Il dit?» Je peux voir cette petite femme pâle passer et dire: «Oh! Alléluia! Gloire à Dieu! Gloire au Seigneur!» Elle passe ici, criant simplement.

            Jaïrus dit: «Juste–juste–juste–juste une minute, madame. J’aimerais–j’aimerais vous parler juste un peu. Qu’est-ce? Qu’est-il arrivé?»

            «Eh bien, je souffrais d’une perte de sang.»

            «Oh! Vous–vous étiez associée à cette bande-ci?»

            «Oui. Oui, oui. Et je suis un... Je viens d’être guérie d’une perte de sang.» Oh! Combien elle était heureuse!

            Il s’est mis à avancer. Il a parlé à Jésus: «Eh bien, j’aimerais que Tu viennes imposer les mains à ma fillette. Elle est couchée à l’article de la mort, et elle se rétablira.»

49        Maintenant, considérez Jaïrus. Il a dit: «Viens lui imposer les mains.» C’était là sa foi. C’était un Juif. On leur avait enseigné l’imposition des mains.

            Le Romain, ce n’est pas ça qu’il voulait. Il a dit: «Je ne suis pas digne que Tu viennes sous mon toit. Prononce simplement la Parole.» Il a dit: «Moi, je suis soumis à des supérieurs. J’ai... Je suis un centenier, et j’ai cent hommes sous mes ordres. Et ils doivent faire tout ce que je leur ordonne. Si je dis à l’un d’aller et à l’autre de venir, ils exécutent exactement ce que je leur ordonne. J’ai mon pouvoir et l’autorité sur eux.

            Et qu’est-ce qu’il disait à Jésus? «Je reconnais que Tu es Dieu dans la chair.» C’est exact. «Je reconnais que toute maladie et tout péché sont sous Ton pouvoir.» Alléluia! «C’est sous Ta juridiction. Tu peux parler à cela. C’est tout ce que Tu as à faire, et chaque démon T’obéira.» Amen.

            Il s’est retourné et a dit: «Je n’ai pas vu ce genre de foi en Israël.» Mais Il a dit: «Va ton chemin, qu’il te soit fait selon ta foi.» Et son jeune garçon a été guéri.

50        Un soir, Pierre a eu à entendre la Parole lui être prêchée. Il était sur la mer, à bord d’une petite barque qui était pratiquement sur le point de sombrer, il n’y avait plus d’espoir. Et, tout d’un coup, vous savez, pendant qu’ils criaient et faisaient des histoires, redoutant de mourir sur la mer, eh bien, Jésus est venu vers eux en marchant sur l’eau. Et ils ont eu peur de Lui. L’unique Chose qui pouvait leur venir en aide, l’unique Chose qui pouvait les sauver, et ils En eurent peur. Ils ont pensé que c’était un fantôme. C’est ce qu’ils pensaient qu’Il était, un fantôme. Et ils En ont eu peur.

            Eh bien, ce n’est pas pire que les gens de Shreveport. C’est vrai. L’unique Chose qui peut vous aider, l’unique Chose qui peut vous sauver, l’unique Chose qui peut vous guérir, l’unique Chose qui peut jamais vous délivrer du péché, l’unique Chose qui peut donc vous débarrasser de vos mauvaises habitudes, c’est le baptême du Saint-Esprit; et vous En avez peur. C’est vrai.

51        En ce temps de perplexité... Avez-vous déjà entendu parler des accidents d’avion, des bateaux qui entrent en collision, des temps de perplexité, l’angoisse parmi les nations, des phénomènes terribles, le mugissement des mers, des raz de marées qu’on ne connaissait jamais? On est au temps de la fin.

            Voici le Saint-Esprit répandant Sa Lumière comme Il l’avait fait jadis du temps des Juifs. Ce qui arriva jadis arrive maintenant. Eux étaient des Orientaux. Le Soleil s’est levé sur eux et Il a accompli des signes et des miracles du Seigneur Jésus vivant.

            Il a promis que dans les derniers jours, au temps du soir, la Lumière paraîtra. Et nous sommes ici dans le monde occidental sur la côte ouest. Tout est terminé, la Lumière brille, Christ est ressuscité d’entre les morts, Il se manifeste vivant parmi nous.

52        Des prédicateurs simples, non instruits, apportent la vérité, Dieu confirme la Parole... Oh! Nous avons beaucoup de charlatans, je le sais. Nous devons l’admettre. Nous avons beaucoup de fanatiques chez qui il n’y a rien. C’est vrai, mais souvenez-vous-en. Chaque fois que vous voyez un faux dollar, rappelez-vous, il en existe un véritable à partir duquel celui-là a été contrefait. Cela ne fait que confirmer la vérité. C’est vrai. Cela montre seulement qu’il en existe un véritable juste en ce temps du soir.

            Pierre a dit: «Seigneur, j’ai peur de Toi. Je ne sais quoi penser de cela; mais si c’est Toi, laisse-moi voir cela dans la Parole. Ordonne que je vienne vers Toi en marchant sur l’eau. Laisse-moi entendre Ta Parole.»

            Maintenant, si vous avez peur de ce baptême du Saint-Esprit, laissez-moi vous montrer cela dans la Parole. Voyez si c’est pour vous. Quand le Saint-Esprit est descendu là le jour de la Pentecôte, ils se sont mis à crier et à agir, ce que vous taxez... comme ce que vous taxez de saints exaltés aujourd’hui. Ils sautillaient, dansaient, tombaient.

53        La Bible dit qu’ils ont agi comme s’ils étaient ivres. Est-ce vrai? Eh bien, Pierre s’est tenu là sur une vieille petite souche, une tribune improvisée, ou je ne sais sur quoi il se tenait, il a dit: «Vous hommes Juifs, et vous qui habitez à Jérusalem, sachez ceci et écoutez mes paroles: Ces hommes ne sont pas ivres comme vous le pensez, ceci est la troisième heure de la journée. Mais c’est ici ce qui a été dit par le prophète Joël: ‘Dans les derniers jours, je répandrai de Mon Esprit sur toute chair’.» Il a continué: «Ils prophétiseront, et tous les signes, a-t-il dit. Et après avoir entendu cela, ils eurent le coeur vivement touché.»

            Ils n’avaient plus peur du fantôme. Ils ont dit: «Hommes, que pouvons-nous faire pour être sauvés?»

            Pierre a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin.» Pour ceux qui sont à Shreveport, en Louisiane, si vous voulez le dire comme cela, ou jusqu’aux extrémités de la terre. Partout où l’Evangile sera prêché, Dieu est en train d’appeler les gens, le Saint-Esprit est toujours le même pour eux. C’est ça la Parole. «En aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera...» C’est ça la Parole.

54        Avancez-vous donc visiblement et mettez-vous en marche. Amen. Sortez de la–la petite et vieille théologie dans laquelle vous êtes emballé ce soir et dites: «Ô Dieu, je veux le Saint-Esprit. Peu m’importe ce que quelqu’un d’autre dit.»

            Pierre a dit: «Seigneur, si c’est Toi...»

            Vous dites: «J’ai peur de commettre une faute.»

            Eh bien, vous allez certainement commettre une faute en restant assis là où vous êtes. C’est vrai. Vous allez... Je vais...?... pour l’homme. J’ai–j’ai beaucoup de considération pour Pierre pour être sorti de cette barque-là et avoir commis une faute.

            Il s’est mis à regarder tout autour et a dit: «Voyez, je suis parvenu, jeunes gens, je suis parvenu.» Et il a commencé à sombrer. Il n’y a pas de quoi aller vous vanter çà et là. C’est quelque chose au sujet duquel vous aimeriez courir et témoigner et dire au monde que Jésus-Christ...?... Amen.

            Ne vous vantez pas vous-même. Vantez-Le. Placez la Divinité à Sa place, à Sa puissance et louez-Le, non pas à un prédicateur ni à autre chose. Ne pensez pas que vous êtes quelque chose de grand. C’est la miséricorde de Dieu qui vous a appelé à cela. C’est vrai.

55        Il se met à marcher là, il marche sur les eaux, aussitôt qu’il avait entendu la Parole. La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole. Voyez, Pierre avait entendu la Parole. C’est vrai. Marthe avait appris que Jésus venait. Elle est allée vers Lui et elle a obtenu la résurrection de son frère. Voyez? C’est selon votre foi. Le sacrificateur qui transportait l’Arche. La foi pour eux était de fouler leurs pieds dans l’eau; aussitôt que leurs pieds avaient foulé l’eau, la mer... le Jourdain s’était ouvert. Leur foi était dans le fait de toucher l’eau.

            Une fois, un homme aveugle, la Parole lui avait dit de se laver au réservoir de Siloé, avec des crachats sur ses yeux. Jésus avait craché par terre, Il en avait fait un pâté, à partir des crachats.

            Qu’est-ce que les autorités du service de santé en auraient dit à Shreveport aujourd’hui? Il se tenait là, lui parlant et [Frère Branham émet le son de crachat.–N.D.E.]. Il a craché par terre et Il a continué à lui parler [Frère Branham émet le son de crachat.–N.D.E.] Il a craché par terre. Alors, quand Il a fait cela, Il a frotté cela entre Ses mains comme cela, Il a appliqué ça sur les yeux de cet homme et Il a dit: «Va te laver au réservoir de Siloé, puis viens et vois.» Amen.

            Trouver un réservoir de... divin...?... Alléluia! Trouver le Saint-Esprit, c’est trouver la Vie, trouver la guérison, trouver la joie, trouver la paix, trouver Christ ce soir. Amen.

56        Là où réside votre foi, vous croyez tout. C’est selon votre foi. La foi de Jaïrus était: «Viens imposer les mains à ma fille. Elle se rétablira. Impose-lui simplement les mains.» Le voici partir. Ils allaient faire une petite promenade. Son coeur s’était calmé. Il marchait à côté de Jésus, la tête haute: «Oh! Je suis très content d’avoir pris ma décision, Seigneur.» Ne vous en faites pas. Aussitôt que vous prenez votre décision, le diable va vous donner un choc. Ne vous en faites pas. Il est le plus grand bluffeur que je connaisse, mais il n’est qu’un bluffeur. M’avez-vous entendu? Il est un bluffeur. C’est tout ce qu’il est. Il n’a aucun pouvoir légal; Jésus-Christ l’a dépouillé au Calvaire de tout ce qu’il avait. Tout le prix du péché a été payé au Calvaire, et le diable n’a pas du tout de droits légaux. Il est un gros bluffeur, c’est tout.

            Vous dites: «Eh bien, ma mère me rejettera. Mon papa fera... Peu me–m’importe ce que le diable vous dit. Jésus vous recevra. Vous serez heureux et paisible. Ce n’est qu’un bluff...

57        Alors, Jaïrus commençait à très bien se sentir après avoir rencontré Jésus. Il s’en est allé, marchant. Il a dit: «J’ai vraiment de l’espoir maintenant. Ma fillette va se rétablir. Oui. Il entrera là, et Il exercera un ministère d’une façon ou d’une autre; Il lui imposera les mains, et tout d’un coup, vous savez, l’état de la jeune fille commencera à s’améliorer. Elle se rétablira.» Oui, oui.

            Et il se faisait croire cela, avançant droit avec la foule, se sentant très bien. «Qui est-ce qui vient là?» Voici venir un homme; comme, généralement, avec un–un message triste, ils se mettaient des cendres sur la tête ou de la poussière, et ils venaient en courant. Il avait là... «Oh! Oh! Je me demande ce qui est arrivé là dans la rue. Je me demande ce qui se passe.» Et voici venir le coursier.

            Il a dit: «Jaïrus, me reconnais-tu?»

            «Oui.»

            «Ne dérange plus le Maître, Jaïrus.»

            «Oh! Pourquoi? Oh! Pourquoi–pourquoi? Qu’est-il arrivé?»

            «Ta fille est déjà morte. Ne Le dérange pas.»

            Oh! Je peux bien le voir se dégonfler, mais aussitôt qu’il commence à sombrer comme Pierre avait fait dans la barque, il tourne le regard pour voir ce que Jésus dirait à ce sujet.

            Pourquoi ne voulez-vous pas voir ce qu’Il va dire à ce sujet? Si vous dites: «Eh bien, le monde me rejette.» Voyez ce que Lui dit à ce sujet. Le médecin dit: «Je vais mourir.» Voyez ce que Lui dit à ce sujet. Voyez ce que Lui dit à ce sujet.

58        Alors, Jaïrus a tourné sa petite tête pour voir ce que Jésus disait à ce sujet. Je peux voir ces tendres yeux le regarder, Il a dit: «N’aie pas peur. Crois seulement, et tu verras la gloire de Dieu.» Gloire! C’était la Parole.

            Jaïrus a bombé le torse, tout aussi brave que possible, il s’est avancé là. Et voici venir les endeuillés: «Oui, elle est morte. Oh! Elle est morte.»

            Jésus regarda Jaïrus, celui-ci avait le torse bombé, allant droit de l’avant, ne faisant pas attention à cela, descendant droit la route.

            Tout d’un coup, vous savez, Rabbi Levinski était là. Tous les autres rabbins étaient tout autour, les mains jointes, comme ceci: «Ah, maintenant tu es excommunié et ta–ta fille est déjà morte. Le médecin venait de la quitter. L’entrepreneur des pompes funèbres est là maintenant. Il l’a déjà embaumée. Il l’a placé sur la bran... dehors. Tu vois ce que tu as eu. Maintenant, tu es sans travail.»

            Jaïrus les a simplement dépassés comme s’ils n’avaient même pas dit un mot, il a dépassé. Voici venir toute l’église, disant: «Nous avons honte de toi, de notre pasteur.» Eh bien, il avait déjà entendu la Parole de Jésus. Il était déjà entré en contact avec Lui. Il avait l’assurance. Si Jésus l’a dit, c’est que c’est vrai. C’est tout ce qui est nécessaire.

59        Il va jusque chez lui. On lui dit: «Oh! Elle est morte. Elle est morte. La pauvre petite est morte hier...?... Elle a été embaumée, elle n’a plus de sang.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Tout d’un coup, les lèvres commencent à devenir roses. Les rides de son front commencent...

            Ses gros yeux bleus s’ouvrent. Elle a dit: «Papa.» Elle regarda tout autour.

            Jésus l’a prise par la main et a dit: «Donnez-lui quelque chose à manger maintenant.» Gloire! C’est là le Seigneur Jésus. Il est omnipotent.

            «Je suis Celui qui était mort et qui est encore vivant aux siècles des siècles. Je suis ressuscité d’entre les morts.» Et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et mille neuf cents ans se sont écoulés. Ce même Seigneur Jésus est ici à Shreveport, en Louisiane, ce soir, sous cette tente.

            Je n’ai aucune crainte de savoir que j’aurai à répondre au jour du Jugement si je fais cette déclaration-là, car Il est ici. Je Le sens. Je vois la réaction de Sa Parole sur ceux qui sont remplis de l’Esprit. Ce sont des enfants qui ne mangent pas du pain seulement, mais les Paroles qui sortent de la bouche de Dieu. Et quand la Parole est proclamée, les enfants affamés s’assemblent et disent: «Merci, Père. Merci, Père. Oh! Je T’aime, Père; je T’aime.» Mangeant, non seulement des biscuits et des gruaux de maïs, et de la sauce brune au jus de viande; ils se nourrissent de la Parole éternelle de Dieu qui remplit leur âme de l’atmosphère spirituelle.

60        Il est ici. Oh! Cela passe pour de la folie pour le monde. Assurément. Cela l’a été dans tous les âges et ça se fera dans cet âge-ci, mais attendez simplement cet âge à venir. Aujourd’hui, c’est le jour de l’homme. Le jour du Seigneur viendra.

            Servons-Le donc maintenant afin qu’au jour où Il viendra, nous soyons trouvés fidèles. Que nous vivions ou que nous dormions; nous nous réveillerons au son de la trompette et nous ressusciterons dans la beauté de Sa résurrection, et nous serons participants de Sa sainteté, et de la puissance de Sa résurrection. Nous nous réjouissons maintenant du gage de notre salut. Amen. Amen.

            Prions. Pendant que nous avons nos têtes inclinées, tous les yeux fermés, s’il vous plaît, pendant que les chrétiens sont en prière, je me demande ce soir après l’Evangile cru, sans gants, proclamé tel que le Saint-Esprit nous permet de le proclamer... Je me demande, ce soir, si–s’il y a quelqu’un sous la tente qui aimerait lever les mains pour dire: «Seigneur Jésus, par ceci, j’aimerais Te dire que je crois en Toi et je veux Te servir, je veux T’accepter comme mon Sauveur ce soir.» Y en a-t-il qui lèveraient la main?

61        Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse, jeune fille. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, soeur. Oh! Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Par ici. Que Dieu vous bénisse. C’est bon. Quelqu’un d’autre? Levez la main. Y a-t-il quelqu’un qui n’a pas levé la main?

            «Que Dieu soit miséricordieux envers moi, un pécheur. Je veux maintenant accepter Christ comme mon Sauveur. Je suis maintenant prêt à Le suivre en tout. J’irai avec Lui au jardin. J’irai avec Lui à la–à la rivière de la mort. J’irai avec Lui à la tombe. J’irai avec Lui de l’autre côté. J’irai avec Lui partout où Il me conduit. J’irai.»

            Voulez-vous le dire du fond de votre coeur et lever la main vers Lui comme signe que vous L’acceptez maintenant comme votre Sauveur? Quelqu’un d’autre qui n’a pas levé la main? Que Dieu vous bénisse. Je vous vois, monsieur. Je vous vois, madame. Je vous vois, fils. Que Dieu vous bénisse. Dieu vous voit aussi.

62        Qu’arrive-t-il quand vous levez la main? Jésus a dit: «Celui qui écoute Mes Paroles (J’ai prêché cela), et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en Jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»

            Quelqu’un ici qui a été rétrograde et qui aimerait revenir à Christ ce soir, qui dit: «Ô Frère Branham, je vous assure, je suis comme Jaïrus. J’ai cru en secret toute ma vie. Dieu traite avec moi et j’ai connu des épreuves comme jamais auparavant. Mais ce soir, je pense qu’il est temps maintenant. Je pense que j’ai été conduit ici dans cette vieille petite tente ce soir afin que je trouve le Seigneur Jésus, et avant que je voie Sa manifestation et Sa puissance, comme Thomas avait eu à voir pour croire...»

            Combien grande est la récompense de ceux qui n’ont jamais vu et qui ont pourtant cru! «J’aimerais lever ma main vers Lui pour dire: Accepte-moi, Christ. Maintenant même, je rentre à la maison auprès de Toi.»

            Y en a-t-il un autre qui n’a pas levé la main? Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est merveilleux. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse. C’est bien, jeune fille. C’est bien.

63        Là loin à ma gauche, de ce côté-ci, quelqu’un par là qui aimerait recevoir Christ, peut-être que c’est un rétrograde? Que Dieu te bénisse, petit enfant. Je vois ta main. Que Dieu te bénisse, petit garçon. Je te vois. Que Dieu te bénisse, soeur. Je te vois, chérie. Tout un groupe de petits... deux petits garçons, deux petites filles et un garçon. Juste de petits adolescents, ils ont levé la main maintenant même pour recevoir le Seigneur Jésus. Ils sont conscients auprès de Lui, ils sont convaincus que c’est la vérité.

            Et si Jésus-Christ n’apparaît pas ici dans toute Sa puissance, alors je suis un faux prophète. S’Il ne se manifeste pas ce soir ici même parmi nous comme Il l’a fait dans les jours passés, alors je suis un faux prophète. Je crois en Lui. Je sais qu’Il l’est.

            Maintenant, avant que vous Le voyiez apparaître, allez-vous L’accepter comme votre Sauveur, pendant qu’Il se tient ici, Sa puissance, Son action de l’Esprit? Il y a quinze ou vingt qui ont levé la main, parmi les pécheurs qui veulent venir à Christ.

            Quelqu’un d’autre maintenant juste avant qu’on termine? Combien ici sont sans Saint-Esprit et aimeraient être baptisés? Vous avez été des croyants, vous avez la Vie Eternelle, parce que vous avez cru au Seigneur Jésus, mais vous voulez maintenant être baptisés dans le Corps de Christ par le Saint-Esprit. Voudriez-vous lever la main pendant qu’Il est présent? Que Dieu vous bénisse. Oh! Des multitudes, de grands groupes de gens. Que Dieu vous bénisse tous. Assurément, ceux qui veulent être baptisés du Saint-Esprit.

64        Maintenant, vous les étrangers, vous les méthodistes, baptistes, luthériens, presbytériens, vous qui êtes là dans ces milieux du Plein Evangile, je–je viens de là où vous êtes. Je suis toujours là. Nous sommes tous un. Nous ne sommes pas divisés. Pas du tout. Je suis tout autant luthérien que pentecôtiste. Je suis tout autant baptiste que je l’étais le jour où j’ai été ordonné dans l’Eglise baptiste.

            J’ai simplement trouvé quelque chose de meilleur, quelque chose de plus. Pas... C’est juste en plus de ce que vous avez. C’est le baptême du Saint-Esprit. Vous avez reçu Christ, assurément, quand vous avez cru, mais la Bible dit: «Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?»

            L’autre jour, nous visitions l’Institut Biblique Moody. Ils ont demandé: «Frère Branham, est-ce vous... Voudriez-vous lire cela dans la Bible?»

            J’ai dit: «Eh bien, certainement. Actes chapitre 19. Paul a demandé à un baptiste, aux baptistes: ‘Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?’ Eh bien, ai-je dit, je suis un baptiste. Je sais qu’on m’a enseigné que j’avais reçu le Saint-Esprit quand j’avais cru.»

            Mais la Bible dit: «Avez-vous reçu Cela depuis que vous avez cru?»

            Ils ont dit: «Non, nous ne savons même pas qu’il y ait un Saint-Esprit.»

            Il a dit: «Alors, de quel baptême avez-vous donc été baptisés?»

            Ils ont dit: «Du baptême de Jean.»

            Il a dit: «Jean a baptisé pour la repentance (pas pour le pardon des péchés), pour la repentance, vous disant de croire en Celui qui vient.» Après avoir entendu cela, ils furent baptisés au Nom du Seigneur Jésus. Et Paul leur a imposé les mains, et le Saint-Esprit est venu sur eux, ils ont reçu le Saint-Esprit et ils ont parlé en langues, ils ont glorifié Dieu et prophétisé.»

65        C’est ce dont l’Eglise baptiste a besoin aujourd’hui. Amen. Assurément. C’est ce que le docteur Reidhead a dit quand il a reçu Cela. C’est ce que Don Wells a dit quand il a reçu Cela. C’est ce que tous ces autres grands hommes ont dit quand ils ont reçu Cela: Presbytériens, luthériens, beaucoup d’entre eux.

            Ce jour est là; l’heure est là. Vous avez besoin du Saint-Esprit. Il est à vous. Vous avez été sauvés, attendez-vous donc à recevoir le Saint-Esprit. Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est bien. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. D’accord.

            Notre Père céleste, je T’apporte maintenant tout le monde, alors que l’Ange qui enregistre se tient ici, inscrivant chaque nom qui a levé les mains ce soir pour recevoir la Vie Eternelle, et inscrivant les noms de ceux qui sont candidats au baptême du Saint-Esprit.

            La Parole dit: «Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.»

66        Pensez à ce qu’ils seront dans cinq cents ans à partir de ce soir. Quelque part, quelque part après que les bombes atomiques auront déjà pulvérisé chaque montagne. Les vents chauds, écorchant, hurlant, venant des atomes du soleil enflammeront cette vieille terre. Leurs pierres tombales mêmes seront réduites en poussière, leurs os seront réduits en poussière, mais leurs âmes seront quelque part en train de se réjouir de la Présence de Dieu. Ce paisible glorieux Ciel!

            S’ils sont rejetés, ils se retrouveront pour toujours en enfer. Ô Dieu, quel temps de décision! Comme Tu as fait cela pour les hommes, qu’ils fassent leur choix cette nuit. Et ce petit groupe que Tu m’as présenté, je leur ai apporté Ton Evangile. Beaucoup d’entre eux, des douzaines d’entre eux, Père, ont levé les mains, Tu le sais. Je prie comme un prédicateur peut prier. J’intercède pour chaque âme depuis le plus petit jusqu’au plus âgé, depuis le plus riche jusqu’au plus pauvre.

            Je Te prie, ô Dieu, de leur accorder les plus profonds désirs de leur coeur et de remplir leur âme du Saint-Esprit, de guérir leurs corps malades et de les faire entrer dans Ton Royaume à la fin de cette vie. Je le demande au Nom de Christ. Amen.

67        Ô combien merveilleux, combien magnifique est le Seigneur Jésus! Je vais vous poser une question. Tout celui qui a levé la main... J’avais promis de prier pour les malades ce soir, et tout celui qui a levé la main, voulez-vous me faire une faveur? Et vous qui pensez que vous auriez dû lever la main, aussitôt le service de guérison terminé, voudriez-vous vous avancer ici et prier un petit moment autour de–autour de l’autel ici avec les frères et... Allez-vous le faire? J’aimerais que vous le fassiez. Faites-le. Cela fortifiera... Vous avez la Vie. Si vous avez levé la main et que vous avez accepté Jésus, Il a promis de vous donner la Vie Eternelle.

            «Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle.» C’est exact. C’est ce que Jésus a dit, et j’aimerais que vous, ce soir, vous vous avanciez ce soir et que vous donniez votre coeur à Christ et que vous me rencontriez après le service de la prière pour les malades.

68        Maintenant, combien ici présents ont des cartes de prière? Faites-nous voir vos mains. Combien de cartes avez-vous distribuées? Une centaine de quel–quel numéro? Quelle lettre est-ce? La série R, une centaine... Ce frère-ci pendant qu’il se tient ici, il a levé la main il y a quelques instants, cherchant Dieu. N’est-ce pas vrai, frère? Que Dieu vous bénisse. Vous voulez être rempli du Saint-Esprit. Je vais prier pour vous, frère, et vous imposer les mains; j’aimerais que vous croyiez, car vous allez recevoir le Saint-Esprit.

            Maintenant, je crois que Dieu vous remplira du Saint-Esprit ce soir. Croyez-vous cela? Inclinons la tête.

            Père céleste, heureux ceux qui ont faim et soif de la justice. Cet homme vient recevoir le Saint-Esprit. Je lui impose les mains au Nom de Jésus-Christ. Puisse-t-il recevoir maintenant le baptême du Saint-Esprit. Qu’il ne sorte jamais de dessous cette tente avant que le Saint-Esprit ait pris la relève, qu’il se soit totalement abandonné à Lui, qu’Il ait pris sa vie et qu’Il ait fait de lui une nouvelle créature en Jésus-Christ. Accorde-le, Seigneur. Je demande cette bénédiction au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Maintenant, allez en vous réjouissant. Allez, heureux. Ô Dieu, donne-lui le baptême du Saint-Esprit.

69        Qu’est-ce que le Saint-Esprit? Qu’est-ce que le Saint-Esprit? L’amour, la joie, la paix, la longanimité, la bonté, la douceur, la gentillesse, la patience, la foi. Est-ce vrai? C’est ça le Saint-Esprit. Qu’est-ce que le petit pommier; comment reconnaissez-vous que c’est un pommier? C’est parce qu’il porte des pommes. Comment savez-vous que vous avez le Saint-Esprit? C’est parce que vous portez les fruits de l’Esprit. Est-ce vrai? C’est ça le Saint-Esprit. D’accord.

            Combien croient que Jésus est ressuscité d’entre les morts et qu’Il est ici ce soir pour accorder chaque bénédiction rédemptrice? S’Il vient à cette estrade ce soir et qu’Il fait exactement ce qu’Il avait fait quand Il était ici dans un corps corporel, se servant de notre chair, au travers de la foi, au travers des dons, allez-vous L’accepter et croire en Lui? Combien feront cela? Levez la main. Très bien. C’est bien.

            [Le système de sonorisation émet un bourdonnement.–N.D.E.] Quelque chose a... Et ils ont le... Les microphones sont entremêlés. Est-ce que ce... Voyez si vous avez coupé celui-ci. Très bien. C’est mieux.

            Très bien maintenant. J’aimerais vous poser une question. Dites donc, je n’ai jamais accroché une de ces choses. Je ne sais pas si je fais ceci correctement ou pas. Est-ce ça? Je–je m’étouffe avec ce...?... Oh! Merci, frère. Très bien. Très bien.

70        Je suis ici ce soir pour représenter quelque chose. Je suis ici pour vous dire que Jésus est ressuscité d’entre les morts, que Jésus a dit quand Il était ici sur terre, qu’Il ne pouvait rien faire de Lui-même. L’a-t-Il dit?

            Il a dit: «Je ne peux rien faire de Moi-même. Le Fils ne peut faire que ce que le Père montre à faire, c’est ce que Je fais.» Est-ce vrai? Alors, Il... Une femme pouvait toucher Son vêtement et elle pouvait tirer Dieu au travers de Christ. C’était Sa chair. C’est la raison pour laquelle Il devenait faible. Dieu ne devenait jamais faible, mais Dieu en Christ, Il sortait de Lui et cela L’affaiblissait: la vertu. Est-ce vrai? Sa force venant de l’Esprit sortait de Lui. C’est ainsi qu’Il s’affaiblissait.

            Il s’est assis et a parlé à une femme au puits et Il lui a révélé quels étaient ses secrets. Est-ce vrai? Très bien. C’était... Etait-ce là Jésus hier? C’est Jésus aujourd’hui. Est-ce vrai?

71        Un Juif vint à Lui, un Juif loyal, un autre Juif avait été sauvé et il était parti le chercher, à plusieurs kilomètres pratiquement, de l’autre côté de la montagne. Peut-être que cela lui avait pris une journée de voyage. Quand il est arrivé, il lui a dit: «Viens voir qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

            Et ce Juif loyal, très bon, plein... Oh! Je dirais un frère dans l’Evangile. Il a dit: «Eh bien, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Il a dit: «Viens, et vois.» Ils sont partis bras dessus bras dessous, ils se sont avancés là où Jésus se tenait.

            Jésus l’a regardé. Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Comment l’avait-Il connu? Il pouvait être un séducteur. Il pouvait être tout autre chose sauf un Israélite et sans fraude, honnête correct. Et cela l’a étonné.

            Il a dit: «Rabbi, comment m’as-Tu connu?»

            «Eh bien, a-t-Il dit, avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous cet arbre-là, quand il venait, Je t’ai vu.»

            Qu’a-t-il dit? «Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.»

72        Eh bien, qu’est-ce que les pharisiens prétentieux ont dit? Ils ont dit: «Il est un diseur de bonne aventure. Il est Béelzébul, le chef de démons.»

            Et Jésus a dit: «Vous pouvez dire cela de Moi, et Je vous le pardonnerai, mais là à Shreveport, en Louisiane (en d’autres termes, ou n’importe où dans le monde), quand le Saint-Esprit sera venu faire les mêmes choses, contre lesquelles vous parlez, cela ne vous sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Faites le choix... Faites votre choix. Voyez?

            Christ est ressuscité d’entre les morts et, ce soir, Il fait la même chose qu’Il avait faite jadis. Il ne guérissait pas tout celui qui venait à Lui. Je vous demande de me montrer dans la Bible là où Il a guéri tout le monde.

            Je vais vous montrer là où Il est allé à une piscine, il y avait là la plus grande foule d’estropiés qu’on ait jamais vue ou dont on ait jamais entendu parler: des boiteux, des infirmes, des aveugles, des paralytiques, des gens aux membres tordus et tout le reste, couchés là. Et Il est allé auprès d’un homme qui souffrait une infirmité, depuis trente-huit ans, la tuberculose ou quelque chose comme cela. Il pouvait se déplacer. Il a dit: «Veux-tu être guéri?» Le Père Lui avait montré d’aller là. Il a cherché dans la foule jusqu’à ce qu’il l’a trouvé. Il a dit: «Le voilà.» Il a dit: «Veux-tu être guéri?»

73        Maintenant, suivez. Jésus savait qu’il était là et Il savait depuis combien de temps il était malade. Est-ce vrai? Il a dit: «Prends ton lit et va à la maison.» Il a directement marché et est parti... Un grand nombre, des milliers et des milliers de gens aux membres tordus, des boiteux, des estropiés, des aveugles. Il a fait exactement ce que le Père Lui avait montré.

            Et si c’est ce qu’Il avait fait jadis, Il fera la même chose ce soir. Croyez-vous cela? Est-ce que tout le monde qui avait été guéri par Jésus, savait-Il qu’ils allaient être guéris? Non, non. Beaucoup d’entre eux étaient guéris sur base de leur propre foi.

            Un jour, un homme aveugle Le suivait, deux d’entre eux, disant: «Aie pitié de nous, Toi Fils de David; aie pitié, aie pitié.» Il a simplement continué dans la rue, sans vision, il est entré dans la maison. On a amené un homme aveugle dans la maison. Il a dit: «Aie pitié de nous.»

            Il s’est retourné vers lui, Il lui a touché les yeux et a dit: «Qu’il te soit fait selon ta foi (Est-ce vrai?).» Il avait cru, et ses yeux ont été ouverts.

74        Une femme ne pouvait même pas s’approcher de Lui, elle a simplement touché le bord de Son vêtement. Il n’a pas senti cela, pas par une sensation dans Son corps, mais Il s’est retourné, Il lui a parlé, et elle a été guérie. Il a dit que sa foi à elle l’avait guérie.

            C’est dans plusieurs passages de la Bible, certainement. Cela est basé sur votre foi. Quand l’aveugle... quand l’enfant épileptique est venu vers le Seigneur Jésus, c’est son père qui l’avait amené, il a dit: «Je l’ai amené aux disciples, ils n’ont rien pu faire pour lui. Peux-Tu avoir pitié de nous?»

            Alors, Il a remis cela directement entre les mains de l’homme. Il a dit: «Je le peux, si tu crois.»

            La responsabilité pesant sur lui, il a dit: «Seigneur, je crois. Viens au secours de mon incrédulité.» Est-ce vrai? Alors, Jésus chassa l’esprit du jeune garçon. Voyez? Jésus travaillait suivant ce que le Père Lui montrait. Saint Jean 5.19. Puisse-t-Il faire la même chose ici ce soir et vous prouver qu’Il est ressuscité d’entre les morts.

75        Maintenant, Il n’a pas à faire ceci, pour le faire savoir à tout le monde par ce don divin que le Seigneur a donné; je ne fais pas ceci pour faire un spectacle. Dieu le sait. Dieu ne fait pas ceci pour vous montrer qu’Il est Dieu. Il le fait afin que Sa Parole soit accomplie. La Bible dit qu’Il a ôté leurs infirmités, Il a fait ces choses, Il a guéri les malades, afin que s’accomplisse (Est-ce vrai?) ce qui avait été dit par la loi et les prophètes.

            Et Il le fait ce soir afin que cela s’accomplisse, que les gens soient sans excuse au jour du Jugement. Si vous voulez fermer votre compassion comme une tortue dans sa carapace, c’est votre affaire. Voyez?

            Si vous voulez croire, vous verrez de grandes choses. Croyez donc simplement. Ayez foi et croyez Dieu. Pourquoi? «Tout est possible à ceux qui croient.» Est-ce vrai? Très bien.

76        Maintenant, Père céleste, je me confie en Toi avec cette assistance de gens, je prie que le glorieux Saint-Esprit vienne ce soir, et par ce... Il n’y a rien que j’aie jamais mérité; les dons et les appels sont sans repentir. Aussitôt né dans un berceau, Seigneur, Tu étais là. La grande Colonne de Feu m’a accompagné tout au long de ma vie. Rien dans mon... Je suis pire que le moindre de Ton Royaume, je ne mérite pas d’être appelé Ton serviteur.

            Je n’offre pas cette prière afin que cette assistance l’entende, Seigneur. En effet, je ne cherche pas à paraître humble. Tu connais mon coeur. Je serais un hypocrite, mais, Seigneur, j’offre cette prière car Tu connais mon coeur, et je m’abandonne simplement à Toi, afin que Tu opères au travers de mon esprit, au travers de mon coeur, au travers de mon corps, au travers de tout mon être intérieur et mon–et mon être extérieur, afin que cela manifeste Ton Tendre Fils, le Seigneur Jésus-Christ, pour accomplir la Parole qui dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Maintenant, Père, nous demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.

77        Maintenant, était-ce Q, ou qu’est-ce que c’était? La série R, la carte de prière série R. Nous avons appelé de partout, rappelez-vous, hier soir j’ai appelé différents numéros; 1 à 20, et...?... 40 à 50 ou... Et de partout. Alors, ce soir, à partir de quel numéro allons-nous appeler? Disons... Prenons 85 à 100.

            Qui a... Avez-vous dit une centaine? Avez-vous distribué une centaine? Y a-t-il–y a-t-il la carte de prière 85 ici? Voyons. La carte de prière R, un gros R dessus, numéro 85. Est-ce que cette personne est ici? Là même. Très bien. C’est O.K. Nous allons donc appeler à partir de là.

            Très bien. 85, 86, R-86, qui a R-86? Voudriez-vous lever la main? 86? Très bien, madame. 87? Maintenant, si votre numéro est appelé et que vous êtes dans un fauteuil et que vous ne pouvez pas vous lever, levez simplement la main; nous viendrons vous prendre. Voyez? Quelqu’un vous prendra.

            Qu’était-ce? Très bien, 85, 86, 87, quelqu’un a-t-il la carte de prière R-87? Est-ce la dame... là même, madame. Très bien. 87, 88, qui a la carte de prière R-88? Voudriez-vous lever la main? 88, très bien, monsieur. 89? Levez la main. 89, très bien. 90?

78        Eh bien, on distribue les cartes de prière à dix-huit heures, à tout celui qui en veut. Tout comme... Billy dit qu’il n’y avait guère personne ici. Il ne peut pas les distribuer toutes. Il n’y avait personne ici pour les recevoir. Oh! la la! Autrefois, il y avait un attroupement pour des cartes de prière, on s’alignait, mais il a dit qu’il avait passé un temps difficile, cherchant à avoir assez de gens à qui les donner.

            Voyons, 89. Qui a 89? 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97,98, 99, 100. Alignez-les. Nous verrons combien nous avons. La ligne de prière se forme bien, alors nous allons commencer après que ce groupe aura été formé, si nous arrivons à aller un peu plus loin, le Seigneur nous bénira, nous accordera une bonne grande foi...

            Commençons donc... Nous allons reprendre quinze avant cela et descendre. Regardez donc la carte de votre–votre voisin et voyez. Parfois, nous avons cinquante dans une ligne, des visions, évidemment, on me porte pour me faire sortir après, mais... que... Si nous faisons passer cinquante, c’est bien. Très bien.

79        Nous n’aimerions pas mettre trop de gens debout à la fois, en effet vous venez juste suivant que votre numéro est appelé. En effet, vous... Nous pourrons ne prendre que deux ou trois. Nous ne savons pas exactement où ce sera. Mais maintenant, nous appelons la carte de prière 85 à 100 parmi elles, 85 à 100, 85 à 100. Très bien.

            Maintenant, inclinons la tête en toute douceur et avec rapidité devant le Seigneur, et puis, disons juste ces mots: «Seigneur Jésus, je m’incline devant Toi. Je m’incline devant Toi, mon Seigneur. Je vais Te croire ce soir. Je suis malade et nécessiteux. Je n’ai même pas une carte de prière, mais, Seigneur Jésus, parle à Ton serviteur, et qu’il me parle, et cela augmentera ma foi pour croire en Toi, et je ferai tout ce qui relève de–tout ce qui relève de moi pour Te servir le reste de mes jours.»

80        Père céleste, je Te prie au Nom de Christ de nous accorder un merveilleux service maintenant. Eh bien, Seigneur, il y a ici dans cette ligne de prière, sous cette tente, des gens que je n’ai jamais vus de ma vie. Je ne les connais pas, et je me tiens ici, un garçon qui a une instruction d’école primaire. Ô Dieu, quel... comme–comme... Je suis simplement désespéré, sans Toi, Seigneur.

81        Ces gens, beaucoup parmi eux me connaissent depuis des années et des années. Frère Moore, Ton serviteur, frère Brown, et d’autres qui m’ont suivi à travers le monde dans des réunions pour les gens, je ne parlais même pas leur langue. J’entendais le Saint-Esprit descendre directement, leur dire tout à leur sujet. Et, Père, c’est pour Ta gloire.

            Des dizaines de milliers et des milliers sont venus adorer le Seigneur Jésus grâce à cela, et pour cela, je Te remercie humblement de ce que Tu m’as donné ce privilège. Je joue un rôle en Te servant; Tu m’as permis de venir dans ce monde pour témoigner mon appréciation envers mon Seigneur, Tu m’as permis de servir Ton peuple pendant que je Te sers.

            Maintenant, aide-moi encore ce soir, le veux-Tu, Seigneur, en confirmation de Ta Présence, et Tu connais mon coeur. Que toute la louange, toute la gloire et tout l’honneur Te soient rendus. Au Nom de Jésus, je prie. Amen.

            [Frère Branham parle à quelqu’un loin du microphone.–N.D.E.]...?... Oh! Oui. Je préférerais bien attendre qu’Il vienne sur moi.

            Le frère venait de me demander de prier pour ces mouchoirs. S’il m’arrive de ne pas avoir vos mouchoirs, envoyez-en chercher simplement à la maison, à Jeffersonville, Indiana, je vous en enverrai un. Et nous avons un grand succès en priant pour les malades de cette façon-là. Mais je–je préférerais sentir l’onction de l’Esprit pour cela plutôt que de–d’avoir envie de vous en envoyer.

            Eh bien, j’aimerais jeter un coup d’oeil à la ligne de prière. J’aimerais que vous tous dans la ligne de prière, vous regardiez de ce côté-ci, vers moi, vous qui êtes dans la ligne de prière. Je suppose... Est-ce que frère–est-ce que frère dehors...?... maintenant, dans la ligne de prière...?... Voyez?...?... Très bien. Je ne pense pas qu’il y ait quelqu’un ici que je connaisse. M’êtes-vous tous inconnus? Levez la main. Je ne vous connais pas? Très bien. Vous y êtes.

            Combien là dans l’assistance savent que je ne les connais pas? Levez la main. Je ne vous connais pas? Eh bien, s’il y a des incroyants ici, regardez ça. Maintenant, observez le Saint-Esprit... S’Il vient effectivement... Maintenant, Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Maintenant, gardez cela incliné.

82        Mon jeune garçon venait de m’annoncer que, demain soir, il y aura les derniers services de guérison pour moi. Amenez donc vos malades demain soir.

            Regardez. Eh bien, regardez, amis. J’aimerais que vous regardiez de ce côté-ci et que vous croyiez de tout votre coeur. Si Jésus-Christ est mort au Calvaire et que là, Il a réglé devant Dieu tout le prix du péché et de la maladie, alors tout est réglé. Est-ce vrai? Tout est réglé.

            Il n’y a donc personne au monde qui puisse faire quoi que ce soit en rapport avec votre guérison. Cela a été déjà accompli. Personne ne peut vous sauver. C’est déjà accompli.

            Tout ce que vous avez à faire, c’est confesser votre foi en cela. Est-ce vrai? Combien savent que l’oeuvre est terminée? Quand Jésus mourut et qu’Il dit alors que c’était terminé, c’était terminé pour toujours. C’est vrai.

            Alors, qu’un homme vienne dire: «J’ai la puissance de vous guérir.» Il vous dit quelque chose de faux. «J’ai quelque chose ici que je peux placer sur vous pour vous guérir.» C’est faux. Tout ce qu’il y a donc à faire pour vous guérir a été fait là au Calvaire. Il a été blessé pour vos péchés; et c’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéris. Vous avez été guéris.

83        Maintenant, la seule chose, c’est que vous avez été sauvé. Beaucoup ici ont été sauvés il y a quelques instants, ils ont levé la main. Ils ont été sauvés il y a mille neuf cents ans. Ils viennent d’accepter cela maintenant. La Fontaine fut ouverte pour tout celui qui veut. C’est là que le prix a été payé. Vous venez d’accepter cela maintenant.

            Maintenant, tout ce qu’un homme peut faire en rapport avec la guérison, c’est vous prêcher la Bible. Certains anciens et pasteurs vous oignent d’huile. C’est leur ministère. D’autres vous imposent les mains. C’est leur ministère. Et si mon humble ministère que le Seigneur m’a donné depuis la naissance consiste à ceci: avoir des visions, voir des évènements avant qu’ils arrivent, voir des événements qui sont déjà arrivés.

            Et cela amène les gens à se rendre compte. Eh bien, la prédication de l’Evangile, c’est le Saint-Esprit qui fait cela. Leur enseigner la Bible, c’est le Saint-Esprit qui fait cela. Voir d’avance des évènements et les prédire, c’est le Saint-Esprit.

            Tout cela, c’est Dieu. Ce sont des dons dans l’Eglise. C’est une honte qu’on retranche beaucoup de cela, des dons valables. Il y a des dons de parler en langues, il y a des dons d’interprétation de langues. Cela a été beaucoup mal utilisé, mais cela ne l’enlève pas de l’église. Cela est là de toute façon.

84        Il y a des dons de prophétie; il y a des prophètes et des dons de prophétie. Or, il y a des dons de prophétie; cela est bien dans l’église, mais un prophète naît prophète. Chaque prophète qui ait jamais existé au monde naissait prophète. Les dons et les appels sont sans repentir. Il y a cinq grands dons dans le corps: Apôtres, prophètes, docteurs, pasteurs, évangélistes. C’est Dieu Lui-même qui les place dans l’Eglise. Voyez?

            Nous allons... On a beaucoup de soi-disant prédicateurs, et beaucoup de soi-disant prophètes, mais c’est Dieu Lui-même qui les place donc. Et Il parle de Ses dons. Il rend témoignage à cela.

            Maintenant, regardez ça. Voici un groupe de gens ici debout dans cette ligne, quinze ou vingt, ou ceux qui ont été appelés. Il y a des gens assis là dans l’assistance, je ne sais rien à leur sujet, et si le Saint-Esprit descend et m’oint, et qu’eux ne me croient pas, cela n’arrivera pas de toute façon.

            Ce n’est pas moi, c’est vous. C’est vous qui... Ce n’était pas Jésus qui avait guéri la femme. C’était la femme elle-même qui avait reçu la guérison en croyant en Lui. Voyez?

            Elle L’avait touché. Eh bien, Il est le Souverain Sacrificateur ce soir qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Vous pouvez Le toucher si vous êtes malade. Dites: «Seigneur, touche-moi. Je Te touche.» Observez-Le se retourner et vous parler.

85        Maintenant, s’Il le fait, et que ces gens ici au sujet desquels je ne sais rien, s’Il fait les mêmes choses qu’Il avait faites quand Il était ici sur terre, tout celui qui a levé la main pour dire qu’il croira en Lui et L’adorera, est-ce vrai? Que le Seigneur vous bénisse.

            Je dois vous parler juste une minute, madame, veuillez vous approcher. Donnez aux huissiers ou à l’un d’eux votre carte de prière avant de monter et de vous approcher. Maintenant, j’aimerais juste que vous vous teniez ici, madame, et je suis en train d’attendre.

            Maintenant, je vais demander à l’assistance... Maintenant, il pleut dehors. J’aimerais que vous soyez tout aussi calme que possible pendant juste quelques instants. Juste–juste un tout petit moment pour voir ce que le Saint-Esprit fera.

86        Maintenant, tout le monde est dans l’expectative. Ne dites donc pas: «Oh! Oh! Oh!» Ne faites pas ça. Restez simplement calme. «Tu écoutes, ô Dieu. De tout mon coeur, je viens à Toi. Je viens en croyant.» Voyez-Le vous désigner en retour. Voyez? Observez-Le dans la prière... Si vous venez dans la ligne de prière dans l’intention de critiquer, observez-Le vous dire votre condition.

            Et je crains de vous dire ce qui arrivera. En effet, il y en a beaucoup assis ici qui ont vu cela arriver. Un prédicateur est monté à l’estrade, il est encore paralysé ce soir. Un homme est venu à la réunion, il s’est assis là dans la foule devant des milliers de gens pour m’hypnotiser. Et il était là, faisant... Il parcourait les camps militaires, faisant aboyer les jeunes gens comme des chiens en les hypnotisant, et eux, un groupe de fanatiques l’ont amené là pour m’hypnotiser à la réunion.

            Alors, en revanche, le Saint-Esprit a dit: «Toi enfant du diable.» Et il l’a réprimandé, et on l’a transporté hors de la salle et il est toujours dans cet état-là.

87        Un autre homme était venu, alors qu’il y avait un cas de crise d’épilepsie, il avait son église là, c’étaient des incroyants. Cela était arrivé là à–à Jonesboro, dans l’Arkansas. Il était là dans l’église avec un très grand groupe de ses membres. J’ai dit: «Inclinez la tête.»

            Il a dit: «Je ne suis pas obligé.» Et la crise de l’épilepsie ne quittait pas un enfant.

            J’ai dit: «Seigneur, Tu vois l’état de cet homme, un critiqueur. Ne laisse pas cet enfant souffrir à cause de lui. Et, j’ai dit: «Satan, quitte ce jeune garçon.» Et vingt-huit personnes ont attrapé l’épilepsie dans la salle.

            A Phoenix, en Arizona, des fonctionnaires de la ville étaient assis là, l’un ne voulait pas incliner la tête, il s’est fâché, il est devenu vraiment hostile à ce sujet. Frère Moore se souvient de cette soirée, frère Brown. Il s’est écoulé environ deux mois après cela, on m’a entraîné là, sa femme s’accrochait aux jambes de mon pantalon comme cela, dans la boue en Californie, là, et on l’avait placé là derrière, il faisait «Aah, aah, aah.» Et le visage était tout recouvert de barbe, il était devenu complètement fou.

            Nous ne faisons pas de religion, amis. Ceci est le Saint-Esprit. Pas moi; c’est Lui. Faites donc attention à ce que vous faites. Vous devez venir avec plus de révérence. Venez dans l’expectative. Tenez-vous tranquille maintenant. Si Dieu fait quelque chose, et que vous voulez L’adorer, c’est merveilleux, mais maintenant, soyez vraiment respectueux.

88        Maintenant, cette dame est ici debout. Je suppose, soeur, que vous et moi, nous sommes des inconnus. Avez-vous levé la main l’un à l’autre? Je ne vous connais pas. Vous ne me connaissez pas, et–et nous voici à notre première rencontre. Est-ce vrai? C’est la première fois.

            Eh bien, la dame, voudriez-vous donc lever la main afin que les gens voient que c’est notre première rencontre dans la vie? Très bien. Je ne sais rien sur elle. Elle ne sait rien sur moi.

            Eh bien, et si elle est malade? Et s’il y a quelque chose qui cloche? Je–je ne pourrai pas vous le dire. Je ne sais pas.

89        Mais voici un tableau très semblable à ce qui est arrivé en Samarie un jour. Le Seigneur Jésus, l’Homme dans la chair et une femme samaritaine, ils s’étaient rencontrés et s’étaient mis à se parler. Et Jésus a engagé une conversation avec elle. Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous ayez quoi que ce soit à faire avec des Samaritains.» Avez-vous déjà lu cela? Vous connaissez l’histoire.

            Et Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.» Eh bien, la conversation s’est poursuivie...?... Peu après, Jésus l’a regardée droit et a dit: «Va chercher ton mari.» Il avait découvert son problème, n’est-ce pas? Il lui a dit d’aller chercher... C’était ça son problème. Est-ce vrai? Etait-ce là son problème en ce moment-là? Très bien. Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq.»

            Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit: «Eh bien, nous savons que quand le Messie sera venu...» (Croyez-vous que Jésus était le Messie?) Elle a dit: «Quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses. Il nous annoncera toutes choses; mais Toi, qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je Le suis.» Voyez?

90        Eh bien, si c’était là le signe du Messie (le Messie, c’est l’Oint de Dieu), si c’était là le signe du Messie en Galilée il y a mille neuf cents ans, et s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, c’est le signe du Messie ce soir après mille neuf cents ans. Est-ce vrai?

            Maintenant, les incroyants ne croiront jamais, mais les croyants croiront. Maintenant, je ne fais que vous parler de cette façon, sachant que je suis juste un–un–un homme debout ici, vous parlant, et je ne vous connais pas. Mais je vois que vous êtes une croyante. Vous êtes une chrétienne. Si c’était une pécheresse ou une critiqueuse, on dirait que ceux-là ont quelque chose de froid. L’Esprit qui est sur moi maintenant, j’attends qu’Il se mette à agir sur vous afin que je voie ce qui est arrivé.

            Maintenant, si le Seigneur Jésus, soeur, me fait savoir ce pour quoi vous vous tenez là, sachant que je ne vous connais pas, et s’Il me fait savoir cela, allez-vous croire qu’Il va vous donner ce que vous Lui avez demandé? Allez-vous croire? Très bien. Puisse-t-Il l’accorder, c’est ma sincère prière.

91        Car je–je sais que tout le monde a des besoins; parfois, c’est–c’est la santé; parfois, ce sont des problèmes au foyer; parfois, c’est comme ce que la femme avait; et parfois, c’est un problème d’argent. Il nous aide pour de l’argent, Il nous nourrit, moi et ma famille, Il nous nourrit tous comme Il nourrit Ses oiseaux. Et je... Il... Si nous sommes malades, Il sait ce qui cloche chez nous.

            Il connaissait l’homme qui souffrait d’une infirmité depuis trente-huit ans. Il savait cela. Il a abordé cela avec détours et Il lui a demandé quelle en était la raison, et Il était sincère au sujet de ces choses. Il connaît toutes choses, n’est-ce pas?

            Maintenant, je ne suis pas juste–juste... Jésus a parlé à la femme, Jésus contactait son esprit. C’est tout ce qu’Il faisait. Le Père Lui avait dit de monter là. C’était tout. Il était simplement monté là et c’était réglé. En effet, voici que quand la femme s’est avancée, mais pour vous... Maintenant, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, je prends chaque esprit ici présent sous le contrôle du Saint-Esprit et qu’ils agissent comme je le vois.

92        La dame est extrêmement nerveuse. Elle souffre des nerfs. Je peux la voir marcher dans la maison, nerveuse, se tenant les mains, soulevant les doigts alors qu’elle s’assoit, bougeant ses mains comme cela quand elle s’assoit.

            Il y a l’une ou l’autre chose qu’elle espère chez son médecin ou quelque chose comme cela. C’est comme... C’est sur son épaule, derrière, on dirait. Et voyons. Je n’ai pas bien entendu ce qu’il a dit. C’est un petit endroit. C’est un petit... C’est un... Il a appelé cela un kyste. C’est ce qu’il a dit, et je vous vois... Vous souffrez on dirait d’une affection rectale. Et, je vous vois au... c’est soit une clinique, soit un hôpital, ou quelque chose comme cela. C’était une espèce d’intervention chirurgicale. Oh! C’était une intervention chirurgicale de fistule, et il y a de cela quelque temps, et cela n’a pourtant pas été guéri. C’est vrai. AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT. C’est vrai, n’est-ce pas?

            Croyez-vous que ce qui est maintenant sur... Non pas votre frère, mais sur moi... Jésus a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Croyez-vous cela?

            Père céleste, je maudis la maladie sur son corps et je lui impose les mains au Nom de Christ, afin qu’elle soit guérie. Amen. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Allez donc et ayez foi en Dieu.

93        Croyez-vous? Avez-vous réellement la foi? Bonsoir, madame. Vous et moi, nous sommes–nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous connais pas, et c’est vrai. Mais Lui vous connaît certes. Simplement vous... Quelqu’un vous a remis une carte de prière et votre numéro vient d’être appelé. C’est–c’est tout ce qu’il y a.

            Eh bien, si c’est vrai, levez la main pour montrer que nous sommes complètement des inconnus, mais Jésus vous connaît avant la fondation du monde. Et Il me connaissait avant la fondation du monde. Et quand nous sommes venus sur la terre, nous sommes venus uniquement par Sa volonté. La grâce de Son Père nous a amenés ici. Il nous a nourris et Il nous a amenés jusqu’à ce temps-ci.

            Il m’a accordé Sa grâce pour devenir un chrétien. Il vous a accordé Sa–Sa grâce pour devenir une chrétienne, une croyante; en effet, vous êtes une croyante. Très bien. Il m’a ensuite donné un don pour vous parler de Lui, c’est tout ce que je peux faire, n’est-ce pas?

94        Et vous souffrez très gravement de nerfs, vous êtes très nerveuse, au point que–au point que vous tremblez. Vous avez tendance à faire tomber des choses tout le temps. C’est vrai.

            Ensuite, votre... il y a beaucoup de liquide dans votre corps, un excès de liquide. Dites donc, vous avez aussi subi une intervention chirurgicale il y a quelque temps. C’est cette intervention chirurgicale qui est à la base de ce liquide-là. Ils ont fait la chose qu’il ne fallait pas, et c’est vrai, c’est pourquoi le liquide s’est assemblé depuis lors. Et maintenant, croyez-vous que Dieu est ici pour vous en débarrasser?

            Dieu Bien-aimé, si Tu es si présent pour connaître la vie des humains, à quel point es-Tu présent, Seigneur, aussi proche que notre coeur l’est de nous? Et maintenant, pour le compte de ma soeur, j’offre la prière d’intercession et je Te demande, Seigneur Dieu, de réprimander le démon qui a tourmenté cette femme et de lui accorder d’être guérie au Nom de Christ. Amen.

            Maintenant, madame, je vais vous dire ce que je veux que vous fassiez, afin que vous sachiez que cela vous quitte. Ce soir quand vous retournerez chez vous, j’aimerais que vous preniez une corde, que vous mettiez cela tout autour de vous, que vous mesuriez là où–là où... la longueur de la corde. Ensuite, demain soir, avant de venir, mesurez-vous une fois de plus et découpez cette corde-là, et voyez combien cela aura rétréci d’ici demain soir, déposez cela à la chaire. Allez-vous le faire pour moi? Merci, madame. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.

95        Croyez-vous? C’est ce que Jésus a dit que vous fassiez. Tout est possible à ceux qui croient. Amen. Gloire au Seigneur!.

            Croyez-vous que Dieu vous a guérie de ce mal de dos, madame? Croyez-vous qu’Il vous rétablit? Croyez-vous cela? Très bien. Vous pouvez alors avoir votre guérison. Votre foi vous guérit. Amen. Gloire au Seigneur! Si tu peux croire, tout est possible.

            Je ne vous connais pas. Dieu seul vous connaît, avant que je sache, mais nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas? Je–je ne vous connais pas. Vous me paraissez assez en bonne santé, un peu pâle, mais vous paraissez assez en bonne santé, mais Dieu connaît effectivement votre état. Dieu sait ce pour quoi vous êtes ici. Pas moi, mais s’Il me révèle ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous croire cela?

96        Il y a quelque chose en rapport avec la force de la femme. Oui, oui. Mais vous êtes ici pour quelqu’un d’autre, et ce quelqu’un d’autre est un membre de la famille de votre mari, et c’est sa grand-mère, je pense. C’est vrai. N’est-ce pas vrai? C’est vrai. Elle se meurt du cancer. C’est vrai. Votre mari aimerait savoir que...?... si seulement il se débarrassait de cette vieille cigarette. C’est vrai, n’est-ce pas? Il est assis là présentement avec un paquet dans sa poche, si seulement il se débarrassait de ces choses et qu’il priait réellement pour sa mère, je crois que Dieu exaucera sa prière. Je ne suis pas en train de lire vos pensées, pas du tout, mais Jésus-Christ se tient ici. Vous le savez, madame. Oui vous êtes aussi anémique. Oui, vous êtes anémique.

            Vous êtes une femme extrêmement nerveuse. Et, autre chose, vous souffrez du sang. C’est l’hypotension. Vous avez essayé–essayé–essayé de gagner du poids, et vous n’y arrivez pas. C’est vrai. N’est-ce pas vrai? C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Voyez?

            Maintenant, croyez-vous que vous êtes dans Sa Présence? Acceptez-Le maintenant pour tout ce que vous avez demandé. Alors, Père céleste, j’impose les mains à cette femme et je condamne le démon qui la tourmente, je demande que Jésus-Christ prenne le dessus, au Nom de Christ, je le demande. Amen.

97        Comment pouvez-vous douter? Eh bien, quoi de plus peut-Il faire? Si tu peux croire, tout est possible, si tu peux croire. Amen. Mais il vous faut croire. Jésus a dit: «Si tu peux croire, tout est donc possible.» Gloire au Seigneur!

            Oh! Que c’est merveilleux! Ayez foi. Quelque chose est arrivé. Je n’arrive pas à voir où c’était. Quelqu’un a été guéri dans l’assistance tout à l’heure. C’est vrai. C’est juste quelque part par ici. Arrêtez de prier. Ne laissez pas le diable me faire échapper cela.

            Madame, l’affection de vessie. Vous assise juste là derrière. Croyez-vous que le Seigneur Jésus vous guérit? Vous pouvez alors avoir votre guérison. Que Dieu vous bénisse.

            Vous assise derrière cette petite fille, elle se tenait là derrière vous. Je vois le–l’Ange du Seigneur au-dessus ici, mais je n’arrive pas à repérer où c’était. La petite fille assise là. Je n’arrive pas à repérer où c’était. Vous étiez en train de prier. Vous étiez en train de prier que Dieu me parle pour vous parler. Si c’est vrai, levez la main. Très bien, vous y êtes. Alléluia!

98        Nous T’adorons, Seigneur Jésus. Nous Te rendons la louange et la gloire. Tu es la Rose de Saron, le Lys de la vallée, l’Etoile du matin. Amen.

            Oh! Qu’Il est merveilleux! Très bien. Petite dame, vous assise juste là en bas par rapport à elle, là, vous avez attrapé un rhume de foin, n’est-ce pas? Vous croyez que le Seigneur Jésus vous guérira. Si vous pouvez croire cela, vous pouvez le recevoir. Que Dieu vous bénisse. Très bien. Beth...?... parlant avec la dame, a dit qu’elle venait d’être guérie il y a quelques minutes. Levez les mains. Rassurez-vous que c’est le bon... Non, la petite dame derrière vous, soeur. Juste derrière... aux cheveux noirs. Là, vous... Vous vous êtes retournée tout à l’heure, madame. C’est au-dessus de vous qu’Il se tient. Oui. Amen. C’est parti. Ce n’est pas une maladie. C’est un état du nez. Voyez? Une peau mince. Je ne pense pas que vous serez jamais tourmentée encore par cela. Dieu peut faire pousser une nouvelle couche de peau là-dessus. Il est le Créateur. Amen. Alléluia!

99        Bonsoir, monsieur. Oh! Je me sens maintenant fatigué, mais je–je crois que le Seigneur Jésus-Christ est ici, et j’aide, j’espère qu’Il aidera quelqu’un, chacun de vous à se rétablir. Vous êtes un brave homme. Je vous aime. Merci. Mais Dieu peut vous guérir de cette hernie, de la hernie, et vous rétablir. Croyez-vous cela? Je vous dis une seule chose que vous avez faite. Vous avez une mauvaise habitude dont vous aimerez vous débarrasser: fumer la cigarette. Et puis, autre chose, vous devriez donner votre coeur à Christ maintenant même, en effet vous n’êtes pas chrétien. Voulez-vous donner votre coeur à Christ quelque... Vous–vous êtes venu ici dans cette intention-là, n’est-ce pas? Levez la main si c’est vrai. Vos péchés vous sont pardonnés.

            Père céleste, au Nom de Jésus-Christ, Tu as dit: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle.» Notre frère est passé de la mort à la Vie. Ô Dieu...?... alors que je me tiens ici comme témoin de Ta puissance. Au Nom de Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, monsieur.

            Maintenant, il est mon frère, pas un pécheur, mais mon frère. Que Dieu vous bénisse. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant et soyez heureux. Gloire au Seigneur. Déversez abondamment et infiniment. Oh! Que c’est merveilleux. Il est merveilleux.

100      Croyez-vous que le Seigneur Jésus guérit l’affection de vésicule, vous assise là derrière, madame? Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez recevoir cela. Aussitôt que vous dites cela, la dame juste par ici souffrait de l’hypertension... assise là sur le... environ la deuxième à partir du bout; et vous croyez que le Seigneur Jésus-Christ vous en débarrasse, madame? Croyez-vous? Vous en robe rayée, croyez-vous de tout votre coeur? Levez la main si vous croyez cela. Levez votre... Vous êtes là même. Très bien. Que le Seigneur vous bénisse. Recevez cela. Alléluia! Je vous demande au Nom de Christ de croire cela. Amen. Oh! la la! Très bien. Combien maintenant croient qu’Il peut se mouvoir au-dessus de cette assemblée ici et guérir tout le monde? Eh bien, il le fera, observez simplement et croyez en Lui. Regardez et vivez.

            Voici une dame ici, une parfaite inconnue. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Dieu la connaît. Pas moi. Si Dieu révèle le secret du coeur de cette femme, ou l’une ou l’autre chose dont elle sait que moi, je ne sais rien... Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Elle est une inconnue, mais si Dieu révèle, combien ici présents accepteront Christ maintenant même comme votre Guérisseur, Sauveur, le Roi qui vient...?... J’ai le pressentiment que le Saint-Esprit est sur le point de faire quelque chose. Avez-vous déjà éprouvé une sensation? Je viens de percevoir cela dans mon coeur. Je sens donc que vous priez simplement pour le...?... Maintenant, croyez simplement cela. Puisse-t-Il accorder cela à cette pauvre femme.

101      Madame, regardez-moi. Chaque fois que Moïse rencontrait les gens, il n’avait pas à leur dire qu’il avait été envoyé par Dieu pour accomplir son signe. Il l’a fait une seule fois. Je crois plutôt que cette assistance est prête à recevoir cela. Je crois que c’est la meilleure qu’Il ait eue depuis que nous sommes à Shreveport.

            Maintenant, Dieu vous aime et vous L’aimez. Je ne vous connais pas. Lui vous connaît certes, mais maintenant, la femme s’éloigne de moi. Elle a quelque chose qui cloche à la gorge. C’est une maladie de gorge. Pas exactement une gorge... Vous êtes un prédicateur. Vous êtes un prédicateur, une femme prédicateur, et vous... quand vous parlez, c’est un... après, je vous vois, peut-être que vous avez tenu quelques soirées, vous êtes... Quelque chose comme cela, vous avez alors des problèmes avec votre gorge. Et vous êtes une femme prédicateur chagrinée. Vous avez un fardeau à coeur, et vous êtes venue vers moi en tant que votre frère pour intercéder avec vous auprès de Christ pour un enfant, un fils, qui boit. Et vous êtes très chagrinée, sachant que vous êtes une femme ministre, et que votre fils boit; et vous êtes venu pour que je demande à Christ avec vous pour qu’Il jette un obstacle quelque part sur le chemin de ce jeune garçon afin de l’arrêter. N’est-ce pas vrai? C’est vrai, levez la main.

102      Croyez-vous en Lui? Voulez-vous Le recevoir? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Combien parmi vous aimeraient vraiment être guéris? J’aimerais savoir, du fond de votre coeur. Je vais vous demander de faire quelque chose.

            Je–je suis resté ici pendant des heures. J’aimerais que cet appel à l’autel se fasse. Il me reste un peu de force. C’est vrai, mais j’aimerais voir cet appel à l’autel, et j’aimerais vous voir tous être guéris. J’aimerais voir chacun de vous... Et écoutez, Dieu vous a prouvé que je–.je–je ne suis pas un faux prophète. Je suis Son serviteur, et Il se manifeste par un don divin. Je vous déclare que tout le monde ici présent, si vous comptez sur Christ maintenant même, vous serez guéris. Maintenant, croyez-vous cela?

            Maintenant, imposez-vous les mains les uns aux autres, peu importe qui est assis à côté de vous. Imposez-vous les mains les uns aux autres...?... Et Dieu les relèvera...?... Au Nom de Jésus-Christ. Je chasse le diable...?... tout le monde...?...

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