Amour Divin

Autres traductions de ce sermon: Amour Divin2 - MS
Date: 57-0305 | La durée est de: 2 heures | La traduction: Shp
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1          Pendant que nous sommes debout, inclinons nos têtes juste un moment dans la Présence de Dieu. Notre Bienveillant Père céleste, c’est vraiment avec des coeurs reconnaissants que nous nous inclinons dans Ta Présence pour T’offrir l’adoration même de nos coeurs, pour T’exprimer notre appréciation de Ton amour et de Ta bonté envers nous, et pour Te dire que nous sommes indignes des bénédictions que Tu as déversées sur nous.

            Et je Te prie, Père céleste, d’avoir pitié de nous ce soir, de nous accorder Ta grâce et Tes bénédictions. Bénis ces gens. Guéris les malades et les nécessiteux et sauve les perdus, car nous le demandons au Nom de Ton Bien-Aimé Fils, le Seigneur Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2          Nous sommes très heureux d’être ici ce soir. Je suis un peu enroué pour avoir beaucoup prêché dans de très nombreux services et de lieu en lieu. Mais nous éprouvons toujours un–un grand transport de joie dans nos coeurs quand nous parlons de notre Seigneur Jésus et de Sa bonté.

            Et nous avons le reste de cette semaine, le Seigneur voulant. Et pendant le reste de cette semaine, si Dieu m’aide donc à avoir un peu de voix, je désire parler très précisément de la Venue du Seigneur Jésus et de la préparation de Son Eglise avant le temps de la fin.

            Ainsi ce soir, je désire juste vous parler pendant un petit moment et ensuite prier pour les malades et les nécessiteux. Et un soir, peut-être ça pourrait être demain soir, ou au cours d’une soirée qui suivra, nous allons essayer avec l’aide du Seigneur d’avoir une de ces soirées à l’ancienne mode. Je ne parle pas d’une–une ligne rapide, comme nous l’appelons, mais d’une ligne de prière où nous pourrons prendre les individus et prier pour eux personnellement, sans le discernement, prier tout simplement pour les gens.

3          Nous avons eu une de ces soirées il n’y a pas longtemps à Lima, dans l’Ohio. Et oh! comme le Seigneur a honoré ces prières pour les malades, et quelles glorieuses choses notre Seigneur Jésus a accomplies!

            Maintenant, j’essaie d’amener les gens à croire en Dieu sur base de quelque chose de plus élevé que cela: L’accepter sans que quiconque vous touche. C’est vous qui Le touchez. Vous voyez, si–si je posais mes mains sur vous et priais pour vous, en principe vous pourriez alors dire: «Frère Branham m’a imposé les mains.» Mais, ce n’est pas cela le but. J’aimerais que vous soyez en mesure de dire: «Personne à part Lui ne m’a touché.» Je–je... C’est de cette manière que j’aimerais que ça se fasse. Rendez-Lui la gloire.

            Et il y a tant de louanges fabriquées par l’homme aujourd’hui, au point que c’est vraiment pitoyable, n’est-ce pas? Et l’autre soir, lorsque ce petit enfant indien a été guéri pendant qu’il montait sur l’estrade, personne ne l’a touché, il a tout simplement été guéri: il louchait, vous vous teniez là et vous en avez été témoins vous-mêmes. Eh bien, c’est de cette manière que j’aime voir cela se produire, juste comme cela. Cela montre que personne n’a prié; personne n’a fait quoi que ce soit; mais Dieu dans Sa grâce souveraine a guéri l’enfant. C’est bien. Alors Dieu en reçoit la louange. Voyez-vous? J’aime cela de cette manière.

4          Frère Sothmann, êtes-vous sur le point de flamber ici à Phoenix, après être venu de cet iceberg du Canada? Frère Fred Sothmann, mon manager canadien... Si quelqu’un désire voir un homme qui vit réellement là où il fait froid, je n’ai pas l’intention de vous embarrasser, Frère Fred, mais voulez-vous vous tenir debout un instant? Frère Fred Sothmann qui vient du Saskatchewan, au Canada. Que le Seigneur vous bénisse, Frère Fred Sothmann. C’est le meilleur pêcheur du Canada, tandis que moi je le suis aux Etats-Unis.

            Nous comptons maintenant tenir une autre série de réunions là-bas très bientôt: je vais monter en mai. Nous allons parcourir le Canada, le Seigneur voulant, et nous avons passé de bons moments là au Canada avec ces merveilleuses personnes. Malgré tout, ils ont certainement un merveilleux endroit ici, n’est-ce pas? Oui, monsieur.

5          Maintenant, j’aimerais lire un peu, et ensuite essayer de terminer pour commencer la ligne de prière à vingt et une heures. J’aimerais lire un vieux passage bien connu, qui semble être sur mon coeur ce soir, dans Saint Jean, chapitre 3, verset 16. En effet, chaque enfant dans cette assistance ce soir, qui a été instruit avec la Bible, peut citer ce passage.

Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle.

            Et comme sujet, j’aimerais en prendre un de très étrange, et c’est «L’Amour Divin.»

            La Bible dit: «Dieu a tant aimé le monde...», de l’amour divin, et lorsque l’amour divin est projeté vers son objet, la grâce souveraine intervient et produit ce qui a été projeté.

6          Dieu fait des choses d’une manière très simple. Je pense que si bien des fois les gens manquent le sens même de la chose, c’est parce que Dieu fait des choses si simples. Les hommes s’attendent à ce qu’une grande–une grande chose se produise, alors que Dieu demeure dans la simplicité.

            Lorsque Jésus est venu sur terre, les hommes s’attendaient à ce que le Messie vienne avec beaucoup de splendeur. Mais lorsque Dieu a envoyé Son Fils sur la terre, et qu’Il L’a envoyé, Il n’est pas né dans une famille royale, Il ne L’a pas non plus envoyé à un grand ordre religieux. Mais il a visité une jeune paysanne, et Il a choisi d’amener Son Fils au monde à travers cette enfant, qui n’était qu’une adolescente.

            Non seulement cela, mais d’habitude lorsqu’un roi naît, de grands chants s’élèvent parmi les gens, et les célébrités du monde ou de cette nation-là attendent la naissance de cet enfant. Et d’habitude, on fait des préparatifs particuliers pour cet enfant. La salle d’accouchement est entièrement décorée en rose et ainsi de suite, le jour où on fait venir les médecins, et ils se tiennent prêts.

7          Mais chose étrange, Dieu a amené Son Fils sur la terre à travers cette petite vierge. Elle avait chevauché toute la journée sur le dos d’un âne. Et il n’y avait pas de chambre pour elle à l’hôtel. Et Dieu avait ainsi décidé que Son Fils unique naisse dans une étable, dans une mangeoire. Qu’elle est simple, la manière dont Dieu fait les choses!

            Parfois c’est pour confondre l’esprit des sages et des intelligents, afin que les enfants aient la chance de connaître cela. Et si Dieu tout au travers des âges a agi ainsi... Et souvent ce qu’Il fait semble ridicule aux yeux du monde. Dieu peut faire certaines des choses les plus ridicules aux yeux du monde.

8          Une fois dans la Bible, lorsqu’un jeune homme du nom de Moïse qui avait été très bien formé dans toutes les stratégies de la nation la plus puissante au monde... C’était un grand militaire, et il avait été enseigné par l’un des meilleurs enseignants de la religion: sa maman. Il avait quarante ans d’expérience, et malgré toutes ses techniques et ses stratégies, il a échoué pour faire le travail. Et alors Dieu l’a amené derrière le désert, et là Il l’a gardé pendant quarante ans.

            Et un jour, Dieu est descendu dans un petit buisson ardent, et Moïse en savait plus sur ce qu’il devait faire en cinq minutes dans la Présence de Dieu que toutes les stratégies qu’il avait apprises pendant quarante ans en Egypte.

            Toute sa formation ne pouvait jamais se mesurer avec ce glorieux moment dans la Présence de Dieu. Et Dieu voulait délivrer Ses enfants. A ce qu’il paraissait, Dieu avait fait grandir le garçon pour qu’il ait le pied sur le trône afin de s’emparer de la grande armée égyptienne et libérer Son peuple. Raisonnablement, tel que le monde voit la chose, cela aurait pu se faire de cette manière-là; mais Dieu l’a fait d’une manière simple.

9          Eh bien, pouvez-vous imaginer le jour suivant, après que Dieu était apparu à Moïse, qui se cachait des Egyptiens? Et si vous voulez voir quelque chose qui semble ridicule aux yeux de l’homme, considérez cette scène. Voici venir un vieillard de quatre-vingts ans, la barbe pendant jusqu’à la taille, un vieux petit bâton dans la main, et les cheveux et la barbe flottant au vent dans toutes les directions, ses petits bras osseux appuyant le bâton sur le sol pendant qu’il avance, monté sur une petite mule, avec sa femme assise à califourchon et portant un enfant sur chaque hanche, se rendant en Egypte pour prendre le contrôle. Pouvez-vous imaginer cela?

            Pouvez-vous imaginer quelqu’un dire: «Moïse, où vas-tu?»

            «Je me rends en Egypte pour prendre le contrôle.» Ce serait comme une invasion par un seul homme. Mais ce qui est étrange, c’est qu’il l’a fait. Peu importe combien cela semblait simple, Dieu était derrière ce programme; c’est l’essentiel.

10        Pouvez-vous imaginer un homme se tenant là, environné par un millier de Philistins portant des armures et des lances, comme Samson qui se tenait là, et ayant ramassé la mâchoire d’une mule, il a tué un millier de Philistins? Dieu fait des choses tellement simples.

            Pouvez-vous imaginer une grande armée d’un côté de la colline, une grande armée de l’autre côté de la colline, et cette armée qui se trouvait du côté opposé c’étaient des Philistins qui combattaient Israël avec bien plus d’hommes, et ils avaient là un adversaire du nom de Goliath. Il était de loin plus grand que n’importe quel autre homme. Et il avait lancé un défi. Et tout Israël, malgré toute sa formation, avait peur de lui. Et Dieu a choisi un petit rougeaud, un gars couvert de taches de rousseur, du nom de David, qui portait un petit manteau en peau de brebis, et qui avait en main une fronde, pour tuer ce géant et prendre le contrôle. Dieu utilise des choses simples qui paraissent ridicules aux yeux du monde; Il fait cela pour montrer Sa grande puissance.

            Dieu a fait la même chose lorsqu’Il a envoyé Son Fils sur terre. Il est né dans une crèche. Il est venu au monde portant, pour commencer, une mauvaise réputation d’enfant illégitime; mais Il a produit l’une des plus grandes secousses que ce monde ait jamais connues.

11        Et le jour de la Pentecôte, Dieu avait cent vingt pêcheurs et paysans illettrés dans une chambre haute pour inaugurer le commencement de l’effusion du Saint-Esprit, mais Il les avait entièrement sous Son contrôle. Il est entré dans la ville, où des hommes très instruits, des philosophes, des docteurs, des théologiens étaient venus du monde entier, mais Dieu a choisi un groupe d’humbles petits pêcheurs. Et Il condamna le monde et envoya la liberté au monde entier par ce groupe d’humbles petits pêcheurs.

            Et ensuite cela serait-il trop difficile pour Dieu, dans ces derniers jours, alors que nous avons toutes sortes d’écoles de théologie, alors que nous avons toutes sortes de dénominations, toutes sortes de religions, cela serait-il trop difficile pour Dieu de prendre un groupe de gens humbles, juste des gens ordinaires? Et dès qu’Il les aura sous Son contrôle, ne peut-Il pas répéter les bénédictions de la Pentecôte? Ne peut-Il pas répéter la même Vie qu’Il avait vécue sur terre?

12        La Bible dit: «Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique.» Eh bien, l’amour de Dieu envers le monde, et Dieu est amour. Et lorsque Dieu s’est projeté vers le monde pour le sauver, il n’y avait rien d’autre que la grâce souveraine pour produire un Sauveur. Lorsque Dieu aime, quelque chose doit se produire. Et Dieu a tant aimé le monde qu’un Sauveur divin est apparu; Sa grâce a pourvu à ce Sauveur. C’est Son amour qui a produit ce Sauveur.

            Or, en ce temps où nous vivons comme à toutes les époques, nous sommes nés pour être des fils et des filles de Dieu. Nous sommes des rejetons de Dieu. Et étant des rejetons de Dieu, il y a quelque chose en nous qui croit en Dieu. Il y a quelque chose en vous qui réclame quelque chose. Et aujourd’hui pour satisfaire ce désir ardent de nos coeurs, bien des fois nous essayons de satisfaire cela par l’instruction; nous essayons de satisfaire cela par la dénomination. Nous essayons de satisfaire cela par–par des choses sensationnelles. Nous essayons de satisfaire cela par l’une ou l’autre chose. Mais cela ne marchera jamais jusqu’à ce que l’amour divin dans nos coeurs sera projeté vers le Dieu Tout-Puissant.

13        Alors lorsque notre amour répondra à Son appel, la grâce souveraine produira ce que nous demandons. Tout d’abord il faut que ce soit l’amour. Paul a dit: «Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. Quand j’aurais la foi pour déplacer des montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. Quand je pourrais accomplir toutes sortes de miracles, produire toutes sortes de signes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien.»

            C’est pour cette raison qu’aujourd’hui nous essayons de produire quelque chose par une dénomination, par l’instruction, par une organisation en mettant de côté l’amour divin. La raison pour laquelle nous sommes tellement divisés, que tant de choses ne marchent pas, qu’il y a tant d’ismes, c’est parce que nous avons laissé la chose essentielle qui produit ce qu’il nous faut: l’amour.

14        Vous souvenez-vous de mon sermon de dimanche? Le petit ressort principal au centre de l’horloge règle cette horloge par rapport à tout. Et alors que Dieu est amour et que l’amour entre dans nos coeurs, cela règle chaque émotion et tout directement par rapport à la Bible de Dieu. Vous ne devez pas montrer aux gens quel beau cristal vous avez, quel beau cadran elle a, quelles belles aiguilles elle a, quel beau rubis elle a, mais plutôt quelle belle horloge c’est. Et le monde en a assez de regarder ces très grands clochers, de regarder des gens bien habillés, et de regarder un tas d’ismes. Il veut voir l’amour authentique de Dieu projeté dans le coeur de Son peuple. C’est ce que le monde cherche.

            Le monde se meurt par manque d’amour; l’Eglise se meurt par manque d’amour. Jésus a dit: «Vous êtes le sel de la terre.» Mais si le sel a perdu sa saveur, il ne sert plus qu’à être jeté dehors et à être foulé aux pieds par les hommes. Et quand l’église perd sa révélation divine de l’amour de Dieu, elle devient un simulacre, de la paille, une pierre d’achoppement pour le monde.

15        Or, il n’y a qu’une seule chose que l’Eglise doit faire. Si vous voulez que quelqu’un vienne à Christ, soyez salé. Le sel donne la soif; soyez salé et le monde aura soif. C’est juste.

            Car dans l’homme, il est dans un sens un créateur en miniature, si c’est un enfant de Dieu, parce que l’Esprit de Dieu est en lui, c’est Lui qui le contrôle, qui le fait agir. Et j’aimerais vous faire comprendre certaines choses dont j’ai la certitude que c’est la vérité. Si j’avais un peu plus de voix, j’aimerais prêcher là-dessus ce soir.

            Mais j’aimerais vous faire comprendre certaines choses comme celle-ci, ce que l’amour divin... Maintenant écoutez, Paul a dit: «Les langues cesseront; les prophéties prendront fin.»

            Tous ces signes... L’antichrist peut produire n’importe quel signe qui se trouve dans la Bible, mais il ne peut pas produire l’amour. Il n’y a rien en lui qui puisse le faire aimer.

            Oh! vous pouvez avoir un genre d’amour qui est faux. Il existe deux sortes d’amour. Il existe un amour qu’on appelle l’amour humain, ou qu’on appelle en grec l’amour phileo. Et l’amour divin, c’est l’amour agapao. L’amour agapao, c’est l’amour divin. Et lorsque l’amour divin est dans votre coeur, il y a un changement dans votre vie, et tout le monde le sait. C’est juste. Vous vivez comme un chrétien, vous vous comportez comme un chrétien, vous marchez comme un chrétien; et tout votre système est réglé sur la Bible de Dieu.

16        Maintenant, il y a quelque temps... Ma femme se trouve quelque part dans cette salle ce soir. Combien cette journée-là avait été très ennuyeuse, et nous avions eu tant à faire, il y avait des gens à l’étage, au rez-de-chaussée, partout. Et après que j’ai finalement fait sortir tout le monde, à la tombée de la nuit, je suis entré dans la cuisine; et ma pauvre femme se tenait là, la tête entre les mains, en train de pleurer. Sara et Rebecca étaient là en train de se battre sur le plancher, à cause de quelques lego. Le petit Joseph criait à tue-tête. Vous parlez d’une douce demeure; ils étaient là.

            Et lorsque je suis entré, j’ai passé mon bras autour des épaules de la première et unique petite dame de mon foyer. Et je lui ai dit: «Chérie, qu’est-ce qu’il y a?»

            Elle a dit: «Bill, je suis sur le point de devenir folle.» Elle a dit: «Durant toute la journée ces enfants n’ont rien eu à manger. Les gens se tiennent partout tout autour aux différents endroits et ils discutent, disant: ‘Le Seigneur va l’amener ici. Le Seigneur va le faire venir ici.’» Elle a dit: «Oh! il y a une telle confusion!» Eh bien, j’ai compris tout de suite qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas.

17        Eh bien, si vous aimez réellement Dieu... Et, vous savez, il y a un genre de personnes qui sont de très braves gens, mais seulement vous n’arrivez pas à supporter leur compagnie. C’est vrai. Pourquoi cela? Ils créent ce genre d’atmosphère là. Et il y a un genre de personnes dont vous aimez la compagnie. Ils créent cette atmosphère dans laquelle ils vivent.

            Eh bien, c’est surnaturel. Or, lorsque la Présence du Seigneur descend, cela crée une atmosphère pour la foi. Et lorsque... Je me disais: «Maintenant, Seigneur Dieu, aide-moi.»

            Et j’ai dit: «Chérie, tu sais quoi?» Elle est juste une femme, vous savez, et elle aime les belles robes, vous savez, et les sacs à main. Et elle n’en reçoit pas tout le temps, mais je... Elle les aime bien. Alors j’ai dit: «Tu sais, j’ai vu une des plus belles robes que j’ai jamais vues.»

            Elle a dit: «C’est vrai?»

            J’ai dit: «Oui, chérie.» Et je me suis dit: «Seigneur Dieu, aide-moi maintenant.» Et j’ai posé ma main sur sa petite épaule voûtée. Et j’ai dit: «Chérie, tu devrais la voir.»

            Elle a dit: «Oui.»

            Je me suis dit: «Seigneur, sois bon envers moi maintenant et aide-moi.» Je me suis dit: «Maintenant, je dois croire que Tu vas faire cela. C’est dans ma petite famille, et ces malades les ont complètement dérangés, mais veuille m’aider.»

18        Eh bien, vous devez créer une atmosphère, et c’est votre foi qui le fera. Ils étaient tous dans la chambre haute, d’un commun accord, lorsque soudain il vint du Ciel comme le bruit d’un vent impétueux; l’atmosphère était bonne. Il faut qu’il y ait une certaine atmosphère pour faire quoi que ce soit.

            Vous savez, la procédure normale pour faire éclore les poussins, c’est de mettre les oeufs sous la poule. Mais si vous mettez l’oeuf dans la bonne atmosphère, cela éclora de toute façon. Ecoutez, frère, si un homme aime Dieu, et s’il peut entrer dans le bon genre d’atmosphère, cela produira un bébé nouveau né, aussi certain que je suis ici. C’est l’atmosphère qui compte. Que cette petite poignée de gens qui sont assis ici ce soir entre dans une atmosphère parfaite, et observez ce qui se produira. Il n’y aura pas une personne faible parmi–une seule personne faible parmi nous. Les boiteux marcheront; les aveugles verront; les sourds entendront; le muet parlera, sans que l’on ait prié ni quoi que ce soit. C’est de l’atmosphère qu’il s’agit.

            C’est comme ça qu’en Afrique vingt-cinq mille personnes ont été guéries à la suite d’une seule prière. Lorsqu’ils ont vu le Seigneur faire quelque chose, cela a créé une atmosphère, et ils y sont entrés. C’est la piscine quand les eaux coulent bien.

19        J’ai donc posé ma main sur sa petite épaule, j’ai commencé à essayer de créer une atmosphère dans mon coeur: «Seigneur, je suis content. Tout va bien chez moi. Je T’aime, Tu sais que je T’aime, et redresse simplement ma petite famille.» Et peu après, j’ai dit: «Je vais te dire quoi, chérie, je te montrerai où se trouvent ces robes. Ensuite je... Apprêtons un petit souper pour les enfants, et ensuite nous allons partir.» Aussitôt j’ai pris mon tablier, je l’ai noué autour de moi, j’ai commencé à l’aider et à parler d’autres choses. Lorsqu’elle s’est calmée, j’ai baissé les yeux, et Sara et Becky avaient–avaient fait la paix, elles étaient en train de jouer, et le petit Joseph agitait son petit hochet, et il passait un bon moment. Vous voyez, vous devez entrer dans le bon genre d’atmosphère.

20        Frère Lindsay, beaucoup parmi vous le connaissent, c’est l’éditeur de La Voix de la guérison. Et nous avons beaucoup travaillé ensemble au cours des dix dernières années de notre vie. Nous nous trouvions à Portland, dans l’Oregon, un soir. Et beaucoup parmi vous ont déjà lu l’histoire de ce fou qui avait couru vers l’estrade pour me tuer. Et il était grand comme ça, il pesait près de trois cents livres [136 kg], un géant... Et moi, à cette époque-là, je pesais 128 livres [58 kg]. Et il mesurait près de sept pieds [2,10 m], il avait des bras énormes. Et il est entré dans la salle d’un pas lourd, pendant que j’étais en train de prêcher sur la foi, devant environ six mille personnes. Il s’est rué vers l’estrade, et les prédicateurs se sont dispersés comme des mouches. Et je me demandais ce qui n’allait pas. Je pensais que c’était peut-être quelqu’un qui venait apporter un message à l’un des ministres.

            Et je me suis retourné pour regarder, et ce très grand géant se tenait là, le torse bombé, et il grognait, les dents serrées, et les yeux... Il a dit: «Espèce d’hypocrite! Tu te tiens là, te faisant passer pour un homme de Dieu.» Il a dit: «Je vais briser chaque os de ton corps ce soir. D’un coup de poing je vais t’envoyer au milieu de cette assistance, pour te montrer si tu es un homme de Dieu.»

21        J’ignorais qu’il venait d’un asile d’aliénés. J’ai compris par sa taille qu’il était bien en mesure de mettre sa menace à exécution. Alors je l’ai regardé. Normalement j’aurais fui avec les autres. Mais vous savez ce qui est arrivé? Oh! si seulement je pouvais rester toujours dans cet état-là! Il se passa quelque chose, au lieu de haïr cet homme, j’ai eu pitié de lui.

            Je me suis dit: «Cet homme n’a pas l’intention de me faire du mal. Oh! c’est un homme comme moi. Et ça doit être le diable qui pousse cet homme à se comporter ainsi. Alors ce pauvre martyr...» Et il s’est rué vers moi, et il s’est raclé le fond de la gorge et m’a craché droit au visage.

            Et vous voyez, le diable essayait de me faire sortir de l’atmosphère dans laquelle Dieu me faisait entrer. Mais cela ne m’a pas dérangé.

            Je me suis dit: «Pauvre homme, il n’a pas l’intention de faire cela; et il n’aurait certainement pas voulu faire cela.»

            Et il a dit: «Je vais briser chaque os de ton corps. Il a levé son grand poing pour me frapper; et chose étrange, je n’avais pas peur, pas plus que je n’en ai en ce moment même. L’amour chasse la peur, l’amour parfait.

22        C’est cela, frère, soeur, qui entretient nos différends ce soir, c’est à cause de l’amour, du manque d’amour. Je ne parle pas de l’amour terrestre, l’amour dénominationnel, l’amour sexuel, mais je parle de l’amour divin qui fait de nous des frères.

            Alors, quand cet homme a fait le mouvement pour me frapper, j’ai entendu mes propres lèvres dire: «Puisque tu as défié l’Esprit de Dieu, ce soir tu tomberas sur mes pieds.»

            Il a dit: «Je vais te montrer sur les pieds de qui je vais tomber.»

            Et il a levé son poing pour me frapper, et alors j’ai dit: «Satan, sors de cet homme!»

            Et ses yeux sont complètement ressortis, ses dents se sont serrées, ses mains se sont levées, il a tourné sur lui-même, et est tombé sur mes pieds, si bien que la police a dû le faire rouler pour l’enlever de mes pieds. Qu’est-ce qui avait fait cela? L’amour, l’amour de Dieu.

23        Je ne sais pas à quel point vous allez croire ceci. Mais il y a peut-être environ deux ans, j’étais... J’ai une très grande cour de devant de 90 pieds [27 m], elle appartient au presbytère, là, et c’est difficile d’obtenir l’aide de quelqu’un dans l’Indiana, parce que tout le monde travaille. Et je devais sortir pour tondre le gazon. Et je tondais le gazon, et je faisais environ deux tours, et quelqu’un arrivait, et le gazon de devant repoussait avant que j’aille tondre celui de derrière.

            Alors je suis passé derrière la maison un après-midi chaud du mois d’août, et je portais une salopette du genre...?.... Il n’y avait personne, et il faisait terriblement chaud, et ma chemise était trempée et collait sur mon dos, alors je l’ai tout simplement enlevée, je me suis remis à tondre la cour de derrière. Et là, je tondais de toutes mes forces, et j’avais oublié qu’il y avait un grand nid de frelons là au bout de la rangée. Et j’ai fait passer cette tondeuse en plein dans la clôture avant de réfléchir, et j’étais entièrement entouré de frelons. Vous savez ce que c’est; ils peuvent vous tuer, ce sont de très gros insectes.

24        Et alors, normalement j’aurais osé me mettre à lutter contre eux et à fuir. Je sais que ceci semble puéril; cela pourrait sembler déraisonnable, mais c’est la vérité. Au lieu d’avoir peur de ces insectes, je me suis dit: «Pauvres petites créatures, je vous ai dérangées.» Et au lieu de les détester, il y avait une sympathie dans mon coeur pour elles. J’aurais voulu avoir cela tout le temps. Si c’était le cas, je serais une personne différente.

            Et j’étais entièrement environné de frelons, alors je me suis mis à penser: «Tu sais quoi, ce sont de petites créatures qui ont été créées par Dieu, et elles ont le droit de vivre dans leur maison. Elles n’ont aucune intelligence pour raisonner comme moi, et j’ai fait passer cette tondeuse là-dedans; et la seule protection qu’elles ont, c’est leur aiguillon pour me chasser.» Considérez cela raisonnablement.

            Alors je... Ils m’avaient complètement environné, et je me suis arrêté. Et voici la vérité. Vous pourriez penser que je ne suis pas très intelligent, je ne le suis pas après tout, mais ceci est vrai. J’ai dit à ces petits frelons, j’ai dit: «Petites créatures de Dieu, je suis le serviteur de Dieu, et je suis pressé. Ses enfants malades viennent et s’en vont; et je vous ai dérangées, et j’en suis désolé. Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, notre Créateur, rentrez dans votre maison; je ne vous dérangerai plus.» Et, frère, soeur, lorsque je vous rencontrerai à la barre du Jugement, ces frelons se sont tous mis en file indienne, ils ont tourné autour de moi et sont rentrés droit dans le nid pendant que je me tenais là. C’est juste.

25        Oh! c’était Dieu. Vous voyez, mais avant que cela n’arrive, j’avais l’amour. Je ne dis pas ceci pour blesser les sentiments des Mexicains qui sont présents, car Dieu sait que j’ai tenu certaines de mes meilleures réunions chez les Mexicains. Je n’oublierai jamais la petite chorale espagnole qui essayait de chanter Crois seulement pour moi, quand frère Garcia avait une église ici quelque part à Phoenix, la première fois que je suis venu ici. Je n’oublierai jamais ce petit «gloria à Dios!» familier, ou quoi que ce soit qu’ils disent: «Gloire à Dieu!»

            Et j’étais au Mexique il y a quelque mois. Et, à propos, mes prochaines réunions, ce sera chez les Mexicains, sur la côte ouest. Et j’étais au Mexique, frère Moore, frère Brown, frère Arganbright, et beaucoup d’autres frères, nous étions sur l’estrade, et mon coeur était brisé, c’était lorsqu’un petit bébé mort a été ressuscité; il était dans les bras de sa mère, il était mort à trois heures pendant la nuit; c’était à vingt et une heures, il pleuvait. Et sur toute l’estrade il y avait une grande pile haute comme ça de vieux châles et tout, sur lesquels les gens voulaient que je prie.

26        Et ensuite, celui qui est monté sur l’estrade, c’était un pauvre vieux Mexicain couvert de poussière. Ses cheveux étaient gris, et son visage avait des rides profondes. Il était pieds nus, et son pantalon était complètement en lambeaux. Son manteau était presque tout usé. Son visage était couvert d’une barbe grise, et par-dessus tout il était aveugle.

            Lorsque j’ai vu ce pauvre vieil homme s’avancer vers moi, je me suis dit: «Tu sais, il a à peu près l’âge de mon papa.» Je me suis dit: «Combien le destin a été cruel à son égard! Cet homme n’a probablement jamais pris un bon et vrai repas dans sa vie.» J’ai placé mon pied à côté du sien pour voir si mes chaussures allaient lui convenir; j’avais l’intention de lui donner mes chaussures. J’ai considéré ses épaules, et il avait des épaules plus larges que les miennes; j’avais l’intention de lui donner ma veste. Elle–elle était trop petite.

            Alors je me suis dit: «Je ne peux pas lui donner mes chaussures; je ne peux pas lui donner ma veste.» Et je me souviens qu’il essayait de faire sortir un petit chapelet de sa poche pour réciter une prière. Et j’ai dit: «Frère, ce n’est pas nécessaire. Remettez cela dans votre poche.» Et l’interprète le lui a dit.

27        Et puis, lorsqu’il s’est avancé là... Ce qu’il fallait faire pour aider cet homme, vous deviez partager sa souffrance avec lui. La seule façon, c’est d’avoir toujours une bonne attitude. Soyez simplement gentil avec un animal, et vous le gagnerez. Combien plus vous devez être gentils, montrer de l’amour fraternel les uns envers les autres!

            Et je lui ai parlé, et de toute façon j’ai senti combien le diable est méchant. Cet homme avait probablement élevé une ribambelle de petits enfants dans sa vie, en travaillant là pour gagner quelques pesos, et en mangeant les petites tortillas que les touristes avaient jetées, faites peut-être à base de laitue, et de tout ce dont c’était constitué. Et mon coeur était brisé. Et ensuite, de penser que le diable le faisait tituber dans une obscurité totale... Et je ne pouvais rien faire de plus que serrer contre ma poitrine ce pauvre vieillard ridé. Et alors que je regardais, il ne comprenait pas un mot de ce que je disais.

            Mais j’ai dit: «Père céleste, aie pitié. Le diable l’a certainement maltraité, il lui a fait ceci, cet homme pour lequel Tu es mort.»

            Et pendant que je priais, j’ai entendu quelqu’un crier: «Gloria à Dios!» Et je l’ai retourné et ses yeux s’étaient ouverts. Il marchait sur l’estrade, criant et glorifiant Dieu. Qu’était-ce? La sympathie. L’amour avait... Il ne pouvait pas comprendre, mais il savait que je l’aimais. Dieu le savait.

28        Au sujet de bêtes sauvages beaucoup de gens m’ont dit: «N’avez-vous pas peur d’elles, Frère Branham?» Jamais. Je les aime.

            Il y a quelque temps... J’ai passé mes sept premières années de travail comme un agent de la conservation de la nature, un garde-chasse. Et une fois, alors que je voulais creuser un petit trou pour y mettre un peu d’eau afin de lâcher quelques poissons dans une rivière... Nous étions censés porter un petit pistolet. Et pendant que je traversais le champ, il y avait là-bas un homme malade que je connaissais... J’étais ministre à l’époque. Et j’allais là-bas pour visiter ce ministre qui avait... ou plutôt cet homme afin de prier pour lui.

            Et en route, j’ai simplement retiré ce vieux petit fusil, et je l’ai laissé dans la voiture, et j’ai fermé la portière, j’ai commencé à traverser ce champ, qui mesurait environ un kilomètre. J’avais oublié qu’il y avait un taureau meurtrier dans ce champ, qui venait de tuer un homme de couleur à la ferme Brook, et on l’avait vendu à monsieur Guernsey, là-bas dans le pâturage. C’était un taureau qui était bien connu, c’était une bête de race, mais c’était un meurtrier.

29        Et je traversais ce champ en chantant, et je suis passé à côté d’un petit bosquet d’arbrisseaux; et tout d’un coup ce grand taureau meurtrier s’est levé de ces arbrisseaux. Et il a regardé droit vers moi. Et quelle était ma première réaction? J’ai tendu la main pour prendre l’arme pour le tuer. Je n’avais pas de fusil. J’ai cherché la clôture, et elle se trouvait à environ trois cents yards [274 m]. Il se tenait à environ vingt ou trente yards [18 ou 27 m] de moi. Il n’y avait pas d’arbre, nulle part où aller, mais il fallait rester là et accepter sa mort. Alors j’ai dit: «Père céleste, je pense que ceci est la fin.»

            Et je suis heureux de ce que je n’avais pas le fusil. J’aurais alors tué le taureau, et alors je serais allé le payer. Mais je me suis tenu là, regardant cet animal; il a reculé, il a renâclé, il a planté ses cornes dans le sol, en agitant sa queue. Je savais qu’il se préparait à charger, et je me suis tenu là, et je l’ai regardé un moment, et quelque chose s’est produit. Je ne sais comment... Ceci pourrait sembler comme de la folie, mais toute peur m’avait quitté: lorsque l’amour vient, la peur se dissipe.

30        Et j’ai eu la même pensée que j’avais eue pour les abeilles. Je me suis dit: «Ça y est, ça recommence.» Et je lui ai dit: «Je suis le serviteur de Celui qui t’a créé. Et je vais là prier pour un de Ses enfants qui est malade. Je regrette de t’avoir dérangé, mais au Nom de Jésus-Christ, va te coucher et je ne te dérangerai plus.» Et le taureau a secoué ses cornes dans la poussière à deux ou trois reprises, et le voilà venir. Je n’avais pas peur, pas plus je n’en ai en ce moment même. Quelque chose s’est produit.

            Eh bien, ceci a l’air d’une rigolade, mais ce n’est pas dans cette intention-là. Ce n’est pas non plus une plaisanterie, car cette chaire sacrée n’est pas un endroit où faire des plaisanteries et des histoires, c’est un endroit destiné à l’Evangile. Et ce taureau, je l’ai aimé et j’ai regretté de l’avoir dérangé. Et il a chargé droit sur moi jusqu’à environ dix pieds [3 m], et il s’est arrêté les pattes en avant. Et il a regardé à droite et à gauche, il avait l’air très épuisé. Il a fait carrément demi-tour et il est allé là-bas, et il s’est couché. Et je suis passé à cinq pieds [1,5 m] de lui, et il n’a plus jamais bougé.

            Qu’est-ce? C’est l’amour. Et frère, peu importe combien nous essayons de bluffer, nous ne sommes rien sans l’amour. C’est juste.

31        Beaucoup parmi vous ont entendu parler de l’histoire de l’opossum. Léo et Gene, les jeunes gens qui enregistrent mes bandes, sont ici. A propos, je pense qu’ils sont...?... des bandes par ici. Ils ont toutes les bandes des réunions qui ont été tenues partout. Ils m’accompagnent et font les enregistrements, et les donnent aux gens, à un prix très légèrement supérieur à ce qu’ils doivent payer pour les avoir. Et ainsi, ceux qui ont des magnétophones peuvent avoir les bandes des messages de partout, et des lignes de prière.

            Et un matin, ils sont venus chez moi, ils s’appellent eux-mêmes mes étudiants. Et ils sont venus chez moi un matin l’été dernier, et il était environ dix heures du matin. Et j’avais le journal du soir, et je leur montrais une belle fille de couleur qui avait fait une chose horrible dans la ville. Elle avait donné naissance à un enfant illégitime; et ne voulant pas garder l’enfant, elle l’avait étouffé dans des couvertures, et elle l’avait enroulé avec un fil de fer, et elle avait demandé à un chauffeur de taxi pour qu’il l’amène à la rivière Ohio, afin de jeter le bébé dans la rivière. Le chauffeur de taxi a dénoncé la chose, et la gendarmerie maritime a repêché l’enfant et a arrêté la fille.

32        Et pendant que nous étions assis là sur la véranda, en train d’en parler par cette matinée chaude du mois de juin, monsieur Wood, un de mes amis, qui est mon voisin et sa femme, une vétérinaire... Pendant la journée il avait travaillé dans sa cour à l’aide d’un vieux râteau de jardin... Et je regardais là sur la route, et voilà venir un opossum, qui remontait la route comme ceci. Et j’habite la troisième maison en partant de la route, en partant des bois, et je suis le seul qui possède une clôture tout autour du presbytère; les autres cours ne sont pas clôturées. Et ce vieil opossum est venu droit vers ma barrière, il est entré.

            Eh bien, en étudiant la nature, l’opossum se déplace la nuit; ils sont aveugles le jour. Et alors j’ai dit: «Regardez cet opossum venir là, comment il se roule et se renverse. Il a probablement la rage. Il a été mordu par un renard ou un autre animal, et il a attrapé la rage. Je ferais mieux de l’arrêter avant qu’il arrive à la maison.»

            Et juste à ce moment-là le laitier est arrivé. Je suis sorti, j’ai pris le vieux râteau du jardin et je l’ai posé sur l’opossum. Et j’ai dit: «Et d’habitude lorsque vous les touchez, comme on dit, ils feignent la mort; il reste plutôt immobile.» Mais au lieu de faire cela, elle mordait le râteau.

33        Eh bien, j’ai alors remarqué, Léo et Gene sont sortis, ces jeunes gens que voici. Et j’ai remarqué que la patte gauche de l’opossum était enflée et avait triplé de volume; elle était brisée et elle la traînait. J’espère que je ne vous fais pas retourner l’estomac, mais elle était pourrie; et des mouches avaient pondu dessus plein d’asticots s’y étaient formés, et il clopinait. Et j’ai dit: «Oh! il est blessé. Soit les chiens lui ont brisé la patte, soit une voiture l’a cogné.» Et j’ai dit: «Il est mourant.» J’ai dit: «Il est probablement en train de livrer sa dernière bataille.»

            Et quelques voisins sont venus pour voir. Et madame Wood est l’un d’eux, elle s’est approchée, et pendant que je retenais l’opossum, j’ai remarqué que... L’opossum et le kangourou sont les seuls animaux qui ont des poches pour porter leurs petits. Et ils ont une poche, c’est une peau; cela recouvre les petits. Et ils les portent, et ils ouvrent cette poche.

            Ainsi, pendant que la mère opossum était sous ce râteau, elle a ouvert sa poche; et neuf tout petits bébés opossums d’environ cette longueur couraient tout autour sous ce râteau.

            Et j’ai dit à Léo et Gene: «Voilà, les garçons». J’ai dit: «Cet opossum est de loin plus une dame et une mère que cette femme qui a noyé son bébé. Elle a plus de moralité que cette femme.» J’ai dit: «Cette femme-là ne voulait pas de son bébé, mais cet opossum n’a pas peut-être plus de trente minutes à vivre. Mais elle donnera ces trente minutes ou perdra sa vie pour se battre pour ses petits. Voilà une vraie mère.»

34        Et ces femmes d’aujourd’hui font des avortements, et elles pratiquent le contrôle de naissance, et tout le reste; je ne comprends pas cela. Prendre ces petits bébés et les jeter dans des poubelles, et les mettre sur...?... les noyer dans des rivières, les jeter au feu. Ça, c’est plus bas qu’un animal. Un animal ne ferait pas cela.

            Et pendant que nous nous entretenions, cette pauvre mère opossum essayait encore de prendre ses petits. Et pendant que ces petits retournaient dans la poche, elle ne cessait de mordre le râteau. J’ai dit: «Observez, je vais la relâcher. Elle ne fera qu’une courte distance; elle est mourante. C’est ce qui la fait courir comme cela, c’est la mort, c’est ce qui la fait courir.» Et alors, lorsque j’ai retiré le râteau, elle est partie en direction de la maison en traînant cette patte. Et elle est allée droit jusqu’à mon perron, à côté du petit buisson à feuilles persistantes, et là elle s’est effondrée, elle s’est immobilisée.

            Je suis allé vers elle; je l’ai secouée, et elle n’a pas bougé. J’ai dit: «Je pense qu’elle est morte.» Et j’ai regardé, et tous ces petits bébés opossums essayaient de téter. Et j’ai dit: «Quelle pitié!» J’ai baissé le râteau et j’ai touché l’opossum; et j’ai vu encore cette sorte de petite grimace chez cet opossum. J’ai dit: «Non, elle est vivante.»

35        Et madame Wood a dit: «Frère Branham, maintenant, il n’y a qu’une seule chose à faire», c’est un médecin, une vétérinaire. Elle a dit: «Tuez cette pauvre mère. Ces petits ont une bouche ronde; on ne peut pas les élever. Et ensuite prenez simplement les petits et tuez-les rapidement pour qu’ils ne souffrent pas.»

            J’ai dit: «Je ne peux pas faire cela.»

            Et elle a dit: «Voulez-vous me dire que vous allez laisser cette mère étendue là et mourir, dans cet...?... et les pauvres petits opossums téter pendant environ quarante-huit heures et mourir dans cet état de...? Vous voulez dire que vous allez faire cela, Frère Branham?»

            J’ai dit: «Soeur Wood, vous avez peut-être raison. Mais je ne peux pas le faire. Elle m’a déjà montré quelque chose qui dépasse de loin ce que beaucoup de personnes ont. C’est une véritable mère.» J’ai dit: «Je ne peux pas tuer cette mère.»

            Elle a dit: «Eh bien, allez prendre votre fusil, et abattez-la donc, et abattez les petits.» Elle a dit: «Vous êtes un chasseur.»

            J’ai dit: «Je suis un chasseur, mais pas un meurtrier.» J’ai dit: «Je ne peux pas tuer cette mère.»

            Et elle a dit: «Vous allez la laisser étendue là sous ce soleil brûlant.» On a pris un peu d’eau et on a versé cela sur elle: elle paraissait morte.

36        Eh bien, je ne voulais pas les laisser la tuer. Gene et Léo sont partis. La vieille mère opossum est restée étendue toute la journée sous ce soleil brûlant, et elle était couverte de ces mouches vertes.

            La nuit tomba, et monsieur Wood a dit: «Eh bien, Billy, tu as travaillé dur toute la journée ici à prier pour les malades; je vais t’amener faire un petit tour en voiture. Alors il a pris sa femme, ma femme et moi, et nous avons fait un petit tour en voitures. Et en descendant une route de campagne, j’ai vu un petit chiot, quelqu’un l’avait abandonné sur la route. Et je suis sorti, et j’ai pris ce petit chiot. Et il était tellement couvert de gales et de poux que mes mains étaient couvertes de poux. J’ai arrangé un petit endroit dans ma voiture pour l’y mettre.

            Et ma femme a dit, elle a dit: «Billy, tu ne vas pas amener ce petit chien galeux.»

            J’ai dit: «Bien sûr. Il a droit à la vie.» Et nous sommes rentrés à la maison, j’ai prié pour lui. Il s’est rétabli, je l’ai lavé, et maintenant c’est un gros et beau colley. Il a droit à la vie. Je l’ai aimé.

37        Lorsque nous sommes rentrés à vingt-trois heures, ce pauvre opossum était toujours étendu là. Frère Wood, qui chasse avec moi, a dit: «Eh bien, vous savez bel et bien que si cet opossum devait partir, quand le soleil s’est couché, il serait parti.»

            J’ai dit: «C’est juste.»

            «Eh bien, a-t-il dit, veux-tu que je le tue?»

            J’ai dit: «Non.»

            Durant toute la nuit je n’arrivais pas à oublier cet opossum. Le lendemain matin de bonne heure, je suis sorti, comme je sortais, la petite Rebecca qui, je crois, va me remplacer un jour... Elle a eu sa première vision tout récemment. C’est une petite fille très sensible.

            Lorsque je suis sorti sur la véranda vers sept heures (le soleil se levait) pour voir s’il y avait quelqu’un là dehors. Et il n’y avait personne. Et aussitôt, la petite Rebecca se tenait à mes côtés. Elle a dit: «Papa, qu’en est-il de ce pauvre opossum. Toute la nuit je n’ai fait que rêver de lui.»

            Eh bien, je suis allé là, et l’opossum était étendu là, recouvert de rosée, et ses petits essayaient toujours de téter. «Oh! ai-je dit, il est probablement mort, chérie.»

            Elle a dit: «Papa, que vas-tu faire de ces petits bébés, vas-tu les tuer?»

            J’ai dit: «Non, chérie, je ne vais pas les tuer.» J’ai dit: «Rentre vite à la maison; il est trop tôt pour que tu sois débout.» J’ai dit: «Vas-y.» Elle était en pyjama. J’ai dit: «Rentre à la maison, chérie.»

38        Et je suis retourné à la porte latérale du cabinet de travail, et je me suis assis là, et je me suis mis à me frotter le visage comme ceci. J’ai dit: «Eh bien, aujourd’hui, me suis-je dit, je pense que je devrai prendre...» Ce n’est pas étonnant que ce pauvre opossum soit étendu là. J’ai entendu quelque chose dire ceci. Maintenant, on pourrait penser que je suis mentalement dérangé. Mais j’ai entendu Quelque Chose me parler. J’ai dit: «Qu’en est-il de ce pauvre opossum?»

            Et la voix a dit: «Tu t’es servi de lui comme sujet hier, disant qu’elle était une merveilleuse mère.»

            J’ai dit: «C’est vrai.»

            Et la voix a dit: «Et tu as enseigné, en tirant exemple d’elle, ce qu’est une véritable mère...»

            «Oui.»

            La voix a dit: «Je l’ai envoyée à ta porte, elle a attendu durant vingt-quatre heures son tour pour que tu pries pour elle, et tu n’as pas dit un seul mot.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, je ne...» J’ai dit: «A qui suis-je en train de parler?» Oh! j’ai dit: «Ai-je perdu la tête? Que s’est-il passé? A qui étais-je en train de parler?» Je me suis dit: «Cela devait être Dieu.» Je me suis dit: «Dieu se soucierait-Il de cet animal? Je savais qu’Il envoyait des gens. Mais je me souviens qu’Il a même dit que même un petit moineau ne peut tomber à terre sans que votre Père céleste le sache. Je sais qu’Il a parlé une fois à un homme par une mule, et bien des choses dans la Bible.»

39        Je suis sorti vers le pauvre opossum, là où il était couché. Et j’ai dit: «Père céleste, pardonne-moi. Si le... J’étais tellement pris par les occupations de la journée que je n’ai pas compris. Et si Tu as envoyé cet animal muet, qui n’a pas d’âme, mais qui a été conduit par l’instinct pour venir à ma porte afin que je prie pour lui, afin qu’il vive et élève ses petits, pardonne-moi, Seigneur. Et je Te prie au Nom de Jésus de le guérir.»

            Frère, soeur, lorsque je vous rencontrerai au Jugement, ceci retentira. La petite Becky se tenait là, en train de regarder. Cette pauvre mère opossum s’est levée, elle a pris ses neuf petits, elle a dressé aussitôt sa queue en l’air, elle a carrément descendu cette voie privée, aussi libre que possible. Lorsqu’elle est arrivée au bout de la route, elle s’est retournée. Et Becky m’avait entouré de ses bras, et j’avais entouré Becky de mes bras, et nous pleurions. Elle s’est retournée comme pour dire: «Merci, monsieur.» Et elle est entrée droit dans les bois, à ce que je sache, elle est heureuse avec ses petits là-bas dans les bois aujourd’hui.

40        Lorsque l’amour divin est projeté, et qu’il arrive à la fin de sa course, la grâce souveraine prend la relève et prend sa place. Frère, soeur, si Dieu... Cet opossum en savait plus sur la guérison divine que la moitié des prédicateurs de Phoenix. C’est juste.

            Elle avait assez de bon sens pour suivre la conduite de l’Esprit. Et si Dieu a pu envoyer un opossum par une grâce divine et l’amour divin pour protéger ses petits, combien plus se soucie-t-Il de vous et de moi ce soir, si nous Lui donnons tout l’amour de notre coeur, si nous Lui abandonnons notre volonté, et que nous Lui abandonnions tout! Il projettera vers nous Sa grâce souveraine, et celle-ci devra se manifester et apporter la guérison, si vous Lui donnez cet amour-là.

41        Le monde a besoin de voir davantage de cela. Le monde désire ardemment cela, de voir cet amour-là. Vous valez bien plus qu’un opossum. Vous valez bien plus que n’importe quel animal. Mais parfois Dieu peut traiter avec un animal, qui ne peut pas agir de lui-même, avant qu’il puisse aller vers un coeur de pierre qui est établi sur le libre arbitre, qui peut agir selon son désir. Inclinons la tête juste un moment.

            Ô Dieu, Toi qui as tant aimé le monde que Tu as donné Ton Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Eternelle... Nous Te rendons grâces et gloire, Toi qui sais toutes choses. Combien de récits pouvons-nous relater au sujet de Ton grand amour et de Ta grande grâce, que Tu nous as accordés. Et nous T’en remercions.

42        Et dans cette assistance ce soir, ô Dieu, que le pécheur, homme ou garçon, femme ou fille, qui a été divinement conduit dans cet endroit pour T’adorer ce soir, qu’ils sachent maintenant même que c’est Ton Esprit qui les a conduits ici, dans un seul but, celui de venir Te servir.

            Oh! parle à leur coeur maintenant. Et qu’ils envoient de leur coeur l’amour divin de Dieu en signe d’appréciation de ce que Tu les as conduits ici. Et la grâce répondra en envoyant un message, le message du salut du Seigneur: «Vos péchés pourraient être rouges comme le cramoisi, maintenant ils sont blancs comme la neige.» Accorde-le, Père, car nous le demandons en Son Nom.

43        Et pendant que nous avons incliné nos têtes dans la prière, je me demande ceci, mes amis: Pendant que nous parlions, ou soit avant que vous veniez à l’église, ou la semaine dernière ou le mois passé, l’année passée, quelque chose a-t-il parlé à votre coeur?

            Qu’est-ce qui vous a poussé, monsieur ou ma demoiselle, à venir à cette réunion ce soir? C’était le même Dieu qui a arrêté les animaux dans le champ. C’est le même qui a conduit la mère opossum, qui a posé tous ces actes qui sont l’amour. Dieu vous aime tellement, car Il vous a conduit à un endroit où vous pouvez L’accepter. Allez-vous le faire, sur base du Sang versé de Son Bien-Aimé Fils? Ce Dieu ne peut rien faire d’autre, mais c’est... Son grand amour L’a contraint à tel point qu’Il ne pouvait rien faire d’autre. La grâce a dû vous envoyer un Sauveur.

44        Et maintenant, si votre amour pour Dieu est le même que Son amour qui L’a poussé à envoyer Jésus, votre amour attirera Jésus à vous, et vous pouvez être sauvé. Si vous voulez accepter Christ et que l’on se souvienne de vous dans la prière, voulez-vous bien lever la main maintenant, partout en bas, et dire: «Par la grâce de Dieu je lève les mains et je dis: ‘Ô Dieu, conduis-moi à travers la vie et la mort, comme Tu conduis les autres, tel qu’on nous l’a dit ce soir.’» Que Dieu vous bénisse, monsieur. Y a-t-il quelqu’un d’autre en bas, voulez-vous lever la main? Que Dieu vous bénisse. Y a-t-il quelqu’un d’autre? Levez les mains rapidement. Chrétiens, priez, vous qui êtes... Que Dieu vous bénisse là derrière au fond, je vois votre main. Y a-t-il quelqu’un d’autre? «Je lève ma main.» Que Dieu te bénisse là-haut, fiston. C’est bon.

            En haut au balcon, à ma gauche. Levez... Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Y a-t-il quelqu’un d’autre? Que Dieu te bénisse, fiston. Y a-t-il quelqu’un au balcon derrière, voulez-vous lever vos mains et dire: «Frère Branham, priez pour moi. Je désire que Dieu m’aide.»? Que Dieu vous bénisse là derrière; je vois vos mains. Et Dieu les voit certainement. Que Dieu te bénisse ici, fiston. Que Dieu–que Dieu vous bénisse, soeur, certainement.

45        Au balcon à droite, levez la main, dites: «Frère Branham, priez pour moi. Je désire réellement avoir Christ.» Que Dieu te bénisse, jeune homme. Que Dieu te bénisse là-haut, encore un jeune homme. Que Dieu te bénisse par là, jeune homme. Que Dieu te bénisse. Très bien. Y a-t-il quelqu’un d’autre? Au fond derrière? Que Dieu vous bénisse là-haut, mon frère. C’est bon.

            Partout dans la salle, y a-t-il quelqu’un d’autre maintenant avant que nous–nous terminions? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Y a-t-il quelqu’un d’autre? C’est juste; levez la... Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu–Dieu vous bénisse, madame. Y a-t-il quelqu’un d’autre? «Je veux maintenant que Dieu...» Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse aussi, ainsi que vous. C’est juste.

            Vous direz: «Frère Branham, cela signifie-t-il quelque chose?» Certainement. Cela signifie la différence entre une séparation éternelle d’avec Dieu et rester éternellement dans la Présence de Dieu.

            Lorsque vous levez la main, cela signifie qu’il y a quelque chose en vous, vous avez la puissance en vous pour briser chaque loi de la science, pour briser, se libérer de la pesanteur. Et quelque chose en vous a fait un choix, et vous avez levé la main. Qu’est-ce que cela fait? Cela montre que vous acceptez l’amour divin de Christ. Quelque chose en vous vous a fait lever la main.

            Et la Bible dit... Que Dieu vous bénisse, madame. Oui. Que Dieu vous bénisse là derrière. Que Dieu vous bénisse, mes soeurs. Les jeunes filles espagnoles là au balcon derrière, je vous vois.

46        Qu’est-ce? Dieu vous a tant aimé. Son amour était tellement grand pour vous que Son amour a projeté un Sauveur pour vous. Il vous a tellement aimé qu’Il a donné Son Fils unique. Et voici le Saint-Esprit ici qui vous conduit. La Bible dit: «Nul ne peut venir à moi, a dit Jésus, si Mon Père ne l’attire premièrement.» Que Dieu vous bénisse, la dame espagnole assise ici.

            «Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique.» Ensuite que faites-vous? Quelque Chose en vous, Quelque Chose d’immortel dit: «C’est Moi qui parle ce soir, Mon enfant.»

            Et quand vous levez votre main, vous brisez chaque loi scientifique. «Oui, Père, je lève ma main pour montrer que je reconnais Ta voix. C’est Toi qui appelles.»

            Jésus a dit: «Tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi, et nul ne peut les arracher de Ma main. Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en Jugement, mais Il est passé de la mort à la Vie.»

47        Y a-t-il quelqu’un d’autre pendant que je fais le ratissage de l’assistance? Levez simplement vos mains vers Christ. Que Dieu vous bénisse là, frère. Que Dieu vous bénisse aussi.

            Très bien, ici en bas à gauche. Pouvons-nous maintenant faire le tour pour voir simplement quelqu’un d’autre qui n’a pas levé les mains. Que Dieu vous bénisse là, monsieur. Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est bon.

            Nous retournons de nouveau au balcon derrière, y a-t-il quelqu’un qui n’a pas levé sa main? Au balcon à gauche, nous allons ratisser encore une fois. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu soit avec vous. Quelqu’un d’autre? Très bien, juste ici en bas. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, madame, là-haut. Encore ici en bas, encore une fois à gauche maintenant. Que Dieu vous bénisse, et vous, et vous, oui, et vous, et vous, frère. Que Dieu vous bénisse tous. Oui. Quelqu’un d’autre qui pense juste–juste–juste ceci, si Dieu parle à votre coeur et dit... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

48        Pouvez-vous imaginer, mes frères, ces petites histoires qui sont des choses mineures, je pourrais vous raconter des choses que je sais qu’Il a accomplies et qui vous étonneront. Ma vie est une vie mystérieuse, c’est vrai. Les gens ne comprennent pas, mais cela est arrivé parce que je L’aime.

            Lorsque Dieu a jugé bon de reprendre ma femme, mon bébé, et tout ce que je possédais, les gens n’avaient jamais pensé à mon petit bébé lorsque je... Ma femme était un cadavre, et mon bébé était mourant, j’ai couru à l’hôpital et je me suis prosterné devant Dieu. J’ai dit: «Ô Dieu, ne prends pas ma petite chérie. Ne le fais pas, Seigneur.» Et j’ai regardé devant moi, et un rideau noir est descendu, j’ai compris qu’Il allait la prendre.

            Alors Satan m’a parlé, il a dit: «Là-bas dans la morgue est étendue ta femme, à vingt-trois ans. Voici ton bébé de neuf mois, et Il l’a pris. Tu veux dire que tu vas encore Le servir?»

            Alors j’ai baissé les yeux, j’ai dit: «Même s’Il me tue, je Le servirai quand même.» Car il s’était passé quelque chose ici au fond de moi qui faisait que je L’aime parce que la Bible dit: «Ni les choses présentes, ni les épreuves, rien ne peut nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Christ.»

            Même s’Il m’envoyait dans les lieux des tourments au jour du Jugement, Il sera toujours juste. Et si j’ai la pensée que j’ai maintenant, pendant que je serais en enfer, je L’aimerais toujours. C’est une partie de moi. C’est ce qu’il en est. C’est ce qu’il en est de vous, mes amis, qui aimez le Seigneur. C’est ce que je désire qu’Il soit, une partie de vous, l’amour. Maintenant, alors que nous inclinons la tête, prions.

49        Père céleste, je ne saurais pas combien dans cette assistance ont levé la main vers Toi. Qui sont-ils, Père? Ils sont les dons d’amour que Tu donnes à Ton Fils Jésus. «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire. Tout celui qui vient à Moi, Je lui donnerai la Vie Eternelle. Et nul ne peut les ravir de Ma main.» Ils sont les dons de l’amour de Dieu.

            Et, ô Seigneur Jésus, en tant que Ton ministre et Ton serviteur indigne et inutile, je Te donne maintenant le fruit de ce message. Tout celui qui a levé les mains, inscris son nom dans le Livre de Vie. Tu as promis de le faire, et de les ressusciter au dernier jour. Maintenant qu’ils T’ont accepté, qu’ils ont écouté Ta Parole, qu’ils ont cru en Toi, ils sont nés de nouveau et ils ont reçu la Vie Eternelle.

50        Maintenant, Dieu notre Père, je Te prie de les baptiser du Saint-Esprit dans le Corps de Christ comme des croyants. Envoie ces jeunes hommes et ces jeunes femmes dans le champ de mission, les vieux comme les jeunes. Oh! nous avons besoin de recrues pour cette grande armée. Et un jour Tu feras le dernier appel, et ce sera fini.

            Accorde, Seigneur, que tous ceux qui ont levé leurs mains ce soir, et beaucoup de ceux qui–qui auraient pu lever leurs mains peut-être et qui ne l’ont pas fait, je prie pour qu’ils soient Tes enfants, et que Tu sois avec eux dans leur vie. Et un jour, lorsque ma voix sur ce grand écran radar fera vibrer ce sermon à la fin du monde, que ce jour-là, sur ce grand écran, Tu voies leurs mains et que Tu reconnaisses leur nom. Accorde-le, Seigneur. Je Te confie cela, Seigneur, nous prions au Nom de Jésus. Amen.

            Que le Seigneur vous bénisse, mes chers amis. Vous savez ce que... Vous avez reçu la Vie Eternelle.

51        Maintenant, je vais voir si Billy a distribué des cartes de prière. S’il l’a fait, nous allons avoir une ligne de prière. Si nous ne le faisons pas, je vais faire un appel à l’autel maintenant. (As-tu distribué des cartes de prière? Oui, oui. Hein! Quelle série? La série H de 1 à 100, de 1 à 100.) Il a distribué des cartes de prière.

            J’aimerais vous demander une chose. Tous ceux qui ont levé la main... je ne sais pas combien de temps la ligne de prière va durer, mais voulez-vous faire ceci pour la gloire de Dieu. A la fin du service, j’aimerais que vous veniez directement ici pour offrir un mot de remerciement à Dieu pour vous avoir appelés.

            Vous savez, c’est l’une des choses les plus merveilleuses qui soient. Il y aura peut-être des cancers qui seront guéris, des sourds ou des muets, ou peut-être des infirmes qui marcheront; ce sera merveilleux. Mais cela ne sera jamais aussi merveilleux que ce que vous venez de recevoir. Les gens tomberont de nouveau malades, mais vous avez la Vie Eternelle.

            J’aimerais que vous veniez, que vous me promettiez et promettiez à Dieu, ou plutôt promettiez à Dieu et à moi, que vous viendrez faire une prière à la fin du service.

52        Maintenant, combien n’ont jamais assisté à une de mes réunions, faites voir la main? Il y en a beaucoup. Maintenant, j’aimerais que vous sachiez. Vous venez probablement de toutes les dénominations et églises. Mais ici nous ne représentons aucune dénomination, nous essayons seulement de représenter notre Seigneur béni, Celui que vous aimez, Celui que votre église prêche et dont elle parle. Nous n’essayons pas de faire de quiconque un disciple. Nous essayons seulement de vous amener à tomber profondément amoureux du Seigneur Jésus et à commencer à gagner des âmes pour Lui.

            Eh bien, dans la ligne de prière je ne prétends pas être un guérisseur ni avoir un quelconque pouvoir pour guérir quelqu’un, je ne crois pas non plus qu’il y ait quelqu’un qui a le pouvoir de guérir, à part Dieu. Je crois qu’il n’y a pas un hôpital, un médecin, une opération, ni quoi que ce soit qui ait déjà guéri quelqu’un. Je crois qu’un médecin est envoyé sur terre par Dieu. Je crois que les médecins, lorsque vous vous fracturez un bras, il peut remettre votre bras en place; il ne peut pas le guérir. Il peut le remettre en place alors que Dieu le guérit. Un médecin peut ôter une tumeur, ou un appendice, ou une dent, mais qui est-ce qui guérit l’endroit d’où cela a été ôté? Cela consiste à ôter une obstruction. Qui va guérir l’endroit? Dieu et Dieu seul.

53        Eh bien, le Seigneur voulant, nous allons commencer demain soir avec Dieu dans Sa Parole. Voyez? Et Dieu a dit dans Sa Parole: «Je suis l’Eternel qui guéris toutes tes maladies.»

            Et il n’y a jamais eu un médicament, il n’y a jamais eu une opération, il n’y a jamais eu un guérisseur divin, il n’y a jamais eu quiconque d’autre qui ait pu créer et former des cellules, à part Dieu seul. Le diable ne peut pas le faire. Le diable ne peut pas créer. Il peut seulement pervertir ce que Dieu a créé. C’est le diable qui vous donne la tumeur, il corrompt une cellule. Voyez-vous? Il ne peut pas créer une cellule. Il peut en corrompre une, s’il peut introduire sa vie dedans. Mais il ne peut rien créer.

            Alors je déclare que Dieu, pas moi... Mais la Bible dit que Dieu a établi dans l’Eglise des apôtres, des prophètes, des docteurs, des évangélistes et des pasteurs. Ils sont établis pour le perfectionnement de l’Eglise.

54        Eh bien, je ne suis pas un prédicateur, comme vous le savez. Et je le sais mieux que quiconque que je ne suis pas un prédicateur qui doit prêcher. Mon–mon travail, c’est de prier pour les enfants de Dieu malades par des visions que je reçois. Et c’est le travail du Seigneur Jésus. Prêcher, c’est le travail du Seigneur Jésus; les évangélistes, les pasteurs, tous font le travail du Seigneur Jésus. Nous avons beaucoup d’imitateurs, mais il y a également un véritable serviteur.

            Maintenant, remarquez. Lorsque Jésus était ici sur terre, prétendait-Il être un Guérisseur? Non, non. Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui habite en Moi.» Il a dit dans Saint Jean 5.19: (Pensez-y: c’est comme une poignée et deux douzaines d’oeufs, lorsque vous rentrerez chez vous lisez cela, le chapitre tout entier de Saint Jean.) «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.»

55        Un Juif est venu vers Lui, et Il a dit: «Eh bien, tu es un croyant. Voici cet Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Celui-ci a dit: «Quand m’as-Tu connu, Rabbi?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, Je t’ai vu sous l’arbre.» Combien savent que c’est vrai? Saint Jean 1. Certainement.

            Ce Juif-là a dit: «Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.»

            Il a dit: «Parce que Je t’ai dit ceci, tu crois.» Eh bien, c’était probablement à trente miles [48 km] de l’autre côté de la montagne qu’il l’avait trouvé le jour précédent, mais à présent il était ici. Il croyait.

            La femme au puits. Il est monté... Il était en route vers Jéricho qui est en bas par rapport à Jérusalem. Il fallait qu’Il passât par la Samarie, Il devait contourner la Samarie. Il a envoyé Ses disciples au loin. Une femme de mauvaise réputation est sortie pour puiser de l’eau. Il... Elle était une Samaritaine, elle n’était donc pas une Juive.

            Maintenant, souvenez-vous bien cependant que lorsqu’Il a fait cela devant les Juifs, les Juifs ont dit: «C’est le Messie, le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.»

56        Maintenant, voici venir une Samaritaine, et Jésus a dit: «Femme, apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs demandiez pareille chose à nous les Samaritains. Nous n’avons pas une telle coutume.» En d’autres termes, il y avait une ségrégation, comme dans le Sud, entre les Blancs et les hommes de couleur.

           

            Mais Jésus lui a fait comprendre qu’il n’y avait aucune différence lorsqu’on se trouve dans la Présence de Dieu. Il a dit: «Si tu savais à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.» Et la conversation s’est poursuivie pendant longtemps.

            Finalement, Jésus a découvert ce qu’était son problème. Le Père L’avait envoyé là-bas. Le Père m’a envoyé ici.

            Or, Il ne connaissait pas la femme, Il ne l’avait jamais vue. Mais Il était en train de contacter son esprit. Et Il lui a dit, lorsqu’Il a découvert son problème, Il lui a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est juste. Tu en as eu cinq, et celui avec lequel tu vis maintenant n’est pas ton mari. Donc en cela tu as dit vrai.»

            Ecoutez ce qu’a dit cette femme. Eh bien, elle était une Samaritaine, elle semblait être une croyante froide et formaliste. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit: «Nous savons (nous les Samaritains), nous savons que lorsque le Messie sera venu, Il fera cela. Il nous annoncera les choses à venir. Mais, a-t-elle dit, Toi, qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» Et elle est entrée dans la ville en courant. Elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie?» Si c’était le signe du Messie en ce jour-là, et la Bible dit dans Hébreux 13.8: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement», ça doit être le même signe du Messie ce soir.

57        Nous n’avons pas d’espace ou plutôt de temps pour parler davantage. Croyons.

            Dieu notre Père, je m’abandonne à Toi et Te confie ce service. J’ai longuement parlé de Toi. Parle, ô Dieu. Un seul mot de Ta part vaut plus que ce que je pourrais dire durant toute ma vie. Et que Ton Saint-Esprit parle ce soir et accomplisse ces choses que Tu as promises, et toute la gloire Te reviendra; nous prions au Nom de Christ. Amen.

            Maintenant... C’était quelle série? H. Très bien. Nous ne pourrons pas mettre debout trop de gens à la fois. La série H numéro 1, 2, 3, 4, 5. Alignez-vous tout simplement par ici maintenant. Maintenant, surveillez... Jetez un coup d’oeil chez vos voisins pour voir s’ils ont... S’ils peuvent entendre, jetez un coup d’oeil sur leurs cartes de prière pour voir où sont ces numéros. 5, 6, 7, 8, 9, 10, alignez-les... Pendant qu’ils viennent prions pour ces mouchoirs.

58        Dieu Tout-Puissant, en Qui nous croyons et nous nous confions. Que Ta miséricorde pleuve sur ces mouchoirs. Opère de grands miracles et prodiges en guérissant les malades. Je les envoie aux malades et aux nécessiteux au Nom de Ton Bien-Aimé Fils, le Seigneur Jésus, qui nous a tant aimés. Amen.

            Eh bien, certains parmi vous oignent les mouchoirs, et–mais si vous remarquez dans la Bible... Actes 19, Paul ne les oignait pas. C’est très bien. Les oindre, c’est OK. Mais Paul n’oignait pas les mouchoirs; les gens utilisaient des linges et des mouchoirs qui avaient touché son corps.

            Très bien. Ai-je dit 5? 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15. H–H-1 jusqu’à H-15, que ces gens entrent dans la ligne. Et maintenant, j’aimerais... Pendant qu’ils viennent, j’aimerais que vous regardiez dans cette direction. Très bien. Et si le... certains d’entre eux vont descendre, ou... Je pense que certains les aident.

59        Maintenant, j’aimerais vous demander quelque chose: si le Seigneur Jésus, de l’amour de–de Qui nous avons parlé, Qui a aimé des animaux, Qui a aimé les hommes, Qui vous aime dans votre péché, Qui vous aime dans vos différences, Celui qui vous aime dans votre maladie... Si la Bible dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, s’Il vient sur cet estrade au milieu de ces gens et qu’Il reproduit Sa Vie par les mêmes oeuvres qu’il faisait lorsqu’Il était sur terre, allez-vous L’accepter d’un commun accord pour tout ce dont vous avez besoin? Allez-vous le faire, partout?

            Maintenant, vous les petits enfants qui êtes fraîchement venus à Christ ce soir, voyez si vous servez ou si vous avez accepté un Christ mort ou un Christ vivant. Il est vivant à jamais.

            Et maintenant, voyons voir. Alignent-ils encore les gens? Très bien. Très bien, juste une minute en attendant de voir que ça s’est calmé par ici.

60        Combien n’ont pas de cartes de prière? Faites voir vos mains. Très bien. Regardez et vivez, regardez et... Est-ce que la Bible dit... Dans la Bible, quand Jésus traversait un groupe de gens et qu’une petite femme a touché Son vêtement, Il s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?»...

            Or, nous savons que le vêtement palestinien est ample, et il comporte un vêtement de dessous. Et Il aurait pu la toucher d’une manière physique, ou plutôt sa–senti physiquement le toucher de cette femme. Elle a touché Son vêtement, et elle est retournée se tenir quelque part dans la foule. Jésus s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?»

            Pierre L’a repris, Il a dit: «C’est toute la foule qui Te touche. Pourquoi dis-Tu: ‘Qui M’a touché?’»

            Ils ont tous nié. Elle a nié elle aussi, mais Jésus était revêtu d’une puissance. Alors Il a regardé tout autour jusqu’à ce qu’Il a trouvé ce qui n’allait pas. Il a trouvé la petite femme, et Il a dit: «Ta foi t’a sauvée.» Est-ce juste?

            Eh bien, est-Il le même hier, aujourd’hui et éternellement? La Bible dit-Elle qu’Il est maintenant même un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités? Alors regardez et vivez. Croyez en Lui, ensuite laissez-Le confirmer cela.

61        Maintenant, Il n’a pas d’autres mains sur terre, sinon les miennes et les vôtres. Il n’a pas d’autres yeux, sinon les miens et les vôtres. Il n’a pas d’autre bouche, sinon la mienne et la vôtre. Mais Il veut que nous Lui abandonnions ce que nous possédons comme des sarments, et Il est le Cep qui donne l’énergie. Le cep ne porte pas de fruit, n’est-ce pas? Ce sont les sarments qui portent les fruits. Il a dit: «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.»

            Maintenant, nous devons porter les fruits de Son ministère jusqu’à ce qu’Il vienne. La Bible dit, c’est Jésus qui le dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. (C’est-à-dire lorsqu’Il est parti dans Son corps physique; les gens n’en sauraient plus rien du tout, eh bien, ça c’est le monde.) Le monde ne Me verra plus du tout (C’est fini.) Mais vous, vous Me verrez. («Vous», c’est le croyant). Car Je serai avec vous (Pendant combien de temps?) jusqu’à la fin du monde.» Est-ce juste? «Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Eh bien, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Soyons respectueux et prions. Maintenant...

62        Maintenant, s’il vous plaît, je vais vous demander pendant quelques instants, disons peut-être quinze minutes. Si vous voulez bien rester très calmes. Maintenant, nous avons entendu le message. Les pécheurs ont accepté Christ. Nous avons certainement trouvé grâce à Ses yeux.

            Maintenant, qu’y a-t-il ensuite, Frère Branham? Très bien. C’est Dieu qui, partout, conduisait ces pécheurs vers Lui. C’est Dieu. Maintenant... «Que faites-vous maintenant, Frère Branham?» Je m’abandonne à l’Esprit par un don divin. Je–je m’abandonne tout simplement à Son Esprit; Il prend le contrôle. C’est Lui qui travaille, pas moi. Ce ne sont pas mes propres paroles que je prononce. C’est peut-être ma voix, mais c’est Sa puissance qui parle à travers cette voix. C’est juste comme la mule, ou les prophètes, ou tout ce dont Dieu prend le contrôle. Il utilise cela.

63        Maintenant, voici un homme. Approchez, monsieur. Maintenant, voici un homme qui se tient ici ce soir, et à ce que je sache, nous sommes tous des inconnus l’un pour l’autre. Si c’est juste, levez la main.

            Eh bien, je ne connais pas cet homme. Il ne me connaît pas. Si je venais ici et que je disais: «Je vais poser mes mains sur vous. Alléluia! Vous allez guérir.»

            Eh bien, il a en quelque sorte le droit de dire: «Eh bien, j’espère que je vais être guéri.» Vous voyez?

            Mais si je dis: «Oh! encore six mois, vous avez besoin d’argent. C’est ce que vous venez demander à Dieu. Vous avez une petite famille qui meurt de faim, et vous avez besoin d’argent. Après demain vous aurez cela.»

            Eh bien, il aura le droit de dire: «Bien, je–peut-être que j’aurai cela.»

            Ou bien, s’il désire que l’on prie pour quelqu’un d’autre. «Oh! ils obtiendront cela.» Il aura le droit d’en douter un peu. Mais si le Saint-Esprit descend dans sa vie, comme Il a fait avec Philippe...

64        Bon, cet homme pourrait être un critiqueur. Il pourrait être un infidèle. Il pourrait être un chrétien. Je ne sais pas. Je n’ai jamais vu cet homme. Mais quoi qu’il soit, écoutez ce que le Saint-Esprit dira à son sujet.

            Et puis, si le Saint-Esprit lui révèle quelque chose qui a été, il saura certainement si c’est vrai ou pas. Si donc Il lui révèle ce qui a été, il aura la foi pour croire ce qui sera. Est-ce juste? Alors il en sera le juge. Et ce sera tout simplement la même chose que Jésus a faite lorsqu’Il était ici sur terre.

            Maintenant écoutez, c’est un homme. Il y eut un homme qui vint vers le Seigneur Jésus, un homme bon. Et Jésus a dit: «Voici un Israélite.» Or, les gens s’habillaient tous de la même manière. Il pouvait ne pas être un Israélite. Il pouvait être un Grec ou quelque chose d’autre. Mais Jésus savait qu’il était un Israélite, un homme bon, honnête. Et cela l’a un peu surpris. Il a dit: «Quand m’as-Tu connu, Rabbi (ou Révérend, Docteur)?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Quels yeux! A trente miles [48 km], de l’autre côté de la montagne, le jour précédent. C’était la première fois qu’Il le voyait.

            Et cet homme L’a regardé et a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu.»

            Jésus a dit: «Parce que Je t’ai dit cela...» Voyez, c’était le signe du Messie.

65        Maintenant, je ne sais pas s’Il le fera ou pas. Je ne saurais le dire. Cela dépend de Dieu seul. Mais soyez respectueux, s’il vous plaît, et nous avons confiance que Dieu le fera. Et, pensez-y, s’Il le fait vraiment, eh bien, cela devrait électriser cette ville.

            Comment pouvons-nous rester assis là si empesés et l’air égaré, sachant bien que le Christ vivant est parmi nous. Cela montre qu’il y a quelque chose qui cloche. C’est juste. Maintenant, soyez très respectueux. Je vais parler à cet homme.

            Maintenant, monsieur, je vois que vous portez un insigne qui dit: «Ouvrier indépendant.» Très bien. Maintenant, si nous ne nous connaissons pas et que le Seigneur Jésus me révèle ce que vous êtes venu Lui demander... Venir me demander quelque chose ne servirait pas à grand-chose, parce que j’ai... S’il s’agit de l’argent. Je pourrais avoir deux ou trois dollars à vous remettre, mais je le ferai si vous en avez besoin. Je vous donnerais tout ce que j’ai, si je pouvais vous aider.

            Mais si vous avez besoin de la guérison ou de quelque chose d’autre, ça pourrait être quelque chose que je ne pourrais pas faire pour vous. Mais vous savez ce que vous désirez. Et si vous savez ce que vous désirez et ce dont vous avez besoin, Il est en mesure de me le dire comme Il l’avait dit à la femme au puits. Est-ce juste? S’Il le fait, allez-vous l’accepter? L’assistance va-t-elle accepter cela et croire?

66        Maintenant, voici le moment où je serai trouvé soit véridique soit menteur. Voyez? Soit c’est la vérité, soit ce–c’est un mensonge. Et, souvenez-vous, ce n’est pas quelque chose que je peux faire de moi-même, c’est Dieu qui permet que cela soit fait, et vous le savez tous, par un don divin. Puisse-t-Il accorder cela.

            Maintenant, soyez simplement tranquille. Ne vous déplacez pas. Voyez? Une fois que l’Esprit s’empare... Chacun de vous est un esprit. Vous savez cela. Et si vous ne l’étiez pas vous seriez mort. C’est donc votre esprit (Vous voyez?) que je saisis. Et lorsque cela touche... Priez simplement, s’il vous plaît... Restez simplement tranquille. Ne vous déplacez pas; priez simplement, et dites: «Ô Dieu, aie pitié de moi.» Observez ce qu’Il fera pour vous ce soir partout dans l’assistance, les amis... Est-ce juste? Cela se produit beaucoup plus dans l’assistance qu’ici sur l’estrade.

            Beaucoup de gens ne disent même rien au sujet de leurs lettres qui affluent et tout, comment ils vont chez des médecins, et tout, comment ils viennent; et la maladie n’est plus. Voyez? Ayez simplement la foi: croyez.

67        Maintenant, si je pouvais vous aider et que je refusais de le faire, je serais une personne cruelle. Mais je ne peux pas vous aider, mais Dieu peut vous aider. Si Dieu me révèle ce que vous attendez de Lui, allez-vous alors croire en Lui, allez-vous croire que je suis Son serviteur?

            Si l’assistance entend encore ma voix, je vois cet homme en train de marcher; c’est dans la salle. Et son problème se trouve ici tout près de ses yeux ou à la tête. C’est un–c’est la sinusite. Je le vois se frotter un peu comme ceci de ce côté, la sinusite. Et vous avez un problème dans l’un de vos côtés. C’est juste. Vous avez subi une opération. Et c’est cette opération qui a fait que votre côté soit comme cela. C’est juste. Maintenant, est-ce que vous croyez? Est-ce la vérité? Est-ce que vous croyez? Alors prions.

            Bienveillant Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus, je Te prie de répandre Ta miséricorde pour cet homme par le Saint-Esprit, et qu’il soit guéri au Nom de Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. C’est fini maintenant, partez en vous réjouissant, et soyez heureux.

68        Bonsoir, madame. Je serais un hypocrite de me tenir ici devant cette chaire sacrée, si je pouvais vous aider, vous savez que je le ferais volontiers. Voyant que vos cheveux grisonnent, vos mains ont probablement travaillé pendant bien des jours, et vous voici debout ici ce soir, désirant quelque chose de la part de Dieu. Si je pouvais vous aider, je le ferais. Mais tout ce que je peux faire, c’est prêcher la Parole du mieux que je peux, et puis vous aider si possible par un don divin.

            Je vous vois à la maison ou quelque part, et vous apprêtez une table. C’est quelque chose qui se passe quand vous mangez. C’est votre estomac. Vous souffrez de l’estomac. C’est juste. Et puis, vous avez une grosseur: cette grosseur se trouve dans le côté. C’est juste, n’est-ce pas? Levez la main si c’est juste. Eh bien, Il vous connaît, et vous savez que moi, je ne vous connais pas. Croyez-vous qu’Il vous guérira si je le Lui demandais? Il y a ici Quelque Chose qui m’oint. Vous le savez, je... Vous le savez. Que pensez-vous que c’est? Pensez-vous que c’est Dieu? Eh bien, et puis Dieu a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Le croyez-vous?

            Notre Père céleste, j’impose les mains à cette femme et je demande qu’elle soit guérie au Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, partez en croyant. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur maintenant. Que Dieu vous bénisse, soeur.

69        Qu’en pensez-vous? Vous qui êtes assis là, en train de prier, n’est-ce pas? Si je vous disais la chose pour laquelle vous priez, allez-vous croire que je suis le prophète de Dieu? C’est au sujet de votre dos. C’est juste, n’est-ce pas? Si c’est juste, levez la main. Très bien. C’est fini maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous et être guéri. Votre foi a touché Quelque Chose, n’est-ce pas? Elle a touché Christ. Maintenant, ayez la foi et croyez.

            Je demande à cette assistance, au Nom de Christ, de regarder dans cette direction et de croire au Seigneur Jésus-Christ. Regardez simplement et vivez. Ne doutez pas, mais ayez la foi.

            Très bien, jeune dame, étant donné que vous êtes assise là en train de prier comme cela, parce que j’ai parlé de son dos, vous souffrez aussi du dos. C’est juste. C’est juste. Vous avez aussi la sinusite. C’est vrai, n’est-ce pas? Vous êtes juste là en train de prier, disant: «Seigneur, que ce soit moi ce soir.» Est-ce juste? Très bien, vous l’avez reçu maintenant. Vous L’avez touché.

            Voyez-vous ce que je veux dire? Regardez et croyez. La Bible dit: «Regardez et croyez.» Est-ce que vous croyez?

70        Que pensez-vous, vous qui êtes assis là, ayant votre main sur...? Est-ce que vous croyez? Vous étiez aussi en train de prier, n’est-ce pas? Croyez-vous que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, m’a envoyé faire ceci? Le croyez-vous? Très bien. Vous avez une maladie de la peau, n’est-ce pas? Si c’est vrai, levez la main. Croyez-vous que vous êtes guéri? Très bien. Rentrez chez vous et soyez alors guéri au Nom de Christ. Est-ce que vous croyez?

            Bon, madame, je crois que je suis un inconnu pour vous. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue. Mais Dieu vous connaît. Pas vrai? Un homme par ici...?... Très bien, ayez maintenant la foi. Si Dieu me révèle pourquoi vous êtes ici, allez-vous croire cela? Maintenant, vous voyez, la raison pour laquelle vous ne... Je pourrais vous parler pendant un long moment. Plus je parle, Il pourrait continuer à me révéler des choses; et plus je parle, plus Il me montre des choses. Voyez-vous? Mais quand j’entre en contact avec votre esprit (Voyez-vous?), c’est ce qui produit cela.

            Vous avez été malade cette semaine, n’est-ce pas? Franchement, vous étiez alitée pendant toute la semaine. C’est juste. Vous avez eu des hémorragies. C’est juste. Vous avez une colite dans les intestins, n’est-ce pas? Vous vous appelez Madame Reynolds, n’est-ce pas? Oui, oui. Vous habitez au 2010 de la rue Henshaw. Maintenant, rentrez là-bas, soyez guérie et rétablie au Nom du Seigneur Jésus. Si tu peux croire, tout est possible.

71        Très bien, madame. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue, je ne sais rien à votre sujet; mais il y a ici Quelqu’Un qui vous connaît bien. S’Il se manifeste, allez-vous croire en Sa résurrection? Eh bien, écoutez. Vous êtes consciente que quelque chose est en train de se passer, n’est-ce pas? Et vous savez que vous ne vous sentiriez pas ainsi du fait que moi, je me tiens ici. C’est cette Lumière qui s’est arrêtée sur vous. Voyez, c’est ce qui fait que vous...?...

            Eh bien, vous souffrez d’une extrême nervosité, cela est dû à cette période de la vie que vous traversez. Et vous avez quelque chose qui ne va pas dans votre poitrine, vous avez quelque chose qui ne va pas dans votre estomac. C’est juste. Et vous avez une grosseur sur votre jambe, ça ressemble à un nodule. C’est juste. Maintenant, croyez-vous que je suis Son prophète, je veux dire, Son serviteur? Ce mot achoppe les gens. Est-ce que vous croyez? Alors je... Il vous aidera certainement. Oui.

            Vous avez quelqu’un d’autre pour qui vous priez. Et c’est votre petit enfant, votre petite-fille, votre petite-fille. Et elle a une grosseur au genou. Et elle n’habite pas cette contrée. Elle habite une région plane de l’est. C’est dans l’Ohio. C’est l’exacte vérité. Un instant, un instant, madame!

72        L’homme assis juste ici, le missionnaire, le prédicateur, sa femme est assise à côté de lui, en train de prier pour un mal de tête. Il y a quelque chose au sujet de l’Ohio qui vous concerne. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue. Mais c’est quelqu’un qui vous est proche qui a été guéri de la tuberculose au cours de mes services dans l’Ohio. C’est un petit garçon, et on avait prié pour sa mère pour le même cas. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Très bien, poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Vous pouvez obtenir ce que vous avez demandé, madame. Que Dieu ait pitié de vous. Oh! croyez-vous maintenant?

            Maintenant, monsieur, je ne vous connais pas, vous le savez bien. Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît bien. Donnez-moi la main un instant. Vous avez des ulcères. C’est juste. C’est correct. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Le croyez-vous? Vous faites quelque chose qui aggrave ces ulcères. Le tabac vous ruinera, cela rendra votre état pire que jamais. Croyez-vous que Dieu vous débarrassera de cette cigarette et fera de vous... Allez-vous abandonner cette cigarette et votre vie à Christ, maintenant même? Allez-vous le faire? Que le Dieu du Ciel ôte donc l’iniquité de cet homme et le guérisse au Nom de Jésus-Christ. Amen. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, monsieur. Allez adhérer à une très bonne église et faites...

73        Ne vous déplacez pas, mes amis. Restez tranquillement assis. Voyez? Quelque chose s’est produit. J’ai vu un hôpital. C’est une vieille femme, et elle est dans un–un hôpital psychiatrique. C’est la mère de cette femme qui est assise juste là. Elle prie pour sa mère qui est dans un... Croyez-vous que Dieu va la guérir? Que le Seigneur vous l’accorde, soeur.

            Dieu peut guérir le cancer, n’importe quelle autre maladie et vous rétablir. Croyez-vous qu’Il peut ôter de vous ce cancer? Alors je condamne cela, au Nom de Jésus-Christ que cela vous quitte. Amen. Ayez foi en Dieu.

            Bonsoir, monsieur. Ces heures fatigantes pendant lesquelles vous toussez, l’asthme est une chose horrible. Mais croyez-vous que Jésus-Christ peut vous guérir? Est-ce que vous croyez? Notre Père céleste, je bénis cet homme au Nom de Jésus-Christ; qu’il soit guéri. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Partez, et soyez guéri.

            Ma soeur, Dieu peut guérir ce trouble cardiaque autant que n’importe quoi d’autre. Croyez-vous qu’Il va vous guérir de ce trouble cardiaque si je le Lui demande? Votre problème, c’est un coeur qui palpite. Cela empire lorsque vous vous couchez. Voyez-vous? Je vous vois couchée, vous étouffez; en fait ce sont des gaz, parce que cela remonte et presse le coeur. Ô Dieu du Ciel, calme les nerfs de cette pauvre petite femme et guéris-la au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Ayez la foi maintenant.

            C’est étrange, lorsque je lui ai dit cela, quelque chose vous est arrivé, n’est-ce pas? C’est la même chose. Vous étiez toutes les deux guéries au même moment. Alors quittez simplement l’estrade en vous réjouissant, en disant: «Grâces soient rendues à Dieu!»

74        Approchez, madame. Cette dame qui vient, une ombre noire la suit, l’ombre de la mort, c’est le cancer. Croyez-vous que Dieu va vous guérir, madame, et vous rétablir?

            Notre Bienveillant Père céleste, alors que ma propre force est en train de s’en aller, je prie pour cette femme. Oh! si Tu as pu guérir un opossum, à combien plus forte raison peux-Tu guérir cette sainte! Je condamne cet esprit de la mort qui est sur elle, et je demande qu’elle vive au Nom de Jésus. Amen. Partez, soyez heureuse, soeur, réjouissez-vous.

            Vous avez un problème d’estomac, vous êtes nerveuse. Cela vous plonge dans une sorte d’angoisse, le renvoi de la nourriture et tout ce qui entre dans votre estomac. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Allez-vous maintenant L’accepter comme votre Guérisseur? Ô Eternel Dieu, au Nom de Jésus-Christ, je condamne ce démon qui fait du mal à ma soeur, et je demande qu’il la quitte au Nom de Christ! Amen.

            Ayez foi en Dieu. Est-ce que tout le monde croit? Croyez-vous de tout votre coeur? Oh! ceci peut arriver heure après heure. Mais qu’est-ce que cela confirme? Jésus-Christ est vivant. Jésus est ici.

75        Qu’en pensez-vous, la jeune dame en train de me regarder, là, souffrant d’un problème gynécologique, juste là au fond de l’auditoire? Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Le croyez-vous de tout votre coeur? Si vous le croyez, très bien, vous pouvez l’obtenir. Très bien. Que le Seigneur vous bénisse.

            Qu’en pensez-vous, vous autres. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu vous guérira maintenant? Je vous assure, mon ami, regardez ici. Je suis tellement faible que j’arrive à peine à me tenir debout ici. Je... Et toute la salle semble simplement être comme un–un... Je sais que vous n’allez pas me traiter de fanatique; vous ne le ferez certainement pas.

            Si en touchant Son vêtement une petite femme a fait sortir de Lui la vertu, qu’en serait-il (et c’était le Fils de Dieu), qu’en serait-il de moi un pécheur sauvé par grâce? Et qu’est-ce qui produit ces visions? Ce n’est pas moi, c’est vous. C’est votre foi qui Le touche, et Lui répond. Est-ce que vous comprenez? Croyez-vous qu’Il est vivant? Croyez-vous qu’Il est ici pour vous guérir? Alors pourquoi ne pas L’accepter?

76        Je me demande ici même pendant que nous nous tenons ici, combien parmi vous sont convaincus que le Seigneur Jésus est ici? Levez la main. Maintenant, je vais demander à ceux... Une minute, pendant que nous arrêtons la ligne une minute. Ceux qui ont levé la main, de même que ceux qui n’ont pas levé la main, j’aimerais que vous veniez ici juste une minute. Pendant que l’onction est ici sur moi, je–je–j’aimerais que vous veniez ici. J’aimerais que vous veniez ici, juste... J’aimerais prier pour vous. Vous les pécheurs, qui avez levé la main, j’aimerais que vous veniez. Les pécheurs qui viennent et qui cherchent le salut... J’aimerais que vous veniez à l’autel juste ici maintenant. Descendez des balcons, tout le monde. Voulez-vous venir maintenant même. J’aimerais que vous vous teniez ici pendant que nous prions pour votre âme, ce qui vaut de loin plus que votre guérison physique. Ne voulez-vous pas venir?

77        Que Dieu bénisse ce pauvre vieillard qui s’avance sur des béquilles. Monsieur, venez Lui donner votre coeur; vous pourrez vous en aller sans vos béquilles. «Cherchez premièrement le Royaume de...»

Et Tu m’invites à venir à Toi,

Ô Agneau de Dieu, je...

            Ce qui est–c’est juste. Descendez directement des balcons. Venez directement ici maintenant. Vous direz: «Frère Branham, pourquoi arrêtez-vous la ligne de prière plus tôt?» Parce que je cherche les perdus. C’est ça. Je veux que vous veniez maintenant. Descendez carrément. C’est juste, faites-les passer là derrière. Descendez directement et tenez-vous ici une minute. Je voudrais m’approcher là pour prier avec vous. C’est ça. Descendez directement dans cette direction. Avancez juste ici.

... Sang qui a été versé pour moi,

Et Tu m’invites à venir à Toi,

Ô Agneau... je viens! je viens!

78        Très bien, vous les rétrogrades, j’attends que le Saint-Esprit vous conduise ici.

            J’ai vu une jeune fille de couleur descendre, se tenir ici. Elle porte une petite robe rouge, avec un petit ruban blanc dans ses cheveux. Autrefois une petite fille avait été emmenée en captivité. Et elle a dit à son maître: «Oh! si vous étiez dans mon pays. Il y a là un prophète qui peut te rétablir et te guérir de cette lèpre.» Le témoignage que cette petite fille a rendu de sa foi dans le prophète a fait qu’une histoire immortelle soit écrite dans la Bible.

            Voulez-vous simplement descendre maintenant? Venez carrément, vous qui avez besoin de Christ. Vous qui avez un besoin spirituel de Christ, ne voulez-vous pas venir? Je crois qu’il y a plus de mains que ceci qui s’étaient levées. Je veux que vous veniez carrément. Ne voulez-vous pas le faire? Je vous persuade maintenant.

79        Il y a quelque temps... Vous avez peut-être entendu cette petite histoire. Il y a quelque temps de cela. Il y avait un homme qui comparaissait en jugement, il était jugé. Pendant qu’il était jugé, il a dit au juge... Le juge l’a trouvé coupable et a dit: «Je te condamne à la pendaison, jusqu’à ce que mort–mort s’en suive.»

            Et cet homme s’est précipité, il a dit: «Juge, ne me reconnaissez-vous pas?»

            Ce dernier a dit: «Non, je ne te reconnais pas.»

            Il a dit: «Un jour, lorsque j’étais un petit garçon, j’étais couché dans une charrette. Vous étiez alors un jeune homme, juge. Quelqu’un a tiré un coup de feu dans la rue. Les chevaux se sont emballés et ils allaient se précipiter du haut d’une grande falaise. Et vous avez couru jusque devant ces chevaux, et vous les avez arrêtés, et vous vous êtes écorché les pieds, jusqu’à ce que vous avez arrêté ces chevaux et vous m’avez sauvé la vie.» Il a dit: «Juge, je suis ce garçon-là. Sauvez-moi encore, juge.»

            Il a dit: «Jeune homme, ce jour-là j’étais votre sauveur. Aujourd’hui je suis votre juge.» Il se pourrait que cela vous soit dit. Ce soir, Il est votre Sauveur, le matin Il pourrait être votre Juge. Ne voulez-vous pas venir pendant que nous chantons encore une fois?

Tel que je suis, et je n’attends pas,

Pour débarrasser mon âme d’une tache sombre,

A Lui, dont le Sang... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

80        Et vous êtes ici pour rendre grâces à Dieu pour Sa bonté envers vous. Maintenant, nous allons incliner la tête partout dans la salle pour prier.

            Père miséricordieux, sois bienveillant maintenant. Et je prie pour chacun de ces gens qui se tiennent ici, afin qu’ils soient touchés par Ta puissance divine. Je Te prie de leur accorder le pardon de tous leurs péchés. Accorde-le, Seigneur, je sais que Tu l’accorderas. Tu as promis que Tu le ferais.

            Et maintenant nous les présentons à Christ, parce que Dieu les a appelés à cet autel de la repentance, et ils ont accepté Jésus comme leur Sauveur personnel. Et ils se tiennent ici comme un témoignage pour ces gens, montrant qu’ils ont accepté Christ comme leur Sauveur personnel.

            Maintenant, ô Dieu, je Te prie de les baptiser dans le Corps du Seigneur Jésus par le baptême du Saint-Esprit. Et Tes serviteurs expérimentés que voici les ont instruits, eux qui peuvent se tenir ici et leur faire comprendre cette grande révélation... Je prie pour qu’ils reçoivent le Saint-Esprit ce soir. Accorde-le, Seigneur. Bénis tous ceux qui sont dans Ta Présence divine.

81        Cette dame qui se tient ici attendant sa guérison, je lui impose les mains et je Te demande de la guérir au Nom de Christ. Je Te demande de guérir chacun d’eux, tous ceux qui sont ici, chaque malade.

            Oh! Satan, tu sais que tu vas perdre la bataille. Christ t’a vaincu au Calvaire. Tu n’as aucune puissance, tu as été dépouillé de tout ce que tu avais. Tout ce que tu es n’est qu’un grand bluff, et nous te démasquons dans ce bluff au Nom de Jésus-Christ. Sors de cette salle! Sors de ces gens et pars d’ici! Et que l’esprit de doute et de superstition quitte cette salle, car le Dieu des Cieux qui a ressuscité Son Fils Jésus-Christ, qui est présent en ce moment même pour guérir chaque malade et déverser le baptême du Saint-Esprit sur les gens... Accorde-le, ô Dieu, au Nom de Jésus.

82        Maintenant, pendant que nous avons la tête inclinée, que tout le monde est en train de prier, croyant... Maintenant, vous ici qui cherchez le Saint-Esprit, j’aimerais que vous leviez la main. Levez les mains si vous désirez que Dieu vous remplisse du Saint-Esprit. Que tous ceux qui désirent le baptême du Saint-Esprit lèvent la main.

            Maintenant, je suis fatigué, je suis faible et épuisé, je vais demander à notre frère Ballard, un ministre chrétien, de continuer cette prière. Vous les ouvriers indépendants, imposez maintenant les mains à ces gens. Imposez-leur les mains. Que quelqu’un là-bas qui a le Saint-Esprit impose les mains à ceux qui ont levé leurs mains. Et maintenant, pour une grande unité, une grande démonstration de la puissance de Dieu, puissiez-vous recevoir le baptême du Saint-Esprit et être guéris, au Nom de Jésus.

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