Ecoutez-Le

Date: 57-0105 | La durée est de: 1 heure et 53 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère...?... Bonsoir, mes amis. Je suis certainement content d’être ici ce soir, une fois de plus, pour vous parler, à vous, cette aimable assistance, au Nom du Seigneur Jésus. Je suis désolé de vous voir debout, beaucoup d’entre vous, mais je pense que c’est pratiquement l’auditorium le plus grand qu’on ait pu avoir présentement. Et cela témoigne de votre amour pour le Seigneur, que vous veniez vous tenir debout pendant le service. Vous n’êtes donc pas venus pour être vus; vous êtes venus pour le profit que vous pouvez tirer du service.

            Et c’est toujours ainsi avec un service. Généralement, vous obtenez ce que vous y investissez. Nous pensons à l’attente. Lorsque vous vous attendez à trouver le Seigneur, si vous venez à un service vous attendant à Le trouver, Il sera là. Si vous venez vous attendant à trouver quelque chose à critiquer, le diable vous le montrera sûrement. Ainsi, vous pouvez... Tout ce à quoi vous vous attendez, c’est juste ce que vous recevez.

2          Et, bon, hier soir, nous avons pris beaucoup de temps sur la guérison, je me suis dit que, peut-être ce soir, je pourrais aborder un peu l’aspect de l’évangélisation. Et demain, à midi ou onze heures, je pense, je dois parler à une–une église ici. Le–le frère, le pasteur qui collabore ici, frère Littlefield, à son église. Ça sera un service d’évangélisation.

3          Ainsi donc, généralement, nous essayons de reprendre de plus belle, essayer d’avoir une–une salle des urgences, où ceux... Beaucoup de gens ne comprennent pas, en Amérique surtout, ce genre de ministère, car ils ont toujours été habitués à ce qu’on leur impose les mains et à ce qu’on prie pour eux.

4          Nous avons passé un si merveilleux temps de communion ce matin au petit-déjeuner de prédicateurs. Et vous, j’ai rencontré beaucoup de vos pasteurs. Ce n’est pas étonnant que vous soyez des gens aimables; vous avez d’aimables pasteurs qui vous enseignent. Et nous avons passé un bon moment de réjouissance.

            Et il me semble que je n’arrivais pas à trouver par où m’arrêter, tellement c’était un groupe de gens aimables. Nous sommes restés là jusqu’à onze heures moins dix, je pense, après avoir consacré quelques instants au petit-déjeuner. Mais nous avons eu entre nous une agape à l’ancienne mode. Je pense que c’est ce que les frères devraient faire. Je pense que c’est bien. Cela nous moule ensemble comme un bloc.

5          Et maintenant... Donc, demain soir, il y aura le service de prière ici une fois de plus pour les malades. Demain soir, on commence à, je pense, à dix-neuf heures, le pasteur a annoncé cela: à dix-neuf heures.

            Ainsi donc, il y a une salle des urgences. Nous avons été... Le frère a dit que s’il l’avait su un peu plus tôt, il aurait pu s’en servir; elle est à côté.

6          Mais monsieur Wood et mon fils distribuent des cartes de prière les après-midi. Le pasteur et moi en discutions ici il y a quelques instants. Et si vous–si vous voyez l’un d’eux, et que vous pensez que vous ne pourrez simplement pas attendre jusqu’après le service, et il vous faut aller à votre propre service ou quoi que ce soit, et que vous souhaitez bien qu’on prie pour eux avant le début du service, voyez l’un d’eux et ils en mettront autant que possible dans la salle des urgences.

            Si vous avez un cas vraiment grave et que vous redoutez de ne pas rester jusqu’à la fin du service, ou que vous aurez votre propre service ce soir-là, nous n’aimerions pas empêcher quelqu’un d’être à son poste de devoir. Nous–nous voudrions que vous soyez à votre poste, dans votre église, quand vous tenez des services.

            Et d’habitude, lorsque je tiens mon propre service, que je programme une série de réunions et que j’appelle n’importe qui, je tiens mes services les après-midi afin que tout le monde soit libre de retourner le soir à sa propre église.

7          Donc, de la sorte... Nous n’avons pas pu procéder ainsi cette fois-ci, aussi avons-nous dû prévoir cela de... tel que nous avons dû le faire: demain soir. Ainsi donc, nous allons laisser cette salle des urgences aux gens qui ne peuvent pas rester pour le service et qui doivent se dépêcher de regagner la maison directement. Ainsi donc, ce sera... Nous prierons pour eux dans la salle avant le début du service de demain soir.

            Ainsi, vous aurez probablement à vous retrouver dans la salle des urgences vers dix-huit ou dix-huit heures quart, au plus tard.

8          Eh bien, je suis sûr que nous aimons tous le Seigneur Jésus et que nous aimons bien nous régaler de Sa Parole. Je suis très reconnaissant qu’Il nous ait donné Sa Parole. Et cependant, j’ai toujours essayé d’être très strict sur la Parole, car Jésus a dit que l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.

9          Ainsi donc, j’aimerais... que vous vous en souveniez. Et ceci vaut pour le chrétien le plus faible dans cette salle ou dans le monde. Vous n’avez pas à avoir des dons. Vous n’avez pas à attendre que quelqu’un qui prie pour les malades passe. Et j’apprends... Je serai enregistré, car il y a un magnétophone qui enregistre cela ici. Et voici ce que je déclare: Une bonne attitude mentale envers n’importe quelle promesse divine de Dieu la fera s’accomplir, si vous pouvez afficher une bonne attitude mentale envers cette promesse de Dieu.

10        Et la Parole de Dieu vaincra l’ennemi partout, n’importe où et en tout temps. Jésus avait... Toute la grande puissance de Dieu était en Christ. Il était Dieu corporellement: Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Mais quand Il a rencontré Satan, Il n’a jamais utilisé une quelconque de Ses puissances. Quand Satan L’a rencontré, il a dit: «Eh bien, (En d’autres termes, par exemple) si Tu es un faiseur des miracles, si Tu es le Fils de Dieu, accomplis ici devant moi un miracle et change ces pierres en pains.»

            Jésus ne s’est jamais servi de Sa puissance. Il s’est servi de la Parole du Père. Il a dit: «Il est écrit: ‘L’homme ne vivra pas de pain seulement.’» Puis, Satan est revenu, il voulait discuter avec Lui. Ainsi, il s’est lui aussi servi de la Parole du Père, mais il s’en est mal servi, il L’a mal placée. Et Jésus a dit: «Il est aussi écrit...» Et chaque fois que Satan L’attaquait, Jésus répliquait avec la Parole du Père et Il vainquait Satan par la Parole du Père. Et vous pouvez faire la même chose. Si vous croyez la Parole de Dieu et que vous vous Y accrochez, Elle vaincra Satan à chaque coup. Je sais que c’est la vérité. J’ai vu le cancer sarcome être guéri, rien qu’en se fondant sur la Parole de Dieu. Et vous savez ce qu’est le cancer sarcome. D’accord. C’est parce que la Parole de Dieu est la Vie. Et chaque Parole de Dieu est vraie. Elle ne connaît pas de fin.

11        Il y a quelque temps, je lisais un article sur des jeunes filles qui travaillaient sur le radium qu’on met dans les aiguilles des montres, qui–qui brillent la nuit. Et elles léchaient cela d’une façon ou d’une autre avec leur langue, un pinceau. Et cela est entré dans le corps de la jeune fille et l’a tuée. Des années plus tard, on avait gardé le... Après l’autopsie, on avait gardé le–le crâne de la jeune fille. Et beaucoup, beaucoup, beaucoup d’années plus tard, on a pu prendre des stéréoscopes, on les a appliqués sur le crâne de cette jeune fille, et on a pu entendre ce cancer, ou plutôt ce radium continuer à faire... [Frère Branham illustre.–N.D.E.]. Cela ne connaît pas de fin. Cela continue simplement.

12        Et c’est pareil pour la Parole de Dieu. Elle ne connaît pas de fin. Elle va d’éternité en éternité. Elle est toujours la Parole de Dieu. Et Jésus a dit qu’Elle était une Semence. Et si une semence est semée dans un bon genre de sol et qu’elle est arrosée correctement, elle va certainement se reproduire selon son espèce.

            Et si vous avez besoin de quelque chose de la part de Dieu, la Semence de Dieu produira cela, si seulement vous recevez cela dans votre coeur et que vous croyez cela de tout votre coeur.

13        Or, en priant pour les malades... J’aimerais faire cette déclaration parce qu’il y a probablement des nouveaux venus ce soir: Je ne prétends pas être un guérisseur. Et je ne crois pas qu’il existe un quelconque guérisseur sur la terre, que ça soit un ministre, un évangéliste, ou un pasteur, ou un docteur, ou un hôpital, ou quoi que ce soit. Il n’y a personne qui puisse vous guérir en dehors de Dieu. Dieu est l’unique Guérisseur. Psaume 103.3: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» Nous vivons en un jour où nous avons les meilleurs hôpitaux jamais eus, les meilleurs médecins jamais eus, les médecins les plus intelligents jamais eus, les meilleurs médicaments jamais utilisés, et en plein milieu de tout cela, nous avons le plus de maladies jamais connues. En effet, nous avons le plus d’incrédulité jamais eue.

14        A l’époque, quand les gens parlaient de... disaient: «Dieu a accompli un miracle. Il a guéri telle personne», cela n’était jamais mis en doute. Ils croyaient aux miracles. Ils disaient simplement: «Eh bien, gloire au Seigneur», et allaient de l’avant.

            Mais aujourd’hui, il nous faut le prouver scientifiquement, on reprend cela, on l’analyse, on l’examine pour voir si c’est vrai. Vous ne pourrez jamais prouver Dieu scientifiquement. On ne prouve pas Dieu scientifiquement.

15        Dans le jardin d’Eden, il y avait l’arbre de la connaissance et l’Arbre de la Vie. Et l’homme a cessé de manger de l’Arbre de la Vie, il a mangé de l’arbre de la connaissance, alors il s’est séparé de son Créateur. Chaque fois qu’il en prend une bouchée, il se détruit.

            Il a pris une bouchée: la poudre à canon. Il tue son voisin. Il a pris une bouchée: l’automobile, la science, cela tue plus que toutes les guerres mises ensemble. Il s’est tapé une bouchée aujourd’hui: la bombe à hydrogène. Je me demande ce qu’il va en faire.

            Il se détruit par la connaissance. On ne connaît pas Dieu par la connaissance. On connaît Dieu par la foi. Et la foi est le seul moyen par lequel vous connaîtrez Dieu. Ses oeuvres sont des actes de la foi.

16        Et si Moïse avait cueilli quelques feuilles de la clé... de l’arbre qui était en feu, et qu’il avait dit: «Je... un instant. Avant d’accepter cela, je vais amener cela au laboratoire pour faire passer ces feuilles par un test chimique afin de découvrir ce que le... de quoi l’arbre a été aspergé, cet arbre en feu qui ne se consume pas; quel genre de produit chimique y a-t-il qui empêche les feuilles de se consumer?»

            Dieu ne lui aurait jamais parlé s’il s’y était pris comme cela. Mais Moïse a simplement ôté les souliers, il s’est agenouillé et a parlé à Dieu. Peu lui importait ce qui était sur les feuilles, que cela se consumât ou pas; c’était Dieu dans le buisson, et Moïse a reconnu cela. Et il a parlé à Dieu. Et Dieu s’est révélé à Moïse.

17        Maintenant, la guérison divine n’est pas une supercherie. Elle ne consiste pas à toucher un mât totémique ou à déverser un produit mystérieux à partir de... qui coule des mains de quelqu’un sur vous. La guérison divine est un acte de foi dans l’oeuvre accomplie au Calvaire. C’est l’Evangile, aussi pur que je sais Le présenter. C’est une oeuvre achevée pour laquelle Christ est mort au Calvaire. «Il était blessé pour nos péchés; c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Or, la guérison ne repose pas sur la même base que le salut. En naissant de nouveau, vous recevez un esprit nouveau, une nouvelle Vie, immortelle, qui ne peut pas mourir. Mais quand vous êtes guéri, c’est juste un attribut de l’amour divin de Dieu qui vous a guéri temporairement pour un temps. Votre corps doit être né de nouveau autant que votre âme.

18        Vous mourrez. Lazare fut ressuscité de la tombe, mais il mourut de nouveau. Voyez? Mais s’il n’y a pas de guérison divine, laquelle est le gage de notre résurrection, c’est qu’il n’y a pas de résurrection.

            Et si on n’est pas libéré du péché, qu’on ne vit pas au-dessus du péché, on n’est pas quitte du péché, alors il n’y a pas de ciel où aller. Ceci est le gage de notre salut, que nous avons maintenant par les oeuvres du Saint-Esprit. Ainsi, la guérison divine a été déjà acquise pour chaque créature. C’est votre foi dans l’oeuvre achevée au Calvaire.

19        Permettez-moi de vous montrer juste un petit quelque chose. De tous les bons médicaments que nous avons (pour bien présenter cela)... Eh bien, j’ai été interviewé. Beaucoup parmi vous ont lu le Reader’s Digest sur le miracle de Donny Morton.

            Et j’ai été interviewé à la clinique des frères Mayo là-dessus, car les Mayo l’avaient abandonné. Et la vision lui avait dit qui il était, d’où il venait, ce qui allait arriver. Et c’est arrivé exactement comme cela, et l’enfant avait été guéri.

            Et on a écrit cela dans le Reader’s Digest. Et lorsque je leur ai posé la question là, j’ai dit: «Ne croyez-vous pas que Dieu guérit?» Ils ont dit... Ils m’ont amené dans une vieille pièce là et ils m’ont montré un très vaste bureau qu’occupait Jimmy Mayo, et là, il était écrit: «Nous ne professons pas être des guérisseurs. Nous professons seulement assister la nature. Il n’y a qu’un seul Guérisseur, c’est Dieu.» Et ce sont les meilleurs que nous ayons.

20        Par exemple, qu’arriverait-il si je me blessais à la main ce soir avec un couteau? Il n’y a pas de médicament dans le monde entier qui puisse guérir cette blessure faite avec un couteau. Saviez-vous cela? Si cela guérit une blessure à la main faite avec un couteau, cela guérira une déchirure faite avec un couteau à mon manteau. Cela guérira une entaille faite avec un couteau sur cette chaire.

            «Eh bien, diriez-vous, Frère Branham, je pense que vous êtes en erreur, là.» Non, si cela guérit une blessure faite avec un couteau, cela la guérira où que ce soit. L’eau qui mouille ici mouillera là-bas. Un fusil qui fait feu ici fera feu là-bas. Si cela guérit une blessure faite avec un couteau, cela guérira une entaille n’importe où, faite avec un couteau.

21        «Mais, direz-vous, Frère Branham, le médicament n’a pas été fabriqué pour guérir une déchirure du couteau à votre manteau. C’était guérir... Ça a été fabriqué pour guérir votre corps.» D’accord. Par ex–par exemple, je me blesse à la main ce soir et je tombe mort. On me déclare mort, on m’amène à la morgue, on embaume mon corps avec un fluide qui me donnera un aspect naturel pendant cinquante ans.

            Demain, on envoie chercher votre meilleur médecin de Tennessee. La semaine prochaine, on envoie chercher le meilleur médecin de la nation. La semaine suivante, on envoie chercher le meilleur médecin de l’Allemagne. Et on injecte la pénicilline, on injecte le sulfamide, on suture, et tout ce qu’on veut faire. Dans cinquante ans, cette blessure paraîtra exactement telle qu’elle était à l’instant où cela s’était produit.

22        Si le médicament guérit le corps, pourquoi, dans ce cas, ne guérit-il pas le corps humain? «Eh bien, direz-vous, la vie n’y est plus, Frère Branham. C’est différent.» Assurément. Alors, est-ce le médicament qui guérit ou est-ce la vie qui guérit? Eh bien, dites-moi ce qu’est la vie, et je vous dirai Qui est Dieu. C’est Dieu qui opère la guérison. Le médicament ne régénère pas de tissu. C’est Dieu qui régénère le tissu. Un médecin peut fixer un bras, mais il ne peut pas le guérir. Il le laisse là pour que Dieu guérisse. Un médecin peut ôter l’appendice, mais qu’en est-il de la déchirure qu’il a causée en l’ôtant? Il peut arracher une dent, mais qui arrête le sang? Qui guérit le lieu où la dent a été enlevée des gencives? C’est Dieu, si jamais cela est guéri. Exact.

23        Ainsi, Dieu, la Parole de Dieu ne faillit jamais. Elle n’a aucune faille. C’est Dieu qui guérit toutes nos maladies. Eh bien, cela ne veut pas dire que nous n’avons pas besoin d’hôpitaux, et que nous ne... Oh! Oui, nous en avons besoin, absolument. Je suis pour eux, et je prie pour eux ainsi que pour la recherche scientifique, afin qu’on trouve quelque chose qui nous aide. Chaque petite assistance qu’ils peuvent apporter, c’est merveilleux, mais cela ne guérit pas. C’est Dieu qui opère la guérison. C’est vrai.

            Et lorsqu’on vous administre, par exemple, la pénicilline et autres contre un gros rhume, qu’est-ce que cela fait? Cela ne guérit pas. C’est juste comme la mort-aux-rats, exposée là; elle empoisonne les rats. Ce sont les germes qui se trouvent dans votre corps. Cela ne guérit pas. Dieu doit régénérer ce qui a été détruit. Voyez? C’est donc Dieu qui est dans tous les cas le Guérisseur sur base de chaque Parole. Il est le Guérisseur.

24        Maintenant, prions avant d’ouvrir la Bible et de parler juste quelques instants et puis, aller droit à tout ce que le Seigneur nous conduira à faire ce soir. Prions.

            Notre Père céleste, nous Te remercions pour le Seigneur Jésus et pour la puissance de Sa résurrection. Et ce soir, pendant que nous sommes assemblés ici dans cette ville, dans ce petit bel auditorium ici à l’école, ô Dieu, nous Te prions de bénir ceux qui ont ouvert les portes avec beaucoup–beaucoup de courtoisie et nous ont permis d’en disposer.

            Nous Te remercions pour cette ville, pour le maire, ce brave gentleman, et tous les autres qui octroient des chambres et autres pour qu’on prenne soin de ceux qui viennent à la réunion. Nous Te prions de bénir les prédicateurs ici, chacun d’eux. Bénis ces universités, Seigneur.

25        Ces autres églises à travers le pays, nous Te prions d’être avec elles. Je Te demande d’être avec nous d’une–d’une façon remarquable ici ce soir. Nous sommes dans un grand besoin alors que je regarde ces fauteuils roulants et que, en baissant les yeux dans cette assistance, je vois des hommes et des femmes qui ont probablement travaillé dur aujourd’hui, appuyés contre le mur. Ils ont faim. Tu as dit dans Ta Parole: «Heureux celui qui a faim et soif.» C’est une bénédiction que d’éprouver cela, car ils seront nourris ou rassasiés. Et nous Te prions d’accorder cela.

            Et maintenant, Père, circoncis les lèvres qui vont parler et les coeurs qui vont entendre. Et puisse le Saint-Esprit venir prendre la Parole de Dieu et L’amener à chaque coeur selon que nous En avons besoin. Car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.

26        Juste comme passage des Ecritures, je souhaiterais lire une portion de l’Evangile selon saint Matthieu, chapitre 17, à partir du verset 1. Juste pour un court passage, tout en surveillant l’horloge, et aussi vite que nous le pouvons, changer de service...

Six jours après, Jésus prit avec lui Pierre, Jacques, et Jean, son frère, et il les conduisit à l’écart sur une haute montagne.

Il fut transfiguré devant eux; son visage resplendit comme le soleil, et ses vêtements devinrent blancs comme la lumière.

Et voici, Moïse et Elie leur apparurent, s’entretenant avec lui.

Pierre, prenant la parole, dit à Jésus: Seigneur, il est bon que nous soyons ici; si tu le veux, je dresserai ici trois tentes, une pour toi, une pour Moïse, et une pour Elie.

Comme il parlait encore, une nuée lumineuse les couvrit. Et voici, une voix fit entendre de la nuée ces paroles: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j‘ai mis toute mon affection: écoutez-le!

            Et comme sujet j’aimerais prendre ces trois derniers versets, ou plutôt les trois derniers mots: Ecoutez-Le [En anglais: Hear Ye Him].

27        Les hommes ont prêché sur ce passage au cours de l’âge. Chaque fois qu’on l’a donc lu... Vous ne pouvez pas lire la–la Parole de Dieu sans être inspiré. Et Cela a inspiré les–les disciples lorsqu’ils L’ont entendu. Cela a désinspiré... a inspiré la nouvelle génération des apôtres, et la génération qui suivait, Martin Luther, John Wesley, Calvin, Knox, Finney, Sankey, ainsi de suite au cours des âges, tel que nous avons évolué.

            Et s’il nous faut lire Cela cent millions d’années après ce soir, Cela sera toujours une source d’inspiration, car c’est la Parole de Dieu. C’est un Produit fini. Ça ne peut jamais faillir. C’est la Parole de Dieu.

28        Maintenant, nous pouvons passer beaucoup de temps là-dessus, et nous pouvons aborder cela sous différents angles. A vrai dire, l’angle juste sous lequel aborder cela, c’est celui de la Seconde Venue du Seigneur.

            Et peut-être, peut-être, votre pasteur vous a enseigné cela bien des fois, l’ordre des Ecritures, oh! comme c’est parfait, la Seconde Venue du Seigneur. Premièrement, Moïse et Elie; et puis, ils ont regardé, ils ont vu Jésus seul; tout préfigurait ou représentait la Venue du Seigneur pour la seconde fois. Mais ce soir, nous aimerions aborder cela sous un autre angle.

29        Eh bien, Jésus rencontre des hommes dans divers groupes et en nombres variés. Une fois, Il a rencontré cinq cents personnes. Une autre fois, Il a rencontré soixante-dix personnes; une autre, c’était Ses douze; une autre, trois. Et Il viendra même là où il y a une seule âme affamée.

            Peu importe la taille du groupe, ou le nombre de ceux qui sont assemblés, Christ est omniprésent. Et Il–Il est l’unique Etre qui soit omniprésent. Le diable ne peut pas être omniprésent. C’est Dieu seul qui est omniprésent, c’est-à-dire qui est partout. Il remplit tous les cieux et toute la terre.

            Il y eut un temps sur le mont... Là en Californie, je regardais à travers ce grand observatoire, l’un des astronomes de là a été converti dans ma réunion, et on m’a amené là-haut. Et il y a là un télescope qui permet de voir sur une distance de cent vingt millions d’années-lumière dans l’espace.

            La lumière se déplace, je pense, à environ huit mille miles [12.874,75 km] par seconde. Changer cela en miles, combien de miles aurez-vous pour cent vingt millions d’années? Combien de miles avez-vous en une minute? Combien en une heure? En un jour? En une année? En cent ans? En un million d’années? Et en cent vingt millions d’années? Et au-delà de tout cela, c’est rempli du système solaire.

30        Notre grand Jéhovah Dieu a simplement soufflé cela de Ses doigts et ça a été créé. Et Il couvre le... tout l’espace. Et parfois, nous nous promenons en agissant comme si nous étions capables de faire fonctionner Son affaire.

            Il est tellement grand qu’Il remplit tout l’espace, et pourtant, Il peut devenir si petit qu’Il viendra au coeur d’un pauvre pécheur perdu. C’est ce qui Le rend grand.

            J’ai eu le privilège, dans ma vie, de rencontrer de grands hommes, des rois. J’ai été dans quatre palais prier pour des rois, des monarques, des potentats. Et vous trouvez de grands hommes, ils sont petits à leurs propres yeux. Ce sont des hommes qui ne sont rien, de petits hommes qui pensent être grands, qui cherchent à se faire grands. Et c’est ce qui rend Dieu si grand. Il s’humilie pour descendre sauver et guérir. Pour moi, cela fait de Lui Dieu.

31        Eh bien, alors, à cette occasion, Jésus a pris Pierre, Jacques et Jean, Il est monté seul à la montagne. Or, la Bible dit, dans l’Ancien Testament, que toute l’affaire se règle sur la déposition de deux ou trois témoins. Et trois, c’est une confirmation. Aussi, Pierre, Jacques et Jean... En fait, vous remarquez lors de la résurrection de la fille de Jaïrus, trois... Il prenait toujours Pierre, Jacques et Jean. C’est la foi, l’espérance et la charité.

32        Et Il a pris avec Lui ces trois témoins, car Dieu allait faire quelque chose d’important. Jésus ne prononce jamais des paroles vaines. Chaque Parole avait un sens. Et la Bible nous apprend à ne pas user de vaines répétitions ni tenir de vains discours. «Que votre oui soit oui, que votre non soit non, car ce qu’on y ajoute vient du péché.»

            Quel genre de personnes pourrions.... devrions–devrions-nous alors être? Nous devrions être sobres, prêts, regardant toujours, veillant la conduite du Saint-Esprit. Les chrétiens sont le sel de la terre. Et le sel est un agent conservateur de ce qui est en contact avec lui.

33        Vous avez un tonneau de viande ici, et un tonneau de sel ici, cela ne préservera jamais. Le sel ne préservera jamais la viande tant qu’il n’entre pas en contact avec elle. Nous devons être salés et, ensuite, entrer en contact avec le monde. C’est ça la saveur. Et ce qui est salé donne... Le sel donne la soif. Et quand les chrétiens, ceux qui se disent chrétiens, seront tellement salés que le monde désirera être comme eux, ils auront alors établi un contact.

            Avez-vous vu des chrétiens... Vous direz: «Oh! J’aimerais vraiment être comme cette femme-là. J’aimerais vraiment être comme cet homme-là. Si jamais il y a eu un chrétien, c’est celui-là.» C’est ça être salé. Soyez simplement le sel; Dieu créera la soif. Mais soyez salés.

34        Remarquez. Jésus les a amenés à la montagne et était... a rencontré là trois êtres terrestres: Pierre, Jacques et Jean; Jésus, Moïse et Elie. Il y avait trois témoins terrestres, trois témoins célestes pour rendre témoignage, tant au Ciel que sur la terre.

            Dieu confirme toujours. Il ne fait rien avant d’avoir premièrement envoyé un témoin. Et ça y est. Mes chers amis, ici, dans cette belle ville, ce grand mouvement que vous voyez en cours sur la terre aujourd’hui est un avertissement. Quelque chose est sur le point d’arriver. Considérez cela dans la Bible.

35        A chaque jonction de temps, Dieu envoie des prophètes, puis des anges, et donne un avertissement. C’est comme dans le... avant la destruction antédiluvienne, avant chaque–chaque autre temps, Dieu envoie d’abord des avertissements, toujours. Il ne peut pas punir la terre sans   et être juste   sans avoir premièrement averti.

            Rappelez-vous donc, l’écriture est sur la muraille. Ces événements... Dieu ne joue pas et–et ne badine pas comme nous. Mais lorsque vous voyez la main de Dieu en action, c’est un poteau indicateur. Cela indique quelque chose. Et nous sommes à la fin des six mille ans. Tout dans l’histoire, tout dans les Ecritures, tout au Ciel, tout sur la terre pointe vers un changement maintenant même. Les prophètes, les anges, les signes, les prodiges, l’église froide et formaliste que Dieu doit vomir de Sa bouche juste comme Il l’a dit... Prenez courage et soyez prêts. Quelque chose est sur le point d’arriver.

36        Remarquez quelque chose qui est sur le point d’arriver ici. Dieu va, cette fois-ci, régler cela devant le monde, une fois pour toutes.

            Maintenant, jadis dans l’Ancien Testament... Et, beaucoup de prédicateurs reconnaîtront cela, ainsi que beaucoup parmi vous les moniteurs de l’école du dimanche et les lecteurs de la Bible, dans l’Ancien Testament... Et je pense que c’est ici que nos églises ont commis une grosse erreur.

            Et la raison pour laquelle j’ai pensé à ceci, que ça pourrait être utile pour ce soir... L’Ancien Testament est l’ombre du Nouveau. Et comme je n’ai personnellement pas d’instruction, il me faut alors être un typologue pour savoir où je me tiens. Et si je regarde l’ombre de quelque chose, je peux très bien dire ce que sera la réalité. Ainsi, dans l’Ancien Testament, toutes ces choses étaient des ombres et des types.

37        Et quand un–un enfant naissait dans une famille... Si vous remarquez bien dans la Bible, jadis, les premiers traducteurs du temps du roi Jacques, dans la version King James, Jean 14 sonne très étrange, n’est-ce pas? «Il y a plusieurs châteaux dans la Maison de Mon Père.»

            Des châteaux dans une maison? Combien plus grand est un château par rapport à une maison? Ça sonne bizarre. Je pense que c’est Moffatt, ou l’un de ces traducteurs modernes, qui a rendu cela de façon plus ridicule que jamais, en disant: «Dans le flat de Mon Père, il y a plusieurs appartements.» Eh bien, cela ne ressemble pas à Dieu, aller là-haut pour Lui louer un appartement.

            Eh bien, c’est faux. Mais si vous retournez à l’original, il est dit: «Dans le Royaume de Mon Père, il y a plusieurs palais.» Eh bien, la raison pour laquelle King James a rendu cela comme ça, les traducteurs, c’est que dans l’Ancien Testament et aussi dans les âges primitifs, un homme qui possédait une grande portion du territoire, cela était appelé sa maison, son foyer. Il avait des serviteurs ici, et des serviteurs là-bas, et des serviteurs là-bas.

            En Afrique, et dans beaucoup de régions, vous trouvez toujours cette loi. Et il était appelé le père de tout ce tas de serviteurs et de terres, et c’est comme Abraham.

38        Et remarquez. Quand un enfant naissait dans cette famille-là, un fils, il était fils dès la naissance. Mais cela ne voulait pas dire qu’il était déjà héritier. En effet, en naissant dans la famille, cet enfant était un fils de par la naissance.

            Eh bien, souvent, nous avons mal jugé cela. Les gens pensent: «Oh! Gloire à Dieu, je suis né de nouveau, c’est donc tout ce qui importe.» Non, non. Vous êtes en erreur. Vous ne faites alors que commencer.

39        Remarquez. Ensuite, cet enfant, aussitôt né, était confié à un tuteur (beaucoup parmi vous connaissent l’Epître aux Galates), un tuteur ou un enseignant. Et cet enseignant élevait cet enfant, faisant tout le temps le rapport au père sur l’évolution de l’enfant. Il éduquait l’enfant. Il l’élevait. Et il faisait tout le temps rapport au père sur l’enfant.

            Le père passait de temps à autre et tirait son enfant sur ses genoux et l’embrassait. Mais c’était un homme occupé, il ne pouvait pas disposer de temps pour éduquer son propre enfant. Il trouvait un–un homme spécial, choisi, le meilleur qu’il pouvait trouver pour élever cet enfant, car c’était son fils.

40        Et c’est ce que Dieu le Père a fait pour Son Eglise. Lorsque nous sommes nés dans l’Eglise du Dieu vivant   et c’est l’unique moyen pour nous de pouvoir y entrer: par la naissance, par un seul esprit   lorsque nous sommes... Je suis dans la famille Branham depuis quarante-sept ans, on ne m’a jamais demandé d’adhérer à cette famille. Pourquoi? Je suis né un Branham. Et c’est ainsi que vous devenez un chrétien, alors vous n’êtes pas un chrétien par adhésion, mais un chrétien par la naissance.

41        Maintenant, remarquez. A cet enfant né un fils, on confiait un tuteur pour l’élever; et lorsque on était né dans le Royaume de Dieu, Dieu nous a envoyé un Tuteur, un Pédagogue, un Educateur. Et c’est le Saint-Esprit qui fait constamment rapport au Père sur l’évolution de Ses enfants.

            Combien Il doit être honteux, comme Esdras, le prophète, qui a rougi devant Dieu; le Saint-Esprit doit avoir à rougir devant le Père à cause de la conduite de Ses enfants, comment ce... comment le péché s’est faufilé dans l’église. Des choses qui se passent dans l’église aujourd’hui, et nous nous disons l’Eglise de Dieu... Je ne voudrais pas vous blesser maintenant, mais j’aimerais vous aider.

42        Si je comprends bien cela, il n’y a pas longtemps, c’était un péché pour vous les dames de vous couper les cheveux; au moins c’est ce que dit la Bible. Mais vous ignorez bonnement cela en tout cas. C’était mauvais pour vous de porter les habits d’homme. C’est ce que dit la Bible. Mais vous le faites malgré tout. Vous laissez vos jeunes filles le faire. Puis, elles se font insulter par des jeunes garçons dans la rue, et vous chercher à les faire arrêter. C’est vous qu’il faut arrêter.

            Nous n’avions jamais connu de délinquance juvénile avant de connaître la délinquance parentale. Vous aimiez aller à la réunion de prière, prier jusqu’à minuit, à une heure ou à deux heures, dormir un peu, à même le sol dans une vieille maison, quelque part sous l’Esprit de Dieu. Vous aimiez prier toute la nuit. Mais depuis que vous avez eu votre télévision, vous aimez rester à la maison suivre un vieux film vulgaire: Qui a vu Lucy, ou Qui aime Lucy, rester à la maison et rater la réunion de prière. Quelque chose s’est passé.

43        Puis, vous vous demandez quel est le problème. Le plus grand événement qui se soit jamais produit sur terre, c’était quand Jésus-Christ a été baptisé par Jean. Quand Dieu est venu sur la terre, ou plutôt Il a envoyé Son Fils, Il L’a identifié à un Agneau. L’agneau est l’animal le plus doux de tous les animaux de la terre.

            Et lorsqu’Il s’est identifié Lui-même, Il s’est identifié à une Colombe. Et une colombe est tout ce qu’il y a de plus doux parmi tous les oiseaux du ciel, qui volent dans les cieux. Il n’y a que ces deux personnes qui peuvent... ces deux espèces qui peuvent s’accorder.

            Et Jean a dit: «Voici l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. Je rends témoignage que j’ai vu l’Esprit de Dieu comme une colombe.» Lorsque la Colombe s’est posée sur l’Agneau, le ciel et la terre se sont étreints et se sont embrassés. Et les pécheurs et Dieu ont été réconciliés.

44        C’est l’unique animal sur lequel la colombe pouvait se poser. Et si cet agneau avait hurlé comme un loup? La gentille petite colombe aurait pris son envol. Et vous vous demandez ce qui ne va pas avec les réunions de prière? Lorsque vous étiez sauvé, vous étiez un agneau. Mais quand vous vous êtes mis à hurler comme un loup, à haïr votre voisin, à vous quereller, à vous battre, la colombe s’est simplement envolée, et elle s’est éloignée de vous. Et maintenant, vous vous demandez quel est le problème. C’est ça le problème. Si une colombe ne se pose pas sur un–un bouc, elle ne se posera pas sur un loup. Se quereller, se battre, se mettre dans tous ses états, des hauts et des bas, se disputer, des barrières dénominationnelles, le Saint-Esprit a simplement pris Son envol.

            Vous direz: «Frère Branham, comment Le faire revenir?» Redevenez simplement un agneau. Elle se posera là, elle est perchée là quelque part, sur un perchoir. Elle reviendra aussitôt que vous avez la nature d’un agneau.

45        Mais c’est ça qui ne va pas. C’est pourquoi, quand le Saint-Esprit va auprès de Dieu, Il est tenu de faire un tel rapport. Quel sentiment pensez-vous que le tuteur éprouvait en allant auprès du père et que ce dernier demandait: «Oh! Comment évolue mon fils?»

            «Eh bien, il n’est qu’un petit fouineur. Je dois simplement vous dire la vérité.» Eh bien, Dieu dit la Vérité. Le Saint-Esprit ne ménage rien ou ne ménage personne. Il apporte la vérité.

            Eh bien, j’ai lu un livre. Il y est dit que George Washington n’avait jamais dit un mensonge. Je n’en sais rien. Je ne peux pas le dire.

            Mais la Bible ne ménage personne; que ce soit au sujet de Lot qui vécut avec ses filles, et autres. David, un homme selon le coeur de Dieu, mais quand il prit Bath Schéba, la femme d’Urie, Dieu fit inscrire cela en plein dans la Parole.

            C’est soit vrai, soit faux. C’est pourquoi je fais confiance à la Bible, parce que c’est la Vérité. Que cela blesse ou pas, c’est la Vérité. J’ai confiance en Cela, car Son Auteur n’est autre que Dieu.

46        Ainsi donc, si le père faisait rapport et que le fils, que les enfants n’évoluaient pas... Ce fils restait toujours un fils, certainement. Mais il n’avait rien à faire dans le royaume du père. Il n’occupait aucune position.

            Mais si c’était un bon fils, un garçon intelligent qui s’intéressait aux affaires du père, oh! quel sentiment agréable le tuteur devait éprouver en allant auprès du père pour dire: «Oh! la la! Vous avez un des meilleurs garçons. Eh bien, s’il voit juste quelque chose à faire, il va le faire. Et il–il est intelligent. Il sait comment s’y prendre. Il recherche la sagesse. Et, oh! c’est vous-même tout craché.» Quel sentiment le père devait éprouver! C’était bien.

47        Alors, lorsque le fils avait de l’âge (C’est là que les pentecôtistes devraient être ce soir, avoir de l’âge)... Si vous n’avez pas de l’âge à quarante ans, vous n’en aurez jamais.

            Et alors, lorsqu’il arrivait à avoir de l’âge, que le père voyait que le fils avait progressé, qu’il était devenu un jeune homme digne, que tout ce qu’il faisait était correct, qu’il s’occupait comme il faut des affaires du père, qu’il voulait que tout soit correct pour le père, qu’il n’avait pas de motifs égoïstes, alors le père amenait le fils en un lieu public. (Vous les prédicateurs, le placement d’un fils...) Et le père amenait son propre fils, né dans sa famille, et il adoptait son propre fils. C’est ce qui est dit dans Ephésiens. Nous sommes adoptés, prédestinés à l’adoption des fils par le... par Christ.

48        Or, le fils qui était son fils... En d’autres termes, il l’adoptait, par ceci, il plaçait son fils côté position. Comment s’y prenait-il? Alors, le nom de ce fils-là sur le chèque était tout aussi valable que celui du père parce qu’il occupait une position. Le père avait confirmé avoir placé le fils côté position. J’espère que vous le saisissez.

            Et alors, ce fils devenait héritier de ce que le père possédait. Et nous sommes, ce que Dieu possède, nous sommes cohéritiers avec Christ, si nous sommes fils de Dieu, placés côté position dans le Royaume, occupant nos places.

            Eh bien, Dieu a beaucoup de places où Il peut vous placer. Certains comme apôtres, d’autres comme prophètes, docteurs, évangélistes, pasteurs, ainsi de suite. Dieu place ce fils côté position.

49        Eh bien, Dieu n’a pas demandé aux hommes de faire quelque chose que Lui-même n’a pas fait. Il monte donc sur la montagne. Il a pris un témoin terrestre et un témoin céleste. Il a pris Son propre Fils bien-aimé, Il L’a placé là devant les témoins terrestres et les témoins célestes, et il L’a glorifié. Et Son vêtement a brillé comme le soleil.

            C’est ça la robe royale, dont le père, dans l’Ancien Testament, revêtait le fils, et il se tenait devant la foule, il adoptait ou plaçait son fils côté position, sur tous ses biens.

            Et Dieu a amené Son Fils, avec des témoins célestes et des témoins terrestres, sur la montagne de la Transfiguration, Il L’a placé et L’a couvert de Son ombre. Et Il a dit: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé. Ecoutez-Le.»

            Pierre fut tout excité, comme ça nous arrive bien des fois. Il a dit: «Seigneur, Tu sais, ce terrain-ci sur lequel nous nous tenons, c’est un bon terrain saint. Sais-Tu ce qu’il nous faut faire? Il nous faudra dresser une tente ici pour Moïse. Tous ceux qui aimeraient observer la loi peuvent devenir membres de cette dénomination. Et il nous faudra dresser une tente pour Elie. Et tous ceux qui aimeraient, qui peuvent... cette dénomination peuvent y aller. Et puis, nous en dresserons une pour Toi. Et tous ceux qui aimeraient venir à Toi...» Dieu dit: «Ôte cette histoire. Celui-ci est Mon Fils bien-aimé: Ecoutez-Le.»

50        Je suis très content qu’Il l’ait dit. Considérons Moïse. Que représentait Moïse? Il représentait la loi. Personne n’est sauvé par la loi. La Bible déclare que vous ne pouvez pas être sauvé par la loi. Vous êtes sauvé par la grâce, par la prescience de Dieu. Dieu, par prescience, vous a sauvé avant la fondation du monde. Vous êtes sauvé par la grâce. Quelqu’un disait: «J’ai bien cherché Dieu, cherché Dieu.» Frère, vous ne L’avez pas cherché. Aucun homme n’a jamais cherché Dieu à aucun moment. C’est Dieu qui cherche l’homme, ce n’est pas l’homme qui cherche Dieu.

            Dans le jardin d’Eden, Adam devrait être celui qui parcourait le jardin en disant: «Père, où es-Tu?»

            C’était Dieu qui disait: «Adam, où es-tu?» C’est ça Sa nature.

51        Jésus a confirmé cela. Il a dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire premièrement.» C’est Dieu qui cherche l’homme. Vous n’avez rien à faire avec cela. Si jamais vous avez senti la main de Dieu frapper à votre coeur, vous êtes une personne privilégiée.

            Aucun homme n’est sauvé par ce qu’il fait, non, mais par ce que Lui a fait. Remarquez. Aucun homme n’est sauvé par la loi. Et je suis content qu’Il ait fait disparaître Moïse. Moïse représente la loi, l’observation du sabbat, ne pas manger la viande, toutes ces lois et ces ombres. Il a dit: «Arrêtez ça.»

52        Eh bien, que représentait Elie? Elie représentait la rigueur ou la justice de Dieu. Dieu sait que nous ne–nous n’implorons pas le jugement ou la justice. J’implore la miséricorde, non pas la justice. Comment pouvons-nous recevoir la justice alors que nous sommes nés dans le péché, conçus dans l’iniquité, venus au monde en proférant des mensonges? Notre présence même ici, Dieu la condamnerait, Il l’a déjà condamnée.

            Nous sommes donc sans espoir quand nous cherchons à nous tenir sur base de la justice de Dieu. Elie se tenait sur la montagne, on avait envoyé un chef de cinquante. Il s’est levé, ce prophète, il est allé à leur rencontre et a dit: «Si je suis un homme de Dieu, que le feu descende du ciel et vous consume.» Et cinquante personnes furent consumées.

            Le roi a dit: «Nous enverrons d’autres. Envoyez un autre chef avec cinquante hommes.»

            Elie s’est avancé là et a dit: «Si je suis un homme de Dieu, que le feu descende du ciel. Vous violez le domaine de Dieu. Je suis la justice de Dieu. Que le feu descende du ciel et vous consume.» Et cinquante personnes furent consumées. La justice de Dieu. Il était le canal de la justice de Dieu. Je ne demande donc pas la loi. Je n’implore pas la justice de Dieu. Ce qu’un... Je suis si content. Détournons la tête vers cette direction.

53        Là se tenait Jésus. Que représentait-Il? L’amour de Dieu. C’est ce que je veux. C’est ce dont nous avons besoin, pas Sa loi, pas Ses jugements, mais l’amour de Dieu.

            «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé.» Que les autres disparaissent. «Ecoutez-Le.» Pourquoi voulez-vous L’écouter? Il est l’Unique à avoir la Vie Eternelle entre Ses mains. Il est l’unique qui peut vous sauver. La loi ne peut pas vous sauver; vos jugements ne peuvent pas vous sauver; votre justice ne peut pas vous sauver. Vos haillons de justice propres, égoïstes, ne peuvent pas vous sauver. Votre religion ne peut pas vous sauver. Votre église ne peut pas vous sauver. Lui seul peut vous sauver. C’est pourquoi il vous faut L’écouter.

54        Il peut vous guérir. Votre médecin ne peut pas vous guérir; l’hôpital ne peut pas vous guérir; votre médicament ne peut pas vous guérir. Toutes vos fausses solutions, vos services, et tout le reste ne peuvent pas vous guérir. Toutes vos superstitions ne peuvent pas vous guérir. Lui seul peut vous guérir. «Ecoutez-Le.» Tous vos...?... et les parties de plaisirs, vos Elvis Presley, le boogie-woogie et le rock-and-roll ainsi que toutes vos absurdités ne vous donnent que de la tristesse. Il n’y a qu’un Seul qui peut vous procurer la joie; qui s’établit, et voilà votre paix: «Ecoutez-Le.»

            Tout votre prestige social, tout ce en quoi vous pouvez mettre votre coeur, votre standing social, vos rassemblements et autres, cela ne peut jamais vous donner la paix qui dépasse tout entendement. C’est Lui seul qui l’a. «Ecoutez-Le.»

            Toutes vos adhésions à l’église, des querelles dénominationnelles, vos troubles, vos divergences, vos disputes, cela ne fera que L’éloigner de vous. Oubliez cela et: «Ecoutez-Le.» Cette horloge continue d’avancer et je sais que je dois arrêter.

55        Oh! Combien j’aimerais voir toute l’église chrétienne lever simplement les yeux et: «Ecoutez-Le.» C’est Lui. Dieu regarde et cherche des hommes qui se tiendront là, des hommes remarquables, non pas parce que vous pouvez faire ceci ou cela, mais parce que dans votre coeur, dans votre être intérieur, il y a quelque chose qui L’aime.

            Peu importe ce que le monde réclame, c’est la mort. Ô Dieu, hâte le jour où les chrétiens seront des chrétiens. Et si vous n’êtes pas chrétien, cessez de vous cacher derrière votre église, en cherchant à faire croire aux gens que vous êtes chrétien. Dieu sait que vous ne l’êtes pas.

56        Cela ne semblerait pas bizarre de voir un cochon se vautrer dans un tas de fumier. C’est sa nature. Je ne le blâme pas. C’est un cochon. C’est sa nature. C’est ce qu’il est. Vous le voyez manger un corps mort, une vieille charogne. C’est en ordre. C’est un cochon. Mais, assurément, ça semblerait bizarre de voir un agneau faire cela.

            Je ne condamne pas le pécheur. S’il boit, laissez-le boire. C’est tout le plaisir qu’il connaît. S’il fume, laissez-le fumer. S’il écoute le rock-and-roll et toutes ces autres choses inspirées du diable, laissez-le écouter. C’est tout ce qu’il sait. Mais vous qui savez mieux et qui, ensuite, vous vous tournez vers de telles choses, vous n’êtes pas digne de porter le nom de chrétien. C’est vrai. C’est de vous qu’il s’agit. Vous qui connaissez mieux, vous devriez leur servir d’exemple et mener une vie exemplaire. Eh bien, c’est vrai.

57        Dieu cherche un vrai homme. Peu m’importe le volume de ses muscles. On ne juge pas un homme par ses muscles. C’est bestial. On juge un homme par le caractère. J’ai vu un homme qui pesait deux cents livres [90,7 kg], avec des muscles solides, qui n’avait pas un grain d’homme en lui, qui arracherait une enfant des bras d’une mère pour la violer. C’est bestial. Mais la valeur d’un homme est déterminée par le caractère.

            Il n’y a jamais eu un homme comme Jésus-Christ. Et la Bible déclare que Son aspect n’avait rien pour nous plaire, mais jamais pareil caractère n’a été modelé. C’est vrai. «Ecoutez-Le.»

58        Alors, la vieille histoire que nous avions apprise à l’école, c’est aussi... Souvent, on oublie ça. Tout récemment, je suis revenu de la Suisse où le Seigneur avait été avec nous. En cinq soirées, nous avons enregistré cinquante mille âmes qui étaient venues à Christ: dix mille chaque soirée.

            Et là, dans les montagnes de la Suisse, vers Jungfraujoch, Eiger et Monch, là dans ces célèbres collines de la Suisse, il y eut un personnage, il y a de cela plusieurs années (nous avons vu cela dans notre manuel), du nom d’Arnold Von Winkelried. Beaucoup parmi vous ont lu l’histoire d’Arnold Von Winkelried.

59        Un jour, la Suisse fut envahie, à ses débuts. C’étaient des gens paisibles. Et une puissante armée avait envahi la Suisse, ils étaient tous des soldats. Ils étaient munis de grands boucliers, des cuirasses, des casques et de très longues lances. Ils firent cette invasion pour emporter l’économie et tout ce que les petits Suisses avaient là dans des montagnes. Et l’armée suisse se rassembla dans un champ pour défendre leur patrie. Et la grande armée s’avança en marche. Et finalement, lorsqu’ils ont vu l’armée apparaître, ils les dépassaient en nombre par centaines. Et c’était une armée bien disciplinée, rangée comme un mur de briques, qui s’avançait contre la Suisse. Et les pauvres petits Suisses se sont tenus là avec des morceaux de bois en main et tout ce qu’ils pouvaient trouver pour combattre avec, des pierres et de vieilles faucilles aiguisées. C’est tout ce qu’ils avaient pour défendre leur pays. Ils se sont tenus là sans secours contre une armée très compacte, alors que cette dernière s’avançait et les encerclait.

60        Et quand ils ont vu qu’il n’y avait plus d’espoir, alors un vaillant homme... On ne l’oubliera jamais en Suisse. Citez son nom aujourd’hui, et chaque visage rougira et des larmes leur couleront sur les joues. Son nom était Arnold Von Winkelried.

            Il est sorti du milieu de l’armée suisse et a dit: «Frères, aujourd’hui, je vais donner ma vie pour la Suisse.» Il a dit: «Là, de l’autre côté de la montagne, se trouvent une belle petite maison blanche, ma femme et mes trois enfants. Ils attendent mon retour, mais je ne les reverrai plus jamais dans ce monde. Je dois donner ma vie pour la Suisse aujourd’hui.» Et un homme lui a demandé: «Que vas-tu faire, Arnold Von Winkelried?»

            Il a dit: «Suivez-moi tout simplement, et faites de votre mieux avec ce que vous avez.»

61        Et il jeta par terre le petit projectile qu’il avait en main, il a regardé les lances tout autour jusqu’à repérer là où il y avait une grande concentration de lances. Il a lancé ses bras en l’air, a couru de toutes ses forces, et il s’est écrié de... toutes ses forces: «Place à la liberté! Place à la liberté!» Et pendant qu’il courait, des centaines de lances étaient braquées sur lui, il n’avait que son sein nu. Et il a foncé en plein milieu de cette bande d’armées, emportant une brassée de lances enfoncées dans sa poitrine.

            Ils l’ont transpercé des lances. Et une telle démonstration d’héroïsme a dérouté cette armée étrangère, et ces Suisses les ont poursuivis avec de petits bâtons et des pierres, et ils ont du coup expulsé l’armée étrangère du pays, parce qu’un seul homme était disposé à s’avancer, prendre position et offrir le sacrifice qui était requis.

            Une telle démonstration d’héroïsme a été rarement égalée, elle n’a jamais été dépassée. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Des centaines d’années se sont écoulées, mais la Suisse se souvient toujours de lui; ils n’ont plus jamais connu une guerre depuis lors. C’était de l’héroïsme. C’était là un homme qui avait relevé le défi de son époque et le défi du temps.

62        Mais, mes frères, écoutez; cela était une petite chose, par rapport à ce qui s’est passé un jour quand la race d’Adam était coincée. Dieu leur avait envoyé la loi; ils ne l’avaient pas observée. Dieu leur avait envoyé des prophètes; ils les avaient lapidés et s’étaient moqués d’eux. Il leur avait envoyé des juges, ils ne leur ont pas permis de régner sur eux. Il n’y avait pas d’espoir. La race d’Adam, avec le péché, la maladie, les afflictions, l’analphabétisme et tout, était coincée. Et le diable, avec son armée de maladie, du péché en marche, terrassait la race d’Adam aussi fort que possible.

            Et il y eut Quelqu’Un qui s’avança du Ciel et dit: «Aujourd’hui, Je vais sur la terre.»

            Et les anges Lui demandèrent: «Que vas-Tu faire?» Il répondit: «Je dois donner Ma Vie pour la race d’Adam.» Il n’avait pas à le faire. Mais Il était disposé à le faire, parce qu’il n’y avait pas d’autre espoir. Personne d’autre ne pouvait le faire.

63        Et Il n’hésita pas. Il s’avança, Il prit la place du pécheur. Une fois sur terre, Il regarda et vit ce qui effrayait le plus l’homme, là où il y avait une forte concentration de lances: c’était la mort. Chaque homme a peur de la mort. Il leva Ses précieuses mains vers les cieux, frappa au point le plus fort et le pire ennemi de l’homme, on Lui enfonça la lance de la mort dans Son propre précieux sein. Et puis, le jour de la Pentecôte, Il renvoya le baptême du Saint-Esprit à la race déchue d’Adam, disant: «Prenez ceci et faites de votre mieux afin de combattre l’ignorance et les superstitions, le péché et la maladie.» Les hommes qui prétendent avoir baisé le bord de la coupe des bénédictions de Dieu, comment pouvons-nous nous tenir tranquilles en pareil temps, alors que Dieu nous a donné l’arme la plus puissante qu’un homme ait jamais placée entre les... qui ait jamais été placée entre les mains de l’homme pour combattre le péché, la maladie, l’ignorance, la superstition et les ismes. Il existe un véritable ciel plein de l’authentique baptême du Saint-Esprit. Et nous nous tenons au coin comme une bande de lâches. Dieu veut des hommes et des femmes qui sont vaillants, qui se tiendront là et prendront position. Dieu veut un héros. Pouvez-vous en être un?

64        Je suis un chasseur. J’aime chasser dans les bois, pas tellement pour avoir du gibier; j’aime me retrouver seul. Je ne me retrouve jamais seul à moins d’aller dans les bois. J’aime me retrouver seul dans les montagnes. C’est là que j’ai connu Dieu pour la première fois, en Le contemplant dans la nature, comment Il agit.

            Maintes fois, je vais avec un frère, je prends position, je vais chasser, je lui dirai que je vais à un certain endroit. Je ne vais pas chasser. Je monte là, je dépose mon fusil contre un arbre, je m’agenouille au sommet de la montagne. Là, je vois Jéhovah.

65        Je me rappelle un jour, c’était tard en automne, début octobre. Il n’y avait pas encore eu d’orages pour descendre les élans. J’avais fait trois jours sur le dos d’un cheval, il n’y avait personne avec moi, personne autour de moi dans un rayon de soixante-dix miles [112,65 km], là loin dans les montagnes.

            Et je cherchais au sommet de la montagne, car les élans n’étaient pas encore descendus. Il n’y avait pas eu d’orage. Et en cette période de l’année, il peut y avoir un–un orage; il pleut un temps, et puis il y a la neige un moment, et puis le soleil apparaît et il va fondre tout cela, et ainsi de suite.

            Alors, un orage a éclaté. Et je me suis tenu derrière un arbre. Et après l’orage, je suis sorti de derrière l’arbre, j’ai regardé par une fissure des rocs le coucher du soleil à l’ouest. Un arc-en-ciel est apparu, car les arbres à feuilles persistantes avaient gelé haut. Et un arc-en-ciel s’est formé dans la vallée. Et je me suis dit: «Ô Jéhovah Dieu, voilà Ta promesse.» L’arc-en-ciel est une alliance. L’alliance était avec Christ.

66        Jean L’a vu, ayant l’aspect de la pierre de jaspe et de sardoine, enveloppé d’un arc-en-ciel, le Premier et le Dernier. Je fus tellement ravi. Vous pouvez me taxer d’un saint exalté après ça. Mais j’ai déposé mon fusil par terre. Et alors, un vieux loup gris s’est mis à hurler sur le flanc de la montagne. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ...?... Sa compagne lui répondait en bas.

            La mère de ma mère vient des réserves par ici. Ma conversion ne m’a pas ôté cela. J’aime les régions sauvages, la nature.

            Et quand ce loup s’est mis à hurler et que sa compagne s’est mise à répondre, je me suis mis à pleurer. L’orage avait dispersé un grand troupeau d’élans, et je pouvais entendre les mâles beugler l’un à l’autre. C’était comme le ciel.

67        J’ai déposé mon fusil par terre. J’ai contourné, contourné, contourné cet arbre-là. S’il y avait quelqu’un là dans les bois, il aurait dit que je sortais d’un hôpital psychiatrique. Peu importait ce que... J’adorais mon Créateur. Je pouvais L’entendre dans le cri du loup. Je pouvais L’entendre dans le cri de l’élan. Je pouvais Le voir dans l’arc-en-ciel. Je pouvais Le voir dans le coucher du soleil. Dieu était partout. Je me suis senti comme Pierre: «Il fait bon être ici.» Mais juste au pied de la colline, évidemment, il y a des malades qui attendent.

68        Et pendant que j’adorais Dieu, il m’est arrivé de remarquer... J’ai entendu un petit écureuil de pin. Et, oh! il faisait trop de bruits; c’est comme s’il allait faire du mal à quelqu’un. Juste une petite boîte à résonance, c’est tout ce qu’il était, perché sur une souche, au milieu des arbres abattus par le vent. Il ne faisait que jacasser, jacasser, jacasser. Et je me suis dit: «Petit animal, pourquoi t’agites-tu tant?» Et il a jeté un coup d’oeil de côté et a regardé en bas. Et je me suis dit: «Assurément, tu n’as pas peur de moi. Je sais seulement que tu es le policier des bois en costume bleu. Mais pourquoi fais-tu tant de bruits?»

69        Mais j’ai découvert qu’il n’aboyait. Durant l’orage, un énorme aigle avait été forcé de descendre. Un aigle... Un prophète, dans la Bible, c’est un aigle. Il monte plus haut que les autres oiseaux, et il peut voir très loin, des évènements à venir.

            Alors, il avait été forcé de descendre. Et ce grand aigle a fait un bond. Avec ses énormes yeux gris, il m’a regardé, puis il a regardé cet écureuil-là. Et je me suis dit: «Ô Dieu, pourquoi m’as-Tu arrêté dans mes cris? Je Te vois dans l’arc-en-ciel et partout, mais où es-Tu dans cette scène-ci?»

            Et j’ai observé ce grand oiseau. Et je me suis dit: «Eh bien, peut-être qu’Il est dans l’oiseau. Eh bien, me suis-je dit, il y a une seule chose: Cet oiseau ne semble pas avoir peur. C’est un héros.» Dieu ne veut pas de lâches. Il veut quelqu’un qui prendra position. Il ne veut pas quelqu’un qui a honte de témoigner à son patron. Il ne veut pas quelqu’un qui a peur de dire au médecin que Dieu l’a guéri. Il veut un héros.

70        Et j’ai pu voir que l’aigle n’avait pas peur. J’ai dit à l’aigle: «Grand oiseau, n’as-tu pas peur de moi?» Et il a regardé l’écureuil de pin, il m’a regardé. Je me suis dit: «Pourquoi n’a-t-il pas peur?» Et je continuais à regarder, il continuait à bouger ses ailes, s’en rassurant. Je me suis dit: «Oh! Je vois pourquoi il n’a pas peur.» J’ai dit: «Ne sais-tu pas que je peux te tirer dessus.» Il m’a regardé. Et j’ai dit: «Je peux prendre mon fusil et te tirer dessus. N’as-tu pas peur de moi?» Et il continuait simplement à sentir ses ailes. Je me suis dit: «Ça y est.» Dieu a pourvu à un moyen pour lui et il s’y confiait. Et il savait que, grâce ses propres ailes, le temps que je prenne ce fusil, il pouvait traverser les bois et se retrouver hors de ma portée, plus vite. Il avait confiance en la puissance que Dieu lui a donnée. Et je me suis dit: «C’est vrai, Seigneur. L’aigle peut se fier en la puissance que Dieu lui a donnée, mais qu’en est-il d’un homme baptisé du Saint-Esprit qui a peur de faire confiance à Dieu, avec cette puissance que Dieu a donnée?» C’est un lâche, pas un héros.

71        Et j’ai observé ce grand oiseau. Il en avait marre d’écouter ce petit écureuil de pin; en effet, s’il avait un peu de discernement, il aurait su que moi, j’étais son ami, que je l’admirais.

            Et peu après, il en avait marre d’écouter ces drôles de petites jacasseries, jacasseries. Il a simplement fait un grand bond, il a battu ses ailes environ deux fois, et il était au-dessus des bois. Et il est arrivé quelque chose qui m’a poussé à crier. Il n’avait point continué à battre ses ailes, d’une église à une autre, d’une dénomination à une autre, battre les ailes ici, battre les ailes là-bas.

            Savez-vous ce qu’il a fait? Il savait que ses ailes lui avaient été données dans un but. Aussi les a-t-il simplement déployées. Et à chaque coup de vent, il naviguait dessus. Et il est monté plus haut, haut... sans plus battre ses ailes, il savait bien comment les déployer et naviguer dans le courant d’air. Il a continué à aller, jusqu’à devenir un petit point.

            Je me suis mis à pleurer et à crier encore. J’ai dit: «C’est ça, Seigneur. Oh! Si seulement nous savions comment déployer nos ailes de la foi et chevaucher le courant du Saint-Esprit, et nous éloigner de ces drôles de petites jacasseries, jacasseries ici: ‘Les jours des miracles sont passés. La guérison divine n’existe pas.’ Naviguons simplement jusqu’à perdre cela de vue.» Vous en avez marre, vous vous éloignez sur des ailes données par Dieu, ce qu’Il vous donne.

72        Un jour, pendant la chasse (et je termine), un ami à moi, du nom de Caul, Burt Caul... C’était un homme cruel. Mais cependant, je l’aimais. Il avait quelque chose que j’aimais. Maintenant, je termine. Soyez en prière.

            Il avait l’habitude de tirer des faons, rien que pour faire le méchant. Eh bien, la loi l’autorisait, si vous voulez avoir un faon, eh bien, vous pouvez en avoir un par an. Mais Burt en prenait environ dix ou quinze par an juste pour faire le méchant. Et j’ai été garde-chasse, comme vous le savez, pendant les années. J’aime la nature. Je suis partisan de la conservation de la nature. J’aime en prendre soin. Mais j’étais dans un autre Etat, New Hampshire.

            Et une année, je suis monté là; Burt s’était fabriqué un petit sifflet qu’il pouvait faire retentir et qui produisait un bruit exactement semblable au cri d’un petit faon. Et j’ai dit: «Burt, tu ne vas pas t’en servir.»Il a dit: «Oh! Prédicateurs poules mouillées!» Juste pour faire le méchant, le cruel, vous avez vu des hommes comme cela. On pense être grand, mais on est petit.

73        Et il voulait faire retentir ce petit sifflet. Je me suis dit: «Assurément, il ne fera pas ça.» Mais un jour, pendant la chasse, nous sommes arrivés à une petite clairière, Burt s’est faufilé de côté et il a fait retentir ce petit sifflet. Et cela a émis un cri exactement semblable à celui d’un petit faon.

            Et tout d’un coup, de l’autre côté du chemin, une grande et belle biche (c’est la mère biche) s’est relevée et a regardé. Elle avait de très grosses oreilles et de très beaux yeux bruns. Elle était d’une stature que seul un amoureux de la nature peut admirer. Elle s’est avancée dans la clairière, les oreilles redressées, les yeux cherchant. Un petit était en difficulté et elle était une mère. Elle a regardé. J’ai vu Burt tirer la culasse mobile de son fusil pour y introduire la cartouche. Je me suis dit: «Oh! Assurément, tu ne vas pas faire cela, Burt. Assurément, tu ne peux pas faire cela. C’est une mère. Elle est certainement venue au cri de ce petit.»

74        Et je l’ai vu relever le fusil, pointer le viseur droit sur son coeur. Et alors qu’il relevait le fusil, la mère biche l’a repéré. Elle a regardé le canon du fusil droit en face, sachant que c’était la mort; mais le cri de ce petit! Il y avait en elle l’instinct d’une mère. Peu importe qu’elle fût en face de la mort, cet instinct de mère... Elle s’est avancée, peu importe qu’elle meure. Où était ce petit en difficulté?

            «Et, oh! me suis-je dit, quelle preuve d’héroïsme! Et Burt, me suis-je demandé, vas-tu faire cela, Burt?» Et j’ai détourné la tête, j’ai dit dans mon coeur: «Dieu bien-aimé, ne lui permets pas de faire cela. Comment peut-il faire cela, sachant qu’il y a dans la–la mère biche quelque chose qui la pousse à rechercher son petit? Quel qu’en soit le prix, le petit est en difficulté.»

75        Si tel est l’effet que cela a pu produire sur une mère biche quand le petit était en difficulté, quel effet cela produirait-il à un homme qui a le Saint-Esprit, quand l’église de Dieu est en difficulté? Cela vous amènerait-il à montrer vos couleurs et à aimer le Seigneur? Cela vous ferait-il cesser vos querelles et abandonner vos divergences? Cela vous amènerait-il à vous débarrasser de toutes vos superstitions et à croire en Dieu?

76        Et alors que je priais, je me suis demandé pourquoi le fusil ne détonnait pas. Et je regardais de côté, sachant que Burt était un tireur d’élite, j’écoutais, prêtant attention que le fusil détonne n’importe quand, je priais cependant qu’il ne le fasse pas. J’ai pensé que quelque chose s’était calmé. Et quand j’ai regardé, le fusil allait comme ceci. Il s’est retourné; les larmes lui coulaient sur les joues. Il a déposé son fusil par terre, il a tendu la main et m’a saisi par les mains.

            Il a dit: «Billy, je ne peux plus supporter cela. Je suis vaincu. Je ne peux plus supporter cela.» Et là, sur un petit carré de neige, je l’ai conduit au Seigneur Jésus parce qu’une mère biche avait fait montre de ce qu’elle était.

77        Ne voulez-vous pas montrer au monde de quoi vous êtes constitué? Dieu cherche des héros. Il cherche des gens qui se tiendront là et qui croiront en Lui. Et puissiez-vous faire cela ce soir, voilà ma prière, pendant que nous inclinons la tête juste un instant. L’organiste, si elle le veut bien, juste un peu de musique... J’aimerais que chaque chrétien prie. Je me demande ce soir, pendant que chaque tête est inclinée et que chaque oeil est fermé, s’il y a ici quelqu’un qui dirait, par une main levée: «Jésus de Nazareth, j’aimerais devenir Ton fidèle serviteur. Et ce soir, j’aimerais montrer combien je T’aime. Et je vais lever ma main vers Toi pour te montrer que je veux que Tu pardonnes ma vie passée. Et je veux T’accepter ce soir comme mon Sauveur personnel.»

            Que Dieu vous bénisse, là-haut. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre dans la salle en bas, ici; autour de... Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est bien. Soyez en prière. Que Dieu vous bénisse, monsieur.

78        «Je veux maintenant prendre position comme témoin. Je prends position. Je veux exprimer les sentiments qui sont en moi devant les hommes et les femmes de ce monde que j’aime le Seigneur Jésus. A partir de ce soir, je ferai preuve de mon héroïsme en tant que chrétien. Je veux devenir un vrai chrétien maintenant même. Je lève la main vers Toi, ô Dieu, que Tu me voies. Je sais que Tu vois. J’aimerais qu’on se souvienne de moi dans la prière.» Y en a-t-il un autre? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous. Vous, madame. Vous, madame. C’est bien. D’accord. Y en a-t-il un autre juste avant qu’on termine? J’aimerais prier pour vous. Y a-t-il un... Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Très bien, attendez juste un instant...

            Y a-t-il un rétrograde qui dirait: «J’ai honte de moi-même, Frère Branham. Ô Dieu, Tu sais que j’ai honte de moi-même. Ton Esprit me condamne maintenant même. Plusieurs fois, j’ai vu que je devais prendre position pour Christ, mais je ne l’ai pas fait. A partir de ce soir, avec Ton aide, je prendrai position. Je vais lever la main pour demander aussi le secours, Seigneur.» Voulez-vous le faire, rétrograde? Que Dieu vous bénisse, madame, là-haut au balcon. Que Dieu vous bénisse, petite dame. Que Dieu vous bénisse, monsieur.

79        Très bien. Y a-t-il quelqu’un qui a besoin du baptême de l’Esprit et qui dise: «Frère Branham, j’ai besoin de la plénitude de l’Esprit de Dieu dans ma vie pour me donner le courage de prendre position en ces heures d’épreuve. J’ai essayé, mais j’ai failli; je veux que Dieu me remplisse du Saint-Esprit et m’adopte dans Sa famille, afin que je sois un véritable soldat courageux.» Voudriez-vous lever la main vers Dieu pour dire: «C’est moi»? Que Dieu vous bénisse. Oui, des douzaines de mains. Maintenant, prions.

80        Notre Père céleste, nous Te remercions. «La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu.» Nous Te remercions pour ces gens ce soir. Je ne les connais pas. Toi, Tu les connais. Mais ils ont levé leurs mains, par douzaines, qu’ils voulaient Te recevoir comme leur Sauveur personnel. Et Tu as dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire premièrement.» Et Tu as aussi dit: «Tous ceux qui viendront à Moi, Je leur donnerai la Vie Eternelle. Personne ne les arrachera de Ma main. Je les ressusciterai au dernier jour.»

            Et, Père divin, je cite les Paroles de Ton propre Fils. Il a dit: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit en Celui qui M’a envoyé, est passé (au passé) de la mort à la Vie, et ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Ô Dieu, c’est Ta Parole. Tu as vu chaque main qui s’est levée. Selon Ta Parole, ils sont passés de la mort à la Vie. Ils croient. Ils ont levé la main en guise de témoignage, un signe. Et je Te prie, ô Dieu, de les recevoir dans le Royaume de Ton Fils bien-aimé, ce soir.

81        Et à la fin de ce service, que chacun d’eux vienne à l’autel, prie et Te remercie, car il y a beaucoup de gens sur terre qui n’accepteront jamais, jamais Christ. Non pas que Dieu le voulait, mais par prescience, Il le savait, et ils étaient prédestinés à cette condamnation, déclarent les Ecritures. Mais quel privilège pour un homme, que le Dieu Tout-Puissant ait frappé à son coeur et l’ait invité à venir auprès de Son propre Fils bien-aimé! Et Jésus a dit: «Je ne mettrai pas dehors celui qui vient.» Mais le Père... Et c’est un don du Père au Fils. Et le Fils a promis de les garder par Son propre Sang. Ô Dieu, garde ceux qui ont levé la main. Et si j’ai trouvé grâce à Tes yeux, écoute la prière de Ton serviteur inutile. Je demande cette bénédiction au Nom de Jésus. Amen.

82        Cela ne vous fait-il pas vraiment du bien? Le Saint-Esprit... Maintenant, tous ceux qui ont levé la main, avec les autres, à la fin... Je n’allais pas avoir un service de prière. Si je peux trouver Billy Paul, je... Il disait qu’il allait à, je pense, à l’église aujourd’hui distribuer des cartes, mais j’ai oublié. S’il ne l’a pas fait, il y en a de toute façon à distribuer. Je pense qu’il y en reste d’hier soir. Je... Où est-il, frère Wood? Oh! Excusez-moi, il est derrière moi. As-tu distribué des cartes...?... Une centaine.

83        D’accord. Combien croient que le Seigneur Jésus-Christ a promis d’être là où deux ou trois sont assemblés? Il l’a promis. Et Il a dit... Eh bien, s’Il était ici ce soir et qu’Il était... Combien ici n’ont jamais assisté à l’une des modestes et humbles réunions que le Seigneur m’a données, à moi, Son serviteur inutile? Vous qui n’avez jamais assisté à l’une de mes réunions, voudriez-vous lever la main? Oh! la la! Regardez simplement les mains.

            J’aimerais alors prendre un moment. Eh bien, mes amis, il y a cinq offices dans l’église: les prophètes, ou–ou les évangélistes, les pasteurs, les docteurs et les apôtres ou les missionnaires, l’un ou l’autre selon que vous voulez les appeler, les deux signifient la même chose. Dieu a placé cela dans l’église pour le perfectionnement de l’église.

84        Eh bien, j’aimerais vous poser des questions à vous les nouveaux venus. Croyez-vous que Jésus est ressuscité d’entre les morts? Croyez-vous cela, vous les nouveaux venus? D’accord. La Bible déclare-t-Elle, dans Hébreux 13.8, qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement? Oui, Il l’est. Eh bien, alors, s’Il est le même, Il doit être le même en essence, le même quant à la puissance, le même quant à l’attitude, juste le même Jésus. Est-ce vrai?

85        Eh bien, alors, si nous voulions savoir s’il y a tout... Il y a toutes sortes de religions dans le monde. Mais il n’y en a qu’une seule (Et on en fait déjà des credos), et c’est la religion chrétienne, dont le Fondateur est toujours vivant. Les autres sont morts. Les musulmans, les bouddhistes, tous les autres sont morts et sont dans la tombe.

            Mais Jésus est l’unique à avoir la tombe vide. Il est vivant. Et Il est avec nous. Il a promis, quand Il était ici sur terre... Maintenant, suivez attentivement. A-t-Il dit que nous ferions aussi ce qu’Il avait fait? A-t-Il promis cela? A-t-Il dit: «Encore un peu de temps, et le monde (c’est-à-dire l’ordre du monde, les membres d’église et les autres), ne Me verra plus»? A-t-Il dit cela? «Mais vous, vous Me verrez (c’est-à-dire l’Eglise, le Corps. Est-ce vrai?), car Je serai avec vous et, a-t-Il dit, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Est-ce vrai?

86        Si donc Il oeuvre... Si donc l’unique chose de différent en Jésus, Son corps physique se trouve à la main... à la droite de Dieu sur le Trône de Dieu. Ce n’est pas le Trône de Jésus; c’est le Trône de Son Père. Son Trône... Il est l’Héritier, Il en est devenu Héritier. Il a le trône de David. Mais Il est sur le Trône de Son Père, attendant. «Et celui qui vaincra s’assoira avec Moi sur Mon Trône, comme Moi, J’ai vaincu et me suis assis sur le Trône de Mon Père.» Eh bien, Il attend là dans un corps physique, mais Dieu a renvoyé Son Esprit pour être dans l’Eglise.

87        Maintenant, si je vous disais que j’avais l’esprit de John Dillinger, vous vous attendriez à ce que j’aie de grosses armes et que je sois un hors-la-loi. Si je vous disais que j’avais l’esprit d’un artiste, vous vous attendriez à ce que je peigne ces montagnes. Si je vous disais que j’avais l’esprit d’un mécanicien, vous vous attendriez à ce que j’écoute le bruit de votre véhicule et que je détecte ce qui ne va pas. Si je vous dis que j’ai l’Esprit de Christ, vous vous attendrez à ce que je fasse les oeuvres de Christ. C’est vrai. C’est ce que les églises attendent, non pas d’avoir des credos, mais d’avoir l’Esprit de Christ.

88        Eh bien, qu’a fait Christ quand Il était ici sur terre? J’aimerais vous poser une question; maintenant, celle-ci est pour les nouveaux venus. Christ, a-t-Il dit qu’Il était un Guérisseur? Non. Christ s’attribuait-Il le mérite de la guérison des malades? Non. Qu’a-t-Il dit? «Ce n’est pas Moi Qui fais les oeuvres, c’est Mon (quoi?) Père Qui demeure en Moi. C’est Lui qui fait les oeuvres.»

            Et Jésus fut interrogé. Voici ce qu’Il a dit dans Saint Jean 5.19: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même.» A-t-Il dit cela? Saint Jean... Combien ont déjà lu cela? Faites voir les mains. Saint Jean 5.19. Il est passé au milieu de beaucoup de boiteux et d’infirmes, et Il ne les a pas guéris. Il a guéri un homme qui était juste couché sur un grabat. Et Il fut interrogé car cet homme transportait son lit, et évidemment, je pense, pour ne les avoir pas guéris eux tous et autres. Mais Il est passé au milieu, Il n’a guéri qu’un seul et s’en est allé. Et ils ont demandé pourquoi Il avait fait cela. Et Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même; mais ce qu’Il voit faire au Père (Est-ce vrai?), le Fils aussi le fait pareillement.»

89        Puis, la Parole de Dieu, qui est infaillible, prouve que Jésus-Christ n’a jamais guéri quelqu’un avant que Dieu Lui ait montré en vision quoi faire. Trouvez un seul passage de la Bible où un prophète ait fait quoi que ce soit sans que Dieu lui ait montré quoi faire. Ce n’est pas un homme; c’est Dieu. Même Dieu n’avait pas reconnu la chair de Son propre Fils pour Lui donner le libre arbitre de faire tout ce qu’Il voulait. Il faisait uniquement ce que le Père Lui ordonnait.

90        Et quand Il était ici sur terre, tout au début de Son ministère (Ceci, c’est pour les nouveaux venus), un homme du nom de Philippe fut converti. Il alla de l’autre côté de la montagne et trouva Nathanaël sous un arbre en train de prier. Il le ramena avec lui à la réunion.

            Et il se tenait dans l’assistance ou dans une ligne de prière, ou quoi que ce fût. Et Jésus l’a regardé, c’était la première fois de sa vie, physiquement comme cela, et Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il L’a regardé. Il a dit: «Comment as-Tu su qui je suis, Rabbi? Comment as-Tu su que je suis un homme honnête?» Il pouvait avoir été un escroc. Il pouvait avoir été un incroyant. Il pouvait avoir été un Grec. Eux tous se ressemblaient, ils portaient de longues barbes et ils s’habillaient de la même manière. «Comment m’as-Tu connu, que je suis un homme honnête, droit et tout?» Il a dit: «Eh bien, avant que Philippe t’appelât (à trente miles [48 km] de l’autre côté de la montagne), quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Quels yeux! Voir de l’autre côté de la montagne, à trente miles [48 km], le voir sous l’arbre pendant que Philippe y allait!

            Il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.»

91        C’était là le ministère de Jésus-Christ hier. S’Il est le même aujourd’hui, c’est Son ministère aujourd’hui. Est-ce vrai?

            Qu’ont dit les Juifs, les–les croyants, eh bien, ceux qui étaient censés être des croyants, les grands moralistes, les docteurs de l’époque, les grands sacrificateurs, les souverains sacrificateurs, les érudits, les étudiants de séminaire qui connaissaient la Bible de A à Z? Qu’ont-ils dit que c’était? Ils ont dit: «C’est le diable. C’est Béelzébul.»

            Et Jésus a dit: «Vous dites cela contre Moi, le Fils de l’homme, Je vous pardonnerai. Mais quand le Saint-Esprit sera venu faire la même chose, si vous dites un mot contre Cela, cela ne vous sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.»

92        Et nous vivons dans la dispensation du Saint-Esprit, où Christ a été glorifié, et le Saint-Esprit est ici. C’est ce qu’Il a dit. Faites donc attention maintenant. Ne jugez pas. Je préférerais que vous ne disiez rien et que vous vous en alliez si vous ne croyiez pas. Peut-être... Vous ne pouvez pas croire si vous n’êtes pas un croyant.

            Il n’y a pas longtemps, un homme a dit: «Advienne que pourra, je ne crois pas ça.»

            J’ai dit: «Ce n’est pas pour les incroyants, c’est pour les croyants.» C’est tout. Ce n’est pas pour les incroyants. Cela ne leur était pas destiné.

93        Bon. Il a trouvé une femme au puits. C’était une Samaritaine. Il avait renvoyé Ses disciples. Et cette femme était sortie puiser de l’eau. Il a dit: «Apporte-Moi à boire.» Il y avait alors une loi de ségrégation, comme entre les gens de couleur et les Blancs aujourd’hui. Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose à nous les Samaritains. Nous n’avons pas de relations entre nous.»

            Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parlais, c’est toi qui M’aurais demandé à boire. Et Je t’aurais donné de l’eau que tu ne viendrais pas puiser.»

94        Et la conversation s’est poursuivie pendant qu’Il contactait son esprit. Eh bien, Il était en route pour Jéricho, mais il Lui a fallu passer par la Samarie. Vous voyez, le Père L’avait envoyé à Samarie. Et la femme est venue, Il ne savait que dire. Il a donc découvert son problème. Y a-t-il quelqu’un qui sait quel était son problème? Assurément. C’était une mauvaise femme. Elle avait un tas de maris. Elle était mariée, divorcée, mariée, divorcée, et ainsi de suite.

            Il a dit: «Toi... Va, appelle ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est vrai, tu en a eu cinq.»

95        Maintenant, qu’a dit cette femme? A-t-elle dit: «Tu es Béelzébul»? Non. Cette pauvre pécheresse pénitente a dit: «Seigneur (Ecoutez!), je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit: «Eh bien, nous savons, nous les Samaritains, nous savons...» Evidemment, elle a dit simplement que–que Jacob était son père, et tout, qu’il avait creusé le puits. Vous les étudiants de la Bible, vous pouvez certainement me suivre là-dessus. Elle a dit: «Nous savons que quand le Messie sera venu...» Croyez-vous que Jésus était le Messie? Elle a dit: «Nous savons que quand le Messie sera venu, c’est ce qu’Il fera. Il nous annoncera ces choses. Mais Toi, Qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je Le suis.»

            Elle entra dans la ville en courant et dit: «Venez voir un Homme Qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même?»

96        Si c’était là le signe du Messie jadis, et qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, c’est le signe du Messie aujourd’hui. Est-ce vrai? Il n’était pas un guérisseur. Il ne prétendait pas être un Guérisseur. Il disait: «Je ne fais que ce que le Père Me montre.»

            Nous pouvons indiquer passage après passage après passage au travers des Ecritures, et chaque fois, c’était ce que le Père montrait. En effet, les Ecritures ne se contredisent pas.

97        Jésus a dit dans Sa propre Parole, afin que vous puissiez Y placer confiance: «Je ne fais que ce que le Père Me montre d’abord.» Il se tenait dans une assistance; une femme toucha Son vêtement. Et Il dit: «Qui M’a touché?» Il ne l’avait pas senti physiquement.

            Et Pierre L’a repris. Après que tous eurent nié, la femme et tous, elle a dit: «Je ne t’ai point touché.» La femme avait peur. Mais Il a dit: «Je me suis senti faible.» La vertu est sortie. La vertu, c’est la force. «Je Me suis senti faible. Quelqu’un M’a touché.» Et Il a promené le regard jusqu’à repérer la femme. C’est le discernement. Il a repéré la femme. Il a dit...

            Elle souffrait d’une perte de sang et elle fut guérie: «Ta foi t’a sauvée.» Voyez-vous ce même mot: être sauvé? Être sauvé physiquement ou être sauvé spirituellement, c’est le même mot: Sozo. Est-ce vrai en grec? Sozo, ça veut chaque fois dire la même chose: être guéri ou être sauvé, c’est le même mot en grec, Sozo, être sauvé. Très bien. «Ta foi t’a sauvée. Ce n’est pas Moi qui ai fait cela. Je n’ai rien à faire avec cela.» Elle a utilisé le don de Dieu. Ce n’était point Dieu qui avait utilisé Son propre don.

98        Mais là, lors de la guérison de Lazare, ou de sa résurrection, Dieu avait utilisé Son don. Dieu a simplement pris Son don et a dit: «Fils, dans quatre jours (en vision), Il a dit (le Père Lui avait montré), Lazare va mourir. Pars d’ici. Je Te ramènerai et Tu iras à la tombe le ressusciter.» Jésus s’en alla simplement, obéissant au Père.

            Ils ont dit: «Seigneur, viens le guérir. Il est malade.» Jésus continua carrément de s’éloigner. Après que le temps Lui montré par le Père fut accompli (En effet, Il a dit qu’Il ne faisait rien sans que le Père le Lui ait montré), Il a dit: «Notre ami Lazare dort.»

            Ils ont dit: «Oh! Il–il se repose bien.»

            Il a dit: «Il est mort. Et à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là. Vous Me M’auriez demandé de prier pour lui alors que Je savais que ce n’était pas bien pour Moi de prier pour lui. Mais Je vais le réveiller.» Et lorsqu’Il s’est tenu à la tombe, Il a dit: «Je Te loue, Père, de ce que Tu M’as déjà exaucé. Mais J’ai simplement dit ceci à cause de ces gens qui se tiennent ici: ‘Lazare, sors!’» Et cela est arrivé.

99        Là, Dieu utilisait Son don. Mais Il n’avait pas eu de vision, et la femme L’avait touché, et alors la femme utilisait le don de Dieu. Jésus n’a pas dit: «Combien le miracle de la résurrection de Lazare était plus grand que la guérison de la femme.» Mais, là, Dieu utilisait Son don. Mais dans ce cas-ci, la femme avait utilisé le don de Dieu.

            Alors, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, peut-Il être encore touché? Peut-Il l’être? La Bible dit-Elle qu’Il peut l’être? La Bible dit: «Il est le Souverain Sacrificateur (dans Hébreux) qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.» Est-ce scripturaire? Vous pouvez donc Le toucher ce soir. Il peut vous parler, exactement comme Il avait parlé à la femme, s’Il est le même. Croyez-vous cela?

100      Eh bien, s’Il fait cela ce soir, allez-vous... J’espère qu’Il le fera pour ces enfants nés de nouveaux ici, qui viennent d’entrer dans le Royaume, afin que vous voyiez que la foi que vous avez confessée ce soir en levant la main, vous avez confessé la foi en Jésus-Christ, et vous avez fait la promesse à Dieu de Le servir le reste de vos jours; que vous sachiez que vous n’êtes pas en erreur; que vous sachiez qu’accepter Bouddha, Mahomet, ou n’importe qui de ces autres là peut produire ça. Mais Jésus peut manifester ici même ce soir qu’Il est ici même avec nous. Et Sa Vie a été reproduite en plein milieu parmi Son peuple.

101      Maintenant, une fois, les disciples revenaient d’Emmaüs après Sa mort et Sa résurrection. Ils ne savaient pas qu’Il était ressuscité.

            Et beaucoup de gens aujourd’hui, qui L’aiment réellement, ne savent pas qu’Il est ressuscité. Ils pensent qu’Il est mort; qu’il s’agit juste d’une histoire; que Son corps avait été emporté. Et pourtant ils L’aiment.

            Mais Il a marché, parlant avec eux. Et ils n’ont pas reconnu cela. Mais lorsqu’Il les a amenés à l’écart dans une petite auberge (Maintenant, suivez!), Il a fermé les portes, Il a fait quelque chose que personne d’autre ne faisait comme cela. Et en faisant cela, c’est de la même façon qu’Il l’avait fait lorsqu’Il était ici avant Sa crucifixion, alors ils ont reconnu qu’Il était le Seigneur ressuscité. Est-ce vrai?

102      Maintenant, ma prière ce soir pour vous est que Jésus vienne et fasse quelque chose juste comme Il l’avait fait avant Sa crucifixion, afin que vous compreniez clairement qu’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il n’est pas ici pour briser vos organisations. Je ne suis pas ici que pour faire autre chose qu’aider vos organisations. Je ne suis pas ici pour disperser les gens. Je suis ici pour rassembler les gens auprès du Berger, Jésus-Christ.

            Restez dans l’église de votre choix, mais aimez le Seigneur. Nous avons beaucoup de dénominations, et des bonnes, elles sont toutes bonnes. Il n’y a aucune dénomination chrétienne ici sur terre qui soit mal intentionnée. Oh! Elles se disputent et se mettent dans tous leurs états comme une bande de petits enfants, mais petits comme une petite bande de petits enfants. Mais malgré tout cela, ce sont des enfants de Dieu.

            Le diable s’infiltre parmi eux, les pousse à avoir un tempérament colérique et tout, mais Dieu les aime. Donc, si Dieu peut les aimer, assurément que vous aussi, vous devriez les aimer. Aimez-les donc de toute façon. Si ça ne se trouve pas dans votre coeur, alors vous devriez lever la main (C’est vrai) et vous frayer un chemin ici. Aimez donc les gens.

103      Qu’essayons-nous de faire ici? Affermir la foi des chrétiens, permettre au pécheur de voir que ce n’est rien, quelque chose de grand, qui était juste une espèce de... Un homme a dit: «La seule chose qui nous fait savoir que nous sommes sauvés, ce sont les anciens écrits des Juifs.» C’est un infidèle qui m’a rapporté cela. Je l’ai tenu par la main; j’ai dit: «Monsieur, j’ai plus d’évidences que les écrits des Juifs; en effet, ces écrits ont été rendus manifestes par la résurrection de Jésus-Christ.» C’est vrai.

104      Maintenant, s’Il vient... Je ne dis pas qu’Il viendra. Je n’en ai pas le contrôle. C’est Lui qui s’en occupe. Je ne Lui donne pas des ordres, c’est Lui qui m’en donne. Ce n’est pas moi qui Le fais agir, c’est Lui qui me fait agir. Mais c’est un don par lequel on s’abandonne simplement. Regardez ce micro. Vous écoutez clairement ma voix. Mais ce micro est sourd-muet tant que quelqu’un ne l’utilise pas. Est-ce vrai? Il ne peut pas parler de soi. Cette musique que nous entendons, elle est muette à moins que quelque chose la produise. C’est pareil pour moi. Comment...

105      Il n’y a personne ici que je connaisse à part monsieur Cook, assis là même, frère Cook. Je pense que c’est l’unique ministre du groupe que je connaisse, en dehors de mon fils et de cet homme ici, monsieur et madame Wood, et ma belle-fille, assise juste là au bout du siège, juste par ici. Ce sont les seules personnes que je vois maintenant que je connais. Vous m’êtes tous inconnus. Je ne vous connais pas. Voici ce que je dirai: Que vous soyez pécheur ou pas, Christ vous connaît.

106      Maintenant, s’Il vient et agit exactement comme Il avait agi quand Il était ici sur terre... Prenez le Livre de Jean ou n’importe quel Livre de la Bible, lisez cela. S’Il reproduit cela une fois de plus dans les quinze prochaines minutes, direz-vous: «Alors, Seigneur, j’ai confiance, moi en tant que chrétien, j’ai confiance que je peux avoir ce que je demande, car ceci est Ta promesse. Et Tu es vivant ici, Tu manifestes ce soir que Tu es ici pour me donner tout ce dont j’ai besoin et que je demande»? Le ferez-vous? Levez la main si vous le ferez. Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions. Encore une fois pour la prière.

107      Père céleste, maintenant, il y a des centaines de gens assis ici dans l’assistance avec des cartes dans leurs mains. Il y a probablement plusieurs centaines là qui ont besoin de Ton toucher.

            Je Te prie, précieux Père, que d’une façon ou d’une autre ce soir, ensemble nous... Peu importe à quel point je peux m’abandonner moi-même et que Ton Esprit peut venir sur moi, si ces gens ne croient pas, rien ne pourra arriver. C’est leur foi qui compte. Car, lorsque le Saint-Esprit était sur Ton Fils Jésus-Christ, alors qu’Il avait l’Esprit sans mesure, Il est allé dans Sa propre contrée, et la Bible dit qu’Il n’a pas pu accomplir beaucoup de miracles à cause de leur incrédulité. Je prie, ô Dieu, qu’il n’en soit pas ainsi ici dans cette ville. Cette belle ville habitée par des personnes importantes, une petite ville, mais des personnes importantes.

            Je Te prie de déverser Tes bénédictions sur eux. Et confirme Ta Parole parmi eux ce soir afin qu’ils voient que leur espérance en Jésus-Christ n’est pas mythique. Il ne s’agit pas du tout d’une histoire comme celle de père Noël, mais c’est le Fils de Dieu réel, ressuscité qui vit parmi nous ce soir. Je prie au Nom de Christ. Amen.

108      Je suis très désolé de vous garder longtemps. Juste quelques instants maintenant... Tout ce que je peux dire... Je ne suis pas un prédicateur. Je suis... Il y a ici des hommes qui peuvent prêcher la Parole. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... dans la ligne de prière. En effet, la Bible dit: «Va, et ne pèche plus, de peur qu’il ne t’arrive quelque chose de pire.» Et qu’est-ce que le péché? L’incrédulité. «Va, et ne doute plus, de peur qu’il ne t’arrive quelque chose de pire.» D’accord. Faites venir votre patient, ou je ne sais qui...

109      Maintenant, voudriez-vous changer cela, entonner Crois seulement, s’il vous plaît, soeur? J’ai prêché, vous savez, c’est un peu difficile de passer de l’un à l’autre. Et vous, les frères, là au coin, s’il vous plaît, soyez en prière pour moi maintenant, et partout; en effet, il y a–il y a une grande foule, ils se tiennent partout, derrière moi, et là dans la salle à côté. Les visions peuvent apparaître de partout. Voyez? C’est vous. Comprenez-vous maintenant, tout le monde? Ce n’est pas moi. Je deviens simplement oint et c’est vous qui Le touchez, et Il parle au travers de moi. Comprenez-vous cela maintenant? Ce n’est pas moi; c’est Lui.

110      Eh bien, un homme se tient ici. Je n’ai jamais vu cet homme de ma vie. Nous sommes de parfaits inconnus, tout comme le reste d’entre nous. Eh bien alors, et si c’était une scène de la Bible, Nathanaël que Philipe avait amené à la réunion? Et il–il se tenait là, et Jésus était ici, comme je me tiens. Et si cet homme était malade et qu’il disait: «Je... Jésus, je crois que Tu es le Fils de Dieu. Je veux que Tu me guérisses»? Et que Jésus était déjà revenu pour la seconde fois, et qu’Il se tenait là comme Il l’avait fait avant Sa crucifixion, et qu’Il se tenait ici, que lui dirait Jésus? Le guérirait-Il? Faites attention. (Je suis content que vous soyez une assistance bien enseignée.) Certainement qu’Il ne le ferait pas. Il ne le pourrait pas. Il l’a déjà fait au Calvaire. Il ne pourrait pas le refaire. Il l’a déjà fait. Si vous êtes... Si vous étiez dans un ... sur gage... vous aviez quelque chose dans un magasin de prêt sur gage, et–et que vous aviez racheté cela, que vous aviez un bon qui prouve que vous l’aviez racheté, comment pouvez-vous racheter cela pour la deuxième fois? Vous êtes déjà racheté de chaque malédiction que le diable a placée sur vous. Vous n’avez qu’à croire et à accepter cela.

111      Maintenant, soyez respectueux. Mais que ferait Jésus? Il lui parlerait. Vous pensez que si... Eh bien, si Jésus, si le Père le Lui révélait, comme Il a fait pour Philippe et Nathanaël, puisqu’Il l’avait fait, Il peut faire la même chose, s’Il est le même. Est-ce vrai? Mais quant à le guérir, ça, c’est déjà fait. Est-ce vrai?

            Maintenant, je ne sais pas pourquoi cet homme se tient... Il peut être un critiqueur, il peut être un incroyant, il peut être un chrétien. Il peut avoir un besoin d’argent. Il peut être... un problème en famille. Je ne sais pas. Je ne peux pas vous le dire. Je n’ai jamais vu cet homme auparavant. L’unique chose qu’il y a, c’est que quelqu’un lui a donné une carte de prière qui portait un numéro et il est arrivé que ce numéro a été appelé et le voici ici.

112      Maintenant, si Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement, alors Il le peut, s’Il vient... Et Il vous connaît. Il peut me dire, tout comme Il avait montré au Fils de Dieu. S’Il est le même, Il doit... Voyez, Jésus... Nous sommes les quoi? Les sarments; Il est le Cep. Est-ce vrai? Savez-vous cela, vous lecteurs de la Bible? Est-ce le cep qui porte les fruits? Faites attention. Non, ce sont les sarments qui portent les fruits. Le cep donne seulement la vie aux sarments.

            Jésus n’a donc pas d’yeux ce soir sur la terre en dehors des miens et des vôtres. Il n’a pas de mains en dehors des miennes et des vôtres. Il n’a pas de voix en dehors de la mienne et de la vôtre. Et Il est l’Esprit en nous, et nous sommes les sarments pour porter les fruits quand Il nous donne la Vie. Est-ce vrai? Maintenant, c’est ainsi que vous devez vous y prendre ici.

113      Vous direz: «Frère Branham, vous marquez une pause. Pourquoi hésitez-vous? Pourquoi cherchez-vous à gagner du temps?» Oui, c’est vrai. Je L’attends. Si je... s’Il ne vient pas vers moi, je parlerai juste à cet homme, je prierai pour lui et c’est... Nous ferons venir les autres, nous prierons pour eux, et c’est tout. Il n’a pas... L’onction n’est pas sur moi. Je sais que cela est ici à l’estrade.

            Et je–je viens de prêcher comme cela, je ne peux pas entrer dans cela. Soyons donc simplement en prière un instant, comptons sur Lui et croyons. Peut-être que je vais parler à cet homme juste un instant. Et puis...

114      Bon, monsieur. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas? Nous ne nous connaissons pas. Mais Dieu nous connaît tous deux. Je n’ai aucune idée de ce pour quoi vous êtes ici. Vous me paraissez un homme en bonne santé. Je n’ai aucune idée de ce pour quoi vous vous tenez là, pas plus que quoi que ce soit. Mais... Et je ne voudrais même pas que vous pensiez à ce que vous voulez. Je veux juste que vous–que vous croyiez. Et croyez que Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts et que c’est réglé.

            Croyez-vous que l’Evangile que j’ai prêché à Son sujet, qu’Il est ressuscité d’entre les morts, croyez-vous que c’est vrai? Vous croyez. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Croyez-vous que ce que je vous ai dit est la vérité? Avez-vous déjà lu mon livre où il est dit, où l’Ange a dit: «Si tu amènes les gens à te croire...»? Voyez? Eh bien, c’est ce qu’Il m’a dit: «Amène les gens à te croire», non pas me croire comme en Lui, mais à croire qu’Il m’a envoyé. Voyez?

            C’est comme ça que ça doit se passer. C’est un don. Et votre attitude envers le don, c’est ce que... Vous... S’Il–s’Il fait cela, alors vous reconnaîtrez que cela provient absolument d’un Etre surnaturel. Il s’agit donc de votre attitude envers cela.

115      Eh bien, si l’assistance entend encore, et le technicien qui s’occupe des micros, cette Lumière se place entre cet homme et moi. Et je suis sûr qu’il est conscient que quelque chose se passe. Cet homme s’éloigne de moi. Je le vois tout nerveux au sujet de quelque chose. Il souffre de la nervosité. C’est vrai. Et cet homme est, surtout quand il essaie de marcher des fois, quelque chose cloche en lui. Il souffre de l’arthrite. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai. Levez la main si c’est vrai. Croyez-vous?

            Maintenant, plus on peut Lui parler, plus des choses arrivent. Voyez? Je vous dis quoi faire. Si vous croyez de tout votre coeur maintenant, cela dépendra de vous. J’aimerais que vous déployiez toute la foi que vous avez en Jésus-Christ et que vous croyiez maintenant même. Croyez-vous?

116      Maintenant, je revois cet homme. Il traverse une maison, mais il y a autre chose. C’est une–une personne plus jeune. C’est quelqu’un qui lui est proche. C’est un–c’est un petit-fils, je dirais qu’il prie à ce sujet. Le jeune garçon a quelque chose sur la tête; c’est une nodosité, une grosseur à la tête. Afin que vous sachiez que je suis serviteur de Dieu, je le dis humblement, il en a eu deux. L’une a diminué et il y a une autre. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai, n’est-ce pas? Vous savez, monsieur, je ne savais pas cela. Aucun moyen pour moi... Il y a Quelque Chose ici, n’est-ce pas? Quelque Chose qui vous connaît est ici avec votre frère. C’est vrai, n’est-ce pas?Jésus a donc dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» A-t-Il dit cela? Me considérez-vous comme un croyant? Alors, venez ici juste un instant. Laissez-moi vous tenir la main. Père céleste, je bénis cet homme au Nom de Jésus-Christ; que Tu lui accordes tout ce qu’il désire. Je le demande de tout mon coeur, au Nom de Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Allez, croyez et recevez ce que vous avez demandé.

117      Croyez-vous? Combien croient maintenant? Merci. Vous verrez alors de plus grandes choses que cela. Regardez donc. Maintenant, le Saint-Esprit est ici. Je prends chaque personne ici présente sous mon contrôle au Nom de Jésus-Christ, pour la gloire de Dieu.

118      Bonsoir. Je ne vous ai jamais vu, monsieur. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose. Mais Dieu nous connaît tous deux. Il vous connaît; Il me connaît. Moi, je ne vous connais pas, et peut-être que vous ne me connaissez pas. Mais il y a ici Quelqu’Un qui nous connaît tous deux. Et vous savez que cette sensation qui vous envahit, ce n’est pas votre frère qui se tient ici. Vous avez un bel esprit. Vous êtes chrétien. C’est vrai. Vous ne vous tenez pas ici pour vous-même. Vous vous tenez ici pour quelqu’un d’autre: c’est une personne avancée en âge. C’est votre papa. Il est couvert de l’ombre de la mort, due à un cancer. C’est vrai.

            Et voici autre chose: il y a un rapport entre vous et la chaire d’une certaine façon. Vous êtes un prédicateur. C’est vrai. Croyez-vous maintenant que vous êtes dans la Présence de votre Créateur? Prions.

            Notre Père céleste, je prie pour cet homme et pour son désir. Qu’il sache maintenant qu’il a peut-être le contact le plus proche qu’il ait jamais eu avec Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Et je Te prie de lui accorder le désir de son coeur, par le Nom de Jésus. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, monsieur. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas, mais croyez de tout votre coeur. Vous verrez la gloire du Seigneur.

119      Est-ce vous la dame? Je ne suis pas à côté... hors de moi, mais est-ce vous la dame à qui je dois parler? Est-ce la–est-ce la–est-ce la dame, n’importe qui là dans la ligne de prière, ou est-ce–est-ce...? D’accord. Eh bien, alors, si vous croyez de tout votre coeur, et que vous demandez au Seigneur et que vous croyiez que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Croyez-vous que ces choses que vous voyez et dont vous êtes témoin oculaire sont un signe de la Venue imminente du Seigneur Jésus? A-t-Il dit cela dans les Ecritures?

120      Jésus, quand Il était ici pour la première fois, Il disait qu’Il faisait cela afin que soit accompli ce qui avait été annoncé par des prophètes plusieurs centaines d’années auparavant, des milliers d’années auparavant. Et ceci arrive ce soir afin que soit accompli ce que Jésus a dit: «Vous ferez aussi ce que Je fais. Je serai avec vous, en vous, jusqu’à la fin du monde.» C’est pour accomplir. La Parole de Dieu doit être accomplie. Le temps est proche.

121      Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue, et vous ne me connaissez pas, je suppose. Si c’est vrai, levez la main. Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre. Nous n’avons jamais... Pardon? Vous ne m’avez jamais vu avant ce soir, c’est notre première rencontre.

            Mais vous êtes une croyante. Vous êtes une chrétienne. Vous n’êtes pas ici pour vous-même. Vous êtes ici pour une–une femme, une femme plus jeune. C’est votre parente. Et c’est votre belle-fille. Elle a un cas grave d’arthrite. Et si vous croyez que je suis le prophète de Dieu, vous-même vous avez dernièrement été guérie d’une maladie. Et cette maladie, c’était la pneumonie. C’est vrai. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous? Venez donc.

            Notre Père céleste, je bénis cette femme au Nom du Seigneur Jésus, que Ton Saint-Esprit vienne sur elle et qu’elle reçoive ce qu’elle a demandé. Car je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. Et recevez ce que vous demandez.

122      Soyez respectueux; ayez foi. Si je vous disais que c’est moi qui fais ceci, je serais un menteur. Ceci est permis par le Père céleste pour accomplir Sa Parole. Si vous me croyez, Dieu est en train de rendre témoignage que ce que j’ai prêché est la vérité. On peut dire ce qu’on veut. Si Dieu ne rend pas témoignage, on a le droit d’en douter. Mais si Dieu rend témoignage que ce qui a été dit est la vérité, alors le doute fait de vous un pécheur. Peu importe où vous allez, ou combien de religion vous prétendez avoir, vous êtes un incroyant. Caïphe était un incroyant religieux.

123      Bonsoir, monsieur. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose, monsieur. Je ne vous ai jamais vu de toute ma vie. Mais il y a ici Quelqu’Un qui vous connaît. Il connaît tout à votre sujet. Et Il vous jugera en ce jour-là comme Il me juge. Et nous sommes deux hommes qui se sont rencontrés ici. Et si Dieu, par la permission du Saint-Esprit, me révèle ce pour quoi vous êtes ici, accepterez-vous cela comme cette femme à qui Il avait révélé son problème? Et accepterez-vous cela de tout votre coeur?

124      La petite dame assise, en train de me regarder si sincèrement, avec la main levée comme ceci, vous portez une petite chose jaune ici: vous. Vous L’avez touché. Il y a la Lumière, si quelqu’un peut voir Cela suspendu juste au-dessus de cette femme.

            Cette dame était en train de prier. Et dans sa prière, elle demandait que Dieu m’amène à l’appeler. Elle souffre d’une maladie gynécologique, une maladie de femme. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? Si ce que je dis est la vérité, faites signe de la main. Vous avez un écoulement, n’est-ce pas? Cela arrive dans la salle de bain, là où Dieu et vous seule le savez. Vous avez un abcès sur l’ovaire. Si c’est vrai, faites signe de la main. Mais vous êtes guérie maintenant. Vous avez touché le Souverain Sacrificateur. Allez, et que la paix de Dieu soit avec vous.

            Comprenez-vous? Cette femme n’avait pas de carte de prière, rien, elle n’était pas à l’estrade. Elle a touché... Ce soir, cette Ecriture est accomplie sous vos yeux. Comment pouvez-vous douter?

125      Excusez-moi, monsieur. Je ne peux que travailler selon ce qu’Il me montre. Je ne peux que dire ce que je vois. Je ne suis pas responsable de ce qui arrive. Je suis seulement responsable de ce que je vois. Et je dis ce que je vois. Et ce que je vois est la vérité, car c’est Lui qui le montre. Quarante-sept ans, Il n’a jamais dit quelque chose de faux. Et Il ne peut pas dire quelque chose de faux, car Il est Dieu.

            Je vous vois essayer d’entrer dans quelque chose. Vous êtes–vous êtes dans un tourbillon spirituel. Vous désirez que je prie pour vous, pour une élévation spirituelle. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.

            Je ne connais pas votre coeur, monsieur, mais Dieu le connaît certainement. Vous le savez. Je vois autre chose: un grand rivage ou quelque chose comme cela. L’eau bouge. Et il y a une personne pour laquelle vous priez, qui est au loin: votre soeur. Et elle est quelque part là, c’est à l’ouest–c’est à l’ouest, c’est la Californie. Et c’est une–une travailleuse de longue date dans l’oeuvre du Seigneur, et elle devient aveugle. Et vous voulez que je prie pour elle. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.

            Croyez-vous maintenant? Notre Père céleste, au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus, je Te prie d’aider cet homme à recevoir ce qu’il a demandé au Nom de Christ, je le demande. Amen. Ne doutez pas, monsieur. Allez, en croyant et recevez selon votre foi. Amen.

126      Maintenant, soyez vraiment respectueux, priez, ayez foi en Dieu. Bonsoir. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose. Mais Dieu nous connaît tous deux, monsieur. Et vous et moi devons répondre devant Lui. Et Il permet ceci s’Il le fait. Je ne dis pas qu’Il le fera. Il le peut. Je ne dis pas qu’Il le fera.

            Mais s’Il me permet de savoir ce qui est dans votre coeur et ce que vous voulez de la part de Dieu, croirez-vous que Dieu en retour sera disposé à vous l’accorder? S’Il me permet de le savoir, alors que vous savez que je ne vous connais pas, croyez-vous que ça sera alors la volonté de Dieu, qu’Il vous...? Croyez-vous la même chose dans l’assistance?

            C’est la miséricorde et la bonté de Dieu, de chercher à amener les gens à croire en Lui et à L’accepter. Ne pouvez-vous pas croire cela?

127      Quelqu’un a été guéri tout à l’heure. Il y a une femme âgée assise là avec des cheveux grisonnants, en lunettes, qui souffre de l’hypertension. Elle prie que Dieu ôte l’hypertension. C’est exact. La petite dame en lunettes, la tête grise, en robe bleue; c’est vrai, n’est-ce pas? N’étiez-vous pas assise là en train de prier tout à l’heure pour... Levez la main. Très bien. Croyez-vous que vous recevez cela? Alors, vous pouvez avoir ce que vous demandez. Que le Seigneur vous l’accorde. Amen.

128      Monsieur, vous voulez que je prie pour une grosseur qui est sur vous. Et la grosseur se trouve dans vos cheveux, sur la tête. C’est vrai. Je ne sais pas si elle se fait voir ou pas, là où vous voyez cela. Mais c’est pour cela que vous voulez que je prie. Est-ce visible? Pouvez-vous voir cela? Voyons...?...

            Quelqu’un peut-il voir cela dans l’assistance? Alors, parlons-lui encore. C’est quelque chose que vous pouvez voir. Un incroyant pourrait dire: «Assurément, tout le monde peut voir cela.» Laissez-moi parler à cet homme. Que le Seigneur Dieu révèle autre chose, peut-être, qu’eux ne peuvent pas voir. C’est le... ce... le miracle, c’est–c’est ce que vous ne voyez pas ou qu’on ne peut pas voir. Lorsque Pierre est allé auprès du Seigneur, ce Dernier a su qui il était. Il a su qui était son papa. Il a dit: «Tu es Simon, fils de Jonas.»

129      Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes? Croyez-vous cela? Vous vous appelez Oland Cross. C’est vrai. Croyez-vous qu’Il sait où vous habitez? Vous habitez au 1401, Wildwood. C’est exact. Vous fréquentez une église quelque part qui est... ce n’est pas trop grand. Et il y a un homme aux cheveux grisonnants qui parle, et vous êtes... qui fréquente votre église. Croyez-vous de tout votre coeur maintenant? L’accepterez-vous comme votre Guérisseur? Alors, venez ici.

            Notre Père céleste, Jésus, le Fils de Dieu, ressuscité d’entre les morts, je Te prie d’aider cet homme et de lui accorder le désir de son coeur, voyant qu’Il est venu humblement et qu’il a imploré la miséricorde. Nous prions au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Ne doutez donc pas. Allez, croyant de tout votre coeur. D’accord, venez, monsieur.

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