Qui Est Celui-Ci?

Date: 59-0510E | La durée est de: 1 heure et 12 minutes | La traduction: Shp
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1          Que Dieu vous bénisse, frère. C’est vraiment bon de venir à la maison de l’Eternel. Je pense, il y a quelque temps, je méditais sur un passage des Ecritures, et il y est écrit que lorsque Jésus s’approchait de Jérusalem, les disciples levèrent les yeux et virent la ville sainte au loin. Alors, ils se mirent à se réjouir, disant que... «Est-ce en ce temps-ci que le royaume va être rétabli?»

            Un homme racontait, ou parlait d’une récente visite en Palestine... Et il disait que là, l’année passée, les gens se rendaient à un lieu, après être montés de la vallée, quand ils ont regardé le virage, la même route que Jésus et les disciples avaient empruntée à l’époque, et quand ils ont vu la ville, ils se sont mis à pleurer. Vous savez, je pense que les disciples de l’époque ressentaient quelque chose, c’est que–que le royaume allait être rétabli. Et il est pratiquement temps maintenant. Je pense que c’est ce que les gens pensent aujourd’hui, que le Royaume est sur le point d’être restauré.

2          Frère Neville, notre bienveillant et béni pasteur, venait de me parler des efforts pour le prochain réveil ici au tabernacle, dans quelques soirées, pour qu’on prie pour cela. Et je lui ai dit qu’à mon avis, ce serait une bénédiction. On ne peut tout simplement pas avoir trop de réveils. Et souvent, nous avons une fausse conception du réveil. Un réveil ne consiste pas tellement à amener de nouveaux membres, mais à ranimer ceux que nous avons déjà. Et je suis... Voici ce que j’aimerais dire, en effet, je le dis du fond de mon coeur, je commence à percevoir au tabernacle un sentiment différent de ce que je ressentais depuis longtemps, un sentiment d’un profond sens spirituel, comme ce qu’on avait il y a longtemps, ce quelque chose d’établi, qui a un vrai fondement. Et je crois que Dieu bénira cette petite église. Et... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] une fois de plus par Sa puissance. Je vois que le programme de construction est en cours, et je pense que c’est une chose remarquable. En effet, tôt ou tard, nous les personnes plus âgées, nous ôterons nos armes, les confierons à nos enfants et nous gravirons l’escalier d’or. L’autre jour, j’ai dépassé cette ligne médiane de cinquante ans. Je ne m’en rends simplement pas compte. On dirait que ça ne fait pas longtemps que je transportais des provisions pour Chris Misner, à l’âge d’environ 18, 16, 18 ans. Cela est simplement allé quelque part. Ça montre bien que nous n’avons pas de cité permanente ici, mais que nous cherchons celle qui est à venir. Et c’est la Cité dont Dieu est le Constructeur; celle-là ne connaîtra jamais de fin.

3          Ce matin, comme je parlais de la Fête des mères, j’essayais de montrer la place de la mère; pas telle qu’elle est en réalité, vieille, ridée, dans un vieux fauteuil roulant qui lui sert de béquilles, ou un fauteuil et un petit pot de fleurs placé à côté d’elle, mais la mère dans la résurrection, redevenue jeune, et resplendissante comme une reine.

            C’est ainsi que j’aime me représenter ma mère. Je n’aime pas me la représenter telle qu’elle est aujourd’hui, vieille. J’aime penser à ce qui vient. Et je sais que c’est pareil pour vous vis-à-vis de vos mamans. Pensez à elle telle qu’elle est en fait dans son coeur. Quoique beaucoup... Comme ce poète le dit: «La vie n’a pas été facile pour elle, mais elle la reprendra entièrement, juste pour faire quelque chose pour vous.» Dieu va donc frayer une voie pour qu’elle vive éternellement avec vous. J’en suis donc content.

4          Je ne sais pas pourquoi j’ai annoncé ce matin que je parlerai ce soir, le Seigneur voulant, sur: Qui est Celui-ci? Certainement que je ne sais pas comment je vais m’y prendre. Mais ça fait environ une heure dix minutes que je me suis dégagé des entretiens que j’ai eus tout l’après-midi, et j’ai eu des cas spéciaux et–et des appels urgents. Je n’arrivais pas à m’en acquitter. Je voudrais que vous continuiez à prier pour docteur Sam Adair. Il–il se porte bien, et nous en sommes reconnaissants. Docteur Baldin et madame Baldin sont tous deux en train de se rétablir. Ils se portent bien.

            Et j’aimerais que vous ajoutiez une autre personne sur votre liste de prière cet après-midi, il s’agit de Harry Leese qui est ici, un pharmacien. Harry est mon ami personnel. Et depuis que je le connais, je me disais que c’était un chrétien, jusque cet après-midi quand son frère a présenté une requête pour le salut de son âme. C’est frère Mike Egan qui a apporté le... notre administrateur ici, c’est lui qui a apporté la nouvelle. Et Harry est dans un état grave là à l’hôpital. Je ne savais pas qu’il avait tant de considération pour moi, mais cet après-midi, il a laissé son propre pasteur, celui de l’église qu’il fréquente, il tenait à ce que j’aille le voir. Et j’aimerais aller le voir. Priez donc pour Harry.

5          Ce soir, nous sommes content d’identifier ici mes amis, ici, qui viennent de la Géorgie: frère Welch Evans et sa famille. Je vois aussi d’autres visiteurs que je ne connaissais pas, probablement qu’ils étaient ici ce matin. Si je ne me trompe pas, c’est frère et soeur Elmer Collins que je vois là derrière, ils viennent de Phoenix, en Arizona. Oh! vous n’avez pas changé! On dirait que vous devriez être en tenue de cheminots, revenant de la voie ferrée. Et, bon retour à la maison, je ne peux pas vous demander de rester ici, étant donné que vous avez trouvé une meilleure ville. Voyez? Il fait très beau à Phoenix. J’aimerais un jour y habiter moi-même.

            Et je vois frère Smith ici, de l’Eglise de Dieu là. Frère Smith, on m’a remis votre petit livre l’autre jour, tard, hier après-midi. Je ne l’ai pas encore lu, mais je vais certainement l’apprécier. A ma connaissance, c’est vous qui l’avez écrit, il doit vraiment être scripturaire. Que Dieu vous bénisse, et j’espère que c’est un succès. Et à beaucoup d’autres, je pourrais dire que vous êtes tous les bienvenus ici au tabernacle. Et ce matin, j’ai apprécié ce cantique que soeur Stricker a chanté: Il la regarde par le treillis. Mes frères mennonites qui sont ici, je suis content de les avoir ici. Et, oh! vous tous. Un ami ici, je pense, de l’Illinois. Son fils fait des enregistrements là derrière. Il m’est arrivé de les revoir... Il y en a tellement que je ferais mieux... N’allez pas penser que je manque d’égards envers vous, pour n’avoir pas mentionné votre nom. Mais je vous souhaite simplement la bienvenue à vous tous.

6          Ce soir, lisons donc comme passage, pour une leçon sur les Ecritures, dans Matthieu, chapitre 21, à partir du verset 1, nous allons lire jusqu’au verset 11 compris.

          Lorsqu’ils approchèrent de Jérusalem, et qu’ils furent arrivés à Bethphagé, vers la montagne des oliviers, Jésus envoya deux disciples,

          En leur disant: Allez au village qui est devant vous, vous trouverez aussitôt une ânesse attachée, et un ânon avec elle; détachez-les, et amenez-les-moi.

          Si quelqu’un vous dit quelque chose, vous répondrez: le Seigneur en a besoin. Et à l’instant, il les laissera aller.

          Or, ceci arriva afin que s’accomplît ce qui avait été annoncé par le prophète:

          Dites à la fille de Sion: Voici, ton roi vient à toi, plein de douceur, et monté sur un âne, sur un ânon, le petit d’une ânesse.

          Les disciples allèrent, et firent ce que Jésus leur avait ordonné.

          Ils amenèrent l’ânesse et l’ânon, mirent sur eux leurs vêtements, et le firent asseoir dessus.

          La plupart des gens de la foule étendirent leurs vêtements sur le chemin; d’autres coupèrent des branches d’arbres, et en jonchèrent la route.

          Ceux qui précédaient et ceux qui suivaient Jésus criaient: Hosanna au Fils de David! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur! Hosanna dans les lieux très hauts!

          Lorsqu’Il entra dans Jérusalem, toute la ville fut émue, et l’on disait: Qui est celui-ci?

          La foule répondait: C’est Jésus, le prophète de Nazareth...

7          Inclinons la tête pour la prière. Ô Seigneur, nous nous demandons bien ce que nous aurions dit si nous avions vécu à l’époque. Mais nous vivons en un jour plus glorieux, où nous attendons Sa Venue. Et pendant que nous nous préparons, Seigneur, préparant nos coeurs et ramenant toutes les gerbes que nous pouvons rassembler des champs de moisson, tant au pays qu’à l’étranger, nous pensons, nous anticipons ce temps où nous Le verrons venir, monté sur un cheval blanc, descendant les portails de la Gloire pour changer et transformer ces vieux corps corruptibles en un corps glorieux semblable au Sien propre; là, ni péché ni trace de la mort n’entreront jamais. Et nous Le verrons tel qu’Il est, nous vivrons et nous L’aimerons dans tous les âges à venir.

8          Nous Te remercions pour cette église, pour son pasteur, pour les administrateurs, pour les diacres et pour chaque personne qui vient ici, pour les visiteurs qui sont dans nos murs; ce sont les brebis de la même bergerie, mais venant d’un autre corral. Nous Te demandons de les bénir ce soir par Ta Présence et de nous nourrir de Ta Parole, de telle manière que nous pourrons partir d’ici ce soir déterminés à devenir des chrétiens meilleurs que jamais auparavant. Puissions-nous partir, le coeur chargé d’un nouvel espoir, avec joie, attendant Sa Venue. Si par hasard, il y a des malades et des affligés parmi nous, nous n’oublierons pas de prier pour eux, afin qu’en entrant ce soir dans cette salle, où nous nous sommes assemblés pour l’adoration, en y entrant malades, ils puissent en ressortir rétablis. Et nous prions pour les convalescents dans des maisons et dans des hôpitaux, et pour ceux qui sont sur des lits d’affliction, nous prions, ô Dieu, que Ta miséricorde les atteigne.

9          Nous prions pour les indifférents ce soir, ceux qui n’ont pas encore goûté et vu que le Seigneur est bon, qui ne savent pas ce que c’est que d’être aimés de Dieu. Ils ne savent simplement pas ce qu’ils manquent. Ô Dieu, que par une émission radiodiffusée, par un moyen quelconque, leurs coeurs soient touchés et que leurs émotions soient converties à Toi avant que la porte de la miséricorde se ferme et qu’ils se retrouvent dehors, pour subir le jugement sans miséricorde. Viens-nous en aide, Seigneur. Nous prions pour ces choses au Nom du Seigneur Jésus, et nous les demandons pour Sa gloire. Amen.

10        Il y avait une grande foule autour des portes, et les rues étaient bondées, les gens n’avaient même pas de place où dormir. Ils étaient couchés en dehors des murs, partout, par terre, parce que c’était Pâque. Et les gens étaient venus du monde entier, celui connu à l’époque, pour adorer en ce temps. C’était le temps où l’agneau pascal était immolé et le... Cela représentait leur libération de l’Egypte, de la servitude. Et ils observaient cela chaque année; chaque année, on célébrait cette grande Pâque. Et c’était l’un des moments les plus remarquables de... ou plutôt, des événements de la religion juive, parce que cela représentait le moment de leur libération. Tous aimaient s’en souvenir, se souvenir du moment de leur libération.

11        Oh! comme chacun de nous peut ce soir se souvenir du moment où nous avons été libérés, ce que cela représentait pour nous... Je peux me souvenir de ma propre expérience, comment mon pauvre coeur de jeune garçon languissait de rencontrer Dieu. Je me disais: «Si seulement je peux monter frapper à Sa porte et Lui parler un instant!»

            Et, évidemment, vous connaissez mon histoire. J’ai pris du papier et un crayon, et je me suis mis à Lui écrire une lettre, comme je n’arrivais pas à Lui parler. Et je savais qu’Il habitait dans le bois, parce que je L’avais entendu, et je L’avais vu se mouvoir dans le bois. Et je... un ancien sentier familier que j’empruntais quand je chassais ou que j’allais à la pêche, je me disais que j’allais–que j’allais coller cette lettre sur un arbre et l’adresser à Monsieur Jésus. Juste une façon ou une autre d’ôter ce fardeau de mon coeur...

            Et ce soir-là, là... Je peux oublier mon âge. Je peux même des fois oublier mon nom. Mais je ne peux jamais oublier cette heure-là où Il m’a délivré du péché. Quelque chose s’est passé au fin fond de moi, et cela m’a aidé en des heures difficiles et sombres, l’heure de ma délivrance. Le fardeau du péché m’a quitté, et j’étais devenu une nouvelle personne. Je suis devenu une nouvelle créature en Christ Jésus depuis lors.

12        Alors, ces Juifs montaient chaque année. Il y avait une–une fontaine à l’intérieur de l’église. Et ils prenaient du–du pain, des herbes amères, l’agneau, et ils buvaient à cette fontaine dans l’église. Ils se réjouissaient ensemble, parce que Dieu leur avait témoigné une faveur.

            Donc, c’était le temps de Pâque... Et non seulement c’était la Pâque, mais c’était une Pâque spéciale.

            Vous savez, parfois nous allons à l’église... Et nous aimons toujours y aller. Mais des fois, il se passe quelque chose de spécial. Et celle-ci était l’une de ces occasions-là. L’air était chargé d’expectative, comme c’est le cas aujourd’hui. Les yeux de tous ces gens qui L’aimaient veillaient pour Le voir apparaître à la porte.

13        Et je pense qu’à beaucoup d’égards, c’est pareil aujourd’hui, car ceux qui L’aiment L’attendent. L’air est chargé d’expectative. Alors que nous vivons en ce jour où la terre est... en réalité est devenue une grosse poudrière, et la science nous dit qu’il est minuit moins trois...

            Et je suis sûr que, comme moi, vous avez lu cela l’autre jour, l’histoire de ce général de l’armée. Il disait que s’il y avait une autre guerre, elle ne durerait que deux ou trois minutes. La vieille époque où on se battait, on se tirait des coups de feu, on creusait des tranchées pour des tirailleurs, est révolue. On soutient que la prochaine guerre ne durera que deux ou trois minutes. Un jour, quelqu’un d’insensé fera s’envoler le capuchon de l’une de ces bombes et la fera exploser. Et alors, nous avons des postes d’écoute partout, pour répliquer par des coups de feu. Le monde ne pourra simplement pas survivre à cela.

14        Tout le monde savait que quelque chose allait se produire à cette Pâque, mais ils ne savaient pas exactement ce que c’était. Et c’est pareil aujourd’hui. Presque tout le monde sait que quelque chose est sur le point d’arriver. Tout le monde le sait. Vous pouvez parler au pécheur. Vous pouvez parler aux marchands. Vous pouvez parler à n’importe qui que... Oh! C’est un temps de très grande instabilité pour le monde. Mais vous pouvez parler à un homme ou à une femme qui attend Sa Venue, son visage est illuminé de gloire, resplendissant. Ils attendent ce glorieux événement. De même, tout l’air est une fois de plus chargé d’expectative pour quelque chose qui doit arriver. Le monde ne sait pas ce qui est sur le point d’arriver. Mais l’Eglise du Dieu vivant sait ce qui va arriver. Ils savent que bientôt la trompette retentira, et nous Le verrons venir de la Gloire, monté sur un cheval blanc, suivi des armées du Ciel, et les morts en Christ seront enlevés à Sa rencontre dans les airs. C’est ce que nous attendons. C’est cela notre ardent désir.

15        Et il nous est dit que les âmes de ces mères et des autres dont nous avons parlé ce matin, qui sont juste sous l’autel de Dieu, s’écrient: «Seigneur, jusqu’à quand? Jusqu’à quand?» Autant vous désirez voir la maman, autant elle désire vous voir. Autant nous désirons rencontrer nos bien-aimés, autant ils désirent nous rencontrer. Quelle rencontre ce sera quand Il viendra... rencontrer nos bien-aimés et les voir dans leurs corps ressuscités, glorifiés, marchant à l’air de la résurrection. Nous contemplerons les traits de leur caractère, combien cela a changé, la douceur et la tranquillité, il n’y aura plus de tohu-bohu, il n’y aura plus d’agitation, mais nous aurons toute l’Eternité pour vivre ensemble.

            Oh! cet âge des gens très névrosés, dans lequel nous vivons, il n’y a de temps pour rien, on ne fait que monter, secouer et s’emparer. Eh bien, c’est un jour terrible.

16        Alors, pendant qu’ils attendaient que quelque chose se passe, c’était vraiment dommage que beaucoup de ces gens à la Pâque ne soient point arrivés à Le voir. Pourtant, ils savaient que quelque chose allait arriver, mais cependant, ils n’étaient pas arrivés à Le voir. Ce sera pareil à la Venue du Seigneur. Il y a beaucoup de gens agités aujourd’hui qui savent que quelque chose est sur le point d’arriver, mais ils–ils ne Le verront jamais, car Il viendra dans la tranquillité de minuit pour emmener Sa petite Eglise qui désire ardemment, qui attend, qui est dans l’expectative de Le voir. Ce sont ceux-là qu’Il viendra prendre. Beaucoup de gens du monde qui vivent dans l’éclat et le... régalant leurs âmes des choses du monde, ne sauront jamais ce qui arrivera avant que l’Eglise soit partie dans la Gloire. Car Il viendra comme un voleur dans la nuit et les emmènera. Ainsi, nous pouvons voir que nous sommes revenus au même point.

17        Eh bien, nous voyons que cette expectative, que Dieu vient à ceux qui... C’est pareil tout au long des Ecritures, ils sont... Il apparaît toujours à ceux qui L’attendent, chaque fois, à ceux qui désirent Le voir. Et je suis sûr que c’est l’espérance de nos coeurs ce soir. Il y a de cela environ six mois, je pense, je témoignais à certaines personnes. Et je disais: «Oh! Pensez-y. Il peut venir n’importe quand.»

18        Et ce qui m’avait poussé à dire cela, c’est que je parlais de frère Bosworth. Quand je suis allé voir ce vieux saint, quand nous avons appris qu’il se mourait à quatre-vingt et quelques années... Ma femme et moi, nous sommes allés là le voir avant sa mort, je devais bien lui dire quelque chose. J’aime observer les saints quand ils entrent dans la Gloire. Alors, il me fallait le voir. Et nous avions brûlé les pneus de la voiture.

            Mais une fois arrivé là, j’ai vite franchi la porte, et là, dans un petit coin, était couché ce vieux patriarche. Il a redressé la tête quand il m’a vu venir, ses pauvres et faibles bras tendus, avec une chair suspendue, il me les a tendus. Je l’ai saisi par le cou et je me suis écrié: «Mon père, mon père, char d’Israël et sa cavalerie.» En effet, c’était un saint homme pieux.

            Et j’ai dit: «Frère Bosworth, j’aimerais vous poser une question. Croyez-vous que vous allez vous rétablir?»

            Il a dit: «Eh bien, je ne suis même pas malade.»

            J’ai dit: «Eh bien, qu’y a-t-il?»

            Il a dit: «Je rentre à la Maison.» Il a dit: «Je suis fatigué et je suis épuisé; et je désire simplement rentrer à la Maison.»

            J’ai dit: «Vous rendez-vous donc compte que vous êtes mourant?» J’ai dit: «J’aimerais vous poser une question. Tout au long de vos soixante-dix et quelques années de ministère, quel a été le moment le plus glorieux? Pouvez-vous me dire, monsieur, me raconter l’expérience que vous avez eue tout au long, que vous pouvez considérer comme le moment le plus glorieux?»

19        Si je vivais jusqu’à son âge, je n’oublierais jamais, alors que ces yeux noirs me regardaient par-dessus ces lunettes-là, il a dit: «Mon bien-aimé frère, celui-ci est le moment le plus glorieux de ma vie. Je ne me souviens pas d’un autre moment qui ait été plus glorieux que celui-ci.» Je l’ai regardé en face et j’ai dit: «Monsieur, savez-vous cependant que vous êtes mourant?»

            Il a dit: «Frère Branham, je suis couché ici, attendant à tout instant qu’Il ouvre cette porte et me ramène à la Maison, auprès de Lui.»

            C’est ainsi qu’il faut mourir. C’est ainsi qu’il faut partir. Et comme vous le savez, deux heures environ avant sa mort, il était–il était resté dans le coma plus de deux jours; quand il est revenu à lui-même, il s’est levé dans la pièce et s’est mis à parler à sa femme. Puis, tout d’un coup, il a semblé devenir resplendissant. Il était... Il a serré la main, une bonne heure ou plus, aux amis morts depuis quarante ou cinquante ans, ceux qui étaient ses convertis dans son église; il a serré la main à sa mère et à son père jusqu’à ce qu’il était... que la vie avait quitté son corps. Il s’est couché sur un oreiller, puis s’est endormi dans les bras du Seigneur Jésus. Il n’y a rien de comparable au fait de Le servir et L’attendre.

20        Et pendant que j’en parlais à un homme, lui racontant cette expérience-là, j’ai dit ceci, j’ai dit: «Monsieur, oh! ce serait glorieux, n’est-ce pas, quand nous Le verrons! Oh! puisse-t-Il venir aujourd’hui!»

            Il a dit: «Frère Branham, n’effrayez pas les gens comme cela.»

            J’ai dit: «Que voulez-vous dire?» Il a dit: «Oh! N’osez pas dire aux gens que le monde vient, ou plutôt que Christ vient. Cela les dérange.»«Oh! ai-je dit, non, je vous demande pardon. Pour ceux qui L’attendent, c’est la nouvelle la plus glorieuse qu’ils puissent entendre, que Jésus est sur le point d’apparaître pour prendre Son Eglise.»La vieillesse va être changée en jeunesse. La joie remplacera la tristesse. La vie remplacera la mort. La mortalité deviendra l’immortalité. Oh! quel moment, de savoir qu’Il viendra.

21        Ils L’attendaient. Ils étaient dans l’expectative de Sa Venue. Et quand Il est venu, nous voyons qu’il y a eu deux groupes. Un groupe était pour Lui, un autre, contre Lui.

            Et c’est ce que nous voyons aujourd’hui. C’est ce que... Sa Venue a toujours divisé les gens. Chaque fois que vous trouvez Jésus, vous trouvez là des gens qui sont contre cela. C’est Satan. Et aujourd’hui, alors que nous y pensons, nous ne voyons pas que cela ait beaucoup changé, c’est tout à fait pareil. Les gens ont changé, mais l’esprit des gens n’a pas changé.

            Alors, quand finalement ils ont regardé par la porte et qu’ils L’ont vu venir monté sur cet ânon blanc, il n’est pas étonnant que Ses disciples se soient mis à crier: «Le Royaume des Cieux est arrivé.» Les gens ont couru à Sa rencontre et toute Jérusalem était agitée. Il y a quelque chose quand Jésus vient, il y a toujours une agitation. Et toute la ville était agitée. Et ils–ils ne pouvaient pas cacher cela.

22        Et les prédicateurs de l’époque devaient rendre compte, dire ce qu’il en était de cette agitation. En effet, c’était à la fête de Pâque. Et ils se sont écrié: «Qui est Celui-ci?» Alors que l’air était chargé de l’expectative de la Venue du Seigneur Jésus à Jérusalem, on dirait que les docteurs devraient savoir ce qui allait se passer. On dirait que le souverain sacrificateur devrait savoir cela. On dirait que tous les autres sacrificateurs devraient savoir cela.

            Et cela n’a pas du tout changé aujourd’hui. En effet, le Saint-Esprit est le Précurseur de la Venue du Seigneur Jésus. Et quand le Saint-Esprit se met à se répandre sur la terre, les feux du réveil sont allumés partout, de grands signes et prodiges ont été accomplis, des guérisons ont eu lieu, des prophéties ont été proclamées. Tous les rassemblements avec les bénédictions de la Pentecôte ont de nouveau lieu dans l’Eglise. Ce qui s’est passé en ce temps-là arrive de même aujourd’hui. L’esprit de l’incroyant s’écrie encore: «Qui est Celui-ci?»

23        Certains croyaient au Seigneur Jésus, disant qu’Il était un Homme de bien. Certains disaient: «C’est un Homme de bien» C’est ce qu’ils disent aujourd’hui. Ils essaient de Le classer dans la même catégorie que Napoléon, un guerrier. Ils essaient de Le classer dans la même catégorie que George Washington, un homme qui dit la vérité. Mais Il était plus que cela.

            Avez-vous fait attention au passage des Ecritures? Il est dit: «C’est le Prophète de Galilée.» Et c’est ce qu’on essaie de dire aujourd’hui. Quand ils voient cette grande action du Seigneur pour rétablir la santé des malades et des affligés, Le voir utiliser Son Esprit dans Son Eglise pour discerner les pensées des gens, Le voir faire exactement ce qu’Il avait fait quand Il était ici sur terre, pour accomplir ce qu’Il avait dit que ça arriverait... Certainement. Les églises et les gens se posent cette question: «Qui est Celui-ci?» Ils ne comprenaient pas Qui était Jésus, parce que personne parmi eux ne pouvait L’identifier à partir de leurs écoles. De quel séminaire était-Il sorti? De quelle école de théologie était-Il sorti?

24        C’est pareil aujourd’hui. La plupart des gens oints du Saint-Esprit ne sont pas sortis d’un quelconque séminaire, ils sont le produit du choix de Dieu Lui-même. Mais les signes, les miracles, les prodiges promis dans la Bible accompagnent ce glorieux Saint-Esprit alors qu’Il agit parmi les gens. Et aujourd’hui, ils disent: «De quelle école sortent-ils?» Et aussitôt que vous entrez dans une ville pour tenir un réveil, on vous demande: «De quelle dénomination êtes-vous membre?»

25        Le vendredi après-midi, j’ai eu un entretien avec un prêtre catholique romain de l’église irlandaise de Louisville. Et aussitôt que j’ai été présenté auprès de lui, c’était un bon érudit, il a demandé: «Monsieur Branham, de quelle dénomination êtes-vous?»

            J’ai dit: «D’aucune.»

            Et il a dit: «Alors, avez-vous été ordonné?»

            J’ai dit: «Oui, oui.»

            Il a demandé: «Qui vous a ordonné?»

            J’ai dit: «Le Seigneur Jésus m’a donné le Saint-Esprit pour prêcher l’Evangile, et Il m’a confié une commission.»

            Eh bien, c’est là l’ordination dont nous avons besoin. Jésus n’a jamais dit à Ses disciples: «Allez par tout le...» Je ne dénigre pas ces choses, mais elles ont fait leur temps. Il n’a pas dit: «Allez étudier pendant tant d’années pour devenir prédicateurs.» Il a dit: «Attendez dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’En Haut.» Il a dit cela aux hommes qui ne pouvaient même pas signer de leurs propres noms. «Et après que le Saint-Esprit sera venu sur vous, vous serez alors Mes témoins à Jérusalem, en Judée, en Samarie, jusqu’aux extrémités de la terre.» Voilà l’ordination.

26        Aucun récit ne nous rapporte que Jésus ait jamais fréquenté une quelconque école ou qu’Il ait obtenu un diplôme d’un quelconque séminaire. Cependant, le nombre de séminaires érigés en Son Nom pour des motifs religieux dépasse celui de ceux érigés pour toute autre–toute autre chose qui ait jamais existé sur la terre. Aucun–aucun récit ne nous rapporte qu’Il ait jamais fréquenté une école. Mais cependant, le nombre des écoles érigées en Son Nom dépasse celui de celles érigées au nom de toute autre chose sous les cieux, les écoles. Nous n’avons aucune mention de ce qu’Il ait écrit un livre, cependant le nombre des livres écrits à Son sujet dépasse celui de tous les autres livres qui sont écrits. Et aujourd’hui, Sa Bible est le Livre le plus populaire de tous les livres dans le monde entier.

            Mais, vous voyez, au jour de la visitation, ils se sont écrié: «Qui est Celui-ci?»

27        Voyez, Dieu prend quelque chose qui semble être un rien pour en faire quelque chose. C’est ce qui fait de Lui Dieu.

            Et lorsqu’ils L’ont vu franchir cette porte-là, chevauchant, certains ont dit: «C’est un grand Homme.»

            C’est ce qu’ils disent aujourd’hui. Leurs écoles de théologie enseignent aujourd’hui que Jésus était un grand Homme, qu’Il était un Homme de bien. Certains disent même qu’Il était un prophète. Eh bien, s’Il n’était qu’un prophète ou un Homme de bien, c’est que nous demeurons dans nos péchés. Il était plus qu’un prophète. Il était plus qu’un Homme de bien. Cependant, Il était un Homme de bien. Cependant, Il était Dieu-prophète, mais Il était plus que cela. Il était Dieu manifesté dans la chair pour ôter le péché.

28        Et quand Il venait, chevauchant un âne, beaucoup de gens ont dit: «C’est un Guérisseur. Oh! Nous L’avons vu faire recouvrer la vue aux aveugles. Nous L’avons vu faire marcher les estropiés. Nous L’avons vu offrir la prière, et la fièvre a quitté un enfant.» Mais alors, cette catégorie de gens Le suivaient rien que pour le pain et le poisson.» Et c’est ce que font les gens aujourd’hui, beaucoup. S’il y a un guérisseur, eh bien, ils–ils le suivent, c’est juste–c’est juste une oasis. S’ils tombent malades, ils viennent vite dire: «Oh! voudriez-vous prier pour moi, que le Seigneur Jésus me rétablisse?» Et aussitôt sortis de l’hôpital ou du lit de malade, ils retournent droit dans le monde, comme un chien à ce qu’il a vomi ou un cochon à son bourbier, comme les Ecritures le déclarent. Ils Le suivent juste pour un profit qu’ils peuvent tirer de Lui. Ils L’utilisent juste comme un mât totémique, ou–ou pour un profit qu’ils peuvent tirer de Lui, mais ils ne s’attendent pas à Le servir. Cette foule existe encore aujourd’hui.

29        Neuf lépreux furent guéris, mais un seul revint sur ses pas pour Le louer, ou plutôt il y en avait dix. Ils... L’un d’eux revint sur ses pas pour Le louer, les autres continuèrent, des ingrats. Et si les gens qui ont été guéris en Amérique par la puissance de Dieu tournaient leur coeur à Dieu, un réveil frapperait ce pays, un réveil qui fermerait chaque débit de boisson, qui pourrait... Les magasins de boissons alcoolisées et de whisky seraient du coup éliminés. Les églises se rempliraient, les théâtres se videraient le dimanche soir. Et un réveil éclaterait dans ce pays.

            Mais lorsqu’ils voient cela se passer, ce que Dieu fait, ils s’écrient encore: «Qui est Celui-ci? Qui est Celui-ci qui vient? D’où viennent-ils? Qui est Celui-ci? Par quelle autorité ceci se fait-il?»

30        Je n’oublierai jamais ce qui s’est passé à Johannesburg, en Afrique du Sud. Je venais d’arriver, cela faisait environ trente minutes, à bord d’un avion. Et j’avais fait trois jours et trois nuits dans les airs, j’étais très fatigué; c’est à peine si je pouvais me tenir debout. Cela... On m’a amené au champ de foire où s’étaient réunies 50 ou 60.000 personnes. Aussitôt que j’étais arrivé à l’estrade, le Saint-Esprit... j’ai vu passer dans une ville un–un bus. Et c’était... il portait un écriteau «Durban.» J’ai vu un jeune homme, qui a dû se débattre pour s’échapper à son père et à sa mère, l’une de ses jambes était courte de 6 ou 8 pouces [15 ou 20 cm] par rapport à l’autre. Il portait une chemise blanche avec des bretelles qui soutenaient son pantalon. Alors, j’ai vu ce jeune homme. J’ai de nouveau regardé, la vision avait disparu.

31        Et alors, juste en un instant, j’ai vu cette Lumière suspendue au-dessus d’un jeune homme au fin fond de l’assistance. J’ai regardé et je pensais l’avoir vu quelque part. Et je l’ai regardé, et cette Lumière a continué à se tenir au-dessus de lui quelques minutes. J’ai attendu que l’interprète saisisse les paroles qui allaient suivre. Puis, j’ai vu ce même jeune homme se lever, jeter ses béquilles, et sa jambe courte de 6 pouces [15 cm] descendre, tout aussi normale que l’autre. Alors, j’ai dit à monsieur A. J. Schoeman, qui est dans la Gloire ce soir, j’ai dit: «Monsieur Schoeman, répétez exactement mes paroles, il s’agit d’une vision.»

            Il a dit: «D’accord.»

            Et j’ai dit: «Le jeune homme assis là derrière en chemise blanche avec bretelles, est venu à bord d’un bus, d’une ville appelée Durban, à quelque 1.500 miles [2.414 km] d’ici. Et il a dû s’échapper à son père et à sa mère pour venir. Mais il croyait au Seigneur Jésus, et l’une de ses jambes est courte de 6 pouces [15 cm] par rapport à l’autre. Alors, ce jeune homme a bondi. Et il s’est tenu là, cherchant à prendre ses béquilles. J’ai dit: «Jeune homme, le Seigneur Jésus t’a guéri.» Aussitôt, sa jambe courte de 6 pouces [15 cm] est redevenue aussi normale que l’autre. On a amené le jeune homme à l’estrade et les médecins l’ont examiné là. Vous voyez sa photo dans mon livre.

32        Ça ne faisait que quelques minutes que j’étais là, j’ai vu une petite voiture verte passer sur la route, puis déraper. Elle a fait le tonneau et a heurté un arbre. Une jeune fille blonde était... s’était fracturé le dos. Et j’ai dit: «Je vois une petite voiture verte déraper et heurter un arbre, et une jeune fille blonde d’environ dix-huit ans se fracturer le dos. Elle est dans un état critique.»

            Personne n’a réagi. Et je ne pouvais la voir nulle part dans cette vaste assistance. Je me suis tenu là juste quelques minutes, j’ai dit: «Comprenez, c’est une... Ne soyez pas méfiants. C’est le Seigneur Jésus. Il a envoyé le Saint-Esprit continuer Son oeuvre, par la puissance de la résurrection.»

            Et là, j’ai vu la vision réapparaître; mais je n’arrivais pas à voir la jeune fille. Juste alors, cette Lumière s’est tenue juste en face de moi, comme vous La voyez sur la photo. Et Elle s’est tenue là. Alors, je me suis avancé là et une jeune fille était couchée là, au pied de l’estrade. J’ai dit: «Jeune fille, le Seigneur Jésus t’a rétablie.»

            Alors, elle s’est mise à pleurer. Et sa mère a dit: «Oh! non! Ne lui dites pas de se lever.» Elle a dit: «Si elle bouge, elle mourra.» Et d’un bond, la jeune fille a sauté sur ses pieds, criant, louant Dieu, et sa mère est tombée évanouie sur la civière où la jeune fille était couchée.

33        Qu’est-ce? Juste à ce moment-là, un critiqueur s’est levé là derrière, il s’est mis debout, un pied sur un siège, l’autre sur un autre, et a dit: «Toi, Américain, je te défie de me dire par quel nom tu fais ça, et de quelle église dénominationnelle tu es membre.»

            Voyez, c’est la même chose. Ils ne comprennent pas. Ils n’attendent pas ces choses. Les églises n’attendent pas la Venue du Seigneur. Et le Saint-Esprit est ici pour confirmer Sa Venue, pour accomplir cela. Beaucoup, chacun veut suivre sa propre voie. C’est ce qui s’était passé là, chaque groupe avait sa propre conception.

34        Mais, là n’est pas la question ce soir. Ce n’est pas ce dont je parle. Mais la question que je vous pose, c’est: Que pensez-vous que C’est? Cela vous concerne. Qui est Celui-ci qui parcourt les pays? Ce n’est pas un homme. Un homme ne peut pas faire pareilles choses. Qui est Celui-ci qui parle et qui dit aux gens dans l’assistance, qui sont assis ici même, ici, et à divers endroits, dans la réunion... Alors que des hommes et des femmes sont amenés ici mourants, Qui est Celui-ci?

35        Cette jeune femme qui est entrée dans le baptistère ce matin, il y a de cela trois semaines, elle se mourait du cancer de sarcome. Elle habite ici même sur la rue Maple, Madame Baete. Et j’ai demandé à trois médecins qui étaient avec elle, elle n’avait aucune chance de survivre, elle avait quatre ou cinq petits enfants, et ma mère s’efforçait à en prendre soin. Maman disait: «Bill, elle ne reviendra jamais chez elle.»

            Je suis allé là où elle était, et le Seigneur Jésus a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, si elle veut aller à l’église et qu’elle promet qu’elle sera baptisée au Nom du Seigneur Jésus, et qu’elle servira Dieu, elle retournera chez elle, rétablie.»

            Et je le lui ai demandé: «Allez-vous le faire, madame?»

            Elle a dit: «Je ferai tout ce que vous dites.» Aussitôt les douleurs ont disparu. Trois jours plus tard, elle était chez elle et les médecins n’arrivent pas à trouver une trace de ce cancer.

36        Qui est Celui-ci qui vient au Nom du Seigneur? Qui est Celui-ci? C’est le Saint-Esprit de Dieu. Quel est votre avis là-dessus? Quel est votre avis, connaissant votre pasteur? Et il y a des gens assis sur ces sièges ici, ils ne sont pas de la ville, assis souffrant de l’épilepsie, assis souffrant... Voici un homme assis, quelque part ici, un frère mennonite, ici même, souffrant de l’épilepsie. Je ne l’ai jamais connu, je ne l’ai jamais vu, et je ne sais rien à son sujet. Et, tout d’un coup... Il y a environ deux ans, je pense, ou quelque chose comme cela, là, deux ans, le Saint-Esprit l’a annoncé, disant: «AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Il n’en a plus jamais souffert depuis lors.

            Qui est Celui-ci? Qui est Celui-ci? Cette femme était assise ici dimanche passé, la dernière fois que j’étais ici, elle venait de quelque part en Illinois, le jour suivant, avec une grosse tumeur dans son corps, qui était devenue maligne... Et l’un des meilleurs médecins de l’Illinois allait l’amener à une grande clinique pour être opérée un lundi, et elle s’est frayé le chemin jusqu’ici. Je ne l’avais jamais vue et je n’avais jamais entendu parler d’elle de toute ma vie. Et, tout d’un coup, le Saint-Esprit l’a couverte de Son ombre, Il lui a dit qui elle était, d’où elle venait, et qu’elle allait être opérée le lendemain. Combien étaient alors ici et avaient vu cela? On a entendu les nouvelles revenir le lendemain, après qu’elle était allée voir le médecin, mais on l’a amenée d’une clinique à l’autre, on n’arrivait pas à en trouver une trace. Qui est Celui-ci? Ô Dieu, sois miséricordieux.

37        Qui fait cela? Oseriez-vous dire que c’était votre pasteur? Jamais. Oseriez-vous dire qu’un homme a eu quelque chose à faire là-dedans? Jamais. C’est le Saint-Esprit. L’Esprit qui était sur notre Seigneur Jésus vient L’unir à Son Eglise, si intimement qu’Il répand Sa glorieuse et sainte Lumière pour racheter et amener l’Eglise du Dieu vivant dans la communion pour l’enlèvement qui est proche. Amen. Qui est Celui-ci? Je ne peux pas répondre à votre place. Je ne peux pas répondre pour vous, mais je peux répondre pour moi-même. Et ce soir, par-dessus cette chaire sacrée et aux oreilles de ce groupe, les–les rachetés par le Sang de notre Seigneur Jésus, voici ce que je déclare du fond de mon coeur, non pas parce que je suis l’un de vous, pas parce que je suis juste quelqu’un de différent, mais en tant que l’un des rachetés qui sont lavés par le Sang: «Je crois que la même Lumière qui est suspendue dans cette église ce soir, cette même Lumière prouve de par Sa nature que c’est Jésus-Christ sous forme du Saint-Esprit.»

38        Quiconque connaît les Ecritures sait que Jésus a dit: «Je viens de Dieu, et Je vais à Dieu.» Avant qu’Il fût fait chair, quand Il était avec Moïse dans le désert, Il était la Colonne de Feu. Et quand Moïse voulait Le voir, Il lui a fait voir le dos, et Moïse a dit: «C’est comme un Homme.» Quand Il était ici sur terre, Il était un Homme. Il a accompli exactement les mêmes oeuvres qu’Il accomplit aujourd’hui au travers des hommes qu’Il a rachetés. Il vient et se fait photographier. C’est quoi?

            Après la mort, l’ensevelissement et la résurrection de Jésus, Paul était un jour en route vers Damas et une grande Lumière l’a terrassé. Les hommes qui étaient autour de lui n’ont pas vu cette Lumière. Mais Elle a terrassé Paul, l’a aveuglé. Il a eu des maux d’yeux le reste de sa vie. Et une fois, il a dit: «A cause de l’excellence de la révélation, il m’a été mis une écharde dans la chair pour m’empêcher de m’enorgueillir, un ange de Satan pour me souffleter à cause de l’excellence de la révélation.»

39        Et quand Paul fut terrassé sur son chemin vers là où il allait persécuter ceux qui faisaient trop de bruits, le groupe des nés de nouveau, ceux qui étaient taxés d’hérétiques, Paul était en route pour les persécuter, il avait en poche des lettres pour les arrêter et les amener à Jérusalem. Et au milieu de la journée, une Lumière apparut, le terrassa, et il tomba dans la poussière de la terre. Une Voix se fit entendre de cette Lumière, disant: «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu?»

            Et Saul se retourna, dans sa condition de cécité, leva les yeux et vit cette grande et glorieuse Lumière, et il demanda: «Seigneur, qui es-Tu?»

            Il dit: «Je suis Jésus. Je suis venu de Dieu; Je suis rentré à Dieu. Je viens de Dieu, et Je retourne à Dieu.» Il a dit: «Il te serait dur de regimber contre les aiguillons.»

40        Une révélation sur cette terre sacrée; une fois en ce lieu-là, l’homme ne peut jamais rester le même. Un homme, avant de se dire chrétien, avant de s’identifier, devrait premièrement avoir cette expérience de derrière le désert où il rencontre Dieu face à face.

            En effet, aujourd’hui, vous pouvez avoir toutes sortes de réponses. Vous pouvez voir le Seigneur accomplir exactement ce qu’Il a dit de faire, des théologiens intelligents vont vous en dissuader. Ils diront: «C’était pour un autre âge. C’était pour tel ou pour tel autre âge, ou c’est faux.» Comme ils ont dit de Jésus: «Il est Béelzébul, le diable. C’est un diseur de bonne aventure», et toutes ces choses. Ils avaient une réponse.

41        Mais une fois qu’un homme est entré en contact avec Christ, qu’il L’a vu comme Paul L’avait vu, qu’il a eu une expérience avec Lui, il n’y a pas assez de théologiens dans le monde qui puissent donc le dissuader de cette expérience. C’est pourquoi aujourd’hui, on n’a pas d’expérience. C’est pourquoi on ne peut pas dire... Eux tous demandent: «Qui est Celui-ci? C’est quoi ça? D’où Cela vient-il?» Ils n’ont pas de réponse. Pourquoi? C’est parce que tout ce qu’ils savent, c’est leur théologie qu’une église a élaborée.

            Connaître la théologie, ce n’est pas ça la Vie. Connaître la Bible, ce n’est pas ça la Vie. Mais Le connaître, Lui, c’est la Vie. Le connaître, Lui, en tant que votre Sauveur personnel, comme Celui qui vous a rempli de Sa Présence; vous étiez là quand c’était arrivé. Personne ne peut vous L’arracher. Personne ne peut vous En dissuader. Une fois que vous avez cette expérience, vous savez qui Il est. Pour moi, Il est Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

42        Qui est Celui-ci qui accomplit ces miracles? Qui est Celui-ci qui accomplit ces grandes oeuvres? Est-ce–est-ce le prédicateur? Est-ce Oral Roberts? Est-ce Billy Graham? Est-ce Jacques Shuler? William Branham? Qui que ça puisse être, ils n’ont rien à faire là-dedans. Ils sont des instruments. C’est le Saint-Esprit qui vient avec l’Evangile, les signes, les prodiges et les miracles pour préparer les gens. L’air est chargé d’expectative. Les croyants attendent Sa Venue. Les autres disent: «Pourquoi ces réveils? Pourquoi avons-nous cela? Etablissons une église.»

            Eh bien, il a été dit dans l’église, ici même, quand nous avons commencé à construire une nouvelle église, il a été dit: «Nous n’avons pas besoin de miracles. Nous n’avons plus besoin de ces choses. Si vous en voulez, allez dans le champ missionnaire où elles se produisent. Nous n’en avons pas besoin ici.» Dès que le Branham Tabernacle tombera si bas, c’est qu’il a sombré. Cette église est bâtie sur les principes, la puissance et l’Evangile de Jésus-Christ. Et tant que ce tabernacle subsistera, puisse le glorieux Saint-Esprit trouver accès aux âmes pour les sauver, les remplir du Saint-Esprit et guérir les malades. Pour moi, c’est Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement.

43        Prions. Si vous ne savez pas qui Il est, que vous ne savez pas de quoi il est question dans tout ça, et que vous aimeriez le savoir, voudriez-vous tout au plus lever la main pour dire, par cette main levée: «Priez pour moi, Frère Branham, afin que je Le connaisse»? Alors, que le Seigneur vous bénisse. Voyez, c’est partout, je vois vos mains.

            Maintenant, Père céleste, nous apportons ce message, et les fruits, ce sont des gens qui lèvent les mains, pour montrer qu’ils voudraient savoir qui est Celui-ci. Ils voudraient connaître ce glorieux Jésus, dont la Venue pour la résurrection est si proche que les malades commencent à être guéris. Et après que cela aura eu lieu, la prophétie entrera ensuite dans l’église, puis les dons et les miracles. Donc, ainsi de suite jusqu’au dernier signe. Le prochain sera l’Enlèvement; l’Eglise sera enlevée. Et nous, Seigneur, qui avons affirmé Te connaître dans la puissance de Ta résurrection, nous attendons et nous désirons ardemment, criant et implorant: «Viens, Seigneur Jésus, enlève Ton Eglise et amène-La vite, Seigneur.»

            Car bientôt des hommes vont faire exploser la terre que Tu as créée pour qu’ils y vivent, parce qu’ils T’ont désobéi. Ils n’ont pas appris la paix, mais la guerre. Ils n’ont pas appris la justice, mais la malice. Comment ne seraient-ils pas tout affamés de puissance... Seigneur, que ce petit point dans leur coeur, qui leur donne la soif de la puissance, qu’ils cherchent à satisfaire quelque part dans un laboratoire pour faire exploser leurs prochains. Ô Dieu, si seulement ils pouvaient se rendre compte que cette puissance qu’ils désirent ardemment, c’est la puissance de la résurrection du Fils de Dieu, la puissance du Saint-Esprit qui change leur vie, non pas pour faire exploser les nations, mais pour changer leur vie et faire d’eux Tes serviteurs!

44        Beaucoup de gens affolés nous considèrent comme une bande d’ignares, et–et d’hérétiques, comme ce fut le cas à l’époque primitive. Mais de même que les autres étaient venus en se réjouissant, Te remerciant de ce qu’ils avaient pu porter l’opprobre à cause de Ton Nom, de même Tes enfants éprouvent ce soir, Seigneur, le même sentiment partout. Nous sommes tout heureux. Certains à Ton époque ont essayé de T’identifier. Ils ont dit: «C’est un Ami de cet homme sauvage, Jean, qui est venu du désert à peine vêtu, revêtu juste d’une vieille peau de brebis; un homme sauvage proclamant la Parole à l’est et à l’ouest, disant: «La cognée est mise à la racine de l’arbre.» Il a dit: «C’est–c’est son disciple. C’est un homme sauvage, il est fou. Il a perdu la tête.» Ton ministère surnaturel de l’époque, ô Seigneur, avait aveuglé les yeux de ces gens, et c’est pareil aujourd’hui.

            Ce glorieux Saint-Esprit, le Précurseur de la Venue du Seigneur, de même que Jean à son époque, aveugle les gens, ceux qui ne veulent pas voir, mais ceux qui sont disposés à voir, Tu les as choisis. «Et tous ceux que le Père m’a donnés viendront à Moi.» Tu as dit: «Et nul ne sera perdu, Je les ressusciterai au dernier jour.» Nous T’en remercions.

45        Et pour ceux qui ont levé la main ce soir, nous Te prions, ô Seigneur Dieu, de Te manifester à eux par une expérience, par la puissance de la résurrection. Accorde-le, Seigneur. Il peut y avoir d’autres ici qui n’ont pas levé la main, mais cependant, dans leurs coeurs, ils savaient qu’ils En avaient besoin. Je Te prie de les bénir et de leur donner le désir de leurs coeurs.

            Lorsque nous quitterons cette salle ce soir, puissions-nous partir différents. Puissions-nous partir avec un but différent de celui que nous avions en venant, si celui-ci était contraire à Ta volonté divine. Puissions-nous sortir déterminés à tenir les cornes de l’autel jusqu’à ce que notre âme soit convaincue de ce que nous avons une expérience avec Toi, et que nous connaissons Celui dont nous parlons, parce que nous L’avons rencontré, nous Le connaissons et nous avons eu communion avec Lui. Accorde ces choses, Père.

            Guéris les malades et les affligés. Bénis notre aimable précieux pasteur. Ô Dieu, nous Te prions d’être avec lui et avec ses aimables soeurs, alors qu’ils chantent l’Evangile et Le prêchent à leur radio. Bénis les étrangers qui sont dans nos murs. Seigneur, puissent-ils partir ce soir, le coeur chargé, avec un objectif, qu’à partir de ce moment, s’ils ne Te connaissent pas et qu’ils ne T’ont pas servi auparavant, ils puissent Te servir, sachant que toutes les autres choses seront anéanties, la Parole du Seigneur seule demeurera éternellement. Accorde-le, Père.

            Pardonne-nous tous nos péchés, et puissions-nous nous rencontrer à ce grand... d’or [Espace vide sur la bande.–N.D.E.]

46                     Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.

            Maintenant, le message étant fini, inclinons simplement la tête et adorons-Le, alors que nous Lui chantons.

Je L’aime (de tout votre coeur), je L’aime
Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.

            Combien L’aiment réellement? Levez la main et dites en guise de témoignage: «Je L’aime réellement?»

            Oh! n’est-Il pas merveilleux? Vous savez, j’aime vraiment rester assis comme ça, à m’abreuver d’une façon ou d’une autre de Sa Présence. Sa Parole a été proclamée, Elle s’est déversée dans des coeurs, Elle nous corrige, Elle nous soumet à Son Esprit. Oh! comme c’est magnifique de L’adorer simplement après.

47        Eh bien, en quittant cette église ce soir, allez en L’adorant. Et, rappelez-vous, cette semaine, il y aura une réunion de prière ici le mercredi soir. N’oubliez pas l’émission radiodiffusée de frère Neville le dimanche, ou plutôt le samedi à 9 h sur WLRP. J’aime vraiment les entendre, pas vous? Le quarto, ou plutôt le trio chante là très bien. Ma femme, les enfants et moi, nous plaçons tous la petite radio et–et nous rôdons tout autour d’elle pour écouter frère Neville dans son émission radiodiffusée, ses merveilleuses paroles, combien il exalte Dieu qu’il aime et en qui il croit.

48        Ne dites pas ça. A vous qui êtes étrangers ici, si vous n’avez pas une église où vous vous sentez chez vous, venez nous rejoindre. Je vais vous le dire... Je ne le dis pas parce qu’il est assis ici. Absolument pas. Je l’ai dit plusieurs fois. J’aime frère Neville. De un, c’est un théologien. D’abord, c’est un enfant de Dieu. Ensuite, il est le même chaque jour. Je le connais depuis des années, il n’a pas du tout changé, il est toujours Orman Neville, un serviteur du Seigneur Jésus.

            Et je pense qu’il a... L’autre soir, je lui ai téléphoné pour lui demander s’il n’avait pas dans son programme... nous aménager du temps pour que nous venions prier pour les malades. Il y en a qui sont venus ce matin, vous savez. Et sa petite femme a répondu au téléphone, j’en parlais à ma femme là derrière. Combien nous remercions Dieu pour son aimable petite femme et sa famille. C’est très bien. Quand vous voyez un prédicateur et sa femme vivre harmonieusement comme cela, dans la douceur et l’humilité, cela fait que l’église évolue mieux. C’est juste... Ça devient plus doux au fil des jours.

49        L’aimez-vous de tout votre coeur? Très bien. Nous avons un cantique que nous chantons pour congédier: Prends le Nom de Jésus avec toi. Donnez-nous-en l’accord, soeur, si vous l’avez dans votre livre. Nous allons chanter notre cantique pour congédier. Et après avoir chanté le premier couplet, nous aimerions nous retourner, nous serrer la main les uns aux autres. Très bien. Donne-nous-en l’accord.

... le Nom de Jésus avec toi,
Enfant de tristesse et de malheur,
Il te procurera joie et réconfort,
Prends-Le partout où tu vas.

Précieux Nom, oh! Nom si doux!
Espoir de la terre et joie du Ciel
(Que Dieu vous bénisse, Frère Neville.)... oh! Nom si doux,
Espoir de la terre et joie du Ciel.

            Prenons maintenant ce couplet:

Nous inclinant au Nom de Jésus,
Nous prosternant à Ses pieds,
Nous Le couronnerons au Ciel Roi des rois
Quand notre pèlerinage sera terminé.

            (Ce sera merveilleux, n’est-ce pas?)

Précieux Nom (Précieux Nom) ... oh! ... si doux
Espoir de la terre et joie du Ciel;
Précieux Nom (Précieux Nom) oh! Nom si doux!
Espoir de la terre et joie du Ciel.

50        Combien se souviennent de notre petit cantique que nous chantions: N’oubliez pas la prière en famille? Vous en souvenez-vous? Je ne sais pas si vous connaissez le choeur ou pas. Essayons-le une fois. Combien... Vous vous en souvenez, n’est-ce pas? Allons... peut-être que je pourrais l’essayer une fois avec vous.

N’oubliez pas la prière en famille,
Jésus veut vous rencontrer là;
Il se chargera de tous vos soucis,
Oh! n’oubliez pas la prière en famille.

            Combien prient en famille? C’est bien. Essayons-le une fois de plus. Je... Reprenons-le ici, j’aime ça. Tous ensemble maintenant. Suivez.

N’oubliez pas la prière en famille,
Jésus veut vous rencontrer là;
Il se chargera de tous vos soucis;
Oh! n’oubliez pas la prière en famille.

51        Ô Seigneur, il est écrit dans les Ecritures qu’on prenait les mouchoirs et les linges qui avaient touché le corps de Paul, et les esprits impurs quittaient les gens et les maladies étaient guéries. Nous prions, ô Seigneur, qu’il en soit de même pour ces gens ce soir. Et j’envoie ces mouchoirs aux nécessiteux et aux malades; quelque part dans les pays, quelqu’un est dans l’expectative, il attend que cela arrive. Je Te prie, Père, d’accorder cela au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.

            Je vais demander, alors que nous inclinons la tête, que notre très précieux frère Smith là, de l’Eglise de Dieu, que nous avons trouvé comme notre frère Neville ici, un loyal et fidèle serviteur de Dieu, je vais lui demander de solliciter des bénédictions pour vous, pour qu’elles nous accompagnent cette semaine qui vient. Que Dieu vous bénisse jusqu’à ce que nous nous rencontrerons. Frère Smith. [Frère Smith prie.–N.D.E.] Amen. Oui. Oui. Oui, oui. Amen. Serrez-vous la main les uns aux autres. Bon retour prochainement au tabernacle. Que Dieu vous bénisse.

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