Quand J’ai Réfléchi À Mes Voies

Date: 59-0814 | La durée est de: 1 heure et 36 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Sullivan. Asseyez-vous.

            Je suis très content d’être de retour ce soir dans ce Chautauqua, comme on l’appelle, je pense. Et, de toute façon, cette fois-ci, c’est la maison de Dieu, car c’est ici que nous nous rassemblons pour Ses services.

            Et j’étais très content, à mon retour chez moi hier soir, d’apprendre que beaucoup de gens étaient venus et étaient sauvés. C’est principalement le but de notre présence ici: obtenir que les pécheurs soient sauvés. Et j’aimerais dire à ces jeunes chrétiens nouveau-nés ce soir: Trouvez-vous quelque part une bonne église qui prêche le–le plein Evangile, qui croit dans la guérison divine et qui croit au baptême du Saint-Esprit. Et là, trouvez-vous une bonne église de votre choix, et puis, établissez-vous-y et soyez un véritable serviteur de Christ. Dites au pasteur que vous avez été sauvé ici, et il sera content de vous intégrer dans sa communauté, parmi les saints. C’est ainsi que vous–que vous grandissez à la stature de Christ, c’est en ayant communion avec tous les saints du Dieu vivant.

2          Eh bien, demain soir, nous nous attendons à une glorieuse soirée. C’est généralement l’attente, les gens attendent. Demain après-midi, notre bon frère et ami, frère Grumett Thoms de l’Afrique du Sud, va avoir un petit rassemblement missionnaire ici sur place. D’après ce que frère Sullivan venait de me dire, cela va... Ça a été annoncé.

            Je connais très bien ce frère. C’est un bon jeune garçon. Et je... Il est loin de chez lui, c’est un Afrikaans. Et je sais quel sentiment on éprouve lorsqu’on est bien traité en tant qu’étranger. Mais il est juste étranger dans cette nation, c’est un frère parmi nous en Christ, baptisé du Saint-Esprit. Et lorsqu’il est venu ici, il est descendu là chez moi à l’église pour prendre l’une de mes jeunes filles pour femme. Une fille de l’un de mes diacres est sa femme, une belle jeune fille chrétienne. Ils forment certainement un bon couple, et ils sont mariés. Et maintenant, ils sont sur le champ de travail, prêchant l’Evangile.

3          Et ce jeune missionnaire va consacrer sa vie dans son pays natal, en Afrique. Il connaît les tribus. Vous allez probablement l’entendre témoigner demain après-midi sur les réunions que nous avions tenues en Afrique et ce que le Seigneur avait fait, comment trente mille purs indigènes étaient venus à Christ à la suite d’un seul appel à l’autel. J’étais là quand cela était arrivé (environ cent, cent cinquante mille) dans le champ de course de Durban. Et lorsqu’ils ont vu la puissance du Seigneur Dieu s’emparer d’un dément qui marchait sur ses mains et sur ses pieds, avec une chaîne autour de son cou, et en un instant, rendre cet homme parfaitement normal, trente mille personnes ont donné leur vie à Jésus-Christ.

            Et le lendemain matin, pendant que j’étais à l’hôtel, le maire de la ville, Sidney Smith, était venu me voir. Et j’ai entendu quelque chose passer dans la rue. J’ai regardé dehors, et il y avait sept grands camions à bétail, ou plutôt... descendant la rue avec des fauteuils roulants, des béquilles, des canes, des morceaux de bois et des civières qu’on avait ramassés sur le terrain. Il y avait eu vingt-cinq mille miracles accomplis en une fois, aussitôt après qu’eux tous étaient venus à Christ; vingt-cinq mille estropiés, des aveugles, des gens aux membres tordus. Et le lendemain matin, ils descendaient la rue, ces gens qui, la veille, étaient dans une très longue procédure, la police les conduisait; et ces grands camions étaient pleins. Oh! Ça débordait de fauteuils roulants, des civières, des brancards, des morceaux de bois. Et ces gens les suivaient. Différentes tribus–quatorze, quinze différentes tribus–marchaient derrière, alors que la veille, ils étaient sur des civières; ils avaient les mains en l’air et chantaient dans leur langue maternelle: «Tout est possible, crois seulement.»

4          Oh! Je me suis tenu à la fenêtre. J’ai pleuré comme un enfant. Ils n’avaient besoin de rien d’autre. Il n’y avait eu que quatre personnes qui étaient montées à l’estrade.

            L’une d’elle, c’était une femme, une Hindou, qui avait un point entre les yeux. Et elle... Je lui ai dit: «Vous êtes Hindou. Et pourquoi venez-vous à moi, chrétien?»

            Elle a répondu: «Je crois que vous pouvez m’aider.» Et par l’interprète...

            Et alors, j’ai dit: «Eh bien, pourquoi venez-vous à Jésus? Pourquoi n’allez-vous pas auprès de Mahomet?»

            Elle a dit: «Je crois que vous pouvez m’aider.»

            J’ai dit: «Eh bien, s’Il me révèle votre problème, croirez-vous que c’est le Jésus du Nouveau Testament?»

            Elle a dit: «J’ai lu le Nouveau Testament, et je vais croire cela, car c’est ce qu’Il a dit qu’Il ferait.»

5          Et je l’ai de nouveau regardée, le Saint-Esprit a été miséricordieux. J’ai dit: «Vous avez un kyste à l’utérus. Vous avez été chez le médecin l’autre jour, et votre mari est un homme trapu avec une moustache et il porte un costume gris. Le médecin a dit que vous avez un kyste et que vous devez être opérée.»

            Elle a dit: «C’est la vérité. Et j’accepte maintenant Jésus comme mon Sauveur personnel.» Une musulmane... Dix mille musulmans étaient là, regardant cela, des musulmans très fervents.

            La personne suivante, c’était une blanche. Je lui ai dit de se préparer à mourir, car elle ne vivrait pas. Elle avait une petite tumeur sur le sein. Elle est descendue, elle a vécu environ vingt minutes, et elle est tombée morte d’une crise cardiaque dans la réunion.

6          Et puis, le lendemain matin même, une femme qui avait été déclarée morte par les médecins a été ressuscitée par la prière. Voyez, on ne peut pas guérir. On peut simplement dire ce que Dieu dit de dire. Et puis... Frère Grumett vous le racontera probablement demain.

            Et lorsque ce... final... Après cet homme, là, qui ne jouissait même pas de son bon sens, on pensait que je voulais le faire danser sur ses mains, comme les touristes lui font faire des amusements. Et lorsque... J’ai dit: «Eh bien, si je pouvais guérir cet homme et que je ne le fasse pas, je serais une personne horrible. Je ne peux pas guérir ce pauvre homme. Mais sa vie ne peut pas être cachée si le Saint-Esprit me la révèle.»

7          Et alors, je leur ai demandé et je leur ai dit ce que Jésus était, et ce qu’Il avait fait. Il ne guérissait pas. Il disait: «Je ne fais que ce que le Père Me montre.» Alors, quand cet homme était... L’Esprit avait montré qu’il avait été élevé dans un foyer chrétien, Il lui a dit tout à son sujet. Et tout, là-dessus, était la vérité. Son père et sa mère se sont levés à environ un demi pâté de maisons sur la piste, ils ont témoigné que c’était vrai. Alors, j’allais le faire passer. J’ai vu, on dirait, une ombre. J’ai regardé dans cette ombre et là, il était debout, normal. Il n’y avait pas assez de démons dans le tourment pour empêcher cela.

            Alors, j’ai dit: «Combien ici, musulmans et tous, recevront Jésus comme leur Sauveur personnel si Dieu remet cet homme sur ses pieds et le rend normal et bien portant?» Aussi loin qu’on voyait, il y avait des mains. On avait dû les séparer par des clôtures, car ils avaient connu des guerres tribales entre eux. Mais quand Dieu a guéri cet homme et qu’il s’est tenu debout, non seulement Il l’avait guéri dans son corps–il n’avait jamais de sa vie marché comme cela auparavant–mais aussi il jouissait du bon sens; il a regardé ici et là, les larmes lui coulant sur les joues, jusque sur le ventre nu, se répandant comme cela. Des milliers ont levé les mains. Et nous avons estimé cela, l’estimation la plus faible, à trente mille, ceux qui étaient venus au Seigneur Jésus en une seule fois.

8          Puis, j’ai dit: «Si vous croyez que Dieu est ici pour exaucer la prière, vous tous qui êtes malades, vous n’avez pas besoin d’aller plus loin, car le Dieu du Ciel est ici pour vous dire, à vous les musulmans, et vous dire, à vous les Zoulous, les Songhaïs, les Sothos, à vous de toutes les tribus ici, par votre homme qui est ici à l’estrade, qu’Il est présent; voulez-vous accepter cela? Ayez foi en Dieu pendant que je prie.» Et j’ai offert une prière. Et vingt-cinq mille miracles extraordinaires se sont produits après une seule prière.

            Or, vous pouvez vous demander pourquoi il est difficile de prêcher en Amérique alors que quelque chose comme ça peut se produire.

            Et à Bombay, en Inde, on a estimé pratiquement à un demi-million là. Et il n’y avait pas moyen de compter le nombre... On ne m’a permis de faire là que trois jours, parce qu’il n’y avait pas de place où recevoir ces gens.

9          C’est pourquoi nous sommes ici en Amérique présentement, attendant l’heure où nous pourrons aller encore outre-mer, où nous pourrons aller auprès de ces gens. Les offrandes et autres que nous recevons, tout ce qui reste après nos dépenses, c’est directement affecté à cette cause-là. Alors, lorsque nous arriverons là à la barre du Jugement, vous verrez que c’est la Vérité, que nous avons tout fait avec révérence, nous avons affecté cela au Royaume de Dieu, chaque centime que nous pouvons, et nous vivons aussi modestement que possible, afin que le Royaume de Dieu... Je ne crois pas que nous devrions construire des églises de trois ou quatre millions de dollars tout en prêchant que Jésus vient, alors qu’il y a des hommes sur des champs missionnaires qui prêchent l’Evangile sans souliers. Ce n’est pas correct. Mes frères sont sur le champ missionnaire.

            L’autre jour, au cours de l’enquête, quelqu’un a demandé: «Achetez-vous vos costumes chez Penny à dix-sept dollars?»

            J’ai dit: «C’est exact.»

            Il a dit: «Eh bien, vous pouvez vous offrir de meilleurs costumes que cela.»

            J’ai dit: «Non pas pendant que mes frères prennent deux repas par semaine, sont sans souliers et prêchent l’Evangile que je soutiens. Je ne peux pas me permettre mieux que ça.»

            C’est tout à fait vrai. Nous n’en avons pas le droit. Absolument pas. Nous n’avons pas le droit d’investir des millions dans de grands bâtiments qui sont pratiquement des morgues après tout. Entre-temps, des millions meurent sans même connaître Jésus-Christ comme leur Sauveur, ils crient et implorent pour recevoir Cela. Et nous construisons une grande église dans tel coin, nous faisons des prosélytes dans l’autre coin ici, nous nous moquons d’eux, nous leur disons qu’ils sont complètement en erreur. Des millions de choses semblables se passent, alors que des millions meurent chaque année sans avoir jamais entendu le Nom de Jésus une seule fois. Pendant que nous nous disputons, eux se meurent là sans connaître Christ. Et Dieu nous en tiendra responsables en ce jour-là.

10        Eh bien, ce n’était pas ça mon sujet. Je–je ne peux simplement pas m’empêcher de dire ces choses. Donc, venez écouter frère Thoms demain. Il est quelque part ici dans la salle, quelque part. Je sais qu’il y est, lui ainsi que sa femme. Et, oui, frère Grumett, je suis certainement content de les voir, lui ainsi que sa petite femme là. Et ils seront ici à quatorze heures, c’est ça? Quatorze heures trente, demain après-midi.

            Que le Seigneur vous bénisse. Avant de lire la Parole, inclinons la tête pour un mot de prière. Et je pourrais dire ceci avant de prier: Le Seigneur voulant, j’aimerais prêcher demain soir, le Seigneur voulant, sur Pareil à l’aigle qui éveille sa couvée.

11        Seigneur, Tu es notre unique espérance, l’unique moyen du salut. Et nous sommes très content, Seigneur, lorsque nous pensons à ce qui se passe outre-mer, aux millions assis dans les ténèbres, adorant des animaux. Et ils adorent des statues en boue et en pierre, aspergées de sang des oiseaux et des animaux, implorant la miséricorde, brisant leurs os et se faisant des entailles sur le visage, cherchant à trouver la paix... Et ici, dans notre propre beau pays, Jésus-Christ a été si bon envers nous, en nous accordant la paix, et c’est à peine si nous pouvons amener les gens à traverser la rue pour recevoir cela. Il n’est pas étonnant que le jugement soit suspendu dans les silos. Ô Dieu, nous Te prions ce soir d’être miséricordieux envers nous.

            Et nous prions pour notre frère Thoms, alors que sa petite femme et lui traversent la mer. Qu’il soit oint du Saint-Esprit pour apporter la miséricorde et la paix à ceux qui sont assis dans les ténèbres. Bénis ce jeune couple, Seigneur, alors qu’ils sont encore jeunes et qu’ils peuvent encore endurer la pression de la jungle. Nous Te prions d’être avec eux.

12        Nous Te prions ce soir, Seigneur, de nous donner, à nous les Américains, une vision ardente, surtout à nous qui nous disons chrétiens, étant donné que le besoin est très grand. Ô Seigneur, envoie-nous la miséricorde. Et nous prions que des missionnaires, des hommes et des femmes qui sont appelés dans les champs missionnaires, se hâtent; car l’heure vient où le communisme va envahir ces régions, et ils n’auront plus le privilège de prêcher l’Evangile. Pendant que la porte est ouverte, que chaque personne qui a à coeur l’oeuvre missionnaire soit y aille, soit supporte quelqu’un qui peut y aller.

            Et, Seigneur, nous aimerions Te demander maintenant de Te souvenir de notre pays ce soir ainsi que de notre peuple. Et nous prions pour nos églises. Souvent, il nous faut les réprimander, Seigneur, et parfois, nous ne comprenons pas pourquoi nous faisons cela. Mais c’est l’oeuvre du Saint-Esprit pour nous pousser, nous secouer et nous faire savoir que le besoin est grand. Nous Te demandons de bénir nos églises.

13        Que les week-ends qui viennent soient des jours glorieux, et que cette communauté ici soit littéralement secouée par la puissance de Dieu, et qu’un réveil à l’ancienne mode éclate. Accorde-le, Seigneur. Bénis tous les prédicateurs qui sont ici ce soir, et notre précieux frère Sullivan, qui a travaillé, qui a aidé, qui a fourni des efforts, qui a conjugué chaque effort. Tu vois toutes ces choses, car Tu... Ton oeil est sur le passereau.

            Et nous Te prions maintenant, alors que nous lirons la Parole, d’envoyer le Saint-Esprit nous L’interpréter. Que des âmes soient sauvées, que des malades soient guéris, que des rétrogrades soient réclamés et qu’ils rentrent dans le Royaume de Dieu. Et que ceux qui cherchent le Saint-Esprit trouvent en ceci la demande, qu’ils soient sauvés et remplis de l’Esprit. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

14        J’aimerais lire deux passages ce soir, un verset dans chaque Psaume. Le Psaume 46.1 et le Psaume 119.56.

Dieu est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais dans la détresse.

            Et puis, dans 119.59:

Je réfléchis à mes voies, et je dirige mes pieds vers tes préceptes.

            Les membres du clergé et les historiens pensent que David a déclamé ce psaume lorsqu’il–il était en résidence surveillée par Saül et ses soldats. Et il savait qu’une fois qu’il franchirait la porte, à l’aube, une lance, ou un trait, ou une flèche pourrait lui transpercer le dos, ou atteindrait sa poitrine en passant par les défauts de son bouclier.

15        Je peux voir David parcourir la pièce en long et en large, se tordant les mains, allant çà et là dans sa maison, car il était en détresse.

            Et généralement, c’est quand les hommes sont en détresse qu’ils se tournent vers Dieu. J’ai entendu beaucoup de gens rire et dire: «Dieu n’existe pas.» Mais dès qu’ils sont en détresse, la première chose qu’ils pensent faire, c’est L’invoquer

            Un incroyant célèbre, Bob Ingersol. On raconte que quand il était dans la chambre d’hôpital, mourant, et sachant qu’il allait d’un moment à l’autre quitter cette vie aussitôt que la mort l’aurait frappé, il s’est écrié en ces termes: «Ô Dieu, s’il existe un Dieu, aie pitié de mon âme.» Il a averti ses enfants de ne pas suivre le sentier qu’il avait suivi, mais de suivre la voie que leur mère avait suivie. Vous y penserez à un moment ou à un autre.

16        Il y a quelques années, je parlais à un juge de notre ville. C’est un bon ami à moi. Il fréquente mon église de temps à autre. J’étais là pour le voir au sujet d’un jeune homme qui avait volé une voiture. La mère de ce jeune homme était restée couchée sur les marches de chez moi pratiquement toute la nuit. Et le lendemain matin, elle m’a dit: «Frère Branham, a-t-elle dit, le juge vous écoutera.» Elle a dit: «Implorez la miséricorde pour mon fils.»

            Eh bien, c’était la moindre des choses que je pouvais faire. Et le lendemain matin, je suis allé au bureau, j’ai frappé à la porte. Et un homme a ouvert la porte, il a dit: «Le juge est occupé.»

            J’ai dit: «D’accord. Dites-lui que j’aimerais le voir pour quelques minutes.»

            Il a entendu ma voix. Il a dit: «Entrez, Frère Branham.» Et il a demandé: «Que puis-je faire pour vous?»

            Et je lui ai raconté l’histoire. Il a dit: «Frère Branham, ce jeune homme n’est pas à son premier coup. C’est pratiquement le cinquième pour lui.»

            Et j’ai dit: «Mais, juge, il m’a dit que si vous lui accordez une chance de plus, il fréquenterait l’église, il viendrait à l’école du dimanche et il ferait rapport chaque dimanche.»

            Il a dit: «Frère Branham, chaque homme que j’aurai à condamner à une peine de servitude pénale deviendra un prédicateur avant de sortir.» C’est ce qui se passe. Nous cherchons à faire toutes sortes de promesses à Dieu quand nous sommes en détresse. Mais une fois dégagés de la détresse, nous oublions alors tout ça.

17        C’était pareil avec Israël. Lorsqu’Israël était en détresse, lorsqu’il s’éloignait de Dieu... Et chaque fois que quelqu’un s’éloigne de Dieu, que ça soit une nation, un peuple, une église, les troubles sont en route. Et après avoir abandonné Dieu pour un temps et avoir connu la détresse, ils criaient toujours à Dieu, immolaient des sacrifices et honoraient effectivement Dieu au point que Dieu venait les secourir; et puis, ils L’oubliaient encore.

            Cela relève simplement des êtres humains, on dirait, de faire ça. On dirait qu’ils prennent plaisir à venir auprès du Seigneur, mais c’est très vite oublié. Eh bien, nous avons assez vu la main de Dieu dans cette réunion ici pour nous en souvenir jusqu’au jour de notre mort. Si nous devrions vivre cinquante à cent ans de plus, nous souvenir de ce que Dieu a fait pour nous...

18        Plus tard, David s’est écrié: «Attache Tes commandements à la colonne de mon lit. Je vais observer Tes statuts, et tout...» après avoir vu la bonté de Dieu. Mais, vous savez, le psalmiste a aussi dit que Dieu est notre Refuge, un Secours qui ne manque jamais en temps de détresse. Donc, c’est bien de connaître Dieu, de trouver Dieu, d’être en bons termes avec Lui pendant que tout va bien. Alors, au temps de détresse, Il sera un Secours qui ne manque jamais, au temps de détresse.

19        Il n’y a pas longtemps, je parlais à un évangéliste, et il m’a dit: «Il s’est passé l’une des choses les plus étranges.» Il a dit qu’un–un jeune homme de couleur est allé auprès de lui il y a quelques soirées avant d’être sauvé. Il a dit: «Il n’a point attendu les appels à l’autel.» Il a dit: «Lorsque je suis monté à la chaire, il s’est directement avancé et a dit: ‘Pasteur, j’aimerais accepter Jésus comme mon Sauveur personnel.’»

            Et il a dit: «Certainement, fils. Je suis très content de t’entendre dire cela et de prier avec toi. Mais c’est quoi ce brusque changement? Qu’est-il arrivé? As-tu donc fréquenté plusieurs fois l’église?»

            Il a dit: «Absolument pas, je n’y ai pas été.» Il a dit: «J’ai été plus ou moins un vagabond.» Il a dit: «Il y a de cela environ six mois, j’errais là loin dans l’Etat de Maine.» Il a dit: «J’étais là sur un sentier isolé, marchant. Et il m’est arrivé d’avoir faim, et j’étais à court d’argent.» Et il a dit: «J’ai offert mes services à quelques coupeurs de pulpes.» Et il a dit: «Ils m’ont dit: ‘Vous pourrez travailler. Nous avons une femme de couleur qui fait la vaisselle, ou la cuisine. Vous pourrez faire la vaisselle pour elle.’»

            Et il a dit qu’il leur avait dit: «Eh bien, c’est en ordre. Peu m’importe ce qu’il y a à faire. J’aimerais travailler un peu.» Et ils ont dit: «Nous vous nourrirons et nous vous donnerons autant.’»

20        Alors, il a dit: «Environ deux nuits plus tard, il était là, il venait de faire la vaisselle et il était couché au lit, méditant.» Et entre sa chambre et celle de la vieille dame, un rideau était suspendu là. La vieille dame avait déposé une lampe sur une caisse. Et il a dit qu’il avait entendu deux hommes dehors en train de parler. Puis, il a commencé à entendre un bruit très drôle se produire, un bruit très morne, un grondement. Et il dit qu’un de ces hommes a dit à l’autre, ces bûcherons très forts, costauds, il a dit: «Jim, nous ferions mieux de descendre à la cabane, car nous risquons d’être emportés de la face de la terre dans les quelques prochaines minutes.»

            Il a dit que cela l’avait alarmé. Il avait la tête sous la couverture. Il a dit qu’il s’était recouvert de la petite couverture et: «Qu’est-ce qui ne peut pas marcher?» Mais il a dit: «Quelques minutes après, l’éclair a commencé à jaillir à la fenêtre.» Il a dit qu’il s’était levé, qu’il avait regardé par la fenêtre; et il a dit que l’une de ces puissantes tornades qui frappent cette contrée traversait le bois juste un peu au-dessus. Et il a dit, il a dit: «Et si cela frappait cette pièce?», avec lui-même à l’intérieur.

21        Il a dit: «La vieille tante qui était dans la chambre voisine a dit, elle a frappé sur le petit rideau et elle a dit: ‘Fiston, viens ici.’ Elle a dit: ‘J’ai une lampe allumée.’»

            Il a dit: «Je suis entré dans sa chambre, elle m’a pris par la main et elle m’a demandé: ‘Jeune homme, es-tu chrétien?’ J’ai dit: ‘Non, madame, je ne le suis pas.’»

            «Eh bien, a-t-elle dit, tu ferais mieux de t’agenouiller ici maintenant, car dans les quelques prochaines minutes, cette petite cabane, si elle est sur la trajectoire de cet ouragan, va voler en éclats.»

            Il a dit: «Elle s’est jetée par terre à côté de cette vieille caisse à savon.» Et il a dit: «Je n’avais jamais entendu quelqu’un prier avec autant de maîtrise. Elle parlait à Quelqu’Un à qui elle avait parlé auparavant», a-t-il dit. Et il a dit: «Elle ne semblait pas se préoccuper de ce que la cabane volerait en éclats.» Mais il a dit: «Tout d’un coup, les branches ont commencé à cogner la cabane, les arbres à se déraciner et à tomber.»

            Le prédicateur lui a demandé: «Avez-vous prié?»

            Il a répondu: «Non, monsieur. J’avais trop peur pour prier.» Il a dit: «Je savais que le prochain à tomber m’emporterait. Mais voici une seule chose que j’ai dite: ‘ Seigneur, si Tu es miséricordieux envers moi, une fois sorti d’ici, je vais Te reconnaître comme mon Sauveur.» Il a dit: «C’est pourquoi je suis ici maintenant, car je ne sais pas quand je rencontrerai une autre tempête comme celle-là.» Et il voulait venir pendant qu’il jouissait du bon sens, pendant qu’il pouvait réfléchir, pendant qu’il pouvait prier, pendant qu’il pouvait penser pour lui-même, et entrer en contact avec Dieu.

22        Je crois bien qu’il existe des repentances sur le lit des morts. Mais ne comptez pas sur cela, car cela pourrait être... J’ai vu beaucoup de gens au bord de la route dans des accidents, les corps transpercés par des tessons, un tir, et une balle. J’allais vite vers eux, je demandais: «Etes-vous chrétien?»

            «Non. Non», et on ne pouvait pas prier.

            Ne courez pas de risque là-dessus, car Dieu est présentement notre Refuge et notre Force. Et Il est un Secours qui ne manque jamais dans la détresse. Réfléchissez maintenant à vos voies!

23        Il y a quelque temps, je profitais d’un petit voyage. Je venais de me marier. Je vois ma femme assise là, à me regarder. Nous venions donc de nous marier, et j’allais l’amener dans un petit voyage de lune de miel. Nous avions épargné quelques sous, et j’allais aux chutes de Niagara. Alors, je me suis dit que comme j’étais si près des Adirondack, je pourrais tout aussi bien chasser un peu. J’ai amené ma femme avec moi à la chasse.

            Et alors, quand j’étais... Quand j’étais donc... Je l’ai installée dans un petit appentis. Le garde forestier allait venir le jour suivant, là sur la montagne Hurricane, dans les Adirondack.

24        Ma mère est en partie Indienne. Et je me disais que j’étais trop homme de bois pour me perdre donc une fois. Je lui ai donc parlé, j’ai dit: «Eh bien, Meda...» Billy était alors avec elle, il avait environ cinq ans. Et j’ai dit... Sa mère, vous savez, est morte. Et alors, j’ai dit: «Eh bien, apprête mon dîner, je serai de retour vers midi. Je vais par ici. Il y a un ours qui longe le flanc de cette montagne, alors, j’y vais.»

            Eh bien, je me suis mis à traquer cet ours, je continuais à avancer. J’ai traversé des collines et des collines. Et peu après, j’ai regardé de l’autre côté et j’ai vu un énorme chevreuil, juste ce que je cherchais pour cet automne. J’ai tiré la biche, et j’ai dit: «Dis donc, regarde ça. L’orage éclate.»

25        Et si jamais quelqu’un a déjà chassé et sait ce que représente un orage dans les montagnes, il ferait mieux de s’installer. Mais je ne pouvais pas m’y installer; j’avais une femme et un enfant, c’était la première fois pour eux d’être dans les bois, de toute leur vie, dans un petit appentis. Eh bien, ils gèleraient à mort. Cela ferait moins dix cette nuit-là. Et cette tempête qui approchait pouvait durer deux ou trois jours. Et ma femme, c’est la plus grande peureuse que j’aie jamais vue dans les bois, et elle aurait peur à mort. Je me suis donc dit qu’il me fallait rentrer.

            J’ai alors très vite ramassé mon fusil. Et j’ai enfilé mon manteau, j’ai gravi le petit égout où j’étais descendu. Et j’ai marché. Les brouillards descendaient bas, le vent descendait bas. Et j’ai dit: «Oh! Je sais comment m’en tirer, je vais carrément rentrer tout droit, longer le flanc de la colline et me diriger droit vers le camp. Ce n’est pas à plus de cinq miles [8 km] d’ici.»

26        J’ai donc marché, marché. Et j’ai dit: «Par où avais-je tourné ici?» Et, tout d’un coup, vous savez, je me suis arrêté et j’étais à côté de ma biche. J’ai repris, et je suis retourné au même endroit. J’ai repris, allant dans une certaine direction, et je suis retourné au même endroit. Eh bien, les Indiens appellent cela la marche de la mort; vous tournez en rond. Vous n’en sortirez jamais. Alors, je me suis avancé... Je savais que j’avais traversé la montagne dans un certain sens, je suis allé dans les, comme on les appelle, les géants; c’est large. Mais par où pouvais-je rentrer? Comment sortir de ce cercle?

            Eh bien, je devenais nerveux. Et j’ai dit: «Un instant donc. Billy, tu es un trop bon homme de bois pour te perdre», monologuant. «Tu sais que tu sais t’en tirer. Tu es censé le savoir. Meda mourra, et Billy aussi. Tu dois t’en tirer.» J’ai dit: «Assurément. Je sais m’en tirer. Je vais monter tout droit, puis tourner et aller de l’autre côté.»

27        J’ai repris la marche. Je devenais de plus en plus nerveux. Et je me rendais compte que j’étais perdu. Les brouillards étaient pratiquement aussi bas que ces rideaux. Et je... Le vent soufflait là, il ne faisait que neiger, c’était brumeux, le vent... Je savais que ce serait un problème pour en sortir.

            Et je me suis engagé. J’ai dit: «Eh bien, quand j’avais traversé la montagne, le vent me soufflait au visage. Donc, je vais directement rentrer dans le sens du vent.» Et j’avais le vent dans mon dos. Si c’était au visage... Je me suis engagé dans cette voie-là. Et alors, j’ai entendu Quelque Chose citer ce passage des Ecritures qui m’est venu à l’esprit cet après-midi: «Dieu est un–est un Secours qui ne manque jamais dans la détresse. Il est notre Refuge et notre Force.» Eh bien, j’ai simplement continué à marcher. Et puis, cela se faisait entendre de plus en plus fort: «Oh! ai-je dit, c’est moi qui me l’imagine.» J’ai dit: «Eh bien, je sais que je deviens nerveux.»

28        Quand quelqu’un est perdu n’importe quand, il attrape une fièvre. Puis, il se met à courir, il perd la tête, il tombe d’une falaise ou de quelque chose comme cela et se tue. Ainsi donc, je savais que c’était cela qui m’arrivait, que j’allais attraper cette fièvre-là, car je pensais à mon épouse. Généralement, je me serais trouvé un petit endroit, j’y serais entré, j’attraperais un porc ou un animal comme cela, et cela me servirait jusqu’à la fin de l’orage. Mais je ne pouvais pas y penser à cause d’eux. Ils allaient mourir. Et j’ai dit: «Je dois les rejoindre.» J’ai donc dit: «Je deviens maintenant nerveux. Je vais donc me rassurer que c’est la voie, et je vais directement suivre cette direction-là.»

            Et Quelque Chose continuait à dire: «Dieu est notre Refuge, un Secours qui ne manque jamais dans la détresse.»

29        Alors, j’ai dit: «Maintenant, je dois être en train de craquer. Je perds maintenant la tête, car j’entends cela de mes oreilles.» Et j’ai dit: «Ça ne peut pas être possible. Ça va. Je sais que ça va. Je suis un trop bon homme de bois pour me perdre.» Je continuais simplement à avancer. J’ai dit: «Je connais les directions, et je ne suis pas perdu.»

            Parfois, les gens aiment se faire des illusions comme cela aujourd’hui en adhérant à une église. Ne vous faites pas d’illusions. Vous feriez mieux de vous mettre en ordre. Dieu est notre refuge et notre force, un secours qui ne manque jamais dans la détresse.

            Pendant que j’avançais, je me suis dit: «Tiens, je sais que je suis une mauvaise direction, car je reviens dans cette direction, et je me rends compte que je suis perdu.» Oh! C’est un sentiment horrible que d’être perdu. Alors, j’ai dit: «J’accepte, Seigneur, que je ne suis pas un homme de bois. Il me faudra Te faire confiance.»Alors, j’ai ôté mon chapeau, je m’y suis agenouillé. J’ai déposé mon fusil à côté de l’arbre. Et j’ai dit: «Seigneur, je suis perdu. Je ne mérite pas de vivre. Mais Billy et elle méritent de vivre. C’est moi qui les ai amenés dans les bois. Pas à cause de moi, Seigneur, mais à cause d’eux, fais-moi sortir de ces bois, Seigneur. Car je suis perdu et je ne sais pas où je me trouve. Tu es le Seul qui peux m’aider. On est tard en novembre, cet orage peut durer des jours.»

30        Je me suis relevé, j’ai ramassé mon chapeau, je l’ai porté sur la tête. J’ai dit: «Maintenant, je suis sûr, en tant que chrétien; je suivrai cette unique direction. Je vais continuer.» Je me suis mis à marcher. Et j’ai dit: «Maintenant, en voilà l’idée. Je vais tout droit dans cette direction. C’est la direction que je me sens conduit à suivre.» Et alors que je m’engageais, tout d’un coup, Quelque Chose a posé la main sur moi.

            Vous pourrez dire: «Frère Branham, c’était juste votre imagination.» Non, je ne m’étais pas imaginé cela. J’avais senti Cela au point que je m’étais retourné. Et alors, c’était absolument Dieu, car les brouillards s’étaient suffisamment dissipés pour me permettre de voir que je m’éloignais directement de la montagne Hurricane; j’ai vu la tour derrière moi, là où le garde forestier restait. Mais il n’était pas là en cette période de l’année. Je me dirigeais droit vers le Canada.

31        Oh! Je me suis vite tourné dans la direction où j’ai vu la tour. Je savais que je ne pouvais pas m’en écarter. Je devais traverser les falaises et tout pour atteindre cela. Mais sur une distance d’au moins six ou sept miles [9,6 ou 11,2 km] dans cet orage, qu’est-ce qui avait pu dissiper ces brouillards, sinon la main de Dieu? Si jamais quelqu’un a été dans un orage dans les montagnes, eh bien, c’est tellement épais qu’on voit parfois difficilement ses propres mains devant soi. Et sur des kilomètres, cela s’était dégagé pendant un moment. Et j’avais le dos tourné à cela, mais Quelque Chose avait posé Ses mains sur moi, m’amenant à me retourner pour voir ce que C’était. Il est un Secours qui ne manque jamais dans la détresse.

            Lorsque j’ai retrouvé mon chemin, j’ai ôté mon chapeau et j’ai dit: «Ô Dieu, je T’ai servi des dizaines d’années ou plus maintenant. Je Te servirai jusqu’à ma mort. Dirige-moi, ô Seigneur, vers cette tour-là.» Et je devais continuer ma course.

            Et c’est comme ça que ça se passe. Lorsque Dieu vous sauve, vous devez continuer la course vers le Calvaire. Ne vous en détournez ni à droite ni à gauche.

32        J’ai vu qu’au sommet de cette montagne-là il y avait cette petite cabane du garde forestier, là où... Et je savais que si jamais j’atteignais cela, il y avait une ligne téléphonique qui parcourait la montagne sur environ six miles [9,6 km] jusqu’à l’appentis où nous étions; en effet, cette cabane était tout près de l’appentis. Ce n’était pas encore ouvert. Il allait venir plus tard chasser avec moi.

            Eh bien, je... sur les collines, sur la pierre de schiste, glissant, me blessant. Il faisait noir, car j’avais tournoyé là. Il était pratiquement seize heures trente minutes à ce moment-là. Il faisait sombre, et je ne voyais plus. L’orage tournoyait et soufflait, et les animaux fuyaient.

33        Je devais marcher la main levée, car je savais que j’avais cloué cette ligne-là sur l’arbre, à peu près à cette hauteur-là. Je savais, que puisque j’étais dans la bonne direction, ma main finirait par toucher cette ligne-là. Alors, j’ai gardé cette main levée. La neige, elle tombait comme cela, la tempête de neige; il gelait là-haut sur la montagne. Mon bras devenait tellement froid et engourdi. Je devais m’arrêter, changer le fusil de main pour le réchauffer, je le mettais sous le manteau, puis remettais la main afin de me rassurer que je n’étais pas allé au-delà de cela. J’ai de nouveau levé la main, je me suis mis à marcher. Il faisait de plus en plus noir. Et ça devenait... Je savais que ma femme allait devenir frénétique. Finalement, je pensais m’être égaré du chemin. Je me suis arrêté plusieurs fois. Mais peu après, je–j’ai touché quelque chose. Je me suis arrêté, c’était une branche. Je l’ai tirée. C’était une branche. J’ai encore relevé la main, et j’ai repris la marche.

            C’est ainsi que vous allez au Calvaire, avec les deux mains levées, implorant miséricorde à tue-tête. C’est Dieu qui vous dirige.

34        Vous ne savez quel sentiment j’ai éprouvé lorsque ma main a touché quelque chose. J’ai tiré cela, et c’était le fil. Je savais que si je pouvais tenir ce fil-là, il me conduirait vers mes bien-aimés. Quel sentiment de savoir que Dieu m’avait aidé! J’étais apaisé de savoir que j’étais alors sauvé.

            Mais cela n’était en rien comparable au ravissement qu’il y avait eu une nuit lorsque j’avais gardé mes mains levées jusqu’à ce que quelque chose d’autre eût touché ma main et mon coeur. C’était le fil du Saint-Esprit qui me dit qu’au bout de ce chemin, mes bien-aimés et mon Sauveur attendent. Quand j’ai réfléchi à mes voies, je n’étais pas un chasseur. Je n’étais pas un homme de bois. Dieu était mon Refuge et ma Force.

35        C’est comme le fils prodigue, pendant qu’il était dans une porcherie, il s’est alors ressaisi; il s’est mis à réfléchir à sa voie, comment il avait traité son père, comment il avait traité les autres. Il s’est alors ressaisi. Et quand il a réfléchi à ses voies, il a dit: «Je me lèverai, je retournerai auprès de mon père et je lui dirai: ‘Je ne suis pas digne d’être appelé ton enfant. Traite-moi comme l’un de tes serviteurs.’» Quand il a réfléchi à ses voies, il s’est dirigé vers la maison du père.

            Il y eut le patriarche Job. Il réfléchissait non seulement à ses propres voies, mais aussi aux voies de ses enfants. Il se disait ceci: «Comme ses jeunes garçons et ses jeunes filles étaient sortis fêter, se disait-il, par hasard, ils ont peut-être péché, donc j’offrirai un holocauste pour eux de toute façon.» Il réfléchissait aux voies de ses enfants.

36        Je vous assure, s’il y avait plus de pères et de mères américains qui réfléchissaient aux voies de leurs enfants plutôt que de les envoyer à ces fêtes de rock-and-roll, aux danses et aux grandes fêtes, on aurait eu un meilleur pays.

            Job se disait: «S’ils ont péché, j’offrirai une offrande pour eux.» Et lorsque la détresse l’avait frappé, il pouvait dire: «Je sais que mon Rédempteur est vivant, qu’Il se lèvera le dernier sur la terre. Quand ma peau sera détruite, il se lèvera; quand je n’aurai plus de chair, je verrai Dieu. Quand bien même Il me détruit, je Lui ferai néanmoins confiance», car il réfléchissait à ses voies, que Dieu était un secours qui ne manque jamais dans la détresse.

37        Il y eut le patriarche David. Lorsqu’il était assis devant le prophète Nathan, ce dernier lui avait alors révélé ses propres voies de pécheur. Et quand David s’est mis à réfléchir à ses voies, qu’il avait arraché à son aimable ami Urie, qu’il lui avait arraché la jolie Bath-Schéba, sa femme... Elle était alors enceinte. David avait cherché à faire venir Urie pour qu’il reste avec sa femme, et qu’ainsi il impute cela à la femme, que c’était son enfant à lui, ou plutôt imputer cela, dire que c’était l’enfant d’Urie. Cependant, Urie, ce vaillant soldat, bien que n’étant qu’un prosélyte... Il était un Gentil, un Héthien. Mais il s’est dit: «Que Dieu me garde de descendre auprès de ma femme, alors que l’Arche de mon Dieu est sur le champ de bataille.» Lorsque je traverserai la frontière entre cette vie et celle-là, j’aimerais serrer la main à Urie. C’était un vrai homme. «Que Dieu me garde. Mes frères sont là et l’Arche de mon Dieu est sur le champ de bataille, et moi, j’irai vivre avec ma femme pendant que mes frères sont là.»

38        Et David a demandé à Joab de le placer au plus fort du combat et de retirer des gens tout autour de lui; ainsi, il mourut sous la puissance de l’ennemi alors que le soleil se couchait, tenant son bouclier. Quand Nathan le prophète le lui a révélé et lui a dit: «David, tu es un homme riche», David a alors réfléchi à ses voies, il a reconnu que ses péchés n’étaient pas cachés devant Dieu. Cela l’a amené à se revêtir du sac, et il a pleuré amèrement, revêtu du sac et couvert de cendre. Assurément, lorsque vous réfléchissez à vos voies!

            Il y eut le patriarche Jacob, qui avait proféré un mensonge et avait fait l’hypocrite, en volant le droit d’aînesse à son frère. Il s’est depuis longtemps bien tiré apparemment, mais il s’est mis à penser revenir à la maison.

39        Il peut y en avoir beaucoup ici ce soir qui pensent rentrer à la maison. La vieillesse vous attrape. La maladie vous a eu. Vous feriez mieux de réfléchir à vos voies avant d’arriver là. Et alors que Jacob était en route avec sa femme et ses enfants, il a reçu un message, qu’Esaü venait à sa rencontre avec une grande armée. Alors, il s’est mis à réfléchir à ses voies, comment il avait traité Esaü, il l’avait trompé. Et cela l’a amené à prier toute la nuit. Il a combattu avec l’Ange de l’Eternel.

            J’espère ce soir que les hommes et les femmes, les jeunes gens et les jeunes filles qui ont négligé le baptême du Saint-Esprit (vous ne savez pas à quel point vous êtes proches de la maison), j’espère que vous consacrerez... vous vous déterminerez à combattre avec l’Ange du Seigneur et à ne pas Le laisser partir avant d’être bénis.

40        Quand l’Ange de l’Eternel avait touché Jacob, ce dernier avait depuis lors marché différemment. D’un côté de la rivière, il était un grand fugitif lâche, mais de l’autre côté, c’était un prince boitillant. Vous marchez différemment, et vous pensez différemment. Il n’avait alors pas peur de rencontrer Esaü, car il avait combattu avec l’Ange. Réfléchissez à vos voies. Il y eut Moïse qui vivait paisiblement, ayant épousé la fille du cheik Madian, Séphora. Et pendant qu’il était là à paître les brebis là-bas, un jour, il marchait derrière le désert, sur un ancien sentier familier, paissant les brebis paisiblement. Israël était en esclavage, en servitude. Il réfléchissait à ses voies. «Ce n’est pas ça mon travail, être un berger. Dieu m’a appelé à être prédicateur.»

            Comment sais-je si je ne prêche pas ce soir à un Moïse qui est là dans une aciérie, ou ici dans une fabrique de pulpe, ou là dehors à conduire un camion quelque part, que Dieu ne vous a pas commissionné à sauver des âmes. Au lieu de faire cela, vous vous êtes attrapé un travail pour gagner votre pain quotidien, vivre à l’aise, alors que des milliers d’âmes vont à la ruine.

41        Comment sais-je si je ne suis pas en train de prêcher à un homme, ou une femme, qui est appelé au champ de mission, mais qui cependant vend ce droit d’aînesse-là pour un morceau de pain? Revenez à vous-même. Réfléchissez à vos voies. Voyez quel avantage cela accordera... Que gagnez-vous là? Si vous gagnez le monde entier et que vous perdez votre âme, qu’avez-vous fait? Réfléchissez à vos voies.

            Et comme Moïse s’est mis à réfléchir à ses voies: «Je suis un meurtrier; je suis un lâche. Dieu m’a appelé à être un prédicateur. Il est... J’ai eu une naissance particulière. J’ai été caché dans les joncs. Je n’oublierai jamais l’histoire de ma mère, me racontant que Dieu m’avait appelé. J’avais le Message dans le coeur. Mais j’ai eu tellement de théologie; eh bien, j’ai essayé de m’y prendre à ma manière. Mais cependant, Dieu est toujours là quelque part, sinon Il ne m’aurait pas épargné la vie.»

            Pendant qu’il réfléchissait à ses voies, il lui est arrivé de regarder de côté, et là se trouvait un buisson ardent qui lui a répondu. Dieu est miséricordieux.

42        Il y a ici ce soir un buisson ardent pour répondre à chaque frère qui a fui l’appel de Dieu. Réfléchissez à vos voies. Le Saint-Esprit est ici pour guérir les malades, accomplir des signes, des prodiges et des miracles. Beaucoup parmi vous ont voulu devenir chrétiens. Beaucoup parmi vous ont désiré faire quelque chose pour Dieu. Mais vous avez négligé cela pour une bassine, pour un travail quelque part là dans une usine.

            Certaines parmi vous, femmes, qui devraient être chez vous à la maison avec vos enfants, en train de leur lire la Bible, vous avez un travail là pour gagner davantage de dollars. Honte à vous. Dieu vous a donné un travail: élever ces enfants. Enseignez-leur les choses de Dieu. C’est la vérité. Réfléchissez à vos voies, femmes. Que feront ces dollars? Ils retentiront comme ceux de Judas Iscariot. Réfléchissez à vos voies et tournez vos pieds vers Ses préceptes, vers Son Sang, vers Sa grâce, vers Son offre.

            «Quand j’ai réfléchi à mes voies, a dit David, j’ai dirigé mes pieds vers Tes préceptes.» Certainement. Réfléchissez à vos voies alors que vous avancez.

43        Remarquez. Moïse a réfléchi à ses voies et il a dirigé ses pieds vers les préceptes du Seigneur. Et Dieu l’a béni et lui a donné un appel, Il a renouvelé Ses voeux, Il a fait tout ce qu’Il lui avait promis, Il a fait de lui un grand libérateur.

            Il se peut qu’il y ait une seule âme que Dieu vous a appelé à sauver, mais vous ne faites pas cela. Comment savez-vous qui est cette âme? Regardez la petite lavandière ici dans le Kentucky, je pense, qui avait senti dans son coeur un appel pour avoir un réveil dans la ville, jadis, au début du temps des méthodistes. Et lorsqu’elle a fait cela, elle a loué une vieille écurie de chevaux de louage. Elle a fait la lessive jusqu’à avoir assez d’argent pour louer une écurie des chevaux de louage; elle a nettoyé cela, elle y a installé sa banquette à lessiver, elle a amené des tracts là. Elle a loué le service d’un vieux prédicateur pour qu’il vienne prêcher. Le vieux serviteur du Seigneur est venu cette nuit-là pour prêcher, avec toute bravoure. Chaque fois que les gens regardaient au tract, ils jetaient cela par terre et s’en allaient. Elle pleurait. Elle s’est mise en route. Elle a dit: «Je ne sais quoi faire, Seigneur.»

44        Un drôle de petit garçon, aux cheveux tombant sur la nuque, portant les bretelles de son papa, en pantalon jeans, s’est avancé et a demandé: «Femme, que distribuez-vous?»

            Elle a dit: «Chéri, c’est un tract.»

            Il a dit: «Je ne sais pas lire.»

            Elle a dit: «Il y aura une petite réunion par ici ce soir dans telle vieille écurie de chevaux de louage.» Et ce soir-là, lorsqu’on a fait l’appel, les portes étaient ouvertes. Le vieux prédicateur et la femme avaient été les seules personnes là. Il s’était levé pour prêcher son message qui lui brûlait le coeur. Peu après, ce petit garçon aux longs cheveux était entré dans le bâtiment en titubant. Cette nuit-là, il est allé à l’autel. Je ne me rappelle pas, je pense que c’était Dwight Moody, qui a envoyé un million d’âmes au Calvaire. Alléluia!

45        Comment savez-vous que Dieu ne vous a pas appelé, que vous manquez les bénédictions de Dieu rien que par orgueil et en essayant d’agir comme les voisins? Je préférerais habiter dans une meule de foin, boire l’eau de robinet, manger des biscuits salés et être fidèle à l’appel de Dieu, plutôt que de prendre des poulets trois fois par jour, vivre dans un palais et avoir à rater des choses dont j’ai besoin.

            Réfléchissez à vos voies alors que vous avancez. Alléluia! Oui, Il est Dieu. Réfléchissez... Quand j’ai réfléchi à ma voie... Qu’allez-vous devenir, petite jolie demoiselle, ce soir? Ici quelque part, les joues toutes maquillées, vous pensez être quelque chose; un de ces jours, votre petit corps va pourrir et se décomposer sous terre. Où ira alors cette âme? Réfléchissez à vos voies.

46        Qu’en est-il de vous les je-connais-tout. Vous les hommes et les femmes qui pensez être plus intelligents que quelqu’un d’autre, savez-vous que Dieu a rendu l’Evangile si simple que même un insensé ne devrait pas s’égarer? Réfléchissez à vos voies.

            Pensez à Jésus-Christ qui a été traité de fou pour vous apporter ce Message de salut. Pensez aux apôtres qui ont scellé leur témoignage, qui étaient sortis de toutes sortes d’églises et qui étaient taxés d’hérétiques. Etes-vous meilleurs qu’eux? Non, jamais, à des millions de kilomètres. Vous n’êtes pas meilleurs qu’eux. Réfléchissez à vos voies, tournez vos pieds vers le Calvaire. C’est l’unique remède que Dieu a pour le salut: c’est par le Calvaire. C’est tout ce qu’Il a.

47        Il y eut Pierre qui, ayant entendu le coq chanter trois fois, a réfléchi à ses voies, car Jésus-Christ lui avait dit que pareille chose arriverait. Et quand il a vu arriver ce que Jésus avait promis, il a réfléchi à ses voies. Il est sorti et a pleuré amèrement.

            A certains d’entre vous ici ce soir, peut-être ici sur place, à certains de ceux qui pensent que celle-ci est une bande de saints exaltés, qui pensent que le salut de Dieu, c’est du fanatisme; vous voyez s’accomplir, soirée après soirée, la chose même dont notre Seigneur avait dit: «Un signe sera donné; il est possible que Je m’en aille, mais J’enverrai le Consolateur, le Saint-Esprit. Lorsqu’Il sera venu, Il rendra témoignage de Moi. Et dans les derniers jours, le signe de Sodome apparaîtra.» Réfléchissez à vos voies pendant que vous regardez et que vous voyez ce que Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.»

48        Et vous voyez l’homosexualité prendre de l’ampleur. Vous voyez des signes apparaître. Vous voyez l’Ange du Seigneur, le même qui était à Sodome, à l’oeuvre en plein parmi nous ce soir. Il est appelé le Saint-Esprit, Celui que Jésus a envoyé à Sa place. Jésus ne peut pas être ici sous forme du corps, mais Il a envoyé le Saint-Esprit prendre Sa place pour accomplir les mêmes oeuvres qu’Il avait accomplies.

            Réfléchissez à vos voies prétentieuses. Réfléchissez à ce tas de credo que vous servez plutôt que de servir le véritable Dieu vivant. Si un homme ne naît de nouveau, il ne verra en aucun cas le Royaume de Dieu. Réfléchissez à vos voies. Oh! Vous pourrez être un docteur en théologie. Je ne sais pas ce que vous êtes. Mais si vous êtes perdu, vous feriez mieux de réfléchir à vos voies, car le moment arrive.

49        Il y eut un temps où le souverain sacrificateur compta les trente pièces d’argent à Judas. Lorsqu’il entendit ces pièces d’argent tinter, Judas réfléchit à ses voies, il alla prendre une corde et se pendit.

            Il y eut le soldat romain, alors qu’il se tenait là et qu’il a vu le soleil se coucher en pleine journée, il a vu les pierres se détacher de la montagne, il a entendu Quelqu’Un dire: «Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font.» Il Lui avait enfoncé la lance dans le coeur et il avait vu l’eau et le sang en jaillir. Ayant vu cela, il s’est mis à réfléchir à ses voies. Il est tombé sur sa face, il s’est écrié et a dit: «Assurément, c’est le Fils de Dieu.» Il s’est mis à réfléchir à ses voies après avoir vu ce qu’il avait fait.

50        Pensez à ce que vous avez fait. Regardez le diable. Regardez comment vous avez rejeté Christ. Vous aviez l’intention de devenir un vrai chrétien. Vous aviez l’intention d’être rempli du Saint-Esprit. Vous en aviez l’intention un jour, mais votre intention ne vous amènera jamais là. L’enfer est pavé de bonnes intentions.

            Frère, lorsque vous réfléchissez à vos voies, faites comme le soldat romain qui a crié à Dieu, disant: «Assurément, Il est le Fils de Dieu. Je dirigerai mes pieds vers Ses préceptes. Je vivrai pour Lui qui est mort pour moi.»

51        Lorsque vous voyez le Saint-Esprit agir, accomplir de grands signes et de grands prodiges, réfléchissez à vos voies. Lorsque vous voyez le dernier signe que Dieu avait dit devoir se produire, ce que Sodome était avant d’être détruite; lorsque vous verrez cela, réfléchissez à vos voies. Réfléchissez à ce que vous faites. Si vous êtes chrétien, réfléchissez à la vie que vous menez. Menez-vous une vie sans reproche–reproche? Faites-vous ce qui est agréable à Dieu? N’y a-t-il point de condamnation dans votre coeur? Si vous êtes un pécheur, tremblez sous la puissance de Dieu et venez à l’autel.

            Si vous réfléchissez à vos voies pendant que je prêche, si Dieu vous a convaincu que vous êtes en erreur, alors je peux vous dire une chose: Je peux vous présenter Quelque Chose qui est ici ce soir.

Car il y a une Fontaine remplie du Sang,
Tiré des veines d’Emmanuel,
Les pécheurs plongés dans ce flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.

Ce voleur mourant s’est réjoui de voir,
Cette Fontaine en son jour; (après avoir vu le signe qu’Il était le Fils de Dieu.)
Là, puissé-je, aussi vil que lui,
Ôter tous mes péchés.

Depuis que par la foi, j’ai vu ce flot
Que Tes blessures saignantes ont alimenté,
L’amour rédempteur a été mon thème,
Et il le sera jusqu’à ma mort.

Puis, dans un chant plus noble, plus doux,
Je chanterai Ta puissance salvatrice,
Lorsque cette pauvre langue balbutiante et bégayante,
Reposera dans le silence de la tombe.

52        Oh! la la! Il y a de la place à la Fontaine pour chacun de vous. Réfléchissez à vos voies. Et, rappelez-vous, pendant que vous jouissez de votre bon sens, pendant que vous êtes ici ce soir, réfléchissez à vos voies et acceptez Jésus-Christ pendant que nous prions.

            Y en aurait-il ici qui auraient le courage, alors que vous réfléchissez à vos voies, avant que nous priions, qui lèveraient la main pour dire: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham, quand vous prierez. Je réfléchis à mes voies. Elles ne sont pas exactement ce qu’elles devraient être.» Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Partout dehors dans le... Maintenant, je peux voir vos mains, là tout au fond, dans l’obscurité.

53        Levez la main; gardez vos têtes inclinées. Levez la main pour dire: «Frère Branham, souvenez-vous de moi. Ô Dieu! Seigneur, je ne lève pas la main vers frère Branham, je la lève vers Toi. Mais je veux que lui prie pour moi. Je crois qu’il a dit la Vérité. Nous devrions réfléchir à nos voies.» Que Dieu vous bénisse, monsieur. «Et quand j’ai réfléchi à mes voies, j’ai dirigé mes pieds vers Tes préceptes. Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi.» Y en aurait-il d’autres qui lèveraient la main pour dire: «Je–je suis chrétien, Frère Branham, mais sincèrement, j’ai réfléchi à mes voies. Les champs missionnaires et tout sont disponibles. Et me voici assis ici à ne rien faire à ce sujet. Je travaille dans une usine, juste afin de pouvoir obtenir quelques dollars de plus. Je fais...» Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Vos mains se lèvent partout. Que le Seigneur vous bénisse. Que Dieu vous bénisse partout.

            «Je gaspille mon temps ici à chercher à gagner un peu de dollars de plus ou quelque chose comme cela, alors que des âmes se meurent. Et à vrai dire, je–je n’ai même pas... Je n’agis pas bien devant Dieu. Je ne dépense même pas correctement mon argent; je le dépense pour les choses du monde.» Oh! Venez sans argent, sans rien payer, là à cette Fontaine remplie du Sang. Plusieurs centaines de mains se sont levées. Y en a-t-il une autre maintenant avant de terminer? Donc... à ma prière? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu bénisse la petite fille; qu’Il te bénisse, chérie. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, soeur.

54        C’est la douce petite fille d’il y a quelques instants, quand je franchissais la porte. Elle est venue et a dit: «Je m’appelle Karen.» Elle a dit: «Mon papa et ma maman sont venus.» Elle a dit: «J’ai des verrues sur toutes mes jambes.»

            Elle ne me demandait pas de prier, car je l’avais soulevée dans mes mains. J’ai prié Dieu. J’ai dit: «Chérie, ces verrues te quitteront maintenant.» Elle a regardé, et ses petits yeux d’enfant m’ont regardé, et elle a dit: «Merci, monsieur.»

            Une petite enfant. Vous direz: «Cette fille qui a levé la main tout à l’heure, elle ne sait pas...»

            Si, elle sait. C’est le Saint-Esprit qui est là, qui veut amener cette enfant à la Fontaine pendant qu’elle est jeune, que sa tendre conscience ne porte pas encore la marque de flétrissure de ce drôle de rock-and-roll, des magazines d’histoires vécues et des souillures du monde. Laissez-la plonger dans ce flot ce soir, perdre toutes les taches de sa culpabilité. Elle réfléchit à ses voies.

55        Bien-aimé Père céleste, à la fin du message, je T’apporte ceux qui ont levé la main. Ils sont les trophées du message. Ils viennent, simples, ayant juste levé la main. Il est écrit dans les Ecritures: «Tous ceux qui ont cru furent ajoutés à l’Eglise», tous ceux qui furent sauvés. Et je prie, Dieu bien-aimé, que Tes Paroles retentissent fort à leurs oreilles maintenant même et dans leur coeur. Nous savons que notre Seigneur a dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire; et tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi.» Parfois, au cours de nos messages étranges, nous nous disons: «Pourquoi avons-nous fait cela?» Et puis, nous voyons les pécheurs lever les mains. Alors, nous reconnaissons que c’est notre Père qui agit. Nous savons que Dieu a ordonné qu’ils viennent, absolument. Ils viendront, car Jésus a dit qu’ils viendraient. Il a aussi dit: «Je ne chasserai pas celui qui vient à Moi. Celui qui écoute Mes Paroles...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

56        Et prêcher cela, Seigneur. «... et croit en Celui qui M’a envoyé (c’est-à-dire au Dieu le Père) a la Vie Eternelle et ne vient point en Jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Quelque Chose a dit à ces gens de lever la main. Quand ils l’ont fait, c’était l’Esprit qui leur avait parlé, disant: «Vous êtes en erreur. Levez la main.» Et ils ont brisé chaque loi de la science. Ils ont levé la main. La science dit que la gravitation maintient leurs mains baissées. Cela montre qu’il y a en eux un esprit qui a pu briser la loi de la gravitation et lever la main. Le même Dieu vers qui ils ont levé la main se tenait là pour inscrire leur nom dans le Livre de Vie de l’Agneau. Je le crois, Seigneur. Reçois-les.

57        Peut-être que je ne pourrais pas leur serrer la main dans cette vie, mais là de l’autre côté, après que le dernier sermon aura été prêché, et que la Bible aura été fermée pour la dernière fois, que mes lèvres seront scellées par la mort et mes yeux fermés, et que je me serai réveillé dans le monde inconnu, là, à côté du Trône, à côté de l’arbre toujours vert, accorde-moi de les rencontrer, Seigneur, de leur serrer la main là-bas; alors, ils diront: «C’était à Chautauqua cette nuit-là, ce vendredi soir-là, que j’avais levé la main. C’était réglé pour toujours, Frère Branham. Je suis très content d’être ici.» Seigneur, qu’il en soit ainsi. Je te les présente comme les trophées de la réunion. Au Nom de Jésus-Christ, garde-les, Père. Amen. Que le Seigneur vous bénisse.

58        J’ai beaucoup de malades pour qui prier. J’aurais voulu continuer l’appel à l’autel. Mais je vais vous croire sur parole, qu’aussitôt après la ligne de prière, vous viendrez ici à l’autel. Tenez-vous ici, après la ligne de prière, et dites: «Je suis très content ce soir d’avoir accepté Jésus comme mon Sauveur.» Et faites quelque chose. Allez dans la pièce derrière et priez, et remerciez Dieu pour cela. Réfléchissez-y donc.

            Maintenant... (C’était quoi ces cartes de prière?) Il a distribué les cartes de prière hier, je pense que c’est ce qu’il a dit. Et il ne savait pas si nous sommes toujours... Je ne sais pas s’il y a pensé ou pas, mais nous... De toute façon, nous avons distribué des cartes de prière, c’était la série A, je les ai prises hier soir.

59        Et maintenant, ce soir, nous allons prendre le... (La série suivante, c’est B. La série B, 1 à... Très bien, 1 à 50.) La série B, 1 à 50, c’est sur cela que nous sommes ce soir.

            Maintenant, nous aimerions aligner les gens comme ceci. Nous aimerions que tout le monde soit vraiment respectueux. C’est un peu tôt, me disais-je. Mais maintenant, nous allons... Je suis... Je ne peux pas m’excuser de vous avoir gardés, le Saint-Esprit... Vous êtes un si merveilleux auditoire auquel s’adresser; je ne peux simplement pas retenir... Je ne sais quand arrêter. C’est vraiment bien. Et je sens que cela nourrit mon propre esprit. Quand je prêche, je me sens bien et fort, les lignes de prière me brisent. Vous voyez, cela m’épuise; ceci m’édifie.

60        Ainsi, que le Seigneur vous bénisse. Maintenant, croyez. Que tout le monde garde son siège, soyez vraiment respectueux pendant quelques minutes; nous allons faire venir ces gens et prier pour eux. Maintenant, la série B... (Avez-vous dit 1 à 50? 1 à 50). Qui a la carte de prière B numéro 1? Levez la main. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            ... vous vous fracturez le bras. Vous entrez en courant et vous dites: «Docteur, guéris mon bras. Je dois terminer mon travail ici dehors. J’enfonçais des clous et je me suis fracturé le bras. Guéris-le très vite; je dois terminer ce... les planches de la maison.» Voyez?

            Eh bien, il dirait: «Vous avez besoin de guérison mentale.»

            Eh bien, c’est vrai, voyez, Il ne peut pas guérir cela. Il peut remettre l’os en place, entre-temps Dieu opère la guérison. Combien savent que c’est vrai? Si vous souffrez de l’appendicite, le médecin peut couper l’appendice, mais il ne peut pas guérir cela. Il ne peut pas guérir. Voyez, Dieu est le seul Créateur. Combien savent que Dieu est le seul Créateur?

61        Or, le diable ne peut pas créer. Le diable peut pervertir ce que Dieu a créé. C’est quoi l’injustice? C’est la justice pervertie. C’est quoi le mensonge? C’est la vérité pervertie. Voyez? C’est quoi l’adultère? C’est un acte que Dieu a permis à l’homme et à la femme d’accomplir correctement, mais utilisé par des partenaires non autorisés. C’est ça l’adultère: Le même acte accompli par les partenaires non autorisés. Voyez? C’est ça l’adultère. La justice... L’injustice, c’est la justice pervertie.

            Toutes sont-elles...? Que dites-vous? Toutes sauf la carte de prière 25. Qui a la carte de prière 25? Peut-être que c’est un estropié, ou un sourd, ou quelqu’un comme cela. La carte de prière 25, qui l’a? B–25? Très bien. (Etait-ce cela, docteur, ou plutôt frère... Oh! oui, ça va.) D’accord, 29. Oh! Nous allons vous prendre, juste une minute, frère.

62        Très bien, B–1 à 25. Peut-être que la personne est sortie, ou qu’elle n’est peut-être même pas ici ce soir. Ces cartes ont été distribuées hier, n’est-ce pas, Paul? Hier. Très bien. B–1 à 25, puis 25 à 50, dites-leur de se lever. B–25 à 50...

            [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... la foi. Combien savent cela? C’est la foi. Donc, sans la foi, vous ne pouvez pas être guéri. Il vous faut avoir la foi. Eh bien, la foi en quoi? La foi dans une oeuvre achevée, que Jésus a accomplie pour nous au Calvaire. Combien croient cela?

            Eh bien, quant à la guérison, cela est déjà accompli quand Jésus a achevé cela au Calvaire. Est-ce vrai? Levez la main. Alors, qu’est-ce qui doit être fait? Croyez simplement cela. Vous n’avez pas à venir à l’une de ces réunions. Vous n’avez même pas à demander à quelqu’un de prier pour vous. Tout ce qu’il vous faut avoir, c’est la foi pour croire cela.

63        Parfois... Eh bien, Dieu, Il est un Dieu bon. Oral Roberts dit qu’Il est un Dieu bon. Et c’est vrai. Il est un Dieu bon. Et cependant, Il est plus qu’un Dieu bon; Il est aussi un Dieu de colère. N’allez donc pas penser qu’Il est trop bon pour ne–pour ne pas garder Sa Parole et qu’Il vous excusera. Il ne fait jamais cela. Sa sainteté Lui exige d’être juste. Il est un Dieu juste, outre qu’Il est un Dieu bon. Il est bon, mais Il exige aussi la justice. Et Sa loi Lui exige d’être juste. Il doit garder cela. Ainsi donc, Il est aussi... Il est le Dieu de colère. Et alors, rappelez-vous, quand... Si vous ne me croyez pas sur parole là-dessus, ou si je ne vous crois pas sur parole, ça serait réglé. Mais ce n’est pas le cas avec Dieu. Dieu envoie des dons dans l’église pour continuer, pour se rassurer que tous seront sans excuse.

            Certains de ces dons sont... Oh! Eh bien, il y a–il y a neuf dons spirituels qui opèrent dans chaque corps local. Combien croient cela? 1 Corinthiens 12. Ce sont le parler en langues, l’interprétation des langues, les dons de prophétie, le discernement et tous les différents... la sagesse, la connaissance et–et les dons de guérison. Tout cela opère dans le corps local.

64        Et puis, il y a cinq offices de ministère. Combien croient cela? Assurément. Il y a premièrement les apôtres, les prophètes, les docteurs, les pasteurs, les évangélistes. Combien savent cela?

            Eh bien, comment pouvez-vous dire qu’il y a un pasteur ou un évangéliste et nier qu’il y a un prophète? Comment pouvez-vous dire qu’il y a un prophète s’il n’y a pas un apôtre? Voyez, certains aiment dire: «Oh! les pasteurs, les évangélistes, les docteurs, il y en a», mais ils ne veulent pas dire qu’il y a des prophètes. Le même Dieu qui a dit: «Docteurs et évangélistes», a dit: «Prophètes.» Il garde Sa Parole. Nous ne La poignardons pas, nous La prêchons simplement. C’est ce que c’est... C’est à Dieu... C’est à Dieu de prendre soin de Sa Parole. Ne croyez-vous pas cela?

65        Or, un prophète et un don de prophétie, ce sont deux choses différentes. Combien savent cela? Un don de prophétie opère dans l’église; on naît prophète. Jérémie naquit prophète. Même avant d’être conçu dans le sein de sa mère, Dieu avait fait de lui un prophète, Il l’avait établi prophète des nations. Jean, sept cent et douze ans avant sa naissance, avait été vu par Esaïe: «La voix de celui qui crie dans le désert.» Jésus-Christ était la Semence de la femme depuis le jardin d’Eden. Il ne pouvait être autre chose que Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Moïse naquit prophète. Voyez? On ne fabrique pas de prophètes. Ce n’est pas par l’imposition des mains et du fait de donner des dons. C’est quelque chose que Dieu donne. Dieu a établi dans l’Eglise (voyez?) premièrement des apôtres, ensuite les prophètes. Les autres sont des dons locaux qui opèrent dans l’église.

            Eh bien, maintenant, le Seigneur est avec nous, nous le croyons, et Il fera ces choses pour nous.

66        Maintenant, Jésus, une fois, dans Son ministère... Eh bien, Il avait la plénitude de la Divinité habitant corporellement en Lui. Combien savent cela, que c’est l’Esprit sans mesure? Nous avons l’Esprit avec mesure. Mais si l’Esprit de... c’est... de Dieu est en moi, le même qui était en eux, en Lui, en vous, Il opérera de même. C’est le même Esprit, seulement pas la même quantité. C’est le même Esprit, mais pas la même quantité. C’est juste comme une cuillerée d’eau d’océan: les mêmes produits chimiques contenus dans la cuillérée sont dans tout l’océan, mais seulement, pas la même quantité. Lui avait Cela sans mesure, nous, nous L’avons avec mesure. Toute la plénitude de Dieu était en Lui. Dieu était en Christ, Lui-même, réconciliant le monde avec Lui-même. Maintenant... (Toutes les cinquante sont-elles là?) D’accord. O.K.

67        Il y eut une fois, dans une réunion, une femme qui n’avait pas de carte de prière, comme nous le dirions. Elle souffrait d’une perte de sang et elle ne pouvait pas arriver auprès de Jésus; il y avait trop de gens autour de Lui. Tout le monde se précipitait, L’étreignait et... comme nous le dirions, comme ceci: «Bonjour, Révérend, ou Rabbi. Oh! Nous sommes très contents de Vous avoir sur notre territoire aujourd’hui. Comment allez-Vous? Donnez-moi une petite étreinte. Permettez-moi–permettez-moi de Vous tapoter sur le bras.» Tout le monde... Et la petite femme avait vu qu’elle ne pouvait pas s’approcher de Lui; alors, elle a rampé jusqu’à toucher le bord de Son vêtement. Est-ce vrai? Or, le vêtement palestinien flotte. Eh bien, je ne saurais pas si vous touchiez mon manteau, ou Son manteau. Et le vêtement palestinien avait un sous-vêtement et c’était un vêtement ample, une robe, au-dessus de cela; elle en a juste touché le bord, car elle se disait en elle-même: «Si je peux toucher le bord de Son vêtement, je serai guérie.» Est-ce vrai? «Je serai rétablie.»

            Eh bien, elle n’avait pas de passage d’Ecritures pour soutenir cela, mais c’est ce qu’elle croyait. Elle a donc touché Son vêtement. Elle est rentrée discrètement dans une foule comme celle-ci, peut-être, elle s’est assise, ou elle s’est tenue debout, ou je ne sais quelle position elle avait prise.

            Jésus s’est arrêté et a demandé: «Qui M’a touché?» Et eux tous disaient: «Pas moi.» Et Pierre a dit... Il L’a repris. En d’autres termes, il aurait dit quelque chose comme ceci: «Seigneur, de quoi parles-Tu? Qui T’a touché, alors qu’ils se montent dessus pour Te toucher?»

            Il a dit: «Mais J’ai connu que J’étais devenu faible. Une force est sortie de Moi.»

68        Quelqu’un L’avait touché d’un genre de touche différent. Eh bien, c’est de ce genre de touche que nous aimerions parler juste une minute. Non pas la manière dont vous serrez la main, vous inscrivez votre nom dans le registre, mais une touche que Lui peut ressentir.

            Eh bien, cette petite femme avait un besoin. Jésus a promené Son regard sur l’assistance... Combien savent qu’Il avait l’Esprit de discernement? Assurément, sans mesure. Mais Il n’a pas su. Eh bien, s’Il l’avait su, Il aurait dit la vérité. Il est Dieu et Il ne peut que dire la vérité. Mais Il ne savait pas qui avait fait cela. Mais Dieu était en Lui. Et Il a promené le regard sur la foule jusqu’à repérer la petite femme. Il lui a dit que sa foi l’avait guérie de la perte de sang. Et elle avait senti, en elle-même, que la perte de sang s’était arrêtée. Est-ce vrai?

69        Or, la Bible dit que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous cela? Le Nouveau Testament dit-Il qu’Il est le Souverain Sacrificateur maintenant même qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités? Est-ce vrai? Il peut être touché par le sentiment de nos infirmités. C’est vrai.

            Donc, s’Il est le Souverain Sacrificateur, le même Souverain Sacrificateur, et si vous Le touchez, comment réagira-t-Il s’Il est le même Souverain Sacrificateur? De même qu’Il avait réagi la première fois. Dieu ne peut qu’agir comme Il avait agi la première fois, car Il est infini. Il est infini; nous, nous sommes limités. Nous commettons toutes sortes de fautes, mais Dieu, pas Lui. Il est... Tout ce qu’Il fait une fois, c’est parfait pour toujours. Il est Dieu. Il ne peut pas commettre une erreur et être Dieu.

70        Alors, la femme L’a touché, Il s’est retourné et lui en a parlé. Eh bien, s’Il est le même Dieu ce soir qu’Il était autrefois, le même Souverain Sacrificateur qui peut être maintenant, en cette heure-ci, touché par le sentiment de nos infirmités, Il agirait de même. Eh bien, Il est allé dans la Gloire.

            Il est le Cep, nous sommes les sarments. Ce n’est pas le Cep qui porte les fruits, ce sont les sarments qui portent les fruits. Est-ce vrai? Vous ne cueillez pas le fruit du cep, vous en cueillez du sarment. Eh bien, si nous sommes les sarments et que Lui est le Cep, c’est donc Lui qui nous donne la Vie, qui est le Saint-Esprit. Et si le Saint-Esprit vient de Lui, Il agira comme Lui.

71        Maintenant, combien là dans l’assistance... Il y a... Y a-t-il des cartes de prière là dans l’assistance? Y a-t-il quelqu’un qui a une carte de prière quelque part dans l’assistance? Pas une carte de prière. Afin que vous voyiez donc que cela fait... Vous n’avez pas à avoir une carte de prière. Il vous faut avoir la foi. La foi est la victoire. C’est la foi que Dieu cherche. Ayez simplement foi. Croyez simplement, tout est possible.

            Maintenant, chacun de vous, là dans l’assistance, qui est malade et qui n’a pas de carte de prière, croyez-vous que vous avez assez de foi pour toucher le bord de Son vêtement là dans la Gloire ce soir? Croyez-vous cela? Levez la main partout, partout.

72        Qu’Il bénisse cette petite fille. Une toute petite fille... Est-ce votre enfant, monsieur? Est-elle malade? D’accord. Croyez-vous que Dieu peut me révéler ce qu’est cette enfant? Si elle peut toucher le bord de Son vêtement? Si c’est le cas, vous reconnaîtrez si c’est la vérité ou pas. Je ne te connais pas, enfant; je ne t’ai jamais vue. Tu es juste assise là. Crois-tu?

            Combien dans l’assistance croiront? C’est une enfant, juste une petite fille. Elle est assise là, me faisant signe de ses deux petites mains, me regardant de ses petits yeux. Maintenant, il y a quelque chose qui cloche chez cette enfant, je suppose. Je ne sais pas. Dieu peut révéler cela.

            Accepteras-tu cela, soeur? Vous tous? Merci, chérie. Si vous êtes spirituel, Dieu vous ouvrira les yeux. Regardez, Il est suspendu à deux pieds [60 cm] au-dessus de cette enfant là. Voyez-vous cette Lumière-là? Maintenant, la voici; une vision est apparue. Il y a l’une ou l’autre chose au-dessus d’elle... Il s’agit d’une maladie du coeur. Je vois un médecin consulter son coeur. Elle souffre d’une maladie du coeur. Si c’est vrai, que la maman lève la main. Mettez votre main sur l’enfant. Satan, au Nom de Jésus-Christ, tu es exposé. Ton plan mensonger est terminé. Sors de cette enfant au Nom du Seigneur Jésus. Nous, l’Eglise du Dieu vivant, t’adjurons par Jésus-Christ de quitter l’enfant.

73        Croyez-vous maintenant? Ayez foi en Dieu. Cet homme assis juste là, avec la tête inclinée, en train de prier, souffre d’arthrite. Pensez-vous que Dieu vous guérira, monsieur, et vous rétablira? Vous assis là au bout du siège, un peu costaud, en chemise blanche, croyez-vous que Dieu vous débarrassera de cette arthrite? C’est pour cela que vous priiez. Si c’est vrai, levez la main. D’accord. Maintenant, rentrez chez vous, rétabli. Jésus-Christ vous guérit.

            Croyez-vous cela? Ayez foi. Que quelqu’un d’autre prie. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.

74        Une dame est assise là derrière, elle me regarde. Vous priez pour quelqu’un d’autre. C’est votre frère. Il souffre de polio. Si c’est vrai, mettez-vous debout pour lui. Je ne vous connais pas, et vous ne me connaissez pas. Si c’est vrai, levez la main. Mais vous... Ça y est. Vous priiez pour lui. Si c’est vrai, faites signe de la main. Le Dieu qui vous entendait m’a parlé et vous avez touché Son vêtement. C’est le Saint-Esprit agissant de la même manière qu’Il avait agi autrefois. Allez et croyez de tout votre coeur, et cela le quittera.

            Croyez-vous? Quelque chose s’est passé juste au même moment. Quelque chose d’autre a frappé juste ici même. Oh! Ça y est. C’est une femme assise là même, en train de prier pour un de ses bien-aimés qui est paralysé. Croyez-vous que Dieu le rétablira? D’accord. Vous pouvez rentrer chez vous, croire de tout votre coeur, vous le trouverez ainsi. Amen.

75        Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Qu’en est-il des gens dans cette section? Vous croyez, vous qui êtes sans... Celle-ci est une ligne de discernement. Je vais juste prier pour ces gens-ci. Ceci est le discernement. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur. Ici... Cette femme assise ici même, un peu costaude, souffre des yeux; n’est-ce pas, soeur? Ils vous font mal. Et à part cela, il vous a été dit que vous souffrez de foie. Est-ce... Si c’est vrai, levez la main. Le médecin, un gars un peu costaud... D’accord. Rentrez chez vous et soyez guérie. Jésus-Christ vous guérit. Amen.

76        Croyez-vous? Réfléchissez à vos voies maintenant. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui a dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome», lorsque l’Ange de l’Eternel descendit dans une chair humaine, exerça le discernement et dit: «Abraham, où est ta femme?»

            Et elle a ri en elle-même derrière Lui, dans la tente. Il a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?» Réfléchissez à vos voies maintenant. Mettez-vous en ordre avec Dieu.

            Maintenant, cette ligne de prière par là, vous m’êtes tous inconnus, à ce que je sache. Mais croyez-vous que l’onction du Saint-Esprit est sur moi maintenant, en tant que Son serviteur? Croyez-vous cela, dans toute cette ligne de prière? Maintenant, vous savez, si nous faisons le discernement jusqu’au bout de cette ligne, cela prendrait... Oh! Je ne terminerais pas cela ce soir. Mais croirez-vous si je prie de tout mon coeur, la prière de la foi pour vous, croirez-vous de tout votre coeur que vous serez guéris? Croirez-vous tous cela? Chacun de vous? Vous croirez cela. D’accord. Maintenant, prions pour eux.

77        Seigneur, Tu–Tu... non seulement pour ceux-ci, mais pour ceux qui sont dans l’assistance, que Ton Esprit continue à aller dans cette assistance et guérisse les malades et les affligés. Je prie au Nom de Jésus. Amen.

            Maintenant, vous dans les fauteuils roulants, sur les brancards, regardez dans cette direction et croyez de tout votre coeur. Vous pensez que votre cas est trop grave, mais ça ne l’est pas. Il faut seulement la foi. Pas plus de foi que ce qu’il faut pour guérir d’un mal de dent. Si seulement vous croyez cela, que ça soit une foi réelle. Croyez cela.

            Maintenant, afin que la–l’onction revienne sur moi, j’aimerais... Je–j’aimerais juste prendre... Peut-être que je tiendrai la main de cette femme juste une minute. Je ferais mieux de réserver cela pour une vision.

78        Regardez ici. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous savez que vous êtes très malade. Vous souffrez du cancer. Regardez, madame. Vous avez été chez un médecin. Vous êtes extrêmement nerveuse. Vous êtes allée chez un médecin pour que l’une ou l’autre chose soit ôtée. C’est au dos, et il a dit que c’était une mole qui devenait malin, et que cela ne guérira pas. Cela continue seulement à pousser. C’est toujours le cancer. Permettez-moi de tenir votre main une minute. Tenez. Regardez ça, on peut le voir. Voyez-vous comment cela traîne sur ma main? Eh bien, je vais enlever celle-ci et placer cette autre main dessus. Voyez? Cela n’est plus là maintenant. Voyez, placez votre main là. Par la grâce de Dieu et par Son Esprit, je peux faire partir cela de vous. Mais quant à savoir si cela va rester au loin ou pas, ça dépend de vous. Si vous pouvez voir cela arriver et partir... En effet, vous ne pouvez pas vivre longtemps, cela va directement se répandre dans votre colonne vertébrale (voyez?) et se répandre juste en plein dedans. Alors, allez-vous... Si vous pouvez voir cela arriver sur votre main, cela augmenterait-il votre foi? Vous êtes jeune, et vous–vous ne vivrez pas très longtemps si Dieu ne vous vient pas en aide.

            Eh bien, s’il vous plaît, ne pensez pas que ceci... Ceci est juste quelque chose... Cette femme est dans un état pire qu’elle ne le pense en fait.

79        Quoi que fût la vision, je sais que c’est un genre de puissance qui est... Eh bien, vous regardez ma main. Voyez-vous comment elle gonfle? Voyez-vous tous ces petits points blancs qui parcourent ma main? C’est juste comme une–une vibration, faisant brrr, brrr, brrr. En effet, il y a sur vous et le Saint-Esprit et la mort. La Vie et la mort ne peuvent pas s’associer. Eh bien, regardez, il y a autant de vie dans cette main que dans cette autre. Placez cette main dessus. Eh bien, ça n’y est pas (voyez?), il n’y en a pas maintenant. Eh bien, je suis autant humain que vous. Mais, vous voyez, c’était Sa promesse. Votre main droite, que vous leviez votre main droite pour montrer que vous croyez que je vous dis la vérité, ma main vers Dieu, par mon coeur. Voyez? Maintenant, placez votre main dessus et observez. Placez votre... Maintenant, regardez ici. Voyez-vous cela? Maintenant, vous voyez qu’il y a quelque chose qui se passe là, n’est-ce pas (voyez)? Quelque chose d’anormal.

80        Maintenant, inclinons la tête un moment. Cette pauvre petite femme est dans un état grave. Bien-aimé Père céleste, je Te prie au Nom de Jésus de la guérir. Que Ton Esprit agisse. Elle regarde ma main pour voir si ces vibrations s’arrêtent. Elle voit ma main gonfler, noircir, elle voit qu’il y a quelque chose qui se passe. Ô Seigneur, viens en aide, que l’ennemi la quitte au Nom de Jésus, je prie. Amen.

            Maintenant, juste un instant. Je n’ai point regardé, mais cela est toujours dans le même état qu’avant. Cela ne l’a pas quittée. Ça n’a pas changé, n’est-ce pas? C’est resté exactement pareil. Maintenant, nous ne demandons pas à Dieu des miracles. Il n’est pas correct de demander à Dieu cela. Maintenant, rappelez-vous... Maintenant, vous voyez qu’il y a quelque chose qui arrive à ma main. Eh bien, lorsque vous enlevez votre main... Enlevez simplement votre main. Observez, voyez comment cela redevient? Maintenant, placez... Regardez comment... Je place ma main dessus, cela n’agit pas comme ça. Voyez? Et votre main, l’autre, cela n’agira pas comme cela.

            Maintenant, remettez cette main là, et voilà ça revient. Voyez? Voyez, vous regardez cela. Si c’est vrai, levez cette main afin que l’assistance voie. Vous pouvez vous-même voir cela. Maintenant, je place ma main sur cette chaire, ici même, afin que vous puissiez voir cela. Ça ne dépend pas de là où vous placez la main. N’importe où, c’est pareil. Est-ce vrai? Vous regardez droit à ça.

81        Eh bien, Jésus a dit: «En Mon Nom, ils chasseront les démons.» Maintenant, vous tous, aidez. Maintenez votre foi devant Dieu. Maintenant, nous... Maintenant, lorsque cela sortira, cela reviendra si la foi n’est pas là pour l’affronter. Car, lorsque l’esprit impur sort d’un homme, il erre dans les lieux arides et revient. Comprenez-vous? Mais si vous voyez cela quitter là, vous saurez alors que vous allez vous rétablir. Vous allez croire cela, n’est-ce pas? Cela vous encouragera, car vous avez passé un temps horrible avec ça.

            Seigneur Dieu, nous ne réclamons pas des miracles. Mais Tu les as promis, Seigneur. Et afin que cette assistance, ainsi que cette petite femme, si... Le médecin a tout fait, Seigneur, pour sauver la vie de cette femme, et il a répandu ce cancer. Il va se répandre dans son dos, dans sa colonne vertébrale. Les ténèbres et les ombres sont suspendues autour d’elle. Mais Toi, Tu es ici pour la guérir. Elle observe ma main. Elle attend qu’un mouvement ou quelque chose comme cela arrive. Que cela arrive cette fois-ci, Seigneur. Cela augmentera la foi des gens. Nous... Je le demande non pas pour... pour rien du tout, Père, mais afin que ces gens sachent que je leur dis la Vérité. Et la commission que Tu as donnée par un Ange qui a confirmé cela, qui a dit que ceci arriverait premièrement, et qu’ensuite, je connaîtrais le secret même de leur coeur; ils me croiraient.

82        Seigneur, nous vivons en un jour où les gens ont reçu un enseignement très opposé à cela, à Toi, à Ta Parole, à Ton Esprit. Ils ne savent quoi croire. Que cette petite femme à l’article de la mort voie la puissance de Dieu. Elle observe ma main. Elle voit cela bouger. Elle attend voir cette enflure quitter et ces vibrations s’arrêter dessus. Qu’il en soit ainsi, Seigneur. Aide-moi, je Te prie, afin que Toi... que les autres voient, qu’ils fassent attention, qu’ils sachent que Dieu est toujours Dieu. Satan, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je t’adjure, sors de la femme et quitte-la.

            Maintenant, la femme voit elle-même. Chaque vibration a quitté, et c’est parti. Est-ce vrai, soeur? Vous êtes guérie. Poursuivez votre chemin et réjouissez-vous.

            Vous y êtes. Elle a vu cela elle-même, on a vu Dieu guérir la femme. Maintenant, croyez-vous? Tout le monde croit-il? Ayez foi maintenant pendant que nous prions.

83        Maintenant, avancez, soeur. Cette même onction est ici. Si nous nous arrêtons pour tout le monde, vous savez ce qui arrivera.

            Dieu bien-aimé, au Nom de Jésus-Christ, guéris notre soeur que voici. Amen. Allez maintenant en vous réjouissant comme l’autre l’a fait, et croyez de tout votre coeur.

            Maintenant, voyez, on dirait que... Vous voyez, si on n’a pas une vision, cela–cela ne–cela ne se fait pas. Quelque chose arrive. Voyez-vous ce que je veux dire? Combien comprennent? Eh bien, cela... Cette femme s’est peut-être dit: «Eh bien, l’onction n’est pas sur lui. L’onction l’a quitté.» L’onction ne m’a pas quitté. Elle est toujours là. Certainement. Croyez-vous cela?

84        Tenez, tenez, cette femme-ci. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Dieu vous connaît. Croyez-vous que je suis Son prophète? Si je ne vous connais pas et que Dieu vous connaît, si Dieu révèle à votre sujet quelque chose dont vous savez que je ne sais rien, me croirez-vous? Vous me croyez déjà. D’accord, vous souffrez de varices. C’est vrai. Et à part cela, vous priez pour quelqu’un, votre frère. Et on a déclaré que ce jeune homme souffre de nerfs. Vous ne croyez pas cela. Et ce n’est pas vrai, il est simplement nerveux. Ne croyez pas ça. Croyez-vous que Dieu sait qui vous êtes? Si je vous dis qui vous êtes par l’Esprit de Dieu, cela vous débarrassera-t-il de tout doute? Mademoiselle Neville, rentrez chez vous, guérie. Jésus-Christ vous guérit. Voyez? Ne doutez pas.

85        Croirez-vous, monsieur? Cette ombre, ce démon de cancer vous quittera. Venez ici. Seigneur Dieu, au Nom de Jésus-Christ, guéris cet homme, je prie, par le Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon frère.

            Venez, monsieur. Croyez-vous de tout votre coeur? Regardez juste au... Regardez des centaines et des centaines de gens qui prient dans l’assistance. Seigneur, au Nom de Jésus-Christ, guéris notre frère. Amen. Croyez, frère, de tout votre coeur.

            Venez, soeur. Croyez-vous maintenant? Seigneur, alors que... Lorsque le... Pendant que le Saint-Esprit est sur moi, m’oignant, que le précieux Dieu du Ciel guérisse notre soeur au Nom de Jésus. Amen. Maintenant, allez en croyant de tout votre coeur. Regardez, soeur. Regardez, soeur bien-aimée. Levez la main et dites: «Merci, Seigneur. Gloire à Ton Nom.» C’est ce qu’il faut faire. Poursuivez votre chemin, et–et Dieu arrangera cela pour vous. C’est comme ça. Allez en croyant.

86        Que pensez-vous, madame? Croyez-vous? Croyez-vous que je suis le serviteur de Dieu? Cela vous a saisie, voyez? Vous savez que quelque chose se passe.

            Une vision m’a détaché de la petite femme. Que Dieu me vienne en aide après ceci. Voyez? La femme s’attend effectivement à une expérience de l’hôpital (C’est vrai, n’est-ce pas?), une intervention chirurgicale. Et c’est pour un enfant. Vous êtes sur le point d’accoucher. Et le médecin dit qu’il doit venir par une césarienne, une intervention chirurgicale. Et vous voulez que je prie afin que ça soit par une naissance naturelle. Est-ce... Est-ce vrai? Levez la main. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Vous n’êtes pas d’ici. Vous venez d’une ville appelée Wooster. C’est vrai. Madame Wenger, poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Dieu vous guérit, soeur, et vous accorde le désir de votre coeur.

87        Prions tous. Que tout le monde incline la tête maintenant. Eh bien, adorons donc d’abord le Seigneur. Levez les mains dans l’adoration, et dites: «Merci, Seigneur Jésus. Merci, Seigneur.» Ô Dieu, nous T’aimons, nous Te louons. Oh! sois miséricordieux envers nous, Seigneur. Ô Père divin, accorde-nous Ta miséricorde. Accorde-nous le Saint-Esprit. Que les gens dans l’assistance voient que Tu es Dieu, et que ceux-ci soient guéris par le Nom de Jésus. Amen.

            Venez, soeur. Au Nom du Seigneur Jésus, puissiez-vous aller et être guérie. Amen.

            Maintenant, alors que vous venez, je... Le Saint-Esprit est sur moi, en train de m’oindre. Croyez cela maintenant. Venez donc. Et au fur et à mesure que vous passez, je vais prier. Vous tous, soyez aussi en prière maintenant, pour ces gens-ci.

            Seigneur, j’impose les mains à mon frère. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il soit guéri. Amen. Allez en croyant maintenant. Très bien. Venez, soeur. Au Nom de Jésus-Christ, j’impose les mains à celle-ci pour sa guérison. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur.

            Venez maintenant, soeur bien-aimée. Seigneur Dieu, au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie pendant que le Saint-Esprit est sur elle. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Venez, mon...?... partez.

88        Seigneur, guéris mon frère et rétablis-le au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse. J’ai vu qu’il y avait beaucoup de tentations, voyons si cela continue. [Frère Branham parle à un autre.–N.D.E.]

            D’accord, venez. Avez-vous peur? Croyez-vous que Dieu peut me dire ce qui n’allait pas chez vous? Venez donc, cette maladie d’asthme vous quittera. Continuez donc en vous réjouissant.

            Venez en croyant. Seigneur Jésus, nous Te prions de la guérir et de la rétablir. Amen.

89        Dieu du Ciel, aie pitié, guéris notre frère, et rétablis-le. Amen.

            Venez en croyant maintenant, vous tous. Ô Père divin, au Nom de Jésus, rétablis-le. Amen.

            Maintenant, le Saint-Esprit est sur moi. Je ne fais qu’imposer les mains. La Bible dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»

            Au Nom de Jésus-Christ, j’impose les mains à ma soeur. Qu’elle soit guérie. Amen. Allez en croyant.

            Viens, petit garçon. Je vois ta maladie. Crois-tu que ces pieds se redresseront après que j’aurai prié pour cela? Tu crois cela, chéri? Seigneur, au Nom de Jésus-Christ, que l’état de cet enfant s’améliore, dans les quelques prochaines heures, à tel point qu’on le ramènera à la réunion pour montrer ce que Dieu peut faire au Nom de Jésus. Amen...?...

90        Venez donc, mon frère. Au Nom de Jésus-Christ, que mon frère soit guéri. Amen.

            Venez, ma soeur. Ô Père divin, au Nom de Jésus, que ma soeur soit guérie.

            Eh bien, alors que vous quittez l’estrade, allez en vous réjouissant. Croyez-vous? Maintenant, le Saint-Esprit est toujours ici. Croyez-vous qu’Il vous a guéri de la maladie du coeur pendant que vous vous tenez là? Allez donc en vous réjouissant, disant: «Merci, Seigneur.» Croyez-vous qu’Il vous guérit de la maladie gynécologique? D’accord, quittez donc l’estrade en vous réjouissant. Dites: «Gloire au Seigneur.»

            Seigneur, je Te prie de la guérir et de la rétablir au Nom de Jésus. Amen.

91        Venez, monsieur. Venez en croyant maintenant. Dieu bien-aimé, j’impose les mains à mon frère et je Te prie au Nom de Jésus-Christ de le guérir et de le rétablir. Accorde-le, ô Seigneur, pour Ta gloire et pour le salut par Dieu. Amen.

            Venez, mon frère. Oh! la la! Eh bien, évidemment, tout le monde peut ne pas savoir ce que c’est. Cet homme est aveugle. Croyez-vous, monsieur? Inclinons la tête juste un instant. Qu’il n’y ait pas de têtes ni d’yeux levés.

            Seigneur, nous ne réclamons pas des miracles. Nous ne réclamons pas cela. Nous implorons la miséricorde, que la miséricorde de Dieu, par la foi, soit accordée à notre frère; que l’esprit de cécité qui est sur lui puisse quitter. Que la vue commence à venir dans ses yeux en cette heure-ci. Qu’il soit complètement rétabli, car nous le demandons et nous chassons l’esprit de cécité au Nom de Jésus-Christ.

            J’aimerais que chaque tête soit inclinée et que tous les yeux soient fermés un instant, jusqu’à ce que vous m’entendrez dire: «Regardez.» Ne doutez pas. Levez les yeux vers moi. Voyez-vous mon doigt? Placez vos doigts sur mon nez. Vous y êtes. Très bien. Voyez-vous ces lumières là? La lumière commence à vous apparaître.

            Très bien, redressez la tête. Il a recouvré la vue. Il voit les lumières.

            Placez encore votre main sur mon nez pour que l’assistance...?... ici. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Vous aurez votre vue. Levons les mains et louons le Seigneur, tout le monde. Levez simplement les mains et dites: «Merci, Seigneur.»

92        Ô Dieu, au Nom de Jésus-Christ, que cet enfant soit guéri. Amen.

            Venez, soeur. Croyez-vous que Dieu guérira cette maladie du coeur? Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, disant: «Merci, Seigneur, de m’avoir guéri.»

            Venez, monsieur. Seigneur, je Te prie de guérir mon frère et de le rétablir au Nom de Jésus. Amen.

            Venez, soeur bien-aimée. Venez en vous réjouissant. Père divin, au Nom de Jésus-Christ, guéris et rétablis. Amen. C’est ça.

            Venez, soeur. Au Nom de Jésus-Christ, guéris et rétablis notre soeur. Amen.

            Venez, ma soeur bien-aimée. Père divin, au Nom de Ton Fils, Jésus, guéris et rétablis notre soeur. Amen. Venez. Au Nom de Jésus-Christ, guéris mon frère et rétablis-le. Amen.

            Au Nom de Jésus-Christ, guéris et rétablis...?... Amen, amen.

93        L’homme aveugle a recouvré la vue et se réjouit. Levons-nous, réjouissons-nous dans le Seigneur et disons: «Grâces soient rendues au Seigneur pour Sa bonté.»...?... Dieu, au Nom de Jésus...?... Seigneur...?... Au Nom de Jésus...?... ma soeur...?...

            Par le Seigneur Jésus, guéris notre soeur que voici...?...

            Guéris mon frère, Seigneur...?...

            Guéris notre...?... Que Dieu vous bénisse, soeur. Vous vous rétablirez...?...

            Ô Dieu, au Nom de Jésus, guéris ce jeune homme.

            Combien nous sommes reconnaissants! Etes-vous reconnaissants au Seigneur? Croyez-vous que Dieu est toujours ici? Croyez-vous que les discernements de Dieu sont vrais? Amen. Oh! Que c’est merveilleux!

94        Vous, êtes-vous la patiente? Etes-vous celle pour qui on doit prier? Croyez-vous que je suis un serviteur de Dieu? Me croyez-vous? Croyez-vous que Dieu m’a envoyé dans ce but? Est-ce un témoignage pour les gens que Dieu est Dieu? Croyez-vous cela? Croyez-vous? Si je vous dis ce qui ne va pas chez vous, vous, vous... cela vous rendra-t-il plus forte? Votre diabète, pensez-vous que cela sera guéri? Oui. Vous n’êtes pas d’ici. Non, vous venez du Kentucky. C’est exact. Vous êtes en visite ici. Vous avez une fille ici, une ville appelée Dayton. C’est exact. Votre fille a un caillot de sang. Vous priez pour cela. Votre nom, c’est madame Houston. C’est vrai. Rentrez. Jésus-Christ vous guérit. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant et portez le Nom du Seigneur. Croyez-vous de tout votre coeur?

            Qu’en est-il de vous dans des fauteuils roulants? Une femme est debout. Tous sont debout sauf un seul. Dites donc, la femme couchée là avec la main levée. Passez ici dans le... roulant, ici dans le fauteuil. Vous là, souffrant d’hémorragie, croyez-vous que Dieu vous débarrassera de ces hémorragies? Ayez foi en Dieu. Mettez-vous debout. Jésus-Christ vous guérira. Sortez de votre brancard. Croyez que Dieu est... La voilà debout, se réjouissant.

            Y a-t-il quelqu’un d’autre qui veut être guéri? Mettez-vous debout, chacun de vous. Au Nom de Jésus-Christ, que la puissance du diable soit réprimée et que Dieu soit...?...

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