Pourquoi?

Date: 61-0128 | La durée est de: 1 heure et 38 minutes | La traduction: Shp
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1          ...?...en Arizona pour prêcher l’Evangile. Et c’est certainement un grand privilège d’être ici ce soir. Quand il a dit... Nous étions ici dimanche soir, et il a dit que–qu’il allait tenir sa réunion de prière mardi soir. Et j’ai dit: «Bien, je viendrai et je passerai avec vous un petit temps de communion pendant la réunion de prière.» Ainsi ceci est un moment merveilleux. Je suis heureux de voir le frère Williams, le frère Sonmore, et mes amis associés, frère Sothmann, un bon nombre d’entre eux ici, qui... des gens que je connais personnellement, avec lesquels nous avons eu des moments merveilleux dans le Seigneur.

            Nous partirons donc d’ici pour Tucson. Et puis, dimanche soir ce sera le service de guérison, pour vous les gens de Tucson, frère Norman qui est là. C’est une église des Assemblées de Dieu de la place. Comment on l’appelle, frère Norman? [Frère Norman dit: «L’Assemblée centrale.»–N.D.E.] Assemblée centrale de Dieu, de Tucson. On aura là un service le dimanche matin; où on apportera la prédication, et le dimanche soir, ce sera le service de guérison, nous allons prier pour les malades pendant–pendant le service. Puis nous irons en Californie, et nous retournerons à l’Est, après nous irons dans le Yukon, ou plutôt en Colombie-Britannique. Et nous espérons que Dieu nous accordera de très bons résultats, et qu’Il vous bénira tous ici.

2          J’écoutais cette chorale. Je n’arrive vraiment pas à faire partir ça de mon esprit. Vous savez, je–j’aime ça. En fait, ce sont de très bons chants pentecôtistes à l’ancienne mode. Oh! la la! vraiment, je–je... ça me rend nerveux, quand j’entends une voix surexercée. Vous savez, quelqu’un qui essaie de chanter, quelqu’un qui est... vous savez, dont le visage devient tout bleu, et qui garde une certaine octave élevée... peu importe comment ils appellent ça. Et ils ne chantent pas; ils veulent simplement être entendus.

            Mais je pense qu’il n’y a rien de mieux qu’un simple et véritable bon groupe de pentecôtistes remplis de l’Esprit, ayant les mains levées, chantant à la gloire de Dieu. J’aime ça. Cela vous fait quelque chose. Paul a dit: «Si je chante, je chante par l’Esprit. C’est donc juste. C’est ça.

            Il faut que nous fassions tout par l’Esprit. Que vous chantiez, que vous parliez, que vous prêchiez, tout ce que vous faites, faites-le par l’Esprit. Et c’est toujours correct. Maintenant, nous les prédicateurs, nous savons que ce n’est pas tout le temps que vous pouvez prêcher par l’Esprit.

            C’est comme l’a dit le frère Moore, son petit garçon David...

3          Frère Jack était ici avec nous dimanche soir, et il nous a apporté un grand message, en tant que constructeur. Et il a dit que le petit David ne cessait de dire, quand il avait environ sept ou huit ans, il disait: «Papa, je veux prêcher.» Eh bien, il a dit qu’un soir ... il a dit qu’il l’a fait monter à l’estrade et l’a fait asseoir dans la–sur la chaise.

            Et il a dit–il a dit: «Eh bien, mesdames et messieurs, a-t-il dit, David a toujours voulu prêcher. Ainsi je pense que je vais juste le laisser prêcher un petit moment.» Il a dit: «Il était assis là comme un vieil ecclésiastique, vous savez, il portait son petit noeud papillon.» Il a dit: «D’un bond il est descendu de la chaise, et il a couru à la chaire, comme s’il allait embraser les lieux, vous savez.» Il a dit: «Il s’est arrêté, avec l’air dégonflé, il a regardé tout autour et a dit: ‘Ça ne va vraiment pas marcher’, et il a fait demi-tour et s’est rassis.» Nous, les prédicateurs, nous savons que bien des fois ça ne marche vraiment pas. Il a dit qu’il n’a plus réussi à le faire monter à la chaire depuis lors.

            Mais j’ai tellement apprécié ces chants... l’Esprit s’empare de vous.

4          J’ai deux fillettes chez moi. L’une d’elles a pratiquement la taille d’une grande fille maintenant. Ça fait environ... Je pense qu’il y a environ quatre ou cinq ans, ma petite Rebecca était très jeune alors, elle avait environ huit ans. La petite Sara avait environ quatre ans. J’étais en déplacement pour une série de réunions. Et elles sont les petites filles de papa. C’est ce que nous ressentons tous au sujet de nos enfants. Et ainsi, elles attendaient mon retour à la maison, et leur maman leur avait dit que je reviendrais à la maison vers–vers minuit, comme elle le pensait. Et elles ont essayé de rester éveillées, mais le sommeil les a tellement gagnées qu’elles ont dû aller au lit.

            Je suis rentré vers trois heures du matin. Et j’étais allé tenir plusieurs réunions, et j’étais fatigué. Beaucoup d’entre vous, frères, savent comment on se sent alors. Je n’ai donc pas pu me reposer. Et je me suis levé tôt vers cinq heures, et je m’étais assis dans la chambre–au salon, avec le... dans le fauteuil, et je me reposais un peu.

            Tout à coup, j’ai entendu un remue-ménage là dans la chambre à coucher, et voici venir Rebecca. Elle... c’est la plus âgée; elle était la première à se réveiller. La voici venir dans la pièce aussi vite que possible, et elle a carrément sauté et s’est mise à califourchon sur ma jambe, et elle m’a entouré de ses deux bras, et a commencé à m’étreindre, en disant: «Mon papa! mon papa!» Oh! vous savez comment votre coeur se dilate alors.

5          Eh bien, elle a réveillé sa petite soeur. Et ainsi sa–sa petite soeur était presque de quatre ans plus jeune. Et je ne sais pas si vos enfants font ça ou pas–je pense qu’ils le font–les miens le font, les plus jeunes récupèrent les vêtements des aînés, vous savez. Il s’agit des fripes. Et Sara portait le pyjama de Rebecca, dont les pieds étaient un peu trop grands, et dont les jambes étaient trop longues. Et elle n’arrivait pas à courir comme il faut, elle balançait ces grands pieds de lapins, vous savez, portant des raquettes, alors qu’elle essayait de faire les pas en courant.

            Et alors, j’ai plutôt pensé en les voyant courir... Rebecca par exemple, ayant de longues jambes, et d’un bond, elle s’est mise à califourchon sur mes jambes comme cela, et ses pieds étaient bien en équilibre sur le plancher, vous savez. Et elle était assise là, m’étreignant vraiment! Et, oh! je l’aime.

            Et je me suis dit qu’étant donné que l’église... vous savez, les grandes églises qui sont là depuis longtemps, et qui sont bien établies, savent de quoi elles parlent. Elles ont des chorales bien entraînées avec des voix grimpant toutes les octaves, et tout, vraiment comme il faut, vous savez. (Je pense que c’est ça. Est-ce octaves? Je–je n’ai pas utilisé le terme qu’il fallait, peu importe ce que c’est... des notes, ou je ne sais quoi...)

6          Ainsi donc, la petite Sara, elle, comme un petit groupe pentecôtiste, vous voyez, elle n’était là que depuis peu de temps. Elle n’a pas été formée comme cela. Ainsi, elle s’est élancée à travers la pièce, en trébuchant et en tombant. Et juste au moment où elle est arrivée à la porte, Rebecca s’est retournée, les deux bras autour de moi, et a dit: «Sara, ma soeur, je veux que tu saches que j’étais ici la première. J’étais ici la première, et je me suis emparée de papa tout entier. Et il ne reste plus rien pour toi.» (C’est ce qu’elles essaient de nous dire, voyez.)

            Ainsi, la pauvre petite Sara, aux petits yeux bruns, a eu l’air très découragée, a fait la moue avec ses petites lèvres; et à la voir, elle était presque sur le point de pleurer, parce qu’on s’était emparé de tout son papa. Il ne restait plus rien pour elle. Je lui ai fait un clin l’oeil, et je lui ai tendu une jambe et lui ai fait signe, et la voilà venir. C’est tout ce dont elle avait besoin, juste un petit encouragement. Ainsi, d’un bond, elle est montée sur ma jambe, et elle était plutôt plus jeune, vous savez, et sa... Elle était un peu chancelante. Ses–ses jambes n’atteignaient pas le plancher pour la garder en équilibre. Ainsi, j’ai passé mes deux bras autour d’elle pour la tenir, afin de l’empêcher de tomber.

            Elle m’a étreint un peu, et elle a roulé ces grands yeux bruns, et a levé le regard vers moi. Elle a dit: «Rebecca, ma soeur, j’aimerais te dire quelque chose.» Elle a dit: «Il est possible que tu te sois emparée de papa tout entier, mais je veux que tu saches une chose, c’est que papa s’est emparé de moi toute entière.»

            Ainsi, j’aimerais en arriver au point où Jésus s’emparera entièrement de moi. Nous pouvons manquer tout le... mais juste au point où Il s’emparera entièrement de nous. Soyez donc complètement en Lui, au point d’être perdu dans Sa bonté. Et c’est alors que je peux L’adorer en Esprit et en vérité.

7          Maintenant, juste avant d’aborder la Parole... Et je ne vais pas vous garder longtemps. Généralement, je prends quatre au cinq heures, à peu près cela. Mais ce soir, nous serons bref et nous ne prendrons que trente minutes. Ainsi donc, il faut que je me rende directement à d’autres réunions de réveil, et j’apprécie certainement cette invitation.

            Maintenant, quand je lis la Parole... Si tout le reste importe peu, la lecture de la Parole fera quelque chose pour vous. Et je vais lire un seul verset. Ce n’est pas beaucoup. Ce n’est pas... Ce n’est pas la longueur du passage qui compte; c’est ce qu’il est qui compte. C’est ce qui compte. Et ce n’est pas le papier sur lequel cela est écrit qui compte. C’est ce qui est dit dans la Parole, parce que la Parole de Dieu est éternelle. Mes paroles failliront; Ses Paroles ne peuvent pas faillir. Les miennes sont les paroles d’un homme, mais les Siennes, ce sont les Paroles de Dieu. Si donc mes paroles n’atteignent pas le but prévu par Dieu ce soir pour notre rassemblement, et si elles ne peuvent pas ajouter quelque chose aux chants pour aller de l’avant, alors je prie que vous preniez la Parole de Dieu, et Celle-ci atteindra ce but, parce qu’Elle est...

8          Chaque fois que Dieu est appelé sur la scène pour prendre une décision, lorsqu’Il prend la décision, ça doit être la même décision pour toujours. Maintenant, rappelez-vous, Il ne peut pas changer d’avis, parce qu’Il est parfait. Croyez-vous que Dieu est parfait? Croyez-vous qu’Il est infini? Certainement qu’Il est infini. Eh bien, s’Il est infini, eh bien, alors, Il–Il ne peut pas apprendre davantage. Or, nous, nous sommes limités, nous pouvons donc continuer à apprendre, et retirer ceci, et ajouter encore quelque chose, et retrancher. Mais Dieu ne peut pas faire ça, vous voyez. Il est parfait. Chaque décision est parfaite. Ainsi vous devez toujours vous rappeler ça: gardez votre esprit et votre coeur centrés sur Sa Parole.

            Oh! c’est un jour terrible que celui dans lequel nous vivons! Vous savez, le temps qui est trompeur c’est le temps du soir. Mais Il nous a promis que nous aurions la Lumière au temps du soir. C’est ce qu’Il a promis. Et comme le soleil se lève à l’est et qu’il se couche à l’ouest, ce n’est pas un autre soleil; le soleil qui se couche à l’ouest est le même qui s’est levé à l’est. Son prophète a dit qu’il viendra un temps où l’on aurait un jour maussade, qui ne serait ni jour ni nuit. Et... mais il est dit qu’au temps du soir, la Lumière paraîtrait à nouveau. Ainsi, nous avons eu cela, la Lumière du soir qui marque la fin du jour.

9          Et maintenant, rappelez-vous toujours que... Chaque fois que Dieu prend une décision, elle est parfaite. Ainsi, quand Il dit quelque chose, ça doit toujours demeurer ainsi. Cela nous rassure donc que nous pouvons parfaitement mettre notre confiance juste dans ce qu’Il dit. C’est la vérité, voyez.

            Ne vous éloignez jamais de Sa Parole. Gardez Sa Parole dans votre coeur. Je crois que c’est David qui a dit qu’il gardait Sa Parole dans son coeur afin de ne pas pécher contre Elle. Eh bien, si seulement nous pouvions nous rappeler cela.

10        Maintenant, avant que nous abordions la Parole, nous devons parler à l’Auteur. N’est-ce pas? Une fois, j’étais à Fort Wayne et j’utilisais... Ma grammaire n’est pas très bonne, ainsi j’utilisais le mot «polepit.» [«pulpit»: chaire–N.D.T.] Et il y avait un homme derrière l’estrade, je pense qu’il doit avoir... par son parler, il doit avoir enseigné monsieur Webster.

            Il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, votre grammaire est médiocre, très médiocre.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur. C’est exact.» J’ai dit: «J’ai été élevé dans une famille nombreuse de dix enfants. Et je n’ai pu obtenir qu’une instruction de l’école primaire.»

            Il a dit: «Eh bien, ce n’est donc pas une excuse.» Il a dit: «Vous êtes un homme.»

            J’ai dit: «Eh bien, c’est aussi vrai. Mais je suis tellement occupé à prier pour les enfants malades et autres que je n’ai pas le temps.»

            Il a dit: «Eh bien, cela n’est toujours pas une excuse.» Il a dit: «Ces gens-là vous apprécieraient davantage...» Il a dit: «Ce soir, je vous ai entendu dire ‘polepit’.» Il a dit: «Ils vous apprécieraient davantage si vous disiez ‘pulpit’.»

            Eh bien, vous savez, il m’a plutôt attaqué un peu durement. J’ai dit: «Frère, je ne veux pas me montrer arrogant. Mais voici ce que je voudrais dire: ces gens-là ne font pas attention si je dis ‘polepit’ ou ‘pulpit’, vous voyez. Ils m’écoutent simplement pour que je leur dise la vérité au sujet de Dieu; et puis, si vous menez la bonne sorte de vie, ils croiront la chose.» C’est exact. Oui.

            Ce ne sont pas les mots qui comptent, c’est ce que... parfois c’est ce que nous disons. Maintenant, inclinons la tête.

            Il a dit...

11        Je peux ne pas connaître très bien la Parole, mais j’en connais très bien l’Auteur. Et ainsi, je pense qu’il vaut mieux connaître l’Auteur parfois, n’est-ce pas? ... Le connaître dans le pardon de nos péchés.

            Maintenant, approchons-nous de Lui sur cette base, comme quoi nous Le connaissons, et qu’Il nous a pardonné nos péchés; et nous nous approchons de Lui, sachant qu’il nous donnera certainement ce que nous demandons.

12        Ô Dieu Tout-Puissant, nous nous approchons de Toi en ce Nom tout suffisant du Seigneur Jésus. Quand Il était ici sur terre, Il a dit: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Nous croyons que cela est suffisant. C’est pourquoi, Seigneur, nous ne pouvons pas venir en notre propre nom. Tu ne nous écouteras pas. Nous ne pourrions pas nous approcher de Toi, parce que Tu ne nous entendrais pas.

            Nous ne pourrions pas obtenir cela au nom de notre mère, ni de notre père. Nous ne pouvons pas non plus obtenir cela au nom de notre pasteur, de notre diacre, ni au nom de notre église, ni de notre organisation. Tu n’as pas promis de nous entendre, nous, mais Tu as promis que si nous nous approchions de Toi au Nom du Seigneur Jésus, Tu nous entendrais.

            Ainsi, nous venons en confessant nos torts, toutes nos mauvaises actions et pensées, et nous implorons la miséricorde et la grâce divines. Nous ne méritons rien, Père. Nous n’avons aucun mérite dont nous pourrions nous prévaloir. Mais nous venons sur base de Ses mérites à Lui, qu’Il nous a offerts gratuitement; et Il nous a dit dans Ses Evangiles que si nous demandons, nous recevrons, que si nous cherchons, nous trouverons, et que si nous frappons, on nous ouvrira. Nous croyons que ces Paroles sont vraies.

            Alors, Seigneur, nous nous approchons de Toi ce soir et Te demandons de bénir cette assemblée, ce pasteur; son... tous les–les besoins de l’église, ses diacres, ses comités, le conducteur des chants, la chorale, les laïcs; chaque église, et tous les chrétiens qui se sont assemblés ici avec nous ce soir.

            Père, nous Te prions maintenant de bénir Ta Parole, de bénir les chants qui ont été chantés, et d’exaucer les prières qui ont été offertes. Sauve tous les perdus, et guéris les malades, Seigneur. Tires-en gloire Toi-même, parce que nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

13        Pour ce qui est du texte, si je dois appeler cela un texte, c’est dans Jérémie 8.22; si vous voulez bien le noter.

          N’y a-t-il point de baume en Galaad? Ou n’y a-t-il point de médecin là? Pourquoi donc la guérison de la fille de mon peuple ne s’opère-t-elle pas?

            Pour une déclaration, en voilà une. Il pose la question: «Pourquoi?» Et si je devais faire... tirer un sujet de ce passage, je prendrais ces trois petites lettres: Pourquoi? [«Why? En anglais.–N.D.T.»]

14        Vous savez, pour toute chose quand Dieu fraye une voie, quand Il prend des dispositions, quand Il pourvoit à une voie, et que nous rejetons cela, Dieu a le droit de demander pourquoi. Supposons que vous vous sentiez conduit à construire une église, comme ici à Phoenix, et que les gens vous disaient qu’ils viendraient fréquenter l’église, si vous la construisiez. Et après que vous aurez construit l’église, si donc les gens ne venaient pas, alors vous avez le droit de leur demander: «Pourquoi n’êtes-vous pas venus? N’ai-je pas construit l’église de la manière que je vous l’avais promis? Et j’ai respecté toutes vos exigences. Et maintenant, je demande pourquoi.»

            Disons, par exemple, qu’un homme vous vende un costume, et qu’il vous dise que ce costume ne se froissera pas, et qu’il en fasse trop de publicité. Et la première fois que vous faites une sortie avec, eh bien, s’il est tout froissé, vous devriez retourner et lui demander: «Pourquoi ce costume s’est-il froissé? Pourquoi s’est-il... ne m’avez-vous pas dit la vérité à ce sujet? J’aurais acheté un meilleur costume, mais vous m’avez dit que celui-ci était bien le genre que je cherchais. Alors pourquoi s’est-il froissé?» Vous avez le droit de poser la question. Et Dieu a le droit de poser cette question. Quand Il nous demande ou qu’Il fraye une voie pour nous, plutôt, et que nous ne suivons pas cette voie, alors Il a le droit de demander pourquoi.

15        Une fois, il y avait un roi, et son nom était Achazia. Il était le fils d’Achab et de Jézabel. Il était roi en Israël. Et il est tombé par le treillis de sa maison, et s’est blessé, et il en fut très malade; il fut alité et était à l’article de la mort. Et au lieu d’aller consulter Dieu, il a envoyé certains de ses soldats à Ekron pour exiger–consulter plutôt... par Béelzébul, qui... pour savoir s’il guérirait ou pas; ou je pense que c’était Balaam, le dieu d’Ekron. Il voulait savoir si oui ou non il guérirait.

            Maintenant Elie, là... le Thischbite, se trouvait dans l’un de ses petits coins où il était, peut-être, en train de prier; et Dieu lui a révélé que le roi avait fait cette chose mauvaise. Vous savez, Dieu a un moyen pour connaître les fautes cachées. Il a un moyen de connaître les secrets des coeurs des hommes. Quand Il était ici sur terre, Il pouvait discerner les pensées mêmes qui étaient dans les esprits des gens, parce qu’il était la Parole de Dieu.

16        Hébreux, chapitre 4, dit: «La Parole de Dieu est plus tranchante, plus efficace qu’une épée à deux tranchants, coupant jusqu’à partager... et Elle discerne même les pensées et les intentions du coeur.» La Parole de Dieu peut discerner les pensées du coeur, et Il était la Parole. «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu... et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.» Ainsi, comme Lui était la Parole, Il pouvait discerner les pensées et les secrets des coeurs.

            Combien les gens peuvent parfois s’éloigner de cela! Quand ils voient cela en action, ils veulent taxer cela de quelque chose d’autre. Mais c’est la Parole de Dieu, vivant dans la personne, discernant les pensées et les intentions du coeur. Parfois nos associations nous amènent à faire de telles erreurs.

17        Cette même Ecriture dont j’étais en train de parler... Il y avait Josaphat, un grand homme, un croyant; et il y avait Achab, un croyant tiède. Et Achab, le père du roi dont il est question, poursuivait son intérêt, ainsi il a envoyé chercher Josaphat, pour qu’il vienne s’asseoir avec lui et avoir communion.

            Il y a juste un cas où vous ne pouvez pas faire de mélange: vous ne pouvez pas mélanger l’eau avec l’huile. Vous ne pouvez pas non plus mélanger le péché avec la justice. On n’a jamais vu un oiseau à la fois noir et blanc, ou un homme à la fois ivre et sobre. On n’a jamais vu un homme à la fois saint et pécheur. Vous êtes soit d’un côté, soit de l’autre. C’est ça le problème des églises aujourd’hui. Nous faisons trop de compromis avec le monde; nos groupes pentecôtistes font des compromis et rétrogradent.

18        J’ai regardé ces petites femmes qui sont ici ce soir. J’aimerais remercier le Seigneur de voir ces femmes ayant des visages propres, sans tout ce fard sur tout le visage. Je vous assure, un peu de Actes 2, 4 vous lavera plutôt, ça vous rendra... Ça–Ça vous applique un produit de beauté dont Max Factor ne sait rien. Voyez-vous leurs visages tout illuminés avec la gloire de Dieu? C’est ce que moi-même j’aime voir en elles.

            Et je crois qu’aujourd’hui nos églises ont... se relâchent, et essaient de faire des compromis, ou–ou agissent trop comme le monde. Dimanche après-midi, je prêchais là-dessus à la réunion des hommes d’affaires.

            En voyant... quand je suis retourné et que j’ai lu les livres... Je ne suis qu’un jeune dans le mouvement de la Pentecôte, mais en voyant ce qu’ils étaient, et quand j’entends les témoignages d’autrefois, il y a quelque chose qui a mal tourné quelque part. Quelque part quelque chose a mal tourné.

19        Maintenant, nous voyons que le monde vous a invités, et vous êtes allés à leur banquet, juste comme Josaphat s’était rendu chez Achab. Et nous voyons que pendant qu’ils étaient dans cette conférence, Achab a finalement manifesté ses intentions, pourquoi il voulait que le roi de... vienne; il voulait monter pour récupérer une portion de terre. Il n’était pas capable de le faire tout seul; aussi lui fallait-il l’aide du roi.

            Mais, vous savez, quand un homme sort de la volonté de Dieu, ou quand une église sort de la volonté de Dieu, ou quand une nation sort de la volonté de Dieu, ou quand un individu sort de la volonté de Dieu, Dieu a quelque part quelqu’un qui va le lui dire. Si votre pasteur ne le fait pas à la chaire, il y aura une réunion des hommes d’affaires, ou un chant de la chorale, ou un certain moyen par lequel Dieu devra vous dire la Vérité, et vous ramener à l’ordre. C’est... Il en a toujours.

20        Eh bien, Josaphat, étant un homme juste, a dit: «Nous devrions consulter l’Eternel pour savoir si nous devons le faire ou pas.» C’est un bon... ce qui prouve qu’il avait une expérience. «Cherchez d’abord le Royaume de Dieu.»

            Et Achab a dit: «Oh! assurément. J’ai un grand nombre [de prophètes] ici que nous pouvons consulter. J’ai–j’ai une école par ici qui a quatre cents prophètes bien formés, bien vêtus et bien nourris. Ce sont des géants ecclésiastiques. Nous allons donc les envoyer chercher, et nous allons consulter la main de l’Eternel.»

21        Quand ils sont arrivés, ils ont commencé à prophétiser. Et d’un commun accord, tous, d’un commun accord, se sont mis à dire: «Monte à Ramoth, en Galaad. Le Seigneur est avec toi. Le Seigneur te ramènera. Et le Seigneur va te donner la victoire.» Vous savez... et l’un d’eux s’est fabriqué une paire de cornes, et il allait pour... Avec ces cornes, ils croyaient qu’ils allaient repousser les ennemis.

            Mais, vous savez, il y a quelque chose... Peu importe combien vous essayez d’embellir quoi que ce soit, si ce n’est pas conforme à la Parole de Dieu, pour un chrétien cela sonnera faux. Peu importe combien vous embellissez la chose, combien cela est supposé paraître joli, et tout, et combien cela paraît religieux, si ce n’est vraiment pas la Parole... Vous savez, les chrétiens vivent de la Nourriture des brebis; et la nourriture des brebis, c’est la Parole de Dieu. Si la Parole n’y est pas, ça ne sonne pas juste.

22        Ainsi, cela n’a pas l’air juste. Peu importe, bien que ces hommes étaient des étudiants de séminaire bien formés, et que sais-je encore; toutefois cela sonnait faux pour Josaphat, parce que ça ne concordait pas parfaitement avec la Parole.

            Ainsi il a dit: «N’y en a-t-il pas un autre?»

            «Un autre, alors que quatre cents, de commun accord, disent: ‘Monte. L’Eternel est avec toi?’»

            Il a dit: «Mais, certainement, il y en a encore un seul quelque part.»

            Il a dit: «Oh! oui. J’ai encore un saint exalté par ici. Mais c’est–c’est Michée, le fils de Jimla. Mais je–je le déteste. Il dit toujours du mal de moi.»

23        Certainement. Comment pouvait-il dire autre chose? En effet, c’était sa vie. Il avait besoin d’être corrigé. Dieu avait un homme qui se démarquerait d’eux tous et qui dirait la vérité. Que ça soit le bien ou le mal, dites-le.

            Il a dit: «Eh bien, vous ferez mieux d’aller le chercher.»Achab a dit: «Oh! ce... Oh! vous pouvez certainement croire aux quatre cents.» Il a dit: «Ce sont les meilleurs. Ils sont les mieux vêtus, et les plus raffinés, ce sont les meilleurs étudiants. Et, eh bien, ils sont quatre cents. Comment peux-tu en chercher un autre?»

            Josaphat a dit: «Mais...» En d’autres termes: «Si vous pouviez admettre que... Je sens un petit quelque chose qui me dit qu’il y a quelque chose qui cloche. Ça ne sonne vraiment pas juste.»

            Ainsi, Achab a dit: «Eh bien, nous enverrons chercher Michée.»

24        Ils envoyèrent donc un coureur vers lui. Il dit: «Eh bien, nous tenons une réunion, et tous les ecclésiastiques s’accordent qu’on doit faire telle et telle chose. Nous voulons donc que tu dises la même chose qu’eux. Dis la même chose qu’eux, parce que ce sont des évêques, et des membres de haut rang, et ainsi de suite. Tu dois donc dire très exactement la même chose qu’eux.»

            Michée a dit: «Le Seigneur Dieu est vivant, je ne dirai que ce qu’Il mettra dans ma bouche.»

            Nous avons besoin de plus de Michée aujourd’hui, ne trouvez-vous pas? Tenez-vous-en simplement à ce que le Seigneur Dieu a dit. Que cela soit la Vérité. Que ce que Dieu a dit soit la Vérité, et toute autre chose un mensonge.

            Il a dit: «Le Seigneur est vivant, je ne dirai que ce qu’Il dira.»

            Et ils l’ont rencontré et ils lui ont dit: «Maintenant, ne sois pas en désaccord avec l’un de ces théologiens, parce que vous n’êtes que de petites pommes de terre, et une minorité sur une colline. Fais donc bien attention maintenant, parce que tu peux te créer des ennuis. Et les–et tous les membres de l’association se sont réunis, et je te dis ce qu’ils ont convenu. Tu dois respecter cela.»

25        Mais cela ne collait pas avec le jeune homme, malgré tout. Cela ne–cela ne semblait pas juste.

            Ainsi, quand Michée est arrivé là, Achab demanda: «Devrais-je y monter?»

            Michée répondit: «Attends jusqu’à ce soir. Laisse-moi parler au Seigneur, pour voir ce qu’Il dit.» Et le lendemain matin il a dit: «Monte! tu auras du succès.»

            Achab a dit: «Combien de fois...?» Vous savez, même le vieux roi Achab a compris que ça ne sonnait pas juste. Quelque chose avait amené Michée à changer d’avis. Il a dit: «Combien de fois me faudra-t-il te faire jurer de ne me dire que la vérité?» Il a dit: «Vas-y. Mais, a-t-il dit, j’ai vu Israël dispersé comme des brebis qui n’ont point de berger.»

            Oh! alors, la juste indignation de l’évêque monta, et il le frappa à la bouche, et dit: «Par où est allé l’Esprit de Dieu quand Il est sorti de moi?»

            Il a dit: «J’ai vu Dieu assis dans le Ciel, et toute l’armée des Cieux se tenant autour de Lui.» Et ils essayaient de trouver comment ils pouvaient inciter Achab à sortir là, pour que s’accomplisse la Parole de Dieu, parce que Michée s’en tenait à la Parole de Dieu; cela prouvait donc que sa prophétie était exacte.

26        Dans l’Ancien Testament, ils avaient deux moyens pour tester s’il s’agissait de la Parole de Dieu. Quand un prophète prophétisait ou un songeur faisait un songe, on l’amenait devant l’Urim Thummim. C’était un pectoral. Et pendant qu’il racontait son songe, ou qu’il donnait sa prophétie, si l’Urim Thummim ne répondait pas du tout par un faisceau de lumières, toutes surnaturelles, alors les gens n’acceptaient pas cela. Mais si l’Urim Thummim répondait, alors ils acceptaient cela.

            Eh bien, l’Ancien Testament possédait l’Urim Thummim. Mais le Nouveau Testament a toujours l’Urim Thummim. C’est la Bible. C’est juste. Si la chose n’est pas conforme à la Parole, laissez cela tranquille. [Frère Branham se racle la gorge.–N.D.E.]

            Peu importe combien cela a l’air bien; combien, à l’entendre, cela édifierait votre église; combien cela a l’air bien [vous convaincant que] si vous laissiez les dames se couper les cheveux et que vous les laissiez porter des shorts et des choses semblables (avec ça, elles se sentiront mieux, plus dans leur assiette), mais ce n’est pas la manière de Dieu de faire. Vous devez revenir à la Parole, et vous en tenir à la Parole. Même si cela vous arrache la peau, dites-le, de toute façon. Ne laissez jamais... utiliser l’Evangile pour un gagne-pain. C’est exact. Je préférerais dire la vérité, et boire l’eau plate et manger des biscuits secs, plutôt que de manger du poulet trois fois par jour, et me cacher derrière quelque chose qui n’est pas juste. Dites uniquement la vérité à ce sujet.

27        Bon. Quand... Nous voyons ensuite que–que Michée savait qu’Elie avait prophétisé (et c’était la Parole de Dieu par le prophète) que le malheur frapperait Achab. Comment pouvait-il donc bénir ce que Dieu avait maudit? Et si sa prophétie ou sa vision était contraire à ce que dit la Parole, alors elle serait fausse.

            Ainsi, aujourd’hui, quand nous voyons toutes ces fantaisies qu’on répand au nom de la religion–le simple fait de se joindre à l’église, et venir et faire inscrire son nom dans le registre, ou le fait de trimballer sa lettre d’une église à une autre–ça sonne faux. Cela ne remplace pas la nouvelle naissance. Il y a quelque chose de faux. Laisser la chorale faire ce qu’elle veut, et l’assistance ce qu’elle veut, et ainsi de suite, et... ainsi ils reviennent et disent, eh bien, qu’ils sont membres de cette église. Il y a quelque chose de faux. Ça sonne faux et cela ne dit rien à un chrétien.

            C’est tout à fait exact. Maintenant, Dieu a frayé une voie.

28        Et pourquoi ce roi Achazia n’était-il pas allé consulter Elie? Elie est venu et a rencontré le messager du roi sur la route, et il lui a dit: «Retourne. Et demande-lui pourquoi il va auprès d’une idole. Pourquoi va-t-il à Ekron? Est-ce parce qu’il n’y a pas de prophète en Israël? Est-ce parce qu’il n’y a point de Dieu en Israël, pour qu’il soit obligé d’aller auprès d’un dieu païen pour le consulter?’» Elie lui a dit: «Retourne, et dis-lui qu’il ne descendra pas de ce lit.»

            Or, il y avait un prophète, il y avait un Dieu, il y avait une puissance pour révéler ses secrets, et pour lui révéler ce que serait la fin. Ce n’est pas parce qu’ils n’avaient pas de Dieu. Ce n’est pas parce qu’ils n’avaient pas de prophète. C’était à cause de l’égoïsme du roi. Il ne voulait pas s’associer à eux, parce que sa mère avait été contre tous les prophètes de Dieu, elle avait été contre ce même prophète. Et c’est donc ce qui a fait qu’il soit aussi contre lui. Ce n’était donc pas parce qu’ils n’avaient pas de prophète. Ce n’est pas parce qu’ils n’avaient pas du tout de baume en Galaad. C’est parce qu’il était trop têtu pour l’utiliser.

29        Et c’est ça le problème aujourd’hui. Qu’est-ce qui incite les gens à boire, à mentir, à voler, à commettre adultère, à agir et à se comporter comme ils le font? Ce n’est pas parce que nous n’avons pas quelque chose pour satisfaire cela. C’est parce qu’ils prennent un substitut au lieu de la chose véritable. Ils essaient de calmer cette... d’éteindre cette chose sacrée qui est au fond de leur coeur.

            Quand Dieu a fait l’homme, Il lui a donné... Il a laissé... Le diable a pris sa tête. Dieu a choisi son coeur. Le diable, par son imagination, l’amène à imaginer n’importe quoi, il lui donne des conceptions intellectuelles des Saintes Ecritures. Mais Dieu entre dans son coeur et le conduit par l’Esprit, Il l’amène à croire des choses dont son intellect ne sait rien. Amen! Avec ça, je me sens un peu religieux quand j’y pense, voyez.

            Quand Dieu s’empare d’un homme, Il entre dans son coeur. C’est la tour de contrôle de Dieu. Et voici pourquoi les gens boivent, fument, jouent aux jeux d’argent, mentent, volent, et se comportent mal comme ils le font: ils essaient de satisfaire cet ardent désir qui est dans leur coeur. Dieu les a créés ainsi, afin qu’Il puisse entrer là-dedans et satisfaire chaque désir qu’ils ont. Mais, comment quelqu’un peut-il oser calmer cette chose précieuse avec les choses du monde?

30        Eh bien, c’est la même chose qu’a fait le roi. Il y avait suffisamment de Dieu. Il y avait suffisamment de bons prophètes. Mais il était simplement trop égoïste pour aller auprès de ce prophète.

            Et nous voyons qu’il est mort comme l’avait annoncé ce prophète. Quand l’homme est revenu, il a dit: «Nous avons rencontré un homme qui nous a dit de retourner te dire: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, tu–tu ne vas pas descendre du lit.’»

            Il a dit: «Quel air avait cet homme?»

            Il répondit: «Il était un homme vêtu d’un vêtement de poil, ayant une ceinture de cuir autour des reins.» Et il a compris que c’était Elie. Ses péchés lui sont retombés dessus. Frère, c’est ce qui se fera, chaque fois. Oui, oui.

31        Ce qui se passe de nos jours est pareil à ce qui s’était passé en ce temps-là. Le peuple, les Américains essaient de trouver quelque chose. Ce qu’ils font... Ils restent à la maison le mercredi soir pour écouter une sorte d’émission à la radio–Nous aimons Sucy, ou Lucy, ou je ne sais quoi, ou certaines choses du genre [Frère Branham s’éclaircit la voix.–N.D.E.]; entendre Elvis Presley avec son rock-and-roll, ou quelque chose du genre; une sorte de divertissement–et s’absenter de la réunion de prière. Ce n’est pas parce que le Saint-Esprit n’est plus exactement le même qu’Il était sur la rue Azusa. Il est exactement le même qu’Il était à Jérusalem, en l’an 33 de notre ère.

32        Oh! nous avons–nous avons le médicament, nous avons la chose qu’il faut pour y parvenir, mais le peuple n’en veut pas. Comment pouvez-vous vendre aux femmes des chaussures à lacets de nos jours, alors qu’elles payent cinquante dollars juste pour une petite histoire? Un verre dont le fond porte le motif d’un poisson lune, ou quelque chose du genre, juste un...? Comment y arriverez-vous? Pourtant, il y a deux fois plus de cuir dans une paire de chaussures que vous ne serez en mesure de vendre à deux dollars. Elles payeront cinquante dollars pour quelque chose juste pour être à la mode. Les gens veulent agir comme les Dupont, ou quelqu’un d’autre, rivaliser de standing avec les voisins.

            J’ai toujours dit: «Je ne me soucie pas de savoir si mon veston concorde avec mon pantalon, si ma cravate concorde avec ma chemise. Je veux que mon expérience concorde avec la Parole de Dieu.» C’est ce que je veux. Je veux une expérience comme celle qu’ils avaient eue dans la Bible. Et ils l’ont eue, ainsi pourquoi ne pouvons-nous pas l’avoir? Pourquoi devrions-nous prendre un substitut, alors que les Cieux de la Pentecôte sont remplis du Saint-Esprit authentique? Voyez. Il y en a en abondance. Ce n’est pas parce que nous en sommes à court. Les bénédictions bienfaisantes de Dieu ne seront jamais exaltées... épuisées, plutôt.

33        Pourriez-vous imaginer un petit poisson là au milieu de l’océan, un petit poisson d’environ un demi-pouce [1,27 cm.] de long, dire: «Hein! mon gars, je ferais mieux de boire cette eau modérément. Il se pourrait que j’en manque un jour.» Eh bien, il ne pourra jamais l’épuiser en la buvant. Certainement pas.

            Pourriez-vous imaginer une petite souris, d’à peu près cette taille, sous ces grands greniers d’Egypte, là-bas, disant: «Eh bien, je ferais mieux de ne manger qu’un demi-grain aujourd’hui, parce qu’il se pourrait que j’en manque avant la fin de l’hiver.» Eh bien, ç’a l’air ridicule.

            Eh bien, c’est mille fois plus ridicule que ça de penser que vous pourriez épuiser les grandes compassions de Dieu. Eh bien, ce sont des ressources non exploitées que Dieu a en réserve pour Son Eglise. La Puissance de Dieu est prête à se répandre, à faire entrer les hommes et les femmes dans le Royaume de Dieu, et à leur donner une joie ineffable et pleine de gloire, tant et si bien qu’aucun bal dansant, le whisky, ni rien d’autre ne pourrait jamais prendre sa place. Certainement. Dieu en a; mais c’est parce que les gens n’en veulent pas.

            «N’y a-t-il pas de baume en Galaad, ou n’y a-t-il pas là de médecin? Alors, pourquoi la fille de mon peuple n’est-elle pas guérie?» C’est parce qu’ils n’en veulent pas; parce que la–la nation dit qu’ils vont construire des abris anti-aériens, et qu’ils feront toutes ces différentes choses. Il n’y a qu’un seul moyen d’échapper, et c’est d’aller en haut. Vous ne pouvez pas aller en bas. Nous sommes descendus aussi bas que possible maintenant. Montez, élevez-vous. C’est comme le dit le petit cantique, monter jusqu’à ce que vous atteigniez la Voie lactée blanche, et alors, vous atteindre le courant sans fin. Continuez simplement à courir. Oh! comme c’est merveilleux!

34        Un médecin... Vous savez, c’est juste comme [Espace vide sur la bande–N.D.E.] un patient qui meurt sur le seuil du cabinet d’un médecin, alors que ce dernier a la toxine là à l’intérieur pour ce patient, pour guérir sa maladie. Eh bien, si ce patient reste assis là dehors sur le seuil du cabinet du médecin, et qu’il disait: «Eh bien, j’ai une certaine maladie, et–et... Mais le médecin a le médicament là à l’intérieur, mais moi, je ne veux pas y entrer. Je n’aime tout simplement pas ce médecin, et je ne veux tout simplement pas prendre son médicament.»

            Eh bien, vous ne pouvez pas condamner le médecin pour cela, si le patient meurt juste sur le seuil du cabinet. Certainement pas. Le médecin est disposé à soigner le patient. Et vous ne pouvez pas condamner la toxine. Et il en a plein là à l’intérieur. Mais le patient... C’est parce que le patient ne veut pas entrer là prendre la toxine. Voilà pourquoi il est mort.

            Et il en est de même de l’église aujourd’hui. Les gens s’assoient juste dans l’église et meurent sur les bancs, dans le péché. C’est parce qu’ils ne veulent pas prendre le remède de Dieu, la cure de Dieu contre le péché. Dieu a une cure contre le péché, une double cure. Mais les gens ne veulent pas prendre cela. Ils meurent juste sur les bancs de l’église, comme des pécheurs. Ils meurent là sans le Saint-Esprit.

            Il n’y a pas d’excuse aujourd’hui. Les journaux parlent de tant d’églises qu’on trouve à chaque coin de rue. Il n’y a pas d’excuse pour ça. Ce sont les gens qui n’en veulent pas.

35        Or, vous savez qu’il est dangereux quand vous souffrez d’une maladie, de ne pas vous faire inoculer la toxine que le médecin possède contre cette maladie. Prenons par exemple la variole; quand une épidémie de variole sévit dans le pays, si vous n’allez pas vous faire vacciner, vous pourriez mourir de cette variole. C’est comme ce grand vaccin de Salk maintenant.

            Vous direz: «Vous croyez dans la guérison divine, et vous parlez des médicaments?» Oh! oui. Oui, oui. C’est Dieu qui guérit toute maladie. Le médicament ne guérit aucune maladie. Ça, nous le savons. Le médicament ne guérit pas. Aucun médecin ne vous dira que le médicament guérit. Le médicament ne peut pas former les tissus. Il faut Dieu pour faire cela. Psaume 103.3 dit: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.»

            Eh bien, vous pouvez vous fracturer le bras. Un médecin peut le remettre en place; il ne peut pas le guérir. Si vous avez un mal de dent, il peut arracher la dent; mais il ne peut pas la guérir. Si vous avez l’appendicite, il peut enlever l’appendice, mais il ne peut pas guérir l’endroit où il a fait l’ablation. Il faut Dieu pour le faire. Il est le Médecin de tout. Eh bien, nous avons des remèdes, et ainsi de suite.

36        Une dame... Je pourrais dire ceci. Une femme m’a dit il y a quelque temps, elle a dit: «Qu’en est-il, alors... que direz-vous de la pénicilline pour le traitement de la grippe?»

            «Eh bien, ai-je dit, la pénicilline c’est comme si votre maison était infestée de rats, et que ces rats creusaient des trous partout, et que vous y mettiez de la mort aux rats pour empoisonner ces rats. Cela ne comble pas les trous.» C’est vrai. La pénicilline tue seulement le microbe. Ça ne comble pas les trous, ni ne forme le tissu que cela a détruit. Il faut Dieu, le Guérisseur, pour faire cela; Il est l’Eternel qui guérit toutes nos maladies. Certainement, je crois cela, et je suis reconnaissant à Dieu pour ces toxines, et le vaccin de Salk. Et c’est dangereux de ne pas prendre cela, c’est dangereux pour les petits enfants et les autres, de ne pas prendre cela. Que ferions-nous sans cela?

            Eh bien, tout le monde ne peut pas avoir la foi pour la guérison. Les gens devraient en avoir, mais ils n’en ont pas. Que feriez-vous donc? Vous auriez simplement la maladie, et, oh! on aurait un monde terrible, si nous n’avions pas d’hôpitaux, ou ces choses. On aurait un monde terrible, si vous n’aviez pas l’hygiène et le reste, des centres médicaux et ces choses que nous avons. Nous rendons grâces à Dieu pour toute chose que nous avons. Toute bonne chose vient de Dieu. Certainement.

37        Maintenant, nous voyons que parfois ces toxines... Parfois, elles sont–ne sont pas parfaitement bonnes. Vous savez que vous pouvez parfois prendre ... par exemple la pénicilline. Vous pouvez prendre la pénicilline, l’injecter dans le bras, et–et parfois ça vous aidera; et la fois suivante, ça pourrait vous tuer. Ça–ça ne marche pas de la même façon chez tout le monde. Ça–ça ne marchera tout simplement pas. C’est un... ça aidera certaines personnes et ça tuera d’autres.

            Il n’y a pas longtemps, je lisais un article parlant d’une infirmière qui prenait de la pénicilline depuis des années. Elle a reçu une piqûre, et elle est morte environ quinze minutes plus tard. La pénicilline l’a tuée. Et c’était une dose d’un médicament qui a tué mon père. Vous devez donc faire attention là-dessus, lorsque vous allez prendre le médicament prescrit par le médecin. Et leurs toxines ne sont encore pas parfaites.

38        Mais, savez-vous comment ils en font la découverte? Ils vont... Le chimiste sort là et réunit tout un tas d’histoires là, et il recueille un tas d’herbes, et ainsi de suite et des poisons, il les mélange ensemble; et ils essaient cela sur différentes choses. Et ensuite, bien vite, lorsqu’ils pensent qu’ils ont très bien préparé cela, vous savez ce qu’ils en font? Ils prennent cela, alors, et ils administrent cela à un cobaye; et ils donnent à ce petit cobaye une bonne injection de cette toxine. Et s’il survit à cela, eh bien, alors, il vous le donne, et il voit si oui ou non vous allez bien survivre à cela.

            Vous savez, tous les gens ne sont pas comme les cobayes. Certaines personnes ne sont pas constituées exactement comme le cobaye, ainsi, ça tuera l’un et ça aidera peut-être l’autre. On court donc un risque. Mais, je dirais une chose, on ne court pas de risque quand on prend la Toxine de Dieu. Vous n’avez pas à vous inquiéter là-dessus, la Toxine contre le péché, parce que c’est une double cure. Ça aide tout le monde.

39        Et aujourd’hui, je dirais... Les gens disent: «La principale cause de mortalité c’est la maladie du coeur.» Je ne crois pas que la principale cause de mortalité soit la maladie du coeur. Je crois que la principale cause de mortalité, c’est la maladie du péché. C’est le tueur, cette incrédulité. C’est ce qui tue les gens. Nous avons les meilleurs médecins que nous ayons jamais eus, les meilleurs médicaments que nous ayons jamais eus, certainement, les meilleurs hôpitaux que nous ayons jamais eus, les meilleurs médicaments dont nous ayons jamais fait usage; et nous avons plus de maladies que nous n’en avons jamais eues, parce que nous avons plus d’incrédulité que nous n’en avons jamais eue. C’est l’exacte vérité. Ainsi, ce n’est pas... la principale cause de mortalité ce n’est pas la maladie du coeur; c’est la maladie du péché qui est la principale cause de mortalité.

40        Nous voyons donc [Frère Branham s’éclaircit la voix.–N.D.E.] (Excusez-moi)... C’est vrai. Mais la toxine de Dieu, il y a eu une fois où la toxine de Dieu n’a pas très bien marché, parce qu’elle a été appliquée sur les agneaux. Vous pourriez aller chez... Le pécheur allait à l’autel, montait chez le prêtre et il amenait son petit agneau. Et il confessait ses péchés, et l’agneau était tué; et ses mains baignaient dans le sang, et il offrait ses prières pour le pardon.

            Mais pendant qu’il tenait cet agneau, et que ses mains baignaient dans le sang de cet agneau, ainsi que la petite laine de celui-ci... et que celui-ci gigotait en mourant, l’adorateur se rendait compte que l’agneau prenait sa place, que c’est lui qui aurait dû mourir de cette façon, mais que l’agneau avait pris sa place.

41        Mais que faisait-il? Lorsque cette cellule de sang était brisée, l’esprit qui était dans cette cellule de sang, c’est-à-dire la vie, ne pouvait pas revenir sur le croyant, l’adorateur. Pourquoi? Parce que c’était la vie d’un animal. Ainsi, la vie d’un animal n’est pas compatible avec la vie d’un homme. Par conséquent, s’il avait commis adultère, il s’en allait avec le même désir qu’il avait lorsqu’il était entré. S’il était sorti et qu’il avait volé, il ressortait avec le même désir, parce que ce... Dans sa conscience, il savait seulement qu’il avait fait ce qui est juste, mais le même désir demeurait là.

            Mais il n’en est pas ainsi de cette Toxine que nous avons aujourd’hui. Lorsque par la foi un homme pose ses mains sur Jésus-Christ [Frère Branham s’éclaircit la voix.–N.D.E.] (Excusez-moi), lorsque par la foi un homme pose ses mains sur Jésus-Christ, et qu’il ressent les douleurs du Calvaire, et voit ce que Jésus a fait pour sauver son âme, frère, «celui qui rend ce culte, une fois purifié, n’a plus aucune conscience de ses péchés», cela est ôté de lui. Il est une nouvelle créature.

42        Qu’arrive-t-il au croyant? Le Dieu Tout-Puissant descend du ciel, la chose la plus glorieuse qui soit, qui remplissait tout l’espace et tout le temps. Il n’a jamais eu de commencement, et Il n’a jamais commencé, et Il n’aura jamais de fin. Mais lorsqu’Il est descendu de la chose la plus grande qui existait, pour devenir la chose la plus petite qui existe, un petit germe de Vie qui a été conçu dans le sein d’une femme appelée Marie...

            Et du fait que le péché a brisé cette cellule de Sang et a libéré cet Esprit de Dieu qui est descendu le jour de la Pentecôte, maintenant, lorsque celui qui rend le culte pose sa main sur cet Agneau et reçoit le pardon de ses péchés, la Vie qui était dans cet Agneau (Laquelle est la Vie même de Dieu), revient sur le croyant, et ce dernier devient un fils de Dieu–des fils et des filles de Dieu. Alors, il est dans la famille de Dieu. Il est un croyant. Il s’en va n’ayant plus aucune conscience de son péché ni le désir du péché. Hébreux nous dit qu’il n’a plus le désir du péché, parce qu’il est devenu un fils de Dieu.

43        Eh bien, lorsque les gens d’aujourd’hui... La raison pour laquelle ils ne veulent pas de ceci, comme je l’ai dit le dimanche, c’est parce que ça les amène à agir un peu différemment de la manière dont ils agissent d’habitude. Ils vont... viennent dans une Eglise pentecôtiste. Ils disent: «Eh bien, nous entendons ces gens chanter...»

            C’est comme ce garçon que j’observais ici il y a quelques instants. Eh bien, il était tellement absorbé là qu’il ne savait pas où il se trouvait. J’observais ses pieds. Il avait un pied enroulé autour de l’autre. Pour moi, il paraissait comme s’il s’était lui-même lié dans tant de noeuds qu’il faudrait cinq heures pour l’en dégager. Mais Dieu a dû le lier là, et il s’est bel et bien tenu sur ses pieds.

            Je me suis donc dit: «Oh! la la! combien j’aime être perdu dans l’Esprit comme cela, et adorer avec la puissance et les louanges de Dieu jusqu’à être emporté dans une dimension où j’ignore complètement ce qui se passe.» J’aime cela, être emporté dans l’Esprit de Dieu.

44        Alors, j’ai remarqué que ces gens... Si un étranger entrait là et regardait, il dirait: «Oh! la la! que savez-vous de ça?» Si seulement vous étiez dans ce lieu-là avec eux, juste pendant quelques minutes, vous ne voudriez plus jamais rien de cela.

            Mais, les gens–les gens essaient de faire une contrefaçon. Ils ne peuvent pas ôter cela de la Parole, aussi essaient-ils de faire une contrefaçon de la nouvelle naissance, un contretype. Ils disent que la nouvelle naissance, c’est lorsque vous venez et que vous dites: «Je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Je L’accepte comme mon Sauveur.» Ça, ce n’est pas une naissance.

45        Un grand ministre de ma contrée a amené un magazine, il n’y a pas longtemps. Et il a dit: «Billy, j’aimerais te poser une question.» Il a dit: «Voici untel», et il a continué de parler. Il a dit: «Et toi, tu t’accroches maintenant à ces saints exaltés.» Et j’ai dit: «Maintenant, j’apprends que tu parles ici de la nouvelle naissance.» J’ai dit: «Ne penses-tu pas que nous avons la nouvelle naissance?» Ils croient qu’ils naissent de nouveau lorsqu’ils croient.

            «Eh bien, ai-je dit, combien cela est différent de l’enseignement de Paul!» Et Paul dit dans Galates 1.8: «Si un Ange du Ciel enseignait quelque chose d’autre, qu’il soit anathème.» Et Paul a demandé dans Actes 19: «Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?», non pas lorsque vous croyez, mais depuis que vous avez cru.

46        Maintenant, le problème est que les gens essaient d’éviter cette nouvelle naissance. Ils–ils ont trop de prestige. Ils ont trop de connaissances par la tête. Lorsque vous en arrivez au point où vous sentez que vous valez un peu plus que quelqu’un d’autre, lorsque vous arrivez au point où vous pensez que votre niveau de vie est un peu plus élevé que celui de l’autre, vous n’allez pas recevoir cela de toute façon. C’est vrai.

            Mais, il y a une chose au sujet de la nouvelle naissance: ça amènera un homme en smoking et un homme en salopette à passer les bras l’un autour de l’autre, et à s’appeler «frère». Ça amènera une femme en robe de Vichy et une femme en robe de soie à passer les bras l’une autour de l’autre, et à s’appeler réciproquement «soeur», ou lorsque vous vous mettez réellement au travail avec Dieu. C’est juste.

47        C’est juste comme un vieux nègre là dans le Sud, une fois. Il a dit... Il était heureux et il a dit: «J’ai une religion qui vient du coeur», a-t-il dit à son patron.

            Et ce dernier a dit: «Oh! ça n’existe pas, une religion qui vient du coeur.»

            Le vieux nègre a dit: «Vous avez tout simplement commis une erreur, patron. Une religion qui vient du fond du coeur n’existe pas d’après ce que vous savez, vous voyez.»

            Et c’est juste. Ces gens ne savent pas ce que c’est qu’une religion qui vient du coeur. Ils–ils ne le savent pas. Ils–ils n’ont jamais touché cela. Ils disent qu’ils ne peuvent pas s’empêcher de boire. Ils ne peuvent pas s’empêcher de fumer. Ils n’ont pas encore reçu la Toxine. Ils n’ont jamais essayé Cela. Vous ne savez pas ce que Cela vous fera, jusqu’à ce que vous L’aurez reçu une fois. Alors, lorsque vous L’avez reçu, vous êtes sûr que quelque chose est arrivé après que vous L’avez reçu. Vous avez été là, vous savez tout à ce sujet. Vous avez été inoculé, et alors les choses sont différentes. Vous devenez une nouvelle créature en Christ. Amen.

48        Un jour, le vieux patron lui parla et lui dit: «J’aimerais recevoir un peu de cette religion qui vient du coeur.» Le vieux nègre a dit: «A tout moment que vous le voudrez, patron.»

            Et il a dit... Un jour, une pluie est tombée. Il a dit: «Eh bien, aujourd’hui il pleut, Mose. Je pense que nous pouvons... J’aimerais recevoir un peu de cette religion qui vient du coeur, qui te rend si heureux, et qui te fait chanter tout le temps.»

            Il a dit: «Venez, patron.» Et celui-ci est allé là-bas, et il est entré dans la grange, et il a dit: «Maintenant, voici un bel endroit ici sur ce tas de foin. Nous pouvons nous agenouiller et recevoir cela ici.»

            Le vieux nègre a dit: «Non, ce n’est pas ici qu’on reçoit cela, patron.»

            Il a dit: «Eh bien, nous allons nous rendre là au grenier à maïs.» Ils sont donc allés au grenier à maïs. C’était un bel endroit sec, comme il ne pleuvait pas; un bel endroit, vous savez, le... où l’on va dormir lorsque la pluie se met à clapoter sur le toit.

            Il a dit: «Mais, patron, ce n’est pas ici qu’on reçoit cela.»

            Le patron a dit: «Mose, où est-ce qu’on reçoit cela?»

            Il a dit: «Suivez-moi.» Il est sorti et a fait une bonne distance, jusqu’à ce qu’il est arrivé dans la porcherie, il a retroussé les jambes de son pantalon aussi haut qu’il le pouvait, et il s’est mis à marcher là dans la boue comme cela. Il a dit: «Venez, patron.»

            Le patron a demandé: «Où vas-tu?»

            Il a répondu: «C’est ici qu’on reçoit cela. Juste ici.»

            Le patron a dit: «Je–je–je–je ne veux pas recevoir cela là.» Il a dit: «Je ne veux pas recevoir cela là-bas.»

            Il a dit: «Si vous ne voulez pas recevoir cela ici, et venir dans ces conditions, alors vous ne recevrez pas cela du tout.»

            C’est donc exactement ainsi. Si vous ne pouvez pas venir selon les conditions de Dieu, vous ne recevrez pas cela de toute façon. Vous devez venir selon les conditions de Dieu.

49        Les gens évitent la nouvelle naissance. C’est comme je l’ai dit l’autre jour, la nouvelle... la naissance est un gâchis. Peu m’importe où vous allez. Que ce soit dans une porcherie, c’est un gâchis. Que ce soit sur un tas de foin, c’est un gâchis. Ou que ce soit dans une salle d’hôpital décorée en rose, c’est toujours un gâchis, n’importe quelle naissance.

            Et la nouvelle naissance est un gâchis aussi. Et ça fera de vous un gâchis. Mais vous recevrez certainement la nouvelle Vie et vous serez une nouvelle créature après que vous l’aurez reçu. Ça vous amènera à faire des choses que vous ne pensiez pas que vous feriez. Oui, oui. Ça vous amènera à vous agenouiller là à l’autel, à hurler et à crier, et à donner des coups et à confesser tous vos péchés. Et ça fera de vous une nouvelle personne.

            Et alors, après cela, ça vous fera agir de façon ridicule par rapport à votre ancienne manière d’agir. Eh bien, vous savez, lorsque les gens se mettent en ordre avec Dieu et qu’ils rencontrent Dieu n’importe où, ils se comportent de façon ridicule par rapport à leur ancienne vie. Paul dit: «La vie que je menais autrefois, et la vie que je mène maintenant...» C’est une vie différente de celle qu’il menait autrefois.

50        Considérez Moïse, lorsqu’il a rencontré Dieu. Il était... Il avait reçu toutes sortes de théologies. Il en était plein, autant que Carter a des clés musicales. Mais qu’est-il arrivé lorsqu’il a rencontré Dieu? Il avait peur de descendre en Egypte, mais le lendemain matin, nous le voyons avec sa femme assise à califourchon sur un mulet, un petit enfant à la hanche, la barbe pendante comme ceci, un vieux bâton tordu à la main, louant simplement Dieu, il se rend en Egypte. N’était-ce pas un spectacle ridicule?

            Quelqu’un a dit: «Moïse, où vas-tu, père Moïse? Rabbin Moïse, où vas-tu? Qu’est-ce qui vous arrive mon gars?»

            «Je descends en Egypte pour prendre le contrôle.» Il descendait carrément là pour prendre le contrôle: une invasion par un seul homme–juste comme un seul homme qui irait pour prendre le contrôle de la Russie. Eh bien, ç’a l’air ridicule. Mais, il était très heureux, et cette tête chauve brillait, ses cheveux flottaient au-dessus de sa barbe, alors qu’il se rendait là pour prendre le contrôle. Pourquoi? Dieu l’avait dit. Et ce qu’il y a de magnifique là-dedans, c’est qu’il l’a fait. Amen!

            C’est ça le problème de l’église de nos jours. Vous devez laisser Dieu prendre le contrôle et faire sortir toutes ces autres histoires, prendre... et laisser Dieu s’emparer de vous. Faites sortir de votre tête toute la connaissance que vous avez, et mettez cela de côté, et laissez Dieu entrer dans votre coeur. Il fera de vous quelque chose, et Il fera que vous vous comportiez différemment, et Il fera que vous soyez différent. Et vous fréquenterez des personnes différentes. Et toute votre vie sera différente. Toute chose aura changée après que Dieu sera entré dans votre vie. Cela est tout aussi certain que je Le connais. Cela changera votre vie.

51        Eh bien, lorsque Dieu était prêt pour faire un essai de Sa Toxine, avez-vous remarqué? Il n’a point administré cela à un cobaye. Il s’est administré cela à Lui-même. Tout bon médecin essaie son propre médicament sur lui-même premièrement. Eh bien, Dieu a utilisé cela sur Lui-même. Lorsque Dieu a été fait chair et qu’Il a habité parmi nous, et que la Vie de Jésus-Christ, qui est le Fils de Dieu... et que Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même... Il a utilisé la Toxine sur Lui-même.

            Lorsqu’Il a été baptisé par Jean dans le fleuve Jourdain, Jean a rendu ce témoignage qu’il a vu l’Esprit de Dieu comme une colombe descendre du ciel, disant: «Celui-ci est Mon Fils Bien-aimé, en qui J’ai mis toute Mon affection.» Cela est entré en Lui. Les disciples et tous les autres L’observaient pour voir ce qu’Il ferait. Ils observaient Sa vie, pour voir comment Il agirait, pour voir ce qui arriverait.

52        Nous Le trouvons là, lorsqu’Il fut tenté, la toxine a tenu bon. Lorsqu’Il était dans le–lorsqu’Il était dans le jardin de Gethsémané, la toxine a tenu bon. Lorsqu’on Lui a craché au visage, la toxine a tenu bon. Lorsqu’Il a été cloué à la croix, la toxine a tenu bon. La toxine était bonne. Les gens ont constaté que c’était bon. Ils ont vu que cela Le gardait. Lorsqu’Il est mort à la croix et qu’ils L’ont enseveli dans la terre...

            Le troisième jour, le matin, qu’est-ce qui va arriver? Le voilà. Il est mort. Il a été enseveli, Il est caché sous cette grande pierre, qu’une centurie a roulée sur... roulé cette pierre là pour Le retenir là. Eh bien, qu’est-ce qui va arriver? Une garde se tenait à l’entrée, cent hommes sont en train de Le surveiller. Que va-t-il arriver?

            Il avait prophétisé par la Parole de Dieu et avait dit que le troisième jour Il ressusciterait. Ils ont assuré la garde. Maintenant, qu’en sera-t-il de la toxine? En ce matin de Pâques, au lever du jour, un Ange est descendu du Ciel, il a roulé la pierre et la toxine a tenu bon au temps de la mort. La toxine a tenu bon parce que c’était la Parole, la promesse de Dieu, parce que c’était la toxine donnée par Dieu, le baume en Galaad. Certainement.

53        Maintenant, nous voyons que lorsqu’Il est ressuscité le matin de Pâques, Il est apparu à plusieurs d’entre eux, Il a commencé à démontrer qu’après la résurrection la toxine était toujours la même. Elle faisait les mêmes oeuvres qu’elle avait accomplies avant Sa mort. Elle tenait toujours bon.

            Cent vingt personnes se sont intéressées à recevoir cette inoculation. J’aurais voulu que tout le monde soit intéressé ce soir à être inoculé, parce qu’on voit que cela a tenu bon au temps de la tentation. Cela L’a préservé du péché. Cela L’a gardé au temps de la tentation. Lorsqu’Il a été importuné, Il n’a pas rendu la pareille. Ça L’a gardé au temps de la mort. Et lorsqu’Il est mort et qu’Il est allé dans la tombe, ç’a tenu au moment de la résurrection, et Il est ressuscité. J’aime cette toxine, pas vous? Je pense que c’est un bon remède...?...

54        Cent vingt personnes voulaient être inoculées, ainsi elles Lui ont demandé: «Que pouvons-nous faire?»

            Il a répondu: «Arrêtez simplement de prêcher maintenant. Déposez vos références et autres. J’aimerais que vous alliez là dans la ville de Jérusalem, et Je vais vous inoculer vous tous. Tenez-vous loin de ces choses.»

            Oh! la la! ils sont montés là, et ils ont attendu pendant longtemps, ils étaient tous là-haut pendant environ dix jours, faisant sortir d’eux toute la religion qu’ils... pour ôter toutes les divergences et tout. Et finalement «il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues fendues se posèrent sur eux, semblables à du feu. Et ils furent tous remplis du Saint-Esprit, et se mirent à parler en d’autres langues, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer».

55        Ils étaient simplement inoculés, frère, je vous assure. Ils ont scellé leur vie avec cette inoculation. Ils criaient et hurlaient. Et écoutez, ma soeur (et si par hasard il y a un catholique ici), vous qui priez Marie. Savez-vous néanmoins que Marie, qui était la mère de notre Seigneur Jésus-Christ, ne pouvait pourtant pas aller au Ciel avant d’être premièrement montée là-haut et d’avoir reçu cette inoculation? Certainement qu’elle l’a reçue. Elle a dû avoir la même inoculation.

            Comment allez-vous arriver là avec quelque chose de moins que cela, voyez? Si Marie a dû monter là et recevoir le Saint-Esprit... Elle était tellement remplie de l’Esprit qu’elle a dansé dans l’Esprit, et s’est comportée comme si elle était ivre.

            Les gens du dehors, les critiqueurs qui n’avaient pas encore été inoculés, disaient: «Eh bien, ces hommes sont pleins de vin doux.» C’est ce que les gens pensaient alors qu’eux dansaient, poussaient des cris et parlaient en d’autres langues. On disait: «Ces gens sont pleins de vin doux.»

            Eh bien, alors, bien vite, vous savez, ils ont commencé à se rendre compte qu’ils entendaient ces gens parler dans leurs propres langues. Dieu a commencé à leur donner l’interprétation. Ils pouvaient comprendre de quoi il s’agissait. Et ils ont dit: «Nous les entendons parler des oeuvres merveilleuses de Dieu. Qu’est-ce que ceci signifie?» Amen!

            Cela a alors surpris la contrée, cela a surpris le monde. Cela devrait surprendre le monde une fois de plus.

            Qu’est-ce que ceci signifie? Qu’est-ce que c’est?»

56        Et Pierre s’est levé et a commencé à prêcher. Et alors, les gens ont dit: «Eh bien, attendez un instant.» Ils ont dit: «Nous voulons de cette chose qui peut ressusciter les morts. Nous voulons de cette chose qui peut nous faire parler dans notre... dans une autre langue que nous ne connaissons pas. Nous voulons quelque chose par lequel nous pouvons faire l’oeuvre missionnaire dans le monde. Nous voulons de cette puissance qui donne l’assurance.» Le problème aujourd’hui est que les gens n’en veulent pas.

            –Quelle est cette chose que vous avez?

            –C’est le baume qu’il y a en Galaad. C’est la–c’est la toxine.

            –En avez-vous encore?

            –Oui, nous avons–nous en avons en abondance. Nous avons un médecin ici.

            –Vous avez un médecin?

            –Oui, nous avons un médecin.

            –Comment s’appelle-il?

            –Docteur Simon Pierre.

            C’était lui le médecin.

57        ...?... il s’est levé, et il a commencé à leur faire la prescription. Et lorsqu’il a fini de prêcher, et qu’il a commencé à déposer la Parole là, et à leur montrer que c’était très exactement ce que Joël avait annoncé, ce que tous les prophètes avaient annoncé, disant: «C’est ici ce qui, c’est ici ce qui, c’est ici ce qui», les gens ont commencé à voir la Parole de Dieu former un tout.

            Ils ont dit: «Dites donc, Docteur Simon Pierre, que pouvons-nous faire pour que nous soyons inoculés?»

            Pierre leur a dit: «Il n’est pas nécessaire que je fasse quatre ou cinq prescriptions. Je vais simplement en faire une pour vous, pour vos enfants, pour les enfants de vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»

            Il a dit: «Il ne servira à rien d’en établir d’autres. Je vais juste vous établir une prescription éternelle.» Il a dit: «Repentez-vous, que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous serez inoculés. Car la promesse et pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»

58        Oui, frère. Nous avons du baume en Galaad. Nous avons des médecins. Alors pourquoi les gens sont-ils dans l’état où ils sont aujourd’hui? C’est parce qu’ils refusent d’accepter cela. C’est tout. Nous avons des médecins. Nous avons la prescription. Nous avons la toxine qui tue le péché, qui guérit le corps, qui fait d’une personne une nouvelle créature en Jésus-Christ. Mais ce sont les gens qui ne veulent pas la recevoir. Ils ne veulent pas du prix.

59        Eh bien, ne tripotez jamais la prescription d’un médecin. Frère, lorsqu’ils préparent cette prescription, ils y mettent une certaine quantité de poison, ensuite, ils y mettent assez d’antidote. Si vous y mettez trop d’antidote, ça ne fera aucun bien à votre patient. Si vous y mettez trop de poison, cela tuera votre patient. Eh bien, si vous êtes... Si le médecin établit une prescription, vous feriez mieux de l’amener à la bonne sorte de pharmacie qui l’exécutera correctement, sinon, vous pourriez vous faire tuer par cela.

            C’est ça le problème aujourd’hui. On a partout trop de pharmaciens charlatans. Amen. C’est vrai. Exécutez cette prescription telle qu’elle a été établie. Il faut la garder exactement telle que Lui l’a établie. C’est ce qu’Il a dit de faire.

            Ainsi, c’est ça le problème. Il y a trop d’enfants morts, trop d’églises mortes, parce que les gens ne veulent plus du baptême du Saint-Esprit. Ils n’en veulent pas. Ils veulent ajouter quelque chose au lieu de... et serrer la main du prédicateur, ou l’une ou l’autre chose, devenir un diacre, ou–ou chanter dans la chorale, ou faire quelque chose d’autre du genre, c’est ce qui prend la place du Saint-Esprit.

            Ces choses sont bonnes, mais, frère, ce n’est pas la–ce n’est pas ça la toxine. Le Saint-Esprit est la toxine. Oui, oui. Et cela fait de vous une nouvelle créature. Cela fait de vous une nouvelle personne. Cela vous redresse, et fait de vous ce que vous devriez être. Cela change votre caractère. Qu’est-ce qui cloche dans nos églises aujourd’hui? Pourquoi...

60        [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... une race de gens plus robustes, une race de plus grande taille, des esclaves plus costauds pour travailler. Abraham Lincoln d’autrefois a ôté ce chapeau-là, et l’a mis sous son bras, et il a dit: «C’est mal. C’est mal. L’homme est un être humain. Il n’est pas un cheval.» Ainsi il a dit: «Avec l’aide de Dieu, je frapperai cette chose un jour, même si cela me coûte la vie.»

61        Il n’y a pas longtemps, je me tenais dans un musée. Un vieil homme de couleur, n’ayant qu’un petit anneau de cheveux blancs, parcourait le lieu, cherchant quelque chose. Il a regardé de l’autre côté au travers de cette vitre, il a vu ce... Il a sursauté et a reculé, il a fermé les yeux, et les larmes ont commencé à couler sur ses vieilles joues ridées. Il priait. Je l’ai observé pendant un petit instant.

            Au bout d’un moment, je me suis approché de lui. J’ai dit: «Bonjour, oncle.»

            Il a dit: «Bonjour, monsieur.».

            Et j’ai dit: «Je vous ai vu prier.» J’ai dit: «Je suis un prédicateur. Je me pose des questions sur ce qui vous a excité.»

            Il a dit: «Venez ici.»

            J’ai regardé par là et j’ai dit: «Je ne vois rien, si ce n’est qu’une tenue.»

            Il a dit: «Mais ne voyez-vous pas cette tache là-dessus?» Il a dit: «C’est le sang d’Abraham Lincoln.» Il a dit: «Et juste ici sur mon côté, il y a des marques de la ceinture d’esclave.» Il a dit: «C’est ce sang-là qui a ôté cette marque... ôté de moi cette ceinture d’esclave.»

            Et j’ai dit: «Si cette...»

            Je me suis dit: «Si un–un–un homme qui portait une ceinture d’esclave a été libéré de cette ceinture d’esclave par le sang d’Abraham Lincoln, que devrait faire le Sang de Jésus-Christ à une église née de nouveau?» Eh bien, ça nous a ôté nos ceintures d’esclavage du péché, et nous a fait entrer dans le Royaume de Dieu; et ç’a ôté de nous toutes les mauvaises choses, nous a inoculés, nous a donné Ses bénédictions, Sa puissance–afin que nous menions la Vie de Jésus-Christ, et que nous ne nous associons plus aux choses du monde. Oh! la la! quelle différence cela devrait faire chez nous tous! Mais, le problème est que nous n’en voulons pas. Nous ne voulons pas–nous ne voulons pas y toucher. Nous–nous en sommes fatigués. Certainement.

62        [Frère Branham est interrompu.–N.D.E.] Un petit garçon–l’épilepsie–je pense qu’ils l’ont amené ici pour qu’on prie pour lui. Est-ce juste, soeur? Ça va. Croyez avec moi maintenant. Satan, quitte cet enfant. Sors de lui au Nom de Jésus-Christ. Vas-tu interrompre mon message, Satan? Toi, cette chose mauvaise, sors de l’enfant. Je t’adjure par le Dieu vivant, quitte-le. Maintenant, c’est fini. Ça va? Maintenant, je vais continuer.

63        Eh bien, une fois que des gens étaient là dans le Sud, et qu’ils observaient les–les esclaves, un jour ils sont passés pour prendre... acheter des esclaves. Et ces gens les achetaient parce qu’ils étaient... en faisaient le commerce, les faisant passer d’une personne à l’autre. Et il arrivait qu’ils étaient obligés parfois de battre ces esclaves, pour les faire travailler, car ils avaient la nostalgie du fait qu’ils étaient loin de chez eux.

            Et savez-vous ce qui est arrivé un jour? Un acheteur est passé par là, comme un courtier, et il voulait acheter un esclave. Et lorsqu’il a regardé là, il a dit: «Combien d’esclaves avez-vous?»

            L’autre a répondu: «Environ cent cinquante.»

64        Il est sorti pour les voir, et tout ce groupe d’esclaves était là dehors. Et il a dit... Ils ont remarqué qu’ils étaient tous fatigués, à l’exception d’un seul jeune homme. Frère, celui-là, on n’avait pas besoin de le fouetter. Il avait le torse bombé, tenant bon, bien occupé au travail. Et cet acheteur a dit: «Je voudrais acheter celui-là.»

            L’autre a dit: «Oh! non.» Le propriétaire a dit: «Celui-là n’est pas à vendre.»

            L’acheteur a dit: «Eh bien, qu’est-ce que...» Il a dit: «Il est–il est différent de tous les autres.» Il a dit: «Est-il un chef?»

            Il a dit: «Non. C’est un esclave.»

            Il a dit: «Le nourrissez-vous différemment de tous les autres?»

            Il a répondu: «Non. Il mange là dans la cuisine, avec les autres esclaves.» Il a demandé: «Alors, qu’est-ce qui le rend si différent des autres?»

            Il a répondu: «Moi-même, autrefois, je me posais des questions pour savoir ce qui faisait qu’il soit différent.» Il a dit: «J’ai découvert que là dans leur patrie, là d’où ils sont venus, son père est le roi de la tribu. Et même s’il est loin de chez eux, cependant, il sait que son père est roi; ainsi, il se comporte comme un fils de roi.» Oh! combien cela devrait être une leçon pour nous!

65        Vous les femmes, arrêtez de vous couper les cheveux, commencez à vivre comme des femmes chrétiennes. Vous les hommes, cessez ces choses que vous faites. L’Eglise chrétienne devrait se comporter en tant que des fils et des filles du Roi, vivant pieusement dans ce siècle présent. Croyez-vous cela? Inclinons la tête juste un moment, maintenant. Y a-t-il quelqu’un ici qui ne connaît pas Christ comme Son Sauveur et qui aimerait être un... recevoir ce baume qu’il y a en Galaad?

            Maintenant, je vous assure que si–si parfois vous manquez de prendre le médicament que vous prescrit le médecin, vous pourriez mourir. Et aussi, vous pourriez guérir. Mais, une chose est certaine: si vous refusez ce baume de Galaad, le médicament de Dieu contre le péché, vous mourrez certainement. Vous allez mourir à coup sûr. Et, souvenez, il n’est pas simplement pour une seule personne, et puis, pas pour l’autre. Il est pour «celui qui veut, qu’il vienne boire aux eaux... sources des eaux de la vie gratuitement».

66        Si vous voulez qu’on se souvienne de vous, dans cette prière de clôture, voudriez-vous lever la main et dire: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham. Je veux que vous vous souveniez de moi.»

            Que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse, vous, vous, vous, et beaucoup d’autres par ici. Maintenant, c’est bien. C’est bon. Maintenant, soeur, vous qui avez ce petit garçon par ici, croyez de tout votre coeur et il ne piquera plus jamais une autre crise. Très bien. Croyez. Il s’en est remis juste à cet instant-là, vous voyez. Dieu a ôté cela de lui, lorsqu’il lui donnait des tapes sur son petit visage, et qu’il essayait de le réanimer. Tu te sens mieux, fiston? Assurément. Maintenant, tu te porteras très bien. Crois simplement, et cela ne reviendra plus jamais.

            Ô Dieu, qu’est-ce qui peut laver mes péchés? Rien que le Sang de Jésus. Christ, le Grand Guérisseur, le Grand Médecin est ici. Voyez? C’est... Il y a du baume en Galaad pour l’âme malade du péché. Il y a du baume en Galaad pour guérir ceux qui sont blessés.

67        Voudriez-vous venir maintenant, pendant que nous avons la tête inclinée. Vous qui n’avez pas reçu le baptême du Saint-Esprit, vous qui ne connaissez pas Christ comme votre Sauveur, voudriez-vous venir ici, et vous tenir ici? Prions ensemble avant que nous ne passions à une autre étape de la réunion. Regagnez directement votre siège, et je vous prie de monter ici.

            Combien aimeraient dire ceci: «Je viens, Frère Branham.» Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. C’est cela. Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est juste. Venez directement vous tenir tout autour ici. Le même Dieu qui a pu guérir ce petit garçon de l’épilepsie peut ôter les péchés. Assurément, Il le peut. Vous voyez? Voudriez-vous venir?

68        [Frère Branham parle à l’organiste.–N.D.E.] Donnez-nous un accord sur l’orgue: «Il y a une Fontaine remplie de Sang», s’il vous plaît, «tiré des veines d’Emmanuel.» Venez vous tenir juste ici tout autour de l’autel, je vous en prie donc maintenant, pendant que nous prions.

            Il y a une Fontaine remplie de Sang,

            Tiré des veines d’Emmanuel,

            [L’assemblée continue à chanter.–N.D.E.] Vous qui n’avez pas le Saint-Esprit donc, et qui voulez recevoir le baptême, voudriez-vous venir maintenant? Venez vous tenir tout autour de l’autel. Tenez-vous ici dans Sa Présence. Tenez-vous simplement ici pendant quelques minutes. Nous allons offrir un mot de prière avec vous. Vous pouvez regagner directement votre siège.

            ...leurs taches de culpabilité.

            Perdent toute tache de leur culpabilité;

            Perdent toute tache de leur culpabilité

            Et les pécheurs plongés dans ce flot,

            Perdent toute tache de leur culpabilité.

69        Maintenant, j’aimerais vous poser une question. Il y a du baume en Galaad. Il y a un Médecin ici, le Grand Saint-Esprit. Voudriez-vous venir? Maintenant qu’allez-vous faire? Dieu va vous demander pourquoi vous ne L’avez pas reçu. Lorsque vous franchirez la porte en sortant, peut-être avant le matin, ça pourrait être la fin de votre temps sur terre. Vous pourriez ne pas rester en vie pour arriver chez vous. Alors Dieu va dire: «Pourquoi? Pourquoi ne l’as-tu pas fait? Il y avait du baume en Galaad.»

            Le Saint-Esprit est ici. Si vous vous êtes affaibli, si vous êtes devenu tiède dans votre expérience, et que vous vouliez être renouvelé... David a dit: «Rends-moi la joie de mon salut.» Il n’avait pas perdu son salut, mais il avait perdu toute la joie. Je pense que c’est le cas pour environ quatre-vingt-quinze pour cent de l’église aujourd’hui... qui ont perdu la joie de leur salut. «Rends-moi la joie de mon salut.»

70        Pendant que ces gens qui sont ici prient, voudriez-vous monter pour que vous soit rendue votre joie, la joie de votre salut, que Dieu puisse renouveler les bénédictions et que votre coeur soit rempli de Son Esprit et de Sa bonté? Venez vous tenir tout autour de l’autel. Montons tout simplement et renouvelons nos voeux à Dieu. C’est bon. Ami pécheur, viens avec eux. Toi rétrograde, qui ne connais pas Dieu, viens avec eux. Si vous êtes malades ou affligés, venez avec eux. Il y a du baume en Galaad. Oh! oh! la la! les enfants qui ont la nostalgie, et qui veulent rentrer à la Maison. C’est cela.

            Il y a une fontaine remplie de Sang,

            Tiré des veines d’Emmanuel,

            (Dites-Lui tout simplement ce que vous voulez maintenant.)

            Et les pécheurs plongés...

            Levez simplement la main et dites: «Seigneur, Je suis ici pour être renouvelé. Je suis ici pour être rempli de Ton Esprit. Il y a du baume maintenant. Il y a un Médecin ici.»

71        Notre Père céleste, nous amenons ces gens à Toi. Puisse le Saint-Esprit venir sur eux maintenant, Seigneur. Ils sont ici en train d’attendre. Ils–ils savent que le temps touche à sa fin. Juste un petit moment, et le temps ne sera plus. Et l’église est censée s’endormir, et entrer dans l’âge de Laodicée.

            Ô Dieu, qu’il n’en soit pas ainsi pour ce groupe-ci. Puissent-ils être remplis du Saint-Esprit ce soir. Puisses-Tu pardonner à ces pécheurs leurs péchés, guérir les malades et les affligés qui sont ici, Seigneur. Puisse ceci être une heure glorieuse pour eux, alors que nous sommes dans l’attente, Seigneur, et que nous regardons au Calvaire, où il y a une fontaine remplie de Sang. Accorde-le. Accorde-le nous. Remplis-nous de Ton Esprit...?...

72        Maintenant, ne lâchez pas. Tenez ferme. Accrochez-vous simplement au Calvaire jusqu’à ce que vous soyez satisfait, que chaque portion que Dieu a promise soit accordée. C’est vrai. Mettez-vous carrément au travail. Lorsque vous vous mettez au travail, Dieu se mettra aussi au travail. Cela dépendra de vous donc, revendiquez simplement ces promesses pour vous. [L’assemblée adore.–N.D.E.]

            Ô Dieu, je crois en Toi. Je ne lâcherai jamais. Je resterai juste ici, jusqu’à ce que quelque chose arrive à mon âme.» Souvenez-vous, mes amis, ceci peut être la dernière fois, ça peut être la dernière prière que vous aurez offerte. L’ange de la mort peut vous appeler avant le lever du jour. C’est maintenant le temps de vous mettre au travail avec Dieu. C’est maintenant le temps de croire cela. Confessez vos péchés, retournez directement là où vous L’avez laissé. Retournez directement là où vous L’avez laissé, et vous Le retrouverez là.

            Qu’est-ce qui vous a fait perdre votre joie? Cherchez pour trouver là où vous l’avez perdue. Retournez directement là, et dites: «Seigneur, je regrette. Je commence juste ici.» [L’assemblée adore.–N.D.E.] Cherchez pour trouver là où vous L’avez laissé. Où avez-vous perdu votre joie? Là où vous avez perdu votre joie, là où vous avez arrêté de Le servir, retournez directement à cet endroit-là. Commencez juste là. Juste là où vous avez laissé cela, c’est là que vous Le trouverez. Il sera là, attendant, Il sera debout là, attendant pour vous recevoir. Seigneur Jésus, viens vers eux, Seigneur. Accorde-le, Seigneur.

                 Toute tache de leur culpabilité.

                 Perdent toute tache de leur culpabilité,

                 Perdent toute tache de leur culpabilité;

                 Et les pécheurs plongés dans ce flot,

                 Perdent toute tache de leur culpabilité.

                 Perdent toute tache de leur culpabilité (toute tache de leur culpabilité).

                 Perdent toute tache de leur culpabilité;

                 Et les pécheurs plongés dans ce flot,

                 Perdent toute tache de leur culpabilité.

            Croyez en Lui, mon frère, de tout votre coeur...?... Croyez en Lui, mon frère, de tout votre coeur, au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

                 Laver tous mes péchés,

                 Laver tous mes péchés;

                 Et les pécheurs plongés dans ce flot,

                 Lavent tous leurs péchés.

73        [Frère Branham commence à fredonner Il y a une fontaine.] Maintenant, fermez donc vos yeux.

                 Il y a une fontaine remplie de Sang

            [Frère Branham continue à fredonner.]

                 Les pécheurs plongés dans ce flot (il s’agit de vous, mon ami.)

                 Perdent toute tache de leur culpabilité.

            Un jour, Il viendra. Un jour, nous devrons Le rencontrer, mon ami, chacun de nous.

            Maintenant, si vous qui êtes ici, vous qui–qui vous repentez de vos péchés, si vous venez à l’autel pour que vous soyez pardonnés, souvenez-vous que c’est la Parole du Seigneur que je vous cite. Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement.» Vous voyez, Dieu vous a parlé. Alors: «Tous ceux que le Père m’a donnés viendront à Moi», vous voyez. «Celui qui Me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant Mon Père et les saints anges.» Nous savons que c’est l’Ecriture. C’est ce que Jésus a dit. Maintenant, vous devez baser votre foi juste là-dessus. Vous voyez, Il a promis cela. Il ne peut mentir.

74        Maintenant écoutez. Jean 5.24. Pensez-y... une poignée, deux douzaines d’oeufs... 5.24–Jean 5.24: «Celui qui écoute Mes Paroles (c’est ce que je prêchais) et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a (au temps présent) la Vie Eternelle, et ne viendra point en jugement; mais il est... il est (au temps passé) passé de la mort à la Vie», parce que vous avez cru en Lui.

            Comment sommes-nous sauvés? Par la foi. C’est par la foi que vous êtes sauvé, et cela par la grâce de Dieu.

75        Maintenant, vous qui vous tenez ici pour accepter Christ comme votre Sauveur, vous savez que c’était Dieu. Lorsque vous avez levé la main là derrière, vous avez brisé toutes les lois scientifiques. Vous savez, la science... D’après la science, vous ne pouvez pas garder les mains levées. Elles pendent vers le bas, vous voyez. Vous avez brisé la gravitation, les lois de la gravitation, parce que votre main pend vers le bas. Et en réalité le monde... Si c’était le cas, pourquoi donc, si vous pouviez le faire juste à votre guise, si vos mains pouvaient monter comme cela, alors vos pieds ne resteraient pas au sol. Vous continueriez tout simplement à monter dans l’espace.

            Mais qu’avez-vous fait lorsque vous avez levé votre main? Qu’avez-vous fait lorsque vous vous êtes avancé ici; vous avez défié les lois de la gravitation. Pourquoi? Vous avez levé la main vers votre Créateur parce que Quelque Chose a parlé à votre coeur. Vous avez donc un esprit là à l’intérieur. Cet esprit a pris une décision. «Oui, oui. Je veux que Jésus-Christ soit mon Sauveur, j’ai levé ma main.» Cela a défié toute loi de la gravitation juste là. Un esprit au-dedans de vous, un Esprit près de vous, a parlé en vous, et a dit: «Tu as besoin de Christ comme ton Sauveur.» Vous avez levé la main.

            Voyez donc combien c’est simple. Maintenant: «Celui qui Me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant le Père et les saints anges. Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne viendra point en jugement, il est déjà passé de la mort à la Vie.» Vous avez la Vie Eternelle parce que vous avez cru.

76        Maintenant, sur base de... Il ne s’agit pas d’une sensation, voyez? Les sensations ne marcheront pas. Voyez, parfois j’ai eu–j’ai eu des sensations au point où je me suis senti si mal que je ne savais même pas si j’étais un serviteur de Dieu ou pas. Mais, il ne s’agit pas de cela. Il est question de la Parole. Jésus a vaincu le diable sur base de la Parole de Dieu, vous voyez. C’est là que... Il n’est pas question de ce que je sens; il est question de ce que je crois.

            Il n’a jamais dit: «Avez-vous senti cela?» Il a dit: «Croyez-vous cela?» Vous devez avoir la foi. Toutes sortes... Les bouddhistes ont des sensations. En Afrique, j’ai vu–j’ai vu des gens se tenir là, boire du sang dans un crâne humain, et avoir toutes sortes de sensations, et invoquer des démons. Ils avaient des sensations. Je me suis assis dans ces camps où les gens pratiquaient la danse du serpent taureau, et ils poussaient des cris et faisaient toutes sortes d’histoires. Ça, ce sont des sensations.

77        Mais cela aussi arrive. C’est une–c’est une perversion du Royaume de Dieu. Tout ce que le diable possède, il a dû le copier chez Dieu, vous voyez? Qu’est-ce–qu’est-ce que l’injustice? C’est la justice pervertie. Qu’est-ce qu’un mensonge? C’est la vérité mal présentée. Qu’est-ce qu’une–qu’est-ce qu’une mauvaise femme? C’est une bonne femme qui a été souillée, vous voyez? C’est exact. Le diable ne peut rien créer. Il n’est pas un créateur; il pervertit ce qui a déjà été créé.

            Ainsi, la Parole de Dieu a la puissance créatrice, et c’est une création–la création par la Parole de Dieu. Et lorsque vous L’acceptez dans votre coeur, ça crée une nouvelle créature. Croyez cela. «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point.»

78        Maintenant, sur base de Quelque Chose qui vous a parlé au point que vous avez eu le désir d’être sauvé, Quelque Chose vous a dit de venir à l’autel, et vous l’avez fait. Maintenant, vous avez confessé vos péchés, disant: «Seigneur, j’ai tort. Je ne veux pas être dans l’erreur. J’aimerais être dans le vrai. Je veux que Tu me pardonnes.»

            Eh bien, Il a dit: «Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à Moi.» Lorsque vous vous êtes levé de votre siège, vous étiez déjà pardonné. Vous voyez? Maintenant, pouvez-vous L’accepter maintenant? Rien de ce que vous avez fait–tout ce que vous avez fait a été oublié. Sur base de Sa promesse (et c’est Son Esprit qui vous a conduit à l’autel), L’acceptez-vous comme votre Sauveur? Levez la main si vous L’acceptez. Dites: «Je veux L’accepter comme mon Sauveur.» Que Dieu vous bénisse.

            Maintenant, la chose suivante que vous devez faire donc... Vous êtes déjà sauvé. «Celui qui Me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant le Père. Si vous avez honte de Moi ici, J’aurai honte de vous au Jugement.» Eh bien, vous êtes maintenant des chrétiens.

            La chose suivante que vous devez faire, c’est de vous faire baptiser et de recevoir le baptême du Saint-Esprit. C’est la Parole de Dieu. Est-ce juste, vous les ministres? Cela est aussi clair que possible. Jamais... Ne... Maintenant, ne laissez pas le diable vous faire dire: «Eh bien, je me sens mal.» Bien des fois je me sens mal. Cela n’a rien à voir avec la chose. Lorsque je suis faible, c’est alors que je suis fort (voyez-vous?); parce que je sais qu’il y a une bénédiction qui m’attend devant, dont Satan essaie de m’éloigner. Je continue simplement à avancer malgré tout. Vous voyez? Continuez simplement à avancer.

79        Maintenant, à vous qui voulez que la joie de votre salut soit renouvelée, et à vous qui... Quelque part vous avez perdu la joie. Réfléchissez à ce que vous avez fait. Avez-vous négligé la réunion de prière? Avez-vous négligé la lecture de la Bible? Avez-vous négligé la prière à la maison, de demander la bénédiction à table? Ne faites jamais cela. Oh! la la! C’est tellement... cela n’est pas tellement convenable aux chrétiens. Peu importe où vous êtes, inclinez la tête et priez. N’ayez pas honte de Lui. Priez n’importe où, voyez. Et si jamais là où vous avez laissé cette joie, quelle que soit la chose qui a ôté cette joie, quelle que soit la petite racine d’amertume qui s’est infiltrée...

            Souvenez-vous, lorsqu’un homme est sauvé, autant que ceci... comme ce bouton-ci... ça devient la Vie Eternelle dans votre coeur. C’est Dieu. Au fur et à mesure que vous serez capable de faire sortir toutes les racines d’amertume, alors Dieu commencera à s’étendre en vous. Alors, vous devenez un Fils de Dieu.

            L’homme a été fait pour être dieu, pour être un dieu. Le savez-vous? Il est à l’image de Dieu; il est un Fils de Dieu; il est semblable à Lui. Il lui a été donné un domaine (Genèse 1.26), la domination sur toute la terre. C’est juste. Il dominait la terre. Il dominait sur le règne animal, ainsi que sur tous les autres règnes... tout à l’exception du Royaume de Dieu qui est au Ciel. Il était dieu; il était un dieu amateur. Il a été créé à l’image de Dieu, il a été créé à la ressemblance de Dieu, il avait des mains et des pieds comme Dieu. Il était à l’image de Dieu.

            Qu’est-il arrivé? Pour n’avoir pas cru à la Parole de Dieu, cela l’a carrément renvoyé en arrière pour qu’il se débrouille par lui-même. Maintenant, Dieu essaie de le ramener. Et lorsque vous avez la foi, et que vous L’acceptez, mon frère, et que vous laissez cette petite Lumière commencer à grandir, ôtant toutes les racines de doute et d’amertume, et que vous vous abandonnez à l’Esprit, alors vous commencez à devenir un Fils de Dieu, une fille de Dieu, vous commencez à croître dans la grâce de Dieu. Le Saint-Esprit commence à bâtir Son Royaume au-dedans de vous.

80        Eh bien, si vous avez attristé cet Esprit quelque part, alors retournez carrément et réfléchissez dans votre esprit. «Qu’est-ce que j’ai commencé à faire? A négliger l’église? Ai-je commencé à me disputer avec une autre dénomination? Ai-je commencé à m’attaquer à celui-ci, à faire ceci ou cela à mon voisin?» Si c’est ce que vous avez fait, c’est ce qui L’a chassé.

            Allez dire: «Ô Dieu, je regrette. Je vais retourner directement et arranger cette chose. J’irai le faire sans tarder.» Alors, la joie de votre salut reviendra. Le Saint-Esprit s’était carrément envolé et s’était posé sur le–sur le chevron. Il est prêt à revenir à tire d’aile, à tout moment que vous Le–que vous voudrez qu’Il revienne. C’est Lui qui conduit. La colombe conduit l’agneau. Ça, nous le savons.

81        Maintenant, à vous qui êtes malades et affligés, vous qui avez besoin de la prière pour vos corps. Si vous avez besoin de la prière pour vos corps, Il est votre Guérisseur. «Comment est-ce que je peux obtenir cela, Frère Branham?» Eh bien, voici comment vous obtenez cela: en croyant. Tout ce que Dieu pouvait faire pour vous, Il l’a fait au Calvaire en Christ. Croyez-vous cela? Jésus a dit: «Tout est accompli.»

            Vous direz: «Frère Branham, est-ce à ce moment-là qu’Il m’avait sauvé?» Certainement.

            –Excusez-moi. Je viens d’être sauvé il y a cinq minutes.

            –Non, non. Vous avez été sauvé il y a dix-neuf cents ans. Vous venez simplement d’accepter cela il y a cinq minutes. C’est ce qu’il en est, voyez. Vous l’avez accepté. C’est exactement comme je le disais: «Voici la Bible. Prenez-la.» Vous La laissez simplement là. Elle est à vous, mais vous devez La prendre premièrement. Il vous faut L’accepter. Lorsque vous L’acceptez...

            Il n’y a rien que vous puissiez faire. Il n’y a aucune chose que vous puissiez mériter. Si ma cravate est entortillée, et que je dise: «Tenez, je vais vous donner un million de dollars.»

            Vous direz: «Je vais redresser votre cravate. Voilà, Frère Branham. Je vais vous arranger cela, parce que vous m’offrez un million de dollars.»

            Dans ce cas, je ne vous ai pas donné la somme d’un million de dollars, voyez. Vous avez fait quelque chose pour gagner cela. Ainsi, il n’y a rien que vous puissiez faire pour gagner cela; il vous faut simplement l’accepter.

82        Il en est de même de la guérison divine. Vous ne... Je vois les gens s’emballer, et essayer de... devenir nerveux, et dire: «Oh! si je pouvais simplement...» Vous le savez. Eh bien, vous passez par-dessus la chose. Vous la laissez derrière vous. Vous sortez là, excité, et vous essayez de tendre la main pour saisir quelque chose, alors que la chose est juste ici près de vous. C’est si simple. Dites simplement: «Merci, Père. C’est Toi qui me l’as promis. Maintenant, je reçois cela.» C’est tout. Observez ce qui va arriver.

            Maintenant, dites-le de tout votre coeur. Continuez simplement à dire cela, continuellement. Dites... Si vous ne croyez pas complètement cela, continuez à répéter cela jusqu’à ce que vous croyiez effectivement. Continuez simplement à répéter cela. «Je te remercie, Seigneur, pour ma guérison.» En effet, qu’est-ce qu’Il est? «Christ est le Souverain Sacrificateur de notre confession.» Est-ce juste? Hébreux 3. Très bien. Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession. Alors, Il ne peut pas faire une chose pour vous, Il ne peut pas intercéder, jusqu’à ce que vous confessiez premièrement que la chose a été faite. Maintenant, est-ce l’Ecriture? Le Souverain Sacrificateur de notre confession. Alors, Il ne peut agir que lorsque nous faisons la confession.

83        Maintenant, si vous dites: «Seigneur, j’ai perdu la joie de mon salut. Je veux que Toi, Tu... Je regrette de m’être éloigné des réunions de prière. Le mercredi soir je reviendrai sans tarder (ou mardi, peu importe le jour), je retournerai sans tarder.» Très bien. Dites-le. Croyez cela. Dites: «J’ai confessé que j’ai tort.»

            Maintenant, commencez à agir en conséquence. Christ commence à intercéder pour vous. Alors dites: «Je suis un pécheur. Je regrette d’avoir péché, Seigneur. Je vais désormais être un chrétien. Alors voyez, vous avez fait votre confession. Commencez directement à avancer avec cela.

            Si vous êtes malade, dites: «Seigneur, Tu es mon Guérisseur. Si j’ai commis un péché qui serait à la base de ceci, pardonne-moi. Seigneur, je Te prends au Mot. Tu as dit que Tu me guérirais. Je crois cela. Tu es le Souverain Sacrificateur de ma confession. Maintenant, je confesse que par Tes meurtrissures, j’ai été guéri. Merci, Seigneur.» Continuez simplement à avancer. Voyez, alors sur cette base, Il peut se mettre à agir, et commencer à opérer votre guérison. Voyez-vous ce que je veux dire?

            Il n’y a pas longtemps... Les gens qui n’ont pas reçu les instructions savent à peine comment s’y prendre. Une femme de... son mari tient la grande distillerie The Four Rose Whiskey, là à Louisville. Elle est la présidente là. Et il... elle est venue en trombe à la réunion un soir. Sa fille est venue, et elle allait être opérée; elle avait un cas très grave de vésicule biliaire... comme un cancer, ou quelque chose du genre, à la vésicule biliaire. Oh! elle était tellement excitée, elle était entrée en trombe... Elle ne voulait pas attendre les réunions. «Oh! non. Priez pour moi, priez pour moi! Je ne peux tout simplement pas attendre. Mon mari vient après moi. Il ne veut pas que je sois ici.» Eh bien, j’étais simplement obligé de lui imposer les mains, et de la laisser partir.

            Environ trois ou quatre soirs après cela, elle a dit: «Je me sens mieux.»

            Elle a téléphoné au médecin. Le médecin a dit: «Eh bien, c’est simplement... Elle est simplement excitée. Elle va–elle va s’en remettre.» Et elle ne voulait pas permettre cette opération. Ainsi donc, finalement, le médecin a dit: «Eh bien, laissez-la simplement partir alors.» Il a dit: «Eh bien, si elle ne veut pas accepter cela maintenant, je ne vais pas l’opérer, peu importe quand cela reviendra sur elle.»

84        Quelques jours après, elle a commencé à se sentir encore malade. Elle est devenue toute nerveuse. Elle a téléphoné au médecin, et elle a dit... Oh! bien sûr, on avait mis une grosse somme d’argent pour cela, ainsi, il a accepté l’opération.

            Et un ami à moi, qui est médecin, a assisté à l’opération, et on a ouvert la femme. Et la chose était déjà partie, vous voyez. C’était déjà parti. Elle a subi l’opération pour rien. Un de mes véritables amis personnels a dit qu’ils ont fait la suture. «Nous n’avion plus rien à faire. La chose était déjà partie.»

            Eh bien, vous voyez, elle n’était pas assez instruite pour savoir comment s’accrocher à Dieu. Lorsque vous avez...

            Lorsque vous acceptez Dieu pour quelque chose, tenez-vous-en à cela, juste là. Cela vous mènera à bon port. Tenez-vous-en simplement à cette Parole, à Sa promesse. Ne croyez-vous pas cela? Amen. Je crois que si nous avons besoin de la guérison, si nous avons besoin de notre... que notre salut nous soit rendu...

            Qu’a dit Jésus? Maintenant, ça c’est Sa Parole: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Est-ce juste? «S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Est-ce juste? Combien ici sont des croyants? Levez la main. Très bien.

85        Maintenant écoutez. Maintenant, permettez que nous vous disions ce que nous allons faire. Si vous croyez cela maintenant... Eh bien, s’il vous plaît, église, voici ce que je... J’espère que frère Outlaw me pardonnera pour ceci. Mais, écoutez. Voici ce qui ne marche pas dans ce tabernacle, ce qui ne marche pas dans chaque tabernacle, dans tous les tabernacles aujourd’hui. Vous vous éloignez de ce... Vous voyez, on a simplement eu tant de disputes et des histoires parmi les gens, au point qu’ils sont devenus vulgaires. J’ai tellement pitié d’eux, voyez. Ils se tiennent là et disent: «J’aurais bien voulu m’emparer de cela. Oui, je vais le faire.» Et dans les dix minutes qui suivent, la chose a complètement disparu, voyez. Maintenant, c’est exactement ce que la Bible a annoncé pour les derniers jours–serait tiède...

            Il a dit: «Puisses-tu être froid ou bouillant», voyez. Si vous allez croire en Dieu, croyez en Lui. Si Dieu est Dieu, croyez en Lui. S’Il n’est pas Dieu, eh bien, éloignez-vous simplement et laissez cela tranquille. Voyez, vous–vous essayez d’agir en tant que quelque chose que vous n’êtes pas, à ce moment-là. C’est comme l’a dit le membre du Congrès Upshaw: «Vous ne pouvez pas être quelque chose que vous n’êtes pas.» Et c’est vrai. Voyez, vous–vous devez être ce que vous êtes. Ainsi, dans votre coeur, si réellement vous pouvez croire cela... «Je suis un croyant. Je crois vraiment en Dieu. Eh bien, si je crois en Dieu, et que j’ai un besoin, j’accepte cela maintenant même.» Et cela règle le problème. N’en parlez plus. Continuez simplement à louer Dieu.

86        C’est comme ça que j’ai été guéri. Satan disait: «Tu n’es pas guéri. Tu ne sens aucun changement.»

            Je disais: «Attends. Si tu veux m’entendre témoigner, tiens-toi seulement là. C’est tout ce que tu dois faire. Certainement que je vais te ressasser cela chaque jour, parce que je vais chanter Ses louanges aussi fort que je le peux.» Et il m’a quitté. C’est exact.

            Voilà madame Waldrop qui est assise là derrière. Ils l’ont amenée dans une de mes réunions par ici, lorsque j’étais venu pour la première fois à Phoenix, elle souffrait d’un cancer, elle passait pour morte. C’est vrai. Les médecins ont apporté le témoignage de ce cas de cancer après qu’on l’a fait passer aux rayons X. Elle se tient là. Cela fait environ... Combien de temps? Environ–environ quinze ans, quatorze–il y a environ quatorze ans. La voilà en vie. Pourquoi? Dieu est Dieu. Le même Dieu qui était avec nous alors est le même Dieu maintenant.

87        Il y a du baume en Galaad. Il y a un Médecin ici. Le Médecin a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Maintenant, imposez les mains à quelqu’un. Ne priez pas pour vous-même maintenant. Priez pour les autres. Eux seront en train de prier pour vous. Imposez-vous les mains les uns aux autres. Etendez simplement vos mains, si vous avez un besoin. Priez pour quelqu’un, et quelqu’un d’autre priera pour vous.

            Il y a du baume en Galaad. Il y a le Médecin là. Comme... Maintenant, priez les uns pour les autres juste comme vous le faites dans votre église. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: s’ils imposent les mains aux malades...» Maintenant, soyez sérieux. Soyez sincères. Alléluia!

88        Seigneur Jésus, nous chassons le diable. Toi qui as pu arrêter l’épilepsie dans ce garçon il y a quelques minutes; Tu peux chasser tout esprit du diable de ces gens.

            Sors, Satan. Nous t’adjurons au Nom de Jésus de les quitter. «Imposez les mains aux malades et ils seront guéris. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» C’est cela. Priez. Priez jusqu’à ce que vous atteigniez les lieux plus hauts. Priez. La prière de la foi amènera sur vous les bénédictions de Dieu. Croyez au Seigneur Jésus-Christ. Croyez ce qu’Il fait. Croyez qu’Il intercède pour vous en ce moment... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

89        [Le reste de la bande semble être une partie d’un autre service.]

            Ou n’y a-t-il point de médecin là, et pourquoi donc la–la guérison de la fille de mon peuple ne s’opère-t-elle pas? Et je réfléchissais là-dessus. N’y a-t-il point de baume en Galaad? Nous avons du baume en abondance. Nous avons des médecins; c’est vrai.

            Et, généralement, lorsque nous cherchons une toxine... Il y avait un temps où il n’y avait pas de toxine contre la variole; il n’y avait pas de toxine contre la–contre la polio. Mais maintenant nous avons ces toxines. Et elles sont–elles sont merveilleuses. Nous les apprécions. Et puis, je me demandais: «Comment trouve-t-on une toxine?» Voici comment on trouve une toxine: les médecins, généralement, et les hommes de sciences qui font leurs recherches, ils–ils trouvent une sorte de substance chimique et ensuite, ils essaient cela sur un cobaye, et ils voient si le cobaye peut survivre à cela. Et alors, il vous l’administre. Et parfois, ces toxines sont... Elles ne marchent pas chez tout le monde, parce que tout le monde n’a peut-être pas un corps constitué de la même manière que celui du cobaye, ainsi cela pourrait ne pas marcher parfaitement.

90        Mais vous savez que Dieu a une toxine. Et Il–Il ne l’a jamais essayée sur un cobaye; Il l’a utilisée sur Son Fils et ç’a tenu bon. Ç’a tenu bon aux heures de la tentation; ç’a tenu bon au Calvaire, et elle s’est avérée bonne au matin de Pâques.

            Il y avait cent vingt personnes qui désiraient avoir cette toxine. Ainsi, ils sont montés dans la chambre haute le jour de la Pentecôte, et ils furent tous inoculés avec cette–avec cette toxine. Ainsi, lorsque les malades ont alors commencé à poser la question, disant: «Y a-t-il un...? Que devons-nous faire?» Pierre leur a établi une prescription. Et cette prescription est une prescription éternelle. Il a dit: «En effet, cette prescription demeurera pour vous, pour vos enfants, et pour les enfants de vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»

91        Eh bien, maintenant, si un médecin établit une prescription (eh bien, tel que je le comprends), il y a assez de poison là-dedans pour empoisonner le microbe qui se trouve dans le corps. Et il doit diagnostiquer combien ce corps est résistant avant qu’il ne puisse l’administrer, ou établir sa prescription. Eh bien, si donc vous prenez trop de cette toxine et qu’il n’y a pas assez d’antidote pour neutraliser cela, ça tuera le patient. Et puis, si vous y mettez trop d’antidote et pas à assez de toxine, cela ne fera aucun bien au patient.

            Et je pense que c’est ce qu’a été le problème par ici, jusqu’à ce que ce petit groupe-ci s’est levé. Nous avions des barrières dénominationnelles. Nous ne pouvions aller que jusque là où nos dénominations presbytériennes ou baptistes nous le permettaient. Mais à ce propos, nous sommes directement retournés à la prescription originale, nous avons reçu le baptême du Saint-Esprit, et nous avons simplement répandu Cela partout. Vous voyez?

92        Et il reste de–de la toxine en abondance, et le–le diagnostic a été fait très exactement comme le docteur Simon Pierre en a fait la recommandation. Et si nous prenons cela juste d’après la prescription (par la repentance, non pas par une poignée de main, d’abord la repentance, vous voyez, se mettre en ordre avec Dieu), cela aura sur nous le même effet que ç’a eu sur eux. Cela produira le même genre de ministère. Cela s’est confirmé chez ce jeune homme qui venait de témoigner ici, que cela... Ceci est le Message de l’heure, je crois que c’est le Message de la Pentecôte, la grâce de la Pentecôte. Et pourquoi devrions-nous perdre le temps avec quelque chose d’autre, alors que les Cieux sont remplis de la chose authentique. Vous voyez? Ainsi, nous pourrions accepter la vraie chose, recevoir la–la véritable bénédiction de la Pentecôte. Et je pense que c’est ce dont le monde a soif.

93        Il y a quelques jours nous... Eh bien, je ne suis ni démocrate ni républicain; je suis un chrétien; je ne fais donc pas mention de ces choses. Mais, j’ai pris là un vieux livre qui parlait d’une vision que le–le Seigneur m’avait donnée en 1933, juste quand j’en étais au début de mon ministère, alors que je fréquentais le Tabernacle baptiste. Et Il m’a donné une vision ce matin-là, la première chose que j’ai vue, si j’ai une bonne mémoire, avait alors trait à une affaire internationale. Et j’ai vu que le président Roosevelt qui était au pouvoir... et j’ai vu que nous entrerions en guerre. Ensuite, j’ai vu aussi la construction de cette–cette ligne Maginot, onze ans avant. J’ai vu l’Allemagne construire une fortification avec une grande construction en béton. J’ai aussi vu qu’on a autorisé le vote des femmes, ce qui était une mauvaise chose. Et il était dit qu’un jour on allait–on allait élire l’homme qu’il ne fallait pas; ils l’ont fait effectivement. Et ensuite...

            Ainsi donc, j’ai vu le temps de–de la fin venir, et cinq de ces choses que le Seigneur a permis que... J’ai vu sept choses, cinq d’entre elles se sont déjà accomplies. J’ai vu une femme puissante se lever aux Etats-Unis. Vous pouvez écrire ceci, si vous êtes en train d’écrire, cela va s’accomplir. Je ne sais pas... Elle est en route maintenant. C’est exact. Et elle a pris le pouvoir. Et puis, j’ai vu comme si quelque chose avait frappé les Etats-Unis et les avait consumés, juste quelque chose, une explosion qui a fait sauter les rochers et tout.

94        Et puis, j’ai vu qu’il y aurait un temps où la science connaîtrait de grands progrès. J’ai vu qu’il y aurait une automobile... J’ai fait écrire cela là-bas. J’ai cela avec moi maintenant même, sur un vieux papier qui a jauni; il est dit qu’il y aurait une machine, une automobile perfectionnée, ayant la forme d’un oeuf, dont le toit serait vitré. Et il y avait un homme et une femme (une famille) assis à bord, le dos tourné les uns aux autres; ils étaient en train de jouer aux cartes, et le véhicule roulait automatiquement. Et sur le pare-chocs, il y avait quelque chose qui... ça ne pouvait pas cogner les autres, en roulant. Et j’ai vu cela à la télévision il y a quelques soirs. Ils ont mis au point cette chose maintenant même.

            Vous voyez, toutes ces choses que le Seigneur a annoncées sont vraies. Et il nous reste encore deux de ces choses qui doivent s’accomplir, et c’est le temps de la fin. Et si jamais il y a eu un temps où nous devrions essayer d’amener les gens à Dieu, c’est bien maintenant.

95        Et je pense que des témoignages comme celui de ce jeune homme-ci, ainsi que celui de frère Serell, et... Obéissez à Dieu, peu importe que certaines personnes disent: «Eh bien, l’esprit ne s’est pas bien senti.» Cela ne change rien. Il se sentira bien si vous prenez votre place. Peut-être que vous étiez censé le relever jusqu’à ce point. Voyez, s’il avait obéi à Dieu et avait loué Dieu, alors, quand l’homme est entré, il lui a donné un témoignage qui a réellement fait le travail. Et aujourd’hui, je suis si heureux d’être parmi vous. Et comme je vois mes années s’écouler, et que je vois des jeunes gens comme eux se lever, s’il y a un lendemain, ils apporteront l’Evangile demain.

            Je vous reverrai demain après-midi, à quatorze heures, le Seigneur voulant. Que le Seigneur vous bénisse. Je n’avais pas l’intention de prendre trop de temps comme ça, Frère Shakarian. Merci.

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