N’Ayez Pas Peur

Date: 61-0311 | La durée est de: 1 heure et 56 minutes | La traduction: Shp
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1          C’est merveilleux d’être encore dans l’assemblée du Seigneur ce soir, en cette soirée du dimanche, pendant que la méchanceté continue de plus belle. Samedi soir, c’est une soirée qui reste toujours sous l’emprise du diable. Mais de voir des gens qui aiment toujours le Seigneur assez pour venir Le servir, c’est remarquable. J’apprécie certainement cela; j’apprécie votre bienveillance. Et... Eh bien, demain matin... Maintenant, vous tous les visiteurs ici présents, il y a... Allez dans l’une de ces bonnes églises. Elles sont ici pour... représentent cette série de réunions. Et si vous êtes ici en visite, eh bien, allez simplement à l’église de votre choix. Il y a beaucoup de différentes dénominations, et–et prenez simplement place à l’école du dimanche. Ils seront très heureux de vous avoir parmi eux.

2          Et puis, demain après-midi, je pense que c’est à quatorze heures que nous débuterons le service. Et je pense qu’on a d’abord annoncé que ce serait à quinze heures, et ils savent que je suis un prédicateur très verbeux. Je pense donc qu’ils ont eu peur et ils ont arrangé le programme de telle sorte qu’il y ait culte demain soir.

            Ainsi, demain après-midi, venez à quatorze heures. Et ensuite nous essaierons de vous libérer à temps pour vous permettre de rentrer chez vous prendre votre... Comment appelle-t-on cela ici? Ici, est-ce le souper ou le diner? Hein? Je–je confonds totalement cela. Vous voyez, pour moi, ça devrait être le souper. Si–si je–si je prenais mon dîner à cette heure-là du jour, quand prendrais-je alors mon souper? Vous voyez? Je–je–je rate un repas quelque part. Moi, je–j’aime appeler ça souper. Les gens disent: «Ce n’est pas ça, Frère Branham.» Oh! non, c’est scripturaire. Ce n’est pas le dîner du Seigneur que l’on prend. On prend le souper du Seigneur. C’est juste. Il n’y avait point–point de dîner du Seigneur, rien de tel. C’était le souper du Seigneur. Ces manières distinguées et contradictoires qu’on a de nos jours ne concordent pas avec la Bible. Vous voyez? Dans nos anciens usages du Kentucky, d’où je viens, non, nous avons le dîner, le petit déjeuner et le souper. Et ainsi, demain après-midi... Quelque chose n’a pas tourné rond quelque part, ainsi...

3          Eh bien, si j’ai tort, c’est que je suis simplement–je n’ai pas été élevé comme il faut. Vous voyez, c’est ce que je pense. Il s’agit donc du dîner, du petit déjeuner et du souper, chez nous à la maison. Papa revenait... Le petit déjeuner, le dîner et le souper. C’est ça. Je savais qu’il y avait quelque chose qui clochait quelque part. J’ai dit quelque chose. Ma femme a dit: «En parlant vous pouvez vous tromper sur plusieurs choses.» Et c’est vrai. Elle a certainement raison là-dessus.

            Quelques annonces... S’il n’y a pas de culte dans votre église, la semaine prochaine, nous serons juste ici dans l’Ohio, au–avec frère Sullivan et les autres; nous y avons été tant de fois. Je pense que ce sera là, à l’amphithéâtre municipal. Et nous serons très heureux de vous avoir avec nous.

4          Eh bien, voyons. Le nom de cette ville-là c’est Middletown. J’aime l’appeler Milltown; c’est là que le Seigneur avait accompli un grand miracle autrefois, lorsque j’étais pasteur de l’Eglise baptiste de–de Milltown. Mais c’est Middletown. Moi, j’avais écrit Milltown. Mais il s’agit de Middletown, dans l’Ohio, et nous serons heureux de vous avoir avec nous là-bas. Et ensuite... cependant si donc votre église tient des réunions, restez à votre poste du devoir.

            Je pense que je connais un prédicateur qui est assis ici. C’est frère Hall du Tennessee, n’est-ce pas? Je viens de te repérer là, par hasard, Frère Hall. Que le Seigneur te bénisse. Je suis ravi de te voir là.

            Et je pense que celui qui est assis à côté de lui, c’est l’un des frères qui étaient dans les entretiens privés ce matin. Est-ce vrai? Le deuxième par là... Bien, je l’ai reconnu.

5          Voyez, nous avons eu des entretiens privés. Vous pourriez vous demander comment ces gens viennent, mais il y en a environ six cents sur la liste d’attente en ce moment. Il ne s’agit pas d’une seule ville. Même s’il s’agit d’une seule ville, ça c’est international. Les gens viennent du monde entier. Et ils se font inscrire des mois et des mois et des mois à l’avance. Pour entrer... Les gens qui doivent savoir, pour continuer, ce que le Seigneur a à leur dire. Nous nous mettons ensemble eux et nous, et nous restons carrément avec eux jusqu’à ce que le Seigneur parle et dise ce qu’ils doivent faire.

            Maintenant, vous direz, c’est–c’est... Eh bien, certainement que c’est scripturaire. C’est tout à fait exact. Et... Naturellement, nous nous rendons compte que c’est un office prophétique, et je ne prétends pas être un prophète du Seigneur. Mais toutefois, Il m’a permis de citer des choses, et Il m’a révélé des choses à dire à Ses enfants afin de les aider. Jusque-là Il ne m’a jamais déçu.

6          Par exemple, cet homme qui est assis juste ici ce matin. Les gens entrent dans la pièce... Et d’autres sont ici aussi, ils... Certains d’entre eux enregistrent et prennent ces invitations de sorte que lorsque nous sommes près d’une ville, eh bien, alors ils apportent ces invitations et il faut que le secrétaire de la campagne les reconnaisse, parce que nous leur avons fait une promesse. Nous les prenons toutes pendant la journée, et c’est pour cela que je viens à la réunion le soir.

            Avec des visions qu’il y a déjà eu, cela vous tue presque. Et vous pouvez demander à quiconque a déjà assisté aux réunions et a été dans ces entretiens privés. Le Saint-Esprit vient et révèle des choses que personne ne connaît, excepté Dieu seul. Des choses... Il révèle aux gens des choses qu’ils ont faites quand ils étaient de petits enfants, et c’est–c’est différent de ce qui se passe ici à l’estrade. Ici à l’estrade, c’est simplement... Vous voyez simplement quelque chose, et vous le dites, et vous allez de l’avant, parce que vous devez passer à la personne suivante. Mais de cette façon, lorsque vous en prenez peut-être deux ou trois par jour, au cours d’une journée, alors vous restez là jusqu’à ce que le Saint-Esprit révèle toute la chose. Ils ne sont pas obligés de dire quoi que ce soit. Le Saint-Esprit Lui-même leur révèle ce qu’ils ont fait, le genre de problème qu’ils ont, ce qu’ils devraient faire, et Il leur révèle leur vie passée, Il leur révèle ce qu’ils ont fait, et ainsi de suite.

7          Combien ont déjà été dans ces entretiens privés et savent que c’est la vérité? Levez la main. Ça a été... Oui, il y en a plusieurs ici. Cet homme et d’autres ont levé la main. Depuis que nous sommes ici... Il remonte droit jusque dans l’enfance et fait carrément ressortir la chose, et vous dit là où vous avez commis vos fautes et que sais-je encore.

            Si vous êtes sincère devant le Seigneur, et qu’Il me le donne... Maintenant, c’est l’unique façon dont je puisse le faire. Je ne contrôle pas cette Chose. C’est Elle qui me contrôle. Vous voyez? Il–Il faut que vous croyiez. Mais, bien des fois, les gens se plongent dans tant d’ennuis. Tout d’abord nous savons que si la Parole de Dieu règle la chose, vous devez vous en tenir à Elle, parce que c’est la Parole de Dieu.

8          Mais maintenant, qu’arriverait-il si vous avez commis une faute dans la vie, ou si vous avez fait quelque chose, ou si vous ne savez pas ce qu’il faut faire, et qu’ensuite vous ne sachiez pas ce qu’est la volonté du Seigneur? Vous voyez? Alors vous avez le droit de venir Lui soumettre le problème.

            Je me souviens qu’une fois dans la Bible, c’était, je pense, le fils d’Isaï qui avait perdu... Isaï avait perdu des mulets, qui s’étaient égarés. Et ils ont dit: «Il nous faudrait aller auprès du voyant, si nous avions un présent à lui offrir.» Et ils étaient sincères à ce sujet. «Et il nous dira où aller les trouver.» Et puis, nous voyons que le voyant a rencontré ces hommes sur la route et leur a dit que ces mulets étaient déjà retournés chez eux. Et il est allé oindre David pour qu’il soit roi.

9          Et il y a tant de passages dans la Bible où les gens sont allés auprès des serviteurs du Seigneur pour demander conseil. Eh bien, maintenant, j’aimerais vous poser une question. Qu’en est-il de vous? Quand vous êtes tout embrouillé et troublé, n’allez-vous pas chez votre pasteur? N’est-ce pas vrai? Vous êtes censé le faire. Si vous avez des problèmes, vous devriez aller auprès de votre frère, et lui en parler, disant: «Frère, je–j’ai fait quelque chose de mal. Je–je n’aurais pas dû le faire. Je–je te prie de m’aider maintenant à prier jusqu’à ce que je–je me tire de cette situation. Ou aide-moi dans mes problèmes.» N’est-ce pas là la façon scripturaire de s’y prendre? Eh bien, c’est parce qu’il est votre pasteur; il est votre berger; il est celui qui vous donne la nourriture pour que vous–vous mangiez. Et il sait comment nourrir ses brebis, le troupeau, sur lequel Dieu, le Saint-Esprit, l’a établi surveillant afin de veiller sur eux et d’en prendre soin... Et c’est cela son travail.

10        Eh bien, la même chose... Voyez? Je ne suis pas un prédicateur, vous le savez. Simplement, je... Je n’ai pas une instruction suffisante pour être prédicateur. Mais le Seigneur... J’aime dire aux gens ce que je sais à Son sujet. Et puis... Mais mon don à moi en Dieu c’est quelque chose de différent.

            Je vois, assise ici juste en face de moi, une autre personne qui était dans la réunion ce matin, dans l’une des réunions: un frère baptiste dont la femme est méthodiste. Ce frère baptiste avait d’énormes difficultés pour abandonner la cigarette.

            Il a donc continué à venir, il continuait, et il continuait à aller de l’avant. Et–et c’est un homme bien. Je ne le dis pas parce qu’il est assis là, je viens par hasard de le repérer lui et sa femme. Ainsi, un jour, enfin, pendant qu’il se trouvait là à Jeffersonville, en train d’attendre un de ces entretiens privés, le Saint-Esprit est directement entré là et a complètement révélé la chose et a condamné la cigarette qu’il s’était efforcé (pour laquelle il avait prié) d’abandonner. Depuis ce moment-là, vous n’en avez plus jamais touché une; n’est-ce pas vrai, Frère Artez? Ou comment vous vous appelez encore? Arnette. Il vient d’une... de quelque part ici, au Sud. C’est Columbia, en Caroline du Sud. Et... C’est terminé depuis ce temps-là, n’est-ce pas? Oui, c’est... C’est vrai.

            Et maintenant, ce matin il a attendu et il a eu un autre entretien sur quelque chose au sujet duquel il ne savait que faire. Observez et voyez ce que le Seigneur a dit.

11        Avant qu’il vienne, sa femme avait eu un songe sur ce qui... Elle avait eu un songe, et avant même qu’ils viennent ou qu’ils disent un seul mot, j’ai dit aux frères ce qu’elle allait me dire concernant le songe, et ce qu’en était l’interprétation, avant qu’ils n’arrivent là (N’est-ce pas juste?), avant que cela n’arrive, exactement ce qui arriverait et ce que signifiait le songe.

            Nous... Il y a quelque temps j’étais dans une réunion. Et j’étais... Je crois dans la sainteté à l’ancienne mode. Et je crois dans–dans le fait de citer très exactement ce que la Bible déclare. Dites-le. C’est tout. Peu importe si ça blesse, ça blesse, ça...?... Si vous le faites par méchanceté, alors je devrais aller à l’autel pour me mettre en ordre. Mais je le fais par amour.

12        Si vous voyiez votre enfant en train de faire quelque chose, et qu’il allait se faire tuer avec ça, n’aideriez-vous pas cet enfant? S’il vous faut lui administrer une petite stimulation du protoplasme au derrière, vous savez, administrez-la-lui vraiment. Vous–vous feriez mieux de le faire, plutôt que de laisser l’enfant se faire tuer, n’est-ce pas? Eh bien, certainement, s’il vous faut vraiment le corriger et le fouetter pour lui faire changer de comportement. Eh bien, c’est ce que Dieu fait avec nous. Et voici Son fouet, c’est l’Evangile. Il est plus tranchant qu’une épée à deux tranchants, il est vraiment tranchant. Et si un serviteur est appelé de Dieu, il ne fera pas de compromis sur une seule parole.

            Un certain ministre m’a rencontré il n’y a pas longtemps, un homme très remarquable, un docteur en théologie. Il a dit: «Frère Branham, vos réunions devraient toucher les centres névralgiques.» Il a dit: «Vous pouvez atteindre des endroits tels que New York et–et de très grandes villes.» Et il a dit: «Nous avons nos propres avions et (cette église dénominationnelle), a-t-il dit, nous ferons avec vous le tour du monde en avion, en atteignant les coins sensibles et les centres névralgiques.» Il a dit: «Ce ministère devrait être connu de tout le monde.» Et il a ajouté: «Il y a juste une chose que je voudrais vous demander de faire, a-t-il dit, concernant juste quelques points que vous prêchez, si vous pourriez bien les ignorer pour les mettre de côté.»

13        Je l’ai regardé et je l’ai appelé par son nom. Je crains de le citer, parce que beaucoup d’entre vous le connaissent. Et j’ai dit: «Docteur, je suis surpris qu’un homme de votre trempe, un serviteur de Christ, puisse demander à un autre serviteur de Christ de faire des compromis sur la Parole de Dieu.» C’est juste. J’ai dit: «Eh bien, je suis surpris que vous teniez de tels propos.» Il a dit: «Bien, nous pensons que vous avez une conception erronée.»

            J’ai dit: «Alors corrigez-moi avec les Ecritures.» C’est ce qu’il faut faire. J’ai dit: «Corrigez-moi donc.» Vous voyez? Et j’ai dit: «Je ne ferai point de compromis sur la Parole de Dieu.» Absolument pas. J’ai dit: «Je–je...»

            Et j’ai dit: «Et d’ailleurs...»

            Il a dit: «Bien, qu’en faites–faites-vous, Frère Branham? Vous passez votre temps avec une bande des gens qui ne sont qu’un petit groupe de gens par-ci par-là.»

            J’ai dit: «Ecoutez. Dieu, quand Jésus est venu, Il n’a jamais atteint les centres névralgiques. Il était venu vers les élus. Mon ministère est destiné aux élus.» J’ai dit: «Ce que je fais, je suis conduit à le faire. Et je ne me soucie pas des centres névralgiques. Je vais là où le Seigneur me conduit.»

14        Qu’arriverait-il si j’avais d’énormes programmes et que je suis obligé d’avoir tant de milliers de dollars chaque jour? Que ferais-je? Je n’aimerais pas avoir de tels tracas. Je suis heureux que le Seigneur... Il était bien avisé pour ne pas mettre une telle charge sur moi. Je n’ai pas assez de capacités mentales pour gérer cela.

            J’ai dit: «Je–je–je ne veux pas de ces programmes. Je ne suis pas tenu d’avoir quoi que ce soit.» Voyez? Tout ce qu’il me faut, c’est Sa grâce. C’est tout. C’est juste. C’est tout ce qu’il me faut.

            Tout récemment j’étais debout et je contemplais un grand et magnifique immeuble qui avait été construit. Et je me tenais là, et j’ai pleuré dans mon coeur. Et je me suis dit: «Oh! mon Seigneur...» Et je suis allé là, et j’ai regardé; j’ai vu une réalisation que des frères avaient accomplie. Et j’ai regardé là, et j’ai vu ces grandes réalisations. Et je me tenais là dehors, et... Je vais réellement confesser cela. Des gens merveilleux, oui, oui, de véritables serviteurs de Christ... Et je me suis dit: «Oh! la la! n’est-ce pas merveilleux, Seigneur, mais qu’en est-il de moi?» Voyez? Et j’ai dit: «Peut-être que je ne suis pas digne de confiance.»

            Juste à ce moment-là, j’ai entendu une Voix qui a dit: «Mais Je suis ta Part.»

            J’ai dit: «Merci, Seigneur, je vais me contenter de cette Part.»

            «Je suis ta Part.» J’aime vraiment... Il veut... Il est ma Part; c’est ce que je désire: que Lui soit ma Part.

15        Je crois que le Seigneur revient bientôt. Je prêche cela. Je vis cela. Je veux croire cela et m’en tenir à cela. C’est exact. Et si vous prêchez et dites: «Le Seigneur revient bientôt», tout–tout en faisant des choses comme s’il y aura encore des millions d’années avant qu’Il vienne, eh bien, vos propres oeuvres condamnent votre témoignage. Vous voyez? Cela–cela... S’Il vient bientôt, soyons prêts. Soyons...

            Combien la Pentecôte d’aujourd’hui est différente de celle d’autrefois!

            Je me tenais parmi les Hommes d’Affaires Chrétiens du Plein Evangile. C’est un merveilleux groupe. C’est aussi la seule organisation dont je suis membre. Et ce n’est pas une organisation; c’est un organisme. Et la raison est que, je demande aux hommes d’affaires de chaque groupe à venir et–et alors ça embarrasse plutôt leur pasteur. En effet, ils collaborent, et cela amène alors toute l’église à venir, et je me mets au travail pour eux tous. Je–je me tiens à la brèche et je dis: «Nous sommes frères. Nous sommes frères. Nous ne devons pas avoir des différends et des barrières. Nous devons être des frères, être tous ensemble.»

16        Et j’étais à Kingston, en Jamaïque. Et j’ai entendu certains hommes d’affaires ce jour-là donner leur témoignage devant ces hommes d’affaires qui étaient là, disant: «Ma petite entreprise était juste comme ceci comme cela. Que Dieu soit loué! Aujourd’hui, j’ai trois Cadillacs, et j’ai telle et elle chose.»

            Ce soir-là j’ai dit: «Oh! frères, comme la Pentecôte d’aujourd’hui est différente de celle d’autrefois, quand elle est descendue au début. Quand elle est descendue au début, ai-je dit, les gens ont vendu ce qu’ils possédaient et sont devenus des indigents, pour accepter l’Evangile.» Et j’ai dit: «De nos jours, on essaie de dire à ces hommes d’affaires qu’ils ont des affaires, qu’ils savent ce qu’il faut faire. Ils... Ce n’est pas ce qu’ils cherchent. Faites-leur connaître l’amour de Dieu; c’est ce qu’ils essayent de trouver, non pas comment faire prospérer vos affaires. Dieu ne promet pas un lit fleuri d’aisance. Il... Notre–notre chemin est raboteux et dur. Et si vous n’êtes pas disposé à emprunter ce chemin-là, ne commencez pas. Parce que si réellement vous servez Dieu, vous allez passer par un chemin difficile, je veux dire.»

            Certains par les eaux et d’autres par les flots, d’autres par de dures épreuves, mais tous par le Sang. C’est exact. C’est ainsi qu’Il conduit Ses enfants. Il y avait un certain petit évangéliste, un chanteur parmi nous ici. Il a dit: «Mais, Frère Branham, a-t-il dit, c’est là une fois que–que les disciples ont commis une erreur.»

            J’ai dit: «Comment donc? Je ne le crois pas. C’étaient des hommes inspirés.»

            Il a dit: «Eh bien, après que tous avaient vendu leurs biens et les avaient déposés aux pieds des apôtres, a-t-il dit, quand la persécution a surgi, ils n’avaient pas de maison où aller. Ils n’avaient pas d’endroit où retourner.» Il a dit: «Cela montrait qu’ils avaient commis une erreur.»

            J’ai dit: «Dieu ne commet pas d’erreurs.» Absolument pas.

            Il a dit: «Eh bien, eux s’ils avaient des maisons où aller...»

17        J’ai dit: «C’est ce que Dieu voulait qu’ils fassent. Ils se sont dispersés partout, n’ayant pas de maison, et ils ont répandu l’Évangile dans toute la région.» Parce qu’ils n’avaient pas d’endroit où aller. C’est ainsi que Dieu devait le faire.

            Oh! si nous pouvions seulement suivre la conduite de l’Esprit! Voyez? Alors ce serait mieux si nous retournions simplement à la conduite de l’Esprit et suivions cela. Nous serions beaucoup mieux, je crois.

            Maintenant, nous espérons donc que tout le monde sera guéri. Hier soir, ça a été une soirée glorieuse. Je sens vraiment l’impact de l’Esprit, la façon dont Il s’est mu sur les gens, et comment Dieu s’est occupé...

            Maintenant, vous les pasteurs, mes frères, vous vous souviendrez longtemps après que je serai parti. Après que je serai parti d’ici, souvenez-vous qu’il y aura des femmes et des hommes qui ont souffert de maladies pendant longtemps, qui viendront et se mettront à témoigner que leurs maladies sont parties.

18        Hier soir, en quittant l’estrade, je titubais; je n’y pouvais rien. Vous voyez? Je savais à peine où j’étais. On a connu une si forte montée de la foi. Vous voyez, elle monte.

            Eh bien, c’est vraiment dommage que nous n’ayons qu’un séjour de quelques jours, après quoi nous repartons. Vous voyez? Si seulement nous pouvions attendre quelque temps, si seulement nous avions le temps! Mais nous sommes simplement en train de parcourir le pays, partout où nous le pouvons, essayant d’entrer dans le–de porter à Satan chaque coup que nous pouvons, et pour l’Eglise élue, de lui faire voir ce signe que Christ a annoncé comme devant apparaître avant la Venue. En effet, je ne sais pas à quelle heure Il pourrait apparaître. Et je veux faire tout ce qui est en mon pouvoir. Priez donc pour moi. La meilleure chose que vous pouvez faire pour moi, c’est prier pour moi.

            Maintenant, comme je l’ai dit, je n’ai aucun programme ni rien à supporter. Et si j’en avais, alors je ne pourrais pas me trouver ici. Si j’avais... Beaucoup de frères qui ont de grands programmes qu’ils doivent supporter, des programmes de radio, de télévision à l’échelle mondiale, et de grandes choses du genre, ils–ils ne peuvent pas se permettre de venir dans un petit groupe de personnes.

19        Mais, vous voyez, le Seigneur savait que j’étais plutôt, eh bien, un petit illettré. Ainsi Il a pu me laisser aller là pour les attraper, ceux-là que les autres frères n’atteignent pas, je pense.

            Et j’ai tenu une réunion, tout récemment dans une église qui pouvait contenir vingt personnes. Je sais que c’était pathétique, mais je l’ai tenue. Mais donc... Voyez? Quand le Seigneur veut que j’aille outre-mer... On me demande: «Comment vous arrivez à le faire?» D’une façon ou d’une autre quelqu’un vient me donner l’argent pour y aller. Et ainsi... Et si je dois aller dans une petite ville, je n’ai point d’obligation qui m’empêcherait d’y aller. Ainsi simplement je... Il prend bien soin de moi partout où il veut que j’aille. Et je vis simplement par la foi, et je marche par la foi, et où Il... Tout ce qu’Il veut que je fasse, quelle que soit la chose, Il pourvoit toujours à un moyen.

20        J’ai prêché à cinq cent mille personnes à la fois. Et j’ai prêché à... J’ai prêché à cinq ou à six personnes à la fois; j’ai tenu une réunion là où il y avait dix ou quinze personnes. Certaines des réunions les plus douces que j’aie jamais eues, c’était lors d’une–une réunion de prière dans une maison quelque part. C’est exact. Dieu peut venir dans un petit groupe ou dans un grand groupe. Pour Dieu, le nombre n’importe pas. «Là où deux ou trois sont assemblés, Je suis au milieu d’eux.» Voilà.

            Maintenant, avant que nous abordions la Parole, nous aimerions nous approcher de l’Auteur. Y a-t-il quelqu’un qui connaît Booth Clibborn? Eh bien, bon nombre d’entre vous comprennent... William Booth Clibborn qui a composé cette chanson célèbre, Il descendit de Sa gloire, c’est un ami personnel à moi.

            Et il prêche l’Evangile dans sept différentes langues. Il est vraiment très intelligent. C’est le petit-fils du vieux général Booth. Et c’est un Anglais. Et–et il... Booth... Peut-être qu’il est assis ici. Ainsi c’est vraiment un ami, un vrai théologien.

            Et un jour, nous avions plutôt des divergences d’opinion sur quelque chose. Et alors, j’ai dit: «Eh bien, Frère Booth, comment est-ce donc possible, étant donné que ceci c’est bien cela.»

21        Et je... Maintenant, Frère Booth, si tu es ici, je ne veux pas faire encore rebondir la polémique. Mais il était lié. Et il ne savait par où s’en sortir. Ainsi simplement il... Je l’ai simplement laissé sauter, et il a sauté pour tomber juste dans son propre piège. Vous savez, juste comme on dit: «Donnez assez de corde à la vache, et elle se pendra elle-même.» Il est donc allé à l’extrême et il n’a pas pu faire demi-tour.

            Et j’ai dit: «Qu’y a-t-il donc, Frère Booth?»

            Il a dit: «Tu ne connais simplement pas ta Bible.»

            J’ai dit: «Mais j’En connais très bien l’Auteur.» J’ai dit: «Voilà.» Et j’ai dit: «Il m’enseignera le reste de Cela.»

            Ainsi, si nous ne connaissons pas la Parole, cherchons à très bien connaître l’Auteur. Et Il ne nous laissera pas dans l’erreur. Il nous guidera d’une façon ou d’une autre vers ce qui est juste. Parlons-Lui donc maintenant avant d’aborder Sa Parole, alors que nous inclinons la tête.

22        Notre Père céleste, nous sommes reconnaissants pour cette nouvelle occasion, de ce côté-ci de l’éternité, de présenter Jésus-Christ à un auditoire qui est dans l’expectative.

            Et maintenant, je me suis souvent demandé comment–ce que je ferais si j’avais un–un plateau, ou un verre dans ma main, un verre contenant une goutte du Sang littéral de Jésus. Je serrerais vraiment cela contre mon coeur, et combien je serais dans une attitude d’adoration pour cela; je répandrais mon coeur, avec des larmes coulant sur mes joues, de savoir que j’ai dans ma main une goutte du Sang littéral du Seigneur Jésus: ce Sang qui m’a sauvé. Et là-bas, il y a plus de trente ans, lorsque les médecins ne me donnaient plus que trois minutes à vivre, Il m’a sauvé et Il m’a guéri.

            Ô Dieu, je T’ai vu, au fil des années prendre des dizaines de milliers et des milliers de personnes malades que nos médecins avaient abandonnées et leur redonner une parfaite santé pour continuer leur vie. C’est ce Sang qui a fait cela. Et je me représente comment je tiendrais Cela. Mais ce soir, d’après Ta propre Parole, je tiens plus qu’une goutte de Sang. Je tiens devant moi ce que ce Sang a acquis.

            Il a aimé Son peuple plus que Sa propre Vie. C’est pourquoi Il a donné Sa Vie que contenait Son Sang pour racheter ce peuple. Alors, Seigneur, comment devrais-je les approcher, eux qui valent plus que le Sang lui-même, ce qui a été acquis au prix du Sang.

           

23        Maintenant, Père, je Te prie de me cacher de sorte que je ne voie pas les hommes, ou que je ne craigne pas les hommes ni rien, mais que je prêche simplement la Parole, que je l’expose de manière simple et claire. Et ensuite, puisses-Tu venir derrière Elle pour confirmer que ce que j’ai dit est la Vérité. Et alors cela confirmera qu’Elle est la Vérité, Seigneur. Et si je ne rencontre plus jamais ces personnes de ce côté du Ciel, ou de ce côté du jugement, alors je n’aurai le sang de personne sur mes mains, Seigneur. Et Tu ne seras pas coupable, parce que Tu as confirmé Ta Parole. Je Te prie de l’accorder ce soir.

            Guéris les malades, Seigneur, et sauve ceux qui peuvent être sauvés, tous ceux que Tu as appelés. S’il y en a ici dans cette salle ce soir, ô Seigneur, dont Tu savais, par Ta grande prescience avant que le monde ait commencé, qu’ils seraient sauvés...

            Et ce soir, on ne sait comment Tu as rassemblé les gens en cet endroit. Que ce soir quelque chose soit fait qui les amènera à reconnaître leur Merveilleux Sauveur, et qu’ils Le reçoivent. Je prie au Nom de Jésus. Amen.

            Maintenant, dans les Ecrits de Saint Matthieu, le verset 27 du chapitre 14...

          Jésus leur dit aussitôt: Rassurez-vous, c’est moi; n’ayez pas peur!

            Et je voudrais me servir de cette parole: N’ayez pas peur! N’ayez pas peur! Trois mots pour notre sujet [En anglais: Be Not Afraid–N.D.T.]

24        Et puis, ça devait être vers le temps du coucher du soleil: après une longue journée ennuyeuse, mouvementée, au cours de laquelle beaucoup de choses s’étaient produites. Et je peux voir les gros muscles gonfler sous ses épaules, alors qu’il se met à déplacer cette barque du rivage sablonneux de la Galilée, et la pousser dans l’eau.

            Le pêcheur musclé et grand, appelé Simon, a alors pris place pendant qu’il marchait dans la petite barque, et s’est assis à côté de son frère André, et il a pris une rame. Et comme la petite barque a commencé à avancer doucement dans l’eau, les cris perçants des personnes qui étaient sur le rivage se sont fait entendre: «Venez nous visiter encore. Nous apprécions vraiment votre visite chez nous.»

            Combien leurs coeurs ont dû se dilater de savoir qu’ils avaient fait quelque chose de bien. C’est ce que nous aimons tous entendre, oh! tout le monde. Parfois en quittant la réunion, les gens pleurent et...

25        Tenez, quand je quittais l’Afrique du Sud, récemment... Il y avait environ dix mille personnes à l’aéroport. Et ils étaient là, ils se tenaient là, pleurant et criant, se lamentant et poussant des cris: «Revenez et parlez-nous encore de Jésus.» Vous voyez? Tant de choses glorieuses...

            Et un petit médecin qui avait vu un miracle s’accomplir, un petit garçon qui louchait s’était avancé à l’estrade, il louchait au possible. Et avant qu’il arrive là où j’étais ses yeux s’étaient redressés. Il a continué... On l’a fait descendre de l’estrade, et un médecin britannique est revenu–était assis là au fond... Et il s’est avancé et a dit: «Qu’avez-vous fait à ce garçon? L’avez-vous hypnotisé?»

            J’ai dit: «L’hypnotiser?» J’ai dit: «Et on vous a donné une licence pour pratiquer la médecine, et vous n’en savez pas plus que ça sur l’hypnotisme?»

            Et il a dit: «J’ai placé le garçon sur l’estrade; il louchait. Et le voici avec ses yeux droits.» J’ai dit: «Quelque chose s’est produit entre cet endroit-là et là.»

            J’ai dit: «Il a rencontré Jésus.» Voyez-vous?

            Et j’ai dit: «Je ne l’ai point touché.»

            Et il a dit: «L’avez-vous hypnotisé?»

26        J’ai dit: «Certainement pas, monsieur.» J’ai dit: «Si l’hypnotisme peut redresser les yeux de quelqu’un qui louche, vous feriez mieux vous autres de commencer à pratiquer l’hypnotisme?» Vous voyez? «Ce serait mieux que toute opération que l’on peut faire, si l’hypnotisme fait cela.»

            J’ai dit: «Non, je n’ai pas hypnotisé le garçon. C’est Dieu qui a redressé ses yeux.»

            Il a dit: «Je–je sais que Dieu existe.» Il a dit: «Je sais que Dieu existe.» J’ai dit: «Là–là cette fleur de lis...» Leurs fleurs de lis là-bas, soeurs, si vous connaissez peut-être certaines d’entre elles, ils ont ces grands lis calla, qui ont dix-huit pouces [45 m] de large, de grandes fleurs jaunes et blanches, les plus belles qui soient, croissant bien sauvagement dans la jungle. Ils en avaient de grands bouquets posés partout sur l’estrade.

            J’ai dit: «Je sais qu’il y a un Dieu, une vie dans ces lis parce que le lis ne pourrait pas vivre sans vie.» Il a dit: «Mais est-Il assez réel pour effectuer une opération sur ces yeux?»

            J’ai dit: «Qui a fait les yeux pour commencer? Vous voyez? D’où sont-ils venus?» Et il a dit: «Eh bien...»

27        Et juste à ce moment-là, le Dr. Bosworth est monté et a dit: «Vous devez vous retirer, monsieur. Vous allez provoquer une émeute.» Vous voyez? Il a dit: «Son temps est précieux maintenant pendant que l’onction est sur notre frère.» Il a dit... Généralement, quand on vient aux réunions, pour plus d’efficacité, M. Baxter et M. Bosworth et les autres, les managers, ce sont eux qui prêchent; moi je viens directement à l’estrade, j’appelle la ligne de prière, et puis après qu’on a terminé, je quitte. Et... Mais maintenant, naturellement je suis tout seul ici juste avec les jeunes gens, et ainsi je suis obligé d’essayer de prêcher moi-même en bafouillant.

            Ainsi donc, quand le–le médecin... Et il a commencé à l’éloigner. Et il a dit, et l’homme a dit: «Juste un instant.» Il a dit: «Monsieur Branham, voulez-vous me dire que Dieu, le Grand Créateur, est quelque part entre ici et là?»

            J’ai dit: «Il est partout.»

            Et il a dit: «Je... Eh bien, il doit y avoir une certaine force réelle pour redresser les yeux de ce garçon.»

            Et j’ai dit: «C’était Dieu.»

            Et ils ont commencé à l’éloigner. Alors M. Baxter s’est avancé vers lui.

            Il a dit: «Juste une minute.» Il est allé au–au microphone et il a dit: «Moi aussi je vais recevoir Jésus-Christ comme mon Sauveur personnel.»

28        Et quand je quittais Johannesburg... C’est la vérité, Dieu dans le Ciel le sait. Et quand je quittais Johannesburg, il a sauté la barrière, où on l’avait mis là derrière, il est sorti de là en courant et il m’a entouré de ses bras; quand je suis sorti du milieu des gens, il y avait les gardes, on sortait pour monter à bord de l’avion de Pan American Airlines. Quand je suis sorti là, ils... Il est sorti là en courant et il m’a entouré de ses bras et a dit: «Le Seigneur m’a appelé au ministère.» Il n’avait pas... Il s’est mis à parler en langues pendant qu’il avait les bras autour de mon cou comme cela.

            Ainsi, un médecin britannique... Ainsi donc, j’ai reçu de ses nouvelles. Il y a environ deux ou trois ans, il y a environ deux ans... Ça fait environ cinq ans. Il exerce un grand ministère là-bas, aidant vraiment les malades et les affligés là en Afrique.

            Ainsi, quand les gens agitaient la main en disant: «Au revoir, revenez encore», cela vous fait vraiment du bien dans le coeur, et vous avez l’assurance et vous êtes conscient d’avoir accompli quelque chose.

            Et c’est certainement ce qu’ont ressenti ces disciples quand les gens agitaient tous la main pour dire au revoir, et disaient: «Nous vous reverrons, revenez encore chez nous, et–et prêchez-nous encore.»

            Et comme le soleil se couchait à l’horizon, et que la petite barque avançait, et chacun de ces pêcheurs, et les bateliers tiraient les grandes rames, pendant qu’ils...

29        A leur époque, les barques avaient des rames: deux rames, une de ce côté du siège, et une autre de l’autre côté. Et ils s’asseyaient tenant de grandes rames, et ils–ils faisaient avancer la barque en ramant au même rythme. Et la barque avançait sur ces eaux calmes.

            Et finalement, ils sont arrivés à une distance où ils ne pouvaient plus entendre les gens qui se tenaient sur la rive, leur disant au revoir de la main. Et ils ont dû encore ramer peut-être pendant quinze, vingt, ou trente minutes.

            Et je ne sais pas. Ça a dû être Jean le jeune. Il était le plus jeune du groupe; c’était un homme qui était à bord de la barque ce soir-là, qui doit s’être arrêté pour reprendre son souffle, parce qu’ils ramaient de toutes leurs forces. Ils devaient traverser la mer ou le petit lac ce soir-là.

            Et il s’est arrêté, peut-être, et a renvoyé ses cheveux en arrière pour dégager ses yeux et a fait: «Ouf...» Comme ils reprenaient leur souffle, il a dit: «Mes frères...» Personne n’avait dit quoi que ce soit un bon bout de temps. Il a dit: «Je... S’il y a une chose aujourd’hui, c’est que nous pouvons tous être sûrs que nous ne sommes pas en train de suivre un séducteur, comme les gens le pensent.»

30        Il a dit: «Vous savez, quand ce petit garçon s’est présenté là avec ces cinq petits pains et ces deux poissons, et qu’il les Lui a remis... Et je me suis demandé ce qu’Il allait faire avec cela. Et quand je L’ai vu briser ce pain et nous le remettre, je suis monté en contournant pour me trouver derrière Lui afin de voir d’où cela venait. Mais il a pris un petit pain, l’a juste rompu et l’a mis sur un plateau. Et avant qu’il ait ramené la main, un autre petit pain était déjà là. Et Il le rompait. Il prenait ces poissons...»

            Je me demande quelle espèce d’atome Il libérait alors, mes frères. Je me demande ce qu’Il faisait. Non seulement des poissons, mais c’étaient des poissons cuits; ce n’était pas seulement de la farine, mais de la farine cuite au four, qui était déjà du pain, que libérait-Il? Il posait cela sur ces plateaux; avec cinq petits pains et deux poissons, Il a nourri cinq mille personnes, et on a emporté des paniers pleins de morceaux qui restaient. Qu’a-t-Il fait?

            J’entends Jean le jeune dire: «Je L’ai vu accomplir beaucoup de grandes choses. J’ai toujours cru en Lui. Mais aujourd’hui la chose a été réglée. Je me rappelle quand j’étais un petit garçon juif; ma maman avait l’habitude de me prendre sur ses genoux. Et elle me disait: ‘Jean?’ Et je levais les yeux vers ses beaux et grands yeux bruns, et elle disait: ‘Jean, je voudrais te raconter des histoires de la Bible.’ Et je les aimais vraiment.»

31        Ce–c’est bien dommage qu’aujourd’hui les mères ne prennent pas leurs enfants pour leur raconter les histoires de la Bible. C’est difficile de trouver un pasteur qui fait cela, encore moins une mère. Je pense qu’il y a–il y a cinq Evangiles. Vous en connaissez seulement quatre dans la Bible. Mais c’est Matthieu, Marc, Luc, Jean, et la mère. La mère les a à sa disposition quand ils sont jeunes.

            Elle devrait commencer avec ces enfants juste là avant qu’ils sachent quoi que ce soit au sujet de Matthieu, Marc, Luc et Jean.

            Et les mères devraient consacrer plus de temps à parler de Dieu à leurs enfants et à prier pour eux; nous aurions moins de délinquance juvénile. Tout d’abord, il s’agit de la délinquance des parents avant que nous ayons la délinquance juvénile. Si les mères prenaient leur place dans la maison, avec la Bible, et priaient pour leurs enfants, et les conduisaient à Christ, au lieu de sortir pour se rendre à une soirée d’un cercle de couture et jouer aux cartes, boire et faire la bringue, fumer et... Eh bien, je n’aimerais pas aborder cela. Mais cependant... Je... Cela–c’est terrible la façon dont nous–cela se passe.

            Aujourd’hui, j’ai ri de ma pauvre petite épouse. Nous étions chez Howard Johnson pour nous procurer l’un de ces 3 d [sorte d’hamburger de fast-food–N.D.T.]. Vous savez, c’est... généralement je ne mange pas beaucoup pendant la période où se tiennent ces genres de réunions. Et nous étions là. Et là elle a vu la–une dame, qui avait appliqué ici cette manucure, vous savez, je ne sais comment s’appelle cette histoire.

32        Et il y a environ deux semaines, j’étais en Californie. Je ne savais pas que les choses étaient déjà allées à la dérive à ce point. Et je me tenais dans la cafétéria Clifton. Et je–j’attendais le frère Arganbright qui est le vice-président des Hommes d’Affaires du Plein Evangile, et je devais le rencontrer là.

            Et une jeune dame est entrée là. Je l’ai regardée, et je me suis dit: «Eh bien, cette pauvre dame.» Eh bien, ses yeux étaient ce qu’il y a de plus affreux. Je me suis dit: «Elle est malade. Je vais m’approcher et prier pour elle.» Et je–j’avais vu... J’ai vu les ophtalmies, et j’ai vu le glaucome. J’ai vu la lèpre, mais je n’avais jamais rien vu de tel. Et je me suis dit: «Elle...» Franchement, je–je dis la vérité. J’ai pensé que la fille avait quelque chose–une maladie que je n’avais jamais vue auparavant.

            Ainsi, elle... Ses yeux étaient tout verts. Et puis, à l’intérieur des yeux c’était tout bleu. Et j’ai pensé que je... «Cette enfant, comment est-elle ici dehors sur la rue comme cela.» Et je me suis dit qu’il fallait que j’aille vers elle pour lui dire: «Soeur, excusez-moi, je suis un ministre de l’Evangile. Qu’est-ce que vous avez aux yeux? Puis-je–puis-je offrir une petite prière pour vous, si le médecin ne sait que faire?» Peut-être... Et je... dès que j’ai commencé à me diriger vers elle, voilà que d’autres femmes sont venues ayant la même chose.

33        Et je me suis dit: «Je me demande si ce n’est pas là une espèce de manucure qu’ils appliquent sur les yeux,» vous savez. Et–et elles sont–ce qui fait...

            Et puis, je–j’ai demandé à quelqu’un d’autre, et la personne m’a dit: «Oui, c’est–c’est quelque chose qu’elles appliquent sur leur visage.»

            Et je... Quand je suis rentré à la maison, j’en ai parlé à ma femme. J’ai dit: «Chérie, elles–elles n’ont même pas l’apparence des êtres humains. Tu vois? On–on–on dirait que c’était quelque chose venant d’une autre planète, ou–ou sorti d’une morgue quelque part ou je ne sais quoi.» J’ai dit: «Jamais je n’ai vu quelque chose de pareil...»

34        Et aujourd’hui, nous étions là. Et une dame était assise là comme cela. Et–et Meda, mon épouse, a regardé autour d’elle, et elle a demandé: «Est-ce ça, Bill?»

            J’ai dit: «C’est cela.»

            Elle a dit: «Mon vieux, cela ne te ferait-il pas peur la nuit?»

            J’ai dit: «Ça vous donnerait... Ça vous donnerait des frissons et de la fièvre.» Certainement.

            Et elle a dit: «Eh bien, pourquoi ça?»

            Nous nous sommes posé des questions il n’y a pas longtemps. J’ai vu une chose étrange dans notre ville. Une dame avait porté une jupe. Et j’ai dit: «N’est-ce pas étrange? N’est-elle pas charmante?»

            «Oui, assurément.»

            Elle a dit: «Bill, cette, ces femmes, je connais certaines d’entre elles; elles chantent dans les chorales et ainsi de suite.»

            J’ai dit: «Assurément.»

            Elle a dit: «Eh bien, et nous?» Elle a dit: «Qu’est-ce qui fait la différence?»

35        J’ai dit: «Eh bien, chérie, ce sont juste des Américains. Vous voyez? C’est tout ce qu’ils sont. Quand vous êtes en Allemagne, les gens ont l’esprit allemand en Allemagne. Quand vous allez en Finlande, les gens ont un esprit finlandais. Quand vous allez en France, les gens ont l’esprit français. Lorsqu’on vient en Amérique, on a l’esprit américain.»

            Elle a dit: «Ne sommes-nous pas des Américains?»

            J’ai dit: «Oh! non, certainement pas. Si nous étions des Américains, nous agirions comme des Américains.» Vous voyez?

            J’ai dit: «Eux sont des Américains, c’est donc tout ce qu’ils savent. Ils adhèrent à une église quelque part, mais ils sont juste–juste des terrestres, et c’est tout ce qu’ils savent.»

            Elle... J’ai dit: «Maintenant, tu vois...»

            Elle a dit: «D’où sommes-nous?»

            J’ai dit: «D’En-haut. Alors nous agissons comme des gens de Là-haut. Tu vois? Nos femmes s’habillent comme des femmes de Là-haut. Tu vois? Elles–elles se comportent en conséquence.»

            Ils... Nous, nous sommes des chrétiens. Nous sommes nés de nouveau. Notre royaume est d’En-haut, du Ciel. Nous sommes nés de l’Esprit de Là-haut. Ainsi nous agissons comme des gens de Là-haut, où l’on mène une vie sainte, juste, honnête et droite les uns envers les autres, où chaque homme est traité correctement, et où les gens font tout ce qui est possible pour s’entraider. Pas ici sur terre dans ce genre de conglomération... Le simple fait d’être Américain ne fait pas de vous un chrétien.

36        Une fois M. Bosworth a demandé à une fille sur l’estrade, il a dit: «Etes-vous une chrétienne?»

            Celle-ci a répondu: «Je voudrais vous faire savoir que je brûle un cierge chaque nuit.» Comme si cela avait quelque chose à voir avec le christianisme. Mais c’est ce qu’il en est. Voyez?

            Oh! si nous prenions vraiment plus de temps à raconter à nos enfants des histoires de la Bible! J’imagine que je peux aller dans cette ville et prendre chaque petit garçon de cette ville, et chacun d’eux peut me dire qui était Davy Crockett. Et je parie qu’il n’y a pas–qu’il n’y a pas–qu’il n’y en a pas vingt pour cent qui puissent me dire qui était Jésus-Christ, et quand Il est né. C’est exact. Oh! certainement.

37        Vous voyez? C’est simplement–simplement l’esprit américain en train d’agir. C’est tout, voyez? Et maintenant, nous voyons, qu’aujourd’hui nous avons semé le vent et nous récoltons la tempête. C’est très exactement ce qui nous arrive.

            Eh bien, nous devrions cependant enseigner à nos enfants la voie de Christ.

            La mère du petit Jean lui avait enseigné la voie de Dieu. Et elle lui disait: «Vous savez, regardez quand cette chose s’accomplira, quand cela s’accomplira...» Un enfant bien élevé...

            «Elève l’enfant selon la voie qu’il doit suivre. Quand il sera devenu grand, il ne s’en éloignera pas.»

38        Eh bien, c’est ce que nous trouvons, concernant la manière dont cet enfant a été élevé. Elle avait correctement élevé Jean. Elle disait: «Jean ...» Et il se rappelait l’histoire. Elle disait: «Jéhovah avait pris soin de Son peuple, quand ils étaient tous d’un même accord, et qu’ils suivaient la grande Colonne de Feu.» Et elle disait: «Jean, mon fils, un jour quand Dieu a fait sortir Son peuple de la servitude, Il les a amenés au désert. Et tu sais, Jean, chaque matin ils sortaient et ramassaient du pain ayant du miel dessus: des gaufrettes au miel.»

            Et il disait: «Maman, Dieu a-t-Il tout un grand tas de fours là-haut dans le Ciel? Et a-t-Il beaucoup d’Anges qui cuisaient ces pains chaque nuit et les déversaient sur terre?»

39        «Non, chéri, disait-elle, Dieu n’a pas de fours dans les Cieux. Tu vois, Dieu est un Créateur. Et tout ce qu’Il a à faire c’est juste parler. Et Il crée des choses à partir de celles qui n’existent pas, ou à partir du néant. Tu vois? Simplement Il... Il est le Créateur.»

            Et puis, Jean a dit: «Mes frères, aujourd’hui lorsque je L’ai vu se tenir là et prendre le pain et créer du pain, j’ai compris qu’il doit y avoir des rapports entre Lui et Jéhovah. Ainsi nous sommes sûrs que cet Homme que nous suivons, quoique les églises disent qu’Il est un imposteur, qu’Il est un diseur de bonne aventure, un Béelzébul... Mais moi, je suis convaincu qu’Il est Jéhovah. En effet, Il agit comme Jéhovah. Et Il fait les choses que Jéhovah fait. Nous sommes donc sûrs que ça doit être Jéhovah.»

           

            Maintenant, aujourd’hui certaines personnes ne croient même pas cela. Certaines personnes veulent faire de Jésus juste un homme ordinaire, un homme de bien.

40        Il y a quelque temps, une femme d’une certaine église dénominationnelle, qui ne croit pas qu’Il était Dieu, m’a dit, elle a dit: «Frère Branham, j’apprécie vos prédications, mais a-t-elle dit, vous mettez trop d’accent sur Jésus en disant qu’Il est Dieu.» Elle a dit: «Il n’était pas Dieu; Il était un homme.»

            J’ai dit: «Mais Il était Dieu.»

            Elle a dit: «Oh! Il était un homme de bien, et Il était un Prophète.»

            J’ai dit: «Il était plus qu’un prophète. Il était Dieu. S’Il était quelque chose de moins que cela, nous sommes perdus.»

            Et elle a dit: «Oh! non, c’est impossible, Il–Il ne pouvait pas L’être.»

            J’ai dit: «Il L’était bien.»

            Et elle a dit: «Vous avez dit que vous étiez un fondamentaliste, et que vous ne parlez que là où la Bible parle, et ainsi de suite.»

            J’ai dit: «C’est vrai.»

            Elle a dit: «Si je vous prouve par votre Bible qu’Il n’était qu’un homme, allez-vous le croire?»

            J’ai dit: «Si c’est ce que dit la Bible, mais vous ne pouvez pas le prouver.» Vous voyez? «Mais la Bible ne dit pas cela.»

            Elle a dit: «D’accord, je vais vous le prouver.» Elle a dit: «Dans Saint Jean, chapitre 11, à la mort de Lazare, la Bible dit que lorsque Jésus s’est rendu à sa tombe, Il a pleuré.» Et elle a dit: «Vous voyez? Cela fait qu’Il n’était qu’un homme.»

            «Eh bien, ai-je dit, certainement qu’Il a pleuré.» J’ai dit: «Mais Il était plus qu’un homme.» J’ai dit: «C’était l’homme qui pleurait, mais Dieu était en Lui.»

            Et elle a dit: «Oh! non, Il ne pouvait pas pleurer et être Dieu comme vous le dites.»

41        J’ai dit: «Alors j’aimerais vous poser une question. J’admets qu’Il a pleuré lorsqu’Il s’est rendu à la tombe de Lazare, mais lorsqu’Il a redressé Ses petites épaules et qu’Il a dit: ‘Lazare, sors’, et qu’un homme qui était mort et qui était dans la tombe et qui était déjà pourri est revenu à la vie; ça, il fallait plus qu’un homme pour le faire. C’est Dieu qui a fait cela.» Absolument.

            J’ai dit: «C’est vrai, lorsqu’Il descendait de la montagne ce soir-là et qu’Il avait faim, Il a cherché du regard, ou ce jour-là lorsqu’Il avait faim, Il cherchait quelque chose à manger, sur ce figuier. Il était–Il était un homme lorsqu’Il avait faim. Mais juste ici, concernant ce dont je parlais, lorsqu’Il a pris ces cinq pains et ces deux poissons, et qu’Il les a rompus et qu’Il a nourri cinq mille personnes, ça c’était plus qu’un homme; c’était Dieu.» C’est juste. Certainement.

            Il était un homme lorsqu’Il était couché dans cette barque cette nuit-là, étant très fatigué, et que la vertu était sortie de Lui à force d’avoir guéri les malades. Il était tellement fatigué que les grandes et puissantes vagues ne L’ont même pas réveillé, alors que... Eh bien, j’imagine que cette vieille petite barque était ballottée çà et là, comme le bouchon d’une bouteille, là sur cette vaste mer. Dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer cette nuit-là. Il était un homme lorsqu’Il était couché là, fatigué. Mais lorsqu’Il s’est levé, et qu’Il a placé Son pied sur le bastingage du bateau et qu’Il a dit: «Silence!» et que les vents et les vagues Lui ont obéi, ça c’était plus qu’un homme. C’était Dieu.

42        Il a imploré miséricorde sur la croix comme un homme. C’est vrai. Mais en ce matin de Pâques lorsqu’Il a brisé les sceaux de la mort, et qu’Il a roulé la pierre qui couvrait la tombe, qu’Il est ressuscité, et qu’Il est monté au Ciel, c’était plus qu’un homme.

            Il n’est pas étonnant que le prophète ait dit ou plutôt que le poète ait dit:

            Vivant, Il m’a aimé; Mourant, Il m’a sauvé;

            Enseveli, Il a emporté mes péchés au loin;

            Ressuscitant, Il m’a justifié gratuitement pour toujours:

            Un jour Il viendra, oh! quel jour glorieux!

            Il a fait frémir les coeurs des hommes. Et tout homme ou toute femme qui soit jamais parvenu à quelque chose dans cette vie-ci (Abraham Lincoln, George Washington, qui que cela puisse être) croyait cela.

            Tous les prophètes tout au long des années... L’aveugle Fanny Crosby a chanté:

            Ne me passe pas, ô doux Sauveur,

            Ecoute mon humble cri;

            Alors que Tu appelles les autres,

            Ne me passe pas.

            Toi la Source de tout mon réconfort,

            Plus que la vie pour moi,

            Qui d’autre ai-je sur terre à part Toi?

            Ou au Ciel si ce n’est Toi?

43        Lorsqu’Eddie Perronet, lorsqu’il n’arrivait pas à vendre ses chansons, et que personne ne voulait l’écouter, un chrétien, il était à l’article de la mort. Un jour le Saint-Esprit est descendu sur lui. Il a saisi un stylo et a écrit le chant pour la cérémonie de remise des diplômes. Il a chanté, il a écrit ce cantique:

            Acclamez tous la puissance du Nom de Jésus!

            Que les anges se prosternent;

            Apportez le diadème royal,

            Et couronnez-Le Seigneur de tous.

            Oh! certainement, Il était plus qu’un homme. Il était Dieu. C’est vrai. Il n’était ni Juif ni Gentil. Il était Dieu. Cette Cellule de Sang est venue du sexe mâle, qu’était Dieu. Dieu créa cette Cellule de Sang dans le sein de la vierge Marie. Et de cette Cellule de Sang est venu le Fils de Dieu.

            Dieu a vécu là dans ce Sang pur, le sexe n’y était pas impliqué du tout comme cela. Et au travers de ce Sang, nous recevons la foi pour marcher vaillamment vers le Trône de Dieu et réclamer n’importe quelle promesse qui est dans cette Bible, parce que Dieu a fait la promesse. C’est juste. Oui.

44        Les anciens adorateurs, dans l’Ancien Testament, apportaient un agneau, ils posaient leurs mains dessus. Ils prenaient un crochet et coupaient sa petite gorge. Et l’animal gigotait, bêlait et mourait; et le Sang baignait complètement la main de l’adorateur, et il reconnaissait que cet agneau mourait à sa place.

            Mais en sortant, il repartait avec le même désir qu’il avait en entrant. En effet, la vie qui était dans cette cellule de sang de l’agneau, c’était une vie animale qui n’avait pas d’âme. Par conséquent, elle ne pouvait pas revenir sur l’adorateur. Mais maintenant, l’adorateur une fois purifié par ce Sang de Christ n’a plus la conscience ni le désir du péché.

            Lorsqu’un homme vient par la foi à cette Fontaine remplie de Sang tiré des veines d’Emmanuel, par la foi, et pose ses mains sur les pieds du Fils de Dieu et regarde là au Calvaire, et reconnaît toutes les souffrances qu’Il avait endurées, et comprend qu’Il les a endurées pour lui... Alors cette Cellule de Sang qui a été brisée au Calvaire, ce n’était pas la cellule d’un animal, ce n’était pas non plus une cellule du sang d’un homme. C’était le Sang même de Dieu et ça retourne et donne une nouvelle naissance.

45        Cet Esprit qui sort de là entre dans l’esprit humain et fait de lui un fils ou une fille de Dieu. Amen. C’est cela la nouvelle naissance. Voilà l’Evangile, si j’en sais quelque chose.

            La Cellule qui était là à l’intérieur, Dieu l’a créée Lui-même par Son propre Etre. Il est descendu comme un petit Bébé, Jéhovah, et est né dans une étable sur du fumier, et–et cela devrait être frappant pour les gens: le petit Jéhovah couché là, pleurant dans une étable. Oh! la la! Et nous, nous pensons être quelque chose; en effet... Oh! la la!

            Jéhovah jouant comme un enfant, Jéhovah travaillant comme un homme, Jéhovah mourant comme un homme, mais c’était Jéhovah lorsqu’Il est ressuscité, Il a prouvé qu’Il était Jéhovah. Certainement qu’Il L’était. Absolument. Oui.

            Jean a dit: «J’ai su que c’était Lui. J’ai vu les choses qu’Il a accomplies. Je sais que personne d’autre, excepté Jéhovah, ne peut le faire.» Il a dit: «Je suis convaincu, mes frères. Je vais donner mon témoignage.»

46        Vous savez, ils étaient en train de tenir une réunion de témoignages là sur la mer. C’est un bon endroit pour tenir une réunion de témoignages. Tout le monde... Vous savez, quand tout le monde témoigne, eh bien, d’habitude le Seigneur descend et les bénit, vous le savez.

            Ainsi, ils étaient en train de tenir une réunion de témoignages, pendant qu’ils attendaient, naviguaient en douceur. J’aurais souhaité que nous puissions en avoir une ce soir. Nous allons organiser une réunion de témoignages ici.

            Ecoutons leurs témoignages pendant quelques minutes, alors qu’ils sont en train de naviguer en douceur. Et vous, et votre petite barque, pendant que vous êtes en train de naviguer sur cette mer solennelle de la vie, témoignez, chantez, ou priez; et c’est comme jeter le pain sur l’eau, cela vous retournera un jour. Dites un petit mot en faveur de Jésus. Faites quelque chose. Témoignez, chantez, ou priez, oui, faites quelque chose pour Lui pendant que nous sommes en train de naviguer sur l’océan solennel de la vie.

            «Un frère désespéré et naufragé, en voyant cela, reprendra courage», a dit Longfellow. Oui. Pendant que nous sommes en train de naviguer sur cet océan solennel de la vie, donnons notre témoignage. Faisons quelque chose, afin que nous laissions des empreintes de pas sur le sable du temps. Des empreintes de pas que peut-être un autre... oui, un frère désespéré et naufragé, en voyant ce que nous avons fait, reprendra courage, et essayera à nouveau. Il a vu là où quelqu’un s’était épanché. Il a essayé et s’est tenu sur les promesses de Christ et est devenu un soldat de la croix. Laissons des empreintes de pas.

47        Des empreintes, ça représente la possession. Dieu a dit à Josué: «Tout lieu que foulera la plante de tes pieds, Je te le donne.» Les empreintes, ça signifiait la possession. Va de l’avant et empare-toi de la promesse; ça t’appartient. Chaque promesse dans le Livre, tout ce que Dieu a jamais promis, est à toi.

            Maintenant, ce n’est pas qu’Il va balayer la maison et dire: «Va posséder cela.» Il a dit: «Je t’ai donné la Palestine.» Mais ils devaient combattre à chaque centimètre du chemin. C’est vrai. A chaque centimètre de... Chaque fois que Dieu fait une promesse, vous combattrez à chaque centimètre du chemin. Prenez simplement l’épée de l’Esprit et la Parole, et taillez et chassez chaque démon et l’incrédulité loin de vous. Coupez les cordes qui vous lient au rivage. «Avancez en pleine eau et jetez vos filets pour pêcher.» Amen.

            Je ne suis pas en train de dire amen à moi-même. Mais amen signifie Ainsi soit-il. Et je–je–je le crois. Oui, oui.

48        Certaines personnes ont peur d’amen. Il y en a qui ont peur d’alléluia. Alléluia est un mot hébreu qui signifie Loué soit notre Dieu. Amen. Il est digne de toute louange.

            Maintenant, Jean a dit: «Je suis sûr que c’était Jéhovah.» Vous savez, et Pierre ne pouvait vraiment–vraiment pas rester assis là plus longtemps. Ainsi il–il a dû donner son témoignage.

            Eh bien, il a donc dit: «Juste sur cette même mer, mes frères, j’aimerais donner mon témoignage.» Ecoutons-les témoigner pendant quelques minutes.

            Pierre a dit: «Je vais vous dire ce qui est arrivé. Lorsque j’étais un tout petit garçon, maman et papa avaient l’habitude de se tenir là sur le rivage, là juste à l’endroit où nos barques étaient. Mon père était un–un grand homme. Il était un pharisien là dans l’église. Et–et il était un croyant très loyal. Et nous avions l’habitude de nous agenouiller là, lorsque nous n’avions pas de pain, et nous demandions à Dieu de nous accorder une prise de poissons. Jamais Il n’avait manqué de nous exaucer; nous allions attraper les poissons et nous rentrions. Papa me disait de croire en Dieu. Croire chaque Parole que Dieu a prononcée, et que chaque promesse est vraie. Ainsi j’ai toujours cru cela, mes frères.»

            Et alors, un jour papa m’a dit, lorsqu’il se faisait vieux, et que ses cheveux grisonnaient, et qu’il était tremblant, un jour il m’a donc fait asseoir à–à l’avant de la barque, après une grande prise que nous avions faite, et il a dit: ‘Simon, tu vois ce que Jéhovah nous a donné aujourd’hui? Mon garçon, n’oublie jamais Jéhovah.’»

            «Oh! a-t-il dit, je peux me rappeler le vieux témoignage de papa.»

            Beaucoup d’entre vous peuvent se souvenir de quelque chose de semblable, comment votre vieux père et votre vieille mère avaient l’habitude de vous faire asseoir là et de vous parler de Dieu et de prier avec vous. Ô Dieu, donne-nous plus de gens comme cela et nous aurons une véritable Amérique: les faire asseoir là et leur parler et leur parler des choses de Dieu.

49        Il a dit: «Un jour, pendant qu’il m’avait fait asseoir là, il a dit: ‘Simon, j’ai toujours prié afin que je voie la Venue du Messie; mais a-t-il dit, je me fais vieux maintenant. Je pense que je ne vais pas Le voir. Mes pères L’ont attendu, et nous L’avons attendu depuis longtemps, nous sommes devenus une nation et nous L’avons connu. Nous avons attendu Sa Venue. Mais je pense que je ne pourrai pas Le voir, Simon. Mais peut-être que vous, vous Le verrez dans votre génération. Simon, juste avant Sa Venue il y aura un grand amalgame de toutes sortes de choses, nous le savons.’ Mais il a dit: ‘Simon, ne te laisse pas séduire.’»

            «Eh bien, lorsque le Messie viendra, je veux que tu te souviennes de ceci: Nous les Hébreux (et Il est le Dieu des Hébreux), et nous les Hébreux, il nous a été enseigné que lorsque le Messie viendra, Il sera un Prophète. Car Moïse a dit: ‘L’Eternel votre Dieu suscitera un oint, un prophète, comme moi.’ Et, Simon, lorsqu’Il viendra donc, il se peut qu’il se lève des hommes qui accompliront de grandes choses, mais toi, souviens-toi de cette seule chose. Il se peut qu’il se lève de grands docteurs. Il se peut qu’il y ait de grands érudits. Il se peut qu’il y ait de grandes églises dénominationnelles. Il se peut qu’il y ait de grandes choses. Mais, Simon, mon garçon...»

            «Et je peux le voir, a-t-il dit, alors qu’il mettait sa main sur ma tête, et me disait: ‘Simon. Ô Dieu, ne laisse pas mon fils être séduit. Mais, Simon, souviens-toi, c’est une Ecriture qui dit qu’Il sera un Prophète. N’oublie pas cela.’»

            Je peux l’entendre dire: «Je peux tout simplement me souvenir de la façon dont mon vieux père m’a béni là.»

            Et il a dit: «Simon, tu le sauras.»

            Et il a dit: «Mes frères, un jour André est venu vers moi.»

            «Et André a dit: ‘Dis donc, tu sais quoi? Nous avons trouvé le Messie.’»

            «Oh! eh bien, allons donc!»

            «Viens donc. Tu aurais dû voir ce qu’Il a fait ce matin. Viens.»

            «Eh bien, moi je L’ai suivi. Et aussitôt que je suis arrivé dans la Présence de ce Jésus, savez-vous ce qui est arrivé? Aussitôt que je suis entré dans Sa Présence, Il m’a regardé droit en face et Il a dit: ‘Tu t’appelles Simon, et tu es le fils de Jonas.’»

            «Non seulement Il me connaissait, mais Il connaissait mon vieux père. Cela a donc réglé la question pour moi. Il était le Messie.» Et je peux Le voir juste lever les mains et louer Dieu.

50        Philippe a dit: «Tu sais, Frère Nathanaël, n’est-ce pas vrai?» Il a dit: «Oui.»

            «Simon, lorsque tu étais venu ce jour-là, ça a réglé la question pour moi aussi. Lorsque je me suis tenu là et que j’ai entendu ces Juifs-là, notre peuple dire: ‘Cet Homme est un diseur de bonne aventure. Il est Béelzébul, c’est un démon. C’est ce qu’Il est.’»

            «Quant à moi, c’était réglé. C’était le Messie. J’en étais convaincu. Eh bien, Il n’était pas nécessaire qu’Il fasse quelque chose pour moi ou qu’Il me dise quoi que ce soit. Je l’ai vu faire cela pour d’autres gens, alors j’y ai cru.»

51        «Ainsi, Nathanaël et moi, nous étions de bons amis depuis de longues années. Nous allions à l’église ensemble depuis que nous étions de petits garçons. Et j’ai fait le contour de la montagne en courant, et je l’ai trouvé sous un arbre en train de prier. Et lorsque je lui ai dit de venir voir qui j’avais trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph, tu te souviens, Nathanaël, ce que tu m’avais dit?»

            «Oui.» Voici ce que j’ai dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            «Alors dis-le donc aux frères, que t’avais-je dit?»

            «Eh bien, tu avais dit: ‘Viens, et vois.’» Eh bien, ça c’est une bonne chose.

            «Es-tu heureux que tu sois venu?»

            «Je ne t’oublierai jamais Philippe, je ne t’oublierai jamais. Lorsque je suis venu, Philippe ne cessait de me dire...»

            Il s’est mêlé à la conversation avec un témoignage disant qu’il avait devancé Philippe.

52        Et il a dit: «Philippe ne cessait de me dire que cet Homme avait dit à Simon que voici, que je savais ne pas avoir d’instruction, Il lui a dit qu’il s’appelait Simon, et Il lui a donné un autre nom, celui de Pierre, et Il lui a dit que le nom de son père était Jonas. Et moi je connaissais tous les deux, Simon et Jonas. J’achetais du poisson chez les deux. Ainsi je savais qu’il en était ainsi.»

            «Ainsi j’ai dit: ‘Je vais à la réunion, et je vais observer cet Homme et je verrai si c’est Lui le Messie. Je sais que lorsque le Messie viendra, Il sera certainement Prophète.’»

            «Ainsi donc, lorsque je me suis avancé vers Lui... Vous savez ce qui était arrivé, mes frères? Aussitôt que je suis entré dans Sa Présence, Il a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Et j’ai dit: «Rabbi (Révérend, Maître, vous savez.), quand m’as-tu donc vu?»

            Il a répondu: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

            Il a dit: «Cela a réglé la question pour moi.»

            Philippe a dit: «Eh bien, attendez un instant, mes frères. Vous souvenez-vous de cette fois-là, quand nous étions à Jéricho?»

            «Oui.»

            «Vous souvenez-vous de ce petit homme de Zachée?»

            «Oh! ont dit les frères, nous n’oublierons jamais cela.»

53        Ils étaient en train de passer de bons moments là à témoigner; il commençait à faire sombre, vous savez, peut-être que c’était tard vers cette heure-ci. Et ils–et ils disaient, oh! ils passaient des moments agréables...

            Alors il a dit: «Vous souvenez-vous lorsque nous étions là, ce petit homme de Zachée? Vous souvenez-vous lorsqu’il a témoigné là-bas au dîner ce jour-là?

            «Oui, oui, je m’en souviens.»

            «Vous souvenez-vous de Bartimée?»

            «Oui, je me souviens de lui.»

            «Eh bien, nous nous souvenons que Zachée avait une femme. Et cette dernière s’appelait Rebecca. Et c’était une aimable croyante du Seigneur Jésus. Aussi avait-elle prié pour que son mari, qui était une des colonnes principales de cette église de Rabbi Lavinski...» J’espère que personne ici ne porte ce nom-là. C’est simplement un nom fictif. Je le donne juste pour mon histoire.

54        Il est dit qu’il était la colonne principale de l’une des églises. Rabbi Lavinski lui avait donc parlé, disant: «Eh bien, attends une minute. Ne crois pas à ces absurdités. Ta femme est tout simplement un peu troublée. Ce Type-là n’est pas prophète. Nous n’avons pas eu de prophètes depuis des centaines et des centaines et des centaines d’années. Ne crois pas à cela. C’est un tas de fanatisme. C’est comme cet homme sauvage qui essayait de noyer tout le monde là au Jourdain. Il s’agit de Jean, Hérode l’a fait décapiter. Cet homme finira par...?... arrivera au bout du rouleau l’un de ces jours. Ne crois pas dans cette histoire-là.»

            «Et souvenez-vous que Zachée pensait que le rabbin avait raison; en effet, il lui avait été enseigné de croire que son rabbin avait parfaitement raison.»

            Eh bien, nous voyons que... «Vous savez, mais Rebecca nous a demandé à tous de prier pour Zachée. Et tous nous étions en prière, parce que nous savions que notre Maître allait se rendre là un jour pour tenir une réunion.»

55        «Alors nous nous sommes rendus là pour tenir la réunion ce matin-là, et Rebecca nous a dit que Zachée était très agité. Et elle avait prié pour lui toute la nuit, afin qu’il puisse voir Jésus le lendemain. En effet, elle savait qu’il y aurait des gens qui seraient pour Lui et d’autres qui seraient contre Lui.» C’est ainsi que ça se passe dans chaque réunion.

            Ainsi, elle a dû se rendre là.

            Ainsi, tôt le matin, Zachée s’est réveillé, il a fait sa toilette et a porté sa meilleure tenue. Et il est sorti...

            Elle a dit: «Zachée, où vas-tu?»

            «Je sors simplement prendre de l’air ce matin. Il me semble que j’étouffe un peu; je n’ai pas bien dormi cette nuit.»

            Elle s’est retournée et a dit: «Merci, Seigneur, merci. Tu es en train de traiter avec lui; Tu es en train de traiter avec lui.»

56        C’est ce que nous devrions faire. Vous les femmes, priez pour vos maris comme cela. Vous voyez? Ainsi... Et vous les maris, priez pour vos femmes aussi. Et maintenant, vous les enfants, priez aussi pour vos parents rétifs dans vos prières. Vous voyez?

            Ainsi donc, ils... «Il est allé dans la rue; c’est ce qu’il nous a dit. Et il s’est tenu là. Juste là à la porte, parce qu’il savait que Jésus venait de Jéricho. Alors il s’est dit que lorsqu’Il a–Il... Il descendait de Jérusalem pour se rendre à Jéricho, en descendant la montagne.»

            «Ainsi donc, lorsque nous sommes allés à la porte, c’était un tout petit homme, vous savez. Et il ne pouvait donc pas, il–il ne pouvait donc pas lever les yeux et voir par-dessus les gens. Il était un petit homme. Ainsi il a couru vers une autre rue appelée Alléluia, juste à l’endroit où la rue Gloire débouche sur l’avenue Alléluia. Et il y avait là un...» C’est là que vous trouvez toujours Jésus, au–au croisement de l’avenue Alléluia et de la rue Gloire.

57        Ainsi il a compris qu’Il devait passer par là aussi. C’est le chemin que je... N’importe qui d’entre nous Le trouve sur ce chemin-là.

            Ainsi il a baissé les yeux là, et il a dit: «Vous savez quoi? Il passera par ici. Mais vous savez que cette même foule Le suit partout où Il va.» C’est vrai; c’est vrai. Ils Le suivent partout où Il va. Et alors ils seront ici, je serai donc tout aussi petit à ce moment-là que je le suis maintenant. Il ne me sera donc pas plus avantageux de me tenir ici qu’à la porte où je me tenais.»

            En effet, les gens étaient suspendus là aux clôtures, et partout au-dessus du mur, attendant Jésus.

            «Ainsi vous savez quoi? Je pense qu’il me faudra grimper sur cet arbre-ci et alors je pourrai Le voir.»

58        Ainsi il va là et prend une poubelle qu’il transporte et pose à terre, il s’efforce de grimper sur l’arbre, vous savez, et il monte là. Et il trouve un endroit où deux branches se croisent; ainsi il peut en faire un bon siège, et s’y installe. C’est un bon endroit où s’asseoir pour réfléchir, frère. Là où deux chemins se croisent, le vôtre et celui de Dieu. Réfléchissez-y, étant assis là sur cette branche.

            Et il a dit... Et Il s’est assis là. Et il a commencé à se dire: «Maintenant, comment saurai-je quand Il va venir? Lorsqu’Il passera, Il va prendre ce tournant, depuis la rue Gloire par là, en descendant l’avenue Alléluia. Et lorsqu’Il prendra le virage par ici j’aurai une belle vue de Lui, parce qu’Il sera au milieu de la rue lorsqu’Il passera. Et certaines personnes continuent à éloigner les gens de Lui. J’aurai une belle vue de Lui. Tu sais, Rebecca m’a dit que c’était–que cet Homme est un prophète, et qu’Il pourrait vraiment... qu’Il est réellement le Messie. Eh bien, s’Il est un prophète, c’est qu’Il est le Messie. Mais Lavinski m’a dit qu’Il n’était pas un prophète, qu’Il n’est qu’un imposteur. Ce n’est qu’un soi-disant prophète.

59        «Et puis, ce matin aussi, un sacrificateur est venu de là, de Jéricho, et il est le président de l’association des ministres. Il est descendu ici pour voir s’il ne va pas y avoir un service de guérison ici; ainsi, il a chassé ce vieil homme aveugle du portail là-bas, qui est en train de mendier, le vieux Bartimée. Tu vois? Ainsi il est ici pour veiller à ce que ces gens ne tiennent aucun service de guérison par ici parmi les gens. Ainsi je pense que ce n’est qu’un tas de fanatisme, de toute façon. Je vais donc m’asseoir ici.»

            «Maintenant, attends un instant, et s’Il tournait ce coin-là, et qu’Il me voie assis ici dans cet arbre? Je suis très haut. Mais tu sais, si je tire quelques-unes de ces grandes feuilles comme ceci, et que je me camoufle plutôt, Il ne me verra point. Et je Le verrai lorsqu’Il passera. Ensuite je vais retourner et je dirai à Rebecca tout à Son sujet. Je lui dirai qu’il ne vaut rien cet Homme. Je sais; je ne vais pas croire en Lui. Non, non. Ainsi Il ne va pas me voir. Et comme je me suis assis ici haut, avec toute cette saleté sur moi de toute façon, de cette poubelle...?...»

60        Vous savez, lorsque vous êtes... Lorsque vous avez le désir de rencontrer Jésus, Il vous fera faire certaines des choses les plus insolites. Il va–Il va vraiment ruiner tout votre prestige. Vous pensez que vous n’allez pas hurler, crier et pleurnicher. Mais vous le ferez si vous voulez Le voir. Vous allez–vous allez vraiment faire n’importe quoi pour Le voir.

            Ainsi le voilà qui était assis là. Il a dit: «Et si mes concurrents passaient par ici et qu’ils me voyaient assis ici dans l’arbre? Je vais donc me camoufler très bien de sorte que personne ne me voie.» Ainsi il a tiré toutes les feuilles tout autour de lui là et il a placé les branches autour de lui de sorte que personne ne puisse le voir. Et il a laissé une seule petite feuille qui lui servirait d’ouverture, oh! peut-être quelque chose comme ceci. Et il a laissé cela par ici. Et il pouvait abaisser cela et jeter un coup d’oeil pour voir lorsqu’Il viendrait, et ensuite relever cela.

61        Il s’est dit: «Je–je vais Le voir, alors je saurai, lorsque je Le regarderai, je saurai s’Il est un imposteur. Il ne vaut pas plus que n’importe quel autre homme. C’est tout. Et je dirai à Rebecca à mon retour: ‘Tiens-toi éloignée d’un tel imposteur.’ C’est tout.»

            Quelque temps après, on a commencé à entendre un bruit. Chose étrange, partout où Jésus se trouve il y a beaucoup de bruit. Je ne sais pas pourquoi c’est ainsi. Mais c’est–c’est un signe qu’il y a la Vie là-bas.

            Vous savez, lorsque le sacrificateur entrait dans le haut–dans le lieu saint, il avait une grenade et une clochette. Il devait faire entendre un bruit de sorte que le peuple puisse comprendre qu’il était toujours en vie. Je pense que certaines de ces églises ont besoin d’être enterrées...?... Et elles sont mortes depuis longtemps. Vous n’entendez plus de bruit du tout. C’est comme une morgue au lieu d’une–d’un lieu plein de vie, un lieu en feu pour Dieu.

            Alors, il s’est dit: «Je vais m’asseoir en retrait ici maintenant, et je vais L’observer.»

            Et juste à ce moment-là, il a entendu un bruit venir. Il a regardé au coin. Il a dit: «Oui, oui, Il est en train de venir.»

62        Il a vu ce pêcheur costaud qui marchait là en repoussant les gens d’un côté. «Mes amis, je suis désolé. Notre–notre–notre Frère est très très... Notre–notre Seigneur est très très fatigué. Toute la nuit Il était dehors. Il est en route ici pour voir certains de Ses amis. Je regrette, nous n’avons vraiment pas de temps.» Très gentil...

            Et les apôtres suivaient en disant: «Je regrette, nous sommes obligés de faire ça», vraiment comme des gentlemen.

            Et–et ainsi, je pense que Zachée a certainement dit, il leur a dit: «Vous savez, c’est un peu étrange, mais ces hommes sont des gentlemen.» Vous savez, tout homme qui sert le Seigneur Jésus est un gentleman (Voyez-vous?), ainsi donc, en ce qui concerne la courtoisie.

            Ainsi donc, quelque temps après, voilà qu’Il est apparu au coin. Il a dit: «Vous savez quoi? Ce type a l’air différent. Vraiment je–je–je... Il...» Vous savez, personne ne peut jamais regarder Jésus et rester le même. Vous deviendrez soit un pire critiqueur, soit un meilleur homme. C’est tout. Vous voyez?

            Ainsi il a dit... Il L’observait, il avait cette feuille, il a dit: «Maintenant, Il ne va pas me voir. Il ne va pas me voir. Eh bien, Rebecca a dit qu’Il est un prophète, Il ne me verra pas du tout.»

63        Et il L’a simplement observé jusqu’à ce qu’il est arrivé juste là en dessous de l’arbre comme cela. Jésus venait, la tête baissée, marchant comme Il le faisait d’habitude avec Sa démarche ordinaire. Il a marché jusqu’en dessous de l’arbre, et Il a levé les yeux et a dit: «Zachée. Descends. Je vais chez toi avec toi pour prendre le dîner.»

            «Vous souvenez-vous de ce que Zachée a dit? Cela a ôté de lui toute la raideur. Oui, oui. En effet, il a reconnu qu’Il était un Prophète.»

            «Et vous vous souvenez?» Philippe a dit: «Vous vous souvenez, mes frères, lorsque nous avons franchi le portail, et nous, cet autre témoignage que nous avons eu à l’extérieur du portail? Là, vous savez, ils ont entendu un bruit venir, lorsque Bartimée était en train de nous témoigner. Il a dit qu’il était assis là, se remémorant de vieilles histoires de la Bible que sa mère lui racontait lorsqu’il était un petit garçon, juste comme Jean était en train de témoigner, disant que sa mère lui racontait combien Jéhovah était grand, et que juste sur cette même route, sur ces pavés où il était assis, Elisée et Elie avaient marché bras dessus bras dessous, descendant juste cette route alors qu’ils descendaient pour traverser le Jourdain.» Amen!

            «Oh! si j’avais vécu en ce temps-là, j’aurais couru vers eux et aurais dit: ‘Ô prophètes de Dieu, ayez pitié de moi et priez pour moi’, et le Seigneur m’aurait ouvert les yeux. Mais hélas, le rabbin me dit, le sacrificateur, que le temps des miracles est passé.»

64        «Et je me souviens donc que Josué a traversé le fleuve, a dit–a dit Bartimée, il a traversé le fleuve à moins de cinq cents yards [472 m] de l’endroit où je suis assis», et le Grand Josué, Dieu, a fait reculer les eaux au mois d’avril, alors qu’elles s’étendaient sur près d’un mile [1,6 km] par ici dans la vallée, et Il a fait reculer les eaux, et le fleuve s’est arrêté. Et les eaux se sont tenues là, là-bas dans–dans les montagnes. Et les eaux enneigées sont restées immobiles pendant que deux millions et demi d’Israélites traversaient le fleuve à pieds et ils ont établi leur camp.» Oh! la la!

            «Si seulement j’étais assis ici à ce moment-là. Et je suis assis sur ces pierres, juste ici ce matin, a-t-il dit, qui s’étaient écroulées lorsque Josué–les enfants d’Israël ont sonné la trompette et que Dieu a fait écrouler les murs; et Rahab, la maison de la prostituée est restée en place parce qu’elle avait cru.»

            «Et alors Josué, un jour, lorsqu’il était sorti avec ces grands hommes, marchant là-bas, en train de regarder dans les champs, en regardant cette grande scène reflétant la situation, il a vu un Homme debout, tenant Son épée nue. Et Josué a tiré son épée; il est allé à Sa rencontre et a dit: ‘Es-Tu des nôtres ou de nos ennemis?’»

            L’homme a répondu: «Je suis le Chef de l’armée de l’Eternel.»

            Josué a retiré son casque, il a jeté par terre son bouclier, et il a laissé tomber son épée, et il est tombé à genoux.

65        «Oh! s’est dit l’aveugle Bartimée, si seulement j’avais été là à ce moment-là! J’aurais couru là vers ce grand Capitaine en Chef et aurais dit: ‘Capitaine en Chef de l’armée de l’Eternel, aie pitié de moi, un aveugle.’ J’aurais recouvré ma vue.»

            Il ne savait pas qu’à cent yards [91 m] de lui, ce même Capitaine venait, se dirigeant vers le portail. Oh! si cette église pouvait se rendre compte ce soir que ce même Capitaine a dit: «Je ne te quitterai jamais ni ne t’abandonnerai. Je serai avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde. Et les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez (l’Eglise élue)... Vous Me verrez, car Je serai avec vous. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, jusqu’à la fin de la consommation du monde», l’ordre du monde.

            Maintenant, remarquez, et il a dit: «Vous souvenez-vous du témoignage du vieil aveugle Bartimée? Lorsque Jésus est passé, il a dit que tout le monde était en train de pousser des cris et d’autres braillaient: ‘Ôtez cet imposteur.’ Et ils jetaient sur Lui des oeufs pourris et des tomates blettes. Eh bien, il a dit qu’il a entendu ce sacrificateur dire: ‘He! Toi qui as ressuscité les morts, on raconte que Tu as ressuscité cet homme mort qui s’appelait Lazare. Nous avons ici tout un cimetière rempli de morts. Viens en ressusciter quelques-uns, et nous croirons en Toi.’»

66        Voyez, c’est le même vieux démon. C’est le même qui est venu vers Lui et qui a dit: «Si Tu es le Fils de Dieu, fais quelque chose ici devant moi. Est-ce que Tu as... Il y a certaines églises qui veulent savoir cela.»

            «Nous avons un aveugle qui est assis là au coin, va lui rendre la vue, toi le guérisseur divin.»

            «J’ai un vieux frère appelé Untel qui vend des stylos par ici, viens le guérir.»

            Souvenez-vous simplement que c’est le même vieux démon qui a dit: «Si Tu es le Fils de Dieu, ordonne à ces pierres de devenir du pain.»

            Un jour, ils ont mis un vieux bandeau autour de Sa tête comme cela et ils l’ont enroulé autour de Lui, et ayant pris un bâton, ils L’ont frappé au sommet de la tête dans la cour de Pilate, et ils ont dit: «Si Tu es un prophète et si Tu peux connaître les secrets des coeurs... Si Tu es le Messie et si Tu es un prophète, dis-nous qui T’a frappé.» Il n’a pas ouvert Sa bouche et n’a prononcé aucune parole. Il ne fait pas le clown pour les gens. Dieu ne fait pas le clown pour les gens. Il disait seulement: «Je ne fais rien si le Père ne Me le montre. Et ce que Je vois faire au Père, Moi aussi Je le fais.» Saint Jean 5.19.

67        «Et vous vous souvenez, Bartimée nous a dit, a dit Philippe [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... que nous avons entendu Zachée témoigner au dîner il y a quelques instants. Et ce qu’Il lui a dit, et Il savait qu’il était dans l’arbre au-dessus de Lui, et Il savait que son nom c’est Zachée, et Il l’a appelé et lui a demandé de descendre de l’arbre, et Il est allé chez lui pour le dîner. Zachée est vraiment en train d’enflammer la ville avec ça.»

            «Ne connais-tu pas les Ecritures, monsieur? Oh! je me souviens que lorsque j’étais un petit garçon, ma mère avait l’habitude de me lire le rouleau.»

            «Mais qui est cet Homme-ci dont tu parles? Jésus qui?»

            «Jésus de Nazareth. C’est un Prophète galiléen, comme on L’appelle. Mais en réalité, c’est Lui le Messie, Il manifeste le signe du Messie; c’est Lui le Prophète. Eh bien, vous savez que le–le Messie sera un Prophète.»

            «Certainement. Eh bien, comment L’as-tu connu?»

            «Je suis Son serviteur.»

68        Vous savez tous que les serviteurs de Jésus, Ses servantes sont gentilles et Ses serviteurs sont gentils, ils prennent en considération les malades et les affligés. Lorsqu’une réunion doit se tenir dans la ville, ils appellent tout le monde et essaient de les convaincre de venir. Ils... Vous savez, ils–ils essaient de faire quelque chose. Ils aiment les gens, les véritables disciples de Jésus. Vous croyez cela, n’est-ce pas? J’espère que ceci est en train de pénétrer profondément.

            Ainsi donc premièrement, vous savez, il lui a dit, il a dit: «Eh bien, assurément, oui, je–je–je–je suis Son disciple et ainsi, soeur Rebecca et moi étions en train de prier pour que–pour que Zachée... Connaissez-vous Zachée?»

            «Oh! oui, il me donnait des pièces de monnaie auparavant. Eh bien, cela... Où est-il?»

            «Oh! au moment où je te parle, Il vient de passer et Il descend la route.»

            Il va là, faisant: «Oh! oh!» Il a jeté par terre son manteau et il a crié: «Ô Jésus, Fils de David, aie pitié de moi. Aie pitié de moi.»

            Certaines personnes disaient: «Tais-toi, assieds-toi; cesse de faire tant de bruit.» Vous voyez?

            «Ô Jésus, Fils de David, aie pitié de moi.»

69        Maintenant, humainement parlant, Il n’était pas possible qu’Il l’entende. Il... Si vous voyez l’endroit où étaient ces portails, là où il était assis, et là où se tenait Jésus lorsque le miracle a eu lieu, ça fait environ trois cent cinquante yards [320 m]. Vous voyez? Et avec toute cette foule qui suivait par là et qui criait: «Salut, salut, Roi des Juifs.» Ou certaines paroles injurieuses; d’autres criaient: «Hosanna, au Prophète.» Et les gens disaient toutes sortes de choses. Il n’a point entendu cela.

            Mais il a dit, je peux juste m’imaginer voir Bartimée tomber à genoux et dire: «Ô Jéhovah, j’étais en train de penser à Toi.»

            C’est à ce moment-là qu’Il vient, lorsque vous pensez à Lui. Cessez de penser aux choses du monde, qui sera la prochaine vedette du cinéma, ou même le prochain président; pensez plutôt à Christ qui vient. Alors vous allez...?...

            «Oh! oh! Jésus, Fils de David, Seigneur Dieu Jéhovah, si c’est Ton Fils, si c’est Lui le Fils de David, si c’est Lui le prophète, eh bien, tu peux Lui parler.»

            «Oh! aie pitié de moi, aie pitié.»

            Et Jésus, portant les péchés du monde sur Ses épaules, Il montait droit à Jérusalem pour y être crucifié.

70        Ô Dieu, le péché de tout homme et de toute femme qui aient jamais vécu ou qui vivraient jamais, reposait sur Lui. Le fardeau de ceux qui devaient être sauvés, le fardeau de la réunion de ce soir était sur Ses épaules. Mais la foi d’un mendiant aveugle L’a arrêté. La Bible dit qu’Il s’est arrêté. J’aurais souhaité avoir juste quelques semaines pour m’attarder ici. J’aimerais prêcher sur: «Et puis Il s’arrêta.»

            Jésus s’arrêta net. La seule foi d’un mendiant L’a arrêté, et Il s’est arrêté. Qu’est-ce qui a fait cela? Sa foi L’avait touché, juste comme c’était le cas pour cette femme qui avait touché Son vêtement.

            «Qui M’a touché?»

            Et Il s’est retourné et a dit: «Amenez-le ici.»

            «Que veux-tu que Je fasse pour toi?»

            Sa foi L’avait touché. Juste comme vous, vous Le touchez ici ce soir (Vous voyez?), c’est la même chose.

            «Et vous vous souvenez, mes frères, ce qui est arrivé? Il a recouvré la vue. Maintenant, est-ce que vous vous souvenez de cela?»

            «Oui, frères», ont dit les frères à Philippe. «Je m’en souviens.»

71        Ça a dû être André qui a dit: «Vous vous souvenez ce jour-là, lorsque nous sommes tous arrivés au puits, lorsque nous sommes arrivés en Samarie pour nous procurer quelque chose à manger? Nous sommes arrivés au puits, et nous avons vu cette femme de la Samarie. Nous savons qu’Il n’avait jamais fait cela auparavant, à un Gentil. Il a dit que ce serait pour un autre âge. Il le ferait Lui-même dans un autre âge chez les Gentils.» Mais ils n’ont pas cru en Lui.

            Il ne vient qu’à ceux qui... et Il ne se montre qu’à ceux qui L’attendent. C’est tout. C’est juste. C’est seulement à ce moment-là qu’Il se révèle, qu’Il se révèle.

            Eh bien, observez, alors que nous terminons juste dans quelques instants.

            André a dit: «Nous sommes tous partis à la dérobée pour nous procurer des vivres, et lorsque nous sommes revenus, vous vous souvenez que nous avons observé cette femme venir là au puits sans se presser. Et nous savions qu’elle était marquée comme une femme de mauvaise renommée?»

            «Oui, je me souviens de cela.» Eux tous.

            «Et nous nous sommes furtivement glissés là derrière cet endroit-là, et nous avons écouté ce qui se disait. Et après qu’Il lui a parlé un petit peu, Il lui a dit: ‘Va chercher ton mari.’»

72        «Et elle a dit: ‘Je n’ai point de mari.» Vous vous rappelez comment nos coeurs ont défailli? Et nous nous sommes dit: ‘Oh! la la! pour une fois Il a tapé à côté. Cette femme nie cela.’»

            Oh! certainement, elle peut nier la chose. Sara a aussi nié cela. Elle a dit: «Je n’ai point dit cela.»

            Mais l’Ange a dit: «Si, tu l’as bel et bien dit.» Et j’aimerais vous donner une petite idée de la grâce ici. Dieu l’aurait tuée sur-le-champ. Mais Il ne pouvait pas le faire, elle était une partie d’Abraham.

            Et à cause de nos péchés, nous serions tués par Dieu, si nous n’étions pas une partie de Christ. Voyez, cela–cela empêche la chose. Vous voyez? Nous sommes la–l’Epouse. Cela empêche la chose. Vous voyez? Nous sommes la–l’Epouse. Cela empêche la chose. Oui, oui.

            C’est ce que Balaam avait manqué de voir là-bas, comme nous en parlions l’autre soir. Vous voyez?

73        «Oui, oui, nous nous souvenons de cela.»

            «Mais Il s’est retourné et Il a dit: ‘Tu as dit vrai. Tu as eu cinq maris, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.’ Il n’a pas... Et elle est entrée en courant dans la ville... Vous vous souvenez de ce qu’elle a dit à ce sujet, ce qu’elle a dit à Jésus?»

            «Elle a dit: ‘Monsieur, je vois que Tu es Prophète.’»

            Maintenant, il y a vraiment une différence entre le témoignage de cette femme et ce que ces pharisiens venaient de dire à ce sujet, ces derniers avaient dit que Jésus était un démon.

            «Et Il leur avait dit que traiter l’oeuvre de Dieu de démon, cela les séparerait de–de Dieu.» Vous voyez? Et Jésus a donc dit: «Bien, une seule parole contre Cela ne serait jamais pardonnée.»

            Eh bien, il a dit: «Avez-vous remarqué, elle est entrée dans la ville en courant et elle a dit: ‘Venez voir un Homme qui m’a dit les choses que j’ai faites. Ne serait-ce pas le Messie?’ Et alors, nous étions tous convaincus et nous avons reconnu qu’Il était bel et bien le Messie.»

74        Lorsqu’ils étaient en train de témoigner... N’auriez-vous pas aimé être assis dans ce bateau en train d’écouter les disciples? Oh! la la! Toutefois, nous pouvons aussi les écouter (Vous voyez?), nous venons de suivre leur témoignage. Ce que–ce qu’ils disaient. Ainsi cette réunion de témoignages se poursuivait, et tous... Ce jour-là ils avaient eu un temps glorieux, vous savez, une grande réunion. Il était en train de prendre...

            Vous savez quoi? Satan doit avoir épié par-dessus les régions de l’enfer et il les a vus là sur l’eau en train de tenir une réunion de témoignages sans Jésus. Et après qu’ils ont... Vous savez, ils étaient partis sans Lui.

            Et ils... Satan s’est dit: «Voilà l’occasion pour moi. Ils sont partis sans Lui.» C’est juste. Et c’est la même chose qui est arrivée de nos jours. Satan a vu l’église être prise d’une folie de constructions, et cela dans une course effrénée de grandes activités modernes, et elle a laissé Jésus. C’est juste.

75        Tout ce à quoi nous pensons c’est combien nous pouvons faire entrer dans notre organisation, combien nous pouvons construire une église plus grande que celle des autres. Cela n’a rien à voir avec la chose. Ce qu’il nous faut, c’est retourner à la Bible.

            Regardez comment sont nos fidèles. Les choses sont telles que l’église est faible, que la foi est faible, et que les gens sont vraiment... On ne peut pas les différencier. Et leur témoignage laisse à désirer. Et–et ils restent à la maison le mercredi soir pour regarder une certaine émission à la télévision au lieu d’aller à l’église. Et–et ils débitent des plaisanteries, et aussi, beaucoup d’entre eux ont commencé à faire des choses qui ne sont pas correctes.

76        Et les femmes ont commencé à s’habiller comme le monde, et elles se coupent les cheveux, elles appliquent du fard, des trucs et–et que sais-je encore, et les hommes fument la cigarette, le cigare, et des choses semblables. Ils vivent dans l’église, ils prennent un petit verre en société avec leur patron, ils ont un petit divertissement décent–ils sortent avec la femme du voisin, et toutes sortes de choses semblables; ils flirtent avec des filles dans la rue; ils tournent leur cou pour regarder les femmes qui sont à moitié vêtues. Certainement. C’est juste. Je sais que cela blesse, mais c’est la vérité, frère.

            La Parole de Dieu circoncit; ça coupe le surplus de la chair. C’est tout à fait exact.

            Ils se livrent simplement à un petit divertissement américain décent: cela ne marche pas avec le Royaume de Dieu; cela n’a pas de rapport avec le Royaume de Dieu, pas du tout. Béni soit le Nom du Seigneur. Nous devrions nous conduire comme des serviteurs de Dieu. Nous devrions...

77        Il y a quelque temps, lorsqu’on pratiquait l’esclavage ici dans le Sud, on prenait les esclaves et on les vendait au marché, juste comme on vendrait un cheval ou autre chose. Jamais cela n’était correct.

            Dieu–Dieu a fait l’homme, l’homme a fait des esclaves.

            Et alors lorsqu’ils faisaient cela, ils passaient et ils établissaient un acte de vente des êtres humains, et ils les amenaient pour les vendre et ils les vendaient...?...

            Un jour, un courtier est passé pour acheter des esclaves; il a demandé: «Combien d’esclaves avez-vous?»

            Il a dit: «Environ cent qui sont là-bas.»

            Il est allé pour les voir. Ils étaient tristes. Ils étaient venus... Les Boers les avaient amenés d’Afrique et les avaient mis ici aux environs du Cuba. Et puis ils les ont amenés là et les ont revendus aux Américains ici comme esclaves.

            Et ils ne rentreraient donc plus jamais chez eux. Ils allaient mourir ici. Ils étaient loin de papa, ils étaient loin de maman, loin des enfants, séparés. C’était horrible. Et ils ne voulaient pas travailler. Il fallait qu’on les fouette pour les faire travailler, parce qu’ils étaient si tristes.

78        Mais ce courtier a remarqué un jeune homme. Frère, on n’avait pas besoin de le fouetter. Il était plein d’allant, plein d’allant et à la tâche, la poitrine bombée et la tête relevée.

            Cet acheteur a dit, le courtier a dit: «Dis donc, j’aimerais acheter cet esclave-là.»

            Mais le propriétaire a dit: «Il n’est pas à vendre.»

            Il a dit: «Eh bien, pourquoi n’est-il pas à vendre?»

            Il a dit: «Parce que je ne le vends pas.»

            Il a dit: «Est-ce–est-ce qu’il est le chef de tous les autres?»

            Il a dit: «Non, c’est un simple esclave.»

            Il a dit: «Je parie que vous le nourrissez différemment des autres.»

            Il a dit: «Non, monsieur. Il mange à la cantine avec les autres. C’est un simple esclave.»

            Il a demandé: «Eh bien, qu’est-ce qui fait qu’il soit si différent des autres?»

79        Le propriétaire a répondu: «Pendant longtemps je me suis posé aussi cette question. Mais un jour, j’ai fini par découvrir que son père, là chez eux, dans leur patrie, est le roi de la tribu. Et bien qu’il soit étranger, loin de chez lui, il est toujours conscient qu’il est le fils du roi, et il se comporte en conséquence.»

            Si cela a fait qu’un nègre, de savoir que son père est roi en Afrique, puisse se comporter parmi son peuple comme fils du roi, qu’est-ce que cela devrait faire à vous et à moi qui sommes nés de nouveau de l’Esprit de Dieu? Quel genre de vie devrions-nous mener? De quelle manière devrions-nous nous comporter? Non pas comme des faiblards et des gens qui se rétractent et qui sont ballottés par toutes sortes de choses, qui croient à moitié et qui font les choses du monde et s’y plongent au galop. Dressons la tête vers le Calvaire et croyons toute Parole que Dieu a prononcée ainsi que chaque promesse, et comportons-nous comme des hommes et des femmes de Dieu. Ne vous habillez pas comme ces Jézabel et–et n’agissez pas comme elles par ici. C’est juste. Ne le faites pas. C’est pitoyable.

80        Il n’y a qu’une femme qui s’était maquillée pour aller à la rencontre de Dieu, pour... Ce n’était point pour rencontrer Dieu... Dans la Bible, il y a une seule femme qui a utilisé le maquillage, et c’était Jézabel. Dieu l’a donnée en pâture aux chiens. Ainsi, vous voyez, elle est simplement de la viande pour chiens pour commencer. Ainsi c’est cela–c’est cela aux yeux de Dieu; ainsi, frère, souvenez-vous simplement que...

            Oh! vous les femmes, vous les hommes, redressez-vous. Vous les hommes, comment pouvez-vous supporter cela? Comment pouvez-vous permettre à votre femme de fumer la cigarette, et de sortir dans la rue, et d’agir comme cela? Qu’est-ce qui vous prend? Vous êtes sorti de la ligne. Et l’église... Vous les pentecôtistes, qu’est-ce qui vous prend? Qu’y a-t-il? Vous vous êtes lancés dans un grand mouvement de constructions ou d’organisations, et vous avez abandonné Jésus et vous L’avez éliminé de la scène.

81        Au lieu de prendre ce vieux prédicateur à l’ancienne mode qui vous prêche la vérité, vous vous êtes procuré un petit efféminé qui est venu en–sorti d’une école, probablement un petit-fils de Dieu qui pense plus à un bon de repas qu’à la Bible, et qui ne veut pas dire la vérité à ce sujet. Ce qu’il nous faut, ce sont des hommes qui prêcheront l’Evangile et qui Le manipuleront avec les puissances de Dieu, qui diront la vérité, peu importe si l’organisation les met dehors. Qu’est-ce que cela change? Oui, oui. Nous avons besoin des hommes de Dieu oints du Saint-Esprit, qui prêcheront l’Evangile sans tenir compte de ce que l’organisation ou la dénomination dira à ce sujet. De toute façon, ça ne change rien, nous sommes pour Dieu. Amen!

            Oh! la la! je me sens religieux. Oui, oui. Oui, vous pouvez penser que je suis fou. Peut-être que je le suis. Mais laissez-moi tranquille; je me sens mieux dans cet état que dans l’autre. Laissez-moi donc comme ceci. Je–je me sens bien comme ça. C’est merveilleux. En effet, vous êtes libre. Rien ne vous lie. Vous n’êtes lié que par les liens de l’amour.

82        Ne laissez personne vous dire que vous êtes libre dans cette nation. Vous ne l’êtes pas. Vous n’êtes pas libre. Soit vous êtes esclave de Christ et de Son amour, soit vous êtes esclave du diable... Vous êtes esclave du diable et de ses affaires. Vous êtes esclave de quelque chose. Moi je suis heureux d’être esclave de Christ. Amen. Crucifié aux choses du monde; cependant je vis, non pas moi, mais c’est Christ qui vit en moi. Amen et amen et amen!

            Oh! la la! si seulement les gens pouvaient voir cela. Si seulement ils pouvaient ouvrir leurs coeurs pour voir qu’il faut retourner à la Bible, à Christ, à la croix, à l’Evangile! Oui. C’est ce dont il est question. Oh! béni soit le Nom du Seigneur!

            Le diable a vu l’église s’emballer dans une grande effervescence. «Nous sommes les Assemblées. Nous sommes l’Eglise de Dieu. Nous sommes les unitaires. Nous sommes les binitaires», et toutes ces autres choses. Pourquoi n’êtes-vous pas restés tels que vous étiez? Pourquoi n’êtes-vous pas restés tels que Dieu avait prévu que vous soyez?

83        La plus grande erreur qu’Israël ait jamais commise, alors que la grâce avait déjà pourvu pour eux à un prophète, qu’elle avait pourvu à un agneau, et leur avait donné le plus grand réveil qu’ils eussent jamais connu, qu’ils s’étaient tenus sur le rivage de–de la mer morte, dansant dans l’Esprit, chantant dans l’Esprit, ayant un jubilée, dans Exode 19, ils n’ont pas voulu de cela. Ils voulaient d’une théologie au sujet de laquelle ils pouvaient discuter. C’est vrai. C’est exact. Et qu’est-ce? Ils n’étaient qu’à environ quatre jours de la Terre promise. C’est la même erreur que nos pères de la Pentecôte ont commise il n’y a pas longtemps...

            Ils ne se sont pas... On aurait pu leur dire qu’ils étaient à quarante ans de la Terre promise. Il leur fallait aller chercher quelque chose au sujet duquel ils pouvaient discuter. C’est ce qu’ont fait nos... Qu’est-ce que Dieu a fait d’eux? Il les a laissés dans le désert pendant quarante ans. Qu’ont-ils fait? Ils ont planté des champs, ils ont élevé des enfants, et Dieu les a bénis. C’est vrai. Et ils étaient un grand peuple.

            Mais un jour Dieu a dit: «Vous êtes restés sur cette montagne assez longtemps. Levons-nous et tournons-nous vers le nord et emparons-nous de la promesse.» C’est juste. Après que tous les vieux batailleurs étaient morts, Dieu a attendu que les vieux batailleurs meurent... C’est vrai.

84        Eh bien, c’est la même chose qui est arrivée à nos frères pentecôtistes. Au lieu de rester simplement... Vous direz: «Eh bien, ils ont offert la nouvelle issue.» Qu’est-ce que–qu’est-ce que la nouvelle issue? Qu’en est-il de cela de toute façon? Vous n’aviez pas à vous organiser. Et avec les nouvelles issues, on n’avait pas à s’organiser pour cela, et constituer un petit groupe et séparer les frères, et se disputer, et faire des histoires les uns aux autres.

            Si cela n’est pas de Dieu, ça n’aboutira à rien de toute façon. Et si cela est de Dieu, qui va arrêter cela? Eh bien, si c’est... Vous voyez? Qu’est-ce? «Toute plante que mon Père céleste n’a pas plantée sera déracinée.» Est-ce que vous ne–ne pouvez-vous pas accepter Sa Parole à la lettre? Mais il nous faut créer environ trente-cinq différentes organisations pour...

            «Jésus viendra sur une nuée blanche.»

            «Non, Dieu soit béni, Il viendra sur un cheval blanc.»

85        Qu’est-ce que cela change de toute façon, aussi longtemps qu’Il vient? C’est la chose principale. Vous voyez? Mais qu’avons-nous fait? Nous sommes restés dans la même vieille ornière: recevoir le baptême du Saint-Esprit, le parler en langues, recevoir le Saint-Esprit, le parler en langues, recevoir le Saint-Esprit, la même vieille montagne pendant quarante ans, la même vieille routine.

            Mais il est temps de nous lever. Tournons-nous vers le nord. Jésus vient. Allons nous emparer de chaque promesse. Alléluia. Chaque promesse... Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Il a bel et bien parlé en langues. C’est juste. Il a fait aussi d’autres choses. Allons nous emparer de la promesse.

86        Mais, vous voyez, Satan a vu l’église s’en aller sans Jésus. Et ainsi, c’est ce qu’il les a vus faire. Ainsi il a pris son souffle empoisonné et il a commencé à souffler: «Whoosh!», il a dit: ‘Eh bien, je vais me débarrasser d’eux. Je les ai eus dans ces programmes de construction et autres, et je vais les noyer juste là. Ils deviendront formalistes, chacun aura une télévision dans sa maison. Et le frère restera à la maison le mercredi soir. Même s’il ne va pas aux spectacles... Ces anciens avaient l’habitude de dire: ‘Restez loin des spectacles’, mais moi je vais leur amener ça en plein dans leur maison.» Vous voyez? Ainsi, il vient carrément, vous savez et il apporte son...?...

            «Et même s’ils–ils disent qu’ils ne sont pas fascinés, mais lorsqu’ils verront ces émissions telles que Nous aimons Suzy, et toutes ces choses, ils aimeront cela, ces choses du monde plus que Dieu. Je sais que c’est ce qu’ils feront. Je vais vraiment briser toute l’Eglise pentecôtiste. Je vais la ballotter, la pousser, et la briser, et les rames seront brisées et tout.» C’est juste. C’est ce qu’il a fait. Il les a vus se lancer dans ces mouvements de constructions de grands bâtiments, devenir tout aussi mondains que les autres églises. C’est juste.

            Comme je l’ai dit, ils avaient l’habitude de dire: «Les baptistes froids et formalistes.» Maintenant, il s’agit des pentecôtistes froids et formalistes. C’est juste. C’est juste.

            Nous voici ballottés. Mais c’est une bonne chose.

            Il faut que je me dépêche, et que je termine parce qu’il est temps. Ecoutez.

87        Ce qu’il y avait de bien est qu’Il n’était pas allé très loin. Il était monté sur la plus haute montagne qu’Il avait pu trouver, et Il veillait sur eux là sur la mer. Son oeil est sur le passereau, je sais qu’Il veille. Voyez-vous? Que s’est-il passé?

            Il est monté au Calvaire. Il a continué de monter. Depuis Pâques, Il est monté au-dessus de la lune, des étoiles, directement juste dans la Gloire (plus haut vous montez plus loin vous pouvez voir). Ainsi Il pouvait veiller sur l’Eglise universelle, partout. Il veille sur nous, Il a Ses yeux sur nous...

88        Et puis, presqu’au moment où tout espoir était parti d’avoir un autre réveil, qu’ont-t-ils pensé lorsque tout espoir était parti? Voilà qu’Il s’avançait vers eux, marchant sur la mer. Oh! la la! Il marchait sur la mer, et lorsqu’ils L’ont vu, l’unique Chose qui pouvait les secourir, ils en ont eu peur. Ils pensaient voir un fantôme. Et c’est la même chose aujourd’hui.

            L’unique Chose qui peut ramener l’Eglise ensemble et amener l’Enlèvement, les gens disent: «C’est de la bonne aventure, c’est Béelzébul.» Alors que c’est la chose même qu’Il a dit qu’Il ferait. Ce qui s’était passé en ce temps-là, c’est ce qui se passe maintenant.

            Mais qu’a-t-Il dit en ce temps-là? J’aurais souhaité avoir un peu plus de temps, mais je n’en ai pas. Mais qu’a-t-Il dit en ce temps-là? «N’ayez pas peur; prenez courage. C’est Moi.»

            «Comment savez-vous que c’est Lui?»

             «Parce qu’Il agit comme Il avait fait lorsqu’Il était ici. Il fait les choses qu’Il faisait. Il tient Sa promesse comme Il l’avait fait alors. N’est-ce pas juste?»

89        «N’ayez pas peur; c’est Moi. N’ayez pas peur. Maintenant n’ayez pas peur; c’est Moi. Prenez courage. Prenez courage. Fortifiez-vous. Mes yeux sont sur vous, Je veille sur vous. Je viens parmi les assemblées, au milieu de l’Eglise de Dieu.» Je viens là pour faire quoi? Pour faire sortir les élus, non pas pour former une autre organisation, mais pour un enlèvement, pour aller à la Maison. Je viens pour cela.»

            Inclinons la tête juste un moment.

90        Bienveillant Seigneur, Tu nous guideras jusqu’à ce que nous atteignions ce rivage sain, où les Anges attendent de se joindre à nous, à Ta gloire pour toujours.

            Nous pensons à ce glorieux jour. Comme Tu as préparé cela. «Je ne veux pas que vous soyez dans l’ignorance, frère, au sujet de ceux qui dorment, afin que vous ne vous affligiez pas, comme les autres qui n’ont point d’espérance. Car si nous croyons que Christ est mort et qu’Il est ressuscité le troisième jour, croyons aussi que Dieu ramènera avec Lui ceux qui sont morts. Car nous vous disons ceci selon le commandement du Seigneur.» Nous ne les devancerons pas. Cela ne nous fera aucun obstacle, si nous sommes morts. Et nous observons l’ordre de la résurrection.

            Premièrement, nous nous rassemblerons, nous n’irons pas à Sa rencontre avant de nous rassembler. Les mères et les pères se rencontreront. Les enfants et les bien-aimés se rencontreront, et alors nous serons enlevés dans les airs à la rencontre du Seigneur. Et lorsque nous nous tiendrons là, chantant les chants de la rédemption, les Anges formeront un cercle autour de la terre et se tiendront là, la tête baissée, ne sachant pas de quoi nous parlons. Ils n’ont jamais été perdus. Ils ne savent pas ce que c’est que d’être perdu et d’être retrouvé. Mais, Seigneur, nous, nous savons ce que cela signifie. Autrefois, j’étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé; j’étais aveugle, mais maintenant je vois.

91        Dieu notre Père, je Te prie de bénir ces gens ici en cette soirée du samedi. Et ça a été un petit message entrecoupé çà et là, pendant que j’essayais d’attendre pour voir ce que Tu dirais qu’on puisse faire. Maintenant, c’est l’heure où les choses arrivent à la fin.

            Je Te prie, Père, de faire savoir aux gens que Tu es le même Jésus. Viens simplement et ce soir fais exactement comme Tu l’avais fait là-bas, juste pendant un petit instant pour nous, Père, afin que les gens... Il se peut qu’ils n’aient plus jamais une autre occasion. Il se peut que nous n’ayons pas de service le matin. Il se peut que Tu viennes avant le matin. Au cours de la nuit, il se peut qu’une voix retentisse, disant: «Voici l’Epoux vient; allez à Sa rencontre.»

            Nous savons que ce sera un temps terrible à ce moment-là. Il y aura des pleurs; il y aura des prières; il y aura des chants; il y aura des cris. Dieu notre Père, laisse-nous redresser la chose maintenant et être prêts pour cette heure-là, alors que nous attendons au Nom de Jésus. Amen.

92        Je me demande s’il y a ici quelqu’un ce soir qui ne Le connaît pas comme Son Sauveur, qui aimerait dire: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham, lorsque vous prierez encore.» Levez la main et dites: «Souvenez-vous de moi.» Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous et vous. Là aux balcons, que le Seigneur vous bénisse. Quelqu’un d’autre, juste avant que nous priions pour ceux qui veulent Le connaître, ceux qui ne L’ont jamais rencontré. Il se peut que... Il peut venir dans quelques minutes. Il viendra. Je crois qu’Il viendra. Pas vous? Il fera Son... Croyez-vous qu’Il est le même? Il est certainement le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Alors laissez-Le venir et qu’Il fasse au travers de nous, par Sa puissance sanctificatrice, les oeuvres qu’Il avait faites lorsqu’Il était ici sur terre. Et nous saurons.

            «Celui qui croit en Moi, les oeuvres que Je fais, il...» Combien savent que Jésus-Christ n’avait jamais accompli un seul miracle dans Sa vie sans que Dieu le Lui ait montré par une vision? Combien le savent? C’est ce que dit la Bible.

93        Saint Jean 5.19: «En vérité, en vérité, Je vous le dis; le Fils ne peut rien faire de Lui-même; Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Est-ce juste? Eh bien, c’est l’Ecriture. Elle ne peut pas être brisée. «Je ne fais rien avant que J’aie vu le Père le faire. Tout ce que le Père fait, Je le fais jusqu’à présent. Ce que le Père fait, Il Me le montre, et ensuite Je le fais.»

            Il jouait tout simplement sous forme de drame ce que le Père Lui avait montré de faire. Cela fait de Lui le même aujourd’hui. «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Si c’était là le signe du Messie à l’époque, ce même Esprit qui était dans le Messie sera dans Son Eglise. L’Eglise fera les mêmes oeuvres que le Messie avait faites. Car une vigne ne peut produire que des raisins chaque fois que cela pousse. C’est pareil pour nous ici. Ça doit être la même chose.

94        Est-ce que le jeune homme a distribué des cartes de prière? J’ai même oublié de le lui demander. Oui.... Hier soir, il ne l’a pas fait. Ce soir il en a distribué quelques-unes. Savez-vous quels numéros c’était, la lettre de la série, ou...? La série A, comment, c’est ce que tu as distribué? C’est ce que nous avions la première soirée, n’est-ce pas? Avez-vous distribué les autres cinquante de la série?

            Très bien. A partir d’où avons-nous commencé l’autre fois? On est allé de 1 à 15. Eh bien, commençons à un autre niveau dans cette série ce soir. Commençons... Ils ont distribué quinze cartes. Prenons alors les quinze dernières. Ce serait, on pourrait commencer, qu’est-ce que ça serait? 85, n’est-ce pas? 85? Voyons si elles sont... nous–nous–s’ils sont là. 85, qui a la carte de prière numéro 85, levez la main, partout dans la salle? Y a-t-il quelqu’un là au-dessus où le... Carte de prière A-85. Regardez chez votre... Est-ce que j’ai omis cela? Etes-vous sûr? Oh! je suis désolé, soeur.

            Très bien, 85, approchez, juste ici. 86, qui a 86? Levez la main. Carte de prière 86? Nous amenons les cartes ici devant les gens, nous les mélangeons toutes comme ceci, et ensuite nous donnons à quiconque a besoin d’une carte de prière. Par conséquent, alors quand nous venons, nous appelons à partir d’un numéro, sans savoir où c’était. Par conséquent, c’est seulement...

            Combien savent qu’il y a plus de guérisons dans l’assistance qu’ici à l’estrade? Assurément. Certainement.

95        Très bien, comment... Tournez dans cette direction. Comment... Où était-ce? 85 n’est-ce pas? 86, qui a la carte de prière 86, voudriez-vous lever la main? C’est une dame juste ici. C’est vous qui avez 86? Voulez-vous aller avec cette dame par-là?

87, levez la main très rapidement maintenant pour conserver... Que Dieu vous bénisse, mon frère; tournez juste dans cette direction. 85, 86, 87, 88, qui a la carte 88? Juste ici, tournez dans cette direction. Ils sont dispersés dans la salle, n’importe qui qui a besoin d’une carte. 88, 89, qui a 89? Carte de prière 89, levez la main. Là-bas vers le... Où est-ce? A droite, 89. Je ne vois pas la personne, mais qu’elle se lève et tourne directement dans cette direction, s’il vous plaît, 89.

90, qui a la carte de prière 90? Voulez-vous lever la main? Regardez sur la carte de votre voisin; peut-être qu’il... un sourd, vous savez, qui n’entend pas. Peut-être c’est quelqu’un d’infirme qui est incapable de lever la main. Regardez simplement autour de vous, sur la carte de tout le monde. Quoi? Carte de prière... Qu’était-ce, 89? 90? Est-ce la carte de prière 90? Très bien, monsieur, tournez dans cette direction. 90, 91, très bien. 92, 93, levez la main pour que je voie qui vous êtes. 93, voulez-vous lever la main? 93, ça va. 94, levez... Ça va. 95, 96, 97, c’est ainsi qu’il faut s’y prendre. 97, 98, 99, 100. Ça va très bien.

            Maintenant, y a-t-il encore des cartes de prière ici dans la salle? Levez la main. Vous qui avez les cartes de prière. Très bien, tenez simplement vos cartes, nous nous occuperons de vous. Nous avons fait la promesse, nous l’accomplirons. Voyez? Avec l’aide de Dieu, nous le ferons.

96        C’est simplement... Nous ne pouvons pas faire monter tout le monde ici à la fois. Je... Demain après-midi, je serai obligé de faire monter tout le monde. Voyez? Ainsi je consacrerai l’après-midi pour le faire. Vous voyez? Ainsi, venez simplement, et nous allons–nous allons nous occuper d’eux.

            Et maintenant, combien n’ont pas de carte de prière? Levez la main, vous qui êtes malade et qui voulez que Dieu vous guérisse? Levez la main et dites: «Je n’ai pas de carte de prière, mais pourtant j’aimerais que le Seigneur me guérisse.» Eh bien, c’est généralement partout.

            Très bien. Pendant qu’on est en train d’apprêter la ligne de prière, je vous demanderais à vous tous d’être respectueux au possible, et de rester à vos places. Restez simplement assis–assis. Vous voyez?

            Très bien. Maintenant, dans la Bible, dans le Livre de Saint Jean, au chapitre 4... Voici ce que j’aimerais dire. Combien ont déjà lu Saint Jean, chapitre 4? Très bien.

97        Maintenant, Jésus... Non, excusez-moi; ce n’est pas le chapitre 4 de Saint Jean. Je ne me rappelle plus le passage de l’Ecriture pour le moment. C’est là où la femme a touché... celle qui avait la perte de sang. J’ai oublié cela. Le chapitre 8...

            Elle traversait donc une foule de gens. Et elle a dit... Elle avait vu Jésus et elle avait entendu parler de Lui; elle ne L’avait jamais vu. Mais dépeignons tout simplement un petit drame pendant que les gens attendent là.

            Je peux imaginer qu’elle avait–elle avait une perte de sang. N’importe qui sait ce qui était arrivé. C’était durant la période de la ménopause, et cela ne s’était jamais arrêté.

            Ainsi elle... Elle avait dépensé tout son argent chez des médecins, et ceux-ci n’avaient pas pu l’aider du tout. Ils avaient fait tout ce qui était en leur pouvoir, sans doute. Ils avaient fait tout ce qui était en leur pouvoir, mais ils n’avaient pas pu arrêter cette perte de sang.

98        Elle en souffrait donc depuis beaucoup, beaucoup d’années, et le flux continuait tout simplement, sans arrêt. La pauvre et faible petite dame, elle avait entendu parler de Jésus, et elle s’est donc dit: «Je crois qu’Il est un... C’est Lui le Messie en question.» Ne pensez-vous pas que c’est ce qu’elle se disait? Combien croient cela? Dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

            Elle s’est dit: «Je crois que cet Homme est le Messie, mais moi je n’ai pas d’argent pour aller là où Il est.»

            Mais, vous savez, après ce grand événement de ce soir-là, Il est arrivé au... là où il y avait les saules, par là, ce matin-là. Et elle a baissé les yeux du haut de la colline où elle habitait.

            Elle s’est dit: «Je me demande qui est cette Personne? Il y a quelque chose, certainement qu’il doit y avoir une Personne là-bas.» Elle a entendu les gens L’importuner, Le railler, et tout. Et certains Le bénissaient et...

            Ainsi, elle s’est glissée furtivement là et elle a vu qui c’était. Et elle s’est dit: «Si seulement je peux toucher Son vêtement, je serai guérie.»

            Or, elle n’avait pas la moindre Ecriture pour cela, n’est-ce pas? Y a-t-il une Ecriture dans la Bible avant cela qui dit: «Lorsque le Messie viendra, si vous touchez Son vêtement...» Non, mais elle, elle a cru cela. C’est ce qu’elle a cru.

99        Et ainsi, elle s’est tout simplement faufilée à travers la foule. Et elle n’était qu’une petite pauvre femme maigre comme une tige d’allumettes, vous savez? Ainsi, elle s’est simplement faufilée à travers la foule, et elle a touché Son vêtement.

            Eh bien, si vous touchiez ma veste, je ne sentirais pas cela, en touchant juste ma veste. Et le vêtement palestinien, c’était une robe. Et ils avaient un vêtement du dessous. Cela partait du pied jusqu’en haut. C’est la raison pour laquelle ils avaient des pratiques comme le lavage des pieds. Cette grande robe ramassait la poussière pendant qu’ils marchaient sur les pistes.

            Eh bien, alors, si vous avez déjà été en Palestine et avez vu comment ils font cela, et ils ôtent leurs chaussures et se font laver les pieds à cause de la puanteur du sol où les animaux passent et tout. Ils n’étaient pas présentables. Ainsi, ils avaient un–ils avaient un laquais dont le travail était de laver les pieds. Et un... Ainsi on leur lavait les pieds.

            Ainsi, cette femme a touché le bord de Son vêtement qui pendait et qui était ample comme ça. Maintenant, physiquement, Il n’aurait pas pu sentir cela. Cela lui était impossible. Mais elle a touché le bord de Son vêtement, et puis elle s’est retirée, elle s’est assise, elle s’est tenue debout, ou peu importe la position qu’elle avait prise dans l’assistance, qui était peut-être deux ou trois fois plus nombreuse que celle-ci. Jésus s’est arrêté et a demandé: «Qui M’a touché?»

100      Eh bien, Pierre a pensé que c’était ridicule. Il n’avait pas encore reçu le Saint-Esprit, vous savez. Un homme qui a le Saint-Esprit serait plus avisé.

            Ainsi, il a dit: «Eh bien, Tu...» Eh bien, la Bible dit qu’il L’a repris. En d’autres termes, il a dit: «Que veux-Tu dire par là? Tu es censé être un Homme raisonnable. Et Te voici ici qui Te dis être le Messie et Tu demandes: ‘Qui M’a touché? Eh bien, ne sais-Tu pas que les gens penseront que Tu es fou? C’est tout le monde qui Te touche.’»

            Je peux voir Jésus regarder Pierre et lui dire: «Pauvre Simon. Mais ça, c’était un autre genre de toucher, Simon. Je sens que Je me suis affaibli.»

101      La vertu, la force était sortie de Lui. Et Il s’est simplement arrêté. Il a vu que Simon ne le savait pas et les autres non plus. Ainsi Il a simplement parcouru l’assistance du regard jusqu’à ce qu’Il a trouvé cette femme. Elle était peut-être assise tout au fond...?... Il lui a dit que sa perte de sang s’était arrêtée, parce que sa foi l’avait sauvée. Est-ce juste?

            Maintenant, combien savent que le Nouveau Testament dit que Jésus-Christ, juste en ce moment, est un Souverain Sacrificateur, assis à la droite de Dieu, qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités? Combien savent que c’est la vérité? Dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Très bien.

            Alors, est-Il le même hier, aujourd’hui et éternellement? Alors comment saurez-vous que vous L’avez touché? Comment réagira-t-Il? Il réagira exactement comme Il l’avait fait à l’époque, s’Il est le même.

            Ainsi, vous qui n’avez pas de carte, ou qui que ce soit là dans l’assistance, qui ne montera pas ici ce soir, priez simplement, et dites: «Seigneur Jésus, je crois que Tu es ce Souverain Sacrificateur dont on est en train de parler. Que ma foi Te touche ce soir.»

102      Eh bien, si vous me touchiez, cela ne ferait aucun bien, pas plus que toucher votre mari, ou toucher votre frère, ou–ou–ou votre fils, ou qui que ce soit. Vous voyez? Cela ne ferait rien. Me toucher moi, cela ne représenterait rien. Mais touchez simplement Jésus, et observez ce qu’Il fait.

            Vous direz: «Frère Branham, quel effet cela aura-t-il?» C’est par un don, juste en m’abandonnant moi-même à l’Esprit. C’est cela qui parle. Vous voyez?

            Maintenant, ce microphone est tout à fait muet. Il ne peut pas parler. Il ne sait pas parler. Il faut que quelque chose parle dans ce microphone pour qu’il puisse reproduire le son. Est-ce juste?

            Eh bien, alors, chacun de vous ici m’est étranger. Je connais seulement deux personnes ici; il s’agit de ces–cet homme qui est assis ici qui était avec moi ce matin, ainsi que frère Gene Goad, cet homme par ici, et frère Hall. Ce sont les seules personnes que je connais parmi les gens que je vois dans cette salle. Ma femme n’est pas ici ce soir. Et je ne connais que ceux-là. Mais Jésus connaît chacun de vous. Est-ce juste? Il connaît chacun de vous. Et Il a promis que dans les derniers jours, il y aurait la Lumière. Juste comme il en était au lever du soleil, il en sera de même au coucher du soleil. Est-ce vrai?

            Maintenant, touchez simplement Son vêtement, et voyons s’Il va venir pour nous secourir.

103      Et combien parmi vous sont étrangers ici? Ceux qui n’ont jamais vu Cela auparavant, qui aimeraient croire en Lui, et dire: «Cela m’amènera à croire, de Le voir agir comme Il l’a fait quand Il était sur terre»? Levez la main, dites: «Je–je vais croire en Lui.» Ce sont là les étrangers qui n’ont pas encore été ici auparavant. Très bien. C’est merveilleux.

            Combien ont déjà été ici auparavant et L’ont vu le faire? Faites voir vos mains. Vous voyez? C’est pratiquement partout. Très bien. Maintenant, croyez.

            Maintenant, souvenez-vous, si une personne vient, et que Jésus guérisse cette personne, Il est–Il est obligé de le faire pour la seconde personne qui viendra sur la même base. C’est juste. Si simplement vous croyez cela. Cela nécessite votre foi. Dites: «Qu’en est-il de tout ce groupe qui était là ce jour-là? Juste une seule femme L’a touché.» C’était l’unique personne qui a pu croire cela. Etes-vous cette personne là-bas ce soir? J’espère que vous l’êtes, chacun de vous. Maintenant, souvenez-vous simplement...

            Maintenant, Dieu notre Père, j’ai parlé de Toi, j’ai essayé de présenter cela sous forme d’une petite histoire ce soir, sous forme d’un drame afin que même les petits enfants comprennent, et qu’ils soient en mesure de le raconter à leurs petits condisciples et aux autres, et que tous puissent être préparés pour la Venue du Seigneur.

104      Maintenant, j’ai parlé, j’ai témoigné de Toi. C’est tout ce que je peux faire; je ne suis qu’un homme.

            Mais maintenant, Père, juste une seule Parole de Ta part signifiera tout, plus que ce que nous tous pourrions faire même en vivant plusieurs fois. Juste une seule Parole. Ils savent que c’est l’Ecriture. Ils savent que c’est la vérité. Ils savent que cela va de la Genèse à l’Apocalypse.

            Eh bien, Tu as fait une promesse selon laquelle le Messie qui viendrait dans ce dernier jour, reviendrait dans l’Eglise et ferait très exactement ce qu’Il avait fait le–lorsqu’Il avait mis... Juste la Venue de la Pierre de faîte, le bâtiment doit être modelé de façon que Celle-ci s’y ajuste.

            Je prie, ô Dieu, qu’il en soit encore ainsi ce soir. Car nous le demandons au Nom de Jésus, alors que je m’abandonne moi-même à Toi et que je prends cette assemblée et chaque esprit ici présent, sous le contrôle du Saint-Esprit, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Très bien. Maintenant, ayez la foi. Que tout le monde soit respectueux. Restez tranquillement assis. Ne doutez pas, mais croyez de tout votre coeur.

            Maintenant, c’est maintenant le moment de la confrontation. J’ai prêché cela. Combien savent que c’était la Parole? Maintenant, si quelqu’un parmi vous doute, eh bien, vous êtes le bienvenu, venez ici et prenez ma place, si vous le voulez.

            Un prédicateur quelque part ici dit que ce n’est pas vrai. Ce n’est pas vrai? Alors montez ici et prenez ma place et faites la même chose.

105      Si je chasse les démons par la Parole de Dieu, vous, par quelle puissance les chassez-vous? Vous voyez? Si vous pouvez faire mieux, eh bien, venez; je vais m’asseoir. J’aimerais voir les gens être guéris. Comprenez-vous cela? Vous voyez? C’est une promesse de Dieu. Et s’Il veut bien tenir cette promesse...

            Maintenant, nous savons... Laissez-moi éclaircir ceci. Aucun homme ne peut guérir un autre. Il n’y a même pas de médicament qui puisse vous guérir. Aucun médecin ne vous le dira, s’il est un véritable médecin. Le médicament ne forme pas de tissus; les médicaments gardent l’endroit propre pendant que Dieu forme les tissus. Dieu doit créer. Les tissus sont créés. Vous voyez?

            Ainsi il ne... Le médecin ne guérit pas l’os; il remet l’os en place. C’est Dieu qui guérit les os. Vous voyez? Dieu seul peut guérir. Et maintenant, Il l’a déjà fait. On n’a qu’à amener les gens à croire, c’est ça le but poursuivi.

            Si c’était moi, si je vous le disais et que vous n’y croyiez pas, ou si vous me le disiez et que je ne le croie pas, on laisserait la personne partir. Mais ce n’est pas ce que Dieu fait, Il est un Dieu bon. Il continue à envoyer des dons et Il les place dans Son Eglise, après Sa Parole, pour La confirmer et La rendre vraie, de sorte qu’Il soit juste et honnête.

106      Maintenant, cette dame qui se tient ici... Ou je pense que c’est vous, pour–pour qui on doit prier. Maintenant, voici une femme qui se tient ici, que je n’ai jamais vue de ma vie, à ce que je sache. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, je pense. Vous m’avez déjà vu. J’ai prié pour vous dans le Tennessee. Eh bien, j’en suis si heureux. Mais quant à vous connaître, je ne vous connais pas, je n’ai aucun moyen de vous connaître. Très bien.

            Maintenant, cette femme dit, si vous ne m’avez pas entendu... Et à propos, peu importe l’ingénieur qui s’occupe de l’acoustique, lorsque l’onction vient, si je ne parle pas assez fort, augmentez le volume de sorte que les gens puissent entendre. En effet, vous voyez, juste de remonter plusieurs années en arrière dans la vie de quelqu’un, et de voir ce que cette personne a fait, vous regardez ce qui se passe là, vous n’êtes–vous n’êtes même pas conscient que vous vous tenez ici.

107      Ce n’est pas moi. Comment pourrais-je le faire? C’est totalement impossible. C’est un–c’est un parfait miracle, si cela se fait. Cela dépasse tout raisonnement humain, à moins que vous croyiez littéralement la Parole de Dieu. Certainement. C’est le plus grand miracle.

            Vous direz: «Eh bien, voici quelqu’un qui est assis ici qui avait un pied infirme; nous avons prié pour lui et il s’est mis à marcher.» Eh bien, ça pouvait être de la psychologie. C’est vrai. Mais ça ne peut pas être le cas pour ceci. Il faut que ça soit Dieu. Rien d’autre ne peut être comparé à cela. C’est tout à fait exact.

            Ainsi donc, si je priais pour vous et que... Mais je ne vous connais pas, et je ne connais rien à votre sujet. Je n’ai aucune idée sur le motif de votre présence ici. Et vous aimeriez simplement... Quelqu’un pour qui j’aurais prié ici qui pourrait venir vers moi des années après, et dira: «J’étais à Richmond, en Virginie, et vous avez prié pour moi.» Oh! la la! j’ai prié pour des dizaines de milliers et de milliers de gens. Vous voyez?

            Et de toute façon, si l’onction vient, si la vision vient et que vous reveniez demain vers moi, si vous revenez demain, je n’en saurai rien.

108      Voyez ce garçon qui est assis là, il fait des enregistrements. C’est comme ça que nous pouvons enregistrer cela. N’est-ce pas vrai, Frère Goad? C’est l’unique moyen que j’ai de le savoir. Voyez? Parce que ce n’est pas moi qui parle. Je–j’ai confessé et j’ai levé mes mains pour affirmer que je ne la connais pas. Vous voyez? Mais si vous étiez malade et que je vous impose les mains, je dirais: «La Bible déclare qu’ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris.» C’est ce que nous avons fait depuis des années. Mais nous sommes plus près de la Maison maintenant. Vous voyez? Christ est rendu plus manifeste à nous.

            Maintenant, s’Il me révèle quelque chose qui est–qui s’est passé dans votre vie, eh bien, alors, s’Il vous révèle ce qui s’est passé, vous serez le juge pour reconnaître si cela est vrai ou pas. Vous le saurez; vous pourrez dire à cet auditoire si cela est vrai ou faux.

            Eh bien, alors, s’Il le fait, et s’Il sait ce qui s’est passé, certainement qu’Il sait ce qui arrivera. Est-ce juste, l’auditoire? Il sait ce qui arrivera. Maintenant, bon, je ne sais pas s’Il le fera, mais j’ai confiance qu’Il le fera. Et s’Il le fait, que Dieu soit loué.

            Alors, toute personne dans l’assistance aussi, comme nous sommes debout ici, en public, avec les projecteurs qui sont braqués sur nous. Nous nous tenons ici, il n’y a que la Parole de Dieu qui est étalée ici devant nous, Dieu Lui-même. Nous sommes dans Sa Présence, devant cinq ou six cents personnes, ou plus, je pense, quel que soit le nombre de gens que cette petite salle peut contenir. Et nous voici ici. Cela s’est manifesté devant cinq cent mille personnes une fois, devant trois cent mille personnes une autre fois, et devant des centaines de milliers de personnes d’autres fois, toutes sortes de nations, de peuples et de langues. Vous voyez? Cela doit aller partout. Il doit se manifester Lui-même avant qu’Il vienne.

109      Maintenant, ceci c’est exactement comme au temps de la Bible, lorsque notre Seigneur a rencontré une femme samaritaine, et nous sommes un homme et une femme qui se rencontrent ici. Je ne vous connais pas, et vous ne me connaissez que pour être passé une fois dans une ligne.

            Maintenant, s’Il me révèle le motif de votre présence ici... Peut-être c’est encore une maladie, peut-être c’est pour un problème de ménage; ça peut être un problème financier, je ne sais pas, mais Lui le sait. Mais s’Il me révèle ce pour quoi vous êtes ici, vous croirez cela, n’est-ce pas? Et l’auditoire croira-t-il cela? Croirez-vous cela? Très bien. Puisse-t-Il l’accorder.

            Maintenant, si les gens entendent encore ma voix, cette femme s’éloigne de moi. Oui, je vous vois, vous étiez guérie. Vous étiez guérie dans l’une de mes réunions. Vous aviez l’arthrite et vous étiez guérie. C’est...?... C’est vrai.

            Maintenant, vous avez un problème avec l’une de vos jambes. Vous êtes tombée et vous vous êtes blessée à la jambe. Voilà pourquoi vous êtes–voilà pourquoi vous êtes ici pour qu’on prie pour vous. Si c’est vrai, levez la main. Levez simplement la main pour que cette...

110      Est-ce que vous croyez? Très bien. Je ne sais pas pourquoi il en est ainsi, mais je continue... Eh bien, ce que vous pensez, je capte ça ici. Vous voyez? N’est-ce pas qu’Il regardait les gens et connaissait leurs pensées? C’est vrai. Eh bien, voyez, c’est Lui; ce n’est pas moi. Moi, je vous l’ai déjà dit, je... Ce n’est plus moi; maintenant c’est Lui. Ce n’est pas moi qui ai dit cela à la dame; c’est Lui qui le lui a dit, parce que moi je ne la connais pas. Dieu le sait.

            Maintenant, les gens continuent à penser que je devine cela. Je ne sais pas pourquoi cela vient, mais ça vient de quelque part. Oui, je vois bel et bien d’où cela vient maintenant. Je devrais dénoncer cela. Est-ce que j’ai raison? Voyez si c’était le cas.

            Oui, oui, je vois que vous étiez tombée et que vous vous êtes blessée. Vous vous êtes blessée à l’un de vos membres. Et vous avez tout essayé pour ça, les pommades et tous les autres produits, mais cela ne marche pas. Ceci va marcher.

111      Vous avez eu beaucoup de chagrin. Vous avez perdu un bien-aimé. C’était une fille. C’est vrai. Si Dieu me révèle qui vous êtes, votre nom, allez-vous croire que je suis Son prophète, Son serviteur? Madame Wathen, vous pouvez partir en croyant. Jésus-Christ vous guérit. Que Dieu vous bénisse maintenant. Ça va bien marcher. Les douleurs vont vous quitter; vous irez bien.

            Croyez-vous de tout votre coeur? Maintenant, je demande à quiconque, comment donc ai-je pu (quel que soit le problème qu’avait la femme...), comment ai-je fait cela? Il doit y avoir une sorte d’Etre surnaturel ici qui fait cela (Moi je suis un homme. Est-ce juste?), qui connaît cette femme, ce qu’elle a fait, là où elle était, tout à son sujet, et des choses semblables.

            Maintenant, si nous nous tenions ici, plus longtemps vous vous tenez là, plus de choses seront dites. Vous voyez, cette seule–cette seule vision a tiré de moi plus que cette heure et demie de prédication. Vous voyez? On emmagasine, maintenant on fait sortir.

112      Pensez-y, si une seule femme après avoir touché Son vêtement, elle–Il a dit: «Je sens que la vertu est sortie de Moi.», qu’est-ce que cela devrait me faire à moi, un pécheur sauvé par grâce, quel effet cela devrait avoir sur moi? Vous voyez? C’est parce que Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, et vous en ferez davantage...» Je sais que la version du roi Jacques dit: «De plus grandes.»

            Mais ça ne pourrait pas être de plus grandes oeuvres. C’était davantage d’oeuvres qu’Il pouvait faire. Prenez le Diaglott original et voyez si ça ne dit pas «davantage». Vous voyez? Parce que c’est le même Esprit.

            Eh bien, cette femme aussi m’est inconnue. Je ne vous connais pas. Mais Dieu vous connaît effectivement. Si Dieu me révèle ce qu’est votre problème, croirez-vous que je suis Son serviteur? Maintenant, vous êtes consciente que quelque chose est arrivé juste à l’instant. Vous voyez? C’était cette sensation, c’est comme une sensation de douceur, de quiétude. Maintenant, si c’est juste, pour que les gens sachent, afin qu’ils sachent que je ne dis rien de faux; j’ai vu cette Lumière descendre droit sur vous. C’est juste. Maintenant, si vous ressentez vraiment une sensation d’humilité et de douceur autour de vous, levez la main pour que les gens voient cela.

113      Et vous qui avez cette photo-ici, nous L’avons. Cette Lumière que vous voyez sur la photo, Dieu est mon Juge, Elle est juste au-dessus de cette femme en ce moment. Vous voyez? Oui, oui.

            Elle n’est pas ici pour elle-même, quoiqu’elle soit nerveuse et dérangée. C’est juste. Un petit problème gynécologique vous a dérangée pendant un bon bout de temps. Mais la chose principale pour laquelle vous êtes ici, c’est quelqu’un d’autre. C’est votre mari. Il est à moitié paralysé, il a un problème du dos et de la jambe. C’est juste. Croyez-vous avec moi que Dieu le guérira? Partez, et il vous sera fait selon votre foi. Partez en croyant. Que Dieu vous bénisse. Posez ce mouchoir que vous avez en main sur lui. Croyez simplement de tout votre coeur.

114      Nous ne nous connaissons pas, vous et moi, madame, je pense. Nous ne nous connaissons pas. Mais Dieu nous connaît tous les deux. Croyez-vous que je suis Son serviteur? De tout votre coeur? Si Dieu me révèle quelque chose qui ne marche pas, accepterez-vous que cela vient de Dieu? Il s’agit de votre dos, de votre jambe. Cela a été causé par un accident. Très bien. C’est tout ce qu’il vous faut pour que vous soyez en bonne santé. Partez, croyez maintenant; ayez simplement la foi.

            Croyez-vous de tout votre coeur, madame? Croyez que Jésus-Christ vous accordera ce que vous demandez? Naturellement, vous portez des lunettes. N’importe qui le comprendrait. Ça fait longtemps, aussi longtemps que vous pouvez vous en souvenir. Il en a été ainsi pendant toute votre vie.

115      Mais en réalité, ce n’est pas ce qui est sur votre coeur; c’est quelque chose d’autre qui est sur votre coeur. C’est pour quelqu’un d’autre. C’est juste. Croyez-vous que Dieu peut la guérir, la rétablir, votre mère? Elle a la paralysie agitante. C’est vrai, n’est-ce pas? Partez en croyant; Il en sera tel que vous l’avez cru. Que Dieu vous bénisse.

            Maintenant croyez-vous de tout votre coeur? Est-ce que cela règle la question pour vous? Etes-vous convaincue? Maintenant, qu’y a-t-il ici? Celui-là même qui a marché en Galilée est ici ce soir. Qu’est-ce? Il est simplement en train de nous utiliser vous et moi. Maintenant, peu importe la–l’onction qui est sur moi; elle doit être sur eux aussi. Vous voyez? Elle doit être sur eux aussi. Croyez-vous cela? Ayez simplement la foi. Ne doutez pas; croyez.

116      Bonsoir. Nous ne nous connaissons pas, je pense. Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît bien. Quelqu’un d’autre est apparu dans la vision juste à l’instant, lorsque Cela a commencé pour cette femme. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Les choses que j’ai dites sont correctes, n’est-ce pas? Si Dieu me révèle ce qu’est votre maladie, accepterez-vous que je suis Son serviteur? Très bien.

            Vous avez un problème de dos, ça c’est une chose. Autre chose, vous êtes couverte par l’ombre de la mort suite à un cancer. Croyez-vous qu’Il vous guérira et qu’Il vous rétablira? Le croyez-vous?

            Il y a quelqu’un d’autre pour qui vous aimeriez qu’on prie aussi, n’est-ce pas? Vous croyez qu’Il peut le guérir aussi? Il s’agit de votre mari. Il est assis là. Croyez-vous que Dieu peut me révéler ce qu’est son problème? Croirez-vous que je suis Son prophète si je vous le dis effectivement? Il a un problème d’intestins, dit le médecin, un problème d’intestins. Si vous croyez, il sera aussi guéri.

            Mais voici la plus grande chose qu’il vous faut. Vous avez besoin du salut pour votre âme. Allez-vous L’accepter comme votre Sauveur et croire en Lui de tout votre coeur? Vous en avez besoin vous deux. Allez-vous le faire et croire de tout votre coeur? Allez-vous L’accepter comme votre Sauveur maintenant pour votre guérison? Le mari, allez-vous L’accepter comme votre Sauveur? Que Dieu vous bénisse. Vous êtes sauvés et guéris tous les deux. Vous pouvez rentrer chez vous et être...?...

117      Vous croyez? Vous direz: «Vous n’avez pas le droit de leur dire qu’ils sont sauvés.»

            Je pense que si Dieu peut me révéler leur problème, Il peut me révéler s’ils sont sauvés ou pas, n’est-ce pas? Certainement. Oh! L’aimez-vous?

            Voulez-vous rentrer chez vous prendre votre souper, vous rétablir de cette maladie d’estomac et être guérie? Allez manger. Jésus-Christ vous guérit. Ayez la foi.

            Approchez, monsieur. Voulez-vous que Dieu vous guérisse de cette maladie du dos? Continuez simplement à marcher, disant: «Merci, Seigneur Jésus», et soyez guéri.

            L’arthrite, la nervosité, et d’autres maladies. Croyez-vous qu’Il va vous guérir? Dites: «Merci, Seigneur.»

            Combien croient de tout leur coeur? Croyez, ne doutez pas. Ayez simplement la foi, de tout votre coeur.

118      Les gens disent que vous avez le tueur numéro un. Mais la maladie du coeur n’est pas le tueur numéro un. C’est le péché qui est le tueur numéro un. Vous êtes donc délivrés de tous ces deux tueurs maintenant même. Vous pouvez donc partir et être guéri. Ayez la foi.

            Un estomac nerveux, il est guéri. Partez, en croyant.

            Je vous vois essayer de vous lever par un matin, avançant votre pied et vous voyez si vous pouvez bien vous lever ou pas, c’est le même vieux démon d’infirmité. Partez, croyez maintenant et cela vous quittera. L’arthrite vous quittera.

            Vous devriez être opérée, madame, n’eût été Dieu. Croyez-vous qu’Il peut faire cette opération? Croyez-vous totalement en Lui, et Lui abandonnez-vous toute votre vie, et croyez-vous que cette tumeur partira? Croyez-vous cela? Partez, qu’il vous soit fait selon votre foi. Partez simplement en croyant. Très bien.

119      Approchez, madame. Vous êtes nerveuse, l’estomac. Allez en croyant; ayez simplement la foi.

            Approchez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Juste un instant, quelque chose est arrivé. Soyez simplement respectueuse; attendez juste un instant, soyez respectueuse. Oh! quel moment. Est-il... C’est une femme, elle est apparue, elle n’est pas comme cette femme-ci; elle était plus mince, mais elle est dans l’auditoire. Que Dieu me vienne en aide. Oui, la voici assise juste ici. Vous avez quelque chose qui cloche avec vos mains. Croyez-vous que Dieu vous guérira de ce problème à la main? Très bien, votre foi vous a sauvée.

            Dites donc, à propos, placez votre main sur cette femme qui est assise là à côté de vous. Elle souffre du coeur. C’est juste. Levez la main; recevez Christ comme votre Guérisseur. Que Dieu vous bénisse. Rentrez chez vous; soyez bien portante. N’est-Il pas merveilleux?

120      Cela a fait que cette dame qui est assise, en robe bleue, qui souffre de la gastrite, croie aussi. Vous souffrez de la gastrite depuis un bon bout de temps, n’est-ce pas? Allez prendre votre souper. Jésus-Christ vous guérit.

            Cette dame corpulente, qui est assise juste à côté de vous, voudriez-vous me faire une faveur ou faire une faveur à Dieu? Vous êtes une croyante, sinon Il ne vous aurait pas du tout parlé. Elle a l’arthrite, n’est-ce pas, madame? C’est juste, levez la main. Très bien, posez votre main sur cette femme, soeur. Vous tous imposez-vous les mains les uns aux autres là-bas; Jésus-Christ vous guérit.

            Vous croyez?

            Pensez-vous que Dieu peut guérir le diabète? Très bien, allez donc de l’avant. Ayez la foi; Il le fera.

            Un trouble cardiaque? Continuez simplement votre chemin en disant: «Merci, Seigneur Jésus pour la guérison.»

            Vous souffrez du dos? Dites: «Merci, Seigneur de m’avoir guéri.»

            Oh! Jésus est merveilleux? N’est-ce pas?

121      Qu’en pensez-vous, vous qui êtes assise là, jeune dame, en train de me regarder? Croyez-vous que je suis Son prophète? Alors cette hypotension vous quittera.

            La dame qui est assise juste derrière vous... Qu’en pensiez-vous, monsieur, lorsqu’elle l’a regardée? La dame qui est juste derrière vous, la petite dame en lunettes, vous aussi vous avez l’hypotension. C’est juste. Lorsqu’ils ont mis cette chose autour de votre bras, il vous a dit que vous aviez l’hypotension. Est-ce juste? Si c’est juste, levez la main. Comment ai-je pu savoir que c’est ce qu’il a dit? Amen. Croyez-vous en Lui?

            Des varices, croyez-vous que Dieu guérira cela? Très bien. Avez-vous une carte de prière? Très bien, vous n’avez pas besoin de l’utiliser. Vous êtes guéri. Partez, croyez cela.

            Juste là au fond, l’arthrite, vous qui êtes assis juste là au fond, la deuxième personne assise là. Croyez-vous que Dieu vous guérira? Le croyez-vous? Acceptez cela. Que Dieu vous bénisse. C’est juste. Merci, madame, d’avoir déclaré cela. Partez, soyez guérie.

122      Ô Dieu! Que peut-Il faire de plus? Quoi de plus peut... Il vous a déjà guéri. Il était blessé pour vos péchés, brisé pour vos iniquités. Maintenant vous vous rendez compte que le tout, on a l’impression qu’il y a une grande Lumière qui est au-dessus de toute cette salle en ce moment. Vous voyez, je–je ne vois rien là dans l’assistance; c’est à peine si je–je peux voir quelque chose. C’est vraiment...?... Si je pouvais... Si seulement vous pouviez vous rendre compte que c’est Lui. Une maladie...

            Vous direz: «Frère Branham, qu’est-ce qui fait que vous...» Je ne saurais vous le dire. Mais vingt ou vingt-cinq visions se sont produites ici à l’estrade. Alors qu’une seule vision avait affaibli Jésus, quel effet cela devrait-il avoir sur moi? Voyez-vous Sa grâce? Il veut que tous vous croyiez cela.

            Croyez-vous cela? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Allez-vous accepter cela de tout votre coeur? Alors tenez-vous debout et acceptez-Le comme votre Sauveur, comme votre Guérisseur, comme Celui qui vous baptise. Et je vous confie à Dieu au Nom de Jésus-Christ. Puisse le Dieu du Ciel déverser sur vous Son Esprit. Levez vos mains et rendez-Lui gloire. Maintenant vous êtes guéris.

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