Qui Est Jésus?

Date: 64-0620B | La durée est de: 1 heure et 7 minutes | La traduction: Shp
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1          ...comme moi, que nous ayons eu jusque-là chaque jour un jubilé gastronomique habituel avec ce bon petit déjeuner que nous avons pris; d’habitude, c’est un morceau de petit pain au lait froid enrobé de gelée. J’étais à Phoenix l’autre jour, et on m’a donné des crêpes sans... Dans le Sud, nous les appelons crêpes [en anglais «flapjacks»–N.D.T.], et on n’y avait pas mis de la mélasse, et alors, je–je–j’ai dû mettre du sucre sur les miennes. Elles étaient vraiment... Eh bien, ici, on a passé des moments merveilleux. Et non seulement dans le naturel, mais nous en avons un dans le spirituel.

2          Je suis très content d’entendre le témoignage de ce jeune frère. L’autre matin, j’ai été appelé à son chevet; on m’a dit que quelque chose s’était produit. Je pense qu’il était l’un des premiers à essayer de parrainer cette série de réunions. C’est certainement Satan qui a essayé de faire cela à cet homme de Dieu. Mais vous voyez comment Dieu agit, Il change carrément la chose en un témoignage remarquable, pour montrer Sa puissance. Il fait concourir toutes choses au bien de ceux qui L’aiment. Je suis si reconnaissant d’entendre ce témoignage, frère.

3          Et c’est vraiment un privilège pour moi d’être dans cette ville, au milieu de vous. C’est... Oh! je ne suis simplement pas en mesure d’exprimer ce que je ressens à ce sujet. Eh bien, nous n’avons pas connu un débordement de foules et tout, comme cela nous arrive des fois; mais on dirait que Dieu se prépare à faire quelque chose, ou que cela apprête quelque chose, préparant simplement les gens pour quelque chose, ramenant les gens sur la ligne où ils devraient être, et le fait de rencontrer ces braves pasteurs et les autres.

4          Et c’est donc un privilège pour moi de venir ici ce matin parler aux Hommes d’Affaires du Plein Evangile. On m’a fait savoir que ce chapitre-ci est encore à ses débuts. Il est très petit, et comme ce frère-ci l’a dit, ils ont besoin d’hommes.

5          Bien, quoique j’aie représenté beaucoup de grandes organisations à travers le monde, de toutes les organisations du Plein Evangile, avec plusieurs groupes baptistes et tous les autres, eh bien, je suis toutefois membre d’un groupe, et c’est celui des–des Hommes d’Affaires, parce qu’ils ne représentent aucune organisation particulière. En soi, c’est–c’est un groupe interévangélique, qui ne représente que le Plein Evangile, et nous en sommes donc heureux.

6          Et vous les hommes de cette ville qui êtes ici, je pense que c’est... Si vous croyez réellement que je vous dis quelque chose de vrai, voici le temps où ces hommes d’affaires du Plein Evangile peuvent se rassembler pour fraterniser. Vous allez échanger des choses les uns les autres, en pareil moment, samedi matin, en vous entretenant...

7          Le président du... le président international, frère Shakarian, j’ai fait sa connaissance il y a plusieurs années. Plusieurs d’entre vous le savent, qu’en tirant d’un très grand tas de télégrammes posés sur le bureau, je suis tombé sur celui d’une femme portant le nom de Shakarian, qui se mourait du cancer. Et d’une façon ou d’une autre, le Seigneur m’a conduit là, et c’est là que j’ai fait la connaissance des Shakarian, quand elle fut guérie. C’est à cette occasion-là que le docteur Theodore Palouveas fut baptisé là, il était leur médecin, un médecin grec.

8          Il a dit: «Quelle idée! vous donnez aux gens une fausse espérance.» Il a dit: «Cette femme est couchée là, mourante...»

9          D’abord, quand je suis entré dans la maison, il a dit: «Eh bien, en entrant, a-t-il dit, soyez respectueux, silencieux, a-t-il dit, car la femme est mourante. Elle est ici en haut, et les deux seins ont été amputés, et elle est tout enflée.» Il a dit: «Elle va certainement mourir.» Et il a dit: «On ne peut plus rien faire.» Et j’ai simplement écouté ses instructions pendant un instant. Il a dit: «Eh bien, soyez vraiment silencieux. Ne priez pas à haute voix ou quelque chose comme cela.» Il a dit: «Offrez votre petite prière, puis redescendez.»

            J’ai dit: «D’accord, monsieur.»

10        J’ai donc continué. Je savais que je n’allais pas suivre cela, vous savez. Et j’ai dit que nous... Je suis monté à l’étage. Et il y avait... je crois que... j’ai pris...Je m’en souviens maintenant. Je suis monté. Et Florence, à l’époque, était  une jeune et belle demoiselle, et Rose et tous les autres étaient en train de prier; et leur mère était couchée là, inconsciente; elle était inconsciente depuis quelques jours, tout enflée.

11        Et je me suis donc agenouillé pour prier. Et alors, l’Ange du Seigneur est  descendu vers le lit et a dit: «Dans trois jours elle sera debout.»

12        Je me suis donc retourné et me suis mis à sortir, et ils m’ont suivi. J’ai dit: «Dans... C’est  au Nom du Seigneur, elle se lèvera.» Et alors ils se sont mis à crier.

13        Voilà venir le docteur Palouveas, et il voulait me chasser de la maison. Et il... J’ai dit... Il a dit: «Quelle idée!» Et j’ai dit... «Eh bien, vous donnez à ces gens un faux espoir, la femme est mourante.»

14        J’ai dit: «D’après toutes vos statistiques, elle est mourante. Mais d’après la Parole du Seigneur, ce n’est pas le cas.» Voyez-vous? J’ai dit: «Elle vivra.»

15        «C’est absurde, a-t-il dit, vous devez partir d’ici, sortez d’ici.»

16        Et frère Shakarian s’est approché, il a dit: «Attendez juste une minute.» Voyez-vous? Il a dit: «Nous vous avons aussi demandé de venir en tant que notre médecin, et nous vous apprécions.» Il a dit: «Mais nous avons aussi appelé frère Branham. Vos espoirs, vous ne nous en donnez aucun. Lui nous en donne. Voyez-vous.»

17        Et j’ai dit: «Je vais vous dire ce que je vais faire. Si elle n’est pas de nouveau debout et dehors dans trois jours, je mettrai un écriteau sur mon dos avec la mention Faux prophète; et nous irons directement ici à Los Angeles, et vous monterez à bord de votre voiture, vous descendrez la rue, klaxonnant et me pointant du doigt. Voyez-vous? Et puis, si elle se lève, vous me laisserez mettre un écriteau sur votre dos, disant charlatan, et je monterai à bord de votre voiture et je klaxonnerai.» Voyez-vous? [L’assemblée rit.–N.D.E.] Il n’a pas accepté cela. Plus tard, il fut baptisé dans une rigole d’irrigation, et il servait le Seigneur. Depuis lors, il a été ramené à la Maison, dans la Gloire.

18        Et j’ai donc fait la connaissance des Shakarian. Plus tard, j’ai été parmi ceux qui les ont aidés à organiser leur premier chapitre. Et à travers la nation, partout dans le monde, je les ai aidés dans leurs chapitres. Ils sont un merveilleux groupe d’hommes.

19        Je pense que vous–vous manquez quelque chose en ne renforçant pas votre communion fraternelle ici, parce que c’est la communion fraternelle. «Nous devrions nous rassembler, nous dit la Bible, «alors que nous voyons la fin approcher, n’abandonnons pas notre assemblée.» Cela–cela ne fera pas seulement ça, cela vous fortifiera. Et vous, votre force fortifiera l’église. Et c’est tous... Les Hommes d’Affaires du Plein Evangile, ce n’est pas une organisation où l’on doit se mettre à part, en disant: «C’est notre groupe.» C’est pour réunir tous les croyants. Et ce n’est que l’unité de l’Eglise, voyez, l’Eglise Elle-même, les–les croyants spirituels. Et je pense que cela–c’est une grande chose, si vous–si vous faites cela. C’est plutôt insignifiant, peut-être que ça ne...

20        J’espère que ceci n’a pas l’air sacrilège. Mais quelqu’un m’a dit, il n’y a pas longtemps, lors d’une réunion, il a dit... un homme a dit: «Dites donc, vous êtes un prédicateur.»

21        J’ai dit: «Eh bien, je pense plutôt que c’est à moitié juste.» Je–j’ai plutôt peur de dire n’importe quoi au sujet des prédicateurs quand je suis avec les gens du Plein Evangile.

22        Vous savez, mon–mon père était un–un–un cavalier. Il dressait les chevaux. Quand j’étais un petit garçon, je pensais, vous savez, que moi aussi j’allais être un cavalier. Vous savez comment les petits garçons veulent être comme leur papa; moi aussi j’allais être un cavalier. Ainsi, quand on labourait, j’attendais que papa soit au fond du champ, vous savez, je prenais mon vieux cheval de labour et je l’amenais au vieil abreuvoir, vous savez, c’est taillé dans un rondin.

23        Combien ont déjà vu ça, un vieil... Eh bien, de quel coin du Kentucky êtes-vous? Oh! combien ont déjà dormi sur une paillasse? Eh bien, je ferais tout aussi bien d’enlever ma veste et ma cravate; je suis vraiment chez moi ici. Eh bien, c’est–c’est–c’est mon milieu.

24        Ainsi, j’avais l’habitude d’aller là. Et papa avait une selle, vous savez. Et alors, je le voyais tout au fond du champ, et je prenais le vieux cheval de labour, et je prenais tous mes frères, et je les faisais asseoir tout autour sur la clôture, vous savez (et j’étais l’aîné de neuf enfants), j’allais prendre une grosse poignée de graterons que je mettais sous la selle, et je tirais la sangle et je montais sur lui. Oh! la la! le pauvre animal était si fatigué qu’il ne pouvait même pas soulever sa patte du sol, et il hennissait simplement et faisait des histoires, étant piqué par les graterons, vous savez, comme je tirais cette sangle sur lui. Alors, j’ôtais mon chapeau, et j’étais vraiment un... J’étais vraiment un cow-boy. Et je–j’avais lu beaucoup de magazines, c’est tout. Vous savez. Ainsi, je faisais croire à mes frères que j’étais un vrai cow-boy (voyez-vous?), je pensais donc.

25        Quand j’ai atteint environ l’âge de dix-huit ans, je me suis éclipsé de la maison, et je me suis rendu en Arizona. «Ils avaient besoin de moi pour dresser leurs chevaux. J’en suis sûr. Ils... Ils avaient besoin de moi, je devais donc quitter la maison.» J’étais mineur, mais je me suis éclipsé et, par hasard, je suis arrivé à Phoenix juste au moment où un rodéo avait lieu, vous savez. Je suis donc allé là derrière pour voir leur bétail et pour voir lequel j’allais monter. Ceux que les autres n’arrivaient pas à monter, moi, j’allais les monter, vous savez; j’avais la selle d’argent.

26        J’étais un tout petit gars, j’ai toujours été très petit, et je me suis dit que je me procurerais des jambières en cuir. Je sais que mon père en portait. Et en ce temps-là, il n’en avait pas, et alors, je me suis procuré... J’ai vu de belles jambières, vous savez, portant au bas la mention A-r-i-z-o-n-a, avec des têtes de boeufs et tout dessus. Je me suis dit: «Oh! la la! ça va m’aller très bien», vous savez comment sont les enfants. Je les ai retroussées sur moi, environ dix-huit pouces  [45,7 cm] de cela étaient par terre. Et j’avais l’air de l’un de ces petits poulets nains, vous savez, avec ces plumes dessus. Je me suis dit: «Ça n’ira jamais», je suis donc allé me procurer un Levis.

27        Et je me suis dit: «Je vais me faire un peu d’argent.» Je suis donc allé et j’ai passé en revue tout ce bétail qui se trouvait là; ils étaient si sauvages qu’ils ne voulaient même pas manger le foin qui était dans la mangeoire. Je me suis dit: «Oh! la la!»

28        Alors, la première fois qu’ils les ont fait sortir, il se fit que c’était... C’est étrange que je dise ceci ce matin, je n’y avais pas pensé jusqu’à cet instant même; mais le premier cheval qui devait être monté cet après-midi-là pour la compétition s’appelait «L’Indomptable du Kansas», et il venait du Kansas; c’était un énorme indomptable de dix-sept paumes [1,73 m]. Et alors, ce cavalier célèbre qui était là était censé le monter.

29        Je me suis donc hissé sur le corral, comme les autres cavaliers, vous savez, et je me suis assis là. Ils avaient leur chapeau ramené en arrière. Je me suis dit: « J’ai l’air d’un vrai cavalier», en levant les yeux.

30        Ainsi cet homme est sorti, il était tout décoré. Il–Il... Quand il est sorti de la glissière sur ce cheval, celui-ci a fait environ deux ou trois pirouettes et le garçon... Le cheval est allé d’un côté, et l’homme de l’autre. Le personnel de ramassage a récupéré le cheval. Et l’ambulance a récupéré le cavalier, et le sang lui sortait des oreilles. Et le cheval continuait là et le personnel de ramassage l’a attrapé.

31        Cet animateur est venu et a dit: «Je donnerai cent dollars à tout homme qui restera dix secondes sur ce cheval.» Il s’est avancé là, parcourant le lieu, il a dit... il a regardé droit vers moi, il a dit: «Es-tu un cavalier?»

32        Et j’ai dit: «Non, monsieur.» J’ai aussitôt changé d’avis. Je n’étais pas un cavalier.

33        Quand je venais d’être ordonné, dans l’Eglise Baptiste Missionnaire, je prenais ma Bible sous le bras, vous savez, comme cela, et j’avais ma–ma licence. Je–j’étais un défenseur de la foi; c’est tout ce qu’il en était. Je pensais que j’étais un prédicateur.

34        Un jour, j’étais par ici à Saint Louis, quand cette petite fille Daugherty fut guérie, et je pensais que j’étais un ministre. Je suis allé, et j’ai rencontré les pentecôtistes. Et ce fameux Robert Daugherty, certains d’entre vous peuvent le connaître. Et je l’ai entendu prêcher. Et cet homme prêchait jusqu’à ce que ses genoux cédaient et qu’il en avait le visage cyanosé, et il s’abaissait jusqu’au plancher puis se redressait, en reprenant son souffle; vous pouviez l’entendre jusqu’à deux pâtés de maisons, continuant à prêcher.

35        Moi, avec mes vieilles manières lentes de baptiste, je ne pense pas que ça soit aussi rapide. Depuis lors, lorsqu’on me demande: «Etes-vous un prédicateur?» Je dis: «Non, monsieur.» Je dois pour ainsi dire faire attention à cela.

            Un homme m’a dit à Philadelphie...

36        C’est là que la prochaine série de réunions doit se tenir avec la Convention Internationale. Je dois prêcher le 29, je fais l’ouverture le 29, pour le docteur Brown avec–avec plusieurs de ces frères-là. C’est à Philadelphie, ça commence le 29 de ce mois. Eh bien, c’est pour moi un privilège d’ouvrir les réunions, et ainsi de tenir quelques petits déjeuners pour eux.

37        Quelqu’un a dit: «Qu’avez-vous à vous accrocher à ce groupe des hommes d’affaires? Vous êtes censé être un prédicateur.»

            J’ai dit: «Eh bien, je–je suis un homme d’affaires.»

            Il a dit: «Eh bien, quel–quel genre d’affaires faites-vous?»

38        Et j’ai dit: «L’assurance.» Je l’ai dit rapidement pour qu’il ne puisse pas saisir cela. Voyez-vous? Il n’a pas compris ce que j’ai dit. Je n’ai pas dit: «La police d’assurance», j’ai dit: «L’assurance.»

39        Il a dit: «Eh bien, je suis–je suis heureux de–d’apprendre cela.» Il a dit: «Quel... Où se trouve le siège de cette compagnie?» Il a dit: «De quel genre de police d’assurance s’agit-il?»

            J’ai dit: «La Vie Eternelle.»

            Il a dit: «Je n’en ai jamais entendu parler. Où se trouve le siège?»

            J’ai dit: «Dans la Gloire.»

40        Ainsi, quiconque d’entre vous est intéressé, j’aimerais vous parler de la police d’assurance après le service.

41        Et je me souviens, il y a quelque temps, concernant la police d’assurance... J’espère qu’il n’y a pas un assureur ici. A propos, mon frère est un vendeur de polices d’assurance; il travaille chez Prudential. J’étais... j’avais fait une fois une mauvaise affaire en rapport avec une police d’assurance. Et on ne nous avait pas lu la police d’assurance comme il faillait, et papa a travaillé pendant dix ans pour une assurance-dotation à payer sur vingt ans, à ce que nous pensions. Quand cela fut prêt pour être encaissé, cela avait la valeur de sept dollars et cinquante cents, alors nous pensions que cela avait la valeur de plusieurs centaines de dollars. Mais... Et je–je ne sais pas. C’est en ordre; eh bien, la police d’assurance est une bonne chose; et je ne minimise pas cela. C’est parfaitement en ordre.

42        J’avais donc un ami assureur, ou plutôt qui vendait des polices d’assurance, un homme avec qui j’ai étudié; son frère écrit des articles dans La Chambre haute, c’est un excellent prédicateur baptiste. Ainsi, un jour, Wilmer est venu me parler; il a dit: «Billy, je suis venu te parler d’une police d’assurance.»

43        J’ai dit: «Eh bien, Wilmer, ai-je dit, je t’assure, nous avons toujours été de bons amis, ai-je dit, et tout.» J’ai dit: «Si tu veux parler du temps qu’il fait ou–ou de quelque chose d’autre, pas de problème, mais... au sujet d’aller faire la pêche ou quelque chose comme cela. Je suis disposé à en parler. Mais...»

            Alors, il  a dit: «Bien, a-t-il dit, il te faut vraiment une police d’assurance.»

            Et j’ai dit: «J’ai l’assurance.»

44        Et il a dit: «Oh! excu-... Alors, je devine que Jesse (c’est mon frère) t’a déjà vendu une police d’assurance?»

45        J’ai dit: «Non, je...» Et mon épouse m’a regardé comme si j’étais un hypocrite (voyez-vous?), car elle savait que je n’avais pas de police d’assurance. Elle m’a donc regardé. Et j’ai dit: «Si, ai-je dit, j’ai l’assurance.»

46        Il a dit: «C’est laquelle?» Et j’ai dit:

            «Assurance bénie, Jésus est mien!

            Oh! quel avant-goût de la gloire divine!

            Je suis héritier du salut, acquis de Dieu,

            Né de Son Esprit, lavé dans Son Sang.»

47        Il a dit: «Billy, c’est très bien, mais cela ne t’amènera pas là au cimetière.»

48        J’ai dit: «Mais cela m’en fera sortir. Je ne–je ne me soucie pas de comment entrer; je me soucie de comment sortir.»

49        Hommes d’affaires, je suis toujours dans les affaires. Si vous voulez en parler avec moi, je serai heureux de le faire avec vous.

50        Mais c’est une grande chose que d’avoir la communion fraternelle. Je crois qu’il est écrit dans les Ecritures: «Oh! qu’il est doux et agréable pour des frères de pouvoir demeurer ensemble! C’est comme l’huile d’onction qui, répandue sur la barbe d’Aaron, descend sur le bord de ses vêtements.» Il y a quelque chose de particulier dans la communion.

51        Dieu était seul au commencement, Il était seulement Dieu. Il n’était même pas Dieu au commencement. Le savez-vous? Il ne pouvait pas L’être. Le mot anglais God (Dieu) signifie «objet d’adoration». Voyez-vous? Comme Il était Elohim, Celui qui existe par Lui-même, Il n’était même pas Dieu. Mais en Lui il y avait des attributs, c’est comme votre pensée. Voyez-vous? Votre pensée doit concevoir quelque chose et alors... Je pense à une chose, et ensuite, je l’exprime. Et une parole, c’est une pensée exprimée. Ainsi «au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole fut exprimée», vous voyez, Elle a été manifestée.

52        Et c’est donc tout à fait pareil. C’est pareil pour nous qui sommes nés de nouveau, nous avons la Vie Eternelle. Si nous avons la Vie Eternelle, il n’existe qu’une seule forme de Vie Eternelle, c’est Dieu. Et nous sommes Ses attributs. Eh bien, je peux parler comme ceci parmi des chrétiens. Nous sommes des attributs. Et Jésus est venu en tant que Rédempteur. Combien croient cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Racheter, ce n’est pas créer quelque chose de nouveau. Racheter, c’est ramener ce qui a déjà existé. Voyez-vous? De quoi avez-vous donc peur? Voyez-vous? Tout est–tout est entre Ses mains. L’horloge marche parfaitement. Tout doit être comme ceci, et cela nous amène maintenant à ce point.

53        Et je crois et espère certainement que chacun de vous qui êtes ici ce matin et qui n’est pas membre de cette merveilleuse communion, vous en parlerez ici avec cet homme merveilleux; j’ai simplement dû lui serrer la main, le–le président de ce chapitre. Et fortifiez-vous! David a dit qu’il s’est fortifié contre l’ennemi. Et vous, vous–vous–vous devez faire tout ce que vous pouvez pour vous fortifier contre l’ennemi. Nous sommes ici en tant que frères du Plein Evangile. Voyez-vous? Nous croyons cela. Mettons-nous au travail, et allons chercher certains de ces autres frères et amenons-les; qu’ils soient du Plein Evangile ou pas, amenons-les à nos–nos réunions. Prions et faisons notre part pour fortifier le Corps de Christ, et ce faisant, nous nous fortifions nous-mêmes.

            Que Dieu soit avec vous,  qu’Il vous assiste. A quelque moment que je peux vous faire une faveur, faites-le-moi savoir. Maintenant, avant d’approcher la Parole, si nous pouvons...

54        Je ne veux pas vous garder trop longtemps ici. Je suis–je suis juste... Comme je l’ai dit il y a quelques instants: «Je suis plutôt lent, vous savez, et–et je–je dois en quelque sorte réfléchir lentement. Et–et pour commencer, je ne suis pas très intelligent, c’est pourquoi je–je dois plutôt prendre mon temps; et je ne connais rien d’autre que ce qu’Il me dit de dire, et cela parfois me cause des ennuis, parfois cela m’éloigne de la chose; je ne dis donc que ce qu’Il dit. Mais avant d’approcher la Parole, approchons-nous de l’Auteur.

55        Il y a quelque temps, je roulais en compagnie d’un célèbre docteur en théologie; il est possible que beaucoup d’entre vous le connaissent, William Booth-Clibborn, et il prêche l’Evangile en sept langues. Et nous parlions de Dieu et de Ses attributs. Et je parlais de cela, j’ai dit: «Dieu est comme un diamant.» Voyez-vous? Et j’ai dit: «Alors, ces dons dont vous parlez, ai-je dit, ils sont–ils sont juste des reflets de l’amour de Dieu.» Et j’ai dit: «Par exemple, en Afrique, on...»

56        Le président de la mine de Kimberly était l’un de mes huissiers dans la ligne. Il m’a amené dans la mine de diamant de–de Kimberly. Eh bien, vous pouvez en trouver dans la rue, mais n’osez pas en garder un à moins qu’il soit taillé. Il doit être taillé par la société. Ainsi donc, un gros diamant, quand vous le trouvez, il n’a pas d’éclat. Non. Il doit être taillé à cet effet.

57        Et c’était Dieu, et Il devait être blessé pour nos péchés et brisé pour nos iniquités. Et Il est le grand Diamant. Et quand donc vous taillez un diamant (avez-vous déjà remarqué?), vous le taillez en lui donnant une forme triangulaire, et quand le soleil frappe dessus, cela reflète sept couleurs. Voyez-vous? Et quand on regarde le rouge à travers le rouge, cela paraît blanc. Savez-vous cela? C’est juste. Le rouge vu au travers du rouge, c’est-à-dire le Sang, le Sang rouge en regardant... Quand Dieu regarde un pécheur rouge au travers du Sang rouge, cela rend celui-ci blanc. Il est dans le coeur. Voyez-vous?

58        Et–et ainsi donc, à ce propos, j’ai dit: «Dieu fut meurtri, taillé, brisé pour refléter ces rayons, quand ça frappe la–la glorieuse Parole de Dieu, ça reflète ce qu’est Dieu.»

59        Et ce monsieur Clibborn a dit: «Mais vous ne connaissez simplement pas votre Bible.»

60        J’ai dit: «Il se peut que ce soit vrai. Je connais très bien l’Auteur. C’est–c’est donc l’essentiel, quand je connais l’Auteur.» Le connaître Lui, que vous connaissiez toute la Parole ou pas; juste Le connaître Lui!

61        Je crois que c’est Hudson Taylor qui a parlé une fois au jeune missionnaire. Ce dernier a dit: «Monsieur Taylor, je viens de recevoir le Saint-Esprit, a-t-il dit, dois-je aller obtenir ma licence en lettres?» Il a dit: «Ne cherchez pas à faire briller la lumière quand le cierge sera à moitié consumée. Faites-la briller pendant qu’elle brûle.» C’est juste. En d’autres termes, si vous ne savez pas quoi dire, allez dire comment elle a été allumée. C’est déjà bon.

62        Et vous Hommes d’Affaires du Plein Evangile, faites de même. Vous ne–vous n’avez pas à attendre et à être un ministre; témoignez tout simplement de ce qu’Il a déjà fait pour vous. C’est pour cela que vous vous êtes rassemblés ici, c’est pour témoigner de ce qu’Il a fait pour vous. Cela fera briller la lumière pour les autres, afin qu’ils soient allumés à partir de cela. C’est de cette manière qu’on allumait les lampes dans le tabernacle, c’était l’une à partir de l’autre, il ne s’agissait pas d’une lumière étrangère, d’une nouvelle lumière, mais de la même lumière. Cela veut dire que c’est le même Dieu tout du long qui fait briller la lumière.

            Parlons maintenant à ce Grand Auteur, alors que nous inclinons la tête.

63        Père céleste, de nous réunir maintenant dans les lieux célestes... Nous sommes conscients que ceci n’est pas le bâtiment d’une église, il n’y a point de doute que les Kiwanis et de nombreux autres ordres, les Lions et–et tout, se réunissent ici. Mais ce matin, c’est une église parce que les–les délégués du Royaume s’y sont rassemblés. Néanmoins, nous sentons déjà à partir de ces témoignages et de ces hymnes, nous sommes–nous sommes conscients de la Présence du Grand Roi. Nous savons qu’Il est ici.

64        Et nous maintenant, comme des enfants, en T’offrant les louanges de nos lèvres, oh! peut-être pas de manière ordonnée, Seigneur, mais il s’agit juste des enfants; Tu les comprends. Peu importe combien nous pourrions essayer d’utiliser nos–nos manières et notre intellect, cela pourrait ne pas venir du coeur; ce serait quelque chose d’artificiel que nous simulons. Mais quand nous T’offrons de tout notre coeur l’adoration qui s’y trouve pour Toi, je suis sûr que cela sera accepté.

65        Nous Te prions maintenant de nous lier avec la corde du Saint-Esprit, d’unir nos coeurs et de nous parler au travers de la Parole de Dieu.

66        Bénis ce petit chapitre, Seigneur; donne-lui de la force. «Moi l’Eternel J’ai planté; Je l’arroserai jour et nuit de peur que quelqu’un ne l’arrache de Ma main.» Je prie, Seigneur, en tant que Ton serviteur, bénis-les. Fortifie-les, Seigneur, pour l’amour du Royaume.

67        Bénis chaque église qui est représentée ici ce matin ainsi que chaque personne. Et s’il y en a ici ce matin qui–qui ne sont pas réellement sauvés, je–je prie, ô Dieu, que ceci  soit l’heure où ils se rendront compte qu’ils ne sont pas prêts à faire face à la mort, et qu’ils reçoivent le–le don de la Vie Eternelle au travers de Ton Fils Jésus-Christ. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

68        Bon, je pense que pendant des réunions je vous ai prêché si durement et tout, pendant des réunions; je ne veux pas prendre–prêcher un sermon. Et je pense que ce n’est pas vraiment correct de tenir une–une réunion sans lire la Parole et parler un petit peu de la Parole. Ainsi, j’ai choisi ici dans la Parole juste un–un petit drame, une petite histoire. A certains d’entre vous, j’ai apporté cela à deux ou trois reprises, mais je pense que ça vaut encore la peine; vous pouvez me supporter un tout petit moment avec ceci.

69        Je vais lire dans le Livre de Saint Luc, au chapitre 19, à partir du premier verset. Je pense que c’est un petit texte très étrange à apporter à un endroit comme celui-ci. Mais cependant toute la Parole est inspirée, Elle est à Sa place, et je crois que Dieu va prendre cette Parole pour La placer parfaitement là où il faut ce matin.

          Jésus, étant entré dans Jéricho, traversait la ville.

          ...voici, un homme riche, appelé Zachée, chef des publicains, cherchait à voir qui–qui était Jésus;

70        Permettez-moi de lire cela de nouveau, parce que je désire mettre l’accent sur ceci:

          Il cherchait à voir qui était Jésus;

          Mais il ne pouvait pas y parvenir, à cause de la foule, ou car il était de petite taille.

          Il courut en avant, et monta sur un sycomore pour le voir, parce qu’il devait passer par là.

          Lorsque Jésus fut arrivé à cet endroit, il leva les yeux et lui dit: Zachée, hâte-toi de descendre; car il faut que je demeure aujourd’hui dans ta maison.

71        Puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions à la lecture de Ceci, Sa Parole.

72        Concernant cet homme, ce petit personnage, notre scène s’ouvre à–à Jéricho. Eh bien, Jéricho était la ville la plus basse de–de la Palestine, et elle est située dans la vallée. Et–et Jérusalem est en haut sur la–la montagne, sur la colline.

73        Et si vous avez remarqué, Jésus, quand Il vint sur terre, Il a reçu parmi les hommes le nom le plus vil qui pouvait être donné. Son... était venu... Il était «Béelzébul», c’était le pire nom qu’on pouvait Lui coller; c’est-à-dire un «démon, un diseur de bonne aventure, un mauvais esprit.» Les gens traitèrent Son oeuvre de  mauvais esprit. L’église qui n’était pas préparée à Le rencontrer Lui a donné un nom horrible: Béelzébul.

74        Et quand Il est venu par la naissance la plus humble qui soit, Il était né d’une mère paysanne, qui n’avait même pas d’endroit où se coucher pour–pour mettre au monde cet Enfant. Et il nous est rapporté que Ses langes dont Il était emmailloté provenaient du joug d’un boeuf, dans une crèche, dans une étable puante, sur la crotte de l’étable. Et l’étable en question, ce n’était même pas une véritable étable; c’était une petite caverne sur le flanc de la colline.

75        Et Il traitait avec les personnes les plus basses, les plus pauvres. Et Il fut rejeté par les personnes les plus élevées de la société. Il fut rejeté par les Siens, l’église aurait dû Le reconnaître, mais ils ne L’ont pas reconnu. Ils n’avaient pas été instruits dans la Parole pour Le reconnaître.

76        Et nous voyons aussi qu’Il est allé dans la ville la plus basse qu’il y avait en Palestine: Jéricho. J’oublie de combien de mètres elle est plus basse que le niveau de la mer, très basse. Il s’est tellement abaissé que l’homme le plus petit de la ville a dû monter sur un arbre pour Le regarder en bas.

77        Mais, c’est ce que le monde pensait de Lui. Les gens Lui ont infligé la mort la plus cruelle, la plus atroce qu’aucun homme ne pouvait subir; Il est mort comme un malfaiteur. La mort la plus ignominieuse qu’Il pouvait subir, on L’a dépouillé de Ses vêtements; et, bien sûr, vous voyez sur les crucifix et autres qu’on a mis un tissu autour de sa taille. «Mais Il méprisa l’ignominie.» On L’a complètement dépouillé de Ses vêtements, on L’a cloué sur la Croix ignominieusement. On Lui a fait subir la mort la plus vile, la plus atroce qui puisse être infligée. Et c’est ce que le monde pensait de Lui.

78        Mais Dieu L’a élevé au point de Lui donner un Nom qui est au-dessus de tout nom qui puisse être nommé dans les cieux ou sur la terre; Il L’a tellement élevé, Il a tellement élevé Son Trône qu’Il doit baisser le regard pour voir le Ciel. C’est ce que Dieu pensait de Lui. Je suis certain que c’est ce que nous pensons aussi ce matin. Son Nom est au-dessus de tout nom, au-dessus de tout nom qui puisse être nommé. Même toute la famille dans les cieux et sur la terre porte le Nom de Jésus. Et en ce Nom tout–tout genou fléchira, et toute langue Le confessera.

79        Zachée était juste un–un homme d’affaires de la ville de Jéricho. Et il était sans doute un–un homme bien à sa manière. Il–il était... disons, je crois, qu’étant un homme bien tel qu’il l’était, il était certainement membre d’une église, l’une des dénominations de ce temps-là. Disons qu’il était un pharisien.

80        Et en fait, il ne partageait pas le point de vue de son épouse. Disons que son épouse s’appelait Rebecca. Et il ne partageait pas son point de vue parce qu’elle avait cru en Jésus. Elle croyait qu’Il était exactement ce qu’Il était, le Messie, parce qu’elle L’avait vu manifester le signe du Messie. Elle, étant une Juive, les Juifs veillent aux signes et aux prophètes; car, tel devait être leur messager. Voilà pourquoi ils n’auraient jamais dû manquer de Le reconnaître, parce qu’Il venait en tant que Fils de l’homme.

81        Lisez la suite de ce contact ici avec Zachée. «Car le Fils de l’homme est venu pour chercher et sauver ce qui était perdu.» Il est le Fils d’Abraham.

82        Alors, les gens l’accusaient de rester en compagnie des pécheurs. Nous voyons donc qu’ils auraient dû comprendre cela, mais ils ne l’ont pas compris. Ils avaient leur théologie qui consistait à–à mener une vie correcte et à être de braves gens et ainsi de suite, mais ils ne comprenaient pas ce que leur Messie devait réellement être.

83        Savez-vous que cela pourrait être encore le cas? Cela pourrait arriver si facilement que nous comprendrions mal la chose d’une façon ou d’une autre. Eh bien, il n’y a qu’un seul moyen pour être sûr; c’est de trouver ce qu’Il était. Et puis, les Ecritures disent: «Il est le même.» Voyez comment Il se manifestera au temps de la fin. C’est écrit. Voyez-vous, Il ne fait jamais quelque chose sans qu’Il le révèle premièrement. Il l’a dit dans les Ecritures: «Il ne fait rien sans qu’Il le révèle à Ses serviteurs les prophètes.» Et Il l’a révélé. Et Ceci, c’est Son prophète; Ceci, c’est un Livre des prophéties, c’est la révélation complète de Jésus-Christ d’un bout à l’autre. Rien ne doit Y être ajouté ni En être retranché. Et nous devrions Le sonder pour voir dans quel jour nous vivons, car nous pourrions être tombés dans le même piège.

84        Nous voyons donc qu’à cette époque, cet homme de Zachée, notre petit personnage de ce matin, cet homme d’affaires de–de Jéricho, nous... il est possible qu’il fût membre des Kiwanis, s’il existait une telle organisation, ou quelque chose qui symbolise cela. Il–il se peut qu’il ait été membre de l’un de ces grands ordres qu’il y avait là à Jéricho. Sans doute qu’il était un homme remarquable pour son–son époque, et il était membre de l’église.

85        Mais ce que nous trouvons de mal, c’est qu’il s’était rangé du côté de l’opinion moderne, de l’opinion populaire au sujet de Jésus. Et Jésus est la Parole; et la Parole manifestée, c’est Jésus. Voyez-vous? Et ainsi, il s’était rangé du côté de l’opinion populaire qui disait qu’Il n’était pas un prophète, qu’Il n’était qu’un–un–un... Je ne voudrais pas prononcer ce mot, comme on le dirait aujourd’hui, un bluffeur, juste quelque chose de fabriqué.

86        Mais, voyez-vous, Satan peut imiter cela si parfaitement qu’il serait difficile de distinguer le vrai du faux. Jésus a dit qu’il en serait ainsi dans les derniers jours, qu’il y aurait tant d’imitations, comme Jannès et Jambrès qui s’opposèrent à Moïse.

87        Rappelez-vous, ces deux hommes étaient capables de faire tout ce que Moïse et–et Aaron pouvaient faire. Mais la seule chose que Moïse connaissait, et un... confirmé... Eh bien, Jannès et Jambrès ne sont jamais venus pour délivrer les esclaves. Moïse vint au Nom de l’Eternel pour délivrer les esclaves, voyez-vous, parce que cela figurait dans les Ecritures. Il fut dit à Abraham: «Ta postérité séjournera pendant quatre cents ans, mais Je les ferai sortir.» Ainsi Moïse avait l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Mais les autres pouvaient imiter n’importe quel genre de don qu’eux pouvaient produire. Et sachant cela, ils n’ont pas accordé la moindre attention à leurs imitateurs; ils s’en sont tenus rien qu’à la Parole. Dieu a fini par le confirmer.

88        Et, vous savez, Il a dit qu’il en serait ainsi dans les derniers jours: «De même que Jannès et Jambrès s’opposèrent à Moïse, ces hommes feront de même, étant corrompus d’entendement, réprouvés en ce qui concerne la vérité.» C’est juste, voyez-vous, simplement des imitations. Ainsi, cela jette les gens un peu dans la confusion.

89        Des fois, vous les réprimandez, mais cependant ce–ce n’est pas parce que vous ne les aimez pas. C’est parce que vous les aimez réellement.

90        Et supposons que vous trouviez votre petit garçon assis ici au milieu de la rue et que vous vous avanciez et disiez: «Mon cher Junior, je ne pense pas que tu devrais t’asseoir là», et que lui rétorquait: «Occupe-toi de tes affaires.» Vous lui donneriez une petite... Comment appelle-t-on encore cela, comme ce que mon papa me donnait? Une petite stimulation du protoplasme au derrière. Est-ce comme cela–comme cela qu’on prononce ça? C’est ce qu’il lui faudrait.

91        Et c’est donc ce que vous devez donner parfois à l’église; ce n’est pas parce que vous n’aimez pas Junior, c’est plutôt parce que vous l’aimez réellement. Voyez-vous? L’amour est correctif.

92        Cela... Jésus n’était pas méchant à leur égard. Il les aimait, et Il devait les corriger.

93        Nous voyons donc ce petit homme et Rebecca, sa femme. Et elle croyait qu’Il était un prophète, le Prophète. Ils n’avaient pas eu de prophète depuis des centaines et des centaines d’années. Ils savaient que le prochain qui viendrait sur la scène, le vrai prophète qui viendrait ensuite, ce serait Lui. Voyez-vous, ils savaient que cela devait venir parce que ç’avait été prophétisé. Il n’y avait donc plus eu de prophète; et alors, Il est venu sur la scène. Et elle avait vu ce signe messianique, elle savait que c’était cette Parole-là. Vous voyez, elle avait sondé cela.

94        Notre drame commence donc ici. Ç’a dû être une nuit terrible pour le petit gars. C’était une nuit agitée, et il n’arrivait pas à dormir. Il ne cessait de se retourner sur son oreiller pendant toute la nuit. Beaucoup d’entre nous savent ce qu’est ce genre de nuits.

95        Vous voyez, Rebecca savait. Elle était en contact avec les disciples et tous les autres. Elle savait que Jésus devait entrer dans la ville le lendemain matin. Et elle était si préoccupée pour son–pour son mari qu’elle voulait qu’il soit amené à rencontrer Jésus face à face. Et si jamais vous vous tenez face à face avec Lui, cela vous fait quelque chose. Il n’est pas comme les autres hommes. Il est différent. Et elle voulait qu’il soit sûr qu’elle avait vu cet Homme, qu’elle avait vu Son oeuvre, et qu’elle savait qu’Il était ce Messie-là. Bien que les sacrificateurs et les autres aient dit: «C’est de la foutaise. C’est juste de la contrefaçon. C’est–c’est un canular.» Mais elle, elle croyait la chose; ainsi, elle priait.

96        Eh bien, Rebecca, si tu veux vraiment amener ton homme d’affaires Zachée devant Jésus, mets-toi simplement à prier; il ne sera plus tranquille.

97        Ainsi, le moment était très proche; Jésus devait donc passer par là le lendemain matin. Alors, pendant toute la nuit, Zachée se retournait dans le lit, et il était misérable. Et elle, couchée là, priait. Et sans doute que la nuit, quand ils se réveillaient, elle disait: «Merci, Seigneur, je sais que Tu es en train d’agir sur lui.»

98        Eh bien, quand vous commencez à voir votre Zachée qui n’arrive pas à rester tranquille, dites tout simplement: «Merci, Seigneur, Tu es en train d’agir sur lui maintenant.» Quand vous le voyez devenir si grincheux, et qu’il ne veut plus que vous alliez à l’église, vous voyez, en disant: «Eloigne-toi de cette bande-là. Ne va plus là-bas. C’est de la foutaise.» Soyez simplement patiente. Dieu est à l’oeuvre. Voyez-vous? C’est comme ça qu’Il le fait. Voyez-vous? L’homme devient tout simplement si agité qu’il n’en peut plus.

99        Nous voyons donc que, le lendemain matin, très tôt, notre petit personnage sort furtivement du lit et va faire sa toilette, et il met sa meilleure tenue, vous savez, la plus belle robe qu’il avait, et il soigne sa barbe et se peigne les cheveux. Rebecca jette un coup d’oeil du dessous la couverture, elle le voit. Elle comprend aussitôt que quelque chose se passe. Il va à pas de loup donc à la fenêtre, et jette donc un coup d’oeil pour voir si elle regarde, si elle est éveillée. «Non, elle n’est pas éveillée», se dit-il. Il soulève le rideau et regarde dehors, et c’est l’aube; ainsi, il s’apprête complètement.

100      Vous voyez, quand vous vous mettez à prier pour quelqu’un, quelque chose commence à se produire. C’est là que nous faillissons, mes amis, nous ne prions pas. La prière est la chose principale. «Demandez et vous recevrez. Vous ne possédez pas parce que vous ne demandez pas; vous ne demandez pas, parce que vous ne croyez pas. Demandez beaucoup afin que votre joie soit parfaite. Demandez et croyez que vous recevrez ce que vous avez demandé.» Ensuite, accrochez-vous-y. Ne lâchez pas cela. Si c’est une promesse qui est dans la Bible, et qu’il vous a été révélé que Dieu va vous l’accorder, accrochez-vous-y.

101      C’est tout simplement ce qu’elle a fait–qu’elle a fait. Il lui a été révélé que son Zachée allait être sauvé; c’est pourquoi elle s’est fermement accrochée à la chose.

102      Ainsi, comme il allait franchir la porte, elle a dit: «Zachée, pourquoi t’es-tu levé si tôt ce matin?»

103      «Oh! a-t-il dit, chérie, je me suis dit que je devrais, euh, euh...» Vous savez, vous pouvez présenter toutes sortes d’excuses, Zachée. «Je me suis dit que je devrais sortir pour prendre de l’air–de l’air frais. Tu sais, un peu de...» Peut-on faire sa toilette juste pour cela? Vous comprenez? Mais elle a compris quelque chose.

104      Le voilà donc qui sort, en regardant en arrière vers la maison, vous savez, alors qu’il sort dans l’allée, il regarde en arrière. Elle épiait au travers du treillis, vous savez, regardant pour voir ce qui se passait, elle a directement compris. Elle s’est mise à genoux, elle a dit: «Merci, Seigneur. Je crois que c’est réglé maintenant. Nous l’avons amené à bouger.»

105      Si donc vous avez votre Zachée à la réunion ce matin, il est en train de bouger. Il–il pourrait être assis ici, il est donc en train de bouger. De toute façon, nous l’avons amené à bouger  jusqu’à ce point.

106      Il est donc sorti, en regardant derrière, pour voir si quelqu’un l’observait, vous savez. Il a dit: «Maintenant, sais-tu ce que je vais faire?» Passons de nos pensées à ses pensées à lui: «Ma femme est tout embrouillée dans cette histoire  de ce soi-disant prophète de Galilée, alors que mon–mon sacrificateur et mon pasteur me disent que pareille chose n’existe pas en ces jours-ci. Tous ces miracles et tout, ce n’est qu’une sorte de canular. C’est de la foutaise. Sais-tu ce que je vais faire? Je vais aller directement lui dire ses quatre vérités. En fait, cela va faire de moi un homme remarquable dans cette ville (voyez-vous?), quand je pourrais Le dénoncer en face. C’est ce que je vais faire.» Ainsi, le voilà partir.

107      Il a dit: «Maintenant, Il va entrer par le sud, non, plutôt par le nord, en descendant de Jérusalem, Il... Il descendait de Dan vers Beer Schéba.» Il a dit: «Je vais–je vais–je vais... Il vient de Jérusalem, je vais–je vais donc aller là, à la porte du nord. Je vais L’intercepter pendant qu’Il fait son entrée. Et je vais me tenir juste là, et je vais bien Le regarder, et je vais Lui dire ses quatre vérités.»

108      Oh! comme il y a de nombreux Zachée aujourd’hui, qui parlent de Jésus dans les réunions, disant: «C’est une bande de saints exaltés. C’est de la foutaise. Si jamais j’attrapais cet homme, il saurait de quel bois je me chauffe!» Voyez-vous?

109      Il se dirige donc vers la porte. Mais ce qui est étrange, vous savez... Il voulait se trouver une place juste à la porte, et Lui dire qu’il était un homme d’affaires; il était membre des Kiwanis; il–il était membre des associations et–et de tous les clubs des étudiantes de la ville. Il–il était–il était l’un des officiels de la place, et il était un homme distingué et respecté. C’était un citoyen honorable. Et–et il voulait vraiment Lui signifier qu’Il n’avait pas besoin de venir dans cette ville-là; qu’ils avaient beaucoup de prédicateurs et beaucoup d’églises; qu’ils n’avaient pas besoin de Ses idées là-bas. Ainsi, il descend la rue en se pavanant, son petit torse bombé, vous savez. Et, oh! la la! Comment? Eh bien, il est possible que le rabbin fasse de lui un diacre s’il faisait une telle chose. Il se rend donc à la porte.

110      Mais c’est étrange. Eh bien, vous savez, pour une raison ou une autre, c’est drôle, mais partout où Jésus apparaît, il y a d’habitude quelqu’un pour L’écouter. Voyez-vous? Et avant qu’il n’arrive là, il–il a entendu un bruit. Et les gens chantaient toutes sortes de cantiques et–et disaient: «Gloire à Dieu dans les lieux très hauts!», et ils chantaient tous ces merveilleux hymnes; et certains criaient et hurlaient. N’est-ce pas étrange que là où se trouve Jésus, il y ait toujours beaucoup de bruit? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Voyez-vous? C’est juste...

111      Vous savez, Il entra au temple et–un jour, c’était plutôt à Jérusalem. Et alors, les gens ont coupé des rameaux et ils criaient. Et là se tenaient ces grands professeurs de la haute société et tout, les prêtres ont dit: «Dites-leur de se taire.»

112      Il a dit: «S’ils se taisent, les pierres crieront immédiatement.» Voyez-vous? Quelque chose va crier quand Il est là. C’est juste.

113      Vous savez, quand Aaron entrait dans la Shekinah, quand il se tenait devant la Shekinah, il devait être oint, et il devait... ses vêtements devaient avoir une grenade et une clochette. Et c’est de cette seule façon-là qu’on savait qu’Aaron était toujours vivant, quand on entendait ce bruit. Et alors, je pense que c’est là la seule façon que Dieu sait si nous sommes en vie ou pas, quand vous entendez un petit bruit. Quand vous voyez quelque chose qui est vraiment mort, c’est que–c’est que quelque chose est arrivé à cela. Il pouvait donc savoir s’il était vivant ou pas par le bruit qui était produit.

114      Ainsi Zachée a entendu tous ces bruits là-bas. Et quand donc il est arrivé là, les gens s’étaient entassés aux portes, le long des murailles et tout. Et après tout, il était un tout petit homme, il s’est donc dit: «Comment vais-je Le voir? Il y aura tant de ces saints exaltés tout autour de Lui, si bien que je–je ne saurai pas Le voir. Ainsi, vous savez, s’est-il dit, je suis sûr d’une chose; je ne saurai pas Le voir ici, parce que je suis trop court.»

115      Mais je sais qu’Il va aller prendre Son dîner chez mon concurrent. Alors, je ne comprends pas, s’Il était un homme intelligent, Il viendrait là où je tiens mes affaires, à mon restaurant. Mais Il va chez Lavinski.» Ou plutôt... J’espère qu’il n’y a pas un Lavinski ici. «Ainsi, de toute façon, Il se rend donc à son restaurant. Et en fait, moi, je sers le meilleur repas et–et pourquoi un homme devrait même... Et pendant que Rebecca est membre de Son église, et alors, Il va à un tel endroit?»

116      «Eh bien, s’est-il dit, je sais une chose, je vais descendre là, au croisement de l’avenue Alléluia et de l’avenue Gloire. Il va passer par là.» C’est vrai. Juste là, au bas de cette rue de la ville, au croisement de l’avenue Alléluia et de l’avenue Gloire. Vous pouvez toujours Le trouver juste là.

117      Il a donc quitté la foule et il a couru là, et il pensait donc, comme il s’était endimanché, il s’est dit: «Maintenant, quand Il arrivera au coin, je vais Lui parler; je vais Lui dire ses quatre vérités. Il doit passer par ici, ainsi je vais–je vais–je vais... Quand Il passera.» Alors, Il s’est mis à réfléchir: «Tu sais quoi, cette foule va Le suivre.»

118      Les gens Le suivent toujours. «Là où se trouve le corps, là s’assembleront les aigles.» Pas les poulets, les oiseaux liés à la terre. Les aigles qui volent dans le ciel se rassembleront autour du corps. Le poulet est son cousin, vous savez; il est ici en bas, là où les rats et tout le reste peuvent le manger. Mais l’aigle place son nid tout en haut, là dans l’arbre; rien ne peut l’atteindre. Les parasites ne le dérangent pas; il vole trop haut. Eh bien, les prédateurs et les rongeurs et tout ne vont pas le déranger; il est un aigle. Ils veulent la nourriture d’aigles. La voici.

119      Vous savez, Jéhovah Lui-même est un Aigle, et Il nous appelle des aiglons. Ses prophètes sont des aigles, des voyants.

120      L’aigle monte si haut qu’il n’existe point d’autre oiseau qui puisse le suivre. Eh bien, si le faucon essayait de le suivre, il se désintégrerait. C’est juste. C’est le problème aujourd’hui, tant de gens essaient d’imiter. La chose sera bien vite mise à nu. Qu’il monte un peu plus haut, toutes ses plumes vont se détacher et s’envoler. Ils vont bientôt être dévoilés. C’est juste. Ils seront cloués au sol. Rappelez-vous, ça doit être un oiseau à la constitution spéciale. Et l’homme qui peut suivre cette Parole doit avoir une constitution spéciale, qui est l’oeuvre de Dieu, pas d’un séminaire. Nous voyons que lorsqu’il... Plus il monte, si ses plumes ne peuvent pas rester en place, à quoi cela lui servira-t-il?

121      Et, autre chose, quand il arrive là-haut, qu’arriverait-il si en arrivant là-haut, il est aveugle et ne voit rien? Voyez-vous, il doit avoir des yeux pour voir, pour comprendre ce qu’il fait quand il est là-haut. Il en est de même des aigles de Dieu. Plus vous montez, plus vous voyez au loin, vous revenez, et vous prédisez ce qui est sur le point d’arriver. Comprenez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Je pense que ce frère de couleur qui est là derrière peut très bien comprendre cela ce matin. Voyez-vous. Maintenant, remarquez.

122      Ensuite, nous voyons qu’il s’est dit: «Si je me tiens ici, avec ce même groupe qui fait du bruit, Il n’entendra pas ma voix. Ils crient et ils font des histoires, la réprimande que je vais Lui adresser ne représentera rien.» C’est bien. Ainsi, ensuite il a dit: «Mais tu sais ce que je vais faire? Je vais te dire ce que je vais faire. Il y a un sycomore qui est là. Et je vais monter dans ce sycomore et quand Il passera, je Le verrai. Alors, je vais directement m’avancer là sur l’une des branches et je vais Lui dire ce que j’ai à Lui dire. Il saura que je suis Zachée, le membre de cette merveilleuse dénomination par ici. Je vais Lui dire de quel groupe je suis membre et ce que mon prêtre pense de Lui.» Eh bien, ça peut être très bien.

123      Il regarde tout autour et il se dit: «Eh bien, la chose suivante, la première branche est située à une hauteur d’environ–d’environ dix pieds [3 m]» Et lui ne mesure qu’environ quatre pieds [environ 1,21 m], ainsi comment va-t-il obtenir les six pieds [1,82 m] qui lui manquent? Voyez-vous? Il se demande donc comment il peut monter là. Il n’y a aucun autre moyen pour lui d’y parvenir, et il est obligé de monter sur cet arbre. Il regarde donc tout autour, il n’y a rien, sauf... Vous savez, les éboueurs n’étaient pas encore passés ce matin-là, et les poubelles étaient posées au coin. Il s’est dit: «Si seulement je peux amener ici cette poubelle, alors je... Cela me permettra d’être suffisamment haut pour monter là et saisir cette première branche. Mais, je suis déterminé à Le voir. Je vais Le voir.»

124      Vous savez, il y a quelque chose là-dedans, quand un homme désire voir Jésus, il passe par des choses des plus radicales. Voyez-vous? Mais, voyez-vous, Dieu traitait avec lui. Qu’était-ce? La prière de Rebecca est en train d’être exaucée. Voyez-vous?

125      Eh bien, il va là. Et le ramasseur n’était pas encore passé ce matin-là, et la poubelle était très lourde, ainsi, il ne pouvait pas la soulever. Il est trop petit de taille. Il a donc essayé, et il n’y est pas arrivé. Il n’y avait qu’un seul moyen pour qu’il y arrive, c’était de la prendre avec ses bras et de la soulever. Pourtant, il est vêtu de sa meilleure robe.

126      Mais il y a quelque chose à ce sujet, quand vous désirez tant voir Jésus, vous ferez n’importe quoi. Voyez-vous? Vous–vous ferez simplement n’importe quoi, si vous désirez tant Le voir. Il s’avance donc là et il... Voyez-vous, Satan va essayer de vous empêcher de le faire aussi. En toute chose, il va mettre... Il va présenter un défaut chaque fois pour vous empêcher de Le voir. Il va vous aveugler avec tout ce qu’il peut. Mais si vous êtes déterminé, Dieu frayera une voie pour vous. Il passe aussi par ici ce matin. Ne laissez pas Satan mettre un obstacle sur votre chemin, votre temps, et ceci cela, «je dois faire ceci cela». Tenez-vous tranquille un instant.

127      Ainsi, il s’abaisse, il se penche, avec sa robe sur lui. Certainement qu’il se salit maintenant. Il saisit ce sceau rempli de détritus. Juste au moment où il le saisit et commence à le transporter, voilà venir ses concurrents au coin de la rue.

128      C’est comme ça ici, Zachée. Tu as dit que tu ne te mêlerais jamais à une bande de saints exaltés, mais t’y voilà.

129      Eh bien, le–le voici. Il se tient ici maintenant avec ce sceau rempli de détritus, le visage rouge. Eh bien, le concurrent a dit: «Tiens, regardez, voilà Zachée, le propriétaire du restaurant qui est là; il a changé de travail. Il a obtenu un nouveau poste. Eh bien, vous savez, il est un–il est un... Il travaille pour la ville, dans le service des éboueurs.» Eh bien, il y a de toute façon quelque chose là-dessus; quand vous êtes déterminé à voir Jésus, vous feriez n’importe quoi. Il tient vraiment cela, la face rougie, le visage enflé. Et le voilà aller, il va directement de l’autre côté et pose cela. Il regarde tout autour, il laisse les autres prendre le tournant.

130      Alors, il monte sur la poubelle, et il se hisse sur l’arbre. Oh! excusez-moi, je n’aurais pas dû lui dire cela. Se hisser [en anglais «shinny»], vous savez, ce–c’est un... Combien savent ce que c’est que «se hisser sur l’arbre.» Eh bien, alors que ça ne fait pas de problème. Voyez-vous, en d’autres termes, il grimpe sur l’arbre.

131      Et il arrive là-haut, et le voilà qui s’assied là. Vous parlez d’un gâchis, il était tout couvert de détritus, il était tout sale.

132      Et parfois, Dieu vous laisse en arriver à ce point. Amen. Aujourd’hui j’ai entendu quelqu’un dire, vous connaissez leur nouvelle manière? J’espère que cela ne s’introduira jamais parmi nous les pentecôtistes, bien que je voie cela s’infiltrer; la personne entre, reçoit une poignée de main en disant: «Je–j’accepte Jésus comme mon Sauveur personnel.» Moi, j’aime le voir s’agenouiller là à l’autel et mourir, frapper, crier et baver. Et, vous savez, quand vous... Nous faisions l’élevage des chevaux, et lorsque nous leur donnions des trèfles, ces très bons et doux trèfles, avec du miel dedans, cela les faisait baver. Quand vous vous approchez suffisamment de Canaan, vous bavez un petit peu aussi, vous savez, à force de prendre de ce miel de Canaan.

133      Maintenant, nous le voyons donc là-haut dans cet arbre, ôtant les détritus de sa nouvelle... Il ne pensait pas qu’il ferait cela. Que quelqu’un se mette seulement à prier pour vous, vous ferez des choses étranges. Et il enlève cela comme cela; et il a plein d’échardes dans ses genoux et sur les mains, il est assis là à les retirer. Il dit: «Eh bien, maintenant, me voilà dans de beaux draps! Me voici assis ici.» Il dit: «Tu sais, Rebecca m’a dit que cet Homme est un prophète. Eh bien, je–je vais attendre; je vais me cacher.» Il est donc assis là au croisement de deux branches; ça fait un bon endroit où s’asseoir.

134      Et après que vous êtes parvenu jusque-là, et que vous êtes arrivé jusqu’ici ce matin, Zachée, vous vous tenez vous aussi au croisement de deux chemins, le vôtre et celui de Dieu. Voyez-vous? Du moment que vous étiez vous-même assez disposé pour venir ici ce matin, eh bien, les prières de Rebecca sont sur le point d’être exaucées. Mais vous vous tenez là au croisement de deux chemins maintenant, le vôtre et celui de Dieu. Voyez-vous?

135      Et il était assis là et il s’est dit: «Elle a dit qu’Il était un prophète. Toutes ces choses, Il pouvait percevoir les pensées des coeurs des gens et les leur révéler, et leur dire ce qu’était leur problème. Et, oh! cette histoire au sujet de Nathanaël, qui est venu et Il lui a dit qu’il était là-bas, sous un arbre. Tu sais, je ne voudrais pas prendre le risque. Je vais me couvrir ici en haut dans l’arbre. Ainsi, je suis aussi dans un arbre. Et de toute façon, je ne crois donc pas qu’Il soit un prophète. Je ne le crois pas, car mon prêtre me dit que les prophètes n’existent pas. Cela fait quatre cents ans que nous n’en avons pas eu.»

136      Ainsi, là vous comprenez bien sûr que je donne ici un drame pour faire une observation.

137      Il prend donc toutes les branches et les ramène autour de lui, tout autour, il se cache très bien. Il dit: «Maintenant, quand Il montera l’avenue Alléluia, à partir de l’avenue Alléluia, Il empruntera l’avenue Gloire. Ainsi, juste ici au coin, quand Il viendra par là, quand Il prendra le tournant, je vais laisser une grande feuille ici afin que je puisse regarder et Le voir. Je vais la soulever. Il ne me verra pas, pas ici en haut. Et alors, quand Il passera et que je L’aurai bien en vue, sais-tu ce que je vais faire? Je vais écarter ces branches et après qu’Il sera passé ici, je vais Lui dire ses quatre vérités. Je vais Lui dire un mot.» Ainsi, il est resté assis là un petit moment.

138      Au bout d’un moment, il a entendu un bruit approcher. D’habitude, quand Jésus vient, ces bruits L’accompagnent. Le voilà donc qui prend le tournant. Ainsi il... Quelle est la première chose qu’il voit? Un groupe de gens qui se rassemblent dans les rues. Il s’est dit: «Ça me fait plaisir d’être ici en haut dans cet arbre; ainsi, je ne vais pas me confondre encore avec ces gens.» Le voici donc ici en haut dans l’arbre, assis là, complètement camouflé pour que personne ne puisse le reconnaître; ses concurrents ne pourront savoir qu’il est en haut dans l’arbre en ce moment. Il a donc juste cette seule feuille qu’il relèvera pour regarder, et qu’il abaissera de nouveau, et le reste de son corps était tout couvert. Il a donc relevé la feuille et voilà les gens qui se rassemblent aux coins des rues.

139      Et vous savez, voilà venir monsieur Dupont avec cette enfant malade. Il avait alors entendu les–les sacrificateurs et les médecins, juste dans son propre restaurant s’entretenir à ce sujet l’autre jour, disant que cette enfant était mourante, qu’il avait une fièvre que le médecin avait essayé d’arrêter, et rien ne pouvait arrêter cela, et que cette enfant ne devait pas être déplacée de cette maison. Mais voici que son propre client est devenu un fanatique au point qu’ils ont sorti cette enfant sous ce vent froid de mars. Et voilà qu’ils l’avaient enveloppée dans une couverture, une fillette d’environ dix ans. «Quel fanatique! La prochaine fois qu’il entrera dans mon restaurant, cette enfant sera bien sûr morte; je lui dirai quoi, je lui dirai ce que je pense.»

140      Au bout d’un moment, les bruits ne cessaient d’augmenter, et tout le monde a couru dans la rue. La première personne à tourner à l’angle de l’avenue Alléluia pour s’engager dans l’avenue Gloire, quand ils ont atteint la rue, nous voyons que c’est un très grand pêcheur costaud et chauve, répondant au nom de Simon; il disait: «Ecartez-vous, s’il vous plaît, les amis.» En voilà encore onze derrière lui, qui disaient: «S’il vous plaît, écartez-vous. Notre Maître a eu un grand service hier soir, et–et Il a dépensé de la vertu, et il y a eu de grandes visions. Et ce matin, Il est fatigué et Il–Il–Il s’en va prendre son déjeuner. Ecartez-vous, s’il vous plaît, en toute gentillesse.»

141      Et voilà la famille Dupont qui se présente avec cette enfant. Et le grand pêcheur et plusieurs autres ont dit: «Reculez, s’il vous plaît!»

            – Eh bien, nous avons ici une enfant qui va tout simplement mourir. Les médecins l’ont abandonnée. Voudriez-vous, je vous prie, nous permettre ne fût-ce que de coucher l’enfant...?

142      «Je m’excuse. Tout le monde voudra faire cela, je–je ne peux donc pas vous l’accorder. Vous devrez vous tenir là à l’écart. Il vient tout de suite. Je vous prie de vous mettre à l’écart.»

143      Ainsi, je peux alors voir, comme la petite sentinelle du haut de la tour, où il se trouvait dans l’arbre, en train d’observer, et il a vu monsieur et madame Dupont se mettre à genoux dans cette foule, et dire: «Seigneur Dieu, ne me passe pas. O doux Sauveur, écoute mon humble cri. Pendant que Tu appelles les autres, ne me passe pas.»

144      Et comme Jésus passait, Il s’est arrêté et a dit: «Monsieur Dupont, voulez-vous amener votre enfant ici?» C’était plutôt convainquant.

145      Il est le même aujourd’hui. Cela ne nécessite pas une carte de prière. Cela ne nécessite pas un groupe. Cela nécessite la foi, comme celle qu’avait l’aveugle Bartimée à l’autre bout de la porte, quand Jésus sortait de la ville. A deux cents yards [environ 182 m] de lui. Remarquez la distance, comment a-t-Il pu entendre sa voix? Mais, il a dit: «O Jésus, Fils de David», cela L’a arrêté, il avait touché Son vêtement. Il s’est retourné, et Il a dit: «Amenez-le ici.» Oui. Voyez-vous?

146      Et on a amené la petite enfant là. Il a imposé les mains à l’enfant, c’est tout ce qu’Il a fait. Quelques instants après, le père l’a récupérée, et voilà que l’enfant descendait la rue en courant. La fièvre l’avait quittée.

147      Cela l’a plutôt attendri un petit peu. Il a dit: «Je me demande bien s’Il pourrait être un Prophète?» Cela l’a amené plutôt à y croire.

148      Vous savez, il y a de telles choses qui nous convainquent, car Il est la Parole (non pas «J’étais»), «Je suis».

149      Et quand Jésus est arrivé sous l’arbre, Zachée s’est dit... Eh bien, il garde cette petite feuille relevée, tout en regardant en bas. Quand Jésus est arrivé sous l’arbre, il s’est dit: «Pourrait-Il être un Prophète? C’est possible.» Vous voyez, vous devez avoir la foi. «Pourrait-Il L’être?» Et comme Jésus passait sous l’arbre, la tête baissée, avec Sa douce démarche habituelle...

150      Il se passe quelque chose quand vous Le voyez; vous–vous–vous êtes changé. Vous ne pouvez plus être le même. J’ai entendu parler de Lui; vous avez entendu parler de Lui; mais quand je L’ai vu, Sa Parole, je–je–je ne pouvais plus être le même. Il y a quelque chose en Lui qui Le rend différent de tout autre homme. Il y a quelque chose chez Lui qui est différent des évêques, des cardinaux, des papes et ainsi de suite. Il... Il y a quelque chose chez Lui qui est différent.

151      Le petit Zachée était touché. Les prières de Rebecca avaient été exaucées. Et comme Jésus passait sous l’arbre, Zachée a dit: «Eh bien, je–je pourrais m’excuser auprès de Rebecca quand je rentrerai. Il est en route vers chez Lavinski; ça va. S’il va manger à un autre restaurant, pas de problème pour moi, ça ne me dérange donc pas.» Voyez-vous, il L’avait déjà vu.

152      Quand donc Jésus est arrivé juste sous l’arbre, Il s’est arrêté, Il a levé les yeux et a dit: «Zachée, descends. Je vais chez toi avec toi aujourd’hui pour le dîner.» Il savait qu’il était là-haut. Il savait qui il était.

153      Frère, soeur, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il doit passer par ici ce matin. Il est passé par ici dans la ville, Il est ici avec nous cette semaine.

154      Vous savez quoi? Si le président venait, si le président Johnson venait à Topeka, le drapeau serait hissé, les rues seraient décorées, et on lui réserverait un grand accueil. Mais Jésus peut venir, c’est à peine s’il y a quelqu’un qui désirerait venir Le voir. Il vous faudrait avoir une escorte de la police pour accueillir le président dans cette ville, et cependant, nous avons beaucoup de places assises. Voyez-vous la différence? Et les gens ne se soucient pas de Le voir.

155      J’espère que Zachée est ici ce matin. Et pendant que Jésus est en train de passer par ici... C’est Lui qui vous parle.

156      Il est descendu de l’arbre. Bien sûr, les critiqueurs voulaient dire: «Cet homme est un pécheur.»

157      Il a dit: «Seigneur, si j’ai fait tort de quelque chose à quelqu’un, je lui rendrai au centuple. Je vais restituer cela. Et si j’ai trompé un homme, je suis prêt à arranger la chose. Je–je suis prêt.»

            Inclinons la tête.

158      Zachée, es-tu prêt ce matin? Pourquoi ne descends-tu pas de l’arbre maintenant? Pourquoi ne viens-tu pas? Il passe par ici maintenant, Il passe par ton coeur, Il te parle. Y a-t-il... Pendant que vous avez la tête inclinée en prière, y a-t-il quelqu’un ici qui voudrait dire: «Frère Branham, j’ai été vraiment un peu sceptique tout ce temps»? Souvenez-vous, lui-même était un homme religieux. «J’ai été un petit peu sceptique, mais maintenant je crois. Viens au secours de mon incrédulité, ô Dieu.» Ne dites pas cela à frère Branham; en effet, personne ne regarde, sinon moi-même et Dieu: «Je vais donc lever la main et dire: ‘Ne me passe pas, ô Doux Sauveur. Ecoute mon humble cri. Fais de moi un vrai croyant, Seigneur. Viens, va avec moi chez moi aujourd’hui et demeure dans ma maison.’»

            «Il faut que Je demeure aujourd’hui dans ta maison.»

159      Voulez-vous lever la main et dire: «Souviens-Toi de Moi, ô Dieu»? Que le Seigneur vous bénisse, que le Seigneur vous bénisse, et vous aussi. «Souviens-Toi de moi, ô Dieu. Rentre avec moi chez moi ce matin. Je sais que Tu es ici. Je sais que Tu connais mon coeur. Tu me parles maintenant. Tu connais le mal que j’ai fait. Tu sais même que je suis membre d’une église du Plein Evangile, mais cependant j’ai été négligeant; je n’ai pas fait ce qui est juste. J’ai négligé les réunions de prière. J’ai mis tout le reste... J’ai fait des choses qu’en fait notre–notre foi ne soutient pas.

160      «Je–je suis–je suis une femme, et je sais que je me suis mal habillée. Je me suis coupé les cheveux. J’ai porté du maquillage. Et je suis censée être une femme du Plein Evangile, une soeur. Aie pitié de moi, Seigneur. Je–je désire que Tu rentres avec moi chez moi aujourd’hui, et je–je–je serai désormais un–un exemple vivant de Christ.» Sentez-vous la Présence de Dieu au point que vous pouvez lever la main et dire: «Priez pour moi.»? Que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse, et vous. Que Dieu vous bénisse, les soeurs. Oui.

161      Père céleste, des «Zachée-ettes» et des Zachées ont relevé la feuille et ont regardé. Ils ont reconnu que Jésus a vu où ils habitent et où ils en sont, et leur a révélé qu’ils ont tort. Beaucoup, beaucoup de mains ici se sont levées. Puisses-Tu rentrer avec eux chez eux aujourd’hui, Père. Va chez eux, vis dans leurs coeurs. Puissent-ils ne jamais oublier cette matinée. Bien que dans ses... les choses ridicules que je... et essayer d’entretenir un–un–un sens d’humour au milieu d’une foule mixte. Et maintenant, en ce moment où la chose est rendue claire, à savoir qu’il est seulement question de–d’amener les gens à comprendre la chose qui se tient ici ce matin, la Parole manifestée dans notre ville, parmi nous, le Seigneur Jésus Lui-même, la Parole faite chair, opérant Lui-même au travers de la chair humaine. Ô Dieu, puissent nos bien-aimés amis voir ceci et être amenés plus près de Toi.

162      Rentre avec eux à la maison, je Te le demande de nouveau, Père, va avec chaque Zachée et chaque femme, chaque Rebecca. Puisse-t-elle être sûre que ses prières ont été exaucées. Nous Te les confions maintenant. Et puissent-ils, sans hésiter, T’accepter dans leurs coeurs comme l’a fait ce Juif ce matin-là, bien qu’il était dans l’erreur. Jésus a dit: «Ne devrait-Il pas Lui aussi... vu qu’il est un fils d’Abraham?» Tu es donc prêt à rentrer avec nous chez nous, Père. Nous Te prions de ne jamais nous quitter. Pars avec nous au sortir de ce petit déjeuner, comme nous étions assis ici ce matin et que nous nous regardions à la table les uns en face des autres, étant heureux, avec un sens d’humour, nous serrant la main les uns aux autres, et avec amour les uns pour les autres, comme seuls les chrétiens peuvent le faire.

163      Et je pense que je–je–je pourrais ne plus jamais revenir ici. Il est possible que je–je ne rencontre plus jamais ce groupe comme ceci à un autre petit déjeuner. Mais je suis sûr, Père, que s’ils Te laissent rentrer avec eux chez eux aujourd’hui et demeurer avec eux, je les rencontrerai à un Souper, lorsque la bataille aura été remportée, et que la grande table aura été déployée au-delà de la voûte du ciel, et que nous nous assoirons et que nous nous regarderons les uns les autres par-dessus.

164      Et je regarde ce matin, des ministres assis ici, grisonnants, qui prêchaient quand je n’étais qu’un gamin. Je pense qu’ils ont seulement enlevé les souches, ont déblayé les chemins, et les ont aplanis pour ces dons dont ils ont prophétisé la venue. O Dieu, bénis-les, bénis-les tous. Bénis ces merveilleuses femmes qui se sont sacrifiées pour que leurs maris prêchent, et à cause des sacrifices qu’en fait tous les chrétiens font. Sois avec eux, Père.

165      Nous serons assis là ce soir-là, nous regardant par-dessus la table les uns les autres, et peut-être qu’à partir de ce matin nous ne nous reverrons plus jamais jusqu’à ce moment-là. Mais sans doute que les larmes de joie couleront aussi sur nos joues quand j’étendrai la main par-dessus la table et que je leur serrerai la main. Alors nous Le verrons venir. Nous serons si heureux que nous soyons descendus de l’arbre (peut-être d’un arbre de credo, d’un arbre de credo dénominationnel ou quelque chose comme ça), que nous ayons abandonné notre égoïsme, que nous ayons abandonné nos manières stupides ou–ou notre manque de considération pour Lui, et que nous soyons sortis de notre état d’aveugle pour entrer dans la Lumière. Nous en serons alors heureux, lorsque nous Le verrons venir là dans Ses robes royales, et parcourir la table et, de Ses précieuses mains, essuyer toutes les larmes de nos yeux, en disant: «Ne pleurez pas. C’est terminé. Entrez dans les joies du Seigneur qui ont été préparées pour vous depuis la fondation du monde.» En attendant, Père, demeure avec nous, rentre avec nous chez nous et reste avec nous jusqu’à cette heure-là. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

166      [Une soeur parle en langues. Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Je L’aime, je L’aime

            Parce qu’Il... le premier.

167      Quand je suis monté sur l’arbre, Il m’aimait toujours.

                 Et a-... (Voyez sur quel arbre Il est monté: une croix, un arbre méprisé.)

                 Sur le bois du Calvaire.

            Je...

168      Considérez sur quel arbre Il est monté, pour vous faire descendre de votre arbre.

169      Eh bien, vous ne pouvez pas L’aimer sans vous aimer les uns les autres. Je... Maintenant, tendez carrément la main par-dessus la table, et dites: «Que Dieu te bénisse, pèlerin», vers quelqu’un juste en face de vous.

                 Parce qu’Il m’aima le premier

                 Et acquit mon salut

                 Sur le bois du Calvaire.

170      Ne L’aimez-vous pas du fait qu’Il est monté sur cet arbre pour vous, afin de vous faire descendre de votre arbre? Ne voulez-vous pas Le laisser rentrer avec vous chez vous ce matin? Combien veulent L’amener avec eux? Levez la main. [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Que Dieu vous bénisse.

171      Hommes d’Affaires, j’aimerais vous parler juste un instant avant de partir.

172      Eh bien, si vous n’êtes pas un chrétien, si vous ne vous êtes pas associé, vous les chrétiens, vous, si vous avez accepté Christ quand vous avez levé la main, allez auprès de l’un des pasteurs qui sont ici, dites-leur ce que vous avez fait. Ils vous recevront. Quelqu’un ou un pasteur a écrit une lettre sur ceci, concernant ce garçon-ci, ce frère de couleur. C’était la grâce hier soir, ce jeune homme était assis là, observant cela et il a cru cela. Voyez-vous cela? Voyez-vous? Comment ce garçon... comment l’Esprit s’est retourné. Billy me le relatait ainsi que ma femme et les autres, après notre retour à la maison. Il s’est retourné quand Il était à ce coin, Il s’est retourné ici et Il a trouvé celui-là, vous  voyez, pour le ramener à la Maison. La souveraineté! Amenez-Le avec vous. Allez, joignez-vous à un groupe quelque part où vous pouvez communier, qui prêche la pleine Parole de Dieu. Et tenez-vous-en à cette Parole, quelles que soient les circonstances. Voyez-vous? C’est juste.

173      Hommes d’Affaires, savez-vous ce qui est arrivé à Zachée? Il est devenu un membre des Hommes d’Affaires du Plein Evangile de Jéricho. C’est juste. Ce chapitre là-bas, il en est devenu membre. Ç’a l’air absurde, mais, c’est vrai. Je suis certain que Jésus ne pourrait rien établir d’autre qu’un chapitre du Plein Evangile, et Zachée s’est associé à Lui. Ainsi maintenant, Zachée, faites de même.

174      Jusqu’à ce que nous vous verrons demain soir, que Dieu vous bénisse. Je vais remettre le service maintenant au pasteur.

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