L’Ange Et La Commission

Date: 50-0821 | La durée est de: 1 heure et 21 minutes | La traduction: Shp
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1          Bonsoir... Comme d’habitude...?... bon d’être ici. C’est la vérité. Eh bien, je–je suis fatigué comme jamais auparavant. Eh bien, je–je suis toujours heureux d’être ici...?... partout pour servir le Seigneur.

Je constate bien une petite différence dans notre foule ce soir. C’était... Hier soir, c’étaient de longues journées. Juste... Hier, ça a été une très longue journée. Et, évidemment, cela pourrait... Et les gens étaient fatigués et épuisés...?...

Et maintenant, nous entamons une autre semaine, ça a été la série de réunions la plus longue que j’aie jamais tenue de ma vie. Et j’espère que cela s’avèrera être une grande bénédiction pour tous. Je suis tout aussi fatigué jamais de ma vie. Apparemment, cela–cela ferait que–que cela vous fatiguerait. Mais je pourrais bien vous donner un petit aperçu de ce qui se passe à l’intérieur afin que vous sachiez ce que je–je veux dire. Il y a...

2          Ce sont ces visions qui m’affaiblissent: la–l’oeuvre surnaturelle sur un homme naturel. Quelqu’un m’a rencontré et m’a parlé de cette photo-là. Il a dit: «Frère Branham, on dirait que ce n’est pas vous.»

J’ai dit: «Eh bien, disons, l’Ange de Dieu était si proche de vous qu’Il l’était, cela vous changerait probablement un peu.» Eh bien, représentez-vous, vous êtes sous Cela constamment jour après jour. Puis, je dois sortir quelque part et me dégager. Sinon, eh bien, vous donc... Vous devenez très faible, c’est à peine que vous pouvez vous déplacer. On dirait, vous êtes simplement sans force.

Et puis, autre chose, lorsqu’on est dans une réunion comme celle-ci, un rassemblement de masse, quand les gens prient, cela m’affecte peu importe où je suis. Voyez? Cela–cela vous affecte. Le–l’Ange du Seigneur se meut. Voyez-vous? Et–et on fait pression sur vous, constamment. Cela peut paraître étrange, peut-être un peu différent de votre enseignement, mais nous ne pouvons que témoigner de ce qu’est la vérité. Exact.

3          Ainsi donc, j’espère revenir une fois à Cleveland, ici au... pour tenir une série de réunions, quand nous pourrons revenir. [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Merci beaucoup. Merci beaucoup. Et je–j’essaierai de le faire. Je sens qu’on en a un grand besoin ici à Cleveland. Et–et mon... Si jamais je reviens, ça sera–ça sera mieux. Ça sera alors plus facile de commencer.

Cette fois-ci, on fait donc un peu le pionnier. Voyez-vous? On dirait que tout le monde évitait Cleveland, laissant cela de côté. Mais apparemment, Quelque Chose m’a dit de venir à Cleveland. En voici les résultats.

On dit: «Eh bien, Cleveland est... Eh bien, la plupart des gens là sont membres de ces genres d’églises. Et puis...»

Mais peu importe leur appartenance, nous tous, il est question d’entendre l’Evangile et de voir... Et c’est à ceux qui combattent pour la cause que j’ai été envoyé, à ces hommes qui ont bravé des tempêtes. Ils ont enseigné ces choses, ils les ont crues et ils ont attendu impatiemment que Cela vienne. Eh bien, si Cela est venu, c’est à tous ; c’est à nous tous, partout.

4          Et je parlais aujourd’hui à un ami prédicateur venu de Del Rio. Lui et un autre prédicateur ont pris l’avion jusqu’ici. Leur avion est cloué là à la–à la côte maintenant, dans un petit hangar là-bas.

Et alors, cela... Je disais: «Eh bien, nos–nos foules n’ont pas été très grandes. Mais ça a été l’une des séries de réunions les plus douces dans lesquelles j’aie jamais été ; il semble bien y avoir une grande harmonie parmi les gens, les prédicateurs: tout le monde d’un même coeur, de commun accord.»

Mon frère Lindsay me disait: «Pouvez-vous juste rester quelques jours de plus?» Je–je voulais le faire, car je m’attends à ce que quelque chose pour lequel j’ai prié se produise et j’ai vu cela une fois dans ma vie ; c’est de voir toute l’assemblée être guérie du coup, tout être guéri bien du coup. On dirait qu’avec une telle unité et une telle collaboration en Esprit, cela pourrait arriver.

Et, alors que les réunions touchent à la fin, que l’attente des gens, ils sont–ils sont... Ils savent qu’ils doivent se hâter d’une façon ou d’une autre. Voyez? Et ils vont simplement tendre la main et accepter cela juste sur–sur–sur place. Et d’habitude, la dernière soirée de la réunion, on a généralement de meilleurs résultats par rapport à toutes les réunions, parce que c’est la dernière soirée, et les gens disent: «Eh bien, c’est ma dernière chance. Je dois atteindre la...»

Et tout ce qu’ils ont à faire, c’est tout simplement tendre la main, la chose est là. Tout aussi sûr que Dieu est là, la chose est là. Et ils–ils trouveront cela, mais ils ont un tout petit peu peur de s’avancer. Voyez-vous?

5          Et puis, je–je–j’aimerais que les prédicateurs qui sont dans l’assemblée se souviennent de ceci, les frères prédicateurs: vous constaterez qu’il y aura des membres estropiés de vos églises, qui vont commencer à marcher. Il y aura là des gens qui étaient malades qui s’avanceront et diront: «Frère pasteur, je souffrais de l’estomac. Je ne suis pas entré dans la ligne de prière, mais, vous savez, cela m’a quitté.» Voyez? Et cela...

Je sais, pendant que je me tiens ici à l’estrade, qu’on peut sentir cela tirer, puis lâcher. C’est terminé. Voyez-vous? Ils peuvent ne pas avoir reconnu cela, mais cela est là. Voyez? Observez simplement ce qui arrive. Cela doit arriver. Si seulement ils croient cela à moitié, ça sera en ordre.

6          Et maintenant, faites ceci. Eh bien, hier soir, j’ai eu... Depuis hier soir, j’ai eu un très grand combat ; je priais pour un problème que Dieu traitait avec moi sur quelque chose ; et c’est au sujet d’une montée très miraculeuse de foi qu’il y a ici, et on ne peut toucher juste que quelques personnes chaque soir. Ça, c’est une chose qui m’a toujours dérangé.

Maintenant, j’espère... Il n’y a pas de nouveaux venus ; vous tous, vous avez assisté aux réunions auparavant, n’est-ce pas? Vous... Voyons combien ont été ici auparavant. Levez la main partout. Eh bien, pratiquement... C’est bien. Maintenant, vous comprenez le déroulement de la–la réunion, et comment cela... Beaucoup parmi vous sont ici depuis longtemps. Et beaucoup parmi vous sont assis ici attendant qu’on prie pour eux.

Aujourd’hui, j’ai appris qu’un homme a reçu beaucoup de cartes de prière sans jamais réussir à entrer dans la ligne de prière jusque là. Il était pratiquement arrivé au banc de la prière, un petit homme très malade.

Nous n’en avons pas le contrôle. C’est Dieu seul qui en a. Je... Peut-être que la foi de cet homme n’est pas encore tout à fait au point. Mais s’il croit de tout son coeur, ça sera en ordre de toute façon.

7          Et la question que je me suis toujours posée, c’est: Puis-je servir tous les malades? C’est cela le désir de mon coeur. J’ai essayé cela. Je vous ai dit qu’une fois, je suis resté à la chaire huit jours et huit nuits. Je n’arrivais pas...?... plus, des milliers et des milliers davantage à la fin des huit journées qu’il n’y en avait. Et je n’avais point quitté l’estrade. Je dormais ici, mangeais ici, et tout, juste à la chaire pendant huit jours et huit nuits. J’ai fait... j’ai pris environ huit mois de vacances après cela. J’avais...

En d’autres termes, je n’arrivais pas à m’en tirer. J’avais connu simplement une dépression nerveuse. Cela a failli simplement me tuer. Ainsi donc, je–j’ai alors su que je devais user d’un peu plus de sagesse que ce que j’avais. Jésus n’avait même jamais essayé de toucher des gens comme cela. Est-ce vrai?

8          Eh bien, descendons au fond de nos coeurs maintenant. J’aimerais vous dire quelque chose, et nous aimerions parler juste quelques instants, juste de coeur à coeur.

Eh bien, je sais, et vous aussi vous le savez, ainsi que les prédicateurs, qu’un homme peut prendre un don de Dieu et envoyer son âme en enfer avec. Savez-vous cela? Un don de la part de Dieu... Eh bien, je ne veux pas dire quelque chose que vous vous imaginez. Je veux dire que si Dieu a effectivement donné quelque chose, Il vous en a confié la responsabilité, vous devez vous en servir avec la sagesse de Dieu.

Eh bien, jamais de ma vie je–je n’ai parlé à une assemblée comme ceci, surtout une assemblée lors de la campagne de guérison. Mais, ce que j’aimerais voir... je désire vraiment cela... Et c’est la raison pour laquelle je vous parle tel que je le fais.

9          Eh bien, rappelez-vous, les dons de Dieu peuvent facilement causer des ennuis à une personne. C’est que Dieu, s’Il trouve quelqu’un qu’Il pense être digne d’avoir un don divin, nous devrions respecter de tout notre coeur...

Eh bien, souvenez-vous-en. Combien croient que Moïse fut un prophète doté d’un don divin de Dieu? Il l’était. Tout le monde croit cela. Mais Moïse, avec ce même don divin, s’est causé des ennuis. N’est-ce pas? Dieu lui avait parlé, disant: «Va parler au Rocher.» Il avait déjà frappé le Rocher une fois. Il lui a dit: «Va parler au Rocher.»

Et ce Rocher-là était Christ, n’est-ce pas? Et Christ n’a pas été frappé la deuxième fois ; nous Lui parlons simplement maintenant. Il a été frappé une seule fois, et Il a fait jaillir les Eaux de la Vie. Et nous ne faisons que parler au Rocher maintenant, et Il fait jaillir les Eaux ; comme Dieu a tant aimé le monde.

Le rocher dans le désert était parfaitement Jean 3.16: «Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Eternelle.»

Ces Israélites périssaient, le rocher avait été frappé et il avait fait jaillir la vie, l’eau. «Et Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique... quiconque croit en Lui ne périsse point (Une génération de gens qui périssent), ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Eternelle», en parlant au Rocher. Voyez?

10        Mais Moïse est allé là, il a frappé le rocher. Il était fâché. Il avait oublié tout son... Il avait perdu la maîtrise de soi. Il était tout emballé, excité à cause des gens.... Il a simplement frappé le rocher une fois de plus, et celui-ci n’a pas fait jaillir ses eaux. Mais il l’a encore frappé. Est-ce vrai?

Or, il était un prophète divin, envoyé de la Présence de Dieu, né dans ce monde pour être un prophète, un prophète confirmé par des signes et des prodiges, la Colonne de Feu le suivait. Et nous savons qu’il était un prophète envoyé de Dieu. Et Dieu lui avait confié cette puissance-là et, à ma connaissance, les lecteurs de la Bible... Je ne suis pas tellement un érudit, car je n’ai que l’instruction de l’école primaire ; c’est sept ans, en cette matière.

11        Ecoutez. Mais c’est ici l’unique passage de la Bible où je peux voir le programme de Dieu être jamais brisé, de tous les types, c’était là même où Moïse frappa le rocher pour la seconde fois afin de faire jaillir de l’eau. Peu importe que ce ne soit pas la volonté de Dieu... Nous savons que ce n’était pas la volonté de Dieu. Nous accepterons cela, n’est-ce pas? Mais Moïse avait le pouvoir de faire jaillir cela, que ça soit la volonté de Dieu ou pas. Est-ce vrai? Nous savons que c’était contraire à la volonté de Dieu. Mais Dieu avait confié à Son serviteur ce pouvoir-là. Quand il a frappé ce rocher, et cela n’a pas...?... jaillir son eau ; c’était la preuve que ce n’était pas la volonté de Dieu. Il a frappé cela de nouveau ; et il a réclamé cela. Cela a dû jaillir. C’est vrai. Il était doté de ce pouvoir-là ; il a fait jaillir de l’eau. C’était contraire à la volonté de Dieu. Dieu a traité avec Moïse plus tard à ce sujet. Est-ce vrai?

12        Vous souvenez-vous d’Elisée? Un jeune homme devenu chauve, il était jeune, alors qu’il était un jeune homme. De petits enfants se sont mis à crier, disant: «Vieux chauve, vieux chauve, pourquoi n’es-tu pas monté avec Elie?» Vous en souvenez-vous?

Ce prophète en colère, là, s’est retourné, fâché, et il a maudit ces enfants au Nom de l’Eternel. Alors, deux ours sont sortis du bois et ont tué quarante-deux petits enfants innocents. Est-ce vrai? Ce n’est pas la nature du Saint-Esprit. Vous le savez. Mais ce prophète était fâché. Voyez? Vous devez faire attention à ce que vous faites.

13        Par conséquent, quand les gens montent ici pour la guérison, je les observe. Et je vois parfois des gens monter ici en courant, par un don divin. S’il n’examine pas ce cas là correctement, bien parfaitement... Et si quelque chose a été placé sur une personne, une malédiction sous forme de maladie, cela arrive parfois comme cela. Parfois, la maladie, les afflictions, les tourments, c’est un fouet de Dieu pour ramener les gens sur le sentier...?... D’accord.

Ce n’est pas ça chaque fois. Vous souvenez-vous des jeunes gens à la porte? Ils ont dit: «Qui–qui a péché, lui, ou son père, ou sa mère?» Vous rappelez-vous cela?

Jésus a dit: «Dans ce cas-ci, ce n’est ni l’un ni l’autre, c’est afin que les oeuvres de Dieu soient manifestées.»

14        Eh bien, vous devez connaître ces choses. C’est pourquoi, dans chaque cas, j’examine cela très minutieusement. Je sais exactement où je me tiens. Et si je demande une fois et que cela ne quitte pas, j’examinerai alors attentivement. Et puis, si je ne vois rien, je laisserai cela tranquille jusqu’à ce que Dieu me montre quoi faire. Je dois surveiller cette chose-là, car il pourrait y avoir quelque chose qui est placé sur cette personne-là, Dieu voulant que ça soit là pour l’amener à une certaine chose. Vous venez du coup enlever cette chose que Dieu a placée, voyez là où vous vous retrouverez devant Dieu. Et si Dieu vous a doté de quelque chose, pour accomplir quelque chose avec... Vous devez faire attention.

C’est pourquoi, frères, leur don divin... Je disais ceci... Beaucoup de mes organisateurs et autres savent que c’est vrai. Je suis allé à... A mes tout débuts, j’en étais très content au point que j’entrais dans une ville, je tenais une réunion, je disais: «Allez dans la ville et amenez-moi... Que les prédicateurs, ou quelqu’un, amènent quelqu’un qu’ils savent être estropié ou affligé, et qu’ils me laissent avoir cette personne-là. Et je vous assure que cette personne sera guérie avant que j’aie terminé.» Et je lançais des défis comme cela.

15        Une fois, je suis allé à Phoenix, et j’ai lancé un défi. On m’a fait venir une petite fille estropiée, une Mexicaine. Oh! Elle était horrible. Et pendant une heure quarante-cinq minutes, j’avais cette enfant-là sur l’estrade, je ne retenais qu’elle,je suis resté juste avec elle, j’implorais pour laisser... que Dieu libère, que cette enfant-là... soit délivrée. L’enfant a été délivrée. Elle allait çà et là, elle a quitté l’estrade en marchant, là, elle est descendue, puis est revenue.

Et je me rappelle à Vandalia, dans l’Illinois, là où j’ai vu le grand... l’un des plus grands...?... j’aie jamais vu dans une réunion. Et je tenais le même propos. Je disais: «Allez chercher quelqu’un et amenez-le-moi.»

Ils l’ont fait. On a amené un garçon aveugle de naissance, d’environ quinze ans. Je suis resté juste avec le garçon, je suis resté là même jusqu’à ce que ce garçon a recouvré la vue. Et après que j’eus fait cela, cela m’avait pris le temps des centaines qui étaient assis là pour qu’on prie pour eux, mais j’ai consacré tout le temps à cet unique garçon.

16        Et après, je l’ai entendu crier, il est revenu... Il errait dans la foule ; il est revenu, il a dit: «J’ai dit à ma mère que je voulais voir à quoi ressemblait celui qui m’a ouvert les yeux.»

J’ai dit: «Je souhaite que tu Le vois un jour, le Seigneur Jésus-Christ.»

Il m’a alors tenu par la cravate, il a dit: «Maman, est-ce...» Je portais une cravate rayée. Il a dit: «Est-ce–est-ce la couleur de ces choses-là, est-ce ce que vous appelez des rayures?» Eux tous criaient. Il a dit: «Eh bien, la couleur de son veston, vous l’appelez comment?» Il a dit: «Ce qu’on appelle lampes, est-ce ce qui est là-haut?» Il était né aveugle, il n’avait jamais vu de sa vie... Beaucoup de gens s’étaient évanouis partout.

17        Je suis rentré à l’hôtel ce soir-là. Mon frère Donny et mon petit garçon Billy sont entrés dans l’hôtel. C’était vers deux heures du matin. J’étais couché, endormi ; je venais de m’endormir. En fait, je ne dors pas beaucoup la nuit, je suis toujours en prière.

La nuit, quand toutes les puissances démoniaques se sont apaisées, vers le matin, quand elles n’errent pas, c’est le temps où le Saint-Esprit entre et me parle. Mettez-vous-y tôt si vous voulez prier, levez-vous tôt. Pratiquement tous les...?... les travailleurs sont partis...?... les démons... les démons... Et des places sont fermées. Cela suscite des choses étranges... Vous savez ce que je veux dire par là

18        Remarquez. Alors, j’étais couché là. Je–j’ai été réveillé... je me suis réveillé tout d’un coup. Alors, j’ai regardé, et je me suis dit: «Oh! la la! C’est déjà l’aube.» J’ai dit: «Regardez là. C’est l’aube là dans...» J’ai regardé dehors, et je me suis dit: «Attends un instant. La fenêtre est ici derrière. Là, c’est le côté du mur.»

J’ai encore regardé ; il y avait un nuage blanc, tournoyant comme ceci. J’ai dit: «Oh! Je vois.» C’était l’Ange du Seigneur qui entrait dans la chambre.

Souvent, les démons me suivent en chambre. Je sentais leur chair se frotter à moi, des cloches et autres, alors qu’ils me hantaient la moitié de la nuit pratiquement.

19        Alors, je–je suis sorti du lit, et je me suis agenouillé. Je savais que C’était un Esprit, mais je devais premièrement découvrir exactement ce que Cela était. Et j’ai continué à attendre. J’ai senti Cela venir près du lit. Cela est venu ; on pouvait sentir Cela. Je dis que je vous parle du fond de mon coeur. C’est juste comme...

Eh bien, je–je ne sens pas Cela maintenant. Parfois, je sens Cela, et Cela se tient juste de ce côté ; je peux le savoir ; si Cela se tient juste ici en bas, vous pouvez le savoir. C’est juste comme une pression d’air qui vient contre vous, comme cela. Vous donc... Vous sentez Cela.

Alors, quand Cela s’approche, quand un patient s’approche pour qu’on prie pour lui, on peut Le sentir faire...?... [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Cela vous envahit à flot. Alors, vous ne parlez pas de vous-même ; vous restez simplement calme. C’est Lui qui parle, Il parle de Soi. Alors, Cela va [Frère Branham illustre.–N.D.E.] s’arrêter. Et puis, peut-être, vous vous arrêtez ; et vous sentez Cela revenir.

20        Observez donc, je vois un patient ici debout ; et juste là, on dirait au-dessus d’eux, je peux voir des choses, vous L’entendez parler. Vous avez entendu cela être dit sur tout ce que les gens ont fait dans leur vie. Est-ce vrai? Vous L’avez même entendu répéter la prière que les gens avaient offerte à Dieu. N’est-ce pas vrai? Et toutes sortes de péchés et de choses que les gens avaient faits, cela a été révélé, et c’est parfait chaque fois. Est-ce vrai? Cela ne faillit jamais...

Qu’est-ce qui fait cela? Je dis très exactement ce que je vois se passer. Juste ce que je vois, c’est ce que je dis. Parfois, je regarde là, dans l’assistance, je peux sentir quelque chose tirer. Je vais surveiller très attentivement. Puis, cela s’arrête ; il y a quelqu’un d’autre de l’autre côté qui est guéri. Peut-être de ce côté-ci et de ce côté-là. Peut-être que je peux rester très calme et isoler une personne donnée, là où ça y est. Pour commencer, si je peux atteindre ce canal-là, on dirait que je laisse les autres ailleurs, non pas... Regarder, vous savez, pendant qu’on regarde, alors cela–cela commencera... Vous pouvez voir une vision se produire alors et commencer comme cela. Puis...

21        Eh bien, quand j’ai regardé et que j’ai vu Cela, je me suis agenouillé sur le plancher et je me suis mis à prier. Et au fur et à mesure que cela s’approche, je reconnaissais que C’était–C’était l’Ange de Dieu. Et je pouvais sentir que c’était Cela.

Et j’ai dit: «Qu’est-ce que le Seigneur veut que je fasse?» Il n’a rien dit. Il est resté là un long moment, juste près du pied du lit, et j’étais agenouillé comme ceci. Et j’ai dit: «Ô Père céleste, pourquoi as-Tu envoyé Ton Ange à Ton serviteur?» Et j’ai dit: «Ton serviteur écoute.» Et j’ai attendu.

Je savais qu’Il était encore là, mais je ne savais pas pourquoi...?... J’ai attendu, je pense, cinq minutes. J’ai senti Cela s’approcher davantage de moi. Et alors, j’ai simplement entendu cette Voix résonner comme un écho. Je ne pourrais pas imiter cette Voix s’il me le fallait. Mais j’ai entendu Cela aussi clairement et c’était aussi audible que vous entendez ma voix. Il a dit: «Tu réduis trop ce don de guérison à l’accomplissement des miracles. Il arrivera que les gens ne te croiront pas si un miracle n’est pas accompli.»

J’ai dit: «Je ne le referai plus jamais. Viens-moi donc en aide, ô Dieu.» Il est sorti de la chambre...

22        Je me suis relevé. Je me suis étendu sur le lit, et Il était là, juste au-dessus du lit, en train de tournoyer, comme beaucoup de couleurs de l’arc-en-ciel, tournoyant. Alors, je L’ai regardé, je suis resté étendu là un petit instant. Je me suis senti soulagé, j’ai senti que mon péché m’avait été pardonné.

Et j’ai dit: «Est-ce que mon Seigneur trouverait un inconvénient que mon petit garçon Te voie?»

Il n’y avait aucun bruit. Nous avions juste deux lits jumeaux. Il nous fallait... Tous les lieux avaient été occupés sur des kilomètres là, et mon... sur... Nous avions deux lits jumeaux en chambre. Et mon frère et mon petit garçon dormaient sur le lit à côté de moi, des lits jumeaux. Et j’ai dit: «Billy, Billy.» Il n’a pas répondu. J’ai dit: «Donny.» Il n’a pas répondu. J’ai pris mon oreiller, tout en surveillant Cela. Et je savais que comme Il ne répondait pas, je savais que c’était en ordre. Il n’avait point dit oui. Alors, j’ai jeté mon oreiller comme cela. Et cela a frappé mon frère Donny. Et j’ai dit: «Donny.»

Il a dit: «Oui.»

Et j’ai dit: «Appelle Billy.»

Billy a dit... ou Donny a dit: «Billy, ton papa te cherche.»

Juste à ce moment-là, le... j’ai dit: «Billy, regarde.»

Il a regardé, il a dit: «Papa, que veux-tu?»

A ce moment-là, Donny a sauté du lit en criant: «Oh!»

Billy a dit: «Oh! Papa, papa, papa.» Il a sauté du lit, il a fait un bond et il a dit: «Ne le laisse pas me prendre. Ne le laisse pas me prendre.»

Et j’ai dit: «Mon petit chou, Cela ne te fera pas de mal.»

23        J’ai souvent dit... Je suis resté célibataire cinq ans. J’avais été pour lui à la fois père et mère, portant simplement ces petits biberons de lait dans ma poche, et la nuit, je déposais cela sous ma tête pour le garder au chaud, afin que je puisse le lui donner la nuit. Sa maman était morte alors qu’il n’avait que dix-huit mois. Et j’ai dû simplement l’élever en étant à la fois père et mère. Je disais souvent, quand je m’en vais surtout prendre l’avion, il disait: «Papa, je crains vraiment que tu t’en ailles pour ne plus jamais revenir auprès de moi.»

Je disais: «Non, mon chou, je–je reviendrai.»

Et j’ai dit: «Eh bien, mon chou, c’est pourquoi papa part. C’est l’Ange du Seigneur qui conduit papa. Il était juste dans la chambre en train de me parler, et je Lui avais demandé si tu pouvais Le voir. Ainsi, tu ne te feras pas de soucis pour papa, sachant que c’est l’Ange qui conduit papa. C’est là que cette Colonne...» C’était à peu près comme cela, mélangeant des couleurs...?... et...?... Il est allé.

Donny, il ne savait guère que penser, mon autre frère. Et puis, Cela a tournoyé comme cela, Cela faisait: Ouf [Frère Branham illustre.–N.D.E.]...?... Alors, Il a dit...?...

24        J’aimerais vous dire quelque chose ici, je pense que vous de Cleveland, vous connaissez ce...?... Vous savez, beaucoup d’entre vous ont une mauvaise conception de la guérison divine. Eh bien, ceci n’est pas un don pour accomplir des miracles. Pour les miracles, il y a un don distinct et différent de la guérison. Saviez-vous cela? La Bible déclare: «Tous ont-ils le don de guérison? Tous ont-ils le don des miracles?» Voyez? Mais les miracles sont accomplis. C’est vrai. Il y a miracle chaque fois que quelqu’un, qu’une–une vision se produit et dit à quelqu’un ce qui cloche chez lui. C’est un miracle. C’est surnaturel. C’est un miracle. Mais la guérison...

Eh bien, écoutez. Quand Esaïe est allé guérir Ezéchias... Croyez-vous que c’est Dieu qui l’avait envoyé là-bas? Croyez-vous que là... après qu’Il lui a dit qu’il allait mourir, qu’il mette sa maison en ordre? Eh bien, alors, quand Esaïe s’est avancé et qu’il l’a déclaré guéri, il s’est même écoulé trois jours avant qu’Ezéchias recouvre suffisamment de force pour descendre de son lit et aller dans la maison de Dieu adorer. Est-ce vrai? Et quand Jésus a déclaré le Romain, ou le fils du centenier guéri, il est dit: «A l’heure même, il a commencé à se rétablir.»

25        Si vous aviez une blessure à la main, que vous avez tout fait pour cela, et il n’y a rien, que cela continuait à s’empirer, peu après, vous appliquez quelque chose aux mains ; cela commence à aider. Mais cela ne s’est pas rétabli ; ça s’améliore. Et quand la malédiction de la maladie est ôtée de vous, ce n’est pas chaque fois un miracle. Maintenant, si cela arrive parfois spontanément... parfois la malédiction est déjà partie, et la guérison suit cela.

Eh bien, écoutez très attentivement, vous serez donc rassurés. Il arrive quand même des fois où, dans l’espace de soixante-douze heures, après que la guérison a eu lieu, Satan revient sur le lieu. C’est biblique. Quand un esprit impur est sorti d’un homme, il va dans les lieux arides. Ensuite, il revient avec sept autres démons pires que lui. Est-ce vrai? Vous savez, quand il part, si le maître de la maison n’est pas là pour l’en empêcher, la foi pour croire...

26        Maintenant, j’aimerais que vous suiviez attentivement ma commission. Dieu sait que j’aimerais que ceci se produise à Cleveland. Je me sens faible et fatigué. Et je ne–je ne... Je redoute de dire cela. Mais, amis, savez-vous que je fais face aux puissances démoniaques? Et je dois mener une vie correcte et faire des choses correctes. Et je dois être véridique. Peu m’importe que les journaux disent qu’on doit me chasser. Cela–cela ne fait aucun... Cela ne l’empêche pas d’être vrai ; c’est vrai. Mais quand ils mentent à ce sujet, c’est un mensonge. Mais quand c’est la vérité, c’est la vérité.

Eh bien, je souhaiterais avoir une vision. Mais je n’y peux rien. Ma force me quitte simplement. Je n’y peux rien. Et je me suis demandé pourquoi cela était ainsi ; cela me donne toujours vraiment des vertiges comme cela.

Il y a quelques jours, je lisais la Bible, sur Daniel. Après avoir eu ces visions-là, il a dit qu’il eut l’esprit troublé pendant plusieurs jours. Vous en souvenez-vous? Daniel. Cela me réconforte encore, pour m’aider à voir.

27        C’est quand les êtres mortels... Quand le surnaturel vient sur un être mortel, cela entre en conflit avec la chair. C’est vrai. Cela affaiblit beaucoup l’être humain. Même Christ, Il était couché à la poupe, et ces vagues terribles n’avaient même pas... Beaucoup de vertu était sortie de Lui au point que ces vagues terribles ne L’avaient même pas réveiller. N’est-ce pas vrai? Mais quand Il s’est réveillé, alors Il a calmé les vagues et la mer.

Eh bien, même sous la forme humaine, Cela s’en est allé, Cela est sorti... La vertu était sortie pendant que le surnaturel opérait. Et Jésus, dans bien des cas, entrait dans une ville, Il guérissait une seule personne et Il quittait la ville. Il a conduit un homme hors des portes de la ville, Il lui a restauré la vue, Il s’en est allé ailleurs. Il est entré dans le territoire de Gadara, Il a guéri un seul ; évidemment, là, ils avaient un...?... mais, une fois, après qu’Il eut guéri tous ceux qui étaient venus à Lui, accomplissant ce qui avait été dit par le prophète Esaïe: «Il s’est chargé de nos infirmités, Il porte nos péchés...?...»

28        Et Jésus a dit qu’Il ne pouvait rien faire du tout avant que le Père le Lui ait montré premièrement. Est-ce vrai? Saint Jean... Quand Il passait près de la piscine de Béthesda... Eh bien, laissez simplement ces paroles s’enfoncer profondément maintenant. Quand Jésus passait près de la piscine de Béthesda, là étaient couchés en grand nombre des gens. Ils... Maintenant, observez dans quel état ils étaient: des boiteux, des estropiés, des aveugles, des infirmes, des paralytiques (Est-ce vrai?) qui attendaient le mouvement de l’eau. En effet, un ange descendait à un moment donné et agitait l’eau. Et la première personne qui avait la foi et qui entrait, était guérie de n’importe quelle maladie dont elle souffrait.

Quelqu’un m’a dit, alors qu’il y aurait au moins cinq paralytiques qui auraient quitté la salle ici, qui sont assis ici paralysés, il a dit: «Quel...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Eh bien, allez parler à ces paralytiques afin que nous puissions croire.

Frère, il ne croirait pas, même si Christ Lui-même était là...?.. C’est vrai. Je ne peux rien faire du tout. Dieu reçoit toute la gloire, car moi, je ne peux rien faire. Je ne peux faire que ce qu’Il m’ordonne de faire.

29        Si vous travailliez dans une banque où il y a beaucoup d’argent, mais vous ne pouvez prendre que ce qu’on vous permet de prendre. Est-ce vrai? Je peux être en communion avec Dieu, où il y a toutes les puissances pour guérir chaque personne dans le monde. C’est vrai. Mais je ne peux faire que ce qu’Il m’ordonne. Et ce n’est pas moi qui opère la guérison ; c’est votre propre foi qui entre en contact avec Dieu et qui vous guérit ; et Il parle au travers de Son don et vous dit que vous êtes guéri. Voyez-vous ce que je veux dire? Comprenez-vous cela?

Je n’ai rien à faire avec la guérison. Je suis simplement un porte-parole de votre prière à Dieu. Voyez-vous? Si votre prière a atteint Dieu, et qu’Il m’a dit que vous êtes guéri, alors je crois cela, et je vous le dis. Si vous croyez cela, alors vous êtes guéri. Remarquez donc. Peu importe les symptômes qu’il y a donc, croyez cela.

30        Maintenant, observez quand Il m’a rencontré. Permettez-moi de faire mention de ceci ce soir pour la dernière fois. Quand Il est venu vers moi en chambre... Représentez-vous donc, assis en chambre.

Ma femme vint à deux heures ou trois heures du matin. J’étais en prière. Je ne savais pas pourquoi Il ne me laissait pas rentrer à la maison. La drôle de petite cabane, loin dans les collines...?... terre, sombre, à deux kilomètres et demi de la route. Un petit endroit où dresser des pièges, là où j’avais l’habitude d’aller chasser et dresser des pièges...?... là loin dans les collines. Je suis retourné là quand j’ai commencé six jours après en mai 1946.

Je contournais cette maison-là quand mon...?... Son–son frère est venu et m’a dit: «Frère Branham, accompagne-moi à Madison.»

J’ai dit: «Je ne le peux pas, je dois patrouiller aujourd’hui.»

Il a dit: «Oh! Allons, viens avec moi.»

J’ai dit: «Non, je ne le peux pas, frère. Il me faut aller à Henryville patrouiller aujourd’hui.» Il... J’ai dit: «Entrons. Ma femme a apprêté un dîner.»

31        C’était vers midi, et je retroussais les manches, et il a dit... J’allais les laver dans une petite maison à deux pièces que nous habitions.

Il a dit... J’ai dit: «Veux-tu entrer?»

Il a dit: «Non. Merci, frère.»

J’ai dit: «Frère Roger, viens.»

Il a dit: «Non.» Il a dit...

J’ai dit: «Eh bien...»

Il a dit: «Je vous verrai plus tard.» J’ai dit: «Iras-tu à l’église dimanche.»

Il a dit: «Je vous verrai à l’église dimanche.»

J’ai dit: «D’accord.»

32        Je me suis baissé, j’ai desserré la bandoulière du fusil qui était bouclée autour de moi, car j’allais déposer mon fusil sous la véranda afin de me laver. J’avais le... Et juste quand je passais sous le peuplier, on dirait que tous les cieux s’étaient brisés, et cela s’était simplement ouvert. J’en ai eu peur. C’est vrai. Toute ma vie, je me demandais ce que c’était. J’étais devenu pâle, je suis tombé.

Il a sauté de la voiture et il a couru. Il a dit: «Frère Branham, qu’y a-t-il?»

Ma femme est sortie avec une cruche d’eau, elle m’a donné à boire. Il a demandé: «T’es-tu évanoui?»

J’ai dit: «Non.» J’ai dit: «Je me porte bien.» J’ai dit: «On dirait que chaque feuille de cet arbre m’est tombé dessus.» J’ai dit: «Cela... Je ne sais pas ce que c’est, Frère Broy.» J’ai dit: «Cela m’a suivi tous les jours de ma vie.» Et j’ai dit: «Je–je crois que comme les gens m’ont dit que c’était une mauvaise chose...» J’ai dit: «Je me rappelle souvent dans la Bible, alors que les démons avaient eu à témoigner de la puissance de Christ... Alors que souvent un membre de clergé disait: ‘Eh bien, Il est Béelzébul. Il est ceci, cela ou autre’, les démons disaient: ‘Nous savons qui Tu es. Tu es le Fils de Dieu, le Saint d’Israël.’»

33        J’ai vu quand Paul et Silas étaient là à Antioche, alors que cette petite diseuse de bonne aventure, alors que tous ces ministres là-bas disaient: «Ah! Ce sont des imposteurs.» Et cette petite diseuse de bonne aventure est venue en courant, elle a dit: «Ce sont des hommes de Dieu qui annoncent la voie de la Vie.» Voyez, parfois, ces démons reconnaissaient ce don qui était dans ces gens-là avant les docteurs religieux.

Et j’ai dit à ma femme, j’ai dit: «Chérie, téléphone-leur. Dites-leur que je ne sais pas quand je reviendrai donc pour travailler encore, car je m’en vais découvrir ce que c’est, sinon je meurs.» J’ai dit: «Si...» J’ai dit: «Il me reste environ vingt-trois dollars en banque. Et je vais t’établir un chèque. Et je vais partir, et je ne reviendrai jamais avant de découvrir ce qui m’a suivi tous les jours de ma vie. L’un dit ceci, l’autre dit cela. Je vais découvrir ce que c’est.»

Alors, j’ai pris ma Bible, la petite vieille Bible Scofield, à peu près comme cela, je L’ai placée sous mes bras, et je suis parti. Je suis allé et j’ai lu jusqu’à la nuit. J’ai une caverne où je vais, c’est là loin dans des collines. Mais ceci, c’est une vieille petite cabane en rondins où j’avais l’habitude de dresser des pièges. Alors, j’ai prié, j’ai prié. J’étais assis là, priant, gardant ma pensée sur une puissance qui atteint les sphères là, au-delà de la lune, des étoiles et des brouillards, s’empare de Dieu quelque part là-bas. J’étais assis là en train de méditer, pensant à Dieu...

34        On était vers trois heures du matin. Je disais: «Ô Dieu, je resterai ici même jusqu’à ma mort, jusqu’à ce que quelque chose... Je suis un prédicateur. Ne me laisse pas être séduit. Si Tu veux que je fasse quelque chose, s’il y a quelque chose que Tu souhaites me dire... Tu m’as montré des signes et des prodiges. Les gens m’ont dit d’oublier cela, que j’avais trop mangé au souper, ou quelque chose comme cela.» J’ai dit: «Mais j’aimerais que Tu me parles, Père. Si c’est faux, descends maintenant et arrête cela pour moi. Arrête cela, que je ne sache plus rien de ça.» Je disais: «Aie pitié de moi, ô Dieu.» Je pleurais jusqu’à ce que mes yeux étaient enflés. Je disais: «Ô Dieu, je suis sincère. Je ne sais que faire. Je n’aimerais pas Te décevoir. J’ai fait tout ce que je savais faire. Mais que veux-Tu que je fasse?»

35        Et là-dedans, pendant que j’étais en prière, tout d’un coup, j’ai vu une Lumière scintiller. J’ai regardé tout autour. Je me suis dit: «Eh bien, tiens, quelqu’un vient avec une torche. Ça ne peut pas être une voiture qui vient par ici. Eh bien, où était-ce?»

Et j’ai regardé, Cela se répandait par terre, devenant de plus en plus grand.

J’ai dit: «Où...?...» J’ai levé les yeux, et juste là en haut était suspendue cette même Chose que vous voyez sur cette photo-là: Whoush! Whoush! [Frère Branham illustre.–N.D.E.], tournant tout autour, tout autour, cette Lumière devenait de plus en plus grande. Je me suis retourné et j’ai regardé, j’ai entendu quelque chose faire... [Frère Branham illustre.–N.D.E.], marchant aussi nettement, à peu près comme à cette cadence...?... marchant lentement. J’ai entendu des pas approcher, de quelqu’un aux pieds nus. J’ai regardé, et j’ai vu venir sur ce vieux plancher en bois, sous cette Lumière qui descendait, j’ai vu que c’était un pied d’Homme. J’ai vu une robe blanche...?...

Représentez-vous quel sentiment j’ai éprouvé. J’ai dit: «Oh! la la!»

J’ai regardé comme cela, Cela s’est approché davantage. Et quand Cela est apparu entièrement à la Lumière, C’était un Homme avec les mains croisées comme ceci. Il pesait environ deux cents livres [90 kg], Il était de teint sombre, un peu plus comme le teint de Mexicain, vous savez, comme les Espagnols, ou une Personne de teint basané, au visage lisse, imberbe, dont les cheveux retombaient sur les épaules, Il était en robe blanche. Et les traits de Son caractère, vous pouvez juste en parler. L’un d’eux, c’était une grande douceur ; on dirait que s’Il parlait, le monde se renverserait.

36        Il s’est approché directement de moi, tout aussi doucement. Je me mordais les doigts jusqu’à saigner pratiquement. J’étais assis en retrait. Je n’arrivais pas à me lever. Je... Franchement, j’avais très peur. Je–je n’arrivais simplement pas à bouger. Ce serait aussi le cas pour vous. Ne pensez pas...

Eh bien, représentez-vous simplement, assis là loin au désert comme cela, seul, et vous regardez tout autour, et Il se tient là à côté de vous comme cela. Je me mordais les doigts. Et Il s’approchait de moi et Il m’a regardé, tout aussi pathétique, là des fois. Il a dit: «N’aie pas peur.»

Et quand Il a dit cela, j’ai reconnu que c’était la même Voix. C’était la première fois que je Le voyais comme un Homme. Je L’avais vu dans un tourbillon de feu ; je L’avais entendu dans le–le tourbillon dans un buisson. J’avais vu toutes ces choses. Je L’avais entendu me parler, me montrer des visions. Mais quand Il a prononcé les premières Paroles...

Ce n’est pas de l’imagination, c’est une Voix audible. Comme vous entendez la mienne. Et un Homme tout aussi réel que je me tiens ici. Eh bien, je pouvais Lui serrer la main s’Il avait tendu la Sienne. Je pouvais Le tapoter de côté. Il était tout aussi naturel que n’importe qui.

37        Alors, Il m’a regardé, Il a dit: «N’aie pas peur, car je suis envoyé de la Présence du Dieu Tout-Puissant, a-t-il dit, pour te dire que ta naissance particulière et ta vie particulière, c’est pour te montrer que tu dois amener un don de guérison divine aux peuples du monde.» Il a dit... Maintenant, écoutez: «Si tu es sincère en priant, et que tu amènes les gens à te croire, rien ne résistera à ta prière, même pas le cancer.»

Eh bien, arrêtons-nous là même sur le Message. Je vais vous raconter la suite d’ici quelques instants. Il a dit: «Eh bien, tu... Je suis apparu (en d’autres termes) venant de Dieu pour te dire que ta naissance particulière (en fait, j’en ai eu, ma mère est assise là, elle peut vous le dire) et ta vie particulière (C’est vrai. Personne ne m’a jamais compris.), c’était pour indiquer que tu dois amener un don de guérison divine aux peuples du monde.» Avec ma pauvre instruction d’école primaire, comment pourrais-je donc nourrir le monde, moi un petit prédicateur baptiste local là dans la ville? Il a dit: «Si tu es sincère en priant...»

38        Maintenant, rappelez-vous, ce don est inné, ici. Je n’ai rien à faire avec la venue du don. Personne–personne, amis. Ne laissez jamais quelqu’un vous séduire. Les dons sont envoyés de Dieu seul. Dieu seul, c’est la prescience...

Eh bien, il y a neuf dons spirituels dans l’église. Ils peuvent être sur... par exemple sur cet homme ce soir, et sur celui-là de ce côté-là, et ainsi de suite comme cela. Mais la prophétie de ce genre-là et autre, il doit y avoir deux ou trois témoins pour examiner cela, juger cela, et voir si c’est vrai ou pas.

Mais vous ne voyez jamais les gens se tenir devant Esaïe ou Jérémie, ou l’un d’eux pour les juger. Ils avaient l’AINSI DIT LE SEIGNEUR dès leur naissance. Et tout le monde savait que ce qu’ils disaient s’accomplissait. Ils avaient la Parole du Seigneur. Et Dieu, de divers... dans les temps anciens, à divers endroits... Après nous avoir autrefois, à plusieurs reprises, parlé par les prophètes, Dieu, dans ces derniers temps, nous a cependant parlé par Jésus-Christ.

39        Dans le Corps de Christ, au travers de tous ces neuf dons spirituels qui apportent... N’importe quel groupe de gens, n’importe quel rassemblement de gens de la sainteté qui croient en Christ, a le droit d’avoir les neuf dons spirituels. Cela circule dans le corps. Cela est dans le corps. Ce n’est pas la prière d’un individu. Cela sera sur celui-ci ici ce soir, et sur celui-là le soir suivant, et peut-être ici à un autre moment. Telle personne peut offrir la prière de la foi ce soir, et peut-être ça sera sur celui-ci, de ce côté-ci, et le prochain soir, ça sera là-bas. C’est un don qui est dans le corps, qui opère çà et là pour vous tous, tournoyant au travers du corps: neuf dons spirituels. Celui-ci peut prophétiser ce soir. C’est là que nous avons des ennuis. Quelqu’un peut prophétiser et dire la vérité. Cela ne fait pas de vous un prophète. Cela peut ne jamais revenir sur vous.

Un prophète est une personne confirmée dès la naissance, il vient avec la Parole du Seigneur. Un prophète...

40        Il y a une différence entre un prophète et un don de prophétie. Et si vous remarquez bien dans la Bible, la guérison, c’est au pluriel, les dons, d-o-n-s, les dons de guérison. Mais un p-r-o-p-h-è-t-e est un prophète. Il y a un don de prophétie qui est dans l’église. Il doit être jugé par deux ou trois juges quand cela est donné. Est-ce vrai?

Oh! Eglise de la sainteté, il nous manque tellement de choses de Dieu. Ces vrais enseignements, c’est ce dont l’église a besoin. Eh bien, asseyons-nous ensemble et soyons unis devant Dieu. Quelle serait donc la position de l’église aujourd’hui, au nom de l’Eglise de la sainteté, devant la Bible, et la vie biblique de la vérité? Voyez-vous ce que je veux dire?

Vous avez de petites choses sur lesquelles vous discutez. C’est vrai. Et c’est ce qui vous rend charnel quand vous avez des discussions parmi vous. Oubliez ça. Nous sommes tous baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps. Et c’est votre frère. Ne cherchez pas à l’enfoncer ; relevez-le s’il a mal agi. Gardons le Corps en marche.

41        Eh bien, l’un de ces jours, le Corps va se rassembler juste comme cela. C’est vrai. Juste comme le temple de Salomon, il avait été taillé à travers le monde. Mais lors de son assemblage, il n’y eut pas de bruit de scie ni de bruit de marteau. Cela s’assembla directement. Chaque cube inadapté occupa droit la place qu’il lui fallait, et cela s’ajusta ensemble.

C’est ainsi que le Corps de Christ s’en ira quand Jésus viendra. Il se lèvera directement bras dessus bras dessous (C’est vrai.) à la rencontre du Seigneur.

42        Or, ces dons... Eh bien, il a dit: «Si–si tu amènes les gens à te croire...»

Maintenant, écoutez. Maintenant, suivez, amis. Voyez si vous comprenez l’ordre. Eh bien, soyez... Maintenant, vous, la maman avec le petit garçon ici. Et vous, madame ; et vous par ici, assis dans ces fauteuils. Peu importe ce qui cloche chez vous... Maintenant, comprenez, et ceci, vous tous qui êtes malades ici. Le don est en Dieu. Je ne peux dire que ce qu’Il dit. Je peux seulement faire ce qu’Il ordonne.

43        Jésus passait près de la piscine de Béthesda. De tous ces estropiés, boiteux et aveugles couchés là, Il n’a guéri qu’un seul homme malade. Il n’était pas aveugle. Il n’était pas estropié. Il n’était ni boiteux ni infirme. A ma connaissance, la Bible dit qu’il était malade depuis trente-huit ans. Jésus l’a guéri, il a fait demi-tour et s’est éloigné des gens qui croyaient dans la guérison divine. Est-ce la vérité? Si Lui, le Fils de Dieu, a fait demi-tour et s’est éloigné, laissant pratiquement, je dirais, dix mille personnes là... La Bible dit: un grand nombre. Vous savez ce que cela veut dire. Si Lui, au coeur compatissant, a fait demi-tour et s’est éloigné, laissant ces gens, et Il a guéri un seul homme qui souffrait dans son corps, Il s’est éloigné, laissant toute une multitude, alors, quand Il fut interrogé... Au même chapitre, Jean 5, verset 19, les Juifs L’interrogèrent, Il répondit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même.»

Eh bien, si le Fils ne pouvait rien faire de Lui-même, combien moins un serviteur peut-il le faire de lui-même. Voyez?

44        J’aimerais voir tout le monde être guéri. J’aimerais être en mesure de dire à cet homme qui est dans le fauteuil roulant, à cet autre, à cet autre qui est là: «Levez-vous et marchez.» Oh! Dieu sait combien j’aimerais dire cela. Assurément que je l’aimerais. Mais qu’en serait-il si je disais cela simplement de moi-même? Eh bien, ils ne pourraient pas bouger. Mais alors, ils diraient: «Eh bien, c’est un hypocrite. Eh bien, il n’y a rien en lui.»

Mais si jamais je vous dis de vous lever, vous vous levez, car vous allez vous lever. C’est une chose sûre. Sinon, vous ne vous en ferez pas, vous pourriez ne jamais quitter vivant le lieu où vous êtes. (C’est vrai.) Remarquez. Vous ne pouvez faire que ce que Dieu vous montre de faire.

45        Maintenant, suivez. Le don, c’est ce que Dieu a envoyé. Eh bien, qu’Il l’ait envoyé sous forme d’un serpent d’airain, ou d’une piscine d’eau, ou n’importe laquelle vous croyez, non pas l’eau, non pas le serpent, mais le don de Dieu. Est-ce vrai? Le serpent d’airain ne priait pour personne. La piscine d’eau ne priait non plus pour personne. Mais Dieu avait dit... Jésus est monté en haut et Il a envoyé des dons aux hommes. Et maintenant, évidemment, Dieu opère par le Saint-Esprit au travers de l’homme. L’homme est l’agent de Dieu.

46        Maintenant, rapidement, avant que le temps s’écoule. Remarquez attentivement. «Je te suis apparu...» Je vais exprimer cela dans mes propres termes. Voyez? Et je citais Ses Paroles. Il a dit: «N’aie pas peur, car Je suis envoyé de la Présence de Dieu pour te dire que ta naissance et ta vie particulières, c’est pour montrer que tu dois apporter un don de guérison divine aux peuples du monde. Sois sincère en priant et amène les gens à te croire, rien ne résistera à ta prière, même pas le cancer.»

Eh bien, suivez l’ordre. Dieu a envoyé le don pratiquement quarante ans, il y a environ quarante ans. Il est dans le monde depuis lors. Ce pardon.

Eh bien, ce que je devais faire, c’est prier pour les malades et être sincère en priant ; alors, rien ne résistera à la prière. «Si tu peux amener les gens à te croire.» Voyez-vous l’ordre maintenant? Voyez? Le problème est que, c’est... le problème, c’est d’amener les gens à croire que ceci est la vérité.

47        Et j’ai dit à l’Ange... Eh bien, vous avez compris cette partie-là, n’est-ce pas? Le don, ce n’est pas le discernement ; le don, c’est de prier pour les malades et de les amener «à te croire.» Saisissez-vous ce que je veux dire? Rien ne résistera à la prière, même pas le cancer. Il s’agit simplement de prier pour les malades, et leur parler.

J’ai dit: «Eh bien, vous êtes... Je vais prier pour vous. Croyez-vous?»

«Je crois de tout mon coeur.»

Et je leur impose les mains, je prie pour eux, je demande la bénédiction au Nom du Seigneur Jésus, il passe.

Ils sont censés s’en aller en se réjouissant, en croyant qu’ils seront guéris. Les estropiés sont censés croire qu’ils marcheraient. L’aveugle est censé croire qu’il verra.

Eh bien, j’ai dit: «Ils ne me croiront pas, car je ne suis pas instruit.»

Il a dit: «De même qu’il a été donné au prophète Moïse deux signes pour prouver qu’il a été envoyé de Dieu, il te sera donné deux signes à accomplir devant les gens.» En d’autres termes, «pour confirmer que Je t’ai dit la vérité.» Et Il m’a dit ce qu’ils seraient. «Accomplis ces signes devant les gens.»

48        Eh bien, voici ce qui me condamne. Devant le Dieu Tout-Puissant devant qui je me tiens ce soir en tant qu’un prédicateur, devant l’un des petits groupes de gens les plus aimables devant qui je me sois jamais tenu, je le dis du fond de mon coeur: je me sens condamné à cause de la façon dont j’utilise cela. Eh bien, c’est vrai. D’une part, je fais mal aux gens, à beaucoup d’entre eux. Et d’autre part, je n’obéis pas à ce qu’Il m’avait dit de faire.

Cela exercera le discernement et dévoilera tout ce qu’il y a dans cette salle. Eh bien, c’est vrai. Mais cela ne guérit pas les gens. Et quand je les prends un à un au fur et à mesure qu’ils montent ici, et que je me mets à leur dire, leur parler, ainsi de suite comme cela, leur parler de leurs maladies... Aucun des apôtres n’a jamais fait cela. Jésus n’a jamais fait cela. Ils n’ont pas fait cela. Pourtant, le don est ici pour faire cela.

49        Maintenant, voici ce que... Si je pouvais venir ici, accomplir cela une fois, et prouver que c’est la vérité, qu’ensuite, dans cette salle, chaque personne de sauvée tant soit peu devrait croire au Seigneur Jésus-Christ et dire: «Imposez-moi simplement les mains, frère, et priez, je serai guéri. C’est tout ce que je dois faire.» Eh bien, n’est-ce pas vrai? Par conséquent, je pourrais bien rencontrer un grand nombre.

Mais des centaines viennent à la réunion, s’en vont et disent: «Je ne suis même pas entré dans la ligne.» Et j’ai essayé. Et, disons, on fait passer la ligne jusqu’à la fin. Et on leur demande: «Eh bien, il–il–il–il n’a point–point exercé le discernement sur mon cas.»

Eh bien, vous savez ce qui cloche chez vous. Vous savez ce que vous avez fait dans votre vie. Pourquoi devrais-je venir ici vous révéler cela, vous dire ce que vous avez fait et des choses, alors que vous savez ce que vous avez fait? Si vous êtes un pécheur, mettez-vous en ordre avec Dieu maintenant. Si vous avez fait du mal, n’attendez pas que le Saint-Esprit ait à dénoncer cela ici pour vous à l’estrade. Mettez-vous en ordre avec Dieu là même et confessez cela. Ensuite, entrez dans la ligne. Cela n’arrêtera pas la ligne, et laissez-nous prier pour les gens et les laisser continuer. Ils continueront à croire et ils seront guéris.

50        Maintenant, écoutez, amis. Je crois cela devant le Dieu Tout-Puissant devant qui je me tiens maintenant, que si je quittais cette salle maintenant même, le Message que j’ai prêché est justifié aux yeux de Dieu. Je crois cela, car Il a confirmé et accompli tout ce que j’ai déclaré qu’Il ferait. Est-ce vrai?

Alors, ce que je me demande maintenant, pourquoi ne pouvons-nous pas avoir une ligne de prière et prier pour environ une centaine ou plus en une soirée, sans même avoir à nous arrêter et révéler aux gens ces choses, exercer le discernement sur toutes leurs maladies, les tenir par la main et travailler leur foi. Pourquoi ne venez-vous pas sur base de votre propre foi maintenant, étant donné que Dieu a prouvé qu’Il est ici? Venez sur base de votre propre foi, sortez de la salle en vous réjouissant et en disant: «Merci, ô Dieu, je suis guéri.» C’est ce qu’Il a dit de faire.

51        Maintenant, cela... Suis-je... Si vous pensez que je dis la vérité... Soyez sincère dans votre coeur. Pensez-vous que c’est la vérité? Levez la main. C’est la vérité. Je le crois, amis. Par conséquent, je crois qu’on peut prier pour des centaines de gens, ou plus, chaque soir. Et, bien-aimé frère, bien-aimée soeur, comme je suis faible et fatigué...

Or, le fait de me tenir debout et parler, ça ne me dérange pas. Je peux prêcher jour après jour, cela ne me dérangerait pas. Cela m’édifie. Mais cette autre partie me dépouille de cela. Je peux amener deux personnes devant moi maintenant, me tenir ici et les retenir jusqu’à ce que leurs maladies partent, et je serai plus faible que je ne le serai en prenant une pèle et en travaillant pendant huit heures le jour. Le Dieu devant qui je me tiens sait que c’est la vérité. C’est quelque chose qui m’arrache simplement la vie.

52        Et je me demande si, l’un de ces soirs, si Dieu le permet, pourquoi ne pouvons-nous pas avoir une ligne comme cela, et laisser tout le monde descendre, me laisser me tenir ici. Et si je veux m’arrêter et attendre un...

J’aimerais prier pour vous. Non pas juste vous faire passer comme on avait l’habitude de tenir la ligne rapide autrefois. On avait l’habitude de passer ici, et les gens... On m’a envoyé là pour être... me laisser prier pour les malades. Je devenais tellement faible que je n’arrivais pas à me tenir debout. Alors, deux hommes, l’un de chaque côté, me soutenaient là, on laissait les gens passer et poser leurs mains sur moi. Des centaines d’entre eux étaient guéris.

Mais, souvent, ils viennent en titubant et disent: «Il n’a point prié pour moi.» Ils avaient raison. Il a dit: «Si tu es sincère en priant.» C’est la prière de la foi qui sauve le malade. Si vous avez assez de foi, vous n’aurez même pas à venir ici. Vous pouvez être guéri là où vous êtes assis.

Mais Il m’a dit: «Si tu pries pour les malades, et que tu les amènes à te croire, et que tu es sincère en priant...» C’est ce qui opère la guérison. Leur foi dans le fait que Dieu a envoyé Ses dons.

53        Evidemment, qu’Il me garde de recevoir la gloire, et je–je ne pourrais pas le faire. Et sachez même, amis, qu’aucun homme, qu’aucune chair ne pourrait se glorifier devant Dieu. Et pourquoi me tiens-je ici? Pourquoi suis-je dans ces réunions? Je travaille pour Christ. J’ai chez moi une petite église qui pourvoit à mes moyens de subsistance si je rentre auprès d’elle ; elle est aimable. Je peux aller pêcher chaque jour, et prêcher deux fois la semaine. Puis-je me tirer d’affaire avec cela? Mon âme serait hantée par des mains osseuses qui s’étendront vers cela. Il me faut rester à la chaire jusqu’à la mort. Malheur à moi si je n’annonce pas ce conseil de Dieu aux gens (Voyez?), sur cette puissance de la guérison.

Et Il est ici. Christ, le Fils de Dieu, est ici pour guérir les malades et les nécessiteux. J’aimerais lire juste un passage des Ecritures avant que nous allions...?... Il se trouve dans Matthieu, chapitre 4:

Jésus parcourait toute la Galilée, enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume, et guérissant toute maladie et toute infirmité parmi le peuple.

Sa renommée se répandit dans toute la Syrie, et on lui amenait tous ceux qui souffraient de maladies et de douleurs de divers genres, des démoniaques,... des paralytiques; et il les guérissait.

54        Eh bien, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Souvenez-vous-en donc. Croyez-vous qu’Il a dit la vérité? Il guérissait chaque maladie, Il avait d’abord vu le Père faire cela. Qu’est-ce? Est-ce la vérité? S’il y a un grand nombre de guéris, c’est que Dieu Lui avait montré un grand nombre de guéris, car Il a dit de Ses propres lèvres sacrées: «Le Fils ne peut rien faire, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Est-ce vrai?

«En vérité, en vérité (En d’autres termes, absolument, absolument), Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement. Ce que le Père a déjà fait.»

Maintenant, Il est ici. Maintenant, juste comme je l’ai dit, je–je L’ai senti s’approcher. Le don dont je parle maintenant, est ici même à ma droite, juste en train de s’établir ici quelque part. Eh bien, c’est vrai. Je peux sentir Cela tout aussi certainement–tout aussi certainement que vous pouvez entendre ma voix.

55        Maintenant, regardez. Maintenant–maintenant, écoutez-moi, amis, je peux sentir mes lèvres devenir engourdies. Je peux...?... qu’Il est ici. Parfois, je regarde pour voir si je peux Le voir. Je sais qu’Il se tient près de moi. Dieu est mon Juge, Lui devant qui je me tiens, Cela s’approche de plus en plus...?...près de moi.

Amis, j’ai essayé d’être sincère avec vous. J’ai fait tout ce que je sais faire. Croyons maintenant. Ne voulez-vous pas croire en Lui de tout votre coeur? Oh! la la! Quel moment glorieux pour être guéri! Maintenant, les esprits d’infirmités quitteront les gens. Beaucoup seront bénis. Il y a une profonde sincérité...

Maintenant, je ne dis pas qu’Il vous bénira. Il est ici maintenant même...?... Et je crois ceci de tout mon coeur. Si nous formons une ligne de prière, que les gens passent et, sans même demander un discernement, qu’ils disent simplement: «Frère Branham, tenez-vous là à l’écart et faites ce que l’Ange vous avait dit, priez pour moi. Et je quitterai cet endroit en criant, disant: ‘Dieu m’a guéri.’ Je vais m’accrocher à cela. Je vais rester là maintenant, et je vais aussi me rétablir»...

56        J’ai des prédicateurs aujourd’hui... ou il y a quelques jours, qui m’ont dit... Une dame est entrée ici, mourante, couchée sur une civière, et elle était au dernier stade, pour être guérie. Elle a dit que lorsqu’on avait amené la maman assise ici au...?... on a passé un temps horrible à la faire venir ici. Elle a dit... Pendant que je prêchais...?... j’ai baissé le regard vers elle, et j’ai dit: «Soeur», et je me suis mis à lui révéler des événements de sa vie et ce qui n’allait pas.» J’ai dit: «Me croyez-vous sur parole?» Elle a hoché la tête pour montrer qu’elle croyait. J’ai dit: «Allez de l’avant, Jésus-Christ vous a guérie.» Et maintenant, elle ne fait que glorifier Dieu, elle a été déclarée guérie, elle a parcouru toute la cité.

57        Beaucoup de choses, il y a quelques instants, si je n’étais pas dans cette réunion ici, une dame, qui a envoyé un télégramme, un ministre depuis Jamaïque, quelqu’un. Sa femme souffre d’un cancer au dernier stade. Et il disait que... «Pouvez-vous prendre l’avion et venir ici à mes frais tout de suite?» Il a dit: «Vous êtes l’unique espoir que nous avons, venez aider la femme à aller auprès de Dieu.»

Eh bien, quand on arrive à la maison, il y a des douzaines de lettres. Je me mets à genoux pour cela et je prie. Je dis: «Ô Dieu, Tu les connais. Montre-moi où aller.» Alors, je choisis tout lieu qu’Il m’indique, puis j’y vais.

Je suis simplement rentré chez moi il n’y a pas longtemps, et il y avait différents... Il y avait environ quinze...?... de longue distance ou des billets d’avion et tout, qui affluaient de partout à travers le pays, divers endroits où j’ai été...?... Celui-ci, celui-là est venu pour moi.

J’ai simplement enduré cela. J’ai dit: «Chérie, tu sais, je viens d’arriver...?...» J’ai pris l’avion pour New York, et je venais de rentrer. Et j’ai dit: «Eh bien, alors là... Une grande chaîne de télévision avait dit que, si nous allions au Madison Square Garden, elle diffuserait cela à la télévision gratuitement.» C’est bien. Cela atteindra l’assistance. Ainsi donc, je vais lui donner cette opportunité, juste...?... Ainsi donc, quand le... Sa mère a été guérie...?...

Ainsi donc, je–je suis rentré, et ma femme a dit: «Chéri, regarde ça.» Elle a dit: «Oh! la la! Cette place est archicomble avec le...?...» Elle a dit: «Permets-moi de les appeler pour toi.»

J’ai dit: «Eh bien, chérie, tu sais que je...»

Elle a dit: «Eh bien, voici ceci qui vient d’Untel, ceci de tel autre, ceci de tel autre, comme cela, différents...?... Californie, de l’Oregon, ceci de la Floride, ceci de là.» Et puis, elle a dit: «Voici... Et–et, vous savez, dans l’Arkansas, le maire de la ville là, sa femme se meurt du cancer, ainsi de suite comme cela.»

58        Elle a dit: «Que dis-tu?»

Le Saint-Esprit m’a arrêté. J’ai dit: «Reprends celle-là.»

Elle a repris. Et, oh! il faisait mauvais temps. Oh! la la! C’était tout au début du printemps, de la neige partout. Et il était mentionné: «Mena, Arkansas. Le maire de la ville, sa femme se meurt du cancer, il vous réclame.» C’était un membre des assemblées de Dieu.

J’ai dit: «Juste un instant. Laisse-moi prier.»

Elle a dit: «C’est depuis quatre ou cinq jours qu’il cherche à t’atteindre.»

J’ai dit: «Laisse-moi entrer dans mon bureau.»

Je suis entré dans mon bureau, j’ai médité un peu. Le Saint-Esprit m’a dit: «Va à Mena.»

Ils avaient là le pire des cas que j’aie jamais connus. On a dû conduire le véhicule à travers les collines et tout le reste. Et l’avion était cloué par la neige.

J’ai dit: «Le Seigneur a voulu que j’aille à Mena. Téléphone-lui, dis-lui que je suis en route. Qu’il envoie à ma rencontre...?...»

59        Je suis arrivé là, le médecin et tous les autres étaient assis dans la chambre. Je suis entré dans la pièce, là où elle était, je lui ai imposé les mains. J’ai dit: «Le Seigneur Jésus m’a envoyé ici afin que vous soyez guérie.»

Elle s’est directement levée et est sortie de la salle comme cela...?... C’est vrai. La chose était là. Cela a déclenché un réveil dans cette contrée-là. Elle a dégagé environ un gallon et demi [6,8 l] d’eau et de pus. Environ une demi-heure après cela...

Semaines après semaines, je tenais des réunions. Et elle était là. Elle disait: «Je me sens bien, Frère Branham.» Tout aussi bien qu’elle pouvait être... Pourquoi? L’obéissance.

60        Maintenant, Il est ici. Croyez-vous que si la prière de la foi était offerte pour vous, vous serez guéri? Croyez-vous cela?

(Combien de... prière...?... Où commence votre carte de prière? Quel numéro? 1? Quelle lettre est-ce? B? Une centaine a été distribuée?) Je crois que nous prierons pour une centaine de gens maintenant même. Ne le pensez-vous pas, dans les prochains... je dirais, la prochaine heure? Sans exercer le discernement, prier simplement pour le... Je crois que chaque prédicateur dans cette salle peut prier avec nous. Ecoutez, amis, votre pasteur a autant que moi le droit de prier.

Maintenant, soyez respectueux. Maintenant, Il est ici, et chacun de vous a sa carte de prière. Croyez-vous que si nous formons simplement ici une ligne de...?... Tous ceux qui ont des numéros, tout une centaine alignée ici. Descendez directement dans la ligne, permettez-nous simplement de prier pour vous.

61        Je crois que vous serez guéris, si vous quittez cette estrade ce soir en vous réjouissant simplement et disant: «Dieu, merci de m’avoir guéri.» Sortez de cette salle, croyez cela de tout votre coeur, je crois que vous écrirez votre témoignage d’ici quelques jours, pour dire que vous êtes parfaitement guéri. Vous le croyez, n’est-ce pas?

Combien feraient cela, sortiraient d’ici... Combien aimeraient s’abandonner à Dieu maintenant même et dire: «Seigneur, je crois que si les–si les choses qui ont été confirmées, que cet homme a dites, je sais qu’elles sont vraies, en ce qui concerne le discernement...»

Eh bien, secouez-vous juste un peu. Pincez votre être intérieur. Réveillez-vous. Qu’est-ce que Dieu peut faire de plus? Que peut-Il faire de plus? Il ne peut vous guérir contrairement à votre foi, pas plus que rien, n’est-ce pas? Et si vraiment vous croyez en Lui, vous êtes guéri de toute façon. Est-ce vrai? C’est votre foi dans la Parole de Dieu, qu’Il peut vous guérir. Maintenant, ne doutez pas. Ayez foi en Dieu. Croyez-vous en Lui de tout votre coeur?

62        Maintenant, écoutez. Maintenant, afin que vous sachiez que le Saint-Esprit est ici. Voudriez-vous être respectueux, chacun de vous, tout aussi respectueux pendant quelques instants et regardez simplement dans cette direction? Maintenant, afin que vous sachiez que...

Vous direz: «Eh bien, je pense que peut-être le Saint-Esprit l’a quitté.» Non, ce n’est pas le cas ; Il est ici même.

Et je vais demander à notre Père céleste maintenant de bien vouloir guérir quelqu’un dans cette salle, quelqu’un que–que vous pouvez voir comme étant réellement guéri. Et qu’Il me le montre. Et priez pour votre guérison maintenant, et laissez le Père céleste me le montrer. Et s’Il entend ma voix... En effet, l’Ange qui avait parlé avec moi avait dit que mes pensées se faisaient entendre beaucoup plus fort au Ciel que ne le faisait ma voix sur la terre.

Il sait ce que vous pensez. Et si vous... Si Dieu me laisse voir quelqu’un parmi vous être guéri et qu’Il confirme que c’est ainsi, croirez-vous de tout votre coeur alors, qu’Il est ici, et qu’Il bénit...? Cela–cela, je...

63        Maintenant, rappelez-vous, je ne suis pas Lui. Je Le représente simplement. Je suis Son–Son canal ici. Et, rappelez-vous ceci: Il peut me quitter n’importe quand qu’Il veut. Il part selon Sa volonté. Dieu sait que je L’aime. Et j’aimerais qu’Il reste pour toujours avec moi, car j’aime travailler pour Son peuple. C’est le plus grand plaisir que j’aie jamais éprouvé.

Mais Dieu... Il–Il–Il peut... Il a le droit. Il n’a rien pour... sur Lui. C’est Lui qui peut me quitter n’importe quand qu’Il le désire...?... Mais je L’aime, et j’aimerais qu’Il reste ici. Mais Il peut quitter n’importe quand qu’Il veut. Mais j’espère trouver grâce à Ses yeux, et Il m’accordera Sa bénédiction.

64        Maintenant, inclinons la tête. Seigneur Jésus, je–je ne connais pas un moment de la vie... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... J’étais dans une réunion de prière de ce genre, alors que j’étais plus sincère que je le suis maintenant même. En effet, Seigneur, Tu sais que je suis faible, et je suis fatigué ; et la réunion est longue, et ça traîne. Et je trouve, Seigneur, que–que c’était bien pour moi de rester ici, car je... si Tu ne m’avais pas conduit ainsi, j’aurais quitté. Peu importe le coût, j’aurais quitté. Mais j’ai senti que Tu voulais que je reste, aussi suis-je resté, Père.

Et j’ai essayé de dire aux gens, de leur expliquer, que c’est Toi qui guéris, Tu es venu confirmer Ton serviteur et leur faire savoir que ce n’est pas moi, que c’est Toi. Tu peux prendre ou donner selon Ton bon plaisir. Tu es Dieu, et il n’y a personne d’autre comme Toi.

Et maintenant, Père, exauce la prière de ces gens malades là dans l’assistance, quelqu’un, et montre cela à Ton serviteur, que Tu as placé la bénédiction de la guérison sur eux, qu’ils vont être guéris, ils vont se rétablir. Et, Seigneur, cela augmentera la foi des autres et leur fera savoir que Tu es toujours ici avec Ton serviteur. Veuille exaucer ma prière, Père, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen.

65        Maintenant, que tout le monde soit aussi respectueux que possible ; soyez en prière maintenant. Croyez-vous réellement que ce que j’ai dit est la vérité? Ayez foi, tout le monde. Maintenant, regardez dans cette direction et croyez de tout votre coeur que Dieu a exaucé votre prière. Maintenant, me croirez-vous s’Il me le montre? Maintenant, tout le monde là, ici présent, vous savez que je suis...

Je crois qu’il a dit que cette section-ci a été réservée aux malades, dans cette section-ci. Je ne sais pas. Est-ce vrai? Celle–celle-ci? Très bien. Vous, juste dans cette ligne ici donc, regardez dans cette direction. Croyez simplement de tout votre coeur. Ayez foi.

Maintenant, je ne peux pas dire s’il s’agit de cette dame ici ou de cet homme. Je crois que c’est vous, monsieur, qui souffrez du dos, vous assis là. Très bien. Allez-vous m’obéir en tant que serviteur de Dieu et me croire? Très bien. J’aimerais que vous vous leviez et que vous sortiez par derrière cette tente en levant les mains et en disant: «Merci, Jésus, de m’avoir guéri.» Car votre mal de dos vous a quitté, frère. Sortez par derrière la tente là et dites: «Merci, Jésus, de m’avoir guéri.»

66        Soeur, vous avez un désir dans le coeur, n’est-ce pas? C’est un genre de petite dame là, assise juste là derrière la dame ici avec... Là, vous avec le doigt levé comme ça. Il y a un désir dans votre coeur pour quelque chose, n’est-ce pas? Ce n’est pas exactement une maladie, mais c’est une espèce d’affliction, n’est-ce...?... C’est un profond désir passionnant de quelque chose. Est-ce vrai? Voudriez-vous vous lever juste un instant?

Je crois que cette dame ici est en train de réfléchir profondément là devant. Oui, c’est vous. Vous... Il y a une dame derrière, une jeune dame là, d’environ... Regardez dans cette direction. Cela a dû s’élever au-dessus de cette dame ici même, car elle pensait à une fillette aveugle qui est assise à côté là.

J’essaie de mon mieux de voir. Oui, je vois ce que c’est, soeur. Très bien. Eh bien, vous êtes une inconnue, n’est-ce pas, soeur? Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Mais si Dieu m’a révélé et m’a montré exactement ce dont vous avez besoin, me croirez-vous? Très bien. Vous êtes stérile, n’est-ce pas, sans enfants? Vous voulez un enfant. N’est-ce pas vrai? Que Dieu vous accorde votre désir. Croyez-vous que Dieu va...?... Que Dieu vous accorde l’enfant que vous désirez. Maintenant, croyez de tout votre coeur, Dieu...?... Ayez foi. Ne doutez pas.

67        Maintenant, revoyons juste un peu plus loin. Que tout le monde puisse regarder et croire. Ô Dieu, aie pitié. Oui, Cela vient juste ici. Je crois qu’il s’agit d’une dame avec... blanc... là même en chapeau blanc, assise juste... Non, ce n’est pas ça. C’est la dame juste derrière elle, en manteau brun. Levez-vous, soeur. Oui, vous souffriez du cancer, n’est-ce pas? Cela vous a quittée maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous en vous réjouissant.

Et l’homme juste derrière vous, cet adhésif sur son oreille. C’est aussi le cancer, n’est-ce pas, frère? Ayez foi en Dieu. Très bien. Que Dieu vous bénisse. Rentrez chez vous, soyez guéri. Que Dieu... bénisse. Votre nervosité et tout cela vous ont quitté. Vous avez enlevé et partez...?...

Maintenant, dans cette section ici, voyez s’il y a des malades ici maintenant. Regardez dans cette direction, tout le monde maintenant, et ayez foi. Maintenant, je ne peux dire que ce que le Saint-Esprit me dit de dire. Le voilà partir en se réjouissant. Disons: «Dieu merci.»

Je ne suis pas trop sûr de l’endroit exact d’où cela provient, mais je crois que c’est la dame portant la fillette dans les bras. Il y a quelque chose qui cloche. C’est–c’est vous, n’est-ce pas, soeur? Est-ce une maladie gynécologique qui vous dérange? Est-ce vrai? Tenez-vous debout. Très bien. Vous êtes guérie maintenant. Jésus-Christ vous rétablit.

68        Juste un instant. Voici quelqu’un d’autre. Cette dame assise ici, en robe noire à pois, ou plutôt blanche à pois. Elle souffre aussi d’une maladie gynécologique ; n’est-ce pas, soeur? Levez-vous. Vous êtes guérie maintenant. Que Dieu vous bénisse. Ayez foi ; ayez foi.

Maintenant, voyons les estropiés. Vous qui êtes estropiés, regardez dans cette direction et croyez. Ayez foi.

Est-ce que votre garçon va mieux, soeur, celui qui souffrait de la maladie du coeur? Oui, madame. Ça va s’arranger. Te sens-tu bien, fiston? Tu vas te rétablir maintenant. Regardez le tout petit enfant heureux, comment il est. Lève-toi, chéri, afin que les gens te voient. Il a été guéri de la maladie du coeur l’autre soir, il est étendu là, il n’arrive même pas à se tenir tranquille. Le voilà, guéri de la maladie du coeur. Eh bien, que son petit coeur soit béni.

69        Je vois une femme avancée en âge étendue là. Regardez dans cette direction, madame. Pauvre vieille mère, grisonnante. Regardez dans cette direction maintenant. Ayez foi. Vous êtes une inconnue, soeur, n’est-ce pas vrai? Mais vous souffrez. Et vous êtes liée par–par le rhumatisme. Est-ce vrai? Maintenant, regardez et croyez. Croyez-vous que c’est le même Esprit qui avait révélé à la femme au puits ses péchés et qui lui avait dit d’aller chercher son mari? Croyez-vous que c’est l’Esprit de Christ? Vous êtes vous-même une pécheresse, madame, n’est-ce pas vrai? Vous n’avez pas donné votre vie à Christ. Si vous donnez votre coeur à Christ, votre rhumatisme vous quittera. Croirez-vous cela de tout votre coeur? Agissez maintenant, et donnez votre coeur à Christ. Maintenant, levez-vous de cette histoire-là et sortez de la salle. Vous pouvez marcher. Allez, et que le Seigneur Jésus vous bénisse.

Regardez dans cette direction, vous les estropiés, les affligés. Le frère assis ici, aveugle, portant ces lunettes. Oui, vous qui levez la main. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Acceptez-vous mes paroles en tant que serviteur de Dieu? Accepterez-vous? Très bien. Je vais vous dire: vous vous lèverez de là et vous exercerez votre foi, Jésus-Christ vous accordera votre vue. Levez-vous. Sortez de la tente par la porte ici. Allez de l’avant. Vous pouvez voir. Partez.

Que tout le monde soit respectueux, s’il vous plaît.

Jeune homme, tu es lié depuis quelque temps aussi, n’est-ce pas? Crois-tu en Jésus? Regarde, jeune homme, tu resteras cloué à ce fauteuil tant que tu vivras si tu n’exerces pas ta foi pour croire. Crois-tu cela maintenant, que tu es assis dans Sa Présence? Crois-tu? Très bien. J’aimerais que tu te lèves au Nom de Jésus-Christ et que tu sortes en marchant? Tu n’es plus lié par les puissances de l’enfer. Lié... Croyez-vous? De tout votre coeur? (Quel numéro est-ce?) [Un frère forme la ligne de prière.–N.D.E.]

70        Dites là. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... dire ceci devant vous, mais je deviens trop faible avant d’avoir commencé la ligne de prière. Très bien. Croyez-vous que Dieu sait tout ce qui est dans votre coeur? Il sait tout à votre sujet. J’aimerais que les prédicateurs se tiennent ici au bout de la ligne. Et au fur et à mesure que les gens descendent de l’estrade, ici même, j’aimerais que vous vous teniez ici et que vous preniez... que vous disiez aux gens de louer le Seigneur en quittant l’estrade.

Combien de chrétiens vont se joindre à nous dans la prière maintenant? Maintenant, vous tous qui êtes ici debout, avec des cartes de prière, chacun de vous peut être guéri ce soir. Allez-vous maintenant faire ce que je vous dis de faire? Juste un instant avant qu’ils prennent...

Très bien, frère, comment vous sentez-vous maintenant? Sortez directement. Permettez-moi de vous serrer la main...?... Voyez-vous très bien maintenant? Sortez directement. Vous avez recouvré votre vue. Rentrez chez vous, racontez aux membres de votre famille les glorieuses choses que Christ a accomplies. Mais dans quelques jours, votre vue redeviendra tout aussi normale et parfaite que possible. Continuez en vous réjouissant.

71        Combien, parmi vous ici, y en a-t-il debout dans la ligne de prière maintenant? Levez les mains et, pour cela, dites: «Seigneur Dieu, je me confie maintenant à Toi. Je dis vrai, ô Dieu ; à partir de ce moment, je vais témoigner de ma guérison, advienne que pourra.»

Ô Eternel Dieu, bénis ces gens que je bénis en Ton Nom. Que chaque personne qui traverse cette estrade la quitte en criant, en se réjouissant, et étant heureuse. Ils ont vu Tes oeuvres maintenant depuis plusieurs, plusieurs jours, quelques quinze jours, et ils savent que Tu es ici et que Tu sais tout ce qu’il y a dans leur coeur.

Maintenant, Seigneur, pour la première fois de ma vie, depuis que Tu m’as donné la commission d’aller et de prier pour les malades, et d’amener les gens à Te croire, je commence ce soir au Nom de Jésus-Christ à amener les gens à croire alors que je leur impose les mains, étant donné que le discernement de chaque pensée et de chaque coeur prend beaucoup de temps. Seigneur, beaucoup attendent. Je Te prie de guérir chacun d’eux au Nom de Ton Fils, Jésus. Amen.

72        Très bien. Tout le monde maintenant, restez assis, ceux qui n’ont pas de cartes de prière pour entrer dans la ligne, et attendez. Très bien.

De loin. Qu’Il bénisse notre...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Je demande...?... Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je bénis cette soeur, pour sa guérison au Nom de Jésus-Christ. Amen. Croyez-vous que vous êtes guérie, soeur? Allez en criant. Allez en louant Dieu, car vous êtes guérie.

Ô Jésus, Fils de Dieu, guéris notre bien-aimée soeur pour Ta gloire au Nom de Jésus. Amen. C’est bien. Allez en louant Jésus...?...

Maintenant, que tout le monde remercie le Seigneur. Dites: «Merci Seigneur», alors que vous quittez ici, en disant que vous êtes guéri maintenant. Ceci va être un signe pour savoir si Dieu veut que je fasse ceci ou pas. Voyez? Maintenant, tout le monde, croyez.

Père...?... Maintenant, je...?... Christ...?...

Maintenant, rappelez-vous. Alors que vous venez, qu’il vous soit fait selon votre foi. Combien savent que c’est vrai? C’est votre touche qui fait descendre la vertu de Dieu. Si vous ne croyez pas, ne–ne venez pas. Si vous croyez, venez directement et soyez guéri. Tous les chrétiens, soyez en prière maintenant.

Croyez-vous, petite dame? Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, je...?... [Frère Branham s’éloigne du micro et ça devient difficile de saisir clairement ce qu’il dit.–N.D.E.]

Avancez, soeur. Ô Dieu, je bénis ma soeur que voici au Nom de Jésus-Christ...?... [Frère Branham s’éloigne du micro et ça devient difficile de saisir clairement ce qu’Il dit.–N.D.E.]

73        Croyons tous en Lui d’un commun accord. Levons-nous maintenant même. Beaucoup de glorieuses guérisons. Combien sacrifieront leurs cartes et diront: «Maintenant, je crois de tout mon coeur»? Ça a été confirmé de deux façons, de part et d’autre. Jetez vos cartes en l’air et dites: «Je crois Cela maintenant même, Jésus-Christ, mon Guérisseur.» Allez-vous le faire?

Voilà partir... C’est ainsi qu’il faut s’y prendre. Regardez les cartes s’envoler. Levons les mains et rendons gloire à Dieu.

Un estropié s’en va en marchant par là. L’une des jeunes filles aveugles vient de recouvrer la vue, elle s’en va en voyant. Elle était aveugle, elle s’en va en voyant.

Père céleste, envoie Ta puissance et guéris toute l’assemblée maintenant même, Seigneur. Satan, lâche-les au Nom du Seigneur Jésus-Christ, qu’ils partent et qu’ils soient guéris maintenant même...

 

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