LA FOI VIENT DE CE QU’ON ENTEND

Date: 54-0320 | La durée est de: 1 heure 32 minutes | La traduction: Shp
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1.         Crois seulement, crois seulement,

            Tout est possible, crois seulement.

            Merci, mes amis. Maintenant, vous pouvez vous asseoir, je vous en prie. C’est vraiment un privilège pour moi de revenir encore ce soir ici à Chicago, à l’Eglise de Philadelphie pour prêcher au Nom du Seigneur.

2.         Ce n’est pas que j’aie fui Columbus pour revenir ici, mais je suis content d’être revenu ici. J’ai dit à frère Boze (quand il est venu me voir l’autre soir), il m’a appelé aussitôt que le… Eh bien, je lui ai téléphoné parce qu’il y avait un groupe de gens qui venait à Columbus… et je… il… J’ai vraiment senti qu’il allait me demander de revenir ici. Et à tous ceux qui appelaient, je disais  simplement: «Eh bien, je suis fatigué. Je vais me reposer.» Mais lui, il m’a persuadé là-dessus, de revenir. Donc, c’est sa faute.

            Et j’ai dit: «Je sens que je vais épuiser la patience de ce merveilleux groupe de gens de Chicago qui m’attendent à bras ouverts.» Et il a dit: «Eh bien, il y a beaucoup de gens.» Il y a environ trois millions que je… ou… Est-ce vrai? Environ quatre millions d’habitants à Chicago. Oh! la la, c’est tout un village, n’est-ce pas? C’est presque la banlieue de ma ville. Oh! la la! je pense qu’elle compte quatorze mille, je ne suis pas certain, quelque chose de ce genre. Dans l’ensemble, cela ne peut probablement pas faire l’une de vos longues rues ici.

3.         Mais nous sommes très content d’être ici pour servir le Seigneur Jésus. Et nous avons eu un grand succès, grâce à vos prières, qui nous aident dans beaucoup d’endroits à travers la nation, depuis que nous nous sommes vus (il y a un peu plus d’un mois, je pense…) à Wood River, dans l’Illinois, et à Hot Springs, dans l’Arkansas, et à Shreveport, en Louisiane. De là, nous sommes allés à Phoenix, en Arizona, et nous avons eu une grande et merveilleuse série de réunions.

4.         Il fallait que j’aille à la Côte Ouest au… à une certaine dénomination là-bas, et je… une bonne église avec de braves gens… Mais j’ai fini par découvrir qu’ils essayaient de… Si j’allais là-bas, cela les aiderait à attirer un groupe de gens d’une autre église. Mais la petite influence que j’ai, je veux l’utiliser pour la gloire de Dieu et non pas pour – pour faire du mal aux églises. Vous voyez? Ainsi, j’ai dit: «Eh bien, étant donné que les églises sont en train de passer un petit temps comme cela, je ferais mieux de ne pas m’y mêler. Je vais simplement attendre jusqu’à ce que tout soit terminé, alors je reviendrai à cela.» J’ai dit: «Mettez-les ensemble, rassemblez-les et dites-leur que nous sommes des frères, l’un à côté de l’autre. Je viendrai.» Mais j’aime l’unité, pas vous? L’amitié, la communion, il n’y a rien de semblable à cela.

5.         Et puis, à mon retour, j’aurais moi-même commis une erreur; beaucoup d’entre vous s’étaient peut-être posés des questions ou avaient peut-être constaté que c’était si tôt – mon départ de Columbus. Il n’y avait rien de mal,  mais c’était simplement un… Quand je suis arrivé là-bas, ils devaient obtenir un colisée et on devait tenir des services avec tous les ministres du Plein Evangile et tous les ministres de toutes les confessions, s’ils… tous ceux qui voulaient collaborer pour y assister. Et (en fait, c’était la stratégie que j’ai adoptée.) … Ainsi, vous savez, je pense que c’est Jacob qui avait creusé un puits et les Philistins l’ont chassé de là. Et je pense qu’il l’a appelé «malice» ou quelque chose du genre. Il a creusé un autre puits, et il… Ils l’ont chassé de cet autre puits. Il l’a appelé «querelle». Et il a creusé un autre et il a dit: «Il y a de la place pour nous tous.» Ainsi, venez tous et buvons, et ainsi… J’aimerais boire à ce dernier puits, vous savez, où il y a de la place pour tout le monde, de la place pour boire pour les baptistes, les méthodistes, les pentecôtistes et les… pour nous tous, simplement boire de la même fontaine. J’aime plutôt cela.

6.         Ainsi, c’était… Lorsque je suis arrivé là-bas, il n’y avait pas de… Il n’y avait qu’un seul homme. La plupart d’autres églises étaient en quelque sorte, oh! je ne sais pas… Je n’avais rien à redire au frère, mais, pour moi, la chose était un peu mal représentée. Et je – je ne voulais pas susciter de mauvais sentiments parmi les églises; il a donc continué à prier pour les malades et moi, j’ai prié pour ceux qui étaient là. Et puis, je – je suis revenu.

            Et maintenant… Et puis, à la fin de cette semaine, à partir du dimanche prochain, le Seigneur voulant, il s’agit du dimanche en huit, nous commençons à Louisville, dans le Kentucky, et nous serons donc là pendant quelques soirées jusqu’au dimanche prochain. Et puis de là, nous reviendrons à ce – à  l’auditorium à Shreveport, en Louisiane; et puis de là, nous irons à Denver, dans le Colorado. Et à Denver, dans le Colorado, ce sont les Hommes d’Affaires de la ville qui sponsorisent les réunions là dans un auditorium. C’est un bel endroit spacieux,  à Denver.

            Et puis de là, nous irons chez les Norvégiens à (chez les Suédois et autres)- au Canada. Nous irons à Edmonton, à Grande Prairie et à Dawson Creek. Et j’ai toujours désiré y retourner avec ces amis. Et pendant que je serai là en visite (Eh bien, ça, ce sera avant d’aller outre-mer), c’est pour moi l’occasion de pouvoir rencontrer les gens et de prêcher. Je leur serre la main. J’ai essayé de faire cela dans chaque série de réunions, mais il y a toujours un service de guérison avant la clôture.

            Combien connaissent Jack Schuller? Vous tous pratiquement, je pense, vous le connaissez. C’est un frère bien connu, un brave homme, un frère méthodiste.

7.         Quand j’étais à Phoenix… Je ne l’ai jamais rencontré à Jeffersonville. Ma mère et les autres le connaissaient, mais… J’étais donc à Phoenix. J’ai découvert qu’il y était aussi. J’étais donc au Madison Square Garden et lui était dans un certain auditorium d’une école ou un endroit comme cela. Je l’ai donc appelé et j’ai trouvé l’endroit où il séjournait. Et l’un des managers, monsieur Moore, l’a rencontré. Et puis, il m’a donc rappelé. C’était comme cela.

            Il a dit: «Salut, fils!»

            Fils? J’ai dit: «Quel âge doit avoir un homme pour être – pour être un adulte?» Vous savez…?... Je pense qu’il est dans la trentaine et moi j’ai – j’aurai quarante-cinq ans en avril. J’étais donc un enfant.

            Il a dit: «Dites donc, j’apprends que vous êtes en train de bombarder les forêts.» (Il a vraiment un sens de l’humour).

            Et j’ai dit: «Eh bien, nous passons des moments merveilleux.»

            Il a dit: «Eh bien, Frère Branham,» il a dit…

            J’ai dit: «Je ne suis pas venu ici pour être votre concurrent.»

            Il a dit: «S’il y a un concurrent, c’est bien moi.» Il a dit: «Il y avait des annonces ici pour toi en premier.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, c’est très bien, Frère Schuller, il y a beaucoup de place ici.»

            Il a dit que, bon, il avait passé des moments merveilleux. Il avait fait deux semaines et il devait partir avant mon arrivée, et puis, il – il avait fait plus d’une semaine, une autre semaine.»

8.         Ainsi donc, c’était un – c’est un prédicateur; son père est un prédicateur et son grand père, un prédicateur. Je pense que le vieil homme peut dépasser les deux autres dans la prédication, le vieux grand-père. Mais c’est très bien d’avoir une telle famille, n’est-ce pas?

9.         J’espère que, si Jésus tarde, mon fils sera un prédicateur, que son fils sera un prédicateur, et que ça va juste continuer comme cela. Je préfèrerais qu’il soit un prédicateur plutôt qu’un président des Etats-Unis. Bien que ça soit honorable d’être  président, je préfèrerais qu’il soit ministre de l’Evangile, pour prêcher la Vérité. Même s’il était très pauvre et qu’il lui fallait seulement boire de l’eau plate et manger des biscuits salés, je préfèrerais qu’il soit un véritable prédicateur de Dieu, envoyé de Dieu.

10.       Mais, ainsi… Il a dit… J’ai dit: «Eh bien, je ne suis venu que pour prêcher, Frère Schuller.» J’ai dit: «Mais on a l’impression que ça va se transformer en un service de guérison…?... Nous avons essayé cela un soir, mais nous ne nous en sommes pas sortis, il y avait là beaucoup de cas, de cas amenés par ambulance, et autres.»

            Il a dit: «Frère Branham, ne cherchez pas à vous dérober à cela.» Il a dit: «Il vous faut prier pour les malades partout où vous allez.» Il a dit: «Savez-vous que je vous avais suivi à Fort Wayne?» Combien connaissent monsieur Billings du Temple? La plupart d’entre vous le connaissent. Monsieur Billings était l’un de ses sponsors. Et il a dit: «Aussitôt que je suis arrivé là-bas, a-t-il dit, nos frères méthodistes ont commencé à se plaindre de votre présence là-bas, et de cette grande foule de gens qui s’étaient réunis là-bas.» Rien que des guérisons, c’est tout ce qu’il y avait, et tout.

            J’ai dit: «Oh! Ce n’est pas vrai, Frère Schuller, vous le savez.» J’ai dit…

            Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit (Il a cité le nom d’une certaine femme)… » Il a dit que la femme avait fait dix ans dans un hôpital psychiatrique. Et elle… La plupart d’entre vous qui connaissez Romaine Rediger, c’était le même cas. Et on l’avait amenée là à la maison, et elle était délivrée sur-le-champ. Le Seigneur Jésus l’avait guérie sur-le-champ, et elle est – elle est mère de deux enfants maintenant. Et c’était la Mère Romaine.

11.          Ainsi, cette autre dame avait fait plusieurs… dans un hôpital psychiatrique. Je pense que si je ne me trompe pas, elle y a fait dix ans. Elle avait la phobie; lorsqu’elle entrait dans sa chambre, qu’on la laissait libre, elle sautait par la fenêtre comme cela. Elle a sautée par une fenêtre du deuxième niveau et cela a failli lui coûter la vie. Ainsi, tous la connaissaient  dans les environs; ainsi, monsieur Schuller a dit (ou plutôt frère Schuller,) a dit: «Je suis descendu là, je l’ai prise et je l’ai fait monter à l’estrade pour témoigner.» Il a dit: «Maintenant, connaissez-vous cette femme, là où elle était et ce qu’elle est maintenant?» Il a dit: «Je ne veux pas vous entendre dire un mot de plus au sujet de frère Branham pendant que je suis ici.» Il a dit: «C’est exactement ce qui s’était passé, ni plus ni moins, c’était merveilleux.»

            Ainsi, il a dit… Un ami m’a rencontré l’autre jour. Il a dit: «Frère Branham, voici ce que je fais circuler.» (Ainsi, comme il n’y a personne ici sauf les nôtres, je vais donc m’ouvrir pour vous parler.) Il a donc dit: «Voici ce que je fais circuler à votre sujet.» Il a dit: «Tous ses sermons sont des drames», (Vous savez, principalement dans tous… Mais il est formidable dans les drames). Si vous êtes dans les environs pour l’écouter, allez l’écouter. C’est un merveilleux frère, et il sait présenter les choses sous la forme d’un drame. Ma mère l’a entendu présenter le retour du fils prodigue sous la forme d’un drame.

12.       Franchement, je pense que frère Schuller a étudié pour être un… Il est allé au Bob Jones College ou quelque part pour étudier afin de devenir un… citer Shakespeare ou quelqu’un du genre. Et ils ont dit: «Nous enseignons cela  ici.» Mais il a été sauvé pendant qu’il était là. Il devait donc devenir une vedette du cinéma ou quelque chose du genre. Ainsi, il prêche tous ses – ses sermons par le drame. Et il a dit…

            Un homme a dit l’autre soir, il a dit: «Frère Jack, a-t-il dit, pourquoi ne pas abandonner simplement ces illustrations par le drame, vous tenir là et prêcher Christ, puis aller de l’avant?»

            Il a dit: «J’aimerais certainement le faire.» Il a dit: «Pas vous, Frère Branham?»

            J’ai dit: «Certainement, j’aimerais bien le faire.»

            Mais il a dit: «Ce n’est pas ça notre ministère, Frère Branham.» Il a dit...  le même homme, a dit: «Je me suis tourné vers lui et j’ai dit: ’Aimez-vous pêcher?’»

            Il a répondu: «Oui.»

            J’ai demandé: «Qu’est-ce que vous utilisez comme appât, le steak d’aloyau?»

            «Eh bien, non», a-t-il-dit.

            J’ai dit: «Qu’est-ce que vous utilisez comme appât?»

            Il a répondu: «Eh bien, les vers.»

            Il a dit: «Vous n’aimez pas les vers, n’est-ce pas?»

            Il a dit: «Non, mais les poissons aiment les vers.»

            Il a dit: «C’est ce que je me disais.»

            Il a dit: «Les gens s’attendent à ce que mes services soient présentés sous la forme d’un drame, mes services.» Et il a dit: «Les gens s’attendent à ce que vous priiez pour eux.» Il a continué: «Nous faisons le travail du Seigneur, l’un… simplement…?...

            Alors, je me suis dit que c’était très conciliant. Je me suis dit que c’était une petite réponse pleine d’esprit. C’est ce que les gens aiment. C’est vrai. C’est ce que le –  c’est ce à quoi les poissons mordent. Eh bien, comme je le dis souvent: «On ne montre jamais l’hameçon au poisson, on ne lui montre que l’appât. Il se saisit de l’appât et il prend l’hameçon.»

13.       Lorsqu’un certain homme de renommée mondiale, un homme bien connu,  un aimable frère de la Côte Ouest, m’a parlé un jour, au début de mes services à la Côte Ouest... Je devais occuper le même auditorium où il était. Il a dit: «Frère Branham, les gens ne seront pas attirés par ce fanatisme de la guérison divine.»

            J’ai dit: «Oh?»

            Il a dit: «Pourquoi ne prêchez-vous pas l’Evangile pendant que vous vous trouvez  à la Côte Ouest?»

            J’ai dit: «C’est ce que je fais.» J’ai dit: «Si je ne prêchais pas la guérison divine, je ne prêcherais pas l’Evangile. ‘L’Evangile ne vient pas en Parole seulement, mais par la puissance et la démonstration du Saint-Esprit.’» Voyez-vous? Et j’ai dit: «Je n’ai pas à discuter avec vous, frère.» J’ai dit: «Vous en savez plus que moi à ce sujet, mais je… ce que je connais, je le connais très  bien.» Voyez-vous? J’ai dit: «Je connais très bien cette partie-là.»

            Il a dit: «Eh bien, les gens ne vous recevront pas à la Côte Ouest.» Il a dit…

            J’ai dit: «Eh bien, cher frère, ai-je dit, ce sera très bien.»

            Il a dit: «Vous louez cet auditorium qui va coûter quatre cents dollars par jour?» 

J’ai dit: «Oui, oui.»

            Il a dit: «Il n’y aura personne là-bas.» Il a dit: «La première chose, c’est qu’Angelus Temple, le groupe de McPherson, ils ont placé leurs affiches, ils ont placé leurs affiches, disant: ‘Guérisseur divin...’» Il a dit: «Tous les pentecôtistes, cette bande de radicaux, ont placé leurs affiches, disant : ‘Guérisseur divin,’…?...»

            «Oui, oui. Cela peut être vrai, mais je suis–je ne suis responsable que de ce que Dieu m’a dit de faire, et c’est ce que je fais.» Voyez-vous? Et ainsi…

            Il a dit: «Eh bien, venez et entrez en lice.»

            J’ai dit: «Je vous verrai.»

14.       Ainsi, quand nous y sommes allés ce jour-là, il avait environ mille six cents,  mille huit cents personnes; et ils sont tous sortis; des gens chics, bien habillés. Il a fait un appel à l’autel; une seule femme s’est présentée, lui a serré la main et a accepté Christ. C’est bien. Mais sa foule est sortie, et voici que la mienne est entrée, des gens en fauteuils roulants, en camisoles de force, portant des béquilles, sur des lits, des brancards. Eh bien, c’est différent lorsque votre foi doit affronter cela. Vous voyez? C’est vrai. Il a simplement baissé la tête et il est sorti.

            Mais le – le fait est là, mes amis. Il m’a dit – il a dit: «Frère Branham, ne prêche pas la guérison divine, a-t-il dit, prêche simplement l’Evangile. Amène les âmes à être sauvées.»

            Je me suis dit: «Mon cher frère, tu ne sais pas que j’ai en un mois plus de convertis – de convertis à Christ que toi, en une année.» Oui, oui. C’est vrai.

15.       Je venais de tenir une réunion là-bas, où j’avais eu deux [cent] mille personnes cet après-midi-là (environ une semaine avant cela)… et trente mille personnes à  la fois. Ainsi, mais… Je ne sonne pas de la trompette à ce sujet. J’aimerais qu’on la sonne là où ça va, simplement qu’on… Le Seigneur a dit…?... verrait cela… frapperait… vous savez, et ainsi de suite.

            Mais c’est ça, mes amis, c’est… Dieu a placé certains dans l’Eglise pour présenter les choses sous la forme d’un drame en prêchant, d’autres pour prêcher un sermon plein de chaleur, d’autres pour prier pour les malades. Mais tous ces frères qui ont des dons, sont dans l’Eglise dans un but: c’est pour l’unité du Royaume de Dieu ici sur terre, la fraternité. Et c’est – c’est la vérité.

16.       Et nous aimons vraiment notre Seigneur, toutes nos petites erreurs, Il nous les pardonne, Il se moque probablement de nous, du fait que nous… et ainsi… Nous sommes vraiment heureux de savoir que nous avons un tel Seigneur Jésus, n’est-ce pas? N’êtes-vous pas heureux ce soir de savoir que vous avez Quelqu’un d’aimable, qui nous connaît, qui nous aime, et qui ne considère pas nos erreurs, ainsi de suite?

17.       Je pense que frère Joseph ici présent a annoncé que nous devrions avoir… Je dois parler demain après-midi (et quand je me tenais là :), je pense que c’est à seize heures. Est-ce vrai? Maintenant, cela va – c’est à cette heure-là que je suis sensé venir pour prêcher, à seize heures. Très bien. J’essayerai de venir prêcher pour vous pendant environ une demi-heure, et je vous laisserai sortir à seize heures trente, je vous laisserai partir à temps pour prendre votre souper et revenir demain pour les services du soir. Que notre Bienveillant Seigneur vous bénisse tous.

18.       Et je – je… S’il y a des gens qui ont beaucoup de patience et qui croient dans la grâce, et… Je suis pratiquement le pasteur associé ici, je pense. Je viens souvent ici. Mais ce petit homme de votre pasteur ici, le frère… Je l’appelle «Joseph», car j’aime ce  nom-là…Vous voyez, je…

            Dans la prédication de l’Evangile, je pense qu’Abraham, représentait l’élection; Isaac représentait la justification; Jacob, représentait la grâce, et Joseph, la perfection. Il n’y avait rien de répréhensible contre Joseph, ainsi je…

            Allez-vous être comme ce petit Joseph d’autrefois? Très bien. C’est bien. Eh bien, je suis très content d’être ici, de voir ça, (juste ce petit groupe de gens qui sont assis comme ceci ici, où l’on se sent comme ceci), vous savez, où l’on se sent comme chez soi. Vous savez, quand vous – quand vous êtes là dehors, peut-être que vous…?... mille personnes ou je ne sais combien, il y a beaucoup d’incrédulité qui s’accumule là, au point que vous en ressentez les vibrations. Et lorsque vous arrivez ici, juste comme un petit groupe uni, d’un seul cœur, et d’un commun accord, assis comme cela, c’est à ce moment-là que les choses peuvent se produire, n’est-ce pas? C’est pratiquement comme dans des réunions de prière dans une maison de campagne, des réunions dans des maisons, mais…

19.       Maintenant, j’aimerais lire une portion… pendant quelques instants, peut-être jusque… prêcher jusque vers vingt-et-une heures, alors nous pourrons avoir notre ligne de prière. Et  mon fils vient de me rencontrer là, il m’a dit qu’il a distribué des cartes de prière ici. Nous les appellerons et nous prierons pour ça, mais… Tout celui que le Seigneur… Nous ne savons pas, la personne peut être n’importe où là-bas. Vous n’avez nécessairement pas besoin d’une carte de prière; vous devez simplement avoir la foi.

            Je suis en quelque sorte, je pense, j’ai… Je ne sais pas comment m’y prendre pour faire fonctionner celui-ci. Je vois l’homme… [Frère Branham parle à quelqu’un: «Oh! les deux fonctionnent. C’est bien.» – N.D.E.] Je me tenais complètement d’un côté.

20.       Maintenant, dans les Ecritures… J’aime lire la Parole, pas vous? Je l’aime vraiment de tout mon cœur, parce que c’est Sa Parole. Maintenant, dans Romains au chapitre 10… Il y a quelque temps, j’étais couché là à l’hôtel, je me reposais un peu après avoir effectué une distance de trois cent miles [482 km – N.D.T.] au volant, aujourd’hui,  je me reposais et j’ai pensé: «Eh bien, que dois-je lire ce soir, Seigneur Jésus?» Et par hasard, j’ai ouvert les Ecritures et  j’ai lu ici. J’ai pensé: «Eh bien, peut-être, peut-être pour un petit quelque chose. Si je peux simplement prononcer Ses Paroles, si je peux prononcer Ses Paroles, alors je sais que cette partie ne faillira pas. »

            Eh bien, ce que moi je dis peut faillir; mais ce que Lui dit ne faillira pas. Ce sera la vérité, ça le sera éternellement. Sa Parole est pour toujours établie dans les cieux. Est-ce vrai?

            Dans Romains au chapitre 10, verset 11, j’aimerais juste lire une portion des Ecritures ici pour quelque temps. Avant que je lise ceci, juste à ce moment-là l’Ange de l’Eternel a attiré mon attention, pour quelqu’un qui est assis ici dans cette salle en ce moment. Je – J’ai senti Cela, et je sais que Sa Présence est ici.

21.       Eh bien, mes amis, vous me connaissez assez bien, certainement. Beaucoup d’entre vous peuvent être en désaccord avec moi au cours de ces réunions et autres. Mais il y a une seule chose dont je suis très content: c’est de savoir que c’est notre Seigneur Jésus qui a fait ceci. C’est Lui qui m’a envoyé faire ceci. Je ne suis pas venu de moi-même. Voyez-vous? Et Il a toujours… Ça fait maintenant neuf ans depuis que ces choses arrivent. Pas une seule fois, Il ne m’a déçu, mais Il a toujours accompli ce qu’Il a annoncé. Voyez-vous? Et je – je connais Mon Seigneur Jésus. Il se pourrait que je sois – que je ne sois pas comme – comme un orateur éloquent, ou il se pourrait que je n’aie pas beaucoup de théologie concernant les Ecritures, mais je connais vraiment le Seigneur Jésus, Il a pardonné mes péchés et je L’ai accepté. Et j’ai la Vie Eternelle, et je crois cela. Et je sais que quand Il parle, je – je crois ces visions. Je n’ai jamais vu une seule faillir et ça ne faillira jamais. Maintenant, moi, je peux dire quelque chose, mais lorsque vous L’entendez, Lui, parler, rappelez-vous que c’est la vérité.

22.       Frère, sœur, je donnerais ma vie, n’importe quand, pour Cela. Je sais que c’est la vérité. Car je… Depuis que j’étais un tout petit garçon, un tout petit enfant, la première chose que je peux me rappeler un peu, c’est une vision. Et voyez: «Les dons et les appels sont sans repentir.» Nous en sommes conscients. C’est Dieu qui place ces choses. Combien croient cela? Dites simplement «Amen.» Je ne vous demanderai pas d’avoir…?... [L’Assemblée dit: «Amen.» – N .D.E.] Eh bien, c’est bien. Je suis ici ce soir dans un groupe de calvinistes, je pense. Ainsi, de toute façon, ceci, vous voyez, c’est Dieu par Sa grâce souveraine, Son élection et Sa prescience; Il savait avant la fondation du monde que ces choses arriveraient telles qu’elles sont maintenant. Il a ordonné que ça soit ainsi. Vous croyez cela, n’est-ce pas?

            Dieu – Dieu pour être Dieu, Il devait connaître toutes choses. Il devait connaître ce que serait la fin avant le commencement, autrement Il ne serait pas le Dieu Tout-Puissant.

23.       Maintenant, tournons-nous vers Sa Parole, à vous qui L’avez.

…selon ce que dit l’Ecriture: Quiconque croit en Lui ne sera point confus.

Il n’y a aucune différence, en effet, entre les juifs et les grecs, puisqu’ils ont tous un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l’invoquent.

Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé.

     Comment donc invoquerons-nous celui en qui nous n’avons pas cru? … comment croirons-nous en celui dont ils n’ont pas entendu parler? Et comment en entendront-ils parler, s’il n’y a personne qui prêche? Et comment il y aura-t-il des prédicateurs, s’ils ne sont pas envoyés? Selon qu’il est écrit: qu’Ils sont beaux les pieds de ceux qui annoncent la paix, de ceux qui annoncent de bonnes nouvelles!

Mais tous n’ont pas obéi à la bonne nouvelle. Aussi Esaïe dit-il: Seigneur qui a cru à notre prédication?

     Ainsi la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole de Dieu.

24.       Maintenant, inclinons la tête juste un moment. Bienveillant Père céleste, nous nous approchons de Toi ce soir dans l’unique… au travers de l’unique Médiateur qui existe entre Dieu et l’homme, Ton Fils, Jésus-Christ, sachant que ce que nous demandons en Son Nom, Il a promis qu’Il le ferait. Maintenant, nous savons que ça, c’est la vérité, et ce n’est pas par une église ou une autre voie quelconque que nous le demandons, mais par le Nom du Seigneur Jésus. Il a promis que si nous Te demandions quelque chose en Son Nom, Il le ferait. Par conséquent, ô Père, nous implorons Ta miséricorde ce soir, au Nom de Jésus, afin que Tu sois miséricordieux envers chaque personne malade qui est dans cette salle. Qu’elles soient toutes guéries ce soir. Et que toute personne qui, avec douceur, a cet Etre spirituel, alors que leurs bras spirituels sont baissés, que ceux-ci soient élevés ce soir. Que la tête qui est courbée se redresse avec sourire vers le ciel, qu’elle se  réjouisse et parte d’ici ce soir en disant comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Nos cœurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous à cause de Sa Présence?»

            Et que quelque chose de différent soit accompli ce soir. Que Tu rompes le Pain, pour nous, ce soir, d’une manière différente par rapport à ce que nous sommes habitués à écouter et à voir. Que cela se fasse d’une manière différente, de la manière dont Toi, Tu le ferais, afin que les gens qui sont présents maintenant sachent que ce n’est pas un homme; c’est Dieu. Car Il se fait  connaître par la révélation de Son Fils Jésus-Christ. Accorde ces bienfaits.

Viens-moi en aide maintenant, Seigneur. Sachant que je suis ici sans aucun talent, sans rien, il n’y a que Toi qui peux me venir en aide. Je Te prie de m’accorder cela pour la gloire de Dieu et pour le bénéfice de ces gens, pour l’édification du Royaume de Dieu. Car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.

25.       J’aimerais parler pendant un moment sur La foi vient de ce qu’on entend. Et ainsi… J’aime cette Parole,  et la Parole de la foi. Eh bien, nous pensons à la foi, ce qu’elle est. Premièrement, Paul s’adresse aux Romains, qui étaient – qui avaient été des païens, des idolâtres, et qui venaient de se convertir au christianisme…Et Paul, jusqu’ici, est le plus grand missionnaire que le monde ait jamais eu depuis Christ.

            C’est à lui que je pense, à ce frère juif de petite taille. Il ne pouvait simplement pas rester tranquille; pourtant il y avait des milliers de personnes à Jérusalem qui ne s’étaient pas  converties, mais il devait constamment aller ailleurs. Il fallait que le monde entier entende l’Evangile, aussi loin que Paul pouvait L’amener. Et il a fait de son mieux pour L’apporter. Et ses messages et ses écrits sont encore vivants et immortels aujourd’hui, parce qu’il a parlé de Jésus-Christ.

26.       Et ici, il envoie cette épître aux Romains, pour mettre l’église en ordre. Et il leur parle de la foi. Au premier – au chapitre 4 de l’Epître aux Romains, il parle d’Abraham qui était justifié par la foi. Et puis, dans Romains, chapitre 9, il parle de l’élection de Dieu, comment Dieu a appelé Isaac, ou pardonnez-moi, Il a appelé Esaü, Jacob, comment Il les a ordonnés, ou plutôt Il a dit: «Par élection, Il a choisi (par Son propre choix), Il a choisi Jacob plutôt qu’Esaü. Malgré qu’Esaü fût bien celui à qui appartenait le droit d’aînesse, Il a donc choisi Jacob plutôt qu’Esaü.

            Et puis, ici, au – au chapitre 10, nous le voyons maintenant expliquer ce qu’est la foi. Eh bien, la foi est musclée. Oh! la la! combien j’aime penser à la foi: l’espérance, la foi, et la charité, ces trois choses. Et l’espérance, quelle belle chose est-ce, l’espérance! L’espérance est petite, timide, aimable et douce, pourtant c’est la plus grande ennemie de la foi. C’est vrai. La plus grande ennemie de la foi, c’est l’espérance. En effet, la personne est tellement remplie d’espérance qu’elle perd la foi.

27.       Eh bien, l’espérance s’accordera avec la Bible. L’espérance dira: «C’est vrai.» L’espérance dira: «Je crois chaque portion de la Bible. Je crois que c’est  la Parole de Dieu. Et je – je – je crois que Dieu tiendra Sa promesse.» L’espérance croit tout cela. Mais ensuite l’espérance dira: «Eh bien, je crois que Dieu guérira, mais regardez mon état.»

            Or, la foi ne regarde pas à cela. La foi s’avancera là et dira: «Peu m’importe la maladie. Dieu l’a dit, et la chose m’appartient.» Vous voyez? La foi est musclée. C’est comme je l’avais dit une fois: «La foi a une poitrine velue. Quand elle se lève et qu’elle gonfle ses grands muscles, toute autre chose disparaît.» Ça prend simplement fuite, ça s’envole. Quand la foi prend vraiment position, rien d’autre ne peut tenir.

28.       Je vous assure, la foi… Toutefois, vous devez avoir l’espérance et l’amour. Si vous avez une véritable foi musclée sans l’amour qui l’accompagne, vous allez ruiner votre influence auprès des gens (si ce n’est pas mélangé avec l’amour), voyez-vous? Vous avez vu des gens qui ont une foi très musclée, ce que nous appellerions (pardonnez-moi l’expression) une foi de bouledogue, pour prendre position, mais qui sont rudes avec cela. Alors on voit que quand on agit ainsi, il n’y a pas – il n’y a pas d’affection pour opérer avec cela. Ainsi, ce dont nous avons besoin, c’est de l’espérance, de la foi et de l’amour. N’est-ce pas vrai? L’espérance, la foi, et l’amour, ensemble. Que Dieu aide notre église afin que les gens puissent avoir ces choses, avoir cette combinaison.

29.       Mais si vous ne comptez que sur l’espérance, vous entravez la  foi. Eh bien, l’espérance regarde à quelque chose qui est loin. Mais la foi la réclame à l’instant même. Voyez-vous? La foi dit: «Dieu l’a dit et ça m’appartient.» Ça règle la question. Voyez-vous? «Peu m’importe que je sois encore estropié, que je sois encore aveugle, que je sois encore malade, ça n’a rien à faire avec la chose. Je le  crois de toute façon. Ça m’appartient maintenant même. Dieu l’a dit, et ça règle la question.» Voyez-vous? C’est ça la foi.

            Mais l’espérance dira: «Dieu l’a dit, et je m’attends à recevoir la chose un jour.» Vous voyez? «Je m’attends à recevoir cela un jour.» Et tant que le diable peut renvoyer la chose pour un autre jour pour vous, c’est tout ce qu’il veut. C’est vrai. Vous ne l’aurez jamais. Croyez simplement que vous l’avez reçue à l’instant même – c’est votre propriété personnelle.» La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.» Est-ce vrai? La foi agit sur-le-champ. Elle est positive. Il n’y a pas … Oh! la la! Je vous assure, la maladie et toute autre chose, lorsque la foi entre en action, c’est juste comme une boule de neige sur un fourneau chaud. Elle se dissout simplement. Toute autre chose s’enfuit devant la foi, parce que la foi se tient debout et elle domine. Quand la foi parle, toute autre personne reste tranquille. C’est vrai.

30.       Ces pauvres petites maladies, qui tournent tout autour comme ceci, ces  vieilles petites choses qui se racontent: «Eh bien, les jours des miracles sont passés», ceci ou cela. Mais laissez simplement la foi entrer une fois en scène, qu’elle gonfle ses muscles, et dise: «Je prendrai le contrôle.» Je vous assure, toutes les autres choses se tiennent tranquilles quand la foi entre en scène. C’est l’ami avec qui nous voulons traiter. Est-ce vrai?

            Maintenant, comment obtenons-nous la foi? La foi vient de ce qu’on entend, de ce qu’on entend quoi? La Parole de Dieu. Eh bien, c’est vrai. Vous ne pouvez pas la baser sur rien d’autre que la Parole de Dieu. Elle doit avoir … Maintenant,  vous ne pouvez pas avoir la foi, et dire: «Oh! eh bien, si vous allez là-bas et que vous touchiez telle chose, ça vous guérira. Eh bien, ou toucher la radio, ou toucher ceci ou cela.» Je – je ne peux pas suivre cela. Non, non. Je dois avoir, en fait, quelque chose de solide, et qui… La chose la plus solide que je connaisse, c’est la Parole de Dieu.

31.       Une fois, un vieil ami à moi, un homme de couleur (Je vois ces gens de couleur qui sont assis là-bas) a dit : «Je préférerais me tenir sur la Parole de Dieu que de me tenir sur le monde.» Il a dit: «Ha, ha! qu’en dites-vous?» Il a dit: «Vous êtes…» Il a dit: «Elle est plus solide que le monde.» Il a dit: «Je me tiendrai sur la Parole de Dieu quand le monde ne sera plus.» C’est vrai. Il a dit: «Car les cieux et la terre passeront…» Oh! je… Il a dit: «Je préférerais me tenir sur la Parole de Dieu plutôt que de me tenir dans le ciel» (C’était ça), «plutôt que de me tenir dans le ciel.» Il a dit: «Car les cieux et la terre  passeront tous deux, mais la Parole de Dieu ne passera pas.» C’est vrai. Quand c’est Dieu qui a dit la chose, c’est réglé. Eh bien, vous avez là une base pour votre foi.

32.       Eh bien, je veux bien admettre qu’il y a des dons très puissants dans l’Eglise, pour influencer et aider les gens. C’est vrai. Mais beaucoup de gens qui prêchent la guérison divine, par exemple… qui parcourent le pays, et les gens disent: «Eh bien, maintenant, frère untel est dans la ville. Oh! la la! Eh bien, je serai guéri.» Non, non, ils ne sont en rien plus…?... Ce n’est pas frère untel dans la ville; c’est Jésus-Christ dans la ville, c’est ça. Voyez-vous? C’est ça. Maintenant, et Sa Parole…

33.       Bon, j’ai essayé de mon mieux d’apporter ce genre de – d’enseignement aux gens, leur montrant que leur foi… Eh bien, c’est vrai… J’admets bien que ceci… Juste comme  nous sommes en petit nombre ici ce soir, j’aimerais vous dire de petits secrets et d’autres choses au fur et à mesure que j’avance. Maintenant, il  y a – il y a des choses qui… C’est la vérité. Et vous tous, vous avez suivi mes réunions de lieu en lieu, et (beaucoup d’entre vous.) et franchement  parlant, jamais vous n’avez vu, aucune fois, quelqu’un être amené sur l’estrade sans que quelque chose  ne lui soit arrivé. C’est l’exacte vérité.

            Franchement parlant, jamais de ma vie je n’ai demandé à Dieu quelque chose sans que je l’aie reçu (C’est vrai.), peut-être pas tel que je l’ai demandé, mais je l’ai reçu. J’ai vu des gens à l’article  de la mort se lever (le médecin se tenant là debout), en agonie, râlant, et je les ai vus vivre pendant une semaine et puis mourir. Voyez-vous? Dieu me l’a fait savoir en disant: « J’exaucerai ta prière…» Il vous faut connaître la volonté de Dieu pour les choses. C’est ce qu’il y a au sujet du ministère, mes amis. Voyez-vous?

34.       Lorsque que vous vous tenez devant les gens, et que Dieu vous montre  une vision, ce qui va précisément arriver, alors vous savez ce qui va arriver, si c’est la mort ou la vie, ou quelque chose qu’ils doivent mettre en ordre, ou quelque chose du genre. Parfois je vois que tout devient sombre tout autour des gens; c’est la mort. Et je ne dis rien, je vais simplement de l’avant. Mais quand je vois le cortège funèbre, je sais que c’est terminé. Vous voyez? Ainsi donc, vous m’avez entendu parfois… Et observez toujours (Ce n’est pas moi.), mais observez toujours tout ce qu’Il dit par le «AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT ou LE SEIGNEUR», observez et voyez si cela n’arrive pas à la lettre. Ça arrivera comme cela.

35.       Eh bien, la foi doit premièrement être basée sur la Parole. La Parole de Dieu produit la foi. Maintenant, si c’est Dieu qui a dit la chose, alors je croirai cela. Je le croirai de tout mon cœur. Eh bien, ce n’est pas parce que frère Branham l’a dit. Vous direz: «Un autre frère m’a imposé les mains, je crois que c’était parfait.» Ça n’a pas…  Il s’agit d’obéir aux ordres. Mais même si mes mains vous étaient imposées, elles ne sont pas plus que les mains de frère – frère Joseph ou celles de n’importe quel  autre ministre, ou celles de n’importe quel autre membre laïc de l’église. Tout celui qui croit dans la guérison divine et qui est chrétien, a le droit de prier pour les malades. C’est tout à fait la vérité. «Confessez vos fautes les uns aux autres et priez les uns pour les autres afin que vous soyez guéris.»

            Bon, il est vrai qu’un grand homme de foi, un vaillant combattant de la foi, peut avoir plus de foi pour se tenir là (cette foi musclée) et retrancher des choses. Mais, à moins que vous vous teniez là avec la même foi, cela reviendra à nouveau. J’ai vu des hommes (alors que je tiens cette Bible) qui ont été amenés à l’estrade, qui ne voyaient même pas leurs mains devant eux, lire les chapitres de cette Bible, et qui sont revenus le soir suivant aussi aveugles qu’ils étaient avant. Voyez-vous? En effet, la première chose, quand ils se tiennent là, ils sont sous cette onction, et, oh! oh! la la! Le ciel est tout en feu parmi eux.

36.       A propos (elle n’est pas ici), l’autre soir, ma femme était sur l’estrade à Phoenix, en Arizona, pour (et nous avons vécu ensemble depuis onze ans maintenant)… Et c’était pour elle la première fois de se tenir là lorsque l’onction était sur moi. Elle n’arrivait pas à ouvrir la bouche; elle se tenait simplement là. Et les gens disaient… Je pouvais lui dire quelque chose; et elle se tenait simplement là. Ses yeux avaient un aspect très étrange, et les enfants… Elle… environ deux petites, une fillette de huit ans et l’autre de trois ans, hier. Et nous – et elles se tenaient là. Elles ne pouvaient rien dire, elles sont descendues de l’estrade en pleurant. Et je ne l’avais pas remarqué, je… On les a fait venir. Elle est très timide (vous qui la connaissez). Et ainsi, elle ne pouvait pas venir sur l’estrade  comme nous venions de le dire. Et Billy Paul, mon fils, qui est là derrière, a dit, eh bien, après que j’avais fini de prêcher et que j’avais commencé à prier, et que l’onction m’avait frappé, j’ai dit… Billy a dit: «Maman avait… Elle avait promis de venir à l’estrade» (elle a habillé les enfants le mieux possible, et ils étaient assis là, vous savez, prêts à monter à l’estrade). Et je… Nous les avons fait monter là. Et alors, elle s’est simplement tenue là. Et elle a dit – elle a dit (en rentrant à la maison), elle m’a dit: «Chéri, je – je ne voudrais pas – je ne peux pas… Ne me demande plus de monter encore là.» Vous voyez, vous ne le réalisez simplement pas. Voyez-vous?

37.       Il y a une onction, une…personnelle. Eh bien, il y a une chose comme… peut-être, vous savez, c’est comme une fois il y avait… N’étaient-ce pas la sœur et le frère de Moïse qui se sont moqués de lui parce qu’il avait épousé une fille de couleur, une Ethiopienne? Ne se sont-ils pas moqués de lui? Il s’est fait que Dieu était présent et qu’Il a entendu cela. Est-ce vrai? Il était présent et Il a entendu cela. C’est vrai. Et alors, Il a dit: «Faites-les venir ici.» Il a dit: «N’avez-vous pas la crainte de Dieu? Sachant… En voyant ce que J’ai fait pour cet homme et les faveurs que je lui ai accordées.» Il a dit: «S’il y a parmi vous un homme spirituel ou un prophète, Moi l’Eternel, Je Me ferai connaître à lui dans des visions et ainsi de suite. Mais il n’en est pas ainsi de Moïse, Mon serviteur.» Il a dit: «Je lui parle de bouche à oreille.» Il a dit: «N’avez-vous pas la crainte de Dieu, voyant que j’ai choisi cet homme?» Et Marie était frappée de lèpre. Et c’est vrai. Et – et là-bas… Elle a dû rester hors du camp pendant sept jours, et Moïse est tombé sur sa face et a prié pour elle.

            Eh bien, c’est vrai. Il existe une onction. C’est vrai. Mais ce ne sont pas les hommes qui sont des guérisseurs. C’est Dieu qui est le Guérisseur. C’est vrai. Ils peuvent seulement vous expliquer la chose, prier ou joindre leurs prières aux vôtres. Mais la guérison c’est… vient par la foi, en écoutant la Parole de Dieu.

38.       Eh bien, Abraham, quand il fut appelé à sortir de la Chaldée, de la ville d’Ur… Qui était Abraham? Juste un homme qui marchait là un jour. Oh! j’aime cela. Avec ça, je me sens bien, quand je pense qu’Il…La voix de Dieu s’est fait entendre à lui, disant: «Abraham, sépare-toi de ton peuple.» N’est-ce pas étrange que Dieu nous demande de nous séparer? Aujourd’hui, le monde a besoin des gens sociables. Est-ce vrai? Mais Dieu a besoin de séparateurs. Oui, le monde dit: «Oh! eh bien, nous ne voulons pas de ce vieux pasteur. C’est une vieille baderne. Il ne croit pas qu’il nous est permis de faire ceci ou cela. Il nous faut un jeune homme, qui – qui est sociable.» Mais Dieu a besoin de séparateurs. Séparez-vous. Le Saint-Esprit a dit: «Mettez-moi à part Paul et Barnabas.»

La séparation…Et Dieu appela Abraham et le sépara. Eh bien, l’unique chose qu’il avait à croire, c’était la Parole de Dieu. La foi vient de ce qu’on entend. Tous les raisonnements et la connaissance des sens devaient s’en aller, et il devait dépendre totalement de l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.

            Ecoutez. Abraham avait soixante-quinze ans et Sara, soixante-cinq. Il a dit: «Abraham…» Il allait lui donner un enfant par Sara. Eh bien, Abraham ne pouvait pas dire: «Eh bien, voyons voir maintenant. S’il pouvait y avoir une telle possibilité, laissez-moi aller là-bas demander au médecin si Sara peut renouveler sa force» et des choses semblables. Eh bien, il ne pouvait pas y parvenir par le raisonnement. Mais il a basé sa foi sur l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.

39.       De quoi donc vient la foi? [L’assemblée dit: «De ce qu’on entend.» – N.D.E.] De ce qu’on entend quoi? La Parole de Dieu. La Parole de Dieu règle la question. Abraham a cru la foi – a cru à Dieu par la foi, parce que la Parole de Dieu l’avait dit.  Il n’a point raisonné; il n’a point douté; il a simplement cru la Parole de Dieu. Est-ce vrai? Eh bien, c’est de la même manière que nous recevons la foi ce soir, en croyant la Parole de Dieu. C’est vrai.

            Oh! lorsque vous me montrerez les hommes et les femmes qui baseront leur foi comme cela… Eh bien, non pas ceux qui ont leur espérance là… Voyez-vous? Si vous n’avez que l’espérance, vous direz : «Oh! je – je crois que Dieu le fera. Oui, oui. Je le crois.» Vous ne faites qu’espérer. Mais quand la foi se saisit réellement de la chose, c’est déjà acquis. Il n’y a rien qui peut l’ébranler. Elle est positive; il y a juste… Vous direz : «Eh bien, je crois que c’est Dieu qui l’a dit. C’est là-dessus que je – je base ma foi. Je crois cela.» Mais maintenant, si vous êtes… Vous ne pouvez pas bluffer cela. Dieu n’est pas un bluff. Et même Satan n’est pas un bluff. Il ne cédera pas à votre bluff. Mais lorsque vous avez réellement la foi, Satan le saura. C’est vrai. Il sait où… ce qui est vrai et ce qui est faux. Il sait où il y a la foi.

40.       Regardez là… Souvent, quand ils se rencontraient, quand Jésus le rencontrait, Satan savait sur-le-champ qui… qu’il ne faisait pas le poids devant le Fils de Dieu lorsqu’il Le rencontrait. Lorsqu’il a rencontré Moïse, il lui a dit: « Eh bien, énerve-toi, Moïse, et brise ces commandements.» Et il l’a fait.

            Mais lorsqu’il a rencontré Jésus-Christ, Jésus lui a dit: «Il est écrit: ‘Tu ne tenteras pas le Seigneur, Ton Dieu.’» Voyez-vous? Alors, Satan a compris qu’il ne faisait pas le poids devant Jésus. Il n’avait pas compris cette naissance virginale (Satan n’avait  pas compris), et il n’a pas pu comprendre cela. Mais c’était là une des fois où Dieu l’a donc fourvoyé, lorsqu’Il a accompli la – la naissance virginale.

41.       Bon. Alors… est venu. Eh bien, tout ce  que Sara devait faire, c’était croire ce qu’Abraham, son mari, lui avait dit. Eh bien, elle a dit… Abraham lui a dit qu’elle aurait un enfant. Quelle belle image là… Je ne vous garderai pas trop longtemps. Mais quelle belle image là de l’Eglise et de Christ! Eh bien, Dieu a parlé à Abraham, disant… et Sara était l’épouse d’Abraham, sa femme. Et Dieu parle à Christ, et nous sommes la femme de celui-ci, Son Epouse. Est-ce vrai? Quelle belle image! Eh bien, je ne comprends pas cela; Sara non plus n’avait pas compris. Mais Abraham avait entendu la Voix de Dieu. Ainsi, c’est Jésus qui avait entendu la Voix de Dieu et Il nous a dit quoi faire, et nous croyons en Jésus. Est-ce vrai? Et nous croyons aux choses impossibles, inimaginables, nous y croyons de toute façon, parce que c’est Christ qui l’a dit. Si c’est Dieu qui l’a dit, c’est réglé. Nous le croyons simplement.

42.       Bon. Voilà venir Sara, et elle a cru à  l’impossible. N’était-ce donc pas facile pour – pour Agar ou plutôt Anne quand elle est allée au temple? Et un jour, elle y est entrée. Je peux m’imaginer, la voir monter à Silo pour adorer l’Eternel.  Et alors qu’elle était en route, je peux voir tout le monde y aller, et ces femmes qui disaient: «Eh bien, regardez là-bas. Vous voyez, mademoiselle Dupont porte un nouveau chapeau. N’est-ce pas joli?» L’autre dit: «Voilà encore madame Dupont, portant ce même vieux voile qu’elle porte depuis dix ans.» C’est à peu près ce qu’elle… Mais Anne y allait dans un autre but.

            Que Dieu nous vienne en aide lorsque nous allons à la maison de Dieu, que ça ne soit pas pour voir comment celui-ci ou celui-là est habillé ou pour voir qui est là; mais que nous y allions dans un seul but valable: celui de rencontrer Dieu. Elle ne se souciait pas de savoir comment, ou qui portait un nouveau chapeau, ou qui portait de nouveaux vêtements, ou ce qui était de… Elle y allait parce que la foi vient de ce qu’on entend. Elle était stérile et elle n’avait pas d’enfant. Elle a vu dans la Parole de Dieu, là où Sara avait reçu un enfant après qu’elle n’était plus en mesure de mettre au monde. Alors, si Sara avait reçu l’enfant, Anne pouvait aussi le recevoir. Amen. C’est ça; elles avaient l’évidence.

43.       Eh bien, arrêtons nous ici pendant une minute. Si monsieur Dupond, qui est ici avait un cancer et qu’il en était guéri, vous pouvez aussi l’avoir et en être guéri. Voyez-vous? La foi vient de ce qu’on entend. Est-ce vrai? Si cet homme était aveugle et que maintenant il voit,  alors vous pouvez aussi voir si vous êtes aveugle. Si cette personne était estropiée, qu’elle ne pouvait pas marcher… Si donc vous êtes dans le même état, c’est que vous pouvez marcher. C’est ce qu’a fait  Upshaw, le membre du Congrès, qui, je pense, avait prêché à partir de cet estrade, quand il a lu au sujet de Florence Nightingale, et de sa maladie… Il avait entendu parler de ce cordonnier par ici qui avait été paralysé (un diacre baptiste), qui est resté étendu dans sa  chaise pendant environ dix ans, on le faisait monter et descendre de l’étage en fauteuil roulant pour donner – pour faire son travail… son bureau à l’Eglise baptiste. Quand une vision est apparue sur lui disant qu’il avait été cloué dans ce fauteuil roulant pendant ces années, à cause du dos brisé, qu’on le faisait monter et descendre dans ce bâtiment par ici, qu’il avait des éclisses  dans le dos au point qu’il ne pouvait même pas bouger; et cet homme a été parfaitement guéri. Le membre du Congrès, Upshaw, a dit: «Si cela peut arriver à cet homme-là, cela peut aussi m’arriver à moi.»

            «La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu», la Parole de Dieu rendue manifeste. Voyez-vous? Si Florence Nightingale, qui avait été étendue là mourant d’un cancer et qui pesait environ quarante livres [18,14kg – N.D.T.] pouvait être parfaitement rétablie et guérie (aujourd’hui, elle pèse cent livres et quelques.) [environ 80 kilos  – N.D.T], parfaitement rétablie et guérie, il en est de même de chaque cas de cancer qu’on a ici.

44.       Si la petite Georgie Carter, qui était couchée là pendant neuf ans et huit mois à Milltown, ne pouvant même pas bouger ses mains, ne pouvant même pas lever son crachoir, elle que la tuberculose avait complètement rongée et que les médecins avaient abandonnée, cinq ans avant, elle qui n’avait  pas vu les arbres ni rien d’autre pendant neuf ans et six mois, a tout d’un coup été  parfaitement guérie il y a huit ans (elle joue du piano, ce soir, dans une église baptiste de Milltown), si elle a pu être guérie de sa tuberculose, vous le pouvez aussi , chaque cas.

45.       Anne s’est dit: «Voyons. Si Sara, qui avait environ cent ans, pouvait recevoir la semence (Anne avait probablement, environ, oh! peut-être quarante, cinquante, soixante ans ou à peu près cet âge-là.), s’est-elle dit, moi aussi, je peux recevoir la semence.» La foi vient de ce qu’on entend. La voilà qui se rend au temple. Elle monte là pour – pour adorer Dieu. Elle ne faisait cas de ce que quelqu’un d’autre  disait, ce que… certaines personnes qui y allaient avec elle parlaient de ceci, de cela. Elle y était allée dans un seul but; celui de recevoir l’exaucement à sa prière. Si vous avez la même attitude ici ce soir, vous allez retourner avec le même genre de bénédiction qu’Anne avait reçue, avec l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.

46.       Ecoutez. Peu importe ce que le prédicateur… peu importe ceci ou cela… Vous venez dans la maison du Seigneur avec foi. Anne y est entrée; elle est vite allée à l’autel, elle s’est agenouillée, elle a levé les mains et s’est mise à crier au point qu’elle a interrompu le service entier. Même le sacrificateur a pensé qu’elle était ivre. C’est de cette manière… Elle était normale. C’est ce qui se passe avec beaucoup de gens qui sont sincères. Ils sont simplement mal compris. Elle n’était pas ivre; elle était mal comprise. Et beaucoup d’hommes et de femmes qui, vraiment, du fin fond de leur cœur, se sont complètement abandonnés au Seigneur Jésus-Christ, ne sont pas fous; ils sont mal compris. C’est tout. Le monde reconnaît les siens. Dieu aussi reconnaît les Siens.

            Et elle était en train de prier, et Eli s’est présenté d’un pas lourd et a dit: «Femme, jusques à quand seras-tu dans l’ivresse? Fais passer ton vin.»

            Elle a dit: «Mon seigneur, je ne suis pas ivre, je n’ai pas bu de boisson enivrante; mais je suis en train de prier le Seigneur d’ôter mon opprobre.» Eh bien, observez. Maintenant…

            Eli a dit: «Que le Seigneur te l’accorde. Que le Seigneur te bénisse.» Et c’est tout ce qu’elle voulait savoir. C’était le sacrificateur de Dieu. Le sacrificateur de Dieu avait prononcé les bénédictions sur elle. Elle était dans la maison de Dieu.

            Eh bien, Dieu aurait pu placer l’enfant dans ses bras, s’Il le voulait. Mais Il a une manière de faire les choses. Cela ne change rien, que cela ait eu lieu là même ou pas. La Parole de Dieu était profondément ancrée dans son cœur; la foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu. Elle L’a acceptée à l’instant même et elle est rentrée chez elle en se réjouissant. Gloire à Dieu, je vais avoir l’enfant. Et dans les neuf mois qui ont suivi, le petit Samuel était né. Est-ce vrai? Pourquoi? Elle a pris Dieu au Mot. Elle a cru. La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu. Elle a vu comment cela était arrivé à Sara. Elle a vu comment cela allait lui arriver à elle.

47.       C’était donc facile pour la petite Marie, quand le Saint-Esprit l’a rencontrée là et qu’Il l’a couverte de Son ombre. Et le grand Ange, Gabriel, s’est tenu sur le chemin et lui a dit: «Je te salue Marie. Tu es bénie d’entre les femmes. Je vais te dire une chose qui ne s’est jamais produite, ce qui va arriver maintenant.» Amen. Observez ce qu’elle a dû croire. La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu.

            Il a dit: «Tu auras un enfant sans connaître un homme.»

            Elle a dit: «Voici, je suis la servante du Seigneur. Qu’il me soit fait selon Ta Parole.» Amen. Je commence à me sentir religieux ici ce soir. Remarquez, lorsque vous pensez à cela, comment les hommes et les femmes, quiconque est déjà parvenu à quelque chose dans cette vie, c’étaient des hommes et des femmes qui ont pris Dieu au Mot et qui ont cru ce qui était dit.

            C’est ça. Peu importe ce que dit le monde, ce que dit maman, ce que dit le pasteur, c’est ce que Dieu a dit qui compte. Je n’ai pas la foi dans ce que maman a dit (C’est ma mère, j’ai…); j’ai la foi dans le pasteur en tant que pasteur. Mais j’ai  la foi dans l’AINSI DIT LE SEUGNEUR. Cela règle la question. La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole. Et je crois cela.

48.       Ça n’a pas été facile pour moi, quand cet Ange m’est apparu, et qu’il m’a dit ces choses qui devaient arriver. Mais qu’avais-je fait? Eh bien, même le – l’ancien de l’église a dit: «Billy, tu as eu un cauchemar. Tu ferais mieux de retourner à Jeffersonville.» Il a dit: «Va dormir pour t’en débarrasser, mon garçon.»

            J’ai dit: «Il était un homme. Il s’est tenu là et m’a parlé.»

            Il a dit: «Toi avec ton instruction d’école primaire, tu vas prêcher l’Evangile partout dans le monde?»

            J’ai dit: «C’est ce qu’Il a dit.»

            Il a dit: «Oh! Billy, tu ferais mieux de rentrer à la maison.» Il a dit: «Tu as simplement eu un bon songe.»

            J’ai dit: «Je n’apprécie pas cela. Dieu le fera de toute façon, parce qu’Il a dit qu’Il le ferait et je Le prends au Mot.» Et Il… J’ai vécu et j’ai vu les détracteurs être complètement réduits au silence, et Il a fait exactement ce qu’Il avait annoncé. Et Il le fera toujours. Il le fera toujours.

            Ne soyez pas pressés. Il n’y a que vous qui êtes pressés. Dieu n’est pas pressé. S’Il a dit quelque chose, Il le fera. Amen. Il est tenu à Sa Parole. La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu.

49.       J’imagine une fois du temps de Jésus, lorsqu’un homme a probablement appris que Jésus avait pu arrêter le tremblement d’un paralytique. Eh bien, quelques amis sont allés le prendre, ils l’ont pris et l’ont mis  sur un lit, et  l’ont transporté jusqu’à la maison d’un certain monsieur, où Jésus tenait un petit service de guérison. Eh bien, ils ne pouvaient même pas atteindre la porte. Ils y avait probablement beaucoup de gens comme ici (peut-être que c’était l’une de ces petites huttes qu’ils avaient là en Palestine) qui étaient debout là; comment pouvait-il entrer? Mais il a dit: «Faites-moi monter sur la toiture.» Et ils ont découvert la toiture.

            Et pendant que Jésus se tenait là, la poussière s’est mise à tomber par là, je pense qu’Il s’est demandé : «Qu’est-ce qui se passe là au-dessus?» Premièrement, ils ont déchirés un tas de bardeaux. Imaginez-vous, faire descendre un homme qui est  sur un lit par une telle ouverture; ç’a fait un bon trou dans la maison. Mais ils avaient une chose, une chose à l’esprit: faire parvenir cet homme à Jésus, et quelque chose se produirait. Et mon frère, ma sœur, lorsque nous avons ce genre de foi, ayant une seule chose à l’esprit: amener le patient à Jésus, il se produira des choses. Voila. C’est ça…

            Et ils ont découvert le toit, et voici descendre un lit, un homme tremblotant dessus. Jésus lui a dit: «Tes péchés te sont pardonnés, mon fils. Prends ton lit et va-t-en.» Et  il est parti. Voyez-vous? Lorsque Dieu est… La foi vient de ce qu’on entend. Quelqu’un lui a dit que – que Jésus pouvait faire cela, et ils ont cru à cela. Et ils ont amené l’homme auprès de Jésus. Et la foi a pris pied.

            Eh bien, Jésus peut faire de même pour chaque personne ici ce soir. Voyez-vous? L’unique chose, c’est arrivé auprès de Jésus. Débarrassez-vous de vos superstitions. Débarrassez-vous de vos frayeurs, et dites: «Seigneur, me voici, je suis à Toi. Je crois cela et je reçois Ta Parole  maintenant même.» Et c’est réglé. Quelque chose va se produire. Oui, oui.

50.       Et je peux voir une femme un jour, assise là à tricoter. Elle avait dépensé tout son argent chez les médecins, et elle était atteinte d’une perte de sang depuis des années et rien ne pouvait arrêter cela. Et la première chose, vous savez, elle a appris que Jésus… La vieille petite barque avançait là à travers les saules, et elle est partie. Je peux voir l’homme se tenir là, le prêtre du temple, en disant: «Eh bien, écoute, sœur. Si vous faites le pitre avec ce fanatique, alors que votre médecin vous a dit que rien ne pouvait être fait, c’est réglé. Eh bien, les jours de miracles sont passés. Ce gars n’est rien d’autre qu’un simple… C’est Béelzébul. C’est  un diseur de bonne aventure. Et tu cours vers une chose pareille. Eh bien, tu sais, nous allons te chasser de l’église.» Elle a poursuivi son chemin tout bonnement.

            Elle voulait atteindre Jésus. Sa foi était… Si elle pouvait L’entendre dire un seul mot, ou n’importe quelle Parole, si elle pouvait toucher même Son vêtement, elle serait guérie. Ainsi, elle s’est frayée un chemin, et elle est partie. Elle est arrivée là, L’a touché et elle est retournée comme cela.

            Et vous savez, Jésus le sait bien quand les choses se produisent. Je peux Le voir s’arrêter, parcourir Son assistance du regard. Quelque chose L’avait touché. Il a promené le regard et Il a dit: «C’est toi.» Il le fait encore. Est-ce vrai? Il le fait encore. Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Il a promené le regard dans Son assistance et Il a dit: «C’est toi. Eh bien, ta foi t’a guérie. Ta foi t’a sauvée de cette perte de sang.» Oh! la la. La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole, de la Parole de Dieu. Combien c’est merveilleux!

51.       Je peux m’imaginer le petit Moïse, quand il était là, il a été élevé… Bien qu’on l’aient amené là dans le palais égyptien, aux côtés des pharaons, et tous les érudits, étant exercés dans l’art et tout… Ils étaient de véritables médecins. Vous le savez tous, les Egyptiens. Cependant certaines de leurs réalisations ne peuvent jamais être comparées à celles de notre science moderne. On n’arrive toujours pas à trouver des choses comme celles qu’avaient ces Egyptiens. Et ils – ils ne peuvent pas comprendre cela.

52.       Aimeriez-vous le savoir? Regardez. Moïse avait deux millions de personnes là dans le désert. Or, il avait des hommes âgés, il avait des boiteux, il avait des aveugles, il avait de petits enfants; il avait de jeunes mères; il avait des veuves avancées en âge. Il avait tout là dans ce désert. Et il était instruit  dans toute la sagesse des Egyptiens. J’aimerais une fois jeter un coup d’œil dans sa trousse pour voir ce qu’il avait pour leur guérison, pas vous? Aimeriez-vous y jeter un coup d’œil? Je vous le montrerai dans quelques minutes. Aimeriez-vous voir ce que Moïse avait dans sa trousse? Cela a guéri tous les aveugles. Ç’a guéri tout ce qu’ils avaient [comme maladies]. Et quand ils sont sortis du désert, il n’y avait personne de faible parmi eux. Est-ce vrai?

            Oh! combien les médecins aimeraient s’emparer de cette trousse! Eh bien, c’est facile. Je vais juste l’ouvrir ici pour vous montrer. «Je suis l’Eternel qui te guéris de toutes tes maladies.» C’est exactement ce qu’il avait, ce médicament. Psaume 103.3. C’est exact. «Je suis l’Eternel qui guéris toutes tes maladies.» C’était son – c’était ça sa trousse de médecin. Et Dieu prenait soin de chaque portion de cela, et Il est le même Jéhovah Dieu ce soir, Il vit et règne. C’est ça Sa  trousse de médecin. «Je suis l’Eternel qui guéris toutes tes maladies, qui pardonne toutes tes iniquités et qui guéris toutes tes maladies.» Il est Le même Seigneur. C’est cela Sa pharmacie. C’est ce que Moïse avait.

53.       Comment Moïse… Comment pouvait-il… après avoir été endoctriné là, avec toutes ces choses que ces érudits égyptiens lui avaient inculquées (Comment embaumer le corps, comment faire ceci et cela… manger l’ail et toutes ces autres choses qu’ils avaient là; tous les remèdes et les choses artificielles qu’ils avaient là en Egypte), comment a-t-il donc pu se débarrasser de tout cela? Vous savez pourquoi? C’est parce qu’il avait une petite mère pieuse qui le faisait asseoir sur ses genoux, là à l’écart, de côté, loin de tous ces érudits, et qui lui disait: «Moïse, le Seigneur t’a choisi. Dieu t’a donné à moi. Nous voyons Dieu en toi. Et un jour, tu délivreras tes frères.» Alléluia. La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu, l’a-t-il fait?

54.       Comment le petit Samson… Je peux me représenter le petit Samson là, portant ses sept petites tresses qui pendaient. Oh! certaines personnes se le représentent comme quelqu’un qui avait la porte – qui avait des épaules comme  ces portes qui sont là au fond. Ça ne serait pas un mystère de voir un tel homme tuer un lion, ou massacrer mille philistins avec une mâchoire de mulet. Ça n’aurait pas été un mystère de le voir arracher les portails de la ville et les emporter; un homme de cette taille-là. Mais Samson était un tout petit gringalet aux cheveux bouclées, juste d’à peu près cette taille. Un petit bout homme. Et il était un petit bout homme. Aujourd’hui, nous l’appellerions un petit avorton, un petit, un efféminé, portant sept petites… à maman, portant de petites tresses dorées qui pendaient de sa tête, qui se promenait là, un petit efféminé. Mais de le voir tuer un lion… Alléluia!

55.       Oh! frère! Ce n’est pas la taille du chien qui compte dans le combat; c’est la taille du combat dans le chien. C’est ça. C’est ce qu’il faut : quelqu’un qui a du courage et la foi en Dieu pour se tenir là et dire: «AINSI DIT LE SEIGNEUR.» La foi entre en action et toute autre chose se produit (Amen.), lorsque la foi entre en action. Mais la foi vient de ce qu’on entend.

56.       Je peux voir ce petit gringalet aux cheveux bouclés, marchant là, allant rendre visite à sa copine. Sur le chemin, un lion est sorti en courant, et Samson était impuissant. Et l’Esprit du Seigneur est venu sur lui; il a saisi le lion, l’a mis en pièces et l’a jeté par terre. Oh! c’était ça le mystère. Oui, oui. Pourquoi? Qu’est-ce qui le rendait particulier? L’Esprit du Seigneur qui descendait sur lui.

57.       Montrez-moi une vieille petite église lâche qui a peur de se confier en Dieu, ou une famille, laissez simplement l’Esprit de Dieu saisir cette famille, cet individu ou cette église, et observez ce qui arrive. Frère, je vous assure, les sceptiques s’envoleront comme les cafards pendant l’été lorsque vous allumez la lumière devant eux. C’est exact. Oui, oui. Tout s’enfuit. La foi entre en scène, et dit: «Je suis le patron». Toute autre chose s’enfuit. Peu importe ce que quiconque dit, la Parole de Dieu est éternelle. C’est vrai.

58.       Je peux entendre Samson dire… Je peux entendre sa mère dire: «Samson, mon chéri,  qu’est-ce que… je sais que tu as… Eh bien, tu – tu es un simple garçon ordinaire, mais tu es un naziréen pour le Seigneur. Avant la fondation du monde, le Seigneur t’avait ordonné pour ce ministère.

            - Que faut-il faire, chère maman. 

            - Tu dois laisser ces sept tresses pousser. 

Et tant que Dieu voit ces sept tresses, Il voit Sa promesse. Alléluia! Une fois, on les avait coupées, mais ç’a encore poussé. Quand le pauvre Samson s’est tenu là et qu’il a vu ses sept tresses, il a su que Dieu pouvait regarder et voir Sa promesse; Il est obligé de tenir Sa Parole.

59.       Je déclare ce soir que chaque homme ou chaque femme, ici présents, qui prendra Jésus-Christ comme son Guérisseur, ou comme Son Sauveur, et qui acceptera la Parole de Dieu, quand Dieu verra Sa promesse, Il la tiendra. Amen. Peu m’importe combien de démons vous ont terrassé avec la maladie, avec la leucémie, avec le cancer, avec la tuberculose peu importe, qu’ils vous aient rendu estropié, ou ce qu’ils vous ont fait, acceptez simplement cette promesse de Dieu, la Parole de Dieu, et dites: «Je La crois.» Alléluia. La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu. 

60.       En effet, lorsque Dieu baissera le regard et verra cette promesse appliquée par le Sang de Jésus-Christ, quelque chose va se produire. Samson était là en train de  peiner. Il était aveugle et il a étendu les bras. Il ne pouvait cependant pas sentir cela. Il a dit: «Un jour, ce sera là.» Oui, oui. Un jour, il a étendu les bras, et a dit: «Ça y est.» Amen. «Ça y est. Dieu verra encore mes sept tresses.» Oui, oui. «Lorsque Dieu verra mes sept tresses, Il verra Sa promesse envers moi.»                

61.       Et quand Dieu voit que vous acceptez Sa Parole pure, et que vous dites: «C’est Ta Parole, Seigneur», alors Dieu verra Sa promesse. Quand Il a dit: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu et vous le verrez s’accomplir. Ça vous sera accordé.» Frère, Dieu tiendra Sa Parole.

62.       J’ai rencontré toute sorte d’opposition, je pense, qu’un être humain peut rencontrer. J’ai affronté des fous sur l’estrade; j’ai fait face aux sorciers guérisseurs; j’ai fait face aux diseurs de bonne aventure et toutes sortes de démons, et tout. Mais quand je fais face à tout cela, je me rappelle que Dieu a dit: «Je serai avec toi.» L’Ange a dit: «Je Me tiendrai près de toi.» Et je n’ai jamais vu une seule fois où Dieu n’est pas sorti victorieux. Il a dit: «Si tu amènes les gens à te croire et si tu es sincère quand tu pries, rien ne résistera à tes prières.»

            C’est pourquoi vous voyez ces choses qui se produisent sur l’estrade. Je crois en Dieu. La foi vient de ce qu’on entend. C’est ce qu’Il m’a dit. Et je le crois. Et juste ici dans la Parole. Il a dit: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu. Si vous demeurez en Moi et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voulez; cela vous sera accordé.» C’est vrai. «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.»

63.       Frère, si les prédicateurs ne veulent pas l’accepter, Dieu suscitera des pierres pour prendre leur place. Dieu fera quelque chose. Il peut faire qu’un… Il peut faire qu’un poisson prêche l’Evangile. Amen. C’est ce que je crois au sujet de Dieu. Il est Tout-Puissant. Je crois que les oiseaux des cieux pourraient prêcher l’Evangile si l’homme ne le peut pas. Dieu aurait décidé que les choses soient ainsi. Et lorsqu’Il décide, selon Sa volonté, que quelque chose soit faite, les pierres crieront ou quelque chose du genre se produira.

64.       Et lorsque Dieu a vu Sa promesse, lorsqu’Il a vu la chevelure de Samson repousser, c’était ça la promesse de Dieu pour Samson. C’est vrai. Et lorsque Dieu a vu Samson avec Sa promesse, Dieu était tenu à Samson. Il a placé ses bras autour de ces vieilles et grandes colonnes, comme cela, et s’est appuyé contre elle. Ses forces lui revinrent.

65.       Et quand… Il se peut que la maladie vous ait terrassé au point que vous n’avez plus assez de force. Peut-être qu’il y a quelque chose que vous n’arrivez pas à… Il se peut que vous soyez tellement aveugle que vous pouvez à peine – que vous ne voyez pas. Il se peut que vous soyez tellement malade que vous  pouvez à peine vous lever. Mais appliquez simplement cette promesse: AINSI DIT LE SEIGNEUR. Tu as dit que tout ce que je demanderai en priant que je croie que je l’ai reçu. C’est à moi de le recevoir et d’accepter que c’est déjà accompli.» Croyez-le  maintenant. «Car j’ai la foi, et la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.’ Je le crois, Seigneur.»

            Dieu baissera le regard dans votre cœur et verra cette promesse. Et les maladies se dissiperont et reculeront de part et d’autre. Les boiteux marcheront; les aveugles verront; les sourds entendront; les muets parleront. Pourquoi? Ils ont pris Dieu au Mot. Oui, oui. «La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu.»

66.       Je dois accomplir un acte, si Dieu l’accorde, maintenant, dans quelques minutes, juste ici après avoir ainsi parlé. C’est Dieu qui m’a promis ces choses, disant: «Tu connaîtras les secrets des cœurs des gens; tu feras ces choses.» Il placera Son Esprit… Comment les saurais-je? Voici que je me tiens ici à parler, je ne sais pas ce qu’Il fera. Mais je crois qu’Il le fera. Car Il a dit qu’Il le ferait. C’est vrai. Et qu’est-ce? C’est Sa grâce envers vous. «Moi, le Seigneur, J’ai annoncé cela. Moi, le Seigneur, Je l’accomplirai. Et je n’ai pas à m’inquiéter; c’est – c’est l’affaire de Dieu. L’affaire de Dieu, c’est prendre soin de Sa Parole. Il est – Il doit prendre soin de Sa Parole pour chaque individu. Et Il le fera. Que le Seigneur vous bénisse maintenant alors que nous inclinons la tête juste un instant.

67.       Bienveillant Père, oh! nous pouvons parler très longuement. Je prie que Ton Esprit se meuve maintenant sur cette assistance, comme nous sentons que Tu es ici et que Tu es tout près. Et je Te prie maintenant que Tes grandes bénédictions reposent sur tous ces gens. Et puisse le Saint-Esprit venir maintenant, et confirmer cette Parole. Seigneur, j’ai essayé, à ma pauvre manière, avec ignorance, et tout ce que je sais, de dire aux gens que la foi vient de ce qu’on entend de Ta Parole. «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et a habité parmi nous.» La Parole est retournée au Ciel. La Parole est revenue sous la forme du Saint-Esprit, et sera pour toujours avec nous. Il a dit: «Quand Lui, le Saint-Esprit sera venu, Il vous rappellera ces choses et vous révélera les choses à venir.» Seigneur, c’est Toi qui l’as promis, Tu l’as fait et Tu as tenu Ta Parole. Et nous en sommes reconnaissants ce soir, du fait que nous nous tenons ici dans cette petite église.

            Bénis tous ceux qui sont ici présents. Puisse Ton auguste Présence, Seigneur, charger chaque cœur, ô Seigneur, jusqu’à ce que nos cœurs soient tellement remplis de joie que nous ne pourrons plus garder le silence et que nous nous écrierons : «Alléluia à l’Agneau.» Oh! Lui qui nous a rachetés d’une vie de péché.

            Pense aux Ecritures, lorsque Tu étais venu sur la terre, Tu croyais à la Parole de Dieu. Tu savais que Dieu tiendrait Sa Parole. C’est pourquoi Tu as dit: «Détruisez ce temple. Je le relèverai en trois jours.» Car David avait dit: «Je ne livrerai pas Son âme au séjour des morts, Je ne permettrai pas que Mon Saint voie la corruption.» Tu as cru la Parole de Dieu concernant cette seule promesse. Et Tu es allé dans les cachots des ténèbres, parce que Tu savais que Dieu tiendrait  Sa Promesse, car David était un prophète, et les prophètes sous l’inspiration ne peuvent pas dire un mensonge.

            Je Te rends grâce, Père céleste, pour nous avoir montré cet exemple. Et maintenant, ce soir, nous acceptons cela et le croyons. Et  je vais de l’avant pour lancer un défi. Ce n’est pas pour faire de l’épate, mais c’est pour la gloire de Dieu, afin que les hommes et les femmes, les jeunes gens et les jeunes filles, qui sont assis ici dans ce petit groupe, ce soir, sachent et croient que Tu as réellement ressuscité Ton Fils, Jésus, d’entre les morts et qu’Il est vivant parmi nous ce soir, un Seigneur Jésus vivant et ressuscité. Et cela confirme les Ecritures qui disent que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Accorde ces choses au Nom de Jésus. Amen.

68.       Excusez-moi, mes amis, d’avoir été si long. J’ai dit… Je regardais cette montre, et je l’ai presque perdue de vue. Que le Seigneur vous bénisse. [Frère Branham parle à quelqu’un à la chaire. – N.D.E.] Où est Billy, est-il ici? Ça va. Les cartes de prière, alignons quelques personnes qui en ont. Qui a la carte de prière numéro 1? [Espace vide sur la bande – N.D.E.]

69.       Demain, c’est l’église; peu importe où c’est. Allez dans votre église. Et puis, demain après-midi, si votre église ne tient pas de service, venez ici assister à notre petit service. Je suis ici pour – pour la gloire de Dieu, pour essayer de vous aider, de prier pour vous et de demander à Dieu de vous bénir, de vous garder tous en bonne santé, et de vous remplir de Sa Gloire et de Sa puissance. Et je – je sais qu’Il le fera. Et ainsi… Saluez vos pasteurs. Peu m’importe qu’il soit presbytérien ou prêtre catholique. Qui qu’il soit, pour moi, ce n’est pas un problème. S’il est né de nouveau et qu’il croit en Dieu, il est mon frère. Peu importe la marque qu’il porte. C’est un chrétien.

[Frère Branham parle à quelqu’un concernant la ligne de prière. – N.D.E] Combien de personnes pouvez-vous ajouter dans cette ligne-là? Je veux dire, combien avez-vous là? Environ quinze, vingt, hein? [Espace vide sur la bande – N.D.E]

70.       Avec tout ce temps que j’ai pris aussi... Je ne voulais pas prendre beaucoup de temps comme cela. Eh bien, chantons pendant une minute s’il vous plaît. Voyons. Chantons Il descendit de Sa…ou…Y a-t-il ici quelqu’un qui connaît ce cantique, Il descendit de Sa gloire? J’aimerais entendre un bon soliste le chanter pour moi demain après-midi, je vous en prie. C’est l’un de mes cantiques favoris. Et… Très bien. Crois seulement alors, frère, s’il vous plaît, donnez-nous un accord, juste pendant quelques instants.

71.       Maintenant, que personne ne s’agite; tenez-vous simplement tranquille maintenant. Car, vous voyez, cela trouble… Si tout est calme… Eh bien, combien parmi vous, ici dans la salle, n’ont pas eu l’occasion d’entrer dans cette ligne de prière ce soir…? Je ne sais pas combien de temps la prière peut nous prendre, nous irons peut-être jusqu’à ce que nous aurons prié pour tout le monde ici, pour autant que je sache. Mais vous n’avez pas besoin d’être dans la ligne de prière. Toutefois, si vous n’avez pas de carte de prière, et que, cependant, vous êtes malade et que vous voulez que Dieu vous délivre, je vous demanderais de lever la main afin que j’aie une idée générale. Eh bien, c’est  juste… Il faut qu’il distribue des cartes de prière partout dans la salle ou  partout où se trouvent les gens. Mais de toutes les façons… Que Dieu soit avec vous maintenant.

            Maintenant, combien de chrétiens y a-t-il ici? Levez la main? Des chrétiens nés de nouveau? Oh! c’est vraiment merveilleux. Je crois que c’est cent pour cent. Cent pour cent, n’est-ce pas merveilleux?

72.       Eh bien, combien ont déjà vu la photo de l’Ange du Seigneur (celle que j’avais prise, vous savez, celle qu’on avait prise là-bas)? Nous en avons quelques-unes ici, et Billy a oublié de les apporter ce soir. Peut-être qu’un jour ou l’autre s’il arrivait que je revienne, je les amènerai. Nous ne voulons pas vendre le dimanche. Non. Pour moi, c’est rien de toute façon; nous les achetons simplement et nous les revendons au même prix. Vous voyez? En effet, elles appartiennent au – au studio Douglas de Houston, Texas. Ainsi, je les achète simplement et je les apporte aux gens. Mais ce que je veux, c’est que les gens les aient, afin qu’ils voient et qu’ils comprennent que notre Seigneur est réel.

            Eh bien, si – s’Il ne le fait pas – s’Il n’est pas avec moi, certainement, je… Je suis exactement comme un Quaker, je pense. Voyez-vous? Ils doivent avoir l’Esprit du Seigneur, là-bas, sinon rien ne peu être fait. Eh bien, pour ce qui est du Saint-Esprit, oui, oui, Il est ici en ce moment même. Mais ça, c’est un don divin. Voyez-vous? C’est ce que j’attends. Chacun de vous en est conscient, je pense, que le Saint-Esprit est ici. Il est dans la salle. J’en suis sûr et certain. Au jour du Jugement, vous verrez que c’est la vérité (Voyez-vous?) - que le Saint-Esprit est ici.

73.       Mais, maintenant, pour ce qui est de ce Messager divin, Il est une partie de Dieu. C’est un don de Dieu. Et maintenant, s’Il vient… Maintenant, combien savent que lorsque Jésus était ici sur terre, Il ne prétendait pas être un guérisseur? Est-ce que tout le monde le sait? (Je pense que je suis venu ici plusieurs fois et je vous l’ai dit.) Il n’a jamais prétendu être un guérisseur. Qui, disait-Il, accomplissait la guérison? [L’Assemblée répond: «Le Père.» – N.D.E.] Le Père. Où était-Il? En Lui.

74.       L’unique chose qu’Il pouvait faire, quand Il est passé par cette porte-là, où tous ces malades, ces estropiés et tous ces infirmes, ces aveugles, ces paralytiques qui étaient à la piscine de Bethésda, Il n’a guéri aucun d’entre eux, Il est allé vers un homme malade, qui était étendu là sur un grabat, oh! qui peut être, oh! qui souffrait de la prostate ou du diabète ou d’une autre maladie. Il… Ça n’allait pas lui faire du mal; ça n’allait pas le tuer; il l’avait depuis trente-huit ans. Et Il a guéri celui-là et Il a continué avec Ses affaires.

            Les Juifs ont douté de Lui. Vous souvenez-vous de cela? Saint Jean 5. Maintenant, observez ce qu’Il a dit. Ecoutez attentivement. « En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement. » Est-ce vrai? En d’autres termes, Il a dit : « Je ne fais rien avant  que le Père Me le montre. Le Père travaille, Moi aussi Je travaille. » Ça, c’est Saint Jean 5.19, 20, 21. Voyez-vous? « Le Père travaille et Moi aussi Je travaille. Je ne fais rien de Moi-même. Je ne fais que ce qu’Il Me montre. »

75.       C’est comme pour la résurrection de Lazare… tout cela. Lisez les Ecritures. Cherchez. C’est exactement ce que… Avant qu’Il ne sache ce qui allait arriver… A la tombe, Il a dit… Il a dit : « Père, Je Te rends grâces de ce  que Tu as déjà accompli ceci, » vous savez, « mais Je… Je le dis à cause de ceux qui M’entourent. » Vous voyez.

76.       Ainsi, tout, c’est par vision. Ça n’est jamais arrivé par un homme. Ça vient de Dieu. Toujours. Eh bien, pour ce qui est de guérir les gens, au mieux de ma connaissance … Où est le premier patient? Je ne le vois pas. Oh! oh! excusez-moi. Ça va. Il y a un… Je pensais peut-être que vous étiez un des musiciens qui sont ici ou quelqu’un d’autre. Excusez-moi. Il y a… Je ne connais personne dans cette ligne; je pense que tous nous ne nous connaissons pas. Et au mieux de ma connaissance,  je ne connais personne dans la salle. Je vois simplement mon ami qui vient d’arriver de Louisville. Je ne pensais pas qu’il allait venir. Monsieur O’Bannon, un homme d’affaires de Louisville, est assis là. J’étais content de le voir.

Et je pense qu’en dehors de lui, eh bien, au mieux de ma connaissance, c’est l’unique personne que je connais ici ou dont je me souviens pour le moment, vous ne… A part ce frère-ci, le frère Joseph. Je ne connais que lui. Mais, eh bien, le Seigneur Jésus connaît tout le monde. Est-ce vrai? [Espace vide sur la bande – N.D.E.]

77.       Maintenant, nous devons… Il se peut qu’il y ait certains parmi vous… Ce n’est pas que j’aie eu l’intention de vous blesser quand j’ai dit… Je – je pourrais peut-être dire : « Eh bien, j’ai vu cette personne quelque part. Mais quant à savoir qui ils sont ou ce qu’ils… Je – je ne sais pas. Je ne les ai jamais vus de cette manière-là. »

78.       Très bien. Maintenant, soyons simplement en prière. Attendons donc et voyons ce que le Saint-Esprit nous dira. Qu’Il bénisse maintenant. Je demanderais à la dame de venir ici juste un instant, et que je lui parle juste un moment.

            Eh bien, quand notre Seigneur et Sauveur s’entretenait avec une femme au… Une Samaritaine…Dites donc, ceci pourrait être un parfait contraste, ou plutôt exactement la même chose. Ou la femme samaritaine, eh bien, elle était une–une dame, juste comme n’importe quelle autre femme. Mais Jésus était Juif; et elle, une Samaritaine. Et ils avaient en quelque sorte un – un problème racial en ce temps-là, qui… Elle Lui a dit… Il a dit : « Apporte-moi à boire. »

            Et elle a répondu : « Il n’est pas de coutume que vous les Juifs vous  demandiez une telle chose aux Samaritains. » Vous voyez, il y avait là quelque  chose, juste comme, probablement comme une petite dissension comme il y en a entre les hommes de couleur et les blancs aujourd’hui. Mais Jésus lui a vite fait savoir qu’il n’existe pas une telle chose dans la Présence de Dieu. Nous descendons tous d’un seul arbre, c’est Adam. C’est vrai. Et en naissant de nouveau, nous descendons d’un seul Arbre, Jésus-Christ, qui fait de nous tous un même peuple. C’est exact.

79.       Et Il a dit: « Mais si tu connaissais Celui qui te parle, tu M’aurais demandé à boire, et Je t’aurais apporté de l’eau, ou Je t’aurais donné de l’eau que tu n’aurais plus à venir puiser ici. » Et la conversation s’est poursuivie. Après quelque temps, Il a trouvé où était son problème. Il est allé droit au but et lui a révélé où était son problème.

Elle a dit : « Eh bien, je vois que Tu es Prophète. » Elle a dit : « Je sais que le Messie doit venir, et Il nous annoncera toutes choses. »

            Il a dit : « C’est bien Moi le Messie. »

            Et elle est donc entrée dans la ville et a dit : « Venez voir un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait. » Eh bien, Il ne lui a dit que cette seule chose. Mais s’Il a connu cette seule chose, ce qui était un mystère pour… Eh bien, c’est qu’alors Il connaissait – Il connaîtrait tout. Est-ce vrai?

            Eh bien, ce devrait être la même chose entre nous (Est-ce vrai?), exactement la même chose. Nous sommes totalement les inconnus, je pense que c’est la première fois de nous rencontrer dans la vie. Et nous nous tenons ici…?... [Espace vide sur la bande – N.D.E.]

80.       …?... L’église comprend-elle cela? Dites : « Amen. » [L’Assemblée dit : «Amen. » – N.D.E.] Maintenant, si cette femme-ci, elle qui m’est totalement  inconnue, je ne l’ai jamais vue de ma vie, eh bien, s’Il vient et qu’Il lui dise quelque chose… Je ne dis pas qu’Il le fera; mais s’Il lui révèle, peut-être, où se situe son problème (Comme il en était de la femme au puits), alors cela prouvera que Jésus-Christ (que j’essaye de représenter ici) est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai? Cela fera de Lui le Seigneur Jésus.

            Eh bien, Il a promis ces choses, disant : « Les œuvres que Je fais, vous les ferez aussi, (Voyez-vous?), et vous en ferez de plus grandes, car Je M’en vais au Père. » Des œuvres plus grandes, bien sûr, cela voudrait dire davantage. Personne ne peut accomplir des oeuvres plus grandes. Il a ressuscité les morts, Il a arrêté la nature, Il a fait tout. Voyez-vous? Mais on pourrait accomplir plus que cela, parce que l’Eglise est éparpillée dans le monde entier, là Il pouvait seulement être à un seul endroit.

81.       Mais maintenant, pour vous parler, j’attends Son onction. Vous savez que je suis en train de retarder cela, ou quelque chose comme ça. Et c’est ce qu’il en est, pour Sa Présence. Parce qu’on est simplement... Nous nous tenons simplement ici comme ceci. Si ceci n’est pas un exemple parfait… Vous vous tenez ici impuissant au possible. Je n’ai jamais vu cette femme. Voudriez-vous vous mettre un peu dans cette position-ci? Je ne le ferais pas non plus, mon ami, si cet Ange ne s’était pas tenu à mes côtés, et qu’Il ne m’ait pas dit qu’Il le  ferait. Eh bien, j’ai cru en Lui. Je crois en Lui.

82.       Si cette femme était malade, et que je sois capable de la guérir et que je ne le fasse pas, je serais une brute. Mais je ne peux pas la guérir. Dieu l’a déjà accompli. Si elle est malade, si c’est quelque chose d’autre, eh bien, Dieu peut donc corriger tout ce qui n’est pas correct. Si quelque chose n’est pas correcte, Il peut corriger cela. Si – si ce  n’est pas une chrétienne, Dieu le sait. Moi, je ne le sais pas. Si c’est une chrétienne, Dieu le sait. Moi, je ne le sais pas. Et maintenant, Il est ici.

            Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends tout esprit ici sous mon contrôle, pour la Gloire de Dieu.

83.       Maintenant, vous êtes consciente que quelque chose est en cours. Eh bien, n’est-ce pas vrai? Maintenant même. Si cela – c’est vrai, levez la main, faites-le savoir aux gens. Quelque chose va… Vous êtes dans Sa Présence. C’est exactement ce que j’ai dit au sujet de ma femme l’autre soir. Voyez-vous? Vous savez bien que quelque chose est arrivé en ce moment même. Ça vient vers vous et moi; vous êtes une chrétienne, une croyante. C’est vrai. Que le Seigneur vous bénisse. Votre maladie – votre maladie, c’est dans l’estomac. C’est une – une espèce de grosseur qui est là, une grosseur dans l’estomac, une grosseur, une tumeur. Il vous faut une opération. Mais il n’y a que Dieu seul qui peut accomplir quelque chose pour vous. Est-ce la vérité? Maintenant, peu importe ce qui est arrivé, peu importe ce que c’était, c’est sur moi maintenant, Cela connaît votre vie. Est-ce vrai?     Peu importe ce qui est sur moi maintenant, Cela vous connaît vous et moi. Et je suis tellement soumis à Cela que je n’ai plus le contrôle de moi-même. Maintenant, c’est Cela qui me contrôle. Croyez-vous que c’est le Seigneur Jésus? Que Dieu vous bénisse. Alors si vous êtes si proche et dans Sa Présence, c’est là que ces… le miracle qui vient à peine de se produire. C’était un miracle. Je ne sais donc pas ce que c’était. Mais j’ai vu quelque chose, et peu importe ce qu’Il a dit, c’est la vérité. Il n’a utilisé que ma voix pour prononcer Sa Parole.

            Vous avez un bien-aimé à qui vous vous intéressez aussi, ou quelque chose du genre. C’est une personne qui souffre du pied. N’est-ce pas vrai? C’est une sorte de… C’est dans un plâtre ou quelque chose du genre. C’est – c’est votre mari. Et Il a un… Ces orteils se sont fracturés ou quelque chose sur un… N’est-ce pas vrai? Et je vois un rai sombre qui se tient entre vous tous. Vous avez des problèmes en famille. N’est-ce pas vrai? Un certain problème entre vous, et vous vous inquiétez à ce propos. Et à propos, vous vous êtes tous séparés, ou quelque chose du genre. Il y a quelque chose parmi vous qui vous a amené à vous séparer tous. Est-ce vrai?

Bien, venez ici. Maintenant, Maître de la Vie, pendant que Tu es si proche et si présent pour accomplir Ta grande œuvre miraculeuse, je bénis cette femme qui se tient ici. Pour tout ce dont elle a besoin, que cela lui soit accordé ce soir. Je prononce cette bénédiction sous l’onction de Ton Saint-Esprit, au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils, afin que notre sœur reçoive ce qu’elle a demandé. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Que Dieu soit avec vous, qu’Il vous bénisse, qu’Il vous assiste, et qu’Il vous donne tout ce que vous avez demandé, ce dont vous avez besoin.

84.       Maintenant, que l’assistance soit aussi respectueuse que possible. Car je vous dis, au Nom de Jésus-Christ, que vous êtes dans la Présence du Saint-Esprit.

85.       Madame, vous qui avez un petit veston rouge, celle qui est assise là, vous priez pour vous débarrasser de cette sinusite que vous avez contractée. Vous étiez en train de prier pour que Dieu le fasse, est-ce vrai? Oui, oui. Certainement. Cela vous a alors quittée. Voyez-vous? Maintenant, que votre foi reste toujours ainsi. Que vous ne soyez plus jamais dérangée, au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous accorde votre guérison.

86.       Oh! si cette assistance pouvait seulement le savoir. J’aurais souhaité avoir la capacité d’expliquer cela, mon ami chrétien. Mais je ne le peux pas. Quand j’ai parlé de cela, il y avait une autre petite dame qui s’est mise à prier, elle était assise là, portant un petit chapeau blanc, elle avait aussi la sinusite. Croyez-vous au Seigneur Jésus? Croyez-vous qu’Il vous guérit de la sinusite? Acceptez-vous cela, vous qui portez des gants blancs là-bas, la petite dame qui me regarde? Oui. Croyez-vous qu’Il vous guérit maintenant? Très bien, dites : « Gloire au Seigneur pour ma guérison maintenant. » Rentrez chez vous et soyez guérie. Que Dieu vous bénisse.

87.       Oh! si vous pouviez simplement… Voyez-vous? Il vous faut simplement avoir la foi. Maintenant, cet homme qui est assis là portant le cornet acoustique à l’oreille. Il a touché Dieu tout à l’heure. Maintenant, soyez simplement en prière. C’était au-dessus de lui; puis Ça s’est déplacé. Ayez foi en Dieu et que Dieu vous guérisse.

88.       Bonsoir, madame. Croyez-vous de tout votre cœur? Eh bien, ce cancer dont vous avez peur… Voyez-vous? Vous êtes nerveuse et agitée, vous avez peur de ce cancer; ça vous a quittée maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous et être guérie. Que Dieu vous bénisse et soyez guérie au Nom de Jésus-Christ.

89.       Vous devriez comprendre maintenant que le Seigneur Jésus-Christ… J’ai dit la vérité. Je vous ai dit la vérité.

90.       Voyez-vous cet homme qui est en train de prier? Ses paroles sont parvenues auprès du Père céleste; il demande que Dieu le guérisse. Il est assis là, les bras croisés; il est en prière. Il est en train de toucher le Saint-Esprit. Monsieur, vous souffrez de l’hypertension, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? Cela vous a quitté tout à l’heure. Levez-vous. Il a exaucé votre prière. Que Dieu vous bénisse. Retournez chez vous, en croyant maintenant, et vous recevrez ce que vous avez demandé.

91.         Très bien, venez. Bonsoir, monsieur. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous le croyez. Eh bien, je vous suis inconnu, mais Dieu nous connaît tous deux. Nous devrons nous tenir dans Sa Présence. N’est-ce pas vrai?

            Oh! Mon bien-aimé ami chrétien, le Seigneur Jésus veut… Je souhaiterais avoir ce genre de foi dans chaque réunion où je vais. Nous souhaiterions que cela soit… Dieu va certainement bénir Chicago avec un autre réveil, l’un de ces jours. Voyez-vous? Certainement, certainement qu’Il le fera. Avec toute cette foi qui s’élève, oh! je pourrais à peine… Elle vient de partout, des gens.

            Maintenant… Eh bien, est-ce le patient? « Excusez-moi, monsieur, je… Il y avait une dame qui était assise ici et elle était… Croyez-vous que je suis  Son serviteur? Alors si je vous ai dit la vérité, Dieu connaît donc tout à notre sujet. Est-ce vrai? Vous venez de recevoir une bénédiction de guérison. Il y avait une sorte de maladie de reins. N’est-ce pas vrai? Eh bien, ce que vous désirez maintenant, croyez-moi, et votre… vous sentez que vous avez un appel au ministère. N’est-ce pas vrai? Et vous êtes venu ici, vous voulez que je vous impose les mains afin de…?... pour une bénédiction. Est-ce… Approchez. Divin Père, que notre frère reçoive  ce qu’il  a demandé. Qu’il soit Ton serviteur et qu’il soit utilisé dans Ton service. Bienveillant Père céleste, nous sollicitons cette bénédiction au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon fils. Puisses-tu gagner des âmes pour Lui dans le Royaume de Dieu.

92.       Croyez-vous de tout votre cœur, monsieur? C’est très bien. J’aime vous entendre dire cela. Que Dieu soit avec vous, jeune homme. Vous avez une maladie du coeur, n’est-ce pas? Vous avez la sinusite, n’est-ce pas? Je vois. Et il y a encore quelque chose. Il y a une grosseur à la jambe gauche, à la cuisse. Est-ce ça? Est-ce vrai? Croyez-vous que vous êtes dans Sa Présence, et non pas dans la présence de votre frère, mais dans la Présence de votre Créateur? Croyez-vous cela? Allez-y, et que le Seigneur Jésus vous guérisse complètement, mon frère, et qu’Il vous utilise pour Sa gloire.

93.       Approchez. Vous avez aussi une maladie du coeur, n’est-ce pas? Croyez-vous que Dieu vous guérira de cela? Croyez-vous qu’Il vous guérira? Le croyez-vous? Très bien, levez-vous et acceptez cela, la dame qui est juste là, habillée en robe bleue. Que Dieu vous bénisse.

94.       Pourquoi avez-vous dit: «Gloire au Seigneur», vous qui êtes juste derrière elle? Vous avez été guérie au même moment d’une maladie du coeur. Imposez la main à votre mari là à cause de ce problème interne qu’il a, et Jésus le guérira.

95.       Votre gastrite, vous pouvez aller manger ce que vous voulez, frère, si vous le voulez. Croyez-vous que Dieu vous guérira? Allez alors prendre votre souper au Nom du Seigneur Jésus-Christ et soyez béni. Que Dieu vous bénisse.

            Disons: « Grâces soient rendues à Dieu. »

96.       Croyez-vous de tout votre cœur qu’Il vous a guéri, vous qui êtes assis là? Il vous a guéri. Vous pouvez poursuivre votre chemin en vous réjouissant et en disant : « Grâces soient rendues à Dieu. »

97.       Approchez, madame. Vous êtes très nerveuse, n’est-ce pas? Et cette nervosité vous a provoqué beaucoup de choses. L’une de grandes choses qui vous dérange maintenant même, c’est la gastrite, un  ulcère à l’estomac. Mais si je vous dis que vous serez guérie, le croirez-vous? Vous êtes guérie. Vous pouvez partir, le Seigneur Jésus vous a complètement  guérie; qu’Il vous bénisse.

98.       Vous êtes nerveux et inquiet, vous avez une maladie du coeur, elle est principalement causée par la nervosité, c’est ce qui fait que quand vous mangez, ça devient pire qu’avant. Vous pouvez vous en aller. Acceptez votre guérison immédiatement et dites : « Jésus-Christ, je Te remercie pour ma guérison. » Basez votre foi sur Sa Parole, sur Sa Révélation maintenant même, et cela ne vous dérangera plus jamais. Que Dieu vous bénisse. Soyez guéri.

99.       Approchez, madame. Croyez-vous? Vous êtes en train de prier pour cet enfant, n’est-ce pas, madame? Je vous ai vue tout à l’heure venir ici devant moi avec cette dame. Voulez-vous être guérie de ces troubles gynécologiques que vous avez? Croyez-vous qu’Il vous guérit maintenant? Je vous bénis, ma sœur, au Nom de Jésus-Christ. Puissiez-vous recevoir votre guérison. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. Vous pouvez vous en aller, en vous réjouissant maintenant, en étant heureuse et reconnaissante, et Dieu vous guérira.

100.     Bonsoir. Croyez-vous de tout votre cœur? Si je ne vous disais rien, que je ne vous impose que les mains, (Vous êtes conscient de Sa Présence ici.), croiriez-vous qu’Il vous bénira? En effet, je ferais ce qu’Il a dit. Il a dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris. » Croyez-vous cela? Alors si je vous impose les mains, vous ne serez plus jamais aveugle; vos yeux deviendront mieux maintenant même. Est-ce vrai? Alors, au Nom de Jésus-Christ, recevez cela. Amen. Vous pouvez vous en aller en rendant grâces à Dieu, en étant heureux et en vous réjouissant.

101.     Croyez-vous de tout votre cœur? Ne voulez-vous pas être guérie de votre maladie de reins? Croyez-vous que ç’a été guérie pendant que vous vous teniez là? Vous – vous avez été guérie pendant que vous vous teniez là. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez vous en aller, et recevez ce que vous avez demandé pour la gloire de Dieu.

102.     Bonsoir, jeune dame. Vous êtes nerveuse, et inquiète, vous avez des troubles cardiaques, c’est cela. C’est la nervosité, cela est causé par des troubles cardiaques. Vous en avez souffert depuis des années. Et vous croyez qu’Il… Allez-vous Lui  abandonner complètement votre vie et Le servir de tout votre cœur, de toute votre âme et de toute votre pensée, pour le reste de vos jours, s’Il vous guérit? Venez ici. Père, je bénis cette jeune femme dont Satan est déterminé d’ôter la vie, alors qu’elle est encore jeune. Je prie pour elle et je la béni au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit complètement guérie. Amen. Que Dieu accorde cela. Amen.

103.     Combien vous êtes aimables d’avoir été si patients. Je crois que notre Seigneur est ici pour – pour vous guérir ce soir, croyez-vous cela? Avant de prier pour cette femme, j’aimerais prier pour quelque chose qui est ici maintenant même. Je vois quelque chose.

            Bienveillant Père céleste, je Te prie, au Nom de Jésus-Christ, de nous venir en aide en ce moment même. Ô Seigneur, que les malades qui sont ici maintenant même dans cette assistance sachent que Tu es le Fils de Dieu, que Tu es ici, et que Ta Présence est – est là en ce moment, et que Tu peux guérir  chacun d’entre eux. Et Dieu bien-aimé, il y a peut-être deux cents ou trois cents personnes qui doivent être guéries ce soir. Et je Te demande, ô Bienveillant Père, de repousser chaque ombre de doute. Repousse tous les esprits d’opposition afin que le Saint-Esprit prenne les cœurs des gens ce soir et qu’Il leur fassent voir la résurrection de notre Seigneur Jésus-Christ. Accorde-le, Seigneur, je le demande en Son Nom. Amen.

104.     J’ai toujours désiré voir encore arriver quelque chose qui s’était produit ici à Vandalia, dans l’Illinois. Certainement, Dieu connaît chacun de vous, chaque personne ici présente. Il connaît tout à votre sujet. N’est-ce pas vrai? Eh bien, je – je ne veux pas que vous pensiez que ceci, c’est de l’épate. Ce n’est pas – ce  n’est pas de l’épate. C’est le Saint-Esprit qui prêche l’Evangile, qui confirme la Parole qui a été prêchée avant. Voyez-vous? La Parole qui a été prêchée avant, le Saint-Esprit est ici pour confirmer que c’est la vérité.

            Maintenant, que pourrais-je faire? Que puis-je faire? Je dis ceci, mon ami, à chacun de vous, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, que chaque personne ici présente a été guérie quand Jésus est mort au Calvaire. C’est votre possession. Je vous ai demandé à vous qui êtes chrétiens de lever la main. Vous avez levés la main partout. Vous êtes, vous avez le droit légal à tout ce pourquoi Jésus est mort. Il est mort là à la croix, et a donné Sa vie afin que vous ayez le droit légal à chaque bénédiction rédemptrice pour la quelle Il est mort. C’est à  vous. Vous avez simplement peur de posséder cela. Vous avez peur de réclamer cela.

105.     Ecoutez. Quand Dieu a dit à Moïse, « Allez, prenez possession du pays, c’est à vous. Mais il est tout entouré des philistins. » Mais Il a dit : « Tout lieu que foulera la plante de votre pied (C’est ce qu’Il a dit à Josué), c’est votre possession. » Eh bien, pourquoi ne faites-vous pas cela ce soir?

106.     Si une personne dans cette salle… Une chose surnaturelle pourrait se produire, qui confirmerait et prouverait que la Parole de Dieu que j’ai prêchée est la vérité. Maintenant… Et si j’ai dit la vérité en prêchant la Parole, certainement, Dieu ne permettrait pas qu’un séducteur qui prêche la Parole aille de l’avant et accomplisse les mêmes signes que le Seigneur Jésus avait accomplis. Si, de tout son cœur et de toute son âme, il ne croyait pas au Dieu Tout-Puissant pour dire que c’est la résurrection de Jésus-Christ, s’il ne disait pas la vérité, Dieu n’aurait rien à faire avec cela. Est-ce vrai?

107.     Et puis, après que je vous ai dit ces choses, et que Dieu a attesté que c’est la vérité, je dis à chaque personne qui est dans cette salle… S’il y a un péché dans votre vie maintenant, débarrassez-vous-en tout de suite. Mais acceptez Jésus ce soir comme votre propriété personnelle, Jésus-Christ comme votre propriété personnelle, pour vous guérir à l’instant même; aucune personne ne quittera cette salle étant faible. C’est vrai. Chacun de vous ici rentrera chez lui avec une foi ferme, peu importe ce que vous ressentez. Vous rentrerez chez vous guérie, parce que c’est Dieu qui l’a dit. C’est à vous. « La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole. » C’est à vous maintenant même, c’est pour chacun de vous.

            Mon ami, combien Dieu peut – peut faire davantage! Peut-Il… A-t-Il déjà fait cela? Dieu a-t-Il déjà accompli plus d’œuvres qu’Il est en train d’accomplir ici même? Il a premièrement envoyé Sa Parole; Son Fils manifesté, Il L’a envoyé de nouveau, Il a pris Son Esprit, L’a séparé de Son âme, Il a élevé Son corps dans… Il s’est assis à Sa droite, et Il a renvoyé Son Esprit ici, le même Esprit qui était en Lui, accomplissant les mêmes œuvres, voyant des visions, confirmant la Parole, suivant les ordres du Père. C’est exact. Il a dit : « Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, et même en vous jusqu’à la fin du monde. » Combien un Bienveillant Père peut faire davantage! 

108.     Maintenant, amenez le patient. Bonsoir, madame. Je pense que nous sommes inconnus l’un à l’autre, nous ne nous connaissons pas, mais Jésus-Christ nous connaît tous deux. Est-ce vrai? Et si nous, vous et moi, nous sommes des inconnus l’un à l’autre, mais en nous tenant dans Sa Présence… Il est ici. Si je pouvais vous guérir, je l’aurais certainement fait. Mais je ne le peux pas. Et votre vie, maintenant, vous ne pouvez pas la cacher. C’est vrai. Vous ne pouvez la cacher, non pas parce qu’il s’agit de moi; mais, parce que c’est Lui. Et selon Sa Promesse. Il m’a dit de… que je pouvais – que je ferais ceci. Donc, s’Il me révélait cela, alors… C’est juste comme si l’un de ces hommes se tenait ici, et que Dieu le leur révélait, ils pourraient vous dire exactement ce qu’il y a. Voyez-vous? Mais c’est Lui qui doit le révéler. Voyez-vous? C’est exact.

            Je ne suis pas en train de lire votre pensée. Je vous parle seulement comme un chrétien à une chrétienne. Mais vous êtes une chrétienne baptisée du Saint-Esprit. Mais… Et votre maladie se situe dans votre sang. C’est le diabète. N’est-ce pas vrai? Vous soufrez aussi de l’asthme, une espèce de toux. Je vous vois. Vous êtes faible et abattue, vous êtes nerveuse et inquiète, naturellement, c’est ce qui cause cela. Maintenant, Jésus-Christ est ici pour vous guérir. Croyez-vous cela? De tout votre cœur? Acceptez-vous cela maintenant? Allons au Calvaire maintenant même, par la foi. Gravissons, vous et moi, cette colline ici jusqu’à Golgotha, et là, le Sang d’Emmanuel coule du Calvaire, tout aussi frais dans la Présence  du Père qu’à l’heure où il a été versé. Et je vous amène à Lui comme ma sœur. Et je dis : « Seigneur Jésus, ma sœur que voici est rongée par cette maladie, je Te prie, Père céleste, que Ton Esprit vienne sur elle maintenant, afin qu’elle soit complètement guérie. Que le Saint-Esprit vienne avec une grande puissance et se meuve sur elle. » Et tous les autres qui sont en train de tirer là, des diabétiques qui sont là; je perçois comment ils crient et implorent miséricorde, Seigneur, s’il Te plait, guéris chacun d’eux, maintenant même. Que la Puissance de Jésus-Christ se meuve dans cet auditoire et guérisse chaque diabétique ici. Accorde-le, Seigneur. Je condamne cette maladie maintenant même, en face du Calvaire, afin que le Dieu Tout-Puissant les guérisse tous au Non de Jésus-Christ, Son Fils. Amen. Que Dieu vous bénisse. Rentrez chez vous étant heureuse, en vous réjouissant. Que Dieu soit avec vous.

109.     Est-ce – est-ce  la fin de la ligne de prière? Très bien. Maintenant, je vais vous dire ce que nous allons faire. Imposons-nous les mains les uns aux autres maintenant, pour cette prière, quelqu’un… Maintenant, soyez simplement aussi respectueux que possible. Maintenant, pendant que nous prions tous d’un commun accord, j’aimerais que vous répétiez cette prière après moi. Je vais la répéter; je la dirai et vous l’offrirez de tout votre cœur.

110.     Bien-aimé Seigneur Jésus [L’Assemblée répète après frère Branham. – N.D.E.], je crois maintenant de tout mon cœur, que Tu es le Fils de Dieu, ressuscité des morts et vivant parmi nous ce soir. Et j’accepte Ton sacrifice que Tu as offert pour moi au Calvaire. Car là, Tu étais blessé pour mes péchés; et par Tes meurtrissures je suis guéri. Ô Dieu, accorde-le maintenant.

            Je prie, Père, que, comme ils ont fait cette confession, disant : « Par Tes meurtrissures ils sont maintenant guéris », ô je Te prie, ô Dieu, de les guérir tous. Que le Saint-Esprit domine ici maintenant, au point que toute ombre de ténèbres soit repoussée. Et exauce ma prière, Seigneur, et écoute Tes serviteurs, Seigneur, pendant qu’ils prient, partout. Et il y a bien une ombre de ténèbres qui est suspendue ici, essayant d’amener les gens à ne pas croire. Mais maintenant, Tu es plus que Vainqueur. Et je viens en Ton Nom, croyant que c’est Toi qui as ordonné que ce service se tienne obligatoirement ici ce soir, et nous croyons que nous nous tenons ici à Ta place. Et je condamne l’incrédulité et je la chasse de cette salle au Nom de Jésus-Christ, afin que le Dieu Tout-Puissant fasse pénétrer Son Esprit dans chaque cœur ici et que tous soient guéris à la fois. Dieu Tout-Puissant, accorde  cette bénédiction à Ton serviteur, je prie au Nom de Jésus-Christ.

            Vous tous qui croyez être guéris, tenez-vous debout et louez Dieu, et vous recevrez exactement ce que vous avez demandé au Nom de Jésus-Christ. Très bien. Frère Bozé.

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