LES OPERATIONS DU SAINT-ESPRIT

Date: 56-0816 | La durée est de: 1 heure 43 minutes | La traduction: Shp
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1.         Merci, Frère Cox. Bonsoir, mes amis. Je suis heureux d'être de nouveau ici ce soir, encore une soirée avant la clôture de cette petite campagne. Certainement que j'apprécie beaucoup cela.

            Et je suis très heureux d'entendre ces bons témoignages sur ce que le Seigneur Jésus est en train de faire. Vous savez, c'est à peine si je sais, parfois, après que la réunion est terminée, exactement ce qui se passe jusqu'à ce que l'un d'eux m'en parle. Et comment notre Précieux Père céleste exauce la prière !

            Eh bien, je dis que vous avez tous eu un bon courage pour sortir par une soirée froide comme celle-ci. Et évidemment, moi-même, j'aime ça. Et je… Mais de vous voir venir pour servir le Seigneur, certainement que je vous apprécie. Je sais que Dieu vous bénira.

2.         Eh bien, demain soir, le Seigneur voulant, ce sera la fin de cette petite campagne. Et nous encourageons tous les pasteurs ainsi que tous à venir ; tout le monde est le bienvenu, seulement nous… Les portes sont ouvertes à toutes les dénominations, aux protestants, aux catholiques, aux Juifs, à tout le monde, à tout être humain sur la terre, tout le monde. Peu importe que vous soyez un adorateur de Bouddha, un musulman, ou quoi que vous puissiez être, vous êtes néanmoins le bienvenu. Venez.

            Vous savez, Jacob avait creusé un puits, et les - et les Philistins l'ont chassé de là, et il l'a appelé la haine ; et il a creusé un autre et il l'a appelé contestation ; et ils l'ont chassé. Et ensuite, il a creusé un autre puits, et il a dit : "Il y a de la place pour nous tous. " Oui, oui, c'est à ce genre de puits que nous nous abreuvons ce soir, là où il y a de la place pour nous tous.

3.         Combien se souviennent de cet ancien cantique des baptistes du Sud, que nous chantions : "De la place, de la place, oui, il y a de la place, il y a de  la place à la fontaine pour moi " ? Y a-t-il quelqu'un ici qui connaît cela ? Je vois quelques personnes du Sud qui restent ici : De la place à la fontaine pour moi. On avait l'habitude de chanter cela il y a bien des années là au Sud dans l'Eglise baptiste. Quand nous avions un grand réveil, nous nous levions et chantions : De la place à la fontaine, pendant que nous faisions l'appel à l'autel. Des jours glorieux, je… Certains de ces personnes âgées, je pense, sont déjà parties, et elles attendent là, de l'autre côté.

            Maintenant, juste… Je n'ai pas l'intention de prendre trop de votre temps ; je suis simplement bien plein de choses à dire, que le Seigneur a accomplies, ainsi que des témoignages. Même si je passais cinq ans ici, je ne me viderais point, je ne pense pas. Et on voit un peuple merveilleux, un esprit merveilleux, un groupe aimable.

4.         Et bon, autrefois, je prêchais à beaucoup de ces gens du Sud. Ils font du bruit comme tous les affranchis. Aussitôt qu'un cantique est entonné, ils parcourent les allées, pleurant, poussant des cris et tout. Et - et vous êtes un peuple très conservateur, mais voici ce que je désire dire, je constate que vous êtes restés tranquilles pour écouter chaque Parole. Et alors, vous avez eu beaucoup d'ennuis ici et vous devez peser ce dont vous - vous parlez, ce à quoi vous pensez. C'est donc une bonne chose. Voyez toujours là où vous placez votre pied et vous n'aurez pas à le regretter. C'est une très bonne chose.

            Et maman me répétait un vieux proverbe qu'elle avait ; elle disait : "Pense deux fois, et parle une fois. " C'est vraiment valable aussi, d' y réfléchir.

5.         Et alors, tout ce que nous enseignons, ou n'importe quoi, nous ne voulons pas contredire la doctrine de quelqu'un ou autres. Nous n'avons pas l'intention d'être indifférent. Et je ne pense pas que je sois indifférent. Si je le suis, eh bien, que Dieu me pardonne, c'est ma prière. Je viens avec un cœur plein d'amour et de respect pour tout celui qui mentionne le Nom du Seigneur Jésus. Et pour ceux qui ne mentionnent pas le Nom du Seigneur Jésus, j'ai toujours de l'amour et du respect. Et si je ne le disais que des lèvres, ou que cela soit simplement passé par l'esprit… mais cela doit provenir de mon cœur. Et je le dis vraiment du fond de mon cœur. C'est vrai.

            Eh bien, chaque soir, voyant que vous êtes assis ici tremblant… Et, ma femme dit : "Tu sais, mon dos a failli se casser. Comment ces pauvres gens restent assis là tout le temps, et certains parmi eux n'ont même pas de dossier sur le siège… " Elle a dit : "Billy, je souhaiterais… " Elle a dit : "On dirait que tu - tu les soumets à des tortures. " Ce n'est pas là mon intention, franchement pas. Je - je n'ai pas l'intention de vous soumettre à des tortures ; je - je cherche simplement…

6.         Et vous êtes très aimables, de rester simplement assis tranquilles, avec révérence, et d'écouter chaque mot. J'espère qu'un jour le Seigneur me viendra en aide, et vous prierez pour moi, si vous désirez que je le fasse, de revenir pour passer deux ou trois bonnes semaines de réunions ici même, de sorte que nous puissions avoir un - nous familiariser, venir, avoir des réunions le matin, l'après-midi, et les réunions le soir, prier pour les malades et enseigner l'Evangile. Et faire venir tous les pasteurs, les faire asseoir tous sur l'estrade. Et celui qui ne viendra pas s'asseoir sur l'estrade, devra m'acheter un steak. Et j'en suis un bon consommateur.

            Ainsi, cela - ainsi je - j'aime la communion, pas vous ? J'aime voir les anglicans, les méthodistes, les baptistes, les luthériens, les pentecôtistes, comme ça, un chameau à une seule bosse, des chameaux à deux bosses, des chameaux à trois bosses, tous ensemble (c'est vrai) remontant la grand- route. Et nous serons très content d'avoir cela.

Et permettre à quelques pasteurs de différentes églises… Eh bien, nous ne sommes pas divisés, nous formons tous une seule armée, nous sommes un dans l'espérance et dans la doctrine, un dans la charité. C'est ça notre position. Et alors, il n' y aura pas d'isolationnistes. Nous avons vu quelque chose de bien de la part du Seigneur, et nous aimerons vraiment partager cela avec nos frères et nos sœurs pendant que nous continuons notre chemin, que nous sommes en route vers la Gloire.

7.         Ça fait maintenant vingt-cinq ans environ, que je suis dans le ministère. J'ai été sauvé il y a vingt-cinq ans, je prêche il y a environ vingt-trois ans. Et si jamais j'ai causé du tort, je - je - je ne l'ai pas fait intentionnellement ; j'en suis sûr. Et j'ai essayé de vivre et de conduire mes réunions au Nom du Seigneur Jésus, menant une vie et ayant du respect, au point que si je revenais à un endroit, je - je n'aurais aucune chose contre cela, en effet cela… Non pas que cela change grand chose pour moi, mais pour Celui que je représente (oui), le Seigneur Jésus. Je préférerais sacrifier ma vie et dire : "Eh bien, oublions ça, mieux vaut pour moi mourir que de venir être un séducteur, ou causer du trouble parmi le peuple de Dieu. J'aimerais de tout mon cœur qu'ils soient un.

8.         Quand je suis arrivé parmi les - parmi les gens du plein Evangile, je - j'étais un prédicateur baptiste. Et j'ai commencé à prier pour les malades. Les baptistes croient dans la guérison divine, beaucoup parmi eux, certains sont meilleurs que les pentecôtistes. Mais en majorité, ils sont plus les : "Eh bien, nous ne savons pas exactement si cela est vrai. " Ainsi donc, c'est tout à fait en ordre. Ils ont le droit d'éprouver cela, leur - c'est leur propre privilège. C'est le privilège de tout le monde. Ne me faites pas croire quelque chose de moins que cela. Mais quand je suis arrivé là, j'ai trouvé qu'ils étaient - qu'ils étaient divisés tout comme les baptistes. Vous savez, nous avons trente et quelques différentes dénominations baptistes. C'est pareil chez les pentecôtistes, c'est tout aussi mauvais.

            J'ai donc résolu ceci, frères, de ne jamais avoir de très grands programmes qui m'obligeront à avoir beaucoup d'argent, et par la grâce de Dieu, nous avons conservé Cela pur, sans argent. Et ce soir, si j'avais pris ce qui m'avait été offert, non pas ce que… Jamais  de ma vie je n'ai pris un sous, par la grâce de Dieu.

9.         Eh bien, jamais de ma vie je n'ai prélevé une offrande, jamais. Et je - et il m'a été offert… Si seulement j'avais pris ce qui m'a été offert, je serais plusieurs fois millionnaire. C'est vrai. Et ce soir, j'aurais du mal à vous établir un chèque à toucher sur mon compte pour plus de trois cents dollars environ, à moins de me rassurer que je pourrais les avoir là tout de suite.

            Mais voici une seule chose ; je - je désire être sincère ; j'aimerais vivre comme les gens, juste comme les gens qui viennent vers moi, afin de pouvoir ressentir leur souffrance, et communier avec eux, et je suis juste à leur niveau. C'est ce que je sens. Je ne le dis pas simplement de ma bouche ; je le dis du fond de mon cœur. Et Dieu sait que c'est la vérité.

            Et je préfère être ainsi. Les membres de ma famille sont pauvres, et nous sommes tous pauvres, et - et nos richesses se trouvent dans la Gloire. Amen. C'est là que nous les retrouverons.

Et il y a quelques semaines, j'ai posé une question à ma femme, j'ai dit : "Chérie, qu'est-ce qu'une valeur ?  Où pouvez-vous placer une valeur ? "

            "Eh bien, a-t-elle dit, que veux-tu dire, Billy ? "

10.       Et j'ai dit : "Eh bien, une valeur ! " J'ai dit : "Peux-tu… " Il y a quelques années, je me rappelle, lorsque j'ai acquis ma première petite Ford modèle T. J'étais un pécheur. Vers 1926… Et je ne faisais que cirer cette petite voiture toute la journée de dimanche pour la faire briller, je restais à la maison, je n'allais pas à l'église, et je la faisais briller. Eh bien, qu'arriverait-il aujourd'hui si je cherchais de retrouver une pièce de cette voiture-là ? Il n'y en a plus. On ne peut pas la retrouver. Ça a disparu.

            Qu'arriverait-il si quelqu'un venait ce soir et disait : "Monsieur Branham, je vous apprécie. Je suis… Tenez, je vais vous donner un million de dollars. "

            Je dirais : "Vous, vous savez, merci, monsieur. Je vais prendre ça, et je vais aller là, nourrir tous ces pauvres. Ce serait une très bonne chose, passer simplement d'une maison à l'autre, envoyer les articles d'épicerie, nourrir les… apporter aux veuves des charbons ainsi que du bois, vêtir de petits enfants, aller dans des hôpitaux payer leurs factures qui ne peuvent pas être payées, et tout, et faire de bonnes œuvres. Mais quand j'arriverai au Ciel, tout cela aura disparu.

11.       Mais qu'arriverait-il si je gagnais une seule âme ? Qu'arriverait-il si j'avais ici ce soir, cents milliards de dollars entassés là ? Et que pourrais-je faire avec cent milliards de dollars, les missionnaires que je peux envoyer dans le monde, et… moi-même aussi ? Et gagner probablement des millions d'âmes. Je ne sais pas.

            Mais si j'avais cent milliards de dollars entassées ici, de ce côté-ci, et un petit bouton de cet autre côté, et que je pouvais presser ce petit bouton, et perdre les cent millions de dollars, ou ne pas presser le bouton, et les conserver. Mais si je pressais le bouton, mon pauvre et précieux vieux père qui est mort descendrait cette allée, et que je pourrais m'asseoir ici et lui parler pendant dix minutes, je donnerais librement et sans hésiter les cents milliards pour parler encore à mon papa.

            Qu'est-ce donc qu'une valeur ? Qu'est-ce ? Je pense que si je peux gagner une seule âme, un petit garçon noir, ou n'importe qui que ça puisse être, tant qu'il y aura l'éternité, et que cette Lumière, cette Etoile de Dieu brillera dans la Gloire, mon nom sera associé au salut de cette âme-là.

12.       Ainsi, mes amis, de quoi avez-vous besoin, vous les Canadiens ? Vous en avez le plus beau du monde, si… En effet, certains parmi vous peuvent ne pas être le millénium - millénaristes. Mais je crois plutôt dans le Millénium. Et savez-vous là où j'aimerais que le Seigneur m'accorde de passer le Millénium ? Je - j'aimerais vivre à Banff et Jasper, dans cette région-là. Venez donc tous me voir là. Je vais devenir Canadien pendant cette période-là.

            Mais c'est merveilleux. Vous n'avez pas dépassé les gens, vous - vous êtes un peuple vraiment aimable. Et je ne dis pas cela juste parce que je suis devant vous ; je le dirais n'importe où. Et les gens de l'Amérique qui sont ici savent que j'ai déjà dit cela : "J'ai de véritables amis loyaux au Canada. Je les apprécie, tous."

13.       Bon, j'aimerais juste vous expliquer un peu, pendant un moment, l'action… Combien m'accorderaient juste environ, disons, huit minutes ? Il est maintenant même neuf heures moins huit. Voudriez-vous m'accorder ces huit minutes pour expliquer un tout petit peu, au mieux de ma connaissance, la façon dont le Saint-Esprit opère dans des réunions ? Voudriez-vous - voudriez-vous m'accorder cela ? Merci.

            Très bien. Vous vous êtes souvent demandé, et peut-être que demain soir… Frère Sothmann m'a demandé d " bien vouloir parler de la vision de la tente que j'ai eue dernièrement, comment prier pour les malades, et du fait de m'isoler des gens quand je prie, juste une personne à la fois.

            Et vous avez remarqué ici à l'estrade que je m'affaiblis. Et parfois, si je… Quand je voyage, j'amène mon garçon. Il se tient quelque part ici et surveille chaque mouvement que je fais. Et il m'observe pour voir si je… Quand je deviens assez faible, alors il sait que j'en ai assez, il vient me prendre, sans tenir compte des  circonstances. J'ai confié ça aux prédicateurs, je m'étais retiré du champ missionnaire une fois pendant un an. Voyez ? Ils ne comprennent simplement pas. Il vous faut être associé à cela, observer cela, et connaître chaque petit mouvement, comment cela opère.

14.       Et ma famille, ceux avec qui j'ai grandi, ma femme aussi, qui est assise là derrière, le savent. Souvent, à la maison, parfois j'entre en coma, et - en coma, on dirait, dans une vision. Et le Seigneur dit des choses, et cela sera exactement répété. Et cela n'a jamais failli, pas une seule fois. Et c'est un don de la part de Dieu.

            Eh bien, c'est un - un moyen, un don, c'est juste comme le don de chanter, le don de faire n'importe quoi ; ce sont des dons. Et j'ai juste un moyen de m'abandonner au Saint-Esprit. Et ce n'est pas moi ; c'est vous qui mettez ce don en action.

            Et je n'ai jamais pensé et je n'ai jamais cru dans mon cœur, que ceci soit la voie parfaite de Dieu suivant laquelle je dois faire ça. Je l'ai fait parce que les gens se sont tous rassemblés pour ça. Voyez-vous ? Mais maintenant, permettez-moi un peu de vous présenter cela, à la manière simple des enfants. Je ne peux pas expliquer cela, et je ne peux non plus le faire pour quoi que ce soit. Je n'ai aucun moyen de le faire. C'est la grâce souveraine de Dieu pour vous. Ce n'est pas - ce n'est pas moi, c'est vous. C'est vous qui faites agir cela vous-mêmes. Moi, je ne fais que m'abandonner.

15.       Maintenant, remarquez, il nous a été donné des dons avec mesure. A Christ, il a été donné des dons sans mesure. Est-ce vrai, étudiants de la Bible ? Oui. Il en avait sans mesure. Mais cependant, le don qui était en Christ, c'est comme tout l'océan ; et ce petit don ici, c'est comme une cuillerée d'eau de l'océan, ça n'a jamais été perdu. Mais cependant, les mêmes composantes chimiques qui sont dans cette petite cuillerée, se retrouvent dans tout l'océan. C'est exactement la même nature, mais pas la même quantité. Eh bien, c'est notre cas, quand nous nous abandonnons à l'Esprit. C'est le même Esprit qui opère au travers de chaque don dans l'Eglise.

            Maintenant, je vais vous donner une petite illustration, afin que… J'y ai pensé cet après-midi, ça sera donc à la manière des enfants, en effet, je sais que j'ai des Allemands, des Chinois, des Indiens, et - et des Norvégiens, et des Suédois, ils sont tous assis ici. Et certains parmi eux ne - ne comprennent pas très bien l'anglais. Et j'aimerais présenter cela à la manière simple des enfants.

16.       Maintenant, écoutez, tous, nous sommes encore de petits garçons, frères. Et nous allons dans une ville, et il y a là un carnaval, dans la ville. Vous savez ce que c'est un carnaval, c'est un spectacle, vous savez, un cirque, dans la ville. Eh bien, il se fait que vous, vous êtes un homme d'un certain genre, vous êtes homme trapu. Et peut-être… Dieu vous a créé ainsi, c'est pourquoi vous êtes trapu. Eh bien, peut-être qu'il m'a créé mince et élancé. Peut-être que vous pouvez transporter un fardeau que moi, je ne peux jamais transporter. Mais moi, je peux voir un peu plus haut que vous. Voyez ? Eh bien, vous êtes comme ça parce que Dieu nous a ainsi créés. Voyez ? La Bible dit : "Et qui d'entre vous, par le souci qu'il se donne, peut ajouter une coudée à sa taille ?"

            C'est pourquoi donc les dons et les appels sont sans repentir. C'est ce que Dieu, par prescience, a donné à l'Eglise. Dieu a établi dans l'Eglise les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme docteurs, évangélistes et pasteurs.

17.       Maintenant, nous sommes à ce carnaval. Il y a un mur très élevé tout autour. Nous n'avons pas d'argent. Nous ne pouvons pas y entrer. Il se fait donc que nous marchons tout autour, nous demandant donc ce qu'il en est de tout cela, combien d'animaux il y avait à l'intérieur. Nous entendons ce qui se passe là-dedans, le - le rugissement des lions, les tigres, les girafes, et autres, nous les entendons.

            Et peu après, je découvre que là très haut, il y a un trou. Eh bien, peut-être que vous n'atteignez point ce trou-là, mais moi je suis assez élancé. Dieu m'a créé tellement élancé que je peux atteindre un niveau très élevé rien qu'en mettant la pointe de mes pieds sur la bordure de la clôture, et je peux m'étirer sur les doigts jusqu'à regarder au travers de ce trou puis redescendre. Oh, la parade est en cours. Et vous dites : "Qu'avez-vous vu, Frère Branham ? "

            "Une girafe. "

            "Oh! c'est vrai ? "

            "Oui, oui. "

"Très bien. Quoi d'autre là, Frère Branham ? "

Oh! la la ! Voyez ? Très bien, me voici remonter. Je saute, je saisis, sur la pointe de mes pieds, et je m'étire très fort ; je regarde à travers ce trou.

"Que vois-tu, Frère Branham ? "

"Un éléphant. " Voyez ? "Oh, je suis très fatigué. "

            Eh bien, c'est ça la réunion ici. Quand je me tiens devant vous, c'est vous qui faites agir ce don, et c'est ce qui me fatigue. Voyez ? Cela présente une seule chose à la fois. Quand vous - quand vous êtes là, et que votre foi agit, c'est - c'est Dieu qui parle alors que vous tirez le don de Dieu. Le désir de votre cœur passe par le don de Dieu.

            Eh bien, peut-être, le - le responsable du cirque passe par là et dit : "Hein, jeune homme, que fais-tu ? J'aimerais te montrer quelque chose."

            "Oui, monsieur. "

18.       Alors, il me soulève par le derrière du manteau, il me soulève, et dit : "Tu vois cet éléphant qui s'approche ; il descend ici, il va passer ici ; il va faire telle chose ; il va faire telle autre ; et il va faire ceci ; et là-bas ? "

            "Oui, monsieur, je vois. C'est ce qui se passe, il me fait descendre. Cela ne me fatigue pas ; c'est lui qui me soulève. Eh bien, c'est comme ça que Dieu utilise Son don.

            Ecoutez donc, quel est le miracle qui dépassait la résurrection de Lazare d'entre les morts, ou la femme qui a touché Son vêtement ? Eh bien, la femme-là, elle s'était dit : "Si seulement j'arrive à toucher Son vêtement, je serai guérie. " Alors, elle s'est faufilée à travers la foule, Jésus n'en savait rien, et elle a touché Son vêtement et elle est rentrée. Eh bien, qu'est-ce qu'elle a fait ? Elle a tiré à travers Lui, voyez-vous ce que je veux dire ? Tirer à travers Lui, le don de Dieu, à travers l'homme. Voyez ? Elle a tiré de Lui, en effet, Dieu était en Lui, et elle tiré de Lui le - ce qu'elle désirait. C'est sa foi qui a fait cela. Et alors Jésus a dit : "Je suis devenu faible ; quelqu'un m'a touché. "

            Les gens ont dit : "Tout le monde Te touche. "

19.       Il a dit : "Oui, mais je suis devenu faible. " Il a regardé tout autour, Il a vu où c'était, alors Il a vu la femme. Et Il a dit, Il lui en a parlé. Dans un premier temps elle a nié cela, quand Il a demandé : "Qui a fait ça ? " Elle a nié cela. Ils avaient tous nié cela. Mais Il a dit… Il lui a dit que c'était elle qui avait fait cela, et que sa foi l'avait guérie.

            Maintenant, voyez-vous, cela L'avait affaibli. Mais quand le Père Lui avait montré que Lazare allait mourir, et qu'Il L'avait fait partir de leur maison, et ils L'ont envoyé chercher pour qu'Il vienne prier pour Lazare, Il est parti ailleurs. Qu'arriverait-il si votre pasteur faisait cela ? Voyez ?

20.       Il est donc allé de l'avant, on le Lui a de nouveau demandé, et Il a continué d'aller de l'avant. Puis, quand le nombre de jours que le Père Lui avait montré était accompli (en fait, Il a dit qu'Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait), Il a dit : " Notre ami Lazare dort. " Les autres ont dit : "Il fait bien. " Voyez, cela… Il a dû le leur dire donc dans leur propre langage.

            Il a dit : "Il est mort. Et à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n'étais pas là. Mais Je m'en vais le réveiller. " Le Père le Lui avait montré. Observez-Le à la tombe : "Père, Je Te rends grâces de ce que Tu m'as déjà exaucé, mais je dis ceci à cause de ceux - à cause de ceux qui se tiennent ici. " Il n'y eut ni vertu ni rien. C'était Dieu qui utilisait son don là. Et ici, c'est la femme qui utilisait Son don. Comprenez-vous cela maintenant ?

21.       Eh bien, mon épouse peut vous le dire. Bien des fois, ou n'importe qui d'autre… les autres frères qui étaient associés… Quand Dieu parle, je peux être en train de marcher, sans penser à cela, ou je peux être assis dans une chambre, et tout d'un coup, Il peut me prendre et me montrer… Eh bien, va…

            C'est comme il y a quelque temps, peut-être que vous avez vu cela dans le journal de Denver, à Colorado. Ils n'ont jamais su ce qui s'était passé. Le Seigneur m'avait envoyé là-bas. Il m'avait indiqué un endroit. Il a dit : "Eh bien, il y a un - un - un endroit où il y aura un véhicule parqué comme ceci ", c'était dans une vision. Il a dit : "C'est un véhicule gris. Vous descendrez la rue dans telle direction, il y aura là une maison blanche. Et quand vous regarderez là-derrière, il y aura une porte qui s'ouvrira. Et il y aura un restaurant juste là derrière la porte. "

22.       Et Il dit : "Un homme sortira de là, il entrera dans un véhicule avec une valise en main. Allez à la porte. " Et Il a dit : "Et alors, il y aura une femme en train de pleurer. Et quand vous entrerez, déposez votre chapeau sur le lit, et ensuite elle prendra cela et le déposera sur un poste téléviseur. Et une autre femme entrera, portant un tricot rouge et elle s'assiéra là. Alors, va imposer les mains au petit enfant malade et dis : "AINSI DIT LE SEIGNEUR. " Voyez ? Je savais ce que c'était.

            Alors Il m'a montré un homme qui descendait. J'ai regardé, j'ai vu une horloge. Et j'ai entendu quelque chose faire couin, couin, couin, et j'ai regardé, il y avait un homme qui descendait dans un fauteuil roulant. C'est à son sujet que les journaux ont écrit, un homme dans un fauteuil roulant, tenant une Bible, en train de pleurer. Il a dit : "Allez vers lui, parlez-lui, dites-lui de se lever. " Et Il a dit : "Vous remarquerez l'horloge indiquer juste quinze heures moins dix minutes. " Et je - je - je me suis levé, je pensais à cela, après la vision.

23.       Et environ deux ou trois jours après cela, les télégrammes ont afflué de partout, et : "Venez prier pour celui-ci. Venez prier pour celui-là. Venez prier pour celui-ci, partout. " Vous savez. Et peu après, j'en ai reçu un, et il y était écrit : "Venez à Denver. Un homme souffrant de tuberculose se mourait. Venez vite. " Quelque chose m'a simplement dit : "Vas-y. "

            Et je ne savais pas où s'accomplirait la vision. Je suis allé, je suis descendu de l'avion, j'ai pris un taxi, je suis allé à l'adresse indiquée, j'ai prié pour cet homme. Je n'avais jamais appris ce qui était arrivé. Il ne restait que peu de temps avant que l'avion décolle, je me suis donc dit qu'au lieu de faire venir un taxi, je vais juste marcher jusqu'en ville. Et je ne pensais même pas à cette vision-là, ni rien. Je savais simplement qu'elle allait s'accomplir.

24.       Je me suis mis à descendre la rue, marchant tout le long, comme ça. Et tout d'un coup, je - j'ai entendu quelqu'un dire : "Eh bien, aurevoir docteur ", et j'ai regardé tout autour. Et voici venir un homme, portant une valise, descendant les marches. Et je me suis dit : "J'ai vu cet homme quelque part. N'est-ce pas étrange ? " Alors j'ai regardé, et là était parqué un petit Ford gris, de ce côté-ci de la rue. J'ai dit : "C'est la vision. " Et il est sorti. Je me suis approché. J'ai dit : "Bonjour. "

            Il a dit : "Bonjour, monsieur. " Il est entré dans le véhicule, et il est parti.

            J'ai vite traversé cette rue et j'ai regardé. Là se trouvait la… J'ai dit : "C'est ça. " J'ai gravi les marches, j'ai frappé à la porte ; une femme s'est présentée sur les marches, elle pleurait. J'ai dit : "Vous avez un enfant malade, n'est-ce pas, madame ? "

            Elle a dit : "Oui, monsieur. " Elle a dit : "Etes-vous médecin ? "

            J'ai dit : "Non, madame, ai-je dit, je suis prédicateur. "

            Elle a dit : "Oh ! oui, monsieur. "

            Et j'ai ajouté : "Mon nom, est Branham. C'est moi le révérend Branham. "

            Elle a dit : "Je ne pense pas vous connaître, monsieur Branham. "

            J'ai dit : "Non, je suis un étranger. Puis-je voir votre enfant une minute ? "

            Elle a dit : "Oui, oui. "

25.       J'ai dit : "Merci. " Je suis entré. J'ai dit - je lui ai demandé quel était le problème ; l'enfant avait des poumons congestionnés, la pneumonie. Et je… le tout petit enfant était couché là… Et je me suis dit, j'ai regardé dans la chambre, c'était bien ça, j'ai déposé mon chapeau sur le lit. Mais cette femme est allée s'asseoir là ; elle n'a point déplacé le chapeau. Alors, je me suis dit : "Ceci est… " Eh bien, je ne peux pas - je ne peux pas dire un mot là, je dois simplement attendre, ni parler de la vision, rien.

            Et j'ai simplement continué à lui parler ; elle n'a point sollicité une prière ni rien. J'ai dit : "Et votre bébé, quel âge a-t-il ? Depuis quand habitez-vous ici ? " ainsi de suite comme cela. Et nous nous sommes mis à parler. Eh bien, puis elle s'est levée, elle a pris mon chapeau après quelques instants ; je me suis approché du lit. Elle a pris mon chapeau et l'a déposé sur le poste téléviseur, mais la dame en tricot rouge n'était pas là. Je ne pouvais pas prier. Voyez-vous ? Il n'était pas encore là. Ainsi donc, je - j'ai continué à parler, je me suis rassis.

            Et ensuite, peu après, cette dame est entrée et s'est assise. Une autre dame est entrée, elle se trouvait dans une autre pièce, ou quelque part, elle est entrée et s'est assise, elle était en tricot rouge. La dame en tricot brun s'est levée et est sortie. Je ne pouvais encore rien dire. J'attendais simplement là.

26.       Et quand elles étaient toutes assises, comme il fallait, alors j'ai dit : "Levez-vous juste une minute. " Je me suis avancé vers l'enfant. Et j'ai dit : "Vous ne me connaissez pas, et vous… ?… étrange. Mais AINSI DIT LE SEIGNEUR : cet enfant est guéri. Le petit enfant s'est retourné, et s'est mis à réclamer sa maman. C'est ça.

            Je suis sorti de leur maison, je suis descendu, je commençais à descendre ; je me disais : "Que je m'attrape très vite un taxi. " Et je rencontre quelqu'un là. Et je pensais : "Eh bien, je me demande où je peux attraper un taxi dans ce coin-ci." Je cherchais à m'attraper un taxi pour aller à l'aéroport, en effet, mon avion était sur le point de décoller. Et je cherchais à faire venir un taxi comme cela.

27.       Et je suis retourné du côté d'un bazar qui était là, comme ça. Et je me suis dit : "Certainement qu'un taxi passera par ici d'ici peu. " Et j'ai regardé de l'autre côté, en face de moi, et il y avait une horloge. Je me suis dit : "On dirait que j'ai vu cette horloge-là. Eh bien, assurément. " Dans quelques minutes, un fauteuil roulant était en train de venir, couinant, et il y avait là un homme avec sa Bible en main, c'était exactement quinze heures moins dix minutes, parfait.

            Il est passé là, et j'ai dit : "Croyez-vous ce Livre que vous lisez ? "

            Il a dit : "Oui, oui, je Le crois. " Il…

            J'ai dit : "Il contient les Paroles de la Vie Eternelle. "

            Il a dit : "Oui, oui. Je crois cela. "

            J'ai dit : "Avez-vous déjà lu là où c'est écrit que Jésus guérit les malades ? "

            Il a dit : "Oui, oui. "

            J'ai dit : "Croyez-vous cela ? "

            Il a dit : "Oui, oui, je le crois. "

            J'ai dit : "Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, levez-vous, car AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes guéri. "

            Et il a dit : "Vous-voulez dire que je peux me lever maintenant ? "

            J'ai dit : "Levez-vous. "

            Et l'infirmière qui le poussait a dit : "Eh bien, il ne peut pas se lever. "

            J'ai dit : "Monsieur, levez-vous, croyez-moi sur parole. "

            Il a dit : "Qui êtes-vous ? "

            J'ai dit : "Cela importe peu. Levez-vous. "

            Il a dit : "Ecoutez ça, infirmière. " Et il a commencé à courir comme cela.

28.       Et je suis discrètement passé derrière le bazar, je suis descendu la ruelle, je suis allé de l'autre côté, j'ai attrapé un taxi, et je suis parti. Un article dans un journal intitulé : "Une guérison mystique d'un homme dans la rue. " Ils n'ont jamais su ce qui s'était passé. Voyez ? C'était le Seigneur.

            Maintenant, c'est quand… On ne s'était pas affaibli pour cette vision, on n'avait pas éprouvé de faiblesse. C'était Dieu utilisant Son don. Mais ici, ce - c'est vous qui utilisez le don de Dieu. Voyez ? Vous le faites de vous-même. C'est votre foi qui provoque cela, moi je ne fais que m'abandonner. Maintenant, comprenez-vous ? Si vous le comprenez, dites : "Amen. " [L'assemblée dit : "Amen. " - N.D.E.] Que le Seigneur vous bénisse. Prions.

29.       Notre Père céleste, ça sera très bien quand nous traverserons de l'autre côté, et que nous rencontrerons ces dizaines de milliers d'amis avec lesquels nous sommes associés dans cette vie-ci, et d'entendre, alors que nous serons assis au pied du Seigneur Jésus, et nous raconterons comment nous avons vaincu, un glorieux jour. Oh, j'aimerais être là, quand on Le couronnera Roi des rois, entendre les saints chanter les cantiques de la rédemption, quand tout autour du cercle de la terre, les Anges se tiendront avec des têtes inclinées, ne sachant pas de quoi nous parlons. Ils ne savent pas ce que représente la rédemption. Ils n'ont jamais eu besoin d'être rachetés. Mais, ô Dieu, nous pauvres pécheurs, nous avons étés rachetés. C'est nous qui devons Le couronner. Oh, j'aimerais être là, Seigneur, et Le couronner Roi des rois et Seigneur des seigneurs. Nous attendons impatiemment ce jour-là.

30.       Je prie, ô Dieu, que s'il y en a un ici ce soir qui n'a pas fait de préparatifs pour être présent en ce jour-là, sur la liste d'honneur, je prie qu'il prenne sa décision ce soir, de servir le Seigneur Jésus le reste de sa vie.

            Guéris les malades et les affligés. Ô Dieu, unis nos cœurs et fais que nous soyons tous un. Car nous le demandons au Nom de Ton Tendre Fils, le Seigneur Jésus, qui nous a rachetés. Amen.

            Maintenant, pour la ligne de prière, je parlerai juste quelques instants. Et, oh, combien mon cœur brûle de vous raconter de grands témoignages de l'Inde, ce que le Seigneur a fait, en Afrique, ce qu'Il a fait, ailleurs, et l'autre jour au Mexique, ce petit enfant mort qui était couché là, a été ressuscité. Et beaucoup de choses que j'aimerais bien vous dire. Mais je pense que ça serait… Au lieu de donner un témoignage, la Parole vaut mieux en ce moment précis.

31.       Et là, dans le livre de la Genèse, une fois de plus ce soir, j'aimerais donc continuer, juste quelques commentaires sur Abraham. Et… 18. Hier soir, nous nous sommes arrêtés au chapitre 17, et nous voulons lire une portion du chapitre 18, ou juste un - un verset, ou une partie d'un verset ici, au chapitre 18, le verset 14…

            Y a-t-il quelque chose de trop difficile pour l'Eternel ?…

            Et puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions à Sa Parole. Et maintenant, combien ont apprécie ce que nous avons lu sur Abraham, ce dont nous avons parlé, l'alliance que Dieu avait conclue, Il a déchiré Son Fils en deux, Il a élevé Son corps à la droite de la Majesté divine, dans les lieux célestes, Il a renvoyé le Saint-Esprit pour confirmer la - la foi des saints jusqu'à ce qu'Il revienne. Avez-vous saisi cela hier soir ? Comprenez-vous cela ?

32.       Maintenant, observez, ces deux morceaux devaient exactement identiques. Si ce n'est pas le cas, c'est un autre morceau. Ils devaient être parfaitement identiques. De même l'Eglise devra avoir exactement le même Esprit qui était en Jésus-Christ sinon Il ne conviendra pas au corps. Comprenez-vous cela ? Maintenant, c'est pour les méthodistes, les baptistes, les anglicans, les catholiques, quoi que vous puissiez être. Cela doit parfaitement s'ajuster à l'Esprit qui était en Jésus-Christ: en effet, c'est ce que Dieu avait déchiré et Il vous L'a donné comme partie de l'alliance quand Il a ressuscité Son Fils d'entre les morts et qu'Il L'a placé à la droite de la majesté divine, dans les lieux célestes.

            Et ce soir, Christ n'est pas assis sur Son propre trône ; Il est assis sur le trône de qui ? Le trône de Son Père : "Celui qui vaincra s'assiéra avec Moi sur Mon trône, comme Moi j'ai vaincu, et Je suis assis sur le trône de Mon Père. " N'est-ce pas merveilleux ?

            Et nous avons ce glorieux et grand privilège de savoir qu'un jour nous pourrons nous asseoir avec Lui sur Son trône, et Il occupe le trône de David, dont Il est héritier. Et nous régnerons avec Lui pendant mille ans sur la terre, et puis dans l'éternité, éternellement.

33.       Maintenant, c'est Dieu qui parle… Et juste un petit arrière-plan pour un ou deux commentaires de plus, ensuite nous passerons directement au service, à la ligne de prière, aussi vite que possible, car le temps ne fait que s'écouler. Et demain soir, nous aimerions passer un peu plus de temps, ainsi, nous vous laisserons sortir tôt ce soir.

            Eh bien, nous voyons qu'Abraham avait cru en Dieu, et cela lui a été imputé à justice. Et quand il avait soixante-quinze ans, Dieu l'a appelé, Il a conclu une alliance avec lui, et lui a dit qu'Il allait le sauver. Et Il est venu à lui dans la vieillesse, à un âge avancé, et Il lui a dit que lui et sa femme qui avait soixante-cinq ans, allaient avoir un enfant. Et Abraham appela ces choses qui n'étaient point comme si elles étaient, en effet, il savait que Dieu était capable d'accomplir ce qu'Il avait dit.

34.       Et l'alliance n'était pas faite seulement avec Abraham, mais aussi avec la postérité d'Abraham. Et la Bible dit que nous sommes la postérité d'Abraham, nous sommes héritiers selon la promesse.

            Il y a quelques années, un prédicateur là, au Canada… Je ne sais pas là où il est maintenant. Son nom c'est Cossack. Il me disait, il disait : "Frère Bran - ham, avez-vous un lien de parenté avec Abra - ham ? "

            Je disais : "Il est mon Père. " Assurément. Car nous, en étant morts en Christ, nous sommes devenus la postérité d'Abraham. Et l'héritier, ce sont des enfants de Dieu remplis de l'Esprit, nés de nouveau. Nous sommes la postérité d'Abraham, co-héritiers avec Christ dans le Royaume.

            Et puis, nous avons relié cela là… Aujourd'hui, une dame me parlait dans le… traversant la salle, elle a dit : " Je n'y avais jamais pensé, l'horreur de cette obscurité, et cette petite lumière, ainsi de suite, qui passait. " Cette parabole d'hier soir, où Dieu parlait à Abraham et Il lui a montré comment Il allait confirmer, ou garder cette alliance par le sacrifice de Son propre Fils bien-aimé. Et ça s'est accompli au Calvaire, comment Dieu s'y était pris, et ce qu'était l'ancienne alliance, que si…

35.       On prenait un animal, on le tuait, on découpait son corps en deux, on se tenait entre les morceaux, on rédigeait une alliance, on déchirait cela, et chacun prenait une moitié. Et quand ils les rassemblaient, les deux morceaux sur lesquels se trouvaient des écrits devaient s'accorder l'un avec l'autre, ou on faisait un serment : "Que nos corps soient comme celui de cet animal mort. Qu'il soit comme un animal mort. "

            Eh bien, et Dieu a juré par Lui-même pour… Un homme jure toujours par quelqu'un de plus grand. Il n'y a personne de plus grand par lequel Dieu pouvait jurer, ainsi jura-t-Il par Lui-même en faisant ce serment ; Il fit ce serment.

            Et au Calvaire, plusieurs centaines d'années plus tard, Il a pris Son Fils, Il a déchiré Son corps, Son âme et Son corps, et Il a élevé Son corps et L'a placé à Sa droite, et Il a envoyé le Saint-Esprit à l'Eglise pour continuer les œuvres du Seigneur Jésus jusqu'à Son retour.

36.       Et Il écrit l'alliance… Dans l'Ancien Testament, il y avait dans le lieu très saint des commandements écrits sur des tables de pierre. Mais Il a dit : "Après ces jours, Je déverserai de Mon Esprit, et J'écrirai Mon alliance sur des tables de leurs cœurs, et dans leurs esprits. " Amen. Voyez-vous cela ?

            Alors, Dieu, par le Saint-Esprit, par la foi confessant Christ, fait venir le Saint-Esprit qui écrit l'alliance de paix dans votre cœur. Alors, l'Esprit qui était en Christ habite en vous, et Il vous amène à vivre comme Christ. Et à propos, Dieu a placé dans ce groupe de gens, qui est appelé Son Corps : des apôtres, des prophètes, des docteurs, des évangélistes et des pasteurs.

37.       Puis, dans l'église locale, il a placé neuf dons spirituels : le don de sagesse, de connaissance, de parler en langues, de l'interprétation de langues, le don de guérison, toutes ces choses, tout pour édifier ou garder ensemble, et garder uni ce seul grand Corps du Seigneur. N'est-ce pas beau ? Dieu sait certainement ce qu'Il fait, n'est-ce pas ?

            Et puis, de penser qu'après que deux mille ans, le Seigneur Jésus est tout aussi vivant ce soir qu'Il l'était jadis, toujours avec l'Eglise. L'autre morceau de l'Alliance est ici avec nous, le Saint-Esprit, écrivant et accomplissant exactement les mêmes oeuvres qu'Il avait accomplies quand Il était ici sur terre. Et Il a dit : "Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous jusqu'à la fin du monde. " N'est-ce pas merveilleux ? Quel merveilleux…

            Oh, cela réjouit le cœur d'un homme, de savoir qu'on n'a plus à deviner. Tout est terminé ; c'est fini.

38.       Tenez, l'autre soir, j'avais un sermon sur mon cœur, sur le repos. Oh ! la la ! On ne travaille plus. "Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés. Je vous donnerai du repos. " Cela brûlait. Je - je - je devais le prêcher à quelqu'un, je l'ai donc prêché à ma femme. Je le lui ai prêché pendant environ deux heures et elle s'est endormie sur moi, en train de prêcher sur se reposer de ses oeuvres. Amen.

            Mon espoir ne se fonde sur rien d'autre,

            Que sur le sang de Jésus et Sa justice ;

            Quand tout cède autour de mon âme,

            Alors, Il est Mon seul espoir et Mon appui.

            Sur Christ, le solide Roc, je me tiens,

            Tout autre terrain, c'est du sable mouvant.

C'est beau. Le repos. Oh, je sais que quand Il entre, nous sommes à l'abri du jugement.

39.       Les eaux de la destruction antédiluvienne étaient un jugement envoyé contre le monde. Et l'arche avec le bitume à l'intérieur était l'alliance. Quand Noé est entré dans cette alliance, il s'est simplement trouvé un siège, il s'est assis, et il a laissé cela aller en ballottant. Il se reposait dans les œuvres réalisées par Dieu en prévision de son salut. Amen. Comment cela ?

            Et nous entrons en Christ. Nous nous asseyons simplement ; c'est fini. (Amen), nous reposant solennellement sur les mérites du Seigneur Jésus-Christ. Nous ne pouvons rien faire, pas une seule chose à faire, ou nous sauver nous-même. Il l'a fait par Sa grâce. C'est inutile de s'agiter, de s'inquiéter, de se tirailler, de quitter les méthodistes pour se joindre aux baptistes, de quitter untel pour se joindre à tel autre. Reposez-vous simplement en Christ. Tout est fini, c'est la grâce de Dieu envers nous. Oh ! la la ! C'est vraiment… Cela fait battre mon cœur un peu plus rapidement.

40.       Ensuite, nous l'avons suivi depuis l'alliance jusqu'au chapitre 17 de la Genèse. Et là nous voyons, qu'après qu'il eut atteint cent ans, Dieu est venu vers lui et lui a dit : "Abraham, Je suis le Dieu Tout-Puissant, le El-Shaddai, le Sein, le - le Dieu porteur des seins. "

            Quelle promesse pour un homme de cent ans, qui a attendu la promesse de Dieu pendant vingt-cinq ans, confessant! Et quand il faisait de plus en plus sombre, lui devenait de plus en plus fort. Quand Dieu tardait davantage et qu'Il semblait s'en éloigner, la foi d'Abraham s'élevait de plus en plus haut. Ça devenait tout le temps un miracle plus grand. Il se reposait sur la Parole du Dieu vivant. Dieu l'a dit. Peut importe combien cela paraissait illogique, c'était ça, parce que Dieu l'avait dit. Et le voici.

            Et quel nom, sous lequel apparaître à un homme qui était sans espoir et sans secours du point de vue naturel, un homme de cent ans, avec sa femme de quatre-vingt-dix ans, il avait vécu avec elle depuis qu'elle était une enfant, une jeune fille. C'était sa demi-sœur qu'il avait épousée, probablement qu'il l'avait épousée quand elle n'était qu'une jeune fille. Et durant toutes les années où ils étaient féconds, il n'y avait pas eu d'enfants jusqu'alors, quarante ans depuis la fin de la fécondité pour elle comme pour les femmes, mais il avait toujours une foi plus grande qu'auparavant, que l'enfant naîtrait.

41.       Et Dieu a honoré cela au point qu'Il est simplement descendu et a dit : "Je suis El-Shaddai, Abraham. Tu m'as fait confiance. Et maintenant, Je suis le Dieu porteur des seins. Abraham, appuie-toi seulement sur Mon sein, Mon petit enfant malade, épuisé. Eh bien, ceci n'est qu'une petite chose pour Moi. Appuie-toi simplement ici, et tète simplement Ma promesse un instant, et observe ce qui arrive. "

            Maintenant (voyez-vous ?), suivons-le, un tout petit peu, et voyons ce qui est arrivé concernant le fait de téter cette promesse-ci. "Abraham, eh bien, tu es vieux. Tu as cent ans. " La Bible dit : "Il était fort avancé en âge… "

            Les moustaches grises étaient suspendues sur son visage, et la pauvre petite Sara avait un petit bonnet sur la tête, elle tremblotait sur une petite cane disant toujours : "Eh bien, nous allons avoir un enfant. "…

42.       Il a dit : "Abraham, tu M'as fait confiance, maintenant, Je suis le Porteur des seins. Je suis Celui qui peut te restituer… Tu n'es qu'un bébé pour Moi. Ainsi, Je vais simplement te prendre dans Mes bras, étant donné que tu M'as fais confiance, Je t'allaiterai simplement pour te redonner de la force. Je ferai de toi un homme nouveau. " Comme, c'est merveilleux ! Il est toujours El-Shaddai. La promesse n'était pas pour Abraham seul, mais pour sa postérité.

            Observez ce que Dieu va faire. Un peu plus tard, nous voyons Lot, son neveu là, rétrograde, dans une situation horrible. Et vers ce… le chapitre 18. Et nous voyons qu'un jour, après que Lot eut choisi la meilleure région du pays, Abraham avait pris la plus pauvre… Vous savez, parfois vous devez… Ne cherchez pas à vous en prendre aux gens.

43.       L'autre soir, je prêchais sur le - l'Agneau et la Colombe. Et quand la Colombe est descendue et s'est placée sur l'Agneau, que serait-il arrivé si l'Agneau avait grogné… comme un loup ? Que serait-il arrivé ? La Colombe se serait envolée.

            Et c'est le problème que vous avez ici au Canada. Non seulement ici, mais partout. Vous étiez des agneaux, mais vous vous êtes mis à vous quereller, à vous disputer, à ériger des barrières denominationlles, alors la colombe s'est simplement envolée et elle s'en est allée. C'est vrai. Vous n'avez plus l'amour que vous êtes censés avoir. On n'en a pas en Amérique. Je ne sais où on en trouve.

            Mais il y a longtemps, vous vous rappelez quand votre cœur était si tendre et pur devant Dieu ? Oh, vous ne faisiez pas cas des ennuis : "Oh ! la la ! C'est en ordre. Laissez simplement cela aller. " Mais quand… Avant longtemps, vous savez, quand vous avez eu ce tempérament colérique, vous vous disiez : "Je m'en prendrai à lui ", la colombe s'est envolée. Le Saint-Esprit ne peut supporter que la gentillesse. Dieu est gentil, paisible et aimable. Peu importe combien - combien vous connaissez, combien de théologie vous connaissez, et à quel point vous pouvez bomber le torse, et combien vous pouvez bien prêcher, cela ne vaut rien. Si cet Esprit gentil, doux et aimable de Dieu ne repose pas sur vous, c'en est fini. Vous n'êtes rien.

            Peu importe combien de dons vous pouvez manifester, peu importe, cependant… Paul a dit : "Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, quand j'aurais même la foi pour transporter des montagnes, si je n'ai pas cet amour doux et gentil, je ne suis rien. " C'est là que vous avez des ennuis. Voyez ? C'est ça.

44.       Eh bien, Abraham, doux, gentil… " Que voulez-vous que je vous dise, Lot, mon frère, si vous voulez prendre la meilleure partie, allez de l'avant et prenez cela. C'est tout à fait en ordre. Moi je prendrai le chemin avec les quelques méprisés du Seigneur. "

            Vous rappelez-vous quand nous chantions cela ? "J'avais malgré tout commencé avec Jésus, et maintenant je continue. " Avez-vous déjà chanté cela ici au Canada ? Assurément. Qu'est-ce qui n'a pas marché ? Continuons. Continuez simplement à être humble ; continuez simplement à marcher ; gardez le contact à vivre avec tout le monde. Peu importe ce qu'ils disent à votre sujet, allez de l'avant, soyez un agneau.

            Vous savez, un agneau est un animal drôle. Un agneau a… Il a sa propre laine ; ce sont des droits que Dieu lui a donnés. Mais il est disposé à être couché sur un billot sans gigoter. Si vous n'avez jamais tondu une brebis, j'ai… et il vous laissera tout tondre, il cède ses droits, il les abandonne, parce qu'il est doux, il est gentil.

45.       Etes-vous disposés à abandonner et à renoncer à tous vos droits de Canadien ? Vous direz : " Eh bien alors, écoutez, monsieur Branham, je - j'ai le droit de rentrer. Je… Il m'a effectivement fait quelque chose. Je - j'ai bien le droit de l'engueuler. " Mais êtes-vous disposés à vous laisser tondre et à abandonner ces droits ? " Oh, je vous dis ce que je dois faire à ma vieille église dénominationnelle. " C'est peut-être vrai, mais êtes-vous disposés à vous laisser tondre ? Dieu veut des agneaux qui sont disposés à être tondus et à devenir des créatures de Dieu.

            Remarquez, Abraham là, avec Sara, sa femme. Sans doute que bien des fois le tonneau de farine se vidait jusqu'au fond. Mais ils servaient toujours le Seigneur. Ils étaient dans la volonté parfaite de Dieu, malgré qu'ils dussent souffrir juste un peu pour joindre les deux bouts.

46.       Presque tous ceux qui servent Dieu en toute fidélité connaissent ce genre de situations. Assurément que nous les connaissons. Et quand… Parfois vous vous demandez comment les enfants vont avoir des souliers pour aller à l'école, comment vous allez payer telle facture et telle autre. Ne vous en faites pas. Il n'y a qu'une seule chose à faire, c'est vous reposer sur Sa promesse. Je n'ai point vu le juste abandonné, ni sa postérité mendiant le pain ; il n'y a donc pas de problème.

            Oh, nous pourrions nous arrêter ici et semer les témoignages de la grande puissance de Dieu.

Un jour, pendant qu'Abraham était dans cette situation-là… Il a levé les yeux et a regardé, par un jour chaud, et il a vu trois hommes venir, marchant avec de la poussière partout sur les habits. Et Abraham était spirituel. Il a aussitôt reconnu Qui c'était. Et il a couru et s'est prosterné au pied de cet homme et il a dit : "Mon Seigneur, arrête-Toi un instant et repose-Toi sous l'arbre. Et permets-moi de T'apporter un morceau de pain. Rafraîchis-Toi, et alors Tu pourras continuer, car, c'est pour cela que vous passer près de votre serviteur. " Quoi ? Ils ressemblaient aux hommes. Mais savez-vous Qui c'étaient ? C'étaient deux Anges et le Dieu Tout-Puissant. C'est ce que dit la Bible.

47.       Une fois, quelqu'un a mis la main sur moi pour cela et a dit : " Frère prédicateur, voulez-vous me dire que vous croyez que c'était Dieu ? "

J'ai dit : "Le Dieu Tout-Puissant était assis là comme un être humain, et Abraham était parti et il a tué un veau ; et Dieu avait mangé la viande de veau, Il a bu le lait de vache, et il avait mangé du beurre et du pain de maïs. La Bible dit que c'était le Dieu Tout-Puissant qui avait fait cela, les Anges étaient avec Lui. "

Vous cherchez à limiter Dieu. Vous cherchez à limiter Dieu à votre théologie ; vous cherchez à limiter Dieu à votre - ma conception. Eh bien, Il ne fera jamais cela. Eh bien, mon Dieu est si grand, comment a-t-Il fait cela ? Eh bien, c'était facile. Quand vous voyez cette photo-ci, vous ne douterez point de la résurrection. Eh bien, Dieu a pu tendre simplement la main… De quoi êtes-vous formé après tout ?

L'autre jour, je parlais à un médecin. Et il me parlait d'une espèce de conception qu'il avait. J'ai dit : " Docteur, j'aimerais vous poser… "

Il a dit : "Je pense que si un homme observe la règle d'or, il ira au ciel."

J'ai dit : "Je ne pense pas. "

Il a dit : "Eh bien, qui sera le juge ? "

J'ai dit : "Dieu. "

"Eh bien, Dieu n'a pas dit que je ne le serais pas. "

48.       J'ai dit : "Assurément qu'Il l'a dit. Il a dit : " Si un homme ne naît de nouveau, il n'entrera à aucun cas dans le Royaume. " J'ai dit : "Je ne fais que citer Sa Parole. " J'ai dit : "Si la règle d'or avait marché, Christ n'aurait pas dû mourir. L'Alliance n'aurait pas dû être déchirée et vous être simplement donnée. " Mais j'ai dit : "Voici le plan de Dieu, et nous devons nous conformer à Son plan et non à nos pensées. C'est Sa Parole. "

49.       [Espace vide sur la bande - N.D.E.]… Ce par quoi nous devons marcher. Observez ce qui s'est passé. Observez, tout ce que vous mangez. Vous vivez… votre vie naturelle subsiste grâce aux substances mortes. J'ai posé cette question au médecin, j'ai dit : "Docteur, pourquoi chaque fois que je prends de la nourriture, je renouvelle ma vie ? "

            Il a dit : "C'est vrai, il y a de nouvelles cellules de sang. Vous renouvelez votre vie. "

            J'ai dit : "Docteur, quand j'avais seize ans, dix-huit ans aussi, je pouvais me mettre à manger le haricot, le pain de maïs, les choux,  les pommes de terre et autres. Et chaque fois que je les mangeais, je devenais tout le temps de plus en plus gros et fort. Et aujourd'hui, je prends une meilleure nourriture, et j'en prends davantage en grande quantité, mais je deviens tout le temps de plus en plus faible. Expliquez-moi cela.

50.       Démontrez-le-moi scientifiquement. Si j'ai une cruche pleine d'eau, et que je déverse cette eau dans un verre, celui-ci se remplit tout le temps. Il atteint un certain niveau, et plus j'en déverse, plus bas il descend. Expliquez-moi cela. Il n'y a qu'une seule réponse, ami. Dieu l'a dit. C'est tout. Dieu l'a dit.

            Plus un bâtiment a des planches, plus il est grand. Assurément. Eh bien, eh bien, qu'en serait-il si en y mettant plus de planches il devient tout le temps plus petit ? C'est Dieu qui l'a dit.

            Et écoutez, chaque fois que vous mangez pour subsister cette vie mortelle, quelque chose a dû mourir afin que vous, vous puissiez vivre. Le saviez-vous ? Si vous mangez la viande de vache, la vache a dû mourir. Si vous mangez la viande de porc, le cochon a dû mourir. Si vous mangez les choux, les choux ont dû mourir. Si vous mangez les pommes de terre, les pommes de terre ont dû mourir. Si vous mangez du pain, le maïs a dû mourir, ou la farine, le blé a dû mourir. Quelque chose a dû mourir. Et vous vivez, parce que quelque chose est mort afin que vous puissiez vivre.

51.       S'il arrivait donc que quelqu'un ici ne voie pas cela, ne pouvez-vous pas comprendre que quelque chose a dû mourir dans le spirituel, afin que nous puissions vivre de nouveau ? Naissez de nouveau, menez une nouvelle vie. Menez cela par Christ, car c'est la seule voie qu'il y a, par Christ.

Et quand vous voyez le visible, la Parole et tout se confirmer, et former un beau tableau, montrant que Christ est ici et qu'Il accomplit Sa promesse, que devrions-nous faire ? Nous quereller à ce sujet ? Nous devrions nous réjouir et être infiniment contents, car, Christ est au milieu de nous, de Son Eglise, non seulement à Prince Albert, dans le monde entier, et Il y sera toujours, Se manifestant comme étant le même hier, aujourd'hui et éternellement.

52.       Maintenant, suivons juste un instant. Qu'est-ce que Dieu a fait ? De quoi votre corps est-il constitué, après tout ? Qu'êtes-vous ? Savez-vous ce que vous êtes ? Juste un peu de calcium, un peu de potasse, un peu de pétrole, et la lumière cosmique. C'est tout ce que vous êtes, et quelques atomes.

            L'autre jour, je peignais les quelques cheveux que j'ai. Ma femme, m'a parlé, disant : " Billy, tu deviens chauve, chéri. "

            J'ai dit : " Mais, gloire au Seigneur, je n'en ai perdu aucun. "

            Elle a dit : "Dis-moi alors où ils sont. "

            Et j'ai dit : " Toi, dis-moi où ils étaient avant que je les aie, je te dirai où ils m'attendent. Amen. Il y eut un temps où ils n'étaient pas ; puis, ils ont existé ; et maintenant, ils ne sont plus. Ils sont retournés là où ils se étaient au commencement. Et un jour, j'irai vers eux. Gloire, exact. Ce vieux corps va de même se décomposer, et pourrir au point qu'il ne sera qu'une cuillerée de cendre. Mais un glorieux jour, il redeviendra, neuf et frais. Amen.

53.       C'est assez pour vous exciter en y pensant. Oh, c'est une chose très glorieuse. Dieu, notre Père céleste, à qui appartient tous les atomes et tout ce qui existe, qui les a rassemblé, qu'a-t-Il fait ? Il a dit : "Gabriel, viens ici. Michael, viens ici. Descendons rendre visite à Abraham.

            Je Le vois simplement faire : "Ouf ", Il a soufflé pour rassembler quelques atomes, et un peu de lumière cosmique, du pétrole, et Il est entré dedans. Et ll a marché, l'un des anges est entré dans un corps, et Ils sont directement descendus, Ils ont mangé de la chair humaine - Ils étaient - Ils ont mangé en étant dans la chair humaine, et Il a éprouvé la faim pendant qu'Il était ici, parce qu'Il a fait fonctionner toute cette matière mise ensemble qui réclame de la nourriture. Et Il est apparu devant Abraham, Il a disparu et Il est redevenu Dieu, une fois de plus, l'Immortel. Amen.

54.       C'est là mon Père céleste. Pourquoi me soucier de ce que la mort peut faire. Je sais ce qu'Il peut faire lors de la résurrection. Il savait, Il pouvait simplement faire : "Ouf. " C'est tout ce qu'il y a. Je suis content de ce qu'Il me connaît. Je suis content de ce qu'Il vous connaît. Et cela me rend infiniment content, de savoir que c'est là notre Père céleste. Oui, oui. De quoi donc…Qu'y a-t-il donc à se soucier ? O mort, où est ton aiguillon ? Il n'est pas étonnant que Paul ait pu dire : " Je Le connais dans la puissance de Sa résurrection. " Eh bien, je ne Le connais pas par un livre. Je ne Le connais par la lettre. Je Le connais dans la puissance de Sa résurrection. Le connaissez-vous ainsi ? Si vous êtes né de nouveau, c'est ainsi que vous Le connaissez en fait, dans la puissance de Sa résurrection. Il a dit : " Quand Il appellera d'entre les morts, je sortirai. " Voilà l'essentiel, Le connaître dans la puissance de Sa résurrection.

            Il y a quelque temps, un agent d'assurance est venu chez moi. Il a dit : "Billy, j'aimerais te vendre une police d'assurance. "

            " Oh, ai-je dit, j'en ai déjà une. " Ma femme m'a regardé d'une façon drôle. Elle savait que je n'avais pas ce genre d'assurance.

            Il a dit : " En as-tu une ? Auprès de quelle compagnie as-tu eu cela ? "

            J'ai dit : "Assurance bénie, Jésus est mien. Oh, quel avant goût de la gloire divine! Héritier du salut, racheté de Dieu. Né de Son Esprit, lavé dans Son sang. "

55.       Il s'est tenu là et m'a regardé, il a dit : "C'est bien, Billy, j'aime t'entendre dire cela, mais, a-t-il dit, cela ne t'amènera pas là, au cimetière. "

            Mais, j'ai dit : " Cela m'en fera sortir. Je ne me soucie pas d'y aller ; je me soucie d'en sortir. C'est ça l'essentiel. " La police d'assurance selon laquelle Christ vit, moi aussi je vis, et je Le connaît dans la puissance de Sa résurrection. Amen… ?… Il est bon. Il est merveilleux.

            Eh bien, après Abraham et la destruction là, Dieu parla à Abraham. Et pendant qu'Il était assis là, en train de manger la viande de vache, de ce veau, buvant du lait, Sara était derrière, dans la tente. Elle n'était pas comme certaines de ces femmes d'aujourd'hui en Amérique (évidemment vous n'en avez pas comme ça au Canada), elle doit bien être vue en tout. Mais elle était derrière, dans la tente.

56.       Ainsi, pendant qu'elle était là derrière, Dieu s'est tourné vers Abraham, Il a dit : " Eh bien, Je te visiterai au temps de la vie. " Il a demandé : " Où est Sara ? "

            Il a dit : " Elle est dans la tente. "

            Il a dit : " Eh bien, au temps de la vie… " Il avait donc le dos tourné à la tente. La Bible dit qu'Il avait le dos tourné à la tente.

            Et Sara, à l'intérieur, a fait : " Moi, une vieille femme de quatre-vingt-dix ans, avoir un enfant ? "

            Dieu a directement regardé Abraham et a dit : " Pourquoi Sara a-t-elle ri ? " Etait-ce de la télépathie mentale ? C'est comme ça qu'on appelle cela aujourd'hui, de la télépathie mentale. Sara a eu peur. Elle a accouru et a dit : " Je n'ai pas ri. "

            Il a dit : " Oh, si, tu as ri. " Elle a eu peur. C'est la grâce de Dieu pour Abraham, évidemment qui avait préservée Sara en ce temps-là.                             

57.       Eh bien, j'aimerais vous poser une question. J'aimerais… La plupart parmi vous ici sont adultes. J'aimerais vous poser une question, papa et maman, pour clôturer dans quelques instants, maintenant même. Il me faudra clôturer pour terminer demain si possible. Oh, j'aime vraiment ça, juste… Ce sont juste ces vieilles pépites qu'on extrait simplement et on les raffine, elles pointent droit toutes vers le Calvaire, et chacune d'elles est une œuvre terminée.

            Eh bien, la Bible dit que Sara et Abraham étaient fort avancés en âge, un vieil homme et une vieille femme. Mais Abraham s'était appuyé sur le sein de El-Shaddai là dans des contrées pauvres, mais il se nourrissait de la Parole de Dieu, du sein de Dieu : " Il était blessé pour nos péchés. Et c'est par Ses meurtrissures que nous avons étés guéris. " Est-ce vrai ? La Bible dit que nous l'avons été… que c'est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.

58.       Eh bien, que quelqu'un surveille le petit enfant là. C'est probablement le spasme, ou une crise, ou quelque chose comme ça. C'est ça. Très bien. Regardez simplement dans cette direction-ci. Continuons simplement à parler. Voyez ? Nous veillerons à ce que…

            Eh bien, j'aimerais vous poser une question. Il y a en plein… Dieu avait parlé à Sara et Abraham et leur avait dit ce qu'Il allait faire avec eux. Et Abraham s'était appuyé sur le sein du Seigneur. Est-ce vrai ? Combien croient cela, qu'ils disent " amen. " [L'assemblée dit : "Amen. " - N.D.E.] S'appuyant sur le sein de l'Eternel… Très bien. Après, qu'est-ce que Dieu a alors fait ? Dieu avait fait Sa promesse, qu'Il tiendrait Sa Parole. Et Dieu était obligé de tenir Sa Parole. Est-ce vrai ? Combien croient cela ? Dieu tiendra Sa Parole.

59.       Eh bien, j'aimerais que vous remarquiez quelque chose, ce qui s'était passé. Eh bien, ceci peut être très encourageant. Eh bien, vous tous, asseyez-vous, amis. Vous ne devez pas faire cela. Voyez ? Restez assis. Cette dame a tout simplement une crise, le spasme, ou l'épilepsie, ou quelque chose comme cela. Restons vraiment calmes. C'est difficile de dire ce que… Le Saint-Esprit peut guérir cette femme maintenant même. Vous avez entendu parler de ces réunions, alors juste… Ne soyez pas alarmés. Ecoutez la Parole. Placez Cela en premier. Il y a des hommes là, tenez-la et tout. La pauvre créature, elle est dans un état. J'essaie d'aller de l'avant avec la prédication, et voyant qu'Il… ce qu'Il pourra dire à ce sujet ? Voyez ?

            Il me faut donc vos prières, la foi et l'attention maintenant même, pour voir quoi dire pour la pauvre mortelle qui est dans cet état-là. Nous prêchons la foi, et il nous faut savoir ce que nous devons dire, avant de pouvoir le dire. Voyez-vous ce que je veux dire ? Ne soyez donc pas alarmés. Regardez dans cette direction-ci, et continuez à faire attention à la Parole, et laissez le Saint-Esprit parler.

60.       Eh bien, suivez très attentivement. Dieu avait promis à Abraham que… Il était quoi ? El-Shaddai, le Sein. Ainsi, en d'autres termes, il était une mère pour Dieu - ou plutôt pour Abraham. Dieu est-Il une Mère ? Assurément qu'Il l'est. Nous sommes nés de Dieu. Est-ce vrai ? Cela fait donc de Dieu notre Mère. Dieu est notre Père. Dieu en Christ est notre Frère. Est-ce vrai ? [L'assemblée dit : "Amen. " - N.D.E.] C'est vrai. Et Dieu, Christ est notre Epoux, et nous sommes l'Epouse. Ceci est l'autre partie de l'Alliance que Dieu a conclue avec Son peuple et avec Christ… qui a élevé Christ comme un mémorial et Il a déversé le Saint-Esprit ici comme Son Alliance avec Son peuple.

            Maintenant, j'aimerais vous poser une question. Dieu a fait ici une chose spéciale pour Abraham, une chose spéciale. Combien ici ont dépassé l'âge de vingt-cinq ans ? Faites voir vos mains là, loin : ceux qui ont dépassé l'âge de vingt-cinq ans. Tout le monde sait que quand vous dépassez vingt-cinq ans, vos meilleurs jours sont finis, votre jeune âge.

            Eh bien, pouvez-vous vous rappeler le temps où vous avez pris maman et vous vous êtes agenouillés à l'autel ? Je vois un couple assis ici. Je vois ici un autre couple, et là d'autres couples. Je regarde partout dans la salle. Et beaucoup parmi vous peuvent se rappeler quand vous aviez pris votre petite chérie. Et maman, vous vous rappelez quelle mine papa avait : Il était un homme bien, beau et fort. Et maman, douce qu'elle était, avec ses cheveux, et ses joues roses, et ses yeux étincelants… vous vous êtes agenouillez à l'autel et vous avez promis à Dieu de vivre ensemble jusqu'à ce que la mort vous sépare. Et vous étiez dans votre meilleure forme.

            Eh bien, remarquez ce qui est arrivé. Peu après, qu'est-ce qui s'est passé ? Vous commencez à faire des constats. Vous avez regardé et vous avez dit : "Papa, il y a un cheveu blanc qui apparaît dans votre tête. " Qu'est-ce qui se passe?

            "Maman, il y a une ride qui apparaît sur vos beaux yeux. " Qu'est-ce qui s'est passé ? La mort s'installe. C'est vrai.

61.       Et elle vous acculera dans ce coin-ci, ce coin-là, quelque part ailleurs, mais elle finira par vous emporter. Est-ce vrai ? Eh bien, vous êtes vieux et vous avez des rides ; beaucoup parmi vous rentrent, les ombres tombent, le visage couvert des rides ; vous ne pouvez pas vous en tirer comme autrefois. Alors, vous regarderez en arrière et vous direz : "Oh! la la ! si seulement je pouvais revenir en ce temps-là où je l'ai prise par sa tendre petite main, j'ai baisé sa main, je lui ai promis de lui rester fidèle jusqu'à ce que la mort nous sépare. Toutes ces années, nous avons été fidèles à Dieu, et nous voici vieux et tremblant.

62.       Une fois, je rencontré un couple comme cela à Manitoba. Ou plutôt ce n'était pas à Manitoba, c'était en Colombie Britannique. Et combien j'ai pensé à cette histoire. Eh bien, regardé combien Abraham était vieux. Il avait cent ans, et Sara quatre-vingt-dix.

            Eh bien, afin que certains parmi vous frères ne disent pas : "Oh, eh bien, à l'époque on vivait pendant longtemps. "

            La Bible dit que tous deux étaient fort avancés en âge. Est-ce vrai ? C'est la Bible qui le dit.

            Eh bien, savez-vous ce que Dieu a fait ? Il a confirmé en prenant Sa Parole, Abraham s'étant appuyer sur le sein d'El-Shaddai, ce Dernier a confirmé à Abraham ce qu'Il allait faire pour chaque semence d'Abraham. Amen. Il a changé Abraham et Sara en un jeune homme et une jeune femme ; c'est ce qu'Il a fait. Assurément.

63.       Eh bien, la Bible, vous ne pouvez pas lire la Bible comme si vous lisiez un journal. La Bible est une lettre d'amour. Saviez-vous cela ? La Bible dit que - qu'Il a caché ces choses aux sages et aux intelligents, et qu'Il les a révélées aux enfants qui veulent apprendre. Est-ce vrai ?

            Eh bien, tenez, quand je vais outre mer, ma femme peut m'écrire une lettre, et elle dira : "Cher Billy, je suis avec… ici… je viens de mettre les enfants au lit… " Et elle m'écrira une lettre. Eh bien, je peux lire ce qu'elle dit là. Oui, n'importe qui peut lire cela. Mais vous savez, moi je l'aime beaucoup, je peux lire entre les lignes. Je sais ce qu'elle dit entre les lignes. Eh bien, c'est ainsi que Dieu a écrit Sa Bible.

64.       Eh bien, les érudits peuvent discuter sur des mots grecs, mais le croyant lit entre les lignes. Amen. C'est révélé par le Saint-Esprit. Alléluia. Dieu écrit Sa lettre à Ses enfants, qui lisent entre les lignes…

Si j'avais du temps, j'aimerais vous démontrer cela par la Bible. Mais observez ce que c'est, en peu de temps. Eh bien, pour vous le confirmer… Il y a environ cinq ans, je prêchais là-dessus quelque part ici, et un homme a écrit un livre là dessus, on en a parlé à la radio, lire entre les lignes.

65.       Eh bien, suivez. Je peux bien voir Abraham se lever un matin, et dire : "Sara, chérie, eh bien tu es - tu es… tu as un aspect différent. "

            Je peux l'entendre dire : "Eh bien, Abraham, mon seigneur, tu sais quoi ? Ta - ta - ta barbe est redevenue noire. " Dieu était en train d'exaucer. Qu'était-ce ? Ils tétaient Sa Parole, le Sein d'El-Shaddai, le Tout-Puissant. Opérant… Que faisait-Il ? Il opérait un miracle, démontrant par Abraham ce qu'Il allait faire pour chaque semence d'Abraham, au travers de la mort et de la résurrection du Christ promis. Voyez-vous cela ?

            Remarquez, il a dit : "Eh bien, chérie… " La nuit, il a regardé Sara dans les yeux, et il a dit : "Sara, chérie, tu sais, tes yeux redeviennent étincelants. " Eh bien, il a dit : "Abraham, ton dos n'a plus la moitié de la bosse qu'il y avait ce matin. "

66.       Qu'est-ce qui se passe ? Dieu, les vitamines du lait, le lait scripturaire de la Parole a travaillé dans le corps d'Abraham et de Sara. Les vitamines de Dieu, Sa Parole agira dans le corps de chaque croyant maintenant même, si vous La recevez. C'est vrai. Il est toujours El-Shaddai, le Tout-Puissant, cherchant la semence d'Abraham, afin qu'Il puisse lui manifester Sa grâce. Observez-Le maintenant, alors qu'Il va de l'avant.

            Ils sont redevenus jeunes. Sara est redevenue une jeune femme, probablement dans la vingtaine, et Abraham, juste un jeune homme. Oh, vous direz : "Frère Branham, c'est ridicule. " Très bien, eh bien, voyez si c'était ridicule ou pas, je vais vous montrer l'autre face pourrait être ridicule. Qu'est-il arrivé ? Ils ont effectué un voyage depuis là, au puit de bitume à Sodome, jusqu'à Guérar. Mesurez cela sur la carte, ça fait environ trois cent miles [480 km - N.D.T.] C'est une bonne distance pour un vieil homme et une vieille femme, ne le pensez-vous pas, à cet âge-là ? Et maintenant… Etes-vous prêts ?

67.       Voici ce qui s'est passé. Quand ils sont arrivés là, dans le pays des Philistins, il y avait là un jeune roi du nom d'Abimélek, qui cherchait une chérie parmi toutes ces belles femmes qu'il y avait là-bas. Quand il a vu Sara, la vieille grand-mère de cent ans, avec un petit chapeau sur la tête, en train de trembloter sur une canne, il a dit : "Voilà celle que j'attendais. " Et il est tombé amoureux de cette vieille grand-mère, il l'a prise pour femme, il l'a amené là, il allait l'épouser.

68.       Pouvez-vous vous représenter ce jeune roi, Abimelek - Abimelek, tomber amoureux d'une vieille femme qui est fort avancée en âge, tremblotant ça et là comme cela ? Voilà venir la grand-mère. Et elle a dit : "Elle est la plus… Eh bien, elle est la plus belle femme du pays. " Non-sens. Dieu l'avait changé en une jeune femme. Abimelek l'avait prise là.

Et oh la la ! J'aimerais que vous remarquiez aussi la grâce là. Abimelek - Abimelek était un homme juste. Je peux m'imaginer qu'après avoir pris son souper, et avoir bien brossé ses dents, il s'est couché là, et a étendu ses orteils, après avoir dit sa prière du soir, il a dit : " Demain, je vais épouser cette belle femme juive qui est venue ici avec son frère. Je vais l'épouser demain. " Il s'est endormi, et Dieu lui est apparu, il lui a dit : "Tu ne vaux pas plus qu'un homme mort. "

            " Eh bien, a-t-il dit, Seigneur, pourquoi ça ? "

            Il a dit : "Tu as pris la femme d'autrui. "

            "Eh bien, a-t-il dit, Tu connais l'intégrité de mon cœur. "

            " Eh bien, a-t-il dit, n'a-t-elle pas dit que c'est son frère, et lui n'a-t-il pas dit que c'était sa sœur ?"

69.       Il a dit : "Oui, Je connais l'intégrité de ton cœur, et c'est pourquoi je t'ai empêché de pécher contre moi ", un homme de bien donc. Observez Sa grâce. Il a dit : "Mais son mari est un prophète. C'est Mon serviteur. Je n'exaucerai pas tes prières. Mais si tu lui rends sa femme, et que tu lui demandes de prier pour toi, vous ne valez pas plus qu'un homme mort, toi et ton royaume.

            Vous parlez de la grâce étonnante, quel doux son, Dieu protégeant Ses enfants. Maman, papa, l'un de ces jours, l'autre partie de l'Alliance viendra. Le Seigneur Jésus sera révélé de la Gloire. Et quand Il viendra s'unir à ce Corps qui a utilisé son Esprit ici sur terre comme leur Guide, vous serez changé un de ces matins, pas pour redevenir un enfant, mais pour redevenir un jeune homme. Regardez, Dieu était en train de peindre un tableau, quand vous - Il était en train de vous peindre, vous et la maman. Il vous a amené jusqu'à un certain tableau ; Il a dit : " C'est ça. C'est exactement ce que je veux. Je pense que c'est beau. C'est ce que J'aurai dans Mon Royaume. D'accord, mort, vas-y. Mais tu ne peux pas les prendre jusqu'à ce que Je te l'ordonne. Tu dois les laisser là même jusqu'à ce que Je  te le dise. " Pourquoi ont-ils donc grandi jusqu'à ce tableau-là ? Dieu les a amenés à la beauté, juste au - au moment où Il a pensé qu'ils étaient dans leur meilleure forme, et puis il a peint le tableau, et il a placé cela dans le royaume. Et un glorieux jour, tout ce que la mort nous a fait sera enlevé, et n'aurons que ce que la vie nous donne. Amen.

70.       Quel genre d'hommes et de femmes… Oh! là là! mon temps est fini. Quel genre d'hommes et de femmes devrions-nous être ? Comment nous - devrions-nous nous conduire, mesdames et messieurs ? Comment devrions-nous agir en ce jour-ci ? Nous devrions être bien à la hauteur  et agir comme des chrétiens. Nous devrions nous tenir là avec hardiesse pour rendre témoignage au Seigneur Jésus. Croyez-vous cela ?

            Il y a quelque temps ici, plusieurs années, au Sud, les gens passaient d'habitude acheter des nègres et ils en faisaient des esclaves. Les Boers les vendaient ici, ils provenaient d'Afrique, on en faisait des esclaves. Et ils allaient ça et là, et - et on amenait des négociants qui achetaient un tas de nègres pour les revendre comme on vend des véhicules d'occasion aujourd'hui, des âmes humaines, les acheter pour les revendre.

            Et les gens allaient ça et là et obtenaient des titres légitimes sur eux, ils les vendaient comme on vendrait l'automobile ou n'importe quoi d'autre aujourd'hui, on commercialise cela. Et ils passaient par-là et achetaient un tas d'esclaves de telle ferme, les amenaient ici, et les vendaient ici, et ils faisaient des bénéfices sur eux.

71.       Et un négociant est passé à un certain endroit, dans une grande plantation, et il achetait des esclaves. Alors il a remarqué un jeune esclave là, qui avait le torse bombé. Tous les autres étaient très - très dérangés, épuisés. Ils étaient déportés de leur patrie, on les avait capturés jusque dans un autre pays, qu'ils ne connaissaient pas, auprès d'un autre peuple, qui n'était pas leur propre peuple, mais un - un autre peuple, qui parlait une autre langue, qui agissait différemment de leurs hommes et le peuple de leur tribus. Ils savaient qu'ils ne retourneraient plus jamais dans leur patrie. Ils étaient donc tristes, et ils ne voulaient pas travailler. On recourrait aux grands fouets pour les faire sortir, les fouetter comme cela, pour les faire travailler, parce qu'ils étaient toujours tristes. Ils étaient loin de la maison.

72.       Mais pas ce jeune homme, il avait le torse bombé, vif, il était toujours prêt. Ce négociant a dit : "Laissez-moi acheter cet homme là. "

            Il a dit : "Oh, non. Celui-là n'est pas à vendre. "

            Il a dit : "Eh bien, je n'ai jamais vu un esclave agir comme cela. "

            Il a dit : "Il est épatant. "

            Il a dit : "Je vous donnerai le prix de quatre ou cinq esclaves. "

            Il a dit : "Il n'est pas à vendre. "

            Il a dit : "Eh bien, qu'est-ce qui le fait agir autant… ? Est-ce lui le chef des autres ? "

            Il a dit : "Non. "

73.       Il a dit : "Peut-être que vous le nourrissez mieux que les autres. "

            Il a dit : "Non, ils mangent tous là à la cuisine, ensemble. " Il a dit : "Il est… Je ne le nourris pas différemment ; il n'est pas le chef ; il est juste un esclave."

            Mais il a dit : "Qu'est-ce qui le fait agir différemment des autres ? "

            Il a dit : "Je ne le savais pas pendant un temps. " Mais il a dit : "Vous savez, un jour, j'ai découvert que son père est un roi d'une tribu. Et cependant, quoi qu'il soit étranger et loin de la patrie, il garde haut le moral  des autres, car il sait qu'il est le fils d'un roi. "

            Je me suis dit : " Ô Dieu, malgré que nous sommes des étrangers ici dans un monde sombre, dans l'incrédulité, avec des sceptiques, des infidèles, des moqueurs, des railleurs, des frères, bombez le torse. Nous sommes fils et filles du Roi. Agissons comme des hommes et des femmes du Royaume de Dieu. Quand bien même nous sommes étrangers, agissons comme des fils et des filles de Dieu.

 

74.       Une fois, Daniel Curry, c'est un prédicateur très célèbre, il y a de cela environ cent cinquante ans, dans le moyen orient des Etats-Unis, c'était un saint homme. Et un jour, il a eu une vision, qu'il était mort. Il est monté jusqu'à la porte, et il a frappé à la porte. Un homme est venu à la porte pour…s'occupe du ciel. Il s'est présenté: "C'est moi Daniel Curry, révérend Daniel Curry, l'évangéliste. " Il a dit : " J'ai gagné mille âmes à Christ. " Il a dit : "Puis-je entrer aujourd'hui ? Ma vie sur terre est arrivée à sa fin. "

75.       Cet homme a dit : "Juste un instant. " Il a regardé çà et là et a demandé : "Comment t'appelles-tu ? "

Il a dit : "Révérend Daniel Curry. "

Il a regardé çà et là et a dit : "Je ne vois même pas ce nom quelque part. "

"Oh, a-t-il dit, monsieur, vous devez vous tromper. Absolument. "

Il a dit : "J'ai gagné mille âmes. " Il a dit : "Je suis évangéliste. "

Il a dit : "Monsieur, voici le Livre, je vois que vous n'êtes pas enregistré ici. " Il a dit : "Vous pouvez interjeter l'appel pour votre cas devant le Jugement du Trône blanc. "

 Oh, il a dit : " Monsieur… "

Il a dit : " C'est tout ce que je peux vous dire. " Il a dit : "Voulez-vous interjeter l'appel pour votre cas ? "

Il a dit : "Je n'ai pas de choix. Je… Si vous ne voyez pas mon nom, je dois interjeter l'appel. "

76.       Et il a dit qu'on l'a fait traversé un espace pendant environ… une heure on dirait. Finalement, il est entré dans une Lumière. Et cela devenait de plus en plus claire jusqu'à ce que, dit-il, c'était un million de fois plus brillant que le soleil ; il a dit qu'il tremblait. Et en plein milieu de Cela, il n y avait rien, sauf cette lumière-là, il a entendu une voix dire : "Daniel Curry, étais-tu un prédicateur ? "

            Il a dit : " Oui, je l'ai été. "

            Il a dit : " N'avez-vous jamais fait quelque chose de mal sur la terre ? "

            Il a dit qu'il pensait avoir été un homme vraiment bon jusqu'à ce moment là. Il a dit : "Oui, je - je - j'ai fait le mal. "

            Il a dit : " N'avez-vous jamais proféré un mensonge ? "

            Il a dit que tout… Il a reconnu avoir dit des choses douteuses. Il a dit : "Oui, Seigneur, je suis coupable de mensonge. "

            Il a dit : " N'avez-vous jamais pris quelque chose qui ne vous appartenait pas ? "

            Il a dit : "Non… si, si, Seigneur, je - je - j'en avais pris. "

            Il a dit : "Daniel Curry, avez-vous été parfait sur la terre ? "

            Il a dit : "Non, non, Seigneur, je n'étais pas parfait. Non, je n'étais pas parfait. "

77.       Il a dit qu'il s'attendait simplement à entendre à n'importe quel moment cette voix exploser : " Retire-toi de moi. " Et il a dit qu'il avait entendu une voix plus douce que celle de n'importe quelle mère qui ait jamais parlé. Et il a dit qu'il s'est retourné pour regarder de son côté, et il a vu un visage, le plus doux visage qu'il n'ait jamais vu de sa vie. Et il a dit que cette Personne qui se tenait là, a dit : "Père, non, Daniel Curry n'était pas parfait sur la terre, mais sur la terre, Daniel Curry a pris position pour moi. Maintenant, ici, Moi, Je prends position pour lui. Ôte toute son iniquité, et mets-la sur Mon compte. Et Je prendrai position pour lui ici, parce que lui avait pris position pour Moi sur la terre. "

Hommes et femmes, ne pensez-vous pas que ça vaut la peine aujourd'hui de mettre… Savez-vous que c'est en ce jour où nous vivons, avec une vie incertaine, que nous avons pris notre position pour Christ ? Prions.

78.       Notre Père céleste, sachant que nous sommes un peuple en route vers  l'éternité, nous allons dans l'éternité… Il est donné aux hommes de mourir une fois, après quoi vient le jugement. Et les péchés de certaines personnes les précèdent, ceux des autres les suivent. Ô Dieu, puissions-nous confesser chaque péché maintenant même, notre faiblesse et notre indignité aussi et compter solennellement, entièrement sur le Seigneur Jésus béni. Puissions-nous prendre position pour Lui, et Il a promis qu'Il prendrait position pour nous dans la Gloire. "Si vous Me confessez devant les hommes, Je vous confesserai devant Mon Père et devant les saints Anges. "

            Ô Dieu, sachant qu'il peut y avoir des gens assis ici même ce soir qui devront se tenir au Trône du jugement de Dieu le matin ; sachant que Christ peut venir ce soir et que nous pourrons tous nous tenir là, ô Dieu, aie pitié de nous. Pardonne-nous notre stupidité, des choses insensées et des pensées que nous avons eues dans notre esprit. Purifie-nous, Seigneur.

79.       Nous T'aimons, et nous savons que la chose la plus glorieuse, c'est la Vie Eternelle. Accorde-nous ce soir de Ta Vie Eternelle bénie, pardonne nos péchés, alors que nous nous attendons à Toi pendant ces quelques instants. Cela peut littéralement faire la différence entre la vie et la mort pour de douzaines des gens dans cette assistance ce soir.

            Pendant que nous avons nos têtes inclinées et nos cœurs inclinés dans la Présence de Dieu, je me demande s'il y a une personne ici ce soir dans la Présence de Dieu… pendant que tout le monde regarde vers le bas, ou a les yeux fermés, priant, voudriez vous juste lever la main vers Dieu et dire : "Ô Dieu, ce soir je sens que c'est moi - c'est moi le coupable, et je veux que Tu me pardonnes au Nom de Christ. " Voudriez-vous juste lever la main vers Dieu ? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Là tout au fond, je vous vois, que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse par ici. Que Dieu vous bénisse ici. Oh ! la la !

80.       Là, au balcon, à ma droite, quelqu'un là-bas, avec la tête inclinée, votre cœur aussi ? Que Dieu vous bénisse, mes dames. Que Dieu vous bénisse, là haut. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, monsieur.

            Rappelez-vous, Dieu voit votre main. Il frappe à votre cœur. La Parole a trouvé une petite place là, dans le coin de votre vie, disant : "Mon enfant, ne veux-tu pas venir maintenant ? Tout est prêt. J'ai tout apprêté, et je te demande maintenant de venir.

            Le balcon à ma gauche, quelqu'un voudrait-il lever la main et dire : " Par ceci, ô Dieu, maintenant je… " Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, petite dame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Certainement. Ici en bas, que Dieu vous bénisse, tout votre groupe, vous qui êtes assis là, que Dieu soit miséricordieux.

81.       Oh, quel doux moment de communion. Ceci est, à mon avis, près du Ciel : des hommes et des femmes se rendent compte qu'ils ont tort, le Saint-Esprit ici convainc et dit : "C'est maintenant le moment, enfant. J'ai frappé à ton cœur il y a longtemps, mais ne voudras-tu pas M'accepter ce soir ? " Jésus a dit : "Celui qui entend Mes Paroles, et qui croit en Celui qui M'a envoyé, a la Vie Eternelle, il ne viendra pas en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. "

            Y a-t-il quelqu'un qui n'a pas levé la main, et qui aimerait lever la main, n'importe où ? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, et vous, madame, et vous, monsieur, vous madame, vous. Oui, que Dieu vous bénisse, madame. Je vois votre main. Dieu la voit aussi. N'importe où au balcon ? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Oui, oui.

82.       A ma gauche, tout celui qui n'a point levé la main, pour dire : " Ô Dieu, sois miséricordieux. " Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, madame. "Sois miséricordieux envers moi, ô Dieu. Je - je - je veux certainement me tenir dans Ta présence en ce jour-là et entendre Jésus dire : 'Oui, là loin à Saskatoon, cette nuit-là, quand je parlais à ton cœur, tu avais levé la main vers Moi, et tu as dit : 'Je veux que Tu te souviennes de moi, Seigneur.' Et maintenant, ô Dieu, Père, Je prendrai leur place ; ils avaient pris position pour Moi.' " Eh bien, Il dira : "Ça a été bien fait, Mon bon et fidèle serviteur. Maintenant, entre dans la joie du Seigneur."

            Et pendant que vous avez vos têtes inclinées... Je pense que je me tiendrai dans Sa Présence avec vous, avec vos têtes et vos cœurs inclinés. Quand on m'appellera pour répondre pour ce que j'ai prêché ce soir, vous qui savez que vous étiez dans l'erreur et qui avez levé la main, je dirai : "Père divin, ils avaient levé la main ; ils - ils étaient sincères. Ils - ils - ils voulaient vivre et avoir la Vie Eternelle. " La réunion aura été enregistré, comme quoi vous aviez levé la main. Et je prie Dieu de bénir vos cœurs maintenant pendant que nous prions ensemble.

83.       Ô Dieu, aie pitié de nous, ô Dieu, alors que nous attendons patiemment, Te remerciant pour la conviction du Saint-Esprit et de ce qu'Il a traité avec des cœurs, et cinquante ou soixante quinze mains, peut-être - peut-être une centaine se sont levées dans cette salle ce soir, des pécheurs qui se repentent de leurs péchés et qui veulent qu'on se souvienne d'eux dans un mot de prière. Ô Dieu notre Père, je Te prie d'inscrire chacun dans le Livre de Vie ce soir et de ne plus Te souvenir de leur péché à leur charge.

            " La foi vient de ce que l'on entend, ce que l'on entend de la Parole. " Quand ils ont entendu la Parole du Seigneur qui a dit, et qui leur a donné la promesse que toute la postérité d'Abraham rajeunirait comme Sara et Abraham, et qu'ils n'auraient plus jamais à mourir, et qu'ils vivraient éternellement en paix, dans le Royaume de Dieu, avec leurs cœurs abandonnés.

84.       Et, Seigneur, ce sont de pauvres gens. Ils ne possèdent pas beaucoup de choses de ce monde. Mais une chose sûre, on a le Sauveur qui nous aime, qui nous donne la promesse de Sa grâce, gratuitement, pour " quiconque veut, qu'il vienne et boive gratuitement des Eaux de la Vie. " Que chacun prie, avec les mains levées vers le Ciel, avec un ardent désir de cette Eau spirituelle qui étanche la soif pour l'âme assoiffée. Déverse cela ce soir, Seigneur, avec… dans une grande mesure dans chaque cœur. Car nous le demandons au Nom de Christ. Amen.

85.       Oui, j'espère que vous vous sentez comme moi. Je sens vraiment comme si tout était récuré et purgé. N'éprouvez-vous pas ce sentiment-là ? Juste comme… Combien L'aiment de tout leur cœur ? Un tel, esprit…

            Oh ! la la ! Je suis désolé de vous garder jusque tard une fois de plus. Nous allons former la ligne de prière, juste un instant, on va commencer à prier pour les malades. Je crois que Dieu fera infiniment, abondamment, tout et au-delà de ce que nous pouvons même faire ou penser. Savez-vous quoi ? Je sens comme si c'est ce soir que le Saint-Esprit s'est vraiment emparé de chaque cœur. Et pour… Je vais demander à Dieu de faire quelque chose ce soir même. Je vais Lui demander que… Nous n'allons pas former une ligne de prière ici, qu'Il va simplement… Je vais simplement me tenir ici et traiter avec chacun de vous jusqu'à la fin de la ligne. Que votre foi regarde dans cette direction, et croyez au Seigneur Jésus.

86.       Dieu, notre Père, je crois qu'Il… L'aimez-vous de tout votre cœur, chacun de vous ? Je - je sais simplement qu'Il est ici ; je sais que le Saint-Esprit est ici. Mes amis, je suis très heureux de voir tous ces gens.

            Aussitôt après cette prière pour les malades, vous tous qui avez levé la main, voudriez-vous juste vous avancer ici et prier un tout petit peu, après le service ? J'aimerais que vous le fassiez. Juste… Puis, allez vous joindre à une très bonne église.

            Eh bien, combien ici sont dans le besoin, veulent que le Seigneur vous guérisse ? Levez simplement la main. Que Dieu vous bénisse. Regardez simplement, surtout dans ces rangées de devant, oh que c'est plein, partout.

87.       J'aimerais dire ceci. Est-ce que Jésus pouvait regarder des gens… Et la Bible dit : "Il connaissait leurs pensées ? Est-ce vrai ? La femme L'avait-elle touché par le sentiment de son infirmité ? La Bible dit que nous… Il pouvait être touché par le sentiment de… Si le Seigneur Jésus a été ressuscité d'entre les morts, et je L'ai parfaitement et loyalement identifié ici, et nous avons dit la vérité à Son sujet, ne croyez-vous pas qu'Il peut descendre ici même et - et sans que vous soyez ici… après vous vous êtes mis d'un seul accord.            

            Les quelques dernières soirées, c'était juste un peu… oh, plutôt nous… Je ne sais pas. Vous m'aimez, et moi je vous aime, mais on dirait que ce soir, il y a juste une petite bénédiction spéciale en cours. Et je sens vraiment cela. Avez-vous senti cela, la Présence de Dieu ?

88.       Maintenant, je vais vous demander d'être vraiment respectueux et de regarder uniquement dans cette direction-ci. Et prions. Et maintenant, si Christ est ressuscité d'entre les morts, nous savons qu'Il est… Et, à ces nouveaux convertis qui viennent d'être sauvés, afin que vous sachiez que vous n'êtes pas juste en train d'adorer un - un livre, ou une feuille, ou quelque chose comme cela, ou une brochure, mais un Jésus-Christ ressuscité, et Son Saint-Esprit ici… Et Il a dit : " Vous ferez aussi les œuvres que Je fais. Vous en ferez même de plus grandes, car Je m'en vais au Père. " Et les gens dans l'assistance, partout où Il était, pouvaient demander à Dieu ce qu'ils voulaient, Il pouvait se retourner et leur dire ce qu'ils avaient. Est-ce vrai ? Assurément qu'Il l'a fait. Et Il a dit : "Vous ferez la même chose. "

89.       Bon, moi je peux prêcher la Parole ; c'est la première chose. Mais maintenant, pour Son don, si Dieu, depuis cette estrade, avec n'importe quelle personne qui est assise dans cette salle ce soir… Et vous savez que je ne vous connais pas. Mais si Dieu, du fait que je m'abandonne à Lui, et que vous, vous donnez votre vie, votre esprit pour croire que le Seigneur Jésus est ici ce soir, et qu'Il peut regarder cette assistance et prendre une personne qui est vraiment un étranger, peut-être deux ou trois… Je crois que la Bible dit : "C'est par la déposition de deux ou trois témoins que chaque parole sera… " Allez-vous accepter cela, vous, chacun de vous, et reconnaître que Jésus est ici, et qu'Il accomplit ceci pour vous prouver que je vous ai dit la vérité, que votre salut, votre guérison, et tout a été acquis au Calvaire, et serez-vous prêt à accepter cela ? Allez-vous le faire, partout ?                   

            C'est quelque chose de neuf. Je ne… Généralement, je forme une ligne de prière, j'amène la personne à se tenir juste devant moi, parce qu'il y a beaucoup d'esprits, comme je vous ai dit il y a quelques instants ; ce sont eux qui exercent l'attraction sur vous. Voyez, c'est ce qui fait cela : ça fatigue.

90.       Mais, je veux dire que sans que quelqu'un vienne ici sur l'estrade, vous êtes juste assis là, n'importe où, aux balcons, ou n'importe où vous pouvez être, voudriez-vous regarder et dire : "Seigneur Jésus, je crois que Tu es ressuscité d'entre les morts, et je crois tout comme étant la vérité de Ta Parole. Et je crois que Tu es vivant ce soir. Et si Tu Te tenais ici où se trouve notre frère, dans un corps de chair, je crois que si je priais, Tu Te retournerais vers moi et dirais : 'Voici ce que tu demandes, et si Tu crois en Moi, Je te le donnerai.' " Voudriez-vous croire en Lui ? Si c'est le cas, levez la main. Levez simplement la main et dites : "Je croirai cela, si je vois cela être accompli. "

91.       Notre Père céleste, ce soir nous sommes un peu en retard, il fait froid dans la salle, et beaucoup sont assis depuis longtemps. On ne pouvait simplement pas arrêter, la Bonne Parole ne faisait que sortir… Et nous sommes un peu en retard. Et nous savons, Père, que peu importe combien de gens se tiennent ici près de Ton serviteur inutile, ou de n'importe quel autre serviteur ; il leur faut se tenir dans Ta Présence, non pas toucher Ton serviteur, mais toucher Ton Fils, Christ.          

            Et je prie, Dieu notre Père, ce soir, que Tu reconnaisses leur foi. Et je fais une forte déclaration ici, Père, me tenant ici à cette estrade parmi ces gens, tous des étrangers, et disant que Tu peux faire cela et Tu le feras. Et je Te prie de m'accorder de la sagesse Divine et de l'aide, et proclamer Ta glorieuse puissance, je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Eh bien, voudriez-vous vous tenir ici ? Voyez ? Savez-vous ce que ceci… Juste un instant. Ce que je voulais dire, je n'ai point terminé ma phrase. Je veux dire, tenez-vous ici, pour occuper cette place-ci.

            Eh bien, je suis soit un calomniateur, je suis soit un faux prophète, soit j'ai dit la vérité. Eh bien, ça doit être démontré. Les gens peuvent dire n'importe quoi. N'importe qui peut faire n'importe quelle déclaration, mais qu'il se retourne après, et que Dieu confirme cela et dise que c'est la vérité. Eh bien, vous pouvez douter de moi, je suis un homme. Vous en avez le droit. Mais vous ne devez pas douter de Dieu.

92.       Maintenant, si Christ est ressuscité d'entre les morts, et qu'Il se tenait ici où je me tiens, portant ce costume qu'Il m'a donné, et que vous disiez : "Seigneur, je suis malade, guéris-moi. " Que pensez-vous que le Seigneur dirait ? "Je l'ai fait, Mon enfant, au Calvaire. Ne croyez-vous pas cela ? " Peut-Il vous guérir deux fois ? Non, Il a accompli Son œuvre une fois pour toutes. Est-ce vrai ? Et c'est là que vous avez été sauvé. Beaucoup parmi vous ont été sauvés il y a juste quelques instants ; vous avez accepté votre salut ; vous avez été sauvés il y a mille neuf cents ans, depuis que Jésus est mort. Vous venez d'entendre la Parole, d'accepter Cela. Et maintenant, c'est pareil pour la guérison, c'est la même chose.      

            Bon, je me tiens ici en tant que - que serviteur de Dieu, très humble, le moindre parmi eux, je ne dis pas cela pour être humble, mais je le dis de mon cœur. C'est vrai. Vous pentecôtistes, et vous du Plein Evangile, jadis quand j'étais un jeune homme pécheur, je parcourais ces rues, à travers le Canada, prêchant cet Evangile. Je ne fais que suivre les routes que vous, vous avez frayées. C'est tout. Vous avez prié Dieu d'envoyer Cela, et Il l'a fait. Ceci est l'exaucement à votre prière. (Voyez ?) Et c'est pour vous tous. Et j'ai du respect pour vous, mon bien-aimé frère, ma bien-aimée sœur.

93.       Et j'aimerais maintenant que vous voyiez que Christ est ressuscité d'entre les morts. Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je me soumets moi-même au Saint-Esprit, et je prie Dieu de toucher chaque cœur afin qu'il se soumette lui-même au Saint-Esprit. Et le Glorieux Divin Père qui est omniprésent maintenant, qui a promis par Jésus-Christ, que là où deux ou trois seront rassemblés : "Je serai au milieu d'eux, et qu'ils feront aussi les œuvres que Je fais… "

            Maintenant, Dieu notre Père, tout est entre Tes mains. Au Nom de Christ, je m'abandonne, moi-même ainsi que cette assistance à Toi, afin qu'ils sachent que Tu es ressuscité d'entre les morts et que Tu es ici dans l'église ce soir. Amen.

            Maintenant, soyez vraiment respectueux. Je ne dis pas qu'Il le fera. Je prie qu'Il le fasse, parce que vous avez promis de croire en Lui.

94.       Maintenant, que tout celui qui a un besoin regarde simplement dans cette direction-ci. Prenons d'abord cette allée, dans cette partie-ci, d'abord. Maintenant, regardez dans cette direction et croyez simplement. Et dites simplement : "Seigneur, je crois de tout mon cœur que Jésus est le Fils de Dieu, qu'Il est mort pour mes péchés, et je les Lui ai confessés. Je suis malade maintenant, et j'ai un besoin.

            Et je crois que le même Esprit qui était en Christ est ici, le même qui se trouvait au puits et qui avait parlé à la femme, Il s'est adressé à elle, disant : "Va chercher ton mari ", ainsi de suite.

            Et elle a répondu, disant : "Je n'ai point de mari à aller chercher. "

95.       Eh bien, comme j'ai commencé, il me faut arrêter ce que je disais, car cette Lumière se tient entre moi et là, se tient cette lumière-là, le Saint-Esprit. Amen. Que Dieu soit béni et honoré éternellement au milieu des louanges de Ses Saints.

            Je crois qu'Elle s'établit ici, à côté de cet homme qui est en tricot blanc. Non, Elle passe juste derrière lui. Elle s'établit sur une petite femme qui a la main levée comme ceci, au niveau du menton, l'Ange du Seigneur. Elle a la main levée. Elle est triste, et elle prie, elle a un fardeau sur le cœur. Et, petite dame… c'est vous, juste ici derrière ; vous étiez en train de prier afin que Dieu vous parle, et vous accepterez cela, s'Il m'amenait à me retourner pour vous dire ce que vous désiriez dans votre cœur. N'est-ce pas vrai ? Si c'est vrai, levez-vous juste une minute. Très bien. Restez debout juste un instant.          

96.       Maintenant, à cette femme, je ne l'ai jamais vue de ma vie. Mais pour moi, elle a juste l'air… une sorte de Lumière blanche autour d'elle. Le Dieu Tout-Puissant sait que c'est vrai. Cette femme prie dans son cœur au sujet d'un désir qu'elle a pour quelqu'un d'autre, et c'est pour son père. Et ce papa a une maladie au niveau de sa poitrine, ou plutôt non, c'est dans son cœur. Il fait des crises cardiaques. Il s'agit de votre papa. C'est vrai, n'est-ce pas ? Croyez-vous que je suis Son serviteur, le serviteur du Seigneur ?

N'est-ce pas là votre mari qui est assis à côté de vous ? Je vois la Lumière se déplacer vers lui, faisant des va et vient. Vous avez quelque chose qui a trait à un fauteuil, un fauteuil roulant. Vous avez été dans un fauteuil roulant ou quelque chose comme cela ; l'homme y est. Vous étiez malade, et vous avez accepté… oh, vous avez été guéri dans cette réunion et délivré du fauteuil roulant : Vous suffoquiez ou quelque chose comme cela, essayant de… Et vous avez des vertiges, et… c'est vrai. Eh bien, que le Seigneur vous bénisse, allez et recevez tout ce que vous avez désiré. Que Dieu soit miséricordieux envers vous.

97.       Croyez-vous ? Voudriez-vous m'accorder une faveur pendant que vous êtes là debout, sœur, étant donné que Dieu a été si gentil envers vous, afin que les gens sachent, en effet, il y avait quelque chose au sujet de cet homme-ci, qui avait été accompli auparavant… La dame assise à côté de vous a des vertiges. Et elle veut qu'on prie aussi pour elle. Voudriez-vous lui imposer la main et prier pour elle ?

            Notre Père céleste, je Te prie d'ôter toute cette maladie, et qu'elle soit rétablie. Je prie au Nom de Jésus-Christ. Amen. Amen.

            Maintenant, madame, vous qui aviez des vertiges, vous savez que c'est vrai. Eh bien, cela vous a quittée, réjouissez-vous simplement et soyez dans l'allégresse, car le Royaume de Dieu est venu près de vous. Croyez-vous au Seigneur Jésus ? Ayez foi en Dieu ; ne doutez pas. Quelqu'un là dans cette direction-ci, quelque part, ici, ayez foi. Je ne peux pas L'amener à le faire. Mais croyez simplement.

98.       Maintenant, il y a un homme qui est assis là au fond, qui me regarde, juste derrière ce jeune garçon ici, aux cheveux blonds. Je vois Cela s'établir autour de lui. Vous, monsieur, vous, qui regardiez vers le bas, vous qui étiez en train de prier, vous souffrez de l'hypertension, n'est-ce pas, monsieur ? Oui, oui. Levez-vous, vous. C'est étrange, n'est-ce pas ?

            C'est votre femme qui est assise à côté de vous là ? Elle a le diabète, n'est-ce pas ? N'est-ce pas vrai, monsieur ? Levez la main. Imposez-lui la main.

            Maintenant, vous deux vous êtes conscients d'un sentiment très étrange, n'est-ce pas ? C'est le Saint-Esprit là. Ayez foi en Dieu, mon bien-aimé frère, ayez foi en Dieu.

99.       Maintenant, Dieu notre Père, Toi qui es omniprésent, omniscient, omnipotent, bénis ce couple, je prie au Nom de Jésus. Tu les as, par la grâce étonnante, les as touchés. Et je prie que leur foi Te touche, qu'ils soient rétablis pour la gloire de Dieu. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Pas moi, je ne vous connais pas ; je ne vous ai jamais vu de ma vie. N'est-ce pas vrai ? Nous sommes inconnus l'un à l'autre. C'était bien…

            Mon cœur vient de s'élancer vers une femme assise au bout de ce siège en train de crier, pleurer. Croyez-vous, sœur ? Vous regardez… Croyez-vous ? C'est juste par pure compassion que je regarde, je ne sais pas, peut-être qu'Il dira quelque chose. Vous devez être dans le besoin, ou quelque chose comme cela, sinon vous ne seriez pas en train de pleurer ou de prier comme cela.

100.     Le voilà. Vous souffrez de cœur, n'est-ce pas, madame ? Mettez-vous debout juste une minute. Croyez-vous que je suis prophète de Dieu ? Nous sommes inconnus l'un à l'autre, n'est-ce pas ? Mais votre foi Le touche. Vous avez plus que votre fardeau. Vous avez aussi des ennuis dans le foyer, n'est-ce pas ? Votre mari est un pécheur. Vous avez un foyer brisé. C'est vrai. Vous n'êtes pas de cette ville-ci. Vous venez d'un lieu appelé La Ronge, quelque chose comme cela, Saskatchewan. C'est vrai. Vous vous appelez Rienberg. C'est vrai. Rienberg… Bon, croyez-vous maintenant de tout votre cœur ? Acceptez-vous Christ comme votre médiateur, entre Dieu et vous, et croyez-vous que tous vos ennuis vous quitteront ? Si vous le croyez, levez la main vers Lui.

            Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus je demande la bénédiction pour cette précieuse âme. Puisse-t-elle recevoir ce qu'elle a demandé, au Nom de Christ, je prie, pour la Gloire de Dieu. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Acceptez.

101.     Qu'en est-il de vous ici ? Croyez-vous ? Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas, mais croyez. "Si tu peux croire ", a dit le Seigneur Jésus, vous pouvez recevoir, mais c'est uniquement selon votre foi que vous pouvez recevoir. Il vous faut croire.

102.     Je vois une dame se lever devant moi. C'est dans une vision, juste comme notre Seigneur a dit qu'Il avait vu. Cette femme se trouve dans cette direction-ci, et elle prie pour une fille rétrograde. C'est vrai. C'est la dame assise ici avec un petit, une espèce de petit truc sur la tête. Elle porte un manteau brun. Elle est assise ici même. Oui. Croyez-vous que Jésus-Christ exaucera votre prière ? Croyez-vous ? Amen.

            Attendons-nous à Dieu, voyons ce que nous voyons au sujet de cette jeune fille : autrefois elle était une chrétienne, maintenant elle est une rétrograde avec de mauvaises habitudes, elle fume la cigarette. C'est vrai. Cette jeune fille n'est pas dans cette région-ci ; elle est dans une ville appelée Toronto. C'est vrai, n'est-ce pas, madame ? Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue. Est-ce vrai ? Faites signe de la main, comme ceci, si c'est vrai. C'est tout à fait vrai, n'est-ce pas ? Puisse Dieu vous accorder le désir de votre cœur, ma sœur.

            Père céleste, de même que la foi de cette femme a pu toucher le bord du vêtement du Seigneur Jésus, sur base de l'alliance inconditionnelle donnée par grâce à Son peuple, je Te prie, en tant que ministre de l'Evangile, de lui accorder le désir de son cœur, au Nom de Jésus-Christ, je prie. Amen.

103.     Qu'en est-il de ce côté-ci ? Croyez-vous de tout votre cœur ? Je vois quelque chose de terrible arriver. C'est une femme assise ici, dans la rangée de devant, en train de prier pour sa fille qui est dans un asile de fous. C'est vrai, n'est-ce pas, madame ? Croyez-vous de tout votre cœur que Dieu entendra et exaucera la prière ? Croyez-vous ? Oui… ?… église, vous savez… je ne vous ai jamais vue de ma vie, mais cette vie là ne peut pas être cachée maintenant. Très bien. Croyez-vous maintenant ? Vous n'êtes pas de cette ville-ci, non plus. C'est le Saskatoon, Saskatchewan, là où une rivière traverse la ville. Ayez foi. Prions.

            Bien-aimé Dieu du ciel, sois miséricordieux. Accorde-lui sa requête, je prie au Nom de Christ. Amen.

            Qu'en est-il de quelqu'un d'autre ici ? Ayez foi. Ne pensez pas que vous êtes sans secours.

            Je vois une pauvre femme assise avec la tête inclinée. Elle se meurt du cancer. Elle est assise sur un petit siège, un beau petit siège… avec on dirait, sa petite famille qui est assise avec elle. Madame Hansen, pensez-vous que le Seigneur Jésus peut vous rétablir ? Comment ai-je su votre nom ? Croyez simplement en Lui maintenant de tout votre cœur.

            Ô Dieu, sois miséricordieux envers cette pauvre et précieuse personne. Epargne sa vie, Seigneur, sous les ailes du Tout-Puissant. Puisses-Tu la bénir et la protéger. Ton aimable Esprit est ici rafraîchissant simplement chaque cœur de Ta bénédiction. Accorde-le, Seigneur.

104.     Maintenant, amis, regardez dans cette direction-ci, juste une minute. Êtes-vous convaincus que Jésus est ressuscité d'entre les morts ? Croyez-vous qu'Il est ici ce soir ? Cela m'affaiblit beaucoup, de m'abandonner. Eh bien, si vous avez…

            Si j'ai trouvé grâce dans votre cœur, faites ceci pour moi, allez-vous le faire ? Peu importe votre maladie, acceptez Christ maintenant même comme votre Guérisseur, comme vous L'accepteriez comme votre Sauveur. Laissez-moi prier pour vous là même. Il exaucera ma prière de la même façon à partir d'ici tout comme Il le fera à partir de là, si vous étiez ici. Et puis, je crois que chacun de vous peut se lever et rentrer chez lui bien portant. Croyez-vous cela ? Maintenant, inclinons la tête juste un instant. Tout le monde, soyez respectueux.   

            Effectuez juste un petit déplacement dans l'esprit maintenant, et rappelez-vous, représentez-vous que vous voyez le Seigneur Jésus descendre l'allée, se tenir là, à côté de vous, et dire : "Mon enfant, Je - Je veux te guérir plus que toi, tu ne le veux. Et j'ai fait tout ce que je peux faire maintenant ; J'ai donné Ma vie ; J'ai versé Mon Sang ; Le Père a séparé l'Esprit et le Corps. Je suis revenu pour être avec toi.

105.     Ce n'était pas frère Branham ; c'était juste, il s'était simplement abandonné. Je l'ai envoyé et il s'est simplement abandonné. Et c'est Moi qui te parle, pas lui. Mais il te dit la Vérité. Il ne s'attribue pas les mérites; il dit que c'est Moi. Et c'est Moi qui suis mort pour toi. Et ne voudras-tu pas Me croire maintenant même, Moi le Fils de Dieu ? " Et L'entendez-vous vous dire cela ? Croyez donc en Lui pendant que nous prions.

            Père céleste, on se tient tout près maintenant même. Puisse chaque cœur tendre, ressentir cette cicatrice de clou alors que cela fouille prés de votre main alors vous la touchez, disant : "J'enlève tout simplement toute iniquité et toute incrédulité. Je vais vous guérir ce soir et vous donner la foi pour partir et croire de tout votre cœur que Moi, le Fils de Dieu, Je vous ai rétabli. " Accorde-le, Seigneur.

106.     Que ceux qui sont malades, ou liés, ou affligés, que ceci soit la fin de leur souffrance. Que chaque douleur quitte leur corps maintenant même. Que toutes les peines de maladie, et la - et la nausée, que tout cela quitte. Et que ceux qui ont été boiteux, puissent-ils ressentir la gloire de Dieu parcourir leurs membres et les ramener à l'état normal. Ô Dieu, le Père d'Abraham, à nous en tant que postérité d'Abraham, accorde cette bénédiction, Père.

107.     Et je défie l'ennemi qui les a défiés. Et nous ramenons, non pas par notre propre force, mais par le Sang du Seigneur Jésus, et nous lui disons : "Satan, tu es vaincu. Jésus-Christ t'a dépouillé de tout ce que tu avais au Calvaire. Tu n'as aucun droit légitime, aucun droit légitime. Christ a racheté tout ce que Adam avait perdu : Notre santé, notre force, notre esprit éternel qui était perdu en Adam, mais Christ nous L'a restitué une fois de plus, gratuitement par la grâce. Et Il est ici ce soir parmi nous, vivant, œuvrant, accomplissant des signes et des prodiges.

            Et des gens sont assis ici avec leurs mouchoirs au visage, pendant que des larmes chaudes coulent sur leurs joues, des mères, tenant leurs petits enfants, et le papa a sa main sur la maman, et elle était malade, des gens assis dans des fauteuils roulants, couchés sur des civières, certains parmi eux font de crises cardiaques, d'autres se meurent de cancer, Satan, tu es cruel. Jésus est juste. Nous t'adjurons, Satan, au Nom de Jésus, de quitter chacun d'eux, et de les laisser rentrer chez eux ce soir libres, se réjouissant, rendant gloire à Dieu, et réclamant la promesse de la guérison divine que Dieu leur a donnée gratuitement. " Par Jésus-Christ, le Seigneur, nous le demandons.

108.     Avec vos têtes inclinées, votre cœur ouvert devant Dieu, combien sentent dans leurs cœurs, que vous pouvez maintenant accepter Christ comme votre Guérisseur ? Levez la main, vous qui êtes malades. Que Dieu vous bénisse, c'est vrai. Amen. Oh, Gloire soit rendue à Dieu. Restez dans la prière pendant que nous… Gardez votre… C'est merveilleux. J'ai vu un homme tremblotant, lever sa main, et elle s'est redressée. Gloire au Seigneur ; c'est bien. Ayez foi. Maintenant, pendant que nous avons nos têtes inclinées, je vais demander à Frère Cox, qui se tient ici à côté de moi, d'offrir une prière, et de demander à tous ceux qui désirent prier, de venir un instant à l'autel, après la prière.

            Prions. Frère Cox, s'il vous plaît.

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