TENEZ-VOUS LA, ET VOYEZ LA DELIVRANCE DE L’ETERNEL

Date: 57-0629 | La durée est de: 1 hour and 10 minutes | La traduction: SHP
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1.         Prions juste un instant. Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir pour l’Adorable Seigneur Jésus qui a rendu possibles toutes ces grandes bénédictions dont nous avons le privilège d’anticiper par Ses redoutables souffrances, à notre place, Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, et par la venue du Saint-Esprit. Et ce soir, nous Te prions de nous bénir tous ensemble, alors que nous nous attendons à davantage de Parole de Ta part. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2.         [Frère Branham parle avec frère Boze. – N.D.E.] Oui. Oui, ils sont au Canada.

            C’est un grand privilège d’être une fois de plus ici ce soir à l’Eglise philadelphienne. C’est vrai. Je n’ai pas assez de voix, elle est d’un volume faible, et qui va jusqu’ici. Je… Mon petit garçon, Joseph, quand… Il y a deux jours, ma femme ne savait pas qu’elle aurait à venir ; en cette grande saison pluvieuse que nous connaissons, il a contracté un mal de gorge. Eh bien, c’est un fils à papa, vous savez ; ainsi, je joue avec lui, je saute, on joue ensemble. Eh bien, je me suis rendu compte que j’avais un petit mal de gorge en venant ici. Mais ça vaut la peine d’avoir un bon garçon comme Joseph, avec qui jouer.

            Et le Seigneur a été bon envers lui ; nous priions pour un certain problème, et nous demandions au Seigneur, si c’était Sa volonté, de–de faire une certaine chose, qu’Il arrête immédiatement la fièvre. Il ne l’a pas fait. Nous avons attendu environ 4 heures. Puis, j’ai de nouveau prié : « Seigneur, si c’est Ta volonté pour moi de faire telle chose, arrête la fièvre. » Et ça a aussitôt baissé. Eh bien, alors je… elle n’est plus jamais revenue. Ainsi, je–j’ai su que c’était donc Dieu qui agissait pour une décision que je devais prendre tout de suite. J’en étais donc vraiment reconnaissant.

3.         Eh bien, frère Joseph m’a demandé de venir parler ici à l’église, étant donné que nous sommes ici pour cette grande convention des Hommes d’Affaires Chrétiens du Plein Evangile. Et je vois beaucoup d’entre eux assis ici ce soir. Je suis très reconnaissant pour eux et de ce qu’ils sont représentés ici ce soir, frère Rowe et frère Coe, et, oh ! beaucoup d’entre eux, là dans l’auditoire, qui–qui–qui sont ici dans le service ce soir. Frère Sonmore, notre frère qui vient de la Suisse, je ne peux pas… C’est inutile pour moi d’essayer d’épeler ce nom arménien, je n’y arrive pas. Et si je… Mais il y en a beaucoup ici, et nous sommes reconnaissants pour ces hommes. Et je vois mon bon ami, les Normans, ici, ils ne sont pas de cette ville. Et je vois aussi frère Sothmann, et mon frère qui vient de l’Allemagne, et–et, ou plutôt de la Suisse, non, c’est de l’Afrique du Sud. Et, oh ! ils sont ici, venant de partout.

            Je me souviens du premier… du dernier service que j’ai tenu au tabernacle, à Jeffersonville, avant d’effectuer une tournée évangélique. Ma femme avait chanté pour moi :

Ils viennent de l’est et de l’ouest (vous avez entendu cela.)

Ils viennent des pays lointains,

Fêter avec le Roi,

Dîner comme Ses convives

Oh ! qu’ils sont bénis ces pèlerins.

4.         Merci, Joseph. C’est de la bonne eau pour Chicago. Celle de  Jeffersonville la dépasse de loin ; la vôtre provient du lac, et la nôtre, d’un puits. Mais nous savons tous que ceci n’est que la banlieue de Jeffersonville, et comme elle coule  dans cette direction-ci, eh bien, vous en arrivez à avoir l’eau du lac. Oui.

            Nous sommes content d’être à Chicago, dans cette grande convention ici donc à l’hôtel Sherman. Et nous prions que les bénédictions de Dieu reposent sur la réu… sur ce service, sur les Hommes d’Affaires Chrétiens et les… Comme frère Joseph l’a dit : « Sans publicité, juste un petit endroit où nous pouvons nous réunir. » Il y a beaucoup d’églises par ici. Voyez-vous ? Ainsi, juste un petit endroit où nous réunir. Et je connaissais très bien frère Joseph. Et il voudra bien m’excuser ce soir d’être enroué et tout.

5.         Je me suis dit que je parlerai juste un petit moment, et puis, je vais prier pour les malades. Alors, demain après-midi, le Seigneur voulant, j’aurai un service d’évangélisation, demain après-midi, à 14 h. Je ne pense pas qu’il y ait un autre service en–en cours, à ce que je sache, demain après-midi. Et j’ai un message d’évangélisation sur la Vie Eternelle. Ainsi donc, si vous êtes dans les alentours et que vous vouliez venir, nous serons heureux de vous avoir.

            Demain soir également, nous allons probablement prier pour les malades une fois de plus, demain soir. Et puis, la convention commence le lundi, c’est l’ouverture officielle. Ainsi, que le Seigneur vous bénisse maintenant alors que vous priez pour moi pendant que je lis ici, dans la Parole de Dieu, juste un–un petit texte, ce que nous pourrions appeler texte, et voir ce que le Seigneur va nous donner comme contexte. Je suis aussi content de regarder au fond et de voir mon bon ami, frère John O’Bannon qui vient de Louisville. L’autre jour, il nous a accompagné, et je suis… Nous nous sommes perdus dans la foule quelque part ce matin, frère John, et je–je t’ai perdu.  Mais je suis heureux de voir frère O’ Bannon ce soir dans la réunion.

6.         J’aimerais lire juste une portion, ou juste une ou deux Paroles dans II Chroniques 20.17 :

            … tenez… là, et voyez la délivrance de l’Eternel…

            C’est ce que j’aimerais utiliser comme sujet, II Chroniques 20.17 : Tenez-vous là, et voyez la délivrance de l’Eternel.

7.         Nous connaissons bien ces passages des Ecritures et, en ce jour où nous vivons, nous voyons une grande agitation parmi les gens, les gens vont çà et là, roulant dans les rues comme Jéhu, sans savoir où ils vont ; ils s’en foutent, se heurtent et font des accidents. Et, on dirait, un âge des névrosés. C’est le temps, je pense, où nous devons tous nous arrêter un petit moment et faire un peu l’inventaire. Où allons-nous ? Eh bien, Dwight Moody faisait ces mêmes tournées ici probablement à bord d’une voiture à cheval. Et il a accompli une œuvre que… mieux que ce que nous faisons aujourd’hui. Et, le grand-père, la grand-mère, comment ils allaient de lieu en lieu, mais on dirait que nous sommes si pressés, mais nous n’allons nulle part.

8.         Eh bien, dans ce passage particulier des Ecritures que nous sommes… nous venons de lire, c’était au moment où il y avait  une grande crise. Les gens étaient devenus tout nerveux, agités, à cause d’une grande armée envahissante. Les Moabites montaient contre Juda. Et c’était un temps de tension. Et les gens étaient tout agités, ils ne savaient où aller. Josaphat, un homme de Dieu juste, avait essayé de faire tout son possible pour servir le Seigneur. Et alors, les gens étaient tout agités à cause d’une grande armée envahissante.

            Il nous arrive bien souvent à tous d’en arriver à ne pas nous tenir tranquilles et d’être nerveux. Aussitôt que nous nous mettons à faire quelque chose de bien, alors nous voyons surgir des troubles. Mais c’est le diable qui cherche à perturber le programme de Dieu. Nous le voyons dans notre vie en tant qu’individu. Nous le voyons dans le monde des églises. Nous le voyons dans nos affaires nationales. Nous le voyons partout. Et alors, nous pouvons savoir que quand nous sommes sur le point de faire le bien, le mal est toujours présent. Mais, pour vaincre cela, il faut penser dans votre cœur à la voie que  Dieu voudra que vous suiviez  et c’est la meilleure voie ; alors, accrochez-vous-y.

9.         C’était donc en ce grand jour de… cette heure d’agitation que le Seigneur a parlé. Et Il a parlé par un petit prophète qui se tenait là tout près et qui a dit : « Tenez-vous là, et voyez la délivrance de Dieu. Vous n’aurez point à combattre en cette affaire. » Mais tant qu’ils étaient ensemble, priant, c’était l’affaire de Dieu.

            Et je pense que c’est le cas ce soir. En cette grande heure où les membres de la grande église et les grandes églises se querellent et se disputent, où les barrières dénominationnelles nous séparent, où nous nous débattons ici et là, il est temps de nous tenir tranquilles. C’est l’affaire de Dieu. Ce n’est pas notre affaire, pour commencer. Dieu veut que nous nous tenions tranquilles. Et quand Dieu est sur le point de faire quoi que ce soit, généralement, Il ordonne à Son peuple de se tenir tranquille.

10.       Une fois, alors que le test était en cours, quand le peuple de l’alliance était sorti de l’Egypte sous la conduite du Saint-Esprit, Moïse, le grand leader… et les espions sont entrés dans la Terre promise. Dix d’entre eux en revinrent et dirent : « Nous ne pouvons pas nous en emparer. Ce sont des géants ; nous sommes trop petits. »

            Mais il y en eut deux hommes, Caleb et Josué, qui y étaient aussi allés, et eux ont dit… ils firent taire le peuple.

            Pour commencer, l’un disait ceci et l’autre, cela. L’un disait : « Pourquoi nous avez-vous fait sortir ? » Si ce n’est pas la condition actuelle, c’est que je ne la connais pas. « Pourquoi faisons-nous ceci et pourquoi faisons-nous cela ? »

            Alors, Caleb fit taire le peuple devant Moïse. Et il dit : « Nous sommes bien capables de traverser nous en emparer. » En effet, cela dépend de ce que vous considérez. Certains considéraient l’obstacle, les grandes armées, les grandes murailles, la grande taille des gens. Mais Caleb considérait la promesse de Dieu. Et l’heure était venue où Caleb devait faire taire les gens avant de pouvoir leur parler de la promesse de Dieu.

            Et je pense que ce dont on a grandement besoin aujourd’hui, c’est que le peuple se tienne tranquille et voie ce que Dieu a promis. C’est un jour où Dieu accomplit Sa promesse. Ce sont des choses qui doivent arriver. Elles doivent s’accomplir. Par conséquent, il nous faut voir la promesse de Dieu, nous tenir tranquilles et voir s’opérer la délivrance de Dieu. Dieu agit toujours conformément à Sa Parole, et Il calme le peuple.

11.       Quand Dieu est sur le point de faire quelque chose, les gens deviennent tout agités. La raison pour laquelle ils étaient agités lors de leur voyage, c’est qu’il y avait une multitude de gens de toute espèce qui était montée. Puis arriva le temps de l’épreuve. Oh ! Voici ce que j’aimerais vous faire remarquer : chaque fois que Dieu agit, il y a toujours une multitude de gens de toute espèce ; cela attire l’attention de tous et suscite une multitude de gens de toute espèce. Quand Dieu agit, vous trouverez toutes sortes d’ismes, et tout bouge à cause de cela. Mais le temps du test était venu. Dieu éprouve chaque fils ou chaque fille qui vient à Lui, sans aucune exception. Dieu les soumet à un temps d’épreuves pour les tester.

12.       Eh bien, quand Dieu était sur le point de parler, Il a dû calmer le peuple. Et c’était un jour, là loin, lors de la sortie de l’Egypte, avant qu’ils en arrivent là, Dieu voulait montrer Sa gloire. Et Dieu ne peut montrer Sa gloire que quand Son peuple se tient tranquille et s’y attend. C’est ça le problème aujourd’hui avec notre église. Les gens ne se tiennent pas tranquilles pour s’attendre à la gloire de Dieu. Il est écrit dans les Ecritures : « Tenez-vous là, et voyez la gloire, ou la délivrance de Dieu. »

13.       Eh bien, quel temps ils ont connu, en arrivant à la mer Rouge ! Ce peuple de l’alliance qui avait la promesse de Dieu et qui tenait ferme sur la promesse… Et il est très étrange de voir que quand les gens prennent position pour Dieu, on dirait que le diable leur met tous les bâtons possibles dans les roues. Mais Dieu fraye une issue.

            Certaines de plus grandes expériences que j’aie donc eues avec Dieu, c’est quand je me retrouvais dans une situation où il m’était impossible de surmonter passer par-dessus, ou passer par-dessous, ou de contourner, où je n’avais qu’à me tenir simplement tranquille. Dieu fraye là une voie d’une façon ou d’une autre. Il n’a pas encore failli et Il ne faillira jamais. Dieu ne peut pas faillir.

14.       On dirait que quand ces enfants d’Israël sont arrivés devant cette mer Rouge, sous la conduite de la Colonne de Feu, poursuivis par l’armée de Pharaon, les montagnes et la mer leur barrant le chemin… Oh ! si toute la nature pouvait pleurer pour ce petit peuple sans armes face à une grande armée en marche… Mais parfois, le sentier de Dieu conduit droit à de tels endroits. Dieu tenait à démontrer Sa puissance. Dieu aime manifester Sa puissance.

            Oh ! parfois, quand je prends mon petit Joseph, ou l’une de mes fillettes, je m’assieds et je lui parle, je le mets sur mes genoux, vous ne savez pas ce que je ressens. L’un d’eux dit : « Papa, bombe tes muscles. Oh ! tu as de très gros muscles. » Il n’y en a pas de si gros là, mais tant que c’est cela qu’ils pensent, ça me fait du bien.

            Notre Père céleste aime que Ses enfants sachent qu’Il a des muscles, qu’Il peut faire des choses pour eux. Et parfois, je soulève une conversation pour que ça aboutisse à ça. J’aime bien les entendre dire cela.

15.       J’étais un boxeur. Aujourd’hui, je deviens vieux, gras, flasque et décrépit, mais j’aime toujours penser que je suis comme autrefois.

            Mais il y a une chose avec Dieu, Il demeure le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il ne connaît pas de vieillesse. Il est éternel. Et non seulement cela, mais tout celui qui Le reçoit devient éternel avec Lui. Car il n’y a qu’une seule Vie Eternelle, et c’est Dieu seul qui La possède. Et quand nous recevons la Vie Eternelle de Dieu, nous devenons éternels avec Dieu. Tout ce qui a un commencement a une fin. Dieu n’a pas de commencement et Il ne connaît pas de fin. Il est pour toujours éternel.

16.       Et quand ils sont arrivés là, à la mer Rouge, Dieu tenait à manifester Sa puissance. C’est ainsi qu’Il a arrêté la mer Rouge, celle-ci forma une muraille, se tint en alerte pendant que la petite bande de saints exaltés de l’alliance en traversait le lit, se dirigeant vers la victoire. Vous direz : « Des saints exaltés, Frère Branham ? » Oui, c’étaient des saints exaltés. En effet, quand ils sont arrivés de l’autre côté et qu’ils ont vu ce que Dieu avait fait, ils ont agi comme une bande de saints exaltés ; l’un chantait en esprit, et l’autre dansait en esprit, battant des tambourins. Mais Dieu a arrêté la mer Rouge et on L’a vu manifester la délivrance pour Son peuple.

            Si seulement Son peuple L’écoutait aujourd’hui, se tenait tranquille pour voir Sa promesse, Il aimerait leur montrer cette même chose aujourd’hui, délivrer Son peuple de la servitude du péché, du doute, des déceptions et de la maladie. Et chaque bénédiction de la rédemption pour laquelle Jésus est mort appartient au peuple. C’est pour vous. Dieu a arrêté la mer pour qu’elle Le voie accomplir quelque chose.

17.       Puis, un jour, quand le peuple à qui il avait été promis la Terre promise livrait un dur combat, avec Josué à la tête de la bataille, et que le soleil se couchait, Dieu a tenu à montrer à Son peuple Qui Il était. C’est pourquoi Il a arrêté le soleil pendant que la terre tournait, ou s’arrêtait, ou je ne sais quoi elle faisait, jusqu’à ce que Dieu a montré Sa puissance. Il a pu arrêter le soleil. « Soleil, arrête-toi. Je suis sur le point de faire quelque chose. » « Et Je veux manifester Ma puissance à un peuple qui fait exactement ce que Je leur ai promis de faire. »

            Oh ! quel privilège béni est-ce, de savoir que nous servons ce même Dieu aujourd’hui ! Il calmera tout pendant qu’Il manifeste Sa Puissance.

18.       Un jour, il y eut un prophète qui se tenait ferme sur l’éternelle promesse bénie de Dieu. Il a pris Dieu au Mot et il savait que Dieu était capable de le délivrer. Le roi l’avait jeté dans la fosse aux lions, où il y avait des lions, des tigres et des bêtes sauvages gardés affamés dans ce but-là même. Et quand les lions ont foncé sur le prophète, Dieu les a arrêtés, toute la nuit, pendant que Dieu manifestait Sa puissance à Son prophète. Les lions se sont tenus tranquilles.

19.       Et un jour, on allait consumer des gens dans une fournaise ardente. Et Dieu tenait à manifester Sa puissance. Il a arrêté le feu, au garde-à-vous, pendant qu’Il parlait avec Son Eglise, Son groupe qui observait Ses commandements. Et, en sortant, ils n’avaient même pas sur eux l’odeur du feu. Dieu a arrêté la chaleur et le feu pour qu’ils voient Sa manifestation.

20.       Un jour, alors que l’orage s’abattait sur la mer et que les vagues étaient sur le point de mettre en pièces la petite barque, il y avait un Galiléen solitaire couché à la poupe. Et, oh ! ils étaient devenus nerveux, les croyants, tout effrayés et agités. Et Dieu tenait à manifester Sa puissance. Il est allé au-devant de la barque, Il a mis son pied dessus, Il a regardé vers le ciel, vers le vent, et a dit : « Silence, tais-toi ! » Les vents et les vagues se sont tenus au garde-à-vous pendant que le Fils de Dieu et Sa petite Eglise naviguaient sur la mer. Dieu a arrêté les vents et les vagues. Il aime manifester Sa puissance. Il aime manifester Son–Son omnipotence.

21.       Un jour, il y eut un vieil aveugle mendiant, assis près des murs de Jéricho, sans doute qu’il repassait dans son cœur les jours passés où il y avait sur la terre de grands hommes qui avaient pris Dieu à Sa promesse. Et il se souvenait que quand il était un jeune garçon, il se couchait dans les bras de sa jeune mère juive, lorsque celle-ci l’embrassait et que ses petits yeux étaient aussi brillants que les étoiles du ciel. Oh ! comme il pouvait se souvenir qu’il contemplait les grands astres la nuit, qu’il voyait les collines fleuries de la Judée, qu’il entendait sa mère raconter des histoires du grand Josué qui se tenait juste de l’autre côté des murs de Jéricho là, et qui avait rencontré le Chef de l’armée de l’Eternel. Comment Dieu avait arrêté le Jourdain le jour où Il manifestait Sa puissance pour amener le peuple en place, dans sa position. Combien il aimait entendre ces histoires de la femme sunamite, et du petit garçon mort, quand Dieu avait amené la mort à se tenir tranquille, à rester silencieuse jusqu’à ce qu’Il a pu démontrer « Je suis la Résurrection et la Vie. » Il amène tout à Lui obéir. Il aimait ces histoires.

            Et pendant qu’il était assis là, il pensait : « Oh ! il y a de cela plusieurs années. »

            Alors, il s’est déclenché un bruit là. Et les gens disaient : « C’est Jésus de Nazareth qui passe. »

            Dieu tenait à manifester Son amour envers un aveugle mendiant. Dieu tenait à montrer à cette foule qui hurlait qu’Il était bel et bien le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et la Bible dit que Jésus s’arrêta et dit : « Amenez-le ici. » Dieu arrêta Son propre Fils pour manifester Sa puissance. Si Dieu a dû arrêter Son Fils pour manifester Sa puissance, en cet âge d’agitation où nous vivons, à combien plus forte raison devrions-nous nous tenir…

22.       [Espace vide sur la bande – N.D.E.] … pour montrer aux gens l’accomplissement de la Parole, ce n’est pas qu’Il était obligé de le faire, mais afin que la Parole soit accomplie. Dieu tenait à accomplir Sa Parole et à sceller la qualité de Messie de Son Fils.

Il y eut un homme qui était mort, enseveli et gisant dans la tombe, puant. Les vers du corps grouillaient en lui. Il n’y avait plus d’espoir. Mais je vois un petit Personnage dont l’aspect n’avait rien pour nous plaire. Il a redressé Ses petites épaules voûtées et a dit : « Je suis la Résurrection et la Vie; a dit Dieu. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. » Il a demandé : « Crois-tu cela ? »

            Elle a répondu : « Oui, Seigneur, je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde. »

            Sur base de cette confession de foi et de sa foi dans le Fils de Dieu, Dieu allait manifester Sa puissance. Et l’âme d’un homme, qui avait effectué un voyage de quatre jours, quelque part là dans l’espace... le Galiléen a arrêté l’ange de la mort pendant qu’Il ressuscitait cet homme ; et la corruption a reconnu Son maître. Et un homme mort depuis quatre jours s’est tenu sur ses pieds et a de nouveau vécu. Dieu a arrêté la mort. Non seulement cela, mais dans cette résurrection, Il a prouvé Sa qualité de Messie.

23.       Ce monde devient davantage nerveux ; l’église est nerveuse ; elle chancelle comme un homme ivre qui rentre chez lui. C’est vrai. Mais un de ces jours, elle aura une dépression nerveuse, c’est assez sûr. Mais Dieu fera s’arrêter tout, Il va même faire arrêter le temps pour faire place à l’éternité quand Il viendra recevoir Son Eglise. J’attends ce jour-là, cette heure bénie et sainte.

            Mon frère, ma sœur, cette vieille Amérique, ce Chicago a reçu secousse après secousse. De puissants hommes ont été envoyés à l’église : les Vermer Gardner, Oral Roberts, A.A. Allen et différentes personnes qui ont parcouru… et les Billy Graham, qui ont parcouru les nations, et Dieu a manifesté Sa puissance chaque fois qu’Il pouvait amener un homme à se tenir tranquille assez longtemps, à examiner les Ecritures et à débarrasser sa tête des idées dénominationnelles. Dieu a manifesté Sa puissance, qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

24.       Or, malgré cela, en cette redoutable heure de secousse où le diable, s’il ne peut pas vous empêcher de voir la Vérité, vous poussera par-dessus bord avec cela, l’église est de nouveau secouée. Hommes et frères, permettez-moi de vous dire ceci : ce n’est pas vous qui combattez en cette affaire. Une autre dénomination ne servira à rien, ni une persécution contre Dieu ; cela ne servira à rien. Tenons-nous là, et voyons  la délivrance de notre Dieu. S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il se manifestera. Ce qu’Il a fait hier, Il le fera aujourd’hui et éternellement.

25.       Et quand le plus grand Prince qui se soit jamais tenu sur terre était conduit au Calvaire comme antidote contre le péché, Il mourut là pour ôter les péchés du monde. Et « Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. » Quand Il fut mis dans la tombe, Il y passa trois jours et trois nuits… Mais Il ne pouvait pas voir la corruption parce que la Bible avait dit qu’Il ne le pouvait pas. Dieu a amené chaque démon de l’enfer à retirer tout ce qu’il avait dit. Oh ! comme j’aime ce merveilleux Jésus ! Il a fait lâcher prise à chaque démon de l’enfer. Il a fait honte à chaque incroyant et à chaque critique. Quand Il a manifesté Sa grande puissance, la mort s’est arrêtée sur Jérusalem, Jésus est ressuscité d’entre les morts, et Il est vivant ce soir, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

26.       Il y a juste quelques jours, comme je vous le racontais, là, dans un petit lac du Kentucky, flottait sur l’eau un petit poisson mort, là, depuis une demi-heure, et j’ai vu Dieu arrêter la mort, et un simple petit poisson… Si vous ne pensez pas que vous êtes plus qu’un poisson, combien l’homme vaut plus qu’un poisson ? Mais Dieu tenait à manifester qu’Il peut prendre des choses simples et démontrer qu’Il est toujours la Résurrection et la Vie. Il a arrêté la mort dans ce poisson et celui-ci a reçu la vie et a de nouveau nagé.

27.       Il y eut le sénateur Upshaw qui était dans un fauteuil roulant là en Californie, il avait été affligé pendant soixante-neuf ans, je pense, condamné, tous les jours de sa vie, dans un fauteuil roulant. Alors que chaque médecin qu’il pouvait consulter… et en tant que sénateur, il en a consulté des meilleurs, chaque orthopédiste et tout. Il a fait tout son possible, et il était complètement affligé à vie.

            Mais Dieu a arrêté les hommes de science pour qu’ils voient le sénateur Upshaw se lever de son fauteuil roulant et venir à l’estrade, rendant gloire à Dieu. Certainement.

28.       Ça ne fait pas deux ans, en octobre de cette année, le Reader’s Digest… quand Dieu a arrêté la clinique Mayo pour qu’elle suive le témoignage du petit Donny Morton sur cette maladie incurable, quand il a été amené à l’estrade, le Saint-Esprit lui a dit exactement quoi faire, et Dieu a guéri le jeune homme là.

            Lorsque je suis allé là, dans le monde scientifique, chez les John Hopkins et les Mayo, il y avait là sur leur estrade, ou plutôt sur leur table, le Reader’s Digest pour la lecture. Dieu a arrêté le monde médical pour qu’il voie la guérison de Donny Morton par la puissance de Dieu.

29.       Moi, en tant que Son serviteur, ce soir, je déclare qu’Il a raison. Dieu fera que chaque péché que vous n'avez jamais commis... Le diable qui réclamait votre âme, Il arrêtera le diable ce soir. Observez la puissance de Dieu descendre et ôter votre péché et votre iniquité, et vous donner le baptême du Saint-Esprit. Il le fera assurément. Il fera tomber chaque cancer. Il ouvrira chaque œil aveugle. Il fera marcher le boiteux. Il arrêtera le diable qui vous a affligé pour que vous voyiez la gloire de Dieu. Ce n’est pas votre affaire. Tenez-vous simplement tranquille ; c’est l’affaire de Dieu. Ne soyez pas agité. Ne soyez pas énervé. Tenez-vous tranquilles.

            Nous vivons en un temps formidable. Nous vivons en un temps glorieux. L’Eglise devrait se tenir tranquille maintenant pour recevoir la promesse. « Tenez-vous tranquilles, et observez la gloire de Dieu. » Il n’est pas le J’ETAIS. Il est le JE SUIS. Il est le même. Nous allons simplement nous tenir tranquilles, comme eux autrefois. Le JE SUIS, le même JE SUIS vit ce soir. Pendant que nous pensons à ces choses, inclinons la tête juste un moment.

30.       Adorable Père céleste, alors que nous nous approchons humblement de Ton Trône pour ces gens que Tu nous as donnés ce soir, il peut y en avoir ici, Seigneur, qui sont allés d’une église à une autre, d’un lieu de divertissement à un autre. Il peut y avoir des danseurs de boîtes de nuit ; il peut y avoir des buveurs de whisky ; il peut y avoir des fumeurs de tabac ; il peut y avoir ici ce soir des gens épris  de plaisir qui ont essayé de trouver la paix et qui n’ont pas pu la trouver. Ô Dieu ! Ta promesse, c’est : « Heureux ceux qui ont faim et soif, car ils seront rassasiés. » Que cette soif devienne si réelle ce soir au plus profond de leur être intérieur, dans le cœur de ces gens, qu’ils se tiendront tranquilles maintenant même et accepteront Christ. S’ils ont des ennuis dans leurs vies, que la tentation les a tellement assujettis par la convoitise et une vie mondaine, Tu arrêteras chaque démon alors qu’ils partent d’ici. Tu arrêteras la foule de leurs anciennes connaissances qu’elle voient  un saint passer à côté d’un bar sans du tout être troublé. Accorde-le, Seigneur. Parle aux cœurs des gens pendant que nous nous attendons à Toi. Et maintenant, nous nous tenons tranquilles pour voir ce que Tu as fait, pendant que ces quelques mots se déversaient dans les cœurs des gens.

31.       Si c’est le cas, pendant que nous nous tenons tranquilles, attendant, voudriez-vous juste lever la main vers Dieu pour : « Ô Dieu, pendant que je m’abandonne maintenant même, lave-moi et transforme-moi, encore. J’ai été tout troublé ; je suis allé d’un lieu  à un autre, mais dès ce soir, je vais me tenir tranquille. Je vais maintenant recevoir Christ. »

            Pendant que vous avez vos têtes inclinées et que l’église est en train de prier, voudriez-vous lever la main pour dire : « Priez pour moi, frère, alors que je… » ? Que Dieu vous bénisse, petite dame. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, mon frère. C’est merveilleux, oh ! comme c’est merveilleux ! Aussitôt qu’un homme a levé la main, j’ai vu Dieu faire quelque chose pour lui. Oh ! Jésus vit toujours. Il est ici ce soir, ici même. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, vous sœur là-bas. Que Dieu vous bénisse, vous madame ici. Y a-t-il quelqu’un d’autre ? Levez simplement la main.

            J’ai vu un homme affligé assis juste ici, il ne le sait pas encore, mais il est guéri maintenant même. Il a accepté Christ, et Dieu l’a guéri. J’ai vu cela s’accomplir il y a juste quelques instants. Que Dieu vous bénisse, frère. Quelqu’un d’autre pendant que nous prions ? « Je me tiens tranquille, Seigneur. » Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, sœur. Que Dieu vous bénisse. C’est vrai. Je m’abandonne. Oh ! j’ai…

32.       Maintenant, pour vous qui êtes malades, nécessiteux, dites : « Je me tiens tranquille, Seigneur. Je vais voir Ton salut. Tu as dit que ce n’était pas mon affaire ; ça ne sert à rien que je sois tout agité et nerveux. Devrais-je être membre des Assemblées ? Devrais-je être membre de l’Eglise de Dieu ? Devrais-je être méthodiste ? Devrais-je être baptiste ? Devrais-je fréquenter l’Eglise philadelphienne ? Ce n’est pas ça. Tenez-vous là, et voyez la délivrance de Dieu.

            Y a-t-il un autre pécheur, quelqu’un qui a des problèmes sur la route, qui dirait : « Par la grâce de Dieu, je me tiens tranquille ce soir, Frère Branham, pour voir la grâce de Dieu » ? Que Dieu vous bénisse, madame. C’est bien. Il y en a une ou deux douzaines qui ont levé la main. Que Dieu vous bénisse, sœur, assise juste ici devant. C’est très bien. Y en aurait-il un autre juste avant que nous priions ? Que Dieu vous bénisse, madame ; c’est bien.

33.       Notre Père céleste, ce soir, nous T’amenons humblement ces gens ici présents qui ont reçu la Parole. Il y en a beaucoup ici qui mènent une vie victorieuse et qui sont au sommet de la montagne où sont ceux qui sont heureux. Mais il y en a d’autres qui sont nécessiteux ; ils ont été troublés, allant d’un endroit à un autre. Je prie, ô Dieu, qu’en ce moment même, le glorieux Saint-Esprit entre dans leurs cœurs et fasse ce qu’eux-mêmes ne peuvent pas faire.

Même leurs facultés intellectuelles ne peuvent jamais atteindre ce point pour leur procurer cette satisfaction qu’ils ont ardemment désirée. Mais puisse le Saint-Esprit entrer dans leur âme maintenant même et leur donner la portion satisfaisante de Dieu. Je demande cette bénédiction pour eux au Nom de Christ. Amen. Oh ! quelle Chose bénie ! Vous sentez-vous bien ? Juste… Voulez-vous lever la main ? Chantons ce cantique une fois de plus maintenant

Tel que je suis sans aucune défense,

Sinon Ton Sang versé pour moi,

Et par la foi en Ta promesse,

O Agneau de Dieu, je viens.

Je viens !

34.       Oh ! il y a dans ce vieil Evangile béni quelque chose qui vous récure simplement jusqu’à l’intérieur. Ça me récure aussi. Cela fait que je me sens une personne différente. Eh bien, mes chers amis, je soutiens que Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Pourquoi allons-nous d’un endroit à un autre, et courons-nous vers ceci et cela, alors que vous n’avez pas à le faire ? Tenez-vous simplement tranquilles ; observez le salut de notre Dieu. Si Christ n’est pas ressuscité d’entre les morts, nous n’avons pas de salut. S’Il n’est pas le même hier, aujourd’hui et éternellement, nous n’avons pas de salut. Mais s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, nous avons le salut. Et c’est sur base de Sa promesse.

35.       Puissions-nous solennellement nous attendre à cela alors que nous prions pour les malades. Ne soyez pas agités. On a distribué quelques cartes. Nous allons en appeler quelques-unes à l’estrade. Et vous qui venez de lever la main là, monsieur, et qui avez accepté Christ, cette nervosité et ce mal d’épaule dont vous souffriez vous ont quitté maintenant. Croyez simplement de tout votre cœur. Oui, oui. C’est vrai. Vous êtes maintenant guéri. Vous pouvez rentrer chez vous, guéri. Vous avez levé la main il y a quelques instants vers Christ. Est-ce vrai ? Vous ne sentez plus cela, n’est-ce pas ? La nervosité est partie ; votre affection d’épaule est partie. C’est ce dont vous souffriez. Voyez ? C’est complètement fini. Vous êtes guéri, monsieur.

            Qu’est-ce ? Vous n’avez pas à deviner. Vous n’avez pas à adhérer à l’Eglise luthérienne, baptiste, presbytérienne, ou aux Assemblées, ou à l’Eglise philadelphienne ; tenez-vous simplement tranquille, et voyez la gloire de Dieu. Tenez-vous tranquilles, observez-Le. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

36.       Quelles cartes de prière ? La série B, vous dites ? La série B, de 1 à 100 ? De 50 à 100. Très bien. B 50, 51, 52, 53, 54, 55. [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Avancez de ce côté-ci de la ligne, et nous allons prier pour les malades. Maintenant, pendant qu’ils avancent et… Descendez là, certains d’entre vous, et aidez-les là. Frère Sothmann… Que dites-vous ? Frère O’Bannon, si tu…?... frère O’Bannon, voudrais-tu venir ici juste un instant, je t’en prie ? Billy veut que tu l’aides…?...

            Maintenant, pour le reste d’entre nous, je crois que je… Eh bien, combien ai-je appelé ? 55, 56, 57, 58, 59, 60. Très bien, pendant qu’ils avancent… Très bien.

37.       J’aimerais vous demander ceci maintenant. Tenons-nous tranquilles. Ce n’est pas à nous de nous inquiéter. C’est un jour comme celui dont le prophète a dit : « Ce sera un jour qui ne sera ni jour ni nuit. Mais vers le soir, la Lumière paraîtra. » Et c’est en ce temps béni du soir que nous vivons.

            Il y a ici des gens venus des pays de l’est, ils sont assis ici maintenant. Et nous savons que les Orientaux ont eu la Bible deux mille ans avant nous. Le Saint-Esprit est d’abord descendu à l’est. C’est alors que cela…?... fini. Alors qu’ils pensaient avoir fait disparaître Cela, Il est simplement apparu. Et aujourd’hui, un jour s’est levé, un jour sombre, comme le prophète l’a dit. Ils ont eu assez de salut, ou plutôt de Lumière là-dessus, pour accepter Christ comme leur Sauveur. Mais c’est le temps du soir maintenant ; le soleil se couche. Et la civilisation a évolué de l’est à l’ouest. Nous sommes sur la Côte Ouest. Un soir, le Seigneur voulant, peut-être à la soirée où je dois parler, le mercredi soir, j’aimerais parler durant cette convention sur : Quand l’est et l’ouest se rencontrent, un message prophétique.

            Mais nous sommes au temps de la fin, où l’est et l’ouest se rencontrent, où le même Saint-Esprit, le même Christ, qui a vécu au commencement vit encore aujourd’hui. Et j’aimerais vous faire remarquer que, juste avant le coucher du soleil… Voilà. Dieu a arrêté les nuages ombrageux de dénomination pendant que le Fils de la justice se lève avec la guérison sous Ses ailes. Les nuages ombrageux de doute de la part des sceptiques et des infidèles, leurs bouches sont fermées. Dieu les a arrêtés pour qu’ils voient Sa Gloire. Abandonnez-vous simplement ce soir et vous verrez Sa gloire.

38.       Si Christ est ressuscité d’entre les morts… Christ ne soutenait pas être un guérisseur. Il disait qu’Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait. Tout le monde le sait. Et Il a dit : « Vous ferez aussi les œuvres que Je fais, et vous en ferez même davantage, parce que Je m’en vais au Père. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. »

Alors, si vous vous tenez tranquilles dans votre cœur ce soir, juste… Je ne veux pas dire à l’extérieur, je veux dire dans votre cœur ; faites-le et dites : « Ô Christ, je T’aime ! Je me tiens tranquille sur ceci et sur cela ; sur, s’il me faut prendre ceci ou prendre cela, je Te prends à Ta promesse. S’il Te plaît, Christ, ce soir, laisse-moi voir Ta divine puissance être manifestée comme Tu le faisais jadis. Alors, mon âme se tiendra tranquille. Mon esprit se tiendra tranquille. Mes facultés intellectuelles se tiendront tranquilles. Mes études  s’arrêteront. Et je verrai Ta Parole et L’accepterai. »

            Et Satan s’arrêtera. Votre maladie s’arrêtera et observera la gloire de Dieu vous faire passer de nouveau de la maladie à la bonne santé. « Tenez-vous là, et voyez la gloire de Dieu. »

39.       Très bien. Où sont frère Sothmann et… Tenez-vous simplement tranquilles pendant les quinze, vingt prochaines minutes. Quel défi ! Nous y sommes. Voici la démonstration, quand Christ doit se manifester vivant. Si seulement je vous enseigne une Parole, et que cette Parole ne manifeste pas Celui qui L’a proclamée, alors cette Parole n’est pas plus que d’autres paroles écrites. Si cette Bible ne vit pas ce soir dans ce tabernacle, alors ce n’est pas la promesse de Dieu. Alors, Bouddha et ses disciples ont autant de droits que nous, les musulmans aussi, les disciples de Mahomet, les Sikhs, les Jains, quoi qu’ils puissent être ; le sorcier est dans une  position tout aussi meilleure.

            Mais il y a une seule chose certaine, c’est que Christ est ressuscité d’entre les morts. Et si seulement Il peut amener Son Eglise à se tenir tranquille juste quelques instants, comme Caleb avait calmé le peuple… Eh bien, tenez-vous tranquilles, observez et voyez si Dieu vit toujours.

40.       Nous voici à la mer Rouge ; nous sommes inexpérimentés. Quand ils sont arrivés à la mer Rouge, ils étaient à un endroit où Dieu devait faire quelque chose. Je prêche Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. Tenez-vous là et voyez la gloire de Dieu. Ce n’est pas votre affaire pour commencer, c’est l’affaire de Dieu. Ce n’est pas votre promesse pour commencer, c’est la promesse de Dieu. Et je me tiens ici ce soir ; il ne m’incombe pas de découvrir ce que cette femme a. C’est Dieu qui a promis de le faire. C’est vrai. Je me tiens simplement tranquille, et la gloire de Dieu fait l’œuvre. Si j’y injecte l’une de mes paroles, ça ne marchera pas. Je n’injecte pas mes paroles ; je me tiens simplement tranquille, et je laisse Dieu agir. Ne soyez pas agité, disant : « Eh bien, si j’avais une carte de prière… » Tenez-vous tranquille.

41.       Maintenant, cette dame se tient ici ; elle se tient tranquille. Moi, aussi. Tout est calme. Voyons la gloire de notre Dieu. Croyez, ayez foi ; ne doutez pas. Je défie votre foi de faire cela.

            Eh bien, si le Seigneur Jésus est ressuscité d’entre les morts, il y a ici une femme que je n’ai jamais vue de ma vie. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Mais il y a quelque chose qui cloche chez elle, ou quelque chose comme cela, sinon elle ne se tiendrait pas ici. Et si Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, la femme au puits qui est venue vers Lui, et Il soutient être le même, Il peut manifester la même grande puissance. Et s’Il peut manifester la puissance ici sur cette femme en lui donnant une révélation comme Il avait fait avec la femme au puits, Il peut manifester la guérison tout autant qu’Il avait pu manifester le signe.

42.       La dame n’est pas ici pour elle-même. Elle est ici pour une autre femme. C’est vrai, n’est-ce pas, madame ? Cette femme-là est de loin plus jeune. C’est votre belle-fille. Elle a été dans un… comme un asile ou un hôpital. Il s’agit d’une maladie mentale, ou d’un traitement de choc. C’est vrai. Et maintenant, elle a une tumeur. Et vous vous tenez ici à sa place. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.

            Maintenant, est-ce vrai ? Levez la main. Vous vous êtes tenue tranquille et vous avez reçu Sa gloire. Je me suis tenu tranquille et j’ai vu Sa gloire. Vous vous êtes tenue tranquille et vous avez vu Sa gloire. Alors, Il est le même Seigneur Jésus. Allez et recevez ce que vous avez demandé, sœur. Et puisse le Dieu du Ciel vous accorder ce que vous avez demandé. Amen.

43.       Bonsoir. Je suppose que nous sommes aussi inconnus l’un à l’autre. Vous êtes debout. Ne soyez pas nerveux, agité ; tenez-vous simplement tranquille et sachez que Christ est ressuscité d’entre les morts. Et si Christ est ressuscité d’entre les morts et qu’Il le prouve, alors chaque promesse bénie qu’Il a faite est pour vous. Car vous êtes un croyant ; exact. Et si Christ me dit ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous croire qu’Il vit ici ? Croyez-vous que c’est Christ qui me l’aura révélé, étant donné que nous sommes inconnus l’un à l’autre ? Sommes-nous inconnus l’un à l’autre ? Si c’est le cas, levez simplement la main pour montrer que c’est ça.

Oui, franchement, vous êtes sur le point de subir une intervention chirurgicale. Vous avez une maladie interne, une maladie interne. Vous avez été examiné pour cette maladie interne. Vous êtes aussi extrêmement nerveux. Et vous souffrez du cœur, et votre cœur souffre de nervosité (c’est vrai), un cœur qui souffre de nervosité. Vous n’êtes pas d’ici. Vous venez d’une autre ville située à l’ouest d’ici, très loin, dans le Nebraska, une ville appelée Daulton, quelque chose comme cela, dans le Nebraska. C’est vrai. Rentrez chez vous ; Jésus-Christ vous a guéri. Allez et croyez maintenant, et ne doutez pas, et votre cœur ne vous dérangera plus. « Si tu peux croire. »

44.       Très bien, madame, c’est comme si je vous ai déjà vue. Peut-être que je vous ai déjà vue. Mais je n’ai aucune idée de ce qui cloche en vous, vous le savez. Nous sommes… En effet, je vous ai vue quelque part ; je n’arrive pas à localiser cela. Mais savez-vous que le même Dieu qui a calmé la mer Rouge nous calme, vous et moi, pour que nous Le voyions manifester Sa puissance ? Regardez l’auditoire là, voyez-vous combien ils sont calmes ? Nous regardons pour voir si Christ est ressuscité d’entre les morts. Il a dit : « … les œuvres que Je fais… Celui qui croit en Moi (Saint Jean 14.7) fera aussi les œuvres que Je fais. » C’est soit vrai, soit faux.

            Vous n’êtes pas ici pour vous-même. Vous êtes ici pour un–un jeune garçon. Et c’est un fils, non, c’est un petit-fils. C’est votre petit-fils. Et ce petit-fils souffre de glande, cela a affecté son ouïe. C’est vrai. Prenez ce mouchoir que vous tenez en main pour que je prie dessus, posez-le sur lui, il recouvrera son ouïe. Allez au Nom de Jésus-Christ et ne doutez pas. Amen.

45.       Croyez-vous ? Etes-vous venu pour vous tenir tranquille dans la Présence du Dieu Tout-Puissant et voir Sa puissance rendue manifeste ? Si… Il ne pourra jamais… Il ne peut pas me donner la puissance pour vous guérir, parce qu’Il a déjà accompli la guérison. C’est une œuvre accomplie. Mais Il peut me donner la puissance de vous le faire comprendre, s’il y a en vous quelque chose pour vous amener au point de vous faire comprendre qu’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il se tient ici. Est-ce vrai ?

Je vois la dame avec une espèce de–de bandage autour de son bras. Non, on lui prélève la tension. L’hypertension, c’est ce dont elle souffre. C’est vrai. Et puis, vous souffrez d’une espèce de maladie de vésicule biliaire. Et vous venez récemment de subir une intervention chirurgicale pour cette maladie de vésicule biliaire. C’est vrai. Et vous vous tenez tranquille dans la Présence du Dieu Tout-Puissant pour être guérie. Croyez-vous cela ? Allez-vous accepter cela ? Alors, au Nom de Christ, allez et recevez cela, et soyez rétablie. Amen. Que Dieu vous bénisse.

46.       Bonsoir. Juste un instant. La dame a un esprit de surdité sur elle. Voudriez-vous incliner la tête juste une minute jusqu’à ce que nous puissions l’amener à entendre ?

Ô Dieu, au Nom de Jésus-Christ, je Te prie de lui redonner son ouïe. Accorde-le, Seigneur. Et je condamne le démon qui l’a rendue ainsi. Manifeste Ta puissance, ô Dieu ! Que cette femme puisse entendre. Et alors, accorde-lui la révélation, Seigneur, quand elle entendra, afin qu’elle puisse reconnaître Ta gloire. Je réprimande ce démon et le chasse d’elle au Nom de Jésus-Christ.

            Depuis combien de temps êtes-vous dans cet état ? Vous m’entendez très bien maintenant. Vous êtes guérie. Voyez, voici votre petit support auditif là. C’était votre meilleure oreille, mais vous pouvez maintenant entendre de deux oreilles. Voyez ? M’entendez-vous ? M’entendez-vous ? Vous êtes guérie. Eh bien, que le Seigneur vous bénisse. Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Eh bien, parlons juste une minute maintenant que vous entendez. Il ne vous oubliera pas.

            Vous souffrez d’une autre maladie, qui est… Vous avez… Ça rend raide, c’est l’arthrite. Vous avez l’arthrite. Vous êtes très nerveuse. Et je vois que vous avez fait un accident. Vous vous êtes fracturé le poignet. C’est vrai. Et maintenant, c’est enflé. C’est vrai. Au Nom de Christ, je réprimande cela et réclame sa guérison. Amen. Maintenant, bougez votre poignet en avant et en arrière, comme ça, maintenant ; faites comme ceci. Eh bien, vous pouvez poursuivre votre chemin en vous réjouissant, guérie et rétablie.

            Disons : « Gloire soit rendue au Dieu vivant et Tout-Puissant. » Croyez-vous ? « Tenez-vous simplement tranquilles, et sachez que Je suis Dieu », a-t-Il dit. Ce n’est pas votre affaire ; c’est l’affaire de Dieu.

47.       Croyez-vous que Dieu guérit cette hernie qui est sur vous, vous assis-là, monsieur ? La hernie ? Vous vouliez qu’Il le fasse, n’est-ce pas ? C’est pour cela que vous priiez. Si c’était ça, levez la main. Très bien, si vous croyez cela, vous l’avez reçu. Et au… Amen. Ayez foi en Dieu.

Voulez-vous guérir de cette maladie gynécologique, cette maladie des femmes, et rentrer, rétablie ? Alors, croyez en Dieu et partez, poussez vers Lui des cris de joie maintenant que vous êtes tranquille, et louez-Le.

            Croyez-vous de tout votre cœur ? Vous voulez que Dieu vous guérisse de cette arthrite et vous rétablisse ? Alors, poursuivez votre chemin, vous réjouissant, et dites : « Gloire soit rendue à Dieu ! », et qu’Il vous rétablisse.

            La maladie du cœur, c’est facile à guérir pour Dieu. Croyez-vous cela ? Levez la main, recevez votre guérison et poursuivez votre chemin, rétabli, au Nom de Jésus-Christ.

48.       Voulez-vous encore manger et vous débarrasser de cette gastrite et être rétabli ? Cela vous affaiblit, vous fait perdre du poids et tout. Je vous ai vu, plus gros jadis que vous ne l’êtes maintenant, plus lourd. Ça vous fait constamment faire, on dirait, des renvois et tout dans votre estomac, tout le temps. Vous ne pouvez pas dormir la nuit à cause des crampes. Ce… C’est vrai, n’est-ce pas ? C’est vrai. Eh bien, croyez-vous ? Alors, partez et soyez guéri au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Croyez simplement.

Croyez-vous ? Eh bien, vous, votre maladie s’aggrave quand vous vous couchez ; c’est votre cœur, vous savez, il ne fait que palpiter et bouger comme cela, un cœur qui souffre à cause de nervosité. Croyez-vous que Dieu vous a guéri ? Allez donc recevoir la gloire de Dieu et soyez rétabli.

            Croyez-vous que Dieu vous débarrasse de cette arthrite ? Alors, quittez l’estrade en tapant du pied et louez Dieu. N’ayez donc pas peur. Faites ce que je vous ai dit.

            Croyez-vous en Dieu ? « Tenez-vous tranquille, a-t-Il dit, et sachez que Je suis Dieu. » Oh ! Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ne soyez pas tout tourmenté. Il est ici.

49.       Vous avez mal au sein, n’est-ce pas, madame ? La petite dame assise là avec quelque chose de rose, j’ai une vision. Oui, c’est vrai. Vous avez mal au sein. Je ne vous connais pas, et vous ne me connaissez pas ; mais vous avez touché Quelque Chose là, n’est-ce pas ? Vous savez que vous avez touché Quelque Chose. C’était Christ que vous avez touché, le Souverain Sacrificateur de notre confession.

La dame assise à côté de vous souffre de gastrite, n’est-ce pas, madame ? Croyez-vous que Christ va vous guérir ? Laissez-moi vous poser une question, vous–vous les femmes, vous deux assises là ensemble. Vous semblez être des amies, ou quelque chose comme cela, ou vous vous connaissez. C’est vrai, vous vous connaissez. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu, que Dieu m’a envoyé ici, ou plutôt Son serviteur, qu’Il m’a envoyé ici juste pour déclarer qu’Il est Dieu, qu’Il vous aime et qu’Il est ressuscité d’entre les morts ? Croyez-vous cela ?

Vous avez un fils, la dame assise ici ; vous avez un fils qui assiste à cette réunion. Il souffre de dos et il veut être guéri. C’est vrai, n’est-ce pas ?

Madame, vous là, vous avez une fille qui assiste à cette réunion. Et elle souffre du colon et elle veut être guérie. Si c’est vrai, vous deux, levez la main. Très bien, vous êtes toutes deux guéries. Maintenant, vous tous quatre dans la ligne là, vous voilà. Vous pouvez partir, rétablis.

50.       Croyez-vous que Dieu est toujours Dieu ? Alors, Il a dit… Ce n’est pas votre affaire ; c’est Son affaire. C’est de Lui qu’il s’agit. C’est l’ennemi qui vient, Dieu a dit : « Mais vous, tenez-vous tranquilles. » Ne soyez pas agités ; nous allons offrir une prière de foi pour chaque personne ici. Et chacun de vous sera guéri. Croyez-vous cela ? Alors, imposez-vous calmement les mains les uns aux autres.

            Oh ! mon frère, n’ayez pas peur ; ne soyez pas excité. Qu’est-ce que Dieu peut faire de plus ? Soyez tranquilles maintenant, et sachez qu’Il est Dieu. Ce n’est pas votre affaire. On a prié, et Il l’a dit à l’armée : « Présentez-vous, tenez-vous là, et observez Ma gloire. » Eh bien, ils ont passé deux jours à emporter le butin. Il a mis l’ennemi en débandade, l’a entraîné dans un grand tumulte, au point qu’ils se sont tués les uns les autres. Certainement.

            Si seulement vous vous tenez tranquilles maintenant et que vous reconnaissiez que Dieu vous a donné la promesse, Il l’a donnée dans Sa Bible, Il l’a confirmée par Sa résurrection. Il l’a manifestée par Son Eglise, Il l’a manifestée ici ce soir. J’ai continué à faire passer les gens jusqu’à ce que j’en ai eu un sur qui Il pouvait montrer, il s’agit d’une femme sourde, montrer qu’Il peut guérir la surdité. Il fera n’importe quoi, que ça soit la cécité, la surdité, le mutisme, quoi que ce soit. Ce n’est pas notre affaire ; c’est Son affaire. Il a fait la promesse. Croyons en Lui maintenant. Prions.

51.       Bien-aimé Jésus, par les fruits de ce petit message de ce soir, d’une manière ou d’une autre, par Ta grâce étonnante, nous avons trouvé grâce à Tes yeux, de sorte que Tu as manifesté Ton grand et puissant bras. Tu as accompli ici des signes que les hommes au cours des âges ont ardemment désiré voir. Tu as accompli ici des signes que John Wesley a ardemment désiré voir. Tu as accompli des signes que Calvin a ardemment désiré voir. Sankey, Moody, Finney, Knox, eux tous ont ardemment désiré les voir.

            Mais les Lumières du soir sont venues ; les barrières dénominationnelles se sont arrêtées, et les Lumières du soir brillent. Et nous sommes heureux de savoir que nous vivons dans la puissance rayonnante et guérissante du Grand Fils de Dieu qui a étendu Ses ailes sur cet horizon occidental afin de montrer qu’Il est le même qu’Il était en orient, à l’aube. Ce soir, cet auditoire se tient tranquille.

            Je T’offre cette prière de la foi au mieux de ma connaissance. Beaucoup ici T’ont reçu comme leur Sauveur. Ils T’ont accepté comme leur Guérisseur. Maintenant, ô Dieu, alors qu’ils attendent en ce moment béni, que le Saint-Esprit vienne du Ciel, qu’Il charge chaque cœur ici, que ce ne soit pas comme dans le passé, que ce soit différent. Que les gens se lèvent et voient le diable vaincu et chaque nuage d’obscurité dissipé, qu’ils se tiennent tranquilles là pour voir les affligés marcher, les aveugles voir et les sourds entendre.

            Satan, tiens-toi tranquille et vois la puissance du Dieu vivant ! Nous t’adjurons de t’éloigner de ces gens ! Que Dieu manifeste Sa puissance, au Nom de Jésus-Christ.

52.       Je défie chaque homme, chaque estropié, ou quelque soit votre situation, chaque personne qui a un bras estropié, qui est sourd, muet, ou aveugle de se lever en ce moment. Si vous souffrez du cancer, du rhumatisme, de quoi que ce soit, Satan devra s’arrêter et vous voir vous lever de votre fauteuil et rendre gloire à Dieu. Levez-vous maintenant et rendez gloire à Dieu. Observez le diable se tenir sur la ligne de touche. Levez-vous, au Nom de Jésus-Christ, et voyez la gloire de Dieu. Vous y êtes, tout l’auditoire est debout. Rendons-Lui gloire maintenant en tant que Grand Jéhovah et Dieu Vivant.

            Béni soit le Nom du Seigneur. Une petite femme qui ne pouvait pas se lever il y a quelques instants, son amie lui a imposé la main, et elle a bondi d’un saut, elle se tient juste ici. « Tenez-vous là, et voyez la puissance de Dieu. »

53.       Je Le louerai, je Le louerai ;

Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs ;

Rendez-Lui gloire, vous tous ;

Car Son Sang peut ôter chaque tache.

            Elevons nos voix, nos mains, nos cœurs, notre foi, nos émotions vers Dieu et chantons cela à tue-tête : Je Le louerai. Très bien donc.

Je Le louerai, je Le louerai,

Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs ;

Rendez-Lui gloire, vous tous,

Car Son Sang a ôté toute tache.

            Une fois de plus, allons-y, tout le monde maintenant.

Je Le louerai, je Le louerai,

Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs ;

Rendez-Lui gloire, vous tous peuple,

Car Son sang a ôté toute tâche.

54.       Puis-je le dire comme ceci : Rendez-Lui gloire, vous tous, car Son Sang a ôté tout doute. Amen. Tous les doutes sont ensevelis dans la mer. Croyez-vous cela ? Acceptez-vous cela ? Levez les mains vers Dieu. « Et j’accepte cela maintenant. Tous les doutes sont ensevelis dans la fontaine. Je crois en Lui. » Que le Seigneur vous bénisse, mes bien-aimés. Soyez à l’école du dimanche quelque part le matin ; rassurez d’assister à cette convention. Demain après-midi, le Seigneur voulant, je parlerai ici sur : La Vie Eternelle.

A  demain. Frère Boze, venez à l’estrade.

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