Conférence avec Dieu

Date: 59-1220M | La durée est de: 2 hours and 3 minutes | La traduction: Shp
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1 Nous avons bien sûr passé des moments si merveilleux cette semaine. Ça a été une grande semaine de bénédictions pour moi. Et je suis sûr qu’elle l’a été aussi pour vous, pour beaucoup d’entre vous ici. Plusieurs ont reçu le Saint-Esprit, et c’était notre but dans cette série de réunions.
La raison pour laquelle nous ne l’avons pas annoncé là à l’extérieur, c’est parce qu’il n’y a pas de – de place où installer les gens. Voyez ? Simplement nous… Soirée après soirée, les gens s’en vont tout simplement. Ce sont nos gens de la place, et nous n’avons annoncé cela qu’ici parmi les nôtres.
Et quant à la contribution maintenant même en rapport avec les paniers, cela concernait nos gens d’ici, comment… C’est une affaire de notre église. Ceci est notre école ordinaire du dimanche. Voyez ? Et les gens… Evidemment, si quelqu’un voulait apporter de l’aide dans ce sens-là, nous sommes – nous sommes certains que cela parvient aux nécessiteux. Nous avons dans cette ville des familles qui n’ont rien, qui n’auront rien pour Noël. Elles comptent sur cette église. Et ce faisant, de la sorte, eh bien, elles vont… Cela sera utilisé à cette fin. Le… Que l’un des diacres leur dise simplement à qui c’est destiné, sinon ma soeur là derrière prendra cela.

2 Eh bien, j’ai appris qu’on a déjà eu le service de baptême ce matin. Ils m’ont en quelque sorte devancé, n’est-ce pas ? Bon, alors nous en aurons un autre ce soir. Et ainsi nous en aurons deux. Nous pensons donc au moins que la piscine sera remplie. Car aussitôt après la réunion de ce soir, il y aura un autre service de baptême. Et certains ont dit qu’il faudrait qu’ils soient baptisés. Ainsi, Billy a couru il y a quelques minutes et m’a parlé, disant : «Ne viens pas tout de suite, parce que frère Neville doit d’abord baptiser. » Et il a dit qu’il y avait beaucoup de gens là qui devaient partir aussitôt. Et ils n’étaient pas sûrs que nous allions avoir le baptême ce matin.
Rappelez-vous, cette piscine est toujours ouverte, toujours, n’importe quand, à n’importe quelle heure de la journée ou de la nuit, prête pour le baptême. D’autres ministres viennent ici et se servent de cette piscine pour baptiser. Nous en sommes donc très heureux.

3 Il y a quelque temps, l’église méthodiste Park... J’étais là-bas pour un – un service de... pour prêcher. Et cet aimable frère a dit : «Je suis allé l’autre jour chez frère Branham pour utiliser ce – ce… Comment appelle-t-on ça ? »
J’ai dit que c’est difficile pour un méthodiste de dire « baptistère ». Ils avaient là un petit bassin dont ils se servent pour faire l’aspersion, vous savez, juste une petite histoire placée là. J’ai dit : «Baptistère, c’est un mot trop difficile pour un méthodiste. » C’est ce que j’ai dit.
Il a dit : «Nous voudrions en avoir un par ici. Je crois plutôt en cela. »
Rappelez-vous donc, les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, quiconque veut l’utiliser, le voilà. C’est ouvert, l’eau est gratuite.
Et nous avons un petit tube, un petit tube chauffant que nous plongeons là-dedans pour essayer de chauffer l’eau. Mais je vous assure que maintenant cela ne chauffe pas l’eau. C’est l’eau la plus froide que j’aie jamais touchée de ma vie. Et bien des fois, j’ai eu à baptiser à des endroits où je devais briser la glace du ruisseau à coups de pied comme cela pour baptiser les gens, et puis rentrer à la maison, essayer d’aller là où je devais rester... me changer. Et les habits que je portais gelaient, pendant que je marchais. C’est à peine si je pouvais faire des pas ; les jambes de mon pantalon étaient raides quand je faisais des pas. Et il ne faisait pas aussi froid que ça. C’est l’eau la plus froide que j’aie jamais vue de ma vie. Et je n’ai jamais vu une eau comme cela. Frère Kelly, ça me gèle presque à mort chaque fois que j’y entre. Ainsi, après… C’est juste. Quand vous vous sentez bien… Soeur Kelly dit que lorsque vous vous sentez bien, ce n’est pas le cas.

4 Nous sommes heureux pour ce joyeux groupe qui est un mélange des gens venant de toutes les différentes sortes de dénominations. C’est simplement un rassemblement des enfants de Dieu. Il y a ici des gens qui sont méthodistes, baptistes, nazaréens, pèlerins de la sainteté, catholiques, témoins de Jéhovah, de la science chrétienne, pentecôtistes, tous rassemblés, même un Juif. Que le Seigneur soit loué pour cela. Merci. Nous sommes très heureux pour le Juif. Oui, oui. N’eût été – n’eût été les Juifs, je ne sais pas où nous serions. C’est vrai. Eh bien, c’est très bien.
Il en sera ainsi au Ciel. C’est exact. C’est là au Ciel que des gens de toutes les différentes dénominations seront tous rassemblés, et c’est la raison pour laquelle nous serons assis ensemble dans les lieux célestes.
Eh bien, Doc, ça, c’était un peu de psychologie. Je le sais. Vous… Je n’étais pas assez près de ça.

5 Je suis juste un peu enroué ce matin. Je pense que ça va passer à la deuxième vitesse au bout d’un moment et démarrer, vous savez, dès que je vais commencer.
Eh bien, hier soir, j’ai encore reçu quelques questions relatives à la réunion. Le Seigneur voulant, j’y répondrais très vite ce soir avant que nous ayons le – le service habituel de prédication ce soir. Ainsi donc… Ne manquez pas de venir ce soir, si possible. Et, le Seigneur voulant, j’aimerais prêcher sur un sujet très vital pour clôturer le réveil, ce soir, autant que nous le sachions, à moins que le Saint-Esprit veuille conduire plus loin.

6 Beaucoup parmi vous, évidemment, devront rentrer chez eux aujourd’hui, ou après ce service, peut-être ce matin. Nous aimerions dire que nous vous apprécions beaucoup, et nous aimerions vous souhaiter un joyeux Noël, et les voeux les meilleurs pour le nouvel an. Que Dieu soit avec vous, qu’Il vous accorde de nouvelles choses, et plus de nouvelle vie que vous recherchez et dont vous avez faim. C’est ce que je fais moi-même : j’ai faim de plus de Dieu.
Il y a beaucoup de questions qui sont… J’en ai quelques-unes dans le bureau, qu’on venait de me remettre; et hier soir, un frère a remis à mon fils quelques questions. Et je n’ai pas eu l’occasion de m’en occuper, parce que je les ai simplement plongées dans ma poche, et il faisait très tard. Et certaines d’entre elles se rapportent encore à Matth... ou plutôt à Hébreux 6.4.

7 Soeur Mammie vient de dire, il y a quelques minutes, qu’il y a… Elle est très heureuse de tomber dessus, car elle avait posé la même question il y a quelque temps. C’est quelque chose de très, très frappant. Mais je suis sûr que vous tous vous avez saisi cela, ce que c’était. J’espère. Il ne s’agit pas d’un chrétien qui est rempli de l’Esprit. Eh bien, si vous allez dans Hébreux 10, vous verrez que ce qui est dit là, c’est différent. Il parle donc du péché impardonnable pour le chrétien. Mais ceci, c’est… à celui qui est rempli. Mais celui-ci est quelqu’un qui est un croyant frontalier qui a juste goûté… On en a dans toutes les églises. Ils viennent simplement à l’église et… Oh! ils apprécient ce que le Seigneur fait, mais ils ne s’impliquent jamais dans la chose. Ils apprécient de voir quelqu’un être guéri, mais ils ne fournissent jamais d’effort pour aller prier pour les malades et faire des visites à l’hôpital, ou faire quelque chose de bien (voyez ?), comme cela. On a vu cette catégorie-là. Ils ont goûté ; ils ont vu.

8 C’est exactement comme je disais que Caïn est… Les Cananéens, ou plutôt les Israélites, lorsqu’ils s’approchaient de Canaan, ils étaient presque entrés. Ils sont arrivés là assez loin pour pouvoir goûter les fruits du pays, mais ils ont dit : «Oh! nous ne sommes – nous ne sommes pas capables. Nous – nous ne pouvons pas y arriver. » Mais Josué et Caleb étaient sûrs qu’ils en étaient capables, parce qu’ils avaient la promesse de Dieu.
Et c’est ce dont Paul essaye de parler, il fait allusion là à ceux qui s’étaient approchés de la chose, qui en étaient si proches, mais qui eux-mêmes n’ont pas voulu mettre la main dessus. Ils disent simplement : «Oh! je – je fréquente l’église, ces églises. Je fréquente une église de la sainteté, l’Eglise pentecôtiste. Je fréquente ceci. »
«Mais avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru ? »
«Oh! non, je ne L’ai pas encore reçu. » Voyez ? Vous y êtes.
Mais un vrai croyant ne peut pas se reposer tant qu’il n’y est pas entré. Il lui faut absolument entrer là-dedans. Voyez ? C’est pratiquement un – un frontalier. Voilà donc la personne dont parle Paul.

9 Toutefois, maintenant ce matin, il s’agit d’un message évangélique ordinaire pour ce matin, le Seigneur voulant. Il m’a donné assez de voix. Je pense donc que ce sont là les annonces. Je n’en suis pas sûr, mais c’est ce que je pense, autant que je sache. Et frère Neville a fait le reste.
Et j’aimerais que vous le sachiez tous, si jamais vous passez par ici… Vous qui devez rentrer chez vous maintenant et qui ne pouvez pas rester pour le service du soir, j’aimerais que vous sachiez, si jamais vous passez par ici n’importe quand, que je souhaiterais vraiment que vous veniez écouter notre pasteur. Nous avons un véritable pasteur dans ce tabernacle, frère Orman Neville.
Je ne le dis pas parce qu’il est assis ici ; je le connais depuis des années, et il n’a pas du tout changé. Il est toujours Orman Neville, un serviteur du Seigneur. Vous pouvez compter sur lui. C’est un prédicateur tout aussi loyal, fidèle, merveilleux…

10 J’étais assis là au fond. Et j’ai entendu des prédicateurs prêcher dans le monde entier, mais parfois lui, il prêche des choses qui m’étonnent simplement. Je vous assure, il vous emporte dans – dans ces petites choses qu’il utilise, cela… Je vous assure, chaque fois que je viens, j’apporte… chaque fois que je – chaque fois que je viens, je tire de son sermon environ quinze sujets que je note. En rentrant chez moi, je me dis : «Oh ! la la ! Cela ne ferait-il pas un message ! Oh ! la la ! Cela ne ferait-il pas un message ! » Et je note simplement cela…
Venez donc écouter notre frère Neville et vous associer à nos fidèles. Ce sont des gens pauvres, très pauvres, mais ils aiment le Seigneur. Et ils vous aimeront. Et nous sommes donc heureux que vous ayez été avec nous, et nous prions que Dieu vous bénisse.
Maintenant, inclinons la tête juste un instant avant que nous abordions la Parole.

11 Bienveillant Seigneur, nous nous approchons maintenant, tout aussi respectueusement que nous pouvons. Nous venons au Nom de Jésus, croyant que Tu nous as promis par Lui d’exaucer tout ce que nous Te demanderons en Son Nom. Et nous Te prions, ô Dieu! que Tu fasses de ceci une visitation pour nous ici ce matin.
Nous voulons Te remercier du fond de notre coeur pour ce que Tu as fait pour nous la semaine passée. Beaucoup de coeurs tristes ont été rendus joyeux. Beaucoup de gens ont été amenés à se réjouir. Et beaucoup qui étaient dans la confusion sur la Parole crient maintenant victoire en Jésus-Christ. Nous Te remercions pour ces choses.
Et nous prions, Seigneur, que ce jour soit une autre occasion où Tu visiteras Ton peuple. Et nous sommes assemblés ici, venant de toutes – de plusieurs différentes sortes, dirais-je, d’églises dénominationnelles. Certains ayant différentes croyances, peut-être étant amicalement en désaccord sur les Ecritures, mais sans que cela ne constitue du tout une quelconque barrière, même pour cette soeur juive qui a levé la main… Nous sommes rassemblés dans les lieux célestes en Jésus-Christ.

12 Nous prions aujourd’hui que Ton Esprit soit de nouveau déversé sur nous. Accorde-nous un nouveau baptême ce matin, Seigneur, ou plutôt un nouveau remplissage. Et nous Te demandons de guérir les malades, les affligés, ceux qui sont dans le besoin. Voici un homme assis ici dans un fauteuil roulant. D’autres sont peut-être là dehors, souffrant de troubles cardiaques, d’autres du cancer. Ils se meurent, Seigneur, et les précieux médecins de notre pays ont fait le diagnostic de leurs maladies, et ils ont poussé leurs efforts aussi loin qu’ils le pouvaient, et peut-être par des interventions, mais ce démon ne lâche pas prise. Il est déterminé à leur ôter la vie. Et il est… Il se peut qu’ils coupent quelque part avec leurs bistouris, avec des mains tendres, pour essayer d’aider la personne, mais ce démon se glissera furtivement dans un autre petit coin, pour se manifester de nouveau. En effet, il est bien capable de se cacher aux yeux du médecin, mais, ô Dieu, il ne peut pas se cacher à Tes yeux. Tu sais exactement où il se trouve. Et par Ta Parole de foi et de puissance, il va devoir quitter. Et nous Te prions aujourd’hui, ô Dieu, de faire en sorte que chaque mauvaise chose quitte les gens, afin qu’ils aient une bonne santé et jouissent des bénédictions du Seigneur notre Dieu. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

13 Maintenant, il y a beaucoup de mouchoirs ici. Et nous allons prier dessus. Et si vous n’en avez pas un ici et que vous désiriez en avoir, eh bien, écrivez-nous simplement ici, à la boîte postale 325, et nous vous l’enverrons aussitôt. Cela se trouve donc dans l’Epître aux Hébreux – dans le Livre des – des Actes, au chapitre 19, quand on reçoit des gens des mouchoirs et des linges pour prier dessus.
Ce matin, allons maintenant dans les Ecritures, dans le Livre d’Esaïe, au chapitre 1. Esaïe 1, alors que nous lisons une portion des Ecritures. Et pendant que vous ouvrez ce Livre pour nous suivre dans la lecture, nous sommes... nous aimerions parler de quelque chose en rapport avec le prochain service de guérison.
Maintenant, nous ne cherchons pas à dire que nous faisons ici de la guérison divine une chose principale, car la guérison divine est une chose secondaire. Et on ne peut pas du tout rendre principal ce qui est secondaire. Mais nous croyons que le ministère de Jésus-Christ, à quatre-vingt-six pour cent, c’était la guérison divine. Et le fait d’attirer l’attention des gens au moment de la guérison divine a amené les gens à comprendre qu’Il était Dieu. Et les gens…
Il a dit : « Si vous ne pouvez pas croire que Je Le suis, croyez alors les oeuvres que Je fais. Car, si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres du Père, comme vous ne pouvez pas Me croire, croyez alors les oeuvres. »

14 Vous voyez, étant un Homme, Il s’est fait Dieu. Sur la croix, ou juste avant la croix, on Lui a dit : « Nous ne Te lapidons pas à cause d’une bonne oeuvre que Tu as faite, mais nous Te lapidons parce que, Toi qui es un Homme, Tu te fais Dieu. » Il était Dieu. Il L’était. Dieu était en Lui.
Et ainsi, Il a donc dit : « Si vous ne pouvez pas croire en Moi, croyez les oeuvres que Je fais. » Vous voyez, croyez simplement les oeuvres, car elles viennent de Dieu.
Ainsi donc, c’est pareil aujourd’hui. Aucun homme sur la terre n’est un dieu. Certainement pas. Nous sommes tous des êtres humains, nous sommes tous nés dans le péché, conçus dans l’iniquité, nous sommes venus au monde en proférant des mensonges. Mais, comme nous l’avons étudié très clairement cette semaine, nous avons montré que Dieu vivait autrefois au-dessus de Sa création, à cause du péché. Ensuite Il a vécu avec Sa création sous forme d’un Corps, Jésus-Christ; Il a dressé Sa tente parmi nous, Il a habité avec nous, Il s’est fait chair avec nous pour endurer le péché et la souffrance, l’agonie et les choses que nous endurons.
Ensuite Il a sanctifié une Eglise afin qu’Il puisse y demeurer. Ainsi, c’était Dieu au-dessus de nous, Dieu avec nous, Dieu en nous. Jésus a dit : « En ce jour-là, vous connaîtrez que Je suis dans le Père, que le Père est en Moi, et que Je suis en vous, et que vous êtes en Moi. » Il y a… Vous voyez là, c’est Dieu qui agit à travers [l’homme]. Ainsi, quand une personne s’est tout à fait abandonnée au Saint-Esprit et qu’elle parle, ce n’est pas cette personne qui parle. Je le sais par expérience.

15 Dans ma petite expérience avec Christ, j’ai vu des moments où – où Il m’a permis de m’abandonner à Lui au point où je ne savais pas ce que je disais. Pour rien au monde je n’aurais dit cela, mais Lui l’a dit.
Hattie est assise là au fond, la dame en question. L’autre jour, alors que ce nouveau ministère, lequel, j’espère, se manifestera ce matin… Et vous tous, vous en avez entendu parler. Et quand nous étions assis là (et au moins huit ou dix personnes qui sont ici maintenant étaient là à ce moment-là) et que le Saint-Esprit s’est tourné vers cette femme et lui a dit de demander tout ce qu’elle désirait, et que cela allait lui être accordé… Pensez-vous que moi, j’aurais dit cela ? Si j’en étais capable, je dirais cela maintenant même. Mais je ne pouvais pas dire cela. Et je tremblais ; j’étais très faible. Frère Banks Wood (qui se tient là) était assis à côté de moi. Et la sueur coulait de mes mains, et j’étais si faible que je me suis levé et suis sorti de la maison. Cela m’a effrayé tellement. Mais cette femme a demandé l’une des plus grandes choses que n’importe qui pourrait demander, et elle a reçu cela.
Vous voyez, c’était Dieu. Ce n’était pas un homme. Un homme ne peut pas faire ces choses. Jésus a dit à l’arbre : « Que jamais personne ne mange de ton fruit. »
Et les disciples, le lendemain… Combien vite cela a commencé à agir juste après. Le lendemain, cela avait commencé à sécher. Et ils ont dit : « Regarde, combien vite l’arbre sèche. » Et Il a dit : « Ayez foi en Dieu. Car, en vérité, je vous le dis, si vous (pas si Moi, mais si vous, quiconque) dites à cette montagne : ‘Ôte-toi de là’, et si vous ne doutez pas, mais croyez que ce que vous avez dit s’accomplira, vous le verrez s’accomplir. » C’est Dieu en vous. Voyez-vous ? Qui, à part Dieu, pourrait déplacer une montagne ? Qui, à part Dieu, pourrait accomplir des choses comme cela ?

16 Vous voyez donc, au-delà de toute controverse, Dieu est dans Son peuple. Alors nous devrions nous respecter les uns les autres. Nous devrions nous aimer les uns les autres. Au-delà de nos barrières dénominationnelles, nous devrions de toute manière nous aimer les uns les autres, peu importe si nous sommes en désaccord.
Peut-être que les apôtres ne pouvaient pas s’accorder. Ils voulaient savoir qui allait être le plus grand, et beaucoup de choses. Jean, Marc et – et Paul, là, ils eurent un… Pierre et Paul eurent un différend.
Mais les liens de l’amour, voilà ce pour quoi nous essayons de lutter aujourd’hui. A l’intention de tous les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les luthériens, quoi que ce soit : nous sommes tous ensemble comme un groupe de chrétiens.
Maintenant, nous cherchons à être remplis de l’Esprit pour nous rapprocher davantage de Dieu. C’est ça la vision.

17 Maintenant, avez-vous trouvé Esaïe 1 ? Commençons au verset 14. Et je vais prendre un sujet, le Seigneur voulant, du verset 18 pour en tirer mon contexte. Mon âme hait vos nouvelles lunes et vos fêtes ; elles me sont à charge ; je suis las de les supporter. Quand vous étendez vos mains, je détourne de vous mes yeux ; quand vous faites des prières, je n’écoute pas : vos mains sont pleines de sang. Lavez-vous, purifiez-vous, ôtez de devant mes yeux la méchanceté – la méchanceté de vos actions ; cessez de faire le mal. Apprenez à faire le bien, recherchez la justice, protégez l’opprimé ; faites droit à l’orphelin, défendez la veuve. Venez et plaidons ! dit l’Eternel. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine. Si vous avez de la bonne volonté et si vous êtes dociles, vous mangerez les meilleures productions du pays ; Mais si vous résistez et si vous êtes rebelles, vous serez dévorés par le glaive, car la bouche de l’Eternel a parlé.

18 Vous savez, ce dernier temps, nous avons tant entendu parler des conférences, des gens qui se rassemblent. C’est ce dont Dieu parle ici, d’une conférence avec Son peuple : « Venez, et plaidons. » C’est ce que nous faisons ces quelques derniers jours.
Et beaucoup dans la nation sont… Et aujourd’hui, les affaires nationales se basent sur des conférences. Et il y a quelque temps, je peux facilement m’en souvenir et beaucoup de gens peuvent se souvenir de la conférence des Quatre Grands. On a réuni quatre des grands leaders du monde, du monde qui aime la paix, et ils ont tenu une conférence. Et au cours de cette conférence, ils ont essayé de décider de la meilleure chose à faire.
Et puis, nous avons eu récemment la Conférence de Genève. Là à Genève, les gens du monde qui aiment la paix se sont rassemblés pour s’interroger et conférer les uns avec les autres sur la paix dans le monde. C’est ce qu’on a appelé la Conférence de Genève.
Ensuite, si je ne me trompe pas, ils ont tenu une – une conférence à Paris il n’y a pas... il y a quelque temps. Et ils se sont tous réunis à Paris pour discuter des problèmes et pour chercher à amener la paix.

19 Et actuellement, notre aimable président Dwight Eisenhower est en train de visiter le monde libre. Les journaux et la radio ne parlent que de ça, des entretiens de monsieur Eisenhower avec les peuples du monde libre. Il tient conférence après conférence, essayant d’y arriver. Et les… Les journaux disent qu’il a été – il a été accueilli chaleureusement à beaucoup d’endroits, et qu’on chante l’hymne américain, ou plutôt qu’on hisse le drapeau – plutôt qu’on hisse le drapeau à sa venue et – et beaucoup de gens lui offrent des présents et tout. Ce sont les gens des nations qui sont pour la paix.
Et je pense que nous devons prier pour monsieur Eisenhower, pendant qu’il déploie tous ses efforts pour essayer de garder ce pays, afin que nous tenions des réunions comme celle-ci, pour être libres. L’Amérique, malgré tous ses péchés, malgré tous ses problèmes, est malgré tout le meilleur que le monde possède. Je le crois. Et que Dieu vienne en aide pour qu’elle le soit et qu’elle reste toujours ainsi, car nous avons des principes précieux selon lesquels… Cette vieille terre a été baignée de sang pour sauvegarder ces principes.
Je pense donc que nous devrions prier tout le temps pour que Dieu soit avec monsieur Eisenhower ; il est âgé et sa santé n’est pas très bonne. Et – et cet homme, malgré sa position sociale, tient des discours et essaie de son mieux… Même si vous êtes en désaccord avec lui sur la politique, priez maintenant pour lui. C’est votre nation qui est en jeu.

20 Pourquoi tient-on des conférences ? Quelle est la raison de la tenue de ces conférences ? Il doit y avoir une raison, sinon on ne tiendrait pas ces conférences. Les gens doivent arriver à prendre une certaine décision sur ce qu’ils vont faire. C’est pour cela qu’on tient une conférence, c’est pour prendre une décision. Les hommes sont à tel et tel autre endroit, et ils ont différentes conceptions ; et de petites choses surgissent ici et quelque chose ici et là, et alors ils doivent se rencontrer et tenir une conférence, et prendre ensuite une décision sur ce qu’ils vont faire à ce sujet. Et c’est pour cette raison que les conférences sont tenues.
Et alors, après la décision, ou plutôt l’accord sur la tenue de la conférence, ils doivent trouver un certain endroit où tenir cette conférence. Et si vous faites bien attention à cela, ils essayent toujours de trouver un bel endroit.
J’ai été à Genève, où s’est tenue la Conférence de Genève, et à Paris, et – et à différents endroits où des conférences ont été tenues. J’ai été au siège des Nations Unies. Et, oh! c’est beau, surtout à Genève. Et alors là, ils… Je crois qu’ils essayent de choisir ces endroits afin que l’attraction… Il y a quelque chose que… Si c’est paisible et – et attrayant, ça semble agir sur l’esprit humain. Je pense que c’est vrai.
Bien des fois, pour moi-même, gravir une montagne, contempler le coucher du soleil, ou… cela me ravit simplement. On dirait que toutes mes divergences tombent. Un endroit – un endroit – un endroit de choix où cette conférence doit être tenue… Et alors, on doit prendre des décisions.
Et puis, voici une autre pensée que j’aimerais que vous saisissiez, en rapport avec une conférence : on ne tient jamais une conférence à moins qu’il y ait un besoin crucial. C’est à un moment critique que les conférences sont tenues.

21 Au temps de la rencontre des Quatre Grands, cette conférence fut tenue parce que la Deuxième Guerre mondiale était pratiquement terminée. Et on devait se réunir et mettre toutes les stratégies ensemble pour élaborer quelque chose : M. Churchill et M. Roosevelt ainsi que les autres ont essayé de mettre ensemble leurs bons sens, de les mettre en commun, pour trouver ce qu’il y avait de meilleur ; en effet, c’était un moment crucial. C’était un temps où le monde libre dans son ensemble aurait pu exploser. Et aujourd’hui Hitler serait le dictateur du monde. Alors nous n’aurions pas tenu cette réunion aujourd’hui.
C’est pour cela que des conférences se tiennent, et le… Et la raison pour laquelle on les tient à des endroits bien choisis, et – et la raison pour laquelle on doit les tenir… Et si… Nous sommes obligés de tenir une conférence. C’est ainsi que les gens se rencontrent. Et ces conférences ont été de grandes conférences. Je n’en doute pas du tout.
Et le temps ne me permettrait pas, ma voix non plus, de continuer pour parler des autres grandes conférences qui se sont tenues au cours de cet âge, au sujet desquelles j’ai lu, notamment au temps de Pharaon et ainsi de suite. Mais les grandes conférences du système de ce monde ont été tenues.

22 Et puis, Dieu a tenu de grandes conférences. Dans la grande économie de Dieu vint un temps où une conférence devait être tenue.
Et la première que je peux citer pour cette terre fut tenue dans le Jardin d’Eden, quand les anges sont rentrés à la maison en pleurant et ont dit : « Ton enfant est tombé. Il a péché, il a brisé Tes commandements. »
Quelque chose devait être fait. La créature de Dieu était déchue de la grâce, et elle était sujette à la séparation éternelle de la Présence de son Dieu et Créateur. C’était un moment crucial, car le Roi du Ciel avait dit : « Le jour où tu en mangeras, ce jour-là tu mourras. » Et Il a fait confiance à Son fils, mais Son fils a brisé Son commandement. Quelque chose devait être fait. Il s’agissait de Sa création. Il s’agissait de l’oeuvre de Ses propres mains. C’était l’amour de Son coeur, la prunelle de Son oeil. Quelque chose devait être fait. Une conférence dut donc être convoquée.

23 Dieu choisit un certain arbre, dans le Jardin d’Eden. Et après avoir jeté des peaux de bêtes ensanglantées dans le... derrière le buisson, Il a appelé Adam et Eve, et là Il a tenu une conférence, Il a parlé, Il a fait un remède contre cette chose horrible que Ses enfants avaient faite. La conférence de Dieu…
Et une décision fut prise. Lors d’une conférence, on prend toujours une décision. Et Dieu a pris une décision selon laquelle, étant donné que Eve avait… quand Il l’a mise à la barre des témoins, puisqu’elle avait ôté de la terre la vie, elle devait amener la vie sur la terre. Et pour Adam, et pour le serpent… Et naturellement, étant donné qu’il était le chef de la race, toute la race sous sa domination est tombée avec Adam.

24 Et puis, je peux me rappeler une autre conférence avec un prophète fugitif qui avait faibli dans ses décisions. Et il pensait que la tâche était trop grande. Et il avait fui, et il s’était marié à une femme, il est allé dans le désert, et il est resté là pendant quarante ans ; un prophète, oint de Dieu, ayant une grande commission, venu au monde comme un prophète. Mais cependant, devant la menace qui a suivi l’erreur qu’il avait commise en prenant la chose dans ses propres mains… Au lieu de suivre les instructions de Dieu, il a tué un homme. Et devant la menace de Pharaon et par peur de ce dernier, il s’est enfui dans le désert et y est resté quarante ans.
Et pour les esclaves de l’Egypte, la corvée était si grande ; leurs dos étaient si meurtris, leurs coeurs étaient si brisés que leurs cris sont parvenus jusqu’à Dieu, et Il a été obligé de tenir une conférence.
Il y a un moyen de provoquer une conférence. Vous pouvez le faire dans votre vie, lors d’une confrontation.

25 Les fardeaux du peuple et – et les cris étaient si grands que Dieu fut obligé de convoquer une conférence. Quand Dieu prend une décision, il doit en être ainsi.
Aussi avait-Il déjà, avant la fondation du monde, mis un homme dans le Livre de Vie de l’Agneau dans le but de libérer ce peuple. Toutes cho… choses étaient planifiées d’avance par Dieu. Cet homme s’appelait Moïse, Son serviteur. Ainsi, avant la fondation du monde, Moïse avait été choisi pour libérer ce peuple. Moïse avait failli vis-à-vis de Dieu.
Cela devrait nous donner con-… confiance et courage. Nous qui avons failli devant Dieu, nous avons encore de l’espérance. Nous faillissons devant Lui en tant qu’église, nous faillissons devant Lui en tant que peuple. Convoquons cependant une conférence ; parlons-en avec Lui ; voyons ce qu’Il nous dira ; voyons à quelle décision nous aboutirons.

26 Et l’homme de Dieu avait failli. Et Dieu dut convoquer une conférence ; Il ne pouvait utiliser personne d’autre ; il avait choisi Moïse. Alors Il va dans le désert, quelque part au fond du désert, près de Sinaï, et Il a choisi le sommet d’une montagne et un buisson, un certain endroit. Il s’est dit : « Je ferai monter Moïse ici. Ça sera un bon endroit, loin de ses brebis, loin de sa femme, loin de ses enfants, loin de tout le monde. Et Je vais convoquer une conférence avec lui. »
Et là, quand Il a parlé à ce prophète, ils sont finalement arrivés au sujet : « J’ai entendu les cris de Mon peuple. C’est pour cela que Je t’ai appelé, Moïse. J’ai entendu les cris de Mon peuple là-bas, et Je me souviens que J’avais fait une promesse que Je dois tenir. Et Je t’envoie là. »

27 Moïse avait sa – sa réponse à donner à Dieu. Il était un homme. Il a dit : « Mais qui suis-je ? Je – je ne sais pas parler. »
Et alors, au cours de cette – cette conférence, Dieu a dit à Moïse : « Qui a créé la bouche de l’homme ? Qui rend l’homme capable de parler ? Qui rend un homme sourd ? Qui rend un homme muet ? »
Et Moïse a continué à se plaindre. Il avait besoin de voir la gloire de Dieu. Et Il a dit : « Moïse, si tu veux savoir qui Je suis, Je suis le Dieu qui opère des miracles. Jette ton bâton par terre. » Et celui-ci est devenu un serpent. Ensuite Il a dit : « Mets ta main dans ton sein, puis retire-la. » Et elle était couverte de lèpre. Et quand il l’a remise de nouveau et l’a retirée, elle était guérie. Il a dit : « Tu sais qui Je suis, Moïse ? Je suis le Dieu qui accomplit des miracles. Je suis le Dieu qui guérit les malades et les affligés. Je suis Jéhovah-Dieu. »
Moïse a dit : « Je vois Ta gloire. Encore une chose que j’aimerais savoir avant la clôture de cette conférence. Qui, dirai-je à Pharaon, m’a envoyé ? »
Il a dit : « Dis-lui que JE SUIS t’a envoyé », pas J’ETAIS ou JE SERAI, mais toujours au présent, le même hier, aujourd’hui et éternellement. JE SUIS. JE SUIS, c’est le temps présent. Non pas… Cela englobe le futur, le présent, et – et le temps passé. « JE SUIS. JE SUIS t’a envoyé. »

28 Moïse a reçu Ses ordonnances, puis il est descendu en Egypte. En sortant, en amenant les enfants d’Israël, il est arrivé un certain moment où ils étaient coincés. Un peuple, un peuple appelé à sortir, un peuple séparé du reste du monde… Israël était le peuple de Dieu tant qu’ils étaient en Egypte. Une fois sortis de l’Egypte, ils étaient l’Eglise de Dieu. Le terme « appelé à sortir », ou plutôt église signifie appelé à sortir. Ils avaient donc été appelés à sortir du reste du monde, et ils sont devenus l’Eglise.
C’est ce qu’il en est ce matin. Ceux qui sont appelés à sortir du monde, peu importe l’étiquette dénominationnelle qu’ils portent, s’ils sont appelés à sortir, ils sont séparés pour être en Dieu, et ils sont membres de Sa grande Eglise.
Ainsi, ces gens s’étaient séparés par le sacrifice du sang d’un agneau, et en appliquant sur le… le sang sur le linteau de la porte. Et il était appliqué avec l’hysope.

29 Ecoutez. J’aimerais que vous remarquiez quelque chose ici. C’est très frappant. Moïse avait ordonné qu’ils prennent l’hysope, qu’ils la plongent dans le sang de l’agneau, pour répandre celui-ci sur la porte. Le sang, évidemment, représentait le Sang de Christ. L’hysope était une herbe ordinaire. Vous pouvez en trouver n’importe où. On prenait juste une poignée d’herbes. Cela montre qu’il est très facile d’appliquer le sang.
Les herbes représentaient la foi, simplement la foi en Dieu. Vous n’avez pas à aller ailleurs. Prenez simplement la foi de Dieu et appliquez le Sang à votre coeur. Dites : « Je suis séparé des choses du monde, parce que, par la foi, j’applique le Sang à ma maladie ce matin. Je serai guéri, parce que j’applique le Sang sur le linteau de mon coeur. Je ne laisserai plus jamais le doute me gagner une fois de plus. En effet, je vais me protéger en appliquant le Sang de Jésus par la foi, mon hysope, sur ma porte, et aucun ennemi n’entrera. Je ne douterai plus jamais de la Parole de Dieu. » C’est aussi simple que ça.

30 Ils étaient en marche, après s’être séparés et être devenus un peuple appelé à sortir, ils sont arrivés à la mer Rouge. Et ils étaient obligés de s’arrêter ; ils ne pouvaient pas traverser. Le grand général, Josué, a dû lever la main et sonner la trompette. « Halte ! Arrêtez la marche. Il y a un obstacle devant. Nous avons des montagnes de part et d’autre. Nous sommes ici dans une vallée. Et nous devons nous arrêter. »
Mais quand cette église s’arrête, c’est alors que Satan prend le dessus. Elle doit constamment, rapidement avancer, en marchant vers Sion. Ne laissez pas l’Eglise du Dieu vivant se rendre coupable en s’arrêtant.
Ils se sont donc arrêtés et ils ont demandé : « Qu’est-ce qui ne va pas ici ? » Et aussitôt qu’ils se sont arrêtés et qu’ils ont dressé leurs tentes, et qu’ils ont commencé à se reposer un peu, ils ont entendu le roulement des roues. Et l’unique voie qu’ils avaient pour s’échapper, c’était par derrière. Mais voilà l’armée de Pharaon qui s’avançait pour bloquer le passage, ou faire obstacle.

31 Vous, les soldats, vous connaissez la stratégie, comment on isole les gens. Il y avait la mer Rouge devant eux, large peut-être de deux ou trois miles [environ 3,2 ou 4,8 km – N.D.T.]. Ici il y avait de hautes montagnes qu’ils ne pouvaient pas gravir. Ils étaient comme des brebis éparpillées là, une cible pour tout archer. Et derrière eux, comme ils s’étaient arrêtés, venait l’ennemi.
Voici ce que cela nous montre, mes amis : même aujourd’hui, dans la marche vers la Terre promise, l’ennemi n’est qu’à un ou deux bonds derrière nous. Nous ne pouvons pas nous arrêter à ce réveil. Ceci ne peut pas être un moment d’ordonner un arrêt. Continuez simplement à avancer. Allez de l’avant. Vous avez eu la Présence du Saint-Esprit avec vous… d’avant-hier soir et hier soir. Eh bien, avancez continuellement dans cela. Ne vous arrêtez pas, car l’ennemi est près derrière vous.

32 Et dès qu’ils se sont arrêtés et qu’ils voyaient à distance l’armée de Pharaon s’approcher, le – le bruit des roues de chars et la poussière monter, ainsi que les cris des soldats ; quel moment! Cela a pratiquement affolé le peuple.
Mais il y en avait un parmi eux qui savait qu’il n’y avait pas de quoi être troublé. Il avait eu des conférences auparavant. Il savait ce qu’il fallait pour entrer en contact avec Dieu. Alors là, dirons-nous, sur la colline, à un certain rocher, Moïse s’est caché aux yeux des autres enfants d’Israël, et là il a eu une conférence : « Seigneur, j’ai marché jusqu’à cet endroit-ci, mais un obstacle nous a arrêtés. Nous avons dû nous arrêter. »

33 C’est comme notre frère qui est ici dans le fauteuil roulant, c’est peut-être comme vous qui y êtes assis là, souffrant du cancer, ou des troubles cardiaques, ou de quelque chose dont vous savez que vous allez simplement mourir sous peu… L’ennemi vous a arrêté. Il vous a amené à vous arrêter. Peut-être que vous vous êtes arrêté avant que l’ennemi vous ait attrapé. Peut-être qu’il y a quelque chose dans votre vie qui est à la base de cet arrêt. Quoi que ce soit, vous avez toujours le privilège d’avoir une conférence. Parlons-en avec Lui. Faisons quelque chose à ce sujet. Peu importe ce qu’est l’ennemi, il n’est jamais trop grand pour notre Dieu. Nous avons besoin d’une conférence.
Alors Moïse est allé derrière un certain endroit, dirons-nous, et il a tenu une conférence avec Dieu. Il ne savait que faire.
Peut-être que vous ne savez que faire. Peut-être que vous êtes pécheur et que vous avez commis tant de péchés. Peut-être que vous avez tellement fumé que vous ne pouvez fumer davantage, et vous n’arrivez pas à arrêter cela. Peut-être que vous avez tellement bu que vous ne pouvez boire davantage, et vous n’arrivez pas à arrêter cela. Peut-être que vous en êtes arrivé au point où vous êtes tellement chargé de péchés et de convoitises que vous êtes obligé de regarder chaque femme que vous voyez, c’est mal. Ou peut-être que vous avez même perverti vos propres ressources naturelles. Peut-être que vous en êtes arrivé à un blocage. Peu m’importe où vous en êtes, Dieu est toujours prêt à venir auprès de vous dans une conférence pour en parler avec vous.

34 Peut-être que vous avez brisé votre foyer. Peut-être que vous avez quitté votre mari ou votre femme. Peut-être que vous avez fui vos enfants. Il se peut qu’il y ait beaucoup de choses dans cette vie dans lesquelles l’ennemi vous a pris au piège. Mais, rappelez-vous, mon frère, ma soeur, vous avez toujours le droit d’avoir une conférence avec Dieu. Certainement. Parlez-en avec Lui. Il est un secours qui ne manque jamais dans la détresse.
Nous voyons donc que Moïse a eu une conférence. Et voici peut-être ce qu’il en était de la conférence : « Ô Grand Conducteur d’Israël, j’ai fait tout ceci sur Ton ordre. J’ai… J’ai conduit ces gens juste comme Tu m’as dit de le faire. J’ai couvert le peuple avec le sang ; j’ai fait venir du Ciel des fléaux ; j’ai fait tout ce que Tu m’as dit de faire. Et nous voici pris au piège. Que dois-je faire, Eternel? Il me faut avoir cette conférence avec Toi. »
Et peut-être que Moïse, étant assis au sommet du rocher, ou debout près du creux du rocher, priant à cet endroit choisi, à cette heure cruciale… Quelque chose devait être fait, sinon ils allaient être écrasés sous les roues des chars. Ces derniers allaient rouler sur tous les petits enfants hébreux. Tous ces petits enfants allaient avoir leurs têtes écrasées sur une pierre, et leurs mères allaient être éventrées, et leurs... et violées, et leurs – leurs pères massacrés. C’était une heure critique.

35 Il se peut que ce soit le même genre de moment critique, peut-être pas exactement comme celui-là. Mais peut-être qu’un cancer s’est emparé de vous, peut-être une autre maladie. Peut-être que le péché s’est emparé de vous et qu’il va vous écraser et vous jeter carrément dans l’enfer du diable, une séparation d’avec Dieu. Tenez vite une conférence.
Et quand cette conférence a été tenue, Dieu s’est tenu sur le rocher, à côté de Moïse, et Il a dit : « Retourne au camp, Moïse. Rentre directement d’où tu viens. Je suis Dieu. Va là et dis au peuple d’aller de l’avant. Je frayerai un chemin quand le temps de frayer le chemin arrivera. Je suis le Dieu qui fraye le chemin. »
Moïse, après cette conférence, et après avoir été congédié de la Présence de Dieu avec l’ordre d’aller de l’avant, il est descendu et a dit : «N’ayez pas peur, Israël. Tenez-vous tranquilles aujourd’hui et voyez la puissance de notre Dieu. Dirigez-vous vers la mer. Ne vous écartez pas de l’ordre. L’ordre, c’est : avancez. La Terre promise nous appartient. L’ennemi nous fait obstacle sur notre chemin. Mais Dieu a dit : « Avancez. Continuez d’avancer. »

36 Voilà le problème de l’église aujourd’hui. Dieu vous appelle. Et Il veut vous donner don après don, puissance après puissance, grâce après grâce. Mais vous vous organisez. « Je ne peux donc pas aller plus loin, car l’église ne me le permettra pas. » Vous voyez, il n’y a pas en Dieu un endroit pour s’arrêter, il n’y a pas de place pour la dénomination. Il n’y a pas de place pour n’importe quel principe. Ce qu’il y a, c’est aller de l’avant. Proclamez la Parole de Dieu et allez de l’avant. Continuez simplement d’avancer. Continuez de marcher. Dieu dit que c’est en ordre, c’est en ordre. Vous avez reçu votre commission.
Si vous dites : « Eh bien, je suis allé à mon église et on m’a dit que je ne devrais pas aller à ce tabernacle-là. Je suis totalement embrouillé maintenant, je ne sais pas si je dois avoir le Saint-Esprit ou pas. » La promesse vous appartient. « La promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. »
Quoi ? Prononcer la Parole de Dieu. « Dieu l’a dit. » Allez de l’avant. Voyez l’ennemi se disperser. Voyez la mer Rouge s’ouvrir. Ayez une conférence. Allez de l’avant. Elle s’ouvrira certainement.

37 Dieu est la voie pour échapper. Il a frayé une voie menant droit jusqu’à la Terre promise. Et tout ce qui Lui a fait obstacle, Il l’a ôté du chemin. Et si quelque chose vous fait obstacle, ayez alors une conférence avec Dieu. Parlez-en avec Lui et continuez. C’est ce que Dieu dit ici à Esaïe. « Oh! tu es pécheur, tes péchés sont comme le cramoisi. Pourquoi ne viens-tu pas pour que nous plaidions ensemble ? Pourquoi ne viens-tu pas en parler avec Moi ? Ma grâce te suffit. »
La conférence de la mer Rouge… Une autre conférence a été tenue il y a plusieurs années, et j’aimerais en parler juste un instant. C’était la période de Noël, dans laquelle nous entrons maintenant, qu’il y ait eu de Noël ou pas. Mais une conférence était organisée au Ciel pour savoir ce que serait ce plan de rédemption. Et Dieu avait décidé qu’Il deviendrait un Homme, qu’Il descendrait et prendrait sur Lui-même Sa propre malédiction. Cela n’aurait pas été juste de Sa part d’envoyer un ange. Cela n’aurait pas été juste de Sa part d’envoyer une autre personne ; même s’Il avait un Fils, ça n’aurait pas été juste de Sa part d’envoyer Son Fils.
Cela ne serait pas juste de ma part de faire subir à Joseph ce qui découle de mon jugement. Ce ne serait pas juste de ma part de faire cela. Si je prononce mon jugement et que je veuille racheter cela, tout ce que je peux faire, c’est subir cela moi-même. C’est ça le signe. C’est le coup mortel qui a été porté à Satan.

38 Eh bien, mon frère catholique, et aussi beaucoup de mes frères protestants, je ne vous blesse pas. Mais lorsque vous essayez de faire de Jésus un Dieu un peu inférieur à Dieu, de faire de Lui un Dieu inférieur, que vous Lui coupez les pieds pour L’abaisser un tout petit peu en-dessous de la tête de Dieu et pour faire de Lui un Dieu inférieur, vous êtes vraiment dans l’erreur. Jésus était un Homme. Il s’appelait Lui-même le Fils de l’homme.
C’était un coup mortel porté au diable. Le diable est élevé, il s’est bâti un royaume plus beau que celui de Michaël. Caïn, son fils, voulait faire un bel autel plein de fruits et tout.
Dieu n’habite pas dans ce genre de beauté. Mais Dieu, pour donner un coup mortel au péché… Regardez comment Il est venu. Comment a-t-Il choisi de venir ? Il y eut une conférence au Ciel. « Comment vas-Tu descendre ? Comment vas-Tu le faire, Père ? », ont demandé les anges.
« Je vais devenir l’un d’eux. Ma loi en rapport avec la rédemption dit qu’il faut un proche parent. Et Il Me faudra devenir un Homme Moi-même. »

39 Voilà le coup qui a terrassé Satan. Il est né… Il aurait pu descendre avec des chérubins. Il aurait pu descendre les échelles d’or. Des hymnes auraient pu être chantés au Ciel, et Il aurait pu descendre sur terre et en chasser tout.
Mais quand Il a tenu la conférence, Il a décidé de venir comme un bébé. Nous trouvons cela dans Esaïe 9.6 : « Un Enfant nous est né, un Fils nous est donné, et la domination reposera sur Ses épaules ; et on L’appellera Conseiller, Prince de paix, Dieu puissant, Père éternel. Et Son règne n’aura pas de fin.» Ceci vous servira de signe : un Enfant, pas un Dieu, un Enfant.
Regardez où Il est né. Il a fallu décider au cours d’une conférence du lieu où Il devait naître, pour être sûr qu’Il serait un Homme. Il est né dans une étable. Il a choisi, au lieu de la – la garde d’un palais en ivoire pour L’accompagner, au lieu d’une escorte d’anges, au lieu des chérubins tournoyant avec les – avec les parures du Ciel, Il s’est flanqué, Il s’est mis dans une étable, sur le fumier des animaux, la saleté et les ordures du monde.

40 Il était un Homme. Il n’était pas un Dieu inférieur. Il était un Homme, né comme nous dans le gâchis de la naissance, Il est sorti du sein d’une femme. Pas un dieu, un homme ! Il n’était en rien semblable… Il n’est pas étonnant que le plus grand signe…
Dans les réunions, vous voyez le signe du discernement, la Présence du Dieu vivant. Vous voyez partout les signes de Sa Présence. Mais laissez-moi vous dire ceci, mon frère, ma soeur : il n’y a jamais eu de signe aussi frappant que le signe que les anges ont annoncé aux bergers : « Vous Le trouverez emmailloté, dans une étable. » Vous pouvez voir ce qu’est Dieu.

41 C’est cela qui m’étonne aujourd’hui. Pourquoi un réveil peut entrer dans une ville, ou plutôt un très célèbre évangéliste, et les grands messieurs vont là, le maire de la ville et tous les hauts placés bien habillés, et le pauvre y est plutôt méprisé ? Et vous parlez d’un prédicateur qui a une grande instruction, qui peut être très éloquent, qui plaît simplement à votre entendement avec de grands mots que les pauvres ne comprennent pas du tout, et tous vous qualifiez cela de formidable !
Ne voyez-vous pas que Dieu est dans l’humilité ? « Ceci servira de signe : l’Enfant sera emmailloté et couché dans une crèche », sur le fumier du bétail et des brebis. Oh ! la la ! Voilà un signe. « Ceci vous servira de signe : ‘Vous y trouverez l’Enfant.’ »

42 Très souvent, les gens pensent que dans le vieux petit tabernacle délabré… Certains prédicateurs qui connaissent à peine leur ABC, des gangsters, des contrebandiers et tout le reste qui se sont convertis, qui sont sans instruction et qui utilisent leurs expressions des gens du Sud comme his, hain’t, et carry, tote et fetch… « Vous ne trouverez jamais Dieu là. » Mais c’est là qu’on Le trouve, emmailloté : l’humilité.
Vous pensez que cela vient avec pompe. Si vous voulez tenir votre véritable conférence avec Dieu, trouvez un groupe de gens comme cela, puis parlez-en.
Vous pouvez voir l’oeuvre de Dieu, comment Il n’a pas pris une sculpture, un grand artiste et quelque chose comme cela, à qui Il a donné un discours intellectuel, mais Il a pris quelque chose qui ne représentait rien. Il est descendu, juste comme Il l’avait fait la première fois.

43 Il n’y a pas longtemps, quelqu’un a dit : « Si ce discernement, cette guérison et autres venaient de Dieu, la hiérarchie catholique aurait cela. » Pourquoi la hiérarchie juive n’avait-elle pas cela ? Il n’était pas né dans le palais ; Il était né dans une étable. Il n’avait pas de vêtements brodés à la main à porter, mais plutôt des lambeaux retirés du joug d’un boeuf, et Il était couché sur un tas de fumier, le Fils de Dieu, le Tabernacle dans lequel Dieu a habité. C’est de cette manière-là qu’Il avait décidé de venir. Mais nous, il nous faut avoir des cols retournés et porter des redingotes et avoir de très belles églises avec des clochers dorés.
« Ceci servira de signe : vous Le trouverez emmailloté… emmailloté et couché dans une crèche. Voilà un signe pour vous. » Dieu habite dans ce qui est humble, pas dans ce qui est pompeux. Cela a toujours été la conception du diable. Dieu vient dans l’humilité. Ça servira de signe.

44 Ce n’est pas un Dieu inférieur, mais un Homme, un Homme. Il a pleuré comme un bébé quand Il était un Bébé. Il a joué dans les rues comme un enfant quand Il était petit Enfant. Il a travaillé dans la charpenterie avec Joseph comme un homme au travail. Il mangeait quand Il avait faim. Il transpirait quand Il avait chaud. Il pleurait quand Il était attristé. Il était un Homme. « Ceci vous servira de signe : Dieu habitera avec vous dans un… humble.» Non pas un très grand homme important, mais un petit homme humble sans formation : un signe.
Ça, c’est un coup mortel porté au diable, là même. C’est un coup mortel porté à chaque dénomination, à la pompe, à toute la pompe et à toute la gloire de ce monde. C’est un coup mortel, que le Dieu du Ciel ait choisi de venir de cette manière-là.
C’est ce qui est arrivé à la conférence. Cela avait dû être décidé. C’est de cette manière-là qu’Il a choisi de venir. Il n’était pas obligé de venir comme cela. Il était le Dieu du Ciel, mais Il a choisi de venir comme un Bébé. Il a choisi de venir comme cela. C’est ce qui était arrivé à la conférence au Ciel.

45 Laissez-moi mentionner une ou deux autres conférences. Permettez-moi de mentionner celle-ci. Il y eut un temps, après avoir mené une parfaite vie de trente-trois ans et demi, un Homme qui aimait vivre autant que j’aime vivre, autant que vous, vous aimez vivre, un Homme qui avait une raison de vivre, des frères qu’Il aimait, des gens qu’Il aimait, des couchers du soleil qu’Il aimait contempler… Rappelez-vous, Jésus était un Homme ; Dieu était en Lui. Il y eut un temps… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
…l’Esprit qui conduisait l’Agneau, la Colombe. Il fallait qu’une conférence soit tenue entre l’Agneau et la Colombe. Et ils ont décidé du lieu où la tenir. Ce soir-là, après le souper, ils ont traversé un petit torrent du Cédron, et… ou un endroit, et ils ont traversé le torrent et sont entrés dans un jardin appelé Gethsémané. Ils devaient tenir une conférence. Dieu et Christ devaient en parler. L’Agneau et la Colombe ont dû se réunir. C’était la Colombe qui devait parler à l’Agneau, et il s’agissait de la mort de l’Agneau. Eh bien, quand ils se sont assis près de ce rocher, tous les anges sont descendus des cieux pour suivre cette conférence. Oh! Gabriel, Michaël, Absinthe, tous, des milliers, étaient assis autour du rocher.

46 Il a dit à Ses disciples, qui étaient épuisés (Ils avaient eu beaucoup de grandes réunions, ils étaient fatigués, peut-être comme vous l’êtes ce matin), Il leur a dit cependant : « Voulez-vous veiller avec Moi une heure ? Oh! Je dois aller là-bas pour participer à une conférence. Je dois aller seul. » Et quand ils… La conférence a eu lieu. Et l’Agneau, jeune, une belle Vie… Et jamais il n’y a eu une Vie comme celle-là, jamais il n’y en a eu, jamais il n’y en aura, une Vie comme celle-là, comme celle que l’Agneau avait.
Mais alors, le Père a dit : « Es-Tu disposé ? Ton amour pour Tes frères est-il assez grand ? Ton amour pour ce monde impie et puant dans lequel Tu es né, les aimes-Tu assez pour renoncer à Ta vie ? Les aimes-Tu assez pour prendre leur place, pour porter leurs péchés jusqu’à la mort la plus difficile mais déterminante? » Vous… Rien ne pouvait mourir de ce genre de mort, à part Lui. Et lors de cette conférence-là, une telle décision avait été prise, de sorte que le sang est tombé goutte à goutte de Son front. Il était sous une tension. Les péchés du monde étaient sur Lui. Et alors, Il a regardé la Colombe en face et Il a dit : « Non pas ma volonté, mais que Ta volonté soit faite. »
Oh! Pouvons-nous prendre cette décision dans nos coeurs ce matin ? Pouvez-vous renoncer à votre petite vie de souillure ? Etes-vous prêt à Le regarder en face et à dire : « Non pas ma volonté. Je suis un ivrogne, mais je ne boirai plus. Je joue à l’argent ; je ne boirai plus. Je suis immoral, mais je ne le serai plus. Je suis un menteur, mais je mets fin à cela aujourd’hui. Je suis une personne ignoble, mais dans cette conférence ce matin, je Te regarderai en face et j’accepterai comme mon Maître Celui qui est mort pour moi afin d’éclairer mon chemin : non pas ma volonté, Ta volonté. Que cela me coûte mon foyer, que cela me coûte mon mari, ma femme, mon père, ma mère, ma communauté, ma qualité de membre d’église, quoi que cela me coûte, dans cette conférence ce matin, je dis que je veux que Ton Saint-Esprit vive en moi. J’ai entendu parler de cela. Je Te veux en moi. Non pas ma volonté, mais la Tienne ; voilà ma décision. » Dieu a désigné un lieu, ce n’est pas sur un endroit très élevé, mais c’est un modeste petit tabernacle qui est sur le point de s’écrouler. Nous sommes en conférence.

47 Permettez-moi de parler ici d’une autre conférence, juste pour un moment. Beaucoup ont peut-être été enseignés là-dessus. Il y eut une conférence après Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection. Quelque chose devait être fait. Il y avait des hommes qui avaient une conception intellectuelle. Il a été décidé la tenue d’une autre grande conférence. Nous connaissons cela dans la Bible comme étant la Pentecôte. Ils ont dû avoir une conférence. Et quelque chose devait être fait, car Jésus a dit : « N’enseignez plus ; ne chantez plus ; n’allez plus prêcher ; mais Je veux avoir une conférence avec vous. Et dans cette conférence, Je vais apporter le Saint-Esprit. Mais allez dans la ville de Jérusalem, et attendez là jusqu’à ce que Je revienne. Je dois monter au Ciel pour que les gens puissent se réjouir. Et Je dois monter jusqu’au Trône de la Majesté (le corps, Jésus). Mais Je vais… Nous allons avoir une conférence là-haut. Et le Dieu qui demeure en Moi a promis que Je pourrai revenir et que Je serai en vous, avec vous, en vous, même jusqu’à la fin, à la consommation du monde. Je serai avec vous jusqu’à ce que tout soit fini. Et les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. »
Ils ne savaient donc pas comment ils devaient s’y prendre, ils sont donc allés à la Pentecôte, les cent vingt sont allés dans la chambre haute et ont fermé la porte. Et ils ont attendu et attendu.

48 Le problème que nous avons, nous, si nous n’avons pas une – une audience auprès de Dieu dans environ dix minutes, nous nous fatiguons, les genoux nous font mal. Nous voulons nous en aller. Et s’Il ne nous répond pas selon notre désir, selon notre conception, nous en avons assez de Lui.
« Oh! venez, plaidons. Montez à la Pentecôte ; J’aimerais plaider la chose avec vous. Montez simplement là et attendez. » Pendant dix jours, ils étaient assis, debout, priant et tout, attendant la promesse.
Et tout d’un coup, les résultats de la conférence tenue au Ciel sont descendus : le Saint-Esprit, comme un vent impétueux, a rempli toute la maison où ils étaient assis. Ils furent remplis du Saint-Esprit et ils sont allés de l’avant, prêchant la Parole.

49 Lorsqu’on a des conférences mondiales, généralement, les gens choisissent les lieux où elles doivent se tenir. Et que font-ils à cette conférence ? Ils boivent, prennent des cocktails. Ils fument des cigares et des cigarettes. Ils se mentent les uns aux autres, ils se trompent les uns les autres, lors des pourparlers de paix du monde.
Mais quand Dieu convoque une conférence, on jeûne, on se purifie, on prie, on reçoit des ordonnances et on va de l’avant. Voilà la conférence avec Dieu, ce n’est pas en festoyant, mais en jeûnant ; ce n’est pas en donnant libre cours à la souillure, mais on se sépare, on se purifie de toute impiété lorsqu’on va devant Dieu. Vous vous purifiez par la foi, en mettant l’hysope dans le Sang, vous purifiez votre coeur et vous marchez devant Dieu pour une conférence ; voilà le genre de conférence qui se tient quand vous rencontrez Dieu. Alors Dieu vous donne des ordonnances ; alors vous allez de l’avant ; Il va avec vous.

50 Il y a beaucoup de grandes conférences auxquelles nous pouvons penser. Mais le temps ne nous le permet pas.
Il y a eu dernièrement une conférence. Il y eut une conférence du temps de Martin Luther, à la réforme. Dieu a appelé Martin Luther à aller prêcher la justification, et ce dernier l’a fait. Une conférence fut tenue au temps de Wesley, en Angleterre, pour qu’il prêche la sanctification. Et quand Wesley témoignait…
J’ai porté son manteau, le dernier manteau qu’il avait porté, une robe. Je me suis tenu à sa chaire où il prêchait à mille cinq cents personnes chaque matin, à 5h ; je me suis agenouillé dans la chambre et j’ai rendu grâces à Dieu pour sa vie, la chambre même où il est mort. Et là-dedans, avec l’Esprit sur moi, je me suis dit : « Oui, Wesley était fidèle. »
Dieu et Ses saints anges avaient tenu une conférence selon laquelle il était temps de prêcher la sanctification. Et Ils ont choisi Wesley, et il a été fidèle à cela.
Puis vint la Pentecôte. Ce fut le temps pour la restauration de la Pentecôte. Une conférence fut tenue au Ciel : « Est-ce le temps de déverser la plénitude de l’Esprit ? » Et Cela est descendu. Et ils ont prêché Cela. Et nous L’avons reçu, nous avons reçu le Saint-Esprit.

51 Je crois qu’aujourd’hui nous sommes à une autre conférence. C’est la Venue du Fils de Dieu. Il a dit à Ses disciples : « Je ne connais ni la minute ni l’heure. Personne ne le sait, même pas les anges. Mais un jour, il se tiendra une conférence (en d’autres termes). Et le Père décidera du moment où Je reviendrai. » Je crois que cette conférence est en cours et que les décisions se prennent. Son Esprit va venir sur terre avec une telle puissance qu’Il va se tenir là dans l’assemblée, discerner les pensées de l’esprit. En effet, la Bible dit : « La Parole de Dieu est plus vivante, plus efficace qu’une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante même jusqu’à la moelle de l’os ; Elle discerne les pensées du coeur. »
Quand Philippe est venu et a été converti, il est allé chercher Nathanaël ; et Nathanaël, le Juif, a été amené devant Jésus ; et il lui avait parlé de Lui, disant : « Eh bien, Nathanaël, oh! il y a quelques jours un vieux pêcheur sans instruction est venu auprès de Lui, et Lui connaissait son nom et l’a appelé, Il lui a dit qui il était. Ne sais-tu pas que ce Messie dont notre prophète a dit qu’Il viendrait, ne comprends-tu pas que ce Messie devait être un Prophète ? Un Dieu-Prophète? Il est là. C’est Lui. »
Nathanaël doit avoir dit : « Je ne crois pas ça. J’irai moi-même voir. » Mais quand il est entré dans la Présence de Jésus, Jésus a dit : « Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude. »
Et quand Jésus a dit cela, Nathanaël a dit : « Quand m’as-Tu connu, Rabbi ? »
Il a dit : « Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu. »
Il a dit : « Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël. »

52 Quand la femme samaritaine, qui avait eu cinq maris, est venue devant Lui et qu’elle a dit… Quand elle s’est mise à puiser de l’eau, elle a vu ce Juif assis. Il a dit : « Apporte-Moi à boire. »
Voyez-vous, Il avait soif comme un homme. Il était un Homme. Dans Son corps, Il était un homme ; dans son Esprit, Il était Dieu. Dieu habitait en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.
Il a dit : « Apporte-Moi à boire. »
Et elle a dit : « Eh bien, il n’est pas de coutume… » En d’autres termes : « Nous avons une ségrégation, Tu ne devrais pas me demander cela. »
Il a dit : « Mais si seulement tu savais à qui tu parlais… »
Oh! je me demande ce matin si nous savons ce qu’il y a dans cette salle. Si seulement nous savions que le Saint-Esprit Lui-même, Celui qui témoignera en notre faveur ou contre nous au jour du Jugement est ici même dans la salle et qu’Il connaît nos pensées.
« Si seulement tu savais Qui te parle, c’est toi qui Me demanderais à boire. »
Elle a dit : « Le puits est profond. »
Il a continué à lui parler jusqu’à ce qu’Il a saisi son esprit. Et Il a dit : « Va chercher ton mari et viens ici. »
Elle a dit : « Je n’en ai point. »
Il a dit : « Tu as eu raison de dire cela ; tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. »
Elle a dit : « Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Eh bien, nous savons que lorsque le Messie viendra, Il fera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu ?
Jésus a dit : « Je Le suis. » Oh ! la la ! « Je Le suis, Moi qui te parle. »
C’était un simple Homme demandant à boire, pas une grosse histoire fleurie venue du Ciel, il n’y avait pas un trône blanc installé là, mais un Homme demandant un verre d’eau pour étancher Sa soif. « Je Le suis, Moi qui te parle. »
Et elle est entrée dans la ville en courant et a dit : « Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce pas le signe du Messie ? Ne serait-ce pas Lui ? »

53 Cette même Personne qui a prophétisé par les prophètes autrefois dans l’Ancien Testament, a dit : « Il viendra un jour où les gens vont… » En d’autres termes, ils se joindront tout simplement à l’église, ils iront à l’église et seront de très braves gens. Et ils auront des organisations et tout. Et « ce sera un jour sombre qui ne sera ni jour ni nuit. Mais au temps du soir, il y aura de la lumière ».
Ces prophéties doivent s’accomplir. Vous souvenez-vous de notre conférence au Ciel hier soir ? Dieu avait fait venir tous les anges pour tenir une conférence, pour voir qui pourrait amener la parole du prophète à s’accomplir, amener Elie… je veux dire Achab là-bas pour qu’il soit tué ?
Eh bien, il y a une conférence en cours au Ciel. Les lumières du soir sont ici. Des bombes atomiques et tout sont suspendues partout. Et nous sommes au temps de la fin. Les conférences mondiales sont arrivées à la fin. Le temps de la conférence de Dieu approche. Ces paroles-ci doivent être accomplies pour les Gentils : « Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. » L’heure est là. La conférence a été tenue. L’Esprit est ici.

54 A présent, mon ami, pour terminer je vais dire ceci : Vous êtes à une conférence ce matin. Vous y êtes. On est sur le point de plaider votre cause. Votre – votre cas de maladie est sur le point d’être plaidé devant un Dieu miséricordieux. On est sur le point de plaider pour votre péché devant un Dieu miséricordieux. Et soyez sûr d’accepter cela.
Eh bien, permettez-moi de vous dire que je vais parler de la dernière conférence qui sera tenue. Que Dieu soit miséricordieux. Il n’y aura qu’une chose qui tiendra là, c’est d’être reconcilié ; c’est ça le jugement. Et la seule chose par laquelle vous serez réconcilié, c’est quand vous acceptez le Sang de Jésus-Christ comme votre pardon et que vous êtes rempli de Son Esprit.
Il y a une conférence où chaque homme, chaque femme ou chaque enfant prendra part. Il y a un lieu choisi où se tiendra cette conférence. Et il y aura le Jugement du grand Trône blanc. Dieu a permis à Ses prophètes d’y regarder et ils ont dit : « Les livres furent ouverts ainsi qu’un autre livre, qui est le Livre de Vie. Des myriades et des myriades de prédicateurs et d’anges Le servaient. » Et là, il est écrit : « Si le juste se sauve avec peine, où seront le pécheur et l’impie ? »
Quelle sera votre position à cette conférence-là ? Peut-être que vous les avez évitées toutes durant votre vie. Vous pourriez franchir cette porte ce matin et éviter celle-ci. Mais, mon ami, vous n’éviterez jamais celle-là. Vous vous y trouverez. « Car il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement. » Il y aura la grande conférence où nous nous tiendrons tous ensemble et nous allons rendre compte pour ce matin, au sujet de cette conférence terrestre que nous avons tenue ce matin.

55 Si vous êtes un pécheur, acceptez Sa miséricorde pendant que nous prions, tandis que vous inclinez la tête. Juste avant que nous priions, et vous, avec la tête inclinée, je me demande ce matin, pendant qu’on est assis dans cette conférence, si le Saint-Esprit ne vous a pas dit : « Tu es coupable. »
Et peut-être que vous dites : « Saint-Esprit, Tu vois, voici le problème… » C’est ce que Moïse a dit à la conférence de la mer Rouge. « Voici le problème, Eternel. Je suis venu jusqu’ici, mais je ne peux pas aller plus loin. Il y a quelque chose qui me barre le chemin. » Il y a peut-être quelque chose qui vous barre le chemin. Mais, souvenez-vous, Dieu a dit à Moïse : « Va, parle aux enfants d’Israël, et allez de l’avant. »
Si vous voulez qu’on se souvienne de vous dans un mot de prière, voudriez-vous simplement lever la main et dire : « Priez pour moi, frère. » Que Dieu vous bénisse. Oh ! la la ! partout dans le bâtiment, des dizaines de mains.

56 Père céleste, malgré cette voix brisée, plutôt épuisée par la prédication, cependant d’une façon ou d’une autre, le Glorieux Saint-Esprit a donné au peuple le sens de la pensée quand le prophète a dit : « Venez maintenant, plaidons, dit l’Eternel. Venez maintenant, tenons une conférence ensemble juste dans ces sièges où nous sommes assis. Je suis assis ici à côté de Toi ; je Te parle. »
« Mais, Seigneur, j’ai péché », dit le pécheur. « J’ai fait tant de choses. Je – je ne crois pas que Tu puisses me pardonner, Seigneur. Je suis un ivrogne ; je suis une prostituée ; je suis une… oh! une personne de mauvaise réputation. Je ne crois pas, Seigneur, qu’il y ait une chance pour moi. »
Alors en réponse, nous entendons ces merveilleuses Paroles : « Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; s’ils sont rouges comme la pourpre (ôtant la vie de plusieurs petits bébés avant leur naissance et – et des choses horribles), s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront blancs comme la laine d’un agneau. » Quelle miséricorde ! « Plaidons ensemble», dit donc Dieu.

57 Venons et tenons cette conférence, Seigneur, et – et Tu parles à Ton peuple. Ils ont levé leurs mains. Cela montre que Tu es assis à côté d’eux, car il est écrit dans les Ecritures : « Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire premièrement. Et tous ceux que le Père Me donne viendront à Moi, et Je leur donnerai la Vie Eternelle et Je les ressusciterai aux derniers jours. » Maintenant, accorde, Seigneur, que tous ceux qui ont levé la main ainsi que ceux qui ne l’ont pas fait, où que Tes petites conférences individuelles se tiennent dans cette salle en ce moment même avec ces gens, qu’ils acceptent Ta grâce qui pardonne et qu’ils soient remplis de Ton Esprit et lavés dans Ton Sang. Et qu’à la fin de la route, Tu puisses dire : « C’est bien, Mon bon et fidèle serviteur. Tu as été fidèle ce matin-là au croisement de la 8e rue et de la rue Penn. Maintenant entre dans la joie du Seigneur qui a été préparée pour toi depuis la fondation du monde. »
Seigneur, mon Dieu et mon Père, je Te les confie. Je ne peux rien faire de plus. Je suis juste Ton prédicateur. Et je ne peux rien faire de plus. Ils sont à Toi. Traite avec eux, Père, selon les besoins de leurs coeurs. Nous leur permettons, ou plutôt nous Te les confions au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ. Amen.

58 Si vous l’avez déjà remarqué, au tabernacle, je ne permets pas aux gens d’entraîner les gens vers l’autel. Je ne crois pas à ça. Si Dieu ne vous y amène pas, cela ne servira à rien que quelqu’un d’autre le fasse. « Nul ne peut venir si Mon Père ne l’attire. Et tout ce que le Père… » Et le Père vous attire parce que votre nom est inscrit dans le Livre de Vie de l’Agneau. « Et tout ce que le Père M’a donné viendra à Moi. » Que vous soyez sur votre siège, à l’autel, où que vous soyez, vous viendrez. C’est l’exacte vérité. Jésus l’a dit.
Ainsi maintenant, vous chères personnes qui avez levé la main, le pas suivant que vous devez faire, si vous n’avez pas été baptisé, c’est de vous faire baptiser au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés. C’est cela la prescription du médecin, le docteur Simon Pierre, qui avait les clefs du Royaume, pour vous dire comment entrer.
Le jour de la Pentecôte, les gens ont dit : « Que devons-nous faire pour être sauvés ? »
Il a dit : « Repentez-vous, chacun de vous ( c’est ce que vous venez de faire), puis que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés », pour montrer aux gens et au monde que vous croyez à la mort, à l’ensevelissement et à la résurrection de Jésus-Christ ; Il a pris vos péchés. « Alors vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. »

59 Suivez cette instruction. Si ce n’est pas à ce tabernacle-ci, c’est au tabernacle que vous fréquentez, à l’église que vous fréquentez, où que ce soit. Ne vous tenez pas à l’écart. Allez directement vers un corps de croyants spirituels. Allez chez les Assemblées de Dieu, à l’Eglise de Dieu, chez les pentecôtistes unitaires, binitaires, trinitaires, quoi que ce soit, peu m’importe où vous allez. Mais allez rapidement vers une église. Communiez là-bas.
S’ils enseignent peut-être de petites choses que vous ne… vous ne… Vous dites : « Eh bien, frère Branham ne l’a pas enseigné comme cela. » Eh bien, ça ne change rien de toute façon. Si vous avez le Saint-Esprit, avancez. Joignez-vous à eux. Continuez votre chemin.
De toute façon, nous allons – nous allons tous aboutir à une seule église. Quand le temple de Salomon était taillé à travers le monde, il a été taillé à travers le monde, différentes pierres étranges et tout le reste. Mais quand on a commencé à les réunir, on n’entendait pas de bourdonnement de scie ni de martèlement d’un marteau. Pendant les quarante ans où le temple fut érigé, on n’a jamais entendu un seul coup de marteau ou un seul bourdonnement de scie. Elles étaient toutes taillées parfaitement.
Toutes ces grandes églises qui ont le Saint-Esprit vont s’unir ce jour-là à leurs places appropriées dans le Corps de Christ pour l’Enlèvement. Allez donc simplement là où les gens croient l’Evangile.

60 Maintenant, mes chers amis, je ne savais pas que je prendrais autant de votre temps. Je ne sais pas à quelle heure je suis venu. Etait-ce à 9h30 ou à 10h00, ou quelque chose comme ça ? A 10h 00. Je ne peux pas… Est-ce, cela était-il vraiment si long ? C’est à peine si je peux le croire.
Il ne nous reste que le temps de prier pour les malades. Nous le leur avons promis. Maintenant, juste une minute. Si vous pouvez juste nous accorder quinze minutes. Juste… Je crois qu’il est moins le quart, nous allons donc simplement prendre ces quinze minutes qui restent à ma montre.

61 Ecoutez. Il n’y a rien. Votre premier devoir quand vous tombez malade, bien sûr, vous allez chez votre médecin. Il fait tout ce qu’il peut. S’il ne sait plus rien faire, vous avez alors le droit d’aller chez le grand Spécialiste. Eh bien, nous ne sommes pas contre les médecins. J’ai plusieurs précieux amis médecins qui sont mes copains, de braves hommes qui croient en Dieu. Et je prie pour eux, et ils prient même pour moi. C’est juste.
Quand ils ont un malade pour lequel ils ne peuvent plus rien faire, bien de braves médecins… Bien sûr, je tais leurs noms. Ils ne sont peut-être pas remplis du Saint-Esprit et tout, mais ce sont des hommes de bien. Ils disent : « Frère Branham, je ne peux plus rien faire pour ce cas, si vous voulez bien vous en charger… »
Je dis : « Envoyez-le. Que je… Je ne peux pas faire cela. Je vais permettre cela à Jésus – confier cela à Jésus-Christ. Que Lui le fasse. » Voyez-vous ? C’est donc une bonne chose.

62 Mais suivez. Si jamais une guérison se produit, c’est Christ qui l’a opérée. Le médecin peut ôter une obstruction, arracher une dent, ou – ou retrancher quelque chose, ôter l’appendice, prendre... ôter un cancer, ôter une verrue ou faire une opération de quelque chose d’autre, mettre un poison en vous pour tuer les germes. Mais rien en dehors de Dieu ne peut guérir, car il faut une création pour faire repousser la chose. Et aucun médicament ne peut créer. Voyez-vous ? Il n’y a qu’un seul Créateur, c’est Dieu. Donc le Psaume 103… Voyez-vous, toutes les Ecritures sont vraies. « Je suis l’Eternel qui guéris toutes tes maladies. »
Cela ne veut pas dire que le médecin n’a rien à faire là-dedans ; si, il a sa part. Si je me fracturais le bras, mon devoir serait d’aller chez un médecin qui sait remettre ce bras en place. Mais il ne peut pas guérir ce bras. Il ne peut que le remettre en place, remettre les os en place. Et alors Dieu fournit le calcium et tout, Il crée cela, la matière qui, à l’intérieur de mon bras, fait que la chose se remette ensemble. C’est Dieu qui guérit. Voyez-vous ?

63 Maintenant, nous avons prêché cette semaine ; la coutume chez les Juifs, pour les gens au temps des Juifs, c’était d’imposer les mains aux malades. C’est ce qu’ils faisaient. Pour tout, c’était l’imposition des mains. C’était l’ordre chez les Juifs. Mais il n’en a jamais été ainsi avec les Gentils, jamais.
Quand la fille de Jaïrus, un sacrificateur juif, quand elle est morte, il a dit à Jésus : « Viens imposer les mains à mon enfant et elle vivra. Impose-lui les mains. »
Mais quand Il est allé chez le centenier romain, ce dernier a dit : « Je ne suis pas digne que Tu entres sous mon toit. Tiens-Toi là où Tu es, et prononce simplement la Parole. » Il avait compris l’autorité que Jésus avait. Il a dit : « Je suis soumis à des supérieurs. J’ai une… » Il était un centenier ; cela signifie – cela signifie qu’il avait cent hommes sous ses ordres. Il a dit : « Si je dis à cet homme : ‘Fais ceci’, il le fait ; et à l’autre : ‘Fais cela’, il le fait. » Il a dit : « Et Toi Tu as autorité sur chaque maladie et sur chaque affliction et tout. Elles sont toutes sous Tes ordres. Tu es le grand Commandant. » Oh ! j’aime cela, cela a même touché le coeur de Jésus.
Et Il s’est retourné vers les autres, vers le peuple juif et Il a dit : « Je n’ai point trouvé pareille foi en Israël. »

64 La femme syro-phénicienne, une Gentille, une Grecque, elle est venue auprès de Lui et a dit : « Seigneur, j’ai une enfant couchée là, elle est tourmentée de diverses façons par le démon. » Elle était probablement épileptique ou souffrait d’une espèce de démence. Elle a dit : « Elle est dans un état terrible. Voudrais-Tu la guérir ? »
Et Il a éprouvé sa foi. « Eh bien, a-t-Il dit, il n’est pas bien de prendre le pain des enfants et de le donner aux chiens. » Il l’a traitée de chienne… Et à cette époque-là, un chien, c’était une des… comme un cochon, la chose la plus basse qui soit. Il a dit : « Il n’est pas bien que Je prenne le pain des enfants et que Je le donne à vous, les chiens. »
Elle a dit : « C’est la vérité, Seigneur. » Oh ! j’aime cela. « C’est la vérité. » Elle a dit : « Mais, Tu sais, les chiens sous la table mangent les miettes que les enfants font tomber. » Cela L’a touché. Comme toi, Hattie, l’autre jour, elle a dit la chose juste.
Il s’est retourné et a dit : « A cause de cette parole, le démon a quitté ta fille. » Il n’était pas obligé d’aller auprès d’elle pour lui imposer les mains.

65 Le jour de la Pentecôte, quand le Saint-Esprit est tombé, Philippe est allé en Samarie. Ils étaient des demi-Juifs. Quand il est donc allé, il a dû leur imposer les mains pour qu’ils reçoivent le Saint-Esprit. Le Saint-Esprit n’était pas encore venu sur l’un d’eux. Ils ont donc envoyé chercher Pierre. Ils avaient été baptisés au Nom de Jésus, les gens sont donc allés chercher Pierre et Jean à Jérusalem, afin qu’ils… au quartier général, et ces derniers sont venus leur imposer les mains, et ils ont reçu le Saint-Esprit. Puis Pierre est allé chez Corneille. Voyez-vous, il a dû leur imposer les mains.
Considérez Actes 19, quand il y avait ce groupe de Juifs à Ephèse, il a dû leur imposer les mains pour qu’ils reçoivent le Saint-Esprit. Mais pendant qu’il était chez Corneille et qu’il prononçait ces paroles, le Saint-Esprit est tombé sur eux. Sans imposition des mains. Le Saint-Esprit est tombé quand ils ont entendu la vérité. Ils avaient faim et attendaient Cela.

66 Avez-vous autant faim de la guérison ce matin ? Que le Saint-Esprit parle alors pour dire que Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous cela ? A-t-Il dit : « Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi » ?
Comment s’est-Il révélé aux gens comme étant leur Messie, le Messie des Juifs ? Comment l’a-t-Il fait chez les Juifs ? En leur disant le secret de leur coeur. Ils ont reconnu qu’Il était le Messie. Combien savent que c’est la vérité ? Certainement.
Quand le... Pierre est venu, Il a dit : « Tu t’appelles Pierre. » Il a dit plutôt: « Tu t’appelles Cephas. » Il a dit : « Tu seras appelé Pierre. Le nom de ton père, c’est Jonas.» Cela régla la question. Il sut que c’était le Messie.
Quand Philippe est allé trouver Nathanaël, Il a dit : « Tu es un – Tu es un brave et honnête homme. »
Il a dit : « Eh bien, Rabbi, quand m’as-Tu connu ? »
Il a dit : « Avant que Pierre t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu. » A quinze miles [environ 24 km – N.D.T.] de l’autre coté de la montagne, à une journée de marche. « Je t’ai vu. »
Il a dit : « Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël. »

67 Il est allé chez les Samaritains. Il avait besoin d’y aller. Pourquoi ? Il est allé chez les Samaritains. Et il y avait une Samaritaine. Et alors, Il s’est dit qu’Il lui montrerait tout simplement le signe du Messie. Et Il a dit : « Va chercher ton mari et viens ici. »
Elle a dit : « Je n’ai point de mari. »
Il a dit : « Tu as eu raison de dire cela, car tu en as eu cinq. »
Elle a dit : « Seigneur… » En d’autres termes, c’est comme ceci : « Nous attendons la Venue du Messie. Et Il sera un Dieu-Prophète. Et nous savons que lorsqu’Il viendra, Il nous annoncera ces choses. Tu dois donc être une sorte de prophète. »
Il a dit : « Je suis le Messie. Je suis Celui dont tu parles. »
Elle a laissé cette cruche d’eau (Une prostituée sans espérance. Combien… état dans lequel elle était), et elle est entrée dans la ville en courant et elle a dit à ces hommes : « Venez voir un Homme qui m’a dit ce qu’il y a dans mon coeur. Ne serait-ce point le Messie ? Ne serait-ce point le Messie ? »

68 Pas une seule fois cela n’avait été fait chez les Gentils. Pas du tout. Ceci, c’est leur jour, quand les lumières du soir…
Les Juifs sont maintenant dans une nation pour contrôler le monde. Ils l’ont fait à une époque donnée. Ils retournent. Voyez ce figuier bourgeonner là-bas. Observez le Juif partout où il est, le calendrier de Dieu, vous verrez. Il n’abandonnera jamais Israël. Mais Israël devait être aveuglé. Je ne dis pas cela à cause de ce Juif qui est assis ici. Mais Israël devait être aveuglé pour qu’une chance nous soit offerte. Nous les aimons. Ne vous en faites pas, ils vont fleurir de nouveau.
« Ce qu’a laissé le gazam, le hasil l’a dévoré ; ce qu’a laissé le hasil, la sauterelle l’a dévoré ; mais Je restaurerai, dit l’Eternel. » Cela fut dévoré juste pour un laps de temps, afin que nous, nous puissions entrer. Nos yeux sont ouverts.

69 Maintenant, qu’est-ce ? Notre jour tire à sa fin. Les Juifs commencent à se rassembler de nouveau comme Dieu l’avait dit. Et les lumières du soir brillent sur quoi ? Où brillent les lumières au temps du soir ? A l’ouest. Elles ont brillé à l’est, sur les Juifs, le peuple de l’Orient au commencement. Ç’a été un jour sombre des dénominations et tout. Mais les lumières du soir brilleront sur les Gentils, l’hémisphère occidentale. Nous voici maintenant à la fin. Nous sommes – nous sommes sur la côte ouest. Si vous allez plus loin, vous retournerez de nouveau à l’est. La civilisation a voyagé dans ce sens-là. Les lumières du soir brillent donc : Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

70 Prions. Maintenant, Seigneur, ceux-ci sont tous à Toi. La foi dans la Parole vient de ce qu’on entend, de ce qu’on entend la Parole de Dieu. Et, ô Dieu,Tu rends Tes Paroles manifestes pour prouver aux gens que Tu es Dieu. Maintenant, qu’il soit connu ce matin que Tu es Dieu et que je suis Ton serviteur qui leur dit la Vérité de la Vie Eternelle. Nous prions au Nom de Jésus-Christ, notre Seigneur. Amen.
Je crois que Billy m’a dit là qu’il y avait un – un tas important de cartes de prière. Beaucoup de gens ici… Nous ne pouvons pas les faire monter tous. Vous savez cela. En effet, c’est… Pour prouver cela… Ou juste pour que vous puissiez voir… Eh bien, Dieu n’est pas tenu de faire ceci. Un… Tout le monde sait-il cela ? Jésus n’était pas tenu de guérir tout le monde quand Il était ici sur terre. Savez-vous cela ? Mais Il l’a fait afin que soit accompli ce qui avait été annoncé par le prophète. Est-ce juste ? Il fait ceci afin que soit accomplie la Parole qui dit : « Ce qui arriva au temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme. »

71 Avez-vous remarqué qu’ils avaient Billy Graham, Oral Roberts et les autres au temps de Sodome ? Des hommes comme eux sont allés prêcher aux Sodomites, dans la ville. Mais l’élu, Abraham avec son groupe, c’était un groupe qui avait été appelé à sortir, à l’écart d’un côté. Quel type d’Ange est resté derrière et leur a prêché ?
Suivez. L’Homme s’était assis là, Il a dit qu’Il était un étranger venant d’un pays étranger ; il avait de la poussière sur Ses vêtements, Il venait de manger un morceau de veau, de boire du lait de la vache, Il avait mangé des gâteaux de maïs avec Abraham. Eh bien, peut-être que ce dernier avait un chasse-mouche avec lequel il chassait les mouches pendant qu’il faisait cela. Assis là, mangeant.. Et après qu’Il fut parti, Abraham L’appela Elohim, le Tout-Puissant. Mais Il était un Homme, Dieu dans Son peuple.

72 Maintenant, voyez ce qu’Il a fait, comment Il l’a su. Il s’est assis là et Il s’est entretenu avec Abraham, Il a dit… Or, c’était la première fois qu’Il rencontrait Abraham, la première fois qu’Abraham Le voyait, consciemment. Et les deux autres hommes allaient se rendre à Sodome. Et ils sont allés là, ils ont prêché et ont aveuglé les gens. N’est-ce pas là ce que fait la prédication de l’Evangile, cela aveugle les incroyants ?
Remarquez. Mais Celui-ci est resté là en arrière avec l’Eglise élue, Abraham et son groupe, les circoncis, les vrais. Il a dit… Lot était un… Celui qui vit en ville et qui passe de bons moments. Et voyez comment étaient ses filles, et comment étaient ses fils et tout. C’est exactement comme le monde aujourd’hui. Le péché de Sodome et tout. Il s’agit là de l’église nominale. Mais l’Eglise spirituelle, c’est un groupe qui est appelé à sortir, qui est séparé.
Quel genre d’ange est venu vers eux ? Eh bien, voyons cela. Eh bien, souvenez-vous, votre Seigneur a dit : « Ce qui arriva en ce temps-là arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme. » Jésus l’a dit : « Les cieux et la terre passeront, mais Mes Paroles ne failliront jamais. » Eh bien, suivez attentivement et soyez tranquilles.

73 Maintenant, cet Ange a parlé à Abraham. Il a dit : « Abraham, où est Sara, ta femme ? » Comment a-t-Il su qu’il était marié ? Comment a-t-Il su qu’il avait une femme ? Et comment a-t-Il su qu’elle s’appelait Sara ? C’est étrange, n’est-ce pas ?
Et Abraham a dit : « Elle est dans la tente derrière Toi. » Oui, oui !
Il a dit : « Abraham, comme tu crois Dieu et que tu vas être l’héritier du monde, tous les Gentils et tout entreront dans le Royaume par ta semence, par ta… La promesse t’a été faite. Je ne garderai aucune pro-… ne te cacherai rien, Abraham. » Oh ! j’aime cela. « Je ne te cacherai pas ceci, Abraham. Et pendant vingt-cinq ans tu m’as cru concernant ce bébé. Maintenant, tu as cent ans et elle, quatre-vingt-dix. Mais Abraham, au temps de la vie… » C’est un auditoire mixte, vous comprenez ce que je veux dire, les vingt-huit jours. Cela avait cessé chez elle depuis cinquante ans ou plus… oui, depuis soixante ans. Il a dit : « Au temps de la vie de Sara, Je vais te visiter de nouveau et tu vas avoir cet enfant. »
Et Sara, qui était derrière Lui, dans la tente, les rabats fermés, a ri en elle-même. Juste… [Frère Branham illustre – N.D.E.] Et elle s’est dit : « Comment pourrais-je avoir du plaisir avec mon seigneur ? » Comment appelez-vous votre mari ? « Aurai-je encore du plaisir avec mon seigneur, alors que je suis vieille et lui aussi ? »
Et l’Ange, ayant le dos tourné, a dit : « Pourquoi Sara a-t-elle ri ? » Qu’est-ce qui l’a fait rire ? Ne voyez-vous pas ? Quel genre d’Esprit, quel genre d’Ange visitait là cette Eglise élue ? Eh bien, Jésus a dit que cette même chose se produirait juste avant Sa Venue. Il y aura un signe de Sa Venue.

74 Appelons une ligne de prière. Il a fait la promesse ; Il la tient. Maintenant, il y a là quelque part... je dois appeler cinq ou six personnes ou le nombre qui peut se tenir ici. Vous autres, croyez tout simplement.
Suivez. Si vous n’avez pas une carte de prière pour monter ici, ça ne veut rien dire. Je vous mets au défi.
Voici ce que – voici ce que la semence d’Abraham a fait. Un jour, Jésus, quand Il était sur terre, Il traversait une foule de gens. Et tous disaient : « Bonjour, Rabbi. Bonjour, Docteur. Comment vas-Tu, Révérend ? Ravi de faire Ta connaissance, Révérend, heureux de T’avoir ici. Vas-Tu tenir une réunion pendant que Tu es ici ? »
Et une pauvre petite femme avait un besoin. Elle s’est donc faufilée à travers la foule et elle a touché Son vêtement ; en effet, elle se disait en elle-même : « Si seulement je touchais ce Saint Homme. » Voyez-vous, c’était sa foi. Voyez-vous ? « Si je Le touche, je serai guérie. » Elle L’a donc touché et elle est retournée dans la foule. Elle a dit : « Oh! je suis sûre que je suis guérie, car je crois cela. J’ai cru cela. Je sais que je suis guérie. Je – je crois simplement que la perte de sang a cessé maintenant même. Je le crois tout simplement. »
Jésus s’est arrêté, Il a dit : « Dis donc, qui M’a touché ? »
Quelle question ! Pierre a dit… En d’autres termes : « Seigneur, qu’est-ce qui T’arrive ? » La Bible dit qu’il Le réprimanda. Il a dit : « Que veux-Tu dire par là ? Eh bien, c’est tout le monde qui Te touche. Comment peux-Tu dire cela, Toi qui es le Messie ? Ne crains-Tu pas de t’exposer ici devant ces gens ? Qui M’a touché ? Et je parie que cinq cents personnes T’ont touché dans la minute qui vient de passer. Pourquoi dis-Tu une telle chose ? »
Il a dit : « Mais ceci était un toucher différent. (Voyez-vous ?) Je sens que Je me suis affaibli. Une vertu… » Tout le monde sait que la vertu, c’est la force. « Je me suis affaibli. La force est sortie de Moi. » Et Il a regardé tout autour, Il a regardé tout autour. Voyez-vous, il y avait de la foi là quelque part. Il a regardé tout autour. Et Il a trouvé la petite dame. Le Saint-Esprit qui était en Lui, dans la plénitude, L’a dirigé droit vers cette petite dame. Et cette perte de sang dont elle souffrait, Il a dit : « Ta foi… Eh bien, Je ne t’ai pas guéri. Je n’ai rien eu à voir avec cela. Mais c’est ta foi dans Celui qui… Et Dieu que Je représente, ta foi t’a guérie. »

75 Or, la Bible dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est-à-dire le même en principe, le même en puissance, le même en attitude ; le même Dieu qui vécut en Christ vit dans l’Eglise, pas dans la même mesure. Lui L’avait sans mesure, nous, nous L’avons avec mesure. Et si vous avez une cuillerée d’eau de l’océan, les mêmes composants chimiques qui se trouvent dans tout l’océan se trouvent dans la cuillerée. N’oubliez pas cela. C’est juste. C’est le même Dieu.
Eh bien, la Bible dit dans Hébreux, Il a dit que Jésus-Christ, maintenant même, est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Combien savent cela ? Eh bien, s’Il est le même Souverain Sacrificateur, n’agirait-Il pas de la même manière si on Le touchait ? Que sommes-nous ? Ses porte-parole. Nous nous soumettons à Lui, et nos paroles ne sont pas nos paroles. « Ne vous inquiétez pas de ce que vous direz, car ce n’est pas vous qui parlerez », c’est le Père qui demeure en vous ; c’est Lui qui parle.

76 Quelque part. Où était-ce encore, Billy ? De 1 à 50, ou de 1 à 100 ? De 1 à 100. D’habitude, les gens se précipitent pour obtenir cette première carte, nous allons donc laisser cela une minute. Commençons par un numéro drôle. Disons 30. Qui a la carte de prière 30, levez la main. De quelle – quelle lettre s’agit-il ? B. B-30. Très bien. Regardez dans vos poches ; faites sortir votre carte de prière et s’il y… Eh bien, si – s’il n’y a pas de 30, eh bien, nous allons alors commencer ailleurs. Nous allons – nous allons commencer à… Que dites-vous ? [Un frère dit : « Elle est là, au fond à gauche. » – N.D.E.] Oh ! je suis désolé. Je suis désolé. Très bien, approchez, monsieur. 31, qui a la carte de prière 31, voudriez-vous lever la main ? 31, venez juste ici monsieur. 32. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… lui ajouter des paroles. Je ne connais même pas son nom. Mais je… Et franchement, je – je ne sais pas ce qu’est son problème. Cela… Dieu le sait. Je ne suis pas capable de vous dire son problème. Mais je pense que les autres me sont tous étrangers. Je ne les connais pas.
Combien ici savent que je ne sais rien à votre sujet, levez la main ?

77 Or la Bible dit que lorsque le Saint-Esprit viendra, Il va… D’abord, que fera le Saint-Esprit ? Il vous révélera ces choses que Je vous ai enseignées. Est-ce juste ? Ensuite que fera-t-Il ? Il vous montrera les choses à venir, Il révélera les secrets du coeur. Il fera les mêmes oeuvres que Jésus a faites. Maintenant, combien croient que Jésus a achevé le plan du salut et de la guérison au Calvaire ? Certainement. Ainsi, pour ce qui est de cela, tout est terminé, n’est-ce pas ? Tout est terminé.
Mais la seule chose qu’Il puisse faire, c’est vous secouer ou vous amener à comprendre qu’Il est toujours Dieu et qu’Il tient Sa promesse.
Ainsi, en faisant cela, Il oint des prédicateurs. Il s’agit de ces braves hommes qui se tiennent par ici et de beaucoup qui sont là derrière. Il les oint pour qu’ils prêchent. Moi, je ne vaux pas un prédicateur ; à la place Il me donne ceci pour ma prédication (Voyez-vous ?). En effet, je suis sans instruction et je ne sais rien qu’un… Et vous savez – vous savez ce que je veux dire, pour ce qui est d’être un érudit ou quoi que ce soit d’autre ou un étudiant. Mais Il donne à ces hommes-ci l’opportunité de faire cela. Et ils montent là sous l’inspiration et ils prêchent. Oh! ils peuvent dire en cinq minutes plus que ce que moi, je peux dire en une heure. En effet, sous l’inspiration, c’est comme un canon ou une mitrailleuse qui tire rapidement comme un… marteau à bascule. Voyez-vous ? Moi… Voyez-vous, mon don, c’est quelque chose d’autre. Je dois prendre mon temps pour étudier ce que… Et j’attends pour voir ce que le Saint… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]

78 Il a déjà achevé cela. Mais c’est juste un moyen pour l’amener à croire, à reconnaître que Jésus est ici même. Maintenant, qu’a dit Jésus ? Le signe comme celui qui s’est accompli à Sodome sera donc accompli dans les derniers jours. « Les oeuvres que Je fais », montrant qu’Il était la même personne qui était avec Abraham… « Avant qu’Abraham fut, Je suis. » Il était cet Ange. Et voici qu’Il… Voici qu’Il est ici ce matin, le même Ange qui demeure en nous.
Maintenant, l’homme pourrait être un – un imposteur. Il pourrait être un hypocrite. Il pourrait être un infidèle. Il pourrait être un – un saint. Il… Je ne sais rien à son sujet ; il se tient tout simplement là. Mais si le Saint-Esprit vient et lui révèle, qu’il soit désormais le juge. Il sait. Si le Saint-Esprit peut lui dire ce qui est arrivé dans sa vie, certainement qu’Il… Si c’est vrai, il pourrait croire ce qui arrivera dans sa vie. Est-ce juste ? S’Il est capable de révéler ce qui était arrivé, qu’en est-il de ce qui arrivera ? Eh bien, il saura si c’est juste ou pas, si cela était arrivé ou pas.

79 Docteur, vous croyez ceci, vous et votre mère. Vous croyez cela. Et l’autre médecin qui est assis là derrière aussi, qui vient de Springfield dans le Missouri…
Le Saint-Esprit est ici maintenant. L’homme aux cheveux gris qui est là, qui reste au Motel Avalon par ici. Vous souffrez de quelque chose dans le côté. Pour commencer, vous n’êtes pas d’ici. Vous venez du Canada, en Colombie-Britannique, de Vancouver. Vous venez de Finlande : « Kiitos ». Que Dieu vous bénisse, rentrez chez vous, vous êtes guéri. Jésus-Christ vous rétablit.
Croyez-vous cela ? Je ne connais pas cet homme. Maintenant, je ne sais pas ce que je lui ai dit. C’était le Saint-Esprit qui parlait.

80 Un autre étranger, je ne connais pas cet homme, je ne l’ai jamais vu de ma vie. Je pense que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Est-ce juste, monsieur ? Je n’ai jamais vu cet homme, je ne sais rien à son sujet. Maintenant, soyez très respectueux. Et puisque moi, je ne connais rien sur l’homme et si le Seigneur me révélait quelque chose sur lui, alors cela serait certainement une confirmation qu’il faut plus que l’homme pour faire cela. Est-ce juste ? Maintenant, si vous voulez bien être très respectueux et suivre, être attentifs, pendant que le Saint-Esprit souffle sur vous comme cela, acceptez-Le. Croyez cela de tout votre coeur.
Un inconnu… Premièrement, vous cherchez le salut. Vous êtes un alcoolique. C’est tout à fait juste. Vous n’êtes pas de cette ville ; vous venez d’une autre ville, d’une ville de l’Indiana ; c’est… Je crois que c’est New Castle, quelque chose comme ça. Exactement. Oui, oui. Vous êtes accompagné de… De toute façon, je vois quelqu’un… Vous êtes accompagné d’une femme. C’est une… avez des liens.
Où est Lyle Wood ? C’est sa femme. Elle est ici en ce moment. Elle veut qu’on prie aussi pour elle. Oui, monsieur. Croyez-vous que Dieu peut me révéler votre problème ? Des troubles cardiaques. Si elle croit cela de tout son coeur, elle peut être guérie. Je condamne ce démon en vous, qui vous pousse à prendre l’alcool. Rentrez chez vous au Nom de Jésus-Christ et n’en prenez plus jamais, faites-vous baptiser dans Son précieux Nom, qui ôte les péchés. Et je condamne ce démon, qu’il vous quitte. Amen. Rentrez chez vous. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Vos péchés sont pardonnés maintenant. Allez et ne péchez plus. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez avec tout ce qui est en vous.

81 Nous sommes inconnus l’un à l’autre, jeune dame. Croyez-vous que Christ nous connaît tous deux ? Ici, c’est comme la femme au puits avec notre Sauveur. Vous n’êtes pas cette femme-là et moi non plus je ne suis pas Lui. Mais Son Esprit vit éternellement. La femme… Cette jeune femme qui se tient ici a… Si vous pouviez voir cela, entre elle et moi il y a un... Cette Lumière de l’Ange se tient ici. Mais juste au-delà de cela il y a une ombre, et cette ombre, c’est la mort, les ténèbres. C’est un cancer. Ce cancer se situe au niveau du rectum. Vous non plus vous n’êtes pas de cette contrée-ci ; vous venez du Kentucky, de La Grange, dans le Kentucky. C’est juste. Madame Johnson, qu’en serait-il si, par exemple, vous croyez de tout votre coeur ? Rentrez chez vous et Jésus-Christ vous rétablit. Croyez-vous cela ?
Je condamne le démon qui est en train d’ôter la vie de cette femme. Sur base de la Résurrection de Jésus-Christ, je défie maintenant Satan et je lui dis qu’il est vaincu, que Jésus-Christ l’a vaincu au Calvaire. Et en tant que serviteur de Dieu, sous l’onction du Saint-Esprit, selon la commission qui m’a été donnée par un Ange, je condamne ce démon pour la vie de cette femme. Accorde qu’elle vive, ô Seigneur. Amen. Rentrez chez vous, réjouissez-vous et soyez heureuse, remerciant le Seigneur. Ne doutez pas maintenant. N’ayez point de doute dans votre esprit.

82 Vous semblez vraiment sincère et innocente à ce sujet, madame. Si vous croyez, ces troubles des glandes dont vous souffrez, l’arthrite, croyez-le de tout votre coeur, cela vous quittera.
Maintenant, la petite dame a senti quelque chose juste ici, car il y a un esprit entre les deux. Voyez-vous ? Vous… Ça va pour vous aussi. Croyez simplement de tout votre coeur.
Et à propos, la petite dame là à côté d’elle, oui, il s’agit de vous qui êtes assise là, regardant en haut, et qui priez. Oui, oui. Ce mal de dos… Croyez de tout votre … coeur.
Vous aussi croyez, vous aviez aussi un mal de dos. Montez donc tout simplement et rentrez chez vous maintenant, soyez bien portante.

83 Croyez-vous de tout votre coeur ? Vous êtes ici pour votre fille. Votre fille est couverte de l’ombre de la mort. Il s’agit d’un cancer. Et son état spirituel n’est pas très bon. Certainement. Elle a des hauts et des bas et elle est épuisée. Voyez-vous ce mouchoir que vous avez en main ? Croyez-vous que c’est le Saint-Esprit qui parle ici ? Donnez-moi ce mouchoir. Seigneur, au Nom de Jésus-Christ, je condamne la maladie dont souffre sa fille. Sur base des paroles de sa mère, que cela ait un effet sur elle au Nom de Jésus. Amen. Partez ; ne doutez pas. Ayez la foi. Vous pouvez rentrer chez vous maintenant. Placez ce mouchoir sur elle. Croyez. Ayez foi en Dieu.
Voilà une femme, si vous pouvez la voir. Elle a les yeux fermés, elle a levé son mouchoir, elle prie, elle s’essuie les yeux. Vous avez touché Quelque Chose, soeur. Ce n’est pas moi que vous avez touché, mais c’est Lui que vous avez touché. Maintenant, vous avez des varices, des troubles féminins, des complications de toutes sortes. C’est juste, n’est-ce pas ? Levez la main si c’est vrai. Très bien. Maintenant, rentrez chez vous, soyez rétablie.
Qu’a-t-elle touché ? Je veux vous demander, Qui… Qu’a touché cette femme ? Le Souverain Sacrificateur. Pouvez-vous reconnaître que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est présent ? Si tu peux croire… L’Esprit est dans l’auditoire ; croyez. Cette Colonne de Feu qui – qui est sur cette photo-ci est à l’oeuvre dans l’auditoire.

84 C’est une femme qui regarde droit vers moi, Elle se tient au-dessus d’elle, elle a les mains levées comme ceci avec un mouchoir à la bouche. Elle souffre d’un mal de tête, une sorte de maladie des nerfs de la tête. C’est juste. Croyez-vous que je suis Son prophète ? Croyez-vous que c’est Christ qui vous parle ? Rentrez chez vous ; vous allez en être guérie. Croyez de tout votre coeur.
L’homme assis juste là derrière elle, il a en quelque sorte un lien avec Campbellsville, dans le Kentucky. Oui, oui. Vous souffrez aussi de troubles nerveux, de la prostate, de l’hypertension. Croyez-vous de tout votre coeur, monsieur ? Si vous croyez, levez la main si ces choses sont vraies. Qu’avez-vous touché ? Vous avez touché Quelqu’Un, le Souverain Sacrificateur. Allez, croyez et soyez guéri.
Voici une femme, elle est plutôt de forte corpulence, elle est assise ici avec la main levée près de sa… Je crois connaître cette femme. Je l’ai vue quelque part. Elle prie. Elle souffre de la tête. Et dès que j’ai dit « tête » à cette autre femme il y a quelques minutes, cela l’a touchée. Elle souffre aussi de la tête. J’ai vu cette femme quelque part. Je n’arrive pas à la situer, mais je l’ai déjà vue. Oh! Si. Je sais maintenant, même spirituellement. C’est Rose Austin, elle vient de Louisville, dans le Kentucky. Croyez maintenant. Rentrez chez vous ; portez-vous bien.

85 Je vous connais. Je reconnais votre – je reconnais votre visage. J’étais avec vous lors d’un – un entretien dans une caravane où vous avez reçu le Saint-Esprit. C’est juste. Je vous ai imposé les mains et vous avez reçu… Je ne me souviens pas à l’instant de votre nom, mais je sais que vous – vous avez une affaire de voitures. C’est tout ce que je sais. Je n’ai aucune idée de ce que vous avez. Vous – vous en êtes conscient. [L’homme dit : « C’est juste. » – N.D.E.] C’est juste. Je n’ai aucune idée… Si Dieu révèle le problème, alors la même Personne qui vous a donné le Saint-Esprit peut vous guérir, vous accorder le désir de votre coeur. Croyez-vous cela ? Vous n’êtes pas ici pour vous-même. Il ne s’agit pas de votre maladie ; c’est pour une personne qui vous est chère. C’est une soeur qui est en Virginie. Il s’agit en quelque sorte d’un mal de dos. Votre femme est assise là. Elle est aussi dans le besoin. [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Si elle croit, ces troubles cardiaques et tout la quitteront tout simplement, et elle va…

86 Cette femme qui est juste ici a un lien avec vous. C’est votre mère, voyez-vous. Elle s’inquiète de savoir si elle a le Saint-Esprit ou pas. En plus, elle souffre de la vésicule biliaire, et cela la dérange. Il y a comme un docteur, un gars plutôt fort, a dit que c’est une matrice affaissée. Vous étiez censée être opérée il y a quelque temps. C’est à cause de lui que vous n’avez pas été opérée ; il désirait que vous veniez ici pour que l’on prie pour vous.
La personne qui se tient juste derrière elle est une parente. Cette jeune dame est une parenté d’une manière ou d’une autre, mais c’est seulement par alliance. Oui, oui. Une nièce par alliance… Elle s’inquiète aussi au sujet de son salut. C’est juste. Et elle souffre du diabète, une jeune femme. C’est tout à fait vrai.
Croyez-vous ? Levons nos mains vers Dieu. Ô Seigneur, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie, Donateur de tout don parfait, envoie Ta Présence maintenant parmi les gens. Accorde-leur le désir de leurs coeurs, Seigneur. Nous Te remercions pour ceci et prions que Tu bénisses simplement ces gens et leur donne ce dont ils ont besoin, par Jésus-Christ, notre Seigneur. Amen.

87 Combien croient ? Je ne me souviens pas mais, d’une manière ou d’une autre, c’est descendu dans cette ligne sur quelqu’un. Tout était-ce la vérité ? Levez les mains, tous ceux à qui j’ai parlé, était-ce vrai ? Tout était vrai. Alors c’est vrai que le Saint-Esprit est ici. Est-ce vrai ?
Maintenant, croyez-moi en tant que Son serviteur. Je sais que le… Vous êtes agité ; vous êtes fatigué. Voyez-vous ? Ne doutez pas. Croyez maintenant que c’est Lui. Ce vent impétueux qui est venu le jour de la Pentecôte dans la chambre haute, c’est la même chose qui a affecté ces gens quand cela s’est produit, car c’est le même Saint-Esprit. Il se meut au-dessus de vous, de chacun maintenant même. Le Saint-Esprit se meut parmi vous, dans la foule.
Combien… Je veux que vous soyez sincères envers moi, comme ce serait le cas avec cette Bible qui est devant moi. Combien éprouvent une sensation très étrange, comme si quelque chose venait d’arriver. C’est ça le Saint-Esprit. C’est Lui.

88 Maintenant, croyez-moi. Mes paroles sont la vérité, car Dieu a confirmé Sa Vérité par la Bible, Il L’a confirmée par Sa puissance de résurrection, Il l’a confirmée par la recherche scientifique. Alors, il n’y a rien d’autre par quoi prouver cela. Il est Dieu ; c’est ici. Alors écoutez-moi ; je vous dis la vérité. Chacun de vous est dans la Présence de Dieu maintenant même pour être guéri. Vous tous. Croyez-vous cela ?
Maintenant, je vais vous dire ce que je veux que vous fassiez. Je veux que, où que vous soyez, tous vous vous imposiez les mains les uns aux autres pour que vous voyiez qu’il ne s’agit pas de moi. Vous savez, vous êtes tout autant efficace. Vous êtes un croyant. Si vous sentez ce Saint-Esprit, c’est sur vous. Peut-être pas un don comme celui-ci, mais ce Saint-Esprit est sur vous.
Que quelqu’un, peu importe qui c’est, impose les mains à quelqu’un d’autre, et ensuite inclinez la tête. Imposez les mains à quelqu’un et inclinez la tête. Je me sens conduit à faire ceci. Je sens que c’est le moment pour votre guérison. Si tu peux croire… Oh ! le Saint-Esprit se meut au-dessus de l’auditoire…

89 Ce petit homme là-bas qui vient de la Georgie, vous priez pour votre frère, vous qui êtes assis là derrière, ayez foi, croyez. Oh ! c’est simplement partout. C’est simplement partout.
Maintenant, ne priez pas pour vous-même ; priez pour la personne sur laquelle vous avez posé les mains. Cela fera que vous priez tous les uns pour les autres.
Maintenant, Seigneur Jésus, le Fils de Dieu, qui est ressuscité des morts, même les menaces de Ponce Pilate et le sceau du gouvernement romain n’ont pas pu Te retenir dans la tombe. Et Dieu, le Tout-Puissant, est descendu le jour de Pâques et a roulé la pierre, brisant le sceau, et Tu es ressuscité et Tu es resté quarante jours avec Tes disciples, Tu leur as donné la commission d’aller dans le monde et de faire ces choses qui sont faites maintenant. Il y a deux mille ans de cela.
Seigneur, Tu es Dieu. Tu ne peux pas faillir. Tu es ici. Dans cette conférence que nous avons tenue ce matin, nous avons plaidé au sujet de ces choses. Nous avons soutenu que Tu es Dieu, nous avons soutenu que Tu es Dieu, et que Tu es ici. Et maintenant, nous avons reçu de Toi la commission de nous imposer les mains les uns aux autres. C’est ce que Tu nous as ordonné de faire. Tu as dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » Voilà la commission que nous avons reçue à la conférence. Maintenant, Seigneur, l’obéissance vaut mieux que le sacrifice; l’observation de Ta Parole vaut mieux que les graisses des béliers.

90 Maintenant, Seigneur, en tant que Ton serviteur, je commande et ordonne à chaque démon, à chaque esprit, à chaque maladie, à chaque affliction, à chaque chose qui est contraire et qui dérange ces gens qui sont dans la Présence de Dieu… par le témoignage du Saint-Esprit, par la commission d’un Ange qui m’a été envoyé, je défie cet esprit par la Parole de Dieu, cet esprit de maladie et d’affliction, sors de ces gens au Nom du Seigneur Jésus-Christ et laisse-les être bien portants. Lâche-les.
Satan, tu n’es qu’un bluff. Nous t’avons dénoncé. Le moment est venu où Jésus-Christ s’est manifesté devant les Gentils. Maintenant, Satan, tu es vaincu. Autrefois tu as retenu les gens. Tu n’as maintenant aucun droit légal. Au Calvaire, Jésus-Christ t’a dépouillé de tous les droits que tu avais. Il a payé l’entièreté du prix et Il a dit : « C’est accompli. » Tout le plan entier du salut, toute la guérison, tout a été accompli au Calvaire. Et on t’a arraché tout ce que tu possédais auparavant à cause du péché et à cause de la chute. Maintenant, nous sommes rachetés par le Sang de Jésus et tu ne peux plus nous retenir. Nous disons : « Quitte-nous au Nom du Seigneur Jésus-Christ. »

91 Maintenant, gardez vos mains les uns sur les autres. Continuez à prier. Gardez vos mains… Continuez à prier. Que chacun de vous se dise simplement : « Dieu est proche. L’Esprit de Dieu est ici. Dieu me guérit. Sa bonté, Sa miséricorde, Sa gentillesse, Sa promesse sont rendues réelles en moi. »
Nous pourrions continuer à prêcher pendant des semaines et des semaines. Cela ne changerait donc rien ; le Saint-Esprit est ici. C’est tout ce qu’Il pourrait faire à tout moment, être juste ici maintenant.
« Je crois maintenant même que le Saint-Esprit se manifeste à moi, me prouvant que Dieu est ici. Je crois en Lui. C’est une oeuvre achevée. J’ai Cela. C’est ma possession. Je suis maintenant rempli du Saint-Esprit. Mes maladies, mes douleurs et peines sont en train de partir. Toutes mes afflictions me quittent. » C’est de cette manière qu’il faut prier, avec la tête inclinée, les yeux fermés. (Crois seulement.)
Gardez maintenant la tête inclinée. Nous allons chanter maintenant, très doucement. Crois seulement… Descendant la montagne… enfant épileptique… Les disciples avaient été là en consultation…

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