Ta famille (Crois au Seigneur, suivi des questions)

Date: 61-0808 | La durée est de: 1 hour and 42 minutes | La traduction: Shp
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1 Je vous assure, cela pourrait… cela… Je sais que vous ne venez pas là pour m’écouter, moi. Voyez-vous ? En effet, personne ne pourrait effectuer d’aussi longues distances en véhicule pour écouter un prédicateur. Vous êtes venus là parce que vous – vous croyez le Message et vous croyez en Christ. Et j’apprécie cela.
Et je suis très reconnaissant d’avoir de tels amis, d’avoir quelqu’un qui – qui apprécie vos – vos efforts dans ce que vous essayez de faire, pour – pour effectuer d’aussi longues distances en véhicule dans ces conditions. La seule chose que je peux dire est que j’aurais souhaité… J’ai parlé à Meda, j’ai dit : « Je me demande si nous ne pouvons pas recevoir à la maison pour le dîner tous ces gens qui effectuent plus de 50 miles [80,5 km – N.D.T.]. » Voyez-vous ? Je ne sais pas ce que nous pourrions faire pour eux. Voyez-vous ? En effet, la majeure partie de notre église, je pense 80 %, est faite de vous. Elle est constituée des gens du Mississippi, de l’Alabama, de la Géorgie et des endroits comme cela, d’où vous venez. Et vous pensez que cela…
Et personne de ceux qui viennent n’est riche. Ce sont juste des gens ordinaires. Et je sais qu’il faut une bonne partie de votre… économiser de votre argent pour faire cela. En effet, je sais quelle quantité d’essence il faut pour venir et rentrer, et à cela il faut ajouter l’usure de la voiture pour le trajet… l’aller-retour représente environ, oh ! je pense que ça fait environ 1600, 1700 miles [2574,4 km, 2735,3 km – N.D.T.] pour un seul sermon, et faire cela chaque semaine. Pensez-y ! Voyez-vous ?

2 Vraiment, je – je me sens si petit. Sincèrement. C’était juste comme si je mesurais un demi-pouce [1,27 cm – N.D.T.] en me tenant devant vous pour vous dire vraiment combien je – combien j’apprécie cela.
Nous en parlions, ma femme et moi, disant que si vous ne veniez pas chaque fois que je tiens une réunion au tabernacle, il ne me servirait à rien d’y aller. En effet, il y a plus de gens dans cette pièce en cet instant qu’il y en aurait là-bas, sans vous. C’est l’exacte vérité.
Et cela accomplit ce que disent les Ecritures. Dans notre propre patrie, parmi les nôtres… Vous… Ce sont toujours les gens de l’extérieur qui vous – vous respectent et vous honorent. Je ne sais pas pourquoi. Mais je ne veux pas dire que les gens de l’extér-… je veux dire ceux qui ne sont pas de chez vous. Bien sûr, je ne peux pas vous considérer comme étant tous des gens de l’extérieur, vous êtes mes confrères et mes concitoyens dans le Royaume de Dieu.

3 Et il n’y a pas longtemps, j’avais fait empailler ici un petit alligator. Et j’ai dit à frère Welch que je venais prendre celui-ci. Et les enfants n’ont pas pu terminer leurs vacances. Et je me suis dit que le matin je les conduirais en Floride, à St. Petersburg ; et de là, j’ai l’intention de monter à Miami et de faire le tour de la route Tamiami, puis retourner à la maison. Et ils doivent immédiatement rentrer à l’école, je me suis dit que ce serait le moment indiqué pour nous arrêter là et prendre l’alligator.
Et ainsi, frère Welch… Frère Fred et frère Wood m’ont accompagné, ainsi cela m’a permis d’amener les enfants. Et ils vont ramener mon alligator. Et je me disais, pendant que j’étais ici, que j’aimerais avoir un… votre petit groupe ensemble pour vous dire combien je vous apprécie, combien j’apprécie vos efforts.

4 Et frère et soeur Evans, ainsi que – ainsi que frère et soeur… Je – je comprends… Je prononce S.T. Je sais que c’est T.S. Je… Il existe un – un gargarisme [produit pour nettoyer la bouche – N.D.T.], un dentifrice qu’on appelle ST 37, et c’est comme ça que je vous appelle S.T. Non pas à cause de… Et c’est une – c’est une bonne chose aussi. C’est très bien. Cela dépasse tous les autres, à mon avis. Et on utilise cela dans l’armée ; et moi, je – j’utilise cela presque pour tout. Pour me gargariser, et comme dentifrice ; et j’amène cela avec moi lors de mes excursions de chasse ; quand mon cheval se blesse, j’en verse un peu, vous savez. Pratiquement – pratiquement pour tout. C’est – c’est efficace pour tout.
Je pense que vous aussi vous le considérez ainsi, n’est-ce pas, soeur ? Pour tout, pour faire parfois la vaisselle et le reste…

5 Et je me disais donc que peut-être… je demande – j’ai demandé ce soir, j’ai dit à frère Welch : « Que pourriez-vous… que pourrions-nous dire quand les gens viennent ? Pensez-vous… ? » Nous nous sommes dit que peut-être si vous avez une petite question à l’esprit, juste un petit quelque chose que vous pourriez avoir, peut-être quelque chose auquel je pourrais répondre, quelque chose pour lequel on ne voudrait pas peut-être prendre leur temps là-bas au tabernacle quand vous y êtes, une petite question... Et c’est pour cela que je suis passé.
Nous savons donc que vous allez au travail le matin. Il est 21 h 10. Alors, nous allons aussitôt aborder cela. Mais avant cela, inclinons la tête pour un mot de prière.

6 Notre Père céleste, nous sommes si heureux pour Jésus-Christ, notre Seigneur, qui – qui a sauvé nos âmes de la vie du péché et a fait de nous des citoyens de Son Royaume. C’est par Sa grâce que nous avons été sauvés, pas par nous-mêmes ni par nos oeuvres, mais c’est par Sa miséricorde que nous avons été sauvés.
Nous en sommes donc très heureux. Et nous savons qu’un jour nous Le verrons. Car nous aurons un corps semblable à Son propre corps de la gloire, et nous Le verrons tel qu’Il est. A présent, nous ne savons pas encore comment cela va se faire. Mais ce n’est pas notre affaire de le savoir. Nous attendons seulement cela avec impatience par la foi. Et toute la marche, c’est par la foi. Nous sommes donc reconnaissants pour ces choses.
Nous Te prions de bénir ces gens, Seigneur. Pendant que je venais ici en voiture, Tu sais ce qu’il y avait dans nos coeurs hier soir, ma femme et moi, pendant que nous nous entretenions en route. Combien nous nous sentons très bénis d’être… d’avoir des amis qui se sacrifient pour venir écouter ce glorieux Evangile du Fils de Dieu, qui parcourent toutes ces centaines de kilomètres jour et nuit juste pour écouter un message.

7 Ô Dieu, je Te prie de donner à chacun d’eux une glorieuse demeure dans le Royaume. Bénis-les pendant qu’ils sont ici sur terre. Fais-les prospérer dans tout ce qu’ils font. Que cela prospère.
Et ces petits enfants, Seigneur, bien qu’ils ne soient encore que des petits enfants, et beaucoup d’entre eux ici sont des adolescents, mais cependant ils sont assis avec révérence et respect, comme des adultes. Ô Dieu, ils sont à mon avis les meilleurs du pays. Je Te prie de les bénir, Seigneur. Qu’ils ne manquent jamais de rien. Et que dans le glorieux Royaume de l’au-delà, quand toute la famille sera réunie, je suis sûr qu’ils seront là, Père. Je – je Te prie de faire en sorte que chacun d’eux soit là. Qu’ils ne se détournent jamais de ce glorieux sentier étroit dans lequel ils ont été enseignés à marcher. Accorde-le, Seigneur.

8 Maintenant, ce soir, je me suis dit, Père, que nous allons voir ce que les gens ont sur le coeur. Tu connais leurs coeurs. Et je Te prie, Père, de m’aider dans… à répondre à leurs questions, afin que cela nous soit agréable, afin qu’il nous soit agréable d’être ici, et que nous puissions nous en aller en disant : « Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous à cause de Sa Présence ? »
Viens maintenant, Seigneur. Marche au milieu des chaises. Pose Ta main sur chaque épaule. Et frotte Ta main qui porte la cicatrice de clou sur chaque coeur, afin que nous sachions que c’est notre Seigneur qui est tout près. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

9 Je pense que nous avons une Bible ici. J’aimerais juste y lire une – une Ecriture juste pour un instant afin d’avoir un petit point de départ pour… avant que nous abordions la leçon ou plutôt les questions.
Et ceci… j’aimerais lire ceci, un – un passage que j’ai découvert cet après-midi. Je roulais, je roulais en compagnie de frère Welch et je… occupant le siège de devant là dans la camionnette de frère Sothmann. Et j’ai lu quelque chose, et je me suis dit que j’aimerais en parler juste pendant quelques minutes. Si je peux trouver cela dans sa… Oh, oui. Nous y sommes.
Actes chapitre 16, à partir du verset 37 : Mais Paul dit aux licteurs : Après nous avoir battus de verges publiquement… (Excusez-moi. Ce n’est pas exactement là que je voudrais – exactement là que je voulais commencer la lecture.)
C’est… Je lisais un passage ici, juste… Je vais le retrouver dans un instant. Nous y sommes. C’est le verset 29 – verset 28 ; commençons : Mais Paul cria d’une voix forte : Ne te fais point de mal, nous sommes tous ici. Et ils demandèrent de la lumière…entra précipitamment, et se jeta tout tremblant aux pieds de Paul et de Silas ; Il les pria… et demanda… les fit sortir, et dit : Seigneurs, que faut-il que je fasse pour être sauvé ? Paul et Silas répondirent : Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille. C’est juste l’une des petites questions complexes dont, pensais-je, j’aimerais parler juste un instant, sur Ta famille, comme je vois que chacun de vous a si bien mis sa maison en ordre. Vos – vos enfants sont sauvés, et – et c’est – c’est une chose merveilleuse que tous les membres de votre famille soient des chrétiens, car je… C’est ce que nous – nous désirons pour nos familles. Chacun de nous pense à ses enfants. Et je puis certainement vous louer, vous les braves personnes qui êtes ici, pour vos aimables enfants, pour la façon dont vous les tenez tous dans l’ordre et tout comme cela. Je…

10 Bonsoir, soeur. Et je crois que c’est un… N’était-ce pas cette maman qui vient d’entrer là derrière ? Que le Seigneur te bénisse. Je suis heureux de te revoir ce soir. Et je crois que celle-ci est l’épouse de frère Willie, n’est-ce pas juste ? Et voilà le chef de famille juste là, si je comprends bien, que… Ou c’est de cette façon que ça se passe dans notre famille.
Et pour avoir votre famille… Bon, Paul dit ici à ce – ce centenier romain, alors qu’il était… Nous voyons que Paul avait été battu de verges la veille au soir, qu’il avait été battu de verges sur ordre des préteurs, sans avoir rien fait de mal : il avait prêché l’Evangile là-bas. Et le clergé de là en voulait à Paul pour avoir prêché l’Evangile. Et ils ont dit qu’il bouleversait le monde.

11 Et alors qu’il descendait la rue, il y avait une petite diseuse de bonne aventure ; une femme qui avait un – un esprit de bonne aventure. Et elle était engagée pour dire la bonne aventure. Et pendant qu’ils descendaient la rue, elle criait après Paul, disant : « Ces gens sont des hommes de Dieu qui nous montrent le chemin de la – de la vie. »
Et Paul n’avait pas besoin que le diable l’assiste en quoi que ce soit, il s’est donc retourné et a réprimandé cet esprit qui était dans la femme. Et alors, oh ! ça a provoqué un tumulte quand les gens ont vu que le – l’esprit l’avait quittée, et qu’elle ne pouvait plus dire la bonne aventure.
Alors, celui – celui qui l’avait engagée était là et probablement veillait sur elle ; eh bien, cela a provoqué un grand tumulte, et ils furent battus de verges et jetés en prison. Et je peux m’imaginer Paul et Silas étendus au fond de cette vieille prison infestée de petites bêtes nuisibles, dans la prison intérieure, tout au fond. A l’extérieur, où on gardait les prisonniers les moins redoutables, c’était déjà assez malsain. Mais eux étaient à l’intérieur, et après avoir été amenés tout au fond, ils furent mis aux ceps.

12 Je ne connais pas de… Avez-vous tous déjà vu des ceps ? J’ai eu l’occasion d’en voir. On – on les place dans vos… à vos pieds. Et ensuite on les place à vos mains. Et on les place enfin à votre cou. Et là, vous vous tenez assis là.
Et en Chine, pour la peine capitale, la manière dont on procédait était très cruelle. On mettait les gens dans ces ceps, et on mettait une goutte d’eau, une seule goutte d’eau à la fois leur tombait sur la tête, comme ça, jusqu’à ce que cela les rendait fous. Ils restaient assis là, et on ne leur donnait rien à manger ni rien à boire, comme cela. Et leurs – leurs yeux se révulsaient et tout. C’était vraiment horrible.
On dit que les premières gouttes, bien sûr, peut-être le premier jour, ça ne fait pas du tout mal. Mais on dit que quelques jours après, ces gouttes, c’est comme cinquante tonnes qui tombent, vous savez, à chaque fois, frappant juste le même endroit. En effet, vous ne pouvez pas bouger la tête, vous êtes dans ces ceps.

13 Et pensez-y seulement, Paul et Silas étendus dans ce vieux et sale endroit pour avoir prêché l’Evangile. Et probablement des rats, des souris et des insectes leur montaient dessus, et tout. Quel endroit pour un homme qui prêche l’Evangile ! Et nous, nous pensons aujourd’hui que… Nous nous plaignons parce que les choses sont un peu dures pour nous. Considérez ce qu’eux ont connu. Et ils savaient ce qui les attendait, peut-être l’exécution le lendemain matin.
Mais ils étaient fidèles. Ils – ils étaient… Ils sont restés fidèles. Et là à l’intérieur, vers minuit, et je – je peux bien m’imaginer ce qu’ils ont dû ressentir, avec les dos collés à la saleté où des prisonniers… Et en – en ce temps-là, c’était la lèpre et tout le reste qui… et ils étaient étendus sur ce vieux plancher dur… C’était probablement un plancher crasseux et des rats leur passant dessus…

14 Mais au milieu de tout ça, ils n’avaient probablement pas de repas. Et ils avaient tellement été battus de verges qu’ils saignaient, qu’ils étaient meurtris et avaient mal. Et il n’y avait point de médecin pour nettoyer les plaies ni quoi que ce soit que nous utilisons aujourd’hui contre les infections, ni quoi que ce soit de ce genre. On les a simplement jetés là au fond, on les a mis dans les ceps et on les a mis dans cette condition-là.
Mais ils ne se plaignaient pas. Ils n’ont pas prononcé un seul mot pour se plaindre. Et ils étaient conscients que peut-être le lendemain matin ils pourraient… les licteurs les feraient probablement comparaître devant l’empereur et qu’alors ils… ou plutôt le Sanhédrin, et qu’ils seraient exécutés pour avoir prêché cette hérésie, comme on l’appelait en ce temps-là. L’Evangile pour lequel nous combattons réellement, cette même foi aujourd’hui…
Et puis quand on se met à y penser, alors les kilomètres se raccourcissent entre nous, voyez-vous, chaque fois qu’on se met à y penser.

15 Et puis, nous voyons que vers minuit Paul et Silas, qui avaient certainement parlé du Seigneur jusque vers minuit, se mirent alors à chanter des hymnes, de bons vieux cantiques chrétiens. Oh ! si nous en chantions aujourd’hui, nous chanterions : Il y a la Puissance dans le Sang ou Ô combien j’aime Jésus, ou quelque chose de ce genre.
Et quand ils se sont mis à chanter, tout à coup un tremblement de terre a secoué le lieu. Et remarquez la manière dont cela s’est fait. Au lieu de faire que ces murs du très vieux bâtiment s’écroulent juste à l’intérieur sur eux et les autres… et les écrasent à mort, cela a fait tomber les murs loin d’eux. Ce n’est pas tout, cela – cela – cela a brisé les ceps et les barreaux et les a libérés. Et ils étaient libérés.

16 Maintenant, pensez-y. Leurs pieds, leurs mains et leurs cous étaient libérés, chacun d’eux. Eh bien, au lieu que cette énorme et solide vieille prison romaine s’effondre sur eux, elle s’est écroulée loin d’eux comme cela. Et ce n’est pas tout, les chaînes et le reste se sont détachés d’eux. Vous voyez, voilà notre Dieu quand nous demeurons fidèles. Vous voyez, nous devons rester fidèles. Et aussi longtemps que nous sommes fidèles et – et que nous persévérons, nous…
Eh bien, nous pourrions ne pas être dans ce genre de situation. Nous… aucun d’entre nous ne pourrait être… J’espère que nous ne connaîtrons pas cela. Mais nous pouvons être fidèles dans ce que nous devons… ce que nous devons endurer. Peut-être qu’il s’agit d’une persécution. Peut-être qu’il s’agit de quelqu’un qui se moque de vous. Peut-être que c’est quelqu’un qui dit : « Tu es vieux jeu, tu es un saint exalté », ou – ou quoi que ce soit dont il voudrait vous traiter, ou se moquer de vous, ou quelque chose comme ça. Soyons malgré tout fidèles, car Dieu honore notre fidélité vis-à-vis de cela, tout autant qu’Il était… a honoré leur fidélité vis-à-vis de ce qu’ils étaient… ils devaient endurer.

17 Et alors, tout à coup, quand le prisonnier ou plutôt le centurion romain, il devait avoir – devait avoir… Le garde qui était à la porte s’est certainement dit que cette nuit-là, pendant que Paul et Silas parlaient des Ecritures, il a certainement appris quelque chose. En effet, il ne connaissait pas ces hommes. Mais d’une façon ou d’une autre, il a dû le savoir, ou il les a entendus chanter ou quelque chose comme ça qui l’a amené à comprendre tout de suite que c’étaient de saints hommes.
Car, vous voyez, ils… c’était un Romain. Et eux étaient des Juifs. Et il était un païen et eux des chrétiens. Mais avez-vous remarqué, dès qu’il a découvert qu’il y avait… que la prison s’était écroulée, et il était conscient qu’il devait répondre pour cette sentinelle… ?
Vous souvenez-vous du temps d’Elie, quand il s’était déguisé et avait rencontré le roi Achab là-bas, et qu’il avait dit : « J’étais sentinelle et ma vie était bien sûr liée à cet homme, et il s’est échappé » ?
Et – et il a dit : « Eh bien, tu vas payer alors cela de ta vie. C’est le devoir d’une sentinelle. » Alors, il s’est dévoilé et a dit qu’il était le prophète Elie. Et il a dit : « Tu as laissé partir le roi Agag. » Et il a dit : « Tu vas – vas payer de ta propre vie. » Et c’est bien ce qui lui est arrivé.

18 Ainsi donc, nous voyons que ce centurion romain, sachant qu’il répondrait de sa propre vie à cause d’eux, il a tiré son épée dès qu’il a constaté qu’ils étaient partis, il fit un mouvement pour se tuer, pour ôter sa propre vie, plutôt que de devoir subir la peine. Certains de ces… Peut-être qu’on allait le mettre dans ces mêmes genres de ceps et tout jusqu’à ce qu’il meure, aussi s’était-il dit qu’il y mettrait tout simplement un terme à tout cela, et il sortit brusquement son épée pour se tuer.
Mais aussitôt, Paul ayant vu cela s’écria, disant : « Ne te fais point de mal, nous sommes tous ici. » Voyez-vous ? Et l’homme s’est rendu alors compte qu’il se passait certainement quelque chose avant cela, qui avait fait que cet homme sache qu’ils étaient des chrétiens ou de saints hommes. En effet, il est aussitôt tombé à leurs pieds.

19 J’imagine qu’il les avait entendus chanter des cantiques. Il les avait entendus donner des témoignages ; il avait suivi leur conversation. Eh bien, réfléchissons une minute, les amis. Si ce centurion romain était convaincu et persuadé parce qu’il avait entendu ces deux hommes, des prisonniers qui avaient été battus de verges…
Eh bien, nous sommes toujours libres, nous ne sommes ni battus ni des prisonniers. Mais le fait d’entendre leur témoignage avait une telle influence que cela l’a amené à demander : « Que faut-il que je fasse pour être sauvé ? » Que devrions-nous donc produire, nous avec notre influence ? Voyez-vous ?
Nous devrions témoigner. Jeunes gens, qui que ce soit, il se peut que vous ne prêchiez pas. Il se peut que Dieu ne vous ait pas appelé à prêcher, mais vous… Que vous soyez une ménagère ou quoi d’autre, un adolescent, fais-… faisons quelque chose, vous savez, qui… Et – et menez une vie qui fera que les gens disent : « Eh bien, ce – c’est un chrétien qui passe là. Ce – c’est un chrétien. »
Et nous voyons donc que cet homme a été impressionné d’une façon ou d’une autre, par leurs cantiques ou quoi que ce fût qu’ils faisaient là à l’intérieur, au point qu’il a compris que c’étaient des chrétiens. Il a donc pris une lampe, et quand il est entré, il a vu que Paul se tenait là et même les prisonniers, là au fond, aucun d’eux ne cherchait à s’évader. Tout le monde était là. Alors, il – il a remis son épée dans le fourreau et il est tombé aux pieds de Paul et de Silas, et il a dit : « Seigneurs, que faut-il que je fasse pour être sauvé ? »

20 Eh bien, avez-vous remarqué qu’aujourd’hui, vous et moi ainsi que la plupart des ministres et tout le reste, nous cherchons toujours à dire à la personne ce qu’elle ne doit pas faire. Nous, nous disons donc : « Cessez de fumer. Cessez de mentir. Cessez de voler. Cessez de faire ceci cela. » Or, ce – ce n’est pas ce que cet homme a demandé. Il – il n’a pas dit : « Que dois-je cesser de faire pour être sauvé ? » Il a dit : « Que faut-il que je fasse pour être sauvé ? »
Vous voyez, nous cherchons à dire aux gens ce qu’ils doivent cesser de faire. Voyez-vous ? Et nous disons : « Eh bien, je dois faire ceci ou cela. » Non. Voyez-vous ? Ce n’est pas là la question. « Que dois-je faire ? », et non : « Que dois-je cesser de faire ? » Mais faites simplement ce que vous êtes censé faire, et tout le reste ira de soi. Le fait que vous mentez et volez, ou – ou que vous buvez, jouez à l’argent et faites de mauvaises choses, cela prendra fin quand vous aurez fait ce que Paul a dit en réponse à sa question : « Que faut-il que je fasse pour être sauvé ? »
Il a dit : « Crois au Seigneur Jésus-Christ, et tu seras sauvé, toi et ta famille. »

21 Bon, la raison pour laquelle j’ai pensé dire ceci, c’est parce que la plupart d’entre vous qui êtes ici, vos – vos enfants sont sauvés. Voyez-vous ? Ils sont chrétiens. J’ai admiré la famille de frère Evans, ces jeunes gens qui sont ici. D’habitude, qui pourriez-vous prendre… un adolescent s’asseoir là pour écouter quelqu’un – un prédicateur parler ? Eh bien, il serait dehors et parti quelque part. Des jeunes filles comme cette…
J’ai dit à frère Fred, que ses gosses, eh bien, ils – ils peuvent juste m’entendre dénoncer une chose qui n’est pas correcte, ils sont – ils sont – ils sont disposés à arrêter cela immédiatement (vous voyez ?) et ils restent assis avec le plus grand respect, plutôt que d’être dehors au volant d’une voiture gonflée, à se promener. Ils... Quand ils vous entendent parler de l’Evangile, ils sont prêts à rester bien là et à écouter. Voyez-vous ?

22 Eh bien, je sais que tous nous voulons… pensons que nos gosses sont des renégats et des choses comme cela. Mais nous – nous devons arrêter de le faire. Je – je crois que nous devons nous rappeler que ces gosses sont les meilleurs gosses qu’il y ait au monde, car ils sont nos enfants, et nous les réclamons pour Dieu
Eh bien, votre salut ne fera pas que cet enfant soit sauvé. Mais cependant, Paul a dit – a dit : « Crois au Seigneur Jésus-Christ, et toi et ta famille vous serez sauvés. » Eh bien, il... Eh bien, que voulait-il dire par cela ? Il ne voulait pas dire que puisque eux étaient sauvés, leur famille était sauvée pour autant. Voici ce qu’il voulait dire : comme ils étaient – avaient... s’il avait assez de foi pour être sauvé, cette même quantité de foi qu’il avait pour lui-même agirait pour ses enfants. Voyez-vous ce que je veux dire ?

23 Eh bien, j’ai mes enfants. Voilà mon petit garçon, Joseph, puis Billy, Sara, Rebecca. Eh bien, je veux donc voir chacun d’eux devenir un ouvrier dans l’Evangile, faisant quelque chose. Je veux les voir sauvés et remplis du Saint-Esprit.
Eh bien, je les ai confiés à Dieu, en disant : « Je m’accroche à Dieu pour eux. » Voyez-vous ? Et je crois qu’ils seront sauvés, chacun d’eux. Voyez-vous ? Je crois qu’ils seront sauvés, et qu’ils seront avec moi de l’autre côté. Mais – mais je ne crois pas que mon salut fera qu’ils soient sauvés. Non. Mais c’est ma foi en Dieu qui le fera. Vous voyez, ma foi, le fait que je crois en Dieu le fera, et les poussera à venir à Christ.
Et je crois que c’est pour cela que vous priez pour vos enfants, et que c’est la raison pour laquelle vos enfants ont ces – ces bonnes manières et sont des… de vrais dames et de vrais gentlemen, dans cet âge de folie où nous vivons. En outre, ils possèdent cette – cette chose qui fait d’eux les meilleurs gosses que je connaisse. Voyez-vous ? Bien, je pense que la raison, c’est à cause de vos prières pour eux. Et vous les avez confiés à Dieu et vous persévérez.

24 Voyez donc, ce Romain a dit : « Que faut-il que je fasse ? » Il a demandé juste pour lui-même. Il a dit : « Que faut-il que je fasse ? »
Et il a dit : « Crois au Seigneur Jésus-Christ, et toi et ta famille, vous serez sauvés. » Voyez-vous ?
Maintenant, maintenant, il nous faut faire une chose. Retournons juste une minute en arrière pour avoir quelque chose qui nous amènera dans mon sujet. Eh bien, c’est ceci. Prenons dans la Bible un vieil homme que je connais, du nom de Job.
Eh bien, Job était un grand homme. Il n’y avait personne comme lui à son époque. Job était un prophète. Et les gens venaient de partout pour entendre Job. Et Dieu l’avait béni. Et il a – il avait prospéré. Il était un homme riche. Oh ! il avait des milliers de têtes de bétail et de moutons, et – et il avait des biens.
Et, oh ! il est dit que quand il sortait dans les rues, les jeunes princes de l’Orient (ce sont les mages, les – les savants astronomes, vous savez), ils disaient, il est dit qu’ils s’inclinaient devant lui juste pour demander une parole de sagesse de sa part. Voyez-vous ? Il était un sage. Il était – il était un prophète.

25 Et ainsi, le diable a baissé les regards, et il a vu que – que Job était un sage. Je vais donc vous montrer comment agit un sage. Maintenant, je reviens au sujet : Toi et ta famille. Job a dit, quand il a vu que tout était tout à fait en ordre, comme le sont vos foyers maintenant ; il a dit : « Tu sais, mes enfants sont mariés et ils sont partis. Mais, a-t-il dit, peut-être que l’un de – l’un... Par hasard, il se pourrait que l’un d’eux ait péché. »
Or, Dieu avait une exigence ; c’était un holocauste. Il a dit : « Maintenant, je ne... » Il ne croyait pas que ses enfants péchaient. « Cependant, a-t-il dit, par hasard, il se pourrait qu’ils aient péché. En effet, ils se rendent visite les uns aux autres, et vont aux réceptions les uns des autres, et ainsi de suite, et ils se mêlent aux autres, je pense, et ainsi de suite. » Il a dit : « Si l’un d’eux a péché... Ainsi, Eternel, je vais apporter un holocauste et offrir cet holocauste pour mon enfant. » Voyez-vous ? Et c’est tout qu’il savait faire. C’est tout ce que Dieu exigeait, un holocauste. C’est ce que… tout ce qu’Il exigeait.
Bien, puis quand la grande heure de minuit est venue et a sonné, et que le pauvre vieux Job était dans la situation où il se retrouvait, il... Vous savez, il a perdu tout son bétail, toutes ses brebis, et les tempêtes sont survenues et ont tué ses enfants. Et le feu a consumé ses serviteurs. Et – et il... Sa propre santé déclina. Et il s’est assis dans l’arrière-cour sur un tas de cendre. Et – et son corps a eu une éruption d’ulcères, si bien qu’il a pris un tesson et se grattait les ulcères. Et même son épouse devint désespérée à son sujet et vint dire : « Job... »

26 Eh bien, imaginons un peu la manière dont elle a dit cela. Maintenant, regardez Job assis là. Il est resté assis là toute la nuit. Ses conseillers sont assis là, lui tournant le dos. Et ils lui ont dit qu’il a péché. C’est le membre d’église ; c’est le – le conseil de diacres, ou quoi que ce soit de l’église, qui viennent le voir. Et ils restent là sept jours, et ils ne cessent de lui dire : « Job, tu ferais mieux de te confesser, car tu as péché. En effet, Dieu ne laisserait pas un juste être tourmenté comme cela. »
Mais Dieu laisse effectivement un juste être tourmenté comme cela. Voyez-vous, parfois Dieu... Ces – ces choses nous arrivent parce que nous avons péché. Mais parfois il – il s’agit de la mise à l’épreuve d’un saint plutôt que du châtiment d’un pécheur.

27 Nous voyons donc que Job était cependant un homme juste. Et si Dieu le faisait passer par une épreuve, parce que Satan avait dit : « Oh ! certainement... » Quand il est venu devant Dieu avec les fils de Dieu, il a dit...
Quand Dieu lui a dit : « Où as-tu été ? »
Il a dit : « Oh ! je parcourais la terre et m’y promenais. »
Il a dit : « As-tu remarqué mon serviteur Job ? C’est un homme intègre. Il n’y a personne comme lui sur la terre. » Dieu était content de cela. Oh ! il aime avoir un serviteur en qui Il peut avoir confiance. Il a dit : « Il n’y a pas un autre homme comme lui sur terre. » Voyez-vous ? Il a dit : « C’est un homme intègre. » Et c’était avant que le Sang de Jésus-Christ ne soit versé. Voyez-vous ? Et il a dit : « C’est un homme intègre. Il est juste ; il est droit. Il n’y a personne comme lui. »
Satan a dit : « Oh ! certainement. Regarde ce que Tu as fait pour lui. Tu lui as tout donné. Il a des maisons ; il a des enfants ; il a du bétail ; il ne manque de rien. Evidemment, n’importe qui pourrait Te servir dans ces conditions-là. » Il a dit : « Laisse-moi l’avoir une fois. Je Te le ferai maudire en face. »
Il a dit : « Satan, il est entre tes mains. Mais ne lui ôte pas la vie. » Eh bien, Dieu avait confiance que son prophète ne Le décevrait pas. Voyez-vous ? Et il a confiance en vous et moi, que nous ne Le décevrons pas.

28 Et alors Il... Et Il a dit : « Ne lui ôte pas la vie. » Et Satan a fait tout sauf lui ôter la vie. Ses enfants ont été tués. Et son bétail a été détruit. Et tout a été... Toute sa richesse a été ruinée. Et il a perdu la santé et tout sauf sa vie, il était assis là dehors, se grattant les ulcères.
Et sa femme est venue à la porte, et – et Satan était entré en elle et elle a dit : « Tu... » Elle a regardé là et elle a dit : « Pourquoi ne maudis-tu pas Dieu pour mourir ? » Elle a dit : « Tu as l’air si misérable. »
Il a dit : « Tu parles comme une femme insensée. » Voyez. Eh bien, il n’a jamais dit qu’elle était insensée ; il a dit qu’elle parlait comme une femme insensée. Voyez-vous ? Il a dit : « Tu parles comme une femme insensée. » Il a dit : « L’Eternel a donné, et l’Eternel a ôté ; que le Nom de l’Eternel soit béni ! » Voyez-vous ? En d’autres termes : « Je suis venu nu au monde, a-t-il dit, nu je m’en irai. Mais que le Nom de l’Eternel soit béni de toute façon. Je suis venu ici n’ayant rien, et je m’en irai sans rien. Mais toutefois que le Nom de l’Eternel soit béni. » Oh ! la la !
Vous savez, Dieu laisse Satan nous tenter très longtemps, puis Il en a assez. Voyez-vous ? Ainsi, il s’est rendu compte qu’il ne saurait pas... Satan était obligé de le laisser alors. Mais Bildad et tous les autres sont encore restés là et ils ont dit : « Eh bien, tu péchais en secret. »
Mais Job resta ferme à ce propos : « Je ne suis pas un pécheur. » Voyez-vous ?

29 « Job, tu as… tu as fait… Tu ne veux pas confesser cela (Voyez-vous ?), parce que tu pèches en secret. Tu le fais secrètement, et Dieu te punit pour cela, c’est donc la raison pour laquelle les choses se passent ainsi pour toi. »
Mais il a dit : « Pas du tout. Je ne suis pas un pécheur. » En effet, il s’en était tenu scrupuleusement à cette justice de Dieu, cet holocauste. Il l’avait offert. C’est tout ce qu’il avait à offrir. C’est tout ce que Dieu exigeait.
Et avez-vous remarqué, après que l’Esprit de Dieu est venu sur le prophète et que tout était rétabli (Voyez-vous ?), qu’est-ce que Dieu a restitué à Job ? Il lui a restitué ses... Là où il avait dix mille [têtes de] bétail, il lui a donné vingt mille [têtes de] bétail. Là où il avait quarante mille moutons, il lui a donné quatre-vingts mille moutons. Voyez-vous ? Et Il lui a restitué tout ce qu’il avait eu auparavant.
Et remarquez qu’il est dit : « Et Il restitua ses sept enfants. » Voyez-vous ? Il a donné à Job ses sept enfants. Il ne lui a pas donné sept autres enfants, mais Il a donné à Job ses sept enfants. Eh bien, de quoi s’agissait-il ? De sa famille : « Toi et ta famille. » En effet, il était intègre, parce qu’il s’en était tenu à tout ce que Dieu nous a donné pour être intègres ou plutôt lui avait donné, à savoir, offrir cet holocauste.
Et il savait que c’était la Parole de Dieu, et que cela ne pouvait pas faillir. Ainsi, vous êtes-vous déjà demandé où se trouvaient ces enfants ? Ils étaient au Ciel en train de l’attendre. Voyez-vous ? Il est avec eux aujourd’hui. Et Dieu a sauvé les enfants de Job. Ils étaient au Ciel en train de l’attendre. Voyez-vous ?

30 Eh bien, si Job a agi conformément à la chose même que Dieu lui avait dit de faire, la seule chose qu’il fallait pour être intègre, c’était offrir un holocauste, c’était juste... Et Il a sauvé Job et sa famille ; alors c’est quoi être intègre devant Dieu ? « Crois au Seigneur Jésus-Christ, et tu seras sauvé, toi et ta famille. »
Si donc je crois pour ma famille et que vous croyez pour votre famille, en croyant la chose, cela montre que nous faisons confiance à Dieu ; Dieu nous impute notre propre foi à justice, comme Il l’a fait avec Abraham, Job et tous les autres. Voyez-vous ? Ainsi, cela nous est compté comme justice, et c’est ainsi que toi et ton foyer, vous serez sauvés.
Oh ! je pense que c’est une chose merveilleuse. Ainsi donc, non seulement cela, mais je persévère pour chaque frère, pour tous mes frères. Pour ma soeur. Je ne persévère pas seulement pour cela, mais je persévère pour chaque personne qui est dans mon église ; je persévère pour vous tous. Je veux que vous persévériez pour moi, à cause de la justice de la foi. Nous n’avons pas besoin d’offrir un holocauste ; Christ est notre sacrifice. Mais nous devons avoir foi dans ce sacrifice que Christ a fait, puisqu’Il nous a fait une – une promesse de ce genre, à savoir : « Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai. Quand vous priez, croyez que vous avez reçu ce que vous avez demandé et vous le verrez s’accomplir. »

31 Si donc je prie Dieu de sauver ces adolescents, et que je crois de tout mon coeur, Il le fera, voyez-vous, c’est de la même manière que Job s’en est tenu là. Vous dites : « Oh ! regardez-moi cet enfant, comment il se comporte. » Cela m’importe peu, ce qu’il fait ou ce qu’elle fait. J’ai de toute façon remis cet enfant dans les mains du Dieu Tout-Puissant et ma – moi et ma famille, nous serons sauvés. Voyez-vous ? Puisque je...
Même si je mourais avant qu’ils ne soient sauvés, cependant d’une façon ou d’une autre avant qu’ils quittent la terre, Dieu va les faire passer par un mauvais quart d’heure là, sur le chemin. Je – je crois que… D’une façon ou d’une autre. Il rendra la situation si misérable pour eux qu’ils seront obligés de le faire. Voyez-vous ?
Et c’est de cette façon que je crois cela : « Tu seras sauvé, toi et ta famille. »

32 J’en ai vu beaucoup qui… J’en ai observé qui sont venus à mes réunions. Bien des fois, un pauvre garçon qui a été voyou toute sa vie vient là. Il tombe sur ses genoux et se met à pleurer, puis il se relève, en disant : « Eh bien, j’avais une chère vieille mère. Oh ! si elle est au Ciel ce soir, je sais qu’elle regarde en bas et qu’elle est heureuse de me voir à cet autel. »
Voyez-vous ? Ce qu’il en est, c’est que cette vieille mère priait et croyait. Voyez-vous, elle est partie depuis longtemps, mais voilà [les résultats de] ces prières. A cause de la justice… Voyez-vous, toi et ta famille, vous serez sauvés. Dieu sait comment opérer. Il sait comment s’y prendre. Et Il sait faire toute chose vraiment comme il faut.

33 Comme je l’ai dit l’autre jour, quand nous naissons de l’Esprit de Dieu, Dieu n’a pas une partie faible et une autre forte. Si vous avez une petite ombre de Dieu en vous, juste la plus petite portion de Dieu, alors vous avez toute la puissance. Vous avez assez de puissance en vous pour créer un monde et aller y vivre.
Mais, bien entendu, cette puissance est contrôlée par la foi. Si ce n’était pas le cas, nous aurions chacun un monde là-bas, où nous vivrions. Mais si vous êtes un fils de Dieu ou une fille de Dieu, vous avez la puissance de Dieu en vous. Voyez-vous ? Ainsi donc, vous… Cette loi attache cette foi à une certaine chose.

34 Bon, prenons l’exemple de nous tous, dirions-nous. Autrefois nous mentions, nous volions ; nous – nous maudissions, nous jurions et faisions tout ce qui était mal. Eh bien, un jour, quand nous avons accepté Christ, qu’a-t-Il fait ? Il a ouvert, dès que nous L’avons accepté… Il s’agit de la foi, exactement ce que Paul a dit au Romain d’avoir, « croire ». C’est très exactement ce que Job a fait : croire. Voyez-vous ? Aussitôt que nous avons accepté Christ comme notre Sauveur, nous avons immédiatement reçu assez de foi, si bien que nous nous sommes éloignés, plus de mensonge, plus de vol, plus de tricherie. Voyez-vous ? Plus… Pourquoi ?
Nous vivons carrément au-dessus de ce péché dans lequel nous vivions. Il nous – nous est accordé une telle foi. Pourquoi ? Parce que nous croyons que nous sommes sauvés. Est-ce juste ? Nous croyons maintenant que nous sommes sauvés. Ainsi donc, nous vivons au-dessus de cela, parce que nous croyons que nous sommes sauvés.

35 Maintenant, écoutez ceci juste avant que j’aborde les questions. Voyez-vous ? Frère, soeur, je vais vous livrer un petit secret sur moi-même. Voyez-vous ? Je pense que vous vous êtes souvent demandé comment je vois ces visions et tout, ce qui fait ça. C’est parce que lorsqu’Il m’a rencontré cette nuit-là et qu’Il m’a dit cela, voyez-vous, que ceci arriverait, j’ai cru cela. Je crois solennellement cela.
Et quand j’entre dans la salle pour prier pour les malades, si je sens que quelque chose est sur le point d’arriver, ils sont sur le point de se rétablir. C’est donc toujours juste. Et c’est ce que nous devons faire avec notre famille, pour tout ce que nous demandons ; nous devons prier ; et Dieu honore la foi, voyez-vous, le fait de croire la chose. Nous devons croire que c’est juste.

36 Maintenant, avec cette petite portion de Dieu, quand vous avez dit : « Oui, Seigneur Jésus, je suis un pécheur. Je ne suis pas digne de Ton amour. Mais Tu m’as aimé, c’est pourquoi je T’accepte comme mon Sauveur. » Immédiatement, vous sortez carrément de là, et qu’est-ce que c’est ? Vous cessez de mentir. Vous cessez de tricher. Vous cessez de voler. Vous cessez de faire des choses que vous ne devriez pas faire. Pourquoi ? Parce que vous croyez que vous êtes un chrétien. Et du fait que vous croyez que vous êtes un chrétien, vous vous élevez au-dessus de cela ; vous êtes à un autre niveau. Bon. Voyez-vous ?
Maintenant, si vous êtes malade, voici la guérison. Croyez simplement cela. Or, vous ne pouvez pas croire la chose de vous-même. Il faut que quelque chose vous arrive, juste comme pour votre conversion. Il faut que quelque chose arrive.

37 L’autre jour, je disais à mon épouse combien je l’aimais. Je ne pense donc pas qu’elle aimerait que je parle de ceci. Mais si je fais cela dans l’intimité, je pense donc que je peux le faire en public à cet instant. Je lui disais combien je l’aimais et combien je l’ai toujours aimée depuis le tout début. J’ai dit : « Ça ne change rien… »
Elle a dit : « Oh ! Bill. » Elle a dit combien… disant combien elle prenait de l’embonpoint et que sa chevelure grisonnait.
J’ai dit : « Chérie, tu pourrais être grosse comme ça et sans cheveux, je continuerais à t’aimer quand même. » Voyez-vous ? En effet, il doit y avoir quelque chose auquel vous devez… a… vous devez faire face pour montrer que vous aimez quelqu’un. Et à moins que cette personne aime cette autre personne-là…

38 Ceci vous concerne, vous jeunes filles qui n’êtes pas mariées, voyez-vous, ainsi que vous jeunes gens. Quand vous rencontrez cette fille que vous aimez et qu’il y a vraiment quelque chose par lequel vous êtes convaincu que vous aimez cette fille, c’est tout ce qu’il en est, ou que vous aimez ce garçon et c’est… ça vous importe peu qu’il soit beau ou pas, qu’elle soit jolie ou pas. Ça n’a pas d’importance. Mais vous l’aimez malgré tout. Eh bien, vous feriez mieux de faire attention, en quelque sorte accrochez-vous là, car c’est… là vous êtes sur le point de fonder un foyer.
Et je… Cela… Un – un mariage qui est basé sur autre chose que cela va certainement s’effondrer, ou il ne réussira jamais. Ils ne seront jamais heureux. Eh bien, j’ai dit cela pour en arriver à une chose que je voudrais dire.

39 Les amis, une conversion qui n’est pas basée sur la même chose ne durera pas non plus. Elle ne durera pas. Quand vous allez à l’église et – et dites : « Eh bien, je vais adhérer à l’église et je vais me faire baptiser. » Si cela ne vient pas d’un coeur qui est plein d’amour pour Dieu, là-bas, cela n’ira jamais nulle part. Vous allez simplement… Tout ce que vous ferez, c’est adhérer à l’église et vous faire baptiser.
Mais lorsque vous êtes converti à Christ et que vous avez de l’amour pour Christ, alors vous accumulez la foi en Christ, comme vous le feriez envers votre femme ou votre mari. Vous accumulez une foi de sorte que vous marchez dans cette foi. Je ne sais pas, tout simplement vous… Quelque chose en vous, vous avez tout simplement une… Quelque chose qui vous ancre là. Voyez-vous ?
Eh bien, c’est pareil avec Christ. Et ce que dit Christ, vous le croyez. Et vous vous en tenez tout simplement à cela. Et c’est comme cela… Cela vous élève carrément au-dessus de cela, et Dieu réalise cela et accomplit Sa promesse : « Si tu crois au Seigneur Jésus-Christ, toi et ta famille, vous serez sauvés. »
Ainsi donc, je me suis dit que je dirais cela. Et je – j’ai déjà pris beaucoup trop de temps avec cela, trente minutes pour le dire. Mais vous comprenez maintenant ce que je veux dire. C’est ce qu’il en est.

40 Si vous pouvez croire au Seigneur Jésus-Christ, pas seulement pour votre propre salut, mais pour celui de vos bien-aimés, pour la guérison de – de l’enfant ou pour une mère, ou pour quoi que ce soit que vous désirez qui est juste… Et vous savez que si vous désirez quelque chose qui n’est pas juste, pour commencer vous – vous n’aurez pas assez de foi pour demander à Dieu ; parce que vous savez que la chose n’est pas juste. Voyez-vous ? Si vous êtes sincère et avez la certitude que la chose est juste, alors vous pouvez faire votre demande à Dieu d’un coeur pur, sachant que ce n’est pas par motif égoïste, et si votre objectif et votre motif sont tout à fait corrects, demandez alors à Dieu. Et croyez comme un enfant que vous recevrez cela, et vous le recevrez. J’en suis certain.
Bon, moi je suis venu à Christ quand j’avais à peu près l’âge de l’un de ces garçons-ci, je pense. J’avais environ vingt ans. Et je – je L’ai servi tout ce temps, et j’ai cinquante-deux ans, le jour de mon anniversaire j’accomplirai cinquante-trois ans. Et je peux dire en toute sincérité que jamais je n’ai demandé quelque chose à Christ sincèrement, c’est-à-dire qui soit… eh bien, que je Lui ai bien sincèrement demandé, quelque chose qui était pour le bien, sans qu’Il ne me l’accorde ou qu’Il ne me dise pourquoi Il ne pouvait pas le faire. Et plus tard, je trouvais que c’était une bonne chose que je n’aie pas obtenu cela. Voyez-vous ?

41 Mais, rappelez-vous tout simplement, quand vous croyez en Lui, que vous avez foi en Lui et Lui faites confiance, ne – ne cherchez pas à vous efforcer à faire la chose. Restez simplement avec Lui et plaidez à ce sujet.
Par exemple, si vous vouliez… Si je venais voir frère Welch ici pour emprunter mille dollars, je pense que je ne pourrais pas les obtenir, car il pourrait ne pas les avoir. Mais s’il les avait, et que je – je pourrais les obtenir, eh bien, je viendrais pour essayer de poser le problème. Si je venais dire : « Welch, donne-moi mille dollars. », ce n’est pas ainsi qu’il faut faire. Ce n’est pas ainsi qu’il faut demander à Dieu. Je viendrais, je dirais à frère Welch, je dirais : « Puis-je vous parler quelques minutes, Frère Welch ? »
« Bien sûr, Frère Branham. »
On se retirerait à côté et on s’assiérait, je dirais : « Frère Welch, premièrement je voudrais vous demander si vous avez mille dollars dont vous pouvez disposer pour moi ? »
Eh bien, il… S’il… Nous obtenons… Nous sommes des amis, soit ce serait lui qui me le demanderait, soit c’est moi qui le lui demanderais, ou l’un de vous, frères. Ce serait pareil. Nous dirions : « Oui. »
« Eh bien, voici la raison pour laquelle… ce qu’est mon besoin. » Je présenterais et lui expliquerais la chose. Je dirais : « Frère Welch, je suis ici dans une série de réunions. Je suis vraiment dans le pétrin. Je – je dois quitter la ville mais j’ai une dette de mille dollars. Je – je dois recevoir de l’argent de quelque part. Eh bien, le Seigneur m’a mis sur le coeur de venir auprès de vous. » Et je lui expliquerais la chose. « Eh bien – eh bien, j’ai mille dollars qui doivent me parvenir d’une autre série de réunions que j’ai tenues à un certain endroit, ce sera dans environ trois mois. Je pourrais vous rembourser. Je vous payerai avec intérêt, si vous le désirez. » J’exposerais simplement tout et lui expliquerais la raison. « Je ne veux pas quitter la ville comme cela, cela jetterait un discrédit sur ma réputation si je le faisais. » Et puis les gens vont dire : « Ce n’est qu’un escroc et un voleur, et – et il quitte la ville alors qu’il doit de l’argent. » Voyez-vous ce que je veux dire ? Je vous l’expliquerais. Je m’assiérais comme un frère et j’en discuterais avec vous.
Eh bien, je crois que si je faisais cela et – et si vous m’aimez comme c’est le cas, vous – vous feriez n’importe quoi. Vous – vous mettriez une voiture en gage ou vendriez quelque chose de votre maison pour obtenir cet argent. Eh bien, voyez-vous, vous le feriez. N’importe qui d’entre vous le ferait. Et je le ferais pour vous.

42 Cependant, la – la chose correcte à faire serait de venir s’asseoir pour discuter de la chose ensemble, vous faire – faire savoir, voyez-vous, exprimer l’un à l’autre nos sentiments. « Vous êtes mon ami, c’est la raison pour laquelle je suis venu auprès de vous. »
Eh bien, c’est pareil avec Christ. Dites : « Tu es mon Seigneur. Je – je suis – je suis malade. Je… Le – le médecin déclare qu’il ne peut rien faire pour moi. Mais – mais je sais que Toi, Tu peux faire quelque chose, car Tu es mon Seigneur. » Et – et discutez-en simplement – simplement avec Lui jusqu’à ce que vous ressentiez alors que – que – que vous avez reçu cela. Et c’est ça votre foi. « La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. »
Et je… quand je ressens cela, c’est juste comme si j’avais la chose. Certainement, je peux aller de l’avant, car j’ai la chose. Voyez-vous, j’ai fait… Eh bien, Il m’a déjà promis que je l’ai, cela – cela règle donc la question. Et je continue simplement à tenir bon, à attendre.
Finalement, bien vite, voilà venir la chose qui est déversée des corridors du Ciel. Et vous – vous obtenez cela. Et c’est ça que vous voyez. « Toi et ta famille, vous serez sauvés. »
Et si vous ne les voyez pas tous être sauvés avant que vous quittiez la terre, vous allez… ils seront là quand vous serez… temps… quand aura lieu la grande venue, ce sera là.

43 Comprenez-vous maintenant ce que je veux dire ? Voyez-vous ? C’est par la foi que nous faisons tout. Croyez au Seigneur. Croyez au Seigneur pour un emploi. Croyez au Seigneur pour qu’Il cherche – pour qu’Il vous donne la femme qu’il vous faut. Croyez au Seigneur pour qu’Il vous donne le mari que vous devriez épouser. Croyez au Seigneur pour qu’Il vous envoie de nouveaux meubles, ou quand le – quand le pot se vide et que la cruche s’assèche, quand il n’y a pas de nourriture et que les enfants sont affamés. Croyez au Seigneur.
Croyez au Seigneur pour tout. Voyez-vous ? Aussi longtemps que la chose est juste, croyez tout simplement au Seigneur et « tu seras ». Voyez-vous ? Cela viendra. Je n’ai jamais vu cela faillir de toute ma vie. Que Dieu vous bénisse.
Et si tu lisais pour moi quelques-unes de ces questions ? Peux-tu me les lire ? Je – j’espère que je vais les comprendre correctement. Je ne veux pas vous retenir trop longtemps donc, peut-être environ – environ dix minutes et – et – et je lui accorde, à Jimmy, un peu de temps pour les étudier là et voir si je… Et elles vont m’être posées de but en blanc, directement. Et si donc je n’arrive pas à y répondre, eh bien, vous comprendrez.

44 Mais comprenez-vous ce que je veux dire maintenant par croire ? « Crois au Seigneur Jésus-Christ, vous serez sauvés et toi et ta famille. » Croyez pour vous-même et croyez pour votre famille, et vous recevrez la chose. Vous dites : « Eh bien, le médecin a dit qu’il est impossible que je me rétablisse. » Eh bien, si vous pouvez croire au Seigneur, vous pouvez vous rétablir.
« Eh bien, je – je suis sans emploi. » Mais si vous croyez au Seigneur, voyez-vous, vous aurez du travail. « Et je – je ne sais que faire pour cette situation. » Croyez au Seigneur. Considérez ce qu’il en est de moi en ce moment même, avec mon épouse qui est là. J’ai toujours pensé que le Seigneur voulait que je quitte Jeffersonville. A présent, c’est arrivé au point où j’ai dû tout simplement m’en remettre à Lui.
Me voici donc. Il sait où j’en suis, ici même ce soir. Ainsi, partout où Il veut que j’aille, j’irai. Et ce qu’Il veut que je fasse, je le ferai. Et je serai juste là jusqu’à ce qu’Il me le dise. Voyez-vous ?

45 Très bien, Jimmy, les as-tu, mon garçon ? [Le frère lit une question : « Lorsque l’enlèvement se produira, toutes les familles de croyants, les femmes et les enfants partiront-ils, s’ils sont dans la foi et croient en Jésus-Christ comme leur Seigneur ? » – N.D.E.]
Oui, oui. Toute la famille ira-t-elle dans – dans le – dans l’enlèvement ? Vous voyez, oui. Voyez-vous ? Eh bien, si vous remarquez bien, l’enlèvement sera une chose universelle. Et comment… Avez-vous tous bien saisi la leçon de dimanche ? Avez-vous tous bien compris à quel point nous sommes proches de cette heure-là, « Les Soixante-dix Semaines de Daniel » ?
Vous étiez tous là dimanche, n’est-ce pas ? Ouais. Très bien. Eh bien, Frère Welch, je pense que vous en avez la bande. Et certains d’entre vous pourraient la jouer. Et – et vous en avez le schéma, je crois, n’est-ce pas ? Et vous n’avez qu’à ouvrir cela, et – et à ceux qui n’étaient pas là, peut-être leur expliquer cela, voyez-vous, pour qu’ils – qu’ils puissent saisir cela. Je voudrais que vous voyiez tout simplement par les Ecritures que je n’ai pas un seul mot à dire là-dedans. Les Ecritures prouvent bien cela, que nous sommes – nous sommes au temps de la fin.

46 Eh bien, nous les frères, nous étions en train de parler aujourd’hui. Vous dites : « Eh bien, Frère Branham, si vous croyez que l’enlèvement est si proche, pourquoi alors allez-vous à la pêche ? » Si j’y pense constamment, cela me rendrait pratiquement fou, quand vous pensez aux dizaines des milliers de gens par ici qui sont dans le péché et qui ne connaissent pas Christ. Et je me dis : « Me voici, que puis-je faire ? »
Cependant voici ce que je pense : je ne peux sauver personne à moins que Dieu ne l’ait appelé. Voyez-vous ? Je n’en suis pas capable. Et de toute façon, je ne peux pas le sauver. Mais « tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi ». Si donc Il ne me dit pas où aller, alors que puis-je faire ? Voyez-vous ?
Ainsi, la chose que je fais, c’est simplement de ne pas être – de ne pas être tout abattu à ce sujet. Ce serait pire que jamais. Je suis heureux à ce propos. J’ai simplement – simplement fait tous mes bagages et je suis prêt, vous savez, quand cela vient. Seigneur, me voici. J’attends tout simplement.

47 Et maintenant, voici ce qui arrive. Les – les saints enlevés, comme vous l’avez vu dimanche sur le graphique … Eh bien, les frères pentecôtistes du commencement… ou plutôt les frères pentecôtistes de la fin n’accordent pas là assez de place à cette – ces églises venues avant, je ne pense pas. Mais je pense que tout chrétien né de nouveau… Et comment naissons-nous de nouveau ? Quand nous croyons au Seigneur Jésus-Christ, voyez-vous, et que nous acceptons…
Eh bien, je ne pense pas que ce soit parce que vous vous dites en vous-même que vous croyez. Je crois que votre vie montre si vous êtes vraiment un chrétien ou pas. Je… Vous dites : « Quel… »
Aujourd’hui, la femme là-bas a dit une chose au sujet du fait d’être un – un chrétien ou quelque chose d’autre. Et elle a dit : « Et quelle dénomination ? » Voyez-vous, aussitôt ils veulent connaître la dénomination.
J’ai dit : « Ne soyez pas membre d’une quelconque dénomination, soyez juste un chrétien. » Voyez-vous ? Un chrétien…

48 Vous dites : « Eh bien, un chrétien, cela signifie un campbellite. » Non, ça c’est – ça c’est… On les appelle simplement des chrétiens, mais cela ne veut pas dire qu’ils sont chrétiens. Je connais beaucoup de gens, je pense, qui étaient membres de ce qu’on appelait l’église chrétienne et qui n’étaient pas des chrétiens. Et les prédicateurs chrétiens vous diront la même chose de l’église chrétienne, qu’ils ont bien des membres qui ne sont pas chrétiens.
Mais être chrétien, ce n’est pas être membre d’une église ; c’est une expérience que vous avez faite en naissant dans la famille de Dieu.

49 A présent, remarquez dans cette… l’enlèvement sera universel, car Il a dit : « De deux qui seront dans un champ, Je prendrai un et Je laisserai l’autre. De deux qui seront dans un lit, Je prendrai un et Je laisserai l’autre. » Vous voyez, lorsqu’il fait nuit sur une face de la terre, au moment où deux sont dans un lit, ce sera le temps de la moisson sur l’autre face de la terre, quand il y en aura deux dans un champ. Voyez-vous ? Et cela montre qu’il y aura un très grand enlèvement ; cela se fera carrément dans le monde. Voyez-vous ? « De deux qui seront dans un champ, Je prendrai un et Je laisserai l’autre. De deux qui seront dans un lit, Je prendrai un et Je laisserai l’autre. »

50 Maintenant, nous – nous voyons que… Et puis tous ceux dont les noms furent trouvés écrits dans le Livre furent délivrés au jour de cette… avant cette tribulation. Ainsi, si vos enfants, votre mère, vos bien-aimés, qui qu’ils soient, si leurs noms sont écrits dans le Livre de Vie de l’Agneau, mes précieux enfants, vous serez bien là.
Peu importe où nous nous trouvons, si – si je voyage outremer en avion, et que le – l’avion explose en l’air et que je… vous ne retrouviez même pas un bout de moi, dans – dans – dans ce corps, cela n’aura rien à voir avec la chose. Voyez-vous ? Je serai là malgré tout. Ne vous en faites pas à ce sujet. Je serais juste là pour vous serrer la main et – et louer le Seigneur avec vous, et Le couronner Roi des rois et Seigneur des seigneurs. Voyez-vous ?
Je suppose que peut-être du corps de Paul, il ne reste même pas un grain de poussière. Mais tous les matériaux qui constituaient son corps se trouvent quelque part. Ils seront donc rassemblés ce jour-là.

51 Quand vous mourez, en réalité vous ne mourez pas. Un chrétien ne peut pas mourir. La mort n’existe pas pour un chrétien, pas dans la Bible.
C’est comme quand Lazare… Il a dit… Les gens ont dit… « Notre – notre frère Lazare dort », a dit Jésus. Voyez-vous, Il n’a jamais dit qu’il était mort. Il a dit : « Il dort. »
On a dit : « Oh, eh bien, s’il dort, je – je pense qu’il va donc bien. Il doit aller mieux. » Ainsi Il a dû donc utiliser leur langage.
Il a dit : « Eh bien, en d’autres termes… Dans votre propre langage, il est mort. Et Je me réjouis à cause de vous de ce que Je n’étais pas là. Je vais aller le réveiller. » Voyez-vous ? Oh, oui. Voyez-vous ? Dormir, voyez-vous, Il avait malgré tout Sa propre… Voyez-vous ? « A cause de vous… selon votre conception de la chose, il est mort. Mais pour Moi, il dort, et Je ne vais pas… Je ne vais pas le ressusciter. Je vais tout simplement le réveiller. Voyez-vous, Je vais le réveiller. »

52 Et ainsi, remarquez que lorsque Jésus Lui-même est mort… Voyez-vous, le corps a trois parties. L’âme… Nous avons trois parties : l’âme, le corps et l’esprit, comme vous avez vu les sept âges de l’église ; j’ai dessiné cela : cinq entrées pour le corps : la vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe ; et la conscience et ainsi de suite, pour l’âme. Et – et puis pour l’esprit, il y a une seule voie d’accès : c’est le… votre propre libre arbitre, c’est ce qui prend la décision. Voyez-vous ? Vous pouvez rejeter la chose ou – ou l’accepter.
Et ainsi donc, quand une personne accepte Christ et est sauvée, toute sa maison, toute sa famille, chaque famille de la terre sera sauvée. Eh bien, quand… ou entrer.

53 Quand Christ est mort, Il a remis Son Esprit à Dieu avant de quitter la – la croix. Il a dit : « Je remets Mon Esprit entre Tes mains. » Et la Bible dit que Son âme est allée au séjour des morts et a prêché (c’est-à-dire Sa conscience et ce qu’Il était…) aux esprits qui étaient en prison, et Son corps est allé dans la tombe.
Maintenant, voyez-vous, Il se trouvait derrière une barricade d’Ecritures. Il ne pouvait pas ressusciter pendant trois jours. Et Son Esprit était retourné Là-haut, dans la Présence de Dieu. Alors, trois jours après, cette barricade fut ôtée, car l’Ecriture était accomplie. Et Son Esprit est allé vers l’âme, et l’âme est allée vers le corps, et Il est ressuscité. Il avait dit avant Sa mort, Il avait dit : « J’ai le pouvoir de donner Ma vie. J’ai le pouvoir de la reprendre. »
Eh bien, pensez-y. Chacun d’entre vous ici, à ce que je sache ce soir est chrétien. Maintenant, suivez. La Chose qui est en vous maintenant, l’Esprit qui est en vous maintenant, c’est le même Esprit qui vous ressuscitera. Vous avez le pouvoir de donner votre vie. Vous le faites maintenant même pour Christ. Et puis vous avez le pouvoir de la reprendre. Voyez-vous ? Vous avez le pouvoir de la donner et le pouvoir de la reprendre.
En effet, le même Esprit de Dieu qui est en vous et qui vous ressuscite, c’est le même Esprit de Dieu qui était en Christ et qui L’a ressuscité. Vous avez donc le pouvoir de la donner, vous avez le pouvoir de la reprendre.

54 Et quand vous mourez ou… et que vous… que nos bien-aimés ou quelqu’un nous précède, il n’est pas mort. Son esprit est avec Dieu. Son âme est sous l’autel de Dieu. Son corps est dans la tombe, et il sait exactement où ça se trouve.
Ainsi, qu’arrive-t-il ? Quand l’Ecriture est entièrement accomplie, comme il est dit dans la Bible : « Ces âmes qui sont sous l’autel criaient : ‘Seigneur, jusqu’à quand, jusqu’à quand ?’ » Elles veulent revenir sur terre pour être dans des corps. Il a dit : « Juste encore un peu de temps jusqu’à ce que vos compagnons de service aient souffert comme vous à cause du témoignage de Christ. »
Ainsi, vous voyez, lorsque cette Ecriture est accomplie, alors ces esprits descendent droit là sous l’autel et prennent cette âme. Cette âme descend directement et prend le corps, et vous voilà ressuscité. Pensez-y. Le Saint-Esprit qui est juste dans ce bâtiment ce soir, le Saint-Esprit qui est juste ici dans mon coeur me ressuscitera au dernier jour.

55 Ce Saint-Esprit qui est en moi maintenant veillera à ce que j’aie un corps jeune et immortel, et à ce que je n’aille jamais avec… Le Saint-Esprit qui est en vous veillera à ce que les cheveux gris et quoi que ce soit disparaissent. Et vous… et la vieillesse, si vous êtes très âgé, avec une barbe qui pend, marchant comme cela, ça ne change rien du tout. En ce jour-là, ce même Saint-Esprit ramènera soudainement cela juste à un jeune homme et à une jeune femme. C’est la Bible. C’est juste. L’Esprit qui est en nous maintenant même, maintenant même. Pas un esprit qui viendra, Celui qui est en nous maintenant. C’est Dieu en vous maintenant. Et Il ressuscitera… Vous pouvez ressusciter vous-même. Et pourquoi ne pouvez-vous pas le faire maintenant ? Parce que, voyez-vous, il y a des Ecritures qui vous retiennent ; vous devez attendre jusqu’à l’enlèvement.
Voyez-vous, vous y êtes. Vous devez rester juste là. Voyez-vous ? Il ne vous est pas permis de vous élever à ce niveau. Si c’était le cas, eh bien, nous pourrions… je dirais que nous pourrions nous créer un petit monde privé. Vous pourriez vivre dans un monde et moi dans un autre, et alors il n’y aurait pas de venue du Seigneur Jésus. Et qu’est-ce que ça donnerait ? Voyez-vous ?

56 Mais vous avez la puissance pour le faire. La moindre petite ombre de Dieu pourrait faire n’importe quoi. En effet, voyez-vous, Il est – Il est omnipotent. Vous savez ce qu’omnipotent… Il est infini, infini, infini et omnipotent. C’est infini ; il n’y a simplement aucun… Eh bien, vous – vous – vous ne pouvez simplement pas expliquer cela, vous savez. Infini, juste comme dans un appareil photographique, infini. C’est tout simplement sans limite.
Et puis, omnipotent cela veut dire tout-puissant. Il est de bout en bout… Tandis que je me tenais là-bas et que je regardais au travers d’un télescope, j’ai pu voir à cent vingt millions d’années-lumière dans l’espace, quand cet – quand cet astronome m’a fait monter là pour regarder… m’a permis de regarder au travers de ce grand télescope ce soir-là. J’ai pu voir à cent vingt millions d’années-lumière dans l’espace...

57 Eh bien, vous parlez de Jupiter et de Mars et de ces étoiles que vous voyez maintenant, eh bien, oh ! la la ! représentez-vous ce que cent et… La lumière se déplace à environ… C’est à combien ? Quatre-vingt… Cent quatre-vingt-six mille miles par seconde [299.337,9 km / s – N.D.T.], cent quatre-vingt-six mille miles par seconde. Et considérez cent vingt millions d’années. Fiou ! Cent quatre-vingt-six mille miles par seconde, et diviser cent vingt millions d’années par cela. Alors qu’obtenez-vous ? Ce sont des kilomètres et des kilomètres. Oh ! la la ! Cela fait simplement que nous nous sentons comme si nous étions – nous étions simplement… Voyez-vous ?
Mais maintenant, et puis au-delà de cela, il y a tant de lunes et d’étoiles qu’il… Et Il les soutient par la puissance de Sa propre Parole. Et cette même chose qui les soutient est en vous en tant que chrétien. Oh ! la la ! Voyez-vous, voyez-vous, vous y êtes. Ainsi, il… c’est ce que vous êtes.

58 Voyez-vous, les gens essaient de penser : « Eh bien, je suis un chrétien. Je pense qu’on va certainement me traquer. » Non, ce n’est pas ça. Vous êtes un chrétien, frère. C’est un… élevé. Vous êtes un fils de Dieu. Notre Père est Roi. Certainement. Amen. Et notre Père étant Roi, nous sommes – nous sommes Ses fils. Nous sommes des princes et des princesses (amen) d’un Roi. Voyez-vous ? C’est le rang le plus élevé qui soit, le plus élevé. L’Esprit même de notre Dieu est en nous. C’est cela.
Ainsi, que nous importe ce qui se passe ici. Voyez-vous, c’est cet endroit qui importe. Ceci est juste un temps de test. Quand le Père aura terminé, allons-nous-en. Rentrons à la maison. Voyez-vous ? Ainsi, qu’est-ce que ça change ?

59 Ainsi donc, pour cette raison, croyez au Seigneur Jésus-Christ (si vos enfants ne sont pas sauvés) jusqu’à ce qu’ils soient sauvés. Et Jésus a dit (maintenant, souvenez-vous, Saint Jean 5.24) : « Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement. »
Si donc il ne vient pas en jugement, où va-t-il ? Dans l’enlèvement. Voyez-vous ? En effet, il s’agit du jugement après l’enlèvement. Voyez-vous ? « Il ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. » Parce qu’il a cru au Seigneur Jésus-Christ. N’est-ce pas merveilleux ? Ainsi il… Vos enfants seront là avec vous. Vos bien-aimés seront là avec vous. Et j’espère que je serai là avec vous. Amen.

60 Très bien, en as-tu une autre là, mon fils Jimmy ? [Frère Jimmy lit la question suivante : « Nous comprenons que le monde fut créé par la foi. Voulez-vous expliquer la … ?… sur la foi ? » – N.D.E.]
Un monde fut formé… Eh bien, dans Hébreux, nous voyons que… Nous comprenons que le monde fut fait à partir – à partir des choses invisibles.
Maintenant, je vais – je vais tâcher de me dépêcher, car je n’avais pas remarqué toutes ces petites… toutes ces questions-là. Maintenant, prenons… faisons un petit voyage dans le passé. Et – et il est déjà 22 h, et j’ai dit à maman que je serai prêt à partir à 22 h. Avez-vous – avez-vous trop sommeil pour attendre juste une minute ? Ou êtes-vous trop fatigués ? Voyez-vous ?

61 Eh bien, regardez. Avant qu’il y ait quoi que ce soit, voyons avant qu’il y eût une lumière, avant qu’il y eût un monde, avant qu’il y eût une étoile, avant qu’il y eût un atome, avant qu’il y eût une molécule, il y avait Dieu. Qui est cette Personne de Dieu ? Est-Il l’air, est-Il la lumière, est-Il… Il est Dieu. C’est tout ce qu’on peut dire. Voyez-vous ?
Pensez-y tout simplement, une molécule… Dans un petit atome il y a beaucoup de molécules. Voyez-vous ? Et puis au-delà de la molécule, avant même qu’il y en ait une, il y avait toujours Dieu. Il était tout, Il remplissait tout. Voyez-vous ?
Maintenant, dans ce Dieu… Maintenant, nous allons – nous allons Lui donner une petite – une petite forme pour que vous puissiez comprendre. Maintenant, dans cette – cette Personne de Dieu… dans cette Personne il y avait un… il y avait des attributs. Et ces attributs, c’était d’être Père, d’être un Guérisseur, d’être un Sauveur : c’est ce qu’il y avait donc dans cette Glorieuse Personne qui existait avant qu’il y eût une molécule ou quoi que ce soit, quand il n’existait aucune molécule, mais il y avait toujours Dieu.

62 Maintenant, là à l’intérieur il y avait des attributs de Père, de Fils, de Sauveur, de Guérisseur, de toutes ces choses. Maintenant, cette Personne qui a cela, eh bien, si – si cette Personne, Dieu…
Maintenant, ce qu’Il fit… Tout d’abord, disons qu’Il a créé (à ce que nous sachions) la plus petite chose que l’on puisse décomposer ; c’était une molécule. Et après qu’Il eut créé une molécule, Il en créa des milliards en une seconde. Qu’a-t-Il fait ? Il a appelé cela à l’existence par la Parole. Et maintenant, vous… Ce serait une bonne leçon là, si nous avions le temps d’entrer là-dedans. Voyez-vous ?
Eh bien, Il a prononcé la chose. Et quand Il a parlé, des molécules ont commencé à tournoyer. Alors Il a dit : « Que les atomes soient. » Et voilà les lois des atomes. Et ils demeurent toujours dans cette loi, ils traînent… continuent à se propager. Tout se propage selon les lois de Dieu.

63 C’est comme l’homme dont je vous parlais, le vieil homme que Banks Wood et moi sommes allés voir, vous savez. Il parlait du… comment je lui ai demandé… C’était un infidèle et je lui ai demandé : « Comment se fait-il que cette sève quitte l’arbre en août et descend dans les racines ? Qu’est-ce qui la fait faire cela ? Il… Qu’est-ce qui fait brunir les feuilles ? »
Il a dit : « C’est parce que la sève… »
– Que… Pourquoi la sève descend-elle ?
Il a dit : « Eh bien, c’est simplement… elle descend. »
J’ai dit : « Et si elle ne descendait pas ? »
Il a dit : « L’arbre mourrait. »
J’ai dit : « Eh bien, quelle est cette Intelligence qui fait descendre cette sève dans les racines ? Placez un seau d’eau sur un poteau et voyez si elle descendra en août. » Voyez-vous ? J’ai dit : « Quelle est cette Intelligence qui fait que cette sève quitte l’arbre et descende dans les racines ? Quelque chose lui dit de descendre là, sinon elle – elle – elle va geler et mourir, cet arbre va mourir. Voyez-vous ? Et pourtant nous n’avons pas encore eu de temps froid ni rien. Mais cela… »
Il a dit : « Eh bien, cela – c’est tout simplement la nature. »
« Eh bien, qu’est-ce que la nature ? Dites-moi ce que c’est que la nature. » Voyez-vous ?
La nature, c’est une loi de Dieu. Oui, c’est une loi de Dieu.

64 Or, la foi est une loi de Dieu, voyez-vous, c’est pareil. Toute cette puissance de Dieu dont nous parlons nous est accessible par la foi. « Tout est possible. Si tu dis à cette montagne : ‘Ôte-toi de là’ et si tu ne doutes pas dans ton coeur, mais crois que ce que tu as dit arrivera, tu le verras s’accomplir. » C’est accessible si vous avez la loi, voilà. Voyez-vous ? La loi, c’est la foi qui contrôle toutes choses.
Or, Dieu par Sa loi a créé des molécules. C’est une loi de Dieu. Ensuite Dieu a créé des atomes. Puis à partir de cela, Dieu a créé un soleil. A partir de cela, du soleil, Il a créé des étoiles. A partir de l’étoile… Ce sont de petits fragments du soleil qui se sont détachés. Qu’avait-Il ? C’est là, tout au commencement, que se manifestaient Ses attributs.

65 Puis est apparu un monde. Et après le monde est apparu une création. Et après cette création est venue une loi de la création. Après qu’il y eut un monde… Qu’est-ce qui constitue ce monde ? Comment quelqu’un pourrait-il l’expliquer ? Faites tourner un ballon dans n’importe quel sens que vous voulez, lancez-le en l’air, il ne fera pas deux tours, et faites faire à cela un milliard de tours par seconde, il ne fera pas deux tours au même endroit. Et pourtant, nous détenons des écrits qui parlent de six mille ans, ce monde n’a jamais manqué une seule fois de tourner pendant très précisément 24 heures, en se tenant dans le vide. Voyez-vous ?
Qu’est-ce ? Cette glorieuse Personne, avant qu’il y eût un monde – avant qu’il y eût un monde, c’est cette glorieuse Personne qui était là-bas, une loi de Dieu faisait tourner la chose. La même loi de Dieu, Il l’a simplement appelée à l’existence par la Parole. Il est un Créateur. Il crée. Voyez-vous ? C’est la raison pour laquelle le monde a été créé sans…
Dieu a créé le monde par la foi, car Sa propre foi, voyez-vous, a créé le monde. Et c’est de cette manière… Eh bien, Il…

66 Voyez-vous, Il est descendu, en créant l’homme ainsi que tous les animaux, jusqu’à ce qu’Il est arrivé au péché. Mais Il ne pouvait pas créer le péché. En effet, Il ne peut pas être juste et être le Père de la justice et créer le péché. Ainsi, savez-vous ce qu’Il a fait ? Il a fait l’homme à Sa propre image tout en sachant que ce dernier tomberait, mais Il l’a placé sur la base du libre arbitre. Il a dit : « Eh bien, ne touche pas à cet arbre. »
Eh bien, Il ne pouvait pas dire… Or, Il savait que l’homme allait y toucher. Mais Il ne pouvait pas lui… ?… d’y toucher. En effet, Il a dit : « Si tu touches à cet Arbre-ci, tu vivras, mais si tu touches à cet autre arbre, tu mourras. » Voyez-vous ?
Et Il savait que l’homme faillirait, mais pourtant Il ne pouvait pas faire que l’homme faillisse. L’homme devait faillir de lui-même… Ainsi cela fait de Dieu un Dieu juste. Voyez-vous ? L’homme est tombé lui-même. Après qu’Il l’eut crée si proche de Lui-même, Il l’a placé sur la base du libre arbitre, et par conséquent, c’est là qu’il est tombé. Il est tombé par sa propre liberté d’action. Et aujourd’hui, chacun de vous les enfants et chacun de nous les adultes est placé devant ces mêmes deux arbres. Nous pouvons accepter la Vie ou La rejeter. Voyez-vous ? Ainsi, Dieu a simplement appelé cela à l’existence par la Parole, et le monde fut formé. Ce sol même est la Parole de Dieu. Cette chose-ci est la Parole de Dieu. Nos corps sont la Parole de Dieu. Et tout ce qui existe est la Parole de Dieu. Voyez-vous ? Parce que tout cela tire son origine de Dieu.
Très bien, monsieur. Eh bien – eh bien, si ce n’est pas juste, si cela n’éclaircit pas la chose, eh bien, vous – vous pouvez m’écrire une note et l’apporter à l’église…?…

67 Très bien, frère Jimmy. [Frère Jimmy lit la question suivante : « I Corinthiens 16.22, expliquez… » – N.D.E.]
Voyons, I Corinthiens 16.22. Très bien, monsieur. Juste une minute. Ces – ces petites – ces petites études sur les Ecritures pourraient vraiment nous aider. Ça pourrait – ça peut vous affermir et faire – faire de vous des hommes forts et vaillants.
Tu as dit 16, fiston ? [Espace vide sur la bande – N.D.E.] « …qu’il soit… » Oh ! mon Dieu ! Je n’arrive pas – ne sais pas si j’arriverais à prononcer ce mot. A-n-a-t-h-è-m-e. M-a-r-a-n-a-t-h-a. Si quelqu’un a une autre Bible, qu’il voie ce que… C’est décomposé. C’est anta-… Vous dites ? On dirait que ce serait... Qu’est-ce, Fred ? Prenez la – prenez une autre… Quelqu’un a-t-il une autre Bible ? Voyez si ça s’y trouve.
Anathème. Eh bien, qu’est-ce qu’un anathème ? Eh bien, vous m’avez eu. Vous savez, Fred ? Quiconque… y a-t-il quelqu’un parmi vous tous qui sait ce que signifie anathème ? Avez-vous un dictionnaire ? Nous pouvons trouver cela juste dans une minute. Prenez un dictionnaire.

68 Très bien, pendant qu’il s’occupe de celle-là, peut-être que je peux répondre à une autre. Très bien, monsieur. [Frère Jimmy lit la question suivante : « Expliquez : ‘Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair.’» – N.D.E.]
« Et Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair. » C’est dans Luc que… Est-ce qu’il a donné une Ecriture là ? Juste… Eh bien, je pense que c’est de cela qu’il s’agit.
« Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair. » Eh bien, cela pourrait… Eh bien, je vais pratiquement donner un aperçu de cela, et si ça ne suffit pas, alors faites-le moi savoir et je vais entrer dans les détails. Vous rappelez-vous, nous allons – nous allons aborder cela quand nous allons entrer… aller plus loin dans les Ecritures en rapport avec notre étude là-dessus dans cette… Vous savez, Jésus…

69 C’était immédiatement après que Jésus eut donné à Ses disciples le pouvoir sur les esprits impurs. Et ils sont allés chasser les démons. Il les a envoyés deux à deux, et Il a dit : « N’allez pas vers les païens ; allez plutôt vers les brebis perdues d’Israël. Et en allant, prêchez donc le Royaume des cieux, guérissez les malades, chassez les démons », et ainsi de suite. Eh bien, après… Et après, ils sont revenus en se réjouissant, heureux (Maintenant, vous qui avez posé la question, vous savez où ça se trouve. Voyez-vous ?) – ils sont rentrés heureux et en se réjouissant. Et Il a dit – et Il a dit : « Ne vous réjouissez pas de ce que vos noms… Ne vous réjouissez pas de ce que les démons vous sont soumis, mais réjouissez-vous de ce que vos noms sont écrits dans les cieux. » Il a dit : « Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair. »
Voyez-vous, la puissance de cette Eglise en marche avait tout simplement bouleversé tout le royaume de Satan. Voyez-vous ? Et Il l’a vu tomber de sa demeure. Puisque Dieu avait de nouveau donné la puissance à Son Eglise pour aller à… Il le voyait tomber du ciel comme un éclair. Il fut directement chassé des lieux saints et tout, voyez-vous, par la puissance de ceux – cette puissance de cette Eglise, de ceux qui avaient la puissance. Jésus a dit : « Je vous donne le pouvoir sur les esprits impurs. » Voyez-vous ? Et ils ont vraiment bouleversé le royaume de Satan. Que pourrions-nous faire de cela aujourd’hui ? Oh, gloire au Seigneur !

70 Très bien, Frère Jimmy, peut-être que tu en as une autre. [Frère Jimmy lit la question suivante : « Expliquez ‘du sang jusqu’aux mors des chevaux’. » – N.D.E.]… freins des mors des chevaux, l’Harmaguédon (oui, oui) dans Apocalypse…
Eh bien, dans les derniers jours on est arrivé à un moment où Titus, en l’an 70 de notre ère, a investi les murailles de Jérusalem et les a détruites. On dit que tant de sang avait été répandu au milieu de cette – d’un million de Juifs ou plus qui étaient à l’intérieur des murailles, au point qu’ils ont tué même les femmes, les bébés… Et, eh bien, c’était si terrible que… Ils avaient – ils avaient rejeté le Saint-Esprit.
Voyez-vous, donc Dieu, quand Il – quand ils ont rejeté Christ et L’ont traité de Béelzébul, Il a dit : « Je vous pardonne cela. (Voyez-vous ?) Je vous pardonne. Mais, a-t-Il dit : « Un jour le Saint-Esprit viendra », pour faire la même chose qu’Il faisait. Il a dit : « Un seul mot contre Cela ne sera point pardonné. »

71 Eh bien, qu’ont-ils fait le jour de la Pentecôte, quand ils ont vu ces gens crier, danser, se comporter comme s’ils étaient ivres, crier, hurler et continuer comme cela ? Qu’ont dit les gens ? Ils ont dit : « Ils sont pleins de vin ; ils sont ivres », et tout comme cela (Actes 2). Et ils se sont moqués d’eux et les ont traités de tout. Qu’est-il arrivé ? Cela les a scellés à l’extérieur du Royaume de Dieu. Voyez-vous ? Et puis, quand Jérusalem a été assiégée… Maintenant, nous allons aborder cela dans Apocalypse 7 ; nous allons y revenir directement, qui que ce soit qui a posé la question. Nous allons y revenir directement. Et puis… et quand ils…
Titus a assiégé les murailles, dit l’histoire sur – sur…, Josèphe, le premier historien qui a vécu au temps de notre Seigneur Jésus, et c’était un grand historien. Il dit que même le sang a coulé – a tout simplement jailli des portes comme cela. Ils en ont tué un très grand nombre là à l’intérieur en une fois, quand ils sont entrés.

72 Or, la Bible prédit que dans les derniers jours Il piégera le catholicisme, le romanisme et toutes ces choses, et ces… le communisme ainsi que tous les autres réunis là dans la vallée de Meguiddo, au point qu’il y aura parmi eux un tel massacre que le sang coulera jusqu’aux freins des chevaux – mors des chevaux. Voyez-vous, c’est dans Apoca-… Ce sera dans…
Mais, grâces soient rendues au Père céleste, je ne pense pas que nous serons ici. Par Sa grâce, nous n’y serons plus. Nous serons alors dans la Gloire. Voyez-vous ? Ce sera juste après que les – les – les – les deux prophètes auront prophétisé, pendant la bataille d’Harmaguédon. C’est quand ces – quand ces nations des Gentils deviendront si méchantes, continueront tout simplement, et que la confédération des églises et tout se rassembleront, et de chacune d’elles Dieu ramènera l’Eglise, l’Eglise élue à la maison. Et toutes les vierges endormies attendront…
Eh bien, là ces freins de mors viendront en ce jour-là des vierges endormies et de tous ceux d’autrefois. Et le communisme, quand tous se réuniront là, Dieu a dit qu’Il entrera en jugement avec eux comme Il le fit dans – dans les jours passés, vous savez, là dans cette vallée. Et c’est alors que cela arrivera aux freins des mors des chevaux.
Avez-vous déjà rencontré ce mot ? Est-ce qu’ils… Oh ! ils semblent encore… Oh ! cela… Vas-y, c’est en ordre.

73 [Frère Jimmy lit la question suivante, portant sur les trois esprits impurs – N.D.E.] …qui sont sortis de l’Apocalypse, qui sont sortis de la bouche du faux prophète, du dragon et ainsi de suite.
Eh bien, nous allons aborder cela maintenant dans notre étude, voyez-vous, les trois esprits impurs sont les trois ismes. Permettez-moi de présenter cela sous forme des types pour vous maintenant, et vous verrez où cela – où cela a commencé, où cela a débuté. Voyez-vous ?
Il y a eu le communisme, le fascisme, le nazisme. C’étaient des esprits. Le communisme est un esprit. Cela vient sur vous. Voyez-vous ? C’est un esprit. Et cela – ce sera quelque chose comme ça, seulement je… Cela – cela… Ce n’est pas vraiment cela. Mais ce sera trois esprits exactement comme cela, dont ils étaient en quelque sorte les précurseurs. Mais, bien sûr, vous savez où… C’est dans le catholicisme. Voyez-vous ? Mais je pourrais… je – je voudrais comprendre certaines choses là-dessus juste avant de le dire, voyez-vous, pour être sûr que je sais ce que…

74 Mais il s’agit de trois esprits, juste comme le communisme, le fascisme… Et nous avons montré cela il y a des années, vous savez. Rappelez-vous, je vous l’ai dit, j’ai dit que ce serait un… que ce serait quelque chose qui arriverait, qui serait… tout se retrouverait dans le communisme. Et c’est là que ça a fini. Ce sera la même chose à ce moment-là. Voyez-vous ? Ce – ce sera trois esprits impurs qui sortiront. Cela va…
Réellement je crois en toute sincérité, vraiment à l’instant, juste pour en donner en quelque sorte un aperçu, si vous n’y voyez pas d’inconvénient… Et si je – si j’ajoute un peu plus à cela, quand je vais me mettre à expliquer cela, eh bien, vous direz : « Vous n’avez pas entièrement expliqué cela là-bas ce soir-là » (Vous voyez ?), si je fais cela.
Voici ce que je pense que ce serait. Je crois que c’est un esprit, la vierge endormie, la confédération des églises, le judaïsme (en rapport avec le rejet de Christ, les Juifs qui ont rejeté la chose) et le catholicisme. En effet, vous voyez d’où cela sort, cela sort du faux prophète, voyez-vous, de la bouche du faux prophète qui était la papauté, de la bête. Voyez-vous ? Et l’endroit d’où tout cela vient, vous voyez où se trouve le fondement.
Et ce sont les trois esprits impurs qui entraînent le monde entier à l’Harmaguédon. Voyez-vous ? Et ce sont ces trois esprits impurs. Alors vous associez directement cela avec les trois malheurs. Vous vous rappelez l’autre jour, j’ai introduit cela. J’ai dit… Il y a sept dernières plaies, sept sceaux, trois malheurs et deux – trois esprits impurs, et qui – qui viennent à travers cela.

75 OK, en as-tu une autre, oui ? [Un frère lit la question suivante : « Quelle est la signification qu’a le fleuve Euphrate dans la Bible, spirituellement parlant ? » – N.D.E.]
Oui. Le fleuve Euphrate a toujours été un fleuve important ; en effet, le fleuve Euphrate occupe une place importante dans la Bible. D’abord nous voyons que le fleuve Euphrate traversait en plein l’Eden. La Bible dit qu’il traversait en plein l’Eden. Ensuite nous voyons que le fleuve Euphrate était aussi un fleuve qui traversait directement Babylone, le même fleuve. Voyez-vous ? Le fleuve Euphrate traversait en plein Babylone.
Or, nous voyons que l’Ange a versé sa coupe sur le fleuve Euphrate et l’a asséché, pour que le roi du nord puisse descendre. Et je pense que c’est ce qui arrivera effectivement, ça se fera au temps de la fin, quand ils arriveront à Harmaguédon. Voyez-vous, ils doivent juste traverser l’Egypte, là, pour y entrer. Juste à travers ces pays, ils devront traverser l’Euphrate pour arriver là.

76 Voyez-vous, le fleuve Euphrate coule aujourd’hui. Nous – nous savons cela. Voyez-vous ? Et – et l’Amazone en Amérique du Sud, le Nil en Egypte, l’Euphrate ainsi que le… Oh ! quel est cet autre fleuve ? Il y a deux fleuves là dans… qui se dirigeaient là vers l’Eden. Et le – le fleuve Euphrate, c’est quand ce grand… a frayé une voie pour que cela descende. Voyez-vous, frayant une voie pour que le roi du nord descende, les rois.
Ce sera – cela se produira au moment de la bataille d’Harmaguédon dans les derniers jours. Voyez-vous ? Ce fleuve Euphrate… Est-ce tout ce qu’il y avait comme questions ? Ou bien est-ce… C’est tout ce qu’il y avait comme questions.

77 Maintenant, je pense tout simplement, voyez-vous, au sujet de cette – ce que devient cette personne quand elle rejette Christ. C’est simplement… Vous pourriez consulter cela vous-même dans un – dans un – dans le dictionnaire. En effet, ce n’est pas quelque chose qui… Je ne voudrais pas dire cela… directement ici maintenant. Mais consultez cela, et vous verrez ce que cela signifie. Cela… Vous pourriez tout simplement, en d’autres termes… Il y a dans les Ecritures deux ou trois passages auxquels je pourrais vous renvoyer sur de telles choses.
C’est comme, en d’autres termes, c’est comme le roi Nebucadnetsar qui a dit: « Tout homme qui ne voudra pas – qui ne voudra pas se prosterner devant tel… devant le Dieu de Daniel et tout, que sa maison soit détruite, que ses enfants soient brûlés et que sa maison soit réduite en un tas d’immondices. » Voyez-vous ? Et nous nous rendons compte de ce que représentent ces paroles ; elles sont simplement apportées et prononcées comme cela. Mais si vous retournez voir dans le dictionnaire, il va – il va vous montrer exactement ce que cela signifie. Voyez-vous ? Ce que cela signifie.

78 Eh bien, ces vieilles petites choses apportent la lumière, et je – je – je n’ai pas beaucoup insisté là-dessus, si les gens… comme je devrais y rester et insister. En effet, voyez-vous, c’est un – c’est… tout le monde… Vous travaillez tous demain et je vais… et, le Seigneur voulant, à Miami. Et il est 22 h 15. Et je ne veux pas vous retenir trop longtemps. Et je pense que mes petits sont endormis. Et je pense que les vôtres aussi. Et nous voilà donc là. Et – et les petits ont vite sommeil.
Mais je voudrais dire ceci : ce sont de très, très bonnes questions, chacune d’elles, de très bonnes. Et j’aurais souhaité avoir une autre soirée de questions ou quelque chose comme ça au Tabernacle, afin que vous tous… Si j’annonce cela ce matin, vous me remettrez ces questions pour que je puisse – je puisse avoir un peu de temps pour les étudier.

79 Comme vous le savez, c’est tout simplement impromptu, puis vous – vous vous mettez à parler et je suis réputé pour ce qui est de prendre beaucoup de temps pour tout. Et ici, remarquez ma technique pour prêcher, c’est la raison pour laquelle je vous garde là pratiquement toute la journée, voyez-vous. Je prêche vraiment trop longtemps.
Mais avez-vous remarqué Billy Graham ? Eh bien, Billy Graham est un prédicateur qualifié. Et c’est un grand homme. Et Billy Graham, il pose son texte juste là. Il recule là et martèle sans arrêt sur ce sujet, constamment pendant tout ce temps. Il ne baisse presque jamais la voix, il martèle sans arrêt sur ce sujet. Voyez-vous ?
C’est de cette façon-là que le Saint-Esprit veut qu’il prêche. Voyez-vous ? C’est sa technique pour le faire. C’est ainsi qu’il le fait. Charles Fuller, beaucoup d’entre vous l’ont entendu. C’est un merveilleux vieil homme. Et ainsi, Charles Fuller est un… comme un commentateur de la Bible. C’est un… Il aime enseigner et… la façon dont il aborde les choses, vous savez. Et il place quelque chose en Christ, et c’est un merveilleux vieil enseignant. Observez ce qu’il fait. Il ne prêche pas ; il enseigne simplement la chose.

80 Ainsi donc, si vous remarquez bien, la simple petite manière que j’ai de le faire, je présente un sujet ici, peu importe le sujet que j’ai, et je retourne là et je trouve mon contexte. Je ramène cela ici et mets cela directement en ligne avec mon sujet. Et ensuite je retourne ici prendre autre chose. Et je l’amène ici, et je l’expose ici. Ensuite je retourne ici prendre autre chose, jusqu’à ce que j’aie correctement tout apporté ici, et alors je ramène cela à mon sujet, juste le tout à la fois.
La raison pour laquelle je donne ces petits sermons… J’essaye de prêcher. Bien sûr, vous êtes avec moi depuis longtemps et vous savez que je ne suis pas un prédicateur. Mais, par exemple : Crois-tu ceci ? Parle au rocher, Venez voir une femme, et tout comme cela, vous savez, juste trois petits mots. Juste… Je bâtissais le tout sur la femme au puits et ce que c’était. Et ensuite j’arrive au but juste à la fin, ensuite, vous voyez : Venez voir un Homme. Venez voir un Homme, puis Parle au Rocher. Je prends Israël et je le fais sortir, voyez-vous, je trouve mon contexte, et je place cela ici en ligne avec mon sujet, sans toucher encore mon sujet.

81 Et vous l’avez remarqué il y a un instant, pendant que je expliquais – j’expliquais cela, il y a un instant, la même chose, concernant ce Romain-là, voyez-vous, en disant : « Crois au Seigneur Jésus-Christ, et tu seras sauvé. » Voyez-vous, ça c’est une question, être sauvé. Voyez-vous, je suis retourné prendre tout ce que c’était, je l’ai fait ressortir, et je suis retourné prendre Job ainsi que tous les autres, je les ai mis ici sur – sur la route, et puis j’ai enfoncé la chose. C’est ce que c’est ; c’est la foi. Voyez-vous ? Job a utilisé la foi. Le Romain a utilisé la foi. Nous sommes prêts à utiliser la foi et tout. Voyez-vous, juste…
Et je pense que de cette manière, si je… en faisant cela à ma façon, si je peux arriver à susciter suffisamment l’intérêt des gens pour qu’ils écoutent ce qu’on essaye de bâtir, alors gardez votre sujet principal ici pour le dernier point, et alors enfoncez-le. Alors vous dites… Oh ! le reste de la chose s’ouvre. En effet, vous voyez, vous voyez la chose.
Voyez-vous, vous – vous tendez simplement la main ici, et vous prenez une ligne qui est restée en suspens, et vous la tirez et l’y ramenez. Et – et la difficulté, c’est que je laisse trop de lignes en suspens, ainsi je… que je ne prends pas.

82 Eh bien, c’est très gentil de la part de vous tous de venir ici, de vous asseoir et de parler avec nous et tout. Et j’apprécie cela. Mais je voudrais encore dire de tout mon coeur, je le dis avec tout ce qui est en moi : je n’ai jamais réalisé le grand prix que vous payez. Je – je… Si ce n’était pas pour vous voir, et si ce n’était pas par amour pour vous et pour les choses que je fais, je dirais : « Je ne vais plus prêcher au Tabernacle. » De vous voir tous parcourir 1500, 1800 miles [2414 km, 2897 km – N.D.T.] en véhicule pour venir assister à un service.
Eh bien, j’apprécie cette grande loyauté. Et je pense pourtant à ce que vous faites. Voyez-vous ? Mmm. Et je – je fais simplement confiance à Dieu et crois que chacun de vous sera dans le pays au-delà de la rivière, vous et vos enfants, vos petits et tout, que je – je vous verrai là-bas. Et j’espère que je serai là. Je crois que je serai là.
Maintenant, voyez-vous, qu’aucun de vous, que – qu’aucun de vos enfants ne soit perdu, qu’aucun d’entre vous ne soit perdu ; puissions-nous être tous là ce jour-là. Et – et même notre jeune soeur là-bas, la – la jeune dame de couleur qui est là, qui fait la vaisselle, là dans – dans – dans l’autre pièce.
Je – je me souviens qu’un jour ici je parlais à cette femme. Je crois… Est-ce la même femme ? Et je crois qu’une fois j’ai rencontré – rencontré son mari là. Ou non, c’est plutôt un garçon qui travaille pour vous. Il semblait être un brave petit gars. Et je – j’espère que nous allons tous nous rencontrer là où nous… il n’y aura pas de déceptions. Et on ne restera pas debout jusque tard dans la nuit, car il n’y aura pas de nuit.

83 Oh ! mon frère, ma soeur, si seulement je pouvais – si seulement je pouvais expliquer d’une manière ou d’une autre ce que c’était ce matin-là, pendant que j’étais couché là à côté de ma petite épouse qui est là, et qu’Il m’a élevé de ce lit, et m’a amené là-haut et m’a permis de voir au-delà du rideau.
Si seulement je pouvais maintenant avoir la capacité de vous expliquer à quoi cela ressemblait et ce que c’était… Je les ai tous vus là. Et ils étaient tous jeunes. Mais je – je ne pouvais pas les reconnaître. Voyez-vous, ils venaient tous vers moi et m’entouraient tous de leurs bras et tout. Et c’étaient – c’étaient des êtres humains. Voyez-vous ? Ils n’étaient pas une sorte de plumes, comme un… Les gens disent que les anges… Je ne crois pas que les anges ont des plumes, bien que les gens – les gens disent cela. Voyez-vous ?
Mais un ange est un messager. Et cela… ce mot signifie un messager. Je ne crois donc pas qu’ils ont des plumes et des choses comme cela. Mais c’est juste… Ils étaient tous là et ils étaient tous heureux. Et ils n’étaient pas… ne pouvaient être qu’heureux. Et s’il n’y avait pas plus que ça, j’aurai… nous aurons une récompense pour toutes les courses et tout que nous faisons, et – et tout comme cela.

84 Mais je voudrais que vous… Je voudrais dire ceci, et je le crois aussi, que la Bible déclare qu’il viendra une famine dans le pays dans les derniers jours. Et ça ne sera pas une famine de pain et d’eau, mais d’entendre la vraie Parole de Dieu. Et les gens courront de l’est, de l’ouest, du nord et du sud, cherchant à entendre la Parole de Dieu. Et nous vivons bien en ce jour-là maintenant. Voyez-vous ? Quand…
Sans manquer d’égard envers qui que ce soit, voyez-vous, sans manquer d’égard envers nos églises, pas du tout… Mais si vous le savez, je crois que derrière la chaire de beaucoup de ces églises on a de braves hommes, des hommes de bien, de vrais hommes de Dieu. Mais ils ont peur qu’au cas où ils déclaraient quelque chose de contraire à ce que déclare cette organisation-là, ils soient alors boutés dehors. Alors ils sont mis à l’écart.
Et je crois que ce dont l’homme a besoin, c’est d’un peu de courage. Et je crois cela, eh bien, je crois que Dieu veut prendre une personne pour en faire un modèle afin de montrer qu’Il prendra soin des autres, en dépit de leur organisation. C’est donc ce que je suis… espère qu’Il fera de moi, pour m’aider, me permettre… Et si je…

85 Et, écoutez, chrétiens. Si jamais une fois… Je – je vais… Je vous en conjure devant Dieu et les – et les anges élus que vous… Dès que vous me voyez faire quelque chose de faux, je vous prie de venir me le dire. En effet, je – je – je vous aime trop pour vous manquer là-bas. Et je sais que vous y allez. Ainsi, je… Venez me le dire. Si vous me voyez une fois dans l’erreur, faisant quelque chose qui n’est pas correct, quelque chose qui placerait une pierre d’achoppement sur votre chemin.
Eh bien, plusieurs fois je viens ici et je ris, puis je tranche et je dis des choses. Qu’est-ce que j’essaie de faire ? J’essaie de faire partir de moi cette tension que je ressens. Voyez-vous ? Ce n’est pas que je veuille faire cela. Voyez-vous ? Ce n’est pas que j’aie même envie de rire ou… Et de venir ici et être avec frère Welch pour pouvoir l’entendre dire un petit quelque chose sur, oh, le jeune garçon – un garçon de couleur là-bas. Et celui-ci avait attrapé un poisson, et le garde-chasse l’a attrapé, et le jeune garçon a dit qu’il attrapait des appâts pour les tortues. Et – et comme… Vous savez, quelque chose de ce genre-là.

86 Et le petit… Quand ce petit prédicateur m’a raconté… Aujourd’hui, je parlais aux jeunes filles des petits caniches qui s’appellent Féfé et Fifi. Voyez-vous ? Et – et comme… Pourquoi est-ce que je fais cela ? Pour – pour rire, pour me faire rire, pour – pour que je revienne à moi.
Quand vous vous élevez au-dessus de ce domaine mortel pour entrer dans ces domaines-là, cela – c’est – cela vous garde entortillé, vous comprenez ce que je veux dire. Et puis imaginez un peu, c’est ça la chose, imaginez un peu. Avec un tel ministère, vous représentez-vous ce dont j’aurai à rendre compte ? Ce n’est pas juste pour Tifton, en Georgie, pas pour l’Indiana, pas pour les Etats-Unis, mais je devrai rendre compte devant le monde pour un ministère mondial. Voyez-vous ? Je dois rendre compte aux païens. Je dois plutôt rendre compte devant Dieu pour les païens. Voyez-vous ?
Et quand je m’assieds chez moi et que je me dis : « Eh bien, je crois – je crois – je crois… » C’est comme là-haut l’autre jour, et j’étais vraiment tendu, et j’ai dit : « Je – je – je repars tenir une autre réunion. » Et je repars pour tenir une autre réunion. Et, bien vite, je suis si tendu que je – je dois aller à la chasse ; je dois aller à la pêche ; je dois sortir avec quelqu’un. Je – je dois faire quelque chose, parce que je ne suis qu’un homme, qu’un être humain. Voyez-vous ? Et cela – c’est ce que… Comprenez cela.

87 Mais si jamais vous pensez que je sors quelque part du chemin avec cela, venez me le dire. Je vais arrêter cela, fiston, comme une palourde de… Peu importe ce qui arrive. En effet, je – je veux que vous compreniez ; je n’ai aucun secret. Tout ce que je sais, vous le savez aussi. Voyez-vous ? Tout ce que le Seigneur m’a montré et qu’Il m’a permis de dire, je l’ai dit. Et je n’ai rien caché. Et – et ma vie est à découvert. Vous – vous – vous savez ce que je suis et ce dont je suis fait. Et je suis juste… essaie de vivre tous les jours de la même manière autant dans… autant que possible.
Bien sûr, bien des fois vous me voyez quand je suis maussade et que je me sens mal, que je suis fatigué et épuisé ou quelque chose comme cela. Bien entendu, je… cela va avec le ministère, vous savez ; vous vous en rendez compte, vous… Si vous regardez dans le passé, vous verrez que les hommes ont été ainsi, ont agi ainsi. Cela nous arrive à nous tous.
Mais ce qu’il en est, c’est que nous voulons nous comprendre les uns les autres. Je réalise que vous aussi vous avez vos hauts et vos bas. Je ne suis pas le seul à en avoir. Vous en avez. Et quand vous avez les vôtres, j’essaie de comprendre. Quand j’ai les miens, essayez de comprendre. Et quand je suis quelque part outremer ou que je suis parti quelque part dans une réunion et que les démons s’assemblent partout, et qu’ils me défient et tout le reste, eh bien, souvenez-vous tous, priez tout simplement pour moi. Allez-vous le faire ?

88 Pouvons-nous maintenant Lui adresser un petit mot ? Père céleste, c’était glorieux de se tenir ici et de parler à ce groupe d’enfants lavés par le Sang. Je me rends compte ce soir que je me tiens là exactement comme saint Paul s’est tenu il y a bien des années, dans des réunions de petites maisons où les gens venaient. Et Paul est venu chez Aquilas et Priscille, et – et ils y ont dû – y ont rassemblé les gens. Et il est allé… Rome et a loué une maison. Et il recevait ceux qui venaient.
Et ici ce soir, les gens de – qui viennent au Tabernacle, et – et ceux qui sont… effectuent en véhicule tous ces kilomètres, j’ai essayé de leur dire combien j’apprécie cela… Seigneur, je n’ai même pas de mots pour leur dire combien je les apprécie. Mais, Père, je Te prie de révéler dans leurs coeurs ce que je veux dire.
Et, Dieu bien-aimé, si… Je Te prie, veille exaucer ma prière en leur faveur. Sauve chacun d’eux, Seigneur. Qu’aucun d’eux ne soit perdu, ni un membre de leur famille ; qu’ils soient tous là.

89 Je prie pour leurs petits. Je pense à ce petit garçon couché ici sur les genoux de son papa, et sa maman qui est assise là, en train de suivre, et je pense aux jours à venir. S’il y a un lendemain, comment saurais-je si ce même petit garçon n’apportera pas l’Evangile ? Ô Dieu, je Te prie de bénir ce petit garçon, tous les autres, les petites filles et les petits garçons et que Tu sois avec eux tous. Sois avec frère et soeur Evans qui ont ouvert leur maison, la maison de prière.
Sois avec nous maintenant et pardonne-nous nos péchés. Et, ô Dieu, si jamais ils tombent malades et qu’ils doivent téléphoner, ô Dieu, fais que je vive une vie telle qu’ils croiront que Tu m’exauceras. Et alors exauce-moi quand je prierai pour eux, Seigneur. Accorde-le. Et écoute leurs prières en ma faveur, car j’ai besoin de leurs prières, Père. Et chaque fois qu’ils prient pour moi, veuille écouter, Seigneur. Quand je prie pour eux, écoute, ô Seigneur. Et ensemble, nous Te servirons toute notre vie. Et là, en ce glorieux jour, nous espérons venir à Ta maison un jour. Et quand nous frapperons à la porte, veuille nous laisser entrer, Père. En attendant ce jour-là, veille sur nous et bénis-nous, et garde-nous toujours fidèles. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

90 Je vous remercie beaucoup, les amis. Et je regrette de vous avoir gardés ici jusque – jusque pres-… presque 22 h 30. Ce petit garçon étendu ici, il dort comme un petit cavalier. Quel âge a-t-il ? Deux ans. Est-ce fini avec ça ?
Bonsoir, soeur, je ne sais pas si je vous ai serré la main ou pas quand je suis entré. Eh bien, ça fait plaisir de vous revoir, ainsi que vous, Frère Willie.
Fred, je pense que tu partiras le matin, que tu vas rentrer à la maison. Ramenez mon – mon alligator. Je vous verrai à la maison, Frère Wood. Que le Seigneur vous bénisse, ainsi que vous, Frère Scott. Ça fait plaisir de vous revoir, Frère. Je crois que je vous ai déjà vu quelque part, n’est-ce pas ? Je pense que c’est le cas. Votre visage me dit quelque chose.
Frère Wayne, que le Seigneur vous bénisse. Et je me dis toujours que je devrais remplir votre réservoir d’essence pour avoir parcouru 80 miles [environ 129 km – N.D.T.] afin de m’amener ce ministre. Que Dieu vous bénisse, fiston. Que Dieu vous bénisse, soeur. Et toutes mes taquineries que vous… Je plaisante tout simplement, vous le savez, n’est-ce pas ?

91 Que Dieu vous bénisse, Soeur Evans. Le petit déjeuner et le souper étaient très bons, et votre merveilleuse hospitalité. Souvenez-vous, Jésus a dit ceci : « Tout ce que vous avez fait au plus petit… » Eh bien, vous ne L’avez pas entendu dire : « Tout ce que vous avez fait au plus grand… » Voyez-vous ? Voyez-vous, cela pourrait – ça peut être quelqu’un d’autre. Mais « tout ce que vous avez fait au plus petit… » Je pense que c’est moi. Ainsi, c’est à moi que vous l’avez fait.
C’est un plaisir de vous revoir aussi, soeur. Que Dieu soit à jamais avec vous. Je… Oh ! la la ! Comment pouvez-vous dire que ce n’était pas votre mère ? Vous vous ressemblez tellement.
C’est un plaisir de pouvoir vous voir, soeur. Je crois que vous êtes l’épouse du – de ce jeune homme-là. Et vous, vous êtes frère Scott. Etes-vous toutes des soeurs ? Eh bien, je pensais que vous étiez des soeurs. C’est ce que je pensais effectivement. C’est un plaisir de pouvoir vous revoir. Et gardez bon courage, mon frère. Et dites donc, peut-être que c’est une nouvelle. Je n’ai pas remarqué cette fille-ci. Oh ! eh bien, enchanté, soeur. Que le Seigneur vous bénisse.
C’est un plaisir de vous voir, soeur. Et il servira à quelque chose. Prenez-le carrément. Que Dieu vous bénisse, frère. Frère Evans, que Dieu soit avec vous, mon garçon.

92 A présent, chérie, si tu veux bien prendre nos petits, nous ferions mieux de partir. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Et puis je vous demande, avant que nous partions, de nous tenir debout et – et de chanter ce petit cantique. Voulez-vous bien chanter un petit couplet avec moi, comme ce petit… ? Ça va ? Dieu soit avec vous jusqu’à nous revoir !
Qu’Il vous guide par Ses conseils et vous soutienne,
Qu’Il vous garde en sécurité dans Sa bergerie ;
Dieu soit avec vous jusqu’à nous revoir ! Au revoir, au revoir,
Au revoir aux pieds de Jésus !
Au revoir. Au revoir !
Dieu soit avec vous jusqu’à nous revoir ! Voici ce que nous faisions dans les petites réunions de prière, tenons-nous par la main, tout autour comme ceci. Voyez-vous ? Et chantons ce petit hymne. Faisons un petit cercle, soyons ensemble. C’est comme ça. Voyez-vous ? C’est de cette façon-là que vous êtes en contact les uns avec les autres, vous savez. Chantons. Connaissez-vous ce petit cantique ? Béni soit le lien qui unit
Nos coeurs dans l’amour chrétien ;
La communion d’âmes soeurs
Est comme celle d’en haut. Devant le trône de notre Père
Nous déversons nos prières mutuelles ;
Nos craintes, nos espoirs, nos buts sont un,
Nos réconforts et nos soucis. Quand nous nous séparons,
Cela nous cause de la peine en nous ?
Mais nous serons toujours unis de coeur,
Et nous espérons nous revoir.

93 A présent, avec nos têtes inclinées, répétons simplement cette prière modèle. Notre Père qui es aux cieux ! Que Ton Nom soit sanctifié ; que Ton règne vienne ; que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien ; et pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés ; ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du malin. Car c’est à Toi qu’appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen !
Que Dieu bénisse chacun de vous maintenant. A nous revoir.
Frère Welch, voulez-vous dire que vous avez tout enregistré sur cette bande-là ? Mmm ! Eh bien, je souhaite que vous veniez tous avec nous en Floride. Le Seigneur voulant… Je – je vais vous dire ce que je vais faire, je cherche à emmener les enfants. Voyez-vous, ils sont – ils n’ont pas pu terminer leurs vacances. Leur grand-mère a fait une crise cardiaque et nous avons dû rentrer. Ainsi donc je les emmène pour qu’ils terminent en quelque sorte leurs vacances ; en effet, ils doivent reprendre l’école directement. Ainsi, je vais les amener quelque part demain, peut-être à St. Petersburg ou ailleurs.

94 [Frère Branham s’entretient avec différentes personnes. – N.D.E.] Je dois rentrer peut-être avant dimanche. [Frère Evans parle d’un musée – N.D.E.] Oh ! Oui ? Eh bien, j’aimerais aller le visiter. Oui, oui. Je n’ai donc pas été au musée. C’est ce… Qu’était-ce ? Le Musée Ripley. Et ça se trouve à St. Petersburg ? A Saint.… Je veux dire à Ste Augustine.
Oui, je vais ici à… C’est d’abord à Jacksonville que je vais, n’est-ce pas ? Oui, en revenant… En effet, j’ai retourné cette chose. En revenant par ici vers Jacksonville, et puis je traverse La Crosse, dites-vous, et je passe par là ? … ?... Waycross. Oui, oui.

95 Le Tabernacle fait face à l’est et à l’ouest. J’ai construit… Cela… Quand vous entrez par le – le devant, vous savez ; là où la 8e Rue monte comme ceci. Vous allez alors droit vers l’est. Voyez-vous ? Et puis, le – le… Alors si vous vous tenez debout… Et quand je prêche, je prêche en faisant face à l’ouest. Et vous voyez donc, je fais cela pour que l’autel soit à l’est, car Jésus vient de l’est. Et alors cela – cela me permet… L’autel, nous nous prosternons toujours en regardant l’est. Voyez-vous ?
Eh bien, d’habitude, je ne sais pas. C’est ce que j’ai toujours fait. J’ai vu dans la Bible que les gens… D’habitude, jadis, Daniel a dit qu’il est allé ouvrir les fenêtres, vous savez, et tout comme cela, et il priait la face tournée à – en direction de l’est. Et – et ainsi…
Et j’ai remarqué dans l’ancien temple de Moïse, je pense que l’autel faisait face à l’est. Et ainsi, bien sûr, Dieu vous écoute où que vous soyez. Voyez-vous ? Peu importe… Oui, oui. Eh bien, j’ai donc vu un moment où j’étais plongé dans la prière et tout, et je – je ne… je ne me suis pas retourné. Voyez-vous ? Je suis simplement allé là.

96 Et maintenant, si je ne fais pas attention et tout comme cela et que je m’agenouille tout simplement et m’empresse, je… Il y a deux – un endroit que je connais où je n’arrive jamais à me mettre en position. Et pourtant je sais où ça se trouve. Et c’est chez grand-mère Cox. Je peux y aller. Et je n’arrive tout simplement pas à bien positionner cela. Et il me semble qu’un jour quelque chose va arriver là.
Je me dirige tout droit vers cette entrée, et c’est – c’est tout droit vers le sud, je tourne à ma droite. Mais ce n’est pas cela. Voyez-vous ? Ce n’est pas ça. C’est l’opposé. Voyez-vous ? Et je – je…
Et quand j’arrive dans les bois, eh bien, que je me perde ou quelque chose comme ça, et puis si j’ai tourné tout autour… Eh bien, si je deviens tout excité, eh bien, je – je ne peux pas m’en sortir. Voyez-vous ? Mais si seulement vous restez tranquille quelques minutes et dites : « Père céleste, aide-moi. » Et, frère, je peux vous indiquer cela tout aussi – tout aussi facilement. C’est juste.

97 Un jour, je suis sorti de…?… avec frère Wood et soeur Wood, nous quittions Chattanooga. Et frère Wood roulait sur… Je pense que c’était la 41, en rentrant. Ainsi, cela… Je – j’étais très fatigué. Oh ! j’étais très fatigué. Et je m’étais tout simplement étendu derrière, après le service, et je me suis étendu là-derrière et me suis endormi à l’arrière de la voiture. Je me suis réveillé, et alors, j’ai dit… Du brouillard ? C’est à peine si vous pouviez voir votre main devant vous. Et j’ai dit : « Hé ! Frère Wood, vous allez dans la mauvaise direction. »
Il a dit… Voyez-vous, je venais de sortir de cette réunion-là. Et il a dit, il a dit : « Oh ! non. » Il a dit : « Je vais… je… a-t-il dit, je suis sur la 41. »
J’ai dit : « Mais vous – vous allez vers le sud. »
Et il a dit : « Eh bien, comment pouvez-vous savoir avec un brouillard pareil ? Voyez-vous, vous ne pouvez même pas voir la route. »
J’ai dit : « Mais pour… vous êtes… Je peux dire maintenant même que vous allez – vous – vous allez vers le sud. »
Il a dit : « Non, non. Regardez là, c’est la 41. »
J’ai dit : « Mais vous vous trompez. »
Eh bien, nous avons continué à rouler encore un peu. Et il a continué à discuter avec moi, disant qu’il était dans le bon. Il disait tout simplement : « Je reste bien sur la 41, je vais vers Memphis. »
Et j’ai dit : « Observez tout simplement. » Et nous nous sommes arrêtés à la station-service. Et j’ai demandé : « A quelle distance sommes-nous de Memphis ? »
L’homme a dit : « Vous – vous devez faire demi-tour, mon garçon, vous êtes en Georgie. » Il a dit : « Retournez dans cette direction-ci. » Nous n’allons pas laisser… Oui, monsieur. Oui, monsieur ? Oui, monsieur. Oui, monsieur. Eh bien, si vous ne faites pas attention…

98 Et je me souviens qu’une fois je m’étais égaré dans les montagnes. Et c’est quand… Je – je pensais que comme homme de bois j’étais trop bon pour me perdre. Mais je me suis vraiment perdu. Et mon épouse était avec moi, et Billy Paul était un petit enfant. Et ils… Je les ai laissés. Et je suis allé… Je suis allé chasser un ours. Voyez-vous ? Et je chassais l’ours. Et je – et j’ai rencontré par là un gros cerf mâle. J’ai abattu ce mâle et je me suis dit : « Eh bien, je ferais mieux de rentrer. » Et je savais que j’avais descendu… J’étais dans les Adirondack. Et j’ai gravi la montagne comme ceci et je… Quelque chose a traversé la route. Et c’était un – c’était un puma. Et il avait simplement rabattu ses oreilles. Et juste avant qu’il – que je ne puisse lever mon fusil assez vite pour tirer, il était parti. Voyez-vous ? Et Meda n’avait jamais été dans les bois dans sa vie. Voyez-vous ? Et…
Eh bien, c’était pendant cette lune de miel. Voyez-vous ? Et j’en avais préparé une bonne, là. Voyez-vous ? Au moment même où je m’étais marié, alors je… vous savez, je l’ai amenée pour notre lune de miel et je suis allé faire la chasse en même temps. Voyez-vous ? Ainsi – ainsi – ainsi je… Et je – je me suis dit : « Eh bien, maintenant, comment donc suis-je venu ? » Je… Et je suis venu par ici, puis j’ai tourné vers le bas et je suis parti et je suis tombé sur une saillie, et j’ai traversé une petite poche. Je savais que j’étais descendu quelque part vers les géantes, vers le Canada, mais je ne savais pas exactement où c’était. Et une tempête est survenue.

99 Et tout à coup, vous savez, il y eut ces tempêtes de neige. Et, oh ! le brouillard était si bas que vous ne pouviez même pas voir votre main devant vous. Et c’est alors que vous – dans cette contrée-là, vous feriez mieux de vous asseoir si vous ne savez pas où vous êtes. Car vous mourrez là même. Voyez-vous ? Et trouvez-vous tout simplement un endroit et terrez-vous, et cherchez quelque chose à manger et attendez un ou deux jours jusqu’à ce que la tempête soit terminée. Et puis sortez et voyez où vous vous trouvez.
Ainsi, je ne pouvais pas me terrer. Meda était dans les bois, elle n’avait jamais été dans les bois auparavant, dans un petit appentis, qui n’avait même pas de porte, juste, vous savez, c’était un petit appentis comme cela. Ainsi, telle était la situation dans laquelle je me trouvais. Et oh ! la la ! J’ai pris… Je suis allé directement, je me suis mis carrément à monter comme ceci. Et je me suis dit : « Eh bien, j’ai tourné ici quelque part. » Et je suis revenu juste à l’endroit où j’avais abattu le cerf. Je suis reparti et j’ai dit : « Je dois trouver mon chemin pour sortir d’ici. Mon épouse et mon enfant mourront dans les bois. » Voyez-vous ?

100 Et il commençait à faire froid. Et ce brouillard se répandait, ce qui montrait qu’il allait neiger dans très peu de temps. Voyez-vous ? Et je me suis mis de nouveau en marche et je suis revenu de nouveau là où était le cerf. Cela m’est arrivé à trois reprises. Eh bien, j’ai su alors… J’ai dit : « Eh bien, je – je vais… je – je suis quelque part… »
Voyez-vous, eh bien, les Indiens appellent cela la marche de la mort. Vous êtes sur un endroit plat, et vous tournez et tournez en rond en décrivant des cercles. Voyez-vous ? Or, avec une boussole, vous ne feriez pas cela. Voyez-vous ? Mais vous tournez en rond en décrivant un cercle. Les Indiens disent que vous faites la marche de la mort. Voyez-vous ? En effet, vous êtes alors hors de vous. C’est alors que les gens perdent la tête et se mettent à courir, à crier et tout, jusqu’à ce que finalement ils plongent dans un ravin ou quelque chose comme ça et trouvent la mort, ou bien se tuent.

101 Et alors, je – je me souviens que j’ai dit : « Eh bien, je vais aller tout droit. » Je – je… ?… Et j’ai été en quelque sorte pris de délires et je me suis dit : « Assieds-toi. Tiens, espèce de pauvre insensé. Tu sais que tu n’es pas perdu. Tu – tu ne peux pas te perdre. » Voyez-vous ? Et j’ai continué à dire cela. Eh bien, cela… voyez-vous, cela – cela n’était simplement pas le cas. Quand quelque chose n’est pas là, vous ne pouvez pas bluffer, vous savez. Juste comme…
Et ainsi, j’ai dit : « Eh bien, je ne suis pas perdu. Je sais exactement où je me trouve. Certainement. Je suis venu juste par ici. C’est tout à fait juste. » J’avançais tout en monologuant comme cela, vous savez, et tout en sueur. Or, si j’avais été seul, je serais simplement allé quelque part, et je me serais arrêté à un petit endroit et j’aurais attendu que la tempête soit terminée, peut-être un ou deux jours, et tout aurait bien marché. Je me serais procuré un morceau de mon cerf et aurais laissé passer la tempête. Voyez-vous ? Mais vous ne pouvez pas faire cela, avec une épouse dans les bois, ils étaient dans les bois. Oh ! ils allaient mourir cette nuit-là ! Ils ne savaient pas se débrouiller dans les bois. Voyez-vous ?

102 Alors, je me suis dit… Je me dirigeais tout simplement là et j’ai entendu quelque chose dire : « Je suis l’Eternel, un secours qui ne manque jamais au moment de la détresse. » J’ai simplement continué à marcher. Je me suis dit : « Eh bien, je suis pris de délires. Tu vois ? Je pense entendre des choses. » C’est juste quand elle venait de se marier, il y a vingt ans de cela. J’ai simplement continué à aller comme cela. Cela a dit : « Je suis l’Eternel, un secours qui ne manque jamais au moment de la détresse. » Et cela s’est fait entendre à trois ou quatre reprises.
Et au bout d’un moment, je me suis arrêté et je me suis dit que – que soit je suis hors de moi, soit le Dieu Tout-Puissant a eu pitié de moi. Et je me suis simplement agenouillé et j’ai posé mon fusil à terre. Et j’ai dit : « Ô Dieu, j’avoue que je suis perdu. » Voyez-vous, j’ai dit : « Je – je suis perdu. Et puis tu… Jamais je ne… Je ne pourrai jamais sortir d’ici avec… Et j’ai pensé que j’étais trop bon comme homme de bois pour me perdre. Mais, ai-je dit, je suis tout à fait bouleversé. Il n’y a pas de… » J’étais déjà excité. Voyez-vous ? « Il n’y a donc aucun moyen du tout pour moi de retrouver mon chemin. Et je – je ne mérite pas de vivre, Seigneur. Mais mon épouse et mon enfant le méritent. » Voyez-vous ? « Permets-moi donc de parvenir auprès d’eux pour qu’ils ne meurent pas dans les bois. » J’ai dit : « Je ne mérite pas de vivre, mais eux le méritent. » Et – et j’ai dit : « Si Tu veux bien m’aider, je Te serai très reconnaissant. » Je me suis levé. J’ai dit : « Maintenant, je vais diriger mon visage dans ce sens et je sais que je vais droit là où j’ai laissé Meda et l’autre. » Mais je… ?… étais, j’allais droit vers le Canada, voyez-vous, dans la marche de la mort, voyez-vous, droit vers le Canada.

103 Et je me suis mis en marche comme ceci, et tout à coup j’ai senti quelque chose faire [Frère Branham fait une illustration. – N.D.E.], une main. « Qui est-ce ? » Et j’ai levé les yeux. Et juste le temps de regarder derrière, et le brouillard s’était suffisamment dissipé au point que j’ai vu le sommet du mont Hurricane. Et eux campaient juste au pied du mont Hurricane.
Eh bien, alors je me suis simplement tenu là et j’ai pleuré comme un enfant, louant Dieu, vous savez, pour m’avoir secouru. Et alors, j’ai dû aller dans ce sens-là. Il commença à faire sombre autour de moi. Et – et les cerfs et tout sautaient devant moi. Mais je n’avais pas… Après qu’il eut fait sombre, je savais que le garde forestier et moi… bien que cette cabane du garde forestier soit juste là à côté de cet appentis, mais elle était fermée. Et puis, la maison la plus proche, c’est – c’est à vingt-cinq miles [environ 40 km – N.D.T.] de là. Vous voyez ? Et puis là-haut sur la montagne, là près de la cabane du garde forestier, et puis en montant jusqu’à la tour, là sur le grand pic là-haut… Eh bien, je savais que j’étais quelque part sur le pic. Mais ces montagnes s’étendent sur des kilomètres et des kilomètres tout autour, vous savez : trente [environ 48,2 km], quarante miles [environ 64,3 km] – cinquante [environ 80,4 km], là autour de la montagne. Et alors je me suis dit : « Eh bien, si seulement je peux atteindre ce fil qui passe par là. » Lui et moi l’avions installé pour le téléphone, vous savez. On l’avait attaché aux arbres, et il descend jusqu’à sa station. Et puis, les gens en prennent la relève à partir de la – à partir de la – à partir de la tour, vous savez, jusqu’à la station.

104 Et puis, il allait venir dans quelques jours pour chasser l’ours avec moi. Et la nuit tomba. Je ne voyais donc pas, vous savez. Et il faisait sombre de toute façon. Après environ trente, quarante minutes il faisait sombre. Et il n’était que 14 ou 15 heures. Et je gardais ma main levée comme ceci en marchant. Je tenais tout simplement cela… j’avais mon fusil dans cette main-ci et je marchais, vous savez. Et je savais que ce fil était à environ cette hauteur-ci, là où nous l’avions attaché aux arbres sur tout le trajet.
Et je me suis dit : « Si seulement je pouvais toucher ce fil. Et je touchais une branche comme cela, vous savez. Et je me disais : « Je… Non, ça c’est une branche. » Voyez-vous ? Et j’essayais encore. Et puis quand j’ai changé… Et mon bras a commencé à faire mal ; je l’avais gardé levé si longtemps. Je changeais et plaçais mon fusil ici et je reculais de quelques pas, vous savez, pour être sûr de ne l’avoir pas dépassé. Voyez-vous ? En effet,… et comme cela.

105 Et frère, le long… Et il faisait déjà noir comme dans un four, vous savez. Et cela faisait environ 1 heure que je marchais dans ces ténèbres, et ma main a touché ce fil. Je l’ai senti. Eh bien, j’ai simplement incliné la tête et je me suis mis à pleurer, vous savez. Et je me suis dit : « Seigneur, juste au bout de cette ligne mon épouse attend et tout. » Voyez-vous ? Je me suis dit : « C’est juste. » Et je me suis tenu là et j’ai gardé la tête inclinée et je L’ai remercié pour cela. Et j’ai dit : « Oui, Seigneur. Ma main est dans Ta main. C’est un courant, une ligne. Et juste au bout de cette ligne que je tiens maintenant dans mon coeur, je tiens tout ce qui m’est cher (Voyez-vous ?), tous mes bien-aimés, mon Seigneur, mon Sauveur. Tout ce qui m’est cher se trouve au bout de cette ligne. » Ainsi, je n’ai pas laissé ma main lâcher cette ligne. Et j’ai suivi cette ligne droit jusqu’au bas de la montagne. Bien qu’il y avait là un petit sentier – un petit sentier brisé – à moitié brisé, par lequel on montait, vous savez, mais je ne pouvais pas me fier à cela. Je tenais simplement la ligne. Quand j’arrivais à un arbre, je contournais directement l’arbre et saisissais de nouveau ce fil, je continuais jusqu’au prochain arbre, et puis je saisissais ce fil jusqu’en bas. Ça fait environ trois miles [environ 4,8 km – N.D.T.] en descendant la montagne. Et je suis arrivé là en bas. Et Meda était au bord de la crise de nerfs, c’était vraiment le pétrin. Mais c’était ça. Voyez-vous ? Il n’y a rien, aucun sentiment qui soit comparable au fait d’être perdu, (Que dire d’être perdu) d’être perdu dans les bois. Mais que dire d’être perdu loin de Dieu ? Voilà qui est horrible.

106 Eh bien, Meda ! Viens, chérie. Frère Welch doit aller au travail. Et Banks et les autres voudront probablement partir tôt, et tous ces autres frères qui doivent aller au travail. Et nos soeurs doivent faire en sorte que les enfants soient lavés et… Merci. Merci.
Si vous avez apprécié quelque peu cela autant que moi, en parlant avec vous… C’était merveilleux. Oui, oui.
Frère Welch, merci aussi pour ce merveilleux moment cet après-midi, que nous avons eu là avec le – en m’amenant au – là-bas dans ces marécages des alligators. Soeurs, vous tous, je vous remercie certainement pour ce bon dîner. Oh ! la la !
Vous avez aussi une fillette là ? Elle a la plus belle chevelure. J’ai remarqué que c’est tressé, c’est une chevelure en quelque sorte très blonde et dorée. Ce – c’est très beau. Je vais aussi faire une observation au sujet de votre chevelure, soeur. Je sais que c’est mieux. Je crois que vous aviez des cheveux courts, n’est-ce pas, tombant un peu sur vos épaules ; ils étaient en quelque sorte coupés ou quelque chose comme… Ou… n’est-ce pas ? Oui. Je… Oui. Je… Eh bien, c’est vraiment joli maintenant. Voyez-vous ?

107 Je remarquais ces – toutes ces femmes par ici, avec leurs longues chevelures et tout. C’est comme… Cela…
Oh ! elles peuvent être tout aussi jolies d’une manière que de l’autre, vous savez, qu’elles aient des cheveux courts ou pas, mais il en est tout simplement ainsi, vous savez. Vous savez ce que je veux dire. Vous… Peut-être ça, c’est juste moi. Mais…
Voilà cette fillette. Elle est un petit peu timide, n’est-ce pas ?

108 Puis-je le porter, chérie ? Où se trouve-t-elle ? Oh… Non. Les entends-tu me parler ? Avez-vous saisi cela ? Elle a dit que nous devions attendre que Becky vienne, mais elle a dit que cela ne signifie pas qu’on doit aller là pour commencer encore à prêcher.
N’est-ce pas que cette fillette a aussi une belle chevelure, chérie ? Une jolie fille avec sa petite queue de cheval qui pend là aussi, une petite fille aux cheveux tirant vers le roux et…
Non. Je vais sortir pour voir si cette vieille… faire démarrer cette vieille Cadillac si possible, Frère Welch. Et je vais… Excusez-moi juste une minute, je vais voir si je peux… Parfois elle tousse un petit peu et détonne, vous savez, et… c’est quoi, Bernie ?

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