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Les influences
1 Câest bien. Je pense que nous devrions nous lever pendant que nous lisons Sa Parole. Ne le pensez-vous pas ? [LâassemblĂ©e dit : « Amen. » â N.D.E.] Levons-nous donc juste un instant pendant que nous lisons Sa Parole. Je lis ce soir, pour une leçon sur les Ecritures, dans le Livre dâEsaĂŻe, au chapitre 6. Suivez attentivement :
LâannĂ©e de la mort du roi Ozias, je vis le Seigneur assis sur un trĂŽne trĂšs... Ă©levĂ©, et les pans de sa robe remplissaient le temple.
Des séraphins se tenaient au-dessus de lui ; ils avaient chacun six ailes : deux dont ils se couvraient la face, deux dont ils se couvraient les pieds, et deux dont ils se servaient pour voler.
Ils criaient lâun Ă lâautre, et disaient : Saint, saint, saint est lâEternel des armĂ©es ! Toute la terre est pleine de sa gloire !
Les portes furent ébranlées dans leurs fondements par la voix qui retentissait, et la maison se remplit de fumée.
Alors je dis : Malheur Ă moi ! je suis perdu, car je suis un homme dont les lĂšvres sont impures, jâhabite au milieu dâun peuple dont les lĂšvres sont impures, et mes yeux ont vu le Roi, lâEternel des armĂ©es.
Mais lâun des sĂ©raphins vola vers moi, tenant Ă la main une pierre ardente quâil avait prise sur lâautel avec des pincettes.
Il en toucha ma bouche, et dit : Ceci a touché tes lÚvres ; ton iniquité est enlevée, et ton péché est expié.
Jâentendis la voix du Seigneur, disant : Qui enverrai-je, et qui marchera pour nous ?
Je répondis : Me voici, envoie-moi.
2 Inclinons maintenant la tĂȘte.
3 PĂšre, « malheur », nous nous sentons comme EsaĂŻe : « Malheur Ă nous ! car nos yeux ont vu le Roi, le Seigneur de gloire. » Nous Te remercions, Seigneur, de ce quâil y a un processus de purification ce soir, qui peut toucher non seulement nos lĂšvres, mais aussi nos coeurs et nos Ăąmes, et nous purifier de toute notre impuretĂ©. Car, câest vrai, nous habitons au milieu dâun peuple dont les lĂšvres sont impures, et nos lĂšvres aussi sont impures. Nous prions que le Glorieux Saint-Esprit vienne toucher nos lĂšvres ainsi que nos coeurs par lâonction, le Feu du Saint-Esprit pris sur lâautel de Dieu, et de nous purifier de toute notre incrĂ©dulitĂ© et de tous nos doutes, quâIl puisse entrer et Ă©tablir Sa demeure en nous. Car nous Lâaimons, nous LâapprĂ©cions, et nous Lâadorons.
Ce soir, nous prions, PĂšre, que sâil y en a ici qui nâont pas encore eu cette touche purifiante du Glorieux Saint-Esprit, le Feu de Dieu, que celle-ci soit la soirĂ©e oĂč sâaccomplira cette oeuvre en eux, pour la gloire du Royaume de Dieu. Nous le demandons au Nom de JĂ©sus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
4 Bon, je suis ⊠nous essayerons de sortir tĂŽt. Je ne veux pas que vous manquiez lâĂ©cole du dimanche. Eh bien, il nây a pas de mal si vous ratez une journĂ©e de travail, vous nâen souffrirez pas trop. Je vous retiens jusquâĂ 21h30â ou quelque chose comme cela, un autre soir. Mais ne manquez pas lâĂ©cole du dimanche, quoi que vous fassiez.
Bon, mon sujet ce soir, câest : Les Influences.
5 Si nous voulons lire cette histoire, nous devrions prendre II Chroniques, chapitre 26, et on pourra lire cela. Cet Ozias Ă©tait un jeune berger. Et il... II Chroniques 26 nous raconte quâil avait Ă©tĂ© oint roi Ă lâĂąge de seize ans. Et son pĂšre Ă©tait un homme pieux. Et cet homme Ă©tait un homme bon, il avait des parents pieux. « Il fit ce qui est droit aux yeux de lâEternel. » Or, nous voyons que dâordinaireâŠ
6 Jeâje pense que notre grand problĂšme aujourdâhui, concernant ce que nous pensons ĂȘtre de la dĂ©linquance juvĂ©nile, câest la dĂ©linquance parentale, un foyer dĂ©linquant. Notreânotre peuple sâest Ă©loignĂ© des choses auxquelles ilâil devait sâaccrocher. LâĂ©glise est devenue tiĂšde ou froide, et lesâles enfants vont dans le monde.
7 Aujourdâhui, Hollywood diffuse un tas de films ainsi queâainsi que des Ă©missions tĂ©lĂ©visĂ©es et autres, qui ne sont mĂȘme pas censurĂ©s, dans lesquels on profĂšre des blasphĂšmes etâetâet on prend le Nom de Dieu en vain. Etâet, autrefois, câĂ©tait mauvais pour les enfants dans les Ă©glises de la SaintetĂ© dâaller auxâaux bioscopes ou au cinĂ©ma. Mais aujourdâhui, Satan a fait un saut en avant en amenant cela en plein dans la maison, sous forme de tĂ©lĂ©vision ; et puis, câest sans censure, etâet ainsi de suite. Et câest le propre de Satan, sâinfiltrer graduellement.
8 Câest comme la vieille piste de luge. Beaucoup dâentre vous ne sâen souviennent pas, parce que vous ĂȘtes trop jeunes. CâĂ©tait un divertissement pour les enfants. On sâasseyait sur une luge et on tournait continuellement. Il y avait un trou, une chute. Et chacun lançait le dĂ©fi Ă lâautre de pouvoir sâen approcher le plus. Et peu aprĂšs, avant quâon sâen aperçoive [FrĂšre Branham claque les doigts. â N.D.E.], on tombait
9 Câest comme ça avec le pĂ©chĂ©. Ne jouez pas avec le pĂ©chĂ©. Ne voyez pas Ă quel point vous pouvez vous en approcher. Voyez Ă quel point vous pouvez en rester Ă©loignĂ©. Voyez ? Ne courez pas de risque. Si vous, vous allez courir le risque... Moi, je ne veux pas courir le risque.
10 Une fois, un vieil Ecossais, raconte-t-on, allait traverser une montagne. Et les voitures à cheval attendaient ; chaque homme voulait le faire traverser. Il a dit : « Je veux que le meilleur charretier me prenne. »
11 Lâun dâeux a dit : « Eh bien, moi, je peux conduire mes six tĂȘtes de chevaux Ă plein galop, Ă âĂ dix pouces [25 cm] du bord de cette montagne. » Si vous tombez, câest la mort. Il a dit : « Je suis un assez bon charretier pour conduire mes chevaux en toute sĂ©curitĂ©, en gardant par lĂ mes roues Ă dix pouces du bord, sans tomber. »
12 Un autre a dit : « Je peux faire plus que ça. Je peux conduire à six pouces ou quatre pouces [15 ou 10 cm] sans jamais tomber. »
Il a demandé : « Et vous, monsieur ? »
13 Il a dit : « Eh bien, je ne sais pas. Je nâaime pas faire ça. Moi, jeâje colle tout simplement au flanc. »
Il a dit: « Vous, prenez-moi. » Câest exact. Câest celui quâil faut
14 Ce nâest pas Ă quel point vous pouvez vous approcher, combien efficace vous estimez votre protection, tenez-vous aussi loin que possible du pĂ©chĂ©. Eloignez-vous autant que possible.
Vous direz : « Eh bien, je peux faire ceci. Il nây a pas de mal Ă le faire. »
Eh bien, sâil y a un doute dans votre esprit, ne le faites pas du tout. Sâil y a un doute quelque part, tenez-vous-en Ă©loignĂ©. Alors, vous voyez, vous vivez donc absolument par la foi, sâil nây a aucun doute. Sâil y a un doute, laissez donc cela. Ne vous en approchez pas du tout.
15 Et je pense que, dans bien des cas, ce sont les parents qui sâĂ©loignent. Je sais que parfois, ce sont lesâles Ă©coles et tout. LâĂ©cole du dimanche ne prend quâenviron une demi-heure, ou une heure, le dimanche matin, et le monde prend les enfants le reste de la semaine et les bourre dâhistoires plus quâune enseignante de lâĂ©cole du dimanche ne le fait. Et souvent, trĂšs souvent, lâenseignante de lâĂ©cole du dimanche a une petite leçon trimestrielle quâelle donne pendant quâelle se peint les lĂšvres et arrange ses cheveux, et elle laisse les enfants faire de leur mieux.
16 Et puis, Ă la maison, ils ne reçoivent aucune Ă©ducation chrĂ©tienne, pas du tout. Maman se retrouve quelque part dehors Ă une partie de cartes, et papa est allĂ© au bowling, etâet la soeur est sortie avec quelquâun qui a un bolide. Et vous y ĂȘtes, vous voyez. Quoi⊠OĂč allons-nous ? Seulement, vous... ce nâest que... câestâcâest terrible.
Et alors, nous voyons cela, tout ça ensemble. Junior dehors, parcourant la rue sur sa motocyclette. Et, oh ! Il y en a qui jouent au golf, et dâautres au billard, on est juste Ă lâun ou lâautre divertissement. Et on rate lâĂ©glise.
17 Bien des fois, on tient alors un conseil lĂ ! Sâil arrive que ce pasteur aborde Ă un point sensible qui estâest plutĂŽt un peu contraire, ou dise quelque chose Ă ce sujet, le comitĂ© le fera comparaĂźtre ; on transmettra son nom au quartier gĂ©nĂ©ral, et il sera excommuniĂ©. Vous voyez donc, câest devenu un gagne-pain au lieu quâon ait des serviteurs oints pour prĂȘcher lâEvangile. Voyez. Câest vrai. Câest devenu quelque chose quâils veulent avoir. Câestâcâest un gagne-pain. Ils doivent rester lĂ , avoir un bon salaire. Ecoutez, frĂšre. Que Dieu ait pitiĂ© dâun homme qui vendrait son droit dâaĂźnesse pour cela. Ecoutez !
18 Il nous faut des hommes qui manipuleront lâEvangile avec des mains nues, sans une espĂšce de gants dĂ©nominationnels. Qui prĂȘcheront cela lĂ tel que câest Ă©crit, etâet advienne que pourra. « Si la chaussure convient, disait maman, porte-la. » Elle disait : « Si ça ne te fait pas mal au bout. » Eh bien, il y a donc ces choses que nous devrions Ă©couter.
19 Bon, ce roi Ozias avait Ă©tĂ© un merveilleux enfant. Il avait eu un pĂšre pieux. Sa mĂšre Ă©tait originaire de JĂ©rusalem, et son pieux pĂšre Ă©tait roi avant lui, et câest ce genre dâenseignement que ce garçon avait reçu.
20 Je ne suis ni dĂ©mocrate ni rĂ©publicain. Jâai votĂ© une seule fois, et câĂ©tait pour Christ. Il estâIl est⊠Je vais lâemporter Ă ce sujet.
21 Eh bien, jeâje pense que le plus grand prĂ©sident, en tout cas, que nous ayons jamais eu, câest Abraham Lincoln. Non pas parce quâil Ă©tait aussi du Kentucky, mais parce que cet homme est venu de nulle part. Et tous les livres que cet homme ait jamais possĂ©dĂ©s depuis sa tendre enfance jusquâĂ ce quâil avait de lâĂąge, pratiquement, câĂ©taient la Bible etâet Le Voyage du Petit PĂšlerin de Bunyan. Voyez, cela lâa façonnĂ© en (Quoi ?) cet « honnĂȘte Abe. » Il...
Ce que vous lisez, ce que vous faites, ça façonne votre caractĂšre. Celaâcela rĂ©vĂšle ce que vous ĂȘtes. Et maintenant, vous voyez, il avait lu lĂ oĂč il est Ă©crit : « Si vous faites le mal, vous paierez pour cela ; si vous faites le bien, Dieu honorera cela. » Et cela lâa façonnĂ©, a fait de lui ce quâil Ă©tait. Et sa mĂšre Ă©tait aussi uneâune femme pieuse. Il disait : « Sâil faut attribuer un quelconque mĂ©rite Ă quelquâun, cela reviendrait Ă ma mĂšre pieuse, celle qui mâa bien Ă©levĂ©. »
Eh bien, cela a façonnĂ©, Ă mon avis, je dirais, au moins un prĂ©sident, si pas le plus grand que nous ayons eu. Il est venu de nulle part, et Dieu a fait de lui le prĂ©sident parce quâil Ă©tait un homme honnĂȘte et un homme bon.
22 Eh bien, nous voyons que câĂ©tait pareil avec ce garçon. Comme il avait eu ces parents pieux, il a fait ce qui Ă©tait juste. Une fois devenu roi, Ă seize ans, il nâa pas tenu compte de toute la politique et de toutes les opinions populaires de son temps, et il a servi Dieu avec rĂ©vĂ©rence. Cela a fait de lui un vĂ©ritable roi, le fait de ne pas tenir compte de la politique et de lâopinion moderne, et de servir Dieu avec rĂ©vĂ©rence ; câĂ©tait trĂšs bien. Son royaume, Dieu lâavait bĂ©ni, et il avait tellement prospĂ©rĂ© quâil venait aprĂšs celui de Salomon. Salomon avait le plus grand royaume qui ait existĂ©, mais celui de ce garçon suivait celui de Salomon.
23 CâĂ©tait dâuneâdâune grande assistance pour le jeune prophĂšte EsaĂŻe qui, Ă ce moment-lĂ , Ă©tait un jeune homme qui grandissait. Etant nĂ© prophĂšte, il observait lâinfluence que cet homme exerçait sur les gens et il a vu dâoĂč venait son influence: câĂ©tait de sa confiance absolue en Dieu. Et il avait⊠Et il a encore remarquĂ©, EsaĂŻe, que Dieu bĂ©nira ceux qui resteront fidĂšles Ă la Parole de Dieu.
24 Maintenant, nous voyons que ce jeune homme voulait sâaccrocher aux principes Ă©noncĂ©s par Dieu. Il observait Ses lois. Ozias ne sâen dĂ©tournait ni Ă gauche ni Ă droite. Il Ă©tait fidĂšle Ă ce que la Parole disait, et Dieu lâa honorĂ© et lâa bĂ©ni dans tout ce quâil faisait, il a prospĂ©rĂ©, il allait droit de lâavant. Quelâquel exemple est-ce pour nâimporte quelle jeune personne !
25 Je pense que si, aujourdâhui, nous avions des gens, nos Ă©glises qui se disent chrĂ©tiennes, si elles sâabstenaient des choses du monde et quâelles menaient ce genre de vie, cela influencerait les plus jeunes chrĂ©tiens Ă faire autant. Mais aujourdâhui, lorsquâils se relĂąchent, boivent, fument et se mĂ©conduisent, et cherchent toujours Ă maintenir leur confession quâils sont des chrĂ©tiens, cela place une grosse pierre dâachoppement sur le chemin des autres. Et cela rend la chose trĂšs difficile.
26 Souvenez-vous, la Bible dit : « Vous ĂȘtes des Ă©pĂźtres vivantes, Ă©crites, et lues de tous les hommes. » Or, beaucoup de gens ne veulent pas lire la Bible, mais Dieu a fait de vous un reprĂ©sentant vivant. Vous ĂȘtes une Ă©pĂźtre qui marche, vous devriez ĂȘtre une Bible qui marche, avec Christ en vous. Vous devriez ĂȘtre la Parole de Dieu qui marche. Et si vous professez ĂȘtre un chrĂ©tien et que ça nâest pas le cas, votre influence, votre... lâinfluence que vous exercez vous obligera de rĂ©pondre au jour du Jugement pour les nombreuses Ăąmes que vous aurez dĂ©tournĂ©es, Ă©loignĂ©es de Christ.
27 Je pense quâil nous incombe ce soir dây penser. Car chaque homme, chaque femme, chaque garçon et chaque fille, sait quâil viendra en jugement. Vous pourriez Ă©chapper Ă ceci ou Ă cela. Vous pourriez Ă©chapper Ă lâimpĂŽt sur le revenu, et vous pourriez Ă©chapper au fisc. Vous pourriez faire une chose ou lâautre. Vous pourriez dĂ©passer la vitesse maximale et ne point vous faire attraper par la police. Mais un jour, le Jugement vous rattrapera. Câest certain.
28 « Et nous savons que lâhomme doit mourir, et aprĂšs quoi vient le Jugement. » La mort nâest pas une chose difficile. Câest le jugement aprĂšs la mort qui est difficile. Et lĂ , ce que vous avez fait dans la vie, comment vous avez influencĂ© les autres, ce Jour-lĂ , vous aurez Ă rĂ©pondre pour cela.
29 «A combien plus forte raison devrions-nous rejeter tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si facilement, afin que nous puissions courir avec persévérance dans cette carriÚre qui nous est ouverte, ayant les regards, non pas sur les crédos, ni sur les dénominations, ni sur une autre personne, mais sur Jésus-Christ, qui est le Chef et le Consommateur de notre foi. »
30 Combien nous devrions penser Ă ces choses, mes amis, profondĂ©ment et rĂ©vĂ©rencieusement, alors que nous voyons ce Jour approcher, et que nous savons quâĂ nâimporte quel moment les pages du livre de votre vie pourront ĂȘtre fermĂ©es ce soir. Et demain, ce sera trop tard pour vous de faire cela. Ne renvoyez pas Ă demain ce que vous pouvez faire aujourdâhui, car demain, car demain pourrait ne jamais venir. Les hommes et les femmes, les jeunes garçons et les jeunes filles qui sont peut-ĂȘtre assis ici ce soir seront dans une morgue avant lâaube. Câest vrai. A ce moment-lĂ , votre livre sera fermĂ©, et vous nâaurez jamais une autre occasion. Ceci pourrait ĂȘtre la derniĂšre occasion que vous puissiez jamais avoir. Pensez-y, sĂ©rieusement. Vous direz : « Eh bien, peut-ĂȘtre que ce nâest pas ça. » Probablement que ce nâest pas ça, mais ça peut lâĂȘtre. Mais, souvenez-vous, un jour, le livre va ĂȘtre fermĂ©, et ce que vous faites maintenantâŠ
31 Et particuliĂšrement, vous qui prĂ©tendez ĂȘtre des chrĂ©tiens, sĂ©parez-vous des choses du monde. Nâayez rien Ă faire avec le monde. Evitez-le, car quelquâun vous observe. Quelquâun vous observe. Et vous allez, non seulement vous envoyer lĂ , mais vous allez amener les autres au mauvais endroit, et vous aurez Ă rĂ©pondre pour votre influence.
32 Combien ce prophĂšte a observĂ© cet homme et a vu que Dieu le bĂ©nissait, et quelle influence câĂ©tait ! Combien cet homme prospĂ©rait, et combien Dieu a fait pour lui ! Il menait uneâune vie merveilleuse, bĂ©nie de Dieu. Et il ne se dĂ©tournait ni Ă droite ni Ă gauche.
33 Maintenant, nous voyons ici un autre exemple, ici en cet homme, cet homme dâOzias, un grand roi qui a marchĂ© autrefois avec Dieu. La Bible dit que « quand le roi sâest senti en sĂ©curitĂ©, a senti que tout allait bien pour lui, alors il sâest enflĂ© dâorgueil dans son coeur. »
34 Permettez-moi de mâarrĂȘter ici pour dire ceci, solennellement, mon frĂšre, ma soeur. Dieu a fait de vous mon auditoire ce soir. Je dois ĂȘtre trĂšs sĂ©rieux dans ce que je dis, et vous devez Ă©couter avec beaucoup de sĂ©rieux.
35 VoilĂ le problĂšme avec beaucoup de gens aujourdâhui. Ils pensent... Nous avons certains de nos frĂšres ministres; certains en arrivent au point, peut-ĂȘtre, quâils ont de grands ministĂšres, jusquâĂ se sentir en sĂ©curitĂ©. Nous avons eu cela, nous savons que câest vrai. Beaucoup de ministres aujourdâhui dans le pays commencent Ă boire.
Dâautres se disent : « Eh bien, je me suis bĂąti mon petit royaume autour de moi. Il nây a aucune raison pour moi... Ces gens mâaiment tellement quâils ne feront mĂȘme pas cas, que je fasse ceci ou cela. »
Permettez-moi de vous dire, frĂšre, quâil y en a Un qui regarde, et câest Dieu. Nul nâest en sĂ©curitĂ© en dehors de Dieu.
36 Parfois, nous en arrivons donc Ă nous dire : « Dieu nous a bĂ©nis. » Il mâa donnĂ© une Cadillac, Il mâa donnĂ© un meilleur travail, Il mâa donnĂ© ceci. » Ce nâest pas du tout une Ă©vidence quâil soit impossible pour vous de rejeter Sa bĂ©nĂ©diction.
37 Quand vous vous enflez et que vous vous dites : « Eh bien, autrefois, je passais toute la nuit Ă prier. Autrefois, je faisais ceci et je faisais cela, mais je ne le fais plus », vous ĂȘtes sur un terrain glissant.
38 VoilĂ le problĂšme avec nos pentecĂŽtistes, alors quâautrefois, il y a longtemps, nous avions une petite mission quelque part au coin, les femmes, sans bas sur elles, battaient un tambourin lĂ -bas et devaient prier toute la nuit, et tout. La police vous mettait sous les verrous, et vous restiez en prison et tout. Vous priiez. Les Ă©glises et toutes les dĂ©nominations riaient de vous et se moquaient de vous.
Mais aujourdâhui, Dieu vous a Ă©levĂ©s au point que vous avez certaines des meilleures Ă©glises du pays, de trĂšs puissantes dĂ©nominations. Vous commencez Ă vous sentir en sĂ©curitĂ©. Faites attention ! Câest alors quâon sâenfle. Alors, quand Dieu envoie Quelque Chose, vous ne pouvez plus Lâaccepter, parce que vous avez dĂ©jĂ rendu tĂ©moignage Ă telle autre chose. Quand vous commencez donc Ă vous sentir en sĂ©curitĂ©, câest alors que vous ĂȘtes en route vers votre chute. Cela vaut pour les dĂ©nominations. Cela vaut pour les nations.
39 ConsidĂ©rez notre nation, câĂ©tait autrefois lâun des grands pays du monde pour ce qui est de la moralitĂ©; considĂ©rez-la aujourdâhui. Elle est la risĂ©e du monde, elle est plus souillĂ©e que nâimporte quoi que je connaisse.
40 Quand je suis descendu de lâavion, Ă mon arrivĂ©e Ă Rome, et que je suis allĂ© Ă Saint Angelo pour visiter les catacombes, jâĂ©tais dans lâembarras en voyant un Ă©criteau sur les catacombes de Saint Angelo. Il y Ă©tait mentionné : « Un mot Ă toutes les femmes amĂ©ricaines. Veillez vous habiller avant dâentrer dans les catacombes par Ă©gard pour les morts. » Elles y arrivent en shorts et en pantalons, dans une ville comme Rome. Et on devait donc dire aux femmes amĂ©ricaines : « Par Ă©gard pour les morts, habillez-vous. » Eh bien, câest devenu une puanteur dans les narines.
Et tout notre argent Ă lâĂ©tranger, nos crĂ©dits financiers et tout de ce genre, ça nâachĂštera jamais lâamitiĂ©.
41 Ce dont nous avons besoin dans cette nation, et nous ne lâaurons jamais, mais ce dont nous avons besoin, câest dâun temps de nettoyage de la maison; pas un nettoyage politique de la maison, mais dâun rĂ©veil envoyĂ© du Saint-Esprit, qui la balayera de fond en comble. Câest ce dont nos Ă©glises ont besoin. Câest ce dont notre peuple a besoin. Câest ce dont nous avons besoin en tant quâindividus. Que notre influence⊠Quand nous nous enflons pour dire : « Je suis pentecĂŽtiste, jâai parlĂ© en langues, jâai criĂ©, jâai dansĂ© par lâEsprit », peut-ĂȘtre que vous lâavez fait, mais laissez-moi vous dire quelque chose, frĂšre. Ce nâest pas une garantie pour vous, pas du tout.
42 Nous voyons, quand Ozias sâest enflĂ© dans son coeur, nous voyons que Dieu lâa frappĂ©. Quâa-t-il fait ? Il a eu le toupet de chercher Ă exercer lâoffice dâun ministre. Il pensait que, parce quâil Ă©tait Ă©levĂ©, Dieu lâavait bĂ©ni et avait fait de lui un grand homme, il pouvait faire tout ce quâil voulait.
43 Il nây a pas longtemps, jâai entendu un jeune homme me parler, disant : « Vous savez, Dieu mâaime tellement, FrĂšre Branham, quâIl me laisse simplement faire tout ce que je veux. Il nâen fait pas cas. »
44 Aujourdâhui, jâentends beaucoup parler de Dieu qui est un Dieu bon. Il lâest. Je ne conteste pas cela. Il est un Dieu bon, mais Il est aussi un Dieu de colĂšre. Sa saintetĂ© exige la justice. Sa loi exige le jugement. Si la loi nâest pas assortie dâun jugement, elle est sans effet.
A quoi servirait- il de dire que câest illĂ©gal de brĂ»ler ce feu rouge, ici, si ce nâest pas passible dâune sanction ? Voyez, ce ne serait pas une loi. On ne pourrait rien faire Ă ce sujet tant quâil nây a pas de sanction. Il y a une sanction contre la violation des lois de Dieu, et cela vaâŠvous aurez Ă payer jusquâau tout dernier sou avant dâĂȘtre libĂ©rĂ©.
45 Or, beaucoup dâhommes aujourdâhui commettent cette triste erreur que cet homme avait commise quand il sâest exaltĂ©, sâest enflĂ© et en est arrivĂ© Ă tout avoir entre ses mains, il sâest senti en sĂ©curitĂ©. « Dieu mâaime tellement que rien ne pourra me dĂ©ranger maintenant. » Quand il a fait cela, il sâest retrouvĂ© dans le mĂȘme pĂ©trin que Nebucadnetsar autrefois, comme vous les lecteurs de la Bible, vous le savez. Nous voyons ensuite quâil fut frappĂ© de lĂšpre parce quâil a cherchĂ© Ă prendre la place dâun ministre.
46 Il nây a pas longtemps... Je parle pour les Hommes dâAffaires du Plein Evangile dans le monde entier. Il y a quelque temps, jâĂ©tais assis quelque part, câĂ©tait lĂ en JamaĂŻque. Nous tenions une sĂ©rie de rĂ©unions.
47 Je les aime, parce que ce sont des gens venus de toutes les Ă©glises. Cela me donne lâoccasion deâde parler. Parfois, les Ă©glises ne veulent pas collaborer, mais leurs hommes dâaffaires, eux, collaborent ; ellesâelles auront plutĂŽt Ă tenir face grĂące aux hommes dâaffaires.
48 Et, nous voyons donc, Ă ce propos, que je tenais une sĂ©rie de rĂ©unions. Ce soir-lĂ , quand ils sont rentrĂ©s au Flamingo Motel, jâai dit : « Jâai honte de vous. » Jâai dit : « Câest une disgrĂące. Tout ce dont vous parliez devant tous ces leaders politiques et autres, et les hommes dâaffaires, ici et lĂ , câĂ©tait : âJâavais une toute petite affaire par iciâ, et, âjâai seize Cadillacsâ, ou que sais-je encore. » Jâai dit : « Ces hommes, vous ne pouvez pas vous comparer Ă eux. »
49 « VoilĂ le problĂšme avec lâĂ©glise aujourdâhui. Vous essayez de vous comparer Ă Hollywood. Vous cherchez Ă vous y prendre comme Hollywood. Souvenez-vous, Hollywood brille avec Ă©clat. LâEvangile luit. Vous ne pouvez pas aller sur leur terrain. Vous devez les amener sur notre terrain. Câest lĂ que nous devons les amener. Vous devez les amener ici; pas que nous, nous allions lĂ -bas. Nous ne pouvons jamais nous comparer Ă eux. Nous nâavons pas Ă le faire. Eux brillent et Ă©tincellent; lâEvangile luit avec douceur et humilitĂ©. VoilĂ la diffĂ©rence entre une luisance et un Ă©clat. »
50 Maintenant, nous voyons... Jâai dit Ă ces hommes, jâai dit : « Le problĂšme, câest que, vous les hommes qui ĂȘtes juste des hommes dâaffaires, vous cherchez Ă prĂȘcher lâEvangile. Vous nâavez pas Ă faire cela. Nous les prĂ©dicateurs, nous passons des temps assez difficiles pour garder le niveau. Et vous, vous ne devriez pas faire cela. Vous essayez de prendre la place quâil ne faut pas. Vous ĂȘtes des hommes dâaffaires, mais ne cherchez pas Ă exercer un office dans lâEvangile. »
51 Jeâjâai dit : « Le problĂšme, câest quâaujourdâhui, vous cherchez Ă dire combien vous possĂ©dez. Combien câest diffĂ©rent des premiers pentecĂŽtistes ! Les premiers pentecĂŽtistes sâĂ©taient dĂ©barrassĂ©s de ce quâils avaient. »
52 Un certain petit chanteur lĂ , câĂ©tait un brave petit homme, je lâaime, câest un brave homme, mais il a dit : « FrĂšre Branham, je ne voudrais jamais contester ce que vous dites ni dire quoi que ce soit contre Cela. »
53 Jâai dit : « Câest trĂšs bien. Si ce nâest pas la Parole du Seigneur, alors vous en avez le droit, frĂšre. »
Et il a dit : « VoilĂ lâunique fois oĂč vous avez tort. »
54 Jâai dit : « Oh ! Non. Non, non. » Jâai dit : « Les premiers pentecĂŽtistes avaient vendu tout ce quâils avaient, ils ont placĂ© cela dans les missions etâet sâen sont allĂ©s. »
55 Et un prĂ©dicateur qui Ă©tait lĂ a dit : « CâĂ©tait la pire des choses quâils aient faites. »
Jâai dit : « Quoi ? Le Saint-Esprit commettre une erreur ? »
56 Il a dit : « Ce nâest pas ce que je dis. Mais câĂ©tait la pire des choses quâils aient faite. » Il a ajouté : « Ensuite, quand il y a eu du trouble dans lâĂ©glise, ils nâavaient plus de maisons oĂč aller. »
57 Jâai dit : « Câest exactement la raison pour laquelle Dieu les a amenĂ©s Ă vendre leurs maisons. Ils sont alors allĂ©s partout, rĂ©pandant le Message dans tout le pays. Ils nâavaient plus oĂč aller ». Dieu sait ce quâIl fait. Laissez-Le seulement sâen occuper.
58 Nous voyons que cet homme a pris un encensoir, il est entrĂ© pourâpourâ pour secouer un encensoir, brĂ»ler lâencens. Ce nâĂ©tait pas son travail. Il Ă©tait roi, il ne devait pas ĂȘtre un sacrificateur. Et le sacrificateur a couru aprĂšs lui et lui a parlĂ©, disant : « Tu ne dois pas faire ceci. Câest une tĂąche rĂ©servĂ©e au lĂ©vite, et toi, tu nâes pas lĂ©vite. Il faut un homme consacrĂ© pour cela, et tu nâes pas consacrĂ© Ă lâEternel. Tu es un roi. Dieu te bĂ©nit. Câest bien. Mais tu nâes pas consacrĂ© pour faire cela. »
59 TrĂšs souvent, nous avons vu des tentatives dâimitation des dons, alors que ces gens nâĂ©taient pas consacrĂ©s Ă cet appel. Et tout ça, nous lâavons vu. Et aujourdâhui, nous le voyons, câest exactement comme jadis. Nous voyons quelquâun essayer dâimiter lâautre qui a le Saint-Esprit, crier comme lui, parler en langues comme lui, et pourtant il ne connaĂźt pas plus au sujet de Dieu quâun Hottentot nâen sait au sujet dâun chevalier Ă©gyptien. Câest vrai, rien que de lâimitation, faire semblant, copier quelque chose.
60 Mais laissez-moi vous dire, vous qui regardez cela; souvenez-vous, quand vous voyez quelquâun imiter cela, câest quâil y a quelque chose dâauthentique quelque part. Si je vois un dollar, un faux, câest seulement une Ă©vidence quâil a Ă©tĂ© fabriquĂ© Ă partir dâun vĂ©ritable.
61 Nous voyons cet homme dâOzias chercher Ă exercer lâoffice de ce sacrificateur. Et quand les autres ont couru aprĂšs lui et lui en ont parlĂ©, il sâest fĂąchĂ©. Il sâest retournĂ© et il leur a fait savoir : « Je ferai ce qui me plaĂźt. Qui ĂȘtes-vous pour me dire quoi faire ? Vous, me dire ce que je dois faire ? Câest moi le roi. Je ferai ce que je veux. »
Et Dieu lâa frappĂ© de lĂšpre sur-le-champ. Et il est mort lĂ©preux. Dans sa colĂšre, alors que sa colĂšre Ă©tait enflammĂ©e, il fut donc frappĂ© de lĂšpre.
62 Ce fut alors une leçon pour ce jeune prophĂšte. Certainement. AprĂšs quâil eut observĂ© cet homme monter et dĂ©crocher son doctorat en philosophie, son doctorat en droit, et tout, et ensuite exercer un office qui nâĂ©tait pas le sien, il a vu, et il sâest fĂąchĂ© Ă ce sujet. Alors quâon cherchait Ă lui dire ce quâĂ©tait lâAINSI DIT LE SEIGNEUR, il a manquĂ© de reconnaĂźtre cela. Alors, Dieu lâa frappĂ© de lĂšpre, ce qui est un type du pĂ©chĂ©. Bien.
A partir de cela, EsaĂŻe a appris que câest Dieu qui ordonne Son homme Ă sa place. Câest Dieu qui le place. Parfois, on ne peut pas prendre un homme et lui faire cela.
63 Il nây a pas longtemps, une jeune dame, mâa dit quâelle avait un petit garçon, elle allait... Elle a dit : « Il pensait avoir un appel ». Elle avait environ trente cinq ans, je pense. Elle a dit : « Mon fils, dâenviron quatorze ans, sent quâil a un appel. FrĂšre Branham, quâon lâenvoie obtenir son doctorat en philosophie ou lâune ou lâautre chose comme ça, quâon lâenvoie Ă lâuniversitĂ© ? Que me conseilleriez-vous ? »
64 Jâai dit : « La meilleure universitĂ© que je connaisse, câest lâuniversitĂ© de la genouologie, ĂȘtre sur ses genoux. » Jâai dit : « Il peut aller lĂ en plein milieu de ces choses, et bien vite, vous savez, on commence Ă apprendre les math⊠les mathĂ©matiques et tout Ă ce sujet, et autant au sujet de ceci, et on le soumettra Ă un test mental et Ă celui du coefficient intellectuel, et tout, comme ça. Et alors, ils feront sortir tout ce quâil y avait de Dieu en lui. » Jâai dit... Je ne rabaisse pas ces choses, mais je vous montre simplement Ă quel point on sâĂ©carte de la ligne.
65 Observez et voyez ce qui est en fait arrivĂ©. Eh bien, câest Dieu qui ordonne Son homme Ă sa place.
66 Il nây a pas longtemps, je lisais une petite histoire dâune femme qui Ă©tait... avait uneâune maladie, uneâuneâuneâune pneumonie, Ă Saint Louis, dans le Missouri. Elle Ă©tait trĂšs trĂšs malade. Et on disait quâelle allait mourir. Elle avait un fils Ă lâuniversitĂ©. Il est donc venu, le mĂ©decin, voir combien de temps encore il pensait quâelle avait Ă vivre. Et il a dit : « Encore un ou deux jours, et elle ne sera probablement plus ici. »
67 On a donc envoyĂ© un tĂ©lĂ©gramme au jeune homme lui disant quâil ferait mieux de rentrer Ă la maison, que sa mĂšre Ă©tait gravement malade. Le jeune fils ayant donc reçu le tĂ©lĂ©gramme, sâest prĂ©parĂ© Ă rentrer, mais il a reçu un autre tĂ©lĂ©gramme disant : « Votre mĂšre va mieux maintenant. Tout va bien. Ne venez pas. »
68 Eh bien, ensuite, Ă peu prĂšs une annĂ©e plus tard, eh bien, le garçon a effectuĂ© sa visite annuelle Ă la maison. A son arrivĂ©e Ă la maison, il a dit : « Maman ! » AprĂšs lâavoir saluĂ©e, il a dit : « Tu sais, je me pose bien de questions, quand tu Ă©tais trĂšs malade, tu ne mâas jamais dit ce qui sâest passĂ© au juste. »
69 Elle a dit : « Oh ! Fiston, jâai quelque chose Ă te dire. » Elle a dit : « Tu connais cette petite mission ici au bas de la rue, ici, ici oĂč ces gens hurlent, crient et font des histoires ? »
Il a dit : « Oui. »
70 Elle a dit : « Leur pasteur croit Ă la priĂšre pour les malades. » Elle a dit : « Lâune des dames est venue ici et mâen a parlĂ©. » Elle a dit : « Un docteur mâavait dit que je nâavais plus que quelques jours Ă vivre. » Elle a dit : « Alors, on a envoyĂ© chercher... Elle voulait faire venir ce pasteur pour prier pour moi, cette dame-lĂ . Et jâai dit : âEh bien, certainement, faites-le venir.â » Elle a dit : « Tu sais, il est venu, a-t-elle dit, il a lu une Ecriture dans la Bible. » Et elle a dit : « Il est venu, mâa imposĂ©e les mains et a priĂ© pour moi. Et, tu sais, la fiĂšvre mâa quittĂ©e, et jâĂ©tais guĂ©rie. » Et elle a dit : « Oh ! gloire Ă Dieu ! »
Il a dit : « Maman, maman, eh bien, tu es mieux avisée que ça ! »
71 Elle a dit : « Oh ! Oh ! Non, non, chĂ©ri, a-t-elle dit, cela est rĂ©ellement arrivĂ©. » Elle a dit : « Gloire Ă Dieu ! Câest moi qui te le dis. » a-t-elle dit.
72 Il a dit : « Maintenant, tu agis vraiment comme ces gens-là . » Il a dit : « Tu ne dois pas faire cela, maman. »
73 Elle a dit : « Mais, a-t-elle dit, chĂ©ri, il a lu cela en plein dans la Bible. Il a lu lĂ dans Marc, chapitre 16 : âVoici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.â Câest Ici mĂȘme. » Elle a dit : « Nous, nous... câest Ici mĂȘme », a-t-elle dit.
74 « Oh ! Maman, câest ce genre dâillettrĂ©s lĂ -bas. » Il a dit : « Ces gens lĂ -bas nâont aucune instruction. » Il a dit : « Ce ne sont que des pauvres gens, câest de la racaille des rues, et tout, qui sont envoyĂ©s lĂ -bas. » Il a dit : « Ce pasteur lĂ ... » Il a dit : « Nous avons appris Ă lâuniversitĂ© que Marc 16, du verset 9 jusquâĂ la fin, nâest pas inspirĂ©. »
Elle a dit : « Gloire à Dieu ! »
Il a dit : « Maman, quâest-ce qui te prend ? »
75 Elle a dit : « JâĂ©tais juste en train de penser, fiston, que si Dieu a pu me guĂ©rir avec la parole non inspirĂ©e, que ferait-Il vraiment avec Celle qui est inspirĂ©e ! »
Je pense donc que ça rĂšgle la question, nâest- ce pas ? Eh bien, si celle qui nâest pas inspirĂ©e guĂ©rit, que fera Celle qui est inspirĂ©e ? Câest ça, mes amis. Oui, oui.
76 Maintenant, essayer de prendre la place dâun autre. Câest Dieu qui ordonne Son homme Ă sa place. Dieu ordonne Son homme Ă sa place. Ce dernier ne doit pas essayer de prendre la place dâun autre. Vous ne devez pas le faire.
77 Maintenant, la vision au temple. Il est allĂ© au temple quand il a vu cela. EsaĂŻe a vu cela, EzĂ©chias, ce qui lui Ă©tait arrivĂ©. Et Ă la fin, il est mort, et il y a eu unâun (je veux dire Ozias)... etâet il a Ă©tĂ© amenĂ© au camp des lĂ©preux, et son fils a dĂ» rĂ©gner Ă sa place. Et alors, EsaĂŻe en a eu marre, pour ainsi dire. Alors, un jour, il est allĂ© au temple pour vider son coeur.
78 Je pense que câest une bonne chose Ă faire pour nous tous: Aller Ă la maison de Dieu, nous agenouiller et libĂ©rer notre Ăąme, et ĂŽter la chose de notre esprit.
79 EsaĂŻe sâest donc agenouillĂ© lĂ et sâest mis Ă prier, vous. IlâŠpeut-ĂȘtre que câĂ©tait un aprĂšs-midi, et il... ou tĂŽt le matin. Je ne sais pas. Il sâest donc agenouillĂ© Ă lâautel et sâest mis Ă prier. Et il sâest mis Ă prier jusquâĂ devenir vraiment sincĂšre. Eh bien, câest comme ça. Il avait vu faillir ce quâil regardait, ici sur terre. Ce roi que Dieu avait bĂ©ni, ce grand et puissant roi, le plus puissant du pays, avait pourtant failli. Et alors, il ne savait que faire, et il sâest mis Ă prier.
80 Alors, tout Ă coup, il a levĂ© la tĂȘte, et alors, il a vu le VĂ©ritable Roi. Il a vu Dieu trĂšs Ă©levĂ©. Les pans de Sa robe remplissaient les Cieux. Il a vuâil a vu quelque chose Ă regarder, un vrai modĂšle. Quand vous regardez et essayez de faire dâun homme votre modĂšle, vous vous tromperez, à coup sĂ»r, car celui-ci faillira. Mais il cherchait Ă dire au prophĂšte : « Ne regarde pas Ă lâhomme ou Ă ce que lâhomme dit. Tourne le regard vers Moi et vers ce que Je dis. LĂšve les yeux par ici, pas vers un trĂŽne terrestre, mais vers un TrĂŽne cĂ©leste, Ă©levĂ© trĂšs haut aux Cieux. » Et les pans de Sa robe remplissaient les Cieux.
Et il a levé les yeux. Et alors, il a regardé dans le temple. Il vit au temple Dieu élevé, et il a vu les séraphins célestes.
81 Or, les sĂ©raphins, lĂ , ne sont pas des anges. Ils sont censĂ©s ĂȘtre ceux qui brĂ»lent le sacrifice, qui frayent la voie au coupable. Et câĂ©taient eux qui brĂ»laient le sacrifice.
82 Ils Ă©taient couverts dâune couverture spĂ©ciale, montrant que Dieu est entiĂšrement Saint. Dieu est entiĂšrement Saint.
Et ils criaient Ă tue-tĂȘte: « Saint, saint, saint est lâEternel Dieu Tout-Puissant. Saint, saint, saint », juste dans la PrĂ©sence de Dieu.
83 Rappelez-vous, câĂ©taient les sĂ©raphins et les chĂ©rubins qui gardaient le lieu saint. Ce sont eux qui prennent le sacrifice et qui lâoffrent. Et ils Ă©taient lĂ , vivant juste dans la PrĂ©sence de Dieu, criant : « Saint, saint, saint est lâEternel Dieu Tout-Puissant. »
84 ConsidĂ©rons un moment leur constitution. Nous voyons que câĂ©taient des crĂ©atures dotĂ©es de six ailes. Ils avaient deux ailes qui couvraient leur face, deux qui couvraient leurs pieds, et ils volaient avec deux ailes.
85 Pensez-y. Dâabord, deux ailes qui couvraient leur face. PremiĂšrement : câĂ©tait quoi ? Voyons ce que reprĂ©sentent les deux ailes qui couvraient leurs faces. Si Dieu est si saint que mĂȘme les saints anges et les saints chĂ©rubins doivent se couvrir la face pour se tenir dans Sa PrĂ©sence, comment allons-nous nous tenir dans Sa PrĂ©sence, alors que nous aurons Ă nous tenir dans la PrĂ©sence de Dieu ? Il est le Juge suprĂȘme. Et nous aurons tous Ă nous tenir dans Sa PrĂ©sence.
Et les saints anges qui nâont jamais connu ce quâĂ©tait le pĂ©chĂ©, qui ont Ă©tĂ© créés des ĂȘtres spĂ©ciaux, alors pour se tenir dans Sa PrĂ©sence, ils doivent se couvrir leur sainte face. Si les anges doivent se couvrir leur sainte face pour sây tenir, que feronsânous pour devoir vivre dans la PrĂ©sence du Dieu Tout-Puissant, si nous nous tenons dans Sa PrĂ©sence ? Nous avons en tout cas une couverture, le Sang de JĂ©sus-Christ. Câest exact. Aujourdâhui...
86 Câest ça la rĂ©vĂ©rence. Ăa reprĂ©sentait la rĂ©vĂ©rence dans la PrĂ©sence de Dieu.
87 Aujourdâhui, il nây a aucune rĂ©vĂ©rence. Oh ! Le peu quâil y a, câest vraiment insignifiant ! Quoi ? Vous voyez des gens se moquer de ce quâon appelle christianisme. Que va-t-il arriver Ă cet homme ? Quand Dieu envoie quelque chose sur la terre, et quâon voit cela opĂ©rer exactement selon la Parole, et alors, les hommes en parlent et sâen moquent, savez-vous ce que dit la Bible ? JĂ©sus a dit : « Câest le blasphĂšme contre le Saint-Esprit et cela ne sera jamais pardonnĂ©. »
« Oh ! disent-ils, câest du diable ! »
88 Faites attention Ă ce que vous dites, frĂšre, soeur. Faites attention Ă ce que vous dites, pĂ©cheur. Il nây a pas de pardon pour cela. JĂ©sus a dit : « Dire un mot contre cela ne sera jamais pardonnĂ© ni dans ce siĂšcle, ni dans le siĂšcle Ă venir. »
89 Remarquez ce quâil venait de faire, le discernement, leur rĂ©vĂ©ler les pensĂ©es de leurs coeurs. Et ils ont dit : « Il est BĂ©elzĂ©bul », ils ont taxĂ© lâEsprit de Dieu dâun esprit impur, dâun dĂ©mon qui faisait lâoeuvre de Dieu.
90 Et Il a dit : « Moi, Je vous pardonne. » A ce moment-lĂ , lâexpiation nâavait pas encore Ă©tĂ© faite, mais... et JĂ©sus nâĂ©tait pas mort. « Mais, a-t-Il dit, quand le Saint-Esprit sera venu, parler contre cela ne vous sera jamais pardonnĂ©. » Quand le Saint-Esprit sera venu accomplir la mĂȘme oeuvre quâIl accomplissait alors, cela ne sera jamais pardonnĂ©.
Des gens irrĂ©vĂ©rencieux ! A quoi dâautre pouvons-nous nous attendre, nous, cette nation qui a rejetĂ© Dieu, sinon au jugement ?
91 Cette nation, alors que plusieurs, Billy Graham et Oral Roberts, ont martelĂ© ce pays, ainsi que dâautres grands soldats de la Croix ont parcouru ce pays, prĂȘchant lâEvangile, il y a chaque annĂ©e une recrudescence de la violence. Le pĂ©chĂ© ne cesse de sâaccroĂźtre.
92 Il y avait leâle grand Ă©vangĂ©liste Billy Graham qui a dit lâautre jour, dans lâune de ses rĂ©unions, quand il est allĂ© Ă New York, il a dit quâil croyait que le pĂ©chĂ© avait augmentĂ© de plusieurs pour cent Ă New York depuis son rĂ©veil lĂ -bas. Il a dit que quand il Ă©tait ici en Californie, Ă Los Angeles, il a dit que dans dix ou quinze ans, chaque citoyen sera obligĂ© dâavoir sur lui un pistolet ou quelque chose comme cela pour se protĂ©ger. Ils ne peuvent pas suffisamment appliquer la loi, il y a une recrudescence du pĂ©chĂ©.
93 Oh ! Quâest-ce ? Câest lâirrĂ©vĂ©rence vis-Ă -vis de la Bible. Elle a rejetĂ© son opportunitĂ©; ils ont blasphĂ©mĂ© et sâen sont moquĂ©. Câest juste.
94 Maintenant, venons-en un peu plus chez nous. ConsidĂ©rez les Ă©glises, ce quâelles ont fait. Beaucoup parmi eux parcourent le pays. Quand vous avez un homme qui a assez de vĂ©ritable puissance de Dieu pour parler aux gens de leurs voies pĂ©cheresses ! Avoir quelquâun qui leur dira quâils doivent naĂźtre de nouveau, pas une poignĂ©e de mains, ni venir prendre une dĂ©cision, quâils doivent naĂźtre de nouveau. Pas insĂ©rer son nom dans un registre ni adhĂ©rer Ă lâĂ©glise, ni serrer la main, ou une aspersion, ou un quelconque baptĂȘme, mais naĂźtre de lâEsprit de Dieu, ĂȘtre sĂ©parĂ©, la Vie de Dieu vivant en vous, se manifestant, pas seulement aujourdâhui ou demain, mais le reste de vos jours. Avec joie dans vos Ă©preuves et tribulations, vous continuez dâavancer, sachant que la route vers la Gloire est ouverte devant vous. VoilĂ le genre dâEvangile quâil faut.
Quand vous les trouvez comme cela, vous prĂȘchez Cela, revenez alors lâannĂ©e prochaine. Ils sont lĂ , les mĂȘmes. Câest la mĂȘme chose, seulement câest pire, et il y a davantage de cela et davantage de cela. Plus vous prĂȘchez contre cela, pire ça devient. Quâest-ce donc ? Câest lâirrĂ©vĂ©rence !
95 Et puis, quatre-vingt-quinze pour cent de ces gens frĂ©quentent lâĂ©glise, leur nom figure dans le registre, ils se disent chrĂ©tiens. Les hommes qui fument, boivent, jouent aux jeux dâargent, disent de sales plaisanteries, se disent chrĂ©tiens. Plusieurs diacres dans le conseil ont une, deux, trois, et quatre femmes. Câest vrai. Quelle disgrĂące ! Des femmes chantent dans la chorale avec des cheveux coupĂ©s. La Bible dit quâelle dĂ©shonore ! Le visage maquillĂ©. Il nây a quâune seule femme dans la Bible qui se soit jamais maquillĂ© le visage. CâĂ©tait JĂ©zabel. Dieu lâa donnĂ©e en pĂąture aux chiens. Vous voyez donc ce que Dieu en pense.
Et alors, vous venez leur en parler. LâannĂ©e suivante, vous revenez, elles sont pires quâau commencement. LâirrĂ©vĂ©rence ! Elles nâont aucun respect, aucuneâaucune notion de la dĂ©cence.
96 Permettez moi de vous dire quelque chose, femmes, jeunes femmes et les vieilles aussi, vous qui sortez ici vĂȘtues de ces robes et de ces petits habits collants et bizarres, et en shorts...
Vous direz : « Vous ne devriez pas parler comme ça, FrÚre Branham. »
Je dois le faire. Câest mon devoir. Ceci est une... ceci, câest une chaire.
97 Un homme mâa tĂ©lĂ©phonĂ© il nây a pas longtemps, lâun des plus grands Ă©vangĂ©listes pentecĂŽtistes du pays. Il a dit : « Laissez ces gens tranquilles. »
Jâai dit : « Qui ĂȘtes-vous pour me dire de laisser ces gens tranquilles ? »
98 Il a dit : « Je vous aime. » Il a dit : « Votre ministĂšre, câest de prier pour les malades. »
Jâai dit : « Câest de prĂȘcher lâEvangile, frĂšre. »
99 Et il a dit : « Ecoutez, FrĂšre Branham. » Il a dit : « Eh bien, ces gens croient que vous ĂȘtes un prophĂšte. »
Jâai dit : « Je nâai jamais dit que je lâĂ©tais, nâest-ce pas ? »
100 Il a dit : « Mais eux croient que vous lâĂȘtes. Pourquoi nâenseignez-vous pas Ă ces femmes comment recevoir le Saint-Esprit, et comment recevoir des dons, et faire quelque chose, au lieu de les rĂ©primander constamment Ă cause de leur habillement, et ce quâelles font. Pourquoi ne leur enseignez-vous pas ce genre des choses pour les aider ? »
101 Jâai dit : « Comment puis-je leur enseigner lâalgĂšbre, alors quâils ne veulent mĂȘme pas apprendre leur ABC ? » Savez-vous câest quoi lâABC ? Always Believe Christ. [Toujours croire Christ.] Câest juste.
102 Bon. Eh bien, comment pouvez-vous le faire ? Comment pouvez-vous le faire ? On dirait quâils sont sous pression, quelque chose les empĂȘche de le faire. Ăa en fait une Sodome moderne. Câest lâheure dans laquelle nous sommes, ce sont des choses affreuses qui se passent dans le pays aujourdâhui.
Et il a dit : « Eh bien, écoutez. »
103 Jâai dit : « Non. Je nâai point de programmes Ă parrainer. Je nâai aucune Ă©glise qui me chassera. Non, monsieur. »
Et jâai dit... Il a dit : « Câest au pasteur de le faire. »
Jâai dit : « Mais ils ne le font pas. »
104 Alors, ça revient Ă quelquâun; une voix doit sâĂ©lever contre cela, car câest faux. Certainement, câest faux. RĂ©vĂ©rez, respectez cela.
105 Une autre jeune dame mâa dit une fois, elle a dit : « Monsieur Branham, on ne confectionne que ce genre dâhabits. »
106 Jâai dit : « On vend toujours des tissus, et on a des machines Ă coudre. » Câest juste.
107 Permettez-moi de vous dire quelque chose, madame. Vous pourriez ĂȘtre aussi pure et vertueuse que possible. Vous pourriez ĂȘtre tout aussi fidĂšle que possible envers votre mari, votre ami. Mais un de ces jours, Ă la barre du Jugement, vous allez rĂ©pondre pour avoir commis adultĂšre.
« MĂȘme si je ne suis pas coupable ? »
108 Vous ĂȘtes coupable. JĂ©sus a dit : « Quiconque regarde une femme pour la convoiter a dĂ©jĂ commis adultĂšre avec elle dans son coeur. »
Quand ce pĂ©cheur qui vous a regardĂ©e comme cela et a eu ces pensĂ©es Ă votre sujet, aura Ă rĂ©pondre pour cela au jour du jugement⊠Et pourquoi a-t-il fait cela ? Câest vous qui vous ĂȘtes exposĂ©e Ă ses yeux, toute entortillĂ©e dans une espĂšce de vĂȘtement et des choses semblables. Exact. Câest une honte. Vous aurez Ă rĂ©pondre, madame.
109 Et vous hommes qui vous dites chrétiens, qui devriez conduire votre foyer, mais qui laissez vos femmes faire cela, repentez-vous, sinon votre foyer tout entier périra.
110 Il se peut que vous ne mâaimiez plus aprĂšs ceci, mais je vais vous dire la vĂ©ritĂ©, car mes mains seront pures de sang, quand je comparaĂźtrai Ă la barre du jugement. Câest une chose certaine, voyez.
Ecoutez, frĂšre. Il y a toujours une voix qui accompagne le signe, vous savez, et vous feriez mieux de lâĂ©couter. Pas la mienne, mais câest ce que dit la Bible. Câest juste. Oh ! Je sais que ça a lâair vieillot, mais câest juste ce que dit la Bible. Et câest ce que nous sommes censĂ©s ĂȘtre.
Les anges doivent se couvrir la face pour se tenir dans la Présence de Dieu.
111 Et les femmes, comme dit la Bible, que ce nâest pas indĂ©cent, ou plutĂŽt câest indĂ©cent, pour une femme de prier mĂȘme avec les cheveux coupĂ©s, elle nâa pas le droit de prier. Mais vous la mettez dans la chorale, et mĂȘme vous en faites un prĂ©dicateur. Câest juste.
112 Je sais que ça vous donne un peu de nausĂ©e, mais vous savez, comme maman me le disait au sujet de prendre lâhuile de ricin : « Si ça ne te donne pas la nausĂ©e, ça ne te fera pas de bien du tout. » Câest pareil avec lâEvangile. Cela doit vous amener Ă rĂ©flĂ©chir. Câest la vĂ©ritĂ©. Les hommes et les femmes sont tous⊠tous coupables. Les deux cĂŽtĂ©s, câest du pareil au mĂȘme.
113 Câest exactement cela notre situation.
IrrĂ©vĂ©rencieux. Peu importe ce que dit la Parole. « Eh bien, câest trĂšs bien. Je crois que câest trĂšs bien. » Vous prĂ©sumez que câest trĂšs bien. La Bible dit que câest faux. Et prĂ©sumer, câest sâaventurer sans aucune autoritĂ©. Dieu ne vous a pas autorisĂ© Ă le faire.
114 Ces sĂ©minaires, ces Ă©coles et autres qui passent par-dessus ces choses comme cela, câest une disgrĂące ! Cela place des jeunes hommes, des jeunes ministres sur la mauvaise piste, cela les Ă©gare et leur fait suivre une espĂšce de thĂ©ologie faite de mains dâhommes au lieu de la Parole de Dieu.
Ce nâest pas Ă©tonnant quâils ne puissent pas croire un vĂ©ritable et authentique Message. Ce nâest pas Ă©tonnant quâils ne puissent pas avoir ces choses dans lâĂ©glise. Ce nâest pas Ă©tonnant quâils aient eu Ă les mettre dehors dans les derniers jours. Pas de rĂ©vĂ©rence dans Sa PrĂ©sence. Sa PrĂ©sence peut descendre, et ils riront, ils feront Ă©clater le chewing-gum, ils marcheront çà et lĂ , se comportant comme je ne sais quoi. Point de rĂ©vĂ©rence du tout dans Sa PrĂ©sence.
115 Bon. Eh bien, pas du tout de rĂ©vĂ©rence pour Dieu ou pour Son peuple. Pourquoi ? Pourquoi font-ils ceci ? Maintenant, Ă©coutez attentivement. Pourquoi font-ils cela ? Ils ne sont pas conscients de Sa PrĂ©sence. Ils ne pensent pas que câest Dieu.
116 Pensez-vous que cette femme aurait vraiment... ou plutĂŽt que ces soldats Lâauraient frappĂ© au visage, auraient mis un lambeau sur Son visage, lâauraient frappĂ© Ă la tĂȘte et dit : « Maintenant, si Tu es prophĂšte, dis-nous qui tâa touchĂ© » ? Si cet homme savait que câĂ©tait Dieu quâil frappait, pensez-vous quâil lâaurait fait ?
Pensez-vous que ce soldat ivre Lui aurait arrachĂ© la barbe du visage et Lui aurait crachĂ© au visage, aurait... se serait raclĂ© la gorge et crachĂ© sur ce visage sâil avait su que câĂ©tait le Fils de Dieu ? Il nâen Ă©tait pas conscient.
117 Et aujourdâhui, ce que les gens taxent de bande de fanatiques, ce sont des gens dans lesquels le Saint-Esprit oeuvre, ils nâen sont pas conscients. Ils passent tout simplement Ă cĂŽtĂ© de tout, inconscients de cela, inconscients de Sa PrĂ©sence. Vous savez, câest comme le dit le vieux dicton. Certains disent : « Je vais Ă la rĂ©union et je ris bien, je vais Ă la rĂ©union pour trouver des fautes. »
Il est dit que lâinsensĂ© marche avec des souliers cloutĂ©s lĂ oĂč les anges craignent de poser les pieds. Ils ne sont pas conscients que câest Dieu, voilĂ la raison.
118 Pourquoi nâĂȘtes-vous pas comme David ? David a dit : « Je Le mets constamment sous mes yeux. » Câest la raison pour laquelle il a dit : « Je ne chancellerai pas », que Dieu est toujours sous ses yeux. Oui, monsieur.
119 Maintenant, deuxiĂšmement, ils se couvraient les pieds. Que signifiait « ils se couvraient les pieds » ? LâhumilitĂ©. Se couvrir la face reprĂ©sentait la rĂ©vĂ©rence dans la PrĂ©sence de Dieu; se couvrir les pieds, câĂ©tait lâhumilitĂ© dans Sa PrĂ©sence.
120 Câest comme MoĂŻse qui, dans Sa PrĂ©sence, a ĂŽtĂ© ses souliers ; il a dĂ©couvert ses pieds.
121 Paul, quand il a trouvĂ© JĂ©sus, la Colonne de Feu, il est tombĂ© par terre, il est tombĂ©. LĂ oĂč devraient se trouver ses pieds, câest lĂ quâil avait la face. LâhumilitĂ©.
122 Jean-Baptiste, ce grand prophÚte, le premier dans le pays depuis quatre cents ans, a dit : « Je ne suis pas digne de toucher Ses pieds, de délier la courroie de Ses sandales. »
123 Vous voyez ? Celles qui couvraient ses pieds reprĂ©sentaient lâhumilitĂ©.
Observez maintenant ce serviteur, dans la Présence de Dieu : sa face couverte par révérence, ses pieds couverts par humilité. Oui, vraiment conscient de... soyez vraiment conscient de votre petitesse.
124 Chacun de nous cherche Ă ĂȘtre quelquâun de grand. « Je suis docteur Untel, le grand Untel. » Vous nâĂȘtes rien. Câest juste. Ce nâest que... Vous nâĂȘtes rien. Si vous voulez savoir combien vous ĂȘtes grand, plongez votre doigt dans un Ă©tang dâeau et retirez-le, retrouvez le trou créé par le doigt. Vous voyez ? Il nây a rien lĂ . Câest ce que nous sommes. Dieu peut se passer de nous; mais nous ne pouvons pas nous passer de Lui. Qui ĂȘtes-vous ?
125 Voyez, soyez conscients de votre petitesse. La voie vers le haut est le bas. Celui qui sâhumilie sera Ă©levĂ©; celui qui sâĂ©lĂšve sera abaissĂ©.
126 Il nây a pas longtemps, jâai Ă©tĂ© invitĂ© Ă Chicago par un groupe des saints pour prĂȘcher. Il y avait lĂ un certain grand ministre pentecĂŽtiste qui avait environ quatre diplĂŽmes universitaires, et tout. Et celui-ci nâaimait pas ma petite façon de prĂȘcher de novice, lĂ , devant ce grand conseil quâils allaient tenir. Ils ont donc fait venir lĂ un homme dâune Ă©cole biblique, dâune grande Ă©cole biblique de Chicago, pour quâil parle. Et cet homme lui a alors dit ce quâil ferait : « Viens, va lĂ , minimise ces gens sur presque tout ce qui leur viendrait en tĂȘte, combien ils avaient tort de croire quâil existe un Saint-Esprit, et toute cette histoire comme cela », devant les pentecĂŽtistes.
Il sâest avancĂ© lĂ , torse bombĂ©, col retournĂ©, en smoking, on dirait, il a Ă©talĂ© toutes ses notes sur la chaire. Il avait si magistralement arrangĂ© cela quâil pouvait bien expliquer la Bible, et Dieu nâen savait rien.
127 Et, bien vite, vous savez, vous... Il a vu que ça ne tenait pas, le peuple ne saisissait rien. Il continuait Ă dire lâune ou lâautre chose comme cela, et les gens Ă©taient tout simplement assis Ă se regarder. Ăa nâarrangeait pas ce genre de gens, ces pentecĂŽtistes Alors, peu aprĂšs, il sâest rendu compte quâil Ă©tait dĂ©gonflĂ©, et il a pris ses histoires sous le bras, il a quittĂ© lâestrade, la tĂȘte baissĂ©e. Et un vieux saint qui Ă©tait assis lĂ vers le mur a dit : « Sâil Ă©tait montĂ© tel quâil est descendu, il serait descendu tel quâil est montĂ©. » Et câest pratiquement aussi comme ça.
128 Humiliez-vous ! Voyez combien vous pouvez devenir petit. Pas ce que vous savez; ce que vous ne connaissez pas. Humiliez-vous devant Dieu.
Nous voyons maintenant, en troisiĂšme lieu, quâil pouvait voler avec les deux autres ailes.
129 Maintenant, suivez. PremiÚrement, il était révérencieux dans la Présence de Dieu, ayant la face couverte. DeuxiÚmement, il était humble devant Dieu, ayant ses pieds couverts. Et avec les deux autres ailes, il pouvait voler, se mettre en action. Oh ! la la !
130 Que faisait Dieu ? Il montrait au prophĂšte comment Ses serviteurs prĂ©parĂ©s doivent ĂȘtre. Dieu montrait : « Ceux-ci sont Mes serviteurs. Ils sont Ă Moi. Regarde comment ils sont prĂ©parĂ©s : rĂ©vĂ©rencieux, humbles et en action pour Dieu. » Câest ainsi que sont les serviteurs de Dieu. Oh ! la la !
131 Câest ainsi que nous devons ĂȘtre : rĂ©vĂ©rencieux, humbles et en action.
132 Câest comme la femme, quand elle fut appelĂ©e Ă lâaction, elle est venue quand elle a dit : « Venez voir un homme qui mâa dit ce que jâai fait. »
133 Son signe lâa influencĂ©e, comme quoi Il Ă©tait le Messie. Elle a dit : « Seigneur, nous savons que lorsque le Messie sera venu (eh bien, Tu dois ĂȘtre un ProphĂšte), nous savons que lorsque le Messie sera venu, Il nous dira ces choses. »
134 Vous voyez ? Elle sâattendait Ă ce quâIl lui dise : « Eh bien, le Messie vient bientĂŽt. Je suis juste Son prĂ©curseur. »
Mais Il a dit : « Je Le suis. »
135 Cela lâa mise immĂ©diatement en action. Elle est entrĂ©e en action. On ne pouvait pas lâarrĂȘter. Câest comme une maison en flamme, comme je lâai dit lâautre soir, par un jour de grand vent. On ne pouvait pas lâarrĂȘter. Elle est entrĂ©e dans la ville.
« Venez voir un Homme qui mâa dit ce que jâai fait. Ne serait-ce pas lĂ le Messie ? » Voyez, elle Ă©tait en action. Quâa-t-elle fait ? Dâabord, elle sâest approchĂ©e, elle sâest humiliĂ©e.
« Donne-moi à boire. »
136 Elle a dit : « Eh bien, nos pĂšres ont bu de ce puits », et ainsi de suite. Etâet elle...
137 Il a dit : « Eh bien, Moi, Je vais te donner de lâeau Ă boire. Tu nâes pas venue ici... »
Elle a dit : « Seigneur, Seigneur, donne-moi de cette eau. »
138 Voyez, elle Ă©tait humble Ă ce sujet. Et câest quand elle sâest humiliĂ©e que JĂ©sus lui a montrĂ© le signe du Messie, et cela lâa mise en action. Elle Ă©tait alors prĂȘte Ă aller. Elle Ă©tait prĂȘte Ă le dire Ă quiconque entrait en contact avec elle.
139 En fait, selon les traditions en Orient, ces hommes nâauraient jamais Ă©coutĂ© cette femme. Une telle femme nâa pas droit Ă la Parole parmi les gens. Certainement pas. Elle ne peut rien dire. Mais essayez de lâarrĂȘter ! Elle Ă©tait en action. Elle devait le dire Ă quelquâun. « Venez ici voir vous-mĂȘme. Cet Homme mâa dit ce que jâai fait. Nâest-ce pas lĂ ce que nous attendions ? Nâest-ce pas lĂ ce que les Ecritures disent que le Messie ferait quand Il viendra ? » Elle Ă©tait en action, car elle sâĂ©tait humiliĂ©e, et Dieu Ă©tait entrĂ© en elle.
140 Pierre. Quand il a acceptĂ© Sa Parole, aprĂšs quâil avait pĂȘchĂ© Ă la seine toute la nuit, comme il Ă©tait un pĂȘcheur, lĂ -bas, il est rentrĂ©, dĂ©couragĂ©, sans poissons. Nâimporte quel bon pĂȘcheur sait ce que ça reprĂ©sente, ne pas avoir des poissons. La chose suivante alors, il a nettoyĂ© ses filets, les a Ă©tendus sur la rive, et les laissait sĂ©cher.
141 Et JĂ©sus est venu et a demandĂ© dâemprunter son bateau. Il a prĂȘchĂ©. Ensuite, Il a dit : « Simon, avance en pleine eau, et jette tes filets pour la pĂȘche. Retourne droit lĂ oĂč tu as pĂ©chĂ© Ă la seine toute la nuit. Retourne droit lĂ oĂč tu as travaillĂ© durement heure aprĂšs heure, et jette ton filet pour une grande pĂȘche, une grande prise. »
142 Maintenant, regardez. Il a dit: « Seigneur, nous avons durement travaillĂ© toute la nuit sans rien attraper. Mais sur Ta Parole, Seigneur, je vais jeter le filet. » Sur Ta Parole, câest cela. Prenez Dieu au Mot. Et lorsquâil a jetĂ© le filet, il a attrapĂ© tellement de poissons que les filets ont commencĂ© Ă cĂ©der.
143 Cela lâa mis en action. Oui, oui. Lâinfluence de JĂ©sus sur lui lâa mis en action, et il a laissĂ© tomber le filet. Et JĂ©sus a dit : « Ne crains point. DĂ©sormais, tu seras pĂȘcheur dâhommes. »
144 Lâaveugle assis Ă la porte et⊠ou plutĂŽt qui Ă©tait assis dans la rue, quand il Ă©tait guĂ©ri⊠et que les pharisiens avaient dit que quiconque confesserait JĂ©sus et aurait quoi que ce soit Ă avoir avec lui, serait chassĂ© du temple.
145 Ilsâils sont venus, ils ont interrogĂ© le pĂšre et la mĂšre. Ils ont dit : « Il a de lâĂąge. Interrogez-le. »
Il a dit : « Un homme appelĂ© JĂ©sus mâa guĂ©ri. »
146 Ils ont dit : « Cet homme est un pĂ©cheur. Il nâappartient pas Ă nos groupes. Nous ne savons dâoĂč Il vient. Donne gloire Ă Dieu. »
147 Il a dit : « Eh bien, sâIl est un pĂ©cheur ou pas, moi, je ne sais. » Il a dit : « Mais je sais une chose, câest que jâĂ©tais aveugle et que maintenant je vois. » Et il a dit : « La chose Ă©trange pour moi est que vous qui ĂȘtes censĂ©s ĂȘtre les conducteurs spirituels de cette heure⊠Et cet Homme mâa ouvert les yeux ; et pourtant, vous ne savez pas dâoĂč Il vient. »
Quâa-t-Il fait ? Il est entrĂ© en action. Câest vrai. Cela lâa mis en action. En effet, il a rĂ©pandu Sa renommĂ©e dans toute la contrĂ©e.
148 Les gens, le jour de la PentecĂŽte, aprĂšs JĂ©sus leur a dit dâattendre lĂ -haut et quâils seraient... est descendu, et quand le Saint-Esprit est descendu sur eux le jour de la PentecĂŽte, ils furent alors influencĂ©s par la Parole de Dieu rendue manifeste. Maintenant, souvenez-vous, JĂ©sus avait dit : « Attendez Ă JĂ©rusalem jusquâĂ ce que vous soyez revĂȘtus de la puissance dâEn Haut. »
Ils ont attendu, pas huit jours, pas neuf jours. Ils ont attendu dix jours, jusquâĂ ce que la promesse fĂ»t manifestĂ©e, alors le Saint-Esprit descendit et des langues de Feu se posĂšrent sur chacun dâeux.
149 Et quand ils furent influencés par le Saint-Esprit, ils entrÚrent en action, titubant comme des hommes ivres, criant, parlant en langues. Ils sont sortis dans la rue.
Les gens ont dit : « Ces hommes sont pleins de vin doux. »
150 Lui, Pierre, se leva et dit : « Câest ici ce qui a Ă©tĂ© annoncĂ© par le prophĂšte JoĂ«l : âDans les derniers jours...â »
Quâest-ce que cela a fait ? Cela lâa mis en action.
151 Cela vous mettra en action. Si vous ne lâavez pas, cela vous mettra en action quand vous verrez la Parole de Dieu accomplie. Ce que nous avons vu dans ces derniers jours devrait nous mettre en action. Cela devrait le faire, si seulement nous le faisons avec rĂ©vĂ©rence et humilitĂ©.
La Colonne de Feu, devant Paul, a mis ce dernier en action. Et aujourdâhui, quand nous voyons cette mĂȘme Colonne de Feu, prouvĂ©e par la science, par Ses rĂ©sultats, par ce quâElle a promis, accomplissant exactement la Parole de Dieu dans ces derniers jours, cela devrait nous mettre en action. Câest le signe qui a Ă©tĂ© donnĂ©. « Ce qui arriva du temps de Sodome, juste avant que Sodome soit brĂ»lĂ©e, arrivera de mĂȘme Ă la Venue du Fils de lâhomme. » Il sera de nouveau manifestĂ©, le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement.
Cela devrait mettre chaque membre du Corps de Christ en action, y incluant tout ce que vous pouvez, car celle-ci est la derniĂšre heure, câest le dernier appel, le dernier appel. Cela sâest accompli Ă la lettre. Cela devrait certainement nous mettre en action.
152 Nous, comme le prophĂšte, nous avons vu le sort des dĂ©nominationnels prĂ©tentieux : ils ont perdu leur place en Christ, ils ont perdu lâemprise quâils avaient sur Sa Parole, en acceptant des crĂ©dos. Et nous avons vu ce qui leur est arrivĂ© quand ils ont fait cela. Ils sont spirituellement morts. Nous voyons ce qui est arrivĂ© aux luthĂ©riens quand ils ont refusĂ© lâappel de Wesley. Nous voyons ce qui est arrivĂ© aux mĂ©thodistes quand ils ont refusĂ© lâappel des pentecĂŽtistes. Aujourdâhui, quâen est-il des pentecĂŽtistes ? Voyez-vous ?
153 Nous avons vu des hommes qui se sont enflĂ©s eux-mĂȘmes, du genre dâOzias, et qui ont cherchĂ© Ă exercer un office oint.
Lâoffice dâun homme dans lâĂ©glise est oint. Ce nâest pas par nomination. Il est oint. LâĂ©glise, leâle pasteur, lâĂ©vangĂ©liste, le prophĂšte, lâapĂŽtre doivent ĂȘtre des offices oints de Dieu, non pas Ă©lus par lâhomme. Des hommes ont une fois essayĂ© de nommer par Ă©lection Ă cet office. Ils ont jetĂ© le sort pour cela; le pauvre Matthias nâa jamais rien fait, mais Dieu a choisi Paul. Et lui, il a fait quelque chose, parce quâil Ă©tait oint.
Et nous avons vu ces officiels oser dire : « Câest le saint Ă©vĂȘque Untel, câest un ceci de district, câest un cela. » Cela nâaboutit Ă rien, jamais. Mais quand Dieu vient prendre le contrĂŽle, nous voyons alors lâonction du Saint-Esprit confirmer la Parole de Dieu.
154 Maintenant, lâimpact de la vision sur le prophĂšte, quâa-t-elle fait Ă cet homme qui Ă©tait nĂ© prophĂšte ? Souvenez-vous, il a Ă©crit la Bible entiĂšre. Le Livre dâEsaĂŻe compte soixante-six livres, et la Bible compte soixante-six livres. Ăa commence comme dans la GenĂšse. Au milieu du Livre, il y a le Nouveau Testament, Jean-Baptiste; et ça se termine par le MillĂ©nium. Un grand prophĂšte. EsaĂŻe Ă©tait lâun des plus grands prophĂštes que nous ayons jamais eu, et il Ă©tait nĂ© Ă cette fin.
155 Mais quand il sâest tenu dans la PrĂ©sence de Dieu, quâest-ce que cela a fait faire au prophĂšte ? Le prophĂšte a dit : « Malheur Ă moi ! car je suis un homme dont lĂšvres sont impures. » Entrer dans la PrĂ©sence de Dieu, et voir un vrai vase de Dieu oint, cela a amenĂ© le prophĂšte Ă confesser quâil Ă©tait un pĂ©cheur. Ăa devrait ĂȘtre pareil pour nous. Cela le devrait, la PrĂ©sence ointe de Dieu. Quand Il lâa vu crier et les fondements ĂȘtre Ă©branlĂ©s, et ces anges allant çà et lĂ prouvant quâils Ă©taient devant Dieu, et ils Ă©taient les serviteurs de Dieu, oints, alors il a criĂ©; il Ă©tait un pĂ©cheur.
156 Quâarriva-t-il alors quand il fut prĂȘt ? Maintenant, suivez, alors que nous terminons. Il Ă©tait prĂȘt Ă confesser quâil Ă©tait un pĂ©cheur: « Malheur Ă moi ! car je suis un homme dont les lĂšvres sont impures, et jâhabite au milieu des gens dont les lĂšvres sont impures. Malheur Ă moi ! ». Alors, lâange a pris les pincettes. Et il a pris une pierre sur lâautel, il lâa tenue dans ses mains, il est venu et lâa purifiĂ© avec. Alors vint la purification, aprĂšs sa confession.
157 Si donc un prophĂšte, appelĂ©, confirmĂ© comme prophĂšte de Dieu, une fois dans la PrĂ©sence de Dieu, il a vu sa petitesse, il Ă©tait prĂȘt Ă confesser quâil Ă©tait un pĂ©cheur, que devrons-nous faire, vous et moi ? Mais savez-vous ce que nous faisons ? Nous dĂ©tournons la tĂȘte, nous partons en riant. Câest dans cet Ă©tat que nous sommes, jusquâĂ ce que la purification ait lieu.
Regardez, EsaĂŻeâŠ
158 Je voudrais que vous remarquiez autre chose. Dieu nâa pas utilisĂ© des manuels, la thĂ©ologie et des terminologies thĂ©ologiques pour purifier Son serviteur. Il a utilisĂ© le Feu. Il nâa jamais utilisĂ© des crĂ©dos pour purifier Son serviteur; Il a pris du feu sur lâautel. Et si jamais Dieu a purifiĂ© un homme aujourdâhui, ça doit ĂȘtre par le Feu du Saint-Esprit qui purifie lâhomme, pas la lecture dâun manuel, ni faire ceci, ou un certain autre ouvrage Ă©crit par Untel.
159 Un certain grand ministre ici en Californie a dit, lâautre jour, quâil avait « le livre de lâannĂ©e ». Je ne partage pas son avis. Le Livre de lâannĂ©e, câest la Bible, Elle lâa toujours Ă©tĂ©. Le Livre de lâannĂ©e, câest le Livre de Dieu, toujours.
160 Donc, Dieu a utilisĂ© le Feu pour purifier Son serviteur. Puis a suivi, aprĂšs quâil eut humblement confessĂ© quâil avait tort, et puis a suivi la purification. Et aprĂšs, la purification a suivi ; enfin, la commission. Vous voyez ? VoilĂ le problĂšme. Certains dâentre nous, cherchent Ă ĂȘtre commissionnĂ©s avant dâĂȘtre purifiĂ©s. Voyez ? Nous dirons: « Eh bien, je vais suivre ceci. » Nous devons suivre Dieu. Ces anges faisaient une seule chose : ils vivaient dans la PrĂ©sence de Dieu, humbles, rĂ©vĂ©rencieux, et en action devant Dieu. Puis a suivi la commission, aprĂšs la confession et la purification. Câest alors quâEsaĂŻe purifiĂ© a crié : « Me voici. Envoie-moi. »
161 Oh ! frĂšre, soeur, si jamais il y a eu un temps oĂč les EsaĂŻe devraient descendre Ă la Maison de Dieu pour ĂȘtre purifiĂ©s, si jamais il y a eu un temps oĂč le membre dâĂ©glise devrait vraiment venir confesser ses pĂ©chĂ©s, si jamais il y a eu un temps oĂč le rĂ©trograde...
162 Pensez-y donc, la nuit oĂč Sodome fut brĂ»lĂ©e, je me demande combien de gens sâĂ©taient Ă©loignĂ©s du Message de ces anges. Je me demande combien de gens nâĂ©taient pas assez intĂ©ressĂ©s Ă Ă©couter leur voix. Et ils ont pĂ©ri cette nuit-lĂ mĂȘme, et ils ne seront plus jamais, si ce nâest pour leur chĂątiment en enfer.
163 « Ce qui arriva du temps de NoĂ©. » Combien de gens se sont moquĂ© de lui et lâont raillĂ© ? Ils nây allaient que pour entendre son⊠ils disaient : « Nous allons monter Ă©couter encore ce vieil excentrique gueuler, juste pour nous amuser. » Ils sont montĂ©s, ils sont allĂ©s, ils ne voulaient mĂȘme pas lâentendre prĂȘcher. Toutes sortes de choses. Et ils ont pĂ©ri dans les jugements quâil annonçait dans ses prĂ©dications.
164 Amos, ce petit prĂ©dicateur, on le sait, venu de nulle part, un prophĂšte oint, il est venu et a baissĂ© le regard sur Samarie cette fois-lĂ , avec sa calvitie Ă©tincelante, sa barbe grisonnante, il traversait la colline. Il a baissĂ© le regard. Ses saints yeux se sont rĂ©trĂ©cis alors quâil regardait cette ville, non pas comme les touristes venus de partout dans le monde. En effet, les sacrificateurs, eux tous, avaient pĂ©chĂ©. Les faux prophĂštes leur disaient que tout Ă©tait en ordre. Il est descendu lĂ , sans aucune collaboration pour son rĂ©veil. Il est descendu lĂ sans rien et a criĂ©. Il a dit : « Le Dieu mĂȘme que vous prĂ©tendez servir va vous dĂ©truire. »
165 Et moi, je dis : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, le Dieu que lâAmĂ©rique prĂ©tend servir va la dĂ©truire. » Prenez cela comme vous voulez. Ce quâil nous faut, câest nous agenouiller Ă lâautel, EsaĂŻe⊠[Espace vide sur la bande â N.D.E.]
Et Dieu a dit : « Qui ira pour Moi ? »
166 Esaïe a dit : « Me voici. Envoie-moi. »
Je pense à ce cantique :
Quand la pierre ardente toucha le prophĂšte,
Le rendant aussi pur que possible,
Quand la Voix de Dieu demanda : « Qui ira pour nous ? »
Alors, il répondit : « Maßtre, me voici, envoie-moi. »
167 PremiĂšrement, il devait sâhumilier, ĂȘtre purifiĂ©, ĂȘtre prĂȘt, comme nous lâavons vu pour le serviteur prĂ©parĂ©. ConsidĂ©rez Ozias, comment il Ă©tait prĂ©parĂ©, mais il a failli. Ne mettez pas...
168 Vous direz : « Eh bien, bon, je sais que Docteur Untel est un homme de bien. Je connais frĂšre Untel... » Peut-ĂȘtre quâils le sont, mais ne regardez pas Ă cela.
169 Levez les yeux ici, en haut, voyez. La Voix est ici, Dieu a une façon de prĂ©parer. Comment sây est-Il pris ? Le jour de la PentecĂŽte, Pierre leur a dit quoi faire. Il leur a prescrit une ordonnance, et elle demeure toujours la mĂȘme. Ne la trafiquez pas. Vous tuerez votre patient. Ils ont demandé : « Que pouvons-nous faire pour ĂȘtre sauvĂ©s ? »
170 Il a dit : « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom du Seigneur Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. »
171 Cela est ici mĂȘme, ce soir. Puisque Dieu continue Ă appeler, voilĂ lâordonnance. Vous pouvez encore recevoir le mĂȘme Saint-Esprit quâeux jadis, juste... Vous pouvez recevoir la mĂȘme chose ce soir. Suivez bien jusquâau bout. Câest tout ce que vous faites. Oui. Alors, vous pouvez dire :
Quand la pierre ardente toucha le prophĂšte,
Le rendant aussi pur que possible,
Quand la Voix de Dieu demanda : « Qui ira pour nous ? »
Alors, il répondit : « Maßtre⊠voici, envoie-moi. »
Chantons cela.
Parle, mon Seigneur, parle, mon Seigneur,
Parle et je Te répondrai vite;
Parle, mon Seigneur, parle, mon Seigneur,
Parle et je répondrai « Seigneur, envoie-moi. »
172 Ecoutez ceci, frĂšre.
Des millions se meurent aujourdâhui dans le pĂ©chĂ© et la honte;
Oh ! Ecoutez leurs cris tristes et amers;
HĂątez-vous, frĂšre, hĂątez-vous Ă leur secours ;
Répondez vite maintenant : « Maßtre, me voici. »
Oh ! Parle, mon Seigneur, parle, mon Seigneur,
Parle et je Te répondrai vite;
Oh !Parle, mon Seigneur, parle, mon Seigneur,
Parle et je répondrai : « Seigneur, envoie-moi. »
173 Inclinons la tĂȘte. [FrĂšre Branham se met Ă fredonner Parle, mon Seigneur. â N.D.E.]
Le rendant aussi pur que possible,
Quand la Voix de Dieu demanda : « Qui ira pour nous ? »
Alors, il répondit : « Maßtre⊠voici, envoie-moi. »
Voulez-vous ĂȘtre humble et purifiĂ© ?
Parle, mon Seigneur, parle, mon Seigneur
Parle et je Te répondrai vite;
Parle, mon Seigneur, parle, mon Seigneur,
Parle, et je répondrai : « Seigneur, envoie-moi. »
174 Maintenant, pendant quâon joue, y a-t-il un EsaĂŻe ici ce soir, ou une centaine, qui aimerait aller, qui a besoin de la purification de Dieu dans sa vie ? Vous qui ne connaissez pas Christ comme votre Sauveur, vous ĂȘtes maintenant invitĂ© Ă lâautel, sâIl parle Ă votre coeur. Je ne suis pas trĂšs fort en persuasion. Je pense que câest le Saint-Esprit Lui-mĂȘme qui persuade. Mais si vous ĂȘtes ici, et que vous ĂȘtes sans Christ... Maintenant, souvenez-vous, vous rĂ©pondrez au jour du Jugement pour ce que vous en faites ce soir. Voyez ?
Maintenant, si vous voulez venir, je suis ici pour prier avec vous.
175 Au Nom de Christ, je vous offre lâoccasion de venir chercher Dieu. Vous pourrez, par bonheur, Le trouver. Jeunes, vieux, personnes dâĂąge moyen, membres dâĂ©glise, qui que vous soyez, si le Feu de Dieu, par le Saint-Esprit, ne vous a pas purifiĂ© le coeur, au point de croire chaque Parole de cette Bible, et que Christ est le tĂ©moin vivant de votre⊠dans votre coeur, comme quoi Il est ressuscitĂ© des morts, alors, je vous invite Ă lâautel. Venez ici, et que nous priions avec vous.
Je crois que vous tous donc, Ă voir ce que vous faites, vous ĂȘtes sauvĂ©s.
176 Alors, y a-t-il un rĂ©trograde ici qui voudrait venir ? Je vous demande en tant quâun serviteur de Christ, de bien vouloir venir ici et nous laisser prier avec vous. Je ne dis pas quâIl vous ramĂšnera (je crois quâIl le fera). Ne voudriez-vous pas venir essayer cela maintenant ? SâIl vous parle, venez.
177 Ceux qui nâont pas le baptĂȘme du Saint-Esprit. Je suppose quâil nây en a pas un seul qui ne lâait pas, qui ne soit pas rĂ©trograde. Donc, câest quâon doit avoir priĂ© pour tous ; ce sont des chrĂ©tiens, on a priĂ© pour eux.
Et alors, si lâon a priĂ© pour vous, et que vous nâavez pas reçu le baptĂȘme, et que vous voulez que Dieu vous Le donne, alors, câest votre occasion maintenant.
178 Il y a un seul homme ici qui ne Lâa pas. Que son humble coeur soit bĂ©ni. Je crois que câest un autre EsaĂŻe.
Maintenant, redressez donc vos tĂȘtes.
179 Il nây a quâun seul homme Ă genoux ici Ă lâautel, un homme qui, je crois, est un EsaĂŻe. Maintenant, Il est ici. Croyez-vous quâIl est ici ?
180 Maintenant, je vais vous dire ce que vous avez fait. Vous avez commis lâerreur la plus horrible que vous ayez jamais commise. Il y a ici deux ou trois cents personnes qui devraient ĂȘtre Ă lâautel.
181 Permettez-moi de vous montrer, au Nom du Seigneur, que ce que je dis est vrai.
Regardez. Certains dâentre vous qui ĂȘtes ici, priez.
182 Voici, voici une dame assise ici en manteau blanc, en petite veste blanche, elle regarde droit vers moi. Je ne peux pas... Elle est une chrĂ©tienne. Mais elle prie pour une infirmitĂ©. Elle souffre de lâarthrite. Croyez-vous que Dieu peut vous rĂ©tablir, vous guĂ©rir ? Alors, vous pouvez obtenir cela.
183 Lâhomme Ă cĂŽtĂ©, assis lĂ Ă cĂŽtĂ© de vous, a quelque chose qui cloche Ă ses oreilles. Croyez-vous que Dieu peut guĂ©rir votre mal dâoreille, monsieur, et vous rĂ©tablir ? Oui. Levez la main, si vous croyez.
Maintenant, sâil vous plaĂźt, soyez rĂ©vĂ©rencieux juste un instant.
184 Lâhomme qui est juste Ă cĂŽtĂ© de lui souffre dâune maladie de coeur. Croyez-vous que Dieu peut vous guĂ©rir, monsieur, de cette maladie de coeur ? Je ne vous connais pas. Vous mâĂȘtes inconnu. Est-ce vrai ? Vous ĂȘtes un Ă©tranger. Eh bien, Ă©coutez. Si Dieu peut me dire qui vous ĂȘtes, cela vous aidera-t-il ? Mâentendez-vous bien ? Votre nom est monsieur Blackwood. Croyez-vous quâIl peut me dire dâoĂč vous venez ? Vous venez de Riverbank, en Californie. Si câest vrai, levez-vous. Je ne lâai jamais vu de ma vie. TrĂšs bien.
185 Que Dieu vous bénisse, monsieur. Votre foi vous a guéri.
Cette femme, assise lĂ juste Ă cĂŽtĂ© de vous, souffre des nerfs. Voulez-vous ĂȘtre guĂ©rie de votre nervositĂ© ? Levez la main, si vous le voulez. Imposez-lui la main, monsieur, afin quâelle soit guĂ©rie.
186 La dame assise juste Ă cĂŽtĂ© de vous, lĂ , en robe rouge, elle souffre de diabĂšte sucrĂ©. Elle veut quâon prie aussi pour elle. Voyez ? Elle veut quâon prie pour elle. Ayez foi.
187 Voici une dame assise lĂ tout au fond. Elle est sur le point de subir une opĂ©ration. Si seulement elle peut... ĂŽ Dieu ! Elle a un affaissement de la matrice. Son nom, câest madame Maxwell. Croyez. Levez-vous, acceptez votre guĂ©rison, madame. Vous nâavez pas de carte de priĂšre, nâest-ce pas ? Nâavez-vous pas de carte de priĂšre ? TrĂšs bien. Vous nâen avez pas besoin. Levez la main, si câest vrai. Je ne vous connais pas. Si câest vrai, faites signe de la main. Nous ne nous connaissons pas lâun Ă lâautre. Faites signe de la main comme ceci. Quâa-t-elle touchĂ© ? Elle ne mâa point touchĂ©.
188 Monsieur Stewart, voulez-vous aussi ĂȘtre guĂ©ri de la nervositĂ© ? Et croyez-vous que Dieu va vous guĂ©rir ? Je vous suis inconnu. Mais câest lĂ votre nom, et vous souffrez de nervositĂ©. Câest Ă peine si vous pouvez vous contenir. Levez-vous et acceptez votre guĂ©rison, au Nom de JĂ©sus-Christ.
189 Voici une dame assise lĂ derriĂšre vous. Elle souffre aussi de nervositĂ©. Elle a un mal des muscles, dans le corps. Elle va rater cela si... Madame Newell, levez- vous si câest cela votre nom. Et si câest qui vous ĂȘtes, croyez. [La soeur pousse un cri fort. â N.D.E.] Croyez-vous ? [LâassemblĂ©e dit : « Amen. » â N.D.E.]
190 Certainement. Voici une dame assise juste ici. Elle souffre dâune maladie de coeur et de lâhypertension. Croyez-vous que câest vrai, soeur ? Levez-vous, si câest vrai.
191 La dame assise lĂ Ă cĂŽtĂ© de vous, elle a mal Ă la poitrine. Si câest vrai, levez-vous.
192 Dites Ă la dame qui est Ă cĂŽtĂ© dâelle quâelle a des grosseurs au visage, on dirait de petites tumeurs. Si elle veut en ĂȘtre guĂ©rie, dites-lui de se lever et dâaccepter cela.
193 Maintenant, il y a un groupe parmi vous ici qui devrait se retrouver Ă lâautel, en train de chercher le Saint-Esprit. Câest AINSI DIT LE SEIGNEUR. Voyez-vous ce que je veux dire ? Je vais encore une fois faire cet appel. Ăa, ça confirme que je vous dis la vĂ©ritĂ©. Dieu parle aux gens ici, et vous avez un petit peu de doute. Serez-vous assez sincĂšre pour lever la main et dire : « Oui, FrĂšre Branham, jâai toujours Ă©tĂ© un peu indĂ©cis. Je veux davantage de Dieu. Je sais quâil me manque quelque chose ici dedans, et je devrais lâavoir eu quand jâavais confessĂ© avoir le baptĂȘme du Saint-Esprit. »
Levez la main. Voulez-vous le faire ? Soyez vraiment sincĂšre avec vous-mĂȘme. Le Saint-Esprit ne se trompe jamais. Pourquoi ne venez-vous donc pas ici pour dissiper ce doute ? Venez.
Je... vite...
Parle, mon Seigneur, parle, mon Seigneur, (câest ça)
Parle, et je Te répondrai vite...
194 Vous voyez, je ne vous dis rien de faux, mes amis. Câest le Saint-Esprit qui appelle. Il y en a des centaines ici. Si vous croyiez que je suis un prophĂšte⊠Maintenant, souvenez-vous, je vous le dis au Nom du Seigneur, vous avez Ă©tĂ© sĂ©duits. Venez.
La pierre ardente toucha le prophĂšte,
Le rendant aussi pur que possible,
Quand la Voix de Dieu demanda : « Qui ira pour nous ? »
Alors, il répondit : « Maßtre⊠voici, envoie-moi. »
195 Ne voudriez-vous pas dire la mĂȘme chose ? Alors, levez-vous, levez les mains.
Parle, mon Seigneur, oh ! parle, mon Seigneur,
Parle, et je Te répondrai vite;
Parle, mon Seigneur,...
196 Que fait-Il ? RĂ©pondez-Lui donc, si câest Lui qui parle. Sâil y a un peu de doute quelque part, câest que vous nâen ĂȘtes donc pas sĂ»r, ne courez pas le risque.
... Seigneur, envoie-moi. »
Oh ! parle, mon Seigneur, (Il est en train de parler, venez) ⊠mon Seigneur,
Parle, et je... vite...
197 Maintenant, amis, je ne suis pas sujet au fanatisme. Je ne suis pas enclin Ă dire des choses fausses. Je me sens conduit, quand je dis ce que je dis.
... mon Seigneur,
Parle, et je répondrai...
198 Vous direz : « Que diront les gens Ă ce sujet ? » Câest ce que Dieu dira Ă ce sujet qui compte.
Envoie-moi.
Parle, mon Seigneur, (câest bien)
Parle, et je Te répondrai vite;
⊠mon Seigneur, oh ! parle, mon Seigneur
Parle et je répondrai : « Seigneur, envoie-moi. »
Des millions se meurent aujourdâhui dans le pĂ©chĂ© et la honte;
Oh ! Ecoutez leurs cris tristes et amers ;
Hùtez-vous, frÚre, hùtez-vous à leur secours ;
Oh ! répondez vite : « Maßtre⊠voici, envoie-moi. »
Oh ! Parle, mon...
199 Maintenant, vous tous ici prĂ©sents, nous voulons nous apprĂȘter pour un grand service de guĂ©rison pour demain, aussi. Et jâaimerais que chacun de vous ministre vienne Ă cĂŽtĂ© de ces gens qui cherchent le Saint-Esprit. Ne vous arrĂȘtez pas juste dans cinq minutes, restez lĂ jusquâĂ ce que (Jusque quand ?) jusquâĂ ce que le Saint-Esprit vienne.
⊠mon Seigneur,
Oh ! parle, et jeâŠ
200 Maintenant, que lâassistance, là ⊠imposez les mains Ă quelquâun dâautre et imposez-vous simplement les mains, Ă quelquâun, vous qui allez prier, qui reprĂ©sentez ces gens qui sont ici.
... mon Seigneur,
201 Eh bien, les allĂ©es sont bondĂ©es; lâautel est plein, il y a environ cent cinquante, deux cents personnes.
⊠mon Seigneur,
Parle, et je répond...
202 Maintenant, mettez-vous à prier. « Seigneur, envoie-moi. Parle, mon Seigneur ! Seigneur, envoie-moi. »
203 Guéris ces gens, Seigneur, au Nom de Jésus-Christ. à Seigneur, accorde-le ! à Dieu, exauce les priÚres de ces gens !
204 Ne lĂąchez pas, restez lĂ mĂȘme jusquâĂ ce que cela arrive. Restez jusquâĂ ce que vous entendiez le cri de Dieu. Restez jusquâĂ ce que les chĂ©rubins vous secouent, que le Saint-Esprit ait pris la pierre ardente sur lâautel de Dieu, et quâIl la pose sur vos lĂšvres.
205 [FrĂšre Branham appelle frĂšre Roy Borders Ă la chaire. â N.D.E.]
Parle, mon Seigneur, parle, mon Seigneur...
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