Les Choses Qui Sont À Venir

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Date: 65-1205 | La durée est de: 2 heures et 5 minutes | La traduction: VGR
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1 À Frère Boone et à l’assemblée, je dirais que c’est vraiment un–un grand privilège pour moi d’être de nouveau à San Bernardino. Cet endroit renferme beaucoup de souvenirs formidables du passé. Et d’apprendre que notre passage ici produit encore des effets visibles aujourd’hui, eh bien, certainement que nous sommes réjouis que le Seigneur nous ait conduits ici, il y a des années.

2 À l’instant, j’étais dehors, dans le parking, j’essayais de me rappeler un des événements qui s’étaient produits. Il y avait une certaine Mme Isaacson, qui avait été mon interprète en Finlande, lors d’une tournée en Finlande, et elle s’était approchée de la voiture juste au moment où j’allais partir. Et elle a dit : “Votre voix de Finlande.” Alors je me demande si Mme Isaacson n’habiterait pas dans les environs. Je ne savais pas. Je ne pense pas qu’elle soit ici, ce soir? Mme May Isaacson, et elle est originaire de Finlande.

3 Et puis, une autre chose extraordinaire qui m’est revenue à la mémoire : c’était une petite serveuse, dans un restaurant où j’allais manger, pas loin d’ici, qui s’appelle l’hôtel Antlers. Je crois que c’est ça. Et cette jeune femme avait... Je priais avec elle. Elle avait... C’était une brave jeune femme, mais elle n’était pas Chrétienne. Je l’avais invitée à venir aux réunions. Elle avait perdu un bébé, et je crois que son mari, qu’ils étaient séparés. Et nous avions prié qu’elle se réconcilie avec son mari, ou, qu’ils se réconcilient l’un avec l’autre. Donc, je me demande si cette jeune femme ne serait pas ici. Voyez? La...

4 Et puis un autre événement qui s’était produit : un petit bébé avait été amené d’un endroit situé à environ une journée de voiture. Il était mort, il était dans les bras de sa mère. Et il a été ramené à la vie. Est-ce que cette... Est-ce que cette personne serait ici? Elle était venue, je crois, de l’État qui se trouve dans cette direction, au-dessus d’ici. Cette petite maman, qui avait roulé toute la nuit, avec le papa, cette petite maman était assise là, toute triste, tenant dans ses bras la petite dépouille de son bébé. Et je me suis dit : “Quelle foi!” Même si j’avais été le plus grand hypocrite du monde, Dieu aurait honoré la foi de cette mère.
Je tenais ce petit bébé, avec mes mains, comme ça, en priant. Il s’est réchauffé et il s’est mis à bouger, il a ouvert ses petits yeux. Je l’ai rendu à sa mère. Donc, ils venaient d’un certain endroit. Toutefois je ne pense pas qu’ils étaient pentecôtistes. Ils étaient simplement... Je crois qu’il s’agissait simplement d’une église qui... Je ne sais même pas s’ils étaient Chrétiens ou pas. Je ne leur ai pas posé la question. J’étais tellement ravi de ce que le petit bébé avait été ramené à la vie.
Depuis ce temps-là, Frère Boone, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts. Mais nous sommes toujours là, à servir le même Dieu, qui reste le même, hier, aujourd’hui, et éternellement.

5 En promenant mes regards, je vois Frère Leroy Kopp, qui est assis là. C’est la première fois que je le revois depuis longtemps. [Un frère dit : “C’est Paul Kopp qui est ici.”–N.D.É.] Paul. C’est vrai. Leroy, c’est votre père. C’est vrai. [“Et il–il est en Russie, ce soir, alors priez pour lui.”] Oh! la la! en Russie. Eh bien, c’est, je sais que ce vaillant soldat, s’il est là-bas, c’est qu’il y est en mission pour le Roi. [“C’est exact.”] Donc, je suis vraiment heureux d’être ici et d’entendre ce jeune ministre dire qu’il a été inspiré par notre ministère lorsque nous étions ici. C’est vraiment réjouissant!
Et maintenant, j’espère que, vu que nous avons... Il y a des gens debout, alors nous ne prendrons pas trop de temps. Nous gardons le souvenir de ces glorieux services de guérison.

6 Et, d’après ce que j’ai compris, il y a un–un–un frère ici quelque part dans les environs, qui fait une campagne de guérison, un certain Frère Leroy Jenkins. Je crois que c’est ça. Donc, je suis très reconnaissant, et j’ai confiance que le Seigneur le bénit et lui donne une très–très bonne réunion. C’est...
Oh, je me suis senti très honoré, ce soir, d’entrer dans une église comme celle-ci. Je me sens toujours mieux dans une église que dans les salles de spectacle. Rien contre la salle de spectacle. Mais, vous savez, je... C’est peut-être une superstition, ou que je... Moi, il me semble que c’est une vérité. Voyez? Ils... On va dans ces salles de spectacle, là où ont lieu des combats, de la lutte, des spectacles de variétés et tout le reste, et on dirait que de mauvais esprits rôdent dans ces endroits-là. Bon, ça peut sembler être de la superstition, mais ce n’en est pas. Mais, quand on vient dans une église, on... généralement, et d’autant plus si c’est une assemblée spirituelle, on dirait qu’on–qu’on se sent plus à l’aise, c’est comme s’il–s’il y avait quelque chose. La Présence de Dieu est là. Vous savez, on dirait que ce n’est pas pareil. Je ne sais pas quel effet produit le bâtiment, mais c’est l’endroit où les personnes sont rassemblées. Bien sûr, ce sont les mêmes personnes qu’on retrouve dans l’autre endroit, mais le terrain est mauvais. C’est peut-être juste une idée à moi. Mais, quoi qu’il en soit, je suis heureux d’être ici ce soir.

7 Et maintenant, nous ne voulons pas vous retenir trop longtemps, puisqu’il y a des gens debout. Et, demain soir, nous irons à un autre endroit, ici. Je ne sais même pas où c’est. C’est près d’ici. [Un frère dit : “À la salle de spectacle d’Orange.”–N.D.É.] Où? [“À la salle de spectacle d’Orange.”] À la salle de spectacle d’Orange, pour les services de demain soir. Je... Ceci, c’est entre deux; je fais une tournée pour les hommes d’affaires, le groupe des Hommes d’Affaires du Plein Évangile, pour lequel j’ai eu le privilège de parler dans le monde entier. Et alors, pendant cette période, un très cher ami nous a invités à venir ici, et nous sommes heureux d’être dans cette assemblée ce soir.

8 Maintenant, avant d’ouvrir la Bible... Bien sûr, toute personne qui a de la force physique peut L’ouvrir comme ceci. Voyez? Mais il n’y a que le Saint-Esprit qui puisse nous ouvrir la Parole, ouvrir notre entendement et révéler les Écritures. Je crois à la Bible. Je crois que C’est la Parole de Dieu. Je crois que la terre, ou que les peuples de la terre seront un jour jugés par cette Parole. Or, ça peut paraître étrange. Et il y a beaucoup de gens qui ne partagent pas ce point de vue.

9 Il n’y a pas longtemps, je parlais à l’un de mes très fidèles amis, qui est catholique. Et il disait : “Dieu jugera le monde par l’église catholique.” Si c’est le cas, par quelle église catholique? Voyez? De même, s’Il le juge par l’église méthodiste, alors qu’adviendra-t-il de l’église baptiste? Voyez? S’Il le juge par l’une, l’autre est perdue. Donc, il y a trop de confusion là-dedans.
Mais c’est à Elle que nous devons nous reporter pour trouver notre–notre déclaration véridique, et la Bible dit que Dieu jugera le monde par Jésus-Christ. Et Il est la Parole. Jean 1 : “Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.” Et Hébreux 13.8 dit : “Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement.” Et je crois que c’est la Vérité. En effet, je crois qu’au...

10 Dieu, au commencement, puisqu’Il est le Dieu infini; Il est limité, et... ou plutôt, infini. Les êtres limités, c’est nous. Sa pensée est de beaucoup supérieure, alors nous, avec notre petite pensée limitée, nous ne pouvons pas comprendre Sa grande sagesse infinie. Mais, par conséquent, quand Il dit quelque chose, ça peut nous paraître très étrange de L’entendre dire une certaine chose dans l’Écriture, mais cela doit s’accomplir. Je crois que Ses Paroles ne passeront jamais. Par conséquent, je crois que Dieu, qui sait que nous, avec notre petite pensée limitée, nous ne pouvons pas interpréter Sa–Sa grande pensée, Il interprète Lui-même Sa Parole. Il n’a pas besoin d’interprète. Il interprète Lui-même Sa Parole, en confirmant cette Parole en Sa saison.

11 Je crois que Dieu, au commencement, que Noé était la Parole pour cette époque-là, pour Son Message.
Ensuite est venu, après cela est venu Moïse. Or, Moïse n’aurait pas pu porter la Parole de Noé. Il n’aurait pas pu construire un bateau pour les emmener hors d’Égypte en descendant le Nil, ou en voguant vers la terre promise, ou quelque chose de ce genre. Son message à lui ne marchait pas à l’époque de Noé; c’était la partie de la Parole de Dieu qui était confirmée comme étant la Vérité par Moïse.
Et Jésus non plus n’aurait pas pu avoir la Parole de Moïse. Et Luther n’aurait pas pu conserver la parole de l’église catholique. Wesley, lui, ne pouvait pas conserver la Parole de Luther. Les pentecôtistes, eux, ils ne pouvaient pas porter la Parole des méthodistes. Ils... Voyez?
L’Église est en croissance. À chaque âge est assignée une portion de l’Écriture ici. Alors Dieu, par le Saint-Esprit, révèle Sa Parole, en La manifestant et en La confirmant, Lui-même, en montrant que C’est Sa Parole qui s’accomplit, à l’époque pour laquelle Elle a été promise.

12 C’est ce que Jésus a dit. Il a dit : “Si vous ne pouvez pas Me croire, croyez aux oeuvres que Je fais”, car ce sont elles qui rendent témoignage de Qui Il était, vous voyez – si quelqu’un avait connu l’Écriture.
Or, Il est venu de façon si bizarre, si étrange, que les gens n’ont pas voulu croire en Lui, parce que “Lui, qui était un Homme, Il Se faisait Dieu”.
Donc, Il était Dieu sous une forme. “Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.”
“Et personne ne peut faire ces oeuvres, si Dieu n’est avec lui”, comme nous le savons, c’est ce que Nicodème a dit, que c’est ce que le sanhédrin croyait.

13 Or, nous savons que cette Parole, s’ils avaient connu la Parole! Il a dit : “Si vous aviez connu Moïse, vous M’auriez connu, parce que Moïse a écrit à Mon sujet.” Et nous nous reportons – s’ils s’étaient reportés à l’Écriture, pour voir ce que devait faire le Messie, alors ils L’auraient reconnu au moyen de la confirmation, que “Dieu, par Christ, était en train de réconcilier le monde avec Lui-même”, et d’accomplir toutes les promesses qui s’appliquaient au Messie, qui devaient être accomplies par Lui. Jésus a rendu témoignage de cette Parole, en faisant vivre cette Parole pour cette époque-là.

14 Et je crois qu’aujourd’hui nous vivons la même chose : Dieu, qui rend témoignage de Sa Parole, en confirmant ce qu’Il a dit qu’Il ferait. Or, nous savons que c’est aujourd’hui le jour du salut, où Dieu appelle des hommes à sortir du monde, d’une vie de péché, pour vivre une vie de service. Et au jour où Dieu a répandu Son Esprit d’en Haut, de grands signes et des prodiges doivent accompagner le ministère d’aujourd’hui. C’est le... le temps où les pluies de la première et de l’arrière-saison tombent ensemble. Et nous savons qu’il doit se produire de grands signes et des prodiges. Et, dans beaucoup de grandes dénominations, Ceci est rejeté.
Mais je suis très reconnaissant de ces portes ouvertes par lesquelles j’ai pu entrer, et de l’inspiration qui a été ainsi donnée à de jeunes hommes comme votre pasteur ici. Ce qui les a amenés à... Alors que je commence à prendre de l’âge et que je sais que mes jours sont comptés, maintenant je sais que ces jeunes hommes peuvent prendre ce Message et continuer à Le répandre jusqu’à la Venue du Seigneur, s’Il ne vient pas dans ma génération. Mais j’espère Le voir. Je L’attends chaque jour, je veille, je me tiens prêt pour cette heure-là.

15 Maintenant parlons à l’Auteur, avant de lire Son Livre, alors que nous inclinons la tête.
Père Céleste, nous Te sommes reconnaissants d’être en vie ce soir, de pouvoir revenir dans cette grande ville. Au milieu de ce décor de montagnes, en regardant, nous pouvons voir en même temps la neige et les orangers en fleurs, quel monde magnifique Tu nous a donné pour y vivre! Et en voyant combien l’homme a perturbé ce monde et–et la manière dont il a agi dans celui-ci, nous avons honte de nous-mêmes, Père.
Nous sommes ici, ce soir, dans le but de déployer des efforts, d’essayer d’amener des hommes à voir cette grande chose que Dieu a faite et à reconnaître qu’il y a quelque chose de plus grand, juste de l’autre côté. Puissions-nous regarder à cela, ce soir, Père, alors que nous prendrons Ta Parole et que nous La lirons. Nous pouvons La lire, Père, mais fais que le Saint-Esprit nous La révèle, par la révélation. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

16 Maintenant, vous qui aimez peut-être prendre des notes et–et lire l’Écriture avec le ministre, car–car, généralement, ils La lisent. Autrefois, quand je... il y a des années, je n’avais pas besoin de noter mes références bibliques ni rien. Mais depuis, j’ai vieilli un peu. Voyez? C’est que je viens de dépasser vingt-cinq ans, il n’y a pas longtemps : il y a vingt-cinq ans de ça. Alors, ça rend la chose un peu difficile. Mais j’essaie toujours de me cramponner, de faire tout ce que je peux selon ma connaissance de la Parole, jusqu’à ce qu’Il me rappelle à Lui.

17 Maintenant, prenons Jean, chapitre 14 – un passage de l’Écriture que nous connaissons bien, et que nous voulons lire ce soir pour Y puiser un contexte, si le Seigneur le veut. Presque tout le monde connaît ce passage. Il semble que souvent, on l’utilise pour les services funèbres. S’il y a une fois où j’aimerais prêcher à un service funèbre, ce serait à celui de ce monde. Qu’il meure et qu’il naisse de nouveau. Jean 14, de 1 à 7, je crois que c’est ce que j’ai noté ici. Que votre coeur ne se trouble point. Si vous avez cru en Dieu, croyez aussi en moi. Il y a beaucoup de demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place. ...lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. Vous savez où je vais, et vous en savez le chemin. Thomas lui dit : Seigneur, nous... savons où tu vas; comment pouvons-nous en savoir le chemin? Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Et dès maintenant vous le connaissez, et vous l’avez vu. Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole. Nous allons encore nous Y référer en cours de route, pendant cette petite leçon que nous aimerions apporter à l’Église.

18 Hier soir, j’étais à Yuma – en Arizona, où j’habite maintenant. Je–je... La dernière fois que je suis venu ici, j’habitais à Jeffersonville, dans l’Indiana. Maintenant j’habite l’Arizona, par suite d’une vision qui m’a indiqué d’y aller, il y a quelques années. Et c’est là que maintenant nous avons élu domicile. Je n’ai pas d’église là-bas.
Frère Green, notre frère qui est ici avec nous, a fondé un tabernacle, là où... l’une des églises des Assemblées de Dieu, celle du centre-ville. Elles ont fusionné, et je pense qu’ils ont tous rejoint Frère Brock et Frère Gilmore, laissant cette église inoccupée. Et Frère Pearry Green, du–du Texas, qui est l’un de nos associés, s’est installé là-bas, il a pris les locaux. Nous sommes heureux de savoir que–que Frère Green a rouvert cette église qui était fermée.

19 Et hier soir, j’ai prêché à Yuma, chez les Hommes d’Affaires Chrétiens, j’ai parlé sur le sujet de L’Enlèvement. Or, c’était peut-être un sujet étrange à traiter parmi, à un–un banquet, mais la plupart des gens qui se trouvaient là étaient Chrétiens. Et c’est le cas lors de tournées comme celle-ci, ou bien dans–dans une église. Je pourrais dire, bon : “Combien d’entre vous sont Chrétiens?” Probablement que toutes les mains se lèveraient. Vous êtes Chrétien. Donc, si nous sommes Chrétiens, il me semble qu’il serait bon que nous soyons en quelque sorte prévenus à l’avance. Nous n’avons pas à nous contenter d’hypothèses. Nous sommes prévenus de notre destination.

20 Et c’est de cela que je voudrais parler ce soir. Le sujet sera : Les choses qui sont à venir. Et vu qu’hier soir, j’ai parlé de L’Enlèvement, alors, ce soir, je voudrais parler sur ce sujet, pour faire le lien avec le Message d’hier soir. Donc, il y aura un Enlèvement, ça, nous le savons. C’est quelque chose qui viendra, dans l’avenir.

21 Bon, ici, Jésus parle du fait qu’Il est parti nous préparer une place. “Que votre coeur ne se trouble point.” Il s’adressait là à des Juifs. Il disait : “Maintenant, vous avez cru en Dieu, croyez aussi en Moi. Comme vous avez cru en Dieu, croyez en Moi, parce que Je suis le Fils de Dieu.” Voyez? “Et, Dieu,” autrement dit, “Moi et Mon Père, nous sommes Un. Mon Père demeure en Moi. Et ce que vous voyez faire, Me voyez faire, ce n’est pas Moi. C’est Mon Père qui demeure en Moi. C’est Lui qui fait les oeuvres.”
“Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.”

22 C’était facile pour ces Juifs, qui avaient reçu cet enseignement depuis des générations, de croire qu’il existait un grand Dieu surnaturel. Mais de penser que ce Dieu était descendu et qu’Il Se manifestait à travers la Personne de Son Fils, Jésus-Christ, que Dieu avait fait Sa demeure dans un corps de chair, ça, c’était un peu trop fort pour eux, ils ne pouvaient pas le–le comprendre.
Mais Il disait : “Maintenant, comme vous avez cru en Dieu, croyez aussi en Moi. Car il y a beaucoup de demeures dans la maison de Mon Père, et Je vais vous préparer une place.” La vie de Jésus allait bientôt se terminer, ici sur terre.
Il avait montré aux gens, et Il le leur avait prouvé, qu’Il était Jéhovah manifesté dans la chair : par les grands signes et les prodiges, et par les références bibliques auxquelles Il s’était reporté, où il était question de Lui. Et Il avait prouvé qu’Il était Dieu manifesté.
Maintenant Il dit : “Quand vous verrez Ma vie se terminer, c’est dans un but qu’elle se terminera. Et Je m’en vais vous préparer une place, afin que là où Je suis vous y soyez aussi.” Jésus est donc en train de dire à Ses disciples que cette vie ne se termine pas à la mort.

23 Or, je disais que ce texte est utilisé pour les services funèbres. Souvenez-vous que nous, que la mort se trouve juste devant nous, et nous ne savons pas, peut-être que certains de ceux qui sont dans ce bâtiment ce soir ne ressortiront pas d’ici vivants, sur le plan de la vie physique. Voilà à quel point elle est incertaine. Dans cinq minutes, il se peut que des jeunes dans ce bâtiment, des jeunes gens en bonne santé, ne soient plus que des cadavres, dans cinq minutes. C’est vrai. D’autre part, il se peut que, dans cinq minutes, nous soyons tous dans la Gloire. Nous ne savons vraiment pas. C’est entre les mains de Dieu. Jésus a dit qu’Il ne savait pas Lui-même quand viendrait ce moment, mais que “c’était entre les mains du Père, et de Lui seul”.

24 Mais, bon, Il leur disait qu’après la mort, il y a une vie. En effet, “Je m’en vais préparer une place”, et ce, afin de les accueillir, ce qui montre que, – c’est ce qu’Il leur disait, – qu’il y a une–une vie, après que cette vie-ci est terminée. Quelle consolation cela devrait nous donner, à tous, de savoir qu’une fois cette vie-ci terminée, il y a une vie dans laquelle nous entrons. Et à mesure que vous avancez en âge, cela devient de plus en plus une réalité pour vous. À mesure que voyez les jours de votre vie s’en rapprocher, alors ça commence à, vous commencez à vous apprêter, à vous préparer pour ce grand événement. C’est, eh bien... C’est cette même vie qui se poursuit dans un autre monde, un autre lieu.

25 Votre naissance ici a été programmée à l’avance. Je pense que vous croyez cela. Chacun de vous le sait : notre naissance a été programmée à l’avance. Saviez-vous que le fait que vous soyez ici n’est pas simplement le fruit d’un mythe ou d’une idée? Tout a été entièrement programmé à l’avance par Dieu, avant la fondation du monde – que vous seriez ici. Le Dieu infini savait. Pour être–pour être infini, Il devait connaître chaque puce qu’il y aurait un jour sur terre et savoir combien de fois elle clignerait des yeux. C’est ça être infini. Voyez? Vous, notre petite–notre petite pensée ne peut pas saisir le sens de infini. Le Dieu infini – Il savait toutes choses. Par conséquent, il n’y a rien qui va de travers.

26 Si nous connaissons la Parole de Dieu, nous savons où nous vivons. Nous savons en quelle heure nous vivons. Nous savons ce qu’il y a devant nous. Nous voyons ce que nous avons déjà traversé. Et, le Livre de Dieu est la révélation de Jésus-Christ : Ses oeuvres au cours des âges passés, jusqu’au Livre de l’Apocalypse, et puis Ses promesses qui doivent encore se réaliser. Alors, toutes Ses promesses sont vraies. Dieu ne peut pas prononcer une seule Parole sans qu’Elle se confirme. Chaque Parole qu’Il prononce doit s’accomplir. Avant la fondation du monde...

27 Il y a des gens qui confondent les faits, dans la Genèse, là, quand ils disent : “Dieu se répète.” Non. C’est vous qui comprenez mal, c’est tout. Voyez?
Dieu, au commencement, Il a dit : “Qu’il y ait. Qu’il y ait. Qu’il y ait.” Le monde n’était que ténèbres, dans un chaos. Même quand Il a dit : “Que la lumière soit”, il s’est peut-être écoulé des centaines d’années avant que la lumière apparaisse. Mais une fois qu’Il a prononcé la chose, elle doit s’accomplir. Il faut qu’il en soit ainsi. Voyez? Et Il a prononcé Sa Parole. Ces semences étaient sous l’eau. Quand Il a asséché la terre, alors les semences ont germé. Ce qu’Il dit doit s’accomplir.

28 Il a dit, à travers les prophètes, – j’en ai parlé hier soir, – prenons, par exemple, Ésaïe; il a dit : “Une vierge concevra.” Qui aurait pensé qu’un homme qui était bien considéré parmi les gens puisse dire une parole comme celle-là : “Une vierge concevra”? Mais, parce qu’il...
Un prophète est un réflecteur, il reflète Dieu. Il est fait de telle façon qu’il ne peut pas prononcer ses propres paroles. Il faut que ce soient les Paroles de Dieu qu’il prononce. Il est comme un réflecteur, et il est le porte-parole de Dieu.
Et donc, il a dit : “Une vierge concevra.” Il ne pouvait probablement pas comprendre ça, mais Dieu l’avait dit à travers lui. En effet, Il a promis “qu’Il ne ferait rien sans L’avoir révélé à Ses serviteurs les prophètes”. Et puis, quand il a dit ça, c’était huit cents ans avant que ça s’accomplisse. Mais il fallait que ça s’accomplisse.
Finalement, ces Paroles de Dieu se sont ancrées dans le sein d’une vierge, et elle a conçu et enfanté Emmanuel. “Un–un Enfant nous est né, un Fils nous est donné. On L’appellera ‘Conseiller’, ‘Dieu Puissant’, ‘Prince de la Paix’, ‘Père Éternel’.” Il fallait qu’il en soit ainsi, parce que Dieu l’avait dit par la bouche de Ses prophètes. Et toutes les Paroles de Dieu doivent s’accomplir.
Par conséquent, nous savons que Jésus est allé préparer une place pour accueillir un groupe de gens auprès de Lui. Quant à savoir qui sont ces gens, j’espère que c’est, que nous faisons partie de ces gens, ce soir. Si ce n’est pas le cas, mon ami, Dieu a établi un moyen, une condition, qui vous permet d’en faire partie si vous le voulez. Vous avez votre libre arbitre. Vous pouvez agir comme vous voulez. Mais, à présent, remarquez : donc, dans ce monde à venir. Il y a un monde à venir.

29 Tout comme votre naissance ici, comme je le disais : vous avez été préparé. Dieu savait que vous seriez ici.
Et maintenant, vous savez, même les choses que vos parents ont faites; bon, les gens pensent que ce n’est pas puni de génération en génération, mais ça l’est.

30 Dans l’Épître aux Hébreux, je crois que c’est vers le chapitre 7, Paul parlait là, – ceux qui L’ont écrite, je crois que c’est lui, – il parlait d’un–d’un grand événement qui avait eu lieu avec Abraham, alors qu’il avait payé la dîme à Melchisédek, lorsqu’il revenait de la défaite du roi. Or il disait que “Lévi était dans les reins d’Abraham, lorsque ce dernier a rencontré Melchisédek, en revenant de la défaite des rois”. Puis il a considéré qu’ainsi “Lévi aussi avait payé la dîme, quand il était dans les reins d’Abraham”, son arrière-arrière-grand-père.
Et Il punit les péchés des gens sur leurs–leurs enfants, de génération en génération, qui n’observent pas Sa Parole. Voyez?

31 Tout ce qui vous concerne a été programmé à l’avance par Dieu. Avec Dieu, rien n’arrive par hasard. Il sait tout. Tout est programmé à l’avance, programmé depuis des générations, pour que vous puissiez être ici ce soir. Le saviez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
Pensez un peu que vous, à un certain moment... Je répéterai ceci. Vous, à un certain moment, vous étiez dans votre père, dans le gène de votre père. Mais, à ce moment-là, il ne vous connaissait pas, et vous non plus, à ce moment-là vous ne le connaissiez pas. Mais ensuite, vous voyez, vous avez été placé dans le terrain d’ensemencement, dans le sein de votre mère, par les liens sacrés du mariage. Et alors vous êtes devenu une personne, l’expression même de votre père – là il y a une communion.

32 Maintenant, le seul moyen pour vous d’être un fils, une fille de Dieu, c’est qu’il faut que vous soyez... que vous ayez la Vie Éternelle. Et il n’y a qu’une seule forme de Vie Éternelle, c’est la Vie de Dieu. Une seule forme de Vie Éternelle, c’est Dieu. Là, pour être un fils de Dieu, il fallait que vous ayez été en Lui depuis toujours. Le gène de votre vie, de votre Vie spirituelle ce soir, était en Dieu, le Père, avant même qu’il y ait la moindre molécule. Voyez? Et vous n’êtes rien d’autre que la manifestation du gène de Vie qui était en Dieu – en tant que fils de Dieu.
Maintenant vous êtes exprimé, une fois que Sa Parole est venue en vous, afin d’éclairer cet âge-ci. Vous exprimez la Vie de Dieu en vous, parce que vous êtes un fils ou une fille de Dieu. Par conséquent... Vous saisissez ce que je veux dire? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Voyez? Vous êtes en... Vous êtes maintenant devenus, vous êtes dans cette église, ce soir, parce que votre devoir est d’exprimer Dieu devant cette nation, ce peuple, ce quartier que vous fréquentez.
Où que vous soyez, Dieu savait que vous seriez là, parce qu’il faut que vous soyez un de Ses gènes, ou de Ses attributs. Il fallait que vous le soyez. Si jamais vous, si vous avez la Vie Éternelle, alors Elle a toujours été la Vie Éternelle. Et Dieu, avant qu’il y ait une fondation du monde, Il savait que vous seriez ici. Et quand la Parole, ou l’eau, “le lavage par l’eau de la Parole”, est descendue sur vous–vous, cela s’est exprimé dans un être. Maintenant vous êtes en communion avec votre Père, Dieu, tout comme vous l’êtes avec votre père terrestre. Voyez? Vous êtes citoyens du Roi; non pas citoyens, mais vous êtes enfants, fils et filles du Dieu vivant, si la Vie Éternelle demeure en vous.
Donc, si c’était le cas, Jésus était la plénitude de Dieu manifestée. Il était la plénitude de la Divinité corporellement. Par conséquent, quand Il est venu sur terre et qu’Il a été manifesté dans la chair, vous étiez en Lui à ce moment-là, puisqu’Il était la Parole. “Au commencement était la Parole; la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.” La Parole a été faite chair. Par conséquent, vous avez marché avec Lui, quand, vous étiez en Lui, quand Il était sur terre. Vous avez souffert avec Lui, et vous êtes morts avec Lui. Vous avez été ensevelis avec Lui. Et maintenant vous êtes ressuscités avec Lui, et vous êtes des attributs de Dieu manifestés, assis dans les lieux Célestes; déjà ressuscités à une Vie nouvelle, et assis dans les lieux Célestes en Jésus-Christ. Oh, c’est tellement important de nos jours, Église! C’est tellement important pour nous de nous voir placés dans notre position en Jésus-Christ!

33 Or, si nous sommes ces attributs de Dieu, nous ne pouvons pas aligner notre vie sur des crédos. Nous ne pouvons pas aligner notre vie sur le système des dénominations. Nous devons aligner notre vie sur la Parole, parce que l’Épouse est une partie de l’Époux, tout comme la femme est une partie de son mari. Par conséquent, nous devons être cette Épouse-Parole. Et cette Épouse-Parole, qu’est-ce que c’est? La manifestation de cette heure-ci, l’Épouse; non pas un credo ou une dénomination, mais un oracle vivant de Dieu, un attribut vivant de Dieu, présentant au monde les attributs de Dieu, sous forme de l’Épouse, qui doit être exprimée en cette heure où nous vivons maintenant.

34 Martin Luther ne pouvait pas exprimer les attributs que nous, nous exprimons, parce que c’était le commencement, la résurrection, comme pour le grain de blé qui a été mis en terre.

35 Bon, nous allons encore citer ceci. Vous avez probablement lu le livre, de cet Allemand qui se moquait de moi, et qui disait que j’étais le plus fanatique des fanatiques. Il était–il était absolument opposé à tout ce qui s’appelle Dieu, et il s’est même moqué de Dieu. Il a dit : “Un Dieu capable d’ouvrir la mer Rouge et”, il a dit, “de faire sortir Son peuple; et Il est resté assis là, les mains croisées sur Son ventre, Il a laissé (pendant l’âge des ténèbres) tous ces gens mourir et souffrir, ces petits enfants se faire manger par les lions.”

36 Vous voyez, tout le–tout le programme, toute l’Église est bâtie sur la révélation Divine. Jésus a dit, dans Matthieu, au chapitre 16 : “Ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé ceci, mais c’est Mon Père qui est dans les Cieux qui te l’a révélé.” Qu’est-ce que c’était? Une révélation de Qui Il était. “Et sur cette Pierre Je bâtirai Mon Église, et les portes du séjour des morts ne peuvent prévaloir contre Elle.” Voyez?
La révélation de Jésus-Christ en cette heure-ci; pas ce qu’Il était à une autre époque! Ce qu’Il était maintenant, ce que la Bible exprime. C’est une croissance, dans l’Épouse, jusqu’à parvenir à la pleine stature. Donc, si le grain de blé de Christ a dû tomber en terre, l’Épouse aussi a dû tomber en terre pendant l’âge des ténèbres. Tout grain qui a été mis en terre doit mourir, sans quoi il ne peut pas se produire, se reproduire. Et cette glorieuse Église, qu’Il a établie le Jour de la Pentecôte en envoyant le Saint-Esprit, a dû souffrir le martyre et être enterrée, mise en terre pendant l’âge des ténèbres, afin de reparaître dans l’âge de Luther et de se développer jusqu’à parvenir à la pleine stature de l’Épouse de Jésus-Christ de ce dernier jour. Voyez? Il n’y a pas moyen...

37 Donc, l’Épouse apparaîtra dans l’Enlèvement. Et tout cela a été programmé à l’avance par Dieu, tout a été prévu. Dès le commencement, Il connaissait chaque homme, chaque endroit, quelle personne y serait, Il savait tout ça. Tout est programmé à l’avance. Dieu savait que ce serait là. Et–et lorsque... Il l’a fait de cette façon, afin que, lorsque nous arriverons là... Il est allé nous préparer une place. Et lorsque nous arriverons là, tout aura été préparé, tout comme cette soirée, même, a été préparée, comme cette heure a été préparée. Oui. Sa grande prescience Lui dit toutes ces choses – par prescience.

38 Il est omniprésent, parce qu’Il est omniscient; omniscient, parce qu’Il est omniprésent. Donc, par Sa prescience... Bon, Il ne peut pas être comme le vent au-dessus de la terre, parce qu’Il est un Être. Il n’est pas un mythe. Il est un Être. Il demeure, Il demeure même dans une maison. Il demeure dans un lieu appelé le Ciel. Et donc, par Son omni-... puisqu’Il est omniprésent; puisqu’Il est omniscient, qu’Il sait toutes choses, alors Il est omniprésent, parce qu’Il sait toutes choses.

39 Vous, maintenant, vous avez grandi depuis votre naissance, le moment où vous êtes né et où vous vous êtes présenté dans ce monde. Dieu savait que vous seriez ici, sur cette terre, et vous avez grandi de la naissance à la maturité. Des choses qui vous paraissaient tellement étranges quand vous étiez jeune femme, jeune garçon, quand vous étiez enfants, vous semblent maintenant tout à fait réelles. Vous ne pouviez pas les comprendre dans votre enfance. Mais maintenant que vous êtes devenu adulte, vous commencez à comprendre, et vous découvrez que tout a été préparé de façon impeccable. Et vous, maintenant cela a vraiment un sens pour vous.

40 C’est pareil pour votre naissance spirituelle. Vous faites des choses que vous ne comprenez pas, quand vous êtes un petit bébé, que vous vous avancez à l’autel. Vous donnez votre vie à Christ. Vous faites des choses tellement étranges. Vous vous demandez pourquoi vous les avez faites. Mais, au bout d’un moment, après avoir mûri, une fois que vous êtes devenus des Chrétiens mûrs, alors vous comprenez. Voyez? Il y a quelque chose qui reprend le dessus. Vous voyez pourquoi il fallait que vous les fassiez. Votre naissance spirituelle! Votre naissance naturelle est un type de votre naissance spirituelle.
Comme–comme ça cadrait bien avec vous; au fur et à mesure que vous grandissiez, dans cette vie-ci, tout se mettait bien en place, parce que vous avez été fait pour ça. C’était étrange, n’est-ce pas, le soir où vous êtes entré en titubant, dans la mission, à la réunion sous la tente, ou dans la petite église au coin de la rue quelque part, et là le prédicateur a prêché sur quelque chose, sur un certain sujet, et vous vous êtes écroulé devant l’autel? Voyez? Voyez? Dieu savait cela avant la fondation du monde. Voyez? Ça–ça vous a paru étrange, pour quelle raison, à ce moment-là, vous l’avez fait. Mais maintenant, vous comprenez; vous avez su ce qui est arrivé. Tout cela cadre si bien avec vous dans cette vie-ci, et il en sera de même dans la Vie à venir. Ce monde et sa vie semblent avancer au fur et à mesure que vous mûrissez. Tout semble progresser avec vous.

41 Je ne crois pas en... qu’une personne soit ici juste par hasard. Maintenant, pensez un peu, quand vous êtes venu au–au monde, tout devait être préparé au préalable pour vous, ou plutôt préparé à l’avance pour vous. J’ai de la peine à comprendre comment nous pourrions penser qu’un Dieu capable de préparer toutes ces bonnes choses pour nous ne... que nous ne puissions pas mettre notre confiance en Lui. Car, s’Il nous a amenés ici, dans le chaos où nous sommes maintenant, et qu’Il a préparé pour nous les bonnes choses de la vie ici, à combien plus forte raison pouvons-nous Lui faire confiance pour la préparation des choses à venir, vous voyez, des choses Éternelles! Ça paraît, comme je dis, très étrange.

42 Et je–je ne pense pas que le Ciel soit un lieu tel que ma mère me le décrivait. Je crois que l’Église a dépassé ce stade-là. De penser, avant, il y a cent ou deux cents ans, il me semble que les gens d’autrefois pensaient que tous ceux qui mouraient allaient au Ciel, qu’ils avaient une harpe et–et qu’ils s’asseyaient là-haut, sur les nuages, et–et qu’ils jouaient de la harpe. Bon, ils savaient qu’il existait un lieu appelé le Ciel. Mais ils, s’il en était ainsi, tous les musiciens auraient un avantage sur nous, vous voyez. Mais nous... Mais ce–ce n’est pas un lieu comme ça. Il ne s’agit pas de jouer de la harpe, pas du tout. Je crois, ne crois pas que la Bible enseigne cela. Mais c’était une conception qu’ils avaient, avant que la plénitude de la Parole voie le jour, ou l’ouverture des Sept Sceaux qui nous a été promise pour cet âge-ci, et grâce à laquelle nous comprenons maintenant.
Je crois que le Ciel est un lieu réel, au même titre que ceci est un lieu réel, vous voyez, car Dieu nous a fait commencer notre croissance spirituelle dans ce lieu-ci. Et je crois que le Ciel est un lieu tout aussi réel que celui-ci, un lieu où nous n’allons pas rester assis là pour l’Éternité, rester simplement assis là, sur un nuage. Nous n’allons pas gratter notre harpe pendant tout–tout le temps, désormais et pour toujours. Mais nous allons dans un lieu réel, où nous ferons des choses, où nous vivrons. Nous travaillerons. Nous nous réjouirons. Nous vivrons. Nous allons vers la Vie, vers une Vie Éternelle réelle. Nous allons vers un Ciel, un paradis. Tout comme Adam et Ève travaillaient, vivaient, mangeaient, se réjouissaient dans le jardin d’Éden avant l’entrée du péché, nous sommes en route pour retourner là-bas, c’est vrai, y retourner. Le premier Adam, par le péché, nous en a fait sortir. Le Second Adam, par la justice, nous y ramène; Il nous justifie et nous y ramène.

43 Maintenant, vous qui recevez les bandes, ce message de la justification, je voudrais que vous le receviez. Vous recevez effectivement les bandes, alors je voudrais que vous vous procuriez celle-là. J’en ai parlé il y a quelque temps.

44 Regardez vos parents terrestres : avant que vous arriviez ici, avant de savoir que vous arriviez, ils ont préparé votre venue. Maintenant, pensez un peu à ça; vos parents terrestres. Et un parent terrestre n’est qu’un type d’un Parent Céleste. “Si nous savons donner de bonnes choses à nos enfants, à combien plus forte raison votre Père Céleste saura-t-Il donner de bonnes choses à Ses enfants.” Ce sont les Paroles de Jésus. Voyez?
Ils ont préparé votre venue. Ils ont fait un petit berceau, ou ils sont allés chercher un petit, des petits chaussons et des petits vêtements, et tout. Ils ont tout préparé pour votre arrivée, tout préparé avant même que vous veniez sur terre.

45 Jésus est allé préparer notre venue là-bas. Maintenant remarquez. “Il y a beaucoup de demeures dans la Maison de Mon Père.” Ou bien...
Mon intention n’est pas d’ajouter à la Parole ou d’En retrancher quelque chose, parce que nous ne devons pas faire ça. Dans Apocalypse 22, il est dit : “Quiconque Y ajoutera une parole ou En retranchera une Parole.” Mais je vais présenter ceci, pas pour faire un ajout, mais juste pour–pour éclaircir un point.
“Il y a beaucoup de sortes de demeures dans la Maison de Mon Père.” Je ne crois pas que, quand nous arriverons au Ciel, que nous aurons tous exactement la même apparence. Je ne crois pas que–que toutes les femmes seront blondes, ou brunes, ou–ou de petite taille, ou–ou que tous seront grands, ou–ou que tous seront des géants.
Je crois que Dieu est un Dieu de variété. Ce monde en est la preuve. Il y a placé de grandes montagnes et de petites montagnes. Il y a placé des plaines. Il y a placé des déserts. Il y a placé différentes choses, parce qu’Il l’a créé comme Il le voulait. Et Il a fait les saisons : l’été, l’hiver, le printemps, l’automne. Il a fait les saisons. Ça montre qu’Il est un Dieu de variété. Il vous a faits différents les uns des autres. Certains hommes sont très fanfarons; certains sont très dogmatiques; d’autres sont bien; d’autres sont gentils. On trouve vraiment toutes sortes de gens, et, dans Son Royaume. Voyez?

46 Regardez saint Pierre, et jugez-le par rapport à André. Voyez? André, c’est ce soldat de la prière qui restait là, constamment sur ses genoux. Et l’apôtre Pierre était un de ces tisons qui prêchaient avec feu et–et ainsi de suite. Et Paul, lui, était plutôt du genre érudit, plus... comme le prophète, ou quelque chose comme ça, il prenait du recul.

47 Et, vous voyez, Moïse a écrit les quatre premiers Livres de l’Ancien. En fait, il a écrit l’Ancien Testament; le reste, c’étaient les lois, les rois, les psaumes, et ainsi de suite, et ce que quelqu’un a écrit à propos des prophètes. Mais Moïse a écrit les lois, les quatre premiers Livres de la Bible : Genèse, Exode, Lévitique et Deutéronome.

48 Et Paul, lui, a écrit le Nouveau Testament. C’est vrai. Matthieu, Marc, Luc et Jean ont écrit les actes qui s’étaient produits, et tout. Mais Paul a fait la distinction entre la loi et la grâce, et il a mis ces choses à leur place. Voyez? C’est lui qui a écrit le Nouveau Testament. Il nous a donné les écrits du Nouveau Testament, il a mis en ordre la Parole de Dieu.
Maintenant remarquez, beaucoup, “beaucoup de demeures”, beaucoup de sortes de demeures.

49 Comme beaucoup de sortes de collines, comme beaucoup de sortes de rivières, de sources, de lacs. Ils étaient déjà là quand vous êtes arrivés, parce que la bonté de votre Père Céleste les a placés ici. En effet, certains hommes aiment les montagnes. Certaines personnes aiment les étendues d’eau. Certaines aiment les déserts. Donc, vous voyez, votre venue – Il connaissait votre nature et ce que vous seriez, alors Il a fait les choses précisément de façon à ce que vous puissiez y trouver du plaisir. Oh! je trouve qu’Il est un Père merveilleux, vous voyez, lorsqu’on sait qu’Il a fait les choses ainsi.
Je suis content qu’Il ait fait les montagnes. Moi je–j’aime les montagnes. Je... Et je–j’aime ça. Alors que les autres, eux : “Oh, je déteste... Oh, Il doit avoir vidé là son auge à mortier.” Eh bien, Il l’a vidée pour que je puisse y trouver du plaisir. Vous voyez? Vous direz donc : “Moi, j’aime les plaines, où je peux voir très loin.” Eh bien, voilà deux natures différentes, et nous sommes tous les deux Chrétiens.
Mais le Père savait que vous seriez ici, et Il a tout préparé pour vous avant que vous arriviez ici. Amen. À votre première venue ici, quand vous êtes arrivé ici Il avait déjà préparé ça pour vous. N’est-ce pas merveilleux, de penser à ce qu’Il a fait?

50 Bon, mais souvenez-vous, là, que ces choses ne sont que des dons temporels, des types. “Or, nous savons que Moïse, lorsqu’il a construit le tabernacle dans le désert, ou qu’il l’a préparé, il a dit qu’il avait tout fait selon l’ordre de ce qu’il avait vu au Ciel.” Voyez? Donc, les choses terrestres ne font qu’exprimer ce que sont les choses Éternelles. Et si cette terre où nous vivons aujourd’hui est si magnifique, et que nous l’aimons tant – nous aimons y vivre, en respirer l’air, voir les fleurs et tout; si–si celle-là, si celle-ci est l’expression, celle qui meurt ne fait qu’exprimer celle qui est Éternelle. Quand vous voyez un arbre qui lutte, qui tire, qui essaie de vivre, ça veut dire qu’il y a un arbre quelque part qui n’a pas besoin de faire ça.
Quand vous voyez un homme ici qui lutte pour vivre, quelqu’un à l’hôpital, ou sur un lit de maladie, ou dans un accident, qui lutte, et que le râle de la mort est dans sa gorge, il se démène, il pleure, il hurle, car il veut vivre, qu’est-ce que ça veut dire? Qu’il y a un lieu quelque part, qu’il y a un corps qui ne lutte pas et qui ne hurle pas pour ça. Voyez? Il ne le fait tout simplement pas.

51 Bon, ces choses, ce sont des dons temporels qui nous sont faits, et qui ne font qu’exprimer qu’il y en a Un quelque part qui est Éternel. Voilà ce que Jésus est parti préparer pour nous : Celui qui est Éternel. Donc, ils ne font qu’exprimer qu’il y en a un autre de la même espèce qui est plus grand, parce qu’ils sont de la même espèce.

52 Maintenant, souvenez-vous, la Bible dit : “Si cette tente où nous habitons sur la terre, si elle périt, qu’elle est détruite, nous en avons une qui nous attend déjà.”
Exactement comme le petit bébé, ses petits muscles, à l’intérieur de la maman, se contractent et se tortillent. Et, mais juste... Voyez? Et vous remarquerez, une femme, même si elle est vraiment très méchante, mais quand elle devient mère, peu avant la naissance de son bébé, cette femme sera toute douce. Approchez-vous d’elle, vous remarquerez toujours quelque chose, elle est plus tendre. Pourquoi? C’est qu’il y a un petit esprit angélique qui attend de recevoir ce corps naturel. Aussitôt qu’il naît, le souffle de vie entre en lui. Dieu l’insuffle en lui, et il devient une âme vivante. Donc, dès que le bébé naît, alors le corps spirituel est là pour le recevoir.
Et alors, quand ce corps descend en terre, ici, – comme le bébé qui descend, – il y a de même un corps immortel qui attend, pour recevoir de nouveau en lui l’esprit. Oh, comme c’est grand! Nous sommes–nous sommes maintenant en Jésus-Christ (amen), des bébés, des petits enfants en Christ, des enfants de Dieu, attendant la pleine délivrance à la Venue de notre Seigneur Jésus, le... qui nous prendra avec Lui, quand le corps, ce corps mortel, revêtira l’immortalité.

53 L’image, toutes ces choses qu’Il a faites expriment les choses qui sont à venir. Tout comme le corps qu’Il vous donne ici, tout comme ce corps qu’Il vous a donné pour que vous y habitiez ne fait qu’exprimer qu’il y en a un plus glorieux encore, qui doit venir. Voyez? “Si nous portons, ou si nous avons porté l’image du terrestre, nous porterons aussi l’image du céleste”, et il ne se trouve aucun mal dans celui qui doit venir. Or, dans celui-ci, il y a le mal, la maladie, la mort, le chagrin. C’est ce que j’ai exprimé il n’y a pas longtemps, quand j’ai prêché sur La transformation de la Parole de Dieu, que–que ce corps contient le mal.

54 Et toute cette civilisation moderne dans laquelle nous vivons est du diable. Vous ne croyez pas ça? La Bible le dit; ce monde, chaque gouvernement. Nous ne voulons pas le croire. Mais la Bible le déclare clairement, que chaque gouvernement, chaque royaume de la terre appartient au diable et est gouverné par le diable. Satan a transporté Jésus là-haut, et il Lui a montré tous les royaumes du monde, ceux qui avaient existé, ceux qui allaient exister, et tout. Et Satan a déclaré qu’ils lui appartenaient, et Jésus ne l’a pas contredit, parce qu’il est effectivement le dieu de ce monde. Voyez? Et il a dit : “Je Te les donnerai, si Tu te prosternes et m’adores.” Voyez? Il essayait de les remettre à Jésus sans qu’il y ait de sacrifice. Voyez? Il voulait conclure un marché avec Lui.
Mais le monde avait péché. Alors, la peine du péché, c’était la mort, et il fallait qu’Il meure. Voilà pourquoi Dieu a été manifesté dans la chair, pour pouvoir prendre la mort sur Lui, et expier ainsi la peine. Il n’y a plus rien à acquitter. Ce n’est pas sous réserve. C’est payé entièrement, gratuitement. Toute la dette a été payée. Maintenant tout cela Lui appartient. Et nous sommes les délégués de Son Royaume, assemblés ici ce soir au Nom de Jésus-Christ notre Roi, assis dans les lieux Célestes.

55 Maintenant, dans ce monde où nous vivons, l’instruction, – je veux vous le prouver, – l’instruction, la science, la civilisation et toutes ces choses que nous semblons tellement apprécier aujourd’hui sont de Satan et périront. Vous dites : “Frère Branham, la civilisation?” Oui monsieur. Cette civilisation est venue par Satan. Genèse 4 le prouve. C’est le fils de Caïn, vous voyez, qui a commencé cette civilisation, en construisant des villes, des orgues et tout. La civilisation est venue par la connaissance. La connaissance, c’est ce que le diable a vendu à Ève dans le jardin d’Éden, et c’est ça qui l’a entravée, amenée à transgresser le commandement de Dieu.
Donc, il y aura une civilisation dans le monde où nous allons, mais ce ne sera pas une civilisation comme celle-ci, car dans cette civilisation-ci, nous avons la maladie, le chagrin, la convoitise, la mort; tout, dans cette civilisation, va de travers. Mais, dans cette civilisation-là, il n’y aura aucune de ces choses. Nous n’aurons pas besoin de la science.
D’ailleurs, la science est une perversion de l’original. Voyez? Vous dissociez une molécule, pour fissionner des atomes et faire telle chose, pour vous faire sauter. Vous prenez de la poudre à canon, vous tirez sur ceci, pour tuer quelque chose. Vous prenez la voiture. Vous extrayez l’essence de la terre, les substances de la terre, afin de scinder les molécules, pour leur permettre d’exploser. Puis vous roulez à quatre-vingt-dix milles [cent cinquante kilomètres] à l’heure, et vous tuez quelqu’un. Voyez? Oh, on est tellement énervé, on se presse, on se dépêche; on doit foncer, dépasser. Oh! Voyez? Tout ça, c’est du diable.
Dans le Royaume de Dieu, il n’y aura pas d’automobiles, d’avions, ni de réalisations scientifiques. Non. Il n’y aura aucune forme d’instruction du tout. Il y aura une instruction tellement supérieure à celle-ci, qu’on ne pensera même plus à celle-ci. Voyez? L’instruction, la civilisation et tout ceci, ça vient de Satan.
Maintenant, vous me direz : “Frère Branham, pourquoi lisez-vous, alors?”

56 Vous voyez, c’est comme de demander pourquoi je porte des vêtements maintenant. Dans la civilisation qui devait venir, celle qu’il y avait au début, ils n’avaient pas besoin de vêtements. Ils étaient voilés. Ils n’avaient aucune raison de porter des vêtements, parce qu’ils ne savaient pas qu’ils étaient nus. Maintenant, vous... Maintenant, il se trouve qu’à l’heure actuelle, étant donné que nous savons que nous sommes–sommes–sommes–sommes nus et que le péché habite ici, alors nous devons porter des vêtements. Mais il n’en était pas ainsi au commencement; il n’y avait pas de péché. Voyez?

57 Or, c’est pareil pour ce qui est de la civilisation, tout à fait. Nous lisons. Nous écrivons. Nous faisons ces choses. Mais ne vous adaptez surtout pas à cela. N’en faites jamais votre dieu, parce que ça, c’est le dieu du communisme. Voyez? Ça ne vient pas de Jésus-Christ.

58 Jésus-Christ se reçoit par la foi; pas par ce que vous pouvez prouver scientifiquement, mais par ce que vous croyez. Ce soir, dans ce bâtiment, je ne peux pas vous prouver scientifiquement que Dieu existe, mais, pourtant, je sais qu’Il est ici. Mais c’est ma foi qui le confirme.
Abraham n’aurait pas pu vous prouver scientifiquement qu’il allait avoir un bébé de cette femme, alors qu’elle avait près de cent ans. Mais sa foi l’a confirmé. Voyez? Il n’avait pas besoin de preuve scientifique. Eh bien, le... Eh bien, le médecin aurait dit : “Ce vieux bonhomme est fou, il raconte autour de lui qu’il va avoir un–un bébé de cette femme; il a cent ans, et elle, quatre-vingt-dix.” Mais, vous voyez, Dieu l’avait dit, alors on n’a pas besoin de la science. On a besoin de la foi pour croire la Parole de Dieu, pas de la science.

59 Donc, nos écoles et tout, c’est une aberration. En effet, Dieu n’a jamais dit : “Allez, et construisez des écoles”, ni même, “ayez des instituts bibliques”. Le saviez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Il a dit : “Prêchez la Parole.” C’est tout à fait vrai. Nos systèmes d’éducation nous ont éloignés encore plus de Dieu, plus que tout ce que je connais, c’est vrai, ils nous ont éloignés encore plus de Dieu. Pas de construire des écoles, des hôpitaux, et ainsi de suite; ça, c’était pour le monde et pour ce groupe-là. Mais, je n’ai rien contre ces choses, elles ont leur rôle à jouer, mais ce n’est toujours pas ça qu’il faut.
On a beau construire un hôpital, aussi bon qu’il soit, et y pratiquer la meilleure médecine, des milliers de personnes y meurent chaque jour. Mais, oh! la la! dans le Royaume de Dieu, il n’y a pas de mort, il n’y a pas de chagrin. Amen. Il n’y a pas besoin de ces choses du monde. Mais là nous sommes passés de tout ça aux réalités de Dieu; alors qu’on déploie tant d’efforts, au moyen de la science, pour essayer de trouver. Et plus nous avançons dans la science, plus nous attirons la mort sur nous. Nous menons un combat perdu d’avance, alors lâchez ça. Et, par la foi, croyez Jésus-Christ, le Fils de Dieu, ce soir, et acceptez-Le, Lui. C’est Lui qu’il faut.

60 Qu’est-ce que la science vous prépare? Encore plus de mort. C’est vrai. Les spoutniks, et tout, qui sont lancés, et toutes ces choses, pour répandre la mort et tout, d’un bout à l’autre de la terre. Ne regardez pas à ça. Levez la tête plus haut que ça, vers le Ciel. Regardez vers l’endroit où Jésus est assis “à la droite de Dieu”, ce soir, “étant toujours vivant pour intercéder sur la base de notre confession”, c’est-à-dire que nous croyons que Sa Parole est la Vérité.

61 Donc, nous voyons que dans cette vie, il y a le mal sous toutes ses formes; et donc, dans la vie à venir, il n’y aura pas ça. Dans celle-ci, il y a la convoitise, et la maladie, la mort. Parce que, qu’est-ce que c’est? Ce n’est pas la maison qu’Il est allé nous préparer. Celle-ci est une maison de pestiférés. Combien savent ce qu’est une maison de pestiférés? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Bien sûr. Eh bien, c’est là que vous vivez. Une maison de pestiférés est un endroit où on mettait tous les gens malades. Eh bien, c’est exactement ce que le péché nous a fait : il nous a mis dans une maison de pestiférés terrestre. Vous... On ne laissait personne d’autre entrer dans la maison de pestiférés, parce qu’il y avait toutes sortes de microbes qui flottaient par là, et–et les gens auraient attrapé ces microbes et–et ils seraient tombés malades à leur tour. Et le péché nous a mis dans la maison de pestiférés du diable.

62 Oh, mais l’autre est appelée “la Maison de Mon Père”. “Je m’en vais vous préparer une place. Je vous ferai sortir de cette maison de pestiférés, et Je vous amènerai dans la Maison de Mon Père.” Amen. Voilà, c’est ça; vous faire sortir de cette vieille maison de pestiférés terrestre. Il est allé préparer une place, un lieu parfait, où le mal n’existe pas, où la maladie n’existe pas, où la vieillesse n’existe pas, où la mort n’existe pas.
C’est un lieu parfait, qui vous appelle à cette perfection, et il vous faut être parfaits pour y aller. C’est ce que dit la Bible. Jésus a dit : “Soyez donc parfaits, comme votre Père Céleste est parfait.” C’est un Royaume parfait, donc le peuple qui y entre doit être parfait. En effet, vous devrez être là, mariés à un Fils de Dieu parfait, alors vous devez être une Épouse parfaite. Donc, comment allez-vous y arriver autrement que par la Parole parfaite de Dieu, c’est-à-dire “les Eaux de séparation, qui nous lavent de nos péchés”? Amen. C’est vrai. Le Sang de Jésus-Christ, pensez un peu, la Parole Sanglante, ruisselante. Amen. Le Sang, la–la Parole de Dieu qui saigne, pour laver l’Épouse dans ce Sang. Amen. Oui monsieur. Elle est parfaite, vierge, pure. Elle n’a même jamais péché. Amen. Elle a été prise au piège, là-dedans. Voyez?
Voilà la Maison du Père, qu’Il est allé préparer.

63 Celle-ci est venue par le sexe, à cause de la chute, et elle devra tomber avec la chute. On aura beau rafistoler cette vieille chose, elle va tomber de toute manière. Elle est fichue, parce qu’elle est condamnée, parce que Dieu l’a dit. Pour elle, c’est fini. Dieu va la détruire. Il l’a dit. La chose sera entièrement renouvelée. Vous croyez ça? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]
Au commencement, à la naissance du monde, quand Dieu a d’abord retiré les eaux de la terre, – comme Il l’a fait pour les eaux dans le sein de la mère, – un monde est né. Oui. Et les peuples ont commencé à y vivre, après que Dieu les y a placés. Et là ils se sont mis à pécher. Et il a été baptisé, par immersion, à l’époque de Noé. Ensuite, il a été sanctifié par le Sang du Créateur qui a coulé sur lui.
Et maintenant, c’est de cette manière que vous êtes venus : par la justification, en croyant Dieu. Vous avez été baptisés en vue du repentir, ou, et, pour la rémission de vos péchés. Vous avez confessé vos péchés devant Dieu, et Il vous les a pardonnés. Et vous avez été baptisés pour montrer que vous avez été, que vous avez été pardonnés; vous avez confessé aux gens et montré au monde que vous croyez que Jésus-Christ est mort pour vous. Et vous... Il a pris votre place et, maintenant, vous êtes à Sa place à Lui. Il est devenu vous, pour que vous puissiez devenir Lui.
Ensuite la puissance de sanctification de Dieu a purifié votre vie et en a ôté toutes les habitudes. Avant, vous fumiez, vous buviez, vous faisiez des choses qui ne sont pas bien, vous disiez des mensonges, et tout. Alors la puissance de sanctification du Sang de Jésus-Christ entre dans votre vie et ôte de vous toutes ces choses. S’il vous arrive de dire quelque chose qui n’est pas faux, vous vous dépêchez de dire : “Un instant. Pardonne-moi. Je ne voulais pas le dire comme ça.” Voyez? Le diable avait préparé là un piège. Mais, si vous êtes un vrai Chrétien, vous avez la grâce qu’il faut pour vous reprendre, dire : “J’ai eu tort.” Oui. Et donc, maintenant, la...

64 Maintenant, la chose suivante que vous avez reçue, c’est le baptême du Saint-Esprit et de Feu.
Or, Dieu, une fois que ce Millénium sera terminé, Dieu va donner au monde un baptême de feu. Ça va faire tout exploser. “Les cieux et la terre seront en feu.” C’est ce que Pierre a dit. Cette chose aura un baptême de feu, elle sera entièrement renouvelée. Et alors, il y aura de nouveaux cieux et une nouvelle terre. C’est là que, là où la justice habitera.
Voilà où nous en sommes. Nous qui étions des êtres mortels, des être temporels, nous sommes devenus des êtres Éternels. Quand la Parole de Dieu a illuminé notre âme, et que nous sommes devenus fils et filles de Dieu, avec les attributs, le gène de Dieu en nous, par lesquels nous sommes fils et filles du Père, de Dieu qui est dans le Ciel, et nous crions : “Abba! Père! Mon Dieu! mon Dieu! – dans la Maison de mon Père.”

65 Donc, ce vieux monde doit subir sa chute, parce qu’il est venu par le sexe. Il est venu par la désobéissance, au commencement. Et nous sommes nés ici, par le sexe, à cause de la chute; et il doit de même se diriger tout droit vers la chute. Mais celui qu’Il est en train de vous préparer maintenant, il ne peut pas tomber, parce qu’Il le fait en conséquence. “Je suis allé...”
Qu’en serait-il s’il fallait que nous restions dans ce genre de corps? N’êtes-vous pas heureux que la mort existe? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] C’est étrange, n’est-ce pas? Mais, bon, disons, par exemple...
Il y a quelques années, j’étais un petit garçon, et maintenant je suis un homme d’âge mûr. J’ai un ami assis juste là, M. Dauch, qui a eu quatre-vingt-treize ans il y a quelques jours. Regardez-le maintenant. Dans quarante ou quarante-cinq ans, ce serait moi. Maintenant, rajoutez-lui encore quarante ans. Vous iriez où? La seule...

66 Je suis content qu’il y ait quelque chose pour nous faire sortir de cette maison de pestiférés. Il y a une porte ouverte, et elle s’appelle la mort. Jésus se tient à cette porte. Amen. Il me guidera, pour traverser le fleuve. Il me fera franchir cette porte. Il y a une grande porte, là-bas, qui s’appelle la mort. Et à chaque battement de coeur, vous vous en rapprochez d’un battement. Et un jour, il faudra que j’arrive à cette porte. Il vous faudra, vous aussi, y arriver. Mais, quand j’y arriverai, je ne veux pas être un lâche. Je ne veux pas pousser des cris et reculer. Je veux arriver à cette porte, m’envelopper des vêtements de Sa justice à Lui – pas la mienne, mais la Sienne.
C’est ce qui me fait savoir que “je Le connais dans la puissance de Sa résurrection”. Alors, quand Il appellera, je sortirai d’entre les morts, pour être avec Lui, libéré de cette maison de pestiférés. Peu importe où ce corps tombera et où il atterrira, quoi qu’il en soit, j’en sortirai, un jour, parce qu’Il me l’a promis. Et nous le croyons. Oui monsieur. Il est en train d’en préparer Un qui ne peut pas tomber.

67 Remarquez la maman, qui attend un enfant, sur la terre aujourd’hui, voyez comme le corps de cette mère éprouve le besoin de certaines choses, il les réclame. Je m’adresse, je suppose et j’espère, à tous les adultes qui comprendront. La mère, à la naissance du bébé, s’il y a quelque chose qui manque dans son corps, elle commence à éprouver le besoin de certaines choses, elle les réclame. Regardez comment papa...
Je me souviens, nous avons été élevés dans une famille vraiment très pauvre, et–et nous n’avions presque rien à manger quand nous étions gamins. Vous êtes nombreux à avoir enduré la même chose.
Donc, de voir qu’avant le moment où les bébés allaient naître, maman éprouvait un besoin d’une certaine chose, elle le réclamait. Et papa faisait des pieds et des mains pour lui procurer ça. Voyez? Il s’agit de son, du corps, de son corps, du calcium et des autres choses dont son corps, et des vitamines dont elle a besoin. Le petit est en train de se former, vous voyez, et il réclame certaines choses – des aliments pour cet enfant qui va venir. Et de voir les efforts des parents pour se procurer ça, afin que le bébé naisse aussi parfait et heureux que possible. Vous le voyez, que vos parents seront prêts à faire ça? Lorsqu’il y a un besoin, la mère en témoigne, vous voyez, son organisme est fait comme ça. Vous comprenez? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] C’est que, lorsqu’il y a un besoin ici, pour l’enfant qui va venir, la–la mère se met à le réclamer.

68 Maintenant arrêtez-vous un instant. Pourquoi est-ce que nous faisons des réunions de réveil? Pourquoi est-ce que nous nous rassemblons? Pourquoi est-ce que je suis toujours en train de réprimander les gens? Pourquoi est-ce que je vous demande, à vous, les femmes pentecôtistes, “de cesser de porter du maquillage, de vous maquiller, de vous couper les cheveux, et ce genre de chose”? Pourquoi est-ce que je dis ça? Parce que ce n’était pas la manière de faire de la pentecôte, autrefois. La véritable manière biblique, c’est de ne pas faire ces choses-là. Vous qui portez des shorts et des vêtements d’homme, savez-vous que la Bible dit que c’est une abomination, ça, pour Dieu? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Mais nous le permettons. Pourquoi est-ce que le Saint-Esprit pousse constamment des cris? Il sait qu’il y a là quelque chose qui manque. Il faut que nous parvenions à la pleine stature de Jésus-Christ. Il faut que nous soyons des fils et des filles de Dieu. Il faut que nous nous conduisions comme des enfants de Dieu.

69 Il y a longtemps, on racontait une petite histoire. J’ai remarqué qu’il y a un frère de couleur assis à l’arrière. Dans le Sud, autrefois on vendait des esclaves. C’était à l’époque où il y avait des esclaves là-bas, du temps de l’esclavage, avant la proclamation d’émancipation. Les gens passaient là-bas et les achetaient, achetaient ces gens comme le ferait un–un marchand de voitures d’occasion. On rédigeait un acte de vente et on vendait ces êtres humains, comme s’ils étaient–s’ils étaient des voitures d’occasion. On vous remettait un acte de vente quand vous vous en portiez acquéreur.

70 Un jour, un acheteur est passé, un marchand. Et il allait... Il faisait le tour de ces grandes plantations pour acheter des esclaves. Il est donc arrivé à une certaine grande plantation, où il y avait beaucoup d’esclaves, et il a voulu voir combien il y en avait. Ils étaient tous là-dehors, en train de travailler. Et ils–ils étaient tristes. Ils étaient loin de chez eux. Ils venaient d’Afrique.
On les avait amenés ici. Les Boers les avaient amenés et les avaient vendus comme esclaves, et donc ils étaient tristes. Ils savaient qu’ils ne retourneraient jamais chez eux. Ils allaient passer leur vie dans ce pays et y mourir. Et ils avaient, souvent, ils avaient des fouets, et ils les fouettaient. Ils appartenaient à leur propriétaire, alors il faisait d’eux ce qu’il voulait. Et ils... S’il le tuait, il le tuait. Et s’il, n’importe quoi, il le faisait, c’est tout. C’est ça l’esclavage, comme ce qu’Israël a connu, de même que–de même que beaucoup de nations qui ont été réduites en esclavage. Et ils s’emparaient de ces pauvres esclaves. Ils ne faisaient que servir. Ils pleuraient, vous savez, tout le temps, et ils étaient tristes.

71 Mais ils ont remarqué un des esclaves, un jeune homme qui bombait le torse et qui gardait la tête haute, comme ça. Lui, on n’avait jamais à le fouetter. Lui, on n’avait jamais à lui dire ce qu’il avait à faire. Alors, ce marchand a dit : “Je veux acheter cet esclave-là.”
Il a dit : “Il n’est pas à vendre.”
Il a dit : “C’est lui que j’aimerais acheter.”
Il a dit : “Non. Il n’est pas à vendre.”
Il a dit : “Est-ce qu’il est le chef de tous les autres?”
Il a dit : “Non.” Il a dit : “Il n’est pas le chef. Il est un esclave.”
Il a dit : “Eh bien, peut-être que vous lui donnez autre chose à manger que ce que vous donnez aux autres.”
Il a dit : “Non. Ils mangent tous ensemble là-bas, à la cantine.”
Il a dit : “Qu’est-ce qui rend ce garçon si différent des autres?”
Il a dit : “Eh bien, voilà, moi aussi, pendant quelque temps, je me suis posé cette question. Mais ce garçon, bien qu’il soit un étranger venu d’Afrique, là-bas en Afrique son père est le roi de sa tribu. Et, bien qu’il soit un étranger, qu’il soit loin de chez lui, il se conduit comme un fils de roi. Il sait que là-bas, au loin, dans un pays lointain, son père est le roi de la tribu. Et alors, il se conduit bien, parce qu’il sait qu’il est un fils de roi.”

72 Oh, frère, soeur, vous et moi, dans ce monde où nous vivons, conduisons-nous comme des fils et des filles de Dieu. Nous sommes des étrangers ici, mais notre comportement devrait correspondre aux commandements de Dieu, car nous sommes fils et filles de Dieu. Notre comportement, nous devrions nous comporter et agir, et tout, conformément aux lois que Dieu a établies.
“Et c’est une abomination pour une femme de porter un vêtement d’homme.” C’est mal et c’est un péché “pour elle de se couper les cheveux”, la Bible le dit, “il n’est même pas convenable qu’elle prie”.
Vous direz : “Qu’en est-il de ceci?”

73 Quelqu’un s’en est pris à moi – un ministre bien en vue – il n’y a pas longtemps. Il a dit : “Frère Branham, venez. Je voudrais vous imposer les mains.” Il a dit : “Vous allez détruire votre ministère.”
J’ai dit : “Comment ça?”
Il a dit : “À force de réprimander les gens, comme ça.”
J’ai dit : “Ce que je dis, c’est la...”
Il a dit : “Je crois ça.” Il a dit : “Moi aussi, je suis pentecôtiste. Je crois que les femmes ne devraient pas avoir les cheveux courts, qu’elles ne devraient pas porter de maquillage, ni agir comme elles le font, se maquiller.” Il a dit : “Elles ne devraient pas faire ça. Mais”, il a dit, “Dieu vous a appelé à prier pour les malades.”
J’ai dit : “Il m’a appelé à prêcher l’Évangile.” Oui.
Et il a dit : “Je crois à ça. Mais”, il a dit, “c’est ça que vous pensez?”
J’ai dit : “Oui. Regardez un peu ce que vous avez, tous ces grands programmes, les émissions télévisées et tout le reste. Moi, je n’ai de comptes à rendre qu’à Dieu.” C’est vrai. J’ai dit : “Je n’ai de comptes à rendre qu’à Dieu.”
Il a dit : “Je–je–je... Vous allez détruire votre ministère.”
J’ai dit : “Tout ministère que la Parole de Dieu peut détruire mérite d’être détruit.” C’est vrai. Certainement. C’est exact.
Il a dit : “Eh bien, vous allez le détruire.”

74 J’ai dit : “Mais alors, qui Le dira? Voyez? Il faut bien que quelqu’un Le dise. Il faut bien que quelqu’un prenne position pour la Vérité, même si Elle fait mal.” Et, mes amis, nous qui sommes Chrétiens, nous qui croyons que nous allons au Ciel, le Saint-Esprit Lui-même nous rendra conformes à la Parole de Dieu.
Il a dit : “Vous savez ce que vous devriez faire?” Il a dit : “Les gens croient que vous êtes prophète.” Il a dit : “Vous devriez enseigner à ces femmes comment recevoir des dons de prophétie et ce genre de chose là, des choses bien supérieures, au lieu de ces petites choses.”

75 J’ai dit : “Comment vais-je pouvoir leur enseigner l’algèbre, alors qu’elles ne veulent même pas apprendre leur a b c? Alors qu’elles ne veulent même pas faire ce qui est élémentaire, vous voyez, ce qui est naturel, comment leur parler de choses supérieures?” Alors que vous ne voulez même pas commencer par le... Vous voulez atteindre le sommet de l’échelle avant d’avoir posé le pied sur le premier échelon. C’est pour ça que vous tombez. Voyez?
Commencez tout en bas et grimpez au fur et à mesure que Dieu vous conduit plus haut. Voyez? Alignez votre vie et conformez-vous en tous points à la Parole que Dieu vous a destiné à accomplir.

76 Maintenant pensez comment Dieu... Nous devrions nous comporter et agir comme des Chrétiens. Notre conduite devrait être celle de Chrétiens. Parce qu’ici nous sommes des étrangers. Ici, ce n’est pas notre Demeure. Non. Nous avons seulement été placés ici temporairement. Nous devrons partir, chacun de nous, ce soir.

77 Maintenant pensez-y. Si Dieu, dans Sa miséricorde, fait en sorte que la mère – avant que le petit bébé naisse, il réclame certaines vitamines dont il a besoin, alors les paroles de la mère vont exprimer ça : “Papa, je–je–je voudrais du cantaloup, ou de la pastèque. Je voudrais telle ou telle chose.” Sans... Eh bien, il fera tout ce qu’il peut pour lui procurer cela, parce qu’il sait qu’il tient à ce que son enfant naisse aussi parfait que possible. Voyez? Alors il fera tout en son pouvoir pour le lui procurer.

78 Combien plus est-il en Son pouvoir à Lui, de procurer cela! Lui, qui est un Créateur. Maintenant pensez combien il est en Son pouvoir à Lui de nous préparer un corps dans lequel vivre, un corps semblable à Son corps glorieux – si nous voulons vivre. Il y a quelque chose en nous qui réclame, qui désire vivre. Et il y a quelque chose en nous qui réclame, qui désire faire ce qui est bien. Alors, Dieu appellera sur l’estrade, ou à la chaire, quelqu’un qui prêchera la Vérité absolue. Pourquoi? Voyez? Vous voyez par là. Alors, si vous êtes un véritable enfant de Dieu, vous vous mettez à crier : “Ô Dieu, enlève cela de moi. Circoncis-moi de ceci. Enlève ces choses de moi.” Pourquoi? C’est nécessaire pour votre Demeure céleste, vers laquelle vous allez, celle qu’Il est allé préparer, là-bas. Il faut que vous soyez une véritable Épouse-Parole de Christ.

79 Il y a quelques jours, j’ai prêché, un soir, sur le sacrifice à l’époque de l’expiation. Je prêchais sur le seul lieu où Dieu, la seule Église où Dieu rencontrera l’homme, et c’est, Il a dit que c’est dans le lieu où Il a mis Son Nom. Il a dit : “Je ne les rencontrerai dans aucun autre lieu que dans le lieu, la porte où J’ai mis Mon Nom.” Or, Il ne vous rencontrera pas à la porte méthodiste, à la porte baptiste, à la porte pentecôtiste, ni à aucune de celles-là. Mais c’est dans Son Fils qu’Il a mis Son Nom. Il a dit : “Je suis venu au Nom de Mon Père.”
Tout homme vient, tout enfant vient sous le nom de son père. Il... Je suis venu sous le nom de Branham, parce que mon père était un Branham. Et vous êtes venu sous le nom que vous portez, parce que c’était le nom de votre père.
Et Jésus, le Fils, est venu au Nom du Père. Et Il a dit qu’Il a mis Son Nom, “dans cette porte où J’ai mis Mon Nom, c’est ça le sacrifice”. Et en Jésus-Christ, voilà le seul lieu où vous pourrez jamais communier avec Dieu et L’adorer.
Vous dites : “Eh bien, je suis membre de l’église.” Ça, ça ne change absolument rien. Il faut que vous soyez en Christ.
Un certain ministre d’une dénomination me disait, l’autre soir, il disait : “Monsieur Branham, écoutez. Jésus a dit : ‘Quiconque croit.’ La Bible dit : ‘Quiconque croit que Jésus-Christ est le Fils de Dieu est né de l’Esprit de Dieu.’”

80 J’ai dit : “La Bible ne dit-Elle pas aussi que ‘nul ne peut dire que Jésus est le Christ, si ce n’est par le Saint-Esprit’?” Voyez? On ne peut pas faire mentir la Bible. Il faut que le lien se fasse d’un bout à l’autre.
Donc, il faut absolument que vous soyez né de nouveau, que vous ayez en vous le Saint-Esprit, qui rend témoignage de cela, qui vous fait savoir, à vous, qu’Il est le Fils de Dieu. Et alors, si vous êtes cela et que vous en faites partie, si vous êtes un enfant de Dieu, dans la Parole de Dieu, alors comment pouvez-vous nier la Parole? Comment le Saint-Esprit peut-Il vous faire croire un credo, que vous devez faire quelque chose comme ceci, alors que la Bible déclare autre chose? “Il nous faut adhérer à une église, et faire ceci ou faire cela”, alors que la Bible vous dit clairement ce qu’il faut faire? Voyez? Et quand vous voyez Cela, alors vous vous lancez tête baissée Là-dedans, à ce moment-là vous êtes en harmonie avec Elle. Vous continuez à monter, toujours plus haut, et la croissance se fait.
Comme un–un–un germe qui entre dans le sein d’une femme, avec l’ovule. Alors, quand ce petit ovule commence à se développer et qu’il commence à produire des germes, il ne produit pas un germe humain, puis un germe de chien et ensuite un germe de vache. Il ne produit que des germes humains.

81 Et quand un enfant de Dieu, quand cette semence prédestinée... Il n’est pas de mise d’employer ce mot, mais c’est Dieu, c’est la Bible de Dieu, ici. La prescience de Dieu peut prédestiner, faire tout concourir à Son honneur. Quand cette semence prédestinée, vous qui deviez exister, quand Dieu vous a appelé, et que cet aiglon, cette semence qui était à l’intérieur, a entendu la Parole de Dieu – il s’édifiera là-dessus : Parole sur Parole, sur Parole, sur Parole. Elle ne se mélangera avec aucun credo.

82 Remarquez. “Chaque jour, à l’intérieur de ces portes, ils devaient manger du nouveau pain kascher. Et, pendant les sept jours, il ne se trouverait aucun levain parmi eux.” Pas vrai? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Les sept âges de l’église, donc, rien qui ne soit sans levain, aucun credo, aucun ajout. Ce doit être du pain absolument sans levain. “Il ne se trouvera parmi vous aucun levain du tout.” Si ce n’est le levain, la Parole Elle-même, et Elle seule. Et cette Parole est Dieu. Et Dieu a été fait chair dans la Personne de Jésus-Christ, et c’est Lui la Porte. “Voici la Porte où Je vous rencontre, pour que vous Y adoriez, quand vous suivez les commandements de Dieu.”

83 C’est pourquoi, ce soir, si vous êtes simplement venu dire : “J’offre ma vie à Jésus-Christ”, et que vous n’avez encore jamais reçu le Saint-Esprit, entrez en Lui. Il faut que vous le fassiez. Il faut que vous croissiez en Lui. Demandez à Dieu d’entasser en vous Parole sur Parole, comme ça, jusqu’à ce que vous parveniez à la pleine stature d’un fils de Dieu ou d’une fille de Dieu.
Accepter les choses du monde? I Jean dit : “Si vous aimez le monde ou les choses du monde, c’est que l’amour de Dieu n’est même pas en vous.” On vous a trompé. Vous avez l’amour du monde, là, et à cause de ça vous vous êtes laissé tromper, le diable vous a trompé, en entassant là des choses, et en montrant – vous voyez, vous ne pouvez pas... Eh bien, c’est que vous ne pouvez pas retrancher de la Bible une seule Parole de Dieu.
Quelle a été la cause du premier péché? Ce n’est pas à cause d’un gros mensonge très évident, mais c’est parce qu’Ève a eu une fausse conception – que Satan lui a présentée – d’une seule Parole. Une seule Parole a rompu la chaîne, une seule Parole qu’on a refusé de recevoir. Ça, c’était au commencement de la Bible.
Jésus est venu au milieu de la Bible. Il a dit : “L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.” C’est-à-dire de la Parole de Dieu, dans Sa totalité. Croyez-vous que Ça, c’est la révélation, qui Le révèle, Lui? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] La Parole de Dieu, dans Sa totalité.
Ensuite, dans Apocalypse 22, Jésus est venu à Jean sur l’île de Patmos. Et Jésus : “Moi Jésus, J’ai envoyé Mon ange pour attester ces choses.” Voyez? “Quiconque retranchera une seule Parole de Ceci, ou Y ajoutera une seule parole, Je retrancherai sa part du Livre de Vie.”

84 Il ne suffit pas de dire : “Eh bien, je–je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu.” C’est très bien. Maintenant ajoutez-Y tout le reste. Vous dites : “J’ai été justifié. J’ai tendu la main au ministre. Je crois en Jésus-Christ.” Alors, vous devez naître de nouveau. Il faut que vous soyez rempli du Saint-Esprit. Voyez? Continuez simplement à ajouter, au fur et à mesure que vous avancez. Vous croissez, pour parvenir à la stature d’un fils ou d’une fille de Dieu. Oh! la la!
Dieu, qui est capable de nous préparer et de nous fournir ce que nous réclamons, ce besoin qu’il y a dans notre vie, ce désir de voir quelque chose. Combien ici veulent plus de Dieu? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Eh bien, ça prouve qu’il y en a plus pour vous. Voyez? Vous le réclamez, c’est un besoin. Vos petites douleurs d’enfantement se font sentir. Voyez? Vous avez besoin de plus – pour que nous puissions être heureux, et libres, et parfaits. C’est ce qu’il nous faut être.

85 Comme le–le petit–le petit germe de vie qui est dans le sein de Dieu, tout comme le germe de vie qui est dans le s-... dans le sein de la mère. Dieu grandit; et Il va, Il est allé nous préparer cette place, ce lieu Éternel avec Lui; pas un lieu qui soit une maison de pestiférés, avec la mort, le péché, l’adultère et la souillure du monde qu’il y a ici. Si vos pensées sont tournées vers ces choses, ça montre que votre esprit n’est jamais entré en contact avec Dieu. Voyez? Vous vous êtes emballé, c’est tout. Vous avez une illusion mentale.
Vous vous contentez d’adhérer à l’église, et vous dites : “Eh bien, je fais partie de ceci. Ma mère en faisait partie.” C’était peut-être bien du temps de votre mère, mais nous vivons à une autre époque.

86 Le message de Wesley n’aurait jamais... Wesley ne pouvait pas s’en tenir seulement à Luther. Luther croyait à la justification, mais Wesley avait la sanctification. Les pentecôtistes sont arrivés, eux ne pouvaient pas s’en tenir seulement à la justification et à la sanctification. Pour eux, c’était le temps de la restauration des dons. Maintenant, nous avançons à partir de là. Voyez?
Les trois étapes de la–la Plante qui grandit. Au départ, c’est une petite pousse, Luther est apparu, sorti à la Réforme. Très bien. C’était la tige. Observez la nature. Dieu et la nature agissent en continuité, parce que Dieu est dans la nature. Voyez? Ensuite est arrivée l’aigrette, le pollen : l’âge méthodiste. Puis sont arrivés les pentecôtistes, oh! la la! c’est tellement parfait, vous voyez, tout comme un grain de blé ressemble à du blé, à un grain de blé parfait. Ouvrez-le donc, il n’y a pas de blé du tout dedans. C’est la balle, un porteur du Blé, mais la Vie, là, continue à faire son oeuvre. Voyez?

87 Ceux qui étaient là, à l’âge de Luther, ont accepté Luther. Cette Vie est arrivée là, mais ça s’est transformé en dénomination. C’est bien vite devenu une dénomination, destinée à être brûlée. Voyez? La tige se dessèche; elle n’est qu’un porteur. Certains cherchent encore à rester dans cette vieille tige qui servait de porteur, ils ne savent rien de Dieu, ils sont morts. Ils disent : “Eh bien, regardez, nous sommes une feuille. Nous avons eu Luther.” C’est vrai. Mais regardez ce qu’il en est maintenant. Voyez?
“Nous étions méthodistes.”
Et même : “Nous étions pentecôtistes.” Mais regardez la pentecôte, comme elle devient froide et formaliste, tous, ils s’éloignent. Voyez? Qu’est-ce que c’est? C’était un porteur de la véritable Semence. Voyez? Tous ceux-là, c’étaient des porteurs, mais ils ont pris le chemin de la dénomination. Si vous dites : “Je suis pentecôtiste”, ça, pour Dieu, ça ne veut rien dire de plus que si vous disiez que vous êtes catholique romain, ou juif, ou n’importe quoi d’autre.

88 Il faut que vous naissiez, de cette Vie qui est passée dans ce porteur, là. Ne restez pas dans la tige. Ne restez pas dans la semence. Continuez à avancer, jusqu’à ce que vous soyez parvenu à la partie parfaite.

89 Maintenant, souvenez-vous, dans toutes les réformes que nous avons eues, toutes, les luthériens et tous les autres, au bout de trois ans ils deviennent une organisation. C’est vrai. Chaque réveil a produit une organisation au bout de trois ans.
Pensez un peu depuis combien de temps celui-ci dure, vingt ans et quelques, et pas d’organisation. Pourquoi? C’est la Semence qui arrive, qui se forme sous la balle, comme ceci. Elle repose là, maintenant elle doit rester dans la Présence du Fils, pour mûrir et devenir le grain glorieux, semblable à Celui qu’il y a eu au début. La véritable Église, qui est tombée en terre au début, est en train de revenir, en montant dans la tige, afin de produire une autre Église au moment où la moissonneuse viendra La prendre. La Vie qui a été déposée en Luther, la Vie qui a été déposée dans les méthodistes, la Vie qui a été déposée dans les pentecôtistes entrera dans le grain. Elle entrera toute dans le grain, elle sortira, pour former le Corps parfait de Jésus-Christ.

90 Tout comme le soleil qui se lève le matin. On ne peut pas observer quelque chose dans la nature sans que ça témoigne de Dieu. On n’a même pas besoin de la Bible pour savoir qu’il y a un Dieu. Le petit soleil qui naît : un petit bébé tout faible. Vers les sept heures, il part pour l’école. À dix ou onze heures, il en sort. À midi, il est dans toute sa force. À trois heures de l’après-midi, il commence à se faire vieux. À sept ou huit, six... À cinq ou six heures de l’après-midi, ses épaules commencent à tomber. Il meurt. Est-ce la fin pour lui? Non. Il ressuscite de nouveau le lendemain matin. La vie, la mort, l’ensevelissement, la résurrection!

91 Regardez les feuilles qui poussent sur les arbres. Une belle feuille saine pousse, elle donne de l’ombre, elle produit son fruit. Ensuite, voilà déjà l’automne qui arrive, qui l’atteint, c’est la mort; tout retourne dans les racines, dans le sol. Est-ce la fin pour elle? Le printemps suivant, elle revient de nouveau, pour rendre témoignage. Oh! Ça, c’est une vie perpétuelle.
Mais, frère, soeur, nous avons la Vie Éternelle. Nous avons la Vie Éternelle grâce à cet Être glorieux qui est venu, et qui est reparti, qui a le pouvoir de nous préparer un corps. Et ces douleurs de croissance que nous éprouvons, comme vous, les femmes, qui vous sentez condamnées à cause de ce que vous faites, vous, les hommes, qui vous accrochez à des doctrines de séminaire, et tout, vous aimez bien tous dire : “Je–je récite tel credo. Je fais telle chose.” Mais il se passe quelque chose là au fond de vous, quand vous voyez les yeux des aveugles s’ouvrir, les sourds compren-... les aveugles. Toutes ces choses qui ont été promises. Vous voyez la Parole prêchée dans toute Sa puissance. Vous voyez une prostituée, une fille des rues, devenir une dame. Vous voyez un–voyez un ivrogne sortir de là et devenir un véritable saint de Dieu. Oh! Voyez? Il y a quelque chose, une Vie là-dedans. Vous commencez alors à sentir : “Eh bien, peut-être que je ne devrais pas faire ça.” Mais, vous voyez, en fait, c’est qu’il y a là quelque chose dont votre Corps, là-bas, a besoin. “Venez!” Mais, Dieu a Ici les vitamines qu’il faut pour chaque parcelle de ce Corps. Jésus est allé préparer la place, dans le sein de Dieu; oui monsieur, un petit germe, un fils de Dieu, un petit fils ou une petite fille de Dieu.

92 Jésus n’a demandé qu’une seule chose dans la prière qu’Il a adressée au Père. Vous savez ce que c’était? Une seule chose, après tous les sacrifices qu’Il avait consentis ici sur terre, la vie qu’Il avait vécue, le chemin où Il avait marché. Il a demandé une seule chose : “Que là où Je suis, ils y soient aussi.” Il a demandé la communion avec nous. C’est la seule chose qu’Il a demandée au Père dans la prière : votre compagnie pour toujours. Si vous voulez le lire, c’est dans Jean 17, le verset 24. Alors combien est-ce que nous, nous devrions Le désirer? S’Il désire...
Maintenant écoutez. Si vous êtes réellement né de l’Esprit de Dieu, ça, c’est tout ce qui compte pour vous. Voyez? Ce n’est pas un livre de règlements. Vous ne vivez pas par des lois et tout. Vous vivez par la grâce de Dieu, par l’Esprit de Dieu.

93 J’ai souvent dit ceci. En tant que missionnaire, je suis amené à partir outre-mer. Qu’en serait-il si je faisais venir ma femme et mes enfants et que je leur dise : “Maintenant, les enfants, écoutez-moi bien! Madame Branham, toi, écoute-moi bien! C’est moi ton mari. Tu n’auras pas d’autre mari en mon absence. Si tu le fais, je t’arracherai la peau à mon retour”? Ah. Voyez?
En tapant du pied : “Les enfants, vous m’avez bien entendu?
– Oui. Oui, papa. Oui, papa.
– Gare à vous, si j’apprends que vous avez désobéi une seule fois! Voyez?” Voyez? Ce serait tout un foyer, ça, n’est-ce pas?
Et maintenant, si elle disait à son tour : “Bon, monsieur, tu as terminé? Maintenant c’est moi qui veux te dire quelque chose. Monsieur Branham, je suis ta femme légitime! Toi non plus, tu n’auras pas d’autres petites amies pendant ton déplacement”? Ce serait tout un foyer, ça, n’est-ce pas? Ce serait vraiment quelque chose, ça.
Ce n’est pas ce que nous faisons. Je l’aime et elle m’aime. Quand elle sait que je vais partir, elle sait que je ne pars pas à moins que le Seigneur m’ait appelé à partir. Nous nous mettons à genoux, nous rassemblons les enfants et nous prions. Je dis : “Dieu bien-aimé, prends soin de ma petite compagne, de mes enfants.” Eux, ils disent : “Ô Dieu, prends soin de papa pendant notre absence, pendant son absence.” Et alors, quand nous partons...

94 Mais si vraiment je faisais quelque chose de mal là-bas? Si vraiment je commettais une transgression, je faisais quelque chose de mal? Et si, à mon retour, j’allais voir ma pauvre petite femme, qui s’est tenue là, je regarderais son visage qui commence à se rider et ses cheveux qui grisonnent, je m’avancerais vers elle et je lui dirais : “Chérie, il faut que je te dise quelque chose. Tu sais que je t’aime.
– Bien sûr, Bill, je sais que tu m’aimes.

95 – Je vais te dire ce que j’ai fait. J’ai ramené une fille à la maison.” Je–je dirais : “Je te demande pardon d’avoir fait ça.” Je crois qu’elle me pardonnerait. Je le crois vraiment. Mais est-ce que je ferais ça? Quand je la regarde, là, que je vois ses cheveux qui grisonnent, et que je sais qu’elle a fait écran entre moi et le public, que je sais à quel point elle a été une épouse dévouée, est-ce que je pourrais faire ça? Je–je préférerais mourir plutôt que de la faire souffrir. Vraiment.
Et ça, avec un amour phileo pour ma femme, combien plus grand est mon amour agapao pour Dieu! Oh, je ne ferais rien qui puisse Le faire souffrir. Bien sûr que non. Je–je L’aime. Je veux faire tout ce qu’Il–qu’Il veut que je fasse. Je veux m’aligner sur chaque Parole qu’Il a prononcée, quoi que le monde dise. Eux, de toute façon, ils n’Y croiront pas. Je veux savoir ce que Lui m’a dit de faire. Et s’il me manque quelque chose, je désire qu’Il me le donne. Et vivre pour Lui, en se gardant du monde.

96 Ce vieux corps terrestre, ici, il doit se... Je vais vous dire une chose, ce corps terrestre auquel vous attachez tant d’importance, vous prenez exemple sur Hollywood. Vous en êtes si proches. Ce ne sera pas là encore très longtemps. Vous vous souvenez. Vous avez entendu la prophétie, vous voyez, que le Seigneur m’a donnée : “Elle va sombrer.” Oui monsieur. Remarquez. Elle sombrera. Observez seulement. Or, Il ne m’a encore jamais rien dit de faux. Et je le maintiendrai devant quiconque a quelque chose à dire à ce sujet. Je ne sais pas quand ni où, mais elle est fichue. Le jugement est suspendu au-dessus d’elle. Il n’y a pas de rédemption pour elle; c’est déjà passé. Voyez?

97 Maintenant remarquez ceci. Vivre pour Lui, en se gardant du monde. Maintenant observez. Vous regardez la télévision, certaines d’entre vous, les soeurs, et vous allez là, quelque part, et vous avez ce désir, vous, les jeunes femmes. Vous êtes jeunes. Je le sais. Mais vous êtes Chrétiennes. Voyez? Vous êtes différentes. Vous n’avez pas à être comme le monde. Vous aimez ce monde. Pas seulement vous, les jeunes; certaines d’entre vous qui êtes plus âgées. Voyez? Eh bien, qu’est-ce qui produit ça? Voyez? Vous regardez la télévision, vous allez au magasin et vous voyez ces espèces de petits vêtements que portent les femmes, qui sont indécents.
Vous savez ce qui va arriver au Jour du Jugement? Vous avez beau être aussi fidèle à votre mari qu’on peut l’être, pourtant, au Jour du Jugement, vous aurez à répondre d’avoir commis adultère. Jésus a dit : “Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son coeur.” À qui la faute? À vous. Voyez? Vous vous êtes exhibée comme ça, en short et en pantalon.
Il n’y a pas longtemps, une femme m’a dit : “Je ne porte pas de shorts, Frère Branham. Je remercie le Seigneur pour ça. Je porte des pantalons.”

98 J’ai dit : “C’est pire.” C’est pire. C’est vrai.

99 Il n’y a pratiquement plus moyen, pour une femme, d’acheter une robe. Elle a dit, une femme a dit : “Eh bien, vous avez dit la vérité. ‘Il n’y a pas moyen. Il n’y a pas moyen d’en acheter.’” Mais on vend encore du tissu et des machines à coudre. Voyez? Vous n’avez donc aucune excuse. Voyez? Voyez?
On voit par là, soeur. Je suis votre frère. Et je suis un serviteur de Christ qui devra répondre, au Tribunal du Jugement, de ce que je dis ici ce soir. Voyez? Vous serez reconnue coupable d’adultère, parce que l’amour de Dieu s’est échappé de votre coeur. Vous allez encore à l’église. Peut-être que vous dansez encore par l’Esprit. Peut-être que vous parlez encore en langues. Et ces choses-là, c’est bien, mais encore là, ce n’est pas Ça qu’il faut. Non monsieur.

100 Souvenez-vous, la Bible dit : “Dans les derniers jours, il viendra de faux Christs”, pas de faux Jésus. Ça, les gens ne l’accepteraient pas. Mais “de faux Christs”, de faux oints. Ils sont vraiment oints de l’Esprit, du Saint-Esprit, et pourtant ils sont faux. Voyez? Vous êtes deux...

101 Vous êtes trois personnes. À l’extérieur, il y a le corps. Vous avez cinq sens qui vous permettent d’entrer en contact avec votre demeure terrestre. À l’intérieur, il y a un esprit. Là se trouvent cinq sens : l’amour, la conscience, et ainsi de suite, par lesquels vous entrez en contact. Mais à l’intérieur de ça, il y a l’âme.

102 Souvenez-vous : “La pluie tombe sur les justes et sur les injustes.” La même pluie qui fait pousser le grain de blé fait aussi pousser le grateron. Voyez? Qu’est-ce que c’est? À l’intérieur de cette semence, il y a une nature, et cette nature se manifeste, elle se manifeste. Elle peut se trouver dans le même champ, juste à côté de la mauvaise herbe. La mauvaise herbe et le blé sont là ensemble et se réjouissent autant l’un que l’autre. Il a la tête penchée. Il meurt de soif. Quand la pluie arrive, le grateron peut jubiler aussi fort que le blé. “Mais c’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.” Voyez?

103 Chrétiens, je ne vous reverrai peut-être jamais. Voyez, ça fait des années que je n’étais pas venu ici. Je ne vous reverrai peut-être jamais. Alignez-vous sur la Parole de Dieu. Regardez dans le miroir.
C’est comme, une fois, ce petit garçon qui avait vécu à la campagne et qui n’avait jamais vu de miroir. Il est arrivé chez sa–sa tante. Il a commencé à monter les marches. Il a vu un miroir, et il a vu un petit garçon dans le miroir. Il a continué à monter, tout en regardant. Et–et il a fait signe de la main, et le petit garçon a fait signe de la main. Il a continué à regarder. Il ne s’était jamais vu dans un miroir. Alors, quand il est arrivé tout près, il s’est retourné et il a dit : “Mais, maman, c’est moi!”

104 À quoi ressemblez-vous, dans le miroir de Dieu? Est-ce qu’il reflète une fille ou un fils de Dieu? Y a-t-il quelque chose, alors que vous entendez Cela, qui vous fait haïr l’homme qui Le dit? Ou y a-t-il quelque chose qui vous attire et vous fait dire : “Je sais que cet homme a raison, parce que c’est dans l’Écriture”? Alors, ce sont là les vitamines nécessaires à ce corps qui est destiné à être là-bas, une maison dont l’autre aura besoin quand vous arriverez là-bas. Voyez? “Cette maison-ci; si nous avons porté celle qui est terrestre.”

105 Alors souvenez-vous, nous attachons tant d’importance à ce corps. Nous lui mettons tellement de vêtements. Nous faisons tellement de choses qui ne sont pas nécessaires : rechange après rechange après rechange, et toutes ces choses. Et–et, oh, tout le monde fait pareil.
Il suffit que quelqu’un se mette à faire quelque chose. Peignez vos marches en rouge et vous verrez les Jones peindre les leurs en rouge. Vous passez d’une Chevrolet à une Ford, et ils ne peuvent pas supporter ça. C’est l’époque de l’imitation. Il suffit que... Il suffit qu’une femme vienne à l’église en portant un certain genre de chapeau, et vous verrez toutes les femmes se procurer la même chose; surtout si c’est la femme du pasteur, vous voyez, vous n’avez qu’à regarder ce qui se passe. Mais c’est vrai. C’est tout à fait vrai. C’est l’époque de l’imitation. Frère, ça devrait être l’époque de l’imitation. Toutes ces–toutes ces choses arrivent–arrivent dans un but.
Peu m’importe si mon veston est assorti à mon pantalon. Et j’ai du mal; ma femme ou ma belle-fille, quelqu’un doit me dire quel genre de–de cravate il faut porter avec ça. Mais je–je ne me soucie pas de les assortir. Ce que je veux, c’est que mon expérience s’accorde avec la Parole de Dieu. C’est ça qui compte, parce que c’est là que j’ai l’intention de vivre; pas au coin, là-bas, avec les Jones, mais là-bas dans la Gloire, là où Jésus se trouve, où Il est allé nous préparer une place. Oui, c’est ça que nous voulons. Oui monsieur. Se garder de toutes ces choses.

106 Cette vieille tente terrestre, ici, vous savez ce que c’est? Ce corps, c’est comme un vieux manteau qu’on porte, un manteau qu’on a porté autrefois. Mais, maintenant, vous en avez un tellement meilleur que vous ne l’utilisez plus. Qu’est-ce que vous faites? Vous le suspendez dans le placard, parce que vous en avez un meilleur. Vous avez un meilleur manteau. Il est plus au goût du jour que celui que vous portiez autrefois, qui est usé. Qu’est-ce? Voilà, c’est ce vêtement. Vous, vous êtes ce qui est à l’intérieur. Souvenez-vous, ce vêtement, qu’est-ce qu’il a fait? Il n’a fait que porter votre image. Voyez? Mais maintenant, vous n’en avez plus besoin. Vous l’avez suspendu. Ce sont des guenilles.
Et ce vieux corps est comme ça. Vous, – il a porté l’image du céleste, – pourtant il n’est pas vous. Vous êtes à l’intérieur de ce corps. Vous, l’Esprit de Dieu, vous êtes à l’intérieur de ce corps. C’est ce qui amène l’extérieur à la soumission, c’est parce que c’est l’intérieur qui tire, vous voyez, qui l’amène à s’aligner sur la Parole de Dieu; votre intérieur, vous, vous-même, votre être.
Ce corps n’est qu’un vieux manteau. Et un jour, qu’allez-vous en faire, puisque vous n’étiez–n’étiez dans ce vêtement que pour un temps? C’est comme le vêtement terrestre; ce corps. Votre–votre vrai corps, votre vrai moi, se trouve à l’intérieur de ce vieux manteau que vous appelez William Branham, ou Suzie Jones, ou n’importe qui d’autre. Voyez? Un jour, il sera suspendu dans le musée terrestre en souvenir de vous. Vous le déposerez là-bas dans la tombe, et quelqu’un érigera dessus une pierre tombale : “Ci-gît le révérend Untel, ou Jean Untel, ou tel et tel.” Il reposera là en votre mémoire. Les gens ne vous ont vu que dans celui-ci. Ce que vous étiez, votre vrai moi, était à l’intérieur de ça. Mais le vieux manteau, ça, ça ne faisait que “porter l’image du Céleste”.
Oh, les amis, avez-vous fait votre réservation pour changer de manteau? Avez-vous fait votre réservation pour le Ciel? Souvenez-vous, il vous faut une réservation. Sans cela, vous ne pourrez pas y entrer.
Là, je vous parle dans un langage actuel que vous connaissez. Si vous allez à l’hôtel et que vous dites : “Eh bien, j’avais...”

107 “Avez-vous réservé? Alors, je regrette. C’est complet.” Vous restez dehors, dans le froid, parce que vous avez omis de réserver.
Et si vous arrivez au terme de votre voyage de cette vie sans avoir réservé, il n’y aura Personne là pour vous accueillir. Vous devrez pénétrer dans une Éternité obscure, où il y aura des cris, des pleurs, des gémissements et des grincements de dents. Il le faut. Vous ne pouvez pas entrer dans la Ville, vous, parce que vous n’avez pas de réservation. Il vous faut en avoir une pour entrer dans la Ville, là où Jésus est allé vous préparer une place. Souvenez-vous, il vous faut avoir une réservation et porter le vêtement du salut. Vous ne pouvez pas...

108 Dans Matthieu, j’ai ici un passage de l’Écriture. Je regarde ce que dit l’Écriture, Matthieu vingt-... 22.1 à 14. Je n’ai pas le temps de le lire, parce qu’il se fait trop tard. Je vous ai parlé trop longtemps. Mais, souvenez-vous, le roi a lancé des invitations et a organisé un souper. Il a tué tous ses boeufs, et–et il a préparé les bêtes grasses et tout, il a apprêté un grand souper. Et il a envoyé des messagers, il a invité beaucoup de monde à venir.
L’un a dit : “Eh bien, tu sais, après tout, je fais partie de ceci.” “Et j’ai ceci.” “Je dois m’occuper de ma ferme.” Et un autre avait un tas de choses à faire. Il a de nouveau envoyé des messagers, et on les a maltraités. Finalement... C’était à la génération des Juifs, que Jésus parlait. Ils avaient autre chose à faire.
Alors, finalement, il les a envoyés : “Dites... Allez. Ne vous contentez pas de... Contraignez-les. Allez dans les rues et le long des chemins, partout, et contraignez les gens à entrer.” Et après ça, bien décidé que sa maison... que son souper de noces allait avoir lieu. Il y aura des convives.
Et voilà qu’il trouve là un homme qui ne portait pas l’habit de noces. Il avait voulu garder son vieux manteau. Et regardez ce qu’il lui a dit : “Mon ami, toi, après que je t’ai invité à mon souper de noces, que je t’ai invité et que je t’ai donné une invitation à venir!”

109 Et si jamais vous êtes allé en Orient, – je suis allé prêcher là-bas plusieurs fois, – le souper de noces se déroule toujours comme autrefois. Le marié, tout, il a prévu un certain nombre de convives. Probablement, Frère Kopp, probablement que vous avez observé ça en Inde. Voyez? Ils ont un certain nombre de convives invités; disons qu’il veut inviter trente convives.
Alors, le marié doit fournir les habits. Il doit les fournir, par conséquent, il y a un homme qui se tient à la porte. Vous vous présentez là avec votre invitation. Il examine votre invitation, et il vous met un habit, un vêtement de cérémonie. Là, certains sont riches, certains sont pauvres, d’autres sont autrement, mais, une fois qu’ils ont mis le vêtement de cérémonie, d’apparence ils sont tous pareils. D’apparence ils sont tous pareils.
Et vous devrez tous être pareils. Vous n’allez pas pouvoir dire : “Moi, je fais partie des méthodistes, ici. Je suis presbytérien, et je fais partie des presbytériens, ici.” Oh non. Pour commencer, vous n’entrerez pas du tout. Voyez?
C’est par la Porte que vous devez entrer. Jésus a dit : “Je suis la Porte de la bergerie.”
“Je suis pentecôtiste. Je suis ceci. Je suis cela.” Ça ne veut rien dire du tout.
Vous passez par cette Porte. Et si vous passez par cette Porte, vous recevez le vêtement de cérémonie.

110 Et cet homme, quand il a dit : “Comment es-tu entré ici, mon ami?” Voyez?
Ça montrait qu’il avait passé par un autre endroit, qu’il était entré par une fenêtre, qu’il était entré par l’arrière, mais pas par la porte; pas par la Porte, de la façon dont Jésus est venu, par le sacrifice de soi, en donnant tout ce qu’on est à Dieu, en allant jusqu’au Calvaire, en étant crucifié avec Lui. Et en ressuscitant, pour porter Son vêtement du sacrifice et de la mort aux choses du monde.

111 “Si vous aimez le monde ou les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en vous.” Voyez? Si vous avez toujours l’amour du monde, que vous voulez vous comporter comme le monde et faire comme fait le monde, vous essayez... vous êtes... Bien que vous soyez dans l’église, mais vous êtes un grateron dans le même champ que le blé; vous jubilez avec les autres, vous vous réjouissez avec les autres. Toutes les bénédictions spirituelles sont bien sur vous.
Vous dites : “Mais, je prophétise.” Caïphe aussi. Balaam aussi. Ça n’a rien...

112 “J’ai le baptême du Saint-Esprit.” Ça non plus, ça n’a rien à voir avec la chose. C’est seulement un don temporaire pour vous.
Le véritable don, c’est votre âme, là, au fond, vous voyez, qui est née de Dieu et qui contrôle tout par la Parole de Dieu et par la volonté de Dieu. Et là, vous grandissez, vous voyez, alors vous êtes un fils et une fille de Dieu. Vous êtes un enfant de Dieu. Et ces choses, alors que vous vous développez... Comme avec la mère, vous êtes maintenant dans les entrailles de la terre et vous essayez de sortir. Vous êtes un fils de Dieu, en train de sortir, et vous voyez la Parole qui dit “que je devrais faire ceci, que je devrais naître de nouveau”.
“Eh bien, je suis membre de l’église.” Ça ne veut absolument rien dire. Voyez?
“Je suis méthodiste; ma mère l’est.” Ça, c’est valable pour votre mère.

113 “Oh, mais moi, je suis pentecôtiste. J’en fais partie.” Alors, si vous ne vous alignez pas sur cette Parole, il y a quelque chose qui ne va pas. Voyez? Alors, vous voyez, votre vrai père n’est pas Dieu. Voyez? Parce que cela a réellement commencé dans votre âme, avant même qu’il y ait un esprit, il y avait là votre âme. Cette âme n’est pas venue de Dieu, donc elle n’était pas un germe de Dieu dès le départ. Vous avez été induit en erreur. Vous êtes dans un champ de mauvaises herbes, et vous rendez témoignage du monde, par les mauvaises herbes qui y poussent. Vous agissez comme le monde, vous aimez le monde, parce que l’amour de Dieu n’est pas en vous.

114 Et donc, il y aura de faux oints, dans les derniers jours, pas de faux Jésus. Ça, les gens ne l’accepteraient pas. Mais de “faux” oints. Ils sont oints, oui monsieur, mais ils sont anti-Christ. Ils sont oints de l’Esprit pour faire les signes et les prodiges que Christ a faits, mais ils ne veulent pas s’aligner sur Sa Parole. Voyez?
“Plusieurs viendront à Moi, en ce Jour-là, et diront : ‘Seigneur, n’ai-je pas prophétisé et chassé des démons par Ton Nom?’”
Il dira : “Retirez-vous de Moi, vous qui commettez l’iniquité. Je ne vous ai même jamais connus.”
“J’étais pentecôtiste, Seigneur. Gloire à Dieu! J’ai jubilé. J’ai parlé en langues. J’ai imposé les mains aux malades et je les ai guéris, j’ai chassé les démons.”
“Retirez-vous de Moi, vous qui commettez l’iniquité. Je ne vous ai jamais connus.”

115 Vous voyez ce que je veux dire? Oh, petits enfants, est-ce que vous ressentez le besoin de cette vitamine, ce soir, de ce quelque chose? Il y a un corps qui attend là-bas. Il y a un corps que nous allons recevoir, qui nous attend. Les amis, ne vous laissez pas tromper. Ne vous laissez pas tromper. Le diable est un trompeur. Même le–l’habit de noces, vous devez le porter. Il le faut.

116 Maintenant, nous sommes au temps du soir. Le corps terrestre est maintenant sur le point de disparaître, et nous nous préparons à entrer dans le corps céleste. Et maintenant, nous percevons cet étrange appel de Dieu à nous rendre dans ce glorieux Éden. Et avant que nous naissions ici, nos petits corps réclamaient quelque chose qui–qui devait être fourni, sans quoi nous serions ici un enfant souffrant d’une affliction. Là-haut, avec Dieu il n’y a pas d’afflictions. Tous sont parfaitement alignés, l’Épouse correspond parfaitement à ce qu’était l’Époux, la Parole manifestée en Sa saison. Puisse Dieu l’accorder à chacun d’entre vous, enfants, sans exception! Il y a un Ciel où aller. Il y a un enfer à éviter.

117 Bon, vous êtes nombreux à savoir que le Seigneur m’a donné des visions, des milliers d’entre elles. La chose la plus glorieuse... Autrefois, j’avais peur de la mort. Il y a environ trois ans, vous avez vu l’article paru chez les Hommes d’Affaires Chrétiens : Au-delà du rideau du temps. Je suis conscient que je pourrais ne pas passer la nuit. Je ne vous reverrai peut-être jamais de ma vie ici-bas, mais ceci est vrai. Je–je ne sais pas s’il faut l’appeler une vision, ou quoi au juste.
Un matin, récemment, j’étais... je venais de me réveiller. Je venais de rentrer d’une série de réunions. Ma femme était là, endormie. Je lui ai dit : “Chérie, est-ce que tu es réveillée?” Elle dormait toujours. Je savais qu’il fallait nous lever pour amener les enfants à l’école.
J’ai relevé mes mains, en arrière, comme ceci, et je me suis dit : “Eh bien, dis donc, Bill Branham, sais-tu que tu as plus de cinquante ans? Toi, si tu veux faire quelque chose pour le Seigneur, tu ferais mieux de te dépêcher, parce qu’il ne te reste plus beaucoup de temps.” Je me suis dit : “Oh! j’espère que je vivrai assez longtemps pour voir la Venue du Seigneur Jésus.”
J’avais toujours imaginé que–que lorsqu’on mourait, je verrais, prenons le frère ici. Je dirais... “Oui, Frère Branham, un soir, là-bas sur la terre, vous avez prêché dans mon église.” Mais il–il serait un esprit, je ne pourrais pas lui serrer la main, parce que sa main serait là-bas dans la tombe, en décomposition, vous voyez; la mienne aussi. C’est un peu l’idée que je m’en faisais.

118 Mais ce matin-là, quand, j’ai senti Quelque Chose m’envahir. Je me suis dit... C’était comme d’habitude, quand une vision vient. Et j’ai regardé, et je–j’ai regardé encore. Je me disais : “Oh! Qu’est-ce que ça peut bien être?” Je voyais de grandes collines verdoyantes, et de partout s’avançaient des jeunes femmes, par dizaines de milliers et centaines de milliers. Elles s’avançaient toutes, leurs longs cheveux qui leur descendaient dans le dos, vêtues de robes blanches, nu-pieds, elles poussaient des cris, elles criaient à tue-tête : “Notre frère!”

119 Je–je me suis dit : “Ça, c’est bizarre.” Je me suis retourné pour regarder. Et j’étais bien étendu là, et ma femme était étendue là sur le lit. Et j’ai dit : “Bon, tu sais quoi? Je suis mort.” J’ai dit : “Eh bien, voilà ce qui est arrivé. Je–je suis mort.” Et j’ai dit : “J’ai peut-être eu une crise cardiaque, ou quelque chose comme ça. Je suis mort. Voilà mon corps étendu là.” J’étais simplement étendu là, les mains en arrière, comme ça, tout raide. Je me suis dit : “Ce n’est même pas à vingt pieds [six mètres] de moi.” Et j’étais là, en train de regarder. Je me suis dit : “C’est... Voilà ma femme. Tout est bien là. Voilà ma chemise qui est suspendue là, à ce pied de lit.” Et je me suis dit : “Moi, je suis ici.”

120 J'ai de nouveau regardé autour de moi, et toutes ces femmes arrivaient. Et elles étaient... J'ai regardé venir de ce côté-ci, et c'étaient mes frères qui arrivaient. Oh! Ils étaient bien réels. Ils avaient tous l'air d'être de jeunes hommes. Ils criaient : “Notre précieux frère!” Oh, je ne savais pas quoi penser.

121 Je me suis dit : “Ça, c’est bizarre.” Je me suis regardé, et je n’étais pas un vieil homme. J’étais jeune. Je me suis dit : “Ça, c’est bizarre.” Je me suis dit : “Est-ce une vision?” Je me suis mordu le doigt. Et je me suis dit : “Non. Ce n’est pas comme les visions que j’ai eues.”

122 Et à ce moment-là, il y a Quelque chose qui s’est mis à me parler ici en haut, et qui m’a dit : “Tu es entré rejoindre les tiens.”
Et je me suis dit : “Les miens? Ces gens sont-ils tous des Branham?”

123 Il m’a dit : “Ce sont tes convertis à Christ.” Et ces femmes...
Vous savez, on m’a toujours traité de, comme de raison, on m’appelle un “misogyne”, mais je n’en suis pas un. Voyez? C’est parce que je crois... Je–je–je n’aime pas les personnes immorales, indécentes. J’aime de vraies soeurs en Christ, des soeurs authentiques. Si elles sont comme ça, alors c’est bon.

124 J’ai des cicatrices de l’époque où j’étais gamin. J’ai connu des événements qui m’ont rendu comme ça. Mais tout ça, c’était–c’était Dieu qui me faisait, qui me formait pour cette heure-ci. Voyez?

125 Je pense qu’il n’y a rien de mieux qu’une vraie, une authentique soeur. Si Dieu avait pu donner à l’homme quelque chose de meilleur que le salut, Il lui aurait donné une épouse. Voyez? Donc, si Dieu avait pu donner quelque chose de meilleur, Il l’aurait fait. Et alors, de voir que certaines d’entre elles se détournent et n’agissent même plus comme une épouse, qu’elles sont infidèles à leurs voeux de mariage, et leur mari aussi. Souvenez-vous, vous êtes liés l’un à l’autre tant que vous vivrez. “Ce que Dieu a uni sur terre est aussi uni au Ciel.” Voyez?

126 Donc, je–je voyais ça. Et ces femmes accouraient et me sautaient au cou, elles m’étreignaient tout en m’appelant “Frère!” Or, c’étaient des femmes, mais, dans ce lieu-là, il ne pourrait jamais y avoir de péché. Voyez? C’étaient des femmes. Mais, vous voyez, la manière dont nous sommes faits maintenant, la femme avec une–une glande, une glande féminine, et l’homme avec une glande masculine, c’est pour élever des enfants. Là-bas, il n’y en aura pas. Ils auront tous la même glande, mais ils auront encore la même forme. L’image terrestre qu’ils portaient ici se retrouvera là-bas, mais jamais il ne pourra y avoir de péché. Vous serez tous pareils. On n’élèvera plus d’enfants, là-bas. Voyez? C’est vrai. Tout sera comme ça. Donc, je regardais, et il y avait ces femmes.

127 Et ils m’ont soulevé. Ces frères m’ont déposé sur un endroit surélevé. J’ai dit : “Pourquoi avez-vous fait ça?”
Il m’a dit : “Sur terre, tu étais un chef.” Et il a dit–et il a dit : “Tu... Ce sont ces gens-là.”

128 Une femme s’est avancée. Elle a dit : “Notre précieux frère.” Une femme d’une beauté exceptionnelle!
Alors qu’elle passait près de moi, cette Voix m’a interpellé, en ces mots : “Tu ne te souviens pas d’elle?”
J’ai dit : “Non.”
Il a dit : “Tu l’as conduite à Christ alors qu’elle avait plus de quatre-vingt-dix ans. Tu vois? Tu peux comprendre pourquoi elle dit ‘précieux frère’, n’est-ce pas?”
J’ai dit : “Eh bien, est-ce que–est-ce que vous allez...”
Il a dit : “Non. Nous attendons ici.”
J’ai dit : “Eh bien, si je suis de l’autre côté, je veux voir Jésus.”
Il a dit : “Tu ne peux pas Le voir maintenant. Ça, c’est ce que l’Écriture appelle ‘les âmes sous l’autel’. Lui, Il est juste un peu plus haut. Un jour, Il reviendra. Nous retournerons sur terre. Ici, on ne mange pas et on ne boit pas.”

129 J’ai dit : “Et dire que j’avais peur de ceci! Mais, c’est...”
Il n’y a pas de mot pour l’exprimer, mes amis. “C’est parfait” ne–ne s’en approcherait même pas, “sublime”. Dans le vocabulaire anglais, je ne connais aucun mot pouvant exprimer comment c’est. Cela dépasse tout ce que je connais. Il était là. Il n’y avait pas de maladie, pas de chagrin. On ne pouvait pas mourir. On ne pouvait pas pécher. C’était parfait, tout simplement parfait. Mes amis, il ne faut pas, il ne faut pas manquer ça. Souvenez-vous.

130 Et quand j’étais un jeune garçon, j’ai eu une vision de l’enfer, j’étais un jeune garçon. Et vous savez comment les dames, aujourd’hui, ou plutôt les femmes (une dame ne ferait pas une chose pareille) se maquillent les yeux comme ceux d’un loup, ou quelque chose comme ça, avec ce truc bleu sous les yeux. J’ai vu ça. J’étais en train de sombrer. J’étais jeune garçon; j’avais reçu un coup de feu, et j’étais couché à l’hôpital, j’agonisais. J’avais toujours su que Dieu existait.
Je me rappelle la première prière que j’ai essayé de faire. La seule chose que je pouvais dire... Je–je n’ai encore jamais raconté ceci, mais j’ai à coeur de le raconter en ce moment. J’avais reçu un coup de feu. J’étais étendu là dans un champ, en train d’agoniser. Et le seul argument que je pouvais présenter devant Dieu pour ma défense, j’ai dit : “Tu sais, Seigneur, je n’ai jamais commis d’adultère.” Voyez? J’étais un jeune garçon d’une quinzaine d’années; j’avais essayé de vivre comme il faut. Et j’ai dit : “J’ai vécu chastement.” C’était tout ce que je pouvais dire. C’était le seul mérite que j’avais à Lui présenter.

131 Et alors, étendu là, après que le médecin est reparti, je me suis senti sombrer dans une Éternité obscure, on aurait dit. J’ai appelé papa, en hurlant : “Oh, papa, viens à mon secours.” Papa n’était pas là. “Maman, viens à mon secours.” Maman n’était pas là. “Ô Dieu, viens à mon secours.” Dieu n’était pas là. Oh, c’était un cauchemar horrible, interminable. Un enfer de feu et de flammes serait un endroit agréable, comparé à ça. Alors que je tombais là-dedans, je me disais : “Oh! la la!” Tout en dégringolant, comme ceci. Je suis arrivé dans un endroit enfumé, obscur, écoeurant. Oh, quelle sensation! C’était la mort qui était sur moi.
Je pouvais voir ces femmes s’approcher de moi avec ces yeux maquillés, comme ça. Or, souvenez-vous, ça, c’est arrivé il y a quarante-cinq ans, ou du moins une quarantaine d’années. Elles faisaient, elles faisaient : “Hun! Hun! Hun!”
J’ai demandé : “Est-ce que je dois rester là pour toujours?
– Pour toujours.”

132 J’ai dit : “Ô Dieu, si Tu me fais sortir d’ici, je–je–je n’aurai plus jamais honte de Toi. Je n’aurai plus jamais honte. Ô Dieu, je T’en prie, donne-moi une chance.”
Soudain, je me suis senti revenir. Le médecin était inquiet, parce que mon coeur ne battait qu’à dix-sept battements par minute. J’avais déjà perdu tout mon sang et tout, je baignais dans mon propre sang. Je me suis demandé si un jour cela arriverait.

133 Il y a environ deux ans, quand je suis allé habiter à Tucson, j’étais avec ma femme, au magasin J.C. Penney. J’étais assis là, comme ça, la tête baissée, et j’attendais. Parce que, vous savez comment sont les femmes, elles en passent du temps, dans les magasins. Alors, j’étais–j’étais assis là, la tête baissée comme ceci. Et, en haut de l’escalier roulant, j’ai vu arriver quelques-unes de ces femmes avec des coupes de cheveux donnant l’impression qu’elles étaient hydrocéphales, vous savez comme elles font, comme ça. Elles arrivaient, avec les yeux tout maquillés, comme ça. Et elles parlaient espagnol. C’était ça. Toute la chose (la vision) s’est répétée. C’était là : “Hun! Hun!”

134 Frère, soeur, je vais vous dire quelque chose. Ça peut paraître amusant en ce moment, mais une fois qu’on arrive là-bas; c’est vraiment sérieux. Ne prenez jamais cette voie-là.

135 Moi, qui suis un vieil homme, un ministre, j’ai prêché dans le monde entier, j’ai des millions d’amis, mais je sais que je devrai comparaître là-bas avec vous. Éloignez-vous des choses du monde. Et s’il y a quelque chose en vous qui fait que vous voulez toujours agir comme vous le faites, et qu’effectivement, les choses du monde sont en vous, souvenez-vous, vous n’appartenez pas à Dieu. Vous n’êtes qu’un membre d’église, tant qu’il n’y a pas cet appel, cette profondeur qui appelle la Profondeur. Voyez?

136 C’est comme, avant qu’il y ait une nageoire sur le dos du poisson, il fallait d’abord qu’il y ait de l’eau où il puisse nager, sinon il n’aurait jamais eu de nageoire.
Avant même qu’un–qu’un arbre puisse pousser en terre, il fallait qu’il y ait une terre, sinon aucun arbre n’aurait pu y pousser. L’arbre n’aurait eu aucune raison d’être, ni de coexister.

137 Avant qu’il puisse y avoir une création, il faut qu’il y ait un Créateur. “Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice.” Voyez? Il y a quelque chose en nous. Vous avez levé la main tout à l’heure, pour dire : “Je veux plus de Dieu.” Voyez? Il y a un besoin là.
Et si vous aimez le monde, que vous suivez cette voie-là, celle des choses du monde, vous suivrez le monde dans sa course, et vous irez à la chute. Voyez? Sortez. Vous êtes des fils et des filles de Roi, du Roi. Soyez des dames et des gentlemen. Marchez comme des Chrétiens. Vivez comme des Chrétiens. Agissez comme des Chrétiens. Souvenez-vous, je vous retrouverai au Tribunal du Jugement avec ces réflexions. Voyez?

138 Ce soir, regardez dans votre miroir et voyez. “Dans quelle direction est-ce que je vais? Est-ce que Jésus me prépare une place, un corps? Ce corps-là est parfait. Ce corps-là se conduit comme il faut. C’est un fils ou une fille devant Dieu. Et j’éprouve les douleurs de l’enfantement ici, pour naître dans le corps qui est là-bas. Si j’aime encore le monde, ça me montre que je ne suis pas, que je n’ai pas de corps là-bas. Je ne suis qu’un membre d’église. Je n’étais pas un germe de Dieu. Je ne le suis pas. Il n’est pas mon Père.”

139 Il a dit : “Si vous ne supportez pas la correction,” c’est ce que vous recevez maintenant, “alors vous êtes des enfants illégitimes, et non des enfants de Dieu.” Pas vrai? [L’assemblée dit : “Vrai.”–N.D.É.] Est-ce bien ce que dit la Bible? [“Amen.”]
Si vous ne supportez pas la correction de Dieu, quand vous voyez l’Écriture vous remettre au pas, que vous dites : “Oh, je ne veux pas entendre ces Affaires-là. Moi je suis–je suis Chrétien. Je fais...” Très bien. Allez-y. Voyez?
Voilà une preuve évidente que vous n’êtes pas un enfant de Dieu.
Mais un véritable enfant de Dieu a faim et soif. Pourquoi? Si, dans votre coeur, quelque chose vous dit que vous désirez cela et que c’est un besoin, là, ça montre qu’il y a quelque chose qui palpite, qui essaie de vous attirer là-bas. Il y a un corps là-bas, dont celui-ci est un type. À quelles fins utilisez-vous celui-ci : pour glorifier le diable et le monde, et les modes et tout? Ou bien est-ce que vos regards sont tournés vers le Ciel : il y a quelque chose là-haut, et vous glorifiez Dieu par votre vie? Il y a beaucoup de demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. J’irai vous préparer une place. ...et je reviendrai pour vous prendre avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi.

140 Les choses qui sont à venir. Les choses actuelles sont seulement quelque chose de potentiel, qui réclame les choses qui sont à venir.
Prions.

141 Réfléchissez sérieusement. Voulez-vous le faire, chers amis Chrétiens? Réfléchissez très sérieusement un instant. Soyons vraiment silencieux pendant un instant. Laissons le Saint-Esprit parler.
Or, le Seigneur Jésus m’a envoyé vers vous, pentecôtistes, il y a longtemps. Tenez, cet homme, qui est l’un des vôtres et qui est devenu votre pasteur, a dit que “c’était le résultat du ministère”. Il a vu le Seigneur Jésus ouvrir les yeux des aveugles; il dit L’avoir vu “ramener à leur taille normale la tête des hydrocéphales”. Je continue à faire des services de guérison. Mais, je me rends bien compte que j’ai prié pour beaucoup de personnes qui étaient très malades. Elles ont été guéries. Le Seigneur a exaucé la prière et a guéri les malades. Mais, vous savez, certaines de ces personnes qui ont été guéries sont déjà mortes. Et peu importe combien vous êtes malade, si vous êtes guéri, vous mourrez quand même.
Mais cette âme, mon précieux frère, cette âme, ma précieuse soeur, ne voulez-vous pas y penser maintenant? Elle, elle est Éternelle. Si cet amour de Dieu n’est pas là, à l’intérieur, s’il n’y a rien qui tire, ne voulez-vous pas demander à Dieu : “Ô Dieu, fais-moi prendre un nouveau départ, ce soir. Je T’aime, Seigneur. Je veux T’aimer. Et il y a quelque chose dans mon coeur qui me dit que je dois vivre plus près de Toi. Je veux venir le faire immédiatement, Seigneur.” Si cette personne, ou ces personnes sont dans cette salle, ou hors de cette salle, je vous demande, en tant que serviteur de Christ, et au Nom de Jésus-Christ, en gardant la tête inclinée, voulez-vous juste lever la main vers Dieu et dire simplement : “Ô Dieu, attire-moi plus près, plus près, Dieu bien-aimé. Je veux m’aligner sur tout ce que Tu as dans Ta Parole”? Levez les mains. Maintenant, soyez vraiment honnêtes. Réfléchissez.

142 Bon, les gens disent : “Oh, j’ai fait ceci. Je–j’ai poussé des cris par l’Esprit. J’ai parlé en langues. Mais, regardez, il y a quelque chose qui manque dans ma vie. Je regarde dans le miroir de la Parole de Dieu, je sais qu’il y a quelque chose. Je vais à l’église, mais je ne suis pas ce que je devrais être.” Voyez? Ça montre qu’il y a quelque chose.
Or si, en vous examinant, vous pouvez voir que vous n’êtes pas aligné sur la Parole de Dieu, mais qu’il n’y a rien à l’intérieur qui vous pousse à lever la main, alors vous savez qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Vous avez, il y a... Ma mère disait : “On ne peut pas faire sortir du sang d’un navet, parce qu’il n’y a pas de sang dedans.” Voyez? Réfléchissez à ça, très sérieusement. Ce pourrait être votre dernière occasion. Trente, quarante mains se sont levées, ici, dans ce petit groupe, même des membres du clergé.

143 Soyez très respectueux un instant. Maintenant réfléchissez bien. “Dieu bien-aimé, il se pourrait que je sois tué dans un accident ce soir. Il se pourrait que je meure d’une crise cardiaque. Un de ces quatre matins, il se pourrait que j’appelle le médecin, qu’il vienne, et que mon pouls soit à peine perceptible; je suis fichu. J’appuie ma joue contre l’oreiller, en réclamant : ‘Ô Dieu! Ô Dieu! Ô Dieu!’” Voyez? Ce coeur bat pour la dernière fois. Vous arriverez à cette grande Porte. Vous ne sortirez jamais de là, à moins d’être né de nouveau de l’Esprit de Dieu. Vous ne sortirez jamais de là, à moins qu’il y ait quelque chose en vous, une fois que vous êtes né de l’Esprit de Dieu, qui a faim et soif d’avancer avec Dieu. Il le faut. Voyez? Vous êtes un enfant de la terre, dans les entrailles de la terre, qui attend encore de naître dans le Royaume de Dieu, là où Il est allé vous préparer un autre corps, qui est un corps parfait.
Maintenant, réfléchissez très profondément, et prions ensemble.

144 Dieu bien-aimé, je sais que ceci est inscrit dans le Livre, dans le grand Registre! Nos tâtonnements dans le domaine de la science, Seigneur, nous ont quand même réveillés à certaines réalités : nous savons que chaque geste que nous faisons fait plusieurs fois le tour du monde au moment même où nous le faisons. Nous le voyons par la télévision. Père, nous comprenons bien que la télévision ne fabrique pas l’image, elle ne fait que canaliser les–les vibrations dans un tube qui reproduit l’image. Même la couleur des vêtements que nous portons est visible par les ondes éthérées de l’air, car c’est transmis sous forme de vibrations dans le monde entier. Alors comment nos soeurs peuvent-elles porter ce genre de vêtements, agir comme ça, et ne même pas avoir faim; maquillées, les cheveux coupés?
Des ministres, qui vont opter pour la théologie, pour un séminaire, et y “accepter des paroles d’hommes qui, par leurs traditions, annulent l’effet des commandements de Dieu sur les gens, par leurs traditions”, en disant aux gens qu’il suffit d’être membre de l’église.
Ô Dieu, sont-ils conscients que chaque mot que nous prononçons – c’est prouvé par la science – est enregistré? Et l’enregistrement commence au moment où nous commençons notre vie sur cette terre. Il se termine à notre mort, et il est placé dans l’album de Dieu pour être repassé au Jugement.
Le châtiment de Dieu, comment y échapperons-nous, si la chose nous a été montrée si clairement et que nous L’avons quand même rejetée?
Ô Dieu bien-aimé, ces Paroles ne meurent jamais. Elles continuent sans fin. L’enregistrement sera passé au Jour du Jugement. Tu as vu ces mains qui se sont levées, Père. Ce sera montré directement là au Jour du Jugement. Et ce que leur coeur pensait sera aussi montré au Jour du Jugement.

145 Maintenant, Dieu notre Père, je Te demande, en tant que Ton serviteur, je Te prie d’ôter toute iniquité de Ton peuple. L’iniquité : quelque chose que nous savons que nous devons faire, et que nous ne faisons pas. David a dit : “Si je conçois l’iniquité dans mon coeur, Dieu n’exaucera pas mes prières.” Je Te prie, ô Dieu, d’ôter notre iniquité, parce que la Parole est Ton miroir, qui nous montre à quel point nous sommes loin d’être des fils et des filles du Roi. Père, je Te prie de l’accorder, ce soir.

146 Et fais que ce soit là un autel, puisque l’autel est déjà rempli de gens. Fais que ce soit là un autel, sur la chaise où les gens sont assis; fais que l’autel, ce soit leur coeur. Que le monde s’éloigne de chaque frère et de chaque soeur qui est ici. Et que ce petit germe de Vie, ce gène de Dieu dont nous venons de parler, cet attribut qui est descendu de Dieu et qui a été manifesté ici pour honorer et glorifier Dieu, ô Dieu, éloigne le monde de cela.

147 Pour les autres, je ne peux pas prier, Seigneur, parce que “cette maladie conduit à la mort”, et il n’y a rien en eux pour les faire réagir. Mais pour ceux qui peuvent réagir, et qui savent que c’est mal, purifie leur coeur et leur âme ce soir, Père. Et qu’ils soient remplis de Ton Esprit et marchent dans Ta Lumière.

148 Bénis ce cher pasteur ici, qui est jeune, en bonne santé et qui a l’air robuste, Seigneur. Ce jeune homme qui dit qu’il a été influencé par ce qu’il T’a vu faire. Ce brave jeune homme, ô Dieu, embrase son âme. Accorde-le, Seigneur. Qu’il soit continuellement un vrai berger, tout le temps, pour nourrir le troupeau dont le Saint-Esprit l’a établi surveillant. Accorde-le, Seigneur. Qu’il ne se détourne ni à droite, ni à gauche, d’aucun côté, vers aucun credo, ni rien d’autre, mais que ce soit la pure Parole de Dieu qui sorte de sa bouche, et Elle seule. Bénis-le, ô Dieu, lui et ses bien-aimés, et sa petite assemblée ici. Sois avec eux tous, Père.

149 Je Te confie ceci, Père. La Semence a été semée. Puisse-t-Elle tomber sur la semence qui a été destinée à la Vie, et faire grandir des Chrétiens remarquables et forts dans cette assemblée ici et dans les autres assemblées d’où ils viennent. Accorde-le, Seigneur. Je Te remets cela au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu.
Et, Père, “Il a été blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris”.

150 J’ai vu passer par la porte, il y a quelques instants, une pauvre femme agitée. Ô Dieu, dans sa propre famille, quelles choses glorieuses ont été accomplies, combien Tu T’es manifesté! Ô Dieu, je prie pour cette femme. Enlève tout ce passé dans sa vie, Seigneur, et guéris-la ce soir. Veux-Tu le faire, Seigneur? Prends-la près de Toi.

151 Tu le vois, il y a des petits enfants assis ici, Seigneur, qui ont besoin de guérison, et d’autres personnes. Je Te prie de les guérir, Père. Accorde-le. Que Ta glorieuse puissance de guérison vienne nous guérir, guérir notre âme et notre corps.

152 Maintenant, quant à vous, maintenant, qui êtes ici dans l’église ou à l’extérieur, et qui avez besoin de guérison, je veux que vous leviez la main, pour dire : “J’ai besoin de guérison, Frère Branham.” On dirait que tout le monde en a besoin. Très bien. Êtes-vous prêts à croire que je suis un serviteur de Christ? Dites : “Amen.” [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Alors, je veux que vous posiez vos mains les uns sur les autres. Imposez-vous simplement les mains. Vous avez levé la main, à l’intérieur et à l’extérieur; vous avez levé la main pour indiquer que vous croyez en Dieu.
Jésus-Christ a dit, Sa dernière commission à l’Église : “Allez par tout le monde, et prêchez l’Évangile à toute la création. Celui qui croira... Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé. Celui qui ne croira pas sera condamné. Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru : en Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; s’ils saisissent des serpents ou boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal; mais, et s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.” Or, c’est ce que Jésus a dit. Souvenez-vous, c’est Lui qui l’a dit. Ça ne peut pas faire autrement qu’arriver. Il ne l’aurait pas dit sans qu’il y ait quelqu’un qui puisse saisir cette Parole.
Tout comme le sein de Marie qui a pu saisir le germe : “Une vierge concevra.” Comme un palmier qui a pu être créé, et un chêne sur une colline, c’est Sa Parole qui l’a fait.
Sa Parole peut s’ancrer dans votre coeur maintenant même. “Je suis un croyant, Seigneur. Cet homme ou cette femme sur qui j’ai posé les mains est une personne souffrante. Je ne prie pas pour moi-même. Parce que c’est eux qui prient pour moi. Je prie pour elle ou pour lui. Ô Dieu, guéris-le, guéris-la. Je suis un croyant, et nous voici rassemblés. On vient de nous enseigner que nous étions avec Christ quand Il marchait sur la terre, parce que nous faisons partie de Sa Parole. Nous avons souffert avec Lui. Nous avons saigné avec Lui. Nous sommes morts avec Lui. Nous avons été ensevelis avec Lui. Nous sommes ressuscités avec Lui, et nous sommes assis ensemble dans les lieux Célestes en Jésus-Christ. Le grand Roi est ici au milieu de nous, et je suis un fils ou une fille de ce Roi. J’ai posé ma main sur un fils ou une fille du Roi, qui prie pour moi, et moi je prie pour eux. Maintenant, Seigneur, exauce ma prière et guéris ce fils de Dieu ou cette fille de Dieu.”
Ensemble maintenant, prions les uns pour les autres.

153 Seigneur Jésus, nous venons humblement confesser nos fautes. Nous venons en confessant que nous méritons la maladie, la mort et le chagrin, mais que nous acceptons l’expiation que Tu as faite pour nos péchés et pour notre maladie. Et, ce soir, ces fils et ces filles de Dieu qui sont ici, ayant écouté la Parole de correction, ils ont levé la main, ils désirent marcher plus près de Toi. Maintenant ils s’imposent les mains les uns aux autres, parce qu’ils croient que Ta Parole est vraie. Ils croient que nous sommes maintenant ressuscités avec Christ et assis avec Lui dans les lieux Célestes. Leurs mains sont posées les uns sur les autres, et ils prient les uns pour les autres.
Tu as dit : “La prière de la foi sauvera le malade, et Dieu le relèvera; et s’il a commis un péché, il lui sera pardonné. Confessez donc vos fautes les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. Car la prière fervente du juste a une grande efficacité.” Ô Dieu Éternel, exauce la prière de Tes serviteurs.
Et maintenant, il est aussi écrit : “Si le peuple sur qui est invoqué Mon Nom se rassemble et prie, Je l’exaucerai des cieux.” Ô Dieu, exauce ce soir, du haut des Cieux, la prière de Tes enfants. Fais descendre le Saint-Esprit sur cet auditoire, comme un vent impétueux. Nous amenons ces gens devant Dieu.

154 Satan, tu es vaincu. Tu es un être vaincu. Jésus-Christ t’a vaincu au Calvaire. Tu n’as aucun pouvoir. Tu es un bluffeur. Nous te défions ce soir. Au Nom de Jésus-Christ, maladies et infirmités, sortez des gens qui sont ici. Et qu’ils soient libérés, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu.

155 Alléluia! Sentez la gloire de Dieu! Sentez que votre prière a été exaucée. Vous croyez que Dieu a exaucé la personne assise à côté de vous? Combien le croient? Levez les mains. [L’assemblée se réjouit.–N.D.É.] Voilà. Oh, merveilleux! Je L’aime, je... Maintenant, avec les mains levées, chantez-le pour Lui de tout votre coeur. Parce qu’Il m’a aimé le premier... Ça vient vraiment du fond de votre coeur, là?

156 Combien parmi vous croient que Dieu a pardonné vos iniquités, les choses que vous avez faites? “Et, à partir de ce soir, ô Agneau de Dieu, je promets de marcher droit. Je marcherai en honorant le Nom qu’on me donne, celui de Chrétien, une vie qui ressemble à celle de Christ. Je lèverai les mains, ô Dieu. Ce soir, je me consacre à Toi tout à nouveau. Je marcherai dans la Lumière.” Amen. Oui, nous marcherons dans la Lumière,
Là où la miséricorde étincelle;
Brille autour de nous, le jour et la nuit,
Jésus, la Lumière du monde. Oui, nous marcherons dans la Lumière (C’est une Lumière si belle), Là où la miséricorde étincelle...
Là où Il est allé nous préparer une place.
Brille autour de nous, le jour et la nuit,
Jésus, la Lumière du monde. Vous, tous les saints de la Lumière, proclamez
Jésus, la Lumière du monde;
La vérité et la miséricorde en Son Nom,
Jésus, la Lumière du monde. Alors, que ferons-nous? Oui, nous marcherons dans la Lumière,
Là où la miséricorde étincelle;
Brille autour de nous, le jour et la nuit,
Jésus, la Lumière du monde. Oh, est-ce que vous ne vous sentez pas tout récurés, tout bien? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Oh! la la! Serrons-nous la main pendant que nous le chantons de nouveau. Oui, nous marcherons dans la Lumière,
Là où... (Que Dieu vous bénisse, frère.) ...étincelle;
Brille autour de nous, le jour et la nuit,
Jésus, la Lumière du monde. Fermons simplement les yeux et fredonnons-le. [Frère Branham et l’assemblée commencent à fredonner Jésus, la Lumière du monde.–N.D.É.] Nous agissons comme des enfants. Nous sommes des enfants. Oh, c’est une Lumière si belle,
Là où la miséricorde étincelle;
Oh, brille autour de nous, le jour et la nuit,
Jésus, la Lumière du monde. Vous L’aimez, n’est-ce pas? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Ma foi regarde à Toi,
Toi, Agneau du Calv-... Fermez simplement les yeux et chantez-le. Adorez par l’Esprit.
Sauveur Divin;
Écoute ma prière,
Efface mes péchés,
Que je sois dès ce jour,
Entier à Toi! Et dans ce labyrinthe,
Entouré de malheur,
Oh, sois mon Guide;
Disperse ces ténèbres,
Viens effacer mes craintes,
Que jamais loin de Toi
Je ne m’égare.

157 Oh! la la! Je sais, je suis vieux jeu. J’aime... Je trouve que c’est mille fois mieux que toutes ces nouvelles imitations saccadées de fandango et de rock-and-roll. Ces poètes d’autrefois qui ont écrit ces cantiques, c’est le Saint-Esprit qui a touché cette plume, et ils se sont mis à écrire. Oh! la la! Je pense à Eddie Perronet et à tous ces grands, à Fanny Crosby : Ne passe pas près de moi sans t’arrêter, ô doux Sauveur,
Écoute mon humble cri.

158 Une fois, ils ont essayé de l’avoir. Elle n’a–elle n’a pas fait comme le pentecôtiste Elvis Presley, elle n’a pas vendu son droit d’aînesse pour un tas de Cadillac. Elle... Des gens sont venus lui demander d’écrire–d’écrire des chants mondains. Elle a dit : “Pour rien au monde je ne ferais ça.”
Ils lui ont dit : “Voyons, vous êtes aveugle. Quand vous arriverez au Ciel, comment Le reconnaîtrez-vous?”
Elle s’est retournée et, sous l’inspiration, elle a dit : Oui, je saurai que c’est bien Lui,
Et à Son côté je me tiendrai;
Oui, je saurai que c’est bien Lui, (comment?)
Par les marques de clous dans Ses... Autrement dit : “Si je ne Le vois pas, je toucherai Sa main.” Oui, je saurai que c’est bien Lui,
Et à Son côté je me tiendrai;
Oui, je saurai que c’est bien Lui,
Par les marques de clous dans Ses mains.

159 Est-ce que ça ne vous pousse pas à L’aimer? Il est allé nous préparer une place! “Et, lorsque Je m’en serai allé, et que J’aurai préparé une place, Je reviendrai pour vous prendre avec Moi.”

160 Petits enfants qui éprouvez maintenant les douleurs de l’enfantement, de nouveau obéissez aux commandements de Dieu. Le pasteur est ici, si aucun de vous n’a été baptisé, l’eau sera prête. Et–et, si vous voulez devenir membre de l’église, ou faire autre chose, quoi que ce soit, faites-le. Si vous n’avez pas reçu le baptême du Saint-Esprit, ce soir, c’est le moment de Le recevoir. Ne le croyez-vous pas? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]

161 “Oh, direz-vous, Frère Branham, il est tard. Vous avez prêché trop longtemps.”
Un soir, Paul a prêché un Message du même genre, toute la nuit. Et un petit... Un jeune homme s’est tué en tombant du mur. Et Paul, qui était tellement oint par cette même sorte de Message, a étendu son corps sur lui, et la vie est revenue en lui. Il est toujours “Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui, et éternellement”.
Vous L’aimez, n’est-ce pas? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Encore une fois, avec nos mains levées : “Je L’aime. Je L’aime.”
Où est la pianiste? Là, si vous voulez bien, soeur, ou qui que ce soit. Donnez-nous la note, s’il vous plaît.
Combien L’aiment? Levez juste la main. Dites : “Je L’aime vraiment. Je L’aime de–de tout mon coeur. Je L’aime.”

162 Maintenant, chantons-le à la gloire de Dieu. Maintenant, les yeux fermés, les mains levées vers le Ciel : “Je L’aime. Je L’aime.” Nous allons L’adorer. Quand on prêche, qu’on taille, qu’on arrache et qu’on tire comme ça, ceci, c’est le baume que Dieu répand, et qui guérit. “Il y a un Baume en Galaad pour l’âme.” Chantons-le maintenant. Donnez-nous la note. Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.

163 “Et à ceci tous connaîtront que vous êtes Mes disciples, quand vous aurez de l’amour les uns pour les autres.” C’est vrai. Si nous ne pouvons pas nous aimer les uns les autres, nous qui nous voyons, comment pourrons-nous aimer Dieu, que nous ne voyons pas? Je L’aime.

164 [Frère Branham parle à un frère sur l’estrade.–N.D.É.] Que Dieu vous bénisse. [Le frère dit : “Être ici ce soir est un véritable honneur venant du Ciel.”] Merci, frère. [“C’est vraiment bien.”] Maintenant, je pense que l’église, que chacun a été fortifié. N’est-ce pas? [“Oui. Vraiment.”] Que Dieu vous bénisse, Frère Boone. Je vous remets l’assemblée. Que Dieu vous bénisse.

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