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PrĂ©dication Ne T’appuie Pas Sur Ton Intelligence de William Branham a Ă©tĂ© prĂȘchĂ©e 65-0120 La durĂ©e est de: 1 hour and 52 minutes .pdf La traduction vgr
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Ne T’appuie Pas Sur Ton Intelligence

1 Restons debout un petit instant maintenant, pour prier. Combien de personnes ici ont une requĂȘte dans leur coeur, vous voudriez que Dieu fasse quelque chose de spĂ©cial pour vous pendant cette convention? Maintenant courbons la tĂȘte devant Lui.

2 PĂšre CĂ©leste, nous sommes un peuple privilĂ©giĂ© d’ĂȘtre rassemblĂ©s ici au Nom du Seigneur JĂ©sus, dans un pays libre, oĂč, jusqu’à maintenant, nous pouvons T’adorer selon ce que nous dicte notre conscience. Et nous prions, PĂšre, qu’il en soit longtemps ainsi. Et maintenant, puissions-nous profiter de ce grand privilĂšge que nous avons. Puissions-nous mettre tout notre coeur dans la rĂ©union de ce soir, Ă  T’adorer, pour qu’on puisse dire que “Dieu Ă©tait au milieu de nous ce soir, qu’Il a bĂ©ni Son peuple”. Sauve chaque Ăąme perdue qui est ici ce soir, Seigneur. Et tous les rĂ©trogrades, puissent-ils revenir Ă  la maison de Dieu. Je prie que tous les malades soient guĂ©ris, que les affligĂ©s marchent, que les aveugles voient, que les sourds entendent, que la louange et la gloire soient donnĂ©es Ă  JĂ©sus-Christ au milieu de Son peuple. Que le souvenir en soit longtemps inscrit dans notre mĂ©moire, Seigneur, parce que nous nous sommes rassemblĂ©s et que nous avons demandĂ© ces bĂ©nĂ©dictions au Nom de JĂ©sus. Amen.
Vous pouvez vous asseoir.

3 Pour une raison ou pour une autre, quand j’arrive Ă  l’Auberge Ramada, en un sens, c’est toujours un peu comme de rentrer Ă  la maison, parce que j’y suis tellement venu que je–je pense qu’ils doivent vraiment commencer Ă  me connaĂźtre. Et j’en suis bien content, parce que j’ai trouvĂ© un groupe de gens formidables Ă  ces Auberges Ramada. Celle de Tucson et celle-ci, les gens y ont Ă©tĂ© vraiment gentils avec nous, de nous permettre de faire ces rĂ©unions. Il n’y a pas longtemps, j’ai fait une de mes propres rĂ©unions Ă  l’Auberge Ramada, et le gĂ©rant n’a mĂȘme pas voulu que je paie la location de la salle. C’est vraiment gentil. Je m’en souviens quand je voyage dans diffĂ©rents pays aussi, lĂ , des gens qui sont bons envers la famille de Dieu.

4 Maintenant, depuis dimanche soir, ou plutĂŽt depuis dimanche aprĂšs-midi, nous avons passĂ© des moments bĂ©nis dans le Seigneur, ou du moins, c’est mon cas, Ă  moi. J’ai passĂ© des moments merveilleux, Ă  savourer Ses bĂ©nĂ©dictions, et la communion du Saint-Esprit, et, avec Son peuple.

5 Je–j’aime garder Ă  l’esprit qu’ensemble, nous adorons Dieu. Vous ĂȘtes un attribut de Dieu, une partie de Dieu, quand vous devenez un fils et une fille de Dieu. Et Dieu est en vous, Il veut accomplir Sa volontĂ©, pourvu que vous Le laissiez faire.

6 Alors, nous espĂ©rons, ce soir, que chaque personne oubliera les choses qui ont rempli ses journĂ©es, qu’on laissera tout cela de cĂŽtĂ©, pour mettre notre coeur dans la rĂ©union, maintenant; pas seulement ce soir, mais tout au long de la convention qui va suivre. Sans doute que beaucoup de dĂ©lĂ©guĂ©s se sont rassemblĂ©s ici. Effectivement, je vois quelques personnes de plus sur l’estrade ce soir, on se rassemble en vue de la convention qui commencera demain. Et je demanderais aux gens qui sont ici Ă  cause des rĂ©unions de rĂ©veil que nous venons de faire, si vous le pouvez, j’aimerais que vous restiez pour la convention. Il y aura de trĂšs bons prĂ©dicateurs inscrits au programme. Un frĂšre n’a pas pu venir, et, mais il y en aura beaucoup ici pour le remplacer. Moi-mĂȘme, je veux ĂȘtre lĂ  pendant toute la convention, pour savourer la communion fraternelle.

7 Vous savez, nous montons sur l’estrade, nous les prĂ©dicateurs, et nous prĂȘchons, et nous sommes toujours lĂ  Ă  donner aux gens tout ce qu’il y a en nous. Une fois j’ai prĂȘchĂ© sur un sujet, sur ce que JĂ©sus avait dit : “ConsidĂ©rez le lis, ils ne–ne travaillent ni ne filent; cependant Je vous dis que Salomon, dans toute sa gloire, n’a pas Ă©tĂ© vĂȘtu comme l’un d’eux.” Et je vois que le lis doit croĂźtre jour et nuit, filer, travailler, pour ĂȘtre radieux. Mais il n’en retire aucune bĂ©nĂ©diction pour lui-mĂȘme. Il s’ouvre, et–et le passant respire son parfum. L’abeille va chercher le miel qu’il a au fond de lui. Tout ce qu’il a acquis au prix de son travail, il le donne. Et c’est le titre que je donne Ă  mon message : Monsieur le rĂ©vĂ©rend Lis, alors, c’est un sujet assez bizarre.

8 Mais–mais c’est ça, les prĂ©dicateurs se donnent aux gens, et alors, c’est bon de s’asseoir et–et d’écouter les autres. C’est comme de se chauffer prĂšs du feu, nous aimons nous asseoir Ă  la lueur de la flamme les uns des autres, et nous rĂ©chauffer le coeur de l’Évangile que nos frĂšres prĂȘchent aux gens. Et je suis reconnaissant d’avoir l’occasion de le faire. Et maintenant, j’espĂšre que ce soir...

9 Billy m’a dit qu’il avait distribuĂ© des cartes de priĂšre, tout ce qu’il avait. Nous ne pourrions pas faire passer une ligne de priĂšre sur cette estrade, mĂȘme s’il le fallait. Voyez-vous, il faudrait que vous sortiez en faisant le dĂ©tour par lĂ , que vous traversiez un couloir sombre, et que vous arriviez de ce cĂŽtĂ©. Vous buteriez contre toutes sortes de choses pour venir jusqu’ici. Ceux qui sont affligĂ©s et ceux qui sont infirmes seraient trĂšs mal en point, d’avoir Ă  faire comme ça.

10 Mais nous ne savons pas ce que notre Seigneur pourrait faire. Il se peut qu’Il descende directement au milieu de nous, ce soir, et–et qu’Il guĂ©risse tous ceux qui sont ici, toute maladie. Oh, j’aimerais mieux voir ça que toutes les lignes de priĂšre que j’ai jamais formĂ©es dans ma vie, juste–juste de voir la souverainetĂ© de Dieu descendre au milieu de Ses enfants obĂ©issants. C’est ce que je–j’aime, toujours.

11 GĂ©nĂ©ralement, si on a un contact personnel avec les gens, par exemple, l’imposition des mains, il est possible, – je ne pense pas qu’il y en aurait tant que ça qui le feraient, – eh bien, qu’ils disent : “Tel prĂ©dicateur m’a imposĂ© les mains, et, gloire Ă  Dieu!” En faisant comme ça, alors les gens regardent Ă  ce prĂ©dicateur-lĂ .

12 Mais si on peut simplement se tenir ici, prĂȘcher la Parole, et laisser le Saint-Esprit guĂ©rir chacun, alors c’est absolument la grĂące de Dieu, rien d’autre. Et alors, Dieu en reçoit toute la louange, toute la gloire, et il n’y a pas l’ombre de quoi que ce soit pour personne d’autre. C’est comme ça que je, dans ce ministĂšre que j’exerce, la raison pour laquelle je ne rĂ©ussis pas Ă  atteindre beaucoup de personnes, Ă  moins... Bon, hier soir, nous avons essayĂ© de prier pour le plus de gens possible. Mais quant Ă  l’imposition des mains...

13 C’est, gĂ©nĂ©ralement, le soir, peut-ĂȘtre que le Saint-Esprit pourrait tout simplement venir au milieu de nous, et commencer Ă  Se manifester, Ă  Se rĂ©vĂ©ler parmi nous. Et, c’est comme ça, je pense, que c’est rĂ©el, quand Il peut, disons, agir par souverainetĂ©, voyez-vous. Moi, je ne peux pas dire : “Cet homme-ci, ou cette femme-ci, ou cet enfant-là”, voyez-vous. C’est le Saint-Esprit qui se dĂ©place dans la salle, et qui parle Ă  celui Ă  qui Il veut parler. Voyez-vous, ça, c’est souverain. Et alors, c’est comme ça que la connaissance vient, parce que c’est une promesse de Dieu, et c’est comme ça que la connaissance de Dieu vient, dans sa souverainetĂ©, et que Sa PrĂ©sence aussi descend parmi nous. Nous devrions le voir et nous rĂ©jouir! Et peu importe...

14 Vous dites : “Eh bien, j’avais une main infirme. J’étais lĂ  hier soir. Je–je–je ne vais pas mieux.” Ça n’a absolument aucun rapport. Pour vous, c’est dĂ©jĂ  terminĂ©. Vous ne regardez pas votre main Ă  ce moment-lĂ , vous regardez une promesse, voyez-vous. Par consĂ©quent, vous ne pouvez pas dire : “Eh bien, FrĂšre Untel n’a pas priĂ© la priĂšre de la foi, ou telle et telle personne.” C’est la PrĂ©sence du Seigneur qui vous a donnĂ© la foi, voyez-vous, et alors Il a envoyĂ© Sa Parole et les a guĂ©ris.

15 Maintenant, hier soir, je–j’ai encore manquĂ© Ă  ma promesse. Je vais vraiment essayer de la tenir ce soir, si je peux. Bon, quelqu’un disait : “Vous ne vous ĂȘtes pas tenu Ă  votre sujet hier soir.” Non, je–je ne m’y suis pas tenu, parce que, je vais vous dire pourquoi. J’avais l’intention de prĂȘcher sur un sujet, je ne me souviens plus exactement quoi maintenant; “Mais Dieu, riche en misĂ©ricorde.”

16 Et je me suis mis Ă  essayer d’expliquer ce que Paul avait dit lĂ , quand il avait dit : “Nous qui, autrefois,” Ă  un moment donnĂ©, Ă  un autre moment que maintenant, “nous Ă©tions morts par–par notre pĂ©chĂ© et par nos offenses; Dieu nous a vivifiĂ©s, rendus Ă  la Vie.” Bon, voyez-vous, avant que quelque chose puisse ĂȘtre vivifiĂ©, il faut qu’il y ait quelque chose lĂ  pour le vivifier. C’est exact.

17 Donc, voyez-vous, si vous Ă©tiez dans la prescience de Dieu, alors vous devenez une partie de Dieu. Et le seul moyen pour vous d’ĂȘtre un fils de Dieu ou une fille de Dieu, c’est que vous deviez ĂȘtre une partie de Dieu, et Dieu n’est pas complet sans vous. ForcĂ©ment. C’est exact, parce qu’il y a une seule, il n’y a qu’une seule source de Vie Éternelle, et c’est Dieu, et Lui seul a la Vie Éternelle. Voyez? Donc, et vous Ă©tiez une partie de Lui, en ce sens que vous ĂȘtes un attribut, ou que vous Ă©tiez dans Sa pensĂ©e au commencement. Et c’est Ă  cause de ça, parce qu’Il pensait Ă  vous au commencement, que vous ĂȘtes attirĂ© vers Lui. C’est cela qui doit ĂȘtre vivifiĂ©. Certaines personnes ne seront jamais vivifiĂ©es; ce n’est tout simplement pas en eux, un point c’est tout.

18 C’est comme si vous mettiez un grain de maĂŻs en terre, qui n’ait pas... Il aurait beau ĂȘtre d’une trĂšs belle apparence, s’il n’a pas en lui le germe de vie, il ne pourra jamais ĂȘtre vivifiĂ©. Mais le germe de vie doit d’abord se trouver lĂ .

19 Et j’ai pris la petite histoire de l’aigle, qui marchait avec les poules et les poulets, parce qu’il Ă©tait Ă©clos et qu’il Ă©tait nĂ© lĂ -bas, mais il n’avait jamais eu le sentiment qu’il Ă©tait comme ces poulets. Et, vous savez, quand sa maman est passĂ©e et qu’elle a poussĂ© son cri, il a entendu une voix qui lui plaisait vraiment beaucoup, parce que, souvenez-vous, il Ă©tait un aigle dĂšs le dĂ©part. Tout ce qu’il lui fallait faire, c’est de se retrouver, de trouver sa place.

20 Et c’est comme ça pour chaque croyant. Vous n’ĂȘtes pas nĂ© pour ce monde-ci. Vous avez Ă©tĂ© créé Ă  l’image de Dieu, pour ĂȘtre un fils de Dieu. Et vous n’ĂȘtes pas Ă  votre place dans cette basse-cour d’ici. Vous ĂȘtes un aigle.

21 Vous savez, je me suis mis Ă  parler de cet “aigle”, et je n’arrivais plus Ă  revenir sur terre, alors j’ai simplement... J’ai prĂȘchĂ© trop longtemps, et puis j’ai oubliĂ© mon sujet, j’ai perdu mes notes et tout le reste. C’était vraiment quelque chose, le moment que j’ai passĂ© lĂ . Mais c’est ça qu’il y a eu, c’était en parlant de cet “aigle”.

22 Maintenant, puisse cet Aigle, Dieu! Vous savez, Dieu compare Ses prophĂštes Ă  des aigles. Et Il Se donne le nom d’aigle Ă  Lui-mĂȘme; Il est l’Aigle JĂ©hovah, Papa Aigle.

23 Et s’Il Se donne ce nom-lĂ , c’est parce que l’aigle peut voler plus haut que tous les oiseaux, et parce qu’il est conçu diffĂ©remment de tous les autres oiseaux. Or, il ne construit pas son nid sur le sol, comme les poules et tout, mais il va dans les hauteurs pour y construire son nid.

24 Autre chose : c’est un oiseau bĂąti d’une maniĂšre spĂ©ciale. Bon, si un–si un faucon, ou un corbeau, ou une buse, ou n’importe quel autre oiseau, essayait de le suivre dans les cieux, il se dĂ©sintĂ©grerait, il n’est pas conçu pour ça. Il faut ĂȘtre quelqu’un de spĂ©cial pour monter lĂ -haut. Ses plumes sont fixĂ©es plus solidement que tous les autres oiseaux.

25 Et–et son oeil est plus perçant que celui de tous les autres oiseaux. Et plus il monte haut, plus il peut voir loin. Eh bien, certains oiseaux, quand ils arrivent Ă  la hauteur oĂč ils devraient ĂȘtre, ils sont myopes comme une taupe. Et c’est pareil pour... Eh bien, quand ils se dĂ©tachent de leur credo, alors ils ne savent rien LĂ -dessus. “Les jours des miracles sont passĂ©s.” Pourquoi? Ils ne peuvent pas Le voir.

26 Mais les aigles peuvent monter jusque dans les cieux, et jusque dans les cieux du Ciel, lĂ -haut. Ça sert Ă  quoi de monter jusque LĂ , si vous ne pouvez pas voir? Oh, je suis si heureux d’ĂȘtre l’un d’entre eux, et de m’associer maintenant avec tout un nid rempli de ces aigles.

27 Prenons dans l’Ancien Testament, le Livre des Proverbes, Ă©crit par Salomon, l’un des hommes les plus sages du monde, aprĂšs notre Seigneur JĂ©sus. Mais Lui n’était pas tout Ă  fait comme Salomon, en ce sens que Salomon Ă©tait un homme qui Ă©tait nĂ© d’une femme et qui avait Ă©tĂ© engendrĂ© par un pĂšre terrestre, David. Mais JĂ©sus Ă©tait un Fils nĂ© d’une vierge, et Il n’était pas seulement un homme, mais Il Ă©tait Dieu, l’Homme-Dieu, Il Ă©tait plus qu’un homme, Il Ă©tait un homme plus. Voyez? Mais Salomon Ă©tait seulement un homme comme vous et moi, et il a demandĂ© Ă  Dieu de la sagesse, pour diriger son royaume. Et il a eu un don de sagesse, l’homme le plus intelligent qu’on ait jamais connu, aprĂšs notre Seigneur. Il a Ă©crit les Proverbes, et je trouve qu’ils sont vraiment bien.

28 Et maintenant, nous allons prendre le Livre des Proverbes, au chapitre 1, et, ou plutît au chapitre 2, et les premiers versets de Proverbes, 2, à partir de 1. Proverbes 2, à partir de 1, la suite des conseils que Salomon donne à ses fils : “Mon fils, si tu reçois...” Excusez-moi.

29 C’est Proverbes 3.1. Excusez-moi. J’ai regardĂ© ici, dans–dans mon livre, et je vois que c’est Proverbes 3, plutĂŽt que 1 ou 2. Excusez-moi. Proverbes 3.1. Mon fils, n’oublie pas mon enseignement, et que ton coeur garde mes commandements; Car ils seront... ils augmenteront la durĂ©e de tes jours, les annĂ©es de ta vie et ta paix. Que la loyautĂ© et la vĂ©ritĂ© ne t’abandonnent pas; lie-les Ă  ton cou, Ă©cris-les sur les tables de ton coeur. Tu acquerras ainsi grĂące et bon sens, aux yeux de Dieu et des humains. Confie-toi en l’Éternel de tout ton coeur, et ne t’appuie pas sur ton intelligence; Reconnais-le dans toutes tes voies, et c’est lui qui aplanira ton sentier.

30 Oh, je trouve que c’est vraiment le plus beau passage de l’Écriture! Maintenant j’aimerais prendre comme sujet, tirĂ© du–du verset 5 : Ne t’appuie pas sur ton intelligence.

31 Or, voilĂ  un–un sujet trĂšs bizarre pour le jour oĂč nous vivons, parce qu’aujourd’hui certainement qu’on met beaucoup l’accent sur l’instruction, et sur l’intelligence que nous avons des choses, en ce jour de–de savoir. Mais nous voyons que cette dĂ©claration bizarre, ici, comme d’autres passages de l’Écriture, elle a sa place, et nous faisons confiance Ă  Dieu qu’Il nous fera voir quelle est sa place.

32 Aujourd’hui, nous envoyons nos enfants Ă  l’école, pour qu’ils acquiĂšrent l’intelligence des choses. Une fois l’école primaire terminĂ©e, nous les envoyons Ă  l’école secondaire pour qu’ils aient une meilleure intelligence cĂŽtĂ© connaissances. Et une fois ces Ă©tudes-lĂ  terminĂ©es, certains enfants ont mĂȘme la chance d’aller Ă  l’universitĂ©, ils vont Ă  l’universitĂ© pour parfaire leurs Ă©tudes et leur intelligence cĂŽtĂ© connaissances. C’est ce qu’on exige d’eux... Souvent, pour obtenir un emploi, il faut avoir fait au moins des Ă©tudes secondaires, ou des Ă©tudes supĂ©rieures, et tout.

33 Pourtant, le sage Salomon nous a dit de “ne pas nous appuyer lĂ -dessus, pas sur notre propre intelligence; ne recevez pas vos instructions de ces choses-là”. C’est parce que, nous nous demandons pourquoi il dirait une chose pareille, c’est parce que, gĂ©nĂ©ralement, notre intelligence contemporaine correspond gĂ©nĂ©ralement Ă  la sagesse de l’homme, laquelle est contraire Ă  la Parole de Dieu. Je pense que le conseil que Salomon essayait de donner Ă  ses fils, ce n’était pas d’ĂȘtre illettrĂ©, mais de ne pas s’appuyer sur leur intelligence.

34 Et je trouve que ce serait une bonne exhortation pour aujourd’hui, de dire Ă  nos fils Ă  nous et aux fils de Dieu qu’il n’y a pas de mal Ă  s’instruire, il n’y a rien contre ça; mais quand cette instruction est contraire Ă  la Parole de Dieu, alors appuyez-vous sur la Parole et laissez tomber votre instruction, voyez-vous, Ă  cause de la Parole. L’instruction va vous servir, va vous donner un bon emploi, vous serez probablement bien vu des gens intellectuels, mais, il n’y a pas de mal Ă  ça, ça vous aidera probablement beaucoup, ça vous aidera du cĂŽtĂ© financier et du cĂŽtĂ© de vos–vos moyens d’existence, vous vivrez peut-ĂȘtre un peu mieux Ă  cause de ça.

35 Mais souviens-toi d’une chose, mon fils, tu devras mourir. Peu importe toutes les Ă©tudes que vous avez pu faire, toute la culture que vous avez pu acquĂ©rir, vous devrez quand mĂȘme affronter la mort, parce qu’il est Ă©crit que “l’homme doit mourir, aprĂšs quoi vient le Jugement”. Et Dieu, quand... La mort, ce n’est pas si grave, mais de passer en Jugement, c’est ça qui est grave. Bon, vous pouvez mourir, “mais aprĂšs quoi vient le Jugement”. Et Dieu ne va pas vous demander combien d’études vous avez faites quand vous Ă©tiez sur terre, combien de connaissances vous avez acquises, si vous avez obtenu votre licence en lettres, ou le diplĂŽme que vous avez bien pu avoir, mĂȘme en tant que prĂ©dicateur. Ce n’est pas lĂ -dessus qu’on vous demandera des comptes.

36 Mais on vous demandera des comptes sur ce que vous avez fait de ce que vous compreniez de la Parole de Dieu. Ce sera ça l’exigence. En effet, votre instruction, c’est bien, mais la Parole de Dieu, c’est la Vie. “Ma Parole est Vie”, et de La connaütre, c’est la Vie. Et Il, Il a dit : “De Le connaütre, Lui.” Il est la Parole. Alors, vous ne pouvez Le connaütre que par la Parole, car Il est la Parole. Et c’est le seul moyen pour vous de Le connaütre, c’est par Sa Parole.

37 Quelqu’un pourrait se prĂ©senter lĂ  et dire : “Ceci, c’est Dieu”, ou, “ça, c’est Dieu,” ou “ceci, c’est Dieu,” ou “ceci, c’est juste,” et “ça, c’est juste”, mais nous revenons Ă  la Parole, qui est la VĂ©ritĂ©.

38 La Parole, c’est exactement comme la–l’étoile Polaire, c’est une vraie Ă©toile. Peu importe de quel cĂŽtĂ© le monde peut flotter, l’étoile Polaire est centrĂ©e par rapport Ă  la terre. Vous rĂ©glez votre boussole en fonction de l’étoile Polaire. Celle-ci est toujours au centre par rapport Ă  la terre. Les autres Ă©toiles se dĂ©placent avec le monde, mais l’étoile Polaire reste stable.

39 Or, la boussole, c’est le Saint-Esprit, et (le) votre–votre poteau d’attache, ce serait l’étoile Polaire; alors, le Saint-Esprit vous dirigera toujours vers la Parole. Le Saint-Esprit ne vous conduira jamais vers quoi que ce soit d’autre que la Parole de Dieu. Alors, comment un homme pourrait-il accepter un credo, alors que c’est contraire Ă  la Parole, et continuer quand mĂȘme Ă  prĂ©tendre avoir le Saint-Esprit? Le Saint-Esprit vous dirigerait dans une direction opposĂ©e Ă  celle-lĂ . Il faut le Saint-Esprit, pour que Lui vous dirige vers la Parole, car Il est la Parole. Il est la Parole, et Il peut seulement... De mĂȘme que–de mĂȘme que l’aiguille aimantĂ©e de la boussole peut seulement se diriger vers le pĂŽle Nord, qu’elle peut seulement ĂȘtre attirĂ©e dans cette direction-lĂ , ainsi, comme le Saint-Esprit est l’Auteur de la Parole, que c’est Lui qui L’a Ă©crite et que c’est Lui qui La vivifie, comment peut-Il diriger la personne vers quoi que ce soit d’autre que la Parole?

40 Alors, quand quelqu’un prĂ©tend avoir le Saint-Esprit, et qu’ils acceptent quelque chose qui est contraire Ă  la Parole, on peut voir par lĂ  que ce n’est pas le vĂ©ritable Saint-Esprit qu’ils ont. Voyez? Il se pourrait que ce soit un esprit, ça, je ne dis pas le contraire, mais ce–ce n’est pas le Saint-Esprit de Christ. Maintenant, vous savez, trĂšs souvent, les gens prennent les esprits les uns des autres; et alors, avec ça, ils pourraient ĂȘtre dirigĂ©s, disons, un groupe d’hommes, vers une certaine chose, mais ils ne seront pas–ils ne seront pas dirigĂ©s vers Christ. Mais le Saint-Esprit, Lui, Il dirige toujours vers Christ, et Christ est la Parole.

41 C’est ce que nous voyons trĂšs clairement dans la Bible. Enfin, moi je le vois. Il se pourrait peut-ĂȘtre que je me trompe, mais, dans ma façon de voir, mais je ne pense pas, Ă  cause de ceci : “Ne t’appuie pas sur ta propre intelligence des choses.” Si vous vous appuyez sur votre propre intelligence, alors forcĂ©ment que vous sortirez du bon chemin. Vous ne pouvez pas vous appuyer sur l’intelligence de personne d’autre, quand il est question de la Vie. Pour trouver la Vie, vous devez vous appuyer sur la Parole. C’est Elle la Vie.

42 C’est ce que nous voyons, dĂšs le commencement. Il nous est montrĂ© trĂšs clairement, dĂšs le commencement, que Dieu a donnĂ© Ă  Sa premiĂšre famille sur terre Sa Parole, pour qu’elle En vive. Elle devait vivre uniquement de Sa Parole. Bon, ce n’est pas en mangeant de la nourriture, et tout, mais c’est de Sa Parole qu’ils devaient vivre, Éternellement. Et, tant qu’ils restaient fidĂšles Ă  la Parole, ils vivaient Éternellement. Mais dĂšs qu’un petit bout de phrase de cette Parole a Ă©tĂ© mal placĂ©, toute la chaĂźne a Ă©tĂ© rompue, et l’espĂšce humaine a Ă©tĂ© prĂ©cipitĂ©e dans la mort. Voyez? Maintenant, remarquons.

43 Ève, qui Ă©tait sans doute une personne intelligente; la premiĂšre, qui est venue directement d’Adam, lequel Ă©tait le–le fils de Dieu. Et Ève, certainement que, comme elle se trouvait dans cette position-lĂ , oĂč il n’y avait pas eu de pĂ©chĂ©, aucune place pour le pĂ©chĂ©, certainement qu’elle devait avoir une conception merveilleuse de ce que Dieu Ă©tait. En effet, tous les aprĂšs-midi, elle et son mari se promenaient dans la fraĂźcheur du jardin, le soir, et ils parlaient avec Dieu, face Ă  face. Comme c’était–c’était insensĂ©, qu’une personne qui marchait avec Dieu, face Ă  face, tous les jours, se tourne ensuite vers un raisonnement, quelque chose qui l’a fait raisonner pour la dĂ©tourner de la Parole de Dieu!

44 C’est ce que nous avons, encore aujourd’hui. Un raisonnement peut si facilement les dĂ©tourner de la Parole de Dieu, aprĂšs qu’ils ont Ă©tĂ© assis dans la PrĂ©sence de Dieu. Ils voient la Parole de Dieu qui est prĂȘchĂ©e, la Parole de Dieu qui est manifestĂ©e, des ivrognes et des pĂ©cheurs qui viennent Ă  l’autel et se convertissent, qui deviennent de nouvelles crĂ©atures en Christ, des gens de mauvaise vie qui sont transformĂ©s en dames et en gentlemen, et ensuite, ils se dĂ©tournent de cette Chose bĂ©nie qui les a conduits Ă  cette Vie-lĂ , et ils se pervertissent en s’appuyant sur un credo quelconque, pour ĂȘtre plus populaires ou–ou pour s’intĂ©grer dans ce qu’ils appellent une meilleure classe de gens.

45 Voyons, vous ĂȘtes dans la meilleure classe qui existe : des fils et des filles de Dieu. Eh bien, moi, je prĂ©fĂšre cette compagnie-lĂ  Ă  celle de tous les rois et de tous les potentats, et tout le reste. Pour moi, rien ne vaut ce groupe de gens humbles, ils auront beau ne pas savoir distinguer leur droite de leur gauche! Tant qu’ils connaissent Dieu, qu’ils L’aiment et qu’ils Le servent, Ă  mon avis, ce sont eux les cĂ©lĂ©britĂ©s du Ciel. Oui monsieur!

46 Bon, mais nous voyons qu’Ève s’est laissĂ© facilement convaincre par Satan de se dĂ©tourner de la Parole de Dieu, et elle s’est appuyĂ©e sur sa propre intelligence; en effet, Satan lui avait prĂ©sentĂ© quelque chose qui ne correspondait pas Ă  ce qu’elle comprenait vraiment de Dieu, mais, il lui a Ă©tĂ© dit autre chose par l’ennemi, Satan, et elle l’a cru.

47 Maintenant nous en voyons les rĂ©sultats. Cela a prĂ©cipitĂ© toute l’espĂšce humaine dans la mort, parce que la premiĂšre mĂšre sur terre s’est appuyĂ©e sur sa propre intelligence, quelque chose de contraire Ă  la Parole de Dieu, et elle a prĂ©cipitĂ© toute l’espĂšce humaine dans la mort. Maintenant, croyez-vous cela? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] C’est la Parole. Eh bien, la femme est toujours...

48 Le type de l’église, dans la Bible, c’est la femme. Et aujourd’hui, une Ă©glise peut accepter une sĂ©rie de dogmes ou de crĂ©dos, et prĂ©cipiter toute l’assemblĂ©e dans la sĂ©paration d’avec Dieu. Ces gens, qui adoptent ces choses plutĂŽt que la Parole de Dieu, ils sont exactement comme Ève. Et c’est ce qui s’est fait, maintes et maintes fois, si bien que toute cette gĂ©nĂ©ration a Ă©tĂ© prĂ©cipitĂ©e loin de la Parole de Dieu.

49 Quand la Parole est manifestĂ©e, que la Parole est rĂ©vĂ©lĂ©e, ils ne veulent pas L’accepter, parce que, ils ne veulent pas, parce qu’ils s’appuient sur leur propre intelligence. “Cette Ă©glise a Ă©tĂ© construite ici. C’est un bĂątiment magnifique. C’est une grande organisation. Elle est membre d’un grand corps de gens. Pourquoi est-ce qu’on ne devrait pas en faire partie? Je vais m’appuyer dessus.” Ne vous appuyez pas sur votre propre intelligence, mais appuyez-vous sur la Parole du Seigneur!

50 Donc–donc, finalement toute l’espĂšce s’est retrouvĂ©e dans la mort, comme je le disais; c’est la mĂȘme chose maintenant, pour les nombreuses personnes qui se reposent sur leur propre intelligence, sur leurs dogmes et leurs crĂ©dos, et tout, en dĂ©clarant que “la Parole de Dieu n’est pas entiĂšrement vraie, qu’une partie est inspirĂ©e et qu’une autre partie ne l’est pas”. Comment pouvez-vous avoir la foi dans une Bible dont une partie est inspirĂ©e et l’autre non? Si une seule, si une seule citation est fausse, alors toute la chose pourrait bien ĂȘtre fausse. Il faut qu’elle soit toute vraie, tout Ă  fait vraie.

51 Et certaines de ces soi-disant Ă©coles bibliques, perverties, qui enseignent la connaissance humaine, une accumulation, oĂč on se rĂ©unit en conseil, et on dit : “Maintenant, Ă©coutez, si les jours des miracles, ils ont pris fin aux jours des apĂŽtres.” Et bien des hommes, qui relĂšvent de l’évĂȘque ou des hommes haut placĂ©s, s’assiĂ©ront lĂ , et ils diront : “Eh bien, si je peux seulement ĂȘtre d’accord avec lui, sans doute, peut-ĂȘtre que je pourrai lui succĂ©der.” Vous voyez, alors vous vous appuyez sur votre propre intelligence, au lieu de vous tenir debout pour dĂ©fendre la Parole de Dieu. C’est ce qui cause ces choses.

52 Il y a quelque temps, quelqu’un... J’ai Ă©tĂ© engagĂ© dans un litige pour une affaire d’impĂŽt. Et ils me disaient, ils disaient : “Mais, vos administrateurs ne sont que des marionnettes, j’imagine.”

53 J’ai dit : “Si j’avais sur le conseil un administrateur qui ne soit pas du mĂȘme avis, et qu’il ne se lĂšve pas (quel que soit celui qui parlerait sur le sujet) pour exprimer son opinion personnelle, je l’exclurais du conseil.” Oui monsieur. MĂȘme si ça allait Ă  l’encontre de ce que moi, je crois, je voudrais qu’il exprime ce que lui pense qui est juste. C’est pour ça que je l’ai placĂ© lĂ , pour voir ce qu’il en dira. Mais c’est ce que nous trouvons chez nous.

54 Remarquez, JĂ©sus a dit, dans Jean 10 : “Mes brebis connaissent Ma Voix.” Une Voix, bien sĂ»r, c’est Sa Parole, quand Il parle. “Mes brebis connaissent Ma Voix. Ils ont eu la preuve que Ma Voix est la vraie. Elle a Ă©tĂ© confirmĂ©e, comme quoi il s’agit bien de Ma Voix.” Maintenant–maintenant, remarquez, ils ne sont pas sujets Ă  suivre aucune autre voix. Ils ne le feront pas. “Mes brebis connaissent Ma Voix, et elles ne suivront pas un Ă©tranger.” Autrement dit, elles ne comprendront pas une voix thĂ©ologique qui donne un enseignement contraire Ă  la Parole. Les brebis ne comprennent pas ça, pas plus que l’aigle d’hier soir ne pouvait comprendre le gloussement de la poule, – elles ne le comprennent pas, – parce qu’il Ă©tait un aigle. Et c’est pareil pour un vĂ©ritable enfant de Dieu nĂ© de nouveau : ils comprennent seulement les choses qui sont de Dieu.

55 Maintenant, quelqu’un dirait : “Eh bien, Ă©coute, lĂ , tu pourrais faire ceci, je pense. C’est, je crois que ce n’est pas comme ceci. Je crois que les jours des miracles sont passĂ©s. Je ne crois pas que c’est de la guĂ©rison Divine, ça. Je ne crois pas Ceci.” Or, un vĂ©ritable ChrĂ©tien nĂ© de nouveau, ses oreilles ne retiendront jamais ça, il ne le comprend pas du tout. Et comment un homme qui croit en Dieu, et qui peut lire la Bible et voir qu’Il est le mĂȘme hier, aujourd’hui et pour toujours, peut-il arriver Ă  accepter une chose pareille, je ne le comprends pas.
Donc, ils ne s’appuient pas sur leur propre intelligence.

56 Comme, par exemple, un–un bĂ©bĂ©. Prenez un petit bĂ©bĂ©, qui est nĂ© et qui s’est appuyĂ© une fois sur le sein de sa mĂšre, qui a tĂ©tĂ© son lait chaud, appuyĂ© sa petite tĂȘte sur son sein, mĂȘme s’il n’est ĂągĂ© que de quelques heures. Un jour ou deux plus tard, retirez-lui sa mĂšre et remettez-le au sein d’une mĂšre Ă©trangĂšre : les petits pieds en l’air, il va gigoter et hurler. Ce n’est pas sa mĂšre. Voyez-vous, il a dĂ©jĂ  en lui quelque chose, parce qu’il est une partie de cette mĂšre, dĂ©jĂ  lĂ  la nature lui a fourni un moyen de reconnaĂźtre sa propre maman.

57 Et si la nature a fourni au bĂ©bĂ© le moyen de reconnaĂźtre sa mĂšre qui lui a donnĂ© naissance, combien plus Ă  un fils de Dieu qui est nĂ© de l’Esprit de Dieu. Il connaĂźt sa Maman! Il sait, parce qu’il est nĂ© de la Parole, et il comprend la Parole. Mettez-le dans un lieu Ă©tranger, certainement qu’il ne sera pas–pas Ă  sa place, il sortira de lĂ  Ă  toute vitesse. En effet, il a, il ne s’appuie pas...
Quelqu’un dira : “Attends, lĂ , mon chĂ©ri, c’est elle ta maman Ă  prĂ©sent.”

58 Ce n’est pas sa maman, parce qu’il a un moyen de reconnaĂźtre qu’il est une partie de cette mĂšre-lĂ . C’est sa mĂšre, personne d’autre ne pourra jamais la remplacer. Il reconnaĂźt sa mĂšre Ă  lui. Remarquez comme–comme c’est vraiment le cas, que Dieu a créé toute chose selon son espĂšce.

59 Le bĂ©tail selon son espĂšce. Souvent, quand nous faisions le rassemblement du bĂ©tail, nous rabattions des troupeaux complets de bĂ©tail; et les petits veaux, je me demandais comment ils feraient pour reconnaĂźtre leur maman. Or, elles–elles descendaient des montagnes, toutes les bĂȘtes mĂ©langĂ©es. Une–une–une vache qui est avec le veau, un petit veau affamĂ©, peut-ĂȘtre qu’il pourra tĂ©ter un peu une autre mĂšre s’il est vraiment affamĂ©; mais, quand nous les arrĂȘtons, dans la plaine, la maman va chercher son petit dans ce rassemblement de vaches et de veaux, jusqu’à ce qu’elle le trouve, et le veau court trouver sa mĂšre. Elle connaĂźt son petit gĂ©missement, et lui, il connaĂźt son mugissement. Elle mugit, parce qu’elle veut son veau, et les autres mĂšres mugissent, si bien qu’on ne s’entend mĂȘme plus penser, mais ce petit veau va aller vers cet appel particulier de sa mĂšre, parce qu’il est une partie de cette mĂšre.

60 Et un ChrĂ©tien nĂ© de nouveau du Ciel, il est une partie de cette Parole. Exact. Il ne suivra pas une autre maman. Il est une partie de la Parole. Il s’en tient Ă  la Parole. “Si la trompette rend un son confus, qui pourra se prĂ©parer au combat?”, a dit Paul. Il connaĂźt le son de la Parole. Remarquez ce–ce qu’il en est, la main prĂ©destinĂ©e de Dieu qui est avec eux du dĂ©but Ă  la fin. Il sait qu’il a Ă©tĂ© destinĂ© Ă  cela, qu’il s’est trouvĂ© dans la VĂ©ritĂ© de l’Évangile. Il sait qu’il est nĂ© de l’Esprit de Dieu. Il sait que l’Esprit de Dieu ne peut pas nier la Parole de Dieu, par consĂ©quent, il ne suivra pas un Ă©tranger. Remarquez comme...

61 Je regardais une note, ici, que j’avais Ă©crite, lĂ . Je–je n’y avais pas fait attention, mais quand mes yeux sont tombĂ©s sur le passage de l’Écriture, j’ai pensĂ© y faire de nouveau rĂ©fĂ©rence. Remarquez comme Ses brebis prĂ©destinĂ©es Ă  Lui L’ont suivi, Ă  l’époque mĂȘme des plus grands thĂ©ologiens qu’on ait jamais eus. Ils sont sortis sans hĂ©siter, parce qu’ils L’ont reconnu. Ils savaient ce que la Parole avait promis pour ce jour-lĂ . Ils savaient Ă  quoi ressemblerait le Messie quand Il viendrait. Et Simon Pierre est venu vers Lui – Ă  ce moment-lĂ , il n’était encore que “Simon”.

62 AndrĂ© avait essayĂ© de lui en parler. “Cet Homme est le Messie.” Bon, Simon, Ă©videmment, il Ă©tait peut-ĂȘtre un peu entĂȘtĂ©, il ne voulait pas y aller.

63 Mais quand il s’est avancĂ© jusque dans la PrĂ©sence de JĂ©sus, quand JĂ©sus a dit : “Tu t’appelles Simon, et tu es le fils de Jonas.” Or, nous savons que JĂ©sus a dit Ă  Ses apĂŽtres qu’Il les connaissait, et il... “avant la fondation du monde”. Ils Ă©taient les attributs de Ses pensĂ©es. Par consĂ©quent, comme cette semence reposait en lui, et qu’il savait que la Parole l’avait annoncĂ© et que la promesse avait Ă©tĂ© faite que le Messie serait un prophĂšte, quand il a vu cela, la pĂȘche, c’était terminĂ© pour lui. Il a su alors qu’il allait dĂ©poser ses filets, parce qu’il allait–allait devenir pĂȘcheur d’hommes. En effet...

64 Or, d’autres personnes s’étaient tenues lĂ , elles avaient vu la mĂȘme chose ĂȘtre faite, et pour elles l’affaire Ă©tait classĂ©e : c’était un “mauvais esprit”. C’était les thĂ©ologiens; c’est parce que ça ne correspondait pas Ă  ce qui leur plaisait comme enseignement thĂ©ologique. Et ils l’ont rejetĂ©, parce qu’ils s’appuyaient sur leur propre intelligence des choses, celle de leurs docteurs; alors que JĂ©sus-Christ Ă©tait venu, accomplissant la Parole promise, ils Ă©taient trop aveugles pour le voir. Ils se sont appuyĂ©s sur ce que les sacrificateurs disaient, et sur ce que l’église disait, plutĂŽt que sur ce que Dieu disait.

65 Or, JĂ©sus les a rĂ©primandĂ©s Ă  cause de ça. Il a dit : “Sondez les Écritures, car vous prĂ©tendez avoir en Elles la Vie Éternelle. Ce sont Elles qui rendent tĂ©moignage de Moi. Ces Écritures que Je vous demande de sonder, Elles vous disent Qui Je suis.”

66 Mais ils ne voulaient pas s’appuyer sur ce que la Parole disait, ils s’appuyaient plutĂŽt sur leur intelligence de ces choses. Ils s’appuyaient sur leur propre intelligence. Et l’Écriture nous dit qu’ils Ă©taient voilĂ©s. Le voile de leur propre thĂ©ologie les avait aveuglĂ©s.
Vous dites : “FrĂšre Branham, oĂč voulez-vous en venir?”

67 Voici oĂč je veux en venir. Cette chose-lĂ  est en train de se passer de nouveau, c’en est au point oĂč des hommes et des femmes, et des gens, vont s’appuyer sur une certaine Ă©glise Ă  laquelle ils ont adhĂ©rĂ© et dont ils font partie, peu importe ce que la Parole de Dieu en dit. Ils continuent carrĂ©ment lĂ -dedans, en s’appuyant sur leur propre intelligence, et en ne tenant aucun compte de la Parole de Dieu, comme si Elle n’avait jamais mĂȘme Ă©tĂ© Ă©crite. C’est une semence de vie humaine qui n’a pas Ă©tĂ© fĂ©condĂ©e. La vie physique est lĂ , mais il n’y a pas de vie spirituelle Ă  l’intĂ©rieur, qui puisse ĂȘtre vivifiĂ©e. Le voile couvrait leur visage.

68 Maintenant remarquez, ils avaient leurs propres concepts de ce que Dieu devrait ĂȘtre, ils avaient leurs propres idĂ©es de ce que le Messie devrait ĂȘtre. Mais la Parole disait ce que le Messie devrait ĂȘtre! Alors, voyez-vous, ils avaient leur propre intelligence de ce qu’Il serait. Sans doute que le souverain sacrificateur disait : “Tous mes sacrificateurs, vous qui relevez de moi, maintenant, quand le Messie viendra... Nous avons construit un grand temple, ici. Nous avons fait tout ceci. Et la Bible dit ‘qu’Il entrera soudainement dans Son temple’, et toutes ces choses. Quand Il le fera, le Messie viendra directement ici et Il Se fera connaĂźtre au milieu de nous, Il dira : ‘Je suis le Messie. Je suis arrivĂ©. Je suis ce Messie que vous attendiez.’” Eh bien, quand Il est effectivement venu, Il est venu d’une maniĂšre tellement diffĂ©rente de l’idĂ©e qu’ils s’en Ă©taient faite qu’ils ne L’ont pas reconnu. Ils n’ont pas su Qui Il Ă©tait. Mais Ses...

69 Que se serait-il passĂ© si un hypocrite s’était prĂ©sentĂ© lĂ  et qu’il avait dit : “Je suis le Messie. Je suis le docteur Untel”? Ils l’auraient acceptĂ©.

70 Mais quand on est venu vers un Homme qui Ă©tait nĂ© d’une naissance douteuse, qui n’avait reçu aucune instruction dans aucune Ă©cole qu’Il aurait frĂ©quentĂ©e, Il n’avait aucune expĂ©rience de sĂ©minaire, aucune carte de membre, mais Il Ă©tait l’interprĂ©tation de la Parole de Dieu, manifestĂ©e. “Les oeuvres que Je fais vous dĂ©clarent Qui Je suis. Si Je ne fais pas les oeuvres dont Il avait Ă©tĂ© promis que Je les ferais, alors ne Me croyez pas.”

71 Est-ce que nous ne pourrions pas appliquer ça Ă  ce jour-ci? Quand le Saint-Esprit vient, ils veulent appliquer ça Ă  un autre Ăąge, quand Il vient avec l’action et les dĂ©monstrations de Sa puissance de Vie Éternelle, les gens veulent appeler ça du–du “fanatisme dĂ©chaĂźnĂ©â€. Pourquoi? Ils s’appuient sur leur propre intelligence, et non sur la Parole du Seigneur. Vous savez que c’est vrai.

72 L’identification, l’interprĂ©tation que Dieu donne Lui-mĂȘme, c’est la manifestation de la promesse.

73 Peut-ĂȘtre que je vais le dire, pour que ce soit encore un peu plus clair. Quand Dieu prononce la Parole, Il n’a pas besoin d’aucun homme, d’aucune femme, ni de personne d’autre, pour En donner le sens. Quand Il a dit... Eh bien, vous dites : “Dieu, c’est ceci qu’Il a voulu dire.” Dieu, ce qu’Il veut dire, Il le dit, et c’est exactement ce qu’Il veut dire. Voyez?

74 Or, comment interprĂšte-t-Il Sa propre Parole? En L’accomplissant. La Bible dit : “Une vierge concevra”, et elle l’a fait. Ça ne demande aucune interprĂ©tation. Dieu a dit : “Qu’il y ait de la lumiĂšre”, et il y en a eu. Ça ne demande aucune interprĂ©tation.

75 Dieu a aussi dit qu’en ces derniers jours, “Il rĂ©pandrait Son Esprit sur toute chair”, et Il l’a fait. Ça ne demande aucune interprĂ©tation. Tout ce que ça demande, c’est une acceptation, quelqu’un qui acceptera ce que Dieu a fait. Ça ne demande pas d’interprĂ©tation. Dieu interprĂšte Sa propre Parole. Dieu a promis ces choses que nous voyons jour aprĂšs jour, Il a promis de les accomplir au dernier jour.

76 Les gens d’aujourd’hui, comme Ă  cette Ă©poque-lĂ , ils s’appuient sur leur propre intelligence. “Mon pasteur dit que c’est du ‘fanatisme’.” Mais la Bible a dit que ces choses se produiraient. Vous allez vous appuyer sur l’intelligence de qui?

77 La Bible a promis que, dans les derniers jours, “l’Âge de l’Église de LaodicĂ©e se serait tellement enrichi, et serait tellement suffi-... qu’il se suffirait : ‘Je suis riche. Je n’ai besoin de rien. Je suis assise en reine.’” Elle est riche. Et Il a dit : “Tu ne sais pas que tu es misĂ©rable.” Or, ça, c’est l’ñge de l’église en entier, l’église! “À l’église de LaodicĂ©e : Tu es nue, aveugle, pauvre, misĂ©rable, et tu ne le sais pas.” Assise au milieu de ses richesses, des dizaines de milliers de dizaines de milliers, et de milliers de membres, les richesses du monde dans sa main, presque. Si on met tout ça ensemble, Ă  ce jour, l’église catholique et les protestants, alors qu’ils sont en train de s’unir, ils possĂšdent les richesses du monde.

78 Notre pays est fauchĂ©, ou presque. Nous empruntons sur des impĂŽts qui seront perçus dans quarante ans, Ă  ce qu’on me dit, selon ce qu’ils ont dit Ă  l’émission Life Line. Les impĂŽts que nous dĂ©pensons en ce moment seront perçus dans quarante ans. Mon petit-fils, si JĂ©sus tarde, les impĂŽts qu’il paiera quand il aura quarante ans, c’est ce que nous dĂ©pensons en ce moment. Nous envoyons ça pour aider les pays Ă©trangers, alors que les Indiens de chez nous, et tout, ils crĂšvent de faim; nous essayons d’acheter la fraternitĂ©. La fraternitĂ©, ça ne s’achĂšte pas. Un ami, ça ne s’achĂšte pas. Non, mais voilĂ  ce que nous faisons. VoilĂ  notre systĂšme, ils imposent les gens, tout ce qu’ils peuvent rĂ©colter, impĂŽt, impĂŽt, impĂŽt. Et la dette de guerre que nous avons contractĂ©e Ă  cause des politiciens ne sera pas rĂ©glĂ©e avant–avant des centaines d’annĂ©es encore, je suppose. Et, bon, nous ne devrions pas ĂȘtre dans cet Ă©tat-lĂ . Nous n’avons aucune raison d’ĂȘtre dans cet Ă©tat-lĂ .

79 Mais les Ă©glises, elles, elles se sont enrichies. “Presque toutes les richesses du monde”, dit la Bible, “se trouvent dans l’église catholique.” C’est pour ça que la Russie l’a expulsĂ©e, que la Russie l’a excommuniĂ©e. C’est ça qui a Ă©tĂ© la source mĂȘme du communisme, c’est parce que l’église enseignait qu’elle Ă©tait quelque chose, alors qu’elle n’était pas diffĂ©rente du reste du monde.

80 Quand nous Ă©tions en Finlande, lĂ -bas, que ce petit garçon a Ă©tĂ© ressuscitĂ© des morts. Ces soldats russes se mettaient au garde-Ă -vous, et ils disaient : “Nous recevrons un Dieu qui peut ressusciter les morts.”

81 Nous avons construit des dĂ©nominations, et des Ă©coles, et–et des bĂątiments, mais nous n’avons pas fait ce que JĂ©sus nous avait dit de faire, c’est-Ă -dire de “prĂȘcher l’Évangile”. Nous avons cherchĂ© Ă  instruire le monde. Il n’a jamais dit : “Instruisez le monde; celui qui sera instruit sera sauvĂ©.” Vous devez naĂźtre de nouveau, ĂȘtre rempli du Saint-Esprit. VoilĂ  pourquoi nous avons Ă©chouĂ© si lamentablement, partout. Voyez-vous, nous avons les richesses, nous l’avons, ça.

82 Maintenant, qu’est-ce qui va arriver? Quand cette Ă©glise, le Conseil mondial des Églises, se rĂ©unira, ne pouvez-vous pas voir qui sera Ă  la tĂȘte? Vous les mĂ©thodistes et les presbytĂ©riens, ne pouvez-vous pas comprendre ça, et les autres, mĂȘme les pentecĂŽtistes? Vous dites que vous n’y entrerez pas. Ou bien vous y entrerez, ou bien vous dĂ©mantĂšlerez votre dĂ©nomination; de deux choses l’une. C’est lĂ , devant vous. Vous devrez le faire. C’est une contrainte, la marque de la bĂȘte. Et c’est exactement ça. Le systĂšme dĂ©nominationnel, c’est carrĂ©ment (je peux le prouver par la Bible) la marque de la bĂȘte. “Elle Ă©tait une prostituĂ©e; ses filles Ă©taient des prostituĂ©es.” Et nous savons que c’est la VĂ©ritĂ©. La religion organisĂ©e, c’est contraire Ă  la Parole, et les principes sur lesquels elle se fonde sont antichrists. Tout ce qu’on trouve lĂ -dedans n’est pas antichrist, mais les principes sur lesquels elle se fonde, son systĂšme est antichrist, parce qu’il est contraire Ă  la Parole de Dieu. Tous les systĂšmes organisĂ©s sont comme ça.

83 VoilĂ , voyez-vous, et vous vous appuyez sur quelqu’un d’autre, son intel-... sur leur intelligence, au lieu de vous appuyer sur l’intelligence de Dieu, ce que Dieu en a dit. C’est pour ça que c’est faux. Des jeunes hommes vont dans les sĂ©minaires qui fournissent une bonne instruction, ils vont Ă  ces Ă©coles soi-disant bibliques. Et peut-ĂȘtre qu’ils ont–ont un appel de Dieu dans leur coeur. Ils vont lĂ -bas et ils sont tellement endoctrinĂ©s, gagnĂ©s Ă  un point de vue, lĂ  : “Untel l’a dit, l’évĂȘque Untel. Celui-ci l’a dit. Celui-lĂ  l’a dit. Les hommes rĂ©unis en conseil sont d’accord que c’est comme ceci que ça devrait ĂȘtre.”

84 Ce que qui que ce soit peut dire, ça m’est Ă©gal! JĂ©sus a dit : “Que toute parole d’homme soit un mensonge, et que la Mienne soit la VĂ©ritĂ©. Peu importe de qui c’est la parole, que la Mienne soit la VĂ©ritĂ©!”

85 Maintenant, comment reconnaßtre ce qui est la Vérité? Quand la Bible déclare que quelque chose arrivera, que quelque chose se produira, et que la chose arrive telle quelle.

86 Or, la Bible dit : “On a trouvĂ© chez elle les–les richesses du monde; l’or, l’argent.”

87 Donc, si notre Ă©conomie est basĂ©e sur l’étalon-or, et que nous sommes fauchĂ©s, maintenant qu’est-ce qui va arriver? Qu’est-ce qui va arriver? Vous savez, les riches de cette nation, les grandes usines, les magnats du whisky et du tabac, et ainsi de suite, comme ça, ils n’accepteront pas de changer la monnaie, alors, la seule chose Ă  faire, ce sera d’emprunter. Et il n’y a qu’un seul endroit oĂč nous pouvons l’emprunter. Et, Ă  ce moment-lĂ , nous y vendrons notre droit d’aĂźnesse. C’est exact. Alors, qu’est-ce que vous ferez? Vous ĂȘtes la propriĂ©tĂ© de ce systĂšme. Il n’y a plus rien Ă  faire.

88 Oh, les amis, ne pensez pas que je... Vous pensez peut-ĂȘtre que je suis fou. Mais quand la mort aura fait taire ma voix, ces bandes continueront Ă  jouer, et vous reconnaĂźtrez que ce que j’ai dit s’est accompli. Je serais la personne la plus insensĂ©e de prendre la position que j’ai prise, d’aller jusqu’à m’élever contre cette chose-lĂ , je–je serais–je serais contre Dieu, je serais contre tout ce qui est de Dieu, si je, si j’avais... faisais erreur dans mes opinions et dans mon appel. La chose serait contre Dieu. Mais si j’ai pris cette position-lĂ , c’est parce que je le vois ici dans la Parole. C’est la Parole de Dieu. Et puis j’en vois la confirmation, la VĂ©ritĂ© en ĂȘtre dĂ©montrĂ©e. VoilĂ  l’interprĂ©tation que Dieu donne de Sa Parole. L’interprĂ©tation que Dieu donne Lui-mĂȘme de Sa Parole, c’est Sa façon de La confirmer et d’En Ă©tablir la vĂ©ritĂ©.

89 Pourquoi les pharisiens Ă©taient-ils aveugles? Qu’est-ce qui les rendait si aveugles? C’est parce qu’ils refusaient d’accepter la rĂ©vĂ©lation ou la confirmation de la Parole.

90 Et c’est pour ça aujourd’hui que les Ă©glises sont aveugles, c’est parce qu’elles refusent d’accepter la rĂ©vĂ©lation, alors mĂȘme que la confirmation en est donnĂ©e. Bien que la Parole le dise, que c’est rĂ©vĂ©lĂ©, et que c’est ensuite dĂ©montrĂ©, elles refusent quand mĂȘme de L’accepter.

91 C’est pour ça que les Juifs, que, jusqu’à ce jour, les Juifs refusent de L’accepter. Vous ne pouvez pas leur parler de Christ, parce que le voile couvre encore leur visage, ils sont aveuglĂ©s.

92 Et l’église, vous ne pouvez pas leur parler du plein Évangile et de la puissance de Dieu, parce que le dieu de ce siĂšcle les a aveuglĂ©s devant les vĂ©ritĂ©s de Dieu, et qu’ils s’appuient sur leur propre intelligence. Alors que les femmes entrent dans l’église et qu’elles se coupent les cheveux, parce que leur pasteur leur dit : “Oh, il n’y a pas de mal Ă  ça. Cet homme-lĂ  est fou.” Mais la Bible dit qu’elle agit mal quand elle fait ça, que Dieu refuse d’entendre ses priĂšres. Et certaines de ces femmes-lĂ  ajoutent encore Ă  la honte, en essayant de se faire prĂ©dicateur; Ă  ce moment-lĂ , elle a fait deux choses. La Bible dit qu’elle ne doit pas faire ça, rien de tout ça. Mais l’église, l’organisation, va accepter ces choses, elle ordonnera cette femme et l’enverra lĂ -bas. Ils s’appuient sur leur propre intelligence!

93 Une seule Parole de Dieu mal placĂ©e, ou mal interprĂ©tĂ©e, ou qui n’est pas acceptĂ©e, rompt toute la ChaĂźne. “L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.”

94 Comment se fait-il que vous, les femmes, vous m’entendez prĂȘcher contre ces choses, contre le port des shorts, et le maquillage, et–et ces coiffures Ă  cheveux courts, et toutes les choses du genre, et puis, chaque annĂ©e, quand je reviens, vous ĂȘtes encore assises lĂ , dans le mĂȘme Ă©tat? C’est parce que vous vous appuyez sur votre propre intelligence plutĂŽt que sur la Parole du Seigneur.

95 Et vous, les pasteurs, pourquoi ne faites-vous pas le mĂ©nage dans votre Ă©glise? Parce que vous vous fiez Ă  votre credo dĂ©nominationnel plutĂŽt qu’à la Parole du Seigneur. C’est vrai. Ne vous appuyez pas sur votre propre intelligence. Eh bien, ne vous appuyez pas sur votre propre intelligence, mais sur la Parole du Seigneur.

96 Ils ne voulaient pas l’accepter, parce qu’ils ne voulaient pas en accepter la confirmation. JĂ©sus est venu avec un–un Évangile, exactement comme Il avait dit qu’Il viendrait. MĂȘme que souvent...

97 Jean a Ă©tĂ© un peu dĂ©boussolĂ©, quand on l’a mis en prison, et qu’il–qu’il Ă©tait lĂ ... Il avait prĂȘchĂ© que “le Messie viendrait, avec Son van Ă  la main; Il nettoierait Son aire, et Il brĂ»lerait la paille dans un feu qui ne s’éteint point et amasserait le blĂ© dans le grenier”. L’Esprit de Dieu qui sortait, qui jaillissait de Lui comme une–comme une source. Et alors, quand il a vu venir JĂ©sus, cette espĂšce de petit Homme doux et humble, on Lui marchait sur les pieds, Il devait s’enfuir, ici, pour sauver Sa peau, et lĂ -bas. Mais, ils ne...

98 Jean ne comprenait pas, alors il a envoyĂ© quelques-uns de ses disciples voir JĂ©sus, pour Lui demander s’Il Ă©tait rĂ©ellement Celui-lĂ . Comme c’était dĂ©shonorant pour JĂ©sus! AprĂšs que ce prophĂšte s’était tenu lĂ , dans l’eau, avec la Parole de Dieu, qu’il avait dit : “Je L’ai reconnu, parce que j’ai vu le–le Saint-Esprit, comme une colombe, Dieu descendre du Ciel comme une colombe et entrer en Lui, et j’ai entendu une Voix qui a fait entendre du Ciel ces mots : ‘Celui-ci est Mon Fils bien-aimĂ©.’” Et aprĂšs ça, Jean a dit : “Allez Lui demander si rĂ©ellement c’était Lui, ou–ou–ou : ‘Devons-nous en attendre un autre?’”

99 Or, JĂ©sus ne lui a pas du tout envoyĂ© un traitĂ© sur la façon de bien se conduire en prison, ou sur l’église Ă  laquelle il aurait dĂ» adhĂ©rer. Mais Il a dit : “Restez un peu avec nous et observez ce qui se passe, et aprĂšs, allez montrer Ă  Jean les choses que vous avez vues et faites”; en effet, Ses oeuvres, qu’Il faisait, confirmaient qu’Il Ă©tait le Messie, le Fils de Dieu. “Heureux celui pour qui Je ne suis pas une occasion de chute.”

100 C’est devenu une occasion de chute pour tant de gens. Il est si facile pour tant de gens de trouver dans la Parole de Dieu une occasion de chute. Elle–Elle va Ă  l’encontre, ils veulent s’appuyer sur leur propre intelligence. Ils ne veulent pas accepter la Parole du Seigneur. Alors, forcĂ©ment qu’ils vont tout simplement suivre la voie que–qu’on leur a enseignĂ© de suivre. Et la voie qui leur est enseignĂ©e, leur Ă©glise s’appuie dessus. Peu importe que Dieu ait promis qu’Il–qu’Il enverrait la pluie, qu’il y aurait de la pluie le matin, si l’église dit : “Ça ne tient pas debout”, ils vont croire l’église plutĂŽt que Dieu. Pourquoi ça? Ils sont nĂ©s de l’église.

101 Mais un homme qui est nĂ© de Dieu, il est de la semence de Dieu. Et la semence de Dieu, c’est la Parole de Dieu, et il vit uniquement de Cela. C’est sa Vie.

102 Donc, ils s’appuyaient sur leur propre intelligence, mais, ils ne voulaient pas s’appuyer sur la Parole de Dieu. Ils savaient ce qu’il en Ă©tait; c’était dans l’Écriture. Ils ont dit que c’était un “mauvais esprit”, cet Homme-lĂ . Pourquoi ça? Leur sacrificateur avait dit : “Tous ceux qui iront entendre prĂȘcher cet Homme seront exclus de la synagogue.”

103 À un moment donnĂ©, un homme qui avait Ă©tĂ© aveugle a Ă©tĂ© guĂ©ri par JĂ©sus. MĂȘme ses parents, ils Ă©taient vraiment heureux de sa guĂ©rison, mais ils avaient peur de confesser que c’était JĂ©sus qui l’avait opĂ©rĂ©e. Eh oui.
Il a dit–il a dit : “Est-ce là votre fils?”
Il a dit : “Oui.”
Il a dit : “Qui l’a guĂ©ri?”

104 Il a dit : “Je–je ne sais pas.” Il a dit : “Il a de l’ñge, interrogez-le lui-mĂȘme. Il–il parlera de ce qui le concerne.”

105 En effet, il avait Ă©tĂ© dit que “tout homme qui s’appuierait sur Son intelligence Ă  Lui, Christ,” plutĂŽt que sur leur intelligence Ă  eux, “serait exclu de leur Ă©glise”. N’est-ce pas exactement la mĂȘme chose maintenant? Je vous pose carrĂ©ment la question. [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] C’est exact. Ça se dessine de la mĂȘme façon. Qu’importe ce que Dieu peut faire, il faut que ça concorde avec leur propre intelligence des choses, et non avec ce que Dieu confirme qui est la VĂ©ritĂ©. Bon, mais cet homme-lĂ , il a eu la rĂ©ponse.
Il a dit : “Qui t’a guĂ©ri?”
Il a dit : “Celui qu’on appelle JĂ©sus de Nazareth.”
Il a dit : “C’est un pĂ©cheur. Nous ne savons d’oĂč Il vient.”

106 Il a dit : “C’est une chose Ă©trange, ça. Vous ĂȘtes censĂ©s ĂȘtre les conducteurs de cette heure. Et voici un homme qui a ouvert mes yeux, ce qui n’a pas Ă©tĂ© fait depuis le commencement du monde, et pourtant vous dites que vous ne savez pas d’oĂč Il vient.” Oh! la la!

107 Pourquoi? Ils s’appuyaient sur leur propre intelligence, plutĂŽt que sur la Parole du Seigneur. En effet, ÉsaĂŻe avait dit que “les aveugles verraient, que le boiteux sauterait comme un cerf, que les dĂ©serts Ă©clateraient en cris de joie”. Mais, voyez-vous, ils se sont appuyĂ©s sur leur propre intelligence, et non sur la Parole; sur leur propre systĂšme qu’ils avaient Ă©tabli.

108 Maintenant remarquez, les Ă©glises d’aujourd’hui font pareil. Elles se sont formĂ© une super race d’intelligence, par leurs systĂšmes dĂ©nominationnels. Ils ont une super intelligence des choses, tellement qu’ils ne veulent pas que personne y touche, que personne n’entre Ă  moins de faire partie de leur groupe.

109 Ne me dites pas le contraire; j’habite Ă  Tucson, en Arizona. Je suis arrivĂ© lĂ -bas il y a trois ans, j’ai eu une rencontre avec le conseil des Ă©glises, et j’ai dit : “Je ne suis pas du tout venu pour Ă©tablir une Ă©glise. Je suis venu pour fraterniser avec vous. Je suis venu pour vous aider. Je suis missionnaire, Ă©vangĂ©liste, c’est ce que je fais.”
Ils ont dit : “Venez-vous vous installer ici pour Ă©tablir une Ă©glise?”

110 J’ai dit : “Non monsieur. Je suis venu... Si je voulais une Ă©glise, j’en ai une dans l’Indiana.” J’ai dit : “Je suis venu ici parce que le Seigneur m’a conduit Ă  venir ici, par une vision. Je vais rester pendant quelque temps, lĂ , Ă  moins qu’Il me conduise ailleurs, mais je ne suis pas du tout venu pour Ă©tablir une Ă©glise. Je suis venu pour vous aider, vous les frĂšres.”

111 Ça, c’est il y a trois ans. Je n’ai pas reçu une seule invitation, nulle part. Pourquoi? Parce qu’ils se sont rĂ©unis tout de suite aprĂšs, et qu’ils ont dit que tout homme qui me ferait venir derriĂšre sa chaire, qu’ils ex-commuteraient ce prĂ©dicateur-lĂ . Voyez? Pourquoi? Ils s’appuient sur leur propre intelligence! Certainement, ceux-lĂ , ce sont les soi-disant, ils se forment leur super intelligence des choses.

112 Si vous ne mettez pas votre nom sur leur registre, vous allez... vous ĂȘtes perdu. Un ministre me disait ça. “Oh,” vous dites, “ça, c’était une espĂšce d’imposteur.” C’était un pentecĂŽtiste.

113 Jack Moore et moi, nous nous sommes assis lĂ  Ă  l’écouter, Ă  Dallas, au Texas. Il disait qu’il “allait devoir ĂŽter un homme de sur leur registre”.
J’ai dit : “Pourquoi?
– Parce qu’il a fraternisĂ© avec vous.”
J’ai dit : “Eh bien, îtez-le.”
Il a dit : “Eh bien, à ce moment-là il est perdu.”
J’ai dit : “Perdu?”
“Mais,” il a dit, “si son nom n’est pas sur le registre!”

114 J’ai dit : “Vous voulez dire que vous ĂȘtes surveillant gĂ©nĂ©ral, et vous croyez ça?”
Il a dit : “C’est la vĂ©ritĂ©.”

115 J’ai dit : “Raccrochez, monsieur. Vous–vous... Ce n’est pas la grñce de Dieu, ça–ça, voyez-vous.”

116 “Nous avons tous, en effet, Ă©tĂ© baptisĂ©s dans un seul Esprit, pour former un seul Corps, et nous devenons membres de ce Corps.” La marque que vous portez, ça m’est Ă©gal, ça n’a rien Ă  y voir. C’est carrĂ©ment par une naissance que vous ĂȘtes un ChrĂ©tien, et c’est le seul moyen. C’est le seul moyen pour vous d’en ĂȘtre un, ce n’est pas par adhĂ©sion, pas par des crĂ©dos, pas en excitant ceci, ou rĂ©citant ceci, ou quoi que ce soit d’autre, ni par l’instruction, la thĂ©ologie. Vous ĂȘtes un ChrĂ©tien quand vous ĂȘtes nĂ© de nouveau, et vous ne pouvez pas naĂźtre de nouveau Ă  moins d’avoir Ă©tĂ© Ă©lu Ă  naĂźtre de nouveau. “Car nul ne peut venir Ă  Moi, si Mon PĂšre ne l’attire, et tous ceux que Mon PĂšre M’a donnĂ©s viendront.” Amen. “Je le ressusciterai au dernier jour.”

117 Ces grandes soi-disant Ă©coles bibliques que nous avons, elles diront, elles s’appuieront sur leur propre savoir. Oh! la la! Ils, qu’importe ce que dit la Parole, ils peuvent se l’expliquer tellement clairement, oh, Ă  eux-mĂȘmes, se le faire croire Ă  eux-mĂȘmes et le faire croire Ă  ceux de leur espĂšce, que “les jours des miracles sont passĂ©s. Un prophĂšte, les prophĂštes, les apĂŽtres, ça n’existe pas. Des dons de guĂ©rison, et tout ça, ça n’existe pas. Toutes ces choses ont pris fin aux jours de la Bible.” Ils peuvent se faire croire ça.

118 Vous savez, la Bible dit que “vous pouvez croire un mensonge et ĂȘtre damnĂ© Ă  cause de ça”. Voyez-vous, c’est l’exacte VĂ©ritĂ©. Ils se forment... qu’importe ce que dit la Parole de Dieu, ils s’appuient sur leur propre intelligence. Ils–ils s’appuient dessus, ils y croient, ils pensent que c’est la VĂ©ritĂ©. Vous pouvez croire le mĂȘme mensonge, maintes et maintes et maintes fois, si bien qu’à un moment donnĂ©, pour vous, ce sera la VĂ©ritĂ©. C’est exact.

119 Mais comment savoir si c’est la VĂ©ritĂ© ou pas? Dieu en dĂ©montre la VĂ©ritĂ©, parce que c’est dans Sa Parole et qu’Il La confirme. Il En donne Lui-mĂȘme l’interprĂ©tation.

120 Comment font-ils pour en arriver lĂ ? Ils le font Ă  cause de leur culture, de leur instruction, de l’intelligence des choses qui leur est inculquĂ©e par ce–ce diplĂŽme, leur doctorat, et tout, tel sĂ©minaire qu’ils ont frĂ©quentĂ© et oĂč ils ont appris ces choses.

121 Mais, regardez, mes amis, Ă©coutez. Nulle part dans la Bible il nous est demandĂ© de comprendre. Il ne nous est pas demandĂ© de La comprendre. Il nous est demandĂ© de La croire. La croire par quoi? Par la foi. Si vous La comprenez, alors cela annule la foi. Vous ne pouvez pas La comprendre, mais vous La croyez quand mĂȘme. Si je pouvais comprendre Dieu, je n’aurais pas besoin de croire Dieu. Je ne comprends pas Dieu. Personne ne comprend Dieu. Je ne peux pas comprendre la Parole de Dieu, mais je L’accepte. Je La crois. Il ne m’est pas demandĂ© de La comprendre.

122 Je ne, n’ai frĂ©quentĂ© aucun sĂ©minaire, toute cette grande intelligence, ce que l’homme connaĂźt LĂ -dessus. Tout ce que je sais, c’est que la Bible dit que “JĂ©sus-Christ est le mĂȘme hier, aujourd’hui et pour toujours”, et c’est dans cette catĂ©gorie-lĂ  que je m’attends Ă  Le trouver. Je sais ce qu’Il a promis de faire aujourd’hui, je m’attends Ă  ce qu’Il le fasse, et Il le fait. C’est exact. Il a promis la grĂące, je m’attends Ă  la recevoir, et je l’ai reçue. Il a promis la guĂ©rison, j’y crois, je l’ai acceptĂ©e et je l’ai reçue.

123 Maintenant, je ne veux pas prendre trop de votre temps, mais je voudrais vous demander une chose, – si vous voulez ĂȘtre patients avec moi pendant un instant, – de considĂ©rer quelques-uns de ceux qui ne se sont pas appuyĂ©s sur leur propre intelligence; des personnages de la Bible, juste quelques-uns, qui ne se sont pas appuyĂ©s sur leur propre intelligence, qui n’ont pas tenu compte de l’intelligence que leur Ăąge avait de ces choses.

124 Prenons, par exemple, NoĂ©. NoĂ© a vĂ©cu Ă  une Ă©poque de grandes recherches scientifiques. C’est probablement aux jours de NoĂ© qu’ils ont construit les pyramides, ce qu’ils ne pourraient pas refaire aujourd’hui. Nous n’avons pas ce qu’il faut pour le faire maintenant, ce qu’il faut pour lever ces gros blocs de pierre jusqu’à cette hauteur-lĂ . Ils n’y arriveraient pas aujourd’hui. À cette Ă©poque-lĂ , ils avaient un genre de produit chimique qu’ils ajoutaient Ă  la teinture, et les vĂȘtements ont gardĂ© leur aspect naturel jusqu’à aujourd’hui. Ils avaient un liquide d’embaumement qui leur permettait de faire une momie; nous n’arriverions pas Ă  en faire une aujourd’hui, mĂȘme s’il le fallait. Nous... de nombreux arts se sont perdus. L’époque oĂč il a vĂ©cu, dans un Ăąge scientifique, habile.

125 JĂ©sus en a parlĂ©, Il a dit qu’un Ăąge comme celui-lĂ  rĂ©apparaĂźtrait avant Son retour : “Car ce qui arriva du temps de NoĂ©.” Bon, vous ĂȘtes prĂȘts Ă  croire ça, n’est-ce pas? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Croyez-vous que JĂ©sus l’a dit? [“Amen.”] Croyez-vous que nous sommes revenus Ă  cet Ăąge-lĂ ? [“Amen.”] Or, ça, c’est dans le Livre de Luc, au chapitre 17, et le verset 29.

126 Maintenant, dans Luc 17.30, Il a dit : “Et ce qui arriva du temps de Lot, quand l’Ange du Seigneur...”

127 Or, Il lisait la mĂȘme Bible que nous. Et quand Il... Retournez en arriĂšre pour voir quel genre d’époque c’était, avant la pluie de NoĂ©. Retournez en arriĂšre pour voir quel genre d’époque c’était, avant que le monde ait Ă©tĂ© dĂ©truit, du temps de Lot. Voyez ce qu’il en Ă©tait, et vous verrez de quoi JĂ©sus parlait.

128 “Du temps de NoĂ©, les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants; et ils ne se doutĂšrent de rien, jusqu’à ce que NoĂ© entre dans l’arche, que le dĂ©luge vienne et les emporte tous.”

129 Du temps de Lot, juste avant que le monde... que le feu consume le monde des nations, les Sodomites, il y avait des homosexuels, des perversions, et tout, dans le monde. Un grand... C’était un Los Angeles contemporain; non seulement un Los Angeles contemporain, mais une rĂ©plique des États-Unis; non seulement des États-Unis, mais du monde. Certainement que ça l’était, de la perversion! Les hommes avaient perdu leur source naturelle de vie, et l’intelligence naturelle qui leur avait Ă©tĂ© inculquĂ©e par le bon sens, ils s’étaient pervertis Ă  cause d’un mauvais esprit qui avait modifiĂ© tout le cours de leur vie naturelle, et ils Ă©taient possĂ©dĂ©s d’esprits dĂ©moniaques. Si ce n’est pas lĂ  la description du temps de NoĂ©, je ne sais pas ce qui le sera, et, du temps de Lot, je veux dire. Du temps de NoĂ© aussi, ils mangeaient, buvaient, se mariaient, mariaient leurs enfants, les tribunaux de divorce se remplissaient, et tout, c’était exactement comme ça.

130 Mais, souvenez-vous, avant que le monde soit dĂ©truit, Abraham a Ă©tĂ© envoyĂ© sur la face de la terre, et il a reçu la promesse qu’il aurait un fils. Et Abraham a rencontrĂ© Dieu, Ă  plusieurs Ă©tapes, un type de l’église qui a rencontrĂ© Dieu. Mais juste avant la destruction, et le retour du fils promis, ou plutĂŽt, sa venue, la venue du fils qui avait Ă©tĂ© promis, Dieu est descendu et Il S’est manifestĂ© dans une chair humaine, dans un homme, trois hommes. Ils sont venus voir Lot; d’abord, ils sont venus Ă  Abraham, et ils se sont assis. Le nom d’Abraham avait Ă©tĂ© changĂ© d’Abram Ă  Abraham; de SaraĂŻ Ă  Sara.

131 Et cet Homme, Celui qui parlait, Elohim, quand Il est venu lui parler, qu’est-ce qu’Il a dit? Il a dit : “OĂč est ta femme Sara?”
Il a dit : “Elle est dans la tente, derriùre Toi.”

132 Il a dit : “Je te visiterai Ă  la pĂ©riode de la vie.” Et elle a ri, dans la tente, derriĂšre Lui. Et Il a dit : “Pourquoi Sara a-t-elle ri?” Voyez? Or, Il aurait ĂŽtĂ© la vie Ă  Sara sur-le-champ, pour avoir ri de Sa Parole, mais Il ne pouvait pas le faire, parce que Sara Ă©tait une partie d’Abraham.

133 Et aujourd’hui, JĂ©sus a dit, dans Luc, au chapitre 17 et au verset 30 : “Ce qui arriva du temps de Lot, arrivera de mĂȘme au temps de la fin, quand le Fils de l’homme...”

134 Maintenant, souvenez-vous, “Fils de l’homme”, c’est un prophĂšte. JĂ©hovah a appelĂ© ÉzĂ©chiel “fils de l’homme”. JĂ©sus est venu avec trois noms : Fils de l’homme, Fils de David, Fils de Dieu. Il Se donnait le nom de “Fils de l’homme”, pour que les gens comprennent, parce qu’Il Ă©tait ce ProphĂšte que le Seigneur Dieu devait susciter.

135 Maintenant remarquez, ensuite, Il a promis quoi? Que le Fils de l’homme Se rĂ©vĂ©lerait de nouveau, juste avant ce temps-lĂ , avant le feu. Et ce signe-lĂ  a Ă©tĂ© le dernier qu’Abraham a vu, avant l’arrivĂ©e du fils promis; et il est redevenu un jeune homme, et elle une jeune femme. Avant... Maintenant remarquez, c’est prĂ©cisĂ©ment ce que dit l’Écriture, maintenant nous devons nous attendre Ă  ça.

136 Et alors, si nous voyons le monde dans la perversion, et les choses qu’on y trouve aujourd’hui, et la façon dont ça se passe, alors, comment pouvons-nous dire que cette partie-lĂ  est vraie, et ne pas dire que l’autre aussi est vraie? C’est parce que quelqu’un, vous vous appuyez sur leur intelligence Ă  eux, et non sur l’intelligence du Prince de la Vie, qui Ă©tait cette Personne, lĂ  avec eux, Ă  la porte de Sodome. Maintenant, nous remarquons, nous ne nous appuyons pas sur notre propre intelligence.

137 NoĂ© ne s’est pas appuyĂ© sur son intelligence. C’était un grand Ăąge de science, mais il ne s’est pas appuyĂ© sur l’intelligence qu’il avait de son Ă©poque. Mais il s’est appuyĂ© sur la promesse de Dieu, et il a agi par la puissance de Dieu, il a prĂ©parĂ© une arche pour sauver sa famille. Alors que c’était carrĂ©ment contraire au bon sens; il n’y avait pas d’eau lĂ -haut, il n’y en avait jamais eu. Mais il savait que si Dieu avait dit qu’il y en aurait, il y en aurait. Alors, il ne s’est pas appuyĂ© sur sa propre intelligence, mais c’est par la foi qu’il a agi, selon la Parole de la promesse de Dieu. L’Esprit l’a poussĂ©, et il a agi.

138 Abraham, il ne s’est pas appuyĂ© sur l’intelligence qu’il avait de la vie humaine. Sa femme, il l’avait Ă©pousĂ©e Ă  l’ñge d’environ dix-sept ans. Et il Ă©tait maintenant ĂągĂ© de soixante-quinze ans, et elle de soixante-cinq ans, elle Ă©tait de dix ans plus jeune que lui. Mais Abraham ne s’est pas appuyĂ© sur son intelligence quand Dieu a dit qu’Il lui donnerait un fils par Sara. Mais il appelait tout, toute preuve scientifique qui Ă©tait contraire Ă  la Parole de Dieu, tout savoir qui ne se trouvait pas dans la Parole de Dieu, comme si ça n’existait pas. Et il a donnĂ© la louange Ă  Dieu, il Ă©tait fort, il Lui donnait la louange. Il n’a mĂȘme pas considĂ©rĂ©, regardĂ© Ă  son propre corps, ni Ă  Sara dont le corps n’était plus en Ă©tat d’avoir des enfants, et–et son corps non plus. Il n’a rien considĂ©rĂ©, mais il s’est appuyĂ© sur la promesse de Dieu. Il ne s’est pas appuyĂ© sur sa propre intelligence. Il ne s’est pas appuyĂ© sur des raisonnements.

139 “Voyons,” vous dites, “FrĂšre Branham, il est raisonnable que Dieu ne guĂ©risse pas les malades, on a tellement de bons mĂ©decins.”

140 La Bible dit : “Nous renversons les raisonnements.” Nous ne raisonnons pas. Le foi ne raisonne pas. La foi croit et accepte. Remarquez.

141 Mais il a cru, au lieu d’ĂȘtre incrĂ©dule; et il a appelĂ© les choses qui n’étaient point comme si elles Ă©taient, ce qui Ă©tait carrĂ©ment contraire Ă  tout raisonnement. Mais il n’a pas raisonnĂ©, il l’a cru, c’est tout. Aucun raisonnement n’aurait pu dĂ©montrer la possibilitĂ© que ce bĂ©bĂ© naisse. Cette femme-lĂ  avait passĂ© l’ñge de la mĂ©nopause, depuis peut-ĂȘtre vingt ans, et son corps Ă  lui Ă©tait pour ainsi dire mort. Et Ă  l’ñge de cent ans, vingt-cinq ans plus tard, il donnait encore la louange Ă  Dieu, ce qui Ă©tait contraire Ă  toute intelligence de la chose. Mais, par la foi, il savait que Dieu tiendrait Sa Parole. Il ne s’est pas appuyĂ© sur sa propre intelligence.

142 Que se serait-il passĂ© si MoĂŻse s’était appuyĂ© sur sa propre intelligence quand Dieu lui a dit qu’il allait–allait reprendre Pharaon... ou, les enfants d’IsraĂ«l de la main de Pharaon? Que se serait-il passĂ© s’il s’était appuyĂ© sur sa propre intelligence quand il Ă©tait lĂ , prĂšs de la Colonne de Feu, que Dieu lui a dit : “Vas-y, et Je serai avec toi”? Que se serait-il passĂ© s’il s’était appuyĂ© sur son intelligence quand il les a amenĂ©s Ă  la mer Rouge, et qu’ils Ă©taient lĂ , au bord de l’eau, alors que Dieu leur avait promis le pays promis? Que se serait-il passĂ© s’il s’était appuyĂ© sur sa propre intelligence : “Comment vais-je faire pour traverser de l’autre cĂŽtĂ©? Nous n’avons pas le temps de construire un pont. Il y a l’armĂ©e qui arrive, juste derriĂšre nous. Il y a des montagnes de chaque cĂŽtĂ© de nous. Il y a l’eau devant nous, la mer Rouge”?

143 Bon, s’il s’était appuyĂ© sur sa propre intelligence, il serait parti, les mains en l’air, en courant, il se serait jetĂ© aux pieds de Pharaon, en disant : “Pharaon, pardonne-moi, j’ai mal agi.”

144 Seulement il ne s’est pas appuyĂ© sur sa propre intelligence. Mais il a priĂ©, et Dieu lui a dit d’avancer, et la mer s’est ouverte, ce qui Ă©tait contraire Ă  tout raisonnement. Mais il ne s’est pas appuyĂ© sur sa propre intelligence.

145 Que se serait-il passĂ© si JosuĂ©, quand il est allĂ© lĂ -bas avec les autres, les dix dĂ©nominations, qu’il s’est rendu lĂ -bas et qu’il a vu ce pays que Dieu avait promis, s’il Ă©tait revenu avec eux en disant : “Bon, un instant. C’est vrai. Nous sommes comme des sauterelles Ă  leurs yeux. Ce sont des gĂ©ants. Comment pourrons-nous jamais avoir le dessus sur eux? Nous n’avons mĂȘme pas d’épĂ©es, seulement ce que nous avons pu trouver. Comment pourrons-nous jamais aller lĂ -bas nous emparer de ce pays? Voyons, c’est totalement impossible. Ils sont cinquante fois plus nombreux que nous. Ce sont des soldats qui ont reçu une formation, et nous, on n’est qu’une bande de bergers et de tripoteurs de boue de l’Égypte. Comment? Nous n’avons mĂȘme pas de boucliers, ni rien, comment pourrons-nous jamais nous en emparer?”

146 Voyons, l’intelligence aurait certainement dĂ©montrĂ© qu’ils ne pouvaient pas y arriver. N’importe quel militaire, comme lui ou MoĂŻse, n’aurait pas pu s’appuyer sur sa propre intelligence. Seulement leur intelligence, ils ne se sont pas appuyĂ©s dessus. Mais ils savaient que Dieu avait dit : “Je vous ai donnĂ© ce pays. Allez vous en emparer!”

147 Ne vous appuyez pas sur votre propre intelligence. Si vous vous appuyez sur votre propre intelligence aujourd’hui, alors que vous ĂȘtes malade, peut-ĂȘtre que vous ĂȘtes assis dans un fauteuil roulant, que vous vous mourez du cancer, que vous souffrez du coeur, et que le mĂ©decin dit que vous allez mourir, si vous vous appuyez sur cette intelligence-lĂ , vous mourrez. Mais ne vous appuyez pas sur cette intelligence-lĂ . Certainement pas.

148 Et que dire des murailles de JĂ©richo, dont on dit qu’ils pouvaient faire une course de chars dessus, sur ces grandes murailles Ă©paisses? Dieu a dit : “Allez lĂ -bas et faites-en le tour tant de fois, et sonnez de la trompette, et tous ensemble, poussez un grand cri, et la muraille s’écroulera.” Eh bien, ça c’était absolument, ce serait insensĂ© pour la pensĂ©e charnelle. Mais JosuĂ©, il connaissait l’épaisseur de ces murailles-lĂ , parce qu’il en avait construit beaucoup, des murailles, en Égypte. Il savait combien il y avait de ciment dedans, il en connaissait la soliditĂ©, on faisait des courses de char dessus, et il y avait mĂȘme des maisons construites dessus. Mais il ne s’est pas appuyĂ© sur sa propre intelligence. Il a cru que ce que Dieu avait dit Ă©tait la vĂ©ritĂ©, et il a obĂ©i Ă  Sa Parole, et les murailles se sont Ă©croulĂ©es. Il ne s’est pas appuyĂ© sur sa propre intelligence.

149 Et que se serait-il passĂ© si, pendant qu’il livrait bataille, et, comme je le prĂȘchais dimanche, et que le soleil allait se coucher, avec l’ennemi qui avait Ă©tĂ© mis en dĂ©route; cette nuit-lĂ , ils se seraient rassemblĂ©s et ils seraient revenus avec d’autres effectifs, ils auraient tuĂ© beaucoup de ses hommes. Alors, que se serait-il passĂ© s’il avait dit : “J’ai besoin de la lumiĂšre du jour. Il me faut encore la lumiĂšre du soleil. Bon, un instant, lĂ . Dieu a Ă©tabli cet ordre-lĂ , et le soleil tourne, alors, la terre tourne. Maintenant, voyons voir, si je disais au soleil de s’arrĂȘter... Peut-ĂȘtre que si la terre s’arrĂȘtait maintenant, alors, elle perdrait sa force de gravitation, je tomberais”?

150 Il n’a pas Ă©coutĂ© son intelligence. Tout ce qu’il a dit, c’est : “Soleil, arrĂȘte-toi; et toi, lune, reste oĂč tu es”, et ils lui ont obĂ©i. Il ne s’est pas appuyĂ© sur sa propre intelligence. Mais il s’est appuyĂ© sur la promesse de Dieu : “Je t’ai donnĂ© ce pays; va t’en emparer.”

151 Il vous a donnĂ© la promesse du Saint-Esprit. Vous pouvez L’obtenir pendant cette convention. Vous pouvez L’obtenir maintenant.

152 Ne vous appuyez pas sur : “Tu sais, je suis fatiguĂ©. Je te le dis, j’ai trop mangĂ© pour souper. Je–je–je n’aimerais vraiment pas que Jean me voie faire ça.” Oh, misĂ©ricorde! Vous vous appuyez sur votre propre intelligence.

153 “La promesse est pour vous, et pour les enfants de vos enfants, pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.”

154 “Le mĂ©decin m’a dit que j’allais mourir. Il m’a examinĂ© et il a dit que j’avais ce cancer, que j’avais ceci, ou quelque chose. Je suis condamnĂ© Ă  mourir.” Ne t’appuie pas sur cette intelligence-lĂ . Dieu est le Seigneur ton Dieu, qui guĂ©rit toutes tes maladies. Alors, ne t’appuie pas sur cette intelligence-lĂ , sur l’intelligence d’aucun homme. Appuie-toi sur l’intelligence de Dieu.

155 Que dire de Samson, lĂ -bas dans la campagne, quand les Philistins, mille hommes, se sont jetĂ©s sur lui? Et il Ă©tait lĂ , un petit gringalet aux cheveux frisĂ©s, pas plus haut que ça. Il ne, eh bien, il ne s’y connaissait pas dans le maniement de l’épĂ©e, parce qu’il ne savait pas, il n’avait aucune formation, formation militaire. Il avait l’air d’une espĂšce de petite femmelette aux cheveux frisĂ©s, avec sept tresses qui pendaient, le fils Ă  maman, qui se tenait lĂ , et voici mille Philistins qui arrivent. Eh bien, il n’avait rien Ă  la main. Il a regardĂ© par terre, et il a trouvĂ© une vieille mĂąchoire blanchie, de mulet, et il l’a ramassĂ©e.

156 Or, a-t-il dit : “Voyons voir, lĂ , je ne ferai pas grand-chose avec ceci, parce que les casques qu’ils ont sur la tĂȘte, ils... Ces Philistins, tous ces soldats-lĂ , ils ont tous des lances. Ils ont tous des cuirasses. Et leurs casques pĂšsent une quinzaine de livres chacun. Ce sont de grands gaillards, dĂ©terminĂ©s. Eh bien, si jamais je frappais un de ces casques-lĂ  avec cette vieille mĂąchoire cassante, voyons, elle se casserait en mille morceaux. VoilĂ .”?

157 Il ne s’est pas appuyĂ© sur son intelligence. Il a tout simplement pris ce qu’il avait Ă  la main, et il s’est mis Ă  frapper les Philistins. Et aprĂšs en avoir assommĂ© mille, il avait encore la mĂąchoire Ă  la main. Amen.

158 Ce que la thĂ©ologie des hommes en dit, ça m’est Ă©gal, ne vous appuyez pas lĂ -dessus. Appuyez-vous sur la Parole de Dieu : “JĂ©sus-Christ, le mĂȘme hier, aujourd’hui et pour toujours.” Certainement, il le croyait.

159 Que se serait-il passĂ© si David avait Ă©coutĂ© la thĂ©ologie de Sams-... de SaĂŒl? Goliath Ă©tait lĂ -bas qui se glorifiait, et tout le monde avait peur; SaĂŒl, qui dĂ©passait d’une tĂȘte toute l’armĂ©e. Goliath disait : “Que quelqu’un vienne donc se battre contre moi. Il n’est pas utile que–que nous mourions tous. Si je vous tue, alors vous nous servirez. Et si vous me tuez, eh bien, c’est nous qui vous servirons”, c’est parce qu’il tenait le haut du pavĂ©. C’est comme ça que le diable aime faire, quand il a tout son sĂ©minaire avec lui, qu’ils sont tous lĂ , quand il se prĂ©sente, voyez-vous.

160 Ce brave petit David, il se promenait lĂ -bas, avec un morceau de peau de mouton sur le dos; le teint rosĂ©, les Ă©paules tombantes, un petit bout d’homme de peut-ĂȘtre cent ou cent dix livres. Il a dit : “Vous n’allez pas me dire que l’armĂ©e du Dieu vivant, qui est liĂ©e Ă  une alliance par la circoncision, va rester lĂ  et laisser ce Philistin incirconcis dĂ©fier l’armĂ©e du Dieu vivant?”

161 SaĂŒl a dit : “Viens ici, mon garçon.” Il a dit : “J’admire ton courage, mais les jours des miracles sont passĂ©s. Nous, on n’a rien de tout ça, tu vois. Et je vais te dire quelque chose : Quelle carte de membre as-tu Ă  me montrer? Tu vois? Tu n’as mĂȘme pas d’armure. Tu n’as rien d’autre qu’une fronde Ă  la main. Tu vois? Tu n’as pas de doctorat en philosophie, ni de doctorat en droit. Comment vas-tu faire? Voyons, cet homme-lĂ  est un guerrier. Voyons, il–il a un doctorat en thĂ©ologie, il a un doctorat en droit, en philosophie, et quoi encore. Voyons, il a tellement de diplĂŽmes qu’il pourrait en tapisser un mur. Et toi, qui es-tu? Un berger.”

162 Il a dit : “Mais je voudrais te dire quelque chose.” Il a dit : “Sais-tu quoi?” Il a dit : “Je faisais paĂźtre les brebis de mon pĂšre lĂ -bas, et”, il a dit, “un lion est venu en enlever une, et il est parti avec. Et, tu sais, j’ai pris cette petite fronde, et j’ai couru aprĂšs lui, et je l’ai assommĂ©. J’ai arrachĂ© le–l’agneau de sa gueule, et alors il s’est dressĂ© contre moi. J’ai simplement pris mon couteau et je l’ai tuĂ©.” Il a dit : “Je suis reparti. Et lĂ , un ours est venu enlever cette brebis, il l’a prise et il est parti avec. Je l’ai tuĂ©, lui aussi.” Il a dit : “Maintenant, le Dieu... Pas mon doctorat en philosophie, pas ma propre intelligence. Je ne peux pas t’expliquer comment je fais. Je ne sais pas comment la chose se fait. Mais le Dieu,” amen, “le Dieu qui m’a dĂ©livrĂ© de la patte de l’ours, et du lion, combien plus Il me dĂ©livrera de la main de ce Philistin incirconcis!”

163 Un Ă©vĂȘque, SaĂŒl, a dit : “Tu sais, je crois que tu as un appel, mon garçon. Je vais te dire, si tu viens ici, je vais te montrer comment te battre en duel, tu vois. Et je vais te dire, je suis–je suis docteur, alors mets donc mon armure. Je voudrais t’habiller.” David s’est tenu lĂ , et ils lui ont donnĂ© un doctorat en philosophie, un doctorat en droit, et tout ça, et–et le pauvre petit ne pouvait mĂȘme plus bouger. Il ne savait pas comment.

164 Il a dit : “Je ne suis pas accoutumĂ© Ă  ceci. Ce gilet ecclĂ©siastique ne me va pas. DĂ©barrassez-moi de ça. Laissez-moi y aller avec ce que Dieu m’a donnĂ© pour m’aider.” C’est-Ă -dire la foi dans la puissance de Dieu. Et il–il ne s’est pas appuyĂ© sur sa propre intelligence. Il ne s’est pas appuyĂ© sur ce que quelqu’un d’autre avait dit. Il s’est appuyĂ© sur la foi. En effet, il savait que si Dieu l’avait dĂ©livrĂ© de la patte de l’ours, combien plus Il le dĂ©livrerait de ce Philistin!

165 Eh bien, si Dieu vous a aimĂ©s assez pour vous retirer du pĂ©chĂ© et pour vous remplir du Saint-Esprit, qu’est-ce que vous avez, pauvres pĂątes molles, partout dans le pays, est-ce qu’Il ne vous dĂ©livrera pas Ă  plus forte raison de votre affliction, puisqu’Il a promis de le faire? C’est la Parole de Dieu qui le dit. Il le fera. Certainement, Il l’a dĂ©livrĂ© de sa main.

166 Oh, chacun des prophĂštes, qu’est-ce qui se serait passĂ© s’ils s’étaient appuyĂ©s sur leur propre intelligence, Ă  leur Ă©poque? Ils ne seraient jamais allĂ©s voir les sacrificateurs et les souverains sacrificateurs, pour les traiter de “murailles blanchies”, et tout le reste. Ils n’auraient jamais prophĂ©tisĂ© contre eux. Ils auraient Ă©tĂ© comme certains de ces prophĂštes contemporains, ils auraient Ă©tĂ© d’accord, ils auraient portĂ© de beaux vĂȘtements, et auraient Ă©tĂ© dans les palais des rois.

167 Qu’est-ce qui se serait passĂ© si Jean avait essayĂ© de s’appuyer sur sa propre intelligence? Mais il s’est prĂ©sentĂ© lĂ  sans hĂ©siter.

168 Ils disaient : “Un instant, lĂ , Jean, ne prĂȘche surtout pas sur le mariage et le divorce.”

169 Il est allĂ© sans hĂ©siter se prĂ©senter devant HĂ©rode...?... et il a dit : “Il ne t’est pas permis de l’avoir pour femme.” Oui monsieur.
Ils disaient : “Sais-tu qui c’est, ça? C’est le proc-...
– Je m’en fiche, de qui c’est.” Il ne s’appuyait pas.

170 Ils disaient : “Mais, tu sais, tu n’as pas grand-chose. Tu es dans le dĂ©sert, lĂ . L’association ne voudra pas t’accepter si tu te mets Ă  te conduire comme ça.” Les associations, pour lui ça ne comptait pas. Il ne s’appuyait pas sur sa propre intelligence, mais sur l’intelligence de Dieu. Certainement.

171 Il y a eu un homme qui lui, s’est appuyĂ© sur sa propre intelligence, et il s’appelait Judas Iscariot. Oh, il... Je–je ne vois pas comment il a pu faire une chose pareille. Il avait marchĂ© avec Christ, face Ă  face, exactement comme Ève l’avait fait au commencement. Il avait vu la confirmation, il avait regardĂ© Dieu en face, comme Ève l’avait fait dans la fraĂźcheur du soir. Ève avait regardĂ© Christ, dans la fraĂźcheur du soir, dans le jardin. Et Judas s’étais assis, dans la fraĂźcheur du soir, dans le jardin de GethsĂ©manĂ© et Ă  bien des endroits, et il avait regardĂ© ce mĂȘme Christ. Il L’avait entendu enseigner, dĂ©montrer ce qu’Il Ă©tait, par la Parole, confirmer qu’Il Ă©tait le prophĂšte dont MoĂŻse avait annoncĂ© qu’Il serait suscitĂ©. Il leur avait dit, en prenant l’Écriture, Qui Il Ă©tait, et tous les dĂ©tails. Ils avaient vu Dieu dĂ©montrer qu’Il Ă©tait bien Celui-lĂ ; et ensuite, il s’est appuyĂ© sur sa propre intelligence.

172 Comment a-t-il pu faire une chose pareille? C’est parce qu’il n’y avait rien Ă  l’intĂ©rieur de lui, au dĂ©part. Il n’était pas une semence fĂ©condĂ©e. Il Ă©tait le fils de la perdition, nĂ© de la perdition, et il est retournĂ© Ă  la perdition. Maintenant, remarquons. Mais il est parti comme ça, peut-ĂȘtre qu’il s’était fait une idĂ©e de la chose par son intelligence. Peut-ĂȘtre qu’il pensait que JĂ©sus... Il avait tant de respect pour Lui : “Bon, il me semble que je pourrais peut-ĂȘtre Le vendre pour trente piĂšces d’argent. Comme ça, j’aurai de l’argent, et je pourrai faire quelque chose avec. Et Il est capable de Se dĂ©livrer tout seul.” Voyez-vous, il ne savait pas que, selon l’Écriture, il avait Ă©tĂ© suscitĂ© pour prendre cette position-lĂ .

173 Et les gens d’aujourd’hui non plus, ils ne se rendent pas compte de l’état dans lequel ils sont. Cette Ă©glise de LaodicĂ©e est destinĂ©e Ă  ĂȘtre dans cet Ă©tat-lĂ , Ă  mettre Christ dehors. Et Lui, Il frappe, Il cherche Ă  revenir Ă  l’intĂ©rieur [FrĂšre Branham donne cinq coups sur la chaire.–N.D.É.], mais sans aucune collaboration, nulle part. Il confirme Sa Parole Ă  l’époque actuelle, comme Il l’a fait Ă  chaque Ă©poque, et ils s’en dĂ©tournent carrĂ©ment. Ils s’appuient sur leur propre intelligence, c’est–c’est aussi simple que ça.

174 Ou peut-ĂȘtre, disons que–qu’il pensait comme ceci : que s’il vendait Christ pour trente piĂšces d’argent, eh bien, qu’il aurait de la–de la communion fraternelle avec certaines des grandes dĂ©nominations de l’époque, les pharisiens et les sadducĂ©ens. Il a pu se dire : “Bon, attends un peu, Il peut se dĂ©brouiller tout seul. Je L’ai vu livrer de grandes batailles; je–je sais qu’Il peut se dĂ©brouiller tout seul. Alors, aussi bien me faire un peu d’argent, un genre de–de petit fonds de retraite, comme on dit. Et puis, peut-ĂȘtre qu’à ce moment-lĂ  j’aurais la cote auprĂšs des Ă©glises d’aujourd’hui, si je Le leur livrais.” Voyez? Mais il s’est appuyĂ© sur sa propre intelligence, plutĂŽt que sur l’intelligence de savoir que c’était lĂ  la Parole de Dieu confirmĂ©e. Et il a fait Ă  JĂ©sus exactement ce que les Écritures avaient dit qu’il ferait.

175 Et aujourd’hui, le monde ecclĂ©siastique a mis Christ Ă  la porte, en ces derniers jours, et c’est exactement ce que le Livre de l’Apocalypse a dit qu’ils feraient. C’est l’esprit de Judas de nouveau, sous forme d’église : “Ayant l’apparence de la piĂ©tĂ©, mais reniant la Parole.” Voyez? C’est exact. Alors, oh! la la! quel en a Ă©tĂ© le rĂ©sultat? La mort, exactement comme pour Ève. Et c’est ce qui se produit chez tous les autres, qui cherchent Ă  pervertir la Parole de Dieu, et qui s’appuient sur leur propre intelligence. MĂȘme maintenant, ils vendent, pas pour trente piĂšces d’argent, mais peut-ĂȘtre pour devenir, oh, quelqu’un de haut placĂ©, avec une expĂ©rience de sĂ©minaire. Ça ne vaut pas trente piĂšces d’argent, mais ils la vendent quand mĂȘme, ils vendent l’intelligence qu’ils ont de Dieu, pour une chose pareille.

176 Quelle diffĂ©rence entre eux et le grand Ă©rudit, saint Paul, qui possĂ©dait toute la connaissance dont il aurait pu se glorifier. Mais il a dit : “J’ai rejetĂ© tout cela, tous mes raisonnements. J’ai rencontrĂ© une Colonne de Feu, un jour que j’étais en route vers Damas.” Il a dit : “Je ne suis pas venu vers vous avec une supĂ©rioritĂ© de langage, parce que si je l’avais fait, vous auriez mis votre confiance dans la sagesse des hommes. Mais je suis venu vers vous avec la puissance et les dĂ©monstrations du Saint-Esprit, pour que vous–que vous vous appuyiez sur la Parole de Dieu.” Amen. Il a dit : “Si un Ange du Ciel venait vous annoncer quoi que ce soit d’autre, qu’il soit anathĂšme”, Galates 1.8. C’est exact. Non monsieur. Il n’a jamais fait cela.

177 La petite femme au puits, elle Ă©tait immorale. Mais, elle savait que les Ă©glises l’avaient excommuniĂ©e, et, mais elle ne s’est jamais appuyĂ©e sur sa propre intelligence. Quand, au puits, elle a rencontrĂ© cet Homme qui lui a dit tout ce qu’elle avait fait comme pĂ©chĂ©s, elle est allĂ©e Ă  la ville en courant. Or, ce n’était pas bien de la part d’une femme d’agir comme ça, d’aller lĂ -bas et de dire quoi que ce soit, parce que c’était une prostituĂ©e. Mais quand elle eut rencontrĂ© JĂ©sus, elle ne s’est jamais appuyĂ©e sur l’intelligence des gens de l’époque. Elle est allĂ©e dire : “Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie?” Elle ne s’est jamais appuyĂ©e sur son intelligence. Non.

178 La vierge Marie, quand l’Ange Gabriel est venu la voir et qu’Il lui a dit qu’elle aurait un bĂ©bĂ©, sans avoir connu d’homme. Fiou! Ça ne s’était jamais produit. Elle ne s’est pas du tout appuyĂ©e sur sa propre intelligence, qu’une femme ne pouvait pas avoir un bĂ©bĂ© sans avoir un–un mari. Elle ne s’est pas appuyĂ©e lĂ -dessus. Mais elle a dit : “Voici la servante du Seigneur; qu’il me soit fait selon Ta Parole.” Elle n’a pas dit : “Comment vais-je faire cela? Quand vais-je faire cela? Comment est-ce que tout cela va se passer?”

179 L’Ange a dit : “Le Saint-Esprit te couvrira de Son ombre; et le Saint Enfant qui naĂźtra de toi sera appelĂ© le Fils de Dieu.”

180 Elle a dit : “Voici la servante du Seigneur.” Elle ne s’est pas fiĂ©e Ă  son raisonnement, que c’était une chose impossible. Elle a seulement dit : “Voici la servante du Seigneur.” C’est exact. Remarquez.

181 La–la femme qui avait la perte de sang, le mĂ©decin lui avait dit, il avait dit : “Il n’y a pas d’espoir.” Elle avait dĂ©pensĂ© tout son bien chez les mĂ©decins, et aucun d’eux n’avait pu l’aider. Elle ne s’est pas appuyĂ©e lĂ -dessus. Quand JĂ©sus... Elle s’est frayĂ© un chemin dans la foule, et elle a dit : “Je crois que si je peux toucher les vĂȘtements de cet Homme, je serai guĂ©rie.” Elle s’approche donc.

182 “Attends un peu, lĂ , le mĂ©decin a dit que ‘tu ne peux pas te rĂ©tablir’.” Il y avait bien des annĂ©es qu’elle avait cette perte de sang. Elle s’affaiblissait tout le temps, son Ă©tat empirait. Les mĂ©decins l’avaient condamnĂ©e. L’intelligence qu’ils avaient de son cas se limitait Ă  ça.

183 Mais elle a dit, par la foi! Il n’y avait aucun passage de l’Écriture qui lui disait de faire ça. Mais elle a dit : “Si je peux toucher le bord de Son vĂȘtement, je serai guĂ©rie”, et elle s’est faufilĂ©e jusque-lĂ  et elle L’a touchĂ©. Elle est retournĂ©e s’asseoir.

184 JĂ©sus s’est retournĂ©, et Il a dit : “Qui M’a touchĂ©?” Il a parcouru l’assistance du regard, jusqu’à ce qu’Il la trouve. Il lui a parlĂ© de sa perte de sang.

185 Et elle a senti, Ă  ce moment-lĂ , dans son corps, elle n’a pas pu le prouver sur le coup, mais elle a senti dans son corps que sa perte de sang s’était arrĂȘtĂ©e. Elle n’a pas du tout raisonnĂ©, que “si le mĂ©decin l’avait condamnĂ©e, comment Ă©tait-il possible qu’elle reçoive de l’aide d’ailleurs?” Elle ne s’est jamais fiĂ©e au raisonnement, mais elle s’est fiĂ©e Ă  la foi.

186 Or, la Bible dit “qu’Il est aujourd’hui le Souverain Sacrificateur qui peut ĂȘtre touchĂ© par le sentiment de nos faiblesses”. Pas vrai? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Ne vous fiez pas au raisonnement, de dire, oh, que c’est... Il a dit : “C’est ce qu’Il est aujourd’hui. Il est en ce moment mĂȘme un Souverain Sacrificateur qui peut ĂȘtre touchĂ© par le sentiment de nos faiblesses. Le mĂȘme hier, aujourd’hui et pour toujours.”

187 Pensez-vous, quand j’étais lĂ , un prĂ©dicateur baptiste, et que l’Ange du Seigneur est venu me voir lĂ -bas, et qu’Il m’a donnĂ© la commission d’aller faire ce que je fais maintenant? Mais, mon pasteur a dit : “Tu as perdu la tĂȘte. Voyons, tu as fait un cauchemar, tu...”
J’ai dit : “Vous faites mieux de m’îter ma carte de membre tout de suite.”

188 Bon, il a dit : “Comment est-ce que toi, qui n’as mĂȘme pas complĂ©tĂ© tes Ă©tudes primaires, tu vas prĂȘcher dans le monde entier? Comment est-ce que tu vas prier pour des rois et des potentats, alors que tu–tu–tu ne sais mĂȘme pas employer une bonne grammaire?”

189 Je ne mettais pas ma confiance dans ma grammaire. Je ne mettais pas ma confiance dans aucune capacitĂ© personnelle. J’avais reçu une commission. AllĂ©luia! Je ne me suis pas fiĂ© Ă  des raisonnements. Si j’avais Ă©coutĂ© les raisonnements, probablement que des milliers de gens seraient morts, il y a des annĂ©es. Mais j’ai portĂ© un Message, exactement comme Il l’avait dit, tout autour du monde.

190 Et, par la grĂące de Dieu, je repars; pas par le raisonnement, mais par une commission. AllĂ©luia! Je ne me suis pas appuyĂ©... Vous dites : “Vous avez cinquante-cinq ans.” MĂȘme si j’en avais quatre-vingt-quinze, ça n’a absolument rien Ă  y voir. Il est toujours le mĂȘme Dieu qu’Il Ă©tait avec Abraham. Oui monsieur. Ne vous appuyez pas sur votre propre intelligence des choses.

191 Et, aprĂšs que le signe est allĂ© de l’avant, quand la Voix a suivi, les Ă©glises se sont mises Ă  me rejeter et Ă  me fermer leurs portes, Ă  cause de la Doctrine, alors qu’aucun d’eux n’ose se prĂ©senter devant moi pour me dire qu’Elle est vraie ou fausse. Je mets n’importe lequel d’entre eux au dĂ©fi. Oui. Ce n’est pas pour faire le malin, mais je sais oĂč j’en suis. C’est vrai. Qu’est-ce qu’ils ont fait? Qu’est-ce qu’ils ont fait? Ils ont fermĂ© toutes les portes. “Maintenant qu’est-ce que vous allez faire?”

192 L’autre jour, j’étais lĂ , sur la montagne. Je disais : “Seigneur, je n’ai qu’une porte ouverte dans tout le pays, pour autant que je sache, c’est Ă  Phoenix, en Arizona. C’est la seule que j’ai.” Comme je descendais la montagne, aussi clairement que j’ai jamais entendu quelqu’un parler, Il a dit : “Que t’importe? Toi, suis-Moi.” ...?... Pas sur ma propre intelligence. Je m’appuierai sur Sa promesse.

193 Oh, mon ami, ne vous appuyez pas sur les raisonnements. Écriez-vous alors, comme Eddie Perronet, autrefois : Que tous acclament la puissance du Nom de JĂ©sus!
Que les Anges se prosternent devant Lui;
Apportez le diadĂšme royal,
Et couronnez-Le Seigneur de tous;
Couronnez-Le Seigneur de tous.

194 C’est exact. Ne vous appuyez pas sur ce que vous, vous pensez, sur ce que quelqu’un d’autre pense. Par la foi, acceptez la promesse de Dieu. Voulez-vous le faire? Maintenant, il ne s’agit pas de savoir si quelqu’un d’autre l’a fait ou ne l’a pas fait, mais qu’en est-il de vous? Vous, que ferez-vous de ce JĂ©sus qu’on appelle le Christ, qui Se fait connaĂźtre aujourd’hui, de la mĂȘme maniĂšre qu’Il l’avait fait Ă  cette Ă©poque-lĂ ? Croyez-vous en Lui? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.]
Prions.

195 Seigneur JĂ©sus, Roi des rois, Seigneur des seigneurs, Dieu des dieux, Dieu de tous les potentats, le Premier, le Dernier, l’Alpha, l’OmĂ©ga, le Commencement et la Fin, l’Étoile Brillante du Matin, la Rose de Saron, le Lis de la VallĂ©e, la Racine et la PostĂ©ritĂ© de David, viens, Seigneur Dieu, le mĂȘme hier, aujourd’hui et pour toujours!

196 BĂ©nis cette assemblĂ©e de gens, Seigneur. Cette... [espace.non.enregistrĂ©.sur.la.bande–N.D.É.] qui va bientĂŽt commencer, demain. Nous avons eu quelques rĂ©unions ici, et Tu nous y as bĂ©nis. Tu T’es fait connaĂźtre Ă  nous. Je Te prie, ĂŽ Dieu, de continuer Ă  Te faire connaĂźtre Ă  nous. BĂ©nis-nous ce soir. Aide-nous maintenant. Nous sommes un peuple dans le besoin.

197 Et, Seigneur, Tu sais que je n’aime pas gronder les gens, mais comment faire taire cette chose sacrĂ©e qui brĂ»le en moi? Je n’aime pas faire cela, Seigneur. Tu connais ma vie, mon coeur. Je dois le faire. Aussi je Te prie, ĂŽ Dieu, de m’aider Ă  le faire. Donne-moi seulement la grĂące, et que je ne m’appuie jamais sur ma propre intelligence, mais que je m’appuie sur Ta promesse. Au Nom de JĂ©sus. Amen.

198 Je voudrais que vous soyez tous trĂšs respectueux pendant quelques instants. Assis dans cette assemblĂ©e de gens, sans doute qu’il y a des hommes et des femmes qui sont malades. Combien ici sont malades et affligĂ©s, levez la main, dites simplement : “J’ai besoin de Dieu”? Levez simplement la main, lĂ  : “J’ai besoin de Dieu.”

199 Bon, je ne connais pas un grand nombre de personnes. Je connais les trois garçons qui sont assis juste ici. Je connais Monsieur Dauch et sa femme, qui sont assis lĂ . Je pense, je pense que c’est Soeur Moore ici. Je n’en suis pas sĂ»r. C’est ça, Soeur Moore? À part ceux-lĂ , je pense que c’est tout. FrĂšre Mike, et l’estrade. Ça, c’est pour autant que je sache, d’aprĂšs ce que je vois, tous ceux que je connais.

200 Mais le PĂšre CĂ©leste, qui a promis, et, qu’en ce jour-ci, qu’Il confirmerait ce qu’Il est, dans cet Ăąge-ci, exactement de la mĂȘme maniĂšre qu’Il l’avait fait Ă  Sodome. Est-ce qu’Il l’a promis? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Qu’Il Se manifesterait! Croyez-vous cela? [“Amen.”]

201 Maintenant, si vous voulez prier, et par la foi! Ne cherchez pas à raisonner, là : “Comment est-ce que je peux Le toucher comme Souverain Sacrificateur?”

202 Or, la Bible dit, dans le Nouveau Testament : “Il est en ce moment mĂȘme le Souverain Sacrificateur. Il reste en place comme Souverain Sacrificateur selon l’ordre de MelchisĂ©dek. Il est le Souverain Sacrificateur pour toujours. Il n’y a pas d’autre Souverain Sacrificateur que Lui. Aucun autre mĂ©diateur entre Dieu et les hommes, que Christ Homme.” C’est vrai. Il est le seul, et Il est le mĂȘme hier, aujourd’hui et pour toujours.

203 S’il est encore le mĂȘme Souverain Sacrificateur, et que la Bible dit que “nous pouvons Le toucher par le sentiment de nos faiblesses”, alors, comme cette petite femme qui avait touchĂ© Son vĂȘtement, votre foi peut Le toucher ce soir, et Il agira de la mĂȘme maniĂšre, dans une chair humaine, qu’Il avait agi quand Il Ă©tait dans une chair humaine, lĂ -bas, au–au chĂȘne d’Abraham. Croyez-vous ça? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Il a promis qu’Il le ferait. Maintenant, priez, simplement, tous ceux qui ont un besoin. Et je–je...

204 C’est comme je le disais, un don, ce n’est pas quelque chose comme de prendre un couteau, et si vous voulez vous en servir pour couper ceci, vous pouvez le couper, ou pour couper ceci, vous pouvez le couper, ou ce que vous voulez faire. Ce n’est pas ça un don de Dieu. Voyez? Non.

205 Un don de Dieu, c’est un moyen que vous avez de vous enlever du chemin. Et les dons et les appels relĂšvent de la prĂ©destination de Dieu. “Les dons et les appels sont mĂȘme sans repentir.” Vous naissez avec. C’est un petit levier pour vous faire passer d’une vitesse Ă  l’autre, mais vous ne pouvez pas appuyer sur l’accĂ©lĂ©rateur. Voyez? C’est Dieu qui doit le manoeuvrer. Vous devez vous enlever du chemin.

206 Votre foi Ă  vous peut le manoeuvrer, pas la mienne; la vĂŽtre. La mienne, c’est de s’enlever du chemin, c’est tout. Croyez de tout votre coeur que JĂ©sus-Christ vit aujourd’hui.

207 Ne vous appuyez pas sur votre propre intelligence. Vous dites : “Eh bien, regardez, lĂ , mon–mon Ă©tat est trĂšs grave, frĂšre. Vous ne me connaissez pas. J’ai Ă©tĂ© dans ce fauteuil roulant... J’ai Ă©tĂ©...”

208 Ce que vous avez Ă©tĂ©, pour moi ça ne compte pas. Voyez si Dieu ne va pas descendre et faire exactement ce qu’Il a fait quand Il Ă©tait ici sur terre dans un corps physique. Il le fera dans votre corps, dans mon corps, nous faisons bloc ensemble en croyant en Lui. Il le fera, parce qu’Il a promis de le faire.

209 Or, ne vous appuyez pas sur ce que quelqu’un a dit : “Oh, ça, c’est–c’est de la tĂ©lĂ©pathie”, c’est comme ça qu’ils appellent Cela. Ils ont dit la mĂȘme chose de JĂ©sus. Ils L’ont traitĂ© de diseur de bonne aventure, de “dĂ©mon”. Mais Il Ă©tait le Fils de Dieu, parce qu’Il correspondait Ă  la Parole promise de Dieu.

210 Maintenant, comme je le disais, les–les salles qu’on a, on n’est pas obligĂ©s d’avoir ça, de pouvoir venir imposer les mains aux gens. Nous leur avons imposĂ© les mains hier soir. Mais la seule chose que vous ĂȘtes obligĂ©s d’avoir, c’est la foi, et ensuite de reconnaĂźtre. Par la foi, vous l’acceptez, par la foi. Pas–pas par quoi que ce soit que...
Ne dites pas : “Eh bien, là, comment est-ce que cela peut se faire?”

211 Si je pouvais vous dire comment cela se fait, alors, ce ne serait plus de la foi. Je ne sais pas comment cela se fait. Je ne sais pas, mais je le crois. Je–je ne sais pas comment–comment Dieu fait pour sauver un pĂ©cheur, mais Il le fait. Je ne sais pas comment Dieu fait toutes ces choses-lĂ , mais je l’accepte. Il–Il le fait, et c’est comme ça. En effet, je ne peux pas l’expliquer. Maintenant, bon, je... Ça ne s’expliquera jamais. Personne ne peut l’expliquer. Parce que si vous l’expliquez, Ă  ce moment-lĂ , ce n’est plus de la foi.

212 Je ne peux pas comprendre que Dieu et Christ puissent ĂȘtre une seule et mĂȘme Personne, mais Ils l’étaient. L’Écriture le dit. Eh bien, vous ne pouvez pas l’expliquer, mais Ils l’étaient. “Mon PĂšre est en Moi. Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon PĂšre qui est en Moi. Si Je ne fais pas Ses oeuvres, alors cela montre que Je ne suis pas de Lui. Mais si Je fais Ses oeuvres, alors c’est Lui-mĂȘme qui rend tĂ©moignage que Je suis de Lui.”

213 Eh bien, c’est la mĂȘme chose maintenant, exactement la mĂȘme chose. Il est le mĂȘme hier, aujourd’hui et pour toujours, si vous ĂȘtes prĂȘts Ă  le croire.

214 Maintenant, il y a un homme assis juste ici devant moi, il a les cheveux bruns. Il porte une montre au bras, un complet foncĂ©. Il porte des lunettes. Si vous regardez ici, vous le verrez assis, les yeux fermĂ©s, il prie. Je ne connais pas cet homme. Le PĂšre CĂ©leste sait que je ne le connais pas. Mais je vais juste m’occuper de lui un petit instant, parce qu’il semble ĂȘtre vraiment sincĂšre, assis lĂ . Depuis que j’ai fait mention de cela, cet homme a simplement fermĂ© les yeux et il s’est mis Ă  prier. Cet homme est un inconnu pour moi, lĂ , vous voyez mes mains. Je ne le connais pas. Dieu connaĂźt cet homme, et Il peut me rĂ©vĂ©ler, – si cette promesse de la Bible est vraie, – Il peut me rĂ©vĂ©ler la raison pour laquelle cet homme a les yeux fermĂ©s, et pour quoi il prie. Croyez-vous ça? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.]

215 Le croyez-vous, monsieur? Si vous voulez bien ouvrir les yeux, vous, assis juste ici, regardez ici. Croyez-vous ça? TrĂšs bien. Maintenant, vous savez que je ne vous connais pas. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Mais Dieu vous connaĂźt. Il s’est mis Ă  pleurer, lĂ , il verse des larmes. En effet, je peux lui dire tout de suite que Dieu va exaucer sa demande, voyez-vous, parce que c’est ce qui vient de le toucher, cette LumiĂšre; c’est passĂ© des tĂ©nĂšbres Ă  la LumiĂšre. Voyez?

216 Or, cet homme, il prie pour quelqu’un d’autre, il s’agit de ce petit garçon qui est assis ici, prùs de lui. C’est son fils. C’est exact. Maintenant, ce petit garçon, il souffre de–de troubles gastriques, et il a aussi quelque chose aux intestins. C’est exact. C’est exact.

217 Vous n’ĂȘtes pas d’ici. Vous n’ĂȘtes pas de l’Arizona. Vous ĂȘtes de la Californie. C’est exact. Et vous ĂȘtes un ministre, vous ĂȘtes membre des AssemblĂ©es de Dieu. C’est vrai. Vous ĂȘtes le rĂ©vĂ©rend McKeig, ou, rĂ©vĂ©rend Keig, c’est exact. Est-ce vrai? Faites signe des mains, comme ceci. Maintenant votre petit garçon va guĂ©rir. Votre foi!

218 Maintenant qu’est-ce? Bon, cet homme est lĂ , les mains levĂ©es, il ne me connaĂźt pas, je ne le connais pas. Mais qu’est-ce qu’il y a eu? Il a touchĂ© le Souverain Sacrificateur. Or, voyez-vous, il n’a pas pu s’appuyer sur sa propre intelligence. Maintenant, ce qu’il doit faire, qu’est-ce qu’il lui reste Ă  faire, lĂ ? Il doit croire que ce qui lui a Ă©tĂ© dit est la vĂ©ritĂ©, parce qu’il sait qu’il ne me connaĂźt pas. C’est exact.

219 Tenez, il y a une femme assise juste ici devant moi, elle aussi, elle a la tĂȘte inclinĂ©e. Elle souffre d’un cancer. Elle aussi, elle vient de la Californie. J’espĂšre qu’elle ne passera pas Ă  cĂŽtĂ©. Mademoiselle Adams, c’est comme ça que vous vous appelez. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Oui, c’est bien vrai.

220 Il y a une dame assise au fond, ici. Je ne peux pas mettre... la montrer simplement du doigt, mais je vois une LumiĂšre au-dessus d’elle. Elle a des ennuis sĂ©rieux. Une chose, elle a mal au cou. Autre chose, elle–elle a des–des problĂšmes spirituels, elle s’inquiĂšte, se fait du souci pour ça. Et elle a un problĂšme de famille; sa fille s’est enfuie derniĂšrement. C’est exact. C’est vrai, n’est-ce pas? Elle a la main levĂ©e. Madame Miller, c’est exact. Croyez-vous? Dieu vous la renverra, Il guĂ©rira votre corps. Maintenant, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Elle m’est totalement inconnue, tout Ă  fait.

221 Il y a une dame assise ici, dans l’auditoire. Elle–elle n’est pas d’ici; elle aussi, elle est de la Californie. Elle a un cancer, et c’est un cancer du sein. Elle a Ă©tĂ© opĂ©rĂ©e Ă  un sein, et le cancer s’est propagĂ© Ă  l’autre. C’est exact. Madame Kalin, c’est exact. Croyez-vous que Dieu va vous guĂ©rir? Vous le croyez. Je suis un inconnu pour vous, madame, je ne vous connais pas. C’est vrai. Voyez? Elle, c’est le cancer.
Pour que vous sachiez que Dieu est présent!

222 Il y a une dame assise juste Ă  cĂŽtĂ© d’elle. Son nom est Madame Harris. Elle m’est totalement inconnue. Mais quand l’Esprit a touchĂ© cette femme-ci, elle aussi, elle avait de la compassion pour elle, et elle vient de la Californie. C’est exact. Et elle a mal Ă  l’épaule. C’est exact. Croyez-vous que Dieu vous guĂ©rira? Si c’est vrai, levez la main, pour que les gens voient; elle m’est totalement inconnue.

223 Ne vous appuyez pas sur votre propre intelligence. Qu’est-ce qui peut faire cela? Ça ne s’explique pas. C’est un paradoxe. Ça dĂ©passe l’explication. Demandez Ă  ces gens; je ne les ai jamais vus de ma vie, je ne savais absolument rien d’eux. Ça pourrait continuer comme ça, dans toute l’assemblĂ©e.

224 Mais, maintenant, regardez, ne vous appuyez pas sur votre propre intelligence, mais appuyez-vous sur ce qu’Il a promis, qu’Il ferait cela. N’est-ce pas lĂ  le mĂȘme Esprit qui a habitĂ© dans une chair humaine, qui savait que Sara avait ri dans la tente, derriĂšre cet Homme. Pas vrai? Et Il a promis, juste avant que le monde soit dĂ©truit par le feu, qu’alors le Fils de l’homme Se rĂ©vĂ©lerait de nouveau de la mĂȘme maniĂšre, que le–le Fils de l’homme (prophĂ©tique) Se rĂ©vĂ©lerait dans une chair humaine, – comme Il l’est ici avec nous ce soir, – de la mĂȘme maniĂšre qu’Il l’avait fait Ă  l’époque. Alors Ă  quelle heure vivons-nous? Tout prĂšs de la destruction.

225 Mon ami, ne restez pas un pĂ©cheur plus longtemps, dans cette salle. Acceptez JĂ©sus-Christ, pendant que vous ĂȘtes dans Sa PrĂ©sence. Bon, je sais, ce qui se fait d’habitude par les prĂ©dicateurs, c’est la coutume, ils vont supplier et raconter des histoires, parler de maman qui est morte et qui est de l’autre cĂŽtĂ©. Il n’y a pas de mal Ă  ça. Mais nous ne venons pas en fonction de notre mĂšre qui est morte. Ma mĂšre aussi, elle est morte; mĂȘme chose pour mon pĂšre. Mais nous venons intelligemment, en l’acceptant sur la base de ce que Dieu S’est manifestĂ© en JĂ©sus-Christ pour ĂŽter les pĂ©chĂ©s du monde. Nous venons et nous mettons notre foi dans l’Expiation. Maintenant qu’Il a confirmĂ© Sa Parole...

226 Quelle Ă©glise vous avez frĂ©quentĂ©e, ça m’est Ă©gal, que ce soit l’église mĂ©thodiste, baptiste, catholique, presbytĂ©rienne, ou pas d’église du tout. Si vous ĂȘtes prĂȘt Ă  reconnaĂźtre que vous en avez reçu une comprĂ©hension diffĂ©rente, que vous savez que vous n’ĂȘtes jamais vraiment nĂ© de nouveau, mais que vous le dĂ©sirez, et que vous dĂ©sirez l’accepter maintenant, la promesse, maintenant. Vous ne serez peut-ĂȘtre pas rempli tout de suite, mais vous serez rempli quand... Ă  mesure que les rĂ©unions se poursuivront. Si vous voulez l’accepter sur ces bases-lĂ , voulez-vous vous lever et je vais prier pour vous, de l’endroit oĂč vous ĂȘtes. Tous ceux qui sont ici, qui savent...

227 Ne vous appuyez pas sur vous-mĂȘme, eh bien, en disant : “J’ai parlĂ© en langues.” Ça, ça n’a absolument rien Ă  y voir. Moi aussi, je crois au parler en langues.

228 Mais j’ai vu des sorciĂšres, des dĂ©mons, et tout le reste, parler en langues et interprĂ©ter. C’est vrai. Demandez aux missionnaires ici, nous pouvons nous renseigner, FrĂšre Creech, tu sais que c’est vrai. Je les ai vus parler en langues, et boire du sang dans un crĂąne humain, invoquer le diable. Certainement. Je les ai vus poser un crayon par terre, et celui-ci s’est soulevĂ© et a Ă©crit en langues inconnues; et la sorciĂšre, le sorcier se tenait lĂ , et il en a donnĂ© l’interprĂ©tation.

229 Alors, le parler en langues, ce n’est pas le signe que vous avez le Saint-Esprit. Si ça, si vous parlez en langues et que vous niez cette Parole, il y a quelque chose qui cloche quelque part. C’est vrai, oui, c’est vrai. Ne vous appuyez pas sur votre propre intelligence.

230 Quelqu’un, bon, vous direz : “Eh bien, j’ai poussĂ© des cris.” Moi aussi, j’en pousse. Mais ne vous appuyez pas lĂ -dessus.

231 J’ai vu toutes sortes de puissances dĂ©moniaques pousser des cris et hurler. J’ai vu des musulmans pousser des cris et hurler, ils s’emballaient tellement, au point de se transpercer les mains avec des esquilles. En Inde, je les ai vus pousser des cris, sauter en l’air, prendre des boules remplies d’eau et en enfoncer l’hameçon dans leur peau, et marcher sur des charbons brĂ»lants, c’est vrai, alors qu’ils renient JĂ©sus-Christ.

232 Voyez-vous, ne vous appuyez pas sur votre propre intelligence, mais sur la Parole de Dieu. Si votre vie n’est pas Ă  la hauteur de cette Bible, pour croire chaque Parole qui s’y trouve, mais que vous voulez y croire, que vous voulez que Dieu fasse Sa volontĂ© en vous, – parce que vous pouvez ĂȘtre une partie de Dieu, – voulez-vous vous lever, dire : “Je vais l’accepter tout de suite, frĂšre.” Merci. Merci. Que Dieu vous bĂ©nisse. Que Dieu vous bĂ©nisse. Que Dieu vous bĂ©nisse. Que Dieu vous bĂ©nisse. Que Dieu vous bĂ©nisse. Merveilleux. Que Dieu vous bĂ©nisse. Puisse Dieu vous l’accorder, vous, tous ces gens sincĂšres. Vous dites... Continuez simplement–simplement Ă  vous lever, simplement...

233 Vous dites : “Je suis membre d’église, FrĂšre Branham, mais vraiment, je suis pentecĂŽtiste, mais vraiment, pour ce qui est de dire, vraiment, que je peux croire que toute la Parole est la VĂ©ritĂ©, je ne peux tout simplement pas le faire, mais je–je veux le faire. Aidez-moi, priez pour moi. Je veux me lever et dire : ‘Je–je...’” Vous dites : “Eh bien, Ă©coutez, je suis assise ici, ou j’ai tĂ©moignĂ© Ă  cette Ă©glise, que j’en Ă©tais lĂ .” Mais vous le savez, au fond de votre coeur, que vous n’en ĂȘtes pas lĂ . Dieu aussi, Il sait que vous n’en ĂȘtes pas lĂ , voyez-vous, alors pourquoi ne pas vous lever? Ne vous appuyez pas sur votre propre intelligence, mais appuyez-vous sur Sa Parole.

234 Voulez-vous vous lever, d’autres personnes? Quelqu’un d’autre voudrait-il se lever? Que Dieu vous bĂ©nisse. Que Dieu vous bĂ©nisse. Que Dieu vous bĂ©nisse, et vous. “Ô Dieu, aide-moi.” Que Dieu vous bĂ©nisse tous. C’est bien. Continuez simplement Ă  vous lever.

235 Vous dites : “Est-ce que ça va m’avancer à quelque chose?” Levez-vous une bonne fois, vous verrez si ça va vous avancer à quelque chose. Soyez vraiment sincùre : “Je veux, Frùre Branham, je veux marcher droit. Je veux marcher droit.”

236 Bon, je ne dis pas de quitter votre Ă©glise. Non monsieur. Restez lĂ , Ă  l’endroit oĂč vous ĂȘtes, mais soyez une personne vraiment remplie du Saint-Esprit dans cette Ă©glise-lĂ , c’est tout. Vous dites : “Eh bien, je ne sais pas ce que mon pasteur en dira.” Il vous apprĂ©ciera si vous ĂȘtes, s’il est un homme de Dieu. C’est exact.

237 “Que votre lumiùre luise tellement devant les hommes qu’ils voient vos bonnes oeuvres, et qu’ils glorifient leur Pùre.”

238 Que Dieu vous bénisse. Eh bien, que Dieu vous bénisse tous les deux, et vous; et vous, frÚre, vous. Que Dieu vous bénisse, chacun. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, ici.

239 Maintenant, vous qui vous ĂȘtes levĂ©s, si vous vous sentez mieux aprĂšs vous ĂȘtre levĂ©s, levez donc la main pour faire savoir aux autres que vous vous sentez mieux aprĂšs vous ĂȘtre levĂ©s. Voyez-vous, toutes les mains. Voyez? Bien sĂ»r que vous vous sentez mieux. Voyez-vous, vous ĂȘtes sincĂšre. Vous vous levez, pour dire : “Je vais rendre tĂ©moignage.”

240 “Celui qui prendra Mon parti ici, Je prendrai son parti là-bas. Celui qui aura honte de Moi ici, devant ces hommes, J’aurai honte de lui devant Mon Pùre et les saints Anges.” N’ayez pas honte de Lui. Ne vous appuyez pas sur votre propre raisonnement. Appuyez-vous sur la Parole de Dieu. “Celui qui Me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant Mon Pùre et les saints Anges.”

241 Y en aurait-il d’autres, juste avant que nous priions? Alors, courbons la tĂȘte. Que Dieu vous bĂ©nisse, soeur. Bien sĂ»r. Que Dieu vous bĂ©nisse, et vous, frĂšre. Certainement. Est-ce qu’il y en aurait un autre, lĂ , pendant que nous avons la tĂȘte inclinĂ©e? Que Dieu vous bĂ©nisse, et vous. Bon, c’est ça, il y en a encore parmi vous qui se lĂšvent. Nous allons simplement attendre un instant, un petit instant. Que Dieu vous bĂ©nisse, frĂšre. Que Dieu vous bĂ©nisse. Vous dites : “Est-ce que ça signifie quelque chose de dire : ‘Que Dieu vous bĂ©nisse’?” C’est ainsi que je prononce mes bĂ©nĂ©dictions sur vous. Que Dieu vous bĂ©nisse.

242 Certains d’entre vous qui sont debout le long du mur, vous n’avez pas de place pour vous asseoir, voulez-vous simplement lever la main, pour dire : “Moi, ĂŽ Dieu, c’est de moi qu’il est question”? Que Dieu vous bĂ©nisse, frĂšre. Que Dieu vous bĂ©nisse, et vous; et vous, soeur; et vous, mon frĂšre; et vous, ma soeur.

243 Oh, le Saint-Esprit se dĂ©place avec tellement de douceur sur l’auditoire. Pouvez-vous Le ressentir? Que Dieu vous bĂ©nisse, jeune homme, ici sur l’estrade. Que Dieu vous bĂ©nisse, au coin, lĂ -bas. Que Dieu te bĂ©nisse, jeune homme. Oui.

244 Ô Saint-Esprit, agis Ă  nouveau dans nos coeurs maintenant. Montre-nous nos fautes, Seigneur. Nous ne... Nous ne nous appuierons pas sur notre propre intelligence, notre propre raisonnement. Mais nous nous appuyons sur Toi, parce que nous savons que nous nous tenons Ă  Ta promesse Divine confirmĂ©e, d’aujourd’hui. Tu T’es fait connaĂźtre au-delĂ  de tout, au-delĂ  de tout raisonnement. Nous ne pouvons pas raisonner ni expliquer la chose. Mais Tu es descendu ici, au milieu de nous, maintenant, et Tu nous as montrĂ© que Tu es ici. Et des hommes et des femmes le croient et l’acceptent.

245 Ô Dieu, prends chacun d’eux dans Ton sein, et cache-les dans le Rocher des Âges, jusqu’à ce que les feux soient passĂ©s. Nous allons bientĂŽt ĂȘtre brĂ»lĂ©s, Seigneur. Nous le savons. Nous en sommes revenus Ă  Sodome. “Mais le juste ne pĂ©rira pas avec le coupable.” Tu appelleras Tes enfants, Seigneur. Tu as dit Ă  Lot : “Sors de lĂ . Sors.” Je prie, ĂŽ Dieu, que chaque personne qui est dans cet Ă©tat-lĂ  ce soir, qui est lĂ -bas, sans savoir avec certitude oĂč ils en sont...

246 Ô Dieu, ils ne prendraient pas le risque de descendre une rue Ă  sens unique en sens inverse. Ils ne prendraient pas le risque de griller un feu rouge, s’ils ont toute leur tĂȘte, parce qu’ils pourraient se faire tuer. Alors, comment des gens peuvent-ils prendre des risques quand il s’agit de leur destination Éternelle, se contenter de supposer, de prĂ©sumer, de s’aventurer sans avoir vraiment l’autorisation de s’aventurer, pour la raison qu’ils sont membres d’une Ă©glise ou d’une dĂ©nomination? Et, vraiment, ils ne peuvent pas, ils ne peuvent pas comprendre que la Parole de Dieu puisse ĂȘtre aujourd’hui telle qu’elle Ă©tait Ă  cette Ă©poque-lĂ , que ces promesses puissent ĂȘtre manifestĂ©es. “L’ñge apostolique, c’est du passĂ©.” Aide-les, PĂšre. Je Te les confie au Nom de JĂ©sus-Christ. Amen.

247 Merci, mon frĂšre, ma soeur. Je suis si heureux de vous appeler mon frĂšre, ma soeur.

248 Souvenez-vous, Dieu me fera rĂ©pondre de chaque parole, au Jour du Jugement. Tout ce que j’ai prĂȘchĂ© ce soir, j’aurai Ă  en rĂ©pondre. Je suis conscient de ça. Qu’est-ce que j’ai fait depuis ma jeunesse, sinon prĂȘcher cet Évangile, et ensuite je serais rejetĂ©?

249 Maintenant, combien d’entre vous sont malades et affligĂ©s ici ce soir, et vous voulez qu’on prie pour vous? Levez la main. Maintenant, voulez-vous faire juste une chose encore pour moi? Posez vos mains les uns sur les autres. Imposez-vous les mains les uns aux autres. Que tout le monde courbe la tĂȘte maintenant, exactement comme si vous Ă©tiez Ă  l’église; ici sur l’estrade.

250 Dieu bien-aimĂ©, au Nom de JĂ©sus-Christ, et de Sa PrĂ©sence, une PrĂ©sence qui a Ă©tĂ© confirmĂ©e! La Parole mĂȘme qui a Ă©tĂ© prĂȘchĂ©e a Ă©tĂ© confirmĂ©e, comme quoi Tu es le mĂȘme hier, aujourd’hui et pour toujours. Que le Saint-Esprit de Dieu envahisse cette assemblĂ©e de gens maintenant. Beaucoup d’entre eux sont venus T’accepter comme leur Sauveur, beaucoup de rĂ©trogrades T’ont acceptĂ© et sont revenus. Ô Dieu, je Te prie, au Nom de JĂ©sus-Christ, de guĂ©rir chaque personne. Tu as dit : “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru : S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guĂ©ris.” Tu l’as promis, Seigneur, et les enfants qui croient ont posĂ© leurs mains les uns sur les autres.

251 Satan, tu es vaincu. Sors de ces gens, au Nom de JĂ©sus-Christ. Laisse aller ces gens, dans l’intĂ©rĂȘt du Royaume de Dieu, au Nom de JĂ©sus. Amen.

252 Ceux d’entre vous qui croyez que JĂ©sus-Christ est votre guĂ©risseur maintenant, aussi bien que votre Sauveur, et qui voulez L’accepter sur les mĂȘmes bases, levez-vous, dites : “J’accepte maintenant JĂ©sus comme mon guĂ©risseur, aussi bien que comme mon Sauveur.” Merveilleux! Gloire au Seigneur! Merci, Seigneur! Maintenant levons les mains et chantons pour Lui. Je Le louerai, je Le louerai,
Je louerai l’Agneau immolĂ© pour les pĂ©cheurs;
Donnez-Lui gloire, vous tous les peuples,
Car Son Sang a effacé toutes les taches.

253 Oh, vous vous sentez bien, n’est-ce pas? Faites signe de la main. Oh! la la! Chantons-le encore. Je Le louerai, je Le louerai,
Je louerai l’Agneau immolĂ© pour...
Souvenez-vous, cet Agneau est “le mĂȘme hier, aujourd’hui et pour toujours”. Donnez-Lui gloire, vous tous les peuples,
Car Son Sang a effacé toutes les taches.

254 Vous aimez ça? [L’assemblĂ©e s’écrie : “AllĂ©luia!”–N.D.É.] Amen. Étendons le bras pour serrer la main Ă  quelqu’un. Nous brisons la glace pour les rĂ©unions, lĂ , c’est commencĂ©, pour la convention. Dites : “Que Dieu te bĂ©nisse, frĂšre, pĂšlerin. Que Dieu te bĂ©nisse.” C’est formidable. C’est bien. Merveilleux! Maintenant croyez-vous que nous allons avoir une grande convention, aprĂšs ceci? [“Amen.”] Nous remercions Dieu pour de grandes rĂ©unions, et maintenant nous allons avoir une grande convention. Que tous ceux qui le croient disent : “Amen.” [“Amen.”] Ma foi regarde Ă  Toi,
Toi, Agneau (Regardons Ă  Lui maintenant.) du Calvaire,
Ô Sauveur Divin;
Écoute ma priùre,
Efface mon péché,
Que je sois dĂšs ce jour
Entier Ă  Toi.
Et dans ce labyrinthe,
Entouré de malheurs,
Oh, sois mon Guide!
Disperse ces ténÚbres,
Viens essuyer mes larmes,
Que je sois tout Ă  Toi
Dùs aujourd’hui.

255 Amen! L’assemblĂ©e a dit : “Amen.” [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] AllĂ©luia! Oh, louez-Le,
Louez l’Agneau immolĂ© pour les pĂ©cheurs;
Donnez-Lui gloire, vous tous les peuples,
Car Son Sang a effacé toutes les taches.
Comme c’est merveilleux!

256 Bien, maintenant pouvons-nous courber la tĂȘte pour la bĂ©nĂ©diction. Je ne sais pas qui a Ă©tĂ© choisi pour ça. FrĂšre Johnny Manadal, de la Californie, pendant que nous avons la tĂȘte inclinĂ©e. Maintenant, n’oubliez pas, demain soir, ce sera la premiĂšre, le dĂ©but. Demain soir, la convention se passera ici, ici dans cette salle, Ă  sept heures et demie.

257 Que Dieu vous bĂ©nisse. Avez-vous apprĂ©ciĂ© la PrĂ©sence de Dieu? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Amen. Maintenant courbons la tĂȘte, pendant que FrĂšre Johnny termine la rĂ©union.

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