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PrĂ©dication La Nourriture Spirituelle Au Temps Convenable de William Branham a Ă©tĂ© prĂȘchĂ©e 65-0718E La durĂ©e est de: 1 hour and 31 minutes .pdf La traduction vgr
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La Nourriture Spirituelle Au Temps Convenable

1 Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois...
Comment, comme ceci maintenant : Maintenant je crois, maintenant je crois,
Tout est possible, maintenant je crois;
Maintenant je crois, maintenant je crois,
Tout est possible, maintenant je crois.
Restons debout maintenant, avec la tĂȘte inclinĂ©e.
Seigneur, que ce ne soit pas qu’un chant, mais que ce soient les profondeurs mĂȘmes de notre coeur qui s’écrient dans ce chant : “Maintenant je crois!” Les disciples ont dit, Ă  un moment donnĂ©, aprĂšs que JĂ©sus avait fait tant de miracles, ils ont dit : “Seigneur, maintenant nous croyons.”
JĂ©sus a dit : “Vous croyez maintenant?”

2 Ils ont dit : “Nous croyons que Tu sais toutes choses, et que Tu n’as pas besoin que personne T’enseigne.” Alors, PĂšre, ce soir nous nous rendons compte que Tu n’as pas besoin de notre enseignement, mais que c’est nous qui avons besoin du Tien. Aussi nous Te prions de nous enseigner comment prier, comment vivre et comment croire. Accorde-le, Seigneur, au cours de cette rĂ©union de ce soir, s’il nous manque quelque chose, donne-le-nous, Seigneur. Nous le demandons au Nom de JĂ©sus. Amen.

3 Je sais que beaucoup d’entre vous sont debout encore ce soir. Et, Ă  l’extĂ©rieur, j’ai rencontrĂ© des groupes de gens qui disaient qu’ils n’avaient pas pu entrer, ils Ă©coutent Ă  la radio, dans leurs voitures. Et maintenant, nous allons essayer de faire aussi vite que possible, ce soir, en ce dimanche soir que nous consacrons Ă  la priĂšre pour les malades, oĂč nous ferons une ligne de priĂšre dans la mesure oĂč nous pourrons en former une ici, Ă  l’avant. Mais ce service de ce soir, nous le consacrons Ă  la priĂšre pour les malades.

4 Et je veux que vous vous affermissiez maintenant dans la... ces Saints Oracles de Dieu, dans la Foi, la Foi de cette heure. La Foi! Il faudra plus de foi qu’il y en a jamais eu dans tout autre Ăąge, car ceci doit ĂȘtre la foi pour l’EnlĂšvement, pour ĂȘtre enlevĂ© au ciel. Et alors, nous voulons que vous croyiez, ce soir, Ă  tout ce que vous avez vu et entendu, Ă  la Parole que vous avez entendu prĂȘcher, aux–aux signes et aux prodiges que vous avez vus s’accomplir. Nous voulons que vous emmagasiniez tout cela dans votre coeur, et que vous rĂ©flĂ©chissiez, Ă  savoir si oui ou non, il s’agit de Dieu.

5 Tout comme jadis ÉlisĂ©e l’avait dit : “Si Dieu est Dieu, alors servez-Le.” De mĂȘme, si JĂ©sus est le centre de tout pour le ChrĂ©tien, alors je pense que nous devrions abandonner tout le reste et nous attacher Ă  Lui. Souvenez-vous, Il est le Centre, Il est l’Étoile Polaire, Il est le Point de rĂ©fĂ©rence final, Il est l’Absolu. Et s’Il est l’Étoile Polaire... Il n’y a qu’une chose qui indique l’étoile Polaire, c’est votre boussole, avec laquelle vous naviguez. Et la Boussole avec laquelle je cherche Ă  vous faire naviguer, c’est la Parole, et la Parole L’indique toujours, Lui.

6 Il nous semble que nous sommes en train de traverser une grande pĂ©riode d’angoisse et d’épreuves, une pĂ©riode oĂč on ne sait que faire et oĂč il y a de l’angoisse chez les nations, oĂč toutes sortes de choses se produisent; et parfois c’est comme si j’étais submergĂ©... Partout oĂč je regarde, c’est comme sur un... Ă  bord d’un navire en pleine mer. Et on m’a confiĂ© le commandement du Bateau. Comment allons-nous arriver Ă  bon port? Une vague crĂȘtĂ©e d’écume arrive, cent fois plus grosse que mon navire. Mais nous franchirons la crĂȘte de chacune de ces vagues. “Nous sommes plus que vainqueurs, par Lui.” C’est le Capitaine, le Capitaine en chef, qui tient la corde au bout du navire, Il le fera passer au travers. Nous franchirons la crĂȘte de chacune de ces vagues.

7 Maintenant, ce soir, pour faire vite et vous laisser partir de bonne heure. Nous vous remercions, car vous faites de longs trajets en voiture, et tout, il vous faut rouler en voiture, et faire ce sacrifice. Voyez-vous, et Ă  cause de ça, j’aimerais tant rester lĂ , continuer Ă  parler et Ă  faire tout mon possible pour vous aider. Mais, quand je suis ici, je m’efforce de transmettre vraiment tout ce que je peux, pour apporter une aide pendant ce moment oĂč nous sommes maintenant ici. Mais alors on prend... Si on donne aux gens trop de choses Ă  la fois, ils ne les retiennent pas. On–on ne doit prendre qu’une chose et la tenir lĂ , devant la personne, jusqu’à ce qu’elle la voie. Puis, une fois que ça, c’est ancrĂ© solidement dans son coeur, alors elle... alors enseignez-lui quelque chose d’autre. Nous avançons pas Ă  pas, tout simplement.

8 Alors, priez et prenez courage, et maintenant, ce soir, ayez la foi pour la guĂ©rison. Je ne pense pas qu’il y ait le moindre doute dans votre esprit quant Ă  l’époque oĂč nous vivons. Je ne crois pas qu’il y ait un doute dans votre esprit quant Ă  savoir si Dieu est au milieu de Son peuple ou pas. Je crois que vous le croyez tous. Et je... Il n’y a aucun doute lĂ -dessus dans mon esprit Ă  moi. Et je–je–je sais que les miens, mes amis, les amis de Christ, les enfants de–de Christ, croient cela.

9 Et je me rĂ©jouis Ă©normĂ©ment de voir – quand on sait qu’on a un Message qui vient de Dieu et qu’on le transmet aux gens, de voir que les gens Y rĂ©agissent bien. Alors on regarde en arriĂšre et on dit : “Merci, PĂšre.” Oh, quelle joie alors, de voir les enfants manger le Pain qui leur a Ă©tĂ© envoyĂ©! Vous rendez-vous compte que c’est une vision d’il y a des annĂ©es, ça, ici mĂȘme, au Tabernacle? C’est vrai : “Le Pain de Vie.” FrĂšre Neville, tu t’en souviens, peut-ĂȘtre. Un moment extraordinaire!

10 Maintenant prenons, si vous voulez suivre la lecture ou bien la prendre en note, c’est que... je ne crois pas qu’il soit opportun de faire un service sans lire la Parole de Dieu et faire quelques commentaires, si on a prĂ©vu faire un service de guĂ©rison, ou tout autre genre de service. Nous comprenons tous, – il n’y a pas de nouveaux venus parmi nous, je pense, – mais nous comprenons tous ce qu’est la guĂ©rison. Ce n’est pas quelque chose que quelqu’un fait pour vous; c’est ce que Dieu a dĂ©jĂ  fait pour vous. C’est la mĂȘme chose pour le salut. Seulement, il faut amener les gens Ă  croire que c’est la VĂ©ritĂ©. Dieu l’enseigne dans Sa Parole, aprĂšs quoi Il le prouve Ă  ceux qui sont disposĂ©s Ă  Y croire, car Il a dit : “Tout est possible Ă  ceux qui croient.”

11 Vous dites : “Rien n’est impossible à Dieu.” Vous croyez ça? Rien ne vous est impossible, à vous non plus. “Car tout est possible à ceux” (Dieu est une seule Personne), “à ceux qui croient.” Voyez? Donc, rien ne vous est impossible, si vous pouvez seulement croire.

12 Maintenant, dans I Rois, chapitre 17, je voudrais lire les sept premiers versets, si le Seigneur le veut. Élie, le Thischbite, l’un des habitants de Galaad, dit Ă  Achab : L’Éternel est vivant, le Dieu d’IsraĂ«l, dont je suis le serviteur! il n’y aura ces annĂ©es-ci ni rosĂ©e ni pluie, sinon Ă  ma parole. Et la parole de l’Éternel fut adressĂ©e Ă  Élie, en ces mots : Pars d’ici, dirige-toi vers l’orient, dirige-toi vers l’orient, et cache-toi prĂšs du torrent de Kerith, qui est en face du Jourdain. Tu boiras de l’eau du torrent, et j’ai ordonnĂ© aux corbeaux de te nourrir lĂ . Remarquez : “te nourrir là”, pas ailleurs. “LĂ !” Il partit et fit selon l’Éternel, ou la parole de l’Éternel, et il alla s’établir prĂšs du torrent de Kerith, qui est en face du Jourdain. Les corbeaux lui apportaient du pain et de la viande le matin, et du pain et de la viande le soir, et il buvait de l’eau du torrent. Mais au bout d’un certain temps le torrent fut Ă  sec, car il n’était point tombĂ© de pluie dans le pays.

13 Que le Seigneur ajoute Ses bĂ©nĂ©dictions Ă  la lecture de Sa Parole. Et maintenant, ce soir, je voudrais tirer de lĂ  un sujet, ce que j’intitulerai “La Nourriture spirituelle en Sa saison”. Ce matin, nous avons eu un–un enseignement sur–sur “Rendre un service Ă  Dieu, ou essayer de Lui rendre un service, sans que ce soit... sans que ce soit le temps, la saison, le lieu, ou la personne”. Et maintenant ceci, c’est : La Nourriture spirituelle au temps convenable.

14 Ce prophĂšte, Élie, nous ne savons pas grand-chose sur lui. Mais nous savons qu’il Ă©tait le serviteur de Dieu, le serviteur de Dieu pour cette heure-lĂ .

15 Et Dieu a utilisĂ© Son Esprit qui Ă©tait sur Élie, Ă  trois reprises dĂ©jĂ , et Il promet de le faire encore Ă  deux reprises; Ă  cinq reprises, c’est donc la grĂące. Il L’a utilisĂ© sur Élie; Il est venu sur ÉlisĂ©e, une double portion de celui-ci; Il Ă©tait sur Jean-Baptiste; et Il doit venir afin de faire entrer l’Épouse des nations; puis venir, avec MoĂŻse, ramener les Juifs Ă  la maison. C’est exact. Dieu promet d’utiliser l’Esprit d’Élie Ă  cinq reprises, et Il l’a fait Ă  trois reprises dĂ©jĂ .

16 Maintenant, ce grand prophĂšte, nous ne savons pas d’oĂč il est venu. Nous savons qu’il Ă©tait Thischbite. Mais comment il est venu...

17 Nous ne savons pas grand-chose sur les prophĂštes. Nous ne savons pas d’oĂč ils venaient. Il est trĂšs rare... En effet, je n’en connais aucun qui soit venu de l’église ou qui ait eu une gĂ©nĂ©alogie derriĂšre lui. C’étaient des hommes comme les autres, ils Ă©taient sans peur, et souvent sans instruction. Et ils n’ont jamais rien Ă©crit eux-mĂȘmes. ÉsaĂŻe et JĂ©rĂ©mie, deux ou trois d’entre eux ont Ă©crit, mais ce grand homme qu’était Élie n’a jamais rien Ă©crit. Beaucoup d’entre eux n’ont pas Ă©crit; peut-ĂȘtre qu’ils ne savaient pas Ă©crire. Mais c’étaient des hommes qui Ă©taient rudes. Personne dans la Bible n’était de la trempe de ces prophĂštes d’autrefois. Ils ont dĂ©fiĂ© des royaumes, des rois, des peuples, des Ă©glises et tout le reste, ils ont pris fermement position pour la Parole de Dieu, et Dieu a prouvĂ© qu’ils avaient raison. C’étaient des individus trĂšs rudes.

18 Et Élie, c’était un des plus rudes d’entre eux. C’était un homme du dĂ©sert. Il est sorti du dĂ©sert; il vivait dans le dĂ©sert. La Bible dit qu’il Ă©tait vĂȘtu de poil. Il Ă©tait enveloppĂ© d’une peau de mouton, et il avait un morceau de cuir, de peau de chameau autour des reins, trĂšs... le visage couvert de barbe, j’imagine qu’il Ă©tait un homme d’allure trĂšs rude, d’aspect trĂšs rude.

19 Mais nous ne sommes... ils ne sont pas tous morts. Ils ne sont pas tous–tous morts. À l’époque du concile de NicĂ©e, – beaucoup d’entre vous, vous avez lu Le concile de NicĂ©e de l’Église primitive, – quand ils ont voulu en faire une organisation, dissoudre toutes les autres Ă©glises pour n’en former qu’une seule, quand ils ont tenu le concile de NicĂ©e, des hommes rudes de la trempe d’ÉlisĂ©e sont sortis du dĂ©sert et se sont prĂ©sentĂ©s lĂ , ils se nourrissaient exclusivement d’herbes sauvages, des hommes trĂšs rudes. Mais les dignitaires, les gens de la haute, qui relevaient de Constantin, et tout, ils les ont fait taire. Eux, du fait qu’ils Ă©taient prophĂštes, ils savaient que le grain de blĂ© de l’Épouse-Église devait tomber en terre, tout comme le grain de blĂ© dans l’Époux avait dĂ» tomber en terre. Et il y est restĂ© pendant mille ans.

20 C’est pourquoi ils Ă©crivent, dans les livres, aujourd’hui : “OĂč est ce Dieu silencieux qui a pu rester lĂ  et regarder, voir des petits enfants se faire tuer et des femmes se faire dĂ©chirer par des lions, et rester assis dans les cieux sans dire un mot?” Ils ne connaissent pas la Parole. Il faut que ce grain de blĂ© tombe en terre. Comment un Dieu juste a-t-Il pu rester lĂ  et regarder Son propre Fils mourir, Se faire cracher dessus, et tout? Mais c’est selon la Parole, il faut que ça arrive. Et c’est comme ça, mĂȘme en cette heure.

21 Cet homme, il Ă©tait un grand homme. Il avait devant lui une gĂ©nĂ©ration pĂ©cheresse. Achab Ă©tait roi, et son pĂšre, qui l’avait prĂ©cĂ©dĂ©, avait Ă©tĂ© mĂ©chant. Depuis Salomon, tous les rois qui s’étaient succĂ©dĂ© avaient Ă©tĂ© mĂ©chants. Et cet homme, Achab, qui rĂ©gna pendant vingt-deux ans Ă  Samarie, Ă©tait le pire de tous. C’était un vrai moderniste. Il croyait Ă  la religion, bien sĂ»r. Et il avait implantĂ© la tendance moderne partout. Il avait ses quatre cents prophĂštes hĂ©breux, tous bien instruits et bien formĂ©s. Dieu lui en avait envoyĂ© un, mais il ne voulait pas le croire : c’était Élie.

22 Mais Élie, ce Thischbite, Ă©tait un homme du dĂ©sert. Ce n’était pas un homme raffinĂ©, c’était un homme rude. Un jour, aprĂšs qu’Achab avait tellement pĂ©chĂ© que Dieu ne pouvait plus tolĂ©rer ça, Il a parlĂ© Ă  Élie dans le dĂ©sert. Et le voici qui descend la route qui mĂšne Ă  Samarie, comme je l’ai souvent illlustrĂ© : peut-ĂȘtre le visage couvert de barbe blanche, son crĂąne chauve qui luisait au soleil, ses petits yeux plissĂ©s – lĂ -bas, un bĂąton Ă  la main, le sourire aux lĂšvres, il est allĂ© tout droit vers le roi d’IsraĂ«l, et il a dit : “La... Il ne tombera pas mĂȘme de rosĂ©e, tant que je ne l’aurai pas fait venir.”

23 Que Dieu nous donne des hommes comme celui-là, des hommes qui savent ce qu’ils font, avec l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.

24 Or, nous voyons qu’avant de faire ça, Dieu l’avait appelĂ©. Dieu lui avait parlĂ©, et c’est pourquoi il n’avait peur de rien. Il n’avait pas peur de son message, que ça n’arrive pas; il savait que ça allait arriver! Il savait que c’était selon la Parole du Seigneur, et il savait qu’il Ă©tait le prophĂšte de Dieu pour cette heure-lĂ . C’est pourquoi, que le roi lui coupe la tĂȘte, qu’il le jette en prison, quoi que les gens fassent, ça lui Ă©tait parfaitement Ă©gal; il avait une commission : “AINSI DIT LE SEIGNEUR”, au roi, bien en face. Quel individu rude! Mais avant de faire ça, de prĂ©dire cette grande sĂ©cheresse...

25 En effet, Dieu ne permettra pas que le pĂ©chĂ© reste impuni. Il faut qu’il y ait une punition. À quoi sert d’avoir une loi, s’il n’y a pas de–de punition? À quoi servirait de dire que “c’est illĂ©gal de griller un feu”, et qu’il n’y ait pas d’amende qui y soit attachĂ©e, ou pas de punition qui y soit attachĂ©e? Ce ne serait pas une loi. Donc, il y a une punition attachĂ©e au pĂ©chĂ©. Alors, quand Dieu fait une loi, et qu’on dĂ©fie cette loi–loi, il faut qu’il y ait une punition attachĂ©e Ă  ça.

26 Et cette nation avait violĂ© toutes Ses lois. Oh, ils avaient l’église en grand, ils avaient le temple. Ils ne manquaient pas d’hommes instruits. Ils avaient des prophĂštes partout dans le pays, on les produisait dans les Ă©coles, en sĂ©rie, comme une machine. Ils ne manquaient pas de prophĂštes, ils ne manquaient pas de–de sacrificateurs, ils ne manquaient pas de scribes, ils ne manquaient pas de religion, mais ils s’étaient Ă©loignĂ©s de la Parole de Dieu. Alors, Dieu a appelĂ© un homme qui n’était pas dans leurs rangs du tout, et Il l’a envoyĂ© avec l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.

27 Et remarquez comme Il s’occupe des Siens. Avant d’envoyer ce prophĂšte muni du message, Il a dit : “Élie, va dire ces choses au roi Achab. Et alors, quand tu l’auras fait, Ă©loigne-toi vite de lui, car J’ai prĂ©parĂ© un lieu oĂč tu iras pendant la sĂ©cheresse. Je vais prendre soin de toi, Élie, Ă  condition que tu prĂȘches Ma Parole, que tu fasses exactement ce que Je te dicte.”

28 Maintenant je vais montrer en type ce grand ministĂšre, ce soir, celui d’Élie et l’époque d’Élie, faire le rapprochement avec l’heure oĂč nous vivons. Je crois que c’est un type parfait. Je pense aux nations... si je... si nous avions le temps de retourner en arriĂšre, mais c’est que je veux consacrer le temps qu’il faut Ă  la ligne de priĂšre.

29 Donc, si nous pouvions retourner en arriĂšre et voir ça, IsraĂ«l s’était emparĂ© de la Palestine dans les mĂȘmes conditions que nous nous sommes emparĂ©s des États-Unis. Nous sommes entrĂ©s aux États-Unis, et nous en avons chassĂ© les habitants, c’est-Ă -dire les Indiens, et nous avons pris possession du pays. Et de mĂȘme IsraĂ«l est entrĂ© en Palestine, sous la conduite de JosuĂ©, sous la direction de Dieu, en a chassĂ© les habitants et s’est emparĂ© du pays.

30 Et leurs premiers rois Ă©taient des hommes vaillants : David, Salomon, de grands hommes. Nos premiers prĂ©sidents Ă©taient de grands hommes : Washington, Lincoln, et ainsi de suite. Puis, les prĂ©sidents, ou, les rois se sont corrompus de plus en plus, et on a fini par se retrouver avec celui-lĂ  : Achab. Le type mĂȘme, exemple trĂšs typique de notre jour. Et les gens Ă©taient devenus tellement modernes qu’ils ne voulaient plus entendre la vraie Parole du Seigneur.

31 Et vous pouvez vous imaginer, Ă  un peuple moderne comme celui-lĂ , l’impression que pouvait donner un vrai, un vĂ©ritable serviteur de Dieu. “Voyons, il Ă©tait fou, il avait perdu la raison. C’était une chose impossible, ça.” Ils Ă©taient religieux, trĂšs religieux. Il y avait des hommes sincĂšres parmi eux, il y avait des gens sincĂšres parmi eux. Ils Ă©taient trĂšs religieux.

32 Alors, il savait qu’il faudrait plus qu’une thĂ©ologie ordinaire, qu’il faudrait plus que–qu’un message ordinaire, qu’il faudrait plus que de prĂȘcher la Parole tout court, pour ouvrir leur coeur de pierre. Il savait qu’il faudrait l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, pour faire descendre ce jugement sur ce peuple-lĂ . Donc il savait que, quand il irait lĂ -bas avec l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, – et c’était effectivement l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, – de rejeter ça signifiait le jugement. C’est ce que nous voyons, Ă  notre Ă©poque aussi. C’est ce que nous voyons, Ă  toutes les Ă©poques. Il ne reste plus que le jugement, une fois qu’on a franchi la ligne de la misĂ©ricorde.

33 Donc, c’est ce type-lĂ  que je vais utiliser, Élie, comme type, pour reprĂ©senter l’église aujourd’hui, l’église d’aujourd’hui. Juste avant le jugement, il a reçu ce message. Élie, ce qu’il reprĂ©sentait : on a pris soin de lui, sur le plan naturel, de sa nourriture naturelle, parce qu’il n’allait pas y avoir de pluie, lĂ , selon la Parole de Dieu, pendant trois ans et six mois, ou tant qu’Élie ne la ferait pas venir. “Au moment oĂč tu jugeras bon de prononcer la chose, Élie, c’est ce qui arrivera.” C’est pourquoi il s’est avancĂ© vers le roi, et il a dit : “Il ne tombera pas mĂȘme de rosĂ©e, tant que je ne l’aurai pas fait venir.” Ça, c’est toute une–une dĂ©charge, n’est-ce pas? C’est tout un message!

34 Et maintenant nous allons utiliser ce type pour reprĂ©senter la sĂ©cheresse spirituelle d’aujourd’hui. Or nous le savons tous, nous en sommes trĂšs conscients, qu’il y a une grande sĂ©cheresse spirituelle dans le pays aujourd’hui, dans le domaine spirituel. Et, vous savez, cela a Ă©tĂ© prĂ©dit par les prophĂštes, comme devant venir juste avant la seconde Venue de Christ; ils ont dit : “Il y aura une famine dans le pays, et ce ne sera pas seulement la disette du pain, mais d’entendre la Parole de Dieu.” Et ce jour-lĂ , c’est maintenant : “d’entendre la vraie Parole de Dieu”. Alors, ici la sĂ©cheresse naturelle est un type de la sĂ©cheresse spirituelle.

35 Le pĂ©chĂ© et l’incrĂ©dulitĂ©, Ă  cause des faux docteurs et des modernistes dans l’église, avaient amenĂ© sur ce lieu le jugement qui allait venir, qui approchait. Donc ils avaient abandonnĂ© la Parole de Dieu ainsi que Son prophĂšte, pour se tourner vers une terminologie thĂ©ologique moderne de la Parole.

36 Si vous remarquez, ici, c’est toujours prĂ©cisĂ©ment Ă  ce moment-lĂ  que Dieu suscite quelque chose. En effet, Il, toujours, Il ne fait rien sans l’avoir d’abord rĂ©vĂ©lĂ© aux gens, et Il le rĂ©vĂšle toujours par Ses serviteurs.

37 Bon, mais Élie, pendant cette pĂ©riode-lĂ , avait un lieu secret que Dieu avait prĂ©vu pour lui, oĂč il devait aller. C’est ça que nous voulons voir, maintenant, juste avant de faire la ligne de priĂšre. Élie avait un lieu secret qui lui avait Ă©tĂ© fourni par Dieu Lui-mĂȘme. Or, ce n’est pas du tout l’église qui le lui avait fourni, ce n’est pas du tout le roi qui le lui avait fourni, il ne se l’était pas procurĂ© lui-mĂȘme, mais c’est Dieu qui avait fourni un lieu secret Ă  Élie, oĂč il serait nourri pendant toute la pĂ©riode de sĂ©cheresse, oĂč sa nourriture lui serait fournie jour aprĂšs jour. Il n’avait pas Ă  se demander ce qui allait arriver le lendemain, ni Ă  se demander si la rĂ©serve allait s’épuiser. Dieu avait dit : “J’ai donnĂ© cet ordre aux corbeaux, ils te nourriront.” Quelle chose merveilleuse – un type de notre lieu secret en Christ.

38 Alors que le conseil mondial et tout ce qui a cours aujourd’hui, ils disent : “Les jours des miracles sont passĂ©s.” Les grandes puissances de Dieu ont Ă©tĂ© retirĂ©es des Ă©glises. Il semble qu’elles n’ont plus, que tout ce qu’elles ont, c’est “un airain qui rĂ©sonne et une cymbale qui retentit”. Nous savons que c’est la vĂ©ritĂ©, ça. “Et l’apparence de la piĂ©tĂ©, tout en reniant ce qui en fait la Force.”

39 Exactement la mĂȘme chose que ce que David avait fait, ce matin, avec les chars Ă  boeufs : ils s’étaient Ă©loignĂ©s de la Parole. Quand la Parole leur avait Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e et leur avait Ă©tĂ© transmise, ils n’En avaient pas voulu; par consĂ©quent, ils s’En Ă©taient Ă©loignĂ©s.

40 C’est ce que ces gens avaient fait, du temps d’Élie, ils s’étaient Ă©loignĂ©s de la Parole. Ils pensaient qu’ils avaient la Parole, mais ils ne L’avaient pas. Alors, remarquez, ensuite, dans...

41 Pour cette pĂ©riode oĂč Il allait punir l’incroyant, Il a prĂ©parĂ© pour le croyant un moyen d’en sortir. Il fait la mĂȘme chose chaque fois. À l’époque oĂč Il allait dĂ©truire le monde par l’eau, Il a prĂ©parĂ© pour NoĂ© un moyen d’échapper. À l’époque oĂč Il allait noyer l’Égypte, Il a prĂ©parĂ© pour Son peuple un moyen d’échapper, de traverser la mer. Oh, comme Dieu pourvoit Lui-mĂȘme au moyen! Et lĂ  oĂč il n’y a aucun moyen, Il est le Moyen! Il est le Moyen!

42 Or, nous nous rendons compte que nous avons Ă  faire face Ă  quelques-unes des... Ă  l’une des heures les plus importantes que l’histoire ait jamais connues. En fait, ce n’est pas l’ogive, avec ce missile luisant muni d’une ogive, que nous devons redouter. Ce sont les Ă©glises que nous devons redouter. C’est l’heure oĂč nous vivons que nous devons observer.

43 Maintenant remarquez : mais Dieu avait prĂ©parĂ© pour Élie un moyen d’échapper Ă  cela. Et Il a prĂ©parĂ© pour Ses enfants qui croient un moyen d’y Ă©chapper maintenant, d’échapper Ă  la colĂšre et Ă  ces choses qui doivent venir.

44 En effet, il serait injuste de la part de Dieu de juger ces gens, de faire venir sur eux une punition, de faire sombrer Sodome et Gomorrhe, d’envoyer CapernaĂŒm au milieu de la mer, de condamner ces gĂ©nĂ©rations-lĂ , et Sodome et Gomorrhe, pour ensuite nous laisser, nous, faire la mĂȘme chose impunĂ©ment. Le jugement nous est assurĂ©, tout autant que le jugement leur Ă©tait assurĂ©. Or, nous remarquons que...

45 Quand ces choses sont apparues, la tendance moderne de l’époque, alors Dieu, Ă  cette Ă©poque-lĂ , suscitait un homme, ou plutĂŽt, a suscitĂ© un homme pour lutter contre ces forces-lĂ , mais les gens ont refusĂ© d’écouter. Ils pensaient qu’il Ă©tait fou, “qu’il avait perdu la tĂȘte, qu’il n’était qu’un vieux fanatique, une espĂšce d’imbĂ©cile sorti du dĂ©sert, que la brousse avait en quelque sorte rendu fou”. Et pourtant, il avait la Parole du Seigneur.

46 “La Parole n’est pas sĂ©rieuse dans Ses dĂ©clarations”, c’est ce qu’ils disent aujourd’hui. “Oh, eh bien, la Bible, c’est un livre d’histoire.” Je suppose que vous avez vu ça, ce qu’ils affirment maintenant, c’est “qu’Ève n’a pas mangĂ© la pomme, elle a mangĂ© un...” C’était quoi, dĂ©jĂ ? Je crois... “C’était un abricot”, c’est ce qu’ils disent maintenant. “C’était un abricot.” Et puis, que “MoĂŻse, ce n’est pas du tout la mer Rouge qu’il a fait traverser aux enfants. C’est qu’il y avait un grand tas de roseaux, lĂ -bas, Ă  l’autre bout de la mer, et il a traversĂ© une mer de roseaux”. Dans ce cas, comment se fait-il que l’eau, e-a-u, ait formĂ© une muraille des deux cĂŽtĂ©s; qu’ils aient traversĂ© Ă  pied sec, alors? Oh, quel non-sens! Mais, vous voyez, voilĂ  le genre d’époque qu’il faut pour faire descendre la colĂšre de Dieu sur les gens. Effectivement.

47 Ils disent que ça n’existe pas, ces... Jusqu’aux gens d’église qui ne croient pas aux miracles. “Je vous donnerai mille dollars,” ont-ils dit, “faites-moi voir un miracle. Faites-moi voir un miracle!” Eh bien, ils ne verraient pas, mĂȘme si dix mille choses Ă©taient produites devant eux. Voyons, ils, ils ne verraient jamais.
Vous dites : “C’est impossible.” Oh non, pas du tout.

48 Élie, un jour, il Ă©tait Ă  Dothan, et l’armĂ©e des Syriens Ă©tait venue entourer la ville pour s’emparer de lui, parce qu’ils savaient que la puissance de cette–cette nation venait de lĂ , se trouvait dans ce voyant. Eh bien, le roi... Un de ses hommes a dit au roi de Syrie, il a dit : “Eh bien, tu sais, Élie le prophĂšte, le Thischbite, rapporte au roi d’IsraĂ«l les propos que tu tiens dans le secret de ta chambre.”

49 Il a dit : “Va chercher ce type-lĂ ! C’est ce gars-lĂ  qui nous fait obstacle.” Et toute l’armĂ©e des Syriens est allĂ©e en douce encercler Dothan. Ils l’ont cernĂ©e de toutes parts.

50 Et GuĂ©hazi, le–le serviteur du prophĂšte, s’est rĂ©veillĂ©, et il a dit : “Oh, mon pĂšre, les armĂ©es nous cernent de toutes parts, ici. Nous sommes complĂštement encerclĂ©s.”

51 Il a dit : “Voyons, ceux qui sont avec nous sont en plus grand nombre que ceux qui sont avec eux.” Voyez?
GuĂ©hazi a regardĂ© autour de lui, il a dit : “Je ne vois personne.”

52 Il a dit : “Seigneur Dieu, ouvre les yeux de ce garçon.” Et ses yeux se sont ouverts, et toutes les collines Ă©taient pleines d’Anges et de chars installĂ©s partout, les Forces invisibles.

53 Élie s’est avancĂ© lĂ  sans hĂ©sitation, et la Bible dit : ‘Il les frappa d’aveuglement.’ Il s’est avancĂ© vers eux; ils Ă©taient aveugles, ils ne voyaient pas que c’était lui. Il s’est avancĂ© et il a dit : “Cherchez-vous Élie?”
Il a dit : “Oui, nous le cherchons.”

54 Il a dit : “Venez, je vais vous dire exactement oĂč il se trouve”, et il les a conduits directement dans un guet-apens, Ă  l’endroit prĂ©cis oĂč les armĂ©es sont sorties et se sont emparĂ©es d’eux.

55 Donc, la Bible dit : “Il les frappa d’aveuglement.” Ça rĂšgle la question. Et aujourd’hui les gens sont tellement aveugles spirituellement, le Seigneur Dieu a beau descendre au milieu des gens, accomplir n’importe quoi, accomplir les choses qu’Il a promises, ils ne voient toujours pas ce qu’il En est. Ils sont aveugles spirituellement; ils ne connaissent pas Dieu, ils ne connaissent pas Sa grande Puissance. Donc, nous remarquons que c’est ce qu’ils avaient fait, du temps d’Élie, et c’est ce qu’ils font encore aujourd’hui. Dieu les frappe d’aveuglement. Aujourd’hui ils disent “qu’il n’y a pas de miracles, que ça n’existe pas, que tout ça, c’est de l’émotion”.

56 Et ils avaient dit la mĂȘme chose d’Élie, puisque, quand celui-ci a Ă©tĂ© enlevĂ© et qu’ÉlisĂ©e l’a remplacĂ©, – un jeune homme, qui Ă©tait devenu chauve alors qu’il Ă©tait encore jeune, – les enfants couraient derriĂšre lui et disaient : “Vieux chauve, pourquoi n’es-tu pas montĂ© avec Élie?” Voyez-vous, ils n’Y croyaient pas au dĂ©part, ces gens, malgrĂ© que tant de choses aient Ă©tĂ© accomplies. Ce grand homme de Dieu avait Ă©tĂ© enlevĂ© au Ciel par un char de feu, et les gens n’Y croyaient toujours pas. Et ils ont laissĂ© leurs jeunes enfants courir derriĂšre cet homme et dire : “Vieux chauve, pourquoi n’es-tu pas montĂ©?” Voyez? Et lĂ  le prophĂšte a maudit ces enfants, et une ourse a tuĂ© quarante-deux d’entre eux.

57 Maintenant remarquez. Aujourd’hui, comme Ă  cette Ă©poque-lĂ , ils ajoutent leur interprĂ©tation personnelle Ă  la Parole. Bon, s’ils veulent faire ça, ça les regarde, mais ils cherchent Ă  nous y faire croire. La Bible dit que “cette Parole de Dieu ne peut ĂȘtre un objet d’interprĂ©tation particuliĂšre”. Dieu fait l’interprĂ©tation par Lui-mĂȘme. Dieu confirme Sa Parole, et c’est ça qui En est l’interprĂ©tation. Comme je l’ai souvent dit : Il a dit, au commencement : “Que la lumiĂšre soit”, et la lumiĂšre fut. Ça n’a pas besoin d’ĂȘtre interprĂ©tĂ©; c’est arrivĂ©. Il a dit “qu’une vierge concevrait”, elle l’a fait. Il a dit qu’Il “rĂ©pandrait Son Esprit”, Il l’a fait. Et Il a dit que, “dans les derniers jours”, Il ferait certaines choses, et Il les fait! Ça n’a besoin d’aucune interprĂ©tation; Dieu en fait l’interprĂ©tation par Lui-mĂȘme. Quoi que disent les hommes insensĂ©s, ça n’arrĂȘte pas Dieu du tout.

58 Quand JĂ©sus Ă©tait sur terre, Il a dĂ» faire face Ă  autant d’incrĂ©dulitĂ© que nous aujourd’hui, et peut-ĂȘtre mĂȘme plus. Mais ça ne L’a pas arrĂȘtĂ©; Il a continuĂ© quand mĂȘme Ă  accomplir et Ă  faire Son devoir, et Dieu confirmait tout ce qu’Il faisait. Il a dit : “Je ne suis pas seul. Mon PĂšre et Moi, nous sommes un; Il demeure en Moi. Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est le PĂšre, qui demeure en Moi. Si Je ne fais pas Ses oeuvres, alors ne Me croyez pas; mais si Je fais ces oeuvres, quand mĂȘme vous ne Me croiriez pas, croyez aux oeuvres.” Voyez? Autrement dit, elles... “Sondez les Écritures,” a-t-Il dit, “parce que c’est en Elles que vous pensez avoir la Vie Éternelle, en connaissant les Écritures. Et ce sont les Écritures Elles-mĂȘmes qui rendent tĂ©moignage de Moi.” Amen! Quelle dĂ©claration! “Ce sont Elles, les Écritures, qui vous dĂ©clarent Qui Je suis”, a dit JĂ©sus.

59 Et ce sont les Écritures qui vous dĂ©clarent Ă  quelle heure nous vivons. Et ces choses que vous voyez s’accomplir, c’est Dieu Lui-mĂȘme au milieu de Son peuple. Il n’y a que Dieu qui puisse ressusciter les morts. Il n’y a que Dieu qui puisse faire les choses qu’Il fait en ce moment. En effet, la Bible dit : “Il est le mĂȘme hier, aujourd’hui, et Ă©ternellement.”

60 Bon, alors nous voyons cette tendance moderne des gens : “Oh, ces jours-lĂ , c’est du passĂ©, les miracles, ça n’existe pas. Ces gens-lĂ  se laissent emporter par leurs Ă©motions.”

61 Écoutez cet Élie, le prophĂšte qui crie contre eux et contre leurs thĂ©ologiens. Remarquez, remarquez, il a parlĂ© comme s’il Ă©tait Dieu Lui-mĂȘme. Élie a parlĂ© comme s’il Ă©tait Dieu Lui-mĂȘme : “La rosĂ©e ne tombera pas du ciel, tant que je ne l’aurai pas fait venir.” Amen! Oui monsieur. Le prophĂšte avait Ă©tĂ© tellement longtemps dans la PrĂ©sence de Dieu!

62 Les prophĂštes de l’Ancien Testament, ou de toute Ă©poque, quand ils vivent dans la PrĂ©sence de Dieu jusqu’à ce qu’ils deviennent la Parole, leur Message est la Parole Elle-mĂȘme. Et, souvenez-vous, il a dit : “AINSI DIT LE SEIGNEUR.” Quand ces hommes avaient reçu ces messages de la part de Dieu, et qu’ils devenaient tellement absorbĂ©s que leur propre pensĂ©e... Ça allait peut-ĂȘtre Ă  l’encontre de leur propre pensĂ©e, ils n’étaient peut-ĂȘtre pas capables de–d’y voir clair. Mais ils prononçaient la Parole de Dieu, l’AINSI DIT LE SEIGNEUR”.

63 “Il n’y aura pas de pluie, tant que je ne l’aurai pas fait venir.” Oh, quelle dĂ©claration! Il avait Ă©tĂ© dans la PrĂ©sence de Dieu, et avait Ă©tĂ© confirmĂ© de façon tellement parfaite. Et, souvenez-vous, c’est aussi conforme Ă  Amos 3.7 : “Le Seigneur, l’Éternel, ne fait rien sans l’avoir d’abord rĂ©vĂ©lĂ© Ă  Ses serviteurs les prophĂštes.” Il a dit : “Il ne tombera pas de pluie!” Il l’a d’abord...

64 Ils se sont moquĂ©s de lui, ils le prenaient pour un fou : “Ce fanatique!” Mais, voyez-vous, il avait l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, qu’il n’allait pas pleuvoir. Et Dieu, avant de faire ça, Il l’a rĂ©vĂ©lĂ© Ă  Élie, Son serviteur. Et il Ă©tait un prophĂšte confirmĂ©, authentifiĂ©, alors les gens auraient dĂ» se repentir. Mais, au lieu de ça, ils se sont moquĂ©s de lui, ils ont dit : “Oh, nous ne manquons pas de pluie! Les rĂ©servoirs sont pleins. Les riviĂšres coulent bien.”

65 La Bible dit “qu’il n’y a pas mĂȘme eu de rosĂ©e pendant trois ans et six mois”. Tous les ruisseaux et toutes les eaux ont tari, partout. Ce n’était pas cet homme, c’était Dieu, qui parlait Ă  travers cet homme. VoilĂ  le “Je” dont il s’agissait. Nous le savons toujours. Alors, il...

66 Nous voyons que, quand un homme envoyĂ© par Dieu, prĂ©destinĂ© par Dieu, arrive avec le vrai AINSI DIT LE SEIGNEUR, le message et le messager sont une seule et mĂȘme chose. En effet, il est envoyĂ© pour reprĂ©senter l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, Mot pour Mot, donc lui et son message, c’est la mĂȘme chose.

67 Un homme d’une dĂ©nomination, qui est sous les auspices d’une dĂ©nomination, lui et l’église sont “un”. Un thĂ©ologien soumis Ă  la thĂ©ologie fabriquĂ©e par une dĂ©nomination, lui et son message sont un; une Ă©glise de thĂ©ologie, un thĂ©ologien. C’est exact.

68 Ainsi, quand un homme arrive avec l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, lui et le Message sont un. Quand Élie est arrivĂ© avec l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, lui et son message sont devenus un. Tout comme JĂ©sus, quand Il est venu, Il Ă©tait la Parole, Jean 1. Alors, la Parole de Dieu et le messager de l’ñge Ă©taient une seule et mĂȘme chose, toujours. C’est vrai.

69 JĂ©sus Ă©tait la Parole qui avait Ă©tĂ© prophĂ©tisĂ©e. Il Ă©tait l’accomplissement de ce que les prophĂštes avaient annoncĂ© : “Une vierge concevra et enfantera cet Enfant.” Au tout dĂ©but, Dieu leur avait dit, Il avait dit : “La Semence de la femme Ă©crasera la tĂȘte du serpent, et celui-ci lui blessera le talon.” Toutes ces prophĂ©ties avaient Ă©tĂ© donnĂ©es. David s’était Ă©criĂ©, tous les autres prophĂštes, au fil des Ăąges, avaient parlĂ© de Lui. Il Ă©tait cette Parole manifestĂ©e! AllĂ©luia!

70 Maintenant voyez-vous oĂč je veux en venir? Je vous ai parlĂ© assez clairement ce matin. Ne voyez-vous pas l’autoritĂ© du Dieu vivant dans l’Église vivante, l’Épouse? Les malades sont guĂ©ris, les morts sont ressuscitĂ©s, les infirmes marchent, les aveugles voient, l’Évangile est proclamĂ© avec puissance, car le Message et le messager, c’est la mĂȘme chose. La Parole est dans l’Église, dans la personne.

71 La Parole de Dieu Ă©tait en Élie, quand il s’est avancĂ© lĂ  avec l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, et qu’il a dit : “Il n’y aura pas de pluie.” Ce n’était pas Élie; c’était Dieu en Élie.

72 Je l’ai dit souvent : comme cette dame de la Science ChrĂ©tienne qui m’avait dit, une fois, – j’en ai parlĂ© souvent, de ça, – elle disait : “Monsieur Branham, vous faites trop de cas de JĂ©sus.”
J’ai dit : “J’espùre que c’est la seule chose dont j’aurai à rendre compte.”
Et elle a dit : “Vous essayez de Le rendre Divin.”
J’ai dit : “Il l’était, Divin.”

73 Elle a dit : “Oh, Il Ă©tait un prophĂšte, Il Ă©tait un homme bon, mais Il n’était pas Divin.”

74 Et j’ai dit : “Eh bien, indiquez-moi un seul passage de l’Écriture qui dĂ©clare qu’Il ne l’était pas.”

75 Elle a dit : “Dans le Livre de Jean, il est dit qu’Il ‘pleura’, quand Il est allĂ© Ă  la tombe de Lazare.”

76 “Eh bien,” j’ai dit, “bien sĂ»r qu’Il pleura. Il Ă©tait Ă  la fois humain et Divin. Il Ă©tait un homme quand Il pleurait; mais il fallait qu’Il soit Dieu pour ressusciter les morts.” C’est vrai. J’ai dit : “Il Ă©tait un homme quand Il avait faim; mais Il Ă©tait Dieu quand Il a nourri cinq mille personnes avec quelques petits pains et cinq poissons.” C’est vrai. Il Ă©tait un homme quand Il dormait Ă  l’arriĂšre d’une barque; mais c’est Dieu en Lui qui a pu apaiser les eaux.” Pourquoi donc? Lui et Son Message Ă©taient un.

77 Il a dit : “Moi et Mon PĂšre, nous sommes un. Mon PĂšre demeure en Moi.” Il Ă©tait la plĂ©nitude de la DivinitĂ© dans un corps.

78 Je trouve que c’était vraiment saisissant, l’autre jour, quand je prĂ©sentais les Sept Âges de l’Église. Tout d’abord, je–je n’arrivais pas Ă  comprendre ça, JĂ©sus Ă©tait lĂ  avec les... tout blanc, comme ça, ça disait : “Ses cheveux Ă©taient blancs comme de la laine.” Je ne comprenais pas qu’un homme de trente-trois ans soit blanc comme la neige.

79 J’ai appelĂ© un bon thĂ©ologien, un thĂ©ologien pentecĂŽtiste, un trĂšs cher ami. Eh bien, c’était FrĂšre Jack Moore. C’est un homme intelligent, brillant. Il a dit : “FrĂšre Branham, c’était JĂ©sus glorifiĂ©. C’était Son aspect, aprĂšs qu’Il avait Ă©tĂ© glorifiĂ©.” Non, je ne pouvais pas croire ça. Non.
Je–je–j’ai dit : “Eh bien, Frùre Moore, merci.”

80 Je me suis retirĂ© dans la piĂšce, lĂ , et je me suis mis Ă  parler Ă  Dieu. J’ai vĂ©rifiĂ© les rĂ©fĂ©rences dans ma concordance, pour Le retrouver dans Daniel, oĂč il est dit : “Il s’avança vers l’Ancien des Jours, dont les cheveux Ă©taient blancs comme de la laine.” J’ai dit : “Seigneur, je–je–je ne sais pas quoi dire, et j’ai cette responsabilitĂ©.” Or ça, c’était avant les s-... souvenez-vous, avant que les Sept Sceaux soient ouverts, peut-ĂȘtre une annĂ©e ou plus avant. LĂ  je priais : “Seigneur, qu’en Ă©tait-il?”

81 J’ai regardĂ©, et lĂ , debout devant moi, se trouvait un homme, c’était un juge, et il portait une perruque blanche. Les juges d’autrefois, des jours anciens, dans le temps ils portaient une perruque blanche, pour montrer qu’ils Ă©taient une autoritĂ© suprĂȘme.

82 Donc, quand j’ai vu JĂ©sus qui portait la perruque blanche, j’ai dit que ça confirme tout simplement cette vĂ©ritĂ© que nous connaissons, qu’Il est l’AutoritĂ© SuprĂȘme. Dieu a attestĂ© la mĂȘme chose sur la montagne de la Transfiguration, en disant : “Celui-ci est Mon Fils bien-aimĂ©, Ă©coutez-Le, l’AutoritĂ© SuprĂȘme!”

83 Et puis, lĂ -bas, au commencement des Sept Sceaux, quand ces sept Anges sont descendus en forme de pyramide, ils se sont tenus lĂ  et m’ont dit de revenir, pour parler de ces Sept Sceaux, et qu’Il serait avec moi, qu’Il me montrerait de quoi il s’agissait, les choses qui avaient Ă©tĂ© perdues. J’avais toujours pensĂ© que c’était scellĂ© au dos du Livre, et que ce serait quelque chose qui n’était pas Ă©crit dans le Livre, mais il s’est avĂ©rĂ© que, ce qui a Ă©tĂ© divulguĂ© lĂ , c’est qu’Il ne peut pas faire ça. Ce n’est pas quelque chose qui est Ă©crit dans le Livre... C’est quelque chose qui a Ă©tĂ© cachĂ© dans le Livre. “Car quiconque En retranchera une seule Parole ou Y ajoutera une seule parole...” Alors, c’est un mystĂšre qui se trouvait dans le Livre pendant ces sept Ăąges de l’église. Chacun d’eux a produit un–un mystĂšre, toutes ces choses au sujet du baptĂȘme d’eau et autres, qui les ont fait tĂątonner pendant si longtemps.

84 Ensuite, quand ça s’est Ă©levĂ©, les grands observatoires, tout lĂ -bas en Californie, jusqu’au Mexique, au-dessus de Tucson et partout, ils En ont pris la photo. C’était mystĂ©rieux Ă  voir. FrĂšre Fred Sothmann qui est lĂ , assis juste lĂ , et moi et FrĂšre Gene Norman, nous Ă©tions lĂ , prĂ©sents quand ça s’est Ă©levĂ©. Ils ont pris cette photo, mais ils ne savent toujours pas ce qu’il en est. Il n’y a pas longtemps, chacun disait : “Regarde un peu. Ça ressemble Ă  ceci, et les ailes de ces Anges, qui sont repliĂ©es lĂ .”

85 Un jour, je l’ai tournĂ©e Ă  droite, j’ai regardĂ©, et lĂ  se trouvait JĂ©sus-Christ, un portrait aussi parfait que Hofmann En a jamais produit. Il Ă©tait lĂ , portant une perruque blanche, regardant en bas vers la terre, montrant qu’Il est l’AutoritĂ© SuprĂȘme. Les Cieux le dĂ©clarent, la Bible le dĂ©clare, le Message le dĂ©clare – tous la mĂȘme chose. L’AutoritĂ© SuprĂȘme, portant la perruque blanche; on voit Sa barbe noire en dessous. Beaucoup d’entre vous ont vu la photo. Nous l’avons lĂ -bas, au fond. Vous n’avez qu’à la tourner Ă  droite, de cĂŽtĂ©, regardez-la. Le voilĂ , aussi parfait qu’une photographie qu’on aurait prise de Lui. Ils ne la regardent pas de l’angle qu’il faut. Il faut la regarder du bon angle. Et seul le Seigneur Dieu peut rĂ©vĂ©ler quel est le bon angle. Tournez-la Ă  droite, et regardez-la. Le voilĂ , aussi parfait que si on l’avait pris en photo, lĂ -haut.

86 La toute premiĂšre fois que je L’ai vu, Il ressemblait au Portrait de... Hofmann, que je n’avais encore jamais vu. C’est dans le tabernacle de Billy Sunday, des annĂ©es plus tard, que je l’ai vu. Depuis, j’ai toujours eu une de ces photos-lĂ  dans ma maison.

87 Et puis ici, dans les airs, comme quoi le Dieu mĂȘme que j’avais vu en vision prĂšs d’ici, alors que je n’étais qu’un jeune garçon, prĂšs d’ici, Ă  l’endroit oĂč se trouve maintenant l’école, c’est Ă  ça qu’Il ressemblait. Et ici, dans les Cieux, trente-trois ans plus tard, ceux-ci dĂ©clarent que c’est la vĂ©ritĂ©. C’est bien Ă  ça qu’Il ressemble; non pas quelque chose de mystique, la conception personnelle de quelqu’un.

88 Comme au Vatican, ils ont là un–un–un portrait du Christ, avec un petit collier de barbe blanche, ou, un collier de barbe d’environ un demi-pouce [un centimùtre] de long, qui forme un cercle autour du menton, jusqu’au-dessus de la bouche comme ceci, et ils appellent ça le Christ.

89 Ça me rappelle un artiste grec, ce que j’ai vu une fois dans une cathĂ©drale ancienne, il montrait Ă  quoi ressemblaient Adam et Ève; ils ressemblaient Ă  des bĂȘtes ou quelque chose comme ça. VoilĂ  ce que la pensĂ©e charnelle peut percevoir d’une chose spirituelle. Je pense qu’Adam, c’était le plus bel homme qui ait jamais vĂ©cu, et qu’Ève Ă©tait une femme parfaite Ă  tous Ă©gards.

90 Maintenant les pensĂ©es charnelles arrangent la Chose selon leurs conceptions personnelles, alors Dieu fait descendre Sa Puissance, et par Elle Il dĂ©voile la Chose. C’est exactement ça qui s’était produit, ici, du temps d’Achab.

91 Donc, nous voyons qu’Élie pouvait dire ça, parce que le Message de l’heure et la Parole de Dieu... Le messager, le Message–le Message et la Parole, c’était exactement la mĂȘme chose. Le prophĂšte, la Parole, le Message; messager, Message, et Message, c’était la mĂȘme chose. JĂ©sus a dit : “Si Je ne fais pas les oeuvres qui ont Ă©tĂ© Ă©crites Ă  Mon sujet, alors ne Me croyez pas.” C’est bien. Tout homme et son message ne font qu’un.

92 Voilà pourquoi aujourd’hui ils ne croient pas qu’il faut faire les oeuvres de Dieu, c’est parce qu’ils n’acceptent pas le Message de Dieu. Ils ne croient pas le Message.

93 Mais pour ceux qui croient Ă  l’heure de Dieu oĂč nous vivons, ces choses sont de la Nourriture cachĂ©e. Pensez un peu, Dieu a tellement bien cachĂ© la Chose qu’ils La regardent bien en face et ne La voient pas. De la mĂȘme maniĂšre, Élie avait aveuglĂ© l’armĂ©e des Syriens. De la mĂȘme maniĂšre, Dieu aveugle l’incroyant pour qu’il ne voie pas la vraie, la vĂ©ritable Nourriture de l’enfant, du croyant.

94 Ce pourquoi ils appelaient NoĂ© “un fanatique” : il construisait une arche, ses yeux Ă©taient ouverts Ă  la Parole de Dieu et Ă  la promesse. La chose mĂȘme qu’ils appelaient du fanatisme, c’est ce qui a sauvĂ© NoĂ© et sa famille. Voyez-vous, la chose mĂȘme, exactement. La chose dont les gens se moquent, c’est la chose que nous, nous recherchons par la priĂšre. La chose que les gens appellent “folie”, c’est ce que nous, nous appelons “Grand!” Ce que le monde appelle “grand”, Dieu l’appelle “folie”. Et ce que le monde appelle “folie”, Dieu l’appelle “Grand!” C’est exactement ça qui est le contraste entre le Vrai et le faux. JĂ©sus-Christ est le mĂȘme hier, aujourd’hui, et Ă©ternellement.

95 Souvenez-vous, il est entrĂ© dans son lieu secret selon le plan de Dieu, selon l’appel de Dieu et la Parole de Dieu. Élie est entrĂ© dans son lieu secret selon la prescience (le plan) de Dieu et l’appel qu’il avait dans sa vie, et selon la Parole. Si ce n’est pas comme ça que nous y sommes entrĂ©s, je ne sais pas comment il se fait que nous y soyons.

96 Et, remarquez, avant que la sĂ©cheresse commence, Élie est entrĂ© dans ce lieu secret, pour sa subsistance. Un type qui correspond parfaitement : avant que le jugement commence Ă  frapper la terre, l’Église a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© appelĂ©e Ă  sortir, l’Épouse a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© choisie, et Elle attend simplement, avant que le jugement s’abatte. Elle attend dĂ©jĂ , Elle mange la Nourriture de Dieu, Elle jouit des bĂ©nĂ©dictions de Dieu. N’importe quel homme sensĂ© saurait que nous nous dirigeons tout droit, que nous sommes Ă  l’heure du jugement.

97 Regardez! FrĂšre Banks, plusieurs d’entre vous, les hommes qui sont ici ce soir, vous Ă©tiez lĂ -bas, sur cette montagne, ce matin-lĂ .

98 Et c’est de cette montagne que je veux parler dimanche matin prochain, si le Seigneur le veut. J’ai eu une grande rĂ©vĂ©lation, quelque chose de plus, que j’ai de la peine Ă  m’empĂȘcher de dire ce soir. Mais j’ai... Voyez? Et c’est vraiment continuel, tout le temps, ces choses se produisent l’une aprĂšs l’autre. Voyez? Elles ne cesseront jamais de se produire, car c’était AINSI DIT LE SEIGNEUR.

99 Vous tous ici, des milliers de milliers de gens, grĂące aux bandes, m’ont entendu, alors que je me suis tenu lĂ  et que j’ai dit : “AINSI DIT LE SEIGNEUR, il en sera ainsi, et ainsi.” Et mĂȘme les journaux et les magazines ne peuvent pas faire autrement que d’en dĂ©clarer l’exactitude. Ils ne savent pas ce que ça veut dire, mais ils l’ont vu. Ils ne savent pas ce que c’est, mais ils l’ont vu – une confirmation de la vĂ©ritĂ© de la Parole.

100 Nous nous tenions lĂ , au bord de la riviĂšre, le jour oĂč cet Ange du Seigneur est descendu, il y a trente-trois ans, ou, c’était en 193 3, Il est descendu et a dit les choses qu’Il a dites. En repartant, de nombreux hommes qui Ă©taient lĂ , sur la rive, ont dit : “Qu’est-ce que ça voulait dire, Billy?”

101 J’ai dit : “Ce n’était pas pour moi; c’était pour vous. Moi, je crois; vous non.” Et j’ai tout simplement continuĂ© Ă  marcher.

102 Alors le pasteur m’a dit, il a dit : “Es-tu en train de me dire que toi, qui n’as fait que des Ă©tudes primaires, tu vas parcourir le monde et prier pour des monarques, des potentats, des rois et tout? Oh,” il a dit, “oublie Ça.”

103 Je ne pouvais pas L’oublier, C’était gravĂ© dans mon coeur. Voici que, trente-trois ans plus tard, tout ce qu’Il avait dit est arrivĂ© parfaitement, tel qu’Il avait dit qu’Il le ferait. Il est Dieu et ne peut pas Ă©chouer. Il tient toujours Sa Parole. Il... N’En doutez jamais.

104 Maintenant remarquez, il y est entrĂ© selon le plan de Dieu (la prescience), l’appel de Dieu et la Parole de Dieu, et il y est entrĂ© avant que la sĂ©cheresse commence.
Or, nous savons que le jugement est sur le point de s’abattre.

105 Sur la colline, ce jour-lĂ , avec FrĂšre Banks Wood ici prĂ©sent, nous montions la colline. Peut-ĂȘtre vais-je le raconter de nouveau, pour faire grandir votre foi, en vue de la ligne de priĂšre qui se fera dans les dix ou quinze prochaines minutes. Je marchais juste devant FrĂšre Banks. Il... Je pense qu’il Ă©tait parti au moment oĂč Soeur Ruby Ă©tait malade. Il me suivait, et j’ai remarquĂ© qu’il avait le visage rouge. J’ai regardĂ© en arriĂšre. Je me suis dit qu’il avait peut-ĂȘtre de la peine Ă  gravir cette colline, alors j’ai ralenti un peu. LĂ -bas, dans ces dĂ©serts, Ă  monter des collines comme ça, Ă  l’endroit oĂč les Anges du Seigneur Ă©taient apparus. Nous nous dirigions tout droit vers cet endroit-lĂ , l’endroit oĂč ils Ă©taient apparus quelques mois auparavant.

106 Et pendant que je montais la colline, l’Esprit de Dieu... Quand je me suis retournĂ©, j’ai regardĂ© au sommet de la montagne, et Il a dit : “Ramasse cette pierre, et dis-lui : ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, d’ici quelques heures, tu vas voir la Gloire de Dieu.’”

107 J’ai tout simplement ramassĂ© la pierre, et j’ai dit : “FrĂšre Banks, je ne sais pas pourquoi”, je l’ai lancĂ©e en l’air et j’ai dit : “AINSI DIT LE SEIGNEUR, tu vas voir la Gloire de Dieu.”
Il a dit : “C’était pour Ruby?”

108 J’ai dit : “Non, je ne pense pas qu’il y avait un rapport avec toi, Banks, ni avec toi ni avec Ruby. Je pense que Ce qui a Ă©tĂ© dit lĂ , c’est : “AINSI DIT LE SEIGNEUR, il va se produire quelque chose.”

109 Le lendemain matin, pendant que nous Ă©tions lĂ , beaucoup d’hommes, je ne sais pas combien d’entre eux sont assis ici en ce moment, nous Ă©tions douze, quatorze ou quinze assis lĂ . Tout Ă  coup, un ministre s’est avancĂ© vers moi et m’a dit : “FrĂšre Branham,” il a dit, “mon nom est Untel.” Il a dit : “J’étais un de vos commanditaires en Californie.”

110 J’ai dit : “Je suis heureux de faire votre connaissance, monsieur.” Douglas McHughes. Il a dit : “Je...” J’ai dit : “Je suis heureux de faire votre connaissance.” Je lui ai serrĂ© la main.

111 Il a dit : “Eh bien, je voudrais vous poser une question.” Il a dit... Roy Roberson, qui est administrateur ici, Frùre Wood, Terry et Billy, et, oh, Frùre McAnally, et je ne sais plus trop qui se trouvait là. Et je... Il a dit : “Je voudrais vous demander quelque chose.” Il a dit : “Est-ce qu’il arrive que le Seigneur vous donne des visions, ailleurs, comme ceci?”

112 J’ai dit : “Oui, frĂšre, mais je viens ici pour m’en Ă©loigner en quelque sorte, pour me reposer.”
J’ai regardĂ© autour, comme ceci, et j’ai vu un docteur de forte corpulence qui le regardait, il a dit : “RĂ©vĂ©rend McHughes, cette allergie qu’il y a dans votre oeil va bientĂŽt dĂ©truire cet oeil. Je vous ai soignĂ© pendant deux ans, et je ne peux rien y faire.”
Je me suis tournĂ© vers lui. J’ai dit : “La raison pour laquelle vous m’avez demandĂ© ça, c’est que votre docteur vous a dit, l’autre jour, ‘qu’il y a cette allergie dans votre oeil’.” C’était au milieu du jour, vers onze heures, et il portait des lunettes de soleil. Et j’ai dit : “La raison; vous ne les portez pas Ă  cause du soleil, mais Ă  cause de votre oeil. Il vous a dit que vous alliez ‘perdre cet oeil’.”
Et il s’est mis à pleurer, il a dit : “C’est exact.”

113 Je me suis retournĂ© pour continuer Ă  circuler, j’avais une pelle Ă  la main. (Et j’ai regardĂ©; je l’ai vu qui se tenait lĂ  en me regardant, les yeux tout ce qu’il y a de plus clairs.) J’ai dit : “Mais AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous n’allez pas perdre cet oeil.” J’étais Ă  la chasse avec lui l’automne dernier, il voyait mieux que moi et que tous ceux du groupe. Jamais il...

114 Et j’ai vu une dame ĂągĂ©e qui descendait son bas et soulevait un cĂŽtĂ© de sa jupe. Elle a dit : “Mon fils, si tu vois FrĂšre Branham, dis-lui de prier pour mes pieds.” Et j’ai regardĂ© ça, il y avait lĂ  des petites... on aurait dit des petites tumeurs qui pendaient, sur ses pieds, partout.

115 J’ai dit : “Votre mĂšre est une dame aux cheveux gris. ‘Mon fils’, vous voyez. Avant que vous partiez, elle vous a dit, si vous me voyiez, de me demander de prier pour ses pieds. Elle a des espĂšces de petites tumeurs qui pendent partout, sur ses pieds.” Il a failli s’évanouir.
Il a dit : “C’est la vĂ©ritĂ©.”
J’ai dit : “Dites-lui de ne pas s’inquiĂ©ter. Tout ira bien.”

116 Je me suis mis à circuler. Alors j’ai entendu la Voix de Dieu parler, dire : “Sauvez-vous vite.”
Roy Roberson se trouvait lĂ , je savais que c’était un ancien combattant, alors j’ai mis ma main sur son Ă©paule, j’ai dit : “FrĂšre Roy, mets-toi Ă  l’abri, au plus vite!”
Il a dit : “Qu’est-ce qu’il y a?”
J’ai dit : “Sauve-toi! Mets-toi à l’abri!”

117 Et je me suis mis Ă  circuler, j’ai dĂ©posĂ© ma pelle, je me suis retournĂ©, j’ai ĂŽtĂ© mon chapeau. Et Il est arrivĂ©, voilĂ , la Gloire de Dieu est descendue dans un tourbillon qui a fracassĂ© la paroi de la montagne, comme ça, avec une dĂ©flagration qui a fait trembler le lieu, comme ça, il a coupĂ© le sommet des buissons; juste Ă  environ trois ou quatre, cinq pieds [quatre-vingt-dix ou cent vingt, cent cinquante centimĂštres] au-dessus de ma tĂȘte. C’est remontĂ©, en prenant la forme d’un entonnoir, comme ça; il y a eu une autre dĂ©flagration. C’est revenu – trois fois.

118 Puis, quand C’est reparti, la troisiùme fois, Frùre Banks est venu vers moi, il a dit : “C’est de ça que tu parlais?”
J’ai dit : “Oui.”
Il a dit : “Qu’est-ce que c’était?”

119 J’ai dit : “Dieu apparaüt dans les tourbillons.” Je ne savais pas s’Il voulait que je le dise aux gens ou pas.

120 Alors je suis reparti et j’ai priĂ© un peu. Alors Il m’a dit que je pouvais le leur dire. J’ai dit : “C’est le jugement, qui frappe la CĂŽte Ouest.” Regardez-la aujourd’hui! Regardez ce qui est arrivĂ©, quelques heures aprĂšs : l’Alaska a Ă©tĂ© englouti. Et maintenant tout est en train de sombrer. Nous entrons dans le jugement. La misĂ©ricorde a Ă©tĂ© repoussĂ©e.

121 Mais grĂąces soient rendues Ă  Dieu, nous avons de la Nourriture cachĂ©e, de la Nourriture spirituelle, nous vivons de la bontĂ© et de la misĂ©ricorde de la rĂ©vĂ©lation de JĂ©sus-Christ en ces derniers jours, alors qu’Il confirme Sa Personne, au milieu de Son peuple. Amen! Ils sont entrĂ©s. Élie est entrĂ© avant que la sĂ©cheresse commence. Dieu merci, nous sommes entrĂ©s avant que le jugement commence. C’est maintenant le temps de sortir et d’entrer, de sortir de ces organisations et d’entrer en Christ, le temps de sortir et d’entrer, pour tous les vrais croyants.

122 Alors il a Ă©tĂ© appelĂ©, et il est restĂ© Ă  l’intĂ©rieur. Souvenez-vous, il n’a jamais quittĂ© ce torrent, tant que Dieu ne l’a pas appelĂ©.

123 Et vers la fin de la sĂ©cheresse, Il l’a appelĂ© Ă  sortir de lĂ , pour se rendre chez une veuve. Remarquez, Il a fait appel Ă  cette veuve. Et cette veuve ne s’était pas associĂ©e avec les incroyants – pris la marque de la bĂȘte pendant la sĂ©cheresse. Alors, Il l’a appelĂ©e Ă  aller... Il a appelĂ© Élie Ă  nourrir cette veuve. Tout ce qu’ils avaient, c’était un petit gĂąteau, une petite chose Ă  laquelle elle s’accrochait. Et Élie a dit : “Donne-le-moi premiĂšrement. Car, AINSI DIT LE SEIGNEUR, ce pot ne se videra point et la cruche ne sĂ©chera point, jusqu’au jour oĂč le Seigneur Dieu fera tomber de la pluie sur la face du sol.” Faire passer Dieu avant tout, Sa Parole avant tout!

124 Remarquez, il y avait de la farine dans le pot. Chaque fois qu’elle allait chercher de la farine, il y avait de la farine dans le pot. Il y avait de l’huile dans la cruche, chaque fois qu’elle allait en chercher. Pourquoi? La farine reprĂ©sentait Christ, dans l’offrande de farine. Les grains devaient ĂȘtre impeccables, pour que chacun soit moulu. Chaque grain de cette farine Ă©tait pareil, montrant qu’Il est le mĂȘme hier, aujourd’hui, et Ă©ternellement. C’était lĂ  la Parole, le Pain de Vie qui faisait suite au message, pour confirmer la Parole.

125 C’est pareil aujourd’hui, mes amis. C’est pareil aujourd’hui : le Pain de Vie dont les enfants se nourrissent fait suite au Message de Dieu, afin de les nourrir pendant la pĂ©riode de la sĂ©cheresse. Et s’Il Ă©tait en notre prĂ©sence aujourd’hui? Et s’Il Ă©tait en notre prĂ©sence maintenant mĂȘme? Il se comporterait et Il ferait exactement la mĂȘme chose que ce qu’Il avait fait Ă  l’époque oĂč Il Ă©tait dans une chair, ici sur terre. L’Épouse fait partie du Mari, l’Église est pareille Ă  Christ. “Vous ferez, vous aussi, les oeuvres que Je fais.” Et c’est la Parole qui les faisait. Il nous a dit que nous ferions, nous aussi, les choses que Lui, Il avait faites.

126 LĂ  encore nous remarquons : si la Parole est en nous, et qu’Elle est venue Ă  nous comme Elle l’avait fait dans le cas d’Élie Ă  cette Ă©poque-lĂ , Elle accomplira la mĂȘme chose que ce que lui, il avait fait : il allait se nourrir des Choses secrĂštes de Dieu, qui sont cachĂ©es au monde. Oh! LĂ  encore, c’est ce qui fait que le Message et le messager sont un. La Nourriture spirituelle est prĂȘte, maintenant, en Sa saison. Et vous pouvez, chacun de vous, avoir cette Nourriture, si vous le dĂ©sirez, si vous ĂȘtes disposĂ©s Ă  vous dĂ©tacher de toute l’incrĂ©dulitĂ© de cette heure, si vous ĂȘtes prĂȘts Ă  entrer en Christ, Ă  entrer dans Sa promesse.
Et rappelez-vous les promesses qu’Il a faites dans Malachie 4, dans Luc 17.30, et aussi dans Jean 14.12, et dans combien d’autres passages de l’Écriture, oĂč il est fait mention, JoĂ«l 2.38, et tout ce qu’Il ferait, ou plutĂŽt 2.28, ce qu’Il ferait dans ces derniers jours. Et ce qui a Ă©tĂ© dit par le prophĂšte, qu’il y aurait de la LumiĂšre dans ces derniers jours, quel effet Elle aurait, ce qu’Elle produirait, toutes les Écritures qui annonçaient ces derniers jours. Et il s’agit de Christ! Si vous pouvez vous cacher dans Cela maintenant, dans ce Lieu secret, vous pourrez manger et voir la bontĂ© et la misĂ©ricorde de Dieu. Si vous ĂȘtes malade, il y a lĂ  la guĂ©rison.

127 Vous vous souvenez, quand ÉlisĂ©e, plus tard, avait fait descendre... AprĂšs cette offrande de farine qu’il avait eue, Christ, et dont Il avait nourri la famille de cette veuve. Remarquez, plus tard, quand il a fait descendre le feu des cieux, et tout, et qu’il a prouvĂ© qu’il avait Ă©tĂ© envoyĂ© par Dieu, l’Esprit du prophĂšte.

128 Remarquez, dans le dĂ©sert, quand il Ă©tait couchĂ© sous le genĂȘt, un Ange est descendu avec ce mĂȘme genre de farine, Il a fait cuire des gĂąteaux et l’en a nourri. Un peu plus tard, Il l’a de nouveau fait dormir, puis Il l’a rĂ©veillĂ©, et il y avait encore des gĂąteaux de farine cuits qui l’attendaient lĂ . Et avec la force que lui donnĂšrent ces gĂąteaux, il marcha quarante jours. Gloire Ă  Dieu! Il est le mĂȘme hier, aujourd’hui, et Ă©ternellement. Oh, combien nous L’aimons. La Nourriture spirituelle en Sa saison!

129 “Il n’est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le donner aux chiens.” N’est-ce pas que JĂ©sus a dit la mĂȘme chose Ă  la Syro-PhĂ©nicienne? Il avait Ă©tĂ© envoyĂ© vers les Siens. C’est vrai. Et voilĂ  vers qui Il est venu... Il n’est jamais allĂ© vers les gens des nations.

130 Et maintenant, aujourd’hui, Il visite les gens des nations, Ă  leur Ă©poque Ă  eux, et il n’est pas bien...

131 Vous dites : “Comment se fait-il que le Message ne va pas lĂ -bas, dans ces lieux grandioses, ces grandes croisades, comme au sein des dĂ©nominations?”

132 Ce n’est pas leur Nourriture. Ce n’est pas la Nourriture de la prĂ©tendue Ă©glise. C’est la Nourriture de l’Épouse. C’est la Nourriture spirituelle en Sa saison. Eux, Ça leur donnerait mal au ventre. C’est trop riche pour eux. Voyez? Voyez? On–on–on ne peut pas. Par contre, pour les enfants, C’est le Pain, C’est la Vie, C’est JĂ©sus-Christ, le mĂȘme hier, aujourd’hui, et Ă©ternellement.

133 Il va se faire trop tard si nous ne commençons pas la ligne de priĂšre maintenant, alors inclinons la tĂȘte un instant.

134 Dieu bien-aimĂ©, la Nourriture au temps convenable, la Nourriture spirituelle. Quelque chose dont le monde ignore tout. D’entendre notre Seigneur dire, ce soir-lĂ , ou ce jour-lĂ , lĂ -bas Ă  Samarie, le lieu mĂȘme oĂč ÉlisĂ©e s’était avancĂ© et avait dit : “Eh bien, il ne tombera pas de rosĂ©e, tant que je ne l’aurai pas fait venir.” Voici que JĂ©sus se tenait lĂ , en train de dire Ă  Ses disciples.
Ils disaient : “Maütre, pourquoi ne manges-Tu pas?”
Il a dit : “J’ai une Nourriture que vous ne connaissez pas.”

135 En vĂ©ritĂ©, Seigneur, Sa Nourriture Ă©tait de faire la volontĂ© de Dieu, et de voir les oeuvres de Dieu manifestĂ©es en Son heure. Il Ă©tait lĂ  pour veiller Ă  ce que cela soit fait. “Je ne fais rien, sans que Mon PĂšre Me l’ait d’abord montrĂ©. Ce que le PĂšre Me montre, Je le fais.”

136 Et, PĂšre, c’est pareil aujourd’hui. L’Église, le vrai croyant, le Corps des croyants, a accĂšs Ă  la Nourriture, Ă  la Nourriture spirituelle, dont ceux des dĂ©nominations ignorent tout. Le monde ignore tout de cette Nourriture, PĂšre. Mais Ton Église, Ton peuple, l’Épouse de Ton Fils, Elle, Elle L’aime.

137 Nous avons accĂšs Ă  la guĂ©rison de notre corps, quand les mĂ©decins ont Ă©chouĂ©. Nous y avons accĂšs. C’est l’une des Nourritures de Dieu, qu’Il a donnĂ©e Ă  Son Église, et qu’Il a promise pour les derniers jours Ă  Ses enfants qui croient. PĂšre, aide-nous Ă  ĂȘtre des enfants qui croient, car tout est possible aux croyants. Accorde-le, Dieu bien-aimĂ©. Nous le demandons au Nom de JĂ©sus. Amen.

138 Je crois que Billy m’a dit qu’ils ont distribuĂ© des cartes de priĂšre. Si quelqu’un veut bien me dire quelle est la lettre qui se trouve sur la carte de priĂšre, c’est tout ce que je veux savoir. [Quelqu’un dit : “C.”–N.D.É.] C, trĂšs bien, prenons C, un, pour commencer, pour commencer Ă  former notre ligne. Voyez-vous, bon, il se peut qu’elles soient un peu partout. Maintenant, si tous... Eh bien, voyez-vous, je vais essayer. Je ne sais pas si nous pouvons le faire ou pas. Ou, sinon, nous pouvons juste appeler les gens dans l’auditoire; vous resterez tranquillement assis. N’importe, ça m’est Ă©gal. Si vous prĂ©fĂ©rez venir ici, sur l’estrade, ou ĂȘtre appelĂ© dans l’auditoire, ça m’est Ă©gal, l’un ou l’autre. Je compte entiĂšrement sur le Saint-Esprit. Je compte sur Lui, pour qu’Il dĂ©fende cette Parole que j’ai prĂȘchĂ©e.

139 FrĂšre Georges Wright, j’Y crois : quand j’étais encore tout jeune, j’allais chez toi, il y a bien des annĂ©es de ça, j’écoutais ce vieil engoulevent perchĂ© sur l’arbre – je crois toujours le mĂȘme Message. Je crois que C’est toujours le mĂȘme.

140 TrĂšs bien, je vois qu’ils font de la place ici, pour former une ligne de priĂšre. TrĂšs bien, carte de priĂšre C, numĂ©ro un, deux, trois, quatre, cinq, approchez-vous en premier, et placez-vous juste ici. Si vous ne pouvez pas vous lever, vous n’avez qu’à lever la main, quelques-uns viendront vous transporter. [Quelqu’un parle Ă  FrĂšre Branham.–N.D.É.] Qu’est-ce qu’il y a? Oui. Oui. Carte de priĂšre C, un, deux, trois, quatre, cinq. Et maintenant remarquez, vous qui n’avez pas de carte de priĂšre...

141 Or, il y a trĂšs, trĂšs longtemps que je n’ai pas fait une ligne de priĂšre de ce type. Combien se souviennent de ma commission, au moment oĂč nous avons construit le Tabernacle, ici? Il a dit : “Fais l’oeuvre d’un Ă©vangĂ©liste.” Il n’a pas dit que j’étais un Ă©vangĂ©liste. Il a dit : “Fais l’oeuvre d’un Ă©vangĂ©liste,” voyez-vous, “car l’heure viendra oĂč il y aura un changement.” Cette heure arrive. TrĂšs bien. Or, lĂ -dessus, Il...

142 On ne peut pas mĂ©langer deux ou trois ministĂšres diffĂ©rents, ĂȘtre pasteur et Ă©vangĂ©liser en mĂȘme temps. On ne peut pas ĂȘtre un–un prophĂšte et, peut-ĂȘtre, un pasteur en mĂȘme temps, voyez-vous, parce qu’on a des fonctions diffĂ©rentes, un ministĂšre diffĂ©rent.

143 Par contre, le Seigneur m’a fait part de ce que je devais faire dans mon Message. Mais lĂ  Il a dit : “Fais l’oeuvre d’un Ă©vangĂ©liste, remplis bien ton ministĂšre, car l’heure viendra oĂč ils ne supporteront pas la saine Doctrine.” C’est bien ce qui arrive maintenant! Toutes les Ă©glises dĂ©nominationnelles m’ont rejetĂ©. Elles ne supportaient pas la saine Doctrine. “Mais au grĂ© de leurs propres dĂ©sirs, ils mettront en place leurs propres docteurs, et ce ne seront plus que des fables. Et ils feront de grandes choses, des exploits, comme JambrĂšs et JannĂšs, qui s’opposĂšrent Ă  MoĂŻse, mais leur folie sera manifestĂ©e.” Voyez? Voyez? TrĂšs bien, des imitations! Vous voyez comment JambrĂšs...

144 Et Dieu, dans le Ciel, le sait, ça se trouve juste lĂ , dans cette pierre Ă  l’angle du Tabernacle, depuis 193 3, c’est Ă©crit sur une page de Bible, ça se trouve juste lĂ . Regardez comment ils ont procĂ©dĂ©. Regardez l’accomplissement. Des imitations, exactement. Il a dit : “Laisse-les, leur folie sera manifeste, de la mĂȘme maniĂšre que l’a Ă©tĂ© celle de JambrĂšs et JannĂšs.” VoilĂ , nous en sommes Ă  ce jour-lĂ .

145 J’avais vu l’église, au moment oĂč nous n’en Ă©tions qu’à la pose de la pierre angulaire : des gens penchĂ©s sur les rebords des fenĂȘtres, et partout, debout le long des murs du Tabernacle. Et voilĂ . Et les gens ont dit, Ă  cette occasion, les gens de la ville, ici, ont dit : “Dans moins de six mois...” Comme nous n’avions qu’un dollar et quatre-vingts cents pour construire un tabernacle, bien des garagistes avaient dĂ©jĂ  dĂ©cidĂ© que ça allait devenir leur garage. Mais c’est toujours une bergerie, pour les brebis de Dieu.

146 Un, deux, trois, cinq, six, sept, huit, neuf, dix. C, six, sept, huit, neuf, dix. Bien.

147 Or, “Moi, l’Éternel, Je l’ai plantĂ©e, Je l’arroserai jour et nuit, de peur qu’on ne la ravisse de Ma main.” Regardez la critique qu’il y a eu! Aucune dĂ©nomination n’Y a donnĂ© son appui. Il n’y a aucune Ă©glise comme Celle-lĂ , nulle part ici, dans le pays. Ni pentecĂŽtiste, ni rien d’autre dans le pays, n’Y a apportĂ© son soutien. Tous s’opposaient au baptĂȘme d’eau, tous s’opposaient Ă  toutes ces autres choses. Jusqu’à ma propre famille, mon propre papa, qui m’a mis Ă  la porte, j’ai mis mes vĂȘtements dans un petit sac en papier, et je suis allĂ© habiter Ă  New Albany. C’est vrai. Dans mes Ă©preuves et mes labeurs,
Suffisante est Sa grĂące;
Je peux toujours compter sur Sa faveur,
J’ai cinquante-six ans, et bientît je devrai traverser le fleuve.
À chaque heure qui passe.
Quand j’aurai, pendant mille ans,
Célébré Ses louanges,
Nous pourrons, comme au commencement,
Lui offrir nos hommages.
Oh, comme j’aime JĂ©sus! Il est tout pour moi!

148 Oh, trĂšs bien, combien est-ce que je... OĂč est-ce que je m’étais arrĂȘtĂ©? Ă  dix? Est-ce que nous pouvons en prendre encore quelques-uns? TrĂšs bien. On Ă©tait Ă  quoi? Ă  dix, quinze? TrĂšs bien. C, dix Ă  quinze, oĂč que vous soyez, si vous pouvez vous lever et entrer dans la ligne. Vous dites? Ah? TrĂšs bien. C, quinze Ă  vingt, alors. Que ce soit C, quinze Ă  vingt. Ça fait dix personnes de plus. Nous voyons... Vous voyez–voyez jusqu’oĂč va la ligne, lĂ , nous ne voulons pas qu’ils soient–qu’ils soient trop serrĂ©s. Et nous... TrĂšs bien.

149 Maintenant accordez-moi toute votre attention; nous ne prendrons pas beaucoup de temps. Mais, maintenant, oh, quelle heure, quel moment! Je–je voudrais tant que tout le monde aime le Seigneur. Je–je voudrais tant que nous puissions tous en arriver là, prendre conscience du potentiel de cet instant. Essayons. Accordez-moi donc votre attention.

150 Qu’est-ce que–qu’est-ce que nous essayons de faire, ici? Nous mettons la Parole de Dieu Ă  l’épreuve. Élie a fait la mĂȘme chose, il est montĂ© sur la montagne, une fois qu’il savait qu’il Ă©tait envoyĂ© par Dieu pour le faire. Il a dit : “Maintenant montrons qui est Dieu : le Dieu qui rĂ©pondra par le feu, c’est celui-lĂ  qui sera Dieu.”

151 Et les paĂŻens se faisaient des incisions, oh, ils disaient : “Mais, bien sĂ»r que non...” Les–les paĂŻens savaient que le feu n’allait pas tomber, alors ils criaient et s’emballaient.

152 Par contre Élie, lui, il savait que le feu allait tomber, parce qu’il avait eu une vision de la part du Seigneur.
Vous dites : “Il avait eu une vision?”

153 Oui monsieur! Quand il eut tout mis en place, il a dit : “Seigneur, j’ai fait tout ceci sur Ton ordre.” Ensuite le feu s’est mis Ă  tomber. Quand on observe la Parole de Dieu Ă  la lettre, alors c’est Ă  Dieu de s’occuper du reste. Tout ce qu’Il vous demande, c’est de prĂ©senter cela. Et assurez-vous bien que vous avez Ă©tĂ© appelĂ© Ă  prĂ©senter cela. Voyez? Si oui, Il s’occupera du reste.

154 Maintenant, ici il y aura des gens qui passeront dans cette ligne, pour qui je prierai... Bon, lĂ , vous ĂȘtes alignĂ©s presque jusqu’au mur, trĂšs bien, pour commencer la ligne. Bon, d’abord, tout au moins quelque part ici dans le bĂątiment, quelques personnes... Combien ici sont malades et n’ont pas de carte de priĂšre, levez la main. Voyez, partout. Or, vous savez que si notre Seigneur... Et je crois qu’Il le fera, s’Il est le mĂȘme hier, aujourd’hui, et Ă©ternellement. Il a fait des lignes de priĂšre. Les gens venaient Ă  Lui, de grandes files de gens, des foules, Il les touchait, les bĂ©nissait. Puis, Ă  un moment donnĂ©, Il s’est arrĂȘtĂ© et Il a dit : “Qui M’a touchĂ©?” Il a promenĂ© les regards, Il a dit Ă  une femme pourquoi elle L’avait touchĂ©; Il a dĂ©clarĂ© que sa perte de sang s’était arrĂȘtĂ©e, que sa foi l’avait guĂ©rie.

155 Qu’est ce qui se serait passĂ© si elle s’était retournĂ©e et avait dit : “Eh bien, je ne sais pas, Seigneur, ça fait longtemps que j’ai ça”? Ce ne serait pas arrivĂ©. Non, ce ne serait pas arrivĂ©. Non.

156 Qu’est-ce qui se serait passĂ© s’Il avait dit Ă  la Syro-PhĂ©nicienne : “À cause de cette parole que tu as prononcĂ©e, ta fille, le dĂ©mon est sorti d’elle”, et qu’elle avait dit : “Eh bien, lĂ , Seigneur, je–j’aurais voulu que Tu procĂšdes comme ceci”? Le–le dĂ©mon serait restĂ© dans cette fille. Mais elle s’attendait Ă  trouver son enfant comme Il avait dit qu’elle la trouverait.

157 Or, Il nous a dit : “Si tu peux croire! Si tu peux dire Ă  cette montagne : ‘Ôte-toi de là’, sans douter dans ton coeur, mais en croyant que ce que tu as dit arrivera, cela te sera accordĂ©. Quand tu pries, crois que tu l’as reçu, cela te sera donnĂ©.” Quelle promesse!

158 Maintenant, l’homme qui prĂȘche un Ă©vangile social ne croit pas du tout Ă  ça. Il s’approcherait de la porte, regarderait Ă  l’intĂ©rieur, ou resterait lĂ , et dirait : “Eh bien, ce n’est qu’une autre bande d’exaltĂ©s”, et s’en irait. Voyez? Mais il ne sait pas que ceci est la Nourriture cachĂ©e. Il ne sait pas que ceci est la Chose secrĂšte, qui lui a Ă©tĂ© cachĂ©e. Il ne le sait pas. C’est–c’est–c’est pitoyable, ĂȘtre nu, misĂ©rable et aveugle d’entendement, et ne pas le savoir. Voyez? C’est mauvais, ça.

159 Ô Dieu, ne permets jamais que je devienne comme ça, j’aimerais mieux mourir. Je prĂ©fĂ©rerais mourir (oui monsieur), plutĂŽt que de faire ça. Et je pense que c’est la mĂȘme chose pour chacun de nous, n’est-ce pas? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.]

160 Mais maintenant, Dieu nous a promis ces choses pour les derniers jours. Dans Malachie 4, il est dit que JĂ©sus-Christ descendrait et Se prĂ©senterait dans une chair humaine, comme Il l’avait fait Ă  Sodome. C’est vrai. Et il est dit que le monde serait dans un Ă©tat sodomite. Et il est dit : “Il en sera de mĂȘme, le Fils de l’homme se rĂ©vĂ©lera en ce jour-lĂ .” Voyez-vous, cet Homme qui Ă©tait descendu sous la forme d’un homme, c’était “Elohim”, auprĂšs d’Abraham, avant la venue de ce fils promis. Regardez ce qu’il en Ă©tait, Abraham a dit que c’était Dieu. Et la Bible dit que trois hommes sont venus Ă  lui, ils avaient de la poussiĂšre sur leurs vĂȘtements, ils avaient voyagĂ©, ils se sont assis et ils ont mangĂ© comme des hommes. Et JĂ©sus a dit que “juste au moment oĂč le monde se retrouverait dans un Ă©tat sodomite, c’est alors que le Fils de l’homme Se rĂ©vĂ©lerait de nouveau”, non pas le Fils de Dieu. Le Fils de l’homme, voyez-vous, Se rĂ©vĂ©lerait.

161 Maintenant faites le rapprochement avec ce que le dernier prophĂšte a dit : “Voici, Je vous envoie Élie, le prophĂšte, et il ramĂšnera le–le coeur des enfants aux pĂšres.” Voyez? Un Message visant Ă  les ramener Ă  la Bible, et le Fils de l’homme Se rĂ©vĂ©lera en ce jour-lĂ . Et en ce jour-lĂ , oĂč sonnerait le dernier Ăąge de l’église, le septiĂšme ange, les mystĂšres de Dieu devaient ĂȘtre divulguĂ©s en ce jour-lĂ . Les Sept Sceaux seraient rompus. Les mystĂšres de toutes ces Ă©glises et de toutes ces choses, comment elles sont arrivĂ©es, et ce qui s’est... comment, ce qui s’est passĂ©.

162 Voyez-vous, ils ne savent pas ce qu’il En est. JĂ©sus a dit : “Pharisiens aveugles!” Il a dit : “Si un aveugle conduit un aveugle, n’est-ce pas qu’ils tombent tous deux dans une fosse?” Voyez-vous, c’est pour ça que ces gens ne voient pas ce qu’il En est.

163 Le mystĂšre de Cela, de ces Sceaux, c’est que chacune de ces Ă©glises a formĂ© une organisation et s’est retrouvĂ©e lĂ -dedans, et voilĂ  une des choses secrĂštes qui Ă©taient mauvaises aux yeux de Dieu. Vous voyez ça, Docteur Lee? Voyez-vous, regardez. Effectivement. C’est lĂ  le point, justement. C’est lĂ  un des secrets. Ils sont devenus une organisation et, voyez-vous, ils Ă©taient complĂštement en dehors de la volontĂ© de Dieu. Cette chose sera dĂ©voilĂ©e dans les derniers jours, et les gens seront conduits, non pas Ă  un credo ou Ă  une dĂ©nomination, mais ils seront ramenĂ©s Ă  la vraie Parole. Et la vraie Parole sera adressĂ©e Ă  un certain groupe de gens, et le Fils de l’homme Se rĂ©vĂ©lera au milieu d’eux, “le mĂȘme hier, aujourd’hui, et Ă©ternellement”.

164 Oh! la la! Oh, j’aime ça. J’aime–j’aime faire Son Ă©loge. J’aime Le rendre grand devant les gens. Je n’ai pas Ă  Le rendre grand; Il est dĂ©jĂ  grand. Il est tellement haut que vous ne pouvez pas passer par-dessus Lui, tellement profond que vous ne pouvez pas passer par-dessous Lui, tellement large que vous ne pouvez pas Le contourner, et malgrĂ© tout ça, vous avez assez de place pour Lui dans votre coeur. Ne voulez-vous pas Le recevoir? Comme notre Seigneur est merveilleux! TrĂšs bien.

165 Maintenant soyons bien tranquilles, tout le monde. Or, nous avons parlĂ© de Ceci. Maintenant la question, c’est : est-Ce vrai? Bon, il se peut qu’il y ait des nouveaux venus ici. Voici ce que je dirai : si... ce que je vous dirai : si Christ est le mĂȘme hier, aujourd’hui, et Ă©ternellement, qu’est-ce qu’Il ferait en cet instant? Il ferait la mĂȘme chose que ce qu’Il avait fait quand Il Ă©tait ici auparavant. Pas vrai? La foi des gens toucherait Son vĂȘtement, et Il se retournerait. Comme Il l’avait fait dans le cas de la femme au puits, et comme Il l’avait fait en d’autres lieux, et qu’Il connaissait leurs pensĂ©es.
Bon, vous dites : “Est-ce qu’Il pourrait me guĂ©rir?”

166 Sa Parole dĂ©clare que ça, c’est dĂ©jĂ  fait. Par contre, ce qu’il faut, c’est qu’Il fasse connaĂźtre Sa prĂ©sence ici.

167 Or, s’Il nous apparaissait dans un corps physique, qu’Il ressemblait trait pour trait au Portrait du Christ Ă  trente-trois ans de Hofmann, que du sang coulait de Sa main, et tout, qu’Il avait des marques de clous partout, je n’accepterais pas ça. Non, non. Non, non. Quand Il viendra Lui-mĂȘme, “tout oeil Le verra, toute langue Le confessera; comme l’éclair va de l’orient jusqu’en occident, il en sera de mĂȘme”. Voyez? Nous ne croyons pas Ă  ces sectes et Ă  ces clans. Nous croyons que Dieu est la Parole.

168 Mais Il S’incarne, Il prend votre corps et mon corps, et Il vous donne des dons, Il me donne des dons, et c’est au moyen de ces dons qu’Il Se fait connaĂźtre. C’est ça la Nourriture secrĂšte. Peu importe combien Il pourrait Se faire connaĂźtre Ă  travers moi, il faut que vous Y croyiez, il faut que vous ayez un don de foi, vous aussi, pour Y croire. Croyez-vous ça? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Et maintenant, s’Il Se manifeste de cette maniĂšre-lĂ , est-ce que vous croirez en Lui? [“Amen.”] De tout votre coeur, vous croirez en Lui? Oh, comme c’est merveilleux, je L’attends, tout simplement, j’attends de voir ce qu’Il dira.

169 Voici un homme, ici. Je ne l’ai jamais vu de ma vie, Ă  ma connaissance. Il semble ĂȘtre un homme bien robuste, en bonne santĂ©, et il l’est probablement, je–je–je ne sais pas. Mais il se tient lĂ . Bon, je pourrais aller imposer les mains Ă  cet homme et prier pour lui, lui demander s’il croirait. Il pourrait se tenir ici et me dire, dire : “Je–je–je voudrais que vous priiez pour un tel. Et j’ai–j’ai un affaissement de la voĂ»te plantaire. J’ai constamment mal Ă  la tĂȘte. J’ai des ulcĂšres Ă  l’estomac”, ou quelque chose comme ça. Il–il, je ne sais pas. Il pourrait mentionner n’importe laquelle de ces choses.

170 Je dirais : “Bon, trùs bien, mon frùre. Je vais poser mes mains sur vous et prier pour vous.” Ce serait parfaitement bien. C’est exactement ça que nous avons fait, tout au long de l’ñge. Pas vrai?

171 Mais, souvenez-vous, JĂ©sus a dit que, juste au moment de Sa Venue, ce serait diffĂ©rent, comme ce qui Ă©tait arrivĂ© du temps de Sodome. Et l’Homme qui Ă©tait venu, Il avait le dos tournĂ© Ă  la tente oĂč se trouvait Sara, et Il a dit (non pas “Abram”, lĂ ) “Abraham”.

172 Voyez-vous, la veille, il Ă©tait Abram. Mais une vision s’était prĂ©sentĂ©e devant lui, et le Seigneur lui avait dit ceci : “Je vais changer ton nom.”

173 Et voici que le Seigneur Lui-mĂȘme, sous la forme d’un homme, est en train de manger et de boire avec lui. Il a dit : “Abraham, oĂč est ta femme Sara?” S-a-r... r-a; non pas S-a-r-a-ĂŻ.
Il a dit : “Elle est dans la tente, derriùre Toi.”

174 Il a dit : “Je vais te visiter, selon la promesse que J’ai faite il y a vingt-cinq ans.”

175 Et Sara a un peu ri en elle-mĂȘme. Il a dit : “Sara vient de rire dans la tente, en disant : ‘Comment cela peut-il se faire?’” Ah. Y a-t-il quelque chose qui soit trop difficile pour Dieu? Voyez? Rien. Non monsieur.

176 Maintenant Il a dit, JĂ©sus a promis que “Lui, le Fils de l’homme,” qui est la Parole (vous croyez ça?), “viendrait dans les derniers jours et qu’Il Se rĂ©vĂ©lerait, au moment oĂč le monde serait comme Sodome et Gomorrhe.” Vous croyez que c’est vrai, ça?

177 Avant que nous fassions une seule priĂšre, certains d’entre vous dans l’auditoire, priez et voyez si le Fils de l’homme est toujours le mĂȘme hier, aujourd’hui, et Ă©ternellement. Demandez simplement s’Il l’est, dites : “Seigneur, cet homme ne me connaĂźt pas, mais je sais que Tu es le mĂȘme hier, aujourd’hui, et Ă©ternellement”, voyez s’Il vous dira ce qu’il en est.
Oui monsieur. Maintenant levez la tĂȘte un instant.

178 C’est derriĂšre moi. C’est un enfant. Il est brĂ»lant de fiĂšvre en ce moment. C’est une petite fille. Vous n’ĂȘtes pas d’ici. Cette enfant a des problĂšmes d’estomac. Elle en avait. Croyez seulement.

179 Or, est-ce bien ce qu’Il avait dit qu’Il ferait? Je n’ai jamais vu cette personne de ma vie. Dieu, dans le Ciel, le sait.

180 Cet homme, ici, il a l’air trĂšs robuste et en bonne santĂ©. Mais voyez-vous cette ombre au-dessus de lui, lĂ ? Ça veut dire qu’à moins que Dieu ne lui vienne en aide, il ne sera plus lĂ  trĂšs longtemps. Il a un cancer. Le cancer se trouve dans votre poumon.
Maintenant, le Fils de l’homme est ici.
Il a un fardeau sur son coeur pour un petit garçon, un petit enfant. Pas vrai? Vous croyez que Dieu peut me dire ce qui ne va pas chez cet enfant? [Le frĂšre dit : “Je sais qu’Il le peut.–N.D.É.] Il le peut. Il a des petites pertes de connaissance, c’est comme une forme d’épilepsie. Il vient d’en avoir une, tout rĂ©cemment. [“Ce matin.”] C’est exact, ce matin. Vous croyez que vous allez rester en vie pour Ă©lever ce garçon, et qu’il ira bien? [“Oui.”]

181 OĂč est Charlie Cox? OĂč est-il? Charlie, oĂč es-tu? Je pensais qu’il Ă©tait ici, ce soir. Par ici; Charlie. Gary, oĂč es-tu? Larry, lui, est-ce qu’il est ici? Son petit garçon avait la mĂȘme chose, exactement la mĂȘme chose. OĂč es-tu, Larry? Viens ici une minute. Eh bien, voilĂ . Ce petit garçon avait la mĂȘme chose. Son pĂšre et sa mĂšre sont de trĂšs bons amis Ă  moi. Il y a des annĂ©es, j’étais lĂ -bas, et ce petit garçon Ă©tait pris de crises, il perdait connaissance et n’avait plus conscience de rien. C’était l’épilepsie. J’ai discernĂ© ça sur ce petit garçon, j’ai demandĂ© Ă  Dieu de le guĂ©rir. Il n’en a pas eu une seule depuis. VoilĂ  son pĂšre; sa mĂšre est assise ici, quelque part; et voici le petit garçon lui-mĂȘme.

182 Maintenant est-ce que vous croyez, monsieur? (Merci, Larry.) Vous croyez, monsieur? Puisse le Dieu du Ciel vous accorder la mĂȘme chose, et vous donner de vivre pour Ă©lever cet enfant. Que Dieu vous bĂ©nisse.
Prions.

183 Dieu bien-aimé, viens-lui en aide. Je prie que Ta miséricorde et Ta grùce soient sur lui et que Tu le bénisses. Au Nom de Jésus.

184 Retournez maintenant en Louisiane, dans la joie, donnez gloire Ă  Dieu pour lui.

185 Oh oui, il Ă©tait de la Louisiane, effectivement, de la rĂ©gion de Lake Charles. C’est vrai. Voyez-vous, je peux capter vos pensĂ©es maintenant. Que Dieu soit louĂ©!

186 Eh bien, vous demandez une–une bonne chose, vous voulez avoir un bĂ©bĂ©. Vous avez eu des enfants dĂ©jĂ , deux ou trois enfants, mais vous en voulez un autre. Puisse le Dieu du Ciel vous l’accorder, ma soeur. Venez, je veux juste vous imposer les mains.

187 Dieu bien-aimĂ©, donne Ă  cette femme ce que son coeur dĂ©sire, parce que c’est une noble cause. Au Nom de JĂ©sus. Amen.
Maintenant allez avoir cet enfant.

188 Dieu est un Dieu bon. Vous croyez ça? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Il sait tout ce dont nous avons besoin. Il pourvoit Ă  tous nos besoins, si nous le croyons. Il a dit : “Si tu peux croire!”

189 Je vous ai serrĂ© la main quelque part. Je ne me rappelle plus oĂč c’était, mais quelque part je vous ai serrĂ© la main. Je ne me rappelle plus exactement, seulement nous Ă©tions quelque part, aujourd’hui, quelque part, mais je ne sais pas oĂč c’était. Par contre, ce n’est pas lĂ , nous ne sommes pas lĂ  pour parler de ça. Vous ĂȘtes lĂ  pour parler de, ou pour prier, vous voulez que je prie pour quelqu’un d’autre. C’est exact. Il n’est pas ici. Il est en GĂ©orgie, malade. Il n’est pas seulement malade physiquement, mais il est malade spirituellement; votre cousin. Vous croyez que Dieu va s’en occuper, parce que vous vous ĂȘtes tenu lĂ  pour lui? Vous le croyez? Venez, prions ensemble.

190 Dieu bien-aimĂ©, accorde Ă  cet homme ce que son coeur dĂ©sire, afin qu’il reparte et trouve cet homme en train de pousser des cris vers Dieu. C’est au Nom de JĂ©sus que je le demande. Amen.
Que Dieu vous bénisse. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur.

191 Bonjour. Ce n’est pas que je n’ai pas avancĂ© la main pour vous serrer la main au moment oĂč vous m’avez tendu la vĂŽtre, c’est que je remarquais quelque chose. C’était une ombre, trĂšs sombre et noire. C’est pour ça. Je sais que, si je vous avais pris la main, je l’aurais trouvĂ© par ce moyen, voyez-vous. Mais c’est un cancer. Vous croyez que Dieu peut l’îter de lĂ ? Il est sur votre poitrine, du cĂŽtĂ© gauche. Vous voulez rentrer en Caroline et rendre gloire au Seigneur de vous avoir rĂ©tabli, n’est-ce pas? Vous voyez ce que je veux dire? Prions.

192 Dieu bien-aimĂ©, au Nom de JĂ©sus-Christ, Celui qui est prĂ©sent en ce moment : comme les enfants mangent le Pain de Dieu, que cet enfant, lui aussi, bĂ©nĂ©ficie de la foi, du Pain de Dieu qu’Il lui donne maintenant pour sa guĂ©rison. Qu’il reparte et soit rĂ©tabli, au Nom de JĂ©sus. Amen.
Que Dieu vous bénisse, frÚre. Croyez de tout votre coeur.
Bonjour.

193 C’est un moment merveilleux, n’est-ce pas? C’est comme si les gens Ă©taient saisis d’un grand sentiment de rĂ©vĂ©rence. Ou, c’est comme si, peut-ĂȘtre, Ă  mes oreilles, c’est comme quelque chose qui fait [FrĂšre Branham souffle dans le microphone.–N.D.É.] “wouououhh!” Qui fait un bruit comme “wouououhh!”, comme ça, voyez-vous. C’est le Pain des enfants. Voyez? C’est Ă  vous, C’est pour vous. Ce n’est pas pour moi; C’est pour vous. Je suis trĂšs reconnaissant de ce qu’en ce moment, je ne... je suis en bonne santĂ©, Ă  ma connaissance; mais C’est du Pain pour moi aussi, quand j’en ai besoin. C’est du Pain pour vous. C’est un encouragement. MĂȘme pour vous qui n’ĂȘtes pas malades, ça fait tout simplement monter notre coeur vers Dieu.

194 C’est exactement la saison pour Ceci, c’est ce qu’Il a dit qu’Il ferait : “Et ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de mĂȘme Ă  la venue du Fils de l’homme, quand le Fils de l’homme sera rĂ©vĂ©lĂ©.” Voyez? “Et voici, Je vous envoie Élie, le prophĂšte, avant le jour de l’Éternel, ce jour grand et redoutable. Il ramĂšnera le coeur des gens au PĂšre.” Voyez? Voyez?

195 “Et alors, les justes fouleront les–les mĂ©chants, leurs cendres. Ceux-ci brĂ»leront comme une fournaise, voyez-vous, la terre brĂ»lera. Nous le voyons, elle va s’effondrer lĂ -bas. Et il y aura des Ă©ruptions volcaniques partout sur la terre, et les cieux seront embrasĂ©s.
Ô Rocher des Âges, sois misĂ©ricordieux envers moi maintenant, et aussi Ă  ce moment-lĂ .

196 Bonjour. Eh bien, d’abord, vous avez un problĂšme fĂ©minin, un problĂšme gynĂ©cologique. Vous avez autre chose. Vous ĂȘtes nerveuse, prĂ©cisĂ©ment Ă  l’ñge oĂč on devient plus nerveux. Des complications de toutes sortes. Mais aussi, vous avez un dĂ©sir, c’est de recevoir le Saint-Esprit. C’est vrai. C’est ça. Est-ce que vous croyez que vous... Est-ce que vous avez tout confessĂ©? Vous croyez que, si je vous impose les mains et que je demande Ă  Dieu de le faire, le Saint-Esprit viendra? [La soeur dit : “Oui.”–N.D.É.] Vous croyez ça? [“Oui, monsieur.”] Prions.

197 Dieu bien-aimĂ©, j’impose les mains Ă  cette femme, selon la maniĂšre apostolique, et je demande qu’elle reçoive le baptĂȘme du Saint-Esprit. Au Nom de JĂ©sus-Christ, puisse-t-elle Le recevoir. Amen.

198 N’en doutez pas. Ça vous appartient, voyez-vous. C’est à vous. C’est le–le Pain des enfants.

199 Vous vous ĂȘtes sentie toute drĂŽle quand j’ai dit “problĂšme gynĂ©cologique”, n’est-ce pas? Parce que c’est ça que vous aviez, vous aussi. Maintenant vous croyez que tout ira bien, lĂ ? Repartez, en remerciant simplement le Seigneur.

200 Bonjour. Est-ce que vous croyez de tout votre coeur? Vous croyez que vous allez pouvoir manger comme vous le faisiez il y a longtemps? TrĂšs bien. Repartez, en disant : “Merci, Seigneur. Je le crois.” La PrĂ©sence du Seigneur.

201 Vous croyez que ce mal de dos va partir et que vous allez vous rĂ©tablir? Eh bien, repartez simplement, en disant : “Merci, Dieu bien-aimĂ©â€, et Dieu l’accordera.

202 Vous croyez que vous pouvez vous rĂ©tablir, que le Seigneur vous rĂ©tablira; que vous n’aurez plus d’arthrite, que vous allez vous rĂ©tablir et ĂȘtre en bonne santĂ©? Vous croyez ça? Repartez, en Le remerciant, dites : “Seigneur, je l’accepte de tout mon coeur, et je le crois.”
Vous, dans l’auditoire, qu’est-ce que vous croyez à ce sujet?

203 Vous, juste ici, posez votre main sur cette femme, assise juste Ă  cĂŽtĂ© de vous, lĂ , dites-lui que les varices et l’arthrite vont partir. Quand elle...?...

204 Que Dieu vous bĂ©nisse. Vous croyez que vous allez vous rĂ©tablir maintenant? Rentrez chez vous et soyez rĂ©tablie. Que Dieu vous bĂ©nisse. Poursuivez votre chemin, et dites : “Merci, Seigneur JĂ©sus.”

205 Bonjour. [La soeur dit : “Gloire au Seigneur.”–N.D.É.] Vous croyez que ce problĂšme gynĂ©cologique va partir, dans votre cas aussi? [“Oui.”] Et que vous allez vous rĂ©tablir? [“Merci, JĂ©sus.”] Repartez, en disant : “Merci, Seigneur.” [“Merci, JĂ©sus.”]

206 Bonjour. [La soeur dit : “Je me suis dĂ©chirĂ© un cartilage.”–N.D.É.] Tiens, tiens! [“Totten.”] Je connais votre nom. Autrefois je–je... [“Totten.”] Ă  l’époque oĂč j’étais pasteur de l’église baptiste. [“Totten.”] Totten. [“Della Totten.”] Soeur Della Totten. Vous souffrez de maux de dos maintenant. [“Oui.”] Tout ira bien. Vous croyez qu’Il va vous rĂ©tablir? [“Oui.”] Vous vous souvenez de ce qui Ă©tait arrivĂ© lĂ -bas, Ă  l’église baptiste de Milltown, il y a des annĂ©es? [“Oui, je m’en souviens!”] Il est toujours le mĂȘme Dieu aujourd’hui. [“Oh, Dieu merci!] Que Dieu vous bĂ©nisse, ma soeur.
Georges Wright, oĂč es-tu? Tu te souviens? Oh, que...
Croyez-vous que, si je ne fais que vous imposer les mains, avec cette onction, croyez-vous que vous vous rĂ©tablirez? Venez. Au Nom de JĂ©sus-Christ, puisse-t-elle ĂȘtre guĂ©rie. Amen. Ayez la foi!
Eh bien, est-ce que tous, vous croyez de tout votre coeur? [L’auditoire dit : “Amen.”]

207 Oh, comme ça rĂ©veille de vieux souvenirs de voir cette dame! Son nom m’échappe encore, mais je... [Quelqu’un dit : “Totten.”] Totten. Totten, c’est exact. Oh, oui, sa fille, c’était Birdie, c’est exact. C’est tout Ă  fait exact. N’allez pas penser que je divague, c’est juste que je suis un peu, vous savez, c’est un peu... Je ne peux pas l’expliquer.

208 Mais votre mal de dos est parti, madame. Repartez, louez le Seigneur, dites : “Merci, Seigneur.”

209 Vous croyez que votre maladie de coeur, ça va s’arranger, vous aussi? [Le patient dit : “Oui.”] Repartez simplement, en vous rĂ©jouissant, dites : “Merci, Seigneur JĂ©sus”, et croyez-Y. TrĂšs bien. Ayez la foi, lĂ . Ne doutez pas.

210 Venez, madame. Est-ce que vous croyez de tout votre coeur? Vous avez beaucoup de choses qui ne vont pas. Vous aussi, vous avez mal au dos. Vous croyez que Dieu va vous rĂ©tablir? TrĂšs bien, repartez simplement, en vous rĂ©jouissant. C’est, c’est Lui qui fait que vous vous sentez comme ça. Remerciez le Seigneur. Que Dieu vous bĂ©nisse, soeur.

211 Salut, fiston. [Le garçon dit : “Salut!”–N.D.É.] Vous croyez que Dieu va guĂ©rir la nervositĂ© de cet enfant et le rĂ©tablir? Vous le croyez? TrĂšs bien. Salut, mon petit ami, laisse-moi te serrer la main.

212 Dieu bien-aimĂ©, dĂ©livre ce petit garçon de cette vilaine chose, et puisse-t-il vivre et ĂȘtre normal. Au Nom de JĂ©sus. Amen.

213 Que Dieu vous bĂ©nisse, frĂšre. Vous le croyez, n’est-ce pas? Ça va s’arranger. Ne doutez pas du tout.

214 Vous ĂȘtes bien jeune pour ĂȘtre cardiaque. Vous croyez que Dieu vous rĂ©tablira? [Le patient dit : “Oui, monsieur.”–N.D.É.] Repartez, en disant : “Merci, Seigneur, de m’avoir guĂ©ri.”

215 Vous croyez que Dieu va guĂ©rir ces problĂšmes d’estomac et vous rĂ©tablir? Allez votre chemin, rĂ©jouissez-vous, et dites : “Merci, Seigneur.”

216 Il est encore Dieu, n’est-ce pas? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Tout ce que vous avez Ă  faire, c’est croire, simplement. Pas vrai? Est-ce que vous croyez au Fils de l’homme, dans les derniers jours?

217 Il s’est passĂ© quelque chose ici, il y a quelques minutes, et je n’arrive pas Ă ... je cherche Ă  voir oĂč c’était. Quelqu’un a eu la foi et a fait quelque chose. Ou, peut-ĂȘtre que je les retrouverai dimanche prochain, ou quand je le pourrai. Est-ce que vous–vous... VoilĂ , c’est encore lĂ . Vous avez la main levĂ©e. Est-ce que vous croyez que Dieu peut guĂ©rir cette maladie de coeur, vous rĂ©tablir, guĂ©rir votre fille lĂ -bas qui a–qui a... Vous le croyez? Madame Neff, vous croyez que Dieu... LĂ©o Neff. Je ne vous connais pas, mais c’est bien votre nom. Vous souffrez du coeur, et votre petite fille a des problĂšmes avec ses reins. Vous croyez qu’elle va se rĂ©tablir? Votre foi vous guĂ©rit. Croyez de tout votre coeur.

218 Vous, qui ĂȘtes lĂ  oĂč il y a le baptistĂšre, qui ĂȘtes lĂ  et qui avez des problĂšmes d’estomac, JĂ©sus-Christ vous rĂ©tablit.

219 Vous croyez? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Il est le mĂȘme hier, aujourd’hui, et Ă©ternellement. Imposons-nous les mains les uns aux autres maintenant. Oh, pensez Ă  l’heure oĂč nous sommes, pensez au moment. Pensez-y, nous sommes en PrĂ©sence mĂȘme de JĂ©sus-Christ, le Fils de Dieu. Il a promis qu’Il ferait ceci dans les derniers jours. Mes mains sont posĂ©es sur ces mouchoirs.

220 Dieu bien-aimé, je Te prie de bénir ces mouchoirs, pour la guérison du corps de ces gens, par le Nom de Jésus-Christ.

221 Maintenant, pendant que vous avez les mains posĂ©es les uns sur les autres, chacun de vous, vous ĂȘtes membre du Corps de Christ. Ce mĂȘme Saint-Esprit qui a promis de rĂ©vĂ©ler les secrets des coeurs et de faire ces choses, Il est en vous. Vous ĂȘtes une partie de Lui, et Il est une partie de vous. Or, Il a dit ceci : “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.” Ça, c’est vous. “S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guĂ©ris.” Maintenant, ne priez pas pour vous-mĂȘme, priez pour la personne sur qui vous avez posĂ© votre main, parce qu’elle, elle prie pour vous. Maintenant prions ensemble, et qu’il n’y ait pas une seule personne faible dans ce bĂątiment. Pourquoi faudrait-il attendre plus longtemps, mon cher frĂšre, ma chĂšre soeur, Le voici, le Saint-Esprit, Dieu, ici mĂȘme, la chose mĂȘme dont nous avons parlĂ©.

222 Cher JĂ©sus, nous reconnaissons Ta PrĂ©sence. Tu as rendu la vie Ă  ce petit bĂ©bĂ©, l’autre jour, aprĂšs qu’il Ă©tait mort, par la priĂšre de la foi. Dieu bien-aimĂ©, il y a beaucoup de gens dont nous n’avons pas pu nous occuper, le temps avance, mais ils ont posĂ© leurs mains les uns sur les autres. Ce sont des croyants. Nous sommes assis en PrĂ©sence du Seigneur JĂ©sus-Christ, qui est ressuscitĂ© des morts, le mĂȘme hier, aujourd’hui, et Ă©ternellement.

223 Satan, tu es vaincu! JĂ©sus-Christ t’a vaincu! Il est ressuscitĂ© des morts, et Il est au milieu de nous ce soir, en train de confirmer ce Message des derniers jours. Sors de ces gens! Laisse-les, au Nom de JĂ©sus-Christ! “En Mon Nom, ils chasseront les dĂ©mons”, et tu es chassĂ©. Au Nom de JĂ©sus-Christ, quitte cette assemblĂ©e!

224 Tous ceux d’entre vous qui acceptent maintenant leur guĂ©rison, levez-vous. Tous ceux qui acceptent la guĂ©rison, levez-vous. Levez vos mains maintenant, et donnez-Lui la louange!
“J’accepte maintenant ma guĂ©rison”, dites ça Ă  Dieu. J’accepte maintenant ma guĂ©rison. [L’assemblĂ©e dit : “J’accepte maintenant ma guĂ©rison.”–N.D.É.] Tu es le mĂȘme hier, aujourd’hui, et Ă©ternellement, ĂŽ Christ. [“Tu es le mĂȘme hier, aujourd’hui, et Ă©ternellement, ĂŽ Christ.”] Je crois maintenant en Toi. [“Je crois maintenant en Toi.”] Viens au secours de mon incrĂ©dulitĂ©. [“Viens au secours de mon incrĂ©dulitĂ©.”] Amen. [“Amen.”] Je Le louerai! Je Le louerai!
Je louerai l’Agneau meurtri;
Que tout peuple Le glorifie,
Car Son Sang lave tous les péchés.

225 Vous L’aimez, n’est-ce pas? [L’assemblĂ©e dit : “Amen.”–N.D.É.] Alors louons-Le. Tout le monde les mains levĂ©es, donnez-Lui la louange pendant que le frĂšre s’avance pour terminer la rĂ©union.

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