Témoignage En Mer

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Témoignage en mer - Shp
Date: 64-0307 | La durée est de: 1 heure et 19 minutes | La traduction: VGR
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1 Avant de courber la tête pour prier, j’aimerais lire dans la Parole de Dieu. J’aime toujours lire Sa Parole; en effet, mes paroles failliront, ce sont celles d’un homme, mais Sa Parole à Lui ne peut pas faillir. Et pour vous qui suivez dans vos Bibles, et tout, lisons dans Matthieu, chapitre 14, ce soir, en commençant au verset 22. Aussitôt après, il oblige les disciples à monter dans la barque et à passer avant lui de l’autre côté, pendant qu’il renverrait la foule. Quand il l’eut renvoyée, il monta sur la montagne, pour prier à l’écart; et, comme le soir était venu, il était là seul. La barque, déjà au milieu de la mer, était battue par les flots; car le vent était contraire. À la quatrième veille de la nuit, Jésus alla vers eux, marchant sur la mer. Quand les disciples le virent marcher sur la mer, ils furent troublés, et dirent : C’est un fantôme! Et, dans leur frayeur, ils poussèrent des cris. Jésus leur dit aussitôt : Rassurez-vous, c’est moi; n’ayez pas peur!

2 Courbons maintenant la tête pour prier. Pendant que nous avons la tête et le coeur inclinés devant Dieu, y a-t-il, dans le bâtiment ce soir, un besoin que vous aimeriez faire connaître à Dieu, en levant la main, pour qu’on pense à vous dans la prière? Que le Seigneur porte Son regard sur vous, qu’Il soit miséricordieux envers nous.

3 Notre Père Céleste, nous entrons maintenant dans Ta Présence, par le moyen du Seigneur Jésus et en Son Nom. En effet, nous avons l’assurance bénie de savoir qu’Il nous a promis que, si nous “demandions quoi que ce soit” en Son Nom, Tu nous l’accorderais. Nous en sommes très reconnaissants. Les mots ne sauraient exprimer ce que nous ressentons à ce sujet, et l’assurance que nous avons, que Tu nous écoutes en ce moment même.

4 Tu as vu les mains, Seigneur. Tu connais leurs besoins. Tu es le Dieu omniscient, omnipotent, infini, et nous savons que Tu connais le coeur des gens. Tu connaissais nos pensées; avant même que nous ayons été créés, Tu connaissais d’avance chacune de nos pensées, car Tu es infini.

5 Et nous prions, Seigneur, en cette heure, alors que nous plaçons nos désirs devant Toi : Regarde du haut des Cieux, Seigneur, prends nos demandes dans Ton propre coeur, Seigneur, et exauce-nous selon la richesse de Ta Gloire. Donne-nous le désir de notre coeur, car nous sommes confiants qu’il s’agit de Ta volonté Divine. Et nous savons que Tu prends plaisir à exécuter Ta volonté.

6 Donne-nous un grand déversement de Ta Présence, ce soir encore, Seigneur. Guéris les malades. Sauve les perdus, relève ceux qui sont morts par leur péché et leurs offenses, et fais-les entrer dans une nouvelle Vie, ce soir. Puissions-nous voir Jésus. Nous le demandons en Son Nom. Amen.

7 Vous pouvez vous asseoir. Nous sommes désolés de ne pas avoir assez de place pour asseoir tout le monde. Mais, depuis le premier soir, on m’a dit qu’ils ont été obligés de renvoyer un nombre incalculable de personnes, alors, nous en sommes désolés. Et Frère Grant n’a pas tout à fait réglé la construction d’une autre pièce, non plus, sur... Je pense que ce sera sur la gauche, qu’il va déplacer cette cloison. Ce précieux, précieux frère, il m’a demandé aujourd’hui si j’accepterais d’en faire une chose annuelle, de revenir à Dallas, à son église. Une invitation comme celle-là, en cette heure où les portes se ferment tellement rapidement, et de voir cet homme qui veut que je revienne et que j’en fasse une chose, un événement annuel. J’apprécie.

8 J’ai eu un moment de communion fraternelle avec eux ce matin, avec Frère Gordon Lindsay et beaucoup d’entre eux. Frère Pearry Green, qui parraine mes prochaines réunions à Beaumont, est assis ici derrière moi ce soir. Et beaucoup de nos amis, Frère Don et son épouse. Nous sommes vraiment contents de les avoir avec nous. Que le Seigneur les bénisse.

9 Maintenant, ce soir, juste... J’ai essayé de simplifier mes Messages le plus possible, pour que même un enfant puisse les comprendre.

10 Demain après-midi, ce sera une réunion d’évangélisation, et je voudrais que vous puissiez tous y assister.

11 Maintenant, si vous avez des réunions à votre propre église, eh bien, restez–restez là, à votre–à votre poste. Nous ne voulons pas que qui que ce soit quitte sa propre église, pour... Toutefois, si vous êtes malade et que vous voulez venir pour qu’on prie pour vous, mais qu’il y a une réunion à votre église demain après-midi, alors parlez-en à votre pasteur, pour éviter de le contrarier, vous savez. Dites-lui que nous sommes là pour collaborer, pour–pour aider tous ceux du Corps de Jésus-Christ qui séjournent ici à Dallas et dans les environs.

12 Donc, demain après-midi, à deux heures et demie [quatorze heures trente], je pense, je dois apporter un Message d’évangélisation. Et ensuite, nous prierons pour tous les malades, nous nous occuperons de toutes les cartes de prière et tout, qui sont restées cette semaine, nous prierons pour tous ceux-là demain.

13 Maintenant, mon sujet de ce soir, je vais le présenter plutôt comme une petite pièce de théâtre, juste pour quelques instants. Et je vais essayer de prier pour le plus grand nombre possible de malades, ce soir. Mon texte, c’est : “N’ayez pas peur, c’est Moi”, c’est Jésus qui parle. Mon sujet, c’est : Témoignage en mer.

14 Ce devait être vers la fin de l’après-midi, le soleil devait se coucher quand ceci a eu lieu, et, bon, il devait avoir fait chaud ce jour-là, à peu près comme ici en ce moment.

15 Le climatiseur ne fonctionne pas, ils sont en train de le réparer. C’est pour ça que j’ai choisi un sujet différent de celui sur lequel j’avais l’intention de prêcher, pour pouvoir faire vite et vous éviter de devoir rester assis là, dans cette chaleur.

16 Ce pêcheur, un grand gaillard, après avoir vu tout ce qu’il avait vu pendant la journée; il avait observé Jésus dans Son grand ministère.

17 J’aurais aimé avoir vécu à cette époque-là, pour Le suivre. Mais, vous savez, je suis content d’avoir encore ce même privilège, de L’observer, Le regarder faire des choses. Et c’est plus glorieux de L’observer aujourd’hui, que ça l’était à l’époque. J’ai plus de foi en Lui maintenant, et je peux avoir plus de foi maintenant, que j’aurais pu en avoir à l’époque, parce qu’il s’est passé deux mille ans pour nous prouver que l’Évangile est vrai. Et deux mille ans plus tard, Il est toujours vivant, en train de faire exactement ce qu’Il faisait à cette époque-là, alors, nous avons une plus grande assurance et un plus grand fondement pour la foi maintenant, que ce qu’ils avaient à l’époque.

18 En effet, Il n’était qu’un Homme qui se promenait en prétendant que–qu’Il était envoyé par Dieu et qu’Il était le Fils de Dieu, et que Dieu confirmait par Lui Sa Parole promise pour ce jour-là; et ils pouvaient avoir des raisons d’en douter. Les théologiens, ils... Et, si vous remarquez, ça faisait pitié, ça faisait vraiment pitié, parce que ces théologiens, ils Y auraient cru, si Dieu n’avait pas aveuglé leurs yeux. La Bible l’a dit.

19 Et savez-vous qu’Il a promis qu’Il aveuglerait leurs yeux de nouveau aujourd’hui, pour qu’ils ne voient pas ce qu’il En est? Qu’ils seraient “emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, déloyaux, calomniateurs, intempérants, ennemis des gens de bien; ayant l’apparence de la piété, mais qu’ils renieraient ce qui en fait la Force”. Très précisément une promesse qui revient de nouveau. Et on ne peut pas vraiment faire autrement que d’éprouver de la pitié pour les gens, dont les yeux sont aveuglés sur ce jour-ci. Alors que les Écritures dont Dieu a promis l’accomplissement en ce jour même, en cette heure, nous les avons devant les yeux et nous les regardons. Et les gens voient ça, et ils secouent la tête et s’en vont, en disant : “Je ne le vois pas.” Ça fait pitié, mais, malgré tout, les Écritures doivent s’accomplir. Il faut que ça se passe comme ça.

20 Donc, ces disciples avaient été choisis par Dieu. Avez-vous remarqué, Jésus leur a dit “qu’avant la fondation du monde”, Il les avait choisis, et qu’ils étaient la semence prédestinée de Dieu. C’est pour ça que, quand les ennuis sont arrivés, et qu’on aurait dit que les gens avaient coincé Jésus avec une question, pour eux, il n’y avait pas de question. Ils ne pouvaient pas comprendre, mais ils étaient bien décidés à ne connaître rien d’autre que Lui. “Toi seul as la Parole de la Vie.” Et ils étaient bien décidés à s’en tenir à Cela, parce qu’ils étaient destinés à cette fonction.

21 Et c’est pareil aujourd’hui : Les hommes et les femmes qui sont destinés à la Vie Éternelle, viendront à la Vie Éternelle. “Tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi.” C’est Sa Parole, et ça ne peut pas faillir. C’est–c’est la Parole de Dieu.

22 Et maintenant, nous voyons ces disciples, qui avaient eu une glorieuse réunion ce jour-là dans l’immense champ qui s’étendait près du versant d’une montagne. Et Jésus leur avait dit : “Vous pouvez y aller, traversez la mer avant Moi.” Et Il allait monter sur la montagne, tout seul, pour prier. Et les disciples, après avoir rencontré des amis, je peux m’imaginer un peu comment ils se sentaient.

23 En effet, de rencontrer des amis, pour ensuite être obligés de quitter ces amis; juste au moment où on commence à se connaître, c’est là qu’il faut faire ses adieux. Et c’est quelque chose qui m’a toujours assez chagriné, c’est, d’un bout à l’autre du pays, et partout dans le monde, de rencontrer des amis et qu’ensuite on doive les quitter, en sachant qu’il y en a beaucoup qu’on ne reverra plus jusqu’à ce qu’on les rencontre au Jugement. C’est quelque chose d’assez attristant.

24 Je peux m’imaginer la barque, avec le–le nez qui s’avançait sur la rive. Et c’est Simon Pierre, avec ses bras et ses épaules bien musclés, qui a dû pousser la barque pour lui faire faire demi-tour et prendre le large. Ils faisaient tous au revoir de la main à ceux qui étaient sur la rive. Et eux criaient : “Revenez encore nous voir avec le Maître! Venez faire une autre réunion de réveil; nous avons été tellement bénis aujourd’hui!” Les nouveaux amis qui leur faisaient au revoir de la main. Ensuite il a fait quelques enjambées pour se frayer un chemin entre les autres disciples, et il s’est probablement assis à côté de son frère, André, et ils ont empoigné les rames.

25 Les–les barques de cette époque-là étaient propulsées soit par le vent soit par des rames qu’ils tiraient. Alors, ils s’asseyaient peut-être deux par barque, deux sur un côté, et ils... ou plutôt deux par siège, avec peut-être six ou huit tolets. Ils tiraient en cadence, et comme ça la barque gardait un tirant d’eau égal quand il y avait de la tempête. Ensuite, quand le vent soufflait normalement, ils pouvaient hisser une voile et naviguer à la voile.

26 Il avait dû faire chaud cet après-midi-là, si on s’en rapporte aux Écritures juste avant cet événement, et donc, ça avait dû être un après-midi très calme, ensoleillé et chaud. Le soleil se couchait. Et ils... ils ramaient, ensuite ils lâchaient les rames et faisaient au revoir de la main aux gens : “Nous espérons vous revoir un jour”, et ils continuaient à prendre le large. Et puis le coucher du soleil, la tombée du jour, et au bout d’un moment il a–il a commencé à faire nuit.

27 Ils ont dû prendre pas mal de vitesse en–en ramant, et c’est tout un travail, ça, quand ces grandes rames lourdes s’enfoncent dans la mer. Et la plupart d’entre eux étaient–étaient des pêcheurs, et de solides gaillards, habitués à la mer. Et donc, comme ils s’attendaient à ce que Jésus ne tarde pas à monter dans une barque pour venir les rejoindre, eh bien, ils ont pris le large et ils ont dû se laisser glisser un petit peu; ils ont mis la barque en mouvement, et puis ils se sont laissés aller.

28 Le jeune Jean, c’est peut-être lui qui a été le premier à parler, parce qu’il était le plus jeune du groupe. Et ce doit être lui qui a dit : “Je commence a être un peu fatigué. Laissons glisser l’embarcation un moment. Attendez un peu, on n’a pas besoin de se dépêcher. Il n’est pas encore arrivé, alors on ferait aussi bien d’attendre un peu et de prendre une bonne bouffée d’air.”

29 Et, assis là, la tête un peu penchée, il a dû commencer une réunion de témoignages. Et c’est de ça que je veux parler. Ce doit être lui qui s’est redressé le premier, et qui a dit : “Frères, peu importe ce que les gens peuvent dire, et combien on peut ne pas vouloir le croire, après ce qui est arrivé aujourd’hui, je suis tout à fait convaincu que nous ne suivons pas un imposteur. Nous ne suivons rien de moins que Dieu, car aucun homme ne pourrait faire ce qu’Il a fait aujourd’hui, à moins d’être Dieu. Vous savez, quand Il a pris ces pains, qu’Il les a rompus, et qu’Il a nourri ces cinq mille personnes, là, pour moi ça a été la chose la plus extraordinaire. Il aurait pu y avoir un doute jusqu’à aujourd’hui,” je ne fais que répéter son témoignage, là, pour ainsi dire, “mais ça, ça a réglé la question.”

30 Il a dit : “Je me souviens, il y a des années. Je vivais tout près du Jourdain. Et je me souviens encore, quand j’étais un petit garçon, que ma jolie maman juive me prenait dans ses bras l’après-midi, qu’elle m’assoyait sur ses genoux et qu’elle me berçait, sur la véranda, quand les coquelicots étaient en fleur le long des rives du Jourdain. Et elle regardait du côté du désert, de ce désert que notre peuple avait traversé. Elle avait l’habitude de me raconter des histoires de la Bible. L’une des plus glorieuses histoires dont je me souvienne, c’est celle de la femme sunamite, quand son petit garçon était mort, et–et que le prophète a ressuscité ce petit garçon d’entre les morts. C’était une histoire passionnante.

31 “Mais une des histoires les plus passionnantes que maman me racontait, elle disait : ‘Là, Jean, tu n’es qu’un petit garçon; mais, en grandissant, je veux que tu te rappelles que le grand Jéhovah a fait sortir notre peuple de l’Égypte, et nous avons traversé ce désert, de l’autre côté du fleuve, là. Et tous, pendant quarante ans, ils ont fait route dans le désert, pas d’endroit où se procurer des vêtements, pas d’endroit pour manger. Et Dieu faisait pleuvoir du pain du ciel tous les soirs, pour nourrir notre peuple dans le désert, parce qu’ils étaient en service commandé, ils suivaient le grand Jéhovah. Et maintenant, un jour, Jéhovah se fera chair, ici sur terre, sous la forme d’un Homme, on L’appellera le Oint, le Messie.’

32 “Et je me souviens,” il disait, “j’étais un petit garçon, et avec ma tête de petit garçon, je cherchais à comprendre, j’essayais de comprendre : ‘Comment Dieu a-t-Il fait pour nourrir ces deux millions et demi de personnes, là, dans ce désert? Où a-t-Il pris tout ce pain-là?’ Et je demandais à maman : ‘Maman, est-ce qu’Il, est-ce que–est-ce que Jéhovah a toute une série de fours, là-haut dans le ciel, et Il faisait cuire tout le pain, et Il se dépêchait de descendre le soir pour le mettre sur le–sur le sol, pour les gens; et les grands cieux de Jéhovah, ils sont pleins de fours?’ Elle disait : ‘Non, mon fils, tu es trop jeune pour comprendre. Tu vois, Jéhovah est un Créateur. Il n’a pas besoin de fours. Tout ce qu’Il fait, c’est parler, et Sa Parole se manifeste quand Il parle. Il est le grand Jéhovah, et Il a prononcé ça, tout simplement. Et les Anges ont distribué ça sur la terre, pour le peuple.’

33 “Et, aujourd’hui, quand je L’ai vu se tenir là, avez-vous remarqué ce regard sur Son visage? Il n’y avait aucun doute dans Son esprit. J’ai grimpé derrière le rocher, et je L’ai regardé faire, quand Il a pris le pain, qu’Il l’a rompu, et qu’Il l’a remis aux... à Ses serviteurs, à nous, pour que nous le distribuions au peuple. Et ensuite, quand Il est revenu pour le rompre encore, le pain était redevenu complet. Et Il l’a fait des centaines de fois, jusqu’à ce que tout le monde soit rassasié, et on en a ramassé des paniers pleins. Je sais que ça ne pouvait être rien de moins que Jéhovah, parce qu’Il a agi comme Jéhovah l’avait fait. Il n’y a que Jéhovah qui peut créer. Et je sais que cet Homme-là n’est pas un imposteur. Il n’y a qu’un Créateur, et c’est Jéhovah. Et maintenant, de toutes les choses que j’ai vues, celle-là m’a convaincu.

34 “Je veux que vous sachiez maintenant que mon coeur est pleinement abandonné, et je crois pleinement qu’Il n’est pas seulement un prophète. Il est un prophète, mais Il est plus qu’un prophète. Il n’est rien de moins que Jéhovah Dieu, habitant au milieu de nous, parce qu’Il a créé du pain, et qu’Il a eu les agissements de Jéhovah. Ce n’est pas étonnant qu’Il ait pu dire : ‘Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors, ne Me croyez pas; mais si Je fais les oeuvres de Mon Père, et que vous ne pouvez pas Me croire, croyez aux oeuvres, parce que ce sont elles qui rendent témoignage de Moi et qui montrent Qui Je suis.’ Il me semble que les gens auraient pu voir ça facilement.”

35 Jean était convaincu qu’Il était le Messie, Celui dont Ésaïe avait dit : “Un Fils nous est né; on L’appellera Conseiller, Prince de la Paix, Dieu Puissant, Père Éternel.” Jean était convaincu, à cause de ce qu’il avait vu. Le jeune homme donnait son témoignage.

36 À peu près à ce moment-là, Simon Pierre a dit : “Eh, une petite minute, là. Si c’est une réunion de témoignages qu’on va faire, j’aimerais dire mon mot. Vous savez, j’étais très sceptique face à tout ça, quand mon frère André, il avait assisté aux réunions de réveil de Jean, le prophète qui avait témoigné de ce que le Messie allait venir et que ce serait lui qui Le présenterait. Et j’étais un peu sceptique face à ce qu’André me disait, parce que j’en avais entendu de toutes sortes, des histoires de Messie, et tout le reste.

37 “Mais, vous les frères, vous vous souvenez tous de mon vieux père. Il s’appelait Jonas. Et, vous vous souvenez de lui, c’était un croyant très ferme. Je me rappelle encore, maman et papa, et nous tous, la pêche, c’était notre gagne-pain. Et quand on n’attrapait pas de poisson, on avait besoin de pain, alors on se mettait à genoux et on priait Dieu : ‘Donne-nous une bonne pêche aujourd’hui, ô Dieu, et qu’on puisse vendre notre poisson, pour payer nos dettes, et avoir de quoi manger.’ Et on partait en mer, dans la tempête, et on–on bravait ces tempêtes.

38 “Et papa, je revois encore ses cheveux gris qui lui descendaient dans le dos, un jour, il s’est assis sur le bastingage de la barque et il m’a parlé, il m’a dit : ‘Simon, tu es mon fils aîné. Tu sais, j’ai toujours cru, Simon, que je verrais le Messie. Notre peuple L’attend depuis l’Éden. Et nous sommes sûrs qu’Il va venir, peu importe le temps que ça prendra. Il s’est passé quatre mille ans, tu vas me dire. Mais je crois que le Messie viendra. Et tous les Juifs ont cru qu’ils verraient le Messie dans leur génération. J’espère Le voir dans ma génération. Mais on dirait que je me fais vieux, là, je vais devoir renoncer à la mer, je commence à avoir mal partout, alors, il est probable que je ne Le verrai pas, de mon temps. Mais toi, peut-être que oui, mon fils.

39 “‘Et je veux te donner une formation dans les Écritures. Fiston, avant que le Messie fasse Son apparition, il y aura toutes sortes de choses qui se produiront, toutes sortes de faussetés, parce que Satan va faire ça pour détruire l’influence du vrai Messie, quand Il viendra.’” Ça s’est toujours passé comme ça; c’est encore pareil.

40 Et ensuite, nous voyons, il a dit : “Je me souviens qu’il a passé son bras autour de moi, et il m’a dit : ‘Fiston, il n’y a qu’un moyen par lequel tu pourras identifier ce Messie. Il y a maintenant des centaines d’années qu’on n’a pas eu de prophète. Malachie a été notre dernier prophète. Ça fait déjà quatre cents ans qu’on n’a pas eu de prophète. Mais, souviens-toi : Moïse nous a dit, dans les Écritures, que, quand Il viendrait, le Messie serait prophète, quand Il entrerait en scène. Il nous a été enseigné à nous, les Juifs, de croire le prophète. Et le voyage du Messie sur terre, c’est une Parole prononcée par Dieu, qu’Il nous a promise. Et la Parole vient toujours au prophète, et le prophète confirme cette Parole. N’oublie jamais ça, fiston! Il se peut qu’il s’élève de grandes choses, il se peut qu’il y ait de grands enthousiasmes et–et de grandes choses. Mais, souviens-toi, le Messie sera un prophète, parce que nous savons que Dieu ne change jamais Sa façon de faire, et Il a dit que le Messie serait prophète. Alors, souviens-toi, fiston, ce sont les prophètes qui ont la Parole du Seigneur. Et quand le Messie viendra, Il sera prophète.’

41 “C’est comme si je pouvais encore le sentir”, disait Simon, “passer son bras autour de moi. Et André était là, qui lavait le filet, à ce moment-là. Tu t’en souviens, André?
– Oui, Simon, je–je m’en souviens.”

42 “Et André, qui cherchait à me dire que ce Jean était un prophète. J’avais autre chose à faire, je devais vendre le poisson et tout. Alors, il y a des années que papa est mort, mais j’ai toujours gardé ça à l’esprit; papa a dit que ‘ce Messie serait un prophète identifié dans les Écritures, que je ne devais pas oublier ça, parce que c’est une Parole prononcée par Dieu. Et que cette Parole, à tous coups, elle est toujours venue aux prophètes, qui L’identifiaient, ou manifestaient ce qui avait été promis pour cet âge-là’.”

43 Et, alors, Simon a dit : “Un jour,” il a dit, “vous savez, André m’a demandé d’aller à une réunion. Et je suis allé à la réunion, là où cet Homme, ce Jésus, était. Et j’avais entendu toutes sortes de rumeurs. Avant Lui, un autre Jésus avait paru, et il s’était fait passer pour quelque chose de grand, il en avait attiré quatre cents à sa suite, et ils avaient tous péri, et tout. Je pensais que c’en était un autre du même genre, avec beaucoup d’enthousiasme pour un réveil quelconque, ou pour une grande dénomination qu’ils allaient former. Mais, un jour, je me suis mis en tête d’y aller, avec André, ici, mon frère.”

44 Et je peux m’imaginer qu’à peu près à ce moment-là, la barque s’est mise à danser. Quelqu’un a commencé à crier, alors il a dit : “Assieds-toi! Ne secoue pas la barque. Attends une minute. Reste assis tranquille.”

45 Et il a dit : “Vous savez, quand je suis allé là-bas, et que je me suis présenté devant Lui la première fois, Il m’a regardé droit dans les yeux et Il m’a dit comment je m’appelais. Il ne m’avait jamais vu avant. Et non seulement Il me connaissait, moi, mais Il connaissait aussi ce saint homme qu’était mon père, qui m’avait instruit dans les Écritures. Et j’ai su que c’était le Messie. Pour moi, ça a tout de suite réglé la question. C’était... Pour moi, la preuve était là.”

46 Ce doit être Philippe qui a dit : “Est-ce que je peux dire un mot, ici?” Là, il a dit : “Frère Nathanaël, j’espère que ceci ne te froissera pas. En effet, vous savez que nous avons étudié les rouleaux pendant des années et des années, pour voir ce que le Messie serait. Mais, quand je L’ai vu faire ça, je me suis dépêché d’aller chercher mon ami, ici, Nathanaël. Et quand il est arrivé...”
Nathanaël a dit : “Je veux le raconter! Je veux le raconter!”

47 Oh, vous savez, quand Jésus a fait quelque chose pour vous, il y a quelque chose qui fait que vous–vous ne pouvez vraiment pas rester tranquille, il faut que vous le racontiez vous-même. Pas vrai? Si c’est quelque chose de réel, il faut que vous le disiez. Quand Il m’a rempli du Saint-Esprit, je veux en parler. Je veux que quelqu’un le sache. Pas que quelqu’un d’autre le raconte; je veux le dire moi-même.

48 Et je peux m’imaginer Nathanaël, il était tout emballé, et il a dit : “Vous savez, j’aimerais raconter ça. J’étais un peu sceptique, Philippe, quand tu m’en as parlé. Je t’ai demandé : ‘Est-ce qu’il peut sortir quelque chose de bon de Nazareth?’ Et tu m’as donné la meilleure réponse qui ait jamais été donnée à quelqu’un : ‘Viens voir.’” C’est encore valide aujourd’hui. C’est exact. Ne restez pas chez vous à critiquer. Venez voir vous-mêmes, vous voyez. “J’ai dit : ‘Est-ce qu’il peut sortir quelque chose de bon de Nazareth?’ Tu as dit : ‘Viens voir toi-même.’ Et tu sais ce que tu m’as dit.

49 “Et quand je me suis avancé dans Sa Présence, et qu’Il m’a dit que j’étais ‘un–un Hébreu, un Israélite, et que j’étais un homme honnête’, ça, je le savais.

50 “Mais je me suis demandé : ‘Comment est-ce possible?’ Il avait l’apparence d’un homme ordinaire. Je m’attendais à voir le Messie descendre des corridors dorés du Ciel, pour se présenter directement au chef de la dénomination, ici, à Jérusalem, arriver là en disant : ‘Caïphe, Je suis arrivé.’ Mais ils ont vu qu’Il est venu de Nazareth, d’une famille pauvre; et, en fait, Il avait assez mauvaise réputation, Il passait pour “un enfant illégitime”. Il était là, avec des vêtements ordinaires sur le dos, pas comme un sacrificateur ou quelqu’un; juste un homme ordinaire. Et je me suis dit, quand je me suis avancé : ‘Comment est-ce possible : ça, un Messie? Un vieux vêtement sur le dos, Il le portait quand Il était tout jeune homme, et Il porte encore le même vêtement, là; et Ses cheveux qui Lui descendent dans le dos. Il est comme un simple homme de la rue.’

51 “Et Il m’a regardé en face, et Il a dit : ‘Avant que Philippe t’appelle, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.’ Pour moi, c’était réglé. J’ai su, par la Parole, que c’était le Messie. C’était Lui.”

52 Alors la barque devait danser, la réunion de témoignages battait son plein. Oh, ils passaient vraiment des moments merveilleux là-bas, en mer, ils se réjouissaient vraiment beaucoup.

53 André a dit : “J’aimerais raconter quelque chose qui m’a laissé un peu perplexe pendant un petit moment. Vous vous souvenez de la fois où on–on descendait à Jéricho? Il a dit : ‘Il faut qu’on remonte; Je dois passer par la Samarie.’ Alors, Il est monté en Samarie, et là, dans la ville de Sychar, Il nous a tous envoyés en ville acheter des provisions.”

54 “Oh oui, je m’en souviens bien!” Ils disaient tous : “Oui, oui!” La barque dansait, chacun avait un merveilleux témoignage, une fois la réunion de réveil terminée. Et donc, ils faisaient cette réunion de témoignages.

55 Et il a dit : “Oui, et vous vous rappelez, on est revenus doucement, et, à notre surprise, on a vu notre Maître qui parlait à une prostituée notoire. On s’est dit : ‘Oh-oh, c’est mauvais, ça. Regardez-Le donc, là, qui parle à cette jeune femme. Il nous envoie là-bas, pendant que Lui, Il est assis ici, en compagnie de cette femme de mauvaise vie.’ Vous vous rappelez, on était là, juste derrière les buissons, et on a écouté leur conversation.

56 “Et on L’a entendu lui dire : ‘Femme, va chercher ton mari, et viens ici.’

57 “Et on s’est dit : ‘Eh bien, peut-être qu’on s’est trompés, cette femme, peut-être qu’elle est légalement mariée, là.’

58 “Alors elle L’a regardé en face, et elle a dit : ‘Monsieur, je n’ai pas de mari.’

59 “Vous vous souvenez comme le coeur nous a manqué? ‘Notre grand Messie, en qui nous avions confiance, Le voilà qui s’est fait prendre à mentir, dans le feu de la conversation, parce qu’Il a dit : “Va chercher ton mari”, et comme réponse elle a attesté qu’elle n’avait pas de mari. Là, ça s’est retourné contre Lui.’ Vous vous souvenez comme on avait tous l’air surpris, comme ça nous a coupé le souffle?
– Oui, je m’en souviens.

60 – Et puis, vous vous souvenez des paroles qui ont suivi? Il a dit : ‘Tu as dit la vérité, parce que tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis en ce moment n’est pas le tien.’ Oh, vous vous souvenez de la réunion de témoignages derrière le buisson? Oh! la la!” Vous voyez, on ne peut pas Le coincer. Il est Dieu. “Oh,” Simon a dit, “là...” André a dit : “Là, pour moi c’était réglé.”

61 Barthélémy a dit : “Attendez, j’aimerais ajouter un témoignage. Est-ce que je peux, frères?

62 – Oh, eh bien, je pense bien que oui, on a beaucoup de temps. Il n’est pas encore arrivé, alors on va juste donner quelques petits coups de rame. Vas-y, Barthélémy, témoigne.

63 – Eh bien, quelque chose qui a été glorieux pour moi. Vous vous souvenez de notre soeur de Jéricho, qui s’appelait Rébecca?
– Oui.
– Et son mari tenait un restaurant là-bas.
– Oui-oui.

64 – Et–et c’était un homme d’affaires, il s’appelait Zachée.
– Oui, oui, je me souviens bien de lui.

65 – Vous vous souvenez, elle était–elle était l’une de nos soeurs. Elle avait cru au Seigneur, et sa grande crainte, c’était que Zachée laisse passer tout ça sans accepter Jésus. Et, oh, Zachée était un très bon ami du sacrificateur de là-bas. Alors, elle priait qu’il se passe quelque chose, pour que ses yeux s’ouvrent et qu’il reconnaisse que c’était là le Maître, que c’était la Parole de Dieu confirmée, faite chair parmi nous. Et nous avons essayé de lui dire... de dire à Zachée que Jésus de Nazareth connaissait les secrets du coeur, ce qui montrait qu’Il était la Parole, parce que la Parole discerne les pensées du coeur.

66 “Il disait : ‘Ridicule, je crois le sacrificateur. Ce que le sacrificateur dit, ça me suffit.’ En effet, il faisait partie de toutes les–les associations de la ville, les Kiwanis et tout le reste, vous savez, alors c’était assez dur pour lui de lâcher ça. Alors, Rébecca nous avait tous demandé de prier, de prier. Et chaque fois que nous abordions le sujet, que nous disions qu’Il était prophète, il disait : ‘Ridicule! Le sacrificateur dit : “C’est Béelzébul. C’est un démon. Il fait ça par la puissance du diable. Il fait seulement de la télépathie, un point c’est tout. C’est sans intérêt.” Alors, à notre époque, ces choses-là n’existent plus; on n’a pas eu de prophètes depuis des centaines d’années. Et comment ce Gars-là, qui n’a même pas de carte de membre de l’association, comment pourrait-Il être prophète? Oh non, pas question qu’Il soit quelque chose comme ça!’

67 “Mais, vous savez, Rébecca a tenu ferme, sa femme, elle a continué à prier. Et, un matin que Jésus entrait dans la ville, eh bien, voilà que Rébecca nous apprend que Zachée était sorti dans la–la rue, pour Le voir. Alors, il ne croyait pas qu’Il était un prophète, alors il a dit : ‘Je vais bien L’examiner’, il nous témoignait ça au restaurant l’autre jour quand on mangeait. Donc, il est monté sur un sycomore, il s’est dit : ‘Sais-tu, je vais juste me camoufler, ici en haut, comme ça Il ne pourra pas me voir. Je suis petit, de toute façon, pas grand du tout. Alors, comme je ne peux pas Le voir d’en bas, dans la foule, je vais monter ici, dans cet arbre.’ Il est monté jusqu’à l’endroit où deux–deux grosses branches se croisent, et c’est là qu’il s’est assis, à la croisée de ces branches.”

68 Voilà un bon endroit où s’asseoir et étudier tout ça. À la croisée de deux chemins, le vôtre et celui de Dieu; vos idées. C’est une bonne chose, d’y réfléchir.

69 “Alors, il s’est dit : ‘Sais-tu, Il était peut-être bien prophète. Il aurait pu l’être. Il se peut que je me sois trompé. Alors, voici ce que je vais faire, je vais Le regarder de près, sans que Lui me voie. Alors, je vais prendre les feuilles et toutes les ramener, comme ceci, autour de moi, je vais me camoufler, pour qu’Il ne me voie pas du tout. Et je vais L’observer quand Il passera. Et s’Il n’a pas l’air d’être quelqu’un de bien, je vais Lui faire savoir ce que je pense, assis ici dans cet arbre.’ Donc, il observait, et il y avait une feuille qu’il pouvait soulever, pour Le voir quand Il tournerait le coin.

70 “Et, quand Il a tourné le coin, Il descendait la rue, vous savez, en regardant d’un côté et de l’autre, et les disciples étaient là qui disaient : ‘Écartez-vous. Excusez-moi.’ Et les gens, avec des enfants malades, et tout. ‘Excusez-moi, le Maître est extrêmement fatigué; cette grande réunion d’hier soir. Et (d’une façon très courtoise), auriez-vous l’obligeance de vous écarter pour Le laisser passer. Eh bien, Il se dirige vers la ville, alors, auriez-vous l’obligeance de vous écarter un peu?’ Et Zachée, était assis là, et il Le regardait du haut de l’arbre.

71 “Et Jésus est allé directement en dessous de l’arbre, Il s’est arrêté, Il a regardé en haut et Il a dit : ‘Zachée, descends de là. Je vais avec toi, dîner chez toi, aujourd’hui.’ Pour moi, c’était réglé. Il savait qu’il était là-haut, et Il savait son nom, ce qu’il était. C’était réglé. Pour moi, ça, c’est le Messie. Oui monsieur. En effet, nous savons que c’est ce que le Messie devait faire. Certainement. Donc, Il a dit qu’il fallait qu’Il aille dîner chez lui, ce jour-là. Quel moment glorieux ça a été! On s’en souvient.”

72 Vous savez, c’est probablement à peu près à ce moment-là, alors que la réunion de témoignages battait son plein... Vous savez, pendant que les disciples étaient là, en mer, en train de témoigner, c’est probablement là, au plus sombre de la nuit, quelque part dans les terres du Nord, que Satan a dû s’approcher et, du haut d’une colline, il a regardé ça. Il a jeté un coup d’oeil sur cette réunion de témoignages, et il a vu qu’ils étaient partis sans Lui. Il avait beau jeu, là.

73 Vous voyez, je pense que cette scène est presque en train de se dérouler de nouveau, qu’elle se répète. Ils étaient, dans l’enthousiasme du réveil, ils étaient partis sans Lui. Et je crois que c’est bien ce qui nous est arrivé aujourd’hui, là, en cette heure de confusion, et après ce grand réveil dont nous avons été témoins. Il a sillonné le monde entier. Toutes les nations ont vu les feux du réveil être suscités et brûler chez elles; de grands services de guérison; des gens qui ont reçu le Saint-Esprit, par dizaines de milliers de milliers. Et, dans notre enthousiasme, comme ces disciples, nous témoignons de ce qu’Il a fait, “et, oh, nous L’avons vu faire ceci, et nous L’avons vu faire cela”, mais je crois que, comme eux, nous sommes partis sans Lui.

74 Nous nous sommes lancés dans les grandes perspectives qui–qui nous ont été offertes par le réveil. Nous, les églises, nous nous sommes lancés dans les perspectives de faire beaucoup d’argent, de construire des plus grands bâtiments, des grands édifices de millions de dollars, des grandes écoles, des systèmes d’éducation, et de faire croître notre dénomination. Et puis, d’avoir nos programmes de communisme, l’anticommunisme, on ne parle que de ça aujourd’hui. Et voilà que Satan nous a vus faire, avec nos programmes d’anticommunisme, avec nos grands programmes dénominationnels, et avec nos “un million de plus”, et tout ça, tout ce qu’ils ont.

75 Et nous sommes partis, en laissant de côté les réunions de prière à l’ancienne mode, et le retour du baptême du Saint-Esprit, si bien que le feu a commencé à s’éteindre. Vous avez beau crier, chercher à faire avancer les gens à l’autel, et ils s’avancent comme s’ils étaient à moitié morts, ça leur coûte terriblement de venir. Et après, quand on demande aux prédicateurs de venir prier avec eux : “Oh, pourquoi m’a-t-il demandé ça, à moi?” Et ils s’avancent, c’est tellement difficile de les faire s’avancer. Ils restent là juste quelques minutes, ils vous regardent, et ils retournent s’asseoir à leur place. À mon avis, le feu s’est éteint! Il est arrivé quelque chose. [Frère Branham tape trois fois dans ses mains.–N.D.É.] Écoutez! Ce dont nous avons besoin, c’est d’un réveil, qui fera que les pécheurs, en voyant Christ, se repentiront, qu’ils se précipiteront à l’autel en levant les mains, en implorant miséricorde à grands cris, et que toute l’église sera enflammée du feu de la gloire de Dieu.

76 Enthousiasmés par la perspective de faire croître nos dénominations, nous avons construit de plus grandes écoles pour y instruire nos prédicateurs, et nous les éloignons encore plus de Dieu qu’ils ne l’étaient au départ. On ne connaît pas Dieu par l’instruction. On ne Le connaît pas par la théologie. On connaît Dieu par la foi. Vous ne pouvez pas expliquer Dieu. Il dépasse l’explication.

77 Regardez le résultat, nous, les pentecôtistes, qui étions autrefois pentecôtistes. Nos femmes se sont coupé les cheveux; elles se maquillent. Nos hommes le permettent. Nos prédicateurs le permettent. Ils ont peur d’en parler. L’église va les mettre à la porte s’ils le font. Oh, nous avons vraiment besoin d’un grand ménage, de la chaire jusqu’au sous-sol! C’est honteux. C’est une honte.

78 Un homme est venu me voir, il n’y a pas longtemps, et il m’a dit : “Frère Branham, les gens vous aiment.” Mais, il a dit : “Vous êtes toujours en train de crier après eux, de crier après les femmes, parce qu’elles ont les cheveux courts, et des choses comme ça.”
J’ai dit : “La Bible dit que c’est une honte pour elle de les avoir courts.”

79 Elle déshonore son mari quand elle fait ça. Et c’est absolument un signe que vous avez abandonné Dieu. Rappelez-vous, dans le cas de Samson, les cheveux longs étaient un signe de naziréat, pour montrer qu’il avait abandonné le monde, pour la Parole de Dieu. Et quand vous vous coupez les cheveux, vous les femmes, vous reniez votre signe de naziréat. Vous êtes allées du côté de Hollywood au lieu de revenir à la Bible. La Bible dit : “Qu’elles ne soient pas rasées.” Vous voyez, c’est honteux, et les prédicateurs ne disent rien à ce sujet.

80 Cet homme, il m’a dit : “Pourquoi ne laissez-vous pas les femmes tranquilles?” Il a dit : “Elles vous considèrent comme un prophète.”
J’ai dit : “Je n’ai jamais dit que j’étais prophète.”

81 Il a dit : “C’est comme ça qu’elles vous considèrent. Enseignez-leur à recevoir des dons spirituels et à faire quelque chose. Vous devriez leur enseigner des grandes choses, des choses importantes.”

82 J’ai dit : “Comment est-ce que je peux leur enseigner l’algèbre, alors qu’elles ne veulent même pas apprendre leur A B C, comment vivre comme il faut? Comment le faire? Oui, il faut commencer par le commencement.”

83 Année après année, je parcours le pays, et ça empire tout le temps. Il y a quelque chose qui ne va pas quelque part, et le problème, ce n’est pas la Parole. Pas étonnant qu’on n’arrive pas à faire brûler les feux du réveil. Nous avons besoin d’un grand ménage. Dieu n’agira jamais, tant que nous ne reviendrons pas. Nous avons besoin d’un grand ménage.

84 Et vous, les hommes, qui laissez votre femme faire une chose pareille, porter des shorts! Il ne s’agit pas des méthodistes, des baptistes. Il s’agit des pentecôtistes, c’est exact, “l’apparence de la piété, l’Âge de l’Église de Laodicée, tiède”, pentecôtistes de nom, c’est tout. La pentecôte, ce n’est pas un nom, c’est une expérience du baptême du Saint-Esprit, qui nettoie les gens. Pas étonnant qu’on n’arrive pas à avoir des grands services de guérison, et tout, il y a quelque chose qui est allé de travers quelque part. C’est Satan, qui nous a vus en train d’essayer de...

85 “Mais, si nous en parlons, ils vont changer d’église.”

86 Souvenez-vous, on ne dorlote pas les Chrétiens. Les Chrétiens sont robustes. Ce sont des hommes et des femmes de Dieu, qui prennent position pour Dieu, sans se soucier de ce que n’importe qui peut avoir à dire. Vous n’avez pas besoin de les supplier et de les persuader, et de les parfumer et de les dorloter tout le temps. Ça, ce sont des plantes hybrides, de serre chaude, ça ne vaut rien du tout, elles ne produiront jamais rien.

87 Ça me rappelle, par exemple... Ce sera bientôt le temps de nicher. J’ai remarqué des petits oiseaux aujourd’hui, là-bas, des petits moineaux qui transportaient de la paille dans leurs nids. Ils ne vont pas tarder à nicher, pour faire éclore leurs petits oeufs. Vous savez, un petit oiseau femelle peut avoir un nid plein d’oeufs, et elle va couver les oeufs de ce nid, et, toutes les deux ou trois minutes, elle les retourne; avec ses petites pattes, elle les retourne, et elle reste là à couver. Mais, si elle laisse les oeufs refroidir, une fois qu’ils se sont réchauffés, ils n’écloront pas. Alors elle s’envole juste le temps d’aller chercher une bouchée de nourriture, et elle revient tout de suite les couver.

88 Et, vous savez, cette brave maman oiseau, elle pourrait rester là à couver ces oeufs, et les retourner toutes les deux minutes, et ne pas... et même se sacrifier, et jeûner, jusqu’à ce qu’elle soit si maigre qu’elle ne puisse plus quitter le nid. Mais si, alors, cette maman oiseau n’a pas été en contact avec l’oiseau mâle, les oeufs n’écloront pas. Peu importe quoi, combien vous les dorlotez, ils n’écloront pas. Ils vont rester dans le nid et pourrir là.

89 Et c’est le moment ou jamais pour la pentecôte de s’unir avec le Compagnon, Jésus-Christ; en effet, tout ce qu’on est en train de produire, c’est un nid plein d’oeufs pourris, reniant la Foi, en train d’entrer dans le concile oecuménique, et appeler ça quelque chose de grand de s’asseoir près du pape, et dire que “c’est spirituel”. Mais qu’est-ce que vous avez, les pentecôtistes? Vous ne savez donc pas que la Bible a annoncé ces choses? Et on pousse des grands cris, parce que les méthodistes et les baptistes se joignent à nous, et toutes les autres choses du genre. Vous ne vous rendez donc pas compte que, quand la vierge endormie est venue acheter de l’Huile, c’était à l’heure même où l’Époux est arrivé? Et elles n’ont pas reçu l’Huile! Vous savez, l’Enlèvement se passera si secrètement, et le départ, un de ces jours, que vous n’en aurez même pas connaissance. Ce sera terminé, et vous vous demanderez ce qui s’est passé.

90 C’est comme quand Jean est venu sur terre. Et ils Lui ont dit, ils ont dit : “Mais, la Bible dit qu’Élie doit venir premièrement.” Il a dit : “Il est déjà venu, et vous n’en avez pas eu connaissance.”

91 Il en sera de même, un jour, ils diront : “Je pensais que ceci devait se produire avant la période de la Tribulation. Je pensais que l’Enlèvement devait avoir lieu.” Ces mots pourraient revenir : “Il est déjà passé, et vous n’en avez pas eu connaissance.” Oui. Il est peut-être plus tard que vous pensez. Oh, réveille-toi, église! Je fais mieux de m’arrêter; je ne suis pas venu ici pour la doctrine, mais j’ai pensé vous passer ça, simplement comme plat d’accompagnement.

92 Souvenez-vous, frère, Satan a vu tous ces grands programmes, une église qui essaie de surpasser l’autre, une dénomination qui essaie de surpasser l’autre, en éliminant tout l’illettrisme, et il faut les soumettre à un test psychologique, faire tester l’homme par un psychologue, avant qu’il puisse aller sur les champs de mission. La pentecôte! Non, ce–ce–ce ne sont pas les presbytériens, c’est la pentecôte. Un certain groupe de pentecôtistes, un groupe important, exige des missionnaires qu’ils subissent un test psychiatrique avant de pouvoir partir pour le champ de travail.

93 Qu’est-ce qui serait arrivé s’ils avaient eu un test comme ça? Ils ont eu un test. C’était un test pentecôtiste, au début, quand ils ont attendu dans la chambre haute, jusqu’à ce que le Feu descende d’en Haut, avec la Puissance de Dieu. C’était ça le test.

94 Pas une espèce de psychologue mondain, à moitié ivre, qui est là, à essayer de créer un peu d’agitation dans votre esprit, ou quelque chose, pour dire : “Vous êtes complètement détraqué.” Alors que c’en est absolument la preuve, un homme qui est extrêmement spirituel est nerveux, il doit être dans cet état-là pour Y parvenir. Alors, voilà, vous voyez, et tout ce qu’ils font, c’est de gâcher ce que Dieu essaie d’accomplir depuis des années, et les voilà qui sont là avec leurs programmes et leurs grands...

95 Ils sont tout emballés quand ils voient beaucoup de monde rassemblé. Ils se disent : “Si je pouvais en faire tous des Assemblées! Si je pouvais en faire tous des unitaires! Si je pouvais en faire tous des méthodistes!” Les méthodistes cherchent à en faire tous des méthodistes; les baptistes cherchent à en faire tous des baptistes; les pentecôtistes, tous des pentecôtistes! Oh, vous ne pouvez rien y faire, Dieu les a prédestinés depuis la fondation du monde. Nous devons prêcher l’Évangile. C’est tout. Mais, avec nos grands programmes, on est partis sans apporter le Feu avec nous. On est partis, avec un feu qu’on s’est fabriqué nous-mêmes, un feu maison, comme on dit.

96 Et notre communisme, maintenant nous avons tellement peur, le communisme s’est installé : “Qu’est-ce qui va se passer?” Mais, vous savez, ce qu’il y a de plus grave, ce n’est pas le communisme. Je vous le dis tout de suite, je n’ai pas peur du communisme.

97 Mais ce qui me fait peur, c’est que vous, les pentecôtistes, vous allez vous faire embarquer par le concile oecuménique. Voilà ce qu’il y a. Ça va former la marque de la bête, et vous serez forcés d’y entrer. Comme vous êtes une organisation, vous devrez, soit entrer, soit sortir. Voilà ce qu’il y a, et n’importe quelle personne qui a du bons sens, qui est spirituelle, le sait. Nous avons besoin d’un autre témoignage en mer, c’est ce que nous voyons maintenant. Et nos pentecôtistes qui gobent tout ça, l’hameçon, la ligne et le plomb : “Comme ce sera glorieux!” Alors que vous, méthodistes, presbytériens, luthériens, église de Christ et pentecôtistes, vous devrez renier–renier votre grande doctrine apostolique pour en faire partie. Ils devront faire pareil. Vous n’aurez pas un mot à dire là-dedans. C’est tout en train de se cimenter avec Rome, très précisément ce qui a été démontré. L’Écriture l’a dit.

98 Qu’est-ce qui ne va pas chez les prédicateurs, qui laissent les choses en arriver à ce point-là, sans avertir les gens? Dieu les en rendra responsables. Voilà qu’à l’heure même des difficultés; ils l’étaient, en difficulté, ils l’étaient. Ce n’est pas le communisme qui s’installe, mais c’est le concile oecuménique, qui va tous les engloutir, tout le paquet. Et, souvenez-vous, une fois que vous direz, “une fois que ce sera arrivé”, alors c’est trop tard, vous avez déjà pris la marque de la bête. Vous en faites partie, alors.

99 Vous faites mieux d’aller à l’endroit où vous pourrez y échapper, tout de suite, oui monsieur, soyez scellés dans le Royaume de Dieu. Le Corps de Christ est le Corps mystique de Christ, dans Lequel on entre par le baptême du Saint-Esprit; on n’Y entre pas par adhésion, on n’Y entre pas par l’entremise de quelqu’un, on n’Y entre pas par la persuasion, on n’Y entre pas par le parler en langues, on n’Y entre pas par les cris. On Y entre par une naissance, par le Saint-Esprit. C’est exact. Certainement.

100 Maintenant, nous remarquons ces choses, les difficultés surgissent tout à coup. Oh, le diable a regardé ça, et il s’est dit : “Ah-ah, ils sont partis là-dedans, ils sautent en l’air, ils crient, et ils ont beaucoup de plaisir. Sais-tu, c’est maintenant le moment pour moi de les faire couler. Maintenant je vais me venger d’eux.”

101 Alors il s’est élevé au-dessus de la colline et il s’est mis à exhaler son souffle empoisonné, ououhh : “Les jours des miracles sont passés. Tout bien considéré, je pense que ces gens-là sont nerveux, c’est tout. Je pense qu’on devrait leur faire passer un–un–un test psychiatrique avant qu’ils partent pour les champs de mission.” Les pentecôtistes! Eh oui. Vous voyez, son souffle empoisonné qui tue la Parole : “Oh, je pense que C’est autre chose, je–je crois que...” Vous voyez, ils en reviennent précisément au même point que toutes les autres dénominations, ils marchent exactement sur le même sentier. Ils, ça entraîne la mort. À l’heure même où vous en faites une organisation, ça entraîne la mort. Ça a toujours été le cas. Ça le sera toujours. Elle ne se relèvera jamais. Ça ne s’est jamais vu dans toute l’histoire. Dans–dans cet Âge de l’Église de Laodicée, Christ était à l’extérieur de l’église, en train de frapper, cherchant à entrer. Et ils ne peuvent simplement pas supporter Cela. Ils ne peuvent pas écouter Cela. Maintenant, nous voyons qu’en cette heure où nous vivons, les difficultés ont surgi.

102 Et après, on commence à se rendre compte qu’il n’y a plus de miracles comme il y en avait. Les malades rentrent chez eux malades. Ce n’est pas à cause de Dieu. C’est à cause du manque de réveil parmi les gens. Il n’y a pas de réveil. Ils–ils s’assoient et ils écoutent; ils rentrent chez eux en disant : “Eh bien, j’ai trouvé ça assez bien. Ouais.” Vous voyez, il n’y a pas ce zèle. Il n’y a pas ce quelque chose qui devrait être là, chez les gens.

103 Je me rappelle, il y a quinze ans, ici en Arkansas, quand j’avais une petite réunion là-bas à Jonesboro, et qu’environ quarante mille personnes ont essayé d’y assister, de venir à la réunion, dans une ville d’environ quinze mille habitants. Et ils se couchaient sous des camions servant au transport du coton et tout le reste, et ils protégeaient leurs enfants malades sous des feuilles de papier; rien que pour pouvoir entrer. Ils s’assoyaient à leur place et ils ne bougeaient pas de là jour et nuit, ils envoyaient leurs bien-aimés chercher un hamburger et une–une bouteille de boisson gazeuse; et ils restaient là, jour après jour après jour. Leurs coeurs brûlaient, ils étaient remplis d’ardeur. À la moindre petite chose que Dieu faisait, ils étaient tout enflammés. Et des centaines de gens sont entrés.

104 Il est encore le même Dieu ce soir, qu’Il était il y a quinze ans. Il est encore le même Dieu ce soir, qu’Il était quand Il a créé les cieux et la terre.

105 Mais qu’est-ce qu’il y a? On s’est tous laissé gagner par l’enthousiasme de vouloir développer nos organisations, on a voulu bâtir ceci, et construire ceci, et faire quelque chose de grandiose et de brillant, pour rivaliser avec les Jones, avec les méthodistes, avec les baptistes, avec les presbytériens. Vous n’êtes pas des leurs. Non, pas du tout. Ce sont des gens des dénominations, c’est bien, je n’ai rien contre eux. Il y a beaucoup de bons Chrétiens parmi eux, mais vous ne devriez pas vous affilier à ces groupes incrédules. “Des gens qui renient ce qui en fait la Force”, vous ne devez pas vous ranger de leur côté.

106 Vous savez, le problème, c’est que vous essayez de faire entrer Hollywood dans l’église. Ce que vous devriez essayer de faire, c’est de faire sortir Hollywood de l’église. Voyez? Vous essayez d’embellir votre bâtiment, vous essayez de faire croître votre dénomination, tout ça pour attirer l’attention des gens. Nous ne pouvons pas aller de leur côté. Nous devons les faire venir de notre côté à nous. Toutes ces choses qui brillent, souvenez-vous, Hollywood scintille de mondanité, alors que l’Évangile rayonne dans l’humilité. Il y a toute une différence entre briller et rayonner. L’Évangile rayonne, dans l’humilité, la douceur, la modestie, la puissance. Par contre, Hollywood brille, tout le monde pousse des hourras et des grands cris, et se met de la partie. Voyez? Nous n’avons pas besoin de ça.

107 Nous voulons mener une vie de Lumière. Il a dit : “Vous êtes le sel de la terre.” “Si le sel a perdu sa saveur”, c’est-à-dire sa force par l’Évangile. Quelque chose devrait être en action dans nos églises, si bien que les méthodistes, les baptistes, les presbytériens et tous les autres, auront soif de venir. Nous devrions être tellement salés! Le sel produit une soif, il crée une soif. Le sel, c’est la saveur, s’il entre en contact. Il faut qu’il y ait contact.

108 Et nous voyons, nos grands élans, d’essayer de rivaliser avec les méthodistes et les baptistes, avec de grands bâtiments et de grands édifices, et des gens bien instruits, et de plus grandes écoles et de plus gros collèges, et toutes sortes de choses semblables. On est partis dans un élan, et là, les difficultés ont surgi.

109 Et la pensée spirituelle regarde autour et dit : “Eh, une petite minute, là, est-ce que nous allons tous être forcés de nous joindre au concile oecuménique? Est-ce que notre groupe tout entier va aller là-dedans?” C’est sûr que vous y allez. C’est exact. Regardez bien et vous verrez que c’est bien le cas. La Bible a dit que vous iriez, exactement, et que Christ serait à l’extérieur. La lune s’est obscurcie avant l’arrivée du pape (le premier qui soit jamais allé à Rome) l’autre soir, pour vous montrer un signe dans les cieux. Sans que ce soit prévu, elle l’a fait. Comme le Seigneur fait des choses en ce jour, c’est merveilleux!

110 Donc, en cette grande heure de ténèbres, quand ils étaient là-bas, le vent s’est levé. Il n’y avait plus aucun espoir de survie. Maintenant, qu’est-ce que vous allez faire, si votre dénomination se joint au concile oecuménique? Qu’est-ce qui va arriver, alors, à toutes nos grandes choses qu’on a construites sur cette terre, une fois le dernier espoir envolé?

111 Mais, vous savez, comme ils allaient se mettre à crier, et qu’il n’y avait plus d’espoir, ils ne pouvaient pas être sauvés; alors, tout à coup, ils L’ont vu venir, marchant sur l’eau. À l’heure des ténèbres, Il est arrivé, en marchant.

112 Savez-vous une chose? Quand Il les a quittés, Il savait que ça arriverait, alors Il est monté sur la plus haute colline qu’il y avait dans le pays. Plus vous montez haut, plus vous pouvez voir loin. Et Il est monté là-haut pour pouvoir les observer, vous savez.

113 Et Il savait que ceci allait arriver. Il a prédit que ce jour-ci viendrait. “Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la venue du Fils de l’homme, quand le Fils de l’homme sera révélé.” Alors, le Fils doit être révélé. Cette génération méchante et adultère demandera un signe. Elle recevra un signe. Elle le rejettera, comme ils l’ont fait à l’époque, mais ce sera le signe de la résurrection. Il est toujours vivant, faisant la même chose qu’autrefois.

114 Nous voyons qu’en cette grande heure, où les disciples étaient tous dans la détresse, Il est monté là-haut pour pouvoir les observer. Il était assis, là-haut sur la colline, Il les observait.

115 Et là, cette fois-ci, Il n’est pas monté sur une montagne, mais Il est monté du tombeau, Il est monté dans les airs, plus haut que la lune, les étoiles, tellement haut, Il est monté tellement haut qu’Il doit regarder en bas pour voir le Ciel. Et c’est là qu’Il est assis, dans les Lieux très hauts. Maintenant Il a l’oeil sur le passereau, et je sais qu’Il veille sur nous. Il veille.

116 Et en ce moment même, en cette heure de ténèbres, alors que les églises ont toutes adopté de grands programmes, et elles ont ce programme-ci et ce programme-là, elles sont toutes programmées comme les autres églises, les dénominations. Et qu’est-ce qui s’est passé? À l’heure des ténèbres, alors que ceux qui sont vraiment remplis de l’Esprit se demandent : “Qu’est-ce qui va se passer? Regardez mes enfants!” L’homme dit : “Regardez ma femme! Regardez ceci!”

117 Et ils terminent la réunion de prière du dimanche, ou plutôt du mercredi soir, de bonne heure, pour pouvoir aller regarder Nous aimons Sucy, ou quelque chose comme ça, à la télévision. “Ils aiment le monde plus que Dieu.” Ils agissent comme eux.

118 J’ai dit à une dame l’autre jour, elle portait une robe vraiment serrée. J’ai dit : “Soeur, cette robe est trop serrée. Ça peut avoir l’air drôle que je vous dise ça, mais elle l’est. Vous êtes Chrétienne, vous pourriez être une pierre d’achoppement.”

119 Elle a dit : “Eh bien, Frère Branham, savez-vous une chose?” Elle a dit : “C’est la seule sorte qui se fait.”

120 J’ai dit : “On vend encore du tissu, et il y a des machines à coudre. Il n’y a pas d’excuse.” Oui.

121 Écoutez, je vais vous dire quelque chose, ma chère amie. Je ne rouspète pas après vous. Pas du tout. J’essaie de vous empêcher d’aller dans les tourments. Tant que cet esprit-là sera en vous, vous allez le faire. C’est exact. Vous devez en sortir par une Naissance. Maintenant, vous pouvez en faire ce que vous voulez, de cette réflexion, mais je vais vous dire quelque chose, vous voyez : “Ce qu’est votre coeur, là aussi est votre trésor.”

122 Je vais vous dire. Vous pouvez être aussi pure qu’un lis face à votre mari, et vous, jeune fille, vous pouvez être aussi pure qu’un lis face à votre petit ami, mais un jour vous aurez à répondre devant Dieu d’avoir commis adultère. Vous êtes coupable quand vous vous habillez comme ça. Jésus a dit : “Quiconque regarde une femme pour la convoiter, a déjà commis un adultère avec elle dans son coeur.” Et quand cet homme, ce pécheur, aura à répondre de vous avoir regardée, d’avoir commis adultère, qui lui en aura fourni l’occasion? Pensez-y. Vous, femmes pentecôtistes, vous devriez avoir honte! Voyez? Vous devriez avoir honte!

123 Si je vous dis ça, c’est parce que je vous aime. L’amour est correctif.

124 On est partis dans une grande crise, une grande crise d’habillement. C’est exactement comme, et la mode comme le monde. Il a dit : “N’aimez pas le monde, ni les choses du monde; si vous les aimez, l’amour de Dieu n’est même pas en vous”, peu m’importe combien vous pouvez parler en langues, sauter en l’air, danser; de se couper les cheveux, de porter des robes comme ça. Vous, les hommes, vous le permettez. Vos propres fruits vous montrent où vous en êtes. C’est tout à fait vrai. Ce n’est pas étonnant qu’on soit dans une telle confusion, avec les vents du communisme, les vents du formalisme dans les églises, les vents de l’organisation oecuménique!

125 C’est un–c’est un temps d’union, un temps de syndicalisation. Les syndicats organisent les travailleurs en syndicats, ils se disputent là-dessus. Les nations, avec les–les Nations Unies, elles s’unissent. Les églises s’unissent ensemble. Qu’est-ce que tout ça montre? Ça montre que Christ et l’Épouse sont sur le point de s’unir. Voilà ce que ça indique. Toutes les ombres de ces choses montrent que le positif approche. Regardez bien, maintenant, alors que nous terminons, parce que mon temps est presque écoulé.

126 Et maintenant, remarquez, en cette heure décisive où il n’y avait plus aucun espoir de survie, ils ont vu venir Quelqu’un, qui marchait sur l’eau, qui venait vers eux. Et la chose, ce qui est triste là-dedans, écoutez bien, la seule chose qui pouvait les aider, ils En ont eu peur. Ils ont dit : “Ça a l’air fantomatique. Ça pourrait être un esprit, vous savez.”

127 C’est bien ce qui se passe encore! Ils En ont peur. Ils ont peur que ce soit de la divination, ils ont peur que ce soit une puissance démoniaque quelconque; alors que Jésus a dit que ça arriverait en ce jour-ci. La seule chose qui peut les aider, c’est Jésus-Christ. Pas une autre dénomination, pas qu’ils s’unissent tous ensemble; ça, ça va seulement rendre les choses pires que jamais. La seule chose qui peut vous aider, c’est Jésus-Christ.

128 Et, alors qu’Il a promis de revenir dans les derniers jours, sous cette forme, et de faire ceci, qu’Il a promis (exactement comme avant que le fils promis soit donné à Abraham, la première semence) que la Semence royale d’Abraham, Jésus... a dit qu’elle verrait la même chose. Avant l’arrivée du Fils promis, Dieu Se manifesterait en chair et ferait exactement ce que Jésus a fait, ce qu’Il a dit qu’Il ferait, exactement ce qui a été annoncé pour les derniers jours. Et ici, toutes ces promesses, nous pourrions les étaler, par douzaines, ici même devant vous, pour montrer que ça doit se produire.

129 Et les églises, qui devraient recevoir Cela à bras ouverts : “Ça me fait un peu peur. Ça ne fait pas partie de notre groupe, vous voyez.” Et ils En ont peur. La seule chose qui peut les amener à Christ, c’est Christ Lui-même, et ils ont peur que Ce soit quelque chose de redoutable. “Oh, je ne sais pas. Il peut y avoir des esprits là-dessous, vous voyez. J’ai des doutes à ce sujet.” Ils ont peur de la seule chose qui peut les aider.

130 Et, en cette heure sombre de la détresse, cette église élue, ce groupe qui était assis là, ils avaient peur que ce soit un fantôme, ils ne voulaient rien avoir à faire avec ça. C’est alors que s’est fait entendre cette douce Voix : “N’ayez pas peur. C’est Moi.”

131 Il est la Parole. N’est-ce pas? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] II ne change jamais, Il reste la Parole. Maintenant, ce soir, n’entendez-vous pas la Parole qui dit : “Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours. N’ayez pas peur; c’est Moi”? [“Amen.”]
Courbons la tête.

132 Père Céleste, la–la soirée est chaude. Les heures sont sombres, voilà que le Feu a quitté l’autel. Tu es en train de glaner dans le champ. Tu as dit : “Le Royaume est semblable à un homme qui a pris un filet pour aller en mer; il l’a jeté dans la mer, et quand il l’a ramené... Le Royaume était semblable à cela.” Seigneur Dieu, un jour, ce dernier poisson, qui se trouve dans cette eau! Tu as dit “qu’ils en ont ramassé de toutes sortes”. Ce filet de l’Évangile en attrape de toutes sortes; il a attrapé des tortues, des écrevisses, des araignées, des serpents, des poissons vidangeurs. Nous ne savons pas ce qu’il attrape, mais il y avait là des poissons que Tu cherchais. C’est Toi qui en es le Juge. Mais nous savons bien que, rapidement, la tortue, l’écrevisse, et tout, retournent dans la vase, retournent dans les eaux. Mais un jour, le dernier poisson qui est destiné, prédestiné à venir, la dernière partie de ce Corps, va être retirée de ce lac.

133 Tu as jeté un filet à l’époque de Luther, et de Wesley, d’Alexandre Campbell, de John Smith, Calvin, Knox, Finney, Sankey, et ainsi de suite; dans l’âge pentecôtiste, à l’époque de F. F. Bosworth, et de Frochman, ces grands hommes. Tu as jeté des filets, à l’époque de Billy Sunday, tout au long de l’âge.

134 Et, encore maintenant, Tu passes la mer au peigne fin. Est-ce que l’un d’entre eux est assis ici ce soir, Seigneur? Si oui, puissent-ils être comme cette petite femme au puits. Malgré sa condition de prostituée, elle a quand même reconnu que Tu étais le Messie. Elle a vu ce signe. C’était réglé. Elle a dit : “Je vois que Tu es prophète.” Elle n’avait aucune idée qu’il pouvait s’agir du Messie. Elle a dit : “Nous attendons un Messie”, en d’autres termes. “Nous savons que, quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses.” Et Tu as dit : “Je Le suis.” C’était réglé.

135 Maintenant, ce soir, Seigneur, qu’ils voient que : “C’est Moi; n’ayez pas peur. C’est Ma promesse.” Guéris les malades, Seigneur, sauve les perdus, remplis ceux qui sont vides.

136 Puissions-nous repartir ce soir, et dire dans nos coeurs, en repartant, comme ceux qui revenaient d’Emmaüs : “Notre coeur ne brûlait-il pas au dedans de nous, alors qu’Il nous apportait la Parole ce soir dans la salle, Sa Présence Divine!” La façon dont ils ont su que c’était Toi, c’est qu’ils T’ont invité à entrer, et leurs yeux se sont ouverts. Puisse chacun de nous, ce soir, T’inviter à entrer. Si nous ne Le comprenons pas, que nous T’invitions à entrer quand même. C’est le seul moyen par lequel Tu puisses Te révéler.

137 Et nous remarquons que, le moyen par lequel Tu T’es révélé après Ta résurrection, Tu as fait quelque chose de la même manière que Tu l’avais fait avant Ta crucifixion. Maintenant, viens ce soir, Seigneur, Tu as dit que Tu étais “le même hier, aujourd’hui et pour toujours”. Fais encore, pour nous, ce que Tu as fait à l’époque où Tu étais ici, dans la chair, sur la terre. Nous rentrerons chez nous le coeur joyeux, comme eux. C’est au Nom de Jésus que nous prions. Amen.

138 Maintenant, à la réunion, ce soir, je sais qu’il fait terriblement chaud, et il nous reste encore vingt minutes pour sortir à l’heure. [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] Je suis...

139 Je ne peux ni arrêter ni empêcher les choses que je fais. Je suis poussé par Quelque Chose, je l’ai toujours été, toute ma vie, et Cela n’a jamais fait d’erreur. Il ne m’a jamais dit rien d’autre que ce qui se trouvait dans la Bible. Je ne peux pas l’arrêter. Je ne peux rien y changer. Il le fait quand même. Et je suis sûr que, si je suis obéissant, il y a quelqu’un qui en a besoin. Et je serai fidèle. Et ce Jour-là je veux, comme le grand saint Paul, dire : “Je n’ai à répondre du sang de personne.” Oh non. Je–je veux dire la Vérité. Ce n’est pas que je sois... Je vous aime.

140 Si vous aviez un petit garçon... Maintenant, pensez-y, madame, vous que j’ai réprimandée tout à l’heure, vous les soeurs avec les cheveux coupés, et tout. Si je... Si vous aviez un petit garçon qui était assis dans la rue, et que vous disiez : “Junior, mon chéri, tu ferais mieux de rentrer, mon chéri. Ça se pourrait, je ne sais pas, ils vont probablement te contourner avec leur voiture.” Vous n’aimez pas cet enfant. C’est exact. Vous allez sortir dehors, et lui administrer une bonne correction, ou le faire entrer de force. C’est exact. Vous l’aimez.

141 C’est comme ça qu’est l’Évangile. Dieu vous aime. “Et ceux qu’Il aime, Il les châtie et les reprend, tous les enfants qui viennent à Lui.” Si vous ne pouvez pas supporter le châtiment, que vous repartez et que vous vous mettez en colère pour ça, alors vous êtes des enfants illégitimes, vous n’êtes pas les enfants de Dieu. Alors, souvenez-vous-en, c’est l’Écriture, tout simplement.

142 Maintenant, un mot de Lui, un seul mot, comptera plus que tout ce que moi, je pourrais dire, dans un million de vies. C’est Lui. Nous connaissons Sa promesse. Nous savons ce qu’Il a promis de faire. Maintenant, je ne sais pas si... est-ce que... nous allons...

143 Est-ce qu’il a distribué d’autres cartes? Est-ce que tu as distribué des cartes aujourd’hui? Qu’est-ce que c’était? J, très bien. Très bien, pour gagner du temps, on va commencer par le numéro un. Maintenant, elles sont probablement éparpillées un peu partout dans la salle. J, numéro un.

144 Maintenant, nous les prenons un peu n’importe comment. Une fois nous avons commencé à partir d’ici, une fois de là, parfois on va et on vient, et on fait le tour, mais, nous les prenons un peu n’importe comment, là. Mais chaque personne qui entre, chaque jour, a une chance de pouvoir venir dans la ligne. Le fait que vous soyez ici, ça ne veut pas dire...

145 Combien savent que, dans cette série de réunions, il y en a eu presque deux fois plus qui ont été guéris dans l’auditoire, qu’il n’y en a eu qui ont été guéris ici, sur l’estrade? Bien sûr, vous le savez. Vous voyez, une carte de prière, c’est simplement pour faire monter les gens sur l’estrade, pour que le Saint-Esprit vienne au milieu d’eux, parce que c’est ce que vous avez l’habitude de faire. Nous n’avons même pas besoin de faire ça, en ce moment. Nous pouvons laisser tomber les cartes de prière.

146 Exactement comme nous l’avons fait hier soir, nous n’avons pas appelé de cartes de prière hier soir. Le Saint-Esprit est allé vers ceux qui n’avaient pas de carte de prière. Et j’ai vu beaucoup de choses, dont je n’ai pas parlé, parce que je ne savais pas si c’était ça ou pas. C’était encore sombre au-dessus d’eux, alors j’ai simplement laissé faire. Je ne savais pas. Ça n’aurait rien donné de les appeler. Ce qu’Il dit, c’est ça qui est juste, alors écoutez ce qu’Il dit.

147 Bon. Tu as bien dit que c’était J? J, numéro un. J, numéro un, la personne qui a cette carte de prière, levez la main. Tu dois faire erreur, fiston; ça doit être... Oh, excusez-moi. Oh, tout au fond, là-bas, contre le mur. Avancez-vous, madame. Ils–ils viennent avec les cartes de prière, mon fils, Frère Borders ou Billy, l’un des deux, parfois les deux, et ils mêlent les cartes devant vous, et ensuite ils vous donnent votre carte, celle que vous voulez. Nous ne savons pas, elles sont juste... Cette personne-ci peut avoir le numéro cinq, et cette personne-là peut avoir le numéro sept, celle-ci le numéro quinze, et celle-là le numéro quatre-vingt-quinze, et, nous ne savons pas. Et, encore là, quand j’arrive, je, simplement ce qui me vient à coeur, je les appelle à partir de là, peu importe ce que c’est. Je... Si je dis... Parfois je compte combien il y en a dans une rangée, et je divise ça par le nombre qu’il y a dans cette autre rangée, et ça me donne la réponse. Voyez? Et puis, sinon, eh bien, je, simplement ce qui me vient à l’esprit en premier, c’est ça que j’appelle.

148 Numéro un. J, numéro deux. Numéro deux, numéro trois, numéro quatre, numéro cinq, numéro six, sept, huit, neuf, dix, que ceux-là viennent, vous voyez. Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix. C’est bon. C’est comme ça qu’il faut faire, approchez... Attendez, quelqu’un est parti de l’autre côté! Je... Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf. C’est ça. Bon, voilà, le voilà, dix. Très bien.

149 Onze, douze, treize, quatorze, quinze. Ça fait cinq de plus. Un, deux, trois, quatre, cinq. Bon, c’est bon.

150 Seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt. Un, deux, trois, quatre. J’en vois seulement quatre. Vingt, est-ce que vingt a répondu? Très bien. Bon, nous ne voulons pas qu’il y en ait trop debout en même temps. Mais, si nous arrivons à faire passer ceux-là, et qu’il est encore assez tôt, nous pourrons en prendre d’autres. Nous n’appelons... Peut-être que nous...

151 Prenons-en quelques-uns de plus. Prenons-en cinq de plus. Vingt et un à vingt-cinq, dans les J, qu’ils se lèvent, s’il vous plaît. Vingt et un à vingt-cinq. Un, deux, trois, tout au fond là-bas, quatre. Un, deux, trois, quatre, ça fait cinq. D’accord, maintenant arrêtons-nous là. Il y en a vingt-cinq dans la ligne, et ils–ils sont en train de se mettre en ligne, ici.

152 Maintenant je vais vous demander une faveur. Voulez-vous m’accorder toute votre... accorder à Dieu toute votre attention, pendant les quinze ou seize prochaines minutes? Voulez-vous le faire? Et voulez-vous faire ceci, ouvrir votre coeur? Maintenant, rappelez-vous ce que j’ai dit. Que ça ne vous glisse pas sur le dos, comme l’eau sur le dos d’un canard, comme dit le vieux dicton. Ne faites pas ça. Considérez Ceci.

153 Si je vous dis quoi que ce soit qui n’est pas dans l’Écriture, et qui n’est pas une promesse pour cette heure, c’est votre devoir, voyez l’organisateur ici et venez m’en parler. C’est exact. Je–je n’enseigne rien d’autre que ce qui est dans la Parole. Et, si je m’en tiens strictement à cette Parole, et si je dis qu’il En est ainsi, et que Dieu... C’est dans la Bible. Si l’Ange du Seigneur me disait quelque chose qui n’est pas dans la Bible, ce ne serait pas l’Ange du Seigneur. C’est exact. Il ne m’a jamais dit, pas une seule fois, quelque chose qui n’était pas dans cette Parole, et vous m’en êtes témoins. Il n’a jamais dit une seule chose, des centaines de milliers et de milliers, et des langues du monde, pas une seule fois Il n’a dit quelque chose de faux, ou dit quelque chose qui ne soit pas arrivé.

154 Écoutez. Demandez à l’organisateur et aux autres ici. Ce que vous voyez tous ici, ce n’en est que le côté amateur. Pas vrai, les frères? [Les frères disent : “C’est vrai.”–N.D.É.] Oh, là-bas, et là dans la vie privée, quand Il dit : “Va à tel endroit, et tu vas voir ceci. Et ceci va arriver. Et dis ceci, là, à cet endroit-ci.” C’est simplement continuel, tout le temps, vous voyez, à longueur d’année. Les gens dans l’auditoire ne voient que les–les petites choses. Mais, maintenant, si vous voulez être respectueux.

155 Maintenant, est-ce que tous ceux qui sont dans cette ligne de prière, debout ici, sont des inconnus pour moi? Levez la main si vous l’êtes. Très bien. Combien dans l’auditoire sont... savent que je ne vous connais pas du tout? Levez la main. Maintenant, pendant que... Merci. Peu m’importe où vous êtes, que vous soyez là-haut au balcon, là-bas contre le mur, de ce côté-ci, où que vous soyez. Je vais...

156 Or, ceci, c’est pour votre bien. C’est pour vous aider. Vous voyez, c’est pour vous aider.

157 Je pensais que c’était mon petit-fils qui me parlait, là, mais ce n’était pas lui. J’ai un petit-fils quelque part ici, ce soir, il est à peu près de cette taille-là, alors je pensais que c’était le petit Paul. Il dit toujours qu’il va monter sur l’estrade, venir prêcher pour moi, et il n’a pas tout à fait deux ans encore. Je pense que ce petit garçon cherche sa maman.

158 Donc, souvenez-vous, j’essaie de vous aider. Je... Dieu le sait. J’essaie de vous aider, vous voyez. Maintenant, regardez, je veux que vous en retiriez quelque chose, s’Il vient au milieu de nous.

159 Maintenant, pensez-y, la Personne de Jésus-Christ, à l’oeuvre dans la chair, comme Il a promis de le faire à la fin. Combien savent qu’Il l’a promis? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Exactement comme ça s’est passé, là-bas à Sodome, quand l’Ange avait le dos tourné, et... C’était Dieu. Croyez-vous que c’était Dieu? Combien croient que c’était Dieu? [“Amen.”] Bien sûr que oui. La Bible a dit que ça l’était. Et Il... Jésus y a fait référence. Maintenant, remarquez.

160 Maintenant, vous dans l’auditoire, qui n’avez pas de carte de prière, je veux que vous fassiez quelque chose pour moi, où que vous soyez. Maintenant, rappelez-vous, ces choses, soyez attentifs quand Il vous dit que vous êtes guéri, ou ce qu’Il vous dit de faire. Soyez attentifs à ce qu’Il dit. S’Il vous le dit, simplement, c’est pour faire grandir votre foi. Et alors, quand votre foi est à la hauteur, vous n’avez qu’à tendre la main pour accepter Dieu. Ce n’est pas moi, parce que le Père Céleste le sait.

161 En regardant dans la ligne, ici, je ne vois pas une seule personne que je connais. Dans tout l’auditoire, je ne vois qu’environ deux ou trois personnes que je connais. Et je ne sais pas, en ce moment, si je peux dire, en montrer une seule. Je sais qu’Edmond Way était ici il y a quelques minutes. Je pensais l’avoir vu, et je–je...

162 Si je ne me trompe pas, en effet, je vois quelqu’un que je connais, c’est un homme avec son épouse et sa petite fille, du nom de Fritzinger, qui viennent de là-bas, dans l’Ohio. Est-ce que, êtes-vous Frère–Frère Fritzinger? Vous êtes assis dans un genre de recoin, où... C’est Frère et Soeur Fritzinger, de l’Ohio, des amis à moi.

163 Et, à part ça, assis là-bas, il y a... Je vois de ce côté, ici, un vieillard qui aura bientôt quatre-vingt-douze ans, du nom de William Dauch. Lui et son épouse. Elle est infirmière. William Dauch, de l’Ohio, un ami très intime à moi. Il n’y a pas longtemps, il a eu, à quatre-vingt-onze ans, il a eu un arrêt cardiaque, complet, une crise cardiaque, et son épouse m’a appelé, pour que je vienne tout de suite, il se mourait. Et...

164 Il a vraiment été un ami très cher pour moi. Comme je faisais route pour aller le voir, j’étais inquiet. Et je me suis arrêté, une de mes roues était désaxée, ce qui était en train de ronger mon pneu, alors je suis entré dans une station-service Texaco, pour prendre de l’essence, et ils sont sortis, ils ont regardé ça. Et quand j’ai levé les yeux, j’ai vu Frère Dauch qui venait vers moi, dans mon église, et qui me serrait la main. J’ai dit : “Gloire au Seigneur.” Et j’ai regardé de ce côté-ci, et le voici qui venait dans la rue, et qui me serrait la main. Je suis allé le voir.

165 J’ai vu son médecin, un jeune Juif, ou plutôt un homme d’un certain âge, un Juif. Et j’ai dit : “Qu’est-ce que vous en pensez, docteur?”

166 Il a dit : “Il n’a même pas la moindre chance de s’en sortir.” Il a dit : “Il est sous la tente à oxygène.” Il a dit : “Il ne va pas tarder à mourir.” Il a dit : “N’oubliez pas qu’il a quatre-vingt-onze ans.”
J’ai dit : “Oui, monsieur.”

167 Il a dit : “C’est un arrêt cardiaque, complet. Il n’y a rien à faire.” Il a dit : “C’est son heure, il s’en va.”

168 Et j’ai dit : “Oui, monsieur. Seulement, non, il ne s’en va pas. Voilà tout.”

169 Je suis entré, j’ai glissé ma main sous la tente. J’ai dit : “Frère Dauch, est-ce que vous m’entendez?” Il a levé les yeux vers moi. C’est un Allemand, et, à vrai dire, son nom, c’est D-a-u-g-h, mais moi je le prononce simplement Dauch, vous voyez. Et je–et j’ai glissé ma main sous la tente, et j’ai dit : “Vous m’entendez, Frère Dauch?”
Il a dit : “Oui.”
J’ai dit : “Vous ne mourrez pas. Je l’ai vu, vous ne mourrez pas.”

170 Une semaine plus tard, j’étais dans mon église, et qui est-ce qui est venu vers moi dans l’église : nul autre que Frère Dauch! Je suis parti, après la réunion, et je suis allé de l’autre côté de la rivière, manger dans une cafétéria. Et, quand je suis descendu de ma voiture, je montais la rue, et voici Frère Dauch qui arrive, la main tendue vers moi. Ces visions ne faillissent pas.

171 Et cet homme, âgé de quatre-vingt-onze ans, et il assiste à toutes les réunions, il a été jusqu’en Californie. Voulez-vous simplement lever la main, Frère Dauch, là où vous êtes assis, pour que les gens puissent voir un vrai soldat, là. Ici, il est assis juste ici, vous voyez, quatre-vingt-onze ans, et il assiste à toutes les réunions. Quand je suis au Tabernacle, il fait tous les jours des centaines de milles en voiture, il vient m’écouter apporter une petite prédication et ensuite il repart. Dieu! “Vers le soir la Lumière paraîtra.”

172 J’ai dit, l’autre jour je lui parlais, j’ai dit : “Qu’est-ce que je peux faire pour vous, Frère Dauch?

173 – Je ne demande qu’une chose, Frère Branham. Quand Il viendra, je veux partir avec Lui.”

174 J’ai dit : “Ne vous en faites pas. Ça, c’est assuré. Certainement.” Bon, et cet homme est venu, il s’est fait baptiser, oh, il est venu et il a reçu le baptême du Saint-Esprit et tout, simplement un merveilleux serviteur de Christ.

175 Maintenant, je vais demander à tout le monde d’être très respectueux, regardez de ce côté-ci et priez.

176 Maintenant, combien d’enseignants ici savent qu’Il est, maintenant même, le Souverain Sacrificateur qui peut compatir à nos infirmités? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours, et le même Souverain Sacrificateur, alors Il agira de la même façon. Seulement, Il, Son corps est au... sur le Trône de Dieu. Combien savent ça? [“Amen.”] Le corps de Jésus est sur le Trône de Dieu. Mais Il se sert de notre corps pour Se manifester, exactement comme Il a promis de le faire. “Les oeuvres que Je fais vous les ferez aussi.”
Je vais vous demander de rester assis tranquilles, soyez respectueux, veillez, priez.

177 Maintenant, Père Céleste, j’ai fait de mon mieux pour être aussi respectueux que possible à ce sujet. Maintenant, un seul mot de Toi, maintenant, Seigneur, et alors, puisse la petite Voix tranquille descendre dans cet auditoire et dire : “C’est Moi; n’ayez pas peur.” Accorde-le, Père. Et je m’en remets à Toi, avec le Message qui a été prêché ce soir, avec Ta Parole, pour que Tu La confirmes. Tu n’es pas obligé de le faire. Mais Tu le feras, ou Tu le fais, parce que Tu l’as promis. Je Te prie de l’accorder, au Nom de Jésus. Amen.

178 Que tout le monde soit très respectueux, vraiment très respectueux. Bonjour. Maintenant, je vais vous donner des passages de l’Écriture au fur et à mesure. Si le Seigneur le fait, je ne sais pas. Mais... Et de prêcher comme je l’ai fait, vous voyez, c’est un certain genre d’onction. Et maintenant c’est un autre genre d’onction. Celle-là, c’en est une qui vous bénit. Celle-ci, rien qu’une chose, et vous êtes presque sans vie.

179 Bon, cette dame se tient ici. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Sommes-nous des inconnus? Je crois que vous avez dit, tout à l’heure, que je ne vous connaissais pas. Dieu vous connaît. Il me connaît. Est-ce que vous savez que, de nous être tenus ici en ce moment, nous aurons à en répondre au Jour du Jugement? [La soeur dit : “Amen.”–N.D.É.] Vous en êtes consciente? Vous savez que ce que nous faisons maintenant, Dieu nous en tiendra pour responsables là-haut? Si j’ai dit ça, c’est dans un but. Maintenant, si le Seigneur Jésus me révèle ce que vous faites, ce qui vous préoccupe, ou quelque chose comme ça, le croirez-vous? Vous ne pourriez pas faire autrement que de le croire, n’est-ce pas? [“Amen.”]

180 Est-ce que vous le croiriez, vous, là, dans l’auditoire? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]

181 Maintenant, nous nous tenons là, exactement comme la femme au puits et notre Seigneur, un homme et une femme qui se rencontrent pour la première fois. Voyez? Nous sommes là, nous nous rencontrons pour... Ça, c’est Jean, chapitre 4. Maintenant, si le Saint-Esprit dit... Si vous êtes ici pour quelqu’un d’autre, si vous êtes malade, s’il s’agit d’un problème dans votre ménage, s’il s’agit de problèmes financiers, ce dont il peut s’agir, je n’en ai aucune idée. Mais Lui, Il sait. Mais Lui, Il peut discerner les pensées qui sont dans votre coeur. Il est la Parole. Moi, je ne peux pas. Je suis un homme. Vous êtes un petit peu nerveuse, et c’est pour ça que je fais ceci, vous voyez.

182 C’est un de vos problèmes, la nervosité. C’est exact. Et vous avez du diabète aussi, c’est une autre chose qui ne va pas chez vous. C’est exact. Des complications, il y a vraiment beaucoup de choses qui ne vont pas. Pas vrai? Si c’est vrai, levez la main. Voyez? Croyez-vous qu’Il va vous guérir? [La soeur dit : “Oui, je le crois.”–N.D.É.] Vous le croyez? Eh bien, votre nervosité, c’est dû à votre âge, vous voyez, mais maintenant vous allez être débarrassée de tout ça. Et je crois que, par la foi, nous allons nous rendre au Calvaire, pour recevoir une transfusion de Sang.

183 Maintenant, c’est exactement ce qu’Il avait fait. Il a dit à la femme au puits quel était son problème. Le sien, c’était qu’elle avait trop de maris. Le vôtre, c’était quoi... La nervosité, je pense, et deux ou trois autres choses qui n’allaient pas. C’est vrai, n’est-ce pas? C’est la même chose.

184 Maintenant, quand Il est venu vers Simon, Il lui a dit qui il était. Croyez-vous que Dieu peut me dire votre nom? Est-ce que ça vous donnerait plus de foi? Oui? Mme Strong... [La soeur dit : “Stout.”–N.D.É.] Stout, est-ce que vous croiriez? Allez et croyez, et vous... C’est terminé. Amen.

185 Venez. Croyez-vous? Je suis un inconnu pour vous aussi. Je ne vous connais pas. Dieu, Lui, vous connaît. Croyez-vous qu’Il peut me révéler ce qui ne va pas chez vous? Et, s’Il le fait, alors, que le Seigneur Dieu soit béni. Est-ce vrai? [La soeur dit : “Oui, c’est vrai.”–N.D.É.] Maintenant, vous n’avez–vous n’avez pas de raison de vous inquiéter, vous voyez, c’est–c’est Lui, ce que vous ressentez là. Très bien. Vous aussi, vous souffrez de nervosité, de nervosité mentale, un rien et vous êtes toute chavirée. Et vous souffrez d’un problème de vésicule, votre foie ne fonctionne pas bien, et vous êtes anémique. C’est exact. Vous avez quelque chose...

186 Il y a un homme qui apparaît sans cesse devant moi, ici. Croyez-vous que Dieu peut vous guérir? [La soeur dit : “Oui, je le crois.”–N.D.É.] Guérir votre mari aussi, lui redonner la santé? Pensez-vous que ses maux d’estomac vont s’en aller, et qu’il ira bien? C’est de ça qu’il souffre. Allez lui imposer les mains, dites-le-lui, et ça–ça partira.

187 Je suis un inconnu pour vous. Le Seigneur Jésus nous connaît tous les deux, n’est-ce pas? Croyez-vous que Dieu peut vous guérir? Si le Seigneur Jésus me révèle la chose qui... que vous... qu’il y a dans votre coeur, croyez-vous qu’Il vous guérira? Vous avez eu des ennuis. Vous avez un–un–un problème de vésicule biliaire, ça, c’est une chose. Et autre chose, cela a produit de l’ulcération dans votre vésicule, mais, c’est ce que votre médecin a dit. Maintenant, une autre chose, c’est qu’ils veulent opérer ça. C’est tout à fait exact. C’est vrai, n’est-ce pas? Maintenant, croyez-vous qu’Il peut vous éviter ça? Pensez-vous que vous avez la foi en Lui? Maintenant, vous savez que ce n’est pas moi qui fais ça. Croyez-vous? Très bien. Allez, et qu’il vous soit fait selon votre foi.

188 Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, j’imagine. Le Seigneur Dieu nous connaît tous les deux. Croyez-vous qu’Il est capable de me révéler les choses qui pourraient vous aider? [La soeur dit : “Oui, je le sais.”–N.D.É.] Vous–vous croyez qu’Il le fera. [“J’en suis absolument sûre.”] Je dis... “Absolument sûre”, c’est très bien. C’est très beau, ça. Maintenant, il y a beaucoup de choses qui ne vont pas chez vous, tant de complications et tout, et une espèce de toux dont vous n’arrivez pas à vous débarrasser. Et vous êtes très nerveuse. Et–et c’est, c’est exact.

189 Et puis, vous avez un fardeau sur votre coeur, et ce fardeau, c’est pour quelqu’un, pour votre fils. Il a un–un problème, des problèmes de ménage. Lui et son épouse, ils sont toujours en train de se disputer, et ils n’arrêtent pas de...?... Et vous avez un fardeau à cause de ça. C’est exact. Maintenant, croyez de tout votre coeur, et tout cela se réglera et disparaîtra. Croyez maintenant. Que le Seigneur vous bénisse.

190 Bonjour, monsieur. Je suis un inconnu pour vous, et–et vous êtes un inconnu pour moi. Et ça–ça commence... Avec les visions, là, je vois, on dirait qu’il y a comme de la lumière dans tout le bâtiment, c’est comme si un genre de tourbillon se promenait. Voyez? Mais, croyez-vous que le Seigneur Jésus peut me révéler la raison pour laquelle vous vous tenez là? Vous croyez qu’Il le ferait? Je le crois aussi. Si je vous parle, c’est pour contacter votre esprit, exactement, c’est pour ça que je le fais. Vous voyez, comme je ne vous connais pas, il faut forcément que ce soit autre chose que moi qui agisse. Je dois m’ôter du chemin, d’une façon tellement complète que ce soit Lui qui agisse, Lui-même. Vous comprenez?

191 Maintenant, une chose, c’est que vous souffrez d’une nervosité extrême, et cette nervosité dure depuis pas mal de temps. C’est exact. [Le frère dit : “C’est exact.”–N.D.É.] Et à cause de cette nervosité, vous faites aussi de l’hypertension artérielle. Et vous avez eu une attaque. [“C’est exact.”] C’est ça. Dites donc, ou bien vous avez déjà été prédicateur, ou bien vous êtes prédicateur. [“J’en suis un.”] Donc, vous êtes prédicateur; je vous voyais vous tenir en chaire. Alors, ayez foi en Dieu, et cette nervosité s’en ira. Tous les prédicateurs ont cela. Vous vous en tirerez. Retournez à votre chaire, obéissez à Dieu, et restez fidèle à cette Parole, Jésus-Christ.

192 Croyez-vous que votre mal de dos est parti quand vous étiez assise sur votre chaise? Le croyez-vous? [La soeur dit : “Oui.”–N.D.É.] Bon, très bien, alors continuez simplement à avancer, en disant : “Merci, Seigneur.”

193 Venez, madame. Bonjour. Croyez-vous que je suis Son serviteur? [La soeur dit : “Certainement.”–N.D.É.] Très bien. Croyez-vous que vos problèmes féminins, vos problèmes gynécologiques vont s’en aller? [“Amen.”] Vous le croyez? Dans ce cas-là, allez, dites : “Merci, Seigneur.”

194 Des ennuis rénaux, des maux de dos, dans le dos. Croyez-vous que Dieu vous guérira et vous rétablira de ça? Croyez-vous qu’Il va vous rétablir? Très bien, allez votre...?...

195 Venez, madame. Je suis un inconnu pour vous. Si je ne vous disais rien du tout, est-ce que vous croiriez que la Présence de Dieu est ici pour guérir les malades? [La soeur dit : “Certainement, je le crois.”–N.D.É.] Vous le croiriez? Eh bien, dans ce cas-là, vos maux d’estomac... Bon, je vous l’ai dit, vous voyez. C’est–c’est parti. Je vous l’ai dit, vous voyez. [“Merci, mon Dieu! Oh, merci, Jésus.”]

196 Bonjour, monsieur. Dieu habite dans le coeur. Et votre coeur a fait des siennes dernièrement, gravement. Croyez-vous qu’Il le guérira? Continuez votre chemin et croyez-le. Que Dieu vous bénisse. Croyez-le; Il le guérira.

197 Vous souffrez de nervosité, c’est ce qui a causé votre problème à l’estomac, un ulcère à l’estomac. Il vous fait mal après avoir mangé. Croyez-vous que c’est complètement parti, maintenant? Allez prendre quelque chose à manger.

198 Vous avez pas mal de difficulté à vous lever, vous avez tellement mal au dos. [Le patient dit : “Oui, monsieur.”–N.D.É.] Vous n’aurez plus mal, si vous le croyez. Le croirez-vous? [“Oui, monsieur.”] Très bien, continuez votre chemin, et que le Seigneur Jésus vous rétablisse complètement.

199 Pourquoi êtes-vous si nerveux? Continuez simplement votre chemin, en disant : “Je ne serai plus nerveux”, et vous ne le serez plus. Allez et croyez. Très bien, monsieur.

200 Venez, madame. Maintenant, une femme éthiopienne et un homme blanc, quelque chose de tout à fait semblable à ce qui s’est passé ce jour-là, avec Jésus. Il y avait de la ségrégation, comme il y en a déjà eu dans le Sud, mais on n’en a plus maintenant. Jésus leur a fait savoir que tous les peuples faisaient partie du peuple de Dieu. Il n’y avait aucune différence, vous voyez, qu’elle soit Juive ou Samaritaine.

201 Maintenant, si Dieu ne vous vient pas en aide, très bientôt cette arthrite vous rendra infirme. Mais croyez-vous qu’Il vous viendra en aide, qu’Il vous guérira? Exactement comme cette femme l’avait fait, continuez votre chemin, allez raconter à votre peuple les grandes choses que Dieu a faites pour vous. Très bien.
Maintenant, il y a un chirurgien qui est là, il est prêt à sortir son bistouri.

202 Un instant. Ce n’était pas cette femme-ci. Un instant, maintenant, que tout le monde soit respectueux, là. C’est–c’est Satan, qui a essayé de faire quelque chose. Voici ce que c’est. Une tumeur, une tumeur, vous deux. C’est exact. Vous avez une tumeur, elle a une tumeur, et ce démon criait pour recevoir de l’aide de l’autre. Mais le Saint-Esprit aussi, Il crie. Qui allez-vous croire? Lui? Très bien. Levez-vous de sur cette civière, madame. Levez-vous de sur ce brancard. Levez-vous de là, et croyez. Allez, croyez-Le maintenant. Amen.

203 Croyez-vous? Tout est possible. Croyez-vous? Et vous, dans l’auditoire? [L’assemblée et ceux qui viennent d’être guéris se réjouissent.–N.D.É.]

204 Levons-nous tout de suite. Tout de suite, c’est le moment de le faire. Que chaque personne... Que Dieu vous bénisse. Que chaque personne se lève tout de suite. Donnez gloire à Dieu. Levez vos mains.

205 Merci, Seigneur Jésus! Nous Te louons pour Ta grandeur, et parce que Tu as guéri les malades. [L’assemblée continue à se réjouir.–N.D.É.]

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