Ecoutez-Le

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Date: 57-0310E | La durée est de: 1 hour and 38 minutes | La traduction: Shp
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1 Merci, frère. C’est très gentil de votre part, merci. [L’auditoire applaudit. – N.D.E.] Je dis : «Que Dieu vous bénisse tous.» Et merci beaucoup. J’espère revenir très bientôt à Phoenix. Inclinons maintenant la tête pour la prière.
Dieu notre Père, nous sommes si heureux ce soir de savoir que ce groupe de gens nous aime, et que nous les aimons; et que nous tous ensemble, nous T’aimons. Et c’est à cause de Ton amour que nous nous aimons les uns les autres. Et puisse cet amour être immortel et ne jamais finir. Bénis-les, Père. Donne-leur ce qu’il y a de mieux dans le Royaume. Et un jour, quand la vie de chacun de nous sera complètement finie, puissions-nous nous rassembler dans Ta maison, et là, être heureux de manger à Ta table, vivre ensemble pour toujours. En attendant, garde-nous en bonne santé, heureux, à Ton service. Bénis-nous ce soir, guéris la maladie parmi nous. Sois miséricordieux envers nous et pardonne-nous nos péchés; nous prions au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2 C’est à peine si je sais quoi dire ce soir. Ma femme m’a dit cet après-midi... J’ai si durement prêché que j’étais sur le point de... à cause de cela, ma gorge crache du sang et ma poitrine me fait mal ici. Elle a dit : «Qu’est-ce qui te fait prêcher si durement?»
J’ai dit : «Ecoute, j’ai les Rachetés du Seigneur devant moi.» J’ai dit: «Aux yeux de Dieu, ils ont plus de valeur que le sang de Son propre Fils.» Vous avez été rachetés par le sang de Son Fils. Et j’aime y mettre tout mon être, par amour pour Christ et pour vous.

3 Et vous êtes si bons et si gentils envers moi. Je vous remercie, chacun de vous, pour votre présence. Même si peut-être vous pouvez être en désaccord avec moi au sujet des maladies – sur le fait de prier pour les malades et sur les autres choses, vous êtes quand même venus. Cela montre qu’il y a quelque chose d’authentique en vous, et c’est ce que j’aime.
Phoenix a toujours eu une place dans mon coeur. Ma femme et moi, nous avons l’intention, un de ces jours, si – si c’est la volonté du Seigneur, peut-être l’automne prochain, de venir vivre quelque part ici à Phoenix, le prochain – l’hiver prochain. Si c’est la volonté du Seigneur...?... [L’auditoire applaudit encore. – N.D.E.] Merci.

4 Et à vous les pasteurs, nous ne venons pas pour commencer une église, pas du tout. Nous venons... Pendant que je suis ici, j’irai d’une église à une autre, partout, pour visiter tout le monde et prier pour eux. [L’assemblée applaudit encore. – N.D.E.] Merci.
Et je ne voudrais pas... Je pense que Phoenix est beau. Autrefois, quand j’étais un jeune garçon, j’ai vécu ici. Et j’habitais ici au croisement de la 16e rue et de la rue Henshaw. Comme Phoenix est devenu plus important depuis cette époque-là! Je me souviens que j’avais coutume d’amener mon cheval là pour l’abreuver (à la rivière Salt), juste derrière, au croisement de la 16e rue et de la rue Henshaw, près du tabernacle de frère Ballard. Et en ce temps-là, c’était très loin dans la nature, pendant que le cheval s’abreuvait, j’allais nager. Et imaginez simplement le croisement de la 16e rue et de la rue Henshaw d’il y a vingt ans.

5 Eh bien, on a construit, et j’ai vieilli, c’est donc tout à fait différent. Mais, je peux toujours m’en souvenir. Je me souviens que je travaillais là, il se pourrait qu’il y ait quelqu’un ici ce soir qui vivait ici près de Wickenburg, au ranch Circle R. Je ne sais pas si vous vous souvenez de cela, vous les anciens ici. J’étais là. Je me rappelle que le nom de l’homme pour qui je travaillais, c’était Dale, au ranch Circle R, juste entre Glendale et – et Wickenburg. Je me souviens que nous allions là, soit à Glendale, soit là à Wickenburg.
Et c’est... A la même époque, je ne le savais pas, mais l’un de mes associés prêchait à Wickenburg à la même époque. Il était alors dans le ministère, et il est un peu plus âgé que moi; c’est Gordon Lindsay. Et il vivait là.
Je me rappelle qu’une fois, ça m’a pris toute une journée de voyage, et nous avons dû quitter tôt le matin et conduire jusque tard cette nuit-là pour arriver à Ajo, par une route cahoteuse, juste comme cela. Et je suis allé l’autre jour à Glendale, et c’est devenu une très bonne autoroute sur tout le parcours. J’aimerais visiter encore Ajo. J’espère me trouver ici dans la vallée le plutôt possible, si c’est la volonté du Seigneur.

6 Nos petits enfants, nous avons un garçonnet. Je lui ai parlé ce soir, il a vingt-deux mois maintenant. Il était – il dit seulement : «Papa et maman, all bon.» [au lieu de All gone. N.D.T.] C’est à dire: «Tous partis.» Et aussi, je... Ma fillette a six ans, elle va à l’école. Et je... la petite – l’autre fillette a onze ans. Je pense que c’est juste, chérie, où qu’elle puisse se trouver, ma femme. Et je... Elle se trouve quelque part ici. Elle se cache pour que je ne la vois pas, car elle craint que je ne la fasse se tenir debout. Vous parlez d’une personne timide! Elle l’est. Et... Mais elle est une... Il n’y a pas que ça, mais elle est une aimable personne. Certes, ma prière est que chaque personne, chaque jeune homme qui est ici, quand vous serez marié, que vous soyez tout aussi heureux avec votre femme, tout aussi heureux ensemble que nous le sommes, Madame Branham et moi, de vivre ensemble pour le Seigneur Jésus, élevant nos enfants.

7 Et je l’aime, et simplement je... Elle m’aime, et ensemble, nous aimons donc le Seigneur. Et nous sentons que le Seigneur – le Seigneur nous a unis, et j’espère que nous resterons ainsi tant qu’il y aura la vie dans nos corps. Et un jour, nous vivrons dans la gloire.
J’aimerais remercier chacun de vous pour votre présence. J’aimerais remercier ce merveilleux groupe de ministres ici présents qui ont apporté leur concours. Et vous voyez leurs noms, je pense, quelque part par ici. Et combien nous apprécions cette collaboration. Vous êtes très gentils. Et j’aimerais remercier tous les huissiers; vous avez fait un travail merveilleux, et pour toute la musique, cette dame-ci qui a joué à la musique, et pour chacun de vous.

8 Et aussi, pour l’offrande que vous m’avez donnée, l’offrande d’amour. Je n’étais pas venu pour ça, mes amis. J’aurais souhaité ne même pas devoir en recevoir. Et nous n’acceptons pas que l’on fasse pression sur les gens dans une réunion. Je crois que toutes les dettes ont été payées, et tout est parfait. Nous vous remercions pour avoir fait cela. C’était gentil de votre – de votre part. L’offrande que vous m’avez donnée est une partie de moyen de subsistance pour votre famille. Je le sais. Vous êtes des gens pauvres. Je souhaiterais ne pas devoir prendre cela. Mais j’ai trois enfants, un foyer; mes dépenses s’élèvent à cent dollars par jour.
Bon, bien sûr que cela ne semble pas – ça semble être beaucoup pour moi. Mais cela représente très peu pour frère Roberts, ou pour frère Allen, ou pour l’un de ces frères qui ont de très grands programmes qui nécessitent beaucoup d’argent. Et c’est la raison pour laquelle je n’ai pas besoin d’avoir beaucoup d’argent; je ne suis pas soumis à des dépenses. Je n’ai pas d’émissions de télévision. Je ne suis simplement pas… Je crois que le Seigneur ne m’a pas appelé pour ça. Je suis trop illettré pour commencer. Je ne suis rien dans les affaires, et je ne crois pas que je saurais gérer un… Comme frère Allen, frère Roberts et beaucoup d’autres qui ont de grandes émissions… Je pense que frère Roberts a besoin d’environ sept ou huit mille dollars par jour pour couvrir ses dépenses.

9 Et bien, si j’avais tout ça à l’esprit, je – je serais pire que je ne le suis maintenant. Je – je – je ne pense pas que je pourrais me reposer. Mais je – je suis si heureux que je n’aie pas cela à l’esprit. Je peux aller à une toute petite église, où je peux, si le Seigneur veut que j’y aille… J’ai prêché pratiquement à des milliers à la fois : cent cinquante mille ou deux cent mille, et ainsi de suite. Quand je le fais, le Seigneur met toujours sur le coeur de quelqu’un d’aider à me sponsoriser pour aller outre-mer. Alors, quand Il veut que j’aille à un petit, ce que nous appelons un coin perdu, juste un petit endroit là où… J’ai prêché il y a quelques semaines dans une église qui avait trente, trente personnes. Le frère avait besoin d’aide. J’ai senti que le Seigneur voulait que j’aille là, j’y suis donc allé. Et c’est cela. Vous voyez, je – je n’ai pas besoin d’avoir beaucoup, il ne faut donc pas beaucoup pour me faire fonctionner. Donc, je suis très reconnaissant pour votre aide.

10 Eh bien, au mieux de ma connaissance, j’investis chaque centime de cela pour la gloire de Dieu. Et un jour, mon ami, quand nous nous rencontrerons sur un – dans un pays meilleur, dans le pays de Dieu, là où nous ne vieillirons jamais et ne serons jamais malades… Nous ne prierons plus jamais pour les malades. Tous les vieux redeviendront jeunes. Et ne sera-ce pas merveilleux ?
J’espère rencontrer chacun de vous, m’asseoir, vous serrer la main, parler avec chacun de vous pendant juste mille ans. Vous voyez ? Nous n’aurons pas moins de temps que nous – que nous en avions à la première heure après notre entrée. Il n’y aura alors plus de temps; tout sera éternité.

11 Et je prie que celui qui fait briller la lune d’un éclat vif, qui fait briller les étoiles pour le voyage nocturne, j’espère qu’Il va veiller sur vous et vous protéger jusqu’à ce que nous nous rencontrions de l’autre côté. Que Dieu vous bénisse !
C’était quelque chose que j’avais à l’esprit : oui, remercier les gens pour cet auditorium, cette – cette arène-ci. J’aimerais les remercier, si l’un d’eux est présent, les gardiens et les autres, c’était vraiment gentil. C’est environ la deuxième ou la troisième fois que je me retrouve en cet endroit, et j’aimerais vraiment vous remercier.

12 Quand j’ai franchi la porte il y a juste quelques instants, on m’a présenté à un ministre qui n’avait pas de membres. Je crois que c’est le diabète qui lui a fait perdre ses membres, il y a quelque temps. Et il était dans un petit fauteuil roulant…?… serré la main à cet homme. Quoiqu’il n’eût pas de membres, quand je me suis agenouillé ou plutôt incliné là et que j’ai offert une petite prière pour lui, il a levé les mains et a loué Dieu. Oh! la la! Comme c’était merveilleux ! Que le Seigneur bénisse cet homme.
Et maintenant, souvenez-vous de moi. Combien vont prier pour moi? Je prierai pour vous. Merci, mon ami. Que Dieu vous bénisse, chacun de vous. Je prierai pour vous.
Bon, je vois certains de mes amis, les Indiens qui sont assis là au fond, ce soir. Venez-vous tous de là chez les Apaches, les Apaches ? Etes… J’ai tenu une merveilleuse réunion là-bas, la dernière fois que j’étais là. Combien étaient là et ont vu cette petite fille, la princesse indienne, recouvrer la vue ? Je crois que son père se trouvait derrière elle. Comment les médecins et les autres sont allés là pour examiner ces…

13 Nous avons toujours passé un bon moment là dans les réserves, et je voulais revenir cette fois-ci. Je suis très enroué, et je sais que je ne pourrais pas parler à l’extérieur. Je vois que vous comprenez l’anglais, n’est-ce pas, madame ? Parlez-en aux frères là-bas de ma part, voudriez-vous donc le faire pour moi ? Dites-leur que je n’ai pas pu venir parce que je suis très enroué et très fatigué. Mais s’il n’y a rien d’autre, je viendrai. Je serai bientôt dans la vallée, si le Seigneur le veut. Et je viendrai et tiendrai une très longue réunion pour vous tous là-bas. Priez que Dieu vous accorde des bénédictions.
Je connais tous les autres membres de leur famille qui sont ici. Tous, nous apprécions les Indiens, n’est-ce pas, mon ami, chacun de nous ? C’est sur leur – c’est sur leur terre que nous vivons. Qui est l’Américain ? C’est celui que Dieu Lui-même a placé ici et à qui Il a donné cette terre, l’Indien, c’est tout à fait exact. Une foi si merveilleuse. Je me souviens de la première soirée qu’on a eue là. Frère Moore, nous pourrons dire beaucoup de choses là-dessus, Frère Brown. Ainsi, merci beaucoup, que Dieu soit donc avec vous.

14 Maintenant, je voudrais parler pour vous dans ce service de la fin, juste pendant quelques instants. Et nous aimerions essayer de tenir cette ligne de prière le plus longtemps possible ce soir, c’est-à-dire, si nous devons en avoir une.
Et maintenant, ne l’oubliez pas, si à n’importe quel moment vous voulez que je prie pour vous, appelez-moi. Si à n’importe quel moment vous désirez un linge sur lequel on a prié, envoyez-le. Demandez-en tout simplement. Je vous l’enverrai. Et maintenant, tout ce que je peux faire pour vous aider, être une bénédiction pour vous, vous aider à résoudre un problème, prier pour vous, faites-le-moi savoir, écrivez-moi tout simplement. Tout est gratuit. On ne vous répondra pas par écrit pour vous harceler ou vous facturer pour quoi que ce soit, ou pour… Je n’ai rien à vendre ou plutôt rien sinon… J’ai l’amour. Et j’aimerais que vous et moi l’exprimions au Seigneur Jésus.

15 Au chapitre 17 du livre de saint Matthieu, à partir du verset 1, je souhaiterai en lire un passage ce soir comme ma dernière pensée pour ce réveil.
Et pendant que vous cherchez cela, si un autre évangéliste vient, n’importe lequel des frères, frère Roberts, ou – ou frère Hicks, ou frère Allen, n’importe qui d’autre, parmi ceux qui viennent dans la région, si vous les rencontrez, saluez-les de ma part. N’importe lequel des ministres qui prient pour… Il se peut qu’ils n’aient pas été à l’église aujourd’hui…

16 Je vais vous dire ce que je pense, à moins que quelque chose de particulier se passe ce soir. La grande chose pour laquelle je priais afin que Dieu l’accomplisse, je pense l’avoir vue se passer cet après-midi, quand environ cent – cent cinquante prédicateurs sont venus ici avec leurs mains vers Dieu, disant qu’ils veulent régler leurs différends, et qu’ils ne se disputeraient plus, mais qu’ils allaient communier les uns avec les autres dans toute la vallée de Phoenix. Je préférerais voir cela s’accomplir plutôt que de voir cinq mille âmes venir à Christ; si simplement ils s’en tiennent à cela et s’y accrochent, on gagnera plus de cinq mille âmes pour Christ. Si seulement ils s’y accrochent.

17 Un seul homme ne peut pas le faire. Nous devons le faire comme un groupe de frères unis. Nous devons faire cela ensemble. Et, frère, tant que nous sommes divisés, nous ne pourrons jamais le faire et plaire à Dieu. En effet, je prie que cela soit le motif de chaque personne, que toutes les divergences soient dissipées, les divergences dénominationnelles, et que nous nous aimions les uns les autres. Six jours après, Jésus prit avec lui Pierre, Jacques et Jean, son frère, et il les conduisit à l’écart sur une haute montagne. Il fut transfiguré devant eux; son visage resplendit comme le soleil, et ses vêtements devinrent blancs comme la lumière. Et voici, Moïse et Elie leur apparurent, s’entretenant avec Lui. Pierre, prenant la parole, dit à Jésus : Seigneur, il est bon… soyons ici; si tu le veux, je dresserai ici trois tentes, une pour toi, une pour Moïse, et une pour Elie. Comme il parlait encore, une nuée lumineuse les couvrit. Et voici, une voix fit entendre de la nuée ces paroles : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection : écoutez-le! Et comme sujet ce soir, je voudrais utiliser les trois derniers mots : «Ecoutez-Le.» [En anglais, il y a trois mots: «Hear ye Him» – N.D.T.]
Bon, quand Jésus était ici sur terre, Il ne se promenait pas au hasard. Il avait une chose à faire : c’était la volonté du Dieu qui L’avait envoyé. Et partout où Il allait, tout ce qu’Il faisait avait un sens, avait un but, avait un – un plan, un plan prédestiné par Dieu, tout ce qu’Il faisait.

18 Et si nous sommes des enfants de Dieu, notre vie est entre les mains de Dieu qui dirige nos pas. Et «les pas du juste sont ordonnés de l’Eternel».
Jésus n’allait pas à des endroits ou ne faisait pas des choses sans que cela ait une raison. Beaucoup d’hommes au cours des âges ont lu cette même Ecriture, et Elle a inspiré des hommes tout au long des âges.
Je peux vous écrire une lettre, et vous, si vous êtes mon ami, vous apprécierez cette lettre. Avant longtemps, cette lettre ne signifiera plus rien; elle sera révolue. Peut-être que quand vous et moi aurons quitté cette terre, alors vos enfants ramasseront cette lettre longtemps… «Ce n’est qu’une lettre. Ma mère connaissait un prédicateur, mon papa aussi, du nom de Branham. Eh bien, ils sont morts.» C’est tout. Car, cela n’était adressé qu’à vous, et sa portée était limitée.
Mais il n’en est pas ainsi de la Parole de Dieu. La Parole de Dieu est pour toute la race humaine, et c’est la Vie Eternelle. Et chaque fois que vous La lisez, il y a des bénédictions qui Y sont attachées. Et chaque fois que vous, dans chaque âge, quand les hommes La lisent, vous Y lisez quelque chose que vous n’avez pas lu auparavant. En tant qu’homme, ma parole n’est qu’une parole vaine. Mais cette Parole a en Elle la Vie Eternelle. C’est une – la Vie de Dieu se trouve dans Sa Parole.

19 Et maintenant, rapidement, parce que je vais juste parler un petit peu. Accordez-moi votre attention.
Bon, si Jésus a pris Pierre, Jacques et Jean, et est monté sur une haute montagne… Eh bien, quelque fois, Dieu rassemble un grand nombre de personnes. Une fois, Il s’est réuni avec cinq cents frères. Une autre fois, Il s’est réuni avec douze, et ensuite Il s’est réuni avec sept, puis avec trois. Et Il s’est réu-… Il… Une fois, Il a rencontré juste un homme. Mais, Il a promis que là où deux ou trois sont assemblés, Il serait au milieu d’eux. Nous avons donc cette assurance bénie ce soir de savoir que Christ est dans ce bâtiment. Car, il ne peut pas retirer Sa Parole, Il doit s’en tenir à Sa Parole.

20 Eh bien, quand ils sont allés sur la montagne… Et trois confirme un témoignage. Dans l’Ancien Testament, sous les lois juives, un témoignage était établi par trois témoins. Une chose devait être confirmée par trois témoignages. Et maintenant, Dieu a amené Christ là sur la montagne, pas juste pour le plaisir de L’amener là-haut, mais Il y est allé dans un but. Il allait faire quelque chose. Et là où est Christ, Il y est dans un but. Et s’Il est ici ce soir, Il est ici dans un but.
Et quand Il était là-haut, observez, Il a pris Pierre, Jacques et Jean; c’est un témoignage. Et ils représentent l’espérance, la foi et la charité. Ce sont de toutes les façons les trois témoignages les plus importants que nous ayons dans le christianisme. L’espérance, la foi et la charité, c’est-à-dire, l’espérance, la foi et l’amour. Pierre représentait la foi; Jacques l’espérance, et Jean la charité. Et puis, avez-vous remarqué que quand ils étaient là (Dieu se préparait à faire quelque chose), Il en avait aussi trois du ciel qui ont dû descendre : Moïse, Elie et Jésus. Il y avait trois hommes de la terre pour servir de témoins de ces événements. Il y avait trois hommes du ciel pour représenter ceci, ou plutôt pour être des témoins de cet événement.

21 Maintenant, observez attentivement, car je n’ai pas tellement de voix.
Trois ici sur la terre : Pierre, Jacques, Jean, de la terre; Moïse, Elie et Jésus, du Ciel, devaient être des témoins de cet événement.
Maintenant, mes frères théologiens, je sais que le vrai sens, la signification de ceci était la venue du Seigneur, l’ordre de la Venue : Moïse et Elie apparaissent et ensuite, ils ont regardé de nouveau, ils ont vu Jésus seul.
Mais ce soir, abordons cela (pendant quelques minutes) d’une autre façon, car toutes les Ecritures sont reliées ensemble; il n’y a de faille. C’est ainsi que certaines choses que je pourrais dire, pourraient vous paraître étranges.
L’Ange du Seigneur qui me parle, ne m’a jamais rien dit qui ne soit confirmé dans les Ecritures. C’est pourquoi je sais que ça vient de Dieu. Voyez?

22 Bon, d’autre part, ce que Dieu faisait ici pour le monde, à mon avis... Si nous retournons dans l’Ancien Testament juste un peu, pour prendre un court passage des Ecritures ici avant que nous terminions avec ceci, ou plutôt que le Saint Esprit enfonce cela pour nous... Dans l’Ancien Testament, il y a des représentations, des types et des ombres; tout l’Ancien Testament était pour ainsi dire l’ombre du Nouveau Testament. Et tout ce qui était dans les deux Testaments est une ombre de ce jour-ci. Bon, nous voyons que dans l’Ancien Testament, quand un enfant naissait dans une famille, nous voyons que dès sa naissance, il était un fils. Quand ce garçon naissait, il était un fils par naissance. Mais avant que nous en arrivions là, j’aimerais vous parler de quelque chose que beaucoup de gens m’ont demandé : Pourquoi Jean 14 est-il écrit ainsi? Il y est dit ceci : « Dans la maison de Mon Père, il y a plusieurs demeures. » N’est-ce pas étrange : « Dans la maison de mon Père, il y a plusieurs demeures ? » Comment une demeure peut-elle être dans une petite maison ?

23 Eh bien, ça doit être Moffat, je crois, ou l’un des traducteurs. J’ai lu cela quelque part. C’était plus irréfléchi que ça. Il est dit : «Dans la maison de Mon Père, il y a plusieurs appartements», comme si vous alliez là-haut pour louer un appartement.
Mais dans l’original, il est écrit ceci : «Dans le Royaume de Mon Père, il y a plusieurs palais.» Mais si vous remarquez, la traduction de la Bible a été faite en Angleterre, du temps du roi Jacques, quand les traducteurs L’ont traduite. Et là, le royaume était une maison, et le roi était un père. Et tous ses délégués, ses – ses sujets, ceux qui étaient dans son domaine étaient ses enfants. Et ainsi, pour rendre cela compréhensible aux Anglais, ils ont traduit cela de cette façon : «Dans la maison de Mon Père, il y a plusieurs demeures.» Cela voulait dire : «Dans le Royaume de Mon Père, il y a plusieurs demeures.»

24 Et maintenant, à l’époque biblique, il en était aussi ainsi. Quand un homme possédait une grande concession, et sur ce territoire, il avait beaucoup d’ouvriers, et ils étaient – ils étaient éparpillés de tous côtés, et ils étaient… Alors quand cet homme, qui était un homme d’affaires, il gérait sa ferme ou sa maison, son cheptel, ses affaires… Quand un garçon naissait, ce garçon était son fils de par la naissance. Mais cependant, ce fils n’héritait pas de tout jusqu’à ce qu’il ait grandi et que le père ait testé son caractère.
Bon, dans l’Ancien Testament, quand cet enfant mâle naissait, le père engageait un tuteur, ou un enseignant, un précepteur. Et pour avoir ce précepteur, ce tuteur… Beaucoup parmi vous connaissent l’épître aux Galates, c’est comme si Paul nous écrivait. Dans le choix de ce tuteur, le père prenait le meilleur homme qu’il pouvait trouver pour ce travail, parce qu’il était assurément intéressé à son enfant. Et tout père fait de même, celui qui est un vrai père. Ça, c’est l’amour d’un parent envers son fils.
Et ce père allait chercher le meilleur tuteur qui pouvait élever son fils, qui pouvait former son fils, instruire son fils, enseigner son fils à suivre les traces du père. Et ce tuteur devait faire un rapport au père sur la manière dont l’enfant évoluait

25 Bon, tout cela était un type de l’église d’aujourd’hui. En effet, quand Dieu nous a amenés dans Son Royaume par le baptême du Saint-Esprit, et que nous sommes devenus des enfants de Dieu, Dieu nous a envoyé le meilleur Tuteur qu’il y avait dans tout le ciel : le Saint-Esprit. Il doit instruire, élever, former, enseigner l’église. Frère, nous avons besoin de l’enseignement et de l’instruction du Saint-Esprit.
Bon, bon, si cet enfant se comportait bien ou s’il se comportait mal, pensez à ce que ferait ce tuteur, en venant devant le père de l’enfant avec, le devoir obligeant, un rapport sur la désobéissance. Comme ce tuteur doit rougir devant le père! «Votre enfant ne se comporte pas bien. Oh, il est insolent, il est indiscret et il se comporte mal. Il ne veut même pas écouter. Il ne veut même pas apprendre. Il est indifférent.» Oh, comme ce précepteur doit se sentir quand il se tient là pour parler au parent dans ce sens-là!

26 Je me demande souvent, frère et soeur, j’espère… Ce n’est pas pour vous blesser, mais c’est pour placer quelque chose devant vous. Comment, pensez-vous, le Saint-Esprit doit Se sentir quand Il va devant Dieu pour Lui faire un rapport sur notre caractère, nos disputes, nos combats, le fait que nous suscitons des divergences, nous brisons la fraternité? Comment pensez-vous que ça doit être quand Il doit aller devant le Père pour dire : «Ton enfant n’est pas allé à l’église ce soir. Les cloches ont sonné, mais il reste à la maison pour regarder la télévision.»
Imaginez-vous ce que ça doit être que de dire : « Tes filles à qui Tu as donné le Saint-Esprit, oh, elles s’habillent d’une manière si immorale que dans la rue elles amènent les hommes à les convoiter.» Combien cela doit attrister le Saint-Esprit d’apporter un tel message ! Imaginez-vous ce que ça doit être de dire : «Père, comme s-…?… notre Dieu envers nous… Comment ils ont des réunions et ils ne font pas ceci et ne font pas cela. Comment je parle à leurs coeurs pour les élever et les former par ce moyen. Et ils ne veulent pas écouter cela.» Comment le Saint-Esprit doit-Il se sentir»?

27 Qu’en est-il alors quand les ministres viennent dans la ville pour prêcher l’Evangile dans la plénitude de la puissance de la résurrection, et que les gens se promènent dans les rues, ils passent outre et se moquent de la Parole de Dieu ? Et le Saint-Esprit doit rapporter cela au Père et dire : «Ils s’en moquent même. Ils ne veulent pas écouter. Ce sont des gens au cou raide. Ils sont guindés. Ils sont des je-sais-tout. Ils ne veulent pas écouter.» Et si le Saint-Esprit (tenez), si le Saint-Esprit enseignait quelque chose, ça sera biblique; car Il a dit : «Quand le Saint-Esprit viendra, Il vous rappellera les choses que Je vous ai enseignées, et vous annoncera les choses à venir.» Tel est le genre de Tuteur que nous avons, le Saint-Esprit, pour révéler et apporter le Livre de discipline du Père, et vous révéler ce qu’est le plan de Dieu. Alors quand nous franchissons les limites et que nous nous détournons de cela par entêtement, que pense le Saint-Esprit quand Il se tient devant le Père pour Lui faire le rapport sur notre caractère ? Pouvez-vous voir, frère, soeur, pourquoi nous ne progressons pas comme nous le devrions ? C’est notre propre caractère qui nous ruine. Bon, nous sommes des enfants. Ne l’oublions pas. Quand vous naissez de nouveau, vous êtes un enfant de Dieu. Nous sommes des enfants, mais des enfants désobéissants.

28 Oh, je souhaiterais avoir la voix et le temps et je pourrais me tenir ici; nous pourrions passer des heures sur la désobéissance de l’Eglise de Dieu. Et le Saint-Esprit revient sans cesse sur cette Parole.
Bon, et si cet enfant s’est bien comporté! Oh, comme le Saint-Esprit aime faire le rapport sur son caractère, comme l’enseignant aimerait venir vers le Père et dire : «Êtes-vous le père de cet enfant?»
«Oui.»
«Très bien, je voudrais vous dire quelque chose. Ce petit enfant est un des garçons les plus intelligents que j’aie jamais vus. Oh, même s’il est jeune, il est vraiment un… Oh, il est bien le fils de son père. C’est tout. Il vous aime. Il est exactement comme vous. Il s’occupe de vos affaires. Il se tient fermement sur ce que vous avez dit. Eh bien, il est vraiment – il est vraiment comme vous.» Combien cet enseignant aime dire cela !
A votre avis, qu’est-ce que ce père va penser ? Il bombe le torse : «C’est mon fils.» Ô Dieu, combien j’espère… J’espère être assez obéissant au point que le Père sera content de ce que j’ai fait. J’espère que vous êtes assez obéissant pour être… au point que cela plaira à Dieu.

29 Puis, par la suite, cela progresse, le temps passe, après un moment… Ensuite, quand cet enfant devient majeur, alors s’il a été un… Et maintenant, s’il n’est pas un enfant obéissant, il n’aura rien d’autre si ce n’est que de rester un enfant.
Frère, la Pentecôte aura cinquante ans cette année en Amérique. Je me pose des questions, cinquante ans.
Si l’enfant était désobéissant, il restait toujours un fils. Il naissait un fils. Mais le père ne pouvait aucunement avoir confiance en lui. Il ne devenait jamais héritier d’un des biens du père (et pourtant, il était un fils); en effet, il ne pouvait avoir confiance en lui. Mais s’il pouvait avoir confiance en lui, il prenait ce fils et déterminait un certain jour, et l’installait dehors à un endroit là dans la rue, il lui faisait porter un habit éclatant, une belle robe, il organisait une grande cérémonie; le père adoptait son propre enfant dans sa famille. En d’autres termes, pour vous les enseignants, c’est du placement du fils que je suis en train de parler. Ce fils était placé dans une position lors d’une cérémonie, et après cette cérémonie, le nom de ce garçon sur le chèque était tout aussi valable que celui du père. Il était, côté position, placé dans une position.

30 Bon, je crois que tous les neuf dons spirituels opèrent dans l’Eglise pentecôtiste, mais cela d’une façon très confuse. Si seulement nous pouvions nous calmer, écarter nos différends, et devenir un seul grand corps uni, Dieu mettrait ces dons exactement à leur place. Alors, vous verrez des miracles s’accomplir, des signes et des prodiges. Ces dons, comme le parler en langues, combien nous utilisons mal cela. Vous sortez de vos gonds à tout moment. Vous rendez-vous compte que c’est mauvais? Certainement, mais mettez cela à sa place et laissez cela être utilisé exactement tel que Dieu l’avait voulu, cela fera descendre la puissance et les bénédictions de Dieu. Si cela n’est pas à sa place, cela causera la confusion, comme Paul l’a dit : «On dira : ‘N’êtes-vous pas tous fous?» ou quelque chose comme ça.

31 La guérison est une chose merveilleuse. Mais si elle est mal utilisée, placée dans une mauvaise position, alors elle devient un opprobre. Il en est de même de tous les autres dons. Et c’est ce que j’ai essayé de vous dire pendant cette semaine, mes chers amis. Ce n’est pas que j’essaie d’être indifférent; ce sont des choses que je sais, que ces grandes choses ne sont pas, quant à leur position, placées là où elles devraient être placées. Vous expliquer… Si tout marchait en parfaite harmonie avec Dieu, ce grand groupe pentecôtiste serait une très grande Eglise pentecôtiste du Dieu vivant. C’est vrai. Mais la manière dont nous utilisons mal… Les dons sont ici. Mais comme je l’ai dit l’autre matin, nous nous accrochons tellement au parler en langues et à l’interprétation.

32 Maintenant, observez cela. C’est le dernier et le moindre des dons. Le premier don, c’est la sagesse; le deuxième, c’est la connaissance. A quoi sert-il d’avoir la connaissance si vous n’avez pas la sagesse pour savoir gérer votre connaissance ? A quoi sert-il de parler en langues si vous n’avez pas la sagesse pour savoir quand et comment placer cela ? C’est pareil pour la guérison, pour n’importe lequel des autres dons…
C’est la raison pour laquelle nous ne voulons pas écouter; c’est juste… Je ne mets pas tellement cela sur le compte des laïques; je mets cela sur le compte des prédicateurs. Il y a tellement de confusion dans leurs organisations. Si vous avez une organisation, c’est très bien. Je souhaite que nous ayons plus d’organisations et que chaque église ait sa propre organisation, ça sera très bien pour moi, pourvu que l’unité des frères et la communion existent parmi les gens, avec une grande effervescence d’amour. Voyez-vous où nous avons manqué la chose ?

33 Bon, si nous sommes des enfants obéissants… Si nous qui sommes chez les méthodistes, chez les baptistes, chez les unitaires, chez les unis, chez les assemblées, l’Eglise de Dieu, les nazaréens, les pèlerins de la sainteté, si nous étions des enfants obéissants… Quand les fondateurs de nos organisations ont été suscités, ils avaient une révélation sur quelque chose, et ils ont bâti une organisation autour de cela. C’est très bien, c’est en ordre, si vous formez votre organisation et que vous terminez cela par une virgule: «Nous croyons ceci, plus tout ce que Dieu peut nous montrer.» Mais le problème est que nous formons notre organisation et nous la terminons par un point : «C’est ceci, un point un trait.» Alors, Dieu ne peut pas travailler. Vous voyez ? Et alors, en faisant cela, le diable vient là et il peut vous donner de fausses choses. Ce que nous devrions faire, c’est un grand… un grand corps d’amour uni, chaque église, et les autres…
Eh bien, j’ai neuf frères. Personne ne me ressemble ni n’est prédicateur parmi eux. Mon frère qui vient après moi, il est costaud, grand, blond, il a des yeux bleus, une peau claire. Eh bien, il n’aime pas ce que moi je fais. Nous n’avons pas les mêmes goûts. Nous n’avons pas les mêmes aspirations, mais son père est mon père.

34 Si donc un homme n’est pas d’accord avec vous, néanmoins c’est un frère chrétien, qu’est-ce que cela change? Si nous sommes de véritables enfants, nous nous aimerons les uns les autres, nous prendrons position les uns pour les autres, nous nous aiderons les uns les autres, nous resterons ensemble. Si l’un des frères sort de la ligne, alors le groupe entier devrait aller et dire : «Bon, attendez une minute, frère, vous voyez, venez ici.» Vous voyez ? C’est ce que nous devrions faire.
Bon. Puis – puis, quand le deuxième fils était adopté ou placé, dans sa position, dans le – le – le royaume, il était un cohéritier. Il avait autant d’autorité que ce que le – que son père. Il peut lier, délier, faire tout ce qu’il souhaite, parce qu’il a déjà été reconnu, adopté et placé dans une position d’autorité.

35 Maintenant, Dieu n’a jamais rien fait, n’a jamais demandé à un homme de faire quoi que ce soit, qu’Il ne peut pas faire Lui-même. Il a prononcé la sentence de mort contre un homme quand celui-ci avait péché. Dieu est descendu et a pris sur Lui-même la mort de l’homme, et Il a subi la mort d’un pécheur afin de pouvoir le racheter. C’est la seule façon dont Il pouvait faire cela. Dieu sous forme de l’Esprit ne pouvait pas souffrir. Dieu S’est fait chair afin de souffrir, de prendre sur Lui-même la pénalité du péché.
Eh bien, quand Dieu allait adopter Son propre Fils, Il a pris trois témoins de la terre : Pierre, Jacques et Jean. Il a amené trois témoins du ciel, et Jésus fut transfiguré devant eux. Et Il s’est tenu là. Observez cette cérémonie. Et Il fut couvert, et Son vêtement brillait comme le soleil. Il plaçait Son Fils, comme dans l’Ancien Testament. Et Pierre était tout excité, et il est juste comme moi et le reste d’entre nous. Il a dit : «Seigneur, Tu sais, il est bon d’être ici. Moïse est ici, Elie est ici et Jésus est ici.» Il a dit : «Construisons simplement trois tentes ici; formons trois dénominations. Prenons tous ceux qui veulent observer le sabbat, et qui ne mangent pas la viande, et qui gardent la loi. Construisons une tente pour Moïse et qu’il conduise son groupe.» Et il a dit…

36 Eh bien, Moïse représentait la loi, et avec la loi, aucune chair n’est sauvée. Vous ne pouvez pas être sauvé par la loi. La loi n’était qu’un pédagogue; elle dénonçait seulement le péché. La loi pouvait dénoncer le péché, mais elle n’avait pas le remède contre le péché. Moïse représentait la loi.
Que représentait alors Elie ? Elie représentait la justice de Dieu. Elie était une stricte représentation de la justice de Dieu. Il avait reçu une révélation de Dieu, une vision, il est monté et s’est assis sur une colline. Voici que le roi envoie cinquante hommes; il s’est levé et a dit : «Si je suis un homme de Dieu, que le feu descende du ciel et vous consume.» Le feu descendit : la justice de Dieu; le pécheur doit mourir devant cette justice.
Le roi a dit : «Peut-être que c’est la foudre qui est tombée. J’enverrai un autre groupe de cinquante.»
Alors, quand ce groupe de cinquante est arrivé sur la colline, Elie s’est levé et a dit : «Si je suis un homme de Dieu, que le feu descende du ciel et vous consume.» Et le feu est descendu et a consumé un autre groupe de cinquante : la justice.

37 Oh, nous ne désirons pas la justice. Oseriez-vous dire que vous désirez la justice ? Oseriez-vous aller au ciel sur base de votre propre observation des lois et des choses légalistes que vous avez faites ? Si cela était suffisant, Christ est mort en vain. La loi n’est pas un remède; la loi est une loupe pour vous montrer le péché. C’est ce qui peut vous mettre en prison; c’est la loi. Mais, elle n’a pas de rédemption en elle.
Voyez alors où nous nous tenons, quand Pierre a dit ceci : «Que celui-ci garde la loi, et que celui-là fasse telle chose, et que celui-là fasse telle autre.» Oh, je suis si heureux qu’il y ait Quelqu’un d’autre à qui regarder. Quand nous nous tenons dans le domaine de la loi et de la justice, nous sommes tous condamnés par cela, et toute chair est condamnée par la loi. Et, nous sommes tous nés dans le péché, conçus dans l’iniquité, nous sommes venus au monde en proférant des mensonges sans un – ou n’ayant même pas une seule chance, nous n’en avons pas. Comment pourrions-nous supporter la justice de Dieu ?

38 Mais, oh, mon cher et précieux ami, tournez la tête et regardez de ce côté-ci, Dieu a dit, Se tenant là, Il a dit : «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le.» Voilà le remède. Cher Agneau mourant, Ton précieux Sang ne perdra pas Sa puissance jusqu’à ce que toute l’Eglise rachetée de Dieu soit péchée pour – soit sauvée pour ne plus pécher. Puis dans un chant noble et doux, je chanterai Ta puissance qui sauve, quand cette pauvre langue zézayante et balbutiante reposera dans le silence de la tombe.
Jésus représentait l’amour de Dieu. «Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique.» Moïse est la justice – ou plutôt la loi, Sa loupe, le comité de Ses officiers chargés de vous jeter en prison parce que vous avez péché. Elie représentait celui qui avait fait descendre le feu sur vous, quand vous étiez en prison. C’est cela la justice de Dieu. Moïse vous a jeté en prison, et Elie a fait descendre le feu du ciel et cela vous a consumé.
Mais Jésus était le Rédempteur, l’amour de Dieu pour vous. Oh, chrétiens, c’est ça l’Evangile; c’est ça la puissance de Dieu. «Ecoutez-le.» Moïse ne peut pas vous sauver; Lui le peut. Moïse ne peut pas vous guérir; Lui le peut. Elie, aucun des autres ne peut faire quelque chose pour vous; Lui le peut. Moïse ne peut pas vous ressusciter en ce jour, Elie non plus, mais Jésus le peut. Dieu a dit : «Ecoutez-Le.» C’est Lui. Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, frère, soeur, c’est plus d’un réel, d’un authentique amour chrétien manifesté parmi les croyants.

39 Aujourd’hui, le monde est à la recherche de quelque chose. Quand votre petite femme vous a dit qu’elle sera votre chérie et votre femme, elle cherchait quelqu’un qui l’aimerait. Et quand vous avez fait des promesses à votre mari, il cherchait quelqu’un (quand il rentrerait fatigué et lassé pour avoir travaillé toute la journée), une petite femme qui pourra l’entourer de ses bras et renvoyer gentiment ses cheveux en arrière et qui lui dira combien elle l’aime.
Ce qui provoque la séparation dans les familles, c’est la négligence dans l’amour. Ce qui provoque la séparation dans les églises, c’est la négligence dans l’amour. Nous devons avoir l’amour.
Il y a quelque temps… Comme vous le savez, je suis un chasseur. Je suis allé dans la forêt du Nord; d’habitude, je chasse là-bas. Et une certaine année, j’ai fait connaissance avec un homme là-bas, c’était un homme sympathique, mais il était cruel. C’était un bon chasseur, un bon traqueur, mais vis-à-vis des animaux sauvages, il était l’homme le plus brutal que j’aie jamais vu. Il tirait sur de pauvres petits faons juste pour les voir s’écrouler. Et tout cela me dépassait, étant donné que j’ai été garde-chasse. Je suis toujours un conservateur de la nature. Je n’approuve pas le fait de tuer de jeunes bêtes. Si la loi vous autorise à en abattre une, c’est en ordre.

40 Abraham a mangé un veau. Dieu a mangé le veau avec lui. C’est en ordre. Mais si la loi autorise de tuer un seul, prenez-en un seul. Mais Burt en prenait huit ou dix, juste pour se montrer méchant. Eh bien, j’allais vers lui, je disais : «Burt, qu’est-ce qui te fait faire cela ?»
«Oh, disait-il, Billy, tu es simplement peureux comme les autres prédicateurs.»
J’ai dit : «Burt, ce n’est pas le problème d’être peureux; c’est une question de principe.»
«Oh, disait-il, c’est toujours ainsi avec vous les prédicateurs.»
Et une année, je suis allé là-bas, et il s’était fabriqué un petit sifflet drôle, et cela émettait un son tout à fait identique à celui d’un petit faon réclamant sa maman. Et il a sifflé pour me le faire entendre, avant qu’il quitte le camp, et j’ai dit : «Burt, tu ne vas pas utiliser cela !»
«Oh, a-t-il dit, allons, reprends donc tes sens, prédicateur.»

41 Ainsi, nous avions chassé plusieurs heures, mais nous n’avions rien trouvé; et nous sommes arrivés dans une petite clairière, et il s’est penché là dans la neige, il a fait sortir son petit sifflet pour siffler. Je me tenais juste derrière lui et le regardais. Et il s’est abaissé et a pris ce petit sifflet et il a produit un cri avec ça, il a fait retentir un son identique à celui d’un bébé faon quand il pousse des cris. Et alors, juste de l’autre côté de la route, une énorme maman biche (c’est la maman daine), s’est levée. Oh, j’ai vu Burt baisser la tête. Je l’ai vue, avec ces énormes yeux bruns; oh, elle était un bel animal. Ces grandes oreilles, elles sont si belles, dressées comme ceci; elle regardait partout.
Qu’était-ce ? Elle était une mère; c’est ce qu’elle était. Un petit était en train de crier. Elle était une mère; par sa nature, elle était une mère. Le petit était en train de crier. Où est-il ? Elle est sortie, et quand elle est sortie des buissons vers la clairière, j’ai vu ces grosses veines. Elle n’était pas à plus de 30 yards [27 m – N.D.T.] ou 40 yards [39m – N.D.T.], et ce Burt était un tireur d’élite. Je l’ai vu saisir la culasse mobile de ce fusil et introduire une cartouche dans le magasin, là dans le canon. Je l’ai regardé pendant qu’il ajustait, de ces bras vigoureux étendus, ce réticule sur le coeur de cette biche.

42 La voici qui avance, cherchant des yeux; elle était une mère. Elle observait à chaque pas. Un petit était en difficulté quelque part. Je me suis dit : «Oh, Burt, tu ne vas certainement pas tirer sur cette daine.» Et j’ai remarqué qu’il ajustait sa main. J’ai détourné la tête; je ne pouvais pas regarder cela. Et j’ai regardé en arrière, et j’ai vu que la mère daine l’avait aperçu. Quand le petit bruit sec du fusil s’est fait entendre, la culasse mobile, ayant fait passer la cartouche dans le canon et l’ayant fermé, la mère biche a entendu cela. Elle a tourné sa grosse tête; elle a redressé ses oreilles pointues. Elle a regardé le chasseur, ce réticule pointé sur son coeur. Encore quelques minutes et son coeur allait sauter.
Mais, a-t-elle fait attention à cela ? Certainement pas, un petit était en difficulté. Elle s’est avancée lentement, avec ces oreilles et ces yeux observant ce chasseur, mais cherchant ce petit. C’était plus fort qu’elle; elle était une mère, c’était sa nature. Je me suis dit : «Oh, Burt, ne fais pas cela.» Je me tenais comme ceci. Je me suis dit : «Ô Dieu, s’il Te plaît, ne le laisse pas tuer cette mère. Il n’a pas vraiment besoin de cette biche.» Et je priais; je m’attendais à tout moment à être secoué par une grande détonation de ce calibre 30-60 faisant feu.

43 Mais j’ai constaté que je n’entendais pas le coup de fusil partir. Et quand je me suis retourné pour regarder, le canon du fusil allait comme ceci. Il a laissé tomber le fusil par terre, s’est retourné, m’a saisi par la main et a dit : «Billy, j’en ai assez». Je n’en peux plus.» Il a dit : «Je veux connaître ce Jésus au sujet duquel tu connais tant de… ?…»
Là, par la grâce de Dieu, ce chasseur cruel, après avoir vu la manifestation de ce véritable et authentique amour, a eu le coeur en pièces. L’amour que la mère biche manifestait, c’était plus fort qu’elle; elle était une mère. Je vous assure, frères et soeurs, quand les gens qui sont membres de l’Eglise du Dieu vivant manifesteront le véritable amour chrétien, cela va conquérir plus de pécheurs que toutes les autres choses que vous pouvez rassembler.
C’est ce dont vous avez besoin. Peu importe ce qui se produit, si vous n’aimez pas le Seigneur Jésus, ô Dieu, sois miséricordieux.

44 Il n’y a pas longtemps, un évangéliste est passé dans le pays, le Moyen Orient (il y a cinquante ans), il s’appelait Daniel Curry. Une nuit, il a rêvé qu’il était mort et qu’il était allé au ciel. Et quand il est arrivé là à la porte, dans la Présence de Dieu, il a dit qu’un – un homme est venu à la porte et a demandé : «Qui es-tu ?»
Et il a dit : «Je suis Daniel Curry. Je suis un évangéliste. Je viens prendre mes biens célestes.»
Il a dit : «Juste un moment, Monsieur Curry.» Le gardien a lu, puis il est venu et a dit : «Monsieur Curry, je suis désolé, ton nom ne figure pas dans mes registres.»
«Oh, dit-il, vous devez vous être trompé.»
Il a dit : «Je vais encore voir.» Il a dit : «Non, monsieur Curry, ton nom ne figure pas ici.»
«Oh, dit-il, j’ai gagné des milliers d’âmes pour Christ. J’ai pris position pour Christ pendant des années. Certainement, certainement que mon nom doit figurer là.»
Il a dit : «Je suis désolé, Monsieur, mais tu dois quitter la porte.» Il a dit : «A moins que tu veuilles faire appel pour ton cas. Si tu veux faire appel pour ton cas devant le grand trône blanc, tu peux le faire.»
«Eh bien, dit-il, je n’ai pas d’autre choix.»
Il a donc dit : «Très bien, tu peux faire appel devant le trône blanc. C’est la loi.»

45 Et il a dit qu’il lui a semblé faire un déplacement dans l’espace pendant des heures, dans son rêve. Et après un moment, il devenait de plus en plus léger, il a de plus en plus ralenti jusqu’à ce qu’il s’est finalement arrêté juste en plein dans cette grande Lumière. «Elle venait, non pas d’un certain point; mais que tout était simplement Lumière, dit-il, d’un éclat des milliers de fois plus brillant que le soleil.»
Et quand il s’est arrêté, il a entendu une Voix sortir de cette Lumière et dire : «Daniel Curry, quand tu étais sur la terre, avais-tu enfreint Mes lois ? T’est-il déjà arrivé de dire un mensonge ?»
Il a dit : «Je pensais que j’étais un homme honnête, mais, dit-il, dans la Présence de cette Lumière, j’ai vu beaucoup de choses que j’avais dites et qui n’étaient pas vraies.»
Et frère, soeur, ce sera la même chose avec vous. Vous pouvez paraître en ordre ici, mais dans la Présence de cette Lumière…
Il a dit : «Daniel Curry, as-tu déjà volé ?»
Il a dit : «Je pensais certainement que j’étais – n’avais jamais volé.» Il a dit : «Je m’apprêtais à dire : ‘Non, Seigneur.» Et il a dit : «Quand j’étais sur le point de le dire, il est apparu devant moi plusieurs petites affaires louches. Dans la Présence de cette Lumière, cela n’était pas correct.»

46 Vous pouvez être capable de…?… dans votre conscience maintenant, mais dans la Présence du grand trône blanc de Dieu, oh, miséricorde, frère! Je suis convaincu qu’aucun de nous n’a même pas la moindre idée sur combien pur et saint ce sera.
Et il a dit : «Non, Seigneur, je – je… Oui, j’ai dit des mensonges.»
Et il a dit : «Daniel Curry, pour venir chez Moi, l’homme doit être parfait.
Durant ta vie, Daniel Curry, as-tu été parfait?»
Il a dit : «Non, Seigneur, je n’ai pas été parfait.»
Et il a dit qu’il attendait simplement qu’une grande détonation dise : «Eloigne-toi de Moi, toi… et…» Et, alors qu’il était prêt à entendre cela, il a dit qu’il lui semblait que chaque os s’était déboîté, et qu’il ne pouvait plus se tenir debout.
Alors, il a dit qu’il a entendu la plus douce Voix qu’Il n’avait jamais entendue de toute sa vie. Elle était plus douce que la voix de n’importe quelle mère qui ait jamais appelé un enfant. Et il a dit que quand il s’est retourné, il a vu le visage le plus doux qu’il ait jamais vu; le visage d’aucune mère ne pourrait exprimer un tel amour. Et il a dit : «C’était le Seigneur Jésus, Il est venu et Il m’a entouré de Ses bras, et Il a dit : ‘Père, dans – c’est vrai, Daniel Curry n’était pas parfait sur la terre. Daniel Curry a commis beaucoup d’erreurs et a fait beaucoup de choses qui n’étaient pas correctes; mais, a-t-Il dit, Père, sur la terre, Daniel Curry a pris position pour Moi. Maintenant, ici au ciel, Je vais prendre position pour Daniel Curry. Prends tout ce qu’il y a à sa charge et mets-le sur Mon compte, là.»

47 Frère, soeur, c’est cette Voix que je veux entendre. Je veux prendre position pour Jésus ce soir, car en ce jour-là, je sais, je ne serai pas parfait; mais j’aimerais qu’Il dise : «Père, William Branham a pris position pour Moi sur la terre; Je vais prendre position pour lui ici au ciel.»
Pendant donc que nous pensons à cela, et que nous inclinons la tête, je vais vous demander de penser sérieusement à ceci : qui prendra position pour vous en ce jour-là, sera-ce votre pasteur, sera-ce votre prêtre, sera-ce votre mère, sera-ce votre ami ? Il n’y aura personne d’autre qui pourra prendre position pour vous, si ce n’est Jésus. Ne voulez-vous pas prendre position pour Lui ce soir pendant que nous pensons à cela ?

48 Notre Père, nous Te remercions de ce que Tu as dit : «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui Je mets toute Mon affection, ou plutôt, en qui il Me plaît de demeurer.» Ces lois sont passées, toute la volonté inébranlable et ces abnégations, et tout le reste, ont disparu. Mais Jésus demeure pour toujours. Et ce soir, il se peut qu’il y ait ici des hommes et des femmes qui n’ont jamais pris position pour le Seigneur Jésus. Maintenant, Toi, parle à leurs coeurs, Père, pendant que je prie. Et je prie pour chaque personne ici présente, afin que si elle n’a jamais pris position, que ce soir, à la fin de ce réveil, elle prenne cette position toute suffisante, étant convaincue dans son coeur que Jésus est son Sauveur. Nous le demandons en Son Nom.
Et avec nos têtes inclinées, pensez-y, qui prendra position pour vous, mon ami ? Si vous mourez ce soir, avez-vous quelqu’un là pour prendre position pour vous ? Et franchement, il n’y a personne qui peut prendre position pour vous si ce n’est Jésus. Il est le seul Médiateur entre Dieu et l’homme. Voulez-vous simplement lever la main vers Lui ce soir et dire : «Seigneur Jésus, je lève ma main vers Toi. Par ceci, je veux dire, je vais prendre positon pour Toi. Et au ciel, quand je mourrai, je veux que Tu prennes position pour moi»? Voudriez-vous faire autant pour Lui? Levez la main. Que Dieu vous bénisse. Oh! la la! Que Dieu vous bénisse, partout, là au rez-de-chaussée, il y a beaucoup, beaucoup de mains levées.

49 Là aux balcons à ma droite, oui, je vois vos mains levées là. Que Dieu vous bénisse. Là derrière, dans ce coin, par ici, la partie méridionale, oui, je vois vos mains. Dieu les voit, assurément. Le balcon vers l’arrière, voulez-vous lever les mains et dire : «Seigneur Dieu, je prends position pour Toi maintenant, mets mon nom dans Ton Livre, afin que quand mon âme ira dans Ta Présence, dans la Présence du trône blanc de Dieu, Tu prennes position pour moi, Seigneur.» Voulez-vous le faire ? «Je ne rejetterai pas celui qui Me reçoit.» Aux balcons, à gauche maintenant, à ma gauche, que Dieu vous bénisse tous par-là. Levez la main; c’est une petite chose à faire. Que Dieu vous bénisse, petites dames; que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse, soeur, que Dieu vous bénisse, frère. Partout là-bas, oui, je prends maintenant position pour Jésus.

50 Je me demande maintenant si, avec vos têtes inclinées, vous voudriez faire juste un peu plus que cela. Je me demande si vous voudriez vous tenir debout, par exemple, pour prouver que vous voulez que Jésus prenne position pour vous. Et pendant que vous êtes debout, je vais donc prier pour vous, pendant que vous êtes debout. Je ne vais pas vous appeler à l’autel. Je veux simplement que vous vous leviez là où vous êtes, et que vous disiez : «Je prendrai positon pour Lui maintenant, et je veux qu’Il prenne position pour moi en ce jour-là». Levez-vous maintenant pour la prière, partout, aux balcons, et partout. C’est très bien. Restez debout pour la prière. Chacun de vous a levé la main, levez-vous maintenant; prenez positon pour le Seigneur Jésus.

51 Tous ceux qui n’ont pas levé la main et qui veulent prendre position pour le Seigneur Jésus, levez-vous. Que Dieu vous bénisse ! C’est bien, partout, Peu importe qui est assis à côté de vous; c’est ce que vous voulez faire qui compte. Il vous faut vous tenir à côté des gens qui vous critiquent même, afin que vous sachiez, afin qu’ils sachent que vous prenez position pour Jésus. Regardez partout, oh ! la la ! Avec vos têtes inclinées, que tout le monde se lève maintenant, ceux qui veulent prendre positon pour Christ ce soir.
J’ai vu des hommes et des femmes bien habillés, certains hommes en habits d’agriculteurs, d’autres en habits de cow-boys, ils sont debout. Ils aiment le Seigneur; ils prennent position. Maris et femmes sont debout ici ensemble, les petits enfants, les jeunes filles, les jeunes gens, tous sont debout ensemble.

52 Maintenant, notre adorable Père céleste, par les fruits de l’Esprit qui s’est manifesté par un doux amour de la colombe, et qui a parlé à ces coeurs, ils sont convaincus qu’ils ne peuvent pas tenir par leur volonté. Mais, ils ont pris position pour Toi ce soir. Tu as dit : «Celui qui prendra position pour Moi devant les hommes, sans honte, Je prendrai position pour lui devant Dieu, sans honte. Mais s’ils ont honte de prendre position pour Moi sur la terre, J’aurai honte de prendre positon pour eux au ciel.»
Mais, ô Dieu, ce soir, ceux-ci se sont mis debout, puisse l’Ange qui enregistre noter chaque nom, car ils prennent position pour Jésus ce soir, ils confessent leurs péchés, et ils L’acceptent comme leur Sauveur personnel. Dieu a mis leurs noms dans le livre de Vie de l’Agneau, sachant – nous savons qu’ils ne pourront jamais être effacés. Car Dieu gardera dans une paix parfaite celui dont le coeur s’est appuyé sur Lui. Et je Te prie de les bénir maintenant pendant que je Te les présente, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

53 Je veux que vous puissiez regarder et que vous voyiez tous ceux qui se tiennent debout partout, vous qui avez les yeux ouverts. Maintenant, quand ces gens vont s’asseoir, donnez-leur la main d’association en leur serrant la main. Et vous pouvez vous asseoir, chers chrétiens, vous qui venez de devenir des chrétiens. Donnez cette… que quelqu’un à côté d’eux leur serre la main en disant : «Que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse, je suis si heureux de vous voir faire cela. Vous êtes maintenant un concitoyen du Royaume de Dieu.»
Bon, immédiatement après le service de guérison, je vais demander à chacun de vous, quand le ministre va prendre la relève, je veux que vous veniez ici remercier Dieu, et prier personnellement, remercier Dieu pour ce que vous avez – ce qu’Il a fait pour vous. Car, c’est «par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et ce n’est point par les oeuvres de la loi, afin que personne ne se glorifie».

54 Combien L’aiment maintenant ? Levons les mains. Oh ! «Je vis pour Celui qui est mort pour moi.» Je vis pour Celui qui est mort pour moi.
Combien heureuse est – sera ma vie;
Je vis pour Celui qui est mort pour moi.
Mon Sauveur et mon Dieu. Que Dieu vous bénisse. N’oubliez pas cela maintenant. Vivre pour Celui qui est mort pour moi. Maintenant, partez avec cette véritable expérience, pas juste avec quelque chose de différent, mais avec une véritable expérience de la nouvelle naissance, au point que vous pouvez manifester l’amour de Christ devant un monde pécheur et indifférent, qui se meurt par manque d’un peu d’amour. Ma prière est que le Seigneur puisse vous bénir.

55 Quel était le… ?… Très bien, aujourd’hui on a distribué les cartes de prière, série B. Commençons à faire lever les gens pour la prière. Série B numéro 1, 2, 3, 4, 5. Apportez votre… Voulez-vous lever la main ? Veuillez regarder autour de vous. Série B numéro 1. Avez-vous dit «B» ? Peut-être que vous vous êtes trompé… 1 à 100, plutôt 50 à 100 ? 1 à 100.
B numéro 1, levez la main, s’il vous plaît. Oh, je suis désolé. Numéro 2, levez rapidement la main; B numéro 2. Numéro 3, très bien, 2, 3, 4,5, qui a le 5 ? B-5, levez la main. Attendez-moi ici, s’il vous plaît, frère. Très bien, 5, 6,7, qui a B numéro 7 ? Regardez autour de vous, est-ce lui ? Très bien, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15. Ton numéro ne figure pas dans tout cela, frère ? Il n’y figure pas ? Vérifiez la carte de l’homme qui est juste ici et voyez en passant; il continuait à me regarder avec beaucoup de sincérité. Prions pour ceux-ci maintenant pendant que nous sommes...

56 Père céleste, bénis ces mouchoirs, alors que je les envoie dans ces réunions; au Nom de Jésus-Christ, puisse Ton Esprit Se mouvoir au-dessus d’eux. Accorde-le, Père. Je prie au Nom de Jésus. Je le demande pour la gloire de Dieu. Amen. Est-ce qu’on doit prier pour ce petit veston-là, Frère Brown ?
Très bien, soyez tous respectueux. Et nous allons prier. Combien n’ont jamais été dans l’une de mes réunions ? Montrez la main. Juste, oh, il y en a un bon nombre. Bien, ami chrétien, cela a toujours été mon objectif d’essayer d’amener les gens à croire sans même les toucher. Je veux qu’ils croient à la résurrection du Seigneur Jésus. Et je veux qu’Ils acceptent Christ.

57 Bon, nous croyons que Christ était mort et qu’Il est ressuscité. Croyez-vous cela ? Je crois que la Bible enseigne qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous cela ? Si donc Il est le même, Il doit être le même en tout point, excepté Son corps physique. Bien ce corps, quand Il viendra, il n’y aura plus de temps. Combien savent cela ? Oui, quand Jésus viendra dans Son corps littéral... Mais Il est venu maintenant sous la forme du Saint-Esprit. Et Il vit dans Son Eglise. Il... Nous avons dit : «Nous sommes les sarments et Il est le Cep.» Il est en nous comme Esprit, et Il donne des dons à l’Eglise. Combien savent cela ? Et Il a dit : «Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi.» A-t-Il dit cela ? Qu’a-t-Il fait ?
Il n’a jamais prétendu être un guérisseur. Combien savent que Jésus n’a jamais prétendu être un guérisseur ? Très bien. Jésus a dit : «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres; Mon Père qui habite en Moi, c’est Lui qui fait les oeuvres.» Il a dit : «Je ne peux rien faire à moins que Mon Père Me le montre premièrement.» Combien savent cela ? C’est vrai.

58 Il est passé par une piscine où des milliers des gens étaient couchés, des aveugles, des boiteux, et des paralytiques, Il n’en a touché aucun. Qu’en serait-il s’Il faisait cela à Phoenix ce soir ? Il serait critiqué. Il l’a été en ce temps-là. Il a trouvé un homme couché sur un petit grabat, et Il lui a dit : «Veux-tu être guéri ?»
L’autre répondit : «Je n’ai personne pour me jeter dans l’eau.» Il pouvait marcher; il n’était pas un impotent ni un aveugle. Il avait une certaine maladie, peut-être une maladie de la prostate ou la tuberculose. Elle était chronique. Il avait cela depuis trente-huit ans; cela n’allait pas le tuer.
Il a donc dit : «Je n’ai personne pour me jeter dans l’eau. Quand je viens, quelqu’un d’autre y descend avant moi.»
Il a dit : ‘Prends ton lit et va chez toi.» Observez, Il promenait le regard partout jusqu’à ce qu’Il a vu cet homme.

59 Eh bien, les Juifs Lui ont posé des questions. Et Il a répondu : «En vérité, en vérité, je vous le dis», Saint Jean 5.19, «En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne fait rien de lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Est-ce ce qu’Il a dit ? Saint Jean 5.19, regardez dans votre Bible. Jésus n’a jamais accompli un miracle sans que Dieu Lui ait montré premièrement quoi faire; sinon Il a dit quelque chose qui n’était pas vrai, et alors, Il n’était pas Dieu. «En vérité, en vérité (Cela veut dire : absolument, absolument), Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement. Le Père agit, le Fils aussi agit.» C’est vrai.
Et nous voulons croire. Nous voulons avoir la foi. Nous voulons croire que Dieu nous accordera ces choses. Et s’Il vient nous manifester Sa Vie ici de nouveau, juste comme Il l’avait fait quand Il était ici sur la terre, combien alors accepteront cela ? Dites : «Je le crois.» Bon, qu’est-ce ?

60 Bien sûr, vous êtes restés ici avec moi pendant deux semaines maintenant. Je ne prétends pas être un prédicateur, je veux dire (ce que je veux dire), un prédicateur théologien. J’aime simplement parler du Seigneur. Mais mon don, c’est d’avoir des visions. Ce n’est pas quelque chose pour lequel quelqu’un m’a imposé les mains. Je ne crois pas que vous ayez fait cela. «Les dons et les appels sont sans repentir.»
Quand je suis né, je n’étais qu’un bébé de pas plus de trois minutes qu’une Lumière se tint au-dessus de là où je me trouvais. Ma famille est catholique, vous le savez. Je viens d’une famille catholique, des Irlandais. Mon père et ma mère, ma mère était – il y a eu là une rupture dans le sang. Ma mère était presque une demi-indienne Cherokee. C’est vrai. Si vous voyez ma mère traverser cette estrade, vous reconnaîtrez en elle une Indienne. C’est tout à fait vrai. Elle en a l’apparence : tout celui qui la connaît, sait que c’est vrai.

61 Mais sa mè-... sa mère était une Indienne; son père était un Irlandais. Et ils descendent d’une famille catholique. Cependant, mon père et ma mère n’allaient pas du tout à l’église. Mais quand je suis né là, dans cette petite cabane de montagne, ils ont poussé le... Ils n’avaient pas de fenêtre comme vous en avez ici, de belles fenêtres en verre; il y avait juste quelque chose comme une vieille porte; à cinq heures du matin, ils l’ont poussée et cette Lumière est entrée en tourbillonnant et S’est tenue au-dessus de là où je me trouvais.
Frère, je sais qu’Il est Dieu. Je commets des erreurs; rien ne relève de moi. Je ne peux rien faire; vous savez cela. Mais j’ai certainement dit la vérité, et Dieu a confirmé devant des millions de gens que c’est la vérité. Et maintenant il y a des rapports scientifiques qui attestent que c’est la vérité, car on En a pris des photos aux Etats-Unis et à l’étranger, et on a amené cela aux examinateurs et tout. Et ces derniers ont dit qu’une Lumière surnaturelle s’est matérialisée et a frappé l’objectif. Amen. Ça, c’est la science. Ça se trouve à Washington D.C. Ils ont apporté cette photo à George J. Lacy, le directeur du département des em-... un... empreintes digitales et des doc – documents du F.B.I. C’est vrai, le monde scientifique sait que j’ai dit la vérité. L’église sait que j’ai dit la vérité. Dieu sait que j’ai dit la vérité.

62 Maintenant, si vous me croyez, alors vous aurez ce que vous demandez. Si vous pouvez croire que Jésus est mort et qu’Il est ressuscité, et qu’Il est mort pour vos péchés et votre maladie, acceptez cela, juste en ayant comme base le fait que Lui a fait cela, vous pourrez avoir tout ce que vous demandez. Dieu va vous l’accorder. Que le Seigneur vous bénisse maintenant, pendant que je me tourne vers l’auditoire, ou plutôt vers les malades qui sont dans la ligne.
Il n’est pas nécessaire que vous soyez ici. Ça n’a rien à voir avec la chose. Faites simplement attention... Combien n’ont pas de cartes de prière et veulent être guéris ? Faites voir votre main. Très bien, regardez simplement et croyez. Ayez foi, voyez si Dieu ne vous appelle pas.

63 Par exemple la – la femme qui a touché Son vêtement, elle est retournée s’asseoir. Et alors, Jésus a dit : «Qui M’a touché ?»
Les gens... Pierre a dit : «Eh bien, tout le monde Te touche.»
Il a dit : «Mais une vertu est sortie de Moi. Je me sens faible.» Il a regardé tout autour jusqu’à ce qu’Il a trouvé cette femme qui L’avait touché, et Il lui a dit qu’elle avait une perte de sang; que sa foi l’avait sauvée. Jésus ne l’a pas du tout touchée, c’est elle qui L’a touché. Voyez-vous ce que je veux dire ? Quand Jésus faisait quelque chose, le Père Lui montrait quoi faire, mais les gens pouvaient Le toucher et tirer profit en ayant foi en Qui Il était. Ainsi, faites la même chose, car Il est le même ce soir et Il peut faire la même chose. Que le Seigneur vous bénisse. Très bien.

64 Je vois que vous êtes un huissier; c’est vraiment bien, Monsieur. Je suppose que nous ne nous sommes jamais rencontrés tous les deux auparavant. Je crois que nous sommes étrangers l’un à l’autre. Vous m’avez serré une fois la main. Je veux dire que moi, je ne vous connais pas. Mais il y a Quelqu’un ici Qui vous connaît réellement, à part vos amis, ou qui – vos associés, votre famille, ou quiconque est ici avec vous, ou je ne sais qui d’autre, votre église. Il y a Quelqu’un qui vous connaît; c’est Christ. Et si Jésus est le même, je dis ceci pour ceux qui, dans l’assistance, n’avaient pas été ici auparavant.
Une fois, un homme est venu vers Lui, et Il savait d’où cet homme venait. Et Il lui a dit qu’il était un croyant, un chrétien. Il a dit... C’était un gars du nom de Philippe qui est allé chercher un homme du nom de Nathanaël; Jésus lui a dit qu’il était un croyant, et il – il ne pouvait pas comprendre cela, parce qu’Il lui a dit qu’il était un chrétien, un croyant, ce que nous appelons aujourd’hui un chrétien. Et il a dit : «D’où me connais-Tu, Rabbi ?»
Il a dit : «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous le figuier, Je t’ai vu.» Il a reconnu en cela qu’Il était le Fils de Dieu. Bon, s’Il est ressuscité des morts, Il est obligé par Sa Parole de faire la même chose. Est-ce vrai, auditoire ?

65 Bon, voici un homme… Quelqu’un veut-il prendre ma place ? Je vous en prie. Vous voyez ? Je ne connais pas cet homme. Il sait que je ne le connais pas, et Dieu sait que je ne le connais pas. Bon, si cet homme est malade, je ne saurais le guérir. Je n’ai rien pour le guérir. Mais j’essaie de lui dire que la guérison vient de Dieu. Seul Dieu guérit. Les médecins ne guérissent pas. Ils mettent les os en place et enlèvent des tumeurs et… mais c’est Dieu qui guérit, car la guérison est une création, le développement des cellules. Ainsi, l’homme ne peut pas faire cela, s’il le pouvait, il formerait un homme. Il garde seulement l’endroit propre avec des désinfectants, pour en éloigner les microbes, pendant que Dieu soude cela et reconstitue les tissus. La guérison n’appartient qu’à Dieu seul. Si donc quelqu’un vous dit qu’il est un guérisseur, il ne dit pas la vérité. Qui qu’il soit, prédicateur ou médecin, le seul Guérisseur, c’est Dieu. J’admets que les médecins sont merveilleux; ils sont des serviteurs de Dieu. Certains d’entre eux sont des fervents chrétiens; d’autres ne le sont pas. Nous trouvons la même chose parmi les prédicateurs. Je rencontre plus des médecins qui croient dans la guérison divine que des prédicateurs. Souvent des médecins… Eh bien, les médecins viennent chez moi, s’assoient là dans la pièce, demandent la prière, de grands médecins du pays. Ils croient, assurément.

66 Bon, cet homme et moi, nous sommes probablement – peut-être nés à des kilomètres de distance. Je crois que je suis un peu plus âgé que lui, mais nous – ici, nous nous rencontrons pour la première fois ainsi face à face. Et lui le sait et il en rend lui-même témoignage, je n’ai aucune idée de la raison de sa présence ici. Il n’est qu’un homme. Bon, si Dieu me révèle ce pour quoi cet homme est ici, ou quelque chose qu’il a fait ou quelque chose d’autre dont il sait que je ne sais rien, allez-vous croire ? Croirez-vous que Dieu vous donne cela ?
Eh bien, vous voyez, Dieu n’a pas d’autre voix que la nôtre. Combien savent cela ? Pas d’autres mains que les nôtres... Nous sommes les sarments; Il est le Cep. Et Il nous donne la vie, et nous produirons le fruit, le Cep, ou le sarment.

67 Bon, nous sommes étrangers et nous ne nous connaissons pas, mais si Dieu me révèle ce pour quoi vous êtes en train de prier… Eh bien, parlez-en simplement à Dieu. Puis, mettez-vous à croire que Dieu va vous accorder ce que vous demandez.
Mon frère, je vois l’homme s’éloigner, s’éloigner de moi; en fait, il n’est pas de Phoenix. Il est dans une région différente de celle-ci. Je crois, on dirait, le Montana, là dans une région où il y a des prairies. Et il cherche le baptême du Saint-Esprit, et c’est ce pour quoi il veut que je lui impose les mains. Et à part cela, il prie pour quelqu’un d’autre. Il s’agit d’un homme, et il est votre parent; il est votre parent par alliance. C’est votre beau-frère, je crois. Et il a une maladie de la peau, vous voulez que je prie pour cela. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.

68 Croyez-vous maintenant ? Croyez-vous, vous tous ? [L’assemblée dit : «Amen.» – N.D.E.] Alors, Père céleste, je Te prie d’honorer la foi de ce peuple, et de leur accorder ce dont ils ont besoin. Bénis cet homme pour tout ce dont il a besoin, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Recevez ce que vous avez demandé; trouvez cela comme souhaité.
Eh bien, cela épuise plus que toutes les prédications que j’ai apportées cette semaine. Hm.

69 Bon, voici une femme. Voici encore un beau tableau de ce qui est dans la Bible. Voici une femme de couleur devant un homme blanc. Une Samaritaine parlait à Jésus, une femme. Et Il a dit à la femme : «Apporte-moi à boire, ou plutôt donne-Moi à boire.»
Elle a dit : «Vous les Juifs, vous n’avez pas de relations avec nous les Samaritains. Et ce n’est pas la coutume pour un Juif de demander une telle chose à une Samaritaine.»
Jésus a dit : «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, tu Me demanderais à boire.» Il lui fit savoir que la couleur des gens ne change rien. Noir, Blanc, Brun, Jaune, quoi que ça soit, ils sont tous les enfants de Dieu issus d’un même arbre, Adam.

70 Bon, voici une femme de couleur et moi-même, un autre tableau biblique. Je ne connais pas cette femme, je ne l’ai jamais vue de ma vie; nous sommes des parfaits étrangers. Est-ce vrai, Madame ? Mais vous avez droit à l’Arbre de Vie. Et vous savez, une fois, quand Jésus gravissait la montagne, tirant cette vieille croix rugueuse qui, en se traînant, effaçait des traces de pas ensanglantés, l’un des vôtres l’a prise et L’a aidé à la transporter. Vous savez cela, Il le sait aussi .
Bon, si le Seigneur Jésus, en parlant à la femme samaritaine, lui avait dit où se trouvait son problème… Et elle a dit aussitôt qu’Il lui a révélé – qu’elle Lui a révélé qu’elle ne comprenait pas comment ceci était… Mais elle a dit : «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit : «Or, nous savons que quand le Messie viendra, Il fera ces choses, Il fera toutes ces choses.» Mais elle ne comprenait pas Qui Il était, mais elle pensait qu’Il était un prophète. Cela était donc le signe du Messie. C’était le signe du Messie pour les Juifs et pour les Samaritains aussi. Est-ce vrai ?
Eh bien, serait-ce le même Jésus qui est ressuscité des morts ? Ne serait-ce pas le cas s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement ? Ne serait-ce pas le signe du Messie pour nous, s’Il est le même ? Maintenant, puisse-t-Il accorder cela à cette femme. Je ne dis pas qu’Il le fera, mais peut-être qu’Il le fera.

71 La femme, il y a une chose, je la vois; elle est extrêmement nerveuse. Et du fait qu’elle est nerveuse, quelque chose de mal s’est développé dans les organes internes, c’est-à-dire dans son estomac. Elle a un estomac ulcéré. C’est un ulcère d’estomac causé par la nervosité. Cela fait que la nourriture que vous prenez devient aigre et fermente, vous vomissez cela, et tout. Et vous avez été dans un hôpital à cause de la tuberculose. C’est vrai. Mais vous n’avez plus à y aller maintenant; c’est terminé. Votre foi vous a guérie. Que Dieu vous bénisse, Madame, et puisse Sa grâce être suffisante pour vous. Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions.

72 Bon, Son attitude ici, c’est Son attitude envers vous. Soyez respectueux. Ne doutez pas; croyez.
Bon, voici une petite dame qui se tient ici. Je pense que c’est notre première rencontre dans la vie. Je ne vous connais pas, autant que je sache. Peut-être que vous me connaissez, mais moi, je ne vous connais pas. Nous sommes étrangers l’un à l’autre. Si c’est vrai, levez la main. Mais Dieu vous connaît réellement, et si vous… Nous deux, nous sommes... vous une Blanche et moi, un Blanc… Vous êtes chrétienne, et vous souffrez d’une grande nervosité, causée en grande partie par la période de la vie que vous traversez. Et récemment, vous avez fait une crise cardiaque. Et il y a quelque chose en rapport avec un – un hôpital; vous avez été dans un hôpital. Et vous êtes en quelque sorte représentée ici. Vous avez des relations avec frère Moore. Et de toutes les façons, vous étiez autrefois au Sud. C’est tout à fait la vérité. Maintenant, rentrez chez vous; c’est terminé. Que Dieu vous bénisse. C’est votre foi qui a fait cela, madame.

73 Je suppose que nous sommes étrangers l’un à l’autre, soeur… Je ne vous connais pas et vous ne me connaissez pas. Si c’est vrai, voudriez-vous simplement lever la main afin que les gens puissent le savoir ?

74 Croyez-vous que Dieu va vous guérir de ce mal de dos, madame, juste là, la dame espagnole ? Vous avez un problème de colonne vertébrale. Vous en aviez, vous n’en avez plus maintenant. Votre foi vous a rétablie. Je voudrais vous demander de bien vouloir vous lever. Elle est en bonne santé maintenant. Qu’est-ce qui s’est passé ? Qui est-ce qu’elle a touché ? La Bible dit qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités. Elle a touché quelque chose. Vous pouvez toucher la même chose, le Seigneur Jésus.

75 Ayez foi. Regardez, petite dame. Croyez. Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît réellement. Vous souffrez de quelque chose sur le côté droit, juste sous les côtes; c’est la vésicule biliaire, avec le foie… La vésicule biliaire, c’est un calcul biliaire, on dirait. Et vous avez… Je crois que vous venez d’ailleurs aussi, là. Et n’avez-vous pas été dans un hôpital ? Mais on ne vous a pas opérée, et c’était là en Californie, à San Francisco. C’est vrai. Et maintenant que j’ai saisi votre esprit, vous êtes venue ici par avion. Vous êtes venue ici par avion pour qu’on prie pour vous. Vous êtes censée retourner dans environ un mois. Mais, je ne pense pas que vous aurez à le faire. Je crois que votre foi a réglé la question, madame, et vous allez être guérie. Ô Dieu éternel, bénis cette chère petite femme et guéris-la par Jésus-Christ. Amen.

76 Soyez respectueux. Bien sûr que je ne vous connais pas, madame. Mais Dieu vous connaît réellement. Si cependant Dieu me révèle ce pour quoi vous priez ici, croirez-vous en lui ?

77 Le petit garçon qui est assis là a l’épilepsie. Crois-tu que le Seigneur Jésus te guérit ? Tu crois ? Si tu crois cela, petit enfant, tu peux rentrer chez toi et être guéri au Nom de Christ. Qu’a-t-il touché ? Béni soit le Seigneur Jésus-Christ.

78 Vous souffrez de la nervosité. Et puis, cela a causé un mal d’estomac là, c’est ce qui provoque des brûlures dans votre estomac. C’est l’acide. Vos nerfs sont tellement tendus que cela sort du pancréas, la sécrétion des acides, et ça brûle votre estomac. Et, vous priez pour quelqu’un d’autre; c’est un ami paralysé. C’est vrai. Guérir, je ne le peux pas. Mais un don de Dieu se manifestera chaque fois. Venez ici. Ô Adorable Jésus, je bénis cette petite dame au Nom de Christ afin qu’elle puisse recevoir ce qu’elle a demandé. Amen.

79 Etes-vous Espagnol ? Mais vous parlez un peu l’anglais. C’est ce que j’ai pu comprendre, juste un petit peu. Mais vous le comprendrez maintenant parce que l’onction est sur vous. Je suis votre frère, mais ce qui est sur vous, c’est votre Sauveur. Vous êtes venu vers moi pour que je prie pour vous à cause de l’hernie. Et le nombril a éclaté. Vous venez de – pas de cette ville, vous venez d’une ville là au sud : Tucson. Vous avez une petite fille estropiée là pour laquelle vous voulez que je prie. Ô Jésus, Toi le Fils de Dieu, sois miséricordieux et guéris au Nom de Christ. Amen.

80 Le cancer, le cancer de la peau, mais croyez-vous que Christ va vous guérir ? Si vous pouvez croire, vous pouvez être guéri. Qu’il en soit ainsi au Nom de Jésus-Christ. Amen. Ayez foi.
Croyez-vous que Dieu vous guérit de cette sinusite ? Vous croyez ? Très bien, alors vous pouvez avoir ce que vous avez demandé. Levez simplement la main vers Dieu, vous qui êtes assis au bout du siège. Très bien, vous pouvez rentrer chez vous, guéri.
Et cette dame-ci souffre de l’asthme. C’est vrai. Rentrez aussi à la maison guérie. Que le Seigneur Jésus bénisse.
Cela peut vous rendre infirme, cette arthrite, et vous clouer au lit ou dans un fauteuil. Mais si vous croyez de tout votre coeur, Dieu peut ôter cet acide de votre sang et vous guérir. Croyez-vous cela ? Ô Adorable Jésus, je demande la guérison de mon frère au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse maintenant. Ne doutez pas; allez, croyant.

81 Vous avez l’air d’un homme en bonne santé, mais quand il s’agit du coeur, on ne sait pas voir si on est en bonne santé ou pas. Mais Dieu peut guérir cela. Croyez-vous cela de tout votre coeur ? Alors, venez ici. Adorable Père céleste, je bénis cet homme au Nom de Jésus pour sa guérison. Amen. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Croyez maintenant de tout votre coeur.

82 Croyez-vous que le Fils de Dieu peut vous guérir de cette maladie de femme et aussi de l’arthrite, et vous rétablir ? Croyez-vous cela ? Et puis la Bible dit : «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Croyez-vous que je crois en Lui ? Alors : «Voici les miracles qui les accompagneront, ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris.» Alors, je demande sa guérison au Nom de Jésus-Christ. Amen. Ayez foi.
Ne voudriez-vous pas manger encore comme autrefois, ce pauvre estomac étant guéri? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Bien alors, allez, mangez au Nom du Seigneur Jésus.
Vous êtes nerveux? Vous croyez qu’il s’agit de la nervosité. Vous vous souciez toujours des choses à venir. Et cela crée des acides, c’est ce qui fait que vous ayez l’arthrite. C’est vrai. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Alors, allez et recevez votre guérison au Nom du Seigneur Jésus.
Vous voulez manger encore comme autrefois ? Allez vous procurer un bon hamburger et mangez-le au Nom du Seigneur Jésus.

83 [Quelqu’un parle en langues. – N.D.E.] Amen. Si vous pouvez croire, tout est possible. Croyez-vous cela, madame assise là, vous qui me regardez, qui souffrez de l’hypertension? Croyez-vous cela? La ligne est terminée; vous voilà assise. C’est de cela que vous souffrez. Bon, si vous croyez que je suis le prophète de Dieu, imposez la main à l’autre femme assise à côté de vous. Bon, vous voulez recevoir…?… des varices, madame, être guérie? Levez la main si vous le voulez. Très bien, vous pouvez avoir ce que vous avez demandé.

84 Croyez-vous? Très bien, madame, regardez ici juste une minute. Croyez-vous de tout votre coeur que je suis Son serviteur? Je ne peux pas vous guérir, car je n’ai rien pour le faire, mais Celui dans la Présence de qui vous vous trouvez peut vous guérir. Vous souffrez d’une maladie, la nervosité, et votre dos vous dérange, c’est une vertèbre qui est déplacée. Vous avez aussi les hémorroïdes. C’est vrai. Et à part cela, vous voulez que je prie pour quelqu’un d’autre. C’est votre fille. Elle souffre de troubles rénaux. Elle habite en Californie. Et elle n’est pas sauvée, et vous avez un foyer brisé. C’est tout à fait vrai. Croyez-vous ? Alors, allez et recevez ce que vous demandez au Nom de Jésus-Christ.

85 Croyez-vous ? Ô Seigneur, viens au secours de notre incrédulité. Ceci est un moment crucial. Je vous aime d’un amour chrétien. Je vous ai dit la vérité par la Parole de Dieu. Et Dieu a confirmé que c’est la vérité. Maintenant, ceci est parfaitement la vérité. Jésus-Christ a guéri chacun de vous. Quoi de plus peut être fait ? Croyez-vous cela ? Levez-vous, et attendez-vous à ce que ça soit réglé au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

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