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Le Roi rejeté
1 ... pour que la gloire du Seigneur descende sur nous aujourdâhui par la prĂ©dication de la Parole. Et câest un... La semaine passĂ©e, jâĂ©tais un peu mal en point. A vrai dire, ce nâest pas mal en point, mais il sâagit dâun examen quâil mâa fallu subir, un examen mĂ©dical; et câest ce que vous avez appris, que jâĂ©tais Ă lâhĂŽpital. Câest la raison pour laquelle je mây suis rendu, câĂ©tait pour que je nâaie pas Ă faire des va-et-vient entre ici et lĂ -bas, de lâautre cĂŽtĂ© de la riviĂšre. Ils vous font subir un examen pour le tube digestif supĂ©rieur et un examen pour les intestins, et il leur faut... toutes les cinq minutes, il leur faut revenir pour faire une autre radiographie.
2 Mais le⊠On est censĂ© subir ces examens-lĂ (si on fait un travail missionnaire outre-mer) tous les six mois. FrĂšre Roberts et les autres, je pense quâils subissent les leurs tous les six mois, mais moi, je nâen avais pas subi un depuis quatre ans.
3 Le problĂšme, câest que je nâaime vraiment pas lâhuile de ricin. Câest tout ce quâil y a. Et ils disent quâils ne peuvent rien donner Ă la place, alors je... Oh! Lorsquâon mâa donnĂ© cette histoire-lĂ , ça mâa rendu vraiment malade. Vous savez, je vous ai racontĂ© dans lâhistoire de ma vie Ă quel point cela me rend vraiment malade, et â et jâai vraiment horreur de prendre ça. Et jâai demandĂ© Ă mon aimable ami, le mĂ©decin : «Si... Nây a-t-il pas quelque chose dâautre?»
Il a répondu : «Je ne pense pas, FrÚre Branham.»
4 Oh! quand cette dame est entrĂ©e avec, on dirait⊠JâexagĂšre peut-ĂȘtre, mais on dirait quâelle en avait un litre. Ce â câĂ©tait un... Je nâen avais jamais vu autant; je me suis pincĂ© le nez et jâai eu des nausĂ©es, mais jâai fini par la faire descendre.
5 Mais maintenant, dans toute cette Ă©preuve et tout ce que jâai endurĂ©, jâaimerais remercier le Seigneur pour un examen parfait. Jâai rĂ©ussi avec cent pour cent; je peux aller partout oĂč je veux au monde. Jâai demandĂ© aux mĂ©decins, câĂ©taient trois des meilleurs spĂ©cialistes, je â je pense, de Louisville, je leur ai demandĂ©, jâai dit: «Est-ce que jâai une incapacitĂ© dâau moins dix pour cent?»
Il a rĂ©pondu : «Vous nâavez pas la moindre incapacitĂ©.» Il a dit â Il a dit: «Vous ĂȘtes en parfaite santĂ©, sur tous les plans.» Et jâen suis vraiment reconnaissant Ă Dieu. De qui dâautre cela pouvait-il venir si ce nâest de notre PĂšre cĂ©leste, voyez-vous, que je sois en si parfaite santĂ©. Et il a dit: «Votre â toute votre diagramme montre trĂšs bien lĂ que vous ĂȘtes jeune.» Il a dit: «Vos cellules de sang nâont mĂȘme pas encore commencĂ© Ă se dĂ©tĂ©riorer ni rien.» Il a dit : «Vous ĂȘtes en trĂšs bonne santĂ©, FrĂšre Branham.»
Et jâai dit: «Eh bien, je suis vraiment content.»
6 Et jâai eu le privilĂšge de parler, de rendre tĂ©moignage du Royaume de Dieu Ă toutes les infirmiĂšres et Ă tous les mĂ©decins de cet hĂŽpital-lĂ . Et un certain mĂ©decin, je pense quâil est censĂ© ĂȘtre ici ce matin⊠Et je â je suis content de voir quâil y a encore des braves hommes dans ce monde, des vrais hommes, des hommes qui pouvaient me faire subir des examens mĂ©dicaux, pendant cinq jours, chaque examen aurait probablement coĂ»tĂ© deux ou trois cents dollars, et Ă la fin des examens, ils mâont dit: «Câest notre contribution Ă lâoeuvre que vous faites pour le Seigneur.» Pas mĂȘme... Ils ont dit: «Eh bien, vous nous embarrassez rien quâen nous demandant si vous nous devez quelque chose.» Ils ont dit: «Rien que vos priĂšres pour nous.»
7 «Et, au-dedans de vous, ont-ils dit, nous voyons quâil y a de lâĂ©motion, quelque chose que nous nâarrivons pas Ă comprendre.» Ils ont dit: «Nous, ce â ce nâest pas apparent...» Il a dit: «ExtĂ©rieurement, vous nâĂȘtes pas agitĂ©, ni troublĂ©, mais, ont-ils dit, intĂ©rieurement, il y a une Ă©motion que nous nâarrivons pas Ă comprendre.»
8 Jâai dit: «Veuillez vous asseoir ici juste un petit instant et je vais vous expliquer.» Et je me suis mis Ă parler des visions. CâĂ©tait pour eux un autre domaine. Ils nây connaissaient rien. Je leur ai parlĂ© de la Bible. Puis, je leur ai parlĂ© de la vision que le Seigneur mâavait donnĂ©e lâautre jour, et ils ont pleurĂ© comme des bĂ©bĂ©s, ils Ă©taient assis lĂ , Ă pleurer. Et je... Et ils ...
9 Jâai dit: «JâespĂšre que vous ne me prenez pas pour un fanatique religieux, ou pour un...»
Il a dit: «Absolument pas, FrĂšre Branham. Je crois ça de tout mon coeur.» Il a dit: «Mais jâaimerais seulement dire une chose, câest quâon ne va pas Ă lâĂ©cole pour apprendre ces choses-là », a-t-il dit, je crois quâelles viennent du Dieu Tout-Puissant.» Et il sâagissait lĂ de trois mĂ©decins Ă©minents de Louisville, les meilleurs quâils aient. Et ainsi, jâĂ©tais vraiment content de ça, et de savoir que le Seigneur mâavait peut-ĂȘtre permis de planter quelques semences lĂ -bas.
10 Toutes les infirmiĂšres mâont parlĂ©... Un matin, alors que je sortais de la salle de radiographie, et jâai dit Ă ... Je regardais une pauvre vieille femme; elle avait lâair tellement malade. Jâai continuĂ© Ă avancer jusquâĂ ce que je suis arrivĂ© lĂ oĂč elle Ă©tait. Je me disais quâelle Ă©tait peut-ĂȘtre mourante, alors jâai dit: «Je voudrais vous poser une question, soeur.»
Elle a dit: «Oui, monsieur?»
Jâai dit: «Etes-vous chrĂ©tienne?»
Et elle a dit: «Je suis membre dâune certaine Ă©glise.»
11 Jâai dit: «Je voudrais rendre cela un peu plus clair.» Jâai dit: «Je â je voudrais savoir si vous ĂȘtes chrĂ©tienne, rĂ©ellement chrĂ©tienne. Et si vous deviez traverser cette mer de la vie pour passer dans lâautre pays, Lâaimeriez-vous?» Jâai dit: «Seriez-vous rĂ©ellement sauvĂ©e?»
Elle a dit: «Oui, oui.»
Jâai dit: «Que Dieu vous bĂ©nisse alors. Peu importe dans quel sens le vent souffle, vous nâavez donc aucun problĂšme, pourvu quâil en soit ainsi.» Et, si on fait un tour, on verra quâil reste encore bien des braves gens dans ce monde.
12 Eh bien, aujourdâhui, je suis venu avec une vision, que je vais vous raconter un peu plus tard, mais jâaimerais dâabord parler sur une portion de la Parole, parce que je crois que la Parole est trĂšs indispensable, ce quâil y a de plus indispensable en ce moment.
13 Et je suis content de voir Charlie Cox et FrĂšre... mes amis qui sont tous debout, lĂ -bas... FrĂšre... Je nâarrive pas Ă me rappeler... Jefferies (Son nom mâĂ©chappe); beaucoup dâentre vous, les autres prĂ©cieux frĂšres de la GĂ©orgie et de diffĂ©rentes rĂ©gions du pays. Mon vieux copain Bill qui est assis ici, (je pense que câest bien lui), ce matin, et â et beaucoup... le frĂšre qui vient de la GĂ©orgie, par lĂ , les gens qui mâont offert ce complet. Vous savez, câest â câest un des meilleurs complets que jâaie jamais portĂ©s. Câest si confortable. Il est vraiment trĂšs beau et... Vous reprĂ©sentez beaucoup pour moi. Quand je vais vous raconter ce qui mâest arrivĂ© ces quelques derniers jours, vous verrez pourquoi je trouve que ça reprĂ©sente beaucoup pour moi.
14 Maintenant, je crois que, le Seigneur voulant, je veux continuer le combat avec plus dâacharnement que jamais auparavant dans ma vie, parce que je vois maintenant comme... Naturellement, je pourrais mourir aujourdâhui. Câest... On ne sait pas. Les Ă©lectrocardiogrammes et tout, seize diffĂ©rentes sortes de radiographies, un examen mĂ©dical complet a montrĂ© que jâĂ©tais aussi normal quâune personne peut lâĂȘtre, un ĂȘtre humain sur cette terre. Jâen suis trĂšs reconnaissant. Mais dans toutes ces choses, mĂȘme avec tout ça, je tĂ©moigne toute ma reconnaissance et ma gratitude Ă Dieu de ce quâIl me garde (je le crois bien) encore Ă Son service; ce nâĂ©tait pas ce quâIl mâa montrĂ© quelque temps avant cela, vous voyez. Jâen ai Ă©tĂ© trĂšs heureux.
15 Eh bien, ce soir, je pense que... Tout va bien, nâest-ce pas? [FrĂšre Neville dit: «Oui, monsieur.» â N.D.E.] Notre â notre prĂ©cieux frĂšre est â est un homme sans aucun Ă©goĂŻsme, il sâagit de â il sâagit de frĂšre Neville. Et si certains parmi vous Ă©taient lĂ dimanche passĂ© et ont entendu ce merveilleux message quâil a apportĂ©, la Cruche dâHuile, câĂ©tait remar-⊠CâĂ©tait lâun des messages les plus remarquables que jâaie jamais entendus, ce message que frĂšre Neville a apportĂ©, par le Saint-Esprit, dimanche passĂ©, Ă ce petit troupeau de brebis que Dieu a rassemblĂ©es ici. Et, si cela vous arrange, si cela plaĂźt au Seigneur, et que frĂšre Neville et lâĂ©glise soient dâaccord, jâaimerais encore prĂȘcher ce soir, et commencer une sĂ©rie de â de⊠disons lundi soir, je veux dire, dimanche soir, mercredi soir et dimanche prochain, une sĂ©rie de rĂ©unions sur ce que jâai Ă©tudiĂ©...
16 Je nâaurais pas⊠Je nâaurais pas dĂ» rester lĂ , Ă lâhĂŽpital, mais ils ont Ă©tĂ© tellement gentils envers moi. Ils mâont offert une chambre pour environ le tiers du prix. Jâai donc pris mes Bibles, mes livres, et jâai remontĂ© le lit et je me suis installĂ© bien confortablement, jâavais toutes mes Bibles et autres posĂ©s par lĂ ; et je passais vraiment des moments bĂ©nis, jusquâĂ ce quâils sont arrivĂ©s avec lâhuile de ricin. Les bons moments, pour moi, ça sâest arrĂȘtĂ© lĂ ; je â jâĂ©tais alors fichu. Mais, FrĂšre Pat, je â jâĂ©tais vraiment malade. Je nâarrive tout simplement pas Ă supporter cette histoire-lĂ . Et⊠Mais je passais des moments merveilleux pendant les trois ou quatre premiers jours.
17 Je passais des moments merveilleux, jâĂ©tudiais lâEpĂźtre aux EphĂ©siens. Oh! lâĂ©glise assise ensemble, je trouve ça magnifique. Et â et si vous...
18 Et â et si vous⊠Eh bien, si vous avez une Ă©glise que vous frĂ©quentez, continuez Ă y aller et soyez Ă votre poste du devoir, mais si vous nâavez pas dâĂ©glise, et que vous aimiez revenir ce soir, mercredi soir et dimanche soir, jâaimerais prendre ce soir, le 1er chapitre de lâEpĂźtre aux EphĂ©siens, mercredi soir, le chapitre 2 des EphĂ©siens, et dimanche prochain, le chapitre 3 des EphĂ©siens, pour mettre lâĂ©glise en ordre. Vous savez ce que je veux dire, il sâagit â il sâagit de la placer dans sa position, et je pense que cela Ă©difiera lâĂ©glise.
19 Eh bien, je ne suis pas... Je â je ne prĂȘche ceci quâĂ ceux qui frĂ©quentent le Branham Tabernacle. Et si quelquâun parmi vous, mes chers frĂšres... Je sais que certains parmi vous, je pense, ont leurs rĂ©unions. Nos jeunes frĂšres de Sellersburg et â et bien dâautres ont eu des rĂ©unions. Bon, Ă©coutez, ça, ce sont des rĂ©unions de rĂ©veil. Assistez-y. Ce sont des serviteurs de Christ, des jeunes gens qui se tiennent Ă la brĂšche, qui sont sortis. Quand bien mĂȘme leur propre Ă©glise a rejetĂ© la VĂ©ritĂ© et tout, eux, ils en sont sortis, et Dieu les a appelĂ©s au ministĂšre.
20 Oui, oui, il â il y a un homme que jâadmire... Son nom mâĂ©chappe. Mais câest un jeune homme, quelquâun de bien, un bel homme, qui a une charmante Ă©pouse et des enfants.
21 Et â et FrĂšre Junie Jackson a tenu des rĂ©unions par ici; lui aussi est un trophĂ©e merveilleux et remarquable de la grĂące Ă©tonnante de Dieu.
22 Et quand on tient des rĂ©unions de rĂ©veil dans vos Ă©glises, allez-y, parce que câest votre â câest la chose Ă faire, parce que vous ne savez pas⊠Un pĂ©cheur pourrait sâavancer Ă lâautel, et il se pourrait que vous vous sentiez poussĂ© Ă conduire cette personne-lĂ Ă Christ, ce qui fera que vous receviez une grande rĂ©compense de lâautre cĂŽtĂ©. Ceci nâest quâun enseignement, pour mettre lâĂ©glise en ordre, ici au tabernacle, pour nous aider pendant notre marche.
23 Eh bien, je nâai pas apportĂ© ma montre, il faudra donc que quelquâun surveille lâheure pour moi. VoilĂ , Doc vient de me montrer quâil en a une, alors... Mon frĂšre... Ainsi donc⊠[FrĂšre Branham sâentretient avec son frĂšre, Edgar «Doc» Branham. â N.D.E.] Tu ne vas pas me taxer trop pour ça, nâest-ce pas? Ăa va. Eh bien, maintenant, ça va. Eh bien maintenant, je⊠pour commencer, je ne pense pas que le truc fonctionne comme il faut; ainsi⊠Eh bien, oh! oh! sh! sh! sh! Nâest-ce pas? Eh bien, câest⊠Cette horloge a donc fonctionnĂ© beaucoup mieux, Doc. Il a dit quâil a retenu dix cents le jour de son anniversaire pour que je me sente mieux. En effet, il y a un Ă©cart de deux ou trois ans entre lui et moi. Vous pouvez donc voir oĂč jâen suis sur le chemin. Mais oh! ça mâimporte peu.
24 Maintenant, je ne vais pas parler trĂšs longtemps. Eh bien, sâil y a des Ă©trangers dans nos murs, nous aimerions certainement vous souhaiter la bienvenue, de tout notre coeur. Vous ĂȘtes vraiment les bienvenus ici, Ă ce petit tabernacle. Nous nâavons pas un grand bĂątiment. En ce moment, nous projetons de construire un â pas un grand bĂątiment, mais juste un... Celui-ci est pratiquement dĂ©labrĂ©; nous allons essayer de nous construire une belle petite Ă©glise confortable, ici, dĂšs que nous â que le Seigneur nous le permettra. Beaucoup parmi vous fournissent des efforts dans ce sens-lĂ , et nous apprĂ©cions certainement cela.
25 Maintenant, jâaimerais que vous ouvriez avec moi, pour notre lecture de ce matin, dans I Samuel chapitre 8, et nous allons commencer Ă partir du... Commençons Ă partir du verset 19, les versets 19 et 20, peut-ĂȘtre, un court passage pour nous permettre dâavoir un contexte. Et maintenant, pendant que vous cherchez ça, et avant de... Nous voulons â nous allons le lire, et ensuite nous aimerons aller en priĂšre; y aurait-il des requĂȘtes ce matin, quelquâun qui dirait: «Souvenez-vous de moi»?
26 Lors de notre derniĂšre rĂ©u-... il y a deux semaines ou trois, quand jâai tenu la rĂ©union... Dites donc, Ă propos, pendant que vous ouvrez vos Bibles, la sĂ©rie de rĂ©unions du Chatauqua va donc commencer le six. Nous nous attendons Ă des moments merveilleux, Ă Middletown, dans lâOhio. Vous qui prendrez vos vacances [Ă cette pĂ©riode-lĂ ], venez â il y a un grand terrain de camping Ă la riviĂšre, oĂč il y aura toutes les â toutes sortes de prĂ©dications que vous ayez jamais entendues. Il y a des prĂ©dicateurs lĂ tout le long de la riviĂšre, chaque matin, toute la journĂ©e et toute la soirĂ©e. Tout le monde se rassemble donc. Câest un grand terrain de camping, de loin plus grand que celui de Silver Hills, bien des fois plus grand. Et aussi, il y a lĂ un grand bĂątiment qui peut contenir huit Ă dix mille personnes, et câest toujours bondĂ©. Nous passons des moments merveilleux dans â dans lâOhio.
27 Et ce vieux frĂšre Kidd, pour qui je suis allĂ© prier lâautre matin⊠Vous vous souvenez tous que je vous en ai parlĂ© il y a trois semaines. Le mĂ©decin lui a donnĂ© vingt-quatre heures Ă vivre; le voilĂ sur pied et il marche. Il a citĂ© une Ecriture, un chant quâil nâarrivait pas Ă chanter. Et quand je suis allĂ© lĂ lâautre matin, et que je lâai vu portant son petit chĂąle⊠Je suis parti dâici environ trois ou quatre heures avant le lever du jour, pour pouvoir arriver jusquâĂ lui, on disait quâil allait mourir ce jour-lĂ dâun cancer de la prostate.
28 Et sa prĂ©cieuse petite Ă©pouse ĂągĂ©e faisait la lessive pour cinquante cents par jour. DĂšs avant le lever du jour jusquâau soir, pour cinquante cents, pour que son mari continue Ă oeuvrer comme prĂ©dicateur dans le champ missionnaire. Deux semaines durant, il a tenu une sĂ©rie de rĂ©unions de rĂ©veil oĂč il a prĂȘchĂ©; il a prĂ©levĂ© une offrande et a rĂ©coltĂ© quatre-vingts cents. Mais, je les ai vus assis lĂ , lâautre matin, ces deux petits vieux couples... ou plutĂŽt ce petit couple; ils Ă©taient assis lĂ , et lui avait son petit chĂąle Ă lâĂ©paule. Et il y avait une de ses converties, ĂągĂ©e de quatre-vingt-douze ans, tout aussi joyeuse et vivace, une pentecĂŽtiste jusquâĂ la moelle, assise lĂ , vous savezâŠ
29 Et jâai dit: «Vous savez, vous les vieux, pourquoi ĂȘtes-vous assis lĂ ?»
â Nous attendons que le bateau vienne.
30 Câest tout. Leur travail, tout ce quâils ont accompli; leur but, ils lâont atteint, et maintenant, ils sont prĂȘts Ă partir vers leur rĂ©compense. Et jâai dit Ă frĂšre Chieve ce â Ă frĂšre Kiddson â Kidd ce matin-lĂ : «Vous serez Ă la rĂ©union de Chatauqua.»
Il mâa tĂ©lĂ©phonĂ© hier et a dit: «Je me porte trĂšs... Jây serai, FrĂšre Branham. Je seraisâŠÂ» Eh bien, trĂšs bien.
31 Beaucoup de ceux qui assistent aux rĂ©unions sont le fruit de mon nouveau ministĂšre. Il y a un frĂšre â un frĂšre baptiste qui se tient lĂ ; sa fille, une adolescente, Ă©tait un peu rebelle; et lâautre matin, je lui ai dit: «Je vous donne votre fille pour le Seigneur JĂ©sus», et quand il est rentrĂ© Ă la maison, elle Ă©tait sauvĂ©e, et lâautre est ici ce matin, pour se faire baptiser, et ça continue.
32 Et il y a un homme, M. Sothmann, un de mes amis du Canada, dont la belle-mĂšre Ă©tait mourante, et Ă qui jâai dit: «Quand vous arriverez lĂ -bas, vous trouverez votre belle-mĂšre bien portante, convalescente, rĂ©tablie.» Ăa sâest passĂ© exactement comme ça. Et juste... des gens qui viennent. Câen est seulement Ă ses dĂ©buts maintenant, ça agit dĂ©jĂ . Mais oh! nous nous attendons Ă des choses infiniment au-delĂ de toute mesure. Nous sommes dans les derniers jours, des jours mauvais, mais Ă une heure glorieuse.
33 Maintenant avez-vous votre Bible, pour la lecture? Samuel chapitre 8. Et jâai demandĂ© Ă Gene de rester lĂ -derriĂšre pour lâenregistrement de la suite de ce... On nâen Ă©tait quâau dĂ©but de notre rĂ©union.
Le peuple refusa dâĂ©couter la voix de Samuel. Non! dirent-ils, mais il y aura un roi sur nous,
Et nous aussi nous serons comme la nation⊠toutes les nations; notre roi nous jugera, il marchera Ă notre tĂȘte et conduira nos guerres.
Samuel, aprĂšs avoir entendu toutes les paroles du peuple, les redit aux oreilles de lâEternel.
Et lâEternel dit Ă Samuel: Ecoute leur voix, et Ă©tablis un roi sur eux. Et Samuel dit aux hommes dâIsraĂ«l: Allez-vous-en chacun dans sa ville.
34 Maintenant, ce matin, si je voulais choisir Ă partir de ceci ce que jâappellerais un sujet, pour les quelques prochaines minutes, je choisirais le sujet suivant: le Roi rejetĂ©.
35 CâĂ©tait une Ă©poque oĂč, comme Ă toutes les Ă©poques, les gens ne voulaient pas du tout que Dieu les conduise. Les gens veulent ĂȘtre conduits Ă leur maniĂšre Ă eux. Cette histoire, ce matin... et quand vous rentrerez chez vous, ce serait bien pour vous de lire dâun bout Ă lâautre. Ăa se passait Ă lâĂ©poque de⊠du temps de Samuel, lâhomme de Dieu, le prophĂšte. Il avait Ă©tĂ© un homme juste, et un brave homme, honorable, de bonne rĂ©putation, loyal et honnĂȘte envers les gens, il ne les avait jamais induits en erreur, il ne leur disait rien dâautre que lâ«AINSI DIT LE SEIGNEUR».
36 Mais les gens en Ă©taient arrivĂ©s au point oĂč ils voulaient modifier ce programme-lĂ . Ils avaient observĂ© les Philistins, et les AmalĂ©cites, les AmorĂ©ens, les HĂ©thiens et les autres nations du monde, et ils avaient vu quâeux avaient des rois qui rĂ©gnaient sur eux, qui les gouvernaient, qui les guidaient, qui conduisaient leurs combats et ainsi de suite. Et il semblait donc quâIsraĂ«l voulait suivre lâexemple de ces rois-lĂ et de ces peuples-lĂ .
37 Mais ça nâa jamais Ă©tĂ© lâintention de Dieu, Ă aucune Ă©poque, que Son peuple agisse comme les gens du monde, ou quâil soit gouvernĂ© ou dirigĂ© comme les gens du monde. Le peuple de Dieu a toujours Ă©tĂ© un â un peuple particulier, un peuple diffĂ©rent, appelĂ© Ă sortir, sĂ©parĂ©, des gens qui, dans leurs actions, dans leurs maniĂšres, dans leur façon de vivre, sont complĂštement diffĂ©rents des peuples de ce monde. Les choses auxquelles ils aspirent et leur nature tout entiĂšre ont toujours Ă©tĂ© contraires aux choses auxquelles aspirent les gens du monde.
38 Le peuple dâIsraĂ«l vint auprĂšs de Samuel et lui dit : «Maintenant, tu deviens vieux, et tes fils ne marchent point sur tes traces.» En effet, ils nâĂ©taient pas loyaux comme Samuel; ils se faisaient corrompre et acceptaient de lâargent. Alors ils dirent: «Samuel, tes fils ne sont pas comme toi, ainsi nous voulons que tu ailles nous trouver un roi, que tu lâoignes, et que tu fasses de nous un peuple comme les autres peuples du monde.»
39 Samuel a essayĂ© de leur expliquer que ça ne marcherait pas. Il a dit: «Si vous faites ça, trĂšs bientĂŽt, vous verrez quâil prendra tous vos fils de vos maisons, il en fera des soldats, afin quâils courent devant ses chars et portent les armes et les lances. Et ce nâest pas tout, il prendra vos filles pour en faire des boulangĂšres, il vous les enlĂšvera pour nourrir lâarmĂ©e.» Et il a ajoutĂ©: «En plus de tout ça, il vous fera payer des taxes sur le produit de vos semences et sur tout votre revenu. Il fera payer des taxes sur tout cela, ce qui crĂ©era des dettes gouvernementales et tout, quâil faudra payer.» Il a dit: «Je pense vraiment que vous commettez une erreur.»
Mais, alors les gens ont dit: «Mais nous voulons quand mĂȘme ĂȘtre comme les autres peuples.»
40 Il y a quelque chose dans les hommes et les femmes qui fait quâils veulent vraiment se ressembler les uns aux autres. Et il nây a quâun seul Homme qui ait jamais vĂ©cu sur terre qui a Ă©tĂ© notre Exemple, et câest Celui qui est mort pour nous tous, notre Seigneur et Sauveur, JĂ©sus-Christ. CâĂ©tait Lui lâexemple parfait de ce que nous devrions ĂȘtre: des gens qui sâoccupent toujours des affaires du PĂšre et qui font ce qui est juste.
41 Peu importe combien Samuel a essayĂ© de persuader les gens, ils allaient continuellement au prĂšs de lui, jour et nuit, disant : «Nous voulons un roi. Nous voulons un homme. Nous voulons un homme, de qui nous pourrons dire: âVoici notre guide.â»Et cela nâa jamais Ă©tĂ© la volontĂ© de Dieu. Ăa nâa jamais Ă©tĂ© la volontĂ© de Dieu, et ce ne sera jamais la volontĂ© de Dieu, que les hommes rĂšgnent les uns sur les autres. Câest Dieu qui rĂšgne sur lâhomme. Câest Dieu qui est notre Chef, notre Roi. Et cela est vraiment comparable Ă ce qui se passe aujourdâhui, puisquâil semble que lâhomme a encore cette mĂȘme idĂ©e-lĂ . Il semble quâil nâarrive pas Ă comprendre que câest encore Dieu qui rĂšgne sur lâhomme, plutĂŽt que ce soit lâhomme qui rĂšgne sur lâhomme.
42 Ainsi, ils se sont choisis un homme du nom de SaĂŒl, qui Ă©tait le fils de Kis. Et câĂ©tait un homme de bonne rĂ©putation, un homme honorable. Mais, il convenait trĂšs parfaitement aux gens, parce que câĂ©tait un homme imposant, grand de taille et dâune stature noble. Les Ecritures disent quâil dĂ©passait dâune tĂȘte tous les hommes dâIsraĂ«l. Il avait une allure royale, et il Ă©tait beau de figure. CâĂ©tait un homme brillant et extraordinaire.
43 Or, câest lĂ le genre dâhomme que les gens aiment choisir aujourdâhui. Il semble que les gens ne sont pas satisfaits de la façon dont Dieu a Ă©tabli Son Eglise, pour quâElle soit gouvernĂ©e et dirigĂ©e par le Saint-Esprit. Ils veulent que ce soit quelquâun, un homme, une dĂ©nomination, que certaines personnes gouvernent lâĂ©glise, des gens qui ne sont pas capables de sâabandonner entiĂšrement dans les mains de Dieu, pour quâils soient spirituels, pour quâils soient conduits par le Saint-Esprit. Ils veulent que quelquâun pratique leur religion Ă leur place; quelquâun qui leur dira exactement comment la pratiquer et tout Ă ce sujet. Donc, cet homme-lĂ semblait convenir parfaitement Ă ce poste, parce que câĂ©tait un homme trĂšs intellectuel.
44 Et ça ressemble beaucoup Ă ce qui se passe aujourdâhui. Nous aimons choisir des gens pareils, nous aussi, pour quâils dirigent nos Ă©glises, pour quâils dirigent lâEglise de Dieu. Je nâai rien Ă redire Ă cela, mais je veux simplement faire remarquer quelque chose: ce nâest pas, ce nâĂ©tait pas, et ce ne sera jamais la volontĂ© de Dieu que les choses se fassent ainsi. Câest Dieu qui doit diriger Son peuple, gouverner chaque individu.
45 Nous voyons donc que ce fils de Kis, cet homme imposant, et â et sa stature et son... Il semblait convenir aux gens qui se disaient que le manteau lui irait trĂšs bien ainsi que la couronne sur sa tĂȘte, et quâen marchant, il dĂ©passerait tout le monde, quâil serait un â un vĂ©ritable atout pour le royaume dâIsraĂ«l. En effet, les autres rois allaient... des autres nations allaient se dire: «Regardez, quel homme!» Comme ils pouvaient le pointer du doigt, en disant: «Regardez quel grand roi nous avons! Regardez quel grand homme rĂšgne sur nous!»
46 Et câest triste Ă dire, mais câest vraiment le cas aujourdâhui avec lâĂ©glise. Ils aiment dire: «Notre pasteur nâest pas un homme bornĂ©; câest un grand homme. Il est diplĂŽmĂ© de lâUniversitĂ© Harvard, ou dâune grande Ă©cole de thĂ©ologie. Il a quatre diplĂŽmes de telle et telle UniversitĂ©, et il est trĂšs sociable.» Tout ça, câest peut-ĂȘtre trĂšs bien, et cela a sa place, mais la maniĂšre de Dieu, câest que Son Eglise soit conduite par le Saint-Esprit et par Son Esprit. Mais les gens aiment dire: «Nous sommes membres dâune telle grande dĂ©nomination. Nous sommes les pionniers, câest nous qui avons commencĂ© lĂ tout au dĂ©but quand nous Ă©tions une minoritĂ©, juste un tout petit groupe de gens, un petit nombre. Et maintenant, le nombre sâest accru, au point que nous sommes parmi les dĂ©nominations les plus importantes qui soient. Nous avons les meilleures Ă©coles et les prĂ©dicateurs les plus instruits. Nos gens sont les mieux habillĂ©s, et les plus grands intellectuels de la ville frĂ©quentent notre dĂ©nomination. Nous faisons des oeuvres de bienfaisance, et nous faisons de bonnes oeuvres, et des choses semblables.» Il nây a rien du tout Ă redire, que Dieu me prĂ©serve de dire un seul mot contre ces choses, car tout ça, câest bon; mais nĂ©anmoins ce nâest pas la volontĂ© de Dieu que lâhomme rĂšgne sur lâhomme.
47 Le jour de la PentecĂŽte Dieu a envoyĂ© le Saint-Esprit pour quâIl rĂšgne dans le coeur de lâhomme et quâIl rĂšgne dans sa vie. Il nâa pas Ă©tĂ© donnĂ© Ă lâhomme de rĂ©gner sur lâhomme.
48 Mais nous aimons parler comme ça. Câest quelque chose de trĂšs remarquable pour nous de pouvoir dire que nous sommes membres dâune organisation si importante: «Etes-vous chrĂ©tien?» Câest ainsi que jâen suis arrivĂ© Ă ce sujet. Quand jâĂ©tais Ă lâhĂŽpital et que je demandais Ă quelquâun: «Etes-vous chrĂ©tien?» La personne rĂ©pondait : «Je suis membre de telle et telle Ă©glise.»
â Etes-vous chrĂ©tienne?
â Je suis membre de telle et telle Ă©glise.
Une petite infirmiĂšre est venue Ă la tĂȘte du lit, pendant que je lisais la Bible; elle venait de monter Ă lâĂ©tage, elle a dit: «Bonjour.» Elle a dit: «RĂ©vĂ©rend Branham, je pense que vous ĂȘtes ici pour un â un examen mĂ©dical.»
Jâai dit: «Câest ça.»
Elle a dit: «Est-ce que je peux vous frictionner le dos, pour vous rafraĂźchir un peu, avec de lâalcool?»
Et jâai dit: «Vous pouvez y aller.»
Et, pendant quâelle me frictionnait le dos, elle a dit: «De quelle Ă©glise dĂ©nominationnelle ĂȘtes-vous membre?»
Et jâai dit: «Oh! je suis membre de la dĂ©nomination la plus ancienne quâil y ait.»
Elle a dit: «De quelle dĂ©nomination sâagit-il?»
Jâai dit: «Câest celle qui a Ă©tĂ© fondĂ©e avant mĂȘme que le monde ait Ă©tĂ© fondĂ©.»
«Oh! a-t-il dit, de quelle... Je ne pense pas que je connaisse cette...» Elle a dit: «Moi, je suis membre de telle église. Est-ce cette organisation-là ?»
49 Jâai dit: «Non, madame. Celle-lĂ , cette organisation-lĂ fut fondĂ©e depuis environ deux cents ans seulement. Mais lâorganisation dont il est question a commencĂ© lorsque les Ă©toiles du matin chantaient ensemble et que les fils de Dieu poussaient des cris de joie, quand ils ont vu la venue dâun Sauveur pour racheter lâhumanité».
50 Elle a arrĂȘtĂ© de me frictionner le dos; je mâĂ©tais courbĂ© un peu comme ceci, pour que la dame puisse me frictionner. Elle Ă©tait de Corydon, non loin dâici. Nous nous sommes mis Ă parler et elle a dit: «Monsieur, jâai toujours cru que si Dieu a jamais Ă©tĂ© Dieu, Il est encore Dieu aujourdâhui, tout comme Il lâĂ©tait autrefois.» Elle a dit: «Bien que mon Ă©glise renie catĂ©goriquement cela, mais moi, je crois que câest la VĂ©ritĂ©.»
Et jâai dit: «Vous nâĂȘtes pas loin du Royaume de Dieu, jeune femme.»
Elle a dit: «SâIl a jamais Ă©tĂ© un GuĂ©risseur, ne Lâest-il pas toujours?»
Jâai dit: «Il lâest trĂšs certainement, ma soeur.»
51 Mais lâhomme veut rĂ©gner, et rĂ©gner sur lâhomme; et lâhomme veut que ce soit lâhomme qui rĂšgne sur lui. Il ne veut pas que Dieu rĂšgne.
52 Ainsi, ce fils de Kis, du nom de SaĂŒl, Ă©tait la rĂ©ponse parfaite Ă leurs aspirations. Le grand homme imposant et le... oh! il pouvait vraiment ĂȘtre Ă la tĂȘte de leurs combats, et tout. Toutefois, ce nâĂ©tait pas la façon de Dieu de faire les choses. Dieu voulait que Son vieux prophĂšte fidĂšle les dirige et leur annonce Ses Paroles.
53 Or, aujourdâhui, dans ce grand Ăąge de lâĂ©glise oĂč nous vivons, nous⊠Je pense et je crois de tout mon coeur que nous avons fait exactement le contraire de ce que Dieu nous avait ordonnĂ© de faire. Dans les derniĂšres Paroles de notre Sauveur, qui sont dans Marc 16, il est dit:
...Allez par tout le monde, et prĂȘchez la bonne nouvelle Ă toute la crĂ©ation.
Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé; celui qui ne croira pas sera condamné.
Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en mon nom, ils chasseront les démons; ils parleront la nouvelle langue;
Sâils saisissent des serpents, ou boivent des breuvages mortels, ça ne leur fera point de mal; et sâils imposent les mains aux malades... les malades seront guĂ©ris.
54 Aucun homme, aucun fils de Kis, personne dâautre, ne peut produire cela sans la conduite du Saint-Esprit. Mais nous avons fondĂ© des Ă©coles, nous avons fondĂ© des sĂ©minaires et des organisations, pour â pour nous satisfaire et pour ressembler au reste du monde.
55 Eh bien, autrefois, câĂ©tait le Saint-Esprit qui conduisait cette nation. Avant, cette nation Ă©tait gouvernĂ©e, quand, Ă lâĂ©poque oĂč... Ă lâĂ©poque oĂč on a rĂ©digĂ© la DĂ©claration dâindĂ©pendance, et il y avait lĂ une chaise de plus lĂ -bas. Il nây a pas le moindre doute dans mon esprit que le Fils de Dieu Ă©tait certainement assis Ă cette table-lĂ , lorsque cette nation a Ă©tĂ© fondĂ©e sur les principes de la libertĂ© de religion, et de la libertĂ© sur tous les plans, et sur la base de la Parole Eternelle de Dieu. Mais on a corrompu ça; la politique. On a Ă©lu des hommes, en achetant et en vendant, et en faisant des promesses fallacieuses, si bien que notre nation, notre politique et notre dĂ©mocratie sont tellement polluĂ©es que câest â câest tout mĂ©langĂ© avec le communisme et toutes sortes dâismes.
56 Et trĂšs souvent, on ouvrait les sĂ©ances par la priĂšre, quand la SociĂ©tĂ© des Nations se rĂ©unissait lĂ -bas, ou quâils dĂ©battaient des choses. Et tout rĂ©cemment, Ă un moment capital, on nâa mĂȘme pas fait une seule fois mention de la priĂšre! Comment allons-nous jamais rĂ©gler nos diffĂ©rends sans la priĂšre? Comment au monde pouvons-nous jamais nous attendre Ă accomplir quoi que ce soit sans la conduite du Saint-Esprit?
57 Mais permettez-moi de dire ceci, avec tout lâamour et le respect que jâai pour notre nation, pour son drapeau et pour la rĂ©publique quâil reprĂ©sente: nous avons rejetĂ© notre Conducteur, le Saint-Esprit, et, par notre politique corrompue, nous avons choisi des hommes Ă lâesprit pervers. Et, si vous ne faites pas attention, trĂšs prochainement ils vont commettre maintenant mĂȘme une des erreurs les plus fatales quâils aient jamais commises. Et cela, câest parce que les gens veulent que ce soit lâhomme qui rĂšgne.
58 Ce quâil nous faut comme PrĂ©sident, ici, au Capitole des Etats-Unis ce quâil nous faut au CongrĂšs, ce quâil nous faut dans nos tribunaux, ce sont des hommes qui ont consacrĂ© leur vie Ă Dieu, qui sont remplis du Saint-Esprit et qui sont conduits par Sa direction Divine. Mais au lieu de cela, nous Ă©lisons des hommes intellectuels, des hommes qui ont lâapparence de la piĂ©tĂ© mais qui renient la puissance de Dieu; des hommes qui sont des athĂ©es et parfois mĂȘme pires que ça, voilĂ ceux que nous avons introduits dans les milieux politiques de notre nation, et pas seulement lĂ , mais aussi dans nos Ă©glises.
59 Nos Ă©glises se sont corrompues parce que dans le choix des bergers qui doivent nous conduire, nous avons recouru aux sĂ©minaires et nous avons choisi des hommes qui sont de grands gĂ©ants intellectuels, de grands cerveaux, des hommes qui ont beaucoup de savoir, et des hommes trĂšs sociables, importants dans le quartier; je nâai rien Ă redire Ă cela. Ce sont des hommes courtois, qui veillent sur leur façon de vivre et sur leur comportement parmi les autres hommes et parmi les gens; de grands hommes dans leurs domaines⊠et je nâai rien de mal Ă redire Ă cela. Que Dieu me prĂ©serve dâavoir lâesprit si malveillant. Mais nĂ©anmoins, ce nâest pas ce que Dieu a choisi pour nous. Câest la conduite du Saint-Esprit: Christ dans le coeur de lâhomme.
60 Beaucoup de ces hommes intellectuels qui se tiennent en chaire parmi nous renient lâexistence mĂȘme du Saint-Esprit. Beaucoup dâentre eux renient lâexistence de la guĂ©rison divine et de la puissance de lâEsprit.
61 Je lisais un article (câĂ©tait hier, je pense), une sĂ©rie de coupures de journaux sur Jack Coe, feu Jack Coe, un de mes convertis au Seigneur JĂ©sus, qui a Ă©tĂ© un vaillant hĂ©ros Ă son Ă©poque, et qui avait reçu un mandat de comparution, en Floride, pour avoir demandĂ© Ă un jeune enfant dâenlever son appareil orthopĂ©dique quâil portait aux jambes et de marcher sur lâestrade. En suivant cette recommandation, lâenfant a marchĂ© normalement sur lâestrade, puis il est tombĂ© lorsquâil est arrivĂ© chez sa mĂšre. Ce nâest quâun coup montĂ© de lâennemi de Christ.
62 Cette jeune femme et son mari ont fait comparaĂźtre notre noble frĂšre devant les tribunaux du pays. Et, alors que toutes les Ă©glises auraient dĂ» soutenir FrĂšre Jack, alors que tous les hommes dâĂ©glises qui citent le Nom de JĂ©sus-Christ auraient dĂ» se ranger bravement de son cĂŽtĂ©, que tout homme qui invoque le Nom du Seigneur JĂ©sus aurait dĂ» sâagenouiller pour prier, mais au lieu de cela, Ă la une des journaux, une de nos grandes dĂ©nominations dĂ©clarait quâelle se joignait aux athĂ©es pour condamner et emprisonner FrĂšre Jack Coe. Pouvez-vous imaginer quâune Ă©glise qui se donne le Nom de Christ se joigne Ă un athĂ©e pour condamner un homme pieux, qui essayait de tout son coeur de dĂ©fendre la Bible? Mais ils lâont fait.
63 Quand le FrĂšre Gordon Lindsay est venu Ă la rescousse, alors le juge incrĂ©dule a dit: «Cet homme est un imposteur, parce quâil a fait enlever lâappareil orthopĂ©dique de cet enfant, et quâil lâa fait traverser lâestrade, en dĂ©clarant quâil Ă©tait guĂ©ri; il a menti et il est allĂ© Ă lâencontre des ordres du mĂ©decin. Par consĂ©quent, il est coupable de supercherie.»
64 M. Coe sâest levĂ© et a dit: «Monsieur, je conteste cette dĂ©claration. Dieu a guĂ©ri ce garçon.»
65 Et le juge a dit: «Je demanderais Ă tout homme qui se trouve dans ce tribunal sâil est possible que la dĂ©claration ci-aprĂšs soit vraie; comme quoi Dieu a pu guĂ©rir ce garçon Ă un bout de lâestrade, et quâIl a permis quâil soit malade Ă lâautre bout. Si cette dĂ©claration peut ĂȘtre prouvĂ©e par la Bible, alors je dirai que M. Coe a raison dans sa dĂ©claration.»
66 Un prédicateur a levé la main et a dit: «Votre Honneur, Monsieur, puis-je appuyer cette déclaration?»
Et le juge a dit: «Je vous en prie.»
Le prĂ©dicateur sâest levĂ© et a dit: «Une nuit, sur une mer agitĂ©e, une petite barque Ă©tait sur le point de couler; il nây avait plus aucun espoir de survie. Ils ont vu JĂ©sus, le Fils de Dieu, venir en marchant sur les eaux. Et un des apĂŽtres, du nom de Pierre, a dit: âSi câest Toi, Seigneur, ordonne que je vienne vers Toi sur les eaux.â Il a dit... Le Seigneur a dit Ă lâapĂŽtre Pierre: âViensâ. Alors il est sorti de la barque, monsieur, et il a marchĂ© sur les eaux comme JĂ©sus. Mais quand il a eu peur, il a commencĂ© Ă sâenfoncer avant dâarriver Ă JĂ©sus.»
Le juge a dit: «Lâaffaire est classĂ©e.»
67 Il nous faut la conduite du Saint-Esprit, pas celle des hommes intellectuels.
68 SaĂŒl, le fils de Kis, a donc Ă©tĂ© Ă©tabli comme chef sur le peuple. Il a pris avec lui deux mille hommes et Jonathan en a pris mille; et Jonathan est descendu Ă une garnison, et il a battu tout un groupe dâAmorĂ©ens, ou plutĂŽt dâAmmonites. Et aprĂšs â aprĂšs quâil les a eu battus, SaĂŒl a sonnĂ© de la trompette, et a dit: «Voyez ce que SaĂŒl a fait.» Il a commencĂ© Ă sâenfler dâorgueil.
69 AussitĂŽt quâun homme devient un grand docteur en thĂ©ologie, ou quâil a un petit quelque chose dâaccrocher au bout de son nom, il devient plus ou moins un je-sais-tout. Les hommes de Dieu sont des hommes humbles. Le peuple de Dieu est constituĂ© des hommes humbles.
70 Quand vous voyez une personne qui prĂ©tend avoir reçu le Saint-Esprit et qui commence Ă se sĂ©parer des autres, quâelle semble ne pas avoir la Foi, quâelle cherche Ă se faire passer pour ce quâelle nâest pas, souvenez-vous bien que cette personne nâa pas reçu le Seigneur JĂ©sus.
71 Ensuite, nous voyons que lâennemi est entrĂ©, quâil cherchait Ă entrer dans un petit groupe parmi le peuple de Dieu, et quâil cherchait Ă arracher lâoeil droit de tous les hommes. Câest toujours ce que lâennemi cherche Ă faire, Ă leur arracher les deux yeux si possible, pour que les gens ne puissent pas voir ce quâils font. Câest ce que Satan cherche Ă faire aujourdâhui, Ă chaque chrĂ©tien: lui arracher ses yeux spirituels, pour que ce dernier ne puisse suivre que ses sens intellectuels de choses et non le sens du Saint-Esprit qui le conduit.
72 Ainsi, donc, quand ils ont fait cela, quand ils ont essuyĂ© cette grande dĂ©faite, alors SaĂŒl a coupĂ© deux grands boeufs en morceaux et il en a envoyĂ© Ă tout le peuple. Et jâaimerais vous faire remarquer ici que lorsque SaĂŒl a envoyĂ© ces morceaux de boeufs Ă travers tout IsraĂ«l, il a dit: «Quiconque ne marchera pas Ă la suite de Samuel et de SaĂŒl, aura... traitĂ© de la mĂȘme maniĂšre.» Voyez-vous combien il a, de façon sournoise, essayĂ© de sâidentifier Ă lâhomme de Dieu? Ce nâĂ©tait vraiment â vraiment pas chrĂ©tien. Les gens Ă©prouvaient de la crainte Ă cause de Samuel. Mais SaĂŒl les a tous fait marcher Ă sa suite, parce que les gens craignaient Samuel. «Quâils marchent Ă la suite de Samuel et de SaĂŒl.»
73 Et, aujourdâhui, combien de fois nâavons-nous pas entendu ça : «Nous sommes la grande Ă©glise», «nous sommes lâĂ©glise de Christ», «nous sommes lâEglise de Dieu.» «Nous sommes le â le ceci ou cela.» Câest ce qui inspire de la crainte aux gens, du fait quâon leur fait croire que câest vraiment lĂ que Dieu est Ă lâoeuvre. Et ils ne veulent pas de la conduite du Saint-Esprit; ils prĂ©fĂšrent suivre des hommes comme ça, parce quâils aiment mener leur propre vie individuelle. Ils aiment croire ce quâils veulent croire.
74 Voyez-vous que câest le Saint-Esprit qui est notre Juge? Dieu ne nous a jamais donnĂ© un pape, ni un Ă©vĂȘque, ni qui que ce soit, pour ĂȘtre juge. Câest le Saint-Esprit, la Personne de Dieu sous la forme du Saint-Esprit, qui est notre Juge et notre Guide.
75 Alors, pourquoi cela? Veuillez me pardonner pour cette dĂ©claration tranchante, et mĂȘme trĂšs tranchante. Je ne le dis pas par mĂ©chancetĂ©, je le dis par amour. Mais le Saint-Esprit dit que câest mal pour nos femmes de se couper les cheveux, que ce nâest pas correct pour nos femmes de porter des petits shorts, et des pantalons, de se mettre du rouge aux lĂšvres et de se farder le visage; le Saint-Esprit dit que ce nâest pas correct. Mais nous, nous voulons des hommes qui nous disent quâil nây a pas de mal à ça!
76 Tant que nous marcherons Ă la suite de «Samuel et moi...» Ils aiment vivre comme bon leur semble pendant six jours, et aller Ă lâĂ©glise le dimanche matin, pour quâun intellectuel raffinĂ©, un universitaire qui a beaucoup de diplĂŽmes, leur prĂȘche un petit sermon qui va... quelques plaisanteries qui soient agrĂ©ables Ă leur oreille et qui les divertissent comme le ferait un film ou une Ă©mission de tĂ©lĂ©vision, qui offrira une petite priĂšre pour eux, et qui les renverra chez eux avec une espĂšce de â de sĂ©curitĂ© de satisfaction personnelle, comme quoi ils ont pratiquĂ© leur religion.
77 Ăa, ce nâest pas la volontĂ© du Saint-Esprit. Le Saint-Esprit veut que vous viviez pieusement tous les jours de la semaine et toutes les nuits en vous sĂ©parant des choses du monde. Mais 1âĂ©glise nâen veut pas. Les gens veulent un homme qui puisse â qui puisse interprĂ©ter la Bible de la façon dont ils veulent Lâentendre. Ils ne veulent pas Ă©couter la Voix du Saint-Esprit qui parle par la Bible.
78 Beaucoup dâentre eux veulent dire que le temps des miracles est passĂ©. Ils veulent dire que le baptĂȘme du Saint-Esprit nâexiste pas. Les gens ne veulent pas se conduire diffĂ©remment du reste du monde. Ils ne veulent pas sortir dans la rue avec le visage lavĂ©, et â et les hommes ayant un aspect pur, sans cigarette Ă la bouche, ni â ni cigare, ni pipe, ni â ni aucune de ces choses que font les hommes; et les femmes, elles veulent avoir les cheveux coupĂ©s trĂšs courts, et â et porter des petites robes qui montrent leurs formes, et toutes ces choses quâelles aiment. Elles â elles veulent des hommes qui leur diront quâil nây a pas de mal à ça.
79 Lâautre soir, un homme est venu donc me dire que, parce que jâavais prĂȘchĂ© contre ces choses, une grande dĂ©nomination, environ cinq dâentre elles avaient dit: «Nous allons laisser tomber FrĂšre Branham, et nous nâaurons plus rien Ă voir avec lui. Ou bien il vous faudra retirer ces bandes de la circulation et demander pardon pour ça, ou bien nous vous abandonnerons.»
Jâai dit: «Je resterai fidĂšle Ă la Parole de Dieu, mĂȘme si ça me coĂ»te tout ce que jâai dans cette vie. Je mâen tiendrai Ă la Parole, et je...»
Il a dit: «Eh bien, ne devriez-vous pas retirer telle et telle bande de la circulation?»
Jâai dit: «Jamais de ma vie, je nâai prĂȘchĂ© quoi que ce soit dont jâaie eu Ă avoir honte. Je ne retirerai aucune bande ni aucun disque. Je resterai fidĂšle Ă ce que dit le Saint-Esprit. Pour moi-mĂȘme, câest une question de vie ou de mort.» Je ne cherche donc pas Ă parler de moi-mĂȘme, lĂ , mais jâessaie simplement de vous illustrer ce qui se passe, afin que vous puissiez voir et comprendre. Ce quâil y a, câest que les gens veulent ĂȘtre conduits par lâhomme.
80 Ils ne voulaient pas de Samuel. Et puis, avant quâils oignent Samuel comme roi, ou plutĂŽt SaĂŒl comme roi, excusez-moi, Samuel est venu encore auprĂšs dâeux. Et je vais mâexprimer dans un langage comme celui quâil aurait utilisĂ© aujourdâhui. Vous pourrez le lire.
Il a dit: «Quâavez-vous contre le fait dâavoir Dieu pour votre Roi?
â Eh bien, nous ne voyons pas Dieu.
â Eh bien, je suis Son reprĂ©sentant. Samuel a dit: «Vous ai-je dĂ©jĂ dit quelque chose de faux? Ai-je dĂ©jĂ prophĂ©tisĂ© quelque chose qui ne se soit pas accompli exactement comme je lâavais annoncĂ©? Ne vous ai-je pas annoncĂ© la Parole du Seigneur? Et je vous demanderai ceci: Suis-je dĂ©jĂ venu auprĂšs de vous quĂ©mander votre argent? Vous ai-je dĂ©jĂ soutirĂ© quoi que ce soit? Vous ai-je dĂ©jĂ apportĂ© autre chose si ce nâest carrĂ©ment lâAINSI DIT LE SEIGNEUR? Et Dieu lâa confirmĂ© chaque fois que câĂ©tait la VĂ©ritĂ©.» Et Dieu a envoyĂ© des orages et de la pluie. Vous connaissez le passage de lâEcriture lĂ -dessus, vous... pour prouver que Samuel Ă©tait le porte-parole de Dieu.
81 Et comme Samuel reprĂ©sentait parfaitement le Saint-Esprit, aujourdâhui! Le Saint-Esprit est le porte-parole de Dieu. Il dit exactement ce que dit la Bible. Il croit exactement ce que dit la Bible, et Il nâen dĂ©viera pas du tout. Mais les gens voulaient quelquâun qui pourrait leur dire autre chose.
82 Et les gens ne pouvaient pas dire que la prophĂ©tie de Samuel nâĂ©tait pas parfaite. Ils ont rĂ©pondu en disant : «Samuel, tout ce que tu as annoncĂ© au Nom du Seigneur, le Seigneur lâa accompli exactement comme tu lâavais annoncĂ©. Il nây a pas une seule faute. Tu nâes jamais venu auprĂšs de nous pour nous quĂ©mander notre argent. Tu as subvenu Ă tes besoins. Tu ne nous as jamais demandĂ© de faire quoi que ce soit dâextraordinaire pour toi. Tu tâes confiĂ© en ton Dieu, et Il tâa dĂ©livrĂ© de toutes choses. Et tes paroles sont vraies; tout ce que tu as annoncĂ© au Nom du Seigneur, sâest accompli exactement comme tu lâavais dit, mais nous voulons quand mĂȘme un roi!»
83 Pouvez-vous voir la discorde? Pouvez-vous â vous voir la â la ruse du diable, comment il peut agir sur un ĂȘtre humain? Au lieu quâun homme ou quâune femme sâabandonne au Saint-Esprit pour Ă©couter lâAINSI DIT LE SEIGNEUR, pour avoir une vie pure, un caractĂšre pur, pour avoir une vie diffĂ©rente, ĂȘtre un peuple Ă part, une nation sainte, un peuple dâun comportement particulier, les gens prĂ©fĂ©reraient ressembler au monde, agir comme le monde et frĂ©quenter une Ă©glise qui dit: «Il nây a pas de mal à ça; agissez comme ça, allez de lâavant.»
84 Pouvez-vous voir ce quâil en est? Ils disent: «La guĂ©rison nâexiste pas. Oh! le baptĂȘme du Saint-Esprit a Ă©tĂ© la charpente de lâĂ©glise.» En dâautres termes, Dieu a ensuite pris des hommes, Il a enlevĂ© le Saint-Esprit de lâĂ©glise et Il a laissĂ© la dĂ©nomination la bĂątir.» Jamais, jamais. Une telle chose nâexiste pas. Câest le Saint-Esprit, la Parole de la VĂ©ritĂ©, qui devait vous conduire jusquâĂ ce que JĂ©sus vienne. Mais câest comme ça que ça â câest parti.
85 SaĂŒl est arrivĂ© au pouvoir. Il gran⊠Il a eu de nombreux partisans. Oh! il avait de trĂšs belles armures, il avait des chanteurs, il avait des boucliers et des lances. Oh! ils dĂ©passaient toutes les autres nations. Et il les a introduits dans une dĂ©mocratie qui dĂ©passait tout ce dont on avait dĂ©jĂ entendu parler.
86 Câest exactement ce que nos dĂ©nominations et nos Ă©glises ont fait aujourdâhui. Nous avons les plus grandes Ă©glises du monde. Nous avons les gens les mieux vĂȘtus du monde. Nous avons les plus grands diplĂŽmes qui puisent ĂȘtre dĂ©cernĂ©s. Câest exactement comme les hommes de SaĂŒl qui avaient Ă©tĂ© entraĂźnĂ©s, qui pouvaient prendre une lance, la brandir et la manoeuvrer, si bien que les nations les craignaient. CâĂ©taient des gens entraĂźnĂ©s et tout.
87 Mais un jour, le moment Ă©tait venu oĂč quelquâun sâĂ©tait prĂ©sentĂ© pour les dĂ©fier. Et cela avait tellement agitĂ© toute lâarmĂ©e dâIsraĂ«l, quâils se sont tenus lĂ tremblant dans leurs petits souliers. Goliath leur a lancĂ© un dĂ©fi: «Si votre Dieu est ce que vous prĂ©tendez, vous ĂȘtes les mieux formĂ©s», et il les a dĂ©fiĂ©s. Ils ne savaient que faire. Leurs belles armures bien polies ne feraient pas lâaffaire. Leurs lances ne feraient pas lâaffaire. Il se passait quelque chose dont ils nâavaient pas encore entendu parler. Et câest avec rĂ©vĂ©rence, et respect sacrĂ©, honneur, dignitĂ©, amour et dans la communion fraternelle et chrĂ©tienne que je dis ceci: Lâautre jour, jâai lu dans un journal dâAfrique que lorsque notre fils de Kis, notre challenger de lâĂ©vangĂ©lisation, Billy Graham, a Ă©tĂ© dĂ©fiĂ© par un musulman qui lui a dit: «Si votre Dieu est Dieu, quâIl guĂ©risse les malades comme Il a dit quâIl le ferait!», le fils de Kis, et le reste de lâarmĂ©e se sont tus et ils ont quittĂ© le pays, vaincus. Câest une honte. Notre Dieu est Dieu!
88 Nous avons nos bonnes Ă©glises, nous avons notre bonne Ă©vangĂ©lisation. Nous avons nos chanteurs payĂ©s, nous avons les meilleures chorales, les cloches les plus hautes du pays. Nous avons les meilleurs hommes, parmi les plus fortunĂ©s. Nous avons les intellectuels, nous sommes Ă la fine pointe de la thĂ©ologie. Nous pouvons la prĂȘcher, nous pouvons lâannoncer, nous pouvons Ă©vangĂ©liser et faire entrer des gens, des millions de convertis chaque annĂ©e dans lâĂ©glise. Nos chanteurs payĂ©s, notre Ă©vangĂ©lisation intellectuelle ne sait pas comment relever un dĂ©fi comme celui-lĂ . Ils ne connaissent rien Ă ce sujet. Ils ne connaissent rien de Sa puissance de guĂ©rison, du baptĂȘme du Saint-Esprit, dâune puissance qui peut sâemparer dâun homme qui se meurt du cancer, qui nâest plus que lâombre de lui-mĂȘme, et le libĂ©rer. Ils ne connaissent rien Ă ce sujet. Ils nâont pas Ă©tĂ© entraĂźnĂ©s dans ce domaine-lĂ , tout comme SaĂŒl et son groupe formĂ© par les hommes.
89 Mais permettez-moi de dire ceci au peuple de Dieu et Ă vous, Ses enfants, pour que vous sachiez que Dieu ne vous laisse jamais sans tĂ©moin. SaĂŒl nâĂ©tait pas au courant; SaĂŒl nâen savait rien. Mais Dieu avait un petit David quelque part derriĂšre la colline, qui ne paissait pas les brebis de mauvaises herbes ecclĂ©siastiques. Il les dirigeait prĂšs des eaux paisibles et dans de verts pĂąturages. Il se souciait des brebis de son pĂšre, et si quelque chose, un ennemi, entrait brusquement pour attraper une des brebis de son pĂšre, il connaissait la puissance de Dieu pour dĂ©livrer cette brebis!
90 Dieu a encore un David quelque part, qui sait ce que câest que de dĂ©livrer une des brebis de Dieu, par la puissance de Dieu. Il sây connaĂźt toujours. Il sâĂ©tait confiĂ©... Il ne connaissait rien de lâarmure de SaĂŒl, et il nâen voulait pas non plus. Il ne voulait rien avoir affaire avec leurs dĂ©nominations, il ne voulait pas de cette vieille armure sur lui. Il a dit: «Je nây connais rien! Mais laissez-moi y aller avec la puissance que je connais.»
91 Il avait fait paĂźtre les brebis de son pĂšre. Il sâĂ©tait occupĂ© des pĂąturages. Il leur avait donnĂ© la nourriture quâil leur fallait, et elles vivaient, elles se dĂ©veloppaient bien. «Lâhomme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.» Le vrai berger les nourrit de «JĂ©sus-Christ, le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement». Et si lâennemi sâempare de lâune dâentre elles par la maladie, il connaĂźt la puissance de Dieu.
92 Regardez le petit David, il sâest tenu lĂ . On lui a dit: «Ce type-lĂ , câest un guerrier de naissance. Et dĂšs sa jeunesse, il ne connaĂźt rien dâautre que la lance et lâarmure. Il est bien formĂ©. Câest un thĂ©ologien. Et toi, tu nây connais rien.»
93 Il a dit: «Câest vrai, monsieur. Je ne sais rien de sa formation thĂ©ologique, mais je sais une chose, câest que quand un ennemi est venu pour sâemparer dâune des brebis de mon pĂšre, je suis allĂ© [Ă sa rescousse] avec la puissance de Dieu. Je lâai dĂ©livrĂ©e! Je lâai ramenĂ©e en sĂ»retĂ©, elle a recouvrĂ© la santĂ©. Je lâai ramenĂ©e aux verts pĂąturages ombragĂ©s et aux eaux paisibles. Le Dieu qui a livrĂ© le lion entre mes mains (je lâai tuĂ© aprĂšs quâil a attrapĂ© une des agneaux), mâa aussi permis de tuer lâours; le Dieu du Ciel ira aussi avec moi pour tuer cet incirconcis de philistin!» Il nous faut la conduite du Saint-Esprit.
94 Je ne connais pas le nombre de mes jours. Personne non plus ne connaĂźt le sien.
95 Lâautre matin, jâĂ©tais au lit. Et jâĂ©tais â JâĂ©tais endormi, et jâavais rĂȘvĂ© que Joseph Ă©tait malade et que je lâavais pris pour prier pour lui. Et quand je me suis rĂ©veillĂ©, jâĂ©tais tout bouleversĂ©. Je me suis dit: «Eh bien, peut-ĂȘtre que Joseph va tomber malade.» Alors jâai vu passer devant moi une petite ombre sombre, ou plutĂŽt dâune couleur brunĂątre, et il semblait que câĂ©tait moi. Je la regardais, et quelquâun en blanc venait derriĂšre elle, câĂ©tait Lui. Jâai regardĂ© ma femme pour voir si elle Ă©tait Ă©veillĂ©e, pour que je lui montre cela et quâelle voie la vision; mais elle Ă©tait endormie. Jâai dit: «Oh! je suis dĂ©solĂ©, Seigneur, mais il sâagissait lĂ de ma vie. Il a fallu que Tu me pousses, dans tout ce que jâai fait. Toutes les fois quâil se passait quelque chose, je pensais que câĂ©tait Toi qui faisait cela, mais je me rends compte que câĂ©tait Satan qui essayait de me garder loin de la chose.» Jâai dit: «Si seulement Tu pouvais me conduire.» Et, en regardant, jâai vu le plus beau visage que jâaie jamais vu dâun homme. Il Ă©tait devant moi et regardait derriĂšre. Il a levĂ© la main et a pris la mienne, et Il sâest mis Ă marcher dans cette direction-ci. La vision mâa quittĂ©.
96 Dimanche passĂ©, le matin, jâĂ©tais... je mâĂ©tais rĂ©veillĂ© trĂšs tĂŽt. Cette vision, câĂ©tait samedi. Je mâĂ©tais toujours inquiĂ©tĂ©; jâavais toujours pensĂ© Ă la mort. Jâai cinquante ans, câest⊠mon temps nâest pas... A mon avis, je nâen avais plus pour longtemps. Je me demandais ce que je serais dans cette thĂ©ophanie, ce corps cĂ©leste. Est-ce que je verrais mes prĂ©cieux amis, oĂč est-ce que je verrais un petit nuage blanc passer, et que je dirais: «VoilĂ passer frĂšre Neville», ou... et quâil ne pourrait pas dire: «Bonjour, FrĂšre Branham? Et quand JĂ©sus viendrait, alors je redeviendrais un homme»? Câest ce que je pensais souvent.
97 Jâai rĂȘvĂ© que jâĂ©tais Ă lâOuest, et que je â je traversais un petit champ dâarmoises, mon Ă©pouse Ă©tait avec moi, nous faisions la pĂȘche Ă la truite. Je me suis arrĂȘtĂ© et jâai ouvert le portail, et le Ciel Ă©tait tellement beau. Il nâavait pas le mĂȘme aspect quâici dans la vallĂ©e. Il Ă©tait bleu avec de jolis nuages blancs. Et jâai dit Ă mon Ă©pouse, jâai dit: «Nous aurions dĂ» venir ici longtemps, chĂ©rie.»
98 Elle a dit: «Nous aurions dû venir, Billy, à cause des enfants.»
99 Jâai dit: «Câest vrai.» Et je me suis rĂ©veillĂ©. Je me suis dit : «Je rĂȘve tellement! Je me demande pourquoi.» Jâai baissĂ© les yeux, et elle Ă©tait couchĂ©e prĂšs de moi. Je me suis levĂ©, en mâadossant Ă mon oreiller, comme vous lâavez dĂ©jĂ fait, beaucoup dâentre vous. Jâai appuyĂ© la tĂȘte contre la tĂȘte du lit, les mains derriĂšre moi. Et jâĂ©tais couchĂ© lĂ , comme ça, et je me disais : «Eh bien, je me demande comment ce sera de lâautre cĂŽtĂ©. Jâai dĂ©jĂ cinquante ans, et je nâai encore rien fait. Si seulement je pouvais faire quelque chose pour aider le Seigneur. Car je sais que je ne serai plus mortel... La moitiĂ© de mon temps est passĂ©e, au moins, ou plus de la moitiĂ©. MĂȘme si je vis aussi longtemps que les miens, nĂ©anmoins la moitiĂ© de mon temps est passĂ©e.» Je regardais autour de moi, jâĂ©tais couchĂ© lĂ et je mâapprĂȘtais Ă me lever. On Ă©tait aux environs de 7 h. Je me suis dit: «Je crois que je vais aller Ă lâĂ©glise ce matin mĂȘme si je suis enrouĂ©, jâaimerais entendre prĂȘcher frĂšre Neville.»
100 Ainsi, je â jâai dit: «ChĂ©rie, es-tu rĂ©veillĂ©e?» Elle dormait trĂšs profondĂ©ment.
101 Je ne veux pas que vous manquiez ceci. Cela mâa transformĂ©. Je ne peux plus ĂȘtre le mĂȘme frĂšre Branham que jâĂ©tais.
102 Et jâai regardĂ©, et jâentendais quelque chose qui ne cessait de dire: «Tu ne fais que commencer. Continue le combat. Continue seulement Ă courir.»
Jâai secouĂ© la tĂȘte un instant. Et alors, je me suis dit: «Eh bien, câest probable que ça soit moi qui pense à ça, vous savez, il peut arriver quâune personne sâimagine des choses.» Et je me suis dit : «Câest probable que je me sois juste imaginĂ© ça.»
Ăa disait: «Continue le combat! Continue Ă avancer! Continue Ă avancer!»
Et je me suis dit: «Câest peut-ĂȘtre moi qui ai dit cela.»
103 Je me suis mordu les lĂšvres et jâai placĂ© ma main sur la bouche; et cela est encore revenu. Ăa disait: «Continue simplement Ă courir vers le but. Si seulement tu savais ce quâil y a Ă la fin de la route.» Et câĂ©tait comme si jâentendais Graham Snelling ou quelquâun chanter ce cantique, comme ceci; on le chante ici, Anna Mae et vous tous :
Jâai le mal du pays, le cafard, et je veux voir JĂ©sus;
Jâaimerais entendre des cloches du port, le doux carillonnement;
Cela éclairerait mon sentier et dissiperait toutes mes craintes,
Seigneur, laisse-moi regarder au-delĂ du rideau du temps.
Vous avez entendu chanter ce cantique ici Ă lâĂ©glise.
104 Et, jâai entendu Quelque Chose dire: «Aimerais-tu voir juste au-delĂ du rideau?»
Jâai dit: «Ăa mâaiderait beaucoup.» Jâai regardĂ©, et en un instant, je... dâun souffle, je me suis retrouvĂ© dans un petit endroit en pente. Jâai regardĂ© derriĂšre moi et jâĂ©tais lĂ , Ă©tendu sur le lit. Je me suis dit: «Ăa, câest Ă©trange.»
105 Bon, je nâaimerais pas que vous racontiez ceci. Je suis devant mon Ă©glise, ou mes brebis dont je suis le pasteur. Si jâĂ©tais dans ce corps ou hors de ce corps, ou si câĂ©tait une translation... Ce nâĂ©tait pas comme nâimporte quelle [autre] vision que jâaie dĂ©jĂ eue. Je pouvais regarder lĂ -bas, et je pouvais regarder ici. Et quand je suis arrivĂ© dans ce petit endroit, jamais je nâai vu autant de gens, ils accouraient vers moi en criant: «Oh! notre prĂ©cieux frĂšre.» Je regardais, et des jeunes femmes, peut-ĂȘtre au dĂ©but de la vingtaine (de dix-huit Ă vingt ans), mâenlaçaient en criant: «Notre prĂ©cieux frĂšre!»
106 Et voilĂ de jeunes gens qui venaient, dans toute la splendeur virile de la jeunesse, leurs yeux Ă©tincelants, semblables Ă des Ă©toiles au plus sombre de la nuit, leurs dents blanches comme des perles, et ils criaient et mâĂ©treignaient en criant: «Oh! notre prĂ©cieux frĂšre!» Je me suis arrĂȘtĂ©, jâai regardĂ©, et jâĂ©tais jeune. Je me suis retournĂ© pour regarder mon vieux corps qui Ă©tait Ă©tendu lĂ , les mains derriĂšre la tĂȘte. Jâai dit: «Je ne comprends pas ceci.» Et ces jeunes femmes mâenlaçaient.
107 Or, je me rends bien compte quâon est ici dans un auditoire mixte, et je dis ceci, avec gentillesse et la douceur de lâEsprit. Un homme ne peut pas entourer une femme de ses bras sans quâil y ait une sensation humaine. Mais lĂ -bas, il nây en avait pas. Il nây avait pas dâhier ni de demain. Ils ne se fatiguaient pas. Ils Ă©taient... Je nâavais jamais vu dâaussi jolies femmes de toute ma vie. Elles avaient de longs cheveux qui leur descendaient jusquâĂ la taille, de longues jupes qui leur descendaient jusquâaux pieds, et elles Ă©taient lĂ Ă mâĂ©treindre. Elles ne mâĂ©treignaient pas comme le ferait mĂȘme ma propre soeur qui est assise lĂ . Elles ne mâembrassaient pas, et je ne les embrassais pas. CâĂ©tait quelque chose pour lequel je â je nâai pas de â de vocabulaire; je nâai pas de mots pour lâexprimer. Le mot perfection, nâest pas Ă la hauteur. Le mot superbe nâest mĂȘme pas Ă la hauteur, pas du tout. CâĂ©tait quelque chose que je nâai jamais... Il faut simplement ĂȘtre lĂ .
108 Je regardais dans cette direction-ci et dans cette direction-lĂ , et ils venaient par milliers. Et jâai dit: «Je â je ne comprends pas ceci.» Jâai dit: «Eh bien, ils...» Et voilĂ venir Hope; câest elle qui Ă©tait ma premiĂšre femme. Elle a accouru, et elle nâa pas du tout dit: «Mon mari», Elle a dit: «Mon prĂ©cieux frĂšre.» AprĂšs quâelle mâa serrĂ© dans ses bras, une autre femme qui se tenait lĂ mâa aussi serrĂ© dans ses bras, et Hope a serrĂ© cette femme-lĂ dans ses bras, et chacune⊠Et je me suis dit: «Oh! ça, câest certainement quelque chose de diffĂ©rent; câest â câest impossible. Il y a quelque chose...» Je me suis dit: «Oh! faudra-t-il que je retourne encore Ă cette vieille carcasse?» Je regardais de tous cĂŽtĂ©s, et je me demandais: «Câest quoi ça?» Je regardais trĂšs attentivement, et je â je me suis dit: «Je â je nây comprends rien.» Mais Hope Ă©tait, on dirait une... oh! une invitĂ©e dâhonneur. Elle nâĂ©tait pas diffĂ©rente, mais elle Ă©tait simplement comme une invitĂ©e dâhonneur.
109 Et alors jâai entendu une voix (celle qui mâavait parlĂ© dans la chambre) dire: «Ceci, câest ce que tu as prĂȘchĂ©, câest ça le Saint-Esprit. Ceci, câest lâamour parfait. Et nul ne peut entrer sans cela.»
110 Je suis plus convaincu que je lâai jamais Ă©tĂ© toute ma vie, quâil faut lâamour parfait pour entrer lĂ -bas. Il nây avait pas de jalousie. Il nây avait pas de fatigue. Il nây avait pas de mort. La maladie ne pourrait jamais y entrer. La mortalitĂ© ne pourrait jamais vous faire vieillir; et eux, ils ne pouvaient pas pleurer. Il nây avait que la joie⊠«Oh! prĂ©cieux frĂšre.»
111 Et ils mont pris et mâont placĂ© Ă un endroit large et trĂšs Ă©levĂ©. Et je me suis dit: «Je ne rĂȘve pas. En me retournant, je peux voir mon corps Ă©tendu lĂ sur le lit.» Et ils mâont fait asseoir lĂ -haut, et jâai dit: «Oh! je ne devrais pas mâasseoir ici haut.»
112 Et voilĂ que des femmes et des hommes dans la fleur de leur jeunesse arrivaient de deux cĂŽtĂ©s, en criant. Et une femme qui Ă©tait debout lĂ sâest Ă©criĂ©e: «Oh! mon prĂ©cieux frĂšre! Oh! nous sommes tellement heureux de te voir ici.»
Je me suis dit: «Je ne comprends pas ceci.»
113 Et alors, cette voix qui parlait au-dessus de moi, a dit: «Tu sais, il est écrit dans la Bible que les prophÚtes étaient recueillis auprÚs des leurs.»
Et jâai dit: «Oui, je me souviens que câest dans les Ecritures.»
La voix a dit : «Eh bien, câest ce qui se passera lorsque tu seras recueilli auprĂšs des tiens.»
Jâai dit: «Alors, ils seront rĂ©els, et je pourrai les toucher.»
Oh! oui.
Jâai dit: «Mais je... Il y en a des millions. Il nây a pas autant de Branham que ça.»
114 Et cette voix a dit: «Ce ne sont pas des Branham; ce sont tes convertis. Ce sont ceux que tu as conduits au Seigneur.» Elle a continuĂ©, disant: «Certaines de ces femmes que tu trouves si jolies avaient plus de quatre-vingt-dix ans quand tu les as conduites au Seigneur. Ce nâest pas Ă©tonnant quâelles crient: âNotre prĂ©cieux frĂšre.â»
115 Et tous se sont Ă©criĂ©s ensemble, disant: «Si tu nâĂ©tais pas allĂ©, nous ne serions pas ici.»
116 Jâai regardĂ© tout autour et je me suis dit: «Eh bien, je ne comprends pas ceci.» Jâai dit: «Oh! oĂč est JĂ©sus? Jâai tellement envie de Le voir.»
Ils ont dit: «Maintenant, Il est juste un peu plus haut, dans cette direction.» Ils ont dit: «Un jour Il viendra Ă toi, voyez, ont-ils dit, tu as Ă©tĂ© envoyĂ© comme leader; et Dieu viendra, et quand Il viendra, dâabord il te jugera selon ce que tu leur auras enseignĂ©; sâils entreront ou pas. Nous entrerons selon ce que tu aura enseignĂ©.»
Jâai dit: «Oh! je suis trĂšs content! Est-ce que Paul⊠Devra-t-il ĂȘtre jugĂ© comme ça? Pierre devra-t-il ĂȘtre jugĂ© comme ça?
«Oui.»
117 Jâai dit: «Jâai donc prĂȘchĂ© la Parole en tous points comme eux. Je nâen ai jamais dĂ©viĂ©, ni dâun cĂŽtĂ© ni de lâautre. Ils baptisaient au Nom de JĂ©sus-Christ, et jâai fait de mĂȘme. Ils enseignaient le baptĂȘme du Saint-Esprit, et jâai fait de mĂȘme. Tout ce quâils ont enseignĂ©, moi aussi je lâai enseignĂ©.»
Et ces gens-lĂ se sont Ă©criĂ©s, disant: «Nous le savons, et nous savons quâun jour nous retournerons sur terre avec toi.» Ils ont dit: «JĂ©sus viendra, et tu seras jugĂ© selon la Parole que tu nous as prĂȘchĂ©e. Et puis, si tu es acceptĂ© Ă ce moment-lĂ (et tu le seras), ont-ils dit, alors, tu nous prĂ©senteras Ă Lui comme les trophĂ©es de ton ministĂšre.» Ils ont dit: «Tu nous conduiras vers Lui et, tous ensemble, nous retournerons sur terre pour y vivre Ă©ternellement.»
Jâai demandĂ©: «Est-ce que je dois retourner maintenant?»
«Oui, mais continue à courir.»
118 Je regardais et je voyais les gens jusquâĂ perte de vue, ils continuaient Ă venir, ils voulaient me serrer dans leurs bras en criant: «Notre prĂ©cieux frĂšre!»
119 Juste Ă ce moment-lĂ , une voix a dit: «Tous ceux que tu as aimĂ©s, et tous ceux qui tâont aimĂ©, Dieu te les a donnĂ©s ici.» Jâai regardĂ©, et jâai vu venir mon brave chien, Mon cheval est venu, il a appuyĂ© sa tĂȘte contre mon Ă©paule, a poussĂ© un hennissement. La voix a dit : «Tous ceux que tu as aimĂ©s, et tous ceux qui tâont aimĂ©, Dieu les a remis entre tes mains, par ton ministĂšre.»
120 Alors, jâai senti que je quittais cet endroit magnifique. Jâai regardĂ© autour de moi. Jâai dit: «Es-tu rĂ©veillĂ©e, chĂ©rie?» Elle dormait toujours. Jâai pensĂ©: «à Dieu! Oh! aide-moi, ĂŽ Dieu. Ne permets jamais que je fasse des compromis sur une seule Parole. Que je mâen tienne strictement Ă cette Parole, et que je La prĂȘche. Peu mâimporte ce quâil peut advenir, ce que qui que ce soit peut faire, combien de SaĂŒl, de fils de Kis peuvent sâĂ©lever, combien de ceci et de cela ou autre chose, Seigneur, que je coure vers cet endroit-lĂ .
121 Toute peur de la mort... Je dis ceci avec ma Bible devant moi ce matin. Jâai un petit garçon de quatre ans, lĂ , Ă Ă©lever. Jâai une fille de neuf ans et une adolescente, et je suis reconnaissant quâelles suivent la voie du Seigneur. Ă Dieu, laisse-moi vivre assez longtemps pour les Ă©lever en les instruisant selon Dieu. Et en plus de ça, les cris du monde entier semblent ĂȘtre dirigĂ©s vers moi. Des femmes et des hommes de quatre-vingt-dix ans, et tous qui disaient: «Si tu nâĂ©tais pas allĂ© lĂ , nous ne serions pas ici.» Que Dieu me permette de continuer le combat. Mais pour ce qui est de la mort, je nâai plus... Ce serait une joie, ce serait un plaisir de quitter cette corruption et cette honte pour entrer lĂ .
122 Si je pouvais former lĂ -bas, un bloc carrĂ© de cent milliards de miles de haut, et ça, ce serait lâamour parfait. Et si Ă chaque pas dans cette direction-ci ça se rĂ©trĂ©cissait, jusquâĂ ce que nous arrivions lĂ oĂč nous sommes en ce moment, ça ne serait quâune simple ombre de corruption. Ce petit quelque chose qui nous fait sentir et percevoir quâil y a quelque chose quelque part; nous ne savons pas ce que câest.
Oh! mes prĂ©cieux amis, mes bien-aimĂ©s, mes chĂ©ris de lâEvangile, mes enfants que jâai engendrĂ©s pour Dieu, Ă©coutez-moi, moi, votre pasteur. Vous... Jâaurais aimĂ© avoir le moyen de vous expliquer cela. Il nây a pas de mots. Je ne pourrais les trouver. Ils ne se trouvent nulle part. Mais juste au-delĂ de ce dernier souffle se trouve la chose la plus glorieuse que vous ayez jamais... Il nây a pas moyen de lâexpliquer. Il nây a pas moyen, je ne le saurais vraiment pas. Mais quoi que vous fassiez, mes amis, mettez tout le reste de cĂŽtĂ© jusquâĂ ce que vous ayez lâamour parfait. Arrivez-en au point oĂč vous pouvez aimer tout le monde, tout ennemi, et tout le reste. Une seule visite lĂ -bas a fait de moi un homme changĂ©. Je ne pourrai plus jamais, jamais, jamais ĂȘtre le mĂȘme frĂšre Branham que jâĂ©tais.
123 Que les avions tanguent, quâil y ait des Ă©clairs, que les espions braquent leurs armes sur moi, peu importe ce que câest, ça importe peu. Je vais continuer le combat, par la grĂące de Dieu, pendant que je prĂȘcherai lâEvangile Ă toute crĂ©ature et Ă toute personne que je pourrai, en les persuadant pour quâils entrent, dans ce beau pays lĂ -bas. Ăa peut sembler dur; ça peut demander beaucoup dâefforts.
124 Je ne sais pas combien de temps il nous reste encore. Nous ne savons pas. Physiquement parlant le⊠dâaprĂšs mon examen [mĂ©dical] de lâautre jour, on mâa dit : «Il vous reste vingt-cinq bonnes annĂ©es de vie rude. Vous ĂȘtes robuste.» Ăa mâa rĂ©confortĂ©. Mais, oh, ce nâĂ©tait pas ça. Ce nâest pas ça. Câest quelque chose ici Ă lâintĂ©rieur. Il faut que ce corps corruptible revĂȘte lâincorruptibilitĂ©, que ce corps mortel revĂȘte lâimmortalitĂ©.
125 Des fils de Kis peuvent sâĂ©lever. Jâai... Toutes les bonnes choses quâils font, je nâai rien de mal Ă dire contre cela; ils donnent aux pauvres et aux oeuvres de bienfaisance. Et, souvenez-vous, eh bien, Samuel a dit Ă SaĂŒl: «Toi aussi, tu prophĂ©tiseras.» Et beaucoup de ces hommes-lĂ sont de trĂšs puissants prĂ©dicateurs, qui peuvent prĂȘcher la Parole comme des archanges. Mais cependant, ce nâĂ©tait pas la volontĂ© de Dieu. Câest Dieu qui devait ĂȘtre leur Roi. FrĂšre, soeur, laissez le Saint-Esprit vous conduire. Courbons la tĂȘte un instant.
Jâai vraiment le mal du pays, le cafard, et je veux voir JĂ©sus;
Jâaimerais entendre des cloches du port, le doux carillonnement;
Cela éclairerait mon sentier et dissiperait toutes les craintes;
Seigneur, laisse-moi regarder au-delĂ du rideau du temps.
Seigneur, laisse-moi regarder au-delĂ du rideau des chagrins et de la crainte;
Laisse-moi voir ce pays radieux oĂč brille le soleil.
Cela affermirait notre foi et dissiperait toute crainte;
Seigneur, laisse-les regarder au-delĂ du rideau du temps.
126 Je suis convaincu, Seigneur, que si cette petite Ă©glise, ce matin, pouvait seulement regarder au-delĂ du rideau⊠Il nây avait aucune affliction parmi eux, il ne pourrait jamais y en avoir. Il nây avait aucune maladie, il nây avait rien dâautre que la perfection. Et il nây a quâun souffle entre ici et lĂ , de la vieillesse Ă la jeunesse, du temps Ă lâEternitĂ©, des soucis du lendemain et du chagrin dâhier jusquâau temps prĂ©sent de lâEternitĂ©, Ă la perfection.
127 Je Te prie, ĂŽ Dieu, de bĂ©nir toutes les personnes qui sont ici. Sâil y en a ici, Seigneur, qui ne Te connaissent pas de cette façon-lĂ , dans lâamour... Et, en vĂ©ritĂ©, PĂšre, nul ne peut entrer dans ce lieu saint sans ce genre dâamour-lĂ : la nouvelle Naissance, aprĂšs ĂȘtre nĂ© de nouveau. Le Saint-Esprit, Dieu, est amour. Et nous savons que câest vrai. MĂȘme si nous transportons des montagnes par notre foi, si nous accomplissons de grandes oeuvres, mais sans cette chose, nous ne pourrons jamais monter sur cette grande Ă©chelle lĂ , qui nous mĂšne lĂ de lâautre cĂŽtĂ©. Mais si nous lâavons, ça nous Ă©lĂšvera au-delĂ des soucis de ce monde.
128 Je Te prie, ĂŽ PĂšre, de bĂ©nir les gens qui sont ici, et que chaque personne qui mâa entendu raconter cette VĂ©ritĂ©, ce matin⊠et Tu mâen es tĂ©moin, Seigneur, comme Samuel autrefois: «Leur ai-je dĂ©jĂ dit quelque chose en Ton Nom qui nâait pas Ă©tĂ© vrai?» Ils en sont les juges. Et je leur dis maintenant, Seigneur, que Tu mâas emmenĂ© dans ce Pays-lĂ . Tu sais que câest vrai. Et maintenant, PĂšre, sâil y en a qui ne Te connaissent pas, que ce soit maintenant lâheure oĂč ils diront : «Seigneur, place en moi le dĂ©sir dâĂȘtre selon Ta volontĂ©.» Accorde-le, PĂšre.
129 Et maintenant, avec vos tĂȘtes inclinĂ©es, voulez-vous lever la main pour dire: «Priez pour moi, FrĂšre Branham afin que la volontĂ© de Dieu sâaccomplisse en moi.»
130 Maintenant, Ă lâendroit oĂč vous ĂȘtes, avec beaucoup de douceur, pourquoi ne dites-vous pas au PĂšre: «à Dieu, dans mon coeur, aujourdâhui, je renonce Ă toutes les choses du monde. Je renonce Ă tout pour Tâaimer et Te servir toute ma vie. Et, Ă partir dâaujourdâhui, je Te suivrai, en me conformant Ă chaque passage de Ta Bible.» Si vous nâavez pas Ă©tĂ© baptisĂ© selon le baptĂȘme chrĂ©tien: «Je le ferai, Seigneur. Si je nâai pas encore reçu le Saint-Esprit...» Vous le saurez quand vous Lâaurez reçu. Il vous donnera â Il vous donnera lâassurance et lâamour quâil vous faut. Oh! vous avez peut-ĂȘtre fait plusieurs... eu des sensations, par exemple, vous avez peut-ĂȘtre criĂ© ou parlĂ© en langues, ce qui est trĂšs bien, mais si cet amour divin nâest pas lĂ ... Croyez-moi maintenant.
131 Dites: «Seigneur, place dans mon coeur et dans mon Ăąme la portĂ©e de Ton Esprit, afin que je puisse aimer, honorer et avoir aujourdâhui dans mon coeur cet amour divin, qui mâemportera dans ce pays quand mon dernier souffle me quittera.» Pendant que nous prions, priez donc vous aussi. Priez Ă votre propre maniĂšre. Demandez Ă Dieu de le faire pour vous. Je vous aime. Je vous aime, vous les prĂ©cieux hommes aux cheveux gris qui ĂȘtes assis ici, vous qui avez travaillĂ© dur pour nourrir des petits enfants. Vous, les braves vieilles mamans, qui avez essuyĂ© les larmes de leurs yeux. Laissez-moi vous rassurer, chĂšre soeur, ce nâest pas comme ça avec cet autre souffle, de lâautre cĂŽtĂ©. Je crois que ça se trouve dans cette salle, absolument. Ce nâest quâune dimension dans laquelle nous vivons; ça ce nâest que la corruption dans laquelle nous vivons maintenant. «Mets en Moi, Seigneur, le dĂ©sir dâĂȘtre selon Ta volontĂ©.» Priez pendant que nous prions ensemble.
132 Respectueusement, Seigneur, sur base de Ta Parole et de Ton Saint-Esprit, nous sommes si heureux de connaĂźtre la provenance de notre Naissance. Nous sommes heureux dâĂȘtre nĂ©s, non par la volontĂ© de lâhomme, ni par la volontĂ© de la chair, mais par la volontĂ© de Dieu. Et nous prions aujourdâhui, PĂšre, pour ceux qui demandent maintenant la grĂące de Ton pardon, que Ton Esprit fasse cette oeuvre, Seigneur. Moi, je nâai aucun moyen de le faire. Je ne suis quâun homme, un autre fils de Kis. Mais nous avons besoin de Toi, le Saint-Esprit. Ă Dieu, que je sois comme Samuel, quelquâun qui annonce la VĂ©ritĂ© de la Parole. Et jusquâici Tu as confirmĂ© quâil en Ă©tait ainsi, et je crois que Tu continueras Ă le faire tant que je Te resterai fidĂšle.
133 Quâils reçoivent tous la Vie Eternelle maintenant, PĂšre. Quâils nâoublient jamais ce jour. Et quand viendra leur heure de quitter ce monde, que ce que je viens de leur raconter devienne rĂ©alitĂ©. Et pendant que nous sommes assis ici, en tant que mortels aujourdâhui, nous regardons notre montre, nous pensons Ă notre dĂźner, au travail de demain, aux soucis et aux labeurs de cette vie; mais il nâen sera plus ainsi Ă ce moment-lĂ . Tout cela disparaĂźtra. Il nây aura plus de soucis, mais une grande joie pour lâEternitĂ©. Donne-leur ce genre de Vie, PĂšre. Et que... Je Te demande ceci, PĂšre : que chaque personne qui est ici ce matin qui mâa entendu raconter cette vision, que je puisse rencontrer chacune dâelles de lâautre cĂŽtĂ©. Bien quâil y ait peut-ĂȘtre des hommes ici qui ne soient pas dâaccord avec moi, et des femmes aussi, mais, PĂšre, que cela ne nous fasse jamais obstacle. Puissions-nous les rencontrer lĂ -bas, alors quâils courront, eux aussi, et que nous nous Ă©treindrons en criant: «Notre prĂ©cieux frĂšre!» Quâil en soit tel que çâa Ă©tĂ© montrĂ© lĂ , Seigneur, pour chacun. Tous ceux que jâai aimĂ©s et tous ceux qui mâont aimĂ©. Je prie quâil en soit ainsi, Seigneur. Et je les aime tous. Quâils soient prĂ©sents, PĂšre. Je leur offre maintenant la Vie Eternelle. Puissent-ils faire leur part de lâaccepter. Car je le demande au Nom de JĂ©sus. Amen.
134 Il nous reste seulement quelques instants pour prier pour les malades. Je vois quâil y a parmi nous une petite fille malade ici, et une dame dans un fauteuil roulant. Maintenant, Ă vous mes trĂšs prĂ©cieux frĂšres et soeurs. Je vous en prie, ne me comprenez pas mal. Je â je ne sais pas ce qui sâest passĂ©. Je ne sais pas ce qui sâest passĂ©. Mais, ĂŽ Dieu, quand je mourrai, permets-moi de retourner lĂ âŠ? ⊠Laisse-moi simplement retourner Ă cet endroit-lĂ , câest lĂ que je veux ĂȘtre, peu importe oĂč câĂ©tait. Je ne cherche pas Ă ĂȘtre un Paul, qui a Ă©tĂ© ravi jusquâau troisiĂšme Ciel. Ce nâest pas ce que je dis. Je crois quâIl cherchait seulement Ă mâencourager, Il cherchait Ă me donner un petit quelque chose pour me pousser Ă continuer Ă avancer dans mon nouveau ministĂšre qui vient.
135 Est-ce que vous trouverez discourtois que je lise quelque chose ici un â un petit instant? Serait-ce en ordre? Lâun des magazines importants du pays⊠Billy Graham: «Les musulmans invitent le Dr Billy Graham.» A la une de l'Afrikaans Times du 15 fĂ©vrier 1960. Lâauteur de cet article, qui Ă©tait un â un mahomĂ©tan, est dâavis que les miracles devraient accompagner la prĂ©dication de lâEvangile de Christ, le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement. Nous citons:
Câest ce que Christ a promis Ă Ses disciples, quand il a dit: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais; il en fera mĂȘme de plus grandes.» LâĂ©glise a-t-elle dĂ©jĂ fait les oeuvres que... les â les attributs de Christ, de la Bible; le peut-elle aujourdâhui? Y a-t-il une parmi ces Ă©glises de marque qui puisse accomplir mĂȘme la moitiĂ© des miracles accomplis par Christ? Sans parler des oeuvres plus grandes. Vous, en tant quâune personnalitĂ© rĂ©putĂ©e, un dĂ©fenseur du christianisme, pouvez-vous ressusciter... ramener les morts Ă la vie physique? Pouvez-vous marcher sur les eaux? Pouvez-vous guĂ©rir les malades et redonner la vue aux aveugles? Ces choses ne sont-elles pas conformes Ă lâerreur mentionnĂ©e plus haut et exposĂ©e par les mahomĂ©tans? Ou expo-... ou par ce test que Christ a donnĂ©, qui suit selon les affirmations quâon peut trouver dans votre croyance?
Il est clair que la plupart des dĂ©clarations de lâarticle de ce musulman sont inexactes lâune aprĂšs lâautre. Elles discrĂ©ditent ce musulman, mais il avait raison. Voici ce quâil fallait dire:
Voici la meilleure rĂ©ponse, pour ceux qui lisent la Bible et qui connaissent le Coran: Le Coran soutient que le... a soutenu la comparaison. La prĂ©tention selon laquelle le mahomĂ©tisme surpasserait et devancerait le christianisme, est absolument a-m-p-o-u-l-Ă©-e (ampoulĂ©e, je suppose), imaginaire. Lâauteur a toutefois touchĂ© un point capital, selon lequel les miracles appartiennent Ă lâĂ©glise. Mais encore lĂ , nous doutons de la sincĂ©ritĂ© de lâauteur, en effet, qui pourrait montrer du doigt, qui pourrait contester les miracles qui ont Ă©tĂ© faits par le rĂ©vĂ©rend William Branham devant les musulmans en Afrique du Sud, lorsque dix mille dâentre eux ont reçu Christ comme leur Sauveur, sous le ministĂšre de William Branham, Ă Durban, en Afrique du Sud, et ailleurs Ă travers le monde; ou de T. L. Osborn, en Afrique orientale. Evidemment, nous soutenons Billy Graham Ă cent pour cent. Nous avons discutĂ© le sujet dont il est question, il est sans va-... Ce sujet dont il est question est sans valeur.
136 Mais malgrĂ© tout ça, il mâa dit⊠Il disait que nous Ă©tions des fanatiques, que nous ne savions pas ce que nous faisions. Ils ont dĂ» en tĂ©moigner dans leur propre journal, que Dieu lâa fait de toute façon. Dieu est Dieu aujourdâhui, tout autant quâIl lâa toujours Ă©tĂ©. Vous ne pensez peut-ĂȘtre pas quâils nây croient pas, quâils ne le voient pas. Ce nâest pas cachĂ©; ce nâest pas fait dans un coin. Des centaines de milliers de gens Ă©taient assis lĂ et ont regardĂ©. Quand ils ont vu ce garçon infirme et estropiĂ© sâavancer et le Saint-Esprit lui rĂ©vĂ©ler les choses sur sa vie et tout, et ce qui est arrivĂ© lĂ ; on a vu dix mille musulmans se prosterner, la face contre terre, et accepter JĂ©sus-Christ comme leur Sauveur personnel.
137 Nous avons encore des T. L. Osborn et dâautres personnes, qui donnent encore de la nourriture aux brebis. Je pense que FrĂšre Osborn nâest pas encore allĂ© parmi les musulmans. Ils prĂ©tendent ĂȘtre trĂšs prĂ©dominant. Mais nous avons encore un Dieu qui peut dĂ©livrer la brebis des griffes du lion, qui peut dĂ©livrer la brebis des griffes de lâours. Et ça mâa fait du bien de voir quâils ont Ă©tĂ© forcĂ©s de lâĂ©crire et de le reconnaĂźtre, alors quâils pensent quâils ne le font pas. Ils sâĂ©loignent, ils y tournent le dos en disant: «Oh, ces jours-lĂ , câest du passĂ©.» Les musulmans disent: «Ah! ils... toute la Bible est donc du passĂ©. Vous ĂȘtes complĂštement dans lâerreur. Vous adorez un Homme. Un Homme qui est mort, dont le Nom Ă©tait JĂ©sus, et qui est mort il y a bien des annĂ©es; et Il nâest pas ressuscitĂ©.» Absolument pas. Mais ils ne pouvaient pas dire ça Ă la rĂ©union de Durban.
138 Il Ă©tait lĂ , faisant les mĂȘmes choses quâIl avait faites et Il le leur a prouvĂ©. Maintenant, mĂȘme les â les dĂ©nominations sont forcĂ©es de revenir... La personne mĂȘme qui mâavait Ă©crit pour me dire quâil me faudrait me rĂ©tracter sur mon enseignement de la Bible, câest la mĂȘme personne qui a dĂ» Ă©crire ça dans leur journal. Dieu va les obliger Ă Le louer quand mĂȘme, de toute façon. Câest exact. Il va les obliger Ă Le louer de toute façon.
139 Il y a une petite fille malade assise la. Câest votre enfant? Quel est son problĂšme, soeur? Ma dame? [La soeur dit: «Une hĂ©morragie cĂ©rĂ©brale.» â N.D.E.] Une hĂ©morragie cĂ©rĂ©brale. [FrĂšre Branham converse avec la mĂšre de lâenfant malade.] Non, ils sont⊠En tout, quatre ans? Oh! il vient de Maringo ou de quelque part lĂ -bas? De Peoria. Est-ce la fille que vousâŠ?... Il nây a quâune chose, maman, qui peut... qui va sauver cette petite fille, câest Dieu. Vous le savez. [La maman dit: «Elle va beaucoup mieux maintenant.»] Je suis vraiment content de ça. Etes-vous allĂ© prier pour elle, FrĂšre Neville? [FrĂšre Neville dit: «Oui, monsieur.»] Depuis que frĂšre Neville est allĂ© prier pour elle, elle va mieux. Il y a encore des bergers qui savent ce quâest la nourriture de brebis.
140 Quel est votre problĂšme, ma chĂšre soeur, assise dans le fauteuil roulant lĂ -bas? Le vĂŽtre? Le cancer. Eh bien, si je vous demandais simplement quelque chose, peut-ĂȘtre quâici mĂȘme... Combien de gens ici ont Ă©tĂ© guĂ©ris par⊠du cancer? Levez la main. Regardez, soeur. [La soeur dit quelque chose. â N.D.E.]
141 Câest Dieu qui est le GuĂ©risseur. Ăa, nous le savons. Si je vous disais que je peux descendre lĂ et dĂ©barrasser cette petite fille de cette hĂ©morragie et la guĂ©rir, je vous dirais quelque chose de faux; ou que je peux dĂ©barrasser cette femme du cancer. Mais je sais une chose: un jour, il y avait un ours, un cancer, une tumeur, une cĂ©citĂ©, et mĂȘme la mort, qui sâĂ©tait saisi de quelques-unes des brebis de Dieu. Je me suis avancĂ© avec la puissance de Dieu, et je lâai tuĂ©, et jâai ramenĂ© cette brebis. Câest exact. Aujourdâhui nous nous avançons, non pas avec telle et telle grande chose, je mâavance avec une simple petite fronde de la priĂšre. Câest elle qui va la ramener. Vous croyez ça, nâest-ce pas, soeur? Vous aussi, vous le croyez, nâest-ce pas, soeur? Combien dâentre vous le croient, de tout leur coeur maintenant? Maintenant, inclinez la tĂȘte pendant que je vais aller prier. [FrĂšre Branham descend de lâestrade pour prier pour les malades. â N.D.E.] TrĂšs bien.
Bien-aimĂ© PĂšre, il y a une belle jeune femme qui est couchĂ©e ici qui ne pourra plus jamais marcher ni se dĂ©placer, Ă moins que Tu lui viennes en aide. Lâennemi lâa attrapĂ©e, elle est au-delĂ de la portĂ©e de tout mĂ©decin. Lâennemi lâa tirĂ©e dâun coup sec au point oĂč elle sâest retrouvĂ©e loin lĂ -bas dans un sphĂšre oĂč mĂȘme le mĂ©decin ne pouvait rien faire. Mais elle nâest pas hors de ta portĂ©e, Seigneur. Elle est juste Ă lâendroit oĂč Tu peux lâatteindre de Ta main. Sur base de la Parole de Dieu, jâimpose mes mains Ă la â la jeune femme et je condamne cette hĂ©morragie cĂ©rĂ©brale; au Nom de JĂ©sus-Christ, ramĂšne-la de nouveau Ă lâĂ©tat dâune femme normale. Elle vivra pour la gloire de Dieu. Quâelle soit guĂ©rie, quâelle entre dans cette Ă©glise et en ressorte comme le font les autres aprĂšs Tâavoir connu. Rendez gloire Ă Dieu. Quâil en soit au⊠de JĂ©sus-Christ.
142 Comme lâassouplissement de ses cheveux, quelques tours en plus, et elle se retrouverait lĂ dans ce pays oĂč jâai vuâŠ?... pour ne plus vieillir mais jeune, alors que ses bien-aimĂ©s seraient assis lĂ Ă pleurer, et ils lâaiment. Un grand ennemi, un lion Ă©pouvantable de cancer, sâest saisi dâelle et lâa tirĂ©e dâun coup sec hors de la portĂ©e du mĂ©decin. Ă Dieu, je viens Ă sa rescousse. Et je â et je viens pour la ramener. Je tue le lionâŠ?... au Nom de Christ invisible dont je suis lâambassadeur. Que cela la quitte, quâelle soit guĂ©rie et quâelle vive encore pendant plusieurs annĂ©es pour lâhonneur et la gloire de Dieu en JĂ©sus-Christ notre Seigneur. Amen.
Notre PĂšre cĂ©leste, non pas maintenant comme avec une grande armure, non pas avec une lance polie, comme Tu lâas ditâŠ?... Je mâavance-lĂ . Mais avec cette petite fronde ordinaire de la foi, je viens pour cette Ăąme et ce corps dont lâennemi, ce cancer sâest saisi et quâil a emmenĂ© hors de la portĂ©e des mĂ©decins, mais je mâavance ce matin, Seigneur, pour la ramener aux verts pĂąturages ombragĂ©s et aux eaux paisibles. Au Nom du Triomphateur JĂ©sus dont je suis lâambassadeur, avec la foi infaillible, je crois quâelle sera ramenĂ©e par la puissance de cette priĂšre. Et quâil en soit ainsi au Nom de JĂ©susâŠ?... Je pense quâil y a un service de baptĂȘme juste en ce moment.
Je vous prie de lever la tĂȘte juste un instant. Le pasteur vient de me dire que ces gens sont trĂšs, trĂšs malades. Ils se rĂ©tabliront. Seulement, ne... Ăa va bien. La promesse de Dieu ne faillit jamais. Nous allons Ă leur rescousse.
143 Ils ont un service de baptĂȘme ce⊠Certaines personnes doivent partir. Nous aurons une autre rĂ©union ce soir. Y a-t-il quelquâun ici qui ne pourra pas venir ce soir, et qui voudrait quâon prie pour lui maintenant? Quelquâun qui ne pourra pas ĂȘtre lĂ ce soir. Alors, voulez-vous venir ici? Vous qui ne pourrez pas revenir ce soir. Jâaurai plus de temps pour faire une ligne de priĂšre ce soir. Il faut quâon baptise ces gens. [FrĂšre Branham parle avec quelquâun. â N.D.E.] Vous avez un petit garçon, lĂ ... Oui, frĂšre. Merci beaucoup. Est-ce que ce serait bien que je lise ça un peu plus tard, ouâŠ? Merci, monsieur.
144 Maintenant, si vous voulez nous accorder encore ne fĂ»t-ce quâune ou deux minutes, nous... Ensuite, nous aurons le â le service de â de baptĂȘme. Je sais que vous voudrez voir ça. Et pour ceux qui dĂ©sirent ĂȘtre baptisĂ©s ce matin, eh bien, vous... Que les dames aillent se changer de ce cĂŽtĂ©-ci, et les hommes de ce cĂŽtĂ©-lĂ . Et puis, pendant que je prierai pour ces gens qui sont malades, vous pourrez alors vous prĂ©parer pour le service de baptĂȘme. Et maintenant, pour ceux qui...
145 Maintenant, ce soir, je vais mâefforcer de faire une â une petite ligne de priĂšre, ce soir, sans tarder aussi tĂŽt que jâarriverai. Et nous allons commencer par le 1er chapitre de lâEpĂźtre aux EphĂ©siens ce soir. Nous serons donc trĂšs heureux de vous avoir avec nous, si vous nâavez pas dâĂ©glise oĂč aller. Mais si vous avez votre pasteur et votre Ă©glise Ă vous, alors allez â allez Ă votre chĂšre Ă©glise, celle que vous soutenez. Si vous qui devez partir, vous allez partir maintenant, que Dieu vous bĂ©nisse. Revenez parmi nous quand vous le pourrez. Nous serons heureux de vous avoir parmi nous. [FrĂšre Branham parle Ă quelquâun. â N.D.E.] Doit-on prier pour vous ici?âŠ?... Maintenant, les autres, veuillez incliner la tĂȘte un instant, nous voulons prier.
146 PĂšre, je Te remercie aujourdâhui pour la petite fronde du berger, la priĂšre, qui a fait tomber le lion Ă genoux, et le petit agneau lui a Ă©tĂ© arrachĂ© et a Ă©tĂ© ramenĂ© Ă sa maman et Ă son papa. Je prie pour notre frĂšre. Je Te demande de le ramener, lui aussi, en sĂ»retĂ©, Seigneur. Que la tension artĂ©rielle et ses problĂšmes physiques disparaissent. Je vais Ă sa rescousse, Seigneur, pour le ramener. Au Nom de JĂ©sus-Christ, quâil en soit ainsi. Amen. Que Dieu vous bĂ©nisse, frĂšre.
147 En descendant, je vois un autre petit garçon aveugle. Jâaimerais dire une autre chose. JâĂ©tais trĂšs malade. Je vomissais. Et jâai pensĂ©... Je ne voudrais pas que vous manquiez ceci, si vous pouvez. Jâai pensĂ©: «à Dieu, que donnerais-je si lâon mâapprenait quâil y a quelquâun qui tâattend dehors.»
148 Mon épouse dirait: «Billy, il y a un monsieur ùgé qui veut te voir.» Et un petit homme chauve, avec une barbe grise recouvrant son visage, arriverait.
Il entrerait et dirait: «Etes-vous FrÚre Branham?»
Je dirais: «Oui, monsieur, câest moi.»
â Je mâappelle Simon.
â Il poserait sa main sur moi, il me regarderait pendant un instant et dirait:
«Etes-vous un croyant, FrÚre Branham?»
â Oui.
â Tout ira bien.
Le Simon Pierre de la Bible... Combien jâapprĂ©cierais cela! Il nâaurait pas Ă dire grand-chose, il nâaurait quâĂ poser sa main sur moi, et tout irait bien.
149 Et alors, voici ce qui mâest venu Ă lâesprit: Avec lâaide de Dieu, et par la grĂące de Dieu, il y a des dizaines de milliers de gens qui croiraient la mĂȘme chose si jâallais vers eux. Alors je me suis dit: «Seigneur, permets-moi donc dâaller vers tous ceux que je peux. Permets-moi seulement â seulement...» Je me disais que si Simon pouvait seulement... si Paul, si certains dâentre eux, pouvaient seulement entrer, et dire : «Est-ce vous FrĂšre Branham?»
â Oui.
150 Ils mâimposeraient leurs mains, ils me regarderaient et diraient: «TrĂšs bien, FrĂšre Branham», et ils repartiraient, tout simplement et je serais guĂ©ri. Je me porterai bien. Certainement. Je me suis dit: «Mon gars, je reprendrai courage tout de suite.» Je dirais: «Je me porterai bien.» Oui, oui. Et il y a des gens qui croient cette mĂȘme chose aujourdâhui. Et je descends maintenant ici pour faire cela: pour vous imposer les mains, et implorer Dieu. [FrĂšre Branham continue Ă prier pour les malades. â N.D.E.]
152 Jâaimerais aller vers ce petit garçon, soeur, juste dans un instant, ce petit garçon aveugle. Depuis quand est-il aveugle, soeur? Depuis sa naissance. Bonjour, petit garçon. Oh! tu nâes pasâŠ?... Eh bien, juste une minute.
Ă Dieu bienveillant, au-delĂ de la portĂ©e des mĂ©decins, Ă la naissance de ce petit garçon, Ă©tant nĂ© aveugle, il ne voit pas, ce beau et charmant petit garçon⊠Et avant que le petit ami ait une chance dans la vie, lâennemi lâa tirĂ© dâun coup sec au-delĂ de la portĂ©e des mĂ©decins. Mais je vais immĂ©diatement Ă sa rescousse ce matin, Seigneur. Cette petite fronde de la priĂšreâŠ?... Permets que je le ramĂšne, ĂŽ Dieu. Et jâaffronte lâennemi, le dĂ©mon, au Nom de JĂ©sus-Christ, et je rĂ©clame ce garçon pour Dieu. Je rĂ©clame sa vue pour Dieu, je lui rends ce que Satan lui avait arrachĂ©. Puisse-t-il la recouvrer au Nom de JĂ©sus-Christ, il en sera ainsi. Eh bien, quâil en soit ainsi.
Eh bien, ma chĂšre soeur, maintenant nâaie pas le moindre doute, car ce petit garçon se portera bien. Jâaimerais que tu le ramĂšnes ici Ă lâĂ©glise pour montrer aux gens quâil voitâŠ?... je lui rends sa vue au Nom de JĂ©sus-ChristâŠ?...
153 OuiâŠ?... Seigneur JĂ©susâŠ?... ce petit enfant pour qui nous avons offert beaucoup de priĂšres, mais ce matin, je viens encore au Nom de JĂ©sus-Christ, portant cette petite fronde que Tu mâas donnĂ©e; Tu mâas aidĂ© avec ça, Seigneur, par Ta puissance Ă arracher le⊠de la gueule deâŠ?... de la gueule de la mort elle-mĂȘme, Tu as ressuscitĂ© des gens qui Ă©taient raides morts et froids aprĂšs quâils ont Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©s morts. Je poursuis cet ennemi au Nom de JĂ©sus-Christ. Ainsi, redonne-lui encore la bonne santĂ©. Accorde-le; quâil en soit ainsi pour la gloire de Dieu.
Et on doit prier pour vous⊠Etes-vous une croyante? Seigneur, je lâamĂšne Ă la portĂ©e de cette petite fronde, au Nom de JĂ©sus-Christ que cette maladie la quitte et quâelle ne revienne plus jamais. AmenâŠ?...
Eh bien, cette mĂȘme petite fronde qui est partie et a atteint ce coeur-lĂ , et pour ta fille, etâŠ?... Bien-aimĂ© PĂšre cĂ©leste, je poursuis lâennemi en utilisant cette petite fronde que Tu mâas donnĂ©e, car Tu as dit: «Si tu amĂšnes les gens Ă te croire et si tu es sincĂšre quand tu priesâŠ?...» Va maintenant alors que je lâenvoie vers sa requĂȘte. Quâil en soit ainsi au Nom de JĂ©sus-Christ. AmenâŠ?...
154 TrĂšs bien, soeur. Eh bien, nous sommes⊠Les nerfs sont au-delĂ de la portĂ©e des mĂ©decins. Ils pourraient te donner quelque chose pour vous calmer un peu, mais cela ferait empirer votre cas aprĂšsâŠ?... Maintenant Ă©coutez, nous allons sortir aprĂšs ceci ce matin. Nous allons sortir, en ramenant cela. [Espace vide sur la bande â N.D.E.]
Seigneur JĂ©susâŠ?... JeâŠ?... CinqâŠ?... petites pierres, la f-o-i, dans la fronde de la priĂšre, et je ramĂšne ma soeur en lâarrachant des griffes de cette nervositĂ©âŠ?... des mĂ©decinsâŠ?... Je la ramĂšne Ă la paix, aux pĂąturages ombragĂ©s et aux eaux paisibles; et je fais ceci au Nom de JĂ©sus-Christ. AmenâŠ?...
TrĂšs bien. Il ne sâagit pas dâune dystrophie musculaire. Dieu notre PĂšre, cette petite fille, nous sommes si heureux que ce ne soit pas une dystrophie musculaire; mais peu importe ce que câest, câest toujours Ă Ta portĂ©e, Seigneur, et je viens avec cette petite pierre de la foi, dans cette frondeâŠ?... Et je presse cette pierre de toutes mes forces pour la lancer; au Nom de JĂ©sus-Christ, quâelle atteigne la cible. Que notre petite soeur soit guĂ©rie. Je fais ceci au Nom de JĂ©sus-ChristâŠ?...
155 Comme cette jeune mĂšre et son petit enfant, un petit enfant quâelle veut rencontrer lĂ -bas de lâautre cĂŽtĂ© dans ce glorieux pays dont je viens de parler. Et ils⊠La mĂšre ne vivra pas assez longtemps pour Ă©lever ce petit enfant. Et le petit enfant ne peut non plus vivre longtemps sans Ton secours, mais je viens avec cette fronde, avec toute la force possible pour frapper lâennemi. Au Nom de JĂ©sus-Christ, je lui lance ceci. Ils se porteront bien pour la gloire de Dieu, au Nom de JĂ©sus. AmenâŠ?...
Oh! eh bien, câest vraiment agrĂ©able. Je suis vraiment dans la joie, car ce ministĂšre en ce temps-lĂ , câĂ©tait un grand ministĂšre qui leur indiquaitâŠ?... Son cas va-t-il sâempirer? Notre PĂšre cĂ©leste, Satan a tirĂ© dâun coup sec cette petite mĂšre-lĂ au-delĂ de la portĂ©e des mĂ©decins. Ils peuvent simplement administrer un mĂ©dicament comme cela, Seigneur, un mĂ©dicament qui ira simplement dans tout son corps, mais qui fera quâelle sache Ă peine oĂč elle se trouve; et puis, quand elle aura terminĂ©, son Ă©tat sera pire. Mais, je viens avec cette fronde de la foi, avec une pierre dirigĂ©e tout droit vers la cible. Au Nom de JĂ©sus-Christ, jâenlĂšve dâelle cette nervositĂ© pour la gloire de Dieu.
156 Dieu bien-aimĂ©, FrĂšre George qui Ă©tait Ă©tendu lĂ mourant, il nây a pas longtemps, a vu ce que la foi a fait pour lui. Maintenant, il a le rhumatisme, Seigneur. Il rĂ©alise quâon pourrait lui donner la cortisone ou un produit qui pourrait un peu calmer la douleur, mais cela nâĂŽtera pas la chose; ainsi nous offrons cette priĂšre au Nom de JĂ©sus-Christ; que le rhumatisme sâen aille. Quâil rentre chez lui et quâil soit guĂ©ri. Merci beaucoupâŠ?...
Bonjour. Oh! la la! Oui, madame. Avez-vous entendu tout cela? Juste au-delĂ de la portĂ©e des mortels. Croyez-vous au Seigneur JĂ©sus? Je vois une belle femme lĂ -basâŠ?.... Vous redeviendrez jeune pour toujours. Je sais que vous voulez vivre maintenant pour Sa gloire. Allez vite vers le â lâautreâŠ?... Votre fils⊠Ne pouvez-vous pas le retrouver? Oh! il ne peut ĂȘtreâŠ?... accablĂ©e de chagrin, je vois.
ChĂšre soeur, jâaimerais que vous compreniezâŠ?... ici. Est-elle ici pourâŠ?... TrĂšs bien, dites-le lui. Eh bien, elle vous dira ce qui arrive juste au-delĂ de votre souffle; ce prĂ©cieux garçon vous attend. Vous serez jeune comme luiâŠ?... justeâŠ?...
Bien-aimĂ© PĂšre cĂ©leste, la course de la vie a Ă©tĂ© effectuĂ©e. Il ne reste plus grand-chose; et son petit garçon est simplement de lâautre cĂŽtĂ© de la riviĂšre. Il peut seulement regarder derriĂšreâŠ?... JusteâŠ?... Elle attend que le bateauâŠ
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