Ecoutez-Le

Date: 60-0806 | La durée est de: 1 hour and 20 minutes | La traduction: Shp
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1 Inclinons la tête juste un moment pour un mot de prière.
Bienveillant Père céleste, comme nous revenons ce soir, venant dans Ta Divine Présence solliciter la miséricorde, nous sommes reconnaissants pour tout ce que Tu as fait pour nous dans les jours passés. Nous prions que Tu sois encore avec nous ce soir, et que Tu manifestes encore Ta Présence au milieu de nous ce soir.
Nous Te remercions pour tous ceux qui sont venus à Christ pendant cette campagne, et pour cet aimable conseil de ministres, pour tous ces gens, et pour leur gentillesse.
Nous Te remercions pour toutes les guérisons que Tu as accomplies et opérées; des lettres arrivent, et les gens témoignent que quand ils sont arrivés chez eux, les tumeurs les ont quittés, et des bien-aimés ont été guéris quand on a posé des mouchoirs sur eux, et - et un grand nombre, au moins deux ou trois, que nous connaissons, ont déjà témoigné qu'ils étaient dans des fauteuils roulants, et le matin suivant quand ils sont rentrés chez eux, eh bien, ils ont commencé à se sentir mieux. Et après un jour ou deux, ils étaient debout et marchaient.

2 Ô Dieu, fais que chaque personne soit guérie, Seigneur, même si nous sommes séparés par de longues distances à travers la nation au moment où cela se produit, reçois-en cependant la gloire, Seigneur. Et - et ça sera vraiment un témoignage de Ta bonté et de Ta miséricorde dans le voisinage et parmi les gens.
Ce soir, il y a ici beaucoup de linges et de mouchoirs posés ici pour les malades et les affligés. Précieux Père Tout-puissant, puisse le Saint-Esprit couvrir maintenant ces objets de Son ombre par cet acte de foi. Que toute personne sur qui ils seront posés soit guérie, Père. Tu es Dieu. Que Ta Divine miséricorde repose sur les gens qui les portent, et qu'il n'y ait pas un - un seul qui ne soit guéri.
Parle-nous ce soir par Ta Parole. Parle-nous par l'Esprit. Et quand nous rentrerons chez nous ce soir, puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d'Emmaüs : «Nos cours ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous lorsqu'Il nous parlait en chemin?» Car nous le demandons en Son Nom et pour Sa gloire. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

3 Ça va là au balcon, maintenant? Entendez-vous maintenant là-haut, de ce côté-ci? Et de ce côté-ci? Bien. C'est bien.
J'ai rencontré des amis là à la porte, et ils étaient un peu en retard et ils ne pouvaient avoir un. ici au rez-de-chaussée; je leur ai donc dit, je ne sais pas s'ils écoutaient très bien là- bas, mais je suis content que ça soit très bien maintenant.
Demain après-midi, c'est triste de le dire, mais ce sera la fin de cette campagne. Ç'a été certainement de très beaux moments pour nous. Et nous apprécions toute chose, la gentillesse et tout ce qui a été fait. Nous vous remercions de tout notre cour, et nous espérons que vous serez avec nous demain après-midi.

4 Bon, il y a - il y a ici des étrangers venant d'autres villes. Le motel où je reste est comble, et dans d'autres motels. Et comme vous êtes ici maintenant, le matin, il y aura école du dimanche dans ces églises d'ici, et - ces églises du Plein Evangile qui sont ici dans la vallée; et elles vont certainement bien vous accueillir dans n'importe lequel de leurs services. Je suppose qu'on a dû annoncer cela aux gens, et ils sont venus pour écouter ces hommes. Bon, vous venez écouter ce genre de ministère; ces hommes viennent ici comme des représentants, et ils prêchent et ont les mêmes choses que nous soutenons ici. Ils vous feront du bien. Amenez vos jeunes enfants à l'école du dimanche, et mettez-les à l'école du dimanche.
Vous savez, c'est un péché d'envoyer vos enfants à l'école du dimanche, vous le savez. Accompagnez-les. Ne les envoyez pas. Accompagnez-les. C'est un péché de les envoyer et de rester vous-même à la maison. Ainsi accompagnez-les tout simplement. Amenez-les à l'école du dimanche, et vous y trouverez des classes, des enseignants et ainsi de suite.

5 Et puis, nous aurons notre. du dimanche - notre service du dimanche l'après-midi, parce qu'après, les églises pourront continuer et tenir le service de dimanche soir. Et tous ceux qui ont été convertis dans ces réunions pendant le temps qu'on a passé ici, que nous avons fait des appels à l'autel. Et vous voyez qu'aujourd'hui le péché est très grand, les pécheurs ne s'intéressent plus beaucoup à Christ. Vous savez, je crois qu'Il a presque cessé de les appeler. Sachez qu'il arrivera un temps où le dernier pécheur viendra à Christ, et qu'il n'y aura plus de gens qui viendront. Sachez-le. Le Corps de Christ ne sera pas un corps difforme. Il n'aura pas un doigt supplémentaire à cause de toi ou de moi. Quand le Corps sera complet, le travail sera fini. Dieu renverra Son Esprit chez les Juifs et les Gentils partiront dans l'enlèvement.
Ainsi, nous voulons donc être sûrs que tout le monde. Et peut-être, quelquefois ici en Amérique (J'y pensais aujourd'hui pendant que je priais), comment peut-on tenir un réveil de dix jours pour n'avoir que quelques convertis? Je me suis dit : «Outre-mer, dix jours de réveils donneraient probablement deux cent mille ou peut-être un demi-million de convertis, en dix jours de réunions en Afrique ou à un autre endroit du même genre.» Mais vous savez, nous devons pêcher à la seine chacun d'eux. Vous voyez? Une âme vaut dix mille mondes.

6 Il y a quelque temps, j'étais dans un - un hall d'exposition, et j'étais en train de regarder et d'observer autour de moi, contemplant les oeuvres d'art exposées, et j'ai vu la dissection d'un corps humain. Et il y avait deux jeunes hommes debout en train d'observer cela et il était écrit là : «Cet homme qui pesait 75 kg, valait 84 cents en produits chimiques.» Il avait juste assez de lait de chaux en lui pour asperger un nid de poule, et - et juste une quantité de produits chimiques valant 84 cents.
L'un de ces garçons a regardé cela et a dit : «Eh bien, Jim, nous ne valons pas grand-chose, n'est-ce pas?»
Je me suis dit : «C'est vrai. Ce corps ne vaut pas grand-chose, et pourtant, nous mettons dessus un - un chapeau de dix dollars, un manteau de vison de cinquante dollars, nous levons le nez en l'air et s'il pleuvait, cela nous noierait.» Vous voyez? Et nous nous prenons pour des gens importants. Nous nous mettons sur nos trente et un, nous nous faisons beaux, nous sortons et nous prenons soin de ces «quatre-vingt-quatre cents.»

7 Si vous alliez dans un restaurant et qu'on vous donnait un bol de soupe dans lequel il se trouverait une araignée, vous intenteriez un procès à ce restaurant. Vous veillez sur ces quatre-vingt-quatre cents. Mais vous avez au-dedans une âme qui vaut dix mille mondes, et vous allez fourrer n'importe quoi dedans : le monde, la convoitise, n'importe quoi d'autre, et elle est - elle est éternelle, et elle vaut dix mille mondes. Mais nous veillons sur les quatre-vingt-quatre cents, et nous nous éloignons de cette chose qui vaut dix mille mondes. N'est-ce pas drôle?
J'ai tenu ce garçon à l'épaule; j'ai dit : «C'est vrai, fils; nous n'avons pas grand-chose dans ce corps, juste quelques produits chimiques, mais l'âme qui se trouve dedans a coûté à Dieu Son Fils.» C'est vrai.

8 Il n'y a pas longtemps, à Louisville, dans le Kentucky, un vieux clochard (je crois que c'était cela), distribuait des traités dans la rue, et une automobile l'a renversé et a brisé presque tous ses os. Il a été vite amené à l'Hôpital de la ville, et - et il était si grave qu'on - on s'est dit qu'on n'avait pas de temps à perdre avec ce vieux type. Le médecin a donc tenu un petit conseil et a dit : «Il n'est pas - il est dans un état très grave, et il est vieux, il - il n'en vaut vraiment pas la peine.» Ils pensaient donc que le vieil homme était - ne les entendait pas, mais il n'était pas aussi - il n'était pas mort comme on le pensait. Aussi quand ils. Quelques minutes après, eh bien, le - ils se dirent : «Eh bien, ramenons-le dans sa chambre.»
Et le vieil homme tourna la tête et dit : «Si, je vaux aussi quelque chose.» Il dit : «Je vaux beaucoup pour Dieu; Il a donné Son Fils unique afin que je puisse avoir la Vie éternelle. Et j'ai accepté cela il y a cinquante ans, et depuis, je me suis tenu dans les rues pour distribuer des traités.» Et il dit : «Il est plus doux pour moi aujourd'hui qu'Il ne l'a jamais été auparavant.» C'est vrai.

9 Nous mettons les trésors au mauvais endroit. Vous voyez? Quelquefois, nous regardons aux choses. Vous savez, quand Jean Batiste est venu, prêchant dans le désert de la Judée (tous les prophètes ont témoigné de ce temps), il disait : «Les hauts lieux seront abaissés, les - les montagnes sauteront comme de petits béliers, et toutes les feuilles battront leurs mains, et quel grand événement ça sera!» Et comment cela s'est-il terminé? Les gens, les religieux de ce temps-là, pensaient que Christ descendrait du Ciel sur un char, et - et avec une verge de fer; mais quand Il est venu, la personne qui devait - prononcer le discours à la cérémonie de remise des diplômes c'était un vieux prédicateur à moitié vêtu, enveloppé d'une peau de brebis, avec une barbe partout sur le visage comme un vers duveteux, et voici venir Jésus qui était juste un Homme ordinaire, marchant, et Il fut baptisé dans l'eau, sur une vieille rive boueuse du Jourdain. Mais vous voyez, dans le - ce que l'homme appelle grand, Dieu l'appelle folie. e que l'homme appelle folie, Dieu l'appelle grand. Donc, c'est juste la pensée humaine qui est pervertie, vous voyez, et qui est contraire à cela.

10 Bon, pour vous qui prenez des notes, et donc avant que nous ne lisions les Ecritures, vous pouvez ouvrir dans l'Evangile de saint Matthieu au chapitre 17, et nous allons - nous allons lire. Et pendant que nous lisons, je voudrais dire que demain après-midi, les cartes de prière - nous essayerons de distribuer une - toutes les cartes de prière qu'il nous sera possible de distribuer, demain après-midi; et essayez d'amener dans la ligne de prière chaque personne qui le voudra, amenez-la. Nous ne - ne pouvons pas exercer le discernement pour tout le monde, mais nous pouvons au moins imposer les mains aux gens et prier pour eux. Venez donc demain après-midi pour le service. Ce sera notre dernier service de cette campagne, et peut-être le dernier de ce genre de services que vous verrez jamais de votre vie. Le ministère est en train d'être changé en quelque chose qui sera plus glorieux. Le chapitre 17 de saint Matthieu : Six jours après, Jésus prit avec lui Pierre, Jacques et Jean, son frère, et il les conduisit à l'écart sur une haute montagne. Il fut transfiguré devant eux; Son visage resplendit comme le soleil, et ses vêtements devinrent blancs comme la lumière. Et voici Moïse et Elie leur apparurent, s'entretenant avec Lui. Pierre prenant la parole, dit à Jésus : Seigneur, il est bon que nous soyons ici; si Tu le veux, je dresserai pour Toi. trois tentes, je dresserai ici trois tentes, une pour Toi, une pour Moïse, et une pour Elie. Comme il parlait encore, une nuée lumineuse les couvrit. Et voici, une voix fit entendre de la nuée ces paroles : Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection : écoutez-le! Lorsque les disciples entendirent cette voix, ils tombèrent sur leur face, et furent saisis d'une grande frayeur. Mais Jésus, s'approchant, les toucha, et dit : Levez-vous. n'ayez pas peur.

11 S'il plaît à notre Seigneur ce soir qu'on tire de ce texte un contexte, je voudrais prendre pour sujet ces trois derniers mots : Ecoutez-Le. [En Anglais : «Hear Ye Him» - N.D.T.] C'est un très petit texte. Avec un auditoire de cette taille, quelqu'un pourrait dire : «Prédicateur, je crois que vous devriez trouver un peu plus que ça comme texte.»
Eh bien, peut-être que ça devrait être ainsi, mais si cet auditoire accepte simplement ce texte, c'est tout ce dont nous avons besoin. Ce n'est pas la quantité qui compte, c'est la qualité. C'est ce que la chose est. C'est la Parole de Dieu. Et si vous L'écoutez simplement, tout ira bien.

12 Il y a quelque temps, de l'autre côté de la rivière à partir de l'endroit où je vis, il y avait un - un petit garçon qui était en train de fouiller dans une vieille mansarde, il ouvrit un vieux coffret et il trouva un petit timbre-poste jauni, et il se souvint qu'il y avait un philatéliste en descendant sa rue. Et ce philatéliste achetait de vieux timbres, c'est un passe-temps. J'en rapporte de l'Europe, de l'Asie, et de partout pour les philatélistes d'ici. Et, ce petit garçon ayant trouvé ce timbre, et la première chose vous savez, il se dit : «Il doit avoir de la valeur parce qu'il est vieux.» Comme il avait à l'esprit un cornet de crème glacée, il se dit : «Je vais amener cela chez le philatéliste, et peut-être, peut-être obtiendrai-je de quoi acheter un cornet de crème glacée.» Et il descendit la rue en courant vers chez le philatéliste; et il dit : «Monsieur, j'ai trouvé un timbre, et je voudrais que vous puissiez l'examiner pour voir s'il a - s'il a de la valeur.»
Et cet homme prit ses lunettes et son tableau, et dit : «Oui, c'est un timbre qui a de la valeur. Combien voudrais-tu pour cela?»
Il répondit : «Combien allez-vous me donner pour cela ?
Il dit : «Je vous donnerai un billet d'un dollar.»
Oh! c'était vraiment bien alors; cela revenait à dire environ dix cornets de crème glacée. Il se dit : «C'est bien.»

13 Bon, je pourrais me tromper sur mes chiffres, si c'est le cas et qu'il y a quelqu'un qui a lu cela, pardonnez-moi. Mais je pense que ce philatéliste revendit ce timbre environ deux semaines plus tard à cinq cents dollars. Et puis ce fut encore revendu à environ mille cinq cents dollars. Et j'oublie maintenant combien ce timbre a rapporté, ce que ça vaut maintenant. C'est au-delà des centaines de dollars.
Eh bien, cela n'était pas la valeur du petit papier jaune. Il s'agissait de ce qui était écrit dessus, c'est cela la valeur. Ce n'était pas sa taille, ni le papier sur lequel c'était imprimé, il s'agissait de ce qui était écrit sur le papier.

14 C'est le cas avec mon texte, ce soir. Ce n'est pas sa taille, ni le fait que ça soit imprimé sur du papier Bible qui fait sa valeur. C'est ce que cela est. C'est la Parole de Dieu. «Ecoutez-Le.»
Quelquefois ce sont les petites choses que nous - nous ne faisons pas qui signifient beaucoup pour nous. Je crois qu'il est écrit quelque part dans les Ecritures que ce ne sont pas les grandes choses que nous faisons, quelque chose.?. les petites choses que nous ne faisons pas. C'est plutôt un proverbe, et c'est vrai.

15 Peu importe, parfois des hommes comme des pasteurs, des évangélistes viennent dans la ville, et - et peut-être qu'il pourrait, comme frère Oral Roberts, ou quelques-uns de ces évangélistes à succès qui ont toutes sortes de moyen de diffusion et qui attirent dix mille personnes dans une réunion... Et ensuite, après leur départ, les gens méprisent peut-être le pasteur et disent : «Eh bien, un - ce grand homme par rapport à notre pasteur. »
Mais souvenez-vous, dans le Royaume de Dieu, votre pasteur est tout aussi considéré autant que n'importe quel évangéliste ou n'importe quelle autre personne. Il est à son poste du devoir.

16 Il n'y a pas longtemps, là au Canada, quand le feu roi George a visité Vancouver, j'étais à ce moment-là avec frère Baxter, et frère Baxter m'apprenait le passage du roi dans la rue, et oh! si jamais il vous est arrivé de le voir, c'était un homme galant. Ce jour-là, il était tellement malade, c'était avant qu'il ne soit guéri de cette sclérose en plaques, et il avait aussi la gastrite. Et dans le carrosse, on disait qu'il souffrait terriblement mais vous ne l'auriez jamais su. Il se tenait droit et parlait à ses sujets sur son passage.

17 Monsieur Baxter s'est tenu quelque part là derrière et a pleuré aussi amèrement que possible. Et il a dit : «Frère Branham, la raison pour laquelle je pleurais, dit-il, c'est parce que c'était notre roi qui passait.»
Et je me suis dit : «C'est ainsi, et la reine était assise là, dans une belle robe bleue, et combien ces gens qui étaient leurs sujets pleuraient parce qu'ils passaient.» Je me suis dit : «Si ceci a fait pleurer de joie un Canadien, quand le roi est passé en carrosse, qu'en sera-t-il quand Jésus passera, Lui le Roi des cieux et de la terre?»

18 On a fait sortir toutes les écoles ce jour-là, et on a remis à chacun de ces petits enfants un drapeau de l'Angleterre à agiter devant le roi pour montrer leur loyauté. Et quand le roi est passé, eh bien, tous les petits enfants sont retournés dans une certaine école sauf une petite fille. Et on se demandait ce qui était arrivé à cette petite enfant; c'était une toute petite mioche. Et la maîtresse, quand elle a fait l'appel, cette enfant manquait. Hystérique, la maîtresse parcourut les rues, regardant partout. Et toute seule, se tenant derrière un poteau télégraphique, ses petites mains levées, elle pleurait de tout son coeur. Et la maîtresse courut donc vers elle et dit : «Chérie, qu'est-ce qui se passe? N'as-tu pas vu le roi?»
Elle répondit : «Si, je l'ai vu.»
Elle demanda : «Alors, as-tu agité ton drapeau devant lui?»
Elle répondit : «Oui, j'ai agité mon drapeau devant lui.»
Elle demanda : «Alors, pourquoi pleures-tu?»
Elle répondit : «J'ai vu le roi, mais je suis si petite que le roi ne m'a pas vue.» Cela a brisé son petit cour.

19 Mais ce n'est pas le cas avec Jésus. Quelque petit que vous soyez, quelque peu que vous fassiez, Il enregistre tout ce que vous faites. Il vous connaît bien, que vous soyez grand ou petit. Il connaît tout et tout est enregistré dans Ses livres. Et quelquefois, ce sont de petites choses qui nous orientent sur les grandes. Nous devons avoir tout le Corps de Christ ouvrant ensemble.

20 «Ecoutez-Le», c'est un mot de salut pour quiconque croira cela. Cela fera passer le pécheur de la mort à la vie, s'il croit la chose. Cela prendra un - cela prendra un homme qui cherche le Saint-Esprit et Le lui donnera. Cela prendra un malade rongé par le cancer que nos bien-aimés médecins ont abandonné, disant qu'il doit mourir, cela fera encore de lui un homme ou une femme en forme, normal et bien portant. Cela ouvrira les yeux aveugles qui n'ont jamais vu le jour. Cela va déboucher les oreilles sourdes. Cela va faire sortir de l'hôpital psychiatrique. Oh! cela est puissant si vous le recevez comme étant la Parole de Dieu.

21 Pendant la révolution ici, on a raconté qu'il y avait un homme dans la - l'armée qui avait commis un crime, une infraction contre la nation, et il fut jugé par la cour militaire et déclaré coupable, pour avoir déserté en pleine bataille, et la - la peine fut qu'on devait le faire passer par les armes.
Et il était en prison, et son - le jour prévu où il devait passer par les armes. Un de ses chers amis lui a dit : «Je vais aller, je m'en vais voir l'officier suprême.» En effet, à l'époque c'était notre bien-aimé président Abraham Lincoln, ce grand chrétien, ce grand Américain.

22 Et cet homme vit donc monsieur Lincoln pendant qu'il descendait de son carrosse, et il dit : «Monsieur, je sais que vous êtes un homme juste, un homme qui craint Dieu, et vous n'ôterez pas la vie à un homme, mais cependant un certain homme a été déclaré coupable de - de désertion, il s'est dérobé de son devoir ou de son poste en pleine bataille. Et il a été déclaré coupable et il doit mourir. Monsieur, un seul mot de votre part graciera cet homme.» Il dit : «Ne voulez-vous pas le gracier, Monsieur?» Et il tomba sur ses genoux et dit : «L'homme en question est un nerveux, et il a eu peur, et je le connais depuis qu'il était petit garçon.» Et il dit : «Il - il n'avait pas vraiment l'intention de faire cela, c'est un nerveux, et avec ces fusils, et ces canons qui tiraient, et il a fui.»
Monsieur Lincoln, avec ses manières de gentleman et de chrétien, prit un morceau de papier et écrivit dessus : «Je gracie cet homme. Abraham Lincoln.», et il signa.

23 L'homme remercia gracieusement monsieur Lincoln, prit le morceau de papier, et toqua à la prison aussi fort qu'il le pouvait. Etant un civil, il ne lui était pas permis bien sûr d'entrer, sauf sur demande; et il amena le morceau de papier à cet homme et il dit, l'appela et dit : «Mon ami, tu es gracié.»
Il dit : «Comment saurais-je que je suis gracié?»
Il répondit : «Voici le morceau de papier avec le nom de monsieur Lincoln dessus 'Je gracie cet homme, Abraham Lincoln.'»
Cet homme jeta cela hors de la cellule et dit : «Ne me tente pas. Pourquoi veux-tu me rendre la vie encore plus pénible? Tu vois bien que je dois être exécuté le matin, et puis tu viens ici pour te moquer de moi comme cela avec ce - ce petit morceau de papier? Si Abraham Lincoln voulait me gracier, cela porterait le - le sceau des Etats-Unis, et oh! une grande cérémonie serait organisée à cet effet.»
Il dit : «Monsieur, voici la signature d'Abraham Lincoln.» De la même façon, ceci est la Parole du Dieu Tout-puissant. Il dit : «Donne ceci aux bourreaux, et ils reconnaîtront le nom de monsieur Lincoln, et tu seras gracié.»
Il dit : «Sors de la cellule; je ne veux plus en entendre parler.» Et l'homme refusa d'accepter cela, et le matin suivant, on le fit passer aux armes et il mourut exécuté en public. Et puis, voici un morceau de papier portant une mention et la signature du président, disant que cet homme était gracié un jour avant sa mort, mais on l'a quand même fusillé.

24 Ainsi, le cas fut par la suite porté à la cour fédérale, et voici ce qu'était la décision de la cour fédérale de ces précieux Etats-Unis. Il fut dit : «La grâce n'est une grâce que si elle est reçue comme une grâce.»
C'est le cas pour cette Ecriture ce soir : c'est le pardon pour quiconque veut le recevoir comme pardon. C'est la guérison pour quiconque veut la recevoir comme une guérison. C'est une grâce pour quiconque veut la recevoir comme une grâce. Et tout ce que Dieu a promis est à vous si vous voulez recevoir cela comme la Parole de Dieu. Mais si ce n'était qu'une quelconque littérature, cela ne signifiera rien pour vous. Mais si vous pouvez embrasser cela et dire : «C'est la Parole de Dieu.», alors cela aura une signification pour vous.

25 Bon, Jésus, le. J'ai eu le privilège dans ma vie de rencontrer de grands hommes. Et il est frappant de voir comment les choses peuvent être contraires. J'ai rencontré des hommes qui étaient de grands hommes, et puis j'ai rencontré des hommes qui pensaient être de grands hommes. Et il y a assurément une grande différence entre eux. Un grand homme ne se montrera pas toujours suffisant, mais il essayera de vous faire croire que c'est vous qui êtes un grand homme et que lui n'est rien.
Et avec l'homme qui n'est rien et qui essaye d'être grand, c'est juste l'inverse. Et c'est la raison pour laquelle je sais que Jésus était le Fils de Dieu. Il est venu sur la terre sans même avoir un endroit où naître. Il dut emprunter un sein. Il dut - dut emprunter une mangeoire. Il dut venir par un sein emprunté et repartir par une tombe empruntée. «Les lièvres ont des tanières, et les oiseaux du ciel ont des nids, mais le Fils de l'homme n'a pas un endroit où reposer Sa tête.» Pourtant, c'est le Roi de gloire, le Dieu du ciel a été fait chair et a habité parmi nous, voilà ce qui Le rendait grand. Voilà ce qui faisait de Lui ce qu'Il était, Son humilité.

26 L'humilité, il faut toujours descendre pour monter. «Celui qui s'abaisse, Dieu l'élèvera. Quiconque s'élève sera abaissé.» Pour le croyant, le chemin pour monter consiste à descendre, à s'humilier devant Dieu.
Jésus a rencontré des hommes de tous les milieux. Il les rencontrait dans de grands cercles. Une fois, Il était avec des milliers, cinq cents à la fois, douze à la fois, trois à la fois, et Il pouvait même se rendre chez une seule personne. Cela Le rend grand parce que même si une seule personne fait appel à Lui, Il viendra juste là vers lui. Ce qui fait de Lui Dieu, c'est Son humilité.

27 Et vous savez, chaque fois qu'une occasion se présente. Ce que nous avons lu, c'était une grande occasion. Plus tard, Pierre a appelé cela dans une de ces épîtres la sainte montagne. Je ne crois pas que saint Pierre voulait dire que c'est la montagne qui était sainte. Ce n'est pas une montagne sainte. C'est le Dieu saint sur la montagne. Ce n'est pas une église sainte ou des gens saints; c'est le Saint-Esprit dans l'église, et dans les gens. Ce n'est pas l'église qui est sainte ni les gens qui sont saints, c'est le Saint-Esprit dans l'église et c'est cela qui la rend sainte. J'en suis heureux. Dieu est le Saint-Esprit, et Il est Celui qui est saint. Et Il - Sa Présence apporte Sa sainte Présence parmi nous, Elle change notre nature, et nous donne le désir de vivre comme Lui.

28 Dieu, avant de faire quoi que se soit, Il le déclare toujours premièrement dans le ciel, et ensuite sur la terre. Personne ne passe en jugement sans avoir été tout à fait averti. Oh! j'aimerais m'arrêter ici une demi-heure ou trois quarts d'heure (mais je ne le peux pas), et après, tenir la ligne de prière, et vous permettre de vous réveiller à temps le matin afin d'aller à l'église. Mais remarquez, il y a réellement quelque chose qui va suivre ce réveil. Dieu envoie toujours la miséricorde avant le jugement. C'est ce qu'Il fait toujours. Il le fera toujours. Et ce grand réveil que l'église a eu, un réveil des miracles, de la guérison divine, et des dons de l'Esprit, rappelez-vous, quelque chose suivra cela. Dieu envoie toujours la miséricorde avant le jugement.
Il déclare cela en haut dans les cieux, comme lorsque les mages virent l'étoile, et vinrent adorer le Seigneur Jésus. Et puis, Dieu rend toujours témoignage de ce qu'Il fait.

29 Bon, nous découvrons que Jésus en cette grande occasion, a choisi trois hommes. J'aime toujours penser à Pierre, à Jacques et à Jean. Quand Il a ressuscité la fille de Jaïrus, Il a pris Pierre, Jacques et Jean, et c'est l'espérance, la foi et la charité. Ces trois constituent un témoignage. Trois [personnes] constituent un témoignage dans l'Ancien Testament. Ainsi donc, cette fois, c'était une occasion si importante, et le message devait être si important que Dieu prit trois témoins. C'est ce dont nous sommes reconnaissants ce soir, ce dont je suis si reconnaissant envers Dieu, c'est le fait que pour ce message de la Pentecôte que nous prêchons, Dieu envoie un témoin. La Bible dit dans Hébreux 11 : «Dieu rend témoignage à Son don.»
Si quelqu'un dit quelque chose. Un homme peut dire quelque chose, mais si Dieu ne fait pas écho à cela par Sa Parole, et par Sa Présence, alors, il n'a pas de témoin. Donc, ce qu'il dit, si cela - s'il dit cela, si la Bible dit cela, et que l'Esprit confirme cela, ça fait trois témoins, alors c'est la vérité. C'est confirmé. Dieu dit que c'est ça.

30 Oh! alors, nous trouvons Dieu, cette occasion était si importante que Jésus prit la foi, l'espérance et la charité : Pierre, Jacques et Jean, et ils montèrent sur la montagne. Bon, ceci était une occasion si spéciale qu'Il prit aussi là trois témoins célestes : Elie, Moïse et Jésus. Trois sur la terre; trois au ciel. Il devait se passer quelque chose qu'Il voulait enregistrer et dont on devait se souvenir.
Maintenant, nous voyons qu'après qu'ils eurent levé les yeux et qu'ils eurent vu que - une ombre L'avait couvert. Ce que Dieu était en train de faire était réellement dans l'Ancien Testament (comme les frères ministres le savent), c'était le placement d'un fils.

31 Bon, je voudrais. Je crois que quatre-vingt-dix pour cent de cette assistance est pentecôtiste, je vais donc espérer que je ne blesse personne, mais je - j'aimerais simplement livrer ici une - une pensée qui se trouve dans mon cour.
Eh bien, là où nous avons commis l'erreur dans notre domaine pentecôtiste, c'est que quand nous étions - sommes devenus des fils de - des filles de Dieu remplis du Saint-Esprit, nous nous sommes établis. C'est là que nous avons commis une erreur fatale. Eh bien, c'est à ce moment-là que vous devez vous mettre à l'oeuvre. Si chaque personne qui a le baptême du Saint-Esprit était en feu comme Etienne et les autres en ce jour-là, un réveil balaierait le pays.
Ainsi, on dit : «Eh bien, je suis sauvé, sanctifié et rempli du Saint-Esprit, et c'est fini maintenant.» Si Dieu a fait cela pour vous, Il vous a élu et vous a choisi pour Son service, pour vous mettre au travail. Allez dans les rues, oui, témoignez, rendez témoignage de Lui. C'est exactement ça que nous sommes censés faire.

32 Je disais, il n'y a pas longtemps, là aux petites Antilles, que Dieu a fait de grandes choses. Je secouais doucement les hommes d'affaires chrétiens, et un - je ne l'ai pas fait publiquement. Je les ai eus en aparté. Et je leur ai dit : «Plusieurs parmi vous rendent témoignage, disant : 'Dieu m'a donné trois cadillacs; j'avais une petite affaire sur - ici à côté, et Il m'a donné trois cadillacs et un grand ceci et tout cela, beaucoup de choses pour vos affaires. Témoignez à propos de Dieu, sur ce que Christ a fait pour vous. Donnez une occasion, non pas ce que. Nous devenons trop grands. Nous - nous - nous devenons financièrement trop grands. Ce que nous devons faire, c'est de donner quelque chose pour lequel nous pouvons louer Dieu.» J'ai dit : «Combien les pentecôtistes d'aujourd'hui sont différents de ceux du temps de la Bible! Ils ont vendu tout ce qu'ils avaient et ont distribué cela aux - ils ont remis cela aux apôtres et ceux-ci ont distribué cela entre eux.»
Et un certain petit compagnon, un bon frère, un homme merveilleux a dit : «Frère Branham, c'est là qu'ils ont commis la plus grande erreur qu'ils aient jamais commise.»
Et j'ai dit : «Comment, Monsieur?»
Il a dit. Nous étions assis dehors près d'une piscine, au clair de la lune. Nous étions à Kingston, en Jamaïque. Et il a dit : «Voici où ils ont commis l'erreur. Ensuite, quand les problèmes ont commencé, ils n'avaient pas de maisons où aller. Ils avaient commis une erreur en vendant leurs maisons.»
J'ai dit : «Le Saint-Esprit ne commet jamais d'erreur.» J'ai dit : «Ils n'avaient pas de maisons où aller, ainsi ils sont partis partout à travers le pays, annonçant ce que Dieu avait fait. Oui, prêchant, servant de témoins, témoignant. Ils n'avaient pas de maison où aller : ils étaient réellement des pèlerins et des étrangers, la semence d'Abraham. Dieu ne commet jamais d'erreur, jamais.» Nous essayons de.
Je pense à ma belle-fille qui se trouve là, et j'étais en train de chanter l'autre jour en rentrant à la maison «Ne convoite pas les richesses vaines de ce monde, richesses qui pourrissent rapidement; fonde tes espoirs sur les choses éternelles; elles ne passeront jamais. Tiens l'immuable main de Dieu.» Oh! je suis si heureux de tenir cette main.

33 Maintenant, nous avons lu là dans l'Ancien Testament, et Paul a expliqué cela dans différentes épîtres, et ainsi de suite, qu'un enfant qui naissait dans une - une famille, aussitôt qu'il naissait, il était un fils. Maintenant, dans la traduction du roi Jacques, saint Jean 14 semble être une mauvaise traduction. Il est dit : «Dans la maison de Mon Père, il y a plusieurs palais.» Eh bien, en réalité il est dit : «Dans le Royaume de Mon Père, il y a plusieurs palais.» Eh bien, maintenant, si vous examinez cela, comment des palais peuvent-ils se trouver dans une maison? «Dans la petite maison de Mon Père, il y a beaucoup de palais.» Vous voyez, les acceptions anglaises changent. Bon, à l'époque où on traduisait pour le roi, une maison signifiait un royaume, et le roi était le père de cette maison. Tous ses sujets étaient dans sa maison. C'est donc ce qu'était le roi Jacques dans l'ordre des Ecritures.

34 En effet, quand un homme possédait un immense, grand et bel endroit, une grande ferme, il avait plusieurs locataires partout dans cet endroit. Et il était un homme occupé; il devait se rendre d'un endroit à un autre. Et alors quand un fils naissait dans sa maison, ils n'avaient pas ce que nous avons aujourd'hui, des écoles publiques, et ainsi de suite, comme ce bel édifice d'Eisenhower qui nous abrite ce soir. Ils n'avaient pas cela en ces jours-là. Ils devaient engager des tuteurs pour élever leurs enfants.
Bon, quand un fils était né, il était un fils aussitôt qu'il naissait. Il était un fils né dans cette maison. Mais cependant, il n'avait pas d'héritage jusqu'à ce qu'il prouvait qu'il était un fils. Et ensuite, quand il prouvait qu'il était un fils, alors il était adopté dans la famille. Et la loi de l'adoption faisait de lui un titulaire égal à son père.

35 Maintenant, c'est là que l'Eglise pentecôtiste a failli, c'est que quand ils sont devenus des fils, ils se sont établis, disant : «Voilà; nous avons notre église; nous avons notre dénomination, et nous allons simplement continuer à ajouter plus de membres.» Non, ce n'est pas cela. Ce n'est pas ce que. «Nous bâtirons un meilleur édifice.» C'est bien. Ajoutez plus de membres à l'église, c'est bien. Mais Dieu a fait de vous un fils pour vous donner un test, pour voir comment vous allez réagir vis-à-vis de cela.
Bon, ce père essayait de chercher à trouver le meilleur tuteur possible pour son enfant. Bon, c'était son fils, et il ne voulait pas que quelque renégat essaye d'élever son fils. Il cherchait un homme qui serait honnête. Il voulait un homme qui ne chercherait pas à dire avec fierté au père : «Oh! votre fils se comporte bien,» alors que ce n'est pas le cas. Il cherchait un homme qui serait honnête, qui lui ferait un bon rapport et qui aurait un oïl sur la manière dont cet enfant grandit. Il cherchait alors minutieusement pour trouver le meilleur tuteur possible. Et cela était un type de ce que Dieu était en train de faire.

36 Dieu n'a jamais demandé à un homme de faire quelque chose que Lui-même ne ferait pas. C'est la raison pour laquelle Dieu a été fait chair et est mort pour les pécheurs, car Il a mis le péché sur le pécheur.
Maintenant, remarquez, puis quand cela était fait, le tuteur se mettait à enseigner à l'enfant, il l'élevait, puis faisait un rapport aux parents sur la manière dont le bébé se conduisait ou plutôt sur la manière dont le - l'enfant se conduisait. Alors, quand cet enfant grandissait, il était toujours un enfant de la maison, un. Qu'en serait-il si cet enfant, à un certain âge, commençait à se conduire mal? Eh bien, ce tuteur devait être un homme honnête pour faire un bon rapport aux parents.

37 Bon, quand Dieu a envoyé Ses fils, Ses fils et Ses filles, Il avait un Tuteur ou un Educateur pour ces fils et ces filles. Et ce n'était pas un évêque ni un cardinal. Il ne pouvait pas leur faire confiance. Il a donc pris le meilleur Tuteur qu'il y avait au ciel pour élever Son église. Le Saint-Esprit, c'est Lui le Tuteur de l'église. Et nous avons tourné. Il est honnête. Il dira au Père exactement ce que nous faisons. Il ne cachera pas une seule chose. Il sera honnête devant le Père sur la manière dont Ses enfants évoluent. Eh bien, c'est la raison pour laquelle Il a choisi Celui-là. Il ne pouvait pas trouver mieux que le Saint-Esprit.
Nous avons adopté toutes les autres choses excepté le Saint-Esprit. Nous ne voulons pas que le Saint-Esprit nous enseigne. Nous voulons laisser l'évêque nous dire quoi faire, ou les - les cardinaux, ou - ou quelqu'un d'autre nous dire quoi faire. Ce qu'ils disent ne change rien si c'est contraire à la Parole de Dieu et à la conduite du Saint-Esprit; écoutez le Saint-Esprit, car c'est Lui votre Tuteur. Amen.
Si on dit : «Les jours des miracles sont passés.» Que cela soit un mensonge parce que Dieu a dit : «Il est le même hier, aujourd'hui et pour toujours.»
Si on dit : «Le Saint-Esprit était seulement pour les disciples.» Pierre a dit le jour de la Pentecôte : «C'est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Vous n'avez pas à falsifier cela.

38 Il y a quelque temps, je prêchais sur ce texte d'Esaïe 1.8 : «Y a-t-il du baume en Galaad? N'y a-t-il pas de médecins là?» Et c'est comme un homme qui meurt sur les marches d'un médecin, ayant refusé de prendre ses médicaments. Ce n'est pas la faute du médecin; ce n'est pas la faute du médicament; c'est l'homme, car il ne veut pas prendre le médicament. C'est pareil à l'église aujourd'hui. Nous avons du baume; nous avons des médecins; nous avons le médicament, mais les pécheurs meurent sur leurs sièges dans leurs églises et vont dans les tourments parce qu'ils refusent de prendre le médicament. Ce n'est pas la faute du médecin. Ce n'est pas la faute du médicament. C'est la faute de l'homme qui ne veut pas venir. C'est vrai. Nous avons du baume en Galaad.

39 Le jour de la Pentecôte, quand le baume fut déversé, nous avions un médecin là. Il s'appelait docteur Simon Pierre. Et il a écrit une ordonnance, et il a dit. Les gens ont dit : «Que pouvons-nous faire pour être inoculés contre cette question du péché?» Il y eut un temps où il n'y avait pas d'inoculation, mais nous l'avons maintenant. «Que devons-nous donc faire pour en être guéri?»
«Que leur avez-vous dit, docteur Simon Pierre?»
Il leur a répondu : «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour la rémission de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit, car la promesse, l'ordonnance. » Alléluia! Cette ordonnance. Ce que l'ordonnance prescrit c'est le Saint-Esprit. «Cette ordonnance est valable pour cette génération-ci, et pour cette génération-là, et pour chaque personne que le Seigneur, notre Dieu appellera.» C'est un remède contre le péché, un double remède contre le péché et la maladie.

40 Bon, si vous prenez une ordonnance. Un médecin qui écrit une ordonnance a étudié ce médicament, et il doit y mettre du poison pour tuer les germes. Et il doit y mettre un antidote qui s'interpose de manière à ce que cela ne vous tue pas. Et si certains de ces petits pharmaciens charlatans ou des prétendus médecins essayent de falsifier cette ordonnance, cela tuera le patient. Et c'est ça le problème aujourd'hui : on tue, on meurt spirituellement, car on substitue au baptême du Saint-Esprit une poignée de main, et on tue le patient.
Laissez l'ordonnance que Pierre a donnée être pour chaque génération après celle-ci. Ne jouez pas avec cette ordonnance; prenez la chose telle qu'elle est écrite. «Le Saint-Esprit, dit-il, est pour chaque génération après celle-ci. La repentance, le baptême d'eau, puis vous recevrez le Saint-Esprit.»
Nous n'avons pas le droit de dire : «Oh! le baptême d'eau est en ordre, bien sûr; venez et nous allons vous baptiser en vous donnant la main d'association et la chose sera réglée.» Non, monsieur.

41 Eh bien, je vous l'apprends, vous savez comment on découvre les médicaments; on prend un cobaye, on lui inocule la chose et on teste cela sur lui. Si ça marche, on va vous donner cela. Quelquefois, cela vous tue aussi parce que tous les corps humains ne sont pas comme celui des cobayes. Mais quand Dieu a voulu essayer cette inoculation, Il ne l'essaya pas sur un cobaye, Il mit cela sur Son Fils, et cela a tenu bon. Amen.
Quand on a craché sur Son visage, Il n'en a rien dit. Quand on Lui a demandé de faire un mile [environ 1,6 km - N.D.T.], Il en a fait deux [3,2 km]. Et à la mort, cela a tenu bon; et à la résurrection cela a tenu bon. Et tous ces gens ne peuvent supporter cette inoculation. Et la voici. Et ce sont les mêmes effets que ce médicament a produits sur ces gens.

42 Bon, un médicament amènera telle personne à agir d'une certaine façon, et telle autre d'une autre façon, mais quand le médicament du Saint-Esprit vient, il amène tout le monde à agir de la même façon.
J'ai été en Thaïlande, et à un de ces grands lieux, en Afrique du Sud et ailleurs, là où les gens étaient - ne savaient même pas distinguer leur main droite de leur main gauche. Laissez-les recevoir le Saint-Esprit, vous savez ce qu'ils font? Ils font la même chose que vous. Cela a donc les mêmes effets sur chaque personne. Quelque chose comme un vent impétueux descend du ciel et remplit leur cour et ils agissent de la même façon et font la même chose que vous faites. Pourtant, ils ne sont pas capables de prononcer un mot anglais, et ne savent pas distinguer leur main droite de leur main gauche, mais quand le Saint-Esprit les frappe, ils acceptent cette ordonnance, ensuite, ils reçoivent la même chose que vous, agissent de la même façon. Dieu veut sauver les gens.

43 Bon, ici, il était en train de placer un fils. Si ce fils ne se conduisait pas correctement, ce que quelque chose ne marchait pas. Le tuteur devait donc aller chez le père; et imaginez l'embarras du tuteur en allant chez le père pour dire : «Monsieur, je. »
«Oh! comment va mon fils?»
Oh! comme il doit se sentir honteux! «Euh! il - il ne se comporte pas très bien. Il - il - il ne veut pas écouter.»
Je me demande ce que rapporte le Saint-Esprit, quand Il vient devant le Père, à propos du caractère de certaines personnes parmi Son peuple ici sur terre! Quand Il monte là-bas et qu'Il dit - qu'Il doit dire : «Père, Tes filles portent des habits destinés aux hommes. Elles se coupent les cheveux.»
- Bien, ai-Je des médecins?
- Bien sûr!
- Quelqu'un leur a-t-il parlé là-dessus?
«Oui. Elles restent à la maison le mercredi soir pour regarder 'Nous aimons Susie', ou que sais-je encore. Elles ne veulent pas aller à l'église; elles vont faire la pêche le dimanche matin au lieu d'aller à l'école du dimanche.» Oh! la la! comment. Eh bien, comment pourrait-Il faire quelque chose avec ce fils? C'est un renégat. Il ne vaut rien.

44 «Oui, absolument, ils. l'église pratique du roc and roll, cette nouvelle danse de l'enfer qu'ils ont là-bas. Certains d'entre eux, avec cette coiffure à la Teddy boy [Adolescent rebelle des années 50 qui imitait les idoles du roc and roll.], sont assis là, se comportant comme ils le font. Et oh! beaucoup parmi Ton peuple font juste la même chose, et - et beaucoup de ces soi-disant médecins permettent cela.»
«Que font-ils de Mon ordonnance?»
«Oh! ils ne la suivent pas; ils disent que c'était pour un autre jour.» Que croyez-vous qu'Il doit penser? Ce qu'Il doit penser de beaucoup de pasteurs qui fument des cigarettes, prennent des liqueurs, jouent aux cartes. Pensez-y. Ils font cela. J'ai voyagé à travers la nation et à travers le monde; je sais que c'est la vérité. Assurément. Oh! c'est une chose horrible, combien le Saint-Esprit doit rougir dans la Présence de Dieu en disant comment l'église se comporte. Oh! ça doit être une chose horrible.

45 Maintenant, dans l'Ancien Testament, cet enfant-là ne recevait jamais d'héritage. Eh bien, le père ne pouvait rien lui confier. Quel genre de type serait-il? Et Il n'avait pas confiance en lui. Il restait toujours un fils, mais il ne recevait jamais d'héritage. Et si vous ne faites pas attention, Eglise pentecôtiste, ce sera là notre sort - pas d'héritage.
Mais remarquez, la Bible dit qu'aujourd'hui le monde soupire, attendant la manifestation des fils de Dieu, que les fils de Dieu soient manifestés. Le monde attend cela, que le temps vienne où les fils de Dieu qui sont les maîtres de la terre.

46 Dieu a placé les gens sur la terre, l'homme pour contrôler la terre. La Bible dit que l'homme est un dieu. Le saviez-vous? Il l'est certainement. Jésus a dit : «N'est-il pas écrit dans votre loi que vous êtes des dieux?» Et si les prophètes chez qui la Parole de Dieu est venue sont des dieux, comment pouvez-vous me condamner quand Je dis : 'Je suis le Fils de Dieu?'» Vous voyez? Ils sont - Ils sont - Ils sont des dieux, des dieux déchus. Ils ont un domaine, le monde. Ils sont censés prendre soin de cela. Les arbres et la vie animale, tout attend la manifestation des fils de Dieu, le moment où ils seront manifestés sur la terre. Oh! viens, Seigneur Jésus, c'est ma prière. Oh! pour ce grand millénium où ils seront manifestés. Nous nous préparons maintenant pour ce temps qui vient. L'Eglise doit se préparer.

47 Remarquez, pendant que nous avançons un peu plus loin. Bon, si ce fils était un peu un renégat, et qu'il n'obéissait pas au père, eh bien, le - le - le tuteur rougissait; eh bien, le père ne pouvait jamais lui donner quelque chose.
Mais qu'arrivait-il s'il était un bon garçon? Et lorsque le père disait : «Comment évolue mon fils?»
«Oh, disait le tuteur, père, vous savez quoi? Votre fils est exactement comme vous. Il s'occupe de vos affaires. Il le fait exactement comme vous le feriez. Eh bien, tout le royaume ici peut voir votre reflet à travers ce garçon.» Oh! la la! C'est ce que nous voulons. C'est ça, le reflet de Jésus-Christ.

48 Dans l'ancien monde, on prenait l'or, et le batteur le battait, il le battait pour en éliminer les scories. Il savait qu'il les avait complètement éliminées quand l'or reflétait son image. Il éliminait toutes les saletés, et toutes les scories. Et c'est ce que Dieu fait avec Son église. Il bat celle-ci avec la puissance de l'Evangile, leur parlant, leur parlant de tout; les retournant de ce côté-ci, et de ce côté-là, les battant pour ôter d'eux tout ce qui est du monde, tous les doutes, jusqu'à ce que le reflet de Jésus-Christ revienne dans l'église, au point que l'église verra Jésus-Christ, le même hier, aujourd'hui et pour toujours; jusqu'à ce que nous voyions ce reflet, l'église ouvrant dans la puissance de Dieu, juste comme quand Jésus était ici sur terre. Il se reflète dans l'église.

49 Alors, le Saint-Esprit monte et dit : «Oh! cette église. » [Espace non enregistré sur la bande -Ed] Eh bien, les signes, les merveilles et les reflets de Ta Vie sont parfaits. Ils accomplissent tout ce que Tu as accompli, juste comme Tu l'as dit.
- Et se sont-ils adonnés à la chose?
- Oh! la la! ce sont - ce sont des gens qui ont vraiment du caractère.
C'est ce que la Bible veut que nous fassions. C'est ce que Dieu veut que nous fassions. C'est ce que le Saint-Esprit veut que nous fassions.

50 C'est comme je le disais aux frères l'autre matin au déjeuner. Là au Sud où on pratiquait l'esclavage, il y avait de vieux acheteurs qui venaient acheter des esclaves juste comme vous achetez des voitures dans un - dans un lot. Ils ont un acte de vente pour cela. On vend des vies humaines comme cela, comme des esclaves.
Dieu a fait l'homme; l'homme a fait des esclaves. Dieu ne voulait pas qu'un homme soit l'esclave d'un autre, peu importe sa race, sa couleur, ou son credo. Il n'est pas un esclave. Vous naissez un serviteur de Dieu libre de naissance. On ne veut pas que quelqu'un soit un esclave, que quelqu'un domine sur nous si ce n'est Lui-même.

51 Ils passaient donc là prendre quelque - peut-être un homme qui était très fort, et qui avait une toute petite femme frêle, on l'arrachait - arrachait d'elle, on le croisait avec une femme vraiment corpulente pour donner de meilleurs esclaves. Eh bien, c'était impie, c'est comme les animaux. Ces gens sont des hommes, c'est leur couleur qui est différente. Jésus-Christ est mort pour sauver ces gens, ils sont tout aussi humains que tous les autres humains.
Et ils passaient là, et un jour, un courtier est arrivé dans une vieille plantation et a dit : «J'aimerais voir combien d'esclaves vous avez.»
On lui a répondu : «J'en ai environ cent.»
Et il est allé là, et les esclaves, loin de chez eux, étaient tristes. Ils savaient qu'ils n'allaient jamais revoir papa et maman. Ils n'allaient plus jamais revoir leurs enfants. On - on prenait des fouets et on les fouettait pour les faire travailler. Et on a remarqué un jeune homme qui était là; on n'avait pas besoin de le fouetter; il avait la poitrine bombée, le menton relevé, et il marchait fièrement. Et alors, ce courtier dit : «J'aimerais acheter cet esclave.»
«Oh! répondit l'autre, il n'est pas à vendre.»
Le courtier dit : «Dites donc, dit-il, est - est-il le chef des autres?»
L'autre répondit : «Non, c'est un esclave.»
Le courtier dit : «Peut-être que vous le nourrissez différemment des autres.»
L'autre répondit : «Ils mangent tous ensemble, là à la cuisine.»
Le courtier dit : «Qu'est-ce qui le rend si différent des autres? Eh bien, il est si adonné à son travail. On n'a pas à le fouetter; il est tout le temps à son poste de travail.» Il lui demanda : «Pourquoi donc?»
L'autre répondit : «Je me le demandais aussi jusqu'à ce que j'en ai découvert la raison.» Il dit : «Là dans sa patrie, son père est le roi de la tribu, et bien qu'il soit un étranger loin de chez lui, il sait toujours qu'il est fils du roi, et il se comporte comme tel.» Alléluia!

52 C'est ce que l'Eglise pentecôtiste devrait faire, pourtant, on se moque de nous et on nous traite de tous les noms possibles. Nous devrions nous conduire comme des fils et des filles de Dieu, car Dieu est notre Roi. Les femmes devraient s'habiller et agir comme des dames. Les hommes devraient être des hommes; on devrait être des fils et des filles de Dieu, notre caractère, notre témoignage devraient être bien hauts dans la ville.
La Bible dit : «Vous êtes le sel de la terre.» Le sel est un préservateur si ça entre en contact. Mettez le sel ici et la viande là-bas, il ne va jamais préserver cette viande. Vous devez mettre le sel et la viande ensemble, et le sel crée la soif. Je vais vous dire ce dont nous avons besoin ce soir, c'est d'être si salés que nous amènerons les hommes et les femmes à avoir soif d'être comme nous. Continuez, dites : «Il - s'il y a jamais eu une chrétienne, je ne fréquente pas son église, mais elle est réellement une chrétienne. Voilà un homme, je ne fréquente pas son église; je fréquente une autre église, mais si jamais il y a un chrétien, en voilà un.» Voilà ce que nous voulons. Voilà le genre de caractère dont Dieu veut que le Saint-Esprit Lui fasse rapport. Oh! si ce garçon était un bon garçon, la vie de Dieu se reflétait en lui, la vie de son père se reflétait en lui.

53 Bon, nous sommes des fils de Dieu, Dieu devrait donc refléter Sa Vie en nous. Jésus a dit : «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres de Mon Père, croyez les oeuvres.» Vous y êtes, nous devrions refléter la Vie de Dieu dans notre vie. Dieu devrait Se refléter. Nous devrions avoir notre - faire sortir par le battage, tous les doutes et toute autre chose jusqu'au point où Dieu voudrait dire : «Maintenant, voyez là l'un de Mes enfants, il a telle et telle chose. L'un de Mes enfants, il ne va pas se tortiller et continuer à sautiller d'un endroit à un autre; il croit Ma Parole. Il se tient juste là, tout au sommet. Oui, monsieur. Rien ne peut l'amener à changer parce qu'il reflète Ma Vie.»

54 Bon, écoutez maintenant, les frères sont assis là, si ce garçon était un bon garçon, il arrivait un certain jour (Oh! la la!), un certain jour, où on faisait une cérémonie pour ce garçon. Et on amenait ce garçon à une place publique, et on le vêtait d'une robe royale spéciale. Et on faisait, c'est le père qui le faisait, il faisait la cérémonie de l'adoption. Et il adoptait son propre fils qui était né.
Maintenant, quand vous recevez le Saint-Esprit, ça c'est une chose; vous êtes né, mais maintenant, il faut la cérémonie de l'adoption. Et il adoptait ce fils dans sa famille, et on faisait une cérémonie. Bon, si on remplissait des chèques, tout ce que ce garçon faisait, était aussi bon - son nom sur le chèque était tout aussi valable que celui de son père, après cette adoption. Il devenait un héritier après l'adoption.

55 Bien, c'est là que l'église a besoin d'être ce soir. Il lui faut être à un niveau où Dieu peut vous appeler quelque part à l'écart pour mettre Sa gloire sur vous, répandre Sa puissance sur vous, vous adopter et vous placer (gloire!) dans le Corps où, quand vous parlez, quelque chose se passe. C'est ce dont l'église a besoin ce soir. Mais si nous - notre caractère se dégrade au lieu de devenir meilleur, comment va-t-Il le faire? Nous devons continuer à croire chaque ouvre de Dieu, et chercher la justice, et faire ce qui est juste devant Dieu, L'invoquant quotidiennement, et nous occupant quotidiennement de Son oeuvre, amenant les autres à venir à l'église, essayant d'amener quelqu'un à venir servir le Seigneur. Tous ces gens pour lesquels vous travaillez, le laitier, le - le facteur, et - et le - le livreur de glace, et qui que ce soit, tous ceux avec qui vous entrez en contact, parlez-leur du Seigneur. Parlez-en avec douceur, avec des paroles assaisonnées qui - ne les rabrouez pas; parlez seulement avec douceur afin qu'on puisse dire : « Dites donc, cette femme est une véritable dame. Elle m'a parlé du Seigneur. Cet homme, je n'ai jamais vu un tel homme. C'est l'homme le plus gentil que j'aie jamais rencontré. Vous savez, j'aimerais avoir sa religion.»
C'est ce qu'on pense de sa religion. Mais la religion est une couverture. C'est vrai. Et notre couverture n'est pas : «Nous sommes méthodistes, baptistes, presbytériens, pentecôtistes.» Notre couverture c'est le Sang de Jésus-Christ. C'est ça notre couverture, notre religion.

56 Bon, remarquez ceci, après l'adoption, le nom de ce garçon valait aussi bien que celui de son père. Il était alors héritier de toutes choses. Tout ce que son père possédait lui appartenait aussi.
Or, Jésus a dit : «Celui qui croit en Moi, les oeuvres que Je fais, il les fera aussi. Il sera capable de faire les mêmes choses que Je fais.» Bon, Dieu prouvait ici ce qu'Il ferait par Son propre Fils. Il a mis toute Son affection en Lui.

57 Maintenant, écoutez, ils se tenaient tous là debout et il y a eu une chose glorieuse, et Dieu a appelé trois témoins célestes, et trois témoins terrestres pour être témoins de ce que. Comme c'était le cas dans l'Ancien Testament, ils avaient des témoins là qui devaient voir que l'adoption était faite. Maintenant, qu'est-ce que Dieu a fait à Son Fils? Ils sont allés là sur cette montagne et tout à coup, une épaisse nuée blanche est descendue et a couvert Jésus de son ombre, et Ses vêtements brillèrent comme le soleil, Ses habits. Qu'était-ce? Cette robe spéciale de l'adoption. Amen. La robe spéciale de l'adoption. Et Il L'a couvert de Son ombre et a dit : «J'adopte Mon Fils; Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le. C'est Lui.»
Oh! vous savez, quand le surnaturel s'accomplit, cela - cela excite les hommes. C'est ce qui est arrivé dans notre réveil, lors du réveil pentecôtiste. Nous - ça se passe toujours ainsi.

58 Quand Moïse est sorti de l'Egypte, le surnaturel s'était produit, les incirconcis l'avaient accompagné et ils avaient pollué le camp après quelque temps. Et nous avons beaucoup de gens aujourd'hui qui prétendent avoir le Saint-Esprit. Les gens disent simplement : «Bien, les autres crient, je vais aussi crier.» Ça, c'est la chair. Et vous pouvez avoir n'importe laquelle de ces imitations, mais ce n'est pas encore le Saint-Esprit. Le Saint-Esprit c'est quelque chose qui se passe ici à l'intérieur. C'est cela. Cela porte des fruits. Comme je l'ai dit hier soir : «Une brebis produit la laine parce qu'elle est une brebis. Et quand vous naissez de nouveau, vous portez les fruits de l'Esprit parce que Dieu est en vous.» Vous voyez?
Maintenant, quelque chose s'est passé. Moïse avait une multitude de gens de toute espèce; c'est toujours une multitude de gens de toute espèce. Nous avons eu une multitude de gens de toute espèce; elle est sortie pour imiter les dons, et - et pour - cela a effrayé les gens.

59 Maintenant, en parlant aux frères l'autre matin au déjeuner, je ne peux pas blâmer les bergers d'avoir peur. Tout de par le monde est relâché. C'est tout à fait juste. Oh! toutes sortes de sensations qui ne sont pas scripturaires, et tout le reste, beaucoup d'absurdités qui ne sont même pas scripturaires. Je ne blâme pas les pasteurs; ce sont des bergers. Dieu les fera répondre pour cela. Mais que signifie un faux dollar? Un faux dollar signifie qu'il y a un vrai dollar à partir duquel on a fait le faux. Il en existe un vrai quelque part. Pourquoi voulez-vous accepter un faux alors que tous les - les cieux sont pleins de la véritable [puissance] de la Pentecôte! C'est ce que je veux savoir. Pourquoi voulez-vous accepter un substitut alors que les cieux sont remplis de la puissance de la Pentecôte? Certainement, cela purifie réellement le coeur.

60 Eh bien, vous savez que Pierre était excité devant le surnaturel. Il a vu Jésus glorifié là, Dieu L'adoptant. Bon, quand le père adoptait le fils dans l'Ancien Testament, ce fils devenait un responsable. C'est vrai. Il était - prenait le pouvoir. Maintenant, Dieu a dit : «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui J'ai mis toute mon affection, dès maintenant écoutez-Le. Ecoutez-Le.»
Pierre était excité. Il a agi comme un humain agit en présence du surnaturel. Il a dit : «Construisons trois tentes ici. Faisons-en trois dénominations. Et tous ceux qui veulent adorer sous la loi, et tous ceux qui veulent adorer sous les prophètes, et tous ceux qui veulent adorer Jésus, nous aurons trois différentes dénominations.» C'est comme ça que ça se passe. Il y a ceux de la pluie de la première saison, et ceux de la pluie de l'arrière-saison, ceux de la pluie intérieure, ceux de la pluie extérieure et toutes sortes de choses s'en suivent. C'est vrai. C'est vrai. Faisons des dénominations.
Mais il n'avait pas fini de parler, cela n'était pas encore sorti de sa bouche que Dieu a dit : «Celui-ci est Mon Fils.»

61 Moïse était là, il représentait la loi. Eh bien, la loi - la loi c'est le policier. La loi vous met en prison; elle n'a pas le pouvoir de vous en faire sortir. La loi ne fait que vous condamner. La loi nous a amenés à la condamnation. La loi vous juge. Je suis heureux que Moïse et sa loi soient passés. Elle n'avait pas de grâce en elle. Elle n'avait pas de délivrance en elle. C'était la loi, la pénalité, la loi disait que vous êtes coupable. Elle vous mettait en prison, c'est tout. Vous vous retrouvez en prison. Je suis heureux que cela soit passé.
Et puis, Moïse était là - ou plutôt Elie. Elie représentait les prophètes qui étaient la justice de Dieu. Elie est monté sur la montagne et s'est assis. Et le roi a envoyé un groupe d'hommes pour l'arrêter. Il s'est levé et a dit : «Dieu m'a dit de venir ici et de m'asseoir. Ne venez pas sur ce terrain.» Il a dit : «Si je suis un serviteur de Dieu, que le feu descende du ciel et vous brûle.» Le feu est descendu. C'est la justice. Ils ne voulaient pas écouter la Parole, en effet, c'est la justice. Frère, je suis heureux; je ne veux pas de Sa justice; je veux Sa miséricorde, pas Sa justice.

62 Nous sommes tous condamnés par Sa loi. Nous mourrions tous sous Sa justice. Je suis si heureux que Dieu ait dit : «Elles sont passées. Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le. Il a la miséricorde, l'amour, la grâce, la guérison, la gloire, la puissance et le Saint-Esprit pour nous. Ecoutez-Le, Celui-ci est mon Fils bien-aimé. Il était blessé pour vos transgressions, brisé pour votre iniquité, le châtiment qui vous donne la paix est tombé sur lui, et c'est par ses meurtrissures que vous avez été guéris. Ecoutez-Le. Venez à Moi vous tous qui êtes chargés et fatigués, et Je vous donnerai le repos. Celui qui croit en Moi, il fera aussi les oeuvres que Je fais. Il en fera même de plus grandes, car Je m'en vais au Père. Si vous demeurez en Moi, et que Ma Parole demeure en vous, demandez ce que vous voulez; cela vous sera donné.» Oh! la la! «Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous et même en vous jusqu'à la fin du monde, jusqu'à la consommation. (Alléluia!) Celui-ci est Mon Fils, écoutez-Le.»
Si vous voulez la guérison, écoutez-Le. Si vous voulez la miséricorde, écoutez-Le. Si vous voulez le Saint-Esprit, écoutez-Le. Ne serrez pas la main à l'évêque, touchez Son vêtement à Lui. Si vous voulez la guérison, écoutez-Le. Si le médecin dit que vous allez mourir, écoutez-Le. Ecoutez-Le. Ecoutez-Le. C'est de quoi exciter un homme.

63 Pierre avait vu quelque chose de réel, quelque chose d'authentique se produire. Et un homme qui a du caractère, une femme qui a du caractère, a un désir; le monde a faim d'entendre quelque chose de réel. Ils veulent se saisir de quelque chose de réel. Quand ils trouvent cela, ils sont bien disposés à le recevoir. Mais, ils cherchent quelque chose de réel, pas un trompe-l’oeil, pas un simulacre.
Vous savez tous que je suis un chasseur. Il y a des années, j'avais coutume d'aller chasser dans la forêt du Nord. J'avais là une cabane qui appartenait à quelqu'un d'autre, et nous chassions, lui et moi. Il s'appelait Burt Caul. C'est l'un des meilleurs chasseurs que j'aie jamais vus, mais aussi l'homme le plus méchant que j'aie jamais connu. C'était la personne la plus cruelle que j'aie jamais vue de ma vie. Et il avait l'habitude - nous chassions avec lui, et il - il était un bon tireur. Il était aussi demi-Indien, et vous ne pouviez pas l'égarer dans les bois. Vous n'aviez pas à aller le chercher quelque part; il était - il était toujours sur les lieux. Mais il était tellement cruel, et il avait les yeux comme ceux d'un lézard. Et il était - il aimait toujours me taquiner du fait que je suis un prédicateur. Et vous savez, il tirait sur de petits faons juste pour me faire de la peine.

64 Maintenant, vous les frè-. chasseurs, vous les frères qui chassez, je n'ai rien contre le fait de tirer sur les faons. Si la loi dit que vous pouvez le faire, c'est très bien. Mais ne tirez pas sur un grand nombre pour être méchant. Il n'y a pas de mal à tuer un faon. C'est très bien.
Abraham a tué un veau, et Dieu en a mangé. Ainsi c'est - ce n'est pas là que se trouve le mal, mais le problème, c'est juste quand on le fait pour être méchant. Il s'agit de votre attitude. C'est vrai. Et il faisait cela juste pour être méchant. Il voulait me faire de la peine.

65 Une certaine année, ma femme et moi sommes allés dans ce camp, et je suis allé un peu en retard, parce que j'avais dû travailler jusque tard, et il s'était fabriqué un drôle de petit sifflet qui donnait un son exactement comme le cri d'un petit bébé faon, pleurant après sa maman. Et il soufflait dans ce petit sifflet. J'ai dit : «Burt, n'utilise pas cela!»
Il a dit : «Oh! espèce de prédicateur peureux, reprends donc tes sens.»
J'ai dit : «Burt, tu ne vas sûrement pas faire cela, mon ami.» J'ai dit : «Tu es un de meilleurs compagnons que j'ai rencontrés, un bon chasseur, et j'aime être en ta compagnie, mais tu es trop cruel.» J'ai dit : «Ne tire pas comme cela sur ces petits.» Un jour, je l'ai vu tirer sur un qui mangeait des pommes; il a soufflé les pommes, il a projeté le faon contre sa mère de l'autre côté et l'a tué. J'ai dit : «Oh! comment peux-tu faire cela? Tu es un homme cruel.»
«Oh! a-t-il dit, tu n'es qu'un prédicateur peureux; vous êtes toujours ainsi tous les prédicateurs, vous êtes des peureux.» J'ai dit. Il a dit : «Je pensais que tu étais un chasseur!»
J'ai dit : «Je suis un chasseur, mais je ne suis pas un meurtrier.» J'ai dit : «Ça, c'est être meurtrier. C'est être aussi méchant que Hitler, ai-je dit, de faire une chose pareille.»

66 Oh! nous sommes partis chasser ce jour-là, et c'était vers la fin de la saison, et ces caricous étaient là, vous pensez que Houdini était un spécialiste de l'évasion, vous devriez voir l'un d'entre eux après quelques coups de feu. Et ils sont vraiment difficiles à trouver. Il y a environ, oh! je pense, environ cinquante centimètre de neige sur le sol, une atmosphère favorable pour traquer. Et nous sommes tous sortis, nous étions partis jusque midi, et nous emportions toujours un thermos plein de chocolat chaud (Ça stimule beaucoup.), et quelques sandwiches; et vers midi nous nous sommes assis pour manger ces sandwiches, quand nous sommes allés là sur le mont Cherry, et - et là au Presidential Range, et ainsi de suite. Puis nous sommes revenus par une brèche; il a pris un chemin et moi un autre, en revenant au camp, en rentrant ce soir-là.
Nous avons donc chassé toute la matinée; il se faisait un peu tard dans la journée. Et nous passions par une petite ouverture ayant à peu près la grandeur de cet auditorium. Bon, tout celui qui chasse des biches sait que vers onze heures du matin, les biches se couchent. Et spécialement quand elles ont été beaucoup chassées, elles se cachent, elles restent là et se laissent mourir de faim, ou alors elles broutent au clair de la lune. Et alors, elles. C'est difficile de les trouver. Si jamais elles sortent, c'est vraiment tard dans la soirée. Très tôt matin, elles rentrent dans les sous-bois, aux endroits où les arbres ont été coupés par le vent, et se cachent. Ces petites queues blanches savent vraiment le faire.

67 Nous nous sommes donc arrêtés là. Nous n'avions même pas vu des traces. Burt s'est un peu penché; je me trouvais à côté d'une congère. Et il s'est penché. Il a plongé sa main dans son petit sac. Je me suis dit : «Bien, il cherche son thermos maintenant; nous allons prendre un sandwich.» Et j'ai posé mon fusil par terre. Et quand il l'a ressortie, il m'a regardé avec ces yeux de lézard, et il avait ce pauvre petit sifflet.
J'ai dit : «Burt, tu ne vas pas siffler?»
Il a répondu : «Oh! prédicateur, reprends donc tes sens.»
Et il a soufflé dans ce petit sifflet, et cela a produit un son comme celui d'un petit faon qui crie après sa - après sa mère. Et quand il l'a fait, juste de l'autre côté de cette ouverture, une énorme mère daine s'est tenue là. Bon, une daine c'est une mère biche, elle s'est tenue là. Je. Elle était si proche que je pouvais voir ces grands yeux bruns et ces énormes oreilles comme cela, elle se tenait là. Elle avait entendu ce petit. Elle était une mère, et le petit était en difficulté. Il criait. Elle tapa un peu du pied, et le pauvre Burt a de nouveau levé les yeux vers moi, j'ai dit : «Oh! ne fais pas cela, Burt.» Et il souffla encore dedans. Et elle est sortie droit à découvert.

68 Maintenant, frère, ça, c'est inhabituel pour une biche. Et je pouvais voir les veines de son visage, cette très belle créature se tenait là. Et j'ai vu ce malheureux de Burt mettre cette cartouche, ce calibre 30-06 là, soulever cette carabine. Il est un tireur d'élite. Ces lunettes d'approche - braquées juste sur son coeur loyal.
Eh bien, elle ne s'amusait pas; il y avait quelque chose en elle; elle était une mère. Le petit était en difficulté. Quand la culasse mobile fut baissée, la biche entendit cette culasse mobile descendre. Quand il tira la culasse mobile sur cela, la balle entra dans le canon avec un déclic, à partir du magasin. Et quand cela fit un bruit comme cela, elle se retourna, regarda et vit le chasseur.

69 J'ai dû baisser ma tête. Elle regardait. Pensez-vous qu'elle s'est enfuie? Non, monsieur. Elle vit le chasseur; elle le regarda un moment puis se retourna, essayant de chercher où se trouvait le petit. Elle n'était pas une hypocrite. Elle était une mère. Il y avait quelque chose en elle, peu importe si elle devait vivre ou mourir. Son petit était en difficulté. Qu'elle meure ou qu'elle vive, elle devait retrouver ce petit.
J'ai dit : «Burt, tu ne vas pas faire ça!»
Je l'ai vu braquer l'arme en l'air; je savais que dans une seconde ou deux, il allait faire ressortir le coeur loyal de cette mère de l'autre côté; cette grosse balle champignon de 180 vert - projectiles allait faire ressortir son coeur de l'autre côté.
Je me suis dit : «Burt, comment peux-tu être si méchant, faire une chose pareille, faire sauter le coeur loyal de cette mère qui se tient là, ayant un cour vraiment loyal? Elle ne se faisait pas de souci, même en face de la mort. Son petit était en difficulté, que le chasseur fasse feu ou non, elle devait retrouver ce petit. Comment peux-tu être aussi cruel que ça!»

70 Il ne me regardait pas, il était couché - il visait là et je savais qu'il était un tireur. J'ai simplement tourné le dos; je ne pouvais voir cela se produire. Je commençais à prier en moi-même, je me suis dit : «Seigneur, ne le laisse pas faire cela. Ne le laisse pas tuer cette précieuse mère qui se tient là. Regarde ce qu'elle est en train de faire : elle avance là à la recherche de son petit. C'est hypocrite que de lui faire penser que son petit se trouve là, de l'attirer là, ce cour loyal qui cherche son petit, pour ensuite faire sauter son coeur. C'est cruel.» J'ai dit : «Ne le laisse pas faire cela, Seigneur.»

71 J'ai attendu et le fusil ne tirait pas. Je me suis demandé ce qui se passait, et lorsque je me suis retourné, le fusil faisait comme ceci, ça tremblait. Il regarda tout autour, ces yeux de lézards avaient changé. De grosses larmes coulaient sur ses joues; il a jeté le fusil par terre et m'a saisi par les jambes de mon pantalon, il a dit : «Prédicateur, j'en ai assez.» Il a dit : «Parle-moi de ce Jésus que tu connais si bien.» Qu'était-ce? Il avait vu quelque chose de réel. Toutes les prédications que je lui avais faites, tous les cantiques qu'il avait entendus. Il est maintenant un diacre là dans l'Eglise baptiste. Qu'est-ce qui s'est passé? Il a alors vu quelque chose de réel, il a vu quelque chose qui n'était pas hypocrite. Il a vu la démonstration d'une chose réelle.

72 Jésus a dit : «S'ils se taisent, les pierres crieront immédiatement.»
Frère, soeur, les gens veulent voir quelque chose de réel. Ils veulent - ils veulent voir quelque chose d'authentique. Et Dieu en a pour vous ce soir. C'est Son Fils bien-aimé. Ecoutez-Le. Il est Celui qui peut vous donner cette chose réelle et authentique. Pas pour que vous puissiez dire : «Eh bien, un chrétien devrait agir comme ceci.», mais c'est une véritable démonstration du vrai christianisme.
«Celui-ci est Mon Fils bien-aimé; écoutez-Le,» a dit le Seigneur.

73 Inclinons la tête juste un moment pour la prière. Pendant que vos têtes sont inclinées juste un moment, je vais vous poser une question sincère, et je veux la sincérité de votre cour. Maintenant, que le Saint-Esprit et moi seuls regardions, s'il vous plaît. Que tout le monde soit en prière.
Combien parmi vous ici aimeraient dire à Dieu : «Fais de moi un vrai chrétien pour Toi autant que. Et donne-moi pour Toi, le même amour que celui que cette pauvre mère biche avait pour son faon, peu importe ce qui peut advenir ou arriver.»
Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Oh! regardez partout dans le bâtiment, là au balcon, presque cent pour cent des mains levées. Franchement, la mienne est aussi levée.
Ô Dieu, fais qu'en moi je puisse aimer faire Ta volonté. Crée en moi, Seigneur, crée en moi une grande faim. Crée en moi et dans cette église qui est Ton corps, crée en nous l'Esprit de Tes fils et de Tes filles. Rends-nous authentiques, Seigneur. Rends-nous authentiques. Nous T'aimons, Père. Donne-nous de Ton Esprit. Nous L'avons entendu nous parler soir après soir. Nous L'avons entendu à travers la Bible pendant que le pasteur nous enseignait. Nous L'avons entendu dans Ses dons comme Il parlait, Se manifestant comme étant le même hier, aujourd'hui et pour toujours. Ô Dieu, donne-nous cette foi véritable et loyale, cet amour véritable et loyal qui fera que nous T'aimions comme cette biche aimait son petit.

74 Seigneur, bénis Burt, ce soir. Il ne sait peut-être pas que je suis en train de raconter cette histoire ici dans l'Ouest. Je me souviens, ô Père, quand je l'ai vu l'année dernière, comment il se cramponnait à moi et criait. Il a dit : «Te souviens-tu de cette biche, Billy?»
J'ai répondu : «Oui.»
Il a dit : «J'ai vu là quelque chose qui était réel. Et je savais qu'il y avait quelque chose qui devait créer cela. C'était ce Dieu dont tu étais en train de parler.»

75 Père céleste, bénis ceux qui ont levé les mains. Crée en eux, Seigneur, l'Esprit de Dieu, un amour qui croira chaque Parole que Dieu a dite, un amour disposé à accepter de s'avancer sans tenir compte de ce que quelque chose d'autre dit, de ce qu'un symptôme dit, de ce que le médecin dit. Nous n'allons pas le dénigrer, Père; il fait tout son possible. Mais s'il abandonne le patient et dit qu'il doit mourir, ô Dieu, puisse-t-il s'avancer avec un amour loyal comme celui de cette mère et dire : «Mourir ou vivre, mon âme a soif de Toi, Seigneur, comme une biche qui soupire après un courant d'eau.»
Accorde-le, Seigneur. Bénis-les. Puissent-ils recevoir le désir de leur cour, car je Te les confie comme les trophées du message. Au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils.

76 Pendant que nous avons la tête inclinée, s'il y a un pécheur ici dans le bâtiment, des pécheurs qui n'ont jamais accepté Jésus comme leur Sauveur personnel, et ils veulent commencer juste. Peut-être, vous avez dit : «Eh bien, je commencerai un jour, mais quand je deviendrai vraiment chrétien, je serai vraiment un chrétien.» Béni soit votre cour loyal. Maintenant, c'est le moment de commencer. Commencez ce soir. Ne voulez-vous pas vous avancer ici? Un pécheur, garçon ou fille, homme ou femme qui ne connaît pas Jésus comme son Sauveur, bien qu'il pourrait faire partie d'une église. C'est très bien. Je préférerais que vous apparteniez à une église tout en étant un pécheur, plutôt que de ne pas du tout aller à l'église. Ce n'est pas mal ce que vous faites. Mais maintenant, pourquoi ne pas venir et être un chrétien? Pourquoi ne pas recevoir ce véritable amour de Dieu dans votre cour, qui vous conduit au - au poste du devoir, afin que le Tuteur puisse apporter un message au Père? Oh! Il vous fera sortir à un moment donné, un Ange vous apparaîtra. Il mettra Sa robe de puissance sur vous, et Il va - Il va vous adopter alors par l'adoption, Il va vous donner la puissance de travailler pour Lui. Voulez-vous vous avancer maintenant pendant que nous attendons un moment?

77 Si le frère veut bien nous donner l'accord pendant que nous chantons. Nous tous avec nos têtes inclinées, prions pour les pécheurs pendant que nous attendons. Il y a une fontaine remplie de Sang, tiré des veines d'Emmanuel; les pécheurs plongés dans ce flot perdent toutes les taches de leur culpabilité; Il y a une fontaine remplie de Sang,
Tiré des. d'Emmanuel. Voudriez-vous vous avancer ici, vous tenir ici à l'autel juste un moment?
Prions. Et les pécheurs. Fais de moi, Seigneur, un chrétien semblable à cette mère biche. Elle était une véritable. Que Dieu vous bénisse. Ne voudriez-vous pas venir avec cet homme-ci? Un seul homme dans cet auditoire vient, pleinement convaincu. Oh! perdent toutes les taches de leur culpabilité.
Et les pécheurs plongés. (Ça pourrait être votre dernière occasion, ne voudriez-vous pas venir?) flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité. Le voleur mourant s'est réjoui de voir
Cette fontaine en son temps
Et là, puis-je, quoique vil comme lui,
Laver tous mes péchés.
Laver tous mes péchés.
Laver tous mes péchés.
Et là, puis-je, quoique vil comme lui,
Laver tous mes péchés. [Frère Branham fredonne. - N.D.E.]

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