Les Visions de William Branham

Date: 60-0930 | La durée est de: 36 minutes | La traduction: Shp
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1 Cette bande est enregistrée en l'honneur du Royaume de Dieu, comme je la présente à frère Lee Vayle pour en tirer un manuscrit. Frère Vayle m'a demandé ici, en présence de frère Mercier, de-de lui raconter quelques-unes des premières visions.
Bien entendu, les visions étaient... Je... le... L'une des premières choses que je peux me rappeler, c'est que les visions venaient ; les visions viennent tout le temps. Mais, Frère Vayle, je pense que c'est l'époque après ma conversion qui vous intéresse.

2 Bien, je me rappelle qu'après mon ordination dans l'Eglise-l'Eglise baptiste, par docteur Roy Davis, ici sur rue Watt, à Jeffersonville, là où était l'église à l'époque, je me rappelle une vision extraordinaire, juste quelques semaines après mon - environ une - je dirais, quelques jours après mon ordination ; j'étais - j'ai eu la vision d'un vieil homme qui était couché à l'hôpital, après avoir été écrasé. C'était un homme de couleur et il fut si instantanément guéri que cela causa une grande agitation. Et il s'était levé du lit et s'en était allé.

3 Puis, deux jours, environ deux jours plus tard, j'étais en train de couper les fournitures d'eau, de gaz et d'électricité à New Albany pour des factures impayées. Et cela - j'étais vraiment rempli de joie. Chaque fois que je trouvais une vieille maison inhabitée, vous savez, j'y entrais tout simplement pour prier.

4 Et je me rappelle que je racontais à monsieur Johnny Potts, encore en vie aujourd'hui, il a, je pense, environ 70 ou 80 ans ; c'était un ancien releveur de compteurs, et il avait alors été transféré du service de relèvement de compteurs au comptoir, juste à l'entrée, afin de recevoir les réclamations et tout, et au service des appels ; je lui racontais donc ce que le Seigneur m'avait montré. Et il relevait, de temps en temps, quelques rares compteurs que l'agent régulièrement affecté au relèvement n'avait pas relevés.

5 Et il - il a raconté cela à un homme que j'avais vu dans un journal, là où l'on montrait un vieux chariot... A l'époque, on conduisait deux chevaux pour ramasser des ordures et des immondices dans la ruelle. Il y avait un vieil homme de couleur du nom de monsieur Edward J. Merrill. Il habitait sur la rue Clark, au n° 1020, à New Albany.
Et il avait été heurté par deux blancs (en fait, c'étaient une jeune fille et un - un garçon blancs, en voiture), qui avaient perdu le contrôle de leur voiture et l'avaient écrasé contre la roue d'un chariot, et cela avait pratiquement brisé presque tous les os de son corps ; et surtout à la poitrine, ce coup avait désarticulé son dos. Et on l'avait amené à l'hôpital, il était dans un état critique.

6 Et Monsieur Potts, de passage à - à l'hôpital là, à New Albany, lui a raconté comment le Seigneur traitait avec moi. Et il avait envoyé me chercher pour que j'aille prier pour lui. Et, je me suis aussitôt dit que c'était l'homme que j'avais vu en vision.»

7 Je - j'avais alors un peu peur d'aller, car c'était ma première fois, vous comprenez, d'aller comme cela.
Mais, néanmoins je suis parti prendre mon camarade, qui venait de se convertir, un petit Français du nom de George DeArk. Et je venais de le conduire à Christ. Et nous sommes partis là et je lui disais : «Bien, Frère George, je - je - j'aimerais que tu gardes à l'esprit que ces choses qui m'arrivent, je ne les comprends pas; mais retiens que cet homme va être guéri. Et lorsqu'il sera guéri, il y aura... Je ne peux pas prier pour lui avant que deux Blancs arrivent et se tiennent de l'autre côté du lit, car je dois le faire tel que cela m'a été montré.»

8 Et je suis entré à - à l'hôpital et j'ai demandé monsieur Merrill ; et je suis allé là, et sa femme m'a dit qu'il était dans un état critique, et qu'il ne pouvait pas bouger, car les rayons X avaient montré que certains de ces os étaient trop près des poumons, et que s'il bougeait, eh bien, cela allait - les poumons pourraient être perforés et cela causerait une hémorragie mortelle. Et il était dans un état critique. Et il faisait une petite hémorragie au niveau de la gorge et ailleurs, en effet, il saignait au niveau de la bouche. Et ça faisait environ deux jours qu'il était couché là. Et cet homme avait alors environ 65 ans, je suppose, 60 ou 65 ans ; un homme âgé, avec une longue moustache déjà blanche et des cheveux gris.

9 Et je suis entré, j'ai néanmoins raconté à cet homme la vision que j'avais eue de la part du Seigneur, et les jeunes gens qui l'avaient cogné sont entrés. Alors, je me suis mis à genoux pour prier pour lui, et tout d'un coup, cet homme a lâché un cri, disant : «Je suis guéri!», et il s'est levé d'un bond. Et sa femme essayait de le retenir au lit... Et l'un des stagiaires est venu, il a essayé de le retenir au lit. Et d'un bond, il s'est levé du lit et a causé une grande agitation.
Et lorsque j'allai au - j'ai dit à frère George...

10 Et alors, il y avait là - l'une des soeurs (c'était un hôpital catholique) est arrivée et a dit que je devais sortir de là, pour avoir ainsi excité cet homme. En effet, il avait une fièvre d'environ 40°C. Et, chose étrange, lorsqu'on l'a ramené en place, le - le prêtre et quelques médecins l'avaient mis... le remettaient au lit comme il portait ses habits, et lorsqu'on a prélevé la température, il ne faisait plus de fièvre.

11 Eh bien, plusieurs de ceux qui avaient vu cette vision sont vivants aujourd'hui, ceux qui avaient vu cela s'accomplir ou qui connaissent cela.

12 Puis, je suis sorti et je me suis tenu sur les marches, et j'ai dit à frère George : «Maintenant, observe, il va porter une veste brune et un chapeau en... Il descendra d'un trait ces marches dans quelques minutes.» Et il le fit effectivement. Il sortit aussitôt et descendit.

13 Et environ une - une - une nuit après cela, le Seigneur m'est de nouveau apparu un certain matin, juste vers l'aurore, et Il m'a montré une femme affreusement estropiée, qui allait être guérie. Ainsi, j'ai dit : «Eh bien, je vais - je vais probablement découvrir là où elle se trouve.»

14 Et ainsi, je suis allé là, coupant la fourniture d'eau, je crois que c'était vers la 8e Rue, à New Albany, et j'avais... Il y avait là des appartements jumelés, et je craignais d'avoir coupé l'eau de deux côtés. D'un côté, les gens avaient déménagé, et de l'autre, il y avait des gens. Ainsi, je suis allé du côté où il y avait des - des gens, celui qui était occupé, et j'ai frappé à la porte. Et il y avait là des - des - des gens vraiment pauvres, et une jeune fille très attrayante, mais pauvrement habillée, vint à la porte. Et elle - elle demanda : «Que voulez-vous?»
Je dis : «Voudriez-vous essayer l'eau pour voir si elle a été coupée?»

15 Et elle a dit : «Oui oui.» Et elle est repartie. Elle a dit : «Non, l'eau coule toujours.»
J'ai dit : «Merci.»

16 Et sa mère était couchée au lit... elle s'appelait madame Mary Darryl O'Hannian. Et elle - elle était une Arménienne. Son fils jouait à la défense, je crois que c'était ça, dans l'équipe de base - de football de New Albany. Et elle avait. sa fille était à l'école secondaire; son nom était Dorothy. Et elle a dit ... Dorothy m'a dit : « N'êtes-vous pas cet homme de Dieu qui avait obtenu cette guérison ici à l'hôpital l'autre jour? Ma mère désire vous parler.» Alors, je suis entré.

17 Et elle me dit qu'elle était couchée, estropiée, et qu'elle est clouée au lit à cause de cette infirmité depuis 17 ans, depuis que cette jeune fille-là est née. Et à l'époque, la jeune fille avait 17 ans. Et, je lui ai donc dit que... Elle a dit : «Etes-vous cet homme de Dieu qui a guéri cet homme-là?»

18 J'ai répondu : «Non, Madame, je ne suis pas un guérisseur. Je ne - ne fais que prier pour les - les malades, et cela m'avait été montré par Quelque chose qui m'avait parlé. Je ne savais comment appeler Cela, une vision ou quoi; je ne savais pas encore ce que C'était. Je n'étais qu'un garçon, célibataire et tout. Et alors il y eut un...
Cette - cette dame me demanda de prier pour elle. Et je lui ai dit de me laisser d'abord prier, et ensuite, si le Seigneur me montrait de revenir...

19 Et alors, lorsque je suis sorti pour prier, j'ai amené frère George et je lui ai dit : «C'est la femme dont je - je te disais que j'avais prié pour elle. Je sais que c'est la même femme. Viens avec moi.»

20 Et nous sommes allés là pour - pour prier. Et alors, cette jeune fille de 17 ans... Bien sûr, moi, comme je n'étais qu'un jeune garçon et qu'elle avait un frère d'environ six, huit ans, quelque chose comme cela,... Et il y avait un arbre de Noël (c'était juste après Noël) là dans la maison, alors ils se sont mis derrière cet arbre de Noël pour se moquer de moi, de ce que j'allais faire recouvrer la santé à leur mère.
Je lui avais dit que le Seigneur allait la guérir. Et je... Frère George et moi, nous nous sommes agenouillés pour prier.

21 Et lorsque j'ai commencé à prier, eh bien, cet Ange-là que je vois, que - que vous voyez sur la photo, je L'ai vu suspendu au-dessus du lit. Eh bien, j'ai tendu la main et j'ai saisi la sienne; et j'ai dit : «Madame Ohanian...» (Eh bien, elle habite à New Albany, actuellement, elle et son mari, la famille.) Et j'ai dit : «Madame O'Hannian, le Seigneur Jésus m'a envoyé et m'a dit, avant que je vienne prier pour vous, que vous alliez recouvrer la santé. Mettez-vous debout et soyez guérie au Nom de Jésus.» Elle avait des jambes atrophiées. Tenant sa Bible arménienne sur le coeur, elle commença à se déplacer vers le bord du lit. Et comme elle faisait le...

22 Alors Satan me parla, disant : «Si tu la laisses toucher le pavement, elle tombera du haut de ce lit et se cassera le cou.»
J'ai eu peur pendant un instant.

23 Et j'ai toujours su que ce que ces visions (je ne savais pas ce que c'était à l'époque) me disaient était toujours vrai. Ainsi, j'ai de toute façon continué, je l'ai laissée descendre du lit. Et, Dieu est mon témoin, aussitôt qu'elle a sauté de ce lit, toutes les deux jambes se sont redressées. Sa fille a poussé un cri, s'est tiré les cheveux et est sortie dans la rue en courant, criant aussi fort que possible. Des voisins ont afflué de partout. Et elle était là, pour la première fois, depuis 17 ans, marchant dans la chambre, louant Dieu. Je me suis aussitôt retiré et me suis tenu à l'écart.

24 Plus tard, j'ai fait connaissance avec cette jeune fille, alors j'ai commencé à la fréquenter. Bien sûr, ceci ne doit pas être gardé sur bande, mais j'ai fréquenté cette jeune fille-là.

25 Peu après, quelques semaines après, j'étais chez ma mère un certain soir ; et ce jour-là, je priais, mais je - je ne parvenais simplement pas à faire une percée vers une - vers la victoire dans ma prière. Et je me suis dit que j'allais tout simplement rester tout... vous savez, aller au lit. Je restais à la maison en ce temps-là. Et alors, je suis entré dans la - en chambre pour - pour prier. Et je... c'était vers une heure du matin, je pense. Alors, je - je priais.

26 Et tout d'un coup, j'ai vu (Et maman avait coutume de prendre ses habits et de les entasser simplement sur une chaise, vous savez. Nous étions vraiment pauvres), j'ai vu Quelque chose de blanc venir vers moi, j'ai cru alors que je regardais la chaise qui avait des habits. Mais c'était cet Ange du Seigneur, - cette - cette nuée, vous savez. Et Il vint là où j'étais.

27 Et je - et je me tenais dans une pièce, une petite , ce que nous appelons une «Shotgun» [une maison dont les chambres donnent les unes sur les autres; en partant de devant à l'arrière - N.D.T.], une petite maison allongée, à deux pièces. Et elle avait pour paroi un lambrissage rouge ici en haut [Waynescoating], vous voyez. Il y avait à ma droite un petit lit avec une affiche métallique. Il y avait une femme aux cheveux noirs, qui se tenait contre le... cette seule pièce se prolongeait jusqu'à la cuisine, elle se tenait contre la porte de la cuisine, en train de pleurer. Près de moi se tenait un père qui m'avait apporté un enfant, car quelque chose s'était développé sur sa petite poitrine et qu'une - sa jambe gauche était si recroquevillée qu'elle s'apposait à son petit corps, et la jambe droite de même était recroquevillée. Tous les deux bras étaient aussi recroquevillés contre son corps, et son petit corps était tordu et remonté au point qu'il - juste ici à son cou. Et je me suis demandé : «Que signifie bie ceci ?»
Et j'ai regardé, à ma gauche, il y avait une vieille femme là; elle était assise là, elle a ôté ses lunettes, et a essuyé les larmes ou quelque chose comme cela de ses lunettes. A ma droite, sur un pliant rouge (qui était en harmonie avec la chaise) était assis un jeune garçon blond aux cheveux bouclés, regardant dehors par la fenêtre.

28 Et j'ai regardé, debout à ma droite, et là se tenait dans - cet Ange du Seigneur. Et Il me dit : «Cet enfant, peut-il vivre?»
Et j'ai répondu : «Monsieur, je ne sais pas.»
Il a dit : «Impose-lui les mains. Il vivra.»

29 Et je - je l'ai fait. Alors l'enfant a sauté des - des bras de son père, et la petite jambe droite s'est redressée, et le côté droit s'est redressé, et le bras droit s'est redressé. Il a effectué un autre pas et l'autre côté s'est redressé. Il a fait un autre pas, et l'autre côté s'est redressé - le corps, la partie du milieu s'est redressée. Alors il a placé ses petites mains dans les miennes et il a dit : «Frère Branham, je suis complètement guéri.» Le petit enfant portait une salopette bleue en velours côtelé, une petite salopette munie d'une bavette, et il avait des cheveux bruns et une toute petite bouche.

30 Et alors, l'Ange du Seigneur m'a dit qu'Il allait m'amener ailleurs, et je fus emporté loin. Et il me déposa à côte d'un vieux cimetière et me montra des chiffres sur une pierre tombale, près d'une église. Et Il dit : «Ceci te servira de point de repère.»

31 Il m'amena ailleurs, et il y avait là une... - on dirait une petite ville avec environ deux magasins dont l'un avait une façade jaune, et une planche jaune placée sur les murs. Et je me suis approché de là, ou plutôt je me suis tenu là, et un vieil homme sortit en jaquette bleue de velours côtelé, ou plutôt une jaquette de jeans, et une salopette bleue, avec un - un képi jaune en velours côtelé, et il avait une grosse moustache blanche.
Il dit : «C'est lui qui te montrera le chemin.»

32 Et la fois suivante que je suis allé à... j'ai vu que j'entrais dans une pièce, marchant derrière une jeune femme plutôt corpulente. Et en franchissant la porte, les images qui étaient dans le journal collé au mur étaient rouges. En haut, au-dessus de la porte, il y avait une inscription : «Que Dieu bénisse notre maison.» Il y avait là un grand vieux lit avec une affiche en cuivre placée à ma droite et un four à bois installé à gauche. Et là au coin était couchée une jeune fille d'environ quinze ans, et elle avait eu la polio ou quelque chose comme cela, qui avait atrophié sa jambe droite, et son pied était tourné de côté et recroquevillé. Et elle - et elle avait l'apparence d'un garçon, sauf qu'elle avait la chevelure de fille, et elle avait des lèvres taillées sous forme d'im - de coeur comme celles de filles. Et Il me demanda: «Cette jeune fille, peut-elle marcher?»
Je répondis : «Je ne sais pas, Monsieur.»

33 Il dit : «Va poser tes mains sur son ventre.» Je m'étais alors dit que c'était certainement un garçon, comme Il me demandait de poser mes mains sur son ventre. J'ai fait ce qu'Il m'avait dit.

34 Alors, j'ai entendu quelqu'un dire : «Gloire au Seigneur.» J'ai levé les yeux, et alors, cette jeune fille s'est levée. Et quand elle s'est levée, le pyjama qu'elle portait, la jambe de son pyjama monta, et dévoila un genou rond comme celui de fille et non un genou noueux, vous savez, comme celui de garçon. J'ai alors su que c'était une fille, et elle portait son pyjama, et elle a marché vers moi en se peignant les cheveux. Elle était blonde, elle se peignait les cheveux.

35 La jeune fille vit à Salem aujourd'hui, elle est mariée, et elle a trois ou quatre enfants. Sa mère et son père sont encore en vie.

36 Et alors, je - je - je suis revenu à moi.
Et j'ai entendu quelqu'un dire : «Frère Branham», ou plutôt «Frère Bill, ô, Frère Bill...» Et ma mère m'appelait. Et je pensais avoir entendu quelqu'un d'un côté..., vous savez, en sortant de telles visions, on est, on dirait, hors de soi. Et j'ai dit : «Que veux-tu, maman?» Et de la pièce à côté où elle dormait, elle a dit : «Quelqu'un frappe à ta porte.»

37 Et j'ai entendu cela : «Frère Bill...»
J'ai alors ouvert la porte. Un homme entra là, du nom de John Emil. Il habite Miami, en Floride, aujourd'hui. Et il dit : «Frère Bill, vous ne vous souvenez plus de moi.»
Je répondis : «Non. Je ne pense pas.»

38 Il dit : «Vous m'avez baptisé, moi et ma famille.» «Mais, dit-il, j'ai pris la mauvaise voie.» Il dit : «J'ai tué un homme ici, il y a quelque temps, je lui ai donné un coup de poing et je lui ai cassé le cou au cours d'une bataille.» Il dit : «J'ai perdu l'un de mes petits garçons, l'aîné.» Et il dit : «Le plus jeune est maintenant couché à la maison, mourant.» Et il dit : «Le médecin de cette ville venait de partir, et il a dit que l'enfant avait une double pneumonie, et c'est à peine s'il respire.» Et il a dit : «Je - je - je - je... simplement... Vous m'êtes venu à l'esprit, et je me suis demandé si vous voudriez bien venir prier pour lui.» Et il a dit : «Eh bien, comme vous le savez, je suis cousin à Graham Snelling.» (Il s'agit de Graham Snelling, l'actuel Révérend Graham Snelling, il n'était pas prédicateur en ce temps-là - un bon garçon chrétien.) Il a dit : «C'est mon cousin. Je vais le prendre», il habitait à environ huit cents mètres de chez moi, là en ville. Et il dit : «Je vais le prendre. Et, voulez-vous venir?»
J'ai dit : «Oui, Monsieur Emil, le temps de m'habiller.»
Et alors, il a dit : «Je vais prendre ma voiture pour vous y amener.»
J'ai dit : «D'accord.»

39 Il a dit : «Dès que j'aurai pris Graham, et j'aimerais que vous priiez tous ensemble pour l'enfant.»
J'ai dit : «D'accord.»

40 Ainsi donc, je suis allé m'apprêter ; et maman m'a demandé : «Qu'y a-t-il?»
J'ai dit : «Un petit enfant va être guéri.»
Et alors, elle a dit : «Etre guéri?»
Et j'ai dit : «Oui, mère.» Et alors, j'ai dit : «Je t'en dirai davantage à mon retour.»

41 Ainsi, quelques minutes après, il a frappé à la porte, et frère Graham était avec lui. On est passé par ici, à côté de ce que nous connaissons aujourd'hui comme le chantier de construction des bateaux, c'était alors le vieux chantier Naval Howard.
J'ai dit : «Monsieur Emil, est-ce que vous - Où habitez-vous pour le moment?»
Il a dit : «Dans le nord d'Utica.»

42 J'ai dit : «Vous habitez dans une petite - ce que nous appelons «Shotgun» [une maison longue et étroite dont les chambres donnent les unes sur les autres en partant de devant à l'arrière - N.D.T.], à deux petites pièces.»
«Oui, monsieur.»
«Elle est située sur une colline.»
«Oui, monsieur», dit-il.

43 J'ai alors dit : «Votre - votre plinthe, là, est en planches à languettes et rainures, et c'est peint en rouge.»
Il a dit : «C'est exact.»

44 J'ai ajouté : «Le petit enfant est couché dans un lit métallique avec affiche et il a, dans la maison, du moins, une salopette bleue en velours côtelé.»
Il a dit : «C'est ce qu'il porte.»
Et j'ai dit : «Et cet enfant est tout petit, il a environ trois ans, et il a aussi une toute petite bouche, de toutes petites lèvres, et il a des cheveux brun clair.»
Il a dit : «C'est la vérité.»

46 J'ai dit : «Madame Emil est une femme aux cheveux noirs. Et dans cette pièce, vous avez un pliant rouge et une chaise rouge.»
Il a demandé : «Y avez-vous déjà été, Frère Branham ?»
J'ai alors répondu : «Il y a juste un instant.»
Il a demandé : «Il y a un instant?»
J'ai dit : «Oui.»
«Eh bien, dit-il, je ne vous ai pas vu!»

47 J'ai dit : «Non, c'était spirituellement.» J'ai dit : «Monsieur Emil, si c'est moi qui vous ai baptisé, vous m'avez entendu parler des choses qui m'arrivent. Cela peut... Je vois des choses avant qu'elles n'aient lieu.»

48 Il a dit : «Oui. Quelque chose comme cela vous est-il arrivé, Frère Branham?»

49 J'ai répondu : «Oui. Et Monsieur Emil, Celui qui m'a parlé, qui qu'il soit, Il ne m'a jamais dit un mensonge. Votre enfant sera guéri dès que j'arriverai là.»

50 Il a alors arrêté la voiture, il est tombé sur le volant et a dit : «Ô Dieu, aie pitié de moi. Ramène-moi, ô Seigneur.» Voyez? «Et je Te promets de vivre pour Toi le reste de mes jours, si Tu épargnes la vie de mon enfant.» Et là, il donna son coeur à Christ.
Nous sommes entrés dans la maison, tout excités à son sujet, une âme ramenée à Christ.

51 Lorsque nous - lorsque nous sommes entrés dans la maison, tout était exactement comme il le fallait, sauf que la vieille femme n'y était pas. Impatient, j'étais si impatient que j'ai dit : «Amenez-moi l'enfant.» Et l'enfant vivait à peine. Voyez ? Cet essoufflement-là montrait que la vie de cet enfant s'en allait. Cela se coupait juste ici, à sa petite gorge. J'ai alors dit : «Amenez-moi l'enfant», sans attendre l'accomplissement de la vision.

52 Frère Vayle, si ce bloc-notes était supposé être posé ici, je ne dirais pas un mot jusqu'à ce que ce bloc-notes soit posé là, voyez. Ça doit être exactement comme ça m'a été montré.

53 Alors, j'ai dit : «Amenez-moi l'enfant.» Et le papa m'a amené l'enfant, et j'ai prié pour lui, et son état s'est empiré. Je me suis alors dit : «Maintenant, quelque chose...» Il - il avait vraiment perdu son souffle, et on a dû se débattre, secouer et tout pour l'amener à respirer. Je me suis dit : «Eh bien, il y a quelque chose qui ne va pas.»

54 Il m'est alors arrivé de me demander : «Où est la vieille femme?» Elle n'était pas encore là.

55 Ils ramenèrent donc leur enfant et le couchèrent. Ils plaçaient des choses sous son nez, et tout, et ils pleuraient - sa mère criait hystériquement et tout, mais c'était vraiment - vraiment à peine que l'enfant respirait.

56 Je me suis dit : «Eh bien, c'est à cause de ma - ma stupidité, je n'ai pas pu respecter la vision de Dieu», comme je ne m'étais pas attendu à Cela, ayant été très impatient.

57 A partir de cela, vous pouvez voir, Frère Vayle, pourquoi j'attends. Peu m'importe qui me parle, je vous aime en tant que mon frère. Mon frère, n'essayez jamais de me dire quoi faire, lorsque je - lorsque je sens que je - j'ai la volonté du Seigneur. Voyez-vous, peu importe combien agréable paraît la voie contraire, je m'attendrai à Lui. Voyez-vous? Et - et je - j'ai donc appris une leçon là même, il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup d'années : faire exactement ce qu'Il a dit, et ne pas le faire avant qu'il ait dit que c'est le moment de le faire.

58 L'enfant se débattait pour garder le souffle. Eh bien, je ne pouvais pas leur dire ce que j'avais fait, mais je devais tout simplement attendre. Et je me disais que peut-être la grâce prédominera et qu'Il me pardonnera. Eh bien, je suis allé m'asseoir.

59 Ils ont lutté pour la vie de l'enfant, jusqu'au matin. Quand le jour a commencé à poindre, ils ont pensé que l'enfant pouvait vraiment partir d'un moment à l'autre. Eh bien, je me suis assis là, et ils me demandaient sans cesse : «Frère Branham, que devons-nous faire?» ou «Frère Bill», comme ils m'appelaient, «Que dois-je faire?»

60 J'ai dit : «Je ne sais pas.» Voyez-vous? Et j'étais assis là, la tête baissée, disant : «Seigneur, s'il Te plaît, pardonne-moi.»

61 Eh bien... Et alors le jour s'est levé. Frère Graham Snelling devait aller au travail. Et alors, monsieur Emil devait l'amener, et je savais que je devais quitter la maison.

62 Et pourtant, Frère Graham était censé être assis là ; en effet, c'était lui qui avait les cheveux blonds et bouclés, comme vous le savez. Il était censé être assis sur ce pliant. J'étais donc assis là où frère Graham était censé être assis, mais la vieille femme n'était pas là. Et il n'y avait aucune vieille femme sur le lieu. Je me suis donc assis là. Et alors, monsieur Emil a enfilé sa veste.

63 J'ai alors compris que si frère Graham s'en allait, il serait difficile de dire quand il reviendrait. Voyez? Et alors, j'ai compris que même si cette femme-là venait, frère Graham ne serait alors pas là. Vous comprenez donc dans quel genre de situation je me trouvais.

64 Et alors, monsieur Emil a dit : «Frère Branham, voudriez-vous partir?» ou : «Frère Bill, voudriez-vous rentrer chez vous? Voudriez-vous que je vous ramène à la maison?»

65 J'ai dit : «Non non. J'attendrai bien, si cela ne vous dérange pas.» Cela m'ennuyait de rester là dans la maison, seul avec l'enfant et sa mère, en fait, c'étaient des jeunes gens. Ils - lui avait environ vingt-cinq ans, je suppose; et j'avais presque le même âge. Et j'ai dit : «Non. Je vais juste - je vais juste attendre, si cela ne vous dérange pas.»
Il a dit : «C'est très bien, Frère - Frère Bill.»

66 Et alors, la mère parcourait le plancher, en hystérie, et essayait de - pleurant et tout, vous savez. Et l'état de l'enfant s'empirait simplement, voyez. On dirait que n'importe quand, il... essayait, on dirait, de rattraper son souffle, faisant heuh ! heuh! [Frère Branham produit un son de doux halètement - Ed.] C'était tout ce qu'il avait comme respiration. Et rien...
On n'avait pas de pénicilline ni rien à l'époque, voyez. Ainsi, on - on n'appliquait que le plâtre sur eux et des choses semblables. Mais le petit enfant en avait eu depuis plusieurs jours, et il était mort, voyez-vous, ou plutôt mourant.

67 Et alors, je - je me suis assis là, et je me suis dit : «Oh, la la!, si Graham s'en va...» Graham mit sa veste, et commença à se diriger vers la porte. Et Emil parla à sa femme, disant : «Eh bien, nous reviendrons juste dans une minute.»

69 Et j'ai pensé : «Ô Dieu... Il me faudra alors rester ici toute la journée, et peut-être encore toute la nuit, voyez, à attendre cette vision. Que puis-je faire?»

70 Et j'ai regardé par la fenêtre, et j'ai vu la grand-mère de l'enfant venir, s'approchant de la maison. Et là, j'ai appris plus tard que c'était la grand-mère. Et elle portait des lunettes. Je me suis dit : «Ça y est, Seigneur, si - si seulement Graham ne sort pas.» Ainsi, elle venait toujours par la porte de devant, mais on ne sait trop pourquoi - ils ne le savent pas, même jusqu'alors, mais elle est passée par la porte de derrière et est entrée dans la cuisine. Et elle est entrée dans la cuisine - une bonne petite maison - et elle est arrivée à la porte, et sa fille a accouru pour l'embrasser, c'était en fait sa mère, vous comprenez, et elle l'a embrassée. Et Frère Graham... Alors, elle a demandé : «L'enfant va-t-il mieux?»

71 Elle dit : «Maman, il est mourant.» Alors elle s'est mise à pousser des cris comme cela, sa mère aussi, pleurant...

72 Alors je me suis dit : «Ça va marcher, si Graham ne sort pas...»

73 Et je me suis levé, et je ne pouvais rien dire, voyez, je ne faisais qu'attendre. Et frère Graham s'est approché, je me suis levé afin qu'il pût s'asseoir. Et il... Et c'était quelqu'un de la famille, voyez, ainsi s'était-il aussi mis à pleurer ; puis il s'est assis sur le pliant où il était censé être assis.

74 Je me suis dit : «Maintenant, si seulement cette vieille dame peut s'approcher et s'asseoir sur cette chaise rouge !» Et je suis allé à la porte où se tenait monsieur Emil, qui avait enfilé son pardessus et était prêt à sortir. Il faisait vraiment froid, un froid de blizzard. Et je me suis dit... Et la vieille dame s'est assise sur cette chaise.

75 Et Graham s'est assis, ensuite il a vivement baissé la tête, et la mère de l'enfant a levé la main et l'a posée sur la porte, puis elle s'est mise à pleurer. C'était exactement la vision. Et la vieille dame s'est assise et, au lieu que ce fût totalement des larmes, sur ses verres - comme elle venait de là où il faisait froid, ces derniers étaient embués. Et elle plongea la main dans son sac et en sortit un petit mouchoir (ou un petit cartable), et se mit à essuyer ces verres. [Frère Branham fait claquer ses doigts une fois. - Ed.] Frère, la chose était là!

76 J'ai dit à Monsieur Emil, j'ai dit : «Monsieur Emil, avez-vous toujours confiance en moi en tant que serviteur de Christ?»
Il a dit : «Bien sûr que oui, Frère Branham.»

77 J'ai dit : «Je peux vous le dire maintenant. J'avais devancé la vision il y a un instant. C'est pour cela qu'elle ne s'est pas accomplie. Si vous avez toujours confiance en moi, allez me chercher votre enfant.» Oh ! la la! J'ai vu que c'était vraiment le moment, vous comprenez ? «Allez me chercher votre enfant.»

78 Il a dit : «Je ferai tout ce que vous me direz, Frère Bill. Je n'aurai pas peur de le soulever.» En fait, lorsqu'on le soulevait, il s'en allait tout simplement, le souffle lui manquait complètement.
On m'a amené le petit enfant. Il tendit les bras et le prit. Il me l'a amené et s'est tenu là.

79 J'ai posé ma main sur lui et j'ai dit : «Seigneur, pardonne la stupidité de Ton serviteur, voyez. J'avais devancé Ta vision, mais maintenant, que l'on sache que Tu es le Dieu des Cieux et de la terre.»

80 J'avais à peine dit cela que le petit enfant, de tous ses deux bras, a enlacé son papa, et s'est mis à crier et à pleurer, disant : «Papa, je me sens très bien maintenant.» Voyez.

81 J'ai dit : «Monsieur Emil, laissez le petit enfant tranquille. Il se passera trois jours avant que cela le quitte, car il a procédé en trois étapes pour se relaxer.»

82 Je suis rentré à la maison. J'en ai parlé à mon église. J'ai dit : «Je vais y retourner.» C'était un lundi. J'ai dit : «Mercredi soir, avant le culte, j'irai là-bas.» C'étaient des gens pauvres, et nous avions apprêté pour eux un panier d'épiceries à leur apporter. Ainsi, j'ai dit : «Je veux que vous y alliez tous, et lorsque je passerai là-bas, que vous soyez près de la maison. Et lorsque j'arriverai là où se trouve cette maison, observez et voyez si ce petit enfant ne va pas parcourir le plancher avec par là une petite moustache formée par le chocolat au lait, ou autre qu'il aura bu. Voyez? E il mettra sa main dans la mienne et dira ces paroles : «Frère Bill, je suis complètement rétabli.» Ce petit enfant de trois ans... Observez et voyez si cela n'arrive pas.»

83 Mon actuelle épouse, Meda, bien avant que nous nous mariions, était aussi du groupe. Et un camion plein alla les déposer près de cette maison, voyez, pour qu'ils me voient lorsque j'y arriverai, à bord du vieux camion du service public que j'avais chez moi ce soir-là. Je n'avais pas de véhicule propre à moi, c'était plein de goudron derrière et tout, vous savez, j'étais parti remorquer ce jour-là, et faire réparer des pièces. J'ai roulé jusque devant la maison, puis je me suis arrêté, je suis monté sous la véranda et j'ai frappé à la porte. Ils n'avaient pas de tapis sur le petit plancher, alors la mère parcourut le plancher, et dit : «Eh bien, c'est Frère Bill», comme cela. Et les gens regardaient par les fenêtres au même moment pour voir ce qui se passerait.

84 Et au coin se trouvait le petit garçon, en train de jouer; c'était le troisième jour. Je me suis arrêté sans dire un mot. Et sans se presser, il a traversé le plancher, a mis ses petites mains dans les miennes, avec le... Il venait de boire du chocolat au lait, il avait une sorte de petite moustache formée là par le chocolat au lait, et il a mis ses mains dans les miennes et a dit : «Frère Bill, je suis complètement rétabli.» Hein !

85 Et j'ai raconté cela ce soir-là à l'église. J'ai dit : «Il y a une jeune fille estropiée quelque part, qui est dans le besoin.» J'ai dit : « Eglise, je ne sais pas ce que signifient ces choses. Je ne saurais pas vous le dire.»

86 Et - et ainsi, je travaillais au service public. Et je me rappelle qu'un jour, environ une semaine après, j'étais sur le point de quitter le bâtiment pour m'en aller. Et monsieur Herb Scott, il habite présentement ici dans cette ville, était mon patron. Et il a dit ... Je commençais à descendre, il a appelé : «Billy.»
Et j'ai dit : «Oui.»
Il a dit : «Avant que tu ne partes, j'ai ici une lettre pour toi.»
J'ai dit : «Okay, Herbie, je la prendrai dans un instant.»

87 Et... Et ainsi, je suis allé là remplir ma deuxième tâche. Je faisais l'inspection. Ainsi, je suis allé là pour remplir ma deuxième tâche, et lorsque je - je l'ai accomplie, je me suis souvenu de la lettre. Je suis allé la prendre; et je l'ai ouverte. Et il était écrit : «Cher Monsieur Branham», voyez, il était écrit : «Je m'appelle Nail. Je suis Madame Harold Nail. Nous habitons un endroit appelé South Boston.» Et elle avait écrit : «Nous sommes de foi méthodiste. Et il m'est arrivé de lire un petit livre que vous avez écrit, intitulé: Jésus Christ le Même Hier, Aujourd'hui, et pour Toujours, une petite brochure. Et nous tenions une réunion de prière dans notre maison l'autre soir, et nous avons appris le succès que vous avez dans la prière pour les malades.» Et elle a dit : «J'ai une fille de quinze ans qui souffre, dit-elle, elle est couchée sur le lit d'affliction. Et je ne sais comment, je ne parviens pas à ôter de mon esprit l'idée de vous faire venir pour prier pour cette jeune fille. Voudriez-vous refaire s'il vous plaît? Sincèrement vôtre. Madame Harold Nail. South Boston, Indiana.»
J'ai dit : «Sachez-le, c'est la fille en question, c'est elle.»

88 Je suis rentré à la maison et j'en ai parlé à ma mère, je leur en ai parlé. J'ai dit : «C'est - c'est la fille en question.»
Et puis ce soir-là à l'église, je l'ai dit à l'église. J'ai dit : «Voici ce - ce - cet endroit.» J'ai dit : «Y a-t-il quelqu'un qui sait où se trouve South Boston?»

89 Et Frère George Wright, vous le connaissez tous, dit : «Frère Branham, c'est - je pense que c'est au sud.»

90 Alors, le jour suivant, je - deux de mes amis, et la - ma femme (elle l'est maintenant), un homme accompagné de sa femme, ils venaient du Texas (son nom était Brace, Ed Brace ; il habite aujourd'hui ici au sud de Milltown, c'est un fermier. Il était un propriétaire de ranch dans l'Ouest, et il a déménagé et est venu ici pour être près de l'église. Et j'avais prié pour sa femme et elle avait été guérie de la tuberculose. Ainsi donc, il désirait voir l'accomplissement de cela. J'ai dit : «Venez avec moi et voyez si cela n'arrive pas exactement de cette façon.» Cette dame n'avait donc jamais vu une vision, Madame - Madame Brace.
Alors, ma femme m'accompagnait ainsi que frère Jim Wisehart, le vieil ancien, vous vous rappelez, de l'église là-bas, le vieux diacre, il voulait voir cela. Et je n'avais alors qu'une vieille petite décapotable à deux places et je les ai entassés tous là-dedans.

91 Et nous sommes descendus au sud de New Albany, et j'ai retrouvé cette indication. Et j'avais fini par découvrir que ce n'était pas South Boston, mais que c'était New Boston. Ainsi donc, je ne savais où aller. Alors, je suis revenu à Jeffersonville et j'ai demandé à quelqu'un. Et quelqu'un est allé à la poste, on lui a dit : «South Boston se trouve au nord de Henryville.»

92 Ainsi, je - je suis allé vers Henryville, et je me suis renseigné là, et on m'a dit : «Prenez le virage et engagez-vous sur cette route. C'est à quelque 24 kilomètres, là derrière ces collines-ci, vous trouverez un petit endroit, vous allez... Faites attention, sinon vous raterez cela, dit-il, car il n'y a qu'un seul petit magasin, et ce magasin abrite un service des postes et tout le reste. South Boston», là-bas sur les collines. Il y a dix-sept milles hectares de ces collines, là, voyez, et c'est là derrière ces collines-là, sur ces collines-là.

93 Nous avons donc continué à rouler, et tout à coup, j'ai eu un sentiment vraiment étrange, après avoir conduit environ huit à dix kilomètres, j'ai eu un sentiment vraiment étrange. Et j'ai dit : «Je ne sais pas...»
On m'a demandé : «Qu'est-ce qui ne va pas?»

94 J'ai dit : «Je crois que - que Celui qui a l'habitude de me parler voudrait me parler; il me faut donc quitter la voiture.»

95 Je suis alors sorti de la voiture. Et les femmes étaient assises les unes sur les genoux des autres, vous savez, et tout le reste, à bord de cette vieille petite décapotable à deux places. Je suis alors sorti de la voiture et je suis allé quelque part derrière la voiture. Puis, j'ai incliné la tête, et j'ai mis mon pied sur le pare-choc arrière de la voiture. Et j'ai dit : «Père céleste, que voudrais-Tu faire connaître à Ton serviteur?» Et j'ai prié, mais rien n'arriva. Et j'ai attendu pendant quelques minutes, et je me suis dit : «Eh bien, Il... D'habitude, là où il y a une foule comme cela, je dois me retirer à l'écart.» Et ainsi, j'ai attendu quelques minutes.

96 Et il est arrivé que mon attention a été attirée dans une direction, là, et il m'est arrivé de penser : «Eh bien, regardez ici. Il y a là cette vieille église. Et si jamais vous y arrivez, c'est l'Eglise de Bunker Hill. Et j'ai regardé à côté, l'Eglise Chrétienne de Bunker Hill, et il y avait des pierres tombales du cimetière, juste en face de l'église.

97 Et je me suis rendu là. J'ai dit : «Maintenant, vous tous, vous avez ces lettres. Jamais de ma vie, je n'ai été dans cette contrée auparavant. Jamais de ma vie, je n'ai été nulle part là au nord.» Et j'ai dit : «Vous avez ces noms et ces chiffres, venez ici et voyez si ce ne sont pas les mêmes que ceux qui sont sur cette pierre tombale.» Et c'était là, tout aussi exact. J'ai dit : «C'est ça. Nous sommes sur la bonne voie cette fois-ci.» J'ai dit : «C'était cet Ange du Seigneur...», voyez, je serais carrément passé à côté de cela sans le savoir. Ainsi, oh, Il est parfait.

98 Et ainsi, nous avons continué de rouler. Tout à coup, j'ai rencontré un homme, et je lui ai demandé : «Pourriez-vous m'indiquer où se trouve South Borton, Monsieur ?»

99 Il a dit : «Tournez à droite, puis à gauche, vous savez, ainsi de suite, comme cela...» Et nous avons simplement continué.

100 Ainsi, un moment après, nous sommes arrivés à - j'ai remarqué, je suis arrivé à un petit endroit. C'était une sorte de petit village, on dirait. Et je - j'ai regardé, j'ai dit : «C'est ici. C'est ici, juste là.» J'ai dit : «Voilà la... Voilà - voilà la façade jaune du magasin.» J'ai dit : «Maintenant, observez, un homme va en sortir, portant une salopette bleue, et un képi blanc en velours côtelé - un képi jaune en velours côtelé, ayant une moustache blanche, et il m'indiquera où aller. S'il n'en est pas ainsi, je suis un grand menteur.»

101 Et ainsi, ils étaient tous dans l'attente. Et - et j'ai roulé jusque devant ce bâtiment, et juste quand j'y arrivais, l'homme en salopette bleue et au képi jaune en velours côtelé, et à la moustache blanche en sortit. Et Madame Brace s'évanouit dans la voiture, cela ... en voyant que cela était arrivé, comme cela.
J'ai dit : «Monsieur, vous êtes censé m'indiquer là où habite Harold Nail.»
Il a dit : «Oui, monsieur.» Il a dit : «Etes-vous venu du sud?»
J'ai répondu : «Oui, monsieur.»

102 Il a dit : «Vous avez dépassé cela, c'est à quelque 800 mètres en descendant la route. Prenez la première route à gauche, montez, ensuite prenez le virage là et vous verrez une grande grange rouge, et c'est là dans cette grange rouge.» Il ajouta : «C'est la deuxième maison à votre droite, quand vous prenez ce virage qui donne sur cette petite ruelle qui sert de route.»
J'ai dit : «Oui, monsieur.»
Il a dit : «Pourquoi?»
J'ai dit : «Il a une fille qui souffre, n'est-ce pas?»
Il a dit : «Oui, monsieur. Il en a une.»

103 J'ai dit : «Le Seigneur va la guérir.»
Alors ce vieil homme s'est mis à pleurer. Voyez, il ne comprenait pas, en fait, il était inclus dans la vision, voyez . Il ne comprenait pas ce qui se passait.

104 J'ai fait demi-tour, nous avons essayé de ranimer Madame Nail. Et nous sommes allés là, nous sommes entrés dans la cour - nous sommes sortis de la voiture, nous nous sommes dirigés vers l'entrée, nous avons marché jusqu'à cet endroit où - vous savez - jusqu'à cet endroit où ça se trouvait. Et une be - une grosse jeune dame est venue à la porte. J'ai dit : «La voilà.» Voyez?
Et alors, elle a dit : «Bonjour!»
Et j'ai répondu : «Bonjour.» J'ai dit : «Je suis - je suis Frère Bill.»

105 «Oh, dit-elle, je - je - je me disais que c'était bien vous.» Elle a dit: «Avez-vous reçu ma lettre?»
J'ai dit : «Oui, Madame, je l'ai reçue.»
Elle a dit : «C'est moi Madame Harold Nail.»

106 J'ai dit : «Eh bien, je suis content de faire votre connaissance, Madame Nail. Et voici juste une petite équipe qui m'a accompagné pour prier pour votre fille.»
Elle a dit : «Oui.»
J'ai dit : «Elle va être guérie.»

107 Elle a dit : «Quoi?» Et ses lèvres se mirent à trembler; elle se mit à pleurer.

108 J'ai dit : «Oui, madame.» Et je - je ne sais pas; je ne me suis pas arrêté pour cette femme.

109 J'entrai tout droit dans le hall, et mon équipe m'a suivi. Quand j'ai ouvert la porte à droite du hall ( c'était une grande et vieille maison de campagne), j'ai ouvert la porte, il y avait des... nouvelles jaunes - plutôt les journaux jaunes au mur, des images rouges, l'inscription : «Que Dieu bénisse notre maison», le vieux lit avec une vieille affiche en cuivre, un grand four installé à ma gauche, et il y avait un tout petit lit installé là où cette jeune fille qui ressemblait à un garçon était couchée.

110 Quelque chose s'est alors passé. Je me suis retrouvé en haut au coin de la chambre, observant mon corps se diriger vers ce lit. Et j'ai posé mes mains juste sur son ventre, exactement comme le Seigneur me l'avait dit. Et quand j'ai fait cela, quand Madame Nail est entrée dans la chambre et qu'elle a vu cela, elle s'est de nouveau écroulée, évanouie. Elle est, disons, du type émotif. Et elle s'est évanouie de nouveau sur le plancher. Et Frère Nail essayait de s'occuper d'elle. Et le vieux frère Jim se tenant là, disant : «Que le Seigneur soit loué», les mains jointes, (vous tous, vous savez comment il faisait). Et puis ensuite, j'ai observé cela, et j'ai vu cela.

111 Et je lui ai imposé les mains, plutôt j'ai posé cela sur son ventre comme ceci. Et j'ai dit : «Seigneur, je fais ceci selon l'ordre que je crois provenir de Dieu, qui m'a dit de le faire.»

112 Et vers ce moment-là, elle s'est mise à pleurer, et elle s'est levée d'un bond. Et on venait de faire se relever Madame Nail. Elle s'était remise de son évanouissement.

113 Et lorsque la fille sauta du lit, voilà que la jambe de son pyjama se releva, dévoilant sa jambe droite, juste exactement comme cela avait été montré dans la vision, et là se voyait ce genou rond de fille, plutôt que celui de garçon.

114 Et madame Nail est de nouveau tombée, voyez. Elle s'est évanouie. C'était la troisième fois qu'elle s'évanouissait.

115 Et cette jeune fille est sortie de là, de cette chambre, et elle est entrée dans son vestiaire, pleurant, et a mis son kimono, elle est revenue, en se peignant les cheveux avec son - avec ce inf... Et son - l'une de ses mains était aussi paralysée, la droite. Et elle se peignait les cheveux avec cette main infirme.

116 Elle est mariée, et elle a une ribambelle d'enfants. Son nom... Je ne connais pas son nom actuel. Mais les Nails, n'importe qui peut vous montrer Harold Nail.

117 Et ces visions sont vraies. [Espace vide sur la bande - Ed.]
Je pourrais mentionner cela et vous amener chez des gens qui peuvent écrire une série de livres sur des choses semblables qui ont eu lieu. Eh bien, c'est la vérité, Frère Vayle.

118 Je peux faillir, je suis un homme. Je suis un raté pour commencer, et un bien piètre substitut pour être un serviteur de Christ. [Espace vide sur la bande - Ed.] [Frère Vayle dit : «Epelle Merrell» - Ed]

119 [Frère Branham épelle les noms des gens - Ed.] M-e-r-r-e deux l. [Frère Vayle dit : «Je pensais que c'était ce qui est écrit là. Ouais» - Ed.] Est-ce tout ce qu'il y a, ceci donc ? [«Nail était N-e-i-l?»] N-a-i-l. [Frère Vayle dit : «B-r-a-c-e?»] Brace, B-r-a-c-e. Ad. Ad Brace. [«Maintenant, je pense que je les ai tous. Un instant. Graham Snelling?»] Graham, G-r-a-h-a-m, [Il y a «n» là] S-n-e - deux l-i-n-g. [Frère Vayle dit : «Oh, Snelling.] Maintenant, nous avons eu cela. Un...»

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