La Reine de Séba

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Date: 61-0119E | La durée est de: 2 hours and 1 minute | La traduction: Shp
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1 Je suis un peu en retard ce soir. Il y a eu un embouteillage et nous ne pouvions pas arriver. De toutes les façons, d’habitude je suis en retard. Il n’y a pas longtemps je prêchais dans une église des United Brethren, et le pasteur s’est levé et a dit : «J’aimerais vous présenter au retardataire Monsieur Branham.» Bien, je suis né avec un petit retard. J’ai connu un retard d’environ deux heures à mon mariage. Si seulement je peux être un peu en retard pour mes funérailles, là ce sera très bien. C’est là que j’aimerais vraiment être en retard.
Nous sommes heureux d’être ici dans cette belle ville. Ce soir, pendant que nous roulions vers ici, je me suis rappelé qu’il y a bien des années, nous avions tenu une réunion ici. Et je me suis souvenu de ce moment merveilleux que les gens d’ici nous ont fait passer. Combien ils ont été vraiment aimables. Et le Seigneur nous a bénis.

2 Frère Bosworth était aussi avec nous. Il a traversé la rivière et il est maintenant de l’autre côté. J’étais allé le voir juste avant sa mort. Il était, oh! très avancé... dans la centaine. Il revenait d’Afrique où nous avions été évangéliser ensemble. Je lui ai dit, quand il était... J’étais entré en hâte chez lui. Ce petit patriarche était allongé là, mourant « char d’Israël et sa cavalerie!» Je me dis que si jamais il y a eu quelqu’un qui avait le sens de la dignité…?... c’était F.F. Bosworth.

3 C’était un grand homme de Dieu, l’un des pionniers. Il est venu ici au Texas, il est resté dans une ville pendant dix ans, il a établi sept églises, et avec un réveil, sans interruption, la nuit... tous les jours pendant dix ans d’affilée; chaque soir il était quelque part, en train de tenir une réunion pour... ici au Texas.

4 Avez-vous appris comment il s’en est allé? Environ une heure avant qu’il ne traverse... il était endormi depuis un moment, puis il s’est levé, il a regardé dans la chambre, et il a dit : «Maman.» Et pendant une bonne heure, ou peut-être deux, il a serré la main aux amis qu’il avait conduits à Christ, et qui s’en étaient allés depuis cinquante ans – et qui étaient passés de l’autre côté. Il est retourné et a baissé les mains; il les a croisées comme ça, et s’en est allé rencontrer Dieu.

5 Je n’oublierai jamais les dernières paroles qu’il m’a dites. Il avait dit : «Hâte-toi, Frère Branham, va très vite outre-mer. C’est là que les champs missionnaires sont vastes.» Et il a dit...
J’ai dit : «Frère Bosworth, tu n’es pas malade?»
Il a dit : «Pas du tout.»
Il a dit : «C’est tout simplement mon tour maintenant. J’ai vécu ma vie.»
J’ai dit : «Durant toute ta longue vie pour Christ, quel a été pour toi le moment le plus glorieux, Frère Bosworth?»
Il a dit : «Maintenant même.»
Et j’ai dit : «Sais-tu donc que tu t’en vas?»
Il a dit : «Oui mais, Frère Branham, tout ce pour quoi j’ai vécu pendant ces soixante dernières années, c’était pour Christ, et d’un moment à l’autre, Il peut apparaître à la porte pour me ramener à la Maison.» C’est ce que j’attends.
La vie de grands hommes nous rappelle à tous
Que nous pouvons rendre nos vies sublimes;
En partant, laisser derrière nous
Des empreintes de pas sur les sables du temps.

6 Je pense à son témoignage, je pense aussi à Paul Rader, quand il se mourait. Combien ont connu Paul Rader? Beaucoup d’entre vous. C’était un grand homme de Dieu, il est mort en Californie. Je m’asseyais à ses pieds quand j’étais un petit garçon. Luc et lui étaient, pour ainsi dire, collés comme mon fils, Billy et moi. Et lorsqu’il se mourait, l’Institut Biblique Moody de Chicago a envoyé là un quatuor pour chanter. Et ils ont chanté un cantique doux du genre Mon Dieu, plus près de Toi.

7 Paul, si vous l’avez connu, avait toujours un sens de l’humour. C’est lui qui a composé ce cantique, qui est mon cantique favori Crois seulement. Et il avait un… il avait le sens de l’humour. Il avait toujours une boutade, comme Frère Bosworth. Alors, pendant qu’on chantait Mon Dieu, plus près de Toi, il s’est redressé dans son lit et a dit : «Dites donc, qui se meurt ici, vous ou moi?»
Il a dit… il a dit : «Tirez...» il a dit : «Tirez ces rideaux, et chantez-moi de bons chants d’Evangile pleins d’entrain. Et ils ont commencé à chanter A genoux à la croix où mourut mon Sauveur...» Il a dit : «Ça, c’est mieux.» Il a dit : «Où est Luc?»
Luc ne voulait pas voir son frère mourir; aussi se tenait-il dans l’autre pièce.
Et on lui a dit : «Il est dans l’autre pièce.»

8 Il a dit : «Dites-lui de venir ici.» Luc, un grand gaillard, si vous l’aviez tous connu. Lui, Paul, Billy Sunday et F.F. Bosworth – eux tous ont vécu à une même époque – ils ont apporté l’Evangile en leur temps. Ainsi donc, quand ils... Luc a dit à Paul, ou plutôt Paul a dit à Luc... Il a saisi sa main et a dit : «Penses-y, Paul, ou plutôt Luc, nous avons parcouru ensemble un long chemin, n’est-ce pas?»
Il a dit : «Oui, Luc... plutôt Paul.»
Paul a dit à Luc : «Nous venons de loin.»
Il a dit : «Oui, frère.»
«Mais, a-t-il dit, penses-y. Dans cinq minutes, je vais me tenir dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa Justice», il serra la main de son frère et mourut.
Je pense que c’est Balaam qui autrefois avait dit : «Que ma fin soit semblable à la leur.»

9 Oh! nous sommes tous heureux d’être chrétiens, n’est-ce pas? Je me demande sur quoi nous compterions ce soir, si ce n’était pas sur Christ? Quelle espérance aurions-nous eue? Sur quoi pourrions-nous nous reposer? Sur quel fondement pourrions-nous établir quelque chose aujourd’hui en dehors de Christ?
Oh, ami pécheur, vous qui êtes dans ce petit auditorium ce soir, laissez-moi – laissez-moi vous mettre en garde. Fuyez la colère à venir. Il n’y a qu’un seul lieu de refuge. Je suis heureux de ce que Dieu a fait une ville de refuge : Jésus-Christ; nous pouvons nous y réfugier et être en sûreté.

10 Récemment, j’étais en Inde, à Bombay, où nous… le Seigneur nous a permis de prêcher à la plus grande foule... [Espace vide sur la bande – N.D.E.]... un millier de vrais autochtones ont brisé leurs idoles par terre, quand ils ont reçu Christ comme Sauveur. Je pense qu’en Inde c’était trois fois cela, mais nous ne pouvions pas les estimer...?...

11 L’Inde est plutôt un pays bilingue. Vous savez, elle appartenait à l’Angleterre, et c’est tout récemment qu’elle a été tirée de la faillite, bien sûr et alors ils étaient en faillite et on leur a accordé plutôt l’indépendance. J’avais donc pris un journal, et je lisais la colonne qui était en anglais, et il y était écrit : «Je pense que le tremblement de terre est maintenant terminé. Les oiseaux sont tous en train de revenir.»
J’aimerais bien prendre un moment pour vous raconter l’histoire.

12 En Inde, les gens sont très pauvres. Je crois que l’endroit le plus frappé par la pauvreté, que j’aie vu de ma vie, c’était l’Inde. Vous ici, vous ne vous en rendrez pas compte tant que vous n’êtes pas parti une fois là-bas, et que vous n’avez pas vu ces petites mamans couchées dans la rue, avec leurs petits enfants aux visages décharnés, aux petits ventres bedonnants. Ils meurent de faim, mendiant de quoi manger. Elle vous demande de prendre son bébé – que la mort l’emporte, elle, mais que vous fassiez quelque chose pour sauver son bébé. Si vous prenez celui-ci, qu’en est-il de celui-là, et celui-là, celui-là, celui-là? C’est vraiment partout.
C’est vraiment pathétique, et… et mon coeur a été brisé de voir l’Inde. J’espère y retourner encore cet automne.

13 Dans ce journal, il était écrit que tous les oiseaux s’étaient envolés de leurs creux... En Inde, on n’a pas de belles clôtures comme vous en avez ici aux Etats-Unis, des fils grillagés et tout, de belles palissades. Ils ramassent généralement des pierres et les entassent. Ils sont quatre cent soixante-dix millions en Inde. Et sincèrement (je sais que j’exagère), mais je dirais, quatre cent millions de mendiants. Il n’y a que... Ils ne savent rien d’autre que mendier. Ils ont beaucoup de ressources naturelles, mais ils n’ont pas l’intelligence pour les exploiter. Tout ce qu’ils savent, c’est la mendicité et la religion.

14 Et cet après-midi-là, j’ai été reçu au temple des Jaïns, par dix-sept différentes religions, et chacune d’elles reniait Jésus-Christ, ou plutôt Lui, ou plutôt – plutôt Dieu. Vous pouvez donc vous représenter ce qu’ils sont. La plupart d’entre eux croient à la réincarnation. Ils balayent les rues où ils marchent, de peur de marcher même sur une petite puce, ou sur une fourmi; car celle-ci pourrait être leur mère revenue sous cette forme-là, ou quelque chose comme ça. Eh bien, prêcher le sacrifice du Sang à un peuple comme celui-là...

15 Mais cette nuit-là, quand le Saint-Esprit est entré en scène... Il y avait là un homme totalement aveugle. J’ai vu en vision qu’il allait recouvrer la vue. J’ai dit : «Je défie chacun de vous, mahométans et vous autres – jaïns, sikhs, et bouddhistes et que sais-je encore, de venir ici et de rendre la vue à cet homme.» J’ai dit : «Pourquoi l’auditoire est-il si silencieux?» J’ai dit: «Vous ne le pouvez pas, moi non plus. Mais le Dieu du Ciel qui a ressuscité Jésus-Christ d’entre les morts, a promis ces choses que nous voyons.»

16 Et je venais d’avoir une vision. Je n’aurais pas dit cela, si je n’avais pas eu de vision. «Cet homme va recouvrer la vue.» J’ai dit : «Eh bien, si les prophètes musulmans sont si puissants, qu’ils avancent et qu’ils lui rendent la vue, alors je deviendrai musulman.» J’ai dit : «Vous avez pensé que C’était de la télépathie, que je lisais sa pensée quand je lui ai dit qu’il a dû avoir de saints hommes...» Oh, vous devez simplement aller là, sur place, pour comprendre ça.

17 J’ai dit qu’ils… «Cet homme est aveugle. Il est devenu aveugle à force de contempler le soleil. C’est un adorateur du soleil. Il a adoré la création plutôt que le Créateur. Nous le savons.» Et j’ai dit : «Que feriez-vous si les sikhs voulaient le convertir à leur credo. Ou si les jaïns voulaient le convertir à leur je ne sais quoi d’autre? Que feraient-ils? Juste changer sa façon de penser.

18 Nous faisons la même chose aux Etats-Unis, un seul Dieu.» J’ai dit : «Tous les méthodistes veulent faire des baptistes des méthodistes; les baptistes veulent faire des presbytériens des baptistes; les pentecôtistes veulent tout prendre. C’est là donc où vous en êtes. Qu’est-ce? Changer votre façon de penser. Mais il ne doit y avoir qu’une chose vraie, et une autre fausse.»

19 J’ai pris le Coran dans une main, la Bible dans l’autre, et j’ai dit : «L’un d’eux est vrai, et l’autre est faux. Les deux ne peuvent pas être vrais, parce que les deux sont très différents l’un de l’autre.» Et j’ai dit : «Mais si Jésus-Christ qui m’a montré par une vision que cet homme va recouvrer la vue... S’il recouvre la vue, combien parmi vous maintenant… étant donné que ni votre prêtre, ni personne d’autre ici, ne peut lui rendre la vue – et cet homme déclare qu’il servira le Dieu qui lui rendra la vue...? Maintenant, si Jésus-Christ restaure la vue, combien parmi vous recevront Jésus-Christ comme leur Sauveur?»

20 Aussi loin que l’on pouvait voir, des mains noires s’étaient levées! La foule était estimée à cinq cent mille personnes. Alors... Et lorsque cet homme a recouvré la vue, il m’a saisi à la taille. Eh bien, le maire de Bombay (j’ai longtemps gardé son nom collé à ma poche), était assis juste là.

21 Et alors, ils avaient une milice. Ils m’ont enlevé les chaussures, les poches de mon manteau. Il y avait vingt ou trente personnes, et ces gardes essayaient de les retenir. Et ces petites femmes voulaient passer par-dessus ces gardes, rien que pour s’approcher de l’endroit où l’on se tenait, vous toucher, approcher leur bébé de vous ou quelque chose comme ça.
Pensez-y, et ils ont faim et soif d’un Dieu comme Celui-là; et dire qu’il vous faut presque payer des gens aux Etats-Unis pour qu’ils viennent écouter l’Evangile, ou aller à l’église le mercredi soir. Cela est... C’est pitoyable.

22 Pour terminer mon histoire, les petits oiseaux vont dans ces nids, font leurs nids dans ces rochers. Le bétail et les moutons sortent aussi des champs et se tiennent l’après-midi à l’ombre de ces murs pour ne pas s’exposer directement aux chauds rayons du soleil tropical. Et tout à coup, ces oiseaux se sont envolés de leurs nids, et sont partis dans les champs, dans les arbres et les bois. Le bétail a quitté les alentours des clôtures. Les moutons sont sortis dans les champs, et se sont tenus appuyés les uns contre les autres. Quelque chose était sur le point d’arriver.

23 Tout à coup, il y eut un tremblement de terre qui a écroulé tous les murs. Si les petits oiseaux étaient restés dans leurs nids, ils auraient été tués. Si le bétail et les moutons avaient voulu rester à côté de ces murs, ils auraient été tués.

24 Ils sont restés là pendant deux jours, parce que constamment des tremblements de terre se produisaient, à petite et à grande échelles. Alors, un moment après, le bétail et les moutons sont revenus. Les oiseaux sont revenus dans ce qui restait de leurs nids dans les rochers, et ailleurs. Et les journaux ont annoncé : «Cela est un signe que les tremblements de terre sont finis.»

25 Maintenant regardez. Le Dieu Qui avait conduit les oiseaux, les moutons et le bétail à entrer dans l’arche, c’est le même Dieu qui peut les guider aujourd’hui. Il l’a fait. Et si un oiseau, un animal, par instinct, sait comment s’éloigner de grandes tours de Babel qui sont sur le point de tomber, combien plus les hommes et les femmes nés de nouveau devraient savoir comment fuir, s’attacher les uns aux autres. Si jamais il y avait un temps où nous devrions nous soutenir l’un l’autre, c’est bien maintenant. Rassemblez-vous, nous tous ensemble, et restez ensemble; car les grandes tours de ce grand système du monde sont sur le point de disparaître, afin que soit établi un de ces jours un Royaume qui n’a pas de fin, le Millénium commencera un de ces jours. Sur ce, abordons la Parole maintenant, et avant cela, inclinons la tête pour prier.
Je me demande, juste avant que nous priions, s’il y a ici un homme ou une femme qui est en dehors de Christ, qui aimerait qu’on se souvienne de lui dans cette prière? Voudriez-vous lever la main? Dites simplement : «Souvenez-vous de moi, Frère Branham.» Dieu vous bénisse. Votre sincérité. C’est merveilleux. Puisse Dieu l’exaucer. Dieu vous bénisse. Une douzaine de mains ou plus. Dieu vous bénisse, Madame, c’est... là-bas tout au fond. Dieu voit vos mains. Certainement qu’Il les voit. Dieu vous bénisse, Monsieur.

26 Notre Père céleste, nous nous approchons de Ton Trône de justice. Et si nous réclamions la justice, nous serions simplement effacés de la surface de la terre. Mais nous venons sous le Sang de Jésus; car Il a dit Lui-même : «Si vous demandez quelque chose à mon Père en mon Nom, Je le ferai.» Et nous venons au Nom du Seigneur Jésus. Nous ne réclamons pas la justice, mais nous réclamons la miséricorde.
Ce n’est qu’une histoire, Père, dans cette coupure de journal que nous avons là, il y est rapporté que ces petits oiseaux se sont envolés, se sont éloignés. Oh! le même Dieu Qui a pu les conduire à entrer dans l’arche avant la destruction antédiluvienne, est le même Dieu aujourd’hui, Qui peut écarter Ses oiseaux et Ses animaux du danger. Sûrement, Seigneur, Tu peux nous conseiller de fuir le courroux à venir.
Car les nations ont péché, et se sont retournées contre Dieu. Elles se sont rebellées dans leur coeur. Et nous comprenons qu’il se produira bientôt une explosion atomique à l’échelle mondiale, qui introduira par secousses ce monde dans un lendemain, ou plutôt dans l’éternité. Alors un beau matin, le Seigneur Jésus et Son Eglise retourneront sur la terre.

27 Oh, c’est après ce jour-là, ô Dieu, que nos coeurs soupirent, quand le vieillard redeviendra jeune pour toujours. Il n’y aura plus vieux, quant à l’âge, ni d’enfants ce jour-là non plus. Ils seront pour toujours dans cette belle splendeur de la jeunesse. Nous Te remercions pour cette grande Vérité, Seigneur. Bien que cela nous semble lointain maintenant, il se peut cependant que d’ici demain nous le voyions.
Je prie, Père, pour ceux qui ont levé la main avec respect et avec courage ce soir, pour montrer qu’ils voulaient Te recevoir comme leur Sauveur, que l’on se souvienne d’eux dans la prière. Ô Dieu, personne au monde n’est digne de conduire un tel peuple. Je sais que c’est Ton Esprit qui le fait. Tu as dit : «Nul ne peut venir à moi si mon Père ne l’a attiré, et tous ceux que le Père m’a donnés viendront.» Père, je Te prie de les sauver ce soir.

28 Puisse quelque chose être dit ou fait en sorte qu’ils Te reçoivent comme leur Sauveur et soient remplis de Ton Saint-Esprit. Car nous savons que ceux qui sont scellés... il a été ordonné que les plaies ne s’approchent pas de ceux qui ont le Sceau de Dieu sur leur front. Accorde-le, Seigneur. Sauve ceux qui peuvent être sauvés ce soir. Remplis du Saint-Esprit ceux qui L’attendent, et guéris tous les malades et les affligés.
Bénis les saints, Seigneur. Donne-leur un nouveau courage. Puissent-ils resserrer l’armure un peu plus fortement. Bénis chaque église, chaque dénomination. Ô Dieu, nous Te prions d’étendre Tes bras de miséricorde jusqu’à elles, et qu’un réveil éclate dans chaque église de ce peuple-ci et qu’il y ait un rassemblement comme un vent impétueux. Accorde-le, Père. Envoie un réveil à ces merveilleuses personnes-ci qui T’aiment. Je Te prie de nous pardonner nos manquements et nos péchés. Maintenant, Père, cache l’orateur de ce soir dans le Sang du Seigneur Jésus, car nous le demandons en Son Nom. Amen.

29 Dans l’Évangile ce soir, dans le Livre de saint Matthieu, chapitre 12, au verset 42, nous aimerions prendre là un texte pour un petit contexte, le Seigneur voulant.
Ce matin même, il m’a fallu en quelque sorte, comme je le dis, prêcher pour frère Moore. Frère Moore devait rentrer chez lui; en effet, il amène sa femme et les siens dans la matinée. Et nous nous attendons à ce qu’il vienne. Frère Moore est une vaillante âme pour Dieu, un grand homme de Dieu. Je le connais depuis que j’étais juste un... Eh bien, j’ai commencé le ministère avec l’évangélisation il y a quatorze ans. Il a été à beaucoup d’endroits à travers le monde. Je l’ai découvert (il n’est pas ici ce soir, aussi je peux dire ceci) c’est un vrai chrétien loyal, un véritable homme de Dieu, frère Moore. Il a une merveilleuse église là-bas à Shreveport. Que le Seigneur le bénisse.

30 Maintenant dans saint Matthieu 12.42 : La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle est venue des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon. Et voici, il y a ici plus que Salomon.

31 Jésus reprochait les gens et... parce qu’ils avaient mal compris Son Message. Et ils essayaient d’en faire quelque chose d’autre. Il était dans leurs villes, accomplissant des miracles, et montrant aux gens le Signe Messianique, comme nous en avons parlé l’autre soir.

32 Et nous voyons que ceux qui étaient prédestinés à la Vie ont vu cela. Ceux qui n’étaient pas prédestinés à la Vie ne L’ont pas vu. L’Evangile aveugle ceux qui ne – ne veulent pas L’accepter, et Il donne la vue à ceux qui veulent L’accepter.

33 Et c’est ainsi qu’il en était au temps de Jésus, où les Écritures établissent clairement et exactement les oeuvres qu’Il accomplissait, et disent qu’Il ferait cela ; et que les gens ont manqué cela. Cela montrait qu’ils ont dû être aveuglés.

34 Et de penser à cela, ces pauvres Juifs ont été aveuglés afin que nos yeux aient la possibilité d’être ouverts. Et maintenant le même Évangile qui a aveuglé les Juifs est en train d’aveugler l’église – la même chose, exactement selon la promesse. Et cela passe à un million de kilomètres au-dessus de leurs têtes. Je suis heureux de ce que vous enregistrez cela.

35 Je sais que c’est AlNSl DIT LE SEIGNEUR, que le – l’Evangile... le même Evangile qui a aveuglé les Juifs est maintenant en train d’aveugler les gentils, en effet, c’est le même Evangile, car il n’y a pas d’autre Évangile que l’Évangile du Seigneur Jésus-Christ. Nous avons beaucoup de crédos, mais il n’y a qu’un Evangile. Qu’est-ce que l’Evangile? L’Évangile n’est pas venu en paroles seulement, mais en puissance et en démonstration, et manifestations du Saint-Esprit, Dieu faisant s’accomplir Sa Parole. Ça devait être comme cela, car dans Marc 16, Il a dit : «Allez par tout le monde et prêchez la bonne nouvelle. Voici les miracles qui accompagneront... » Ou autrement dit : «Allez par tout le monde, et démontrez la puissance de résurrection.» Il n’est pas mort, mais Il est vivant. Et Il dépend de vous et de moi qui devons Lui permettre d’agir par nous, pour accomplir Sa volonté.

36 Et si jamais nous avons abordé quelque chose de non scripturaire, vous avez le devoir de venir nous en parler. Cela doit venir de la Bible, se retrouver dans toute la Bible. Cela doit s’accorder avec le reste des Ecritures et être juste. Si ce n’est pas le cas, alors nous – nous sommes disposés à reconnaître que c’est faux. Et si un ange ou... du ciel, ou n’importe quoi d’autre venait prêcher autre chose, ce qui n’est pas dans cette Bible, n’écoutez pas cela. Ceci, C’est la Parole de Dieu, et rien que la Parole de Dieu. Et nous savons que c’est vrai.

37 Eh bien, nous voyons que Jésus avait parfaitement... et a convaincu chaque croyant qui a cru en Lui. Comme Il a dit : «Mes brebis entendent Ma voix, elles ne suivront pas un étranger.» Et hier soir nous avons vu, (en apportant ce que Dieu a dit qu’Il serait quand Il viendrait – ce dont le prophète a parlé) – qu’Il serait un Prophète Dieu. «Le Seigneur votre Dieu vous suscitera un prophète comme moi.» Et ils savaient que le Messie serait... le signe du Messie serait celui de prophète.

38 Il y a quelque temps, je parlais à un rabbin là où un homme, John Rhyn, qui avait été aveugle pendant vingt ans, et qui avait reçu la vue… Il mendiait dans les rues de Fort Wayne.
Ce rabbin m’a appelé et m’a dit : «Par quelle autorité avez-vous ouvert les yeux de John?»
J’ai dit : «Je n’ai jamais ouvert ses yeux.»
Il a dit : «Bien, comment l’avez-vous fait?»
J’ai dit : «Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu.»
Et il a dit : «Loin de Dieu l’idée d’avoir un fils. Comment un Esprit pourrait-Il avoir un fils?»
J’ai dit : «Rabbin,» j’ai dit : «J’aimerais vous poser une question. Croyez-vous les prophètes? Il ne vous serait pas difficile de croire aux prophètes?»
Il a dit : «Si, je crois les prophètes.»
J’ai dit : «De Qui Esaïe parlait-il au chapitre neuf, verset six, quand il a dit : ‘Un enfant nous est né, un fils nous est donné?’»
«Bien,» a-t-il dit : «...du Messie.»

39 J’ai dit : «Quel rapport y a-t-il entre le Messie et Dieu?»
Il a dit : «Il est Dieu, l’Oint.»
J’ai dit : «Montre-moi un seul passage où Jésus a failli de – sinon qu’Il a montré qu’Il était le Messie Oint, le Seigneur, votre Dieu?»
Et il a dit : «Bien, il était un voleur.»
J’ai dit : «En quoi était-Il voleur?»
Il a dit : «Il a volé du maïs dans un champ de maïs.»

40 J’ai dit : «Rabbin, votre propre loi dit qu’un homme peut traverser un champ de blé et en manger ce qu’il veut; mais qu’il ne peut rien emporter dans un sac.» Il ne savait même pas ça, tout un rabbin. Il ne peut rien emporter, mais...?...
J’ai dit : «Il n’a pas volé.»
Vous savez, ce rabbin s’est tenu là quelques minutes.
Et j’ai dit : «Rabbin, ne croyez-vous pas qu’Il l’était?»
Il a dit : «Ecoutez, monsieur,» il a dit : «Si je prêchais cela, je serais là en bas, mendiant dans les rues.»

41 J’ai dit : «J’aimerais mieux être là-bas, mendiant et buvant de l’eau plate, plutôt que de manger du poulet trois fois par jour, avoir mon nom écrit en lettres d’or ici sur ce temple, tout en sachant que j’étais dans l’erreur. Je préférerais Lui rester fidèle.»
Et il a commencé à pleurer. Et il s’est retourné, et il a dit : «Je vous reverrai plus tard.»
J’ai dit : «Vous n’êtes pas sincère envers moi, rabbin.»
Il a dit : «Je crois que si ces sacrificateurs du temple l’avaient écouté, on serait mieux aujourd’hui.»
Et j’ai dit : «Vous croyez donc. Qu’en est-il?»
Il a dit : «Je crois qu’Il était un homme bon.»
J’ai dit : «Rabbin, croyez-vous qu’Il était un homme bon?»
Il a dit : «J’irai plus loin là-dessus avec vous. Je crois qu’Il était un prophète.»

42 J’ai dit : «C’est tout ce que je voulais vous entendre dire. Donc, Il a dit qu’Il était le Fils de Dieu. Et alors, s’Il était un prophète, Il ne pouvait pas mentir. Ainsi, vous croyez donc qu’Il était le prophète, le Fils de Dieu; Il a manifesté le Signe du Messie.»
Et il n’a plus voulu me parler, et il est rentré dans la maison.

43 Oh, frère! C’est ce que l’amour de l’argent fera. C’est ce que l’amour des systèmes ecclésiastiques fera. Mais que fera donc l’amour de Dieu à un coeur disposé à s’abandonner à la volonté et aux voies de Dieu?
Jésus leur a prouvé... Il a dit : «Si Je ne fais pas les oeuvres de mon Père, alors ne me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres...» Il a dit : «Prêtez alors attention aux oeuvres, si vous ne pouvez pas me croire.»
Ils ont dit : «Lui, qui est un homme, se fait Dieu.»
Il a dit, en d’autres termes : «Si Je fais les oeuvres de Dieu, alors que dites-vous à leur sujet?»
Maintenant nous voyons qu’Il a accompli ces oeuvres, ces signes et ces miracles devant eux. Et beaucoup d’entre eux... Les gentils ne les ont pas vus parce qu’ils ne savaient rien de la venue du Messie. Mais les Juifs et les Samaritains ont vu ce Signe Messianique. Et aussitôt qu’ils L’ont vu, ils ont dit : «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu; Tu es le Roi d’Israël.»
La femme au puits a dit : «Nous savons que ce Messie viendra et fera ces choses, mais Tu dois être Son prophète.»
Jésus a dit : «Je Le suis.» Oh, il n’y a jamais eu un homme qui a pu dire cela à part Lui. Il n’y en aura plus jamais d’autre, car Il était l’Unique. C’est vrai.

44 Eh bien, et ils ont manqué de voir cela. Et quand ils ont vu ça, ils s’en sont moqué et ont dit qu’Il faisait cela par un mauvais esprit, que c’était Béelzébul. En d’autres termes, Béelzébul est un démon; en d’autres mots, la puissance du démon, Il était un diseur de bonne aventure. Et ils ont prétendu qu’Il était un diseur de bonne aventure parce qu’Il pouvait connaître les pensées de leur coeur, et leur dire : «Pourquoi raisonnez-vous dans votre coeur? Je t’ai vu quand tu étais sous l’arbre. Ton nom est Simon, le nom de ton père est Jonas.»

45 «Eh bien,» ont-ils... ils ont dit : «C’est un diseur de bonne aventure.»
Et Jésus a dit : «Je vous pardonne d’avoir dit cela, mais un jour le Saint-Esprit viendra. Et parler contre Lui ne sera jamais pardonné dans ce siècle, ni dans le siècle à venir.» C’est donc la gravité de ce que nous affrontons aujourd’hui au temps de la fin.

46 Quand Il parlait du temps de la fin, le signe qui avait été donné à Lot, Il a dit que son jour réapparaîtra dans le dernier jour, et Jésus se tiendra là en ce temps-là en train de l’accomplir. Et ils ont dit... Quand Il parlait de ces jours passés et qu’Il réprimandait les villes, et Il a dénoncé leur incrédulité et la dureté de leur coeur. Et puis finalement Il s’est mis à leur parler de Dieu.

47 Et Dieu, dans tous les âges et dans tous les temps, a toujours accompli des signes et des miracles parmi Son peuple. En aucun temps ou aucun âge... J’aimerais que n’importe quel historien retourne avec moi dans l’histoire, même dans celle du Concile de Nicée, ou même du Concile prénicéen, et qu’il voie si à une...quelconque...quelconque époque, de Luther, Martin, John Smith, Moody, Sankey, Calvin, Knox, Spurgeon... A chaque fois qu’ils avaient un réel déversement du réveil, ils avaient la Puissance de Dieu manifestée parmi eux par des signes, des miracles, des parlers en langues, des démonstrations, la guérison divine, et ainsi de suite. En aucune époque...
Et chaque fois qu’un réveil commençait, quelqu’un se levait et commençait une organisation à la suite de cela, et la chose mourait pour ne jamais revenir. Sondez les Ecritures, sondez l’histoire, cherchez et vous verrez que chaque fois qu’ils ont organisé la religion chrétienne, elle mourait là même pour ne jamais se relever. C’est impossible.

48 Soit, Dieu conduit l’Eglise, autrement dit le Saint – le Saint-Esprit La conduit, soit un homme conduit l’Eglise. Si vous choisissez un homme, allez de l’avant. Dieu fait sortir simplement Son Eglise, la Colonne de Feu avance, et l’Eglise avance avec Elle.

49 Il a des individus dans chaque église, dans toutes les différentes églises. Si un homme est un catholique, et qu’il compte sur l’Eglise catholique pour son salut, cet homme-là est perdu. Mais s’il est un catholique, et qu’il compte sur Jésus-Christ pour le salut... «C’est par la foi que vous êtes sauvés, et cela par la grâce de Dieu.» Qu’il soit baptiste, pentecôtiste, ou quoi qu’il soit, c’est notre foi qui compte, notre foi personnelle dans la mort, l’ensevelissement et la résurrection de Jésus-Christ notre Sauveur.

50 Ne tirez jamais une ligne de démarcation pour les organisations. Nous croyons que tous sont – ont le droit d’être chrétien. «Que celui qui veut, vienne.» Peu importe sa couleur, son credo, ce qu’il est, s’il croit au Seigneur Jésus-Christ et qu’il L’a accepté comme son Sauveur personnel, il est sauvé par la foi. C’est la grâce de Dieu Qui l’a appelé.

51 Maintenant, nous voyons qu’à travers tous les âges, Dieu a toujours accompli des signes et des miracles parmi Son peuple – dans tous les âges, dans chaque âge. Et nous revenons... Jésus s’est référé au passé quand Il a vu qu’ils ne voulaient pas croire qu’Il était le Messie. Et Il s’est mis à se référer aux âges passés. Il a dit : «En vérité, Je vous dis que Jonas...» Au temps de Jonas.
Ils Lui ont demandé un signe. Ils ont dit : «Montre-nous un signe.» Vous voyez. Peu importe combien de choses étaient arrivées, ils ne voyaient pas cela. C’est pareil aujourd’hui, eh bien, les gens s’asseyent l’un à côté de l’autre comme cela, et l’un voit la puissance et la gloire de Dieu, et l’autre ne voit rien. Eh bien, c’est comme Paul, la Colonne de Feu, Elle était... Lui pouvait très bien La voir, mais ceux qui se tenaient près de lui ne pouvaient pas La voir.

52 Les mages ont vu l’étoile. Personne d’autre ne l’a vue, c’est passé juste par-dessus les observatoires et tout le reste, parce qu’ils ne s’y attendaient pas. Vous devez vous attendre à quelque chose. Vous devez venir étant dans l’expectative, conduit par le Saint-Esprit, alors Dieu se révélera à vous.
Eh bien, nous voyons que les gens disaient : «Nous aimerions Te demander un signe.» Et Il a dit : «Une génération méchante et adultère demande un miracle et il ne lui sera pas donné d’autre miracle que celui de Jonas.»
Dites, je pourrais m’arrêter ici juste un moment, avant d’aller en profondeur... Nous essaierons de ne pas vous garder trop longtemps. J’ai exagéré l’autre soir. C’était remarquable : j’ai prêché ce matin un sermon pendant vingt minutes. Prédicateurs, c’est vraiment très bien. D’habitude il me faut environ trois heures pour en terminer un. Mais certaines personnes peuvent prêcher et dire en quinze minutes plus que je ne le pourrais en trois heures.

53 Je suis – je suis du Sud. Je suis lent, et – je ne réfléchi tout simplement pas très vite. Je dois simplement attendre qu’Il me le dise et alors je le dis. Je ne suis jamais allé à une quelconque école ou séminaire, aussi dois-je m’attendre à Lui, le dire seulement quand Il le dit, Le suivre simplement. Mais je suis tout à fait certain que je suis dans le vrai si je m’attends à Lui. Supportez-moi juste un petit moment.

54 Ainsi donc, nous voyons qu’au temps de Jonas… Aujourd’hui, beaucoup de gens se moquent de Jonas, disant : «C’est un Jonas.» Eh bien, Jonas n’était pas un mauvais gars. Jonas était un prophète, et il ne pouvait pas s’écarter de la volonté de Dieu comme cela. Tout était selon la volonté de Dieu. Il n’a jamais pris le mauvais bateau. Il a pris le bateau qu’il fallait.

55 Avez-vous déjà lu l’histoire de Jonas? Elle est merveilleuse. Vous savez, j’ai toujours compati à son sort quand il s’est retrouvé dans le ventre du gros poisson. Il avait les mains liées, les pieds liés, et dans – dans une mer agitée, et il a été jeté là, et le gros poisson l’a avalé. Et quand le gros poisson... Un poisson mange; ensuite, quand il a fini de manger, il se repose au fond. Donnez à manger à vos petits poissons rouges et observez-les. Ils descendront et poseront leurs petites nageoires sur le fond, après qu’ils ont eu le ventre plein, et – et ils se reposent pendant quelque temps.
Bien, ce gros poisson s’est rempli de ce prophète, et il est descendu au fond de la mer. Et il était couché là, les mains liées, les pieds liés, et dans le vomi de ce gros poisson, dans son ventre. Probablement à 20 brasses [36 m – N.D.T.] de profondeur, et... le fond de la mer, et une mer agitée à la surface. Et il était couché là, et partout où il regardait, c’était le ventre du gros poisson. Il a regardé devant, c’était le ventre du gros poisson; derrière, c’était le ventre du gros poisson, tout autour. Vous parlez de symptômes! Il en a eus, un cas grave.

56 Mais vous savez ce que j’aime chez Jonas? Il a refusé de considérer un seul de ces symptômes. Il a dit : «Une fois encore je regarderai vers Ton saint Temple. Ces choses sont des vanités mensongères. Je regarde vers Ton saint Temple, car à la dédicace du temple, Salomon a prié et a dit : ‘Si Ton peuple est une fois dans le trouble, et qu’il regarde vers ce saint Lieu, écoute-le des Cieux.’»

57 Et vous savez, au fond du ventre du gros poisson, Jonas s’est pourtant souvenu que cette prière-là était suffisante. Et il a dit : «Une fois encore je regarderai vers Ton saint Temple...» Et Dieu a fait que ce gros poisson le conduise exactement là où Dieu voulait qu’il aille.

58 Et si Jonas dans ces circonstances (il n’y a personne ici qui ait été dans une situation aussi mauvaise, certainement pas), dans ces circonstances-là, a pu regarder au temple construit de main d’homme et compter sur la prière d’un homme, qui était mortel et qui plus tard a rétrogradé, et il a pu croire que Dieu avait exaucé sa prière – et… de cet homme, Dieu a exaucé cela en ce qu’Il délivra Jonas, et dans de telles circonstances… Combien plus devrions-nous, ce soir, détourner nos regards de nos symptômes pour regarder vers le Trône de Dieu, où Jésus est assis vêtu de Ses propres habits ensanglantés, le Fils de la Glorieuse Majesté Divine, pour intercéder?

59 Refusez de regarder à votre maladie. Refusez de regarder à tout ce qui est contraire à la Parole. Soyez comme Abraham autrefois. Quand il avait soixante-quinze ans, Sarah soixante-cinq, Dieu lui a dit qu’il aurait un bébé par Sarah, et il l’a cru. Vingt-cinq années ne l’ont pas ébranlé d’un pouce. «Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu.»
Je peux l’entendre dire après les trente premiers jours... Il avait vécu avec elle depuis qu’elle était une enfant, ou plutôt une jeune femme – sa demi-soeur – et elle était stérile. Lui aussi. Et il a dit... Et elle avait dépassé l’âge de la fécondité, elle avait dépassé la ménopause. Elle avait soixante-cinq ans, et lui soixante-quinze. Et j’imagine qu’après bien des jours, il a demandé :
– Comment te sens-tu, chérie?
– Pas de différence,
– Dieu soit loué! Nous allons l’avoir de toute façon. Va en ville, achète une paire de chaussons roses, et des couches, et des épingles à nourrice. Prépare-toi. Nous allons l’avoir de toute façon.
Eh bien, les gens ont pensé qu’il était fou. Et ils penseront que vous aussi vous êtes fou, tant que vous prenez Dieu au Mot, et que vous reniez tout ce qui est contraire à cela.
Il savait que Dieu était capable de garder ce qu’Il avait accompli. Et nous sommes censés être les enfants d’Abraham. Nous sommes les enfants d’Abraham si nous avons la foi d’Abraham. Tout le reste en dehors de la Parole de Dieu est un mensonge.

60 Regardez à ce que Dieu a dit. Nous regardons à l’invisible. Vous regardez à ce que vos yeux mortels ne voient pas. Vous ne voyez pas avec vos yeux de toute manière. Vous ne faites que regarder avec vos yeux, vous voyez avec votre coeur. Vous regardez bien la chose, vous dites : «Je ne vois pas ça;» vous voulez dire que vous ne le comprenez pas. Pour vous, voir c’est comprendre, vous comprenez donc avec votre coeur.
Eh bien, Jonas, malgré toute cette condition-là de Jonas, Dieu a exaucé sa prière.

61 Il y a une chose à ce sujet : Un véritable enfant de Dieu, vous ne pouvez l’empêcher de prier. Ils ont essayé de faire sortir cela de Jean en le faisant bouillir. Ils l’ont mis dans l’île de Patmos après l’avoir fait bouillir dans l’huile pendant vingt-quatre heures. On ne pouvait pas ôter cela de lui à force de bouillir cela. Ils ont essayé de faire sortir cela de Daniel à force de l’effrayer par des lions. Ils n’y sont tout simplement pas parvenus. Ils ont essayé de faire sortir cela des enfants Hébreux par le feu. Ils n’y sont tout simplement pas parvenus. Vous ne pouvez pas faire sortir le Saint-Esprit en Le brûlant. Il est Lui-même le feu, le feu combat le feu. Et quand un homme est réellement rempli de l’Esprit de Dieu, du Saint-Esprit, vous ne pouvez faire sortir Celui-ci par le feu, par la terreur, ou Le chasser. Il est là pour demeurer.

62 Maintenant, remarquez. Eh bien, nous avons toujours pensé que Jonas était sorti de la volonté de Dieu. Ce n’est pas le cas. Ninive était une grande ville, pleine de péchés, de rétrogrades. Juste à peu près comme... presque la taille de Saint-Louis. Une grande ville. Des milliers de gens là, qui s’étaient avilis par le péché, s’étaient mis à adorer des idoles. Et alors, leur idole principale, leur principal dieu de la mer... Leur occupation était la pêche, et le dieu principal de la mer était le gros poisson.

63 Et quand ce gros poisson est arrivé au milieu des pêcheurs, il a tiré sa langue en guise de passerelle, et le prophète est sorti de la bouche. Certainement, ils allaient croire cela. Dieu a fait débarquer Son prophète juste devant eux. Dieu sait comment faire les choses. Cela peut sembler stupide, mais c’est ce qu’Il a fait.

64 Maintenant remarquez. J’ai fait un grand détour pour arriver à ce point, mais notez. Jésus a dit... Saisissez ceci maintenant, le voici qui vient. Ouvrez votre coeur. Jésus a dit : «Une génération méchante et adultère demande un signe.» Eh bien, Il ne pouvait pas leur en parler parce qu’Il n’était pas encore mort. Mais Il a dit qu’il leur serait donné un signe. Le signe : «De même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre du gros poisson, de même le Fils de l’Homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.» En d’autres termes, quelle sorte de signe leur a-t-il été donné ? Cette génération méchante et adultère.

65 Eh bien, nous pouvons parler de tous les signes que vous voulez; voici un signe que Lui a dit : une génération méchante et adultère... Et voilà la chose! Les Sodomites envahissent la terre – le doute, l’incrédulité, les «ismes», toutes sortes de choses envahissent la terre. C’est une génération méchante et adultère. Mais Il a dit qu’ils recevraient le signe de la résurrection. Alléluia. Quoi? Jésus-Christ, vivant parmi nous, marchant au milieu de nous. Il n’est pas mort. «Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez. Car Je serai avec vous.» «Je» est un pronom personnel. «Je serai avec vous – pas quelqu’un d’autre, mais c’est Moi.»

66 «Je serai avec...» Qui? Les croyants. «Le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous.» Comment? «En vous.» Jusque quand? Jusqu’à la génération des apôtres? «Jusqu’à la fin du monde.» « Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement.» La fin de l’anéantissement… Le grand prophète Elie doit apparaître sur la scène; un ennemi des femmes, un homme du désert avec un message qui ramènera le coeur des enfants aux pères.

67 Souvenez-vous, il y a eu plusieurs venues. Rappelez-vous Malachie 4. Malachie 3 a parlé de la venue de Jean- Baptiste, Jésus s’y était référé; eh bien, les prophètes ont dit : «Mon messager.» Mais souvenez-vous, Malachie, celui qui vient dans Malachie 4, observez le dernier verset. Nous savons que ce n’était pas Jean, parce qu’Il a dit qu’Il brûlerait le monde avec le feu, et les justes marcheraient sur la cendre des méchants. Or, cela n’est jamais arrivé quand Jean est venu, mais cet Elie est annoncé encore pour aujourd’hui.

68 Notez, le premier Elie a tourné les coeurs des pères aux enfants – les vieux orthodoxes au nouveau message qui était en cours, qui est apporté. Et alors... «Et» est une conjonction pour relier le verset – les coeurs des enfants aux pères.

69 Et alors le message de Jean dans les derniers jours (ou le message d’Elie, l’Esprit qui sera dans l’Eglise) sera... prendra les coeurs des gens qui se sont éloignés des pères de la Pentecôte, et ramènera de nouveau leurs coeurs au message originel de la Pentecôte, tel que cela avait commencé. Le messager de l’alliance, la septième étoile du jour. Nous vivons dans ce jour-là.

70 Remarquez cette génération, cette génération méchante et adultère, demande un signe, et ils l’obtiendront. Quelle sorte de signe? Le signe de la résurrection. Il n’est pas mort, mais Il est vivant. Notre religion n’est pas de l’histoire, c’est un fait réel. C’est un Dieu Vivant. C’est une expérience vivante, comme il en était du temps de Jonas…
Eh bien, comme Il continuait, Il donna une autre illustration. Il a dit : «Et comme il en était dans les jours de Salomon...» Là au temps de Salomon. Quand Dieu envoie un don au monde, si les gens le reçoivent, ils entrent dans un âge d’or. S’ils le rejettent, ils entrent dans le chaos. Regardez ce qui est arrivé quand Jésus était le message de Dieu pour les gens, et qu’ils L’avaient rejeté. Regardez ce qui est arrivé à ce peuple qui L’avait rejeté.

71 Du temps de Salomon, Salomon était... Sous le règne de Salomon, tout ministre sait que c’était un âge d’or pour Israël, l’âge le plus glorieux. Ils ont construit le temple. Ils n’ont pas eu de guerres qui leur ont coûté quelque chose, et ils avaient la puissance de Dieu parmi eux. Oh, ce don-là était si grand, que toutes les nations environnantes les craignaient.

72 Ecoutez, frères, ce dont nous avons besoin aujourd’hui... Nous n’avons pas besoin d’abris atomiques. Ce dont nous avons besoin, c’est du baptême du Saint-Esprit. Les nations craindront. Si tous ces Etats-Unis qui prétendent être un pays chrétien se soumettent à la puissance de Dieu, beaucoup de choses se produiront ici, au point que chaque nation sera effrayée de faire exploser une bombe atomique. C’est juste. Il est notre refuge. Il est notre force, notre protecteur, notre bouclier, notre tout en tout.

73 Eh bien, nous remarquons donc qu’Il a dit : «Comme il en était dans les jours de Salomon où la reine du midi est venue des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon…» Eh bien, dans les jours de Salomon, tout le peuple était d’un même accord. Ils sont venus se rassembler autour du don. Salomon avait un don. Savez-vous cela? Salomon avait un don de discernement, et il avait... il pouvait discerner les choses. Cela prouvait que la chose venait de Dieu.

74 Bien, toutes les nations sont venues là, et sont entrées – dans – dans le temple pour entendre ce grand homme, Salomon; observer sa sagesse et s’assurer qu’il s’agissait d’un homme; elles ont compris que cela devait venir de Dieu. Et oh! comme tout le monde en parlait!
Chaque Israélite pouvait bomber le torse et dire : «Nous ne servons pas un Dieu mort. Nous servons Celui qui est vivant. Nous pouvons vous le prouver. Venez à la réunion ce soir, et voyez si c’est juste ou pas.» Amen. J’aime ça. Vous connaissez votre position. Venez et voyez si c’est juste ou pas.

75 «Venez dans notre région par ici. Voyez comment le Dieu Vivant peut entrer dans un homme et faire de lui presque un super homme.» Amen. C’est ce qu’Il fait de chaque chrétien né de nouveau – un super homme, une super femme, un super enfant. Il tourne le dos au péché et aux choses du monde, et il marche en paix avec Dieu. Un super signe. Il a dit qu’Il donnerait un super signe.

76 Maintenant, remarquez. Tout le peuple s’est rassemblé autour de cela. Ne serait-il pas merveilleux ce soir si toute l’Amérique, nous tous Américains, nous pouvions oublier nos différences dénominationnelles, pour nous rassembler autour du don que Dieu nous a donné, le Saint-Esprit? Si chaque église et chaque personne se rassemblaient autour de Cela? Eh bien! le... ce serait un sujet de conversation du monde entier, partout. Mais, oh, non. «Si c’est notre dénomination, c’est très bien. Mais si ce n’est pas notre dénomination, non, si cela n’est pas parmi nous, non, si cela n’est pas parmi nous, ça ne vaut rien.» Oh, comme c’est charnel!

77 Pas étonnant que Dieu ne puisse rien faire pour nous. Quand ces conditions... Il ne trouve rien sur quoi bâtir. Notez. Il ne bâtit jamais sur nos organisations. Sortez simplement cela de vos esprits. Il construira sur Jésus-Christ dans chaque individu qui viendra et Le recevra hors de toute organisation. Un coeur honnête et sincère.

78 Et chacune est tout aussi bonne que l’autre quand on en arrive à cela, car elles sont toutes des organisations. Ce qui est très bien. C’est parfaitement en ordre. Mais chaque fois que vous placez...
Quelqu’un m’a dit, il n’y a pas longtemps, il a dit : «Frère Branham, vous savez ce qui est arrivé? Cette grande organisation parle de – celle qui vous a toujours parrainé – vous savez ce qu’ils ont fait? Ils vous ont évincé. Ils ne veulent plus rien à voir avec vous.» Il a dit : «Ils ont planté des jalons.» Et ils ont dit : «Que personne ne reçoive plus frère Branham.»

79 J’ai dit : «Eh bien, moi aussi j’ai enfoncé les miens, et je suis allé bien loin pour les faire entrer.» C’est tout ce qu’il en est. C’est tout. Je les ai inclus, en effet, beaucoup d’enfants de Dieu sont là-bas, et c’est juste. Le Message est pour les enfants de Dieu. Non pas pour une certaine organisation, mais pour les enfants de Dieu. Ils me mettent dehors, moi je les inclurai en élargissant la mienne pour tout simplement les avoir dedans. C’est tout.

80 Nous devons nous aimer les uns les autres. Otez les racines d’amertume parmi nous. Alors Dieu peut se mettre à agir par nous. Mais à moins que nous ayons cela, nous sommes – nous sommes tout simplement en train de nous battre contre le vent. C’est vrai. Nous devons nous aimer les uns les autres. Jésus a dit : «Par ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples» qu’on aie raison ou pas, aimons-nous de toute façon.
Eh bien nous voyons donc que – que du temps de Salomon, tous ils étaient d’un commun accord. Et tout celui qui passait... ils n’avaient pas de télévision à l’époque, merci Seigneur, mais Ils avaient – mais ils avaient... ils... le seul moyen par lequel ils pouvaient envoyer un message, c’était de bouche à oreille. Et tout celui qui passait par là et voyait ces réunions, il allait en parler dans son pays.

81 Et vous savez, Jésus a dit: «La reine du midi est venue des extrémités de la terre.» (Ce qui était Séba) vint de l’extrémité de la terre. C’était les extrémités du monde connues à l’époque. Eh bien, Si vous notez bien, il y a une grande distance jusque-là, en traversant le Sahara.
Bien, les gens venaient et repartaient, des caravanes de chameaux, des caravanes, donc le moyen de transport dont ils disposaient, les gens venaient. Et peu après, les caravanes ont traversé la contrée, cette petite reine là-bas... Elle était probablement une païenne, une barbare.

82 Et tout le monde qui venait de la Palestine, disait sans cesse : «Oh, vous devriez voir ce qui est en train de se passer en Palestine. Oh! la la! Leur Dieu est un Dieu Vivant. Eh bien, Il a oint quelqu’un là, et ils l’ont même fait roi. Et quant à la sagesse du discernement, vous n’avez jamais vu de pareil. Ça ne peut pas être un être humain qui fait cela. Nous avons observé cet homme; nous lui avons serré la main. C’est un homme, il porte des habits. C’est juste un homme. Mais Dieu l’a choisi, et il – il fait des choses surhumaines. Aussi, nous savons que cela doit venir de Dieu. Et il rend toute la gloire à Jéhovah, leur Dieu. Vous devriez aller voir cela.»

83 Oh! Vous savez, la foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend au sujet de Dieu. Bien, le petit coeur de la reine commence à palpiter. «Vous savez, j’aimerais voir cela.» Je – je – je... Vous savez, vous entendez des témoignages. Maintenant, qu’en serait-Il si elle avait détourné son petit visage fardé, et avait dit : «Hum! Si quelque chose de ce genre avait lieu, ça devrait être ici dans mon église. Ça ne se passerait pas là-bas.» Très bien. Cette histoire n’aurait jamais été écrite. Jésus ne se serait jamais référé à elle. Elle aurait été une Jézabel moderne.

84 Et ainsi, nous voyons donc que la petite dame a commencé à avoir faim et soif. La foi avait eu son emprise, et elle a commencé à avoir soif de Dieu. Et Jésus a dit : «Heureux ceux qui ont faim et soif...» Même avoir soif seulement, vous êtes béni – rien que d’avoir soif. Que vous obteniez quelque chose ou pas, rien que d’avoir soif.

85 Vous dites : «Bien, je n’ai jamais rien obtenu.» Vous êtes béni de toute manière. Vous avez soif de cela de toute façon. «Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice...» Mais Il ne vous laissera jamais vous tenir comme cela. Il a dit : «...car ils seront rassasiés.» Cela me fait beaucoup de bien. «Ils seront rassasiés...»

86 Quand la profondeur appelle la profondeur, il doit y avoir une profondeur pour répondre à cet appel. Avant qu’il puisse y avoir une création, il a dû y avoir un Créateur pour créer cette création. C’est tout ce qu’il en est. Avoir faim et soif de Dieu.
Alors nous trouvons la petite reine toute troublée. Eh bien, qu’arrive-t-il habituellement? Eh bien, elle avait des dieux. Elle avait une église, et un pasteur, et... probablement que c’était un prêtre païen quelque part. Mais maintenant la vraie chose à faire, c’était d’aller... elle a subitement eu le désir d’aller voir si c’était vrai. J’aime cela. J’admire cela chez cette reine. Béni soit son petit coeur. Je la verrai dans la résurrection. Et elle – elle a voulu découvrir si c’était vrai ou pas.
Maintenant, elle a eu plus d’audace que beaucoup par ici et dans d’autres régions du pays. Ils entendent quelque chose comme cela : «Ah! Non-sens!» Voyez. Mais elle a voulu s’en rendre compte. Aussi a-t-elle dit: «Je crois que je vais aller là-bas.» Maintenant pour aller là-bas, elle a dit : «La prochaine chose que je dois faire, je dois obtenir la permission de mon église», comme le fait habituellement un bon membre d’église.
Aussi est-elle partie chez son prêtre païen, et elle a dit : «Révérend, saint père,» ou tout autre titre par lequel elle l’a désigné et... «Je viens vous dire que j’ai appris qu’il y a un réveil en cours en Palestine.»
«Oh, j’ai entendu ce non-sens depuis que j’étais gosse.»

87 Vous savez, le diable reprend son homme, mais jamais l’esprit. Il – il vit encore. Dieu reprend son homme, mais jamais l’Esprit, c’est pareil. Grâces soient rendues à Dieu pour cela. Les esprits continuent à se battre à travers des tabernacles de chair jusqu’au temps de la fin.
«Oh, j’ai entendu cette – cette baliverne. N’y croyez pas. Eh bien, je vais te dire une chose, ma fille. Tu dois te rappeler, tu as un grand prestige. Tu es le – tu es un membre fondateur de notre église ici. Ta maman était membre de cette église. Ta grand-mère en était membre. Nous venons tous ici. Eh bien, ton arrière arrière-grand-mère venait ici. Et qu’on ne te retrouve pas parmi une bande de saints... ou, tu sais, des gens de cette espèce-là. Tu ne devrais pas aller dans une telle histoire. Ce serait un déshonneur que d’être surprise au milieu d’une telle foule.»

88 Mais vous savez, quand Dieu se met à traiter avec un coeur humain, quelque grands que soient les gens, Il leur laisse voir combien ils peuvent devenir petits, vous voyez. Elle a dit : «Mais, Révérend, vous savez, je... il y a quelque chose en moi qui... je – je veux aller voir cela.»
«Bien, je ne te permettrai pas. Je vais le dire en des termes durs. Je sais que tu es la reine, mais c’est moi le prêtre. Et tu jetteras l’opprobre sur ton papa et sur ta maman, et sur ce saint temple, si on te surprend avec un groupe comme celui-là. Bien, regarde ce qu’ils sont. Eh bien, ce sont des renégats. Ils ne valent rien. Tu ne devrais pas aller là-bas, perdre ton temps avec un groupe comme celui-là. Si le Dieu vivant... regarde aux dieux que nous avons ici.»
C’est là le problème aujourd’hui, nous avons trop de dieux.
En outre, elle a dit... Elle a dit : «Mais écoutez, laissez-moi vous dire quelque chose. Je... ma grand-mère venait ici, vous le dites. Mon grand-père venait ici, et ma maman venait ici. Et je viens ici. Et j’ai entendu tous vos crédos toute ma vie. Ils les ont entendus toute leur vie. Et nous ne les avons pas vus murmurer ou faire sortir quelque chose. Ils sont morts. Mais on m’a appris qu’il y en a Un Qui est vivant là-bas. C’est Celui-là que je veux découvrir.»

89 «Si, votre credo est juste,» a-t-elle peut-être dit : «Pourquoi ne voyons-nous pas quelque chose de votre dieu dont vous parlez? Vous dites qu’il était, ou alors il est mort? Que lui est-il arrivé? Nous ne l’avons jamais vu, grand-mère ne l’a jamais vu, et sa maman à elle ne l’a jamais vu, et sa maman n’a jamais vu cela. Quand était-il dieu?» J’aime cela. Cela le rend réel. «Quand l’était-il?»
Bien, peut-être qu’elle... Il se peut qu’elle ait dit ceci : «Eh bien, ma fille, tu es en train de dévier et tu vas finir mal. Tu es sur une mauvaise pente. Tu vas tomber dans le fanatisme.»
Mais elle a dit : «Révérend, je veux que vous sachiez ceci. Je ne me soucie pas de ce que cela me coûte, ni de ce que vous dites, j’irai de toute manière.»
J’aime cela. Ce n’est pas étonnant que Jésus ait dit qu’à la résurrection, elle condamnera cette génération.
– Je vais aller de toute façon.
– Nous t’excommunierons. Ne reviens plus ici...
– Si la chose est vraie, ne vous inquiétez pas, je ne reviendrai pas de toute façon. Je ne reviendrai pas de toute façon. Je vais d’abord m’assurer que c’est vrai.
Je la vois maintenant. Elle y avait bien pensé. Eh bien, elle a rencontré bien des choses qui lui faisaient obstacle. Toute personne qui vient à Christ, ne vous en faites pas, le diable viendra vous en donner assez pour vous bloquer. Il ne veut pas que vous arriviez là. Vous passerez par des obstacles pour arriver là. La première chose vous savez, eh bien, je peux imaginer qu’elle est retournée au palais. Elle s’est assise, elle a étudié cela.

90 Je l’entends dire : «Eh bien, j’ai lu tous les rouleaux que j’ai pu trouver sur le Dieu ancien de ces gens là-bas, ce Dieu d’Israël, ce Jéhovah dont ils parlent. J’ai leurs rouleaux ici dans notre bibliothèque, ceux que les prêtres ont utilisés pour Le critiquer. Mais si ce Jéhovah fait cela avec un homme, cela signifie que Jéhovah est un Esprit vivant qui est dans une personne vivante. Il s’intéresse à l’être vivant. Il n’est pas une idole, ou une statue de marbre. Il est une Personne Vivante. Donc, c’est pourquoi nous allons... je vais aller là-bas le voir.»

91 Eh bien, elle a dit ceci : «Maintenant, la première chose que je vais faire, je vais premièrement aller là-bas pour tirer mes propres conclusions là-dessus. Je ne vais pas prendre la parole de quelqu’un d’autre, car eux critiquent – l’un dit ceci, et l’autre dit cela. Eh bien, laissez-moi aller me rendre compte par moi-même.» J’aime cela. J’aime cela.
«Laissez-moi aller et voir par moi-même si c’est vrai ou pas. Laissez-moi examiner cela. Je vais – je vais le comparer avec ces rouleaux que j’ai lus. Si l’Esprit qui est sur cet homme-là s’accorde avec les rouleaux que j’ai ici, alors je dirai que Jéhovah est avec lui, qu’Il est un Dieu réel. Mais si ce n’est que... Si Jéhovah dit une chose et que cela ne s’accomplit pas, et si ces choses ne sont pas vraies, alors Il n’est pas plus que nos idoles ici. Donc je vais y aller et m’en rendre compte par moi-même.»
Alors, elle a dit : «Attendez une minute. J’ai toujours donné des dîmes importantes ici, aussi...» (Maintenant je ne fais pas de la publicité pour les ministères et autres.) Mais elle a dit : «Si c’est vrai – si c’est vrai, je vais le supporter. Je vais prendre de l’or, de l’encens et de l’argent. Si c’est juste, cela mérite d’être supporté. Si ce n’est pas juste, alors je ramènerai mon argent.»
Elle devrait venir prêcher aux Américains quelques fois – vous soutenez des choses qui se moquent de vous et qui vous appellent un saint comédien; et néanmoins vous le soutenez. C’est Juste. Mais vous y êtes.
Elle a dit : «Je verrai par moi-même. Et si cela est juste, ça mérite que je le supporte par tous les moyens possibles.»

92 Et c’est la vérité. Cela vaut.. Pas plus... Non pas dix pour cent de votre argent. Cela vaut votre vie entière. Cela vaut toutes les choses du monde que vous avez, si c’est juste. C’est bien là la Perle de grand prix.

93 Si Dieu vit encore... si Jésus-Christ est le Fils du Dieu, vivant aujourd’hui et vivant ce soir, Il «est le même hier, aujourd’hui et éternellement», alors la chose vaut chaque moment de notre temps, notre talent, notre tout. Nous devrions nous défaire de toute chose; dire adieu à toute chose, et Le servir. Si cela n’est pas, bien, allons simplement nous joindre à quelque chose et continuons, et restons avec la grande foule, et menons une gentille vie décente et continuons. Mais si c’est juste, tenons – restons avec cela. C’est ce qu’elle s’est dit.

94 Aussi a-t-elle chargé les chameaux avec de l’or et de l’argent. Alors la pensée est venue... vous savez, les enfants d’Ismaël étaient dans le désert en ces jours-là. Et c’étaient des voleurs. Et ils étaient réellement une caravane d’hommes, aussi – une véritable caravane de cavaliers, de meurtriers, là-dehors dans le désert. Et elle avait – avait un long chemin à faire. Eh bien, elle s’est mise en route avec ses petites servantes, des filles et ses eunuques, juste une petite poignée parmi eux, pour traverser le désert du Sahara.

95 Eh bien, frère; j’ai du respect pour cette femme-là. Elle n’a pas... vous savez, il y a quelque chose là-dedans : Si vous... Si Dieu traite réellement avec votre coeur, vous n’avez pas peur. Si – si Dieu a parlé à votre coeur, et vous a dit qu’Il allait vous guérir ce soir, vous ne faites pas cas des déclarations du docteur sur votre maladie. Cela chasse simplement – cela chasse simplement toute la peur, on ne sait comment.
Elle ne s’est pas inquiétée. Elle était allée voir si c’était juste ou pas. Aussi elle a commencé la traversée du désert du Sahara. Maintenant regardez ce que cette petite femme... Elle a dû probablement voyager de nuit. Ces rayons directs du désert du Sahara... et souvenez-vous, elle... ça lui a pris...

96 Vous savez combien de temps il faut pour faire cette traversée-là à dos de chameau? Quatre-vingt-dix jours – trois mois. Elle n’a pas traversé ce désert à bord d’une Cadillac climatisée, une quelconque carrosse climatisée, c’est comme certaines gens qui vivent ici aux Etats-Unis; ils ne traverseraient pas la rue pour voir la chose. Mais elle a traversé le désert, quatre-vingt-dix jours durant à dos de chameau, bravant toutes sortes de dangers qu’il y avait. Non sans but, mais son petit coeur battait de découvrir s’il y avait réellement un Dieu vivant ou non. Elle s’est mise en route. Pas étonnant qu’elle se lèvera dans la génération, dans cette génération et la condamnera. Elle est venue des extrémités de la terre – du monde, dans les conditions les plus hostiles, pour venir s’assurer que c’était la vérité ou non. De nos jours, au lieu de venir pour se rendre compte, ils viendront à l’église, peut-être vont-ils s’asseoir. «Je vais m’asseoir juste une minute. (Quelques bons voisins leur ont demandé de venir.) Je vais m’asseoir. S’il ne dit pas les choses que j’aime, je me lèverai et je sortirai.» Oh, vous, misérable hypocrite! Oh, oui. Je ne veux pas vous blesser, mais je – je – je... il vaut mieux vous roussir un peu que de vous laisser brûler. Bien, c’est – c’est – c’est vrai. Je n’ai pas l’intention de vous blesser. Je n’ai pas l’intention de faire cela. Je vous aime trop. Mais j’essaye simplement de vous faire raisonner, vous voyez. Oh! la la! C’est si misérable de vivre comme cela. Je détesterais vivre comme cela.

97 Et alors, là, elle a traversé le désert. Elle a eu tant de peine. Et elle a dû voyager quatre-vingt-dix jours – peut-être que c’était un voyage nocturne car il faisait si chaud qu’elle ne pouvait pas voyager le jour. Et tous ces voleurs, avec tout cet argent et tout le reste. Et elle n’avait qu’un seul objectif, c’était de découvrir s’il y avait un Dieu Vivant ou non, si c’était vraiment un Dieu Vivant ou non.

98 Pourquoi les gens ne sont-ils pas si honnêtes aujourd’hui? Pourquoi ne vont-ils pas pour s’assurer? Ce Jésus dont nous parlons tous, et nous en avons fait des crédos, et toutes sortes de crédos et tout, allons... est-ce qu’Il vit? Où est-Il? Que Lui est-il arrivé? La Bible dit : «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi.» Où cela en est-il? Quand Il vient dans la ville, pourquoi – pourquoi les gens S’en moquent, le tirent en dérision? Les journaux en font d’odieux reportages. Oh! Frère! Pas étonnant qu’il y ait une bombe suspendue dans les abris là-bas qui nous attend. C’est vrai. Mais pas pour l’Eglise, souvenez-vous, elle sera partie. En un instant, en un clin d’oeil, elle sera changée et enlevée.
Elle a traversé le désert. Finalement, elle est arrivée à la porte du temple. Eh bien, elle n’est pas venue simplement pour s’asseoir juste quelques minutes, et dire : «Je vais voir maintenant. Je vais entrer. S’il ne prêche pas comme mon pasteur, j’irai chercher mes histoires, et je m’en retournerai.» Voyez? Non. Elle est venue pour rester jusqu’à ce qu’elle soit convaincue.

99 Elle avait dressé un camp et elle est simplement restée là dans la cour. J’aime cela.
«Je resterai simplement jusqu’à la fin du réveil. Je sonderai toutes les Ecritures, et je verrai si c’est vrai ou non. Je ne prendrai pas seulement ma première conception de la chose, je veux entrer et découvrir. Je sais ce que Jéhovah est censé être. Je sais ce qu’est Sa promesse. Je sais qu’Il discerne les pensées du coeur. Je connais toutes ces choses; la Parole de Dieu est plus vivante, plus tranchante, plus puissante que mon épée à deux tranchants, pénétrant jusqu’à la moelle de l’os, et Elle juge...» La Parole, la Parole de Dieu.

100 «Au commencement était la Parole. La Parole a été faite chair et a habité parmi nous.» Il était Dieu, et la Parole – la Parole, Christ en vous – Elle juge les sentiments et les pensées du coeur. Oh, église endormie, réveille-toi! Ministres, secouez-vous. L’heure est là. Fuyez ces tours de Babel et allez vers la Croix. Elle tombera un de ces jours. «Chaque arbre que mon Père céleste n’a pas planté sera déraciné. Mais sur cette pierre, Je bâtirai mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne l’ébranleront pas.» C’est exact. Je suis si heureux.

101 Une révélation spirituelle – l’Eglise entière est bâtie sur la révélation, sur cette pierre. Les protestants disent qu’Il l’a construite sur Christ. Les Catholiques disent : «Bâtie sur Pierre…»

102 Les deux sont dans l’erreur. Il l’a bâtie sur la révélation que Pierre avait eu de qui Il était. La grande et principale révélation, c’est toujours Qui est Jésus-Christ. Le livre de l’Apocalypse, qui est la révélation de Jésus-Christ, commence par cette chose même, pour montrer la suprême Divinité de Jésus-Christ. «Je suis Celui qui était, et qui est, et qui vient, le Tout-Puissant.» La première de toutes les révélations. Oui, la révélation...

103 «Sur cette pierre, Je bâtirai Mon Eglise. Peu importe le nombre de persécutions, combien de barrières ils érigent pour vous exclure, Je bâtirai mon Église, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre Elle.» C’est vrai. Cela montre que toutes les portes du séjour des morts seront contre Elle, mais elles ne pourront pas prévaloir. «Je bâtirai mon Eglise.» Le Saint-Esprit agissant, oeuvrant, le Christ ressuscité agissant. Qui peut arrêter Cela? Essayez de le faire. Vous ne le pourrez jamais. Cela continue sans cesse. Emettez toutes les critiques que vous voulez, cela ne fera que fortifier l’Église chaque fois que vous le faites. Elle va de l’avant.
Elle est donc partie, elle a pris ses chameaux, a mis son argent dans une petite trousse; j’imagine qu’elle a campé là. C’était donc la première réunion à laquelle elle participait, le lendemain matin elle est revenue. Je m’imagine qu’on avait sonné toutes les trompettes, les cloches avaient sonné et les cantiques avaient été chantés, et un moment après, le pasteur Salomon est venu à l’estrade.

104 Oh! Il y avait beaucoup de gens là. Peut-être que beaucoup de cartes de prières avaient été distribuées ce jour-là, à ce que je sache. Ils avaient une certaine procédure. De toute façon, elle a pris place, peut-être, et s’est assise au fond de l’église. Personne ne la connaissait. C’était un grand auditoire ce matin-là. Salomon est apparu, un homme très bien, il parlait très gentillement au peuple. Après qu’ils avaient eu la prière et tout, Salomon s’est assis. Et alors… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]. Oh! la la!
Ils ont vu que Salomon avait en lui une certaine puissance qui ne pouvait pas être la puissance d’un homme. C’était la puissance de Dieu. Ils ont observé... Le cas suivant, la même chose; le cas suivant, la même chose; le cas suivant, la même chose; c’était infaillible dans chaque cas. Je parie que son petit coeur s’était mis à battre. Elle a dit : «Eh bien, si cela continue, je vais me procurer une carte de prière, moi aussi.»
Le jour suivant, elle y a assisté. Elle n’était pas pressée. Pas de hâte. Elle voulait examiner cela. Elle est rentrée chez elle, il se peut que toute la nuit elle ait lu les rouleaux, toute la nuit. «C’est exactement ce qu’est Jéhovah. C’est ce qu’Il est.» C’est en ordre. Elle est venue là... «On a jamais vu cela dans mon église, de toute ma vie. C’est tout à fait étrange pour moi.» Elle rentre et se rassoit. Le lendemain matin, ils sont entrés. Le premier cas, parfaitement discerné ; le deuxième cas, parfaitement discerné; le troisième cas, parfaitement discerné. Oh! la la! son coeur s’est mis à battre plus vite. Finalement, elle a eu l’occasion d’entrer dans la ligne de prière.

105 Quelque temps après, elle s’est tenue devant Salomon. Et la Bible dit que rien n’était caché à Salomon. Alléluia! Il a répondu à toutes ses questions. Rien n’était caché. Si c’était caché à quelqu’un d’autre, à lui cela n’était donc pas caché. Il lui a révélé exactement les pensées de son coeur. Rien ne lui était caché, et il a répondu à tout pour elle. Son Esprit de discernement a discerné exactement ce qu’étaient tous ses problèmes, et tout là-dessus. Et qu’a-t-elle dit?

106 Elle s’est retournée, et elle a dit : «Tout ce que j’avais entendu est la vérité, et bien plus, il y a même plus grand que ce que j’avais appris.» Et elle a dit plus que cela : «Heureux ceux qui sont ici avec toi et qui contemplent cette oeuvre chaque jour. Heureux ceux qui viennent et qui te sont associés, et s’assoient dans cette église, qui sont tes membres ici, pour voir ces choses arriver chaque jour.»

107 Et bien plus, elle est devenue une chrétienne, et elle a fait une confession publique à Dieu. Et des centaines d’années plus tard, Jésus-Christ a dit : «Elle se lèvera au jour du jugement, avec cette génération, et la condamnera, parce qu’elle est venue des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salamon, et voici, il y a ici plus que Salomon.»

108 Je dirai ce soir qu’il y a ici plus que Salomon! Le Seigneur Jésus-Christ est ici, plus que Salomon, plus grand, Celui qui a fait la promesse et a dit : «Ces oeuvres que Je fais vous les ferez aussi.» Au temps du soir, la lumière paraîtra.
Vous trouverez sûrement le sentier de la gloire.
Les lumières du soir brillent.

109 Souvenez-vous, frère, le soleil se lève à l’est et se couche à l’ouest. Le même soleil qui se lève à l’est, se couche à l’ouest. Nous savons cela. Géographiquement il traverse la terre, comme cela. Maintenant, remarquez ce qui arrive. Le prophète a dit : «Il y aura un jour qui ne pourra être appelé ni jour ni nuit.» Ce sera un jour nuageux, pluvieux, brumeux – juste assez de lumière pour que vous puissiez voir comment adhérer à l’église, et inscrire votre nom dans un registre, et demander pardon à Christ. Mais au temps du soir, la lumière paraîtra.
Maintenant, rappelez-vous, la civilisation a voyagé dans le même sens que le soleil. La plus vieille civilisation est la civilisation orientale. La Chine est la plus vieille civilisation que nous connaissons. Très bien. La civilisation a voyagé dans ce sens-là. Maintenant, elle est allée si loin que la côte est et la côte ouest se sont rencontrées. Nous sommes à la côte ouest. Si nous allions plus loin, nous serions de nouveau à l’est. Quand on a quitté la Californie, on arrive au Japon et en Chine. Vous retournez encore au point du départ.

110 Qu’est-ce? Au temps du soir, la lumière paraîtra.
Nous avons eu un jour – deux mille ans où nous nous sommes organisés, nous avons adhéré aux églises, nous avons bâti de grandes choses, de grands clochers d’église. C’est bon, mais Christ n’a jamais donné un ordre pour cela. Il n’a jamais dit de construire une église, ou d’avoir une école de théologie. Il n’a jamais donné un ordre pour ces choses. Il a dit : «Prêchez l’Évangile.» Nous avons fait exactement ce qu’Il a dit de ne pas faire. Mais de toute façon, il doit en être ainsi. Mais au temps du soir, la lumière paraîtra.

111 Alors, quel genre de lumière cela donnera-t-il? Si c’était la première lumière du soleil qui a brillé sur le peuple de l’est, qui est le F-I-L-S de Dieu, et Il a fait les choses qu’Il a faites en ce jour-là à l’Alpha, Il fait la même chose à l’Oméga. Comme Ruben et Jaspe... Benjamin, et... ou – ou, la pierre de Sarde – tous deux Benjamin et Ruben, le premier et le dernier. Maintenant, Il est l’arc-en-ciel dans tous les âges de l’Eglise.

112 Maintenant, nous sommes au temps du soir. Les lumières du soir sont venues. Et sûrement... Je dis ceci en toute sincérité, chrétiens. Je dis ceci, pécheur, en toute sincérité. Je ne suis – je ne suis pas un prédicateur, je pense. Je – je n’ai pas d’instruction. Mais Dieu m’a donné un autre moyen pour pouvoir gagner les gens à Dieu, vous voyez, un autre moyen pour compenser mon ignorance, Il m’a donné un autre moyen pour prier pour les malades, l’esprit de discernement.
Eh bien, c’est ce qui a été mis en question là à Houston, quand Il a permis que Sa photo soit prise cette nuit-la, quand Dr Best et les autres étaient là.

113 Ce… Qu’est-ce que cette reine avait vu? Qu’est-ce qui la faisait agir comme cela? Elle avait vu quelque chose de réel. Elle avait vu quelque chose de réel, quelque chose qu’elle pouvait palper du doigt, pas une statue qui se tenait là, qu’un homme quelconque avait taillé, en – en – en marbre, ou en bois, ou avait fait avec de l’argile. Elle a vu quelque chose qu’elle pouvait palper du doigt, que – quelque chose de réel. Elle a vu quelque chose qui vivait, qui apportait la vie. Elle savait que cela devait être Dieu. Elle a vu quelque chose... elle avait vu tellement de fabriqués et de comédies qu’elle cherchait à voir quelque chose de réel. Et Dieu lui a permis de voir cela.

114 Eh bien, les enfants aujourd’hui, le monde est plein de comédies. «Venez, adhérez à notre dénomination. Récitez notre credo. Venez à notre église, c’est la plus grande de toute la ville.» C’est une comédie. Je ne dis pas qu’ils ne sont pas chrétiens là-bas. Ce n’est pas... mais tant que l’église a quelque chose à faire avec cela, que l’organisation a quelque chose à faire là-dedans, cela est faux. C’est juste une apparence maquillée. Ce que le monde veut voir aujourd’hui, c’est quelque chose de réel. Réel. Quelque chose qui est réel, une Bible réelle, pieusement réelle.
Vous savez tous que je chasse. J’ai chassé toute ma vie. Ma mère est à moitié indienne Cherokee, et ma conversion n’a jamais ôté cela de moi. S’il y a quelque chose que j’aime, c’est le bois. Oh! Je ne peux guère supporter... j’entre dans ce bois, et tout commence pour moi. Je trouve Dieu dans les bois. Dieu, j’entends Son appel dans le coyote et dans le loup, je L’entends dans le cri du cerf. Eh bien, assurément. Je L’entends dans le cri de l’aigle. Je Le vois dans le coucher du soleil. Dieu est partout. Allez dans la nature. Eloignez-vous de ces villes infectées et tout, où vous avez tant de péchés et la débauche qui augmentent... tout le temps.

115 Je lisais dans le journal l’autre jour, j’oublie... il y a trente mille cas d’avortement, enregistrés par semaine dans la ville de Chicago. Combien ne sont pas enregistrés? Trente mille cas d’avortements. Oh! la la! Oh! la la! Qu’est-ce qui se passe, frère? Pensez au monde, là, qu’est-ce qui se passe, en ce moment quant au péché? Oh, c’est horrible!

116 Là-haut dans le bois du Nord, où je chassais, j’ai chassé là avec un gars du nom de Burt Caul, un très bon garçon, l’un de meilleurs chasseurs avec qui je n’aie jamais chassé. Vous n’avez pas besoin de vous inquiéter à son sujet. Vous n’avez pas besoin – vous ne pouvez pas l’égarer. Il savait où il se trouvait. Et nous aimions chasser l’un avec l’autre, parce que nous chassions le cerf à la queue blanche.

117 Mais c’était l’homme le plus méchant que j’aie jamais vu de ma vie. Il était la personne au coeur le plus cruel que j’aie jamais vu. C’était une autre sorte de métis, aussi il – il... mais c’était un vrai chasseur. Et j’aimais chasser en sa compagnie, mais il était très méchant, très cruel! Il tirait sur de petits faons, simplement pour m’attrister.

118 Eh bien alors, si la loi dit que vous pouvez tirer sur un faon, c’est licite. Abraham a tué un veau, et l’a donné à manger à Dieu. Il n’y a donc rien de mal dans le fait de tuer un faon si la loi a dit que c’était licite. Mais leur tirer dessus juste pour le loisir, ça ce n’est pas correct. C’est un meurtre. Je ne crois pas qu’on devrait le faire. Je suis un partisan de la conservation de la nature, j’ai été un agent de la conservation de la nature pendant des années. Je crois toujours en cela, et ici je suis membre de beaucoup d’associations de conservateurs. Mais, eh bien, j’y crois. Je crois – je crois qu’il faut préserver cela.
Maintenant... Et Burt faisait cela simplement parce que j’étais un prédicateur. Il m’attristait simplement. Il disait : «Hum, vous autres poules mouillées de prédicateurs,» comme cela. Il se disait être un grand type rude.

119 Alors une certaine année, je suis allé là, et il s’était fabriqué un petit sifflet. Et il pouvait imiter un petit faon – qui est le petit du cerf, pleurant après sa maman. Et il a – il faisait retentir ce petit sifflet. Si jamais vous avez entendu le cri d’un faon, c’est un drôle de petit bruit.
Et j’ai dit : «Burt, tu ne vas pas quand même utiliser cela?»
Il a dit : «Ah! voyons Billy. Reprends tes sens.»
Eh bien, nous sommes allés chasser ce jour-là, et il y avait environ 6 pouces de neige [15 cm], bon pour une piste de neige, c’était vers la fin de la saison. Eh bien, alors, c’était difficile de trouver ces cerfs à queue blanche.

120 Aussitôt que le premier coup est tiré, frère, vous parlez de Houdini, ce professionnel en matière d’évasion, il était un amateur à coté d’eux. Ils peuvent disparaître, pour ne jamais se faire voir. Vous devez les déloger de la brousse, les débusquer d’une façon ou d’une autre, car ils vont se cacher – ils se couchent et rampent sous les tas de branches et tout, pour s’en aller. Beaucoup de chasseurs…
C’est la raison pour laquelle il fallait être prompt, tirer vite, rapidement, tout, pour avoir votre cerf. Et Burt et moi nous nous y prenions bien. Mais il voulait les massacrer. Il en tirait deux, trois, quatre, cinq, autant qu’il le pouvait, simplement pour le plaisir, juste pour en rire. Se moquer de moi.

121 Et là, un certain jour, nous étions allés dans le bois, et on était vers l’heure du dîner. Nous amenons toujours une cruche de – de chocolat chaud, cela vous réchauffait un peu, pour le cas où on se retrouverait quelque part, et ou on devrait y passer toute la nuit. Nous emportions toujours un petit déjeuner. Et nous chassions sur le domaine présidentiel – le Mont Washington, Adams, sur la montagne Cherry, et ailleurs, une contrée magnifique. Et nous allions là loin à la brèche du Caul, et là au fond. Et nous sommes montés dans cette direction-là. Nous sommes montés dans cette direction-là. Nous sommes montés plus haut, et nous avons chassé jusqu’aux environs de onze heures.
Nous sommes arrivés à une petite clairière d’à peu près la dimension de cet auditoire, et Burt s’est accroupi comme ceci, il s’apprêtait à retourner dans son terrain, je me suis dit : «Bien, nous allons nous asseoir et prendre notre dîner.» Généralement nous nous séparions, l’un va dans une direction, et l’autre dans une autre, on revient, on gravit la montagne, on y chasse, l’un prend un flanc, l’autre un autre, on revient. Et il s’est donc assis, et je me suis assis, aussi.

122 Et je l’ai vu diriger sa main vers sa poche. Il a pris cette espèce de petit sifflet. Et je me suis dit... j’ai dit : «Burt, tu ne devrais pas faire cela.» Il a simplement ri. Ses yeux me faisaient penser à un lézard, comme cet aspect des yeux de lézard qui sont disposés sur les côtés. Il a levé les yeux vers moi, et a fait une sorte de demi-clin avec, il ressemblait à un chien égorgeur de troupeaux. Et il mit à la bouche cette espèce de petit sifflet, et il siffla exactement comme un petit faon en train de pleurer. Et alors, à ma surprise une grande biche s’est redressée juste de l’autre côté de cette percée!
Eh bien, une biche est une maman cerf, si vous ne le saviez pas. Oh, c’était une belle espèce – avec des oreilles très grandes et jolies, de grands yeux marron brillants. Je l’ai regardée. Et il m’a regardé, avec ces yeux de lézard. J’ai dit : «Burt, tu ne devrais pas faire cela.» Bien, c’est – c’est étrange. Elles ne peuvent pas se redresser comme cela à ce moment de la journée. Elles restent...

123 Mais qu’était-ce? Elle était une mère. Un petit pleurait. Et je l’ai observée de nouveau. Je l’ai vue avec cette grande tête levée, cherchant des yeux partout, de larges oreilles dressées. Et il a de nouveau sifflé – il a poussé un cri comme un petit. Elle s’est simplement avancée dans la percée! Oh! c’était très inhabituel. Elles ne font pas cela. Je l’ai vue s’avancer là dans cette percée.
Je me suis dit : «Oh! oh!» Et je l’ai vu tirer ce levier, introduire une cartouche dans ce fusil 30.06. Oh! il était un fin tireur. Et il a braqué son viseur là, le réticule juste sur son coeur à elle. Je me suis dit : «Oh! miséricorde! Comment peut-il faire cela? Comment peut-il faire cela? Cette précieuse mère se tient là à la recherche de son petit, dans une seconde… Il toucha cette gâchette, avec cette balle creuse de cent quatre-vingts grains, il va faire voler son précieux coeur et le faire ressortir de l’autre côté.» Je me suis dit : «Burt, comment peux-tu faire cela? Comment peux-tu être si cruel?» Et je l’ai vu s’abaisser avec ces yeux de lézard. Je me suis dit : «Très bien.» Je ne saurais pas regarder cela. Je ne saurais simplement pas le faire. Et elle était là, avançant toujours.

124 Quel était le problème? Elle n’était pas une hypocrite. Elle ne cherchait pas à afficher quelque chose. Elle était une mère. C’était inné en elle que d’être une mère. Elle recherchait son petit. Oh! la la! Elle recherchait ce petit.
Peu après, quand le canon s’est levé au-dessus du buisson, cette biche a vu. Eh bien généralement elles bondissent et s’enfuient, rapidement. Eh bien, elles se sauvent à toutes jambes. Mais pas elle. Elle a vu le chasseur. Elle a été effrayée par cela, comme nous le disons, et elle a regardé. Elle a vu le chasseur, mais elle a crispé sa gueule deux ou trois fois, a redressé sa tête. Bien sûr qu’elle a senti par l’odeur que nous nous tenions là. Elle a regardé.
Mais quel était le problème? Son petit était en difficulté quelque part. L’instinct de mère. Elle savait que c’était la mort. Elle savait qu’elle allait mourir, mais elle ne s’en souciait pas. Il y avait quelque chose en elle, l’amour maternel, qui la conduisait vers son petit. «Où est-il? Où est mon petit? Il est en difficulté.»
Je – je ne pouvais plus regarder. Je ne le pouvais vraiment plus. Je me suis dit : «Le coeur loyal de cette précieuse maman. Burt, comment peux-tu faire cela? Tu es cruel, tu es – tu es méchant, pour faire une chose pareille.» Et Je l’ai vu se redresser comme cela, et Je me suis détourné.
J’ai prié dans mon coeur. J’ai dit : «Père céleste, ne le laisse pas faire cela. Comment peut-il supporter de voir cette précieuse maman-là chercher à trouver son petit et puis, la tromper comme cela, et faire sauter son coeur noble et loyal, ce coeur maternel, et le faire ressortir par l’autre côté?» J’ai dit : «Comment peut-il faire cela, Seigneur?» J’ai attendu. Le coup ne partait pas. J’ai attendu un peu plus longtemps. Il ne détonait pas. Je me suis dit : «Qu’y a-t-il?» J’ai regardé en arrière, et le canon allait comme ceci. J’ai regardé tout autour.
Il a relevé la tête, et de grosses larmes coulaient de ses yeux. Il a jeté le fusil sur le talus. Il a dit : «Billy, j’en ai marre. Conduis-moi auprès de ce Jésus que tu connais.» Là même sur ce talus de neige, j’ai conduit ce chasseur au coeur cruel (qu’était-ce?) au Seigneur Jésus-Christ. Pourquoi? Il avait vu quelque chose de réel. Il avait vu quelque chose qui n’était pas du fabriqué. Il avait vu quelque chose qui était authentique, une expérience innée, une mère.
N’aimeriez-vous pas être ce genre de chrétien? N’aimeriez-vous pas que Dieu fasse de vous un chrétien, un chrétien autant que cette mère... que cette biche était une mère? Inclinons la tête un moment, et demandons-Lui de le faire.
Notre Père céleste, une simple petite histoire là de – de la reine du midi qui avait vu quelque chose de réel, par un don de Dieu… Et ces églises, là en Nouvelle-Angleterre, là, elles – elles n’ont qu’une église et autre. Ce chasseur a été... Tu le connais, Seigneur, c’est maintenant un précieux frère, un diacre dans l’église. Mais il n’avait jamais rien vu de réel.

125 Seigneur, Tu as dit que s’ils se taisent, les pierres crieront. Quelque chose doit s’écrier : «Le Dieu vivant existe.» La première fois que l’homme a vu quelque chose de réel, il a su que le Dieu vivant existait donc. Tu as utilisé une biche pour accomplir ce miracle, et conduire auprès de Toi un pécheur au coeur cruel, parce qu’une maman cerf a manifesté la réalité de la maternité.
Ô Dieu, fais de chaque homme et de chaque femme ici présents un chrétien du même genre, ce soir, qui peut démontrer un tel amour dans son coeur, qu’ils deviennent ces chrétiens, qui mènent une vie sans aucune tache du monde, au point que leurs voisins sauront qu’ils sont de vrais chrétiens, et qu’ils désireront vivre comme eux.

126 Tu as dit dans Ton Evangile : «Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel a perdu sa saveur...» Seigneur, c’est ce qui arrive à nos dénominations. Elles ont perdu leur saveur. Elles tracent des frontières, et ne permettent à personne d’en sortir ou d’y entrer. Père, Je prie, ce soir.
Nous savons que c’est par le contact que l’on sent la saveur du sel. Je prie, ô Dieu, que cette petite église et ces gens soient si salés de l’amour de Dieu qu’ils contacteront chaque pécheur à leur portée avec une très bonne vie. S’ils ne peuvent pas prêcher un sermon, puissent-ils en vivre un, manifester de l’amour pour Dieu, comme cette mère biche l’avait fait pour son petit.
Ils attendent, Père. Reçois-les dans Ton Royaume. Puissent-ils ce soir... ceux qui ont levé la main, puissent-ils devenir Tes serviteurs ce soir. Puisses-Tu leur montrer dans les quelques minutes qui vont suivre que Tu es vivant, que Tu n’es pas mort. Que Tu es vivant aux siècles des siècles.

127 Tu as dit : «Je suis Celui qui était mort, et qui est vivant à nouveau, et vivant aux siècles des siècles. Et parce que Je vis, vous vivrez aussi. Celui qui entend Mes Paroles et qui croit en Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, et ne viendra pas en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Père, je Te prie de faire d’eux ce soir des croyants. S’il y en a ici qui sont incroyants, puissent-ils commencer à croire.

128 Et maintenant, le service est entre Tes mains, Seigneur. C’est le maximum que je puisse faire, ou qu’aucun autre homme ne puisse faire. Mais quand nous allons partir d’ici ce soir, je prie que ces gens, alors qu’ils vont quitter cet auditorium, puissent dire comme ceux qui venaient d’Emmaüs : «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous?» Tu as marché avec eux pendant toute la journée, mais ils ne T’ont pas reconnu. Mais lorsque Tu es entré avec eux dans la pièce, et que Tu as donc fait quelque chose juste comme Tu l’avais fait avant Ta crucifixion, ils ont reconnu alors que Tu étais ressuscité des morts.
Maintenant, Seigneur, reviens ce soir. Nous nous sommes enfermés ici dans cette auberge ce soir, dans ce petit bâtiment de la Légion. Maintenant, viens et fais quelque chose ce soir. Manifeste Ton Signe du Messie, qui montre que Tu es le Signe du Messie, et que cette génération-ci est méchante et adultère ; et que Tu es «le même hier, aujourd’hui et éternellement»; que c’est comme aux jours de Lot, quand Tu étais assis, le dos tourné à la tente, et que Tu as dit : «Pourquoi Sarah a-t-elle ri dans la tente?»; et que Tu as dit à Abraham que le nom de sa femme était Sarah. Tu as promis que Tu le ferais, Seigneur. Accorde-le. Alors, quand nous partirons d’ici ce soir, nous irons dans nos maisons respectives en disant : «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous, pendant qu’Il nous parlait le long du chemin?» Car nous le demandons en Son Nom, et pour Sa gloire, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Je vais prier pour les malades maintenant (Excusez-moi, Paul). Je vais prier pour les malades. Je n’ai pas d’instruction. Je – je n’ai pas de puissance. Je suis votre frère. J’espère que vous comprenez cela. J’ai été envoyé vers vous par votre Sauveur et mon Sauveur, votre Dieu et mon Dieu.

129 Eh bien, une fois, David, le berger, gardait les brebis de son père. Et je vais essayer de prendre la place de David. Suivez attentivement. Je vais essayer de prendre la place de David ce soir. Je garde les brebis de mon Père. Et un jour, un ours est venu et a pris une brebis. Et David n’était pas armé d’une lance, ni d’une épée, tout ce qu’il avait, c’était une petite fronde. Mais il avait la grâce de Dieu dans son coeur. Un lion est venu et en a pris une. Il l’a poursuivi, il l’a attrapé et a ramené la brebis.

130 Je n’ai pas de médicament. Je ne suis pas un médecin. Je ne peux pas être un chirurgien. Je ne sais pas comment tenir un bistouri. Je n’y connais rien. Mais j’ai une chose; c’est une petite fronde, une prière. C’est simple. Mais un jour, le cancer est venu, et a pris une brebis de mon Père. Je l’ai poursuivi. J’ai ramené la brebis, la prière de la foi l’a sauvée.
Je viens après toi ce soir, avec une fronde de prière. Je veux ramener la brebis du Père. Priez pour moi maintenant, alors que nous appelons la ligne de prière.
Vous tous, les David, qui êtes ici, aidez-moi. Une brebis de mon Père a été attrapée par un ennemi. Ramenons-la à la santé ce soir. Le Père nous a dit que nous pouvons le faire; si nous demandons quelque chose en Son Nom, Il le fera. «Si vous dites à cette montagne : Ote-toi de là, et si vous ne doutez pas, vous pouvez avoir ce que vous avez dit.»
A partir d’où avons-nous appelé ces cartes de prière? Qu’avons-nous? Hein? 1? Nous avons appelé à partir du numéro 1, hier soir, n’est-ce pas? [Frère Branham parle à quelqu’un. – N.D.E.] Quoi? Vous pensiez en distribuer davantage? La série B? La carte de prière B. Combien avons-nous fait venir hier soir? Dix-huit, dix-huit? Ce n’est pas beaucoup. Alors ceux qui sont là sans cartes de prière, il n’y a pas de problème. Croyez de tout votre coeur.

131 Vous avez vu la dernière soirée, il y en a eu plus là dans l’auditoire qu’ici sur l’estrade. Appelons quand même quelques-unes de ces cartes maintenant même. Commençons à partir de, disons... combien en avons-nous eu hier soir? Quinze ou dix-huit? Commençons à partir de 85 ce soir, la carte de prière B-85. Qui a 85? Voyez. La carte de prière B-85? [Quelqu’un parle à Frère Branham. – N.D.E.] Où? Oh! je suis désolé. 85, venez de ce côté, monsieur, (qui que vous soyez), 86, voudriez-vous lever rapidement la main? 87, par ici, 87? 87? Cette dame ici, vous avez 87? Par ici, madame. 88? 89? Je n’ai pas vu 89. Voudriez-vous lever la main? Voyez les gens dans les fauteuils roulants; voyez ce qu’ils ont. 89? Puisse… Regardez. Avez-vous regardé cette carte-là? 89? Qui a la carte de prière 89? 85, 86, 87, 88, 89?
Bien, ne prenez pas la carte si vous n’avez pas l’intention de venir sur l’estrade. Voyez, quand j’appelle un numéro et que personne ne répond donc... Laissez alors quelqu’un d’autre prendre la carte, celui qui voudra venir. 89, 90? Qui a la carte de prière 90? Très bien. 91? Très bien. 92, 93, 94, 94? Je n’ai pas vu cela. Regardez...

132 Quelqu’un par ici, ces – ces deux femmes assises ici dans des fauteuils roulants, elles ne peuvent pas se lever. Si leurs cartes sont appelées, nous les transporterons ici. Voyez? 91, 2, 3, 4, 5, 85 à 95, de 95 à 100 dans la série de cartes de prière B. Voudriez-vous venir? 90? 80 – 85 à 100, ceux qui ont ces cartes. Vous autres qui restez, gardez bien vos cartes. Nous prendrons – nous les appellerons tout à l’heure. 85, 86, 87, 88, 89, 90, 91, 2, 3, 4,5, 6,7, 8, 9, 100.
Maintenant pendant qu’on rassemble ces quelques personnes avec lesquelles nous commencerons ici... Il se peut qu’on n’en arrive pas à un ou deux parmi eux. Je ne sais pas. Cela dépend de ce que dit le Saint-Esprit.
Combien ici dans l’auditoire n’ont pas de carte de prière, et cependant vous aimeriez... vous êtes malades, et vous voulez que Dieu vous guérisse? Levez la main. Très bien. Eh bien, je ne vous connais pas. Mais si vous voulez regarder dans cette direction, et croire... Combien n’ont jamais été dans l’une de mes réunions auparavant? Faites voir vos mains. Que le Seigneur vous bénisse. Nous sommes heureux de vous avoir ce soir.

133 Maintenant souvenez-vous, je ne professe pas être un guérisseur. Je crois qu’il n’y a qu’un seul Guérisseur – c’est Dieu. Et je crois qu’Il a déjà fait pour vous tout ce qu’Il pouvait faire. C’est votre tour maintenant d’accepter ce qu’Il a fait pour vous.
Mais, s’Il se tenait ici ce soir, habillé de ce costume, Il ne pourrait pas faire plus pour vous que ce qu’Il est en train de faire... qu’Il ferait ici même maintenant. Est-ce vrai? Maintenant, dans la Bible... combien croient que Jésus est un Souverain Sacrificateur? Combien savent que la Bible dit qu’Il est maintenant même le Souverain Sacrificateur, qu’Il se tient à la droite de la Majesté Divine, intercédant pour nous? Est-ce juste?

134 Combien savent que Hébreux 13.8 dit : «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Bien, s’Il est le même Souverain Sacrificateur qu’Il était hier, et ce Souverain Sacrificateur qui Se tient là-haut... Il est un Souverain Sacrificateur maintenant, qui est assis là-haut et qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Combien savent que la Bible dit cela, qu’Il peut être touché?

135 Maintenant, comment allez-vous Le toucher s’Il est assis là-haut? De la même façon que la femme L’avait touché autrefois. Ce n’était pas le doigt de la femme sur Son manteau. Il n’a pas senti cela. Mais c’était sa foi. Beaucoup Le touchaient comme ceci. Mais Il a dit : «Ta foi t’a sauvée.» Alors, elle L’a touché, et Il S’est retourné et ne savait pas qui c’était. Est-ce juste? Il a regardé tout autour. Il a dit : «Qui M’a touché?»

136 Et Pierre s’est vraiment irrité contre et il a dit : «Eh bien, Seigneur...» Il L’a repris, il a dit en d’autres termes, il a dit : «Que racontes-Tu en tout cas? Pourquoi dis-Tu pareille chose? Tout le monde Te touche dans le dos.»

137 Il a dit : «Oui, mais ceci est un toucher d’un autre genre, Je – Je me suis senti faible.» Une vertu (c’est-à-dire une force) L’a quitté. Il a regardé partout dans l’auditoire et Il a vu une petite femme là, et lui a dit qu’elle avait une perte de sang, et que sa foi l’avait sauvée. Est-ce vrai? Maintenant, Il n’a jamais dit que c’était Lui qui a fait cela. Il a dit que c’était sa foi à elle en Lui qui avait fait cela.
Eh bien, alors, s’Il est le même Souverain Sacrificateur ce soir, le même qu’Il était lorsqu’Il était ici sur terre et Il... la Bible déclare qu’Il est un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Si vous Le touchez, n’agira-t-Il pas de la même manière qu’Il a fait pour eux? Il ne peut agir autrement et être le même Souverain Sacrificateur. Combien savent que c’est vrai?
Très bien. Alors vous par la foi, levez les yeux et dites : «Seigneur Jésus, Tu es mon Souverain Sacrificateur, laisse-moi Te toucher, Seigneur par mon infirmité. Soit miséricordieux envers moi. Que frère Branham m’appelle maintenant. Je sais qu’il est juste un homme. Mais Toi, Tu es toujours le Souverain Sacrificateur, et maintenant je veux Te toucher. Et parle à travers lui, et appelle-moi juste comme Tu l’avais fait – fait pour cette femme-là.»
Cela ôtera tous les doutes de votre coeur, n’est-ce pas? Oh! n’est-ce pas merveilleux? Ce n’est pas un Dieu historique, d’autrefois, mais il est Dieu maintenant même. Combien savent que Jésus-Christ a dit Lui-même qu’Il ne faisait rien à moins que Dieu lui ait montré premièrement une vision de ce qu’Il devait faire?

138 Saint Jean 5.19 : «En vérité, en vérité, Je vous le dis, (le mot «en vérité» signifie «absolument»), Je vous le dis, le Fils (c’est-à-dire Son corps, la chair) ne peut rien faire de Lui-même, mais seulement ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait aussi.» Est-ce vrai? Il n’a donc jamais accompli un miracle avant qu’Il ait eu une vision sur cela, de ce qui devait être fait. Est-ce vrai? S’Il ne faisait pas cela, c’est qu’Il a dit quelque chose de faux. Et Il ne pouvait rien dire de faux parce qu’Il était Dieu. Voyez? Cela devait être vrai.
Maintenant, je veux que vous restiez aussi tranquilles que possible, et soyez très respectueux, suivez, et priez. Maintenant, des fois, quand cette Onction frappe... je ne dis pas qu’Elle le fera. Si elle ne le fait pas, alors la seule chose que je pourrai faire, c’est de me confier à Dieu, et quitter l’estrade. C’est tout ce que je peux faire. Mais S’Il vient vraiment, et fait effectivement les mêmes choses ici, et prouve qu’Il est toujours le Messie pour les Gentils à la fin de notre âge, comme Il l’était pour les Juifs et les Samaritains, voudriez-vous tous venir, et Le recevoir comme Sauveur et Guérisseur? Voudriez-vous le faire et croire cela?
Maintenant, autant que je sache, dans tout cet auditoire, je ne vois aucune personne que je connais. Sur l’estrade. C’est autant que... j’ai fait connaissance avec ce jeune ministre depuis que je suis ici, notre jeune frère ici. Mon fils et les garçons qui enregistrent sont les seuls que je – je connais.

139 Je crois que je connais ce frère. Je ne peux pas me souvenir de lui. Je crois que vous venez de là quelque part en Louisiane. Ne suis-je pas allé à la chasse aux canards des fois avec vous, ou là chez vous ou quelque chose comme cela? On a eu une réunion à... quel était le nom de l’endroit? DeQuincy... Venice. Oh! la la! Excusez-moi. Je dois vous serrer la main. Que Dieu vous bénisse. Je ne vous ai pas vu depuis longtemps. Eh bien, vous n’avez pas changé. J’ai vieilli. Voyez, j’ai dû travailler peut-être. [Le Frère dit : «Nous voudrions que vous reveniez...» – N.D.E.] Merci, Frère Venice. C’est très gentil.
Dans la ligne de prière, suis-je un inconnu pour vous tous? Je ne vous connais pas? Si c’est le cas, levez la main. Si je – si je suis un inconnu pour vous. Très bien. Vous tous là-bas, pour qui je suis un inconnu, et vous savez que je ne vous connais pas, levez la main. Voyez? Maintenant, nous y sommes.
Est-Il toujours Jésus, ou ne l’est-Il pas? S’Il fait... s’Il peut garder Sa Parole. Il est toujours Dieu. Si ce n’est pas bon, alors, si cette Bible-ci... Si Dieu ne peut pas garder Sa promesse, alors Il n’est pas Dieu. S’Il garde Sa promesse, Il est Dieu.

140 Et maintenant, lorsqu’Il était ici sur terre, souvenez-vous de ce qu’Il a fait. Il leur a montré Son Signe Messianique. Et vous tous qui lisez la Bible, vous savez ceci, que le Signe du Messie était le signe d’un prophète. Que tous ceux qui savent cela lèvent la main, les lecteurs de la Bible. Sûrement. «Le Seigneur votre Dieu vous suscitera un prophète comme moi.»
Mais les Juifs ne pouvaient pas répondre, aussi ils ont dit qu’Il fait cela… Il est un diseur de bonne aventure, un Béelzébul, c’est de la télépathie mentale, ou quelque chose comme cela. Et ils font la même chose aujourd’hui. Mais cela n’arrête pas Dieu. Il continue simplement malgré tout, il continue bien malgré tout. Quelqu’un croira.

141 Eh bien, si je pouvais guérir quelqu’un parmi vous ici, je le ferais. Mais je ne le peux pas. Jésus ne pouvait pas le faire, s’Il se tenait juste ici, et que vous veniez à Lui, s’Il se tenait ici dans ce costume qu’Il m’a donné, et que vous disiez : «Seigneur, je suis malade. Je veux que Tu me guérisses», j’imagine qu’Il dirait quelque chose comme ceci : «Mon enfant, ne crois-tu pas que J’ai déjà fait cela? N’ai-Je pas été blessé pour tes transgressions, brisé pour ton iniquité? Par Mes meurtrissures tu as été guéri. Ne crois-tu pas cela? Je l’ai déjà fait.»
Eh bien, alors, qu’a-t-Il dit là-bas? «Je le peux, si tu crois.» Eh bien, c’est déjà fait maintenant, alors vous n’avez qu’à le croire. C’est tout. Aussi la seule chose qu’Il peut faire serait quelque chose pour vous montrer qu’Il était le Messie.

142 Aussi, Son corps se trouve-t-il sur le trône de Dieu ce soir. Nous croyons cela, n’est-ce pas? Un jour, Il retournera sur la terre dans le Millénium, et Il s’assiéra sur le trône de David. C’est vrai. Mais Il est assis sur le trône de Dieu ce soir dans la gloire, toujours vivant pour faire intercession. Mais Son Esprit est revenu ici dans l’Eglise, et Son Esprit fait la même chose...

143 Comme je l’ai dit ce matin, si le premier sarment de la vigne a produit une église de la Pentecôte, chaque sarment authentique sorti de cette vigne produira une autre église de la Pentecôte. Mais nous avons beaucoup de sarments greffés, et ils se reproduisent selon leur espèce. Nous avons le sarment méthodiste greffé dessus, un sarment baptiste, un sarment pentecôtiste, tout autre sorte de sarment. Cela porte son propre fruit.

144 Vous pouvez prendre un oranger et y greffer une branche de pamplemousse. Elle vivra de la vie de cet arbre, mais elle portera du pamplemousse. Mettez-y une branche de citronnier, elle portera du citron ; pas d’orange, cependant elle vit de la vie de cet oranger. Vous voyez, n’importe quel agrume.

145 Chaque église qui professe être chrétienne pousse à partir de la gloire et des louanges de Christ. Mais elle ne peut porter le fruit. Elle ne peut produire la Vie de Christ à moins que Christ produise Lui-même ce sarment. Alors on – on écrira un autre Livre des Actes après cela (c’est vrai), car ce sont les actes du Saint-Esprit dans l’Eglise. Voyez? Il en est ainsi ce soir, «Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement.»
Prions maintenant, et que tout le monde soit vraiment tranquille. Ne bougez pas. Restez assis calmement sur vos chaises, ou vos sièges, vos bancs. Où que ce soit, restez calmement assis pendant un moment. Soyez respectueux.
Père, ceci est une forte déclaration, mais voici ce soir, plus de cent personnes, quelques personnes assises ici ce soir; je T’ai demandé de venir, qu’il y en ait dix mille, oui, des centaines de milliers. Tu ne nous as jamais déçus jusqu’à présent.

146 Mes jours diminuent maintenant, Seigneur. Je suis... Un jour, je vais devoir fermer cette Bible pour la dernière fois. Si je dois partir ce soir, Tu as prouvé que ce témoignage est vrai.
Depuis que j’étais un petit garçon, je leur disais que je voyais une Lumière. Elle était ambre, comme une Colonne. Tu as permis que la science, dans le monde prenne cette image et l’examine. Tu es venu bien des fois, et maintenant c’est en couleur Kodachrome. Tu as permis qu’Elle soit photographiée il y a quelques semaines en Allemagne, en Suisse, dans le monde entier, par les appareils des nations. Si je meurs, l’appareil mécanique témoignera que je leur ai dit la vérité. Ta Présence même montre que c’est la Vérité. Ta Bible affirme que c’est la vérité.
Père, puissent les gens croire que c’est la vérité, et Te recevoir ce soir comme leur Guérisseur, comme leur Sauveur, comme leur Roi, comme leur Seigneur : une autorité pour gouverner, pour régner dans leurs vies. Accorde-le, Seigneur.
Maintenant, je remets tout entre Tes mains, moi-même, ainsi que cette église afin que Tu puisses faire quelque chose ce soir pour montrer à ces gens que Tu es toujours le Dieu-prophète. Tu es toujours Dieu. Tu es juste... Ils… Tu es mort pour ôter le péché, mais Tu es ressuscité le troisième jour. Tu as dit : «J’ai le pouvoir de donner ma vie, et j’ai le pouvoir de la reprendre.» Personne ne Te l’a arrachée, et personne ne l’a ressuscitée. Tu l’a donnée Toi-même, et Tu T’es ressuscité Toi-même.

147 La Bible dit que Dieu L’a ressuscité, et c’est vrai. Père, Tu es vivant au siècle des siècles, vivant dans les coeurs de Ton peuple, avec la promesse : «Les oeuvres que Je fais, ils les feront aussi.» Je cite ceci, Seigneur, car Tu es fidèle à Ta Parole. Et Tu as dit que comme il en était dans les jours de Sodome, il en sera de même à la venue du Fils de l’Homme.

148 Et nous nous souvenons, lorsque ces signes ont été accomplis dans Sodome, il ne restait que très peu de temps pour que le feu tombe et brûle Sodome. Nous nous attendons à cela à tout moment, Seigneur. Nous voyons le signe apparaître. Nous voyons le monde dans la condition sodomite, les promesses de Dieu rendues manifestes. Veux-Tu le faire encore une fois de plus ce soir, Seigneur, pour l’honneur et la gloire de Celui qui a enseigné la Parole? Je le demande au Nom de Jésus-Christ, pour la gloire de Dieu. Amen.
Maintenant, quoi qu’il advienne, soyez respectueux. Je ne veux pas dire que vous ne pouvez pas louer Dieu, mais approchez-vous avec calme, sagement, de façon correcte.
Et alors, lorsque vous voyez Dieu faire quelque chose, assurément, Il veut que vous L’adoriez. Mais venez avec respect.
Maintenant, quand vous entrez dans la ligne, en venant ici, ou là, soyez vigilants. Je suis en train de veiller. Je n’ai pas le contrôle sur Cela. Je ne contrôle pas Cela : Cela me contrôle. Je peux seulement dire ce qu’Il me dit. Je peux seulement dire où Il se trouve. Je L’observe. Partout où Il est, là je L’observe, et je vois ce qu’Il fait.
Eh bien, hier soir, la première personne que nous avons eue sur l’estrade, je crois que c’était une femme. Est-ce vrai? Est-ce cet homme ici? Très bien. La première personne ce soir, c’est un homme. Maintenant nous avons vu l’autre soir, quand une femme est venue auprès du Seigneur Jésus, qu’elle est allée au puits pour puiser de l’eau. Jésus lui a parlé un peu, et – et aussitôt Il a compris son problème. Et Il a dit : «Va chercher ton mari.»
Elle a dit : «Je n’ai point de mari.»
Il a dit : «C’est vrai. Tu en as eu cinq. Et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»
Elle a dit : «Seigneur, je vois que Tu es un prophète.»

149 Maintenant, les grands rabbins, les enseignants et les hommes d’église ont dit : «C’est un démon.» Savez-vous que le diable est celui qui confessait qu’Il était le Fils de Dieu, tandis que les prédicateurs confessaient qu’Il était un démon? C’est l’unique fois où les démons ont eu raison.
Regardez Paul et Silas quand ils passaient, cette petite diseuse de bonne aventure se tenait là. Et cette petite diseuse de bonne aventure a dit : «Ces gens sont des hommes de Dieu, ils nous annoncent la voie de la Vie.»
Les prédicateurs ont dit : «Ce sont des vauriens. Ils bouleversent le monde. Ce sont des imposteurs.» Voyez?
Voyez, ce démon en connaissait sur Dieu plus qu’eux. C’est vrai. Maintenant, mais il n’en est pas ainsi avec mes frères dans ces jours-ci. Ces gens sont des hommes... je pensais à ces prédicateurs-ci. Ils ne s’assiéraient pas ici s’ils ne croyaient pas cela. Ils seraient partis. Ils sont assis ici parce qu’ils croient, ils ont prêché cela. Ils ont cru cela. Ils se sont tenus aux coins des rues. Ils ont crié, ils ont supplié. Grâces soient rendues à Dieu car nous vivons pour voir les jours où Il accomplit Sa promesse. Vous les pasteurs, vous devriez être fiers d’eux. Je le suis, et je sais qu’Il l’est aussi – des hommes de Dieu.

150 Maintenant, cet homme qui est debout devant moi, je ne le connais pas. Il est beaucoup plus jeune que moi. Je ne l’ai jamais vu de ma vie, à ce que je sache. Mais il se tient ici dans un but. Maintenant, il se peut qu’il soit un homme marié, qu’il ait des problèmes chez lui en famille. Il peut être malade. Il se tient peut-être ici pour quelqu’un d’autre, peut-être qu’il a besoin de l’argent. Je ne sais pas pourquoi il est ici. Je n’ai aucune idée. Je ne l’ai jamais vu de ma vie, mais il se tient ici.
Eh bien, qu’en est-Il s’il est malade? Eh bien, s’il est malade, je ne peux pas le guérir. Mais la seule... si Jésus était ici, Il ne pourrait pas le guérir. Combien savent cela? Il l’a déjà fait. Voyez? Mais la seule chose que Jésus pourrait faire, serait de lui faire savoir qu’Il est toujours le Jésus qui a fait la promesse (Est-ce vrai?), qui a accompli l’oeuvre.
Ainsi donc, si cet homme croit cela, il sera guéri. Si c’est un problème financier, il saura que Dieu est intéressé à son cas parce qu’Il voit cela, pas un homme, mais Dieu. Maintenant, si le Saint-Esprit. .. cet homme a levé la main pour montrer que je ne le connaissais pas. Je ne le connais pas, et il ne me connaît pas. Si le Saint-Esprit fait quelque chose pour lui maintenant...
Maintenant, si j’allais là et disais : «Monsieur, êtes-vous malade?»
Il dirait : «Oui, Monsieur.»
«Dieu m’a envoyé avec un don de guérison. Croyez-vous cela?»
«Oui, Monsieur, je le crois.»
Je lui imposerai les mains : «Retournez, soyez guéri au Nom de Jésus.»
Je crois qu’il se rétablirait. Assurément. Je crois que Dieu a des dons qui agissent partout dans l’église. Je crois cela.

151 Je crois que les dons de guérison sont dans l’Eglise. Vous n’avez même pas besoin d’être un prédicateur. Si vous êtes simplement un membre, qui que vous soyez, si vous vous sentez conduit à aller prier pour quelqu’un, allez le faire. C’est un don de guérison qui agit en vous.
Mais maintenant, il pourrait – il pourrait quelque peu douter de cela. Mais qu’en serait-il si le Saint-Esprit venait, et qu’Il lui révélait quelque chose qu’il a été, quelque chose qu’il n’aurait pas dû faire, ou quelque chose qu’il a effectivement fait ou quelque chose qu’il aurait dû faire, et qu’il n’a pas fait? Il lui dit quelque chose qui ne va pas en lui, ou lui dit ce qui a été. S’Il sait ce qui est arrivé, Il saura certainement ce qui arrivera donc, n’est-ce pas vrai?
Maintenant, s’Il fait une telle chose, tout le monde ici devra savoir que cela vient d’une puissance. Croiriez-vous que c’est la promesse que je vous ai lue ce soir, et que je vous ai prêchée à partir de cette Bible, que c’est Jésus-Christ, le Fils de Dieu?

152 Très bien. Maintenant soyez aussi respectueux que possible, en effet, vous voyez... Que tout le monde soit aussi respectueux que possible. Ne vous déplacez pas, car je saisis votre esprit. Voyez? Et je – je veux savoir... soyez simplement dans une prière sincère.
Maintenant, ceci est infaillible, comme Dieu est infaillible... Je n’ai aucun moyen pour connaître cet homme. Il est venu ici, et on a distribué des cartes de prière. Ils sont venus ici et ont battu un grand tas de cartes de prière, et ils ont commencé à les distribuer. Cela montre que le garçon qui les a distribuées ne pouvait pas dire : «Si vous me donnez cinq dollars, je vous ferai entrer dans la ligne de prière.» Ils ne le savent pas, parce qu’ils battent les cartes juste devant vous. Ils vous donnent juste ce que vous voulez.

153 Quelqu’un peut avoir le numéro 1, le suivant reçoit le numéro 15, l’autre reçoit le numéro 95. Et alors, alors quand ils arrivent, absolument personne ne sait à partir de quel numéro. Nous allons appeler, jusqu’à ce que je vienne ici, alors où que le Seigneur me conduit, j’appelle simplement à partir de là. Quelques fois j’en appelle un peu par ici, et quelques-uns là au fond, d’autres ici. Combien ont vu cela se faire – partout, et partout, partout, en tout lieu. Ainsi, nous nous tenons ici, et vous là-bas sans votre carte...
Maintenant, Monsieur, je voudrais juste vous parler un instant. Bien sûr, étant debout là, le coeur s’écrie : «Jésus», en levant la main, évidemment cela me fera savoir que vous êtes un chrétien. Ou vous pourriez simplement être en train d’imiter cela, (vous voyez?), agissant simplement comme si vous en êtes un. Si cela – s’il l’est, observez ce qui arrive. Maintenant, ils se sont glissés dans la ligne bien des fois. On les faisait sortir, et tout le reste.

154 Ainsi, si le Seigneur Dieu me dit quelque chose à votre sujet (devant cet auditoire qui attend), quelque chose pour lequel vous êtes ici, la raison pour laquelle vous vous tenez ici sur l’estrade, vous pouvez être juge quant à savoir si c’est vrai ou pas. Le feriez-vous? Vous saurez si c’est vrai. Et si c’est vrai, vous voudrez bien dire que c’est vrai. Si c’est faux, dites que c’est faux. C’est tout.
Vous êtes venu pour que je prie pour l’état de votre corps, et la maladie c’est une tumeur. C’est sur votre côté. Croyez-vous cela? Eh bien, il semble avoir un bon contact avec Dieu maintenant même, ce qui permettra à un critiqueur ou quelque chose comme cela qui se tient peut-être ici, de savoir qu’on n’a pas simplement deviné.

155 Eh bien, maintenant même, je ne sais pas ce que je lui ai dit. Le seul moyen pour moi de savoir, c’est par cet enregistreur qui est placé là. Alors, on rejoue la bande. Le jour suivant, ils me la joueront. C’est comme un rêve. Eh bien, ce n’était pas moi. Je ne sais rien au sujet de l’homme (voyez?), pas plus que ce microphone ne sait pas parler. Il doit y avoir quelque chose de vivant qui parle à travers cela. Je ne connais pas l’homme, aussi ça doit donc être Dieu Qui parle.
Maintenant, je prends simplement mon temps... Si je garde une personne juste ici pendant un moment, c’est juste pour que vous sachiez, (voyez?), cela devrait suffire pour tous. Maintenant, juste un moment, monsieur. Je veux juste entrer en contact avec votre esprit. C’est la même chose que notre Seigneur a faite lorsqu’Il parlait à la femme au puits, Il a dit: «Donne-moi à boire», voyez. Il essayait simplement de cont... le Père L’avait envoyé là.

156 Il devait passer par la Samarie, mais quand Il est arrivé là, la femme est venue. Il a dû donc lui parler, contacter son esprit. C’est la même chose que je fais maintenant même. Oui, je vois cela. C’est une tumeur dans votre côté droit. Vous en avez une sur votre bras, aussi. C’est vrai. Il n’y a que trois personnes au monde qui savaient cela, c’était lui et sa soeur. Mais il y en a Un en haut qui le savait.
Maintenant, parlons-Lui une minute. Vous priiez aussi pour quelqu’un d’autre. C’est un enfant, une affection d’amygdale. Il est assis là-bas dehors. Cela va bien aller...?.. Croyez-vous? Croyez-vous que Dieu sait qui vous êtes? Monsieur Morrison, Jack, rentrez chez vous et soyez bien portant.
«Si tu peux croire, tout est possible à celui qui croit.»

157 Maintenant, si je ne vous avais rien dit, et que j’avais simplement prié pour vous, croyez-vous qu’il y a l’onction ici sur l’estrade? Croiriez-vous cela? Et si je vous disais que vous étiez guéri avant de venir ici, le croiriez-vous? Eh bien, que pensez-vous de votre petit-fils? Pensez-vous qu’il se rétablira aussi? Très bien. Allez de l’avant et croyez-le. Placez ce mouchoir sur lui. Croyez-vous? Ayez foi.

158 Vous êtes juste une enfant pour moi, jeune dame. Je ne vous connais pas, mais voici le même tableau que dans saint Jean, au chapitre 4 : une femme et un homme. Une belle jeune femme se tient ici, l’air aussi bien portante que possible. Je ne sais rien à son sujet, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, n’est-ce pas, Madame? Certainement que nous le sommes.

159 Si Dieu est la Parole de Dieu, qui est Christ fait chair, et s’Il peut être rendu réel dans notre chair, qu’Il a sanctifiée par Son Propre Sang, envoyant Son Saint-Esprit pour tabernacler... Dieu était en Christ. Dieu est descendu et a bâti Son – a dressé une tente comme celle d’un homme. Il – Il a changé Sa forme, et est devenu homme – Dieu l’a fait – afin qu’Il puisse sanctifier une Eglise où Il pourrait vivre, et depuis deux mille ans, Il a opéré Ses miracles et a prouvé qu’Il était le même Dieu vivant dans Son Peuple – Dieu tabernaclant dans l’homme.

160 Si Dieu me révèle par Son Esprit votre problème, croirez-vous que je suis Son prophète, ou Son serviteur? Croirez-vous cela? Accepteriez-vous que ça vient de Dieu? Alors, vous embrasserez cet enfant que vous cherchez, pour lequel vous priez. Allez, et croyez-le. Je vous donne cet enfant au Nom de Jésus-Christ; Rentrez chez vous, recevez-le. Ne doutez pas. Vous l’avez cherché depuis un certain temps. Très bien. Allez en croyant. Si vous pouvez croire. Croyez-vous?
Très bien, Madame. Je ne vous connais pas. Juste un instant. Vous êtes... ça commence dans le bâtiment maintenant. Voilà Cela s’est déplacé, Ça a quitté l’estrade, Il est allé dans le bâtiment. Quelqu’un L’a touché, aussi certainement que je me tiens ici.

161 Il y a une dame plus jeune qui se tient là. Je ne peux la localiser... je la vois. Elle a une affection au cou, de l’arthrite à la colonne vertébrale. Croyez-vous de tout votre coeur? Jésus-Christ va vous rétablir. Acceptez cela, croyez cela, la petite dame assise ici en lunettes, avec des cheveux noirs. Levez-vous. Je vous donne votre guérison au Nom de Jésus-Christ.
Qu’a-t-elle touché? Posez la question à la dame. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas, Madame? Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Non. Si je ne vous connais pas, levez la main, agitez votre main. Si c’était là votre maladie, ce qu’Il vous a dit, agitez votre main. Maintenant, vous êtes guérie.
Qu’a-t-elle touché? Elle est à trente pieds [une dizaine de mètres] de moi. Elle a touché le Souverain Sacrificateur, et Il a agi juste comme Il le faisait au commencement. Maintenant, c’est le même Jésus, «le même hier, aujourd’hui et éternellement». Ayez foi. Ne doutez pas.

162 Et vous autres, certains d’entre vous, je somme votre foi de croire, non pas en moi, de croire la Parole de Dieu. Croyez que je vous ai dit la Vérité. Je somme votre foi de – de croire cela. Juste derrière elle, vous avez cru, n’est-ce pas, Madame? Assise juste derrière elle, là, assise là avec cette hypertension, tenez-vous debout. Si c’est vrai, levez la main. Si je ne vous connais pas, levez l’autre main. Je vous donne votre guérison au Nom de Jésus-Christ. Vous L’avez touché. Assurément, Il connaît certainement ce qui vous concerne. Rentrez chez vous et soyez en bonne santé. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.

163 Croyez-vous de tout votre coeur?
Il y a quelque chose d’étrange à son sujet. Je ne vous connais pas; Dieu vous connaît. Croyez-vous que Dieu vous guérira et vous rétablira? Vous n’êtes pas d’ici. Vous venez d’un lieu appelé Huntington. Votre nom est Madame Day. Vous priez pour un frère, un frère qui est à Galveston, dans un hôpital, et qui est un drogué. Allez et croyez. Ne doutez pas. Jésus-Christ vous délivre. Au nom de Jésus-Christ, ayez foi en Dieu. Croyez-vous?
Et si je ne vous disais rien, et que je ne vous imposais que les mains, croiriez-vous, Madame? Venez ici. Recevez votre guérison au Nom de Jésus-Christ. Allez, en croyant. Et si je vous disais que ce diabète s’en est allé, croiriez-vous cela? Repartez, croyez.
Quand vous étiez assise ici, il y a quelque temps (voyez?), je vous ai vue souffrir d’une affection de coeur. Vous avez aussi un problème dans le dos. Maintenant, partez en croyant, et vous serez bien portante. Si vous croyez de tout votre coeur.

164 Venez, jeune dame. Croyez-vous que je suis Son prophète? Vous êtes une jeune dame, mais vous avez une maladie de femme, ça coule. C’est un abcès sur l’ovaire. Ne doutez pas, croyez. Allez, et cela n’arrivera plus jamais. Vous pouvez être en bonne santé. Croyez de tout votre coeur.
Croyez-vous de tout votre coeur? Vous voyez, si seulement vous croyez maintenant, c’est parfaitement le Saint-Esprit à l’oeuvre.
Et si je vous imposais les mains, penserez-vous que vous vous rétablirez? Venez. Au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit guérie. Amen.
Venez, en croyant. Si je ne vous disais pas un mot, croiriez-vous si je vous imposais les mains, que vous serez bien portant? Eh bien, venez. Et ce diabè... Eh bien, allez de l’avant. Le diabète sera guéri. Vous serez bien portant. Allez, croyez de tout votre coeur.

165 Est-ce que tout le monde croit de tout son coeur? Croyez maintenant. Maintenant, écoutez bien. Maintenant, qu’a-t-Il dit? Vous savez qu’il y a une sorte d’Onction ici quelque part qui vous connaît. Croyez-vous cela?
Une petite dame assise là prie, elle agite sa tête à cause d’une crise cardiaque. Cessez, arrêtez – arrêtez de craindre. Croyez de tout votre coeur, vous allez vous rétablir de toute façon. Dieu va vous rétablir.

166 Cette petite dame qui se tient là prie pour son fils qui n’est pas sauvé. Croyez de tout votre coeur. Dieu s’en occupera pour vous.
Je ne vous connais pas, n’est-ce pas, Madame? Je ne vous connais pas du tout, mais c’est pour cela que vous priez. Comment ai-je su ce pour quoi vous priiez? Le Dieu qui entend la prière peut exaucer la prière. Amen.
Croyez-vous de tout votre coeur? Ayez foi. Maintenant, soyez respectueuse.
Venez que nous vous imposions les mains maintenant pendant, tandis que l’Onction du Saint-Esprit est ici. Au Nom du Seigneur Jésus, qu’elle soit guérie. Amen. Allez en croyant.
Vous savez, à vrai dire, c’est votre nervosité qui a causé cela, qui a causé cela à votre estomac. Maintenant, levez-vous simplement ce soir et dites «J’en ai fini avec cela. Je crois en Dieu,» et alors, allez prendre votre souper. Vous serez bien portant. Croyez. au Nom du Seigneur Jésus.
Quelqu’un pourrait dire : «Vous êtes... Si vous êtes âgé, votre coeur est faible de toute façon.» Mais ce n’est pas cela. Vous avez un coeur nerveux, vous avez cela depuis longtemps. Allez, croyez de tout votre coeur, et ça ira, et vous rentrerez chez vous, bien portant...?... de tout votre coeur.

167 Aimez-vous le Seigneur? Quelque chose est arrivé, mais je ne peux pas repérer cela. C’est juste... tout devient brumeux autour de moi. Voyez? Combien savent que ces visions vous font cela? Daniel en a vu une, et il fut troublé dans son esprit pendant plusieurs jours. Combien savent cela? Voyez? Assurément.

168 Une femme toucha le bord du vêtement du Maître, et Celui-ci a dit : «Une vertu est sortie de moi.»
Très bien, soeur, venez donc en croyant. Vous ne serez plus jamais infirme avec cela. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, qu’elle soit guérie. Croyez de tout votre coeur.
Croyez-vous de tout votre coeur, tout le monde? Qu’est-ce qui peut arriver maintenant même? Tout peut arriver. Certainement, vous êtes conscient que Quelque Chose est ici. Le Dieu que vous servez est avec vous maintenant.

169 Je vois une dame assise ici avec la tête relevée. Elle prie. Cette Lumière est suspendue juste au-dessus d’elle. Je crains qu’elle ne saisisse pas. Elle a des troubles intestinaux, et une affection de dos. Ô Dieu, j’espère qu’elle, Mme Dickland, levez-vous, et acceptez votre guérison. Très bien, que Dieu vous bénisse – la dame en tricot rouge.

170 Juste ici au bout de la rangée, il y a un homme et une femme assis là. La femme a eu beaucoup d’ennuis. Elle a subi environ une douzaine d’opérations, elle a une affection de foie. Son mari a un problème d’artères. Monsieur et madame Mane, croyez de tout votre coeur et rentrez chez vous guéris. Jésus-Christ vous rétablit.
Je vous adjure de regarder dans cette direction et de le croire. Je vous demande de le croire. Alléluia! Combien croient de tout leur coeur? Oh! ami pécheur, voudras-tu recevoir ce Jésus? Vous qui avez levé la main pour dire que vous êtes pécheurs, venez ici juste une minute. Laissez-moi vous imposer les mains, s’il vous plaît. Venez jusqu’ici maintenant, ami pécheur. Venez ici. Je vous appelle à Christ. Venez. Que nous vous imposions les mains. Si Dieu connaît votre coeur, Il veut vous pardonner vos péchés.

171 Venez maintenant même autour de l’autel ici, s’il vous plaît. Chaque pécheur dans le bâtiment qui veut recevoir Jésus comme son Sauveur, venez jusqu’ici, tout le monde, juste pendant que le Saint-Esprit est en train d’oindre. Descendez ici. C’est bien.
Venez chaque âme opprimée par le péché, il y a de la miséricorde auprès du Seigneur. Ne voudriez-vous pas venir? Venez juste autour. C’est vraiment merveilleux. Venez, chaque pécheur qui ne connaît pas Dieu. Vous voulez qu’on se souvienne de vous maintenant dans la prière et vous voulez que Dieu sauve votre âme.
Tandis qu’Il est ici présent... le Saint-Esprit m’a arrêté tout à l’heure, et m’a dit : «Fais l’appel. J’ai des enfants qui attendent là.» Le même Dieu Qui peut parler de façon infaillible, ne peut-Il pas dire la même chose? L’heure est maintenant arrivée. C’est maintenant le temps. Avancez, tout celui qui veut recevoir Christ comme son Sauveur, venez autour de l’autel ici juste un moment. Voulez-vous faire cela? Viens chaque âme opprimée par le péché.
Il y a de la miséricorde auprès du Seigneur,
Et Il t’accordera certainement du repos,
En croyant Sa Parole.
Fais-Lui seulement confiance... Il vous connaît. Venez maintenant, s’il vous plaît? Venez lui faire confiance. Vous voulez être comme cette mère biche? Vous voulez une vraie expérience avec Dieu? Venez à Lui. Venez au Seigneur Jésus qui peut vous accorder cette expérience.
Membre d’église, avez-vous été frustré? Venez maintenant. Venez, membre d’église. ...Il te sauvera maintenant. Méthodiste, baptiste, presbytérien, luthérien, catholique, pentecôtiste, vous qui n’êtes pas sûrs de votre expérience, voulez-vous venir?

172 Nous ne vous demandons pas de vous joindre à une église quelconque. Nous vous demandons seulement de venir ici et de vous y tenir, pour un mot de prière. Vous avez voulu voir quelque chose de réel. Voici il n’y a rien de plus réel que Jésus-Christ ressuscité des morts, dans une génération méchante et adultère, montrant Lui-même qu’Il est ressuscité des morts; comme Jonas, qui sortit du ventre du gros poisson. Il est vivant au siècle des siècles. Ne voudrez-vous pas venir maintenant, pendant que nous chantons de nouveau cela? Confie-toi seulement en Lui,
Confie-toi seulement en Lui,
Confie-toi seulement en Lui maintenant (Retournez...?...) Il te Sauvera, Il te Sauvera.
Il te sauvera maintenant. (Un frère presbytérien...)
Confie-toi seulement en Lui... Chaque homme ou chaque femme qui n’a pas le Saint-Esprit, qu’il se mette debout maintenant, celui qui veut le Saint-Esprit. Oh! Il te sauvera, Il te sauvera,
Il te sauvera maintenant. Je voudrais demander aux frères prédicateurs qui sont ici sur l’estrade s’ils peuvent, et s’ils peuvent descendre vers ces pécheurs pénitents ici, je voudrais que vous descendiez. Nous voudrions leur imposer les mains, prier avec eux, les prendre, les inviter dans vos églises, où qu’ils soient, puissent-ils devenir membres. Ecoutez, les amis, vous qui vous tenez ici, il n’y a qu’une chose... Laissez-moi vous montrer ce qui est arrivé.

173 Jésus a dit : «Nul homme ne peut venir à moi si mon Père ne l’attire.» Alors Dieu vous a amené ici. Il ne vous a point amené ici en vain. Vous vous êtes levé de votre siège et vous êtes venu. C’est tout ce que vous pouvez faire pour faire une confession. «Celui qui me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant mon Père et devant les saints anges.» C’est ce qu’Il a promis. «Celui qui croit en moi, quand même il serait mort, vivra. Quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais.» Je vous demande maintenant alors que nous inclinons la tête pour prier...
Combien y en a-t-il ici maintenant qui sont encore malades et affligés? Levez la main. Maintenant, imposez-vous les mains les uns aux autres. Mettez votre...

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