Le Prophète Michée

Date: 61-0426 | La durée est de: 1 hour and 38 minutes | La traduction: Shp
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1 Vous pouvez vous asseoir. Je – je vous dis que si j’étais à la hauteur de quelque chose de ce genre, je serais un homme bon. J’aimerais juste dire qu’Il m’aime beaucoup, c’est ça la chose. Il a de la considération pour moi. Je ne saurais jamais être à la hauteur d’une réputation comme celle-là. Mais je suis vraiment heureux de savoir que quelqu’un a autant de considération pour vous.

2 Une fois, je–je prêchais dans mon église locale aussi fort que possible, essayant de faire quelque chose pour le Seigneur. Puis, je suis sorti. Quelqu’un m’a dit : «J’ai apprécié le message de ce soir, Frère Branham. »
J’ai dit : «Merci. Merci beaucoup. Merci de tout coeur. »
Quelqu’un, une dame s’est avancée et m’a dit : «Dites donc, c’était un merveilleux message, Frère Branham. »
J’ai dit : «Merci, merci. »
Et quelqu’un d’autre a dit quelque chose d’autre là et il est parti. C’était un prédicateur qui était venu là en visite. Il a dit : «Eh bien, a-t-il dit, je n’aime pas que les gens me vantent. »
J’ai dit : «Eh bien, c’est différent. » J’ai dit : « Moi, j’aime ça. » Et il a dit… Et j’ai dit : «J’aime toujours que quelqu’un me dise si j’agis bien ou pas. J’aime savoir où je me tiens. »
Il a dit : «Eh bien, je n’aimerais pas que quelqu’un me dise que j’ai fait quelque chose de bien. »
J’ai dit : «Moi, j’aime. » Et j’ai dit : «Je crois qu’il y a juste une différence entre vous et moi. »
Il a demandé : «Laquelle ? »
J’ai dit : «Moi, je dis la vérité ; pas vous. »

3 Nous tous – nous tous, nous aimons qu’on nous dise si nous sommes… Et je pense que toute personne raisonnable appréciera une bonne critique édifiante si réellement vous êtes dans l’erreur… si quelqu’un vous dit que vous êtes dans l’erreur et s’il vous montre en quoi vous avez tort, j’apprécierais cela. Je veux être dans la vérité, si quelqu’un peut me ramener dans la vérité. Oh! il y a tant de choses pour lesquelles j’aimerais dire que… Merci beaucoup pour les compliments, frère et pour tout. Et tout est bien. Je vous aime autant, frère Joseph. Je me rends compte que frère Joseph a visité nation après nation, ville après ville, réunissant les écoles, envoyant des prédicateurs, oh ! toute une vie chargée. J’ai certainement le plus grand honneur et le plus grand respect pour le frère Joseph Boze. C’est mon – vraiment mon frère.

4 Alors, je vous remercie d’avoir souhaité un bon anniversaire à ma charmante petite épouse ce soir. Elle est rentrée [à la maison] trop en retard pour assister à la réunion, mais je prendrai tout cet accueil chaleureux et je le lui transmettrai quand je rentrerai chez moi là-bas. Combien elle appréciera cela ! Elle est dans… Et une chose, c’est que frère Joseph m’a un peu vanté, mais quant à elle, il ne l’a pas trop vantée parce qu’elle est vraiment digne de tout ce qui peut être dit. Elle a quarante-deux ans aujourd’hui. Elle est juste une enfant. Vous voyez ? J’avais épousé une enfant et ainsi…
Cependant, elle–elle s’est tenue à mes côtés comme une véritable, véritable camarade. Et quand la mère de Billy est morte, j’avais environ vingt-cinq, vingt-six ans. Il n’avait pas de mère, il pleurait et il n’y avait personne pour s’occuper de lui. Et elle était juste une petite fille alors... d’environ dix-sept, dix-huit ans. C’est elle qui s’occupait de lui.

5 Et des années plus tard, je ne pensais même pas épouser cette enfant pas plus que je ne le ferais pour une étrangère qui est assise là-bas, vraiment pas. Son père et moi étions des collègues de chasse et nous avions grandi ensemble. Eh bien, elle… Je… Probablement elle me faisait des histoires et je lui flanquais une gifle pour un morceau de bonbon. C’est donc ainsi que les choses se passaient, vous savez, quand nous grandissions en tant que des enfants. Nous avions donc grandi ensemble comme cela et je n’avais jamais pensé l’épouser.
Mais je vous assure, c’était réellement un don que Dieu m’avait envoyé quand je – quand Dieu me l’a donnée pour femme. Et merci beaucoup. Et par elle, Il m’a donné trois beaux enfants.
Et elle s’est occupée de Billy Paul. Et d’habitude, une mère, une marâtre, lorsqu’elle vient, vous savez comment les choses se passent. Je peux dire (elle n’est pas ici, mais c’est vrai. N’importe qui le sait. Mes voisins sont ici) qu’elle aime ce garçon et elle a été… Elle est mieux pour lui par rapport à sa mère. J’ai vu sa mère lui donner une fessée quand il n’avait pas encore six mois, mais Meda ne l’a jamais touché, pas du tout. Simplement – simplement… Elle aurait dû faire un peu plus peut-être, ou peut-être les choses seraient différentes. Elle m’a tout laissé. Certaines personnes disent qu’elles ne croient pas au fait de donner une fessée aux enfants, mais les Ecritures disent que vous allez – si vous ménagez votre verge, vous gâtez votre fils. Ainsi, je – je crois au fait de corriger les enfants pour les amener à réfléchir. Si nous faisions davantage cela, nous n’aurions pas trop de délinquance juvénile.

6 Eh bien, ce soir, c’est le mercredi soir, nous sommes en quelque sorte… une petite soirée où je ne m’attendais pas à avoir beaucoup de gens à cause des églises. Ce soir, c’est une soirée de réunions de prière dans des églises ; et je suis très reconnaissant pour l’assistance.
Et c’est une bonne chose que tous ne viennent pas le même soir, parce que nous allions– nous n’aurions pu rien faire avec eux. Il y a quelque temps, j’ai demandé : «Combien de gens y a-t-il ici, a-t-on demandé, qui n’ont jamais été dans les réunions auparavant ? » Et c’était plus de la moitié de l’auditoire. Hier soir, il y en avait deux tiers qui n’avaient jamais été dans la réunion auparavant, et cela continue.
Eh bien, il y a tant de choses que nous pouvons dire. Je crois qu’hier soir, si je ne me trompe pas, dans mon message d’hier soir, j’ai prêché sur – sur… J’ai oublié le texte sur lequel j’ai prêché hier soir. Quelque chose que j’apportais sur… Oh ! La béatitude oubliée. Je crois que c’est dans Saint Matthieu, chapitre 11, le–le verset 6 ou quelque chose comme cela. 11.6, la béatitude oubliée, et il y est dit : « Heureux celui pour qui Je ne serai pas une occasion de chute. »

7 Je prêchais sur la manière dont Jésus devient une occasion de chute pour les gens. Et Jean était devenu… Il n’a pas exprimé cela de cette façon-là, mais il était en quelque sorte offensé parce que les choses n’ont pas marché de la façon dont il pensait que ça devrait marcher. En effet, il a présenté un Jésus ou Christ, le Messie qui aurait Son van à la main, nettoyant l’aire, qui brûlerait la paille ; mais quand Jésus est venu, Il était très humble, modeste, doux.
Et Jean pouvait à peine comprendre ce que – ce que c’était. C’est comme s’il était déçu et il était en quelque sorte offensé.
Cependant, il avait vu le signe messianique et il avait reconnu que c’était Lui. Ainsi, il a envoyé les disciples voir si c’était Lui. Eh bien, c’était terrible de dire une telle chose. Or Jean était oint de l’esprit d’Elie, et Elie avait pratiquement une dépression nerveuse aussi, vous savez, sous le genêt. Et ici, c’était Jean… Aussi longtemps que vous vous tenez là pour proclamer cela, c’est très bien ; mais quand il vous faut prendre cela, alors c’est un peu différent. Voyez. Ainsi, Jean en prison, son oeil d’aigle avait terni.

8 Et nous avons donc vu que Jésus ne leur a jamais prêché un sermon ni ne leur a pas dit comment dire à Jean de le faire. Il a simplement dit : «Restez jusqu’à la fin de la réunion et voyez ce qui se passe. » Et lorsque la réunion fut terminée, Jésus a dit : «Eh bien, allez faire part de ces choses à Jean. Les boiteux marchent, les aveugles voient, les sourds entendent, etc. et l’Evangile est prêché aux pauvres. Et heureux celui pour qui Je ne serai pas une occasion de chute. » Ensuite, je me suis mis à parler d’une occasion de chute.
Et alors j’étais… J’ai fait allusion à un petit enfant qui venait de Sion, d’ici dans l’Illinois. Et si je ne me trompe pas, quelqu’un m’a dit ou a dit qu’il pensait qu’ils seraient... que cet enfant serait dans le bâtiment ce soir. Est-ce vrai ? Est-ce que la mère est là avec ce petit garçon de la ville de Sion, dans l’Illinois, celui qui avait une jambe infirme, recroquevillée vers le haut, et qui marche maintenant ? Elle devait être ici soit ce soir, soit demain.
Voilà la mère. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Etiez-vous ici hier soir ? Très bien. C’est très bien. Je n’ai pas – je n’ai pas – je… Vous avez compris ce que je veux dire. Vous n’étiez pas achoppés, mais vous étiez simplement… Vous vous posiez seulement des questions sur ce qui allait arriver à cet enfant. Est-ce vrai ? Très bien. Cependant, le Seigneur n’a fait que ce qu’Il avait dit qu’Il ferait, n’est-ce pas ? C’est merveilleux. Remerciez le Seigneur pour cela. Avez-vous l’enfant avec vous ? Il n’est pas ici.

9 Eh bien, ce… La petite mère est sortie. Elle avait une foi solide. Oh ! la la ! Aussitôt que j’ai imposé les mains à l’enfant, cela allait se produire là même. Mais vous voyez, vraiment cela, quelques fois… Si nous – si c’est une vraie foi, rien ne va l’arrêter. Ainsi, la petite mère a apporté l’enfant dans le camping-car le jour suivant et elle était un peu inquiète, elle et son petit mari, et ils voulaient savoir pourquoi la jambe de l’enfant ne descendait pas jusqu’au sol.
Eh bien, je n’ai rien dit et je me suis dit : « Elle croit cela. Et la fille croit vraiment cela, ainsi cela – cela doit arriver, aussi longtemps… »
Quand elle est sortie, elle m’a demandé : «Pensez-vous, Frère Branham, que c’est la volonté de Dieu que mon enfant soit infirme ? »
Et j’ai répondu : «Non, non, ce n’est pas la volonté de Dieu. »
C’est exactement ce qu’elle attendait. Voyez ? Ainsi, Dieu a honoré cela et a guéri l’enfant.

10 Et en entrant, il y a quelques instants… Je peux me tromper à propos de ce témoignage, mais il y a… Si cette femme est ici… Je pensais avoir vu la voiture là-bas et le camping-car. Une femme est venue dans mon église, récemment; oh ! ça ne fait pas plus d’une année ou deux. Cette dame était là à l’extérieur comme ceci avec une tumeur. Oh ! vous n’avez jamais vu une telle tumeur. Les médecins ne pouvaient même pas y toucher, c’était un état très grave au point qu’elle n’arrivait même pas à marcher. On devait la transporter. Eh bien, elle avait appris que j’allais être à l’église ce soir-là. Vous savez comment ça se passe là au petit tabernacle; ainsi, à la fin du service, je n’avais pas prié pour les malades. J’avais simplement offert une prière, et – et je pense qu’elle était… Elle était en quelque sorte scandalisée aussi. Mais cependant, l’un des diacres fidèles et quelques-uns d’entre eux savaient que j’étais entré au bureau ou plutôt au bureau des diacres là au fond, on a transporté cette pauvre femme là-bas, une femme corpulente, avec cette grande tumeur, oh ! c’était horrible ! Et ils l’ont couchée là sur les marches, là où, en sortant, je devais soit marcher sur elle soit quelque chose de ce genre.

11 Ainsi donc, quand je suis sorti, elle a prononcé une parole et Dieu m’a donné cette parole et j’ai répété cela. Et à peu près – à peu près l’été dernier, je crois que c’est ça, elle s’est arrêtée dehors, devant, avec son mari sur leur chemin de retour vers la Californie. Et cette femme était juste une… lisse. Cette tumeur avait totalement disparu. Il n’y a pas… Et si – si ce… Je – je l’ai vue à Bloomington l’autre jour et je lui ai dit : « Ma soeur, j’aimerais que vous vous teniez debout ce soir. » Et certains prédicateurs m’ont saisi et je me suis mis à parler et j’ai oublié cela. Je pense que cela, c’est sa voiture et la remorque parquée ici portant l’immatriculation de la Californie.
Si cette femme est ici, voudriez-vous lever la main, soeur ? Oui, la voilà, dans le fond. C’est vrai. Voudriez-vous vous avancer là dans l’allée, s’il vous plaît, juste un instant afin que les gens voient ? Enlevez votre manteau afin que les gens voient votre… ? Elle avait une si grande tumeur qui faisait saillie… [La soeur se réjouit – N.D.E.]. Si c’était vous dans cet état-là, vous vous seriez aussi senti ainsi.
Eh bien, souvenez-vous qu’elle était si grande qu’elle ne pouvait même pas marcher comme ceci. On devait la transporter, avec la tumeur saillante comme ceci. Et on n’en retrouve plus la moindre trace; c’est parti et cela a disparu. Voyez ? Nous ne pouvons pas donc…

12 Il y a une autre dame, je pense, dans ce bâtiment ce soir, une infirmière diplômée d’Etat. Je les ai vus ici, elle et son mari, l’autre jour. Ce sont mes amis intimes. De voir combien de temps cela dure… Dans les archives d’Houston, au Texas, elle est… derniers espoirs, elle était mourante, elle était rongée par le cancer. Et on l’a amenée à la réunion. Et quand mon frère Howard a distribué les cartes de prière ce soir-là… D’habitude, il passe devant comme le fait Billy, mélange les cartes de prière et les distribue aux gens. Et cette femme assise là a regardé une autre dame qui était dans un état pire qu’elle, cette infirmière, elle avait de la sympathie pour les malades, elle s’est levée et elle est allée jusque là, au fond, et lui a trouvé un siège juste là au fond.
Ce soir-là, quand Howard, mon frère, est passé devant pour distribuer les cartes de prière, le Saint-Esprit a dit : «Va derrière et distribue-les au fond ce soir. » Et elle a reçu une carte de prière, elle est entrée dans la ligne [de prière]. Le Saint-Esprit lui a parlé de cela, Il l’a absolument, complètement guérie. Il y a de cela environ dix, douze ans ou peut-être plus, et elle est toujours une infirmière diplômée d’Etat, elle dirige une clinique là au Texas. Frè…

13 Soeur Harris, êtes-vous ici ce soir ? C’est une infirmière diplômée d’Etat quelque part, une charmante et belle femme de… La voici. C’est vrai, c’est une infirmière diplômée d’Etat. Les derniers cas de cancer… Les médecins qui s’occupaient de ce cas là-bas savaient que cela allait la terrasser. Et maintenant, on me dit que les médecins, à la retraite et tout, sont venus chez elle pour l’aider, sachant qu’elle est une chrétienne qui craint Dieu, qui a donné sa vie à Christ et Dieu l’a guérie.
Oh ! qu’est-ce que j’essaie de dire, mes amis ? Ne soyez pas scandalisés. Il est… Il n’y a pas d’occasion de chute en Lui. Il intervient juste à l’heure prévue. Oui, oui. C’est vrai.

14 Le Saint-Esprit nous a donc conduit hier soir à dire que nous ne sommes pas en retard, ni en avance. Nous sommes exactement à l’heure prévue. ça, c’est un message opportun, ce que nous avons aujourd’hui.
Et si quelqu’un dit : « Oh ! ce jour est passé » et quelqu’un comme cela, allez dire à Jean (votre pasteur peu importe qui il est. Voyez ?) que les boiteux marchent, les aveugles voient, les tumeurs disparaissent et les cancers sont guéris. Combien de temps cela dure-t-il ? Exactement aussi longtemps que vous le croyez. C’est vrai. C’est–c’est comme ça que dure le salut ; ainsi, juste aussi longtemps que vous y croyez…
Ainsi, prenez donc courage et ayez foi en Dieu. Et Christ ne nous a pas abandonnés. Ne soyez pas scandalisé. S’Il a fait une promesse, Il l’accomplira, et Il est juste à temps, exactement. Il est juste à l’heure prévue, à tout moment. Et vous direz : «Frère Branham, je sens que c’est ce soir que je serai guéri. » Ne vous en faites pas. Il est juste à l’heure prévue, restez là à l’heure prévue. Et croyez que cette soirée est la vôtre, c’est cela. Inclinons la tête un moment pour la prière.

15 Gracieux et Saint Père céleste, comme nous nous approchons de Ton Trône de miséricorde, accorde-nous Ta grâce ce soir pour prêcher la Parole de Dieu afin que les gens voient et croient, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Pendant que je priais… Les gens qui ont amené cet après-midi ma – ma femme et Joseph, mon petit garçon, sont ici quelque part dans la salle. Je pense qu’ils sont entrés. C’était un témoin de Jéhovah avec sa femme, je pense; ils sont de l’église Anderson de Dieu. La femme est tuberculeuse. Elle a été guérie. Elle avait un fils estropié, il avait la polio, cela avait tiré sa jambe. Et ils suivaient la réunion. Ils étaient à Houston, au Texas. Je crois que c’est là que votre soeur Harris (peu importe où elle était – il faisait sombre dans les coins, là-bas, là où elle était) elle a été guérie. Et ils étaient présents ce soir-là que la Lumière était descendue.

16 Ils étaient à Louisville. Ils habitaient à l’extérieur du Kentucky et ils étaient venus. Et frère Wood lui-même, je pense, n’en savait pas plus, étant témoin de Jéhovah, et il a grandi dans ce genre de famille et strictement loin des églises et tout. Mais ce soir-là, il a vu une fille qui était devenue – juste paralysée. Et pendant des années, elle était restée couchée (au-dessus des hanches) et ne pouvait se déplacer pendant des années. Elle s’est levée de là, elle a marché et a traversé l’estrade, elle a pris son brancard et est retournée chez elle ; elle a travaillé, elle a monté et descendu les marches en courant le jour suivant.
Le petit garçon qui était assis dans un fauteuil roulant, ayant une jambe plus longue que l’autre, s’est levé et est monté à l’estrade et s’est tenu là. Et le petit ami a prêché immédiatement à la chaire, les deux jambes étaient identiques. Et ils sont partis de là.

17 Ainsi, je suis allé en Suède, je suis revenu et ils étaient ici quelque part dans la réunion, quelque part ici dans l’Ohio. Et ils étaient assis là tout au fond de la tente. Ce soir-là, le Saint-Esprit a dit : «Il y a un petit garçon là derrière portant un pull-over, un petit pull-over jaune, sa mère et son père… » Et tout à leur sujet. Ils n’avaient même pas… Ils savaient que je n’avais jamais entendu parler d’eux, rien. Et il était un entrepreneur dans le Kentucky. Et le Saint-Esprit a dit : «AINSI DIT LE SEIGNEUR, le garçon estropié est guéri. »
Eh bien, il est resté là un instant et, directement, elle a dit à son mari : « Demande au garçon de se lever », quelque chose comme cela. Et le garçon s’est mis debout et les deux jambes étaient identiques. Ce garçon est un jeune homme ce soir, il est marié et il a un enfant. Et si je ne me trompe pas… David, es-tu dans la salle ? David Wood, où es-tu ? Il avait une jambe tirée vers le haut qui ne touchait pas le sol et l’autre… Es-tu ici, David ? Le voilà, il est debout à la porte. Veux-tu descendre un tout petit peu par ici, David, afin que les gens voient qu’il n’y a pas… Il ne sait même plus de quelle jambe il s’agissait, et elle était recroquevillée et ne touchait pas le sol.

18 Maintenant, la soeur de Sion qui est là avec le petit bébé, vous avez vu ce que Dieu a fait pour l’une de ces jambes recroquevillées. Vous voyez ce qu’Il fait pour les vôtres. Il est toujours Dieu. Il est juste à l’heure prévue. La seule chose que nous avons à faire, c’est ajuster notre foi à Sa Présence ici, et cela arrivera.
Eh bien, juste pour un court message, Billy m’a complimenté hier soir, disant que j’ai terminé après environ trente-cinq, quarante minutes. Je prenais deux heures ou un peu plus. Mais il – il a dit : «Vous faites bien. Si vous pouvez diminuer cela à vingt minutes, ce sera mieux pour les gens. »
Et j’ai dit : «Eh bien, ce sera difficile pour moi. » Et ainsi, vous voyez, un peu difficile. J’ai beaucoup à prêcher parce que j’ai un très Grand Seigneur qui vient et j’aime tellement la chose que je continue à en parler.

19 Mais vous qui aimez consulter les Ecritures, si vous voulez prendre I Rois, chapitre 22, verset 14, ce seul verset comme un petit texte afin d’en tirer un contexte, si le Seigneur nous aide à parler pendant quelques instants. Et Michée répondit : L’Eternel est vivant ! J’annoncerai ce que l’Eternel me dira. Eh bien, nous avons une grande histoire ici devant nous, mais nous n’avons pas le temps d’aborder cela comme il faut. Et demain soir ou un [autre] soir, si je le peux, le Seigneur voulant, j’aimerais retourner ici dans l’Ancien Testament et prendre un point sur les prophètes et le faire ressortir, s’Il le veut. Alors, c’est comme s’Il me traite – s’Il traite avec moi pour prendre le jeudi et le vendredi soir pour prêcher sur La marque de la bête et Le Sceau de Dieu ; c’est quelque chose d’opportun que, je pense, l’église devrait connaître.

20 Eh bien, à propos, nous voyons qu’il y avait en Israël, en ce temps-là, un roi du nom d’Achab. Il était le roi d’Israël et, à cette même période, Josaphat était le roi de Juda. Et Josaphat était un homme juste, un homme qui craignait Dieu. Et son père, Asa, avant lui, était un homme qui craignait Dieu. Mais nous voyons qu’Achab était en quelque sorte ce que nous appelons un croyant limitrophe, c’était juste un type qui allait un peu… dans n’importe quelle direction que le vent soufflait ; eh bien, cela a emporté Achab.
Et il avait une femme qui s’appelait Jézabel, qu’il avait épousée uniquement pour fortifier son royaume. Et elle était une idolâtre et elle avait déchiré tout Israël. Et les – les prédicateurs étaient tous partis… Ceux qui étaient de très bons prédicateurs étaient devenus tièdes. Et – et presque eux tous avaient rétrogradé. Mais il y avait un vieil homme qu’ils ne pouvaient pas mener par le bout du nez. C’était Elie. Il n’était pas dupe. Ainsi, il – il est resté fidèle à cette Parole. Et ainsi il a prophétisé sur ce qui allait arriver à Achab.

21 Ainsi donc un jour, Josaphat fut invité à visiter ce roi d’Israël; en fait, ils étaient comme des frères. Les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les pentecôtistes étaient des frères. Ils étaient tous de la même race, les mêmes, ils étaient censés servir le même Dieu. Et Achab était… Cependant il était un croyant, un croyant tiède et limitrophe. Mais sa femme était… Il était le chef de la maison, mais elle a dû être le cou qui fait tourner la tête, vous savez; ainsi, tout ce qu’elle disait… C’est elle qui constituait le système.
Et, frère, laissez-moi dire ceci avec respect à certains d’entre vous les bons démocrates radicaux : c’est ce que nous avons maintenant. Il peut être très bien, mais il y a un système là derrière qui fait tourner la tête. Et nous avons fait la même chose juste… Nous y arriverons plus tard.
Ainsi, toutefois, cette femme le menait. Tout ce qu’elle voulait, elle le menait par le bout du nez et l’amenait à le faire ; elle était capable de l’amener à faire tout ce qu’elle voulait. Et elle dirigeait le trône. Elle était la puissance qui était derrière le trône.

22 Et Josaphat fut invité à visiter Achab et Achab lui montra tous les ornements qu’Israël avait. Eh bien, c’est à ce moment-là qu’un croyant peut aller fréquenter les mauvaises personnes. Quand Josaphat est allé communier avec Achab, il est entré dans une mauvaise congrégation. Eh bien, très souvent, les gens peuvent faire cela avec de bonnes intentions. Les gens n’ont pas l’intention de faire le mal. Je crois que beaucoup de gens ce soir sont dans le péché mais ne veulent vraiment pas faire cela.
Il y a quelque temps, une belle jeune fille dans une chambre psychopathique… Et on avait la salle d’urgence et je suis retourné là-bas… C’était une femme belle comme je n’en ai jamais vue… J’ai vu tout autour certaines d’entre elles en camisoles de force. Et elle a dit : «Voulez-vous me prendre la première, Frère Branham ? »
Je me suis dit : «Prendre la première ? Tu n’es pas l’une des patientes. » Mais elle l’était.

23 Et elle m’a raconté sa vie. Et je lui ai parlé, disant : «Tu n’avais pas l’intention de le faire, n’est-ce pas ? »
Elle a répondu : «Non, monsieur, je n’en avais pas l’intention. Quelque chose m’a poussée à le faire. »
J’ai dit : «Cela peut sembler vieux jeu, mais c’est le diable. »
Et elle a dit : «C’est ce que j’ai toujours cru. » Et Dieu a délivré la femme. Elle est mariée et elle a des enfants ce soir. Et elle était une ivrogne, une alcoolique, une prostituée, oh ! vous n’avez jamais… une vie si horrible. Mais simplement ce… Elles n’ont pas l’intention de le faire, mais quelque chose les pousse à le faire. Elles n’en ont pas l’intention.
Je suis allé à Bowery, j’ai relevé quelques ivrognes et j’ai demandé : «Eh bien, comment vous appelez-vous? »
L’homme m’a dit : «Voulez-vous me procurer à boire ? »
Je lui ai répondu : «Non, je ne veux pas vous acheter à boire. Je suis un prédicateur. »
Il a dit : «Redressez-vous, regardez dans cette direction, vous verrez la banque dont j’ai été président. » Voyez ? C’est vraiment la vérité. Voyez ? Mais ils – ils n’ont pas l’intention de faire cela, c’est quelque chose qui les pousse à le faire.

24 Ce soir, j’ai une amie qui est peut-être assise ici quelque part. Elle vient toujours ; et presque vous tous, vous connaissez Rosella Griffin. Elle était l’une des plus grandes alcooliques de Chicago. Le quartier des clochards n’avait plus d’emprise sur Rosella. Et elle est venue à la réunion d’Hammond, et là le Saint-Esprit l’a appelée et lui a tout révélé. Et elle fut délivrée de l’alcoolisme, et maintenant elle travaille dans des prisons et à d’autres endroits avec les autres alcooliques. Rosella, où êtes-vous, ma soeur ? Etes-vous dans le bâtiment, ce soir ? Oui, la voici, juste ici, une sainte de Dieu. Elle est une personne aimable qui a donné sa vie et s’est abandonnée elle-même à Christ, et maintenant… Quand je l’avais vue venir à l’estrade (excusez-moi, soeur Rosella), elle avait des yeux vitreux comme une sorcière misérable…?… Oh! vous n’avez jamais vu une personne d’une telle apparence. Et je veux que vous… Je ne dis pas ceci pour la flatter, mais, ce soir, Rosella est une charmante et belle jeune femme. Elle a quinze ans, elle a l’air d’une jeune fille de quinze, vingt ans, plus jeune que ce qu’elle est réellement. Et elle – elle est une personne charmante, et – et elle n’a plus jamais pris un verre d’alcool, alors qu’elle était allée d’un hôpital à un autre, elle est passée d’un médecin à un autre, elle a été chez les Alcooliques Anonymes de Chicago ; tous l’avaient abandonnée comme un cas désespéré, et la voilà assise ce soir, plusieurs années après. Grâce étonnante, quel doux son, qui sauva un malheureux comme moi ! C’est ça.

25 Vous les alcooliques, voyez-vous ce que Dieu peut faire ? Vous qui avez le cancer, voyez-vous ce que Dieu peut faire ? Vous qui avez des courtes jambes, vous les estropiés, voyez-vous ce que Dieu peut faire ? Il est Dieu. Il est juste à l’heure.
Eh bien, nous voyons que cet homme était entré dans une mauvaise compagnie. Et pécheur, vous entendez ces gens crier ; vous voyez cette femme qui court là-bas, et elle a commencé par-là et elle n’a plus la grosse tumeur, elle a été si remplie de gloire qu’elle n’a même pas pu se tenir – a pu – n’a même pas su quoi dire, et elle s’est mise à parler en langues. Pourquoi? Elle a été remplie de la puissance de Dieu qui avait enlevé cette tumeur de là, au point qu’elle a été incapable de parler sa propre langue. Elle louait simplement Dieu. Voyez ? Vous vous demandez qui les pousse à faire cela. Eh bien, que la même chose vous saisisse donc et vous verrez quel effet cela aura sur vous. Voyez ? Ce sera la même chose. Ainsi, Il est juste à l’heure prévue : « Car la promesse est pour nos enfants et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. »
Vous direz : «Mon pasteur, mon église, ne croient pas cela. » Eh bien, vous êtes – vous vous êtes joint à une mauvaise compagnie. Vous vous êtes joint à une mauvaise compagnie. Vous voyez ? C’est ce que Josaphat avait fait. Il s’est joint à une mauvaise compagnie.
Il a reçu beaucoup d’éclat et Achab lui a montré toutes les choses éclatantes.

26 Je pense que Josaphat doit lui avoir demandé ceci : «Crois-tu toujours en Jéhovah ? »
– Oh ! eh bien, certainement, nous croyons en Jéhovah certainement, certainement.
– Très bien, a-t-il dit, Maintenant…
Quand vous voyez le monde vous inviter quelque part, souvenez-vous, il ne vise que son intérêt personnel. Voyez ? Et jeune dame, vous qui venez d’une famille chrétienne, qui n’avez jamais fumé ou bu, quand cette autre fille essaie de vous donner une cigarette, elle ne vise que son intérêt personnel. Ce jeune homme qui veut vous amener à la danse, il ne vise que son intérêt personnel. Voyez ? Faites vraiment attention. Gardez-vous de vous joindre à cette compagnie-là. Tenez-vous-en éloignée. Peu importe combien les gens semblent être bons, fuyez l’apparence même du mal, dit la Bible.
Restez-en éloignée. Ne considérez pas comment – comment vous pouvez vous rapprocher de cela sans pécher ; voyez combien vous pouvez en rester éloignée. C’est la chose à faire. Ne voyez jamais combien vous pouvez vous approcher de cela sans pécher ; voyez combien vous pouvez en rester éloigné.

27 C’est comme cet Ecossais qui devait passer de l’autre côté de la montagne. Ils avaient là trois conducteurs. L’un d’entre eux a dit, il a dit : «Eh bien, ce grand escarpement, a-t-il dit, est-ce cela la route pour monter là-haut ? »
Il a dit : «C’est ça la route. »
Il a dit : «Quelle est la largeur de cette route ? »
Il a dit : «La largeur de la route n’est que de dix pouces [25 cm – N.D.T.] de plus par rapport aux roues en place de la voiture à cheval. »
Il a dit : «Vous ferez mieux de choisir un bon conducteur. »
Il a dit : «Il faut que je gravisse la montagne pour passer de l’autre côté. »
Un homme a dit : «Je peux conduire mes chevaux à toute vitesse avec un – prendre mon fouet et conduire mes chevaux à toute vitesse et rester à deux pouces [5 cm – N.D.T.] de ce bord sur tout le parcours sans tomber. »
L’autre conducteur s’est avancé et a dit : « Je peux rester à trois pouces [7,5 cm – N.D.T.] de ce bord et longer cela à toute vitesse. »
L’autre homme était juste là debout en train de se tourner les pouces. On lui a demandé : « Qu’en est-il de vous, monsieur ? »
Il a répondu : «Monsieur, je suis en mesure de le faire, mais je ne veux pas prendre ce genre de risque. Je reste loin de la bordure comme vous le voulez. »
L’homme a dit : «Je suis votre passager. » C’est vrai. Et il en est ainsi. Ne regardez pas à ce que vous pouvez faire pour vous en sortir devant Dieu ; regardez combien vous pouvez rester éloigné du péché, sous toutes les formes, les ordres et l’incrédulité. Et abstenez-vous de tout ce qui est impie. Eloignez-vous-en. Restez-en éloigné.
Et je pense que si quelqu’un a déjà été dans le pays de Canaan et a goûté les bonnes choses de Dieu, vous n’aurez pas à vous inquiéter pour lui ou pour elle au sujet de ces choses. Ils se tiendront loin de cela aussi longtemps qu’ils auront déjà goûté aux bons raisins de Canaan.

28 Eh bien, Josaphat est venu et Achab lui a montré tout l’éclat du royaume. Et il visait donc son intérêt personnel et il a dit : « Sais-tu donc que Ramoth de Galaad qui se trouve là-bas nous appartient ? Quand Josué a partagé le pays… Tu en es témoin. Oui, oui. Vous êtes témoin que cela nous a été donné. Et le roi de Syrie s’en est emparé, mais cela nous appartient. » Il a dit : «Eh bien, n’est-ce pas la vérité ? »
Josaphat a répondu : «C’est vrai, certainement que nous sommes tous des Israélites. »
Il a dit : «Eh bien, veux-tu unir ton armée à la mienne? Et nous tous ensemble, nous irons là-bas le chasser parce que cela est à nous. »
Et vous voyez, ils peuvent montrer, le monde peut… Le diable peut vous montrer quelques bonnes raisons brillantes et même ramener cela aux Ecritures. Ils diront : « Eh bien, maintenant, tous nous ne sommes que… Nous sommes tous des enfants de Dieu. Tous les hommes sont les fils de Dieu. » Oh ! non, non, non, non! « Nous croyons tous les mêmes choses. » Oh ! nous, nous ne croyons pas la même chose. Non, non! Certainement pas.
Et ainsi, ils… Vous savez, il a été dit à Jude – il a dit, il a exigé de combattre pour la foi, non pour une foi, pour la foi qui a été transmise une fois pour toutes aux saints. C’est vrai. Non pas combattre pour une foi, mais pour la foi qui a été transmise une fois pour toutes. Et quand vous avez cette foi, Jésus a dit que ces miracles accompagneront ceux qui ont ce genre de foi. Ainsi, cela – alors vous savez où vous vous tenez (Voyez ?) et quel genre de vie vous devez mener.

29 Ainsi, Josaphat a dit : «Eh bien, assurément. Après tout, nous sommes un même peuple. » Il a dit : «Mes chars sont tes chars et – et mes chevaux sont tes chevaux, et – et mes soldats sont tes soldats. Eh bien, certainement, nous sommes tous ensemble. » Achab a dit : «Pourquoi ne pouvons-nous pas monter là ( Excusez-moi) et les chasser ? » Mais il a dit… Et il s’est donc retourné. Il a dû penser : « Eh bien, attends une minute. Nous n’avons pas consulté le Seigneur concernant cette affaire. » Vous voyez, un véritable croyant, avant de faire quelque chose, peu importe ce que – combien cela semble bon, il va toujours consulter Dieu d’abord. Amen. Oui, oui.
Vous savez, j’ai vu… Bien des fois, les gens viennent me voir et disent : «Oh! Frère Branham, si vous venez ici, nous allons vraiment vous sponsoriser, nous ferons beaucoup [de choses]; nous vous garantissons, il n’y aura pas un seul cent de non payé, et nous allons – nous vous donnerons autant chaque soir. » Des choses très brillantes, mais vous savez, les singes sautent sur des choses qui brillent. Ainsi, attendons simplement. L’or des fous brille plus que l’or véritable.

30 Vous savez, l’autre soir, j’ai dit que Christ est un rayonnement, non pas un éclat. Nous ne pourrons jamais convertir le monde en essayant de faire briller nos églises, de les rendre plus grandes et de perfectionner nos prédicateurs avec une meilleure instruction. Ils – ils ont déjà toutes ces affaires. Ils ont toutes sortes de psychologie, des jeux de ballon et tout. Le monde a cela. Mais nous avons quelque chose qu’ils n’ont pas : c’est Christ. Voyez ? C’est vrai. Restez sur votre propre territoire. Nous, nous avons Christ ; eux n’ont pas Christ. Ils ont toute la psychologie. N’essayez pas de vous égaler à eux quant à la perspicacité. Vous ne le pouvez pas. Ils ne – ils peuvent vous surpasser.
Allez une fois chez un prêtre catholique et essayez de le surpasser en perspicacité. Il a six cents livres, tout aussi sacrés que cette Bible, qu’il a à étudier. Ainsi, mon frère, n’essayez jamais de vous égaler à lui pour ce qui est de la perspicacité, je vous dirai cela. Mais si vous vous accrochez au – au Saint-Esprit, Il fera le reste (Voyez ?) si vous vous accrochez à cela. Voyez ? Et nous ne sommes pas censés égaler notre intelligence à la leur, nous sommes censés avoir Christ. C’est ce que nous avons. Nous avons quelque chose qu’ils n’ont pas.

31 Ainsi, vous devez toujours consulter le Seigneur avant de faire quoi que ce soit. Et quand vous dites que vous allez faire une certaine chose, si c’est la volonté du Seigneur, vous devez dire : «Si c’est la volonté du Seigneur. » C’est ce que nous dit la Bible.
Josaphat s’est souvenu du bon enseignement qu’il avait reçu de son père. Il a dit : «Ne penses-tu pas que nous devons consulter le Seigneur ? »
Je peux m’imaginer l’évêque Achab dire : «Oh ! oh ! eh bien ! eh bien ! certainement. Oui, oui. Je – je – je crois que nous devons le faire. Eh bien, maintenant, j’ai mon groupe juste ici parce que j’ai un – j’ai toute une école des prédicateurs ici, des prophètes. » Eh bien, souvenez-vous, ils étaient des prophètes. « J’en ai toute une école ici. »
– Très bien. Quel genre de prophètes sont-ils ?
– Des prophètes de Jéhovah. Nous les avons juste ici. Et… Eh bien, je vais les chercher.
– Très bien, ce sera bien.

32 Ainsi, eux tous sont montés, Ezéchias [Sédécias –N.D.E.] et eux tous. Il était le chef de... parmi eux, l’évêque en chef. Ainsi, quand ils se sont tous présentés devant les rois, pendant qu’ils étaient dans leurs robes royales, vous savez, pour faire... dans un certain lieu, à l’écart, là près de la porte… Et les prophètes se sont présentés là, quatre cents prophètes. Pensez-y. Quatre cents étudiants, pas des étudiants, ils étaient des évêques ordonnés, de grands hommes.
Ils ont dit : «Nous avons prié, nous avons jeûné ; nous avons reçu la volonté du Seigneur. Ainsi dit l’Eternel Dieu, Jéhovah : ‘Montez et emparez-vous-en’, car cela nous appartient et c’est à nous ; nous y avons vraiment droit. Allons prendre cela. » Ils ont dit : « Réfléchissons donc. Eh bien, mentalement, c’est vrai. C’est à nous que cela fut donné. Oui, oui. C’est vrai. »
Et, eh bien, ces prophètes ont dit : « Voyons donc. Selon notre psychologie, nos pensées, notre pensée psychique, cela nous appartient. Dieu nous l’a donné. Cela nous appartient. Une nation païenne détient cela. »
« Voyez-vous mes prophètes ? Eux tous ont dit : ‘Montez et prenez cela.’ »

33 Et, vous savez, l’homme qui est déjà entré en contact avec Dieu, il – il peut en quelque sorte discerner s’il s’agit de Dieu ou pas. Vous savez, Josaphat a plutôt senti que la chose était un peu drôle. Il a dit : «Avez – n’avez-vous pas un autre ? »
Il a répondu : «Un autre ? Eh bien, il y en a quatre cents de mieux instruits, mieux qualifiés, de mieux habillés, et, eh bien, du pays, du monde. Si quatre cents d’un commun accord disent : ‘Allez-y’, pourquoi en demandez-vous un autre ? » Mais il y avait là un petit sentiment drôle, vous savez. Il y avait quelque chose de faux. Ainsi donc, vous voyez maintenant, quand vous vous mettez à penser que – que si nous nous réunissons tous ensemble, eh bien, il y a la puissance, mais cela peut ne pas être le bon genre de puissance. Voyez ? Là où il y a l’unité, il y a la puissance ; là où il y a l’entente. C’est vrai. Si c’est un accord sur la chose correcte, nous marcherons avec cela, mais que la chose soit d’abord conforme à la Parole. Voyez ? Et ainsi ils ont dit…

34 C’est ainsi que notre première organisation fut formée, notre célèbre Eglise catholique. C’est là qu’on a dit de… dans l’organisation : «Le Conseil de Nicée là, ne pensez-vous pas qu’il y a un Nicée qu’ils devaient connaître ? Quand ils ont rejeté les autres et voté ceci ? » Ça ne rend toujours pas cela vrai. Non, non. Et c’est vrai quand Dieu dit que c’est vrai ; et ce n’est pas vrai jusqu’à ce que Dieu dise que c’est vrai. C’est exact. Peu importe combien c’est grand, combien c’est altéré.
Il n’y a pas longtemps, un prêtre s’est adressé à moi, disant : «Eh bien, Frère Branham… » Il a dit plutôt : «Monsieur Branham, ce qui vous montre que l’Eglise catholique est dans la vérité... » Il a dit : «Considérez les tempêtes qu’elle a traversées tout le long des âges. »
Autrefois, ma famille était catholique, vous savez, étant donc un Irlandais. Ainsi, ils disent : «Tout le long… » Ils ont dit : «Considérez ce que l’Eglise catholique a enduré, toutes les persécutions… »
J’ai dit : «Ce n’est pas un mystère ; tout l’Etat et toute autre chose étaient derrière elle. Mais qu’en est-il des pentecôtistes, avec tout contre eux et ils continuent à survivre ? » Amen. C’est vrai. Tout contre eux… Assurément, tout est pour l’Eglise catholique.
Assurément, c’est ainsi qu’elle a pu survivre, mais qu’en est-il des autres ayant tout contre eux, on les a massacrés, on les a tués et on leur a fait subir toutes sortes de choses ? Comment ont-ils survécu ? Et les voici aujourd’hui, ils brillent comme un dollar (Amen!), comme les étoiles du ciel et cela pour toujours.

35 Eh bien, remarquez, cet homme de Josaphat a dit : «Il y a un petit quelque chose de faux. » Là au fond de son coeur, il a senti qu’il y avait quelque chose de faux. Il a dit : «Mais n’avez – n’avez-vous pas un autre prophète quelque part ? »
Achab a répondu : «Oui, j’en ai un. Il s’agit de Michée, là-bas. C’est le fils de Jimla. » Mais il a dit : «Je le déteste. »
Oh! – Oh ! Il a su sur-le-champ qu’il était dans la bonne voie. Il a dit : «Oh! Que le roi ne dise pas cela. Allez le chercher. »
« Eh bien, pourquoi aurons-nous besoin d’un autre alors que–alors que toute l’organisation dit que c’est en ordre ? » Ça ne fait pas que ce soit en ordre, pas du tout, pas du tout.
Il a dit : «Non, je dois quand même voir cet autre prophète. » Ainsi, il a dit : «Quel est son nom, tu as dit ? »
Il a répondu : «Michée, c’est le fils de Jimla. »
Josaphat a dit : «Eh bien, allez le chercher. Ecoutons ce qu’il va dire à ce propos ». En effet, il y avait un petit sentiment bizarre qui ne s’accordait pas avec la Parole quelque part.

36 Ainsi, on l’a envoyé chercher. Achab a fait porter la tenue à un soldat et l’a envoyé là. Et celui-ci a trouvé Jimla là-bas quelque part… ou plutôt, pas Jimla, je veux dire Michée, le fils de Jimla. Il était là-bas quelque part dans la jungle, dans une petite hutte quelque part. Le soldat a dit : «Eh bien, Michée. Etes-vous le prophète Michée ? »
Celui-ci a répondu : «C’est bien moi. »
Il a dit : «Savez-vous que vous allez être honoré ? »
« Oh ! vraiment ? » Comme si Dieu ne lui avait pas encore parlé, vous savez. Ainsi, il a dit : «Vraiment ? »
« Si, vous serez invité là… L’association ecclésiastique va se réunir. Et ils se sont tous rassemblés là chez le roi et vous irez à la Maison Blanche. Je vous assure, Michée, vous n’avez jamais pensé recevoir un tel honneur, mais vous êtes réellement honoré. Un tout petit homme sans instruction comme vous, qui habite ici, mais on veut vous amener vers le... devant le roi. Et ils–ils... le… Ecoutez donc. Savez-vous où se trouve la grande école des prophètes, la grande organisation universelle de l’association des ministres ? »
– Oui, a-t-il répondu, je les connais tous… Oui, je les connais, là-bas.

37 – Eh bien, tu connais, tu connais certainement Ezéchias [Sédécias –N.D.E.] là-bas, le plus grand prophète en chef de tous les prophètes.
– Oui, j’ai entendu parler de lui ; oui, on dit que c’est un grand homme.
– Oui, il l’est, et on dit qu’il a un doctorat en lettres, en philosophie, en théologie, QS, tous ces titres, vous savez.
– Oui, je le sais.
Eh bien, lui avec… Eux tous, d’un commun accord, sont venus prier pour la chose. Ils ont jeûné et prié. Et il s’est fait deux énormes cornes en fer. Il est convaincu qu’il a la Parole du Seigneur. Ainsi il a dit... Il s’est présenté devant le roi, il a pris ces grandes cornes et il a dit : ‘Par ceci, vous allez repousser les Syriens hors du terrain de Dieu et nous allons récupérer la possession de Dieu. Amen.’ »
C’est ce que nous avons pensé dans notre organisation. Nous voulions tout repousser et faire qu’eux tous forment une seule unité ; nous voulions faire d’eux tous des trinitaires, nous voulions faire d’eux tous des Assemblées de Dieu. Nous voulions faire d’eux tous des baptistes ou des méthodistes. Mais nos cornes de fer ne marchent pas. C’est vrai. C’est vrai. On ne le fait pas comme cela. Vous ne les malmenez pas. Non. « Vous allez repousser cela, vous allez vous emparer de la chose et vous la posséderez. »
Notre système dénominationnel est en ordre tant que vous ne vous séparez pas de l’autre ami, mais quand vous vous séparez de l’autre frère, vous êtes fautif. C’est donc ce qu’ils ont fait.
C’est ce que l’organisation – la base de l’organisation… c’est de se séparer de l’autre ami.

38 Ainsi donc, nous voyons qu’il a donc dit : «Eh bien, si toute cette association de ministres dit… »
« Eh bien, je vais vous le dire. J’ai une parole de ce prophète en chef. Il a dit : ‘Répétez la même chose que lui. Si vous le voulez, descendez là, nous vous accepterons dans notre association. Nous vous prendrons comme l’un d’entre nous. Nous allons... Nous vous dirons, nous ferons de vous un membre de notre groupe, si seulement vous dites la même chose que lui. »
Mais, mon frère, il s’était trompé d’homme. Michée a dit : «Je n’annoncerai que ce que Dieu dira, et c’est tout. » Amen! J’aime cela. Oui, oui. « Je n’annoncerai que ce que Dieu dira. » Ainsi, ils sont finalement descendus là et se sont présentés devant le roi. Et Michée a pris toute une nuit devant le Seigneur pour voir ce que le Seigneur dirait. Ainsi, ils se sont présentés devant le roi. Et voici, toute la – l’école des prophètes se tenait là. Et ils étaient là en train de prophétiser. Eh bien, souvenez-vous, ce n’étaient pas des prophètes païens. Ils professaient qu’ils étaient des prophètes de Jéhovah, mais observez donc.

39 Ainsi, ils ont vu qu’après qu’ils ont dit tout le… Eux tous avaient prophétisé disant : «Oui, le Seigneur continue à dire : Montez. Il est avec vous. Prenez la ville. » Michée a regardé tout autour, il a dit : «Allez de l’avant, montez. Prenez la ville. » Achab a reconnu qu’il y avait là-dedans quelque chose de faux. « Combien de fois dois-je te supplier ? »
Il a répondu : « Allez certainement de l’avant. Prenez la ville, mais, a-t-il dit, j’ai vu – vu Israël dispersé sur la montagne comme des brebis qui n’ont point de berger. »
Pour Achab, cela a enflammé sa colère indignée. Il a dit : « Que t’ai-je dit ? Il va prophétiser le mal. Tout ce qu’il dit, c’est condamner nos femmes qui portent des habits courts, ainsi que toutes ces choses qu’il nous dit concernant tout notre… Je savais qu’il allait toujours dire quelque chose de mal à mon sujet. Aussitôt qu’il se lèvera là, c’est ce qu’il va dire. » Que pouvait-il dire d’autre ?

40 Il a dit : «J’ai vu Israël dispersé sur la montagne comme des brebis qui n’ont point de berger. » Et – et, oh ! la la ! Achab savait que cela signifiait sa mort. Et il a dit… Oh ! il s’est emporté à cause de cela parce qu’il – il a dit : «Je vous ai dit qu’il prophétiserait le mal. »
Eh bien, comment pouvait-il faire autrement ? En effet, il avait éprouvé sa vision par la Parole de Dieu, et il savait que la Parole de Dieu avait prononcé sur – sur Achab au travers d’Elie qui était vraiment le prophète de Dieu que les chiens lècheraient le sang d’Achab dans le champ, ou plutôt sur le chariot, comme quoi les chiens lècheraient le sang d’Achab. Et Dieu était contre Achab. Et comment cet homme de Dieu pouvait-il bénir ce que Dieu avait maudit ?
Comment–comment un prédicateur peut-il se tenir à la chaire et dire aux gens les choses qu’ils font et, ensuite, les laisser s’en tirer sans dire quelque chose à ce sujet ? C’est plus que ce que je peux dire.

41 Vous savez, là-bas en Chine, leur grand dieu, c’est un ancien philosophe, on l’appelle Confucius. Confucius fait la loi en Chine. En Amérique, c’est la confusion au lieu de Confucius. Oh ! d’habitude on prenait une photo… Il y a quelque temps, je suis allé à un endroit pour manger (quelqu’un me l’a demandé) et c’était comme si mon petit garçon Joseph était entré dans un seau de peinture contenant plusieurs couleurs différentes quelque part et qu’il avait sali tout le mur. J’ai dit : «Un bel endroit comme celui-ci qui est sale, avec des taches comme cela recouvrant le mur ? »
Oh ! j’ai demandé à la serveuse et elle a dit : «Eh bien, cela… c’est sur la toile. »
J’ai dit : «Ç’a vraiment l’air d’avoir été placé sous des gouttes de peinture, ou sous une échelle quelque part, là où on fait une sorte de décoration. »
Elle a dit : «Oh ! » Elle a continué : «Monsieur, c’est fait par tel et tel. » Eh bien, cela n’avait même pas l’air d’une peinture, pas du tout. Et elle a dit… J’oublie combien de centaines de dollars a coûté cette peinture qui est sur le mur.
« Eh bien, ai-je dit, si c’était moi, j’en donnerais autant pour ôter cela de là. » J’ai dit : «Parce que cela me tourmenterait à mort, c’est vraiment dégoûtant à voir. »

42 Vous savez, autrefois, on appelait noir, noir, et blanc, blanc. Quand vous mélangez les deux, vous obtenez le gris. Il en est juste ainsi. Les gens sont tellement mélangés. Quelle est la ligne qui sépare le vrai du faux ? Si les méthodistes sont dans le vrai, qu’en est-il des baptistes ? Si les presbytériens sont dans le vrai, qu’en est-il des pentecôtistes ? Il y a une ligne de séparation quelque part. Cette ligne de séparation, c’est la Parole de Dieu. C’est la Parole. La ligne de séparation de Dieu, c’est la Parole : « Que toute parole d’homme soit un mensonge, et la Mienne la Vérité. » Comment pouvons-nous donc bénir ce que Dieu a maudit ? Comment pouvez-vous laisser les hommes se marier deux ou trois fois dans vos églises et faire d’eux des diacres ? Comment pouvez-vous laisser les femmes aux cheveux coupés, portant des habits courts, habillées de manière vraiment sexy, monter à l’estrade jouer du piano, sortir dans les rues et se promener çà et là comme cela (et) sans que vous en disiez quelque chose ? Vous ne pouvez pas arrêter cela, mais vous pouvez dire un mot contre cela. Et quatre-vingts pour cent de ces gens fument la cigarette, se méconduisent et prennent la bière.

43 Il n’y a pas longtemps, j’étais dans une université, et sur le campus, des jeunes filles se promenaient çà et là portant des habits courts, et des boîtes de bière gisaient partout, tandis que les prédicateurs rient et se moquent de l’Evangile. Eh bien, comment pouvez-vous vous attendre à ce que la génération suivante… ? Que vont-ils devenir ? Où se trouve la ligne de séparation ? Autrefois, j’avais un vieil ami méthodiste, le docteur Spurgeon. Il chantait le cantique : Nous avons laissé tomber les barrières,
Nous avons fait des compromissions avec le péché.
Nous avons laissé tomber les barrières
Et les brebis sont sorties.
Mais comment les boucs sont-ils entrés ?
C’est lorsque vous avez laissé tomber les barrières.
C’est cela la cause. Vous avez été emportés par une idée fantastique d’un jeune play-boy là-bas à l’université qui connaît plus que – que Dieu Lui-même, et vous commencez une doctrine sur une telle chose. Revenez à la Parole ! Peu importe si vous dites : «Eh bien, cela – cela dit ceci, cela fait ceci. » Cela doit être la Parole de Dieu d’un bout à l’autre. Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement, pas un dieu mort, mais le Dieu vivant ; pas un Dieu qui n’a guéri les malades qu’autrefois, mais un Dieu qui guérit les malades aujourd’hui. A quoi ça sert de parler d’un Dieu ancien s’Il n’est pas le même Dieu aujourd’hui ?
Certainement. Eh bien, vous ne pouvez pas vous réchauffer avec un feu peint. Ainsi, quelque chose que vous déclarez avoir existé autrefois, nous devons avoir quelque chose aujourd’hui. Et ce même Dieu vit toujours, Il guérit toujours, Il sauve toujours, Il donne toujours le Saint-Esprit. Et Il… Et c’est le même Jésus-Christ hier, aujourd’hui et éternellement.

44 Eh bien, vous voyez donc, Michée avait basé sa foi sur sa vision d’abord, ensuite, il a pris sa vision et l’a comparée avec la Parole de Dieu. Alors il a su qu’il était dans le vrai. Et, eh bien, c’est ainsi qu’il nous faut le faire. Si notre – si notre théologie prend la Parole de Dieu et notre...les choses que nous faisons et si cela correspond à la Bible, totalement à la Bible, c’est en ordre. Et si vous faites cela, vous serez en ordre. Mais si ce n’est pas le cas, ne vous en mêlez pas. Dieu ne bénira que ce qu’Il a promis de faire.
Nous voyons donc qu’Achab était une personne maudite parce que le prophète…. Et il a dit : «Je… Dernièrement dans ma vision… » Il a dit que quand il a eu une vision, il a vu Dieu assis sur le trône. Et il a dit que l’armée céleste se tenait à Sa droite et à Sa gauche, et ils ont dû avoir une réunion du conseil. Et Dieu a demandé : «Qui pouvons-nous envoyer là-bas pour séduire Achab (souvenez-vous maintenant), séduire Achab, le pousser à sortir là dans ce champ afin qu’on le tue pour accomplir la parole d’Elie ? Gloire! Alléluia ! Dieu se tiendra toujours derrière Sa Parole.

45 C’était un prophète qui avait dit cela, mais Jésus a dit : « Si vous dites à cette montagne, ôte-toi de là et que vous ne doutiez pas, mais que vous croyiez que ce que vous dites s’accomplira, vous le verrez s’accomplir », lorsque vous savez que c’est la Parole de Dieu qui le déclare. C’est pourquoi, j’ai pu parler à cette femme qui avait cette grosse tumeur, je peux parler à la dame qui a le cancer ici ce soir, aux autres… En effet, premièrement, c’est une vision. Elle correspond à la Parole. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Une vision apparaît, ensuite elle s’accomplit. C’est l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et cela doit s’accomplir. Rien ne peut arrêter cela. Voyez ?
Eh bien, ça faisait longtemps depuis qu’Elie avait fait cette prophétie. Ça fait longtemps qu’il est dans la Gloire. Mais il avait – il avait fait cette prophétie, il savait qu’elle allait s’accomplir. Et puis Michée savait qu’Elie était un homme de Dieu ; et Dieu était là au Ciel, tenant un conseil là-haut pour voir comment amener la parole d’Elie à s’accomplir. Et si vous avez la Parole du Seigneur, si vous prononcez la Parole du Seigneur et si vous n’En doutez pas, Dieu tiendra une réunion de conseil pour faire que votre Parole s’accomplisse parce que ce n’est pas votre Parole, c’est Sa Parole. C’est Sa Parole, si c’est l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, si c’est vraiment l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.

46 Suivez attentivement. Eh bien, ils ont tenu ce conseil. Et ainsi, un esprit est monté – il a dû venir des régions inférieures, sans doute qu’il s’est incliné et a dit : « Ô Dieu, je vais – je vais – je sais comment nous allons nous y prendre. »
Dieu l’a interrogé : «Quel est ton plan ? »
Il a répondu : «Je descendrai, je rassemblerai tous ces prédicateurs et je ferai qu’ils prophétisent un mensonge, car de toute façon, ils ne connaissent pas les Ecritures. » Il a donc dit : « Je descendrai et ferai qu’ils prophétisent un mensonge. Par là, nous l’amènerons à sortir, qu’il parte là, et alors Tu peux obtenir qu’il soit tué là-bas pour accomplir la parole d’Elie. »
Ainsi, Dieu a dit : « C’est toi qui vas...Tu es… Tu vas le convaincre. »

47 Et quand il a donc dit ceci, eh bien, vous pouvez vous imaginer ce que cet évêque s’est dit quand ce tout petit prédicateur d’un demi-mètre s’est tenu là, livrant un message pareil. Il s’est directement avancé et l’a giflé juste sur la bouche. Et il a dit : « D’où l’Esprit de Dieu est-Il sorti de moi pour aller chez toi ? »
Il a dit : «Tu le verras un jour quand tu seras là en prison. » C’est ce qu’il a dit. Elie – Elie avait prophétisé cela, et la vision de Michée concordait avec la Parole de Dieu. Eh bien, si votre foi dit… Eh bien, combien croient que la guérison divine par Christ existe? Levez la main. Très bien. Combien croient qu’ils peuvent être guéris ce soir ? Levez la main. Eh bien, là, voilà, votre – votre révélation concorde avec la Parole de Dieu. Alors cela doit s’accomplir. Amen. Il est – Il est obligé de le faire, si vous le croyez vraiment. Ne faites pas semblant de croire cela maintenant. Il ne fera pas un bluff, Satan ne trompera pas, mais il vous fait avoir des biens.

48 Dix jours après que Jésus a donné à Ses disciples le pouvoir de chasser les démons, nous les voyons là-bas échouer devant un cas d’épilepsie. Et je peux m’imaginer l’un d’eux, André, dire : «Eh bien, voici comment je le faisais à Philippes. Tenez ! Démon, sors de là ! Démon, sors de là ! » Non, il n’a pas voulu sortir. Pierre a dit : «Vous ne savez pas comment vous y prendre. Voici comment nous le faisions à Capernaüm. Laissez-moi vous montrer comment le faire. Tenez-le comme ceci et dites : ‘Sais-tu qui je suis ? Je suis Simon Pierre. Sors de là !’ » Le démon est toujours resté là.
Ainsi, quelque temps après, le père [de l’enfant malade] a levé les yeux, et voici venir Jésus. Celui-ci s’est approché d’eux.
Il a dit : « Seigneur, j’ai amené mon enfant à Tes serviteurs, ils n’ont pu rien faire de bon pour lui. » Il a dit…
Jésus a dit : «Je peux, si tu crois. »
Il a dit : «Je… Seigneur, viens au secours de mon incrédulité. »
Il a dit : «Je crois. »
Quand Jésus s’est avancé là, c’est tout ce qu’il Lui fallait faire. Ce démon a compris qu’il y avait quelque chose d’autre, l’Homme qui s’est donc avancé à ce moment-là. Voyez ? Ainsi donc, eh bien, après que tout était fini, le démon a quitté l’enfant. Et après tout cela, les disciples ont donc appelé Jésus à l’écart et Lui ont posé la question : « Eh bien, pourquoi n’avons-nous pas pu le faire ? Nous as-Tu retiré le pouvoir ? »
Il a dit : «Non. » Je peux vous montrer là où Il a donné le pouvoir, mais je ne peux pas vous montrer là où Il l’a retiré. Le pouvoir est toujours là. Vous avez seulement peur de l’utiliser. Voyez ?
Il a dit : « Est-ce… Pourquoi n’avons-nous pas pu – pourquoi n’avons-nous pas pu le chasser ? »
Jésus a dit… Eh bien, Il n’a pas dit : « Parce que J’ai retiré le pouvoir. » Il a dit : « A cause de votre incrédulité. » C’est ça. Voyez ? C’est ça, parce que vous ne croyez pas cela.

49 Eh bien, Michée n’aurait pas eu la foi si sa vision ne concordait pas avec la Parole de Dieu. C’est ainsi que… quand je parlais d’Abraham et sa semence après lui. La seule façon dont j’ai la foi dans ma vision de la chose, c’est parce que c’est vraiment la Parole de Dieu. Et alors, vous avez la foi. « Je sais que c’est ainsi. » Quand Dieu le dit et qu’Il l’a promis par Sa Parole, nous vivons en ce jour, Il suit le programme. Oui, oui. Il n’y a rien qui va arrêter cela. Cela avance. Et c’est la raison pour laquelle je crois que ce soir nous vivons juste à l’ombre du temps où…
Un ministre ici, l’autre jour… Le jeune homme n’est pas ici ce soir. C’est un baptiste et il a toutes sortes de diplômes. Et ils...Son église l’a rejeté et les siens l’ont envoyé dans un asile de fous, sa femme et lui. Il était ici hier soir… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Je suis tout à fait d’accord avec ce frère.

50 Et ce que ça fait, ça ne vient jamais à ces éminents ecclésiastiques. La chose passe, comme Jésus, comme les prophètes, comme les autres… Toujours tout du long, ce sont les pauvres. La chose arrive, et elle passe. Et les gens se demandent : «Eh bien, qu’est-ce qui est arrivé ? Je ne le savais pas. » Certainement. Il le révèle à ceux qui Le cherchent, à ceux qui se tiendront tranquilles et qui écouteront cela un instant; écartez vos propres pensées et comparez ce que vous écoutez avec la Parole de Dieu.
Eh bien, si Achab s’était assis un moment ou si ce souverain sacrificateur ou n’importe qui de ces prophètes s’était assis et avait comparé… Il ne s’agit pas de ce qui semblait correct. Cela semblait appartenir à Israël. Mais ce n’est pas l’air que la chose donne, c’est ce que Dieu dit à propos de la chose. Voyez ? S’ils étaient assis et avaient comparé cela…
C’est comme s’il nous faut avoir nos écoles et nos – nos églises et les amener à un niveau très élevé, des doctorats en philosophie et en droit; et il nous faut avoir les plus grands et les plus beaux bâtiments du monde; et il nous faut apprendre toute cette – cette lecture, écriture et arithmétique. Mais ce n’est pas ce que Dieu a dit. Il n’a jamais dit : «Allez instruire les gens. C’est très bien.»
Je ne soutiens pas mon ignorance maintenant par l’instruc... ou – ou je n’utilise pas cela comme moyen de défense. Mais écoutez. Voici ce que je dis : l’instruction, c’est très bien, mais elle ne remplacera jamais le salut. Voyez ?

51 Oh ! les jeux de ballon, s’amuser et tout, c’est très bien, mais cela n’appartient pas à l’église. Dans l’église, nous voulons Christ, pas une forme de Christ, ni une image de Christ, ni un Christ mort, ni une tombe de Christ. Nous voulons un Christ ressuscité, qui est vivant parmi nous, qui se confirme comme étant le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est ce dont l’église a besoin, ce que les gens doivent chercher. Cela dépend de leur appétit (Voyez ?) s’ils veulent recevoir cela ou non.
Eh bien, il a donc comparé sa vision avec ce que la Parole de Dieu avait dit. Et il s’est tenu juste là devant les deux nations et il leur a dit la chose. Il a dit : « Vous n’allez pas revenir. Vous allez mourir sur le champ [de bataille]. »
Et savez-vous ce qu’Achab a dit ? Il a dit : «Reconduisez ce type et dites au maire de la ville de le mettre en prison et de le nourrir avec du pain d’affliction et de l’eau d’affliction. Et quand je serai de retour en paix, a-t-il dit, je – je – je m’occuperai de lui à mon retour. »
Savez-vous ce que Michée a dit ? Il s’est retourné, l’a regardé et a dit : «Et si du moins vous retournez, le Seigneur ne m’a pas parlé. » Oh ! il savait où il se tenait. C’est ainsi que n’importe qui ferait.

52 C’est ce que cette petite dame a fait pour son petit bébé, quand elle était tellement sûre que si je priais pour lui… C’est ce que la dame avec la grosse tumeur là au fond, couchée là au fond… Peu importe ce qu’elle avait à faire : avancer péniblement, entrer par le toit ou par n’importe quoi, juste pour qu’elle arrive à l’endroit. C’est tout ce qu’elle voulait, car il s’agissait de sa foi. Elle était comparée avec la Parole de Dieu et elle savait que Jésus-Christ était toujours vivant. C’est pourquoi elle avait la foi et la chose est arrivée.
Eh bien, nous voyons que – que Mi... tout ce que Michée avait dit ou Michée a dit s’est accompli à la lettre. Et tout prophète à travers un âge (nous terminons maintenant), à travers un âge, qui a jamais fait quelque chose avec Dieu, s’est servi de la Parole de Dieu comme appui. Ils ne se sont donc pas éloignés de la Parole. Peu importe ce que les circonstances semblaient être, ils ne se sont pas éloignés de la Parole.

53 Noé... Dieu a dit à Noé qu’il allait pleuvoir. Noé ne s’est jamais éloigné de cela. Il s’en est tenu à cela. Peu importe… Peut-être que la science qu’ils avaient était supérieure à celle qu’on a aujourd’hui. Ainsi, ils ont donc pu construire des choses et faire des choses que nous ne pouvons pas faire aujourd’hui avec – avec – avec la science du monde actuel. Ils ont construit des pyramides, des sphinx et d’autres choses que nous ne pouvons pas produire comme en ce temps-là. Mais il a dit : «D’où proviendra cette pluie ? » Noé ne pouvait pas le leur dire. Il ne pouvait pas répondre à leur question, mais il savait que Dieu lui avait parlé, ainsi il s’en était tenu à la Parole. Il a dit : «C’est Dieu qui l’a dit.» Voyez ?
Abraham ne pouvait pas dire, quand il était âgé de cent ans, comment il allait avoir de Sara un bébé, alors que celle-ci avait quatre-vingt-dix ans. «Comment allez-vous… ? Prouvez-le-moi. Voici qu’elle – qu’elle est vieille, son sein est desséché et mort. Eh bien, tous les deux, vous n’avez même plus eu de rapports conjugaux depuis vingt ans, et te voilà en train de dire que vous allez avoir un bébé. Comment allez-vous faire ?»
«Je ne sais pas. »
«Eh bien, comment savez-vous que vous allez avoir cet enfant? »
«C’est Dieu qui l’a dit. » Eh bien, cela règle la question. Tenez-vous-en à la Parole. Tous les vrais prophètes s’en tiennent à la Parole. Quelques fois, cela leur cause des ennuis. La plupart des fois, c’est le cas, mais cela – mais cela – c’est toujours la vérité.

54 Les enfants hébreux ont dit : «Notre Dieu est capable de nous délivrer de cette fournaise ardente, mais nous n’allons pas nous incliner devant n’importe quoi d’autre, c’est sûr. Autant brûler que nous rétracter. » Ainsi, cela leur a coûté quelques heures de prière une nuit ainsi que là dans la fournaise ardente le lendemain matin. Mais ils avaient eu une conversation avec Celui qui ressemblait au Fils de Dieu qui s’est tenu là dans la fournaise. Voyez ? Mais ils se sont accrochés à la Parole.
Daniel a dit : «Je me fiche du nombre de déclarations que vous faites. J’ai l’habitude d’aller ouvrir la fenêtre en direction de l’est et de prier mon Dieu. » Cela lui a coûté une nuit dans la fosse aux lions, mais il s’en est tenu à la Parole. C’est vrai. Il en est ressorti. Dieu prend toujours soin de Sa Parole. Oui.

55 Quand, cette fois-là, David était là devant Saül, il a vu ce grand et vieux Goliath se présenter là et il l’a entendu dire : «Le temps des miracles est passé. Pareille chose n’existe pas.» Voyez ? Eh bien, non, c’était la version 1961 de la chose. Je vous demande pardon. Je vais retourner en arrière. Il a dit : «Que quelqu’un de vous vienne se battre avec moi. » Voyez ? Ainsi il a dit… Et Saül, il dépassait toute son armée d’une tête, là-haut, il a dit : «Eh bien, a-t-il dit, je vous assure, c’est déplorable. Cet homme, ce garçon, il va… Regardez ce qu’il a comme poids. Il a un… Eh bien, ses doigts mesurent quatorze pouces [33 cm – N.D.T.], a-t-il dit. Eh bien, qu’est-ce…» C’est ce que dit la Bible. Et il avait une–une lance comme une ensouple de tisserand qui peut traverser cette salle-là. Et il a dit : «Eh bien, qui peut bien monter et se battre avec un gars comme lui ?»
Et voici venir un pauvre petit… Et toute l’armée a reculé. Les Israélites, vous savez, étaient censés être un peuple qui craint Dieu, ils ont reculé. Et ils ont dit : «Oh ! la la ! Oh ! nous n’allons pas nous en sortir. Oh ! la la ! Personne ne peut toucher ce gaillard.»

56 Il a dit : «Je vais vous dire ce que je ferai. » On n’a pas besoin de verser tant de sang. » Il a dit : «Qu’un seul de vous vienne et se batte avec moi, et celui qui… Si vous me tuez, alors notre armée, nous allons vous servir. » Voyez, c’est ainsi que le diable aime rugir quand il pense qu’il a le dessus sur vous. Voyez ?
Ainsi un jour, il l’a dit une fois à coups répétés. Il y avait là un tout pauvre petit gars qui se tenait là, du genre peut-être les épaules voûtées, un pauvre petit enfant, enveloppé d’une peau de brebis comme cela et ayant une fronde dans sa main.
Et Goliath s’est présenté et a dit : « Vous tous là-bas qui prétendez être des chrétiens (vous savez, ceci cela et etc.), eh bien, venez et voyons ce…?… »
David a dit : « Voulez-vous me dire que vous vous tiendrez là et laisserez cet incirconcis de philistin défier l’armée du Dieu vivant ? »
Et son frère a dit : «Maintenant, tu deviens indiscipliné. Je parlerai de toi à papa quand tu rentreras à la maison. C’est ce que je vais faire. Tu veux te faire remarquer à présent.»
David a dit : «Je ne me fais pas remarquer, mais la situation est critique. » Il a poursuivi : «Il y a quelque chose à la porte. Cet homme est en train de défier l’armée du Dieu vivant. »

57 Ainsi, on l’a amené chez Saül. Et je m’imagine Saül qui dit : « J’admire ton courage, mon fils, mais, a-t-il dit, oh ! la la !…» Il a dit : « Eh bien, tu n’es rien qu’un gamin, et il a été – il a été un guerrier depuis sa jeunesse. Tu ne sais manier ni épée, ni rien. »
Il a dit : «Mais écoutez, a-t-il dit, j’ai une fois fait une expérience. Un lion est venu, a-t-il dit ; je gardais les brebis. Un lion est venu et a attrapé une brebis de mon père, et je – je l’ai tué. » Et il a continué, disant : «Ensuite, un ours est venu et a attrapé une brebis. Je l’ai tué. » Et il a dit : « Alors, à plus forte raison, Dieu ne livrera-t-Il pas cet incirconcis de philistin … » Il a dit : « Un lion a attrapé une brebis de mon père et a pris fuite. » Et il a dit : « Alors, à ce moment-là, je suis allé à la recherche de cette brebis, et je l’ai ramenée. »
J’aime un tel courage, n’est-ce pas ? Savez-vous quoi ? Beaucoup d’entre vous, les brebis là-bas, il ne s’agit pas du lion, mais d’un cancer, une tumeur ou un démon qui s’est emparé de vous et a pris fuite. Nous venons ce soir (c’est vrai) ramener les brebis du Père. Soyez prêt à vous abandonner. Le Christ de Dieu est ici. Il nous ramènera sains et saufs à la santé une fois de plus. La maladie, les afflictions vous ont atteint, hier soir, dans les fauteuils roulants et tout, peu importe ce que c’est. Voyez ? Les afflictions vous ont atteint, mais le Père est ici pour vous libérer, le Saint-Esprit.

58 David a dit… « Oh ! a-t-il dit, à présent, tu vas recevoir une formation théologique avant que tu ne sortes là-bas pour le faire, vous savez. » Ainsi il a dit : «Tu ferais mieux de prendre mon savoir afin que cela… » Ainsi, il l’a revêtu de sa grande armure comme cela, et le pauvre David est allé directement sur le terrain. Il a constaté que le costume ecclésiastique de Saül ne convenait pas à un homme de Dieu; ainsi il a refusé tous les documents dénominationnels.
Ainsi, il a dit : «Enlevez-moi cette chose. Je n’ai jamais essayé cela. Je n’en sais rien. Et je n’en sais rien. » Il a dit : «Laissez-moi avancer avec ce en quoi j’ai confiance. » Et il a pris cette petite fronde et il s’est présenté là-bas. Et Dieu a dirigé cette pierre et a tué ce géant. Pourquoi ? Il s’est accroché à Dieu. Il s’est accroché à ses convictions. C’est vrai. Chaque vrai…

59 Pierre et Jean, quand ils sont passés près de la porte appelée La Belle, ils étaient commissionnés par Dieu pour aller prier pour les malades, un homme qui était boiteux dès le sein de sa mère était assis là. Pierre lui a dit : «Je n’ai ni argent ni or, mais ce que j’ai, je te le donne. »
Il lui a demandé : « Qu’as-tu ? »
« J’ai la foi en Jésus-Christ. As-tu la même foi ?»
« Oui, monsieur.»
Il a dit : « Lève-toi alors. » Amen! Le voilà qui s’exécute. Ils l’ont simplement soulevé à ce moment-là. Il était chancelant, marchant clopin-clopant. Ils ont continué à le tenir. Incroyablement, il a commencé à aller un peu mieux et il s’est mis à marcher tout droit. Il est resté attaché à cela; il a tenu à la commission de Jésus. Il s’en est tenu à la Parole.
Quand Jésus était ici sur terre, Lui, le plus grand de tous… Il n’y a jamais eu un homme comme Lui et il n’y en aura jamais. Mais quand Jésus était ici sur terre, Il est resté attaché à la Parole. Il a vaincu le diable avec la Parole de Dieu. Le diable a dit… Le diable L’a tenté et il Lui a dit : «Eh bien, Tu sais qu’il est écrit, eh bien… »
Jésus lui a répondu : «Oui, il est aussi écrit… »
Le diable a dit : «Eh bien, Tu sais, je suis un théologien. »
Il a dit : «Oui, Moi aussi. »
Le diable a dit : «Eh bien, il est écrit qu’Il ordonnera à Ses anges de Te transporter de peur que Tu ne heurtes Ton pied contre… »
« Oui, a-t-Il dit, il est aussi écrit : Tu ne tenteras pas le Seigneur, Ton Dieu. Ainsi, arrière de Moi. » Le voilà parti. Voyez, la Parole de Dieu...

60 Tous les vrais prophètes, tous les vrais chrétiens, tous les vrais croyants, s’en tiennent à cette Parole. Peu importe ce que quelqu’un dit, tenez-vous-en juste à la Parole. Les gens disent que le temps des miracles est passé. Ne croyez pas cela, car la Bible dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
« Eh bien, direz-vous, nous croyons cela. » Eh bien, s’Il est le même, alors Il agira de la même manière. Il fera la même chose. Quand ce… A quoi cela me servirait-il de me tenir debout ici et de prêcher cela, si Dieu ne descend pas pour confirmer cela ? Eh bien, vous ne pouvez pas dire que ce n’est pas la Parole de Dieu. Ainsi, c’est la Parole de Dieu. Voici les évidences des autres qui confirment cela. Croyez-vous cela de tout votre coeur ce soir? De tout votre coeur, croyez-vous cela ? Inclinons donc la tête un moment.

61 Notre Père céleste, je viens donc d’ouvrir les pages de la Bible. C’est la Parole écrite. Maintenant, nous avons besoin de la Parole qui a été faite chair et qui a habité parmi nous. Puisse-t-Il descendre maintenant en personne et nous manifester Sa bonté et Sa miséricorde. Puisse-t-Il nous manifester Sa résurrection. Puisse-t-Il nous manifester Sa puissance comme quoi Il est toujours le même. Eh bien, nous ne sommes qu’un petit groupe de gens, persécutés, raillés. Et c’est ce qui s’est toujours passé.
Et ce soir, nous aimerions nous tenir avec Paul et dire : «C’est par la voie qu’ils appellent hérésie (de la folie), c’est ainsi que j’adore le Dieu de nos pères. »
Et maintenant, Seigneur, nous vivons au jour où il a été prophétisé qu’il y aurait de l’incrédulité partout. On a beaucoup d’incrédulité.
Le monde est aplani avec cela dans cet âge de Laodicée, cet âge même où Ton Eglise a trouvé en Toi une occasion de chute, elle a rétrogradé et a suivi les choses du monde. L’église serait mieux qu’elle l’est ce soir si Jésus était venu pour elle il y a quarante ans, car elle s’est toute divisée avec toutes sortes de conditions et traditions. Et de jeunes prédicateurs sortent des séminaires animés de leur propre pensée et tout, ne faisant aucune attention à la Bible et adoptant des traditions et tout. Et ils L’ont tordue absolument comme ils l’ont toujours fait.

62 Ô Dieu, Tu restes toujours le même, exactement comme Tu l’as fait là-bas au temps des prophètes. Tu es le même Dieu aujourd’hui. Je Te prie, ô Père, de Te manifester pour que les gens Te connaissent.
Eh bien, prêcher... le monde a été prêché à mort. Les pauvres gens ne savent quoi croire. Ils courent çà et là. C’est exactement comme Tu l’as dit : Dans les derniers jours, il y aura une famine, non de pain seulement, mais d’entendre la vraie Parole de Dieu. Et si ce temps là est proche maintenant, Seigneur, Tu as dit que les gens iront de l’est à l’ouest, du nord au sud, cherchant la Parole de Dieu. Maintenant, Père, la situation est vraiment identique aujourd’hui ; on entend les gens dire qu’ils marcheront pieds nus sur les pavés pour entrer dans une autre bonne réunion spirituelle comme on en avait l’habitude il y a de cela quarante ans. Mais, Ô Dieu, où est-ce qu’ils trouvent cela ? Ils entrent dans tout un tas de dogmes faits de main d’homme.
Mais Seigneur, Tu as promis que ça serait ainsi. Nous T’avons vu dans l’âge de l’Eglise de Laodicée. Tu as été mis hors de Ton Eglise, le seul âge où on T’a mis hors de Ta propre Eglise, et Tu étais en train de frapper à la porte. « Si quelqu’un a soif, J’ouvrirai et il entrera. » Père, je prie qu’il y ait ici beaucoup de gens assoiffés qui auront soif. « Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés. » Maintenant, nous en tant que Ton Eglise, nous nous abandonnons à Toi. Traite avec nous comme Tes enfants. Nous prions au Nom de Jésus. Amen.

63 Où est Billy ? A-t-on distribué des cartes de prière aujourd’hui ? Oubliez cela. Eh bien, ne les utilisons pas. Laissez que Dieu soit votre carte de prière ce soir. Je me sens vraiment conduit à faire ceci. Avant que nous… Oui, ce sont des tissus sur lesquels nous prions conformément à Actes 19, 19.11, c’est là que nous trouvons cela. Maintenant, combien ici n’ont pas de carte de prière ? Levez la main vous qui n’avez pas de carte de prière et qui êtes malades. Eh bien, combien ont des cartes de prière alors ? Levez la main. Oh ! la la ! Un, deux… Je pense qu’il n’y en a pas plus de trente qui ont les cartes de prière, et environ trois cents sont malades. Très bien, la majorité se trouve de l’autre côté. Gardons simplement ces cartes de prière jusqu’à un autre soir.
Disons simplement ceci. Si Dieu reste Dieu… Et pardonnez-moi d’avoir fait cette remarque sacrilège. Dieu est Dieu. Et s’Il est Dieu, Sa Parole reste toujours la même. Et la Bible dit que par Ses meurtrissures, vous avez été guéris. Si ce Seigneur Jésus venait ce soir… S’Il venait, et ce serait la fin des temps, nous le savons. Mais s’Il devait apparaître ici ce soir et qu’Il se tenait debout ici sur cette estrade, comme vous me voyez debout, et que vous veniez à Lui et que vous Lui disiez : « Seigneur, veux-Tu me guérir ? » Il ne pourrait pas le faire. Ce serait pour Lui défier Sa propre loi. Voyez ?
Il dirait : « Je l’ai déjà fait. » Par Ses meurtrissures, nous avons été guéris. Il pourrait en quelque sorte s’en prendre à vous parce que vous ne croyez pas, mais Il allait, Il… Par Ses meurtrissures vous avez été guéris.

64 Maintenant, combien étaient ici et m’ont entendu prêcher le dimanche passé après-midi sur la semence d’Abraham et comment ce… ? Vous avez entendu cela et ainsi de suite ?
Eh bien, quand Jésus était ici sur terre, voyons le but pour lequel Il était ici sur terre. Quand Il était ici sur terre, Il tenait des lignes de prière, je pense, assurément. Mais bien des fois, Il se tenait là, Il regardait l’auditoire, et parlait aux gens. Est-ce vrai ? Combien savent par la lecture des Ecritures que c’était là Son signe messianique ? Combien de lecteurs des Ecritures savent cela ? Ce soir, vous voulez dire qu’il n’y a que ça comme lecteurs de la Bible qui savent cela ? Environ un tiers de gens ont levé la main. Combien y a-t-il des pentecôtistes ici ce soir ? Levez la main. Honte à vous et à votre pasteur, un seul ? Vous ne savez pas ce que c’était le signe du Messie ?
Qu’a dit Moïse que serait le Messie ? « Le Seigneur, votre Dieu, suscitera (un – un enseignant ?) un prophète comme moi. » Et quand ils ont vu… Et Dieu a dit : « S’il y a un prophète, s’il manifeste le signe du prophète, et que cela s’accomplit, alors croyez-le, parce que je suis... c’est Moi. Maintenant, ça, c’est Ma Parole. Mais si cela ne s’accomplit pas, alors ne le croyez pas. »

65 Eh bien, quand Jésus était sur la terre, la façon dont Il a prouvé qu’Il était le Messie… Maintenant, j’aimerais montrer ceci à certains d’entre vous les pentecôtistes. Considérez cette femme samaritaine. Maintenant, tout ce temps vous avez été chez les pentecôtistes, cependant cette femme samaritaine mal famée connaissait plus au sujet de la Bible que vous, quand elle a vu Jésus. En effet, quand Jésus lui a parlé et lui a dit : « Femme, va chercher ton mari », elle a dit : « Je n’en ai point. » Elle a dit… Il a dit : « C’est vrai. Tu en as – en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. Tu as donc dit la vérité. » Et elle a dit : « Seigneur, je perçois que Tu es un prophète. Nous savons que quand le Messie viendra, Il nous dira ces choses. » Elle savait que cela serait le signe du Messie. Voyez ? Et Il a dit : « Je le suis, Moi qui te parle. »
Elle est entrée dans la ville en courant. Elle a dit : « Venez voir un Homme qui m’a dit les choses que j’ai faites. N’est-ce pas le Messie même ? » Et la Bible dit que toute la ville a cru en Jésus à cause de – à cause de la déclaration de cette femme. Maintenant, combien savent que c’est la vérité ? Voyez ?

66 Eh bien, si c’était le signe du Messie hier, alors… Vous ne pouvez pas trouver une Ecriture où Il a fait cela devant les Gentils, ou aux Gentils. Eh bien, c’est parce que l’Evangile n’était pas encore allé chez les Gentils. Mais Il a promis qu’à la fin de l’âge des Gentils, maintenant en ce temps où les Gentils attendent un Messie… N’est-ce pas que nous attendons le Messie ? Eh bien, alors, s’Il apparaît sous une forme différente de celle dans laquelle Il est apparu en ce temps-là, alors ce n’est pas le même Messie. Il est donc obligé de venir chez les Gentils de la même façon.
Et Jésus a dit que c’est ce qu’Il ferait. Il a dit : « Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme. » Et nous voyons que quand le Seigneur est descendu dans la chair humaine devant Abraham, l’église élue… Quand un Billy Graham moderne et les autres sont descendus là et ont prêché là à Sodome pour faire sortir Lot et l’église de là… Mais pour le groupe élu, l’Ange était assis le dos tourné à la tente et a révélé ce que Sara faisait dans la tente. Est-ce vrai ? Et Jésus a dit que la même chose se produirait juste avant la Venue du Fils de l’homme.

67 Maintenant, ne vous déplacez pas. Restez tranquilles. Soyez respectueux. Combien là-bas croient qu’Il est toujours le même Dieu ? Très bien, priez. Ayez simplement la foi. Ne doutez pas, priez.
Et maintenant, devant le Dieu Tout-Puissant, qui est mon Juge, dans cet auditoire de gens acquis par Son Sang, je vais voir s’il y a ici quelqu’un que je connais vraiment dans ce bâtiment. Eh bien, si je ne me trompe pas, juste ici à cette extrémité, cet homme qui est assis ici, ainsi que sa femme, je pense que je les connais. Est-ce juste, monsieur ? Et je–je pense que c’est notre précieux frère qui apporte toujours des fleurs ici. Et la dame qui est assise au bout, je pense que je la connais. Et juste derrière, il y a mes bons amis, les deux derniers au fond, c’est frère et soeur Dauch de l’Ohio. N’est-ce pas vrai ? Est-ce vous, Soeur Dauch, Frère Dauch ?
Maintenant, là derrière dans cette direction, je ne vois personne, et par ici… Celui-ci est le frère Stricker qui est assis juste ici devant, n’est-ce pas ? Juste ici en chemise jaune. Est-ce que votre… ? Non. Et je sais que frère Stricker est ici quelque part, parce que je l’ai vu aujourd’hui, mais je ne sais pas où il se trouve, et… Oh, oui, là derrière dans le coin, là derrière dans le fond. Eh bien, juste pour voir, je – je pense que c’est tous ceux que je connais dans l’auditoire.

68 Maintenant, priez, croyez, et dites ceci : « Seigneur Jésus, je sais que le... Cet homme qui est là n’est qu’un homme. (Voyez ?) Mais je crois que nous vivons dans les derniers jours. Et me voici assis ici et je suis malade. Et la Bible me dit que Tu es le Souverain Sacrificateur que je peux toucher par les sentiments de mes infirmités. » Vous tous, voulez-vous être d’accord avec cela ? C’est la Bible. Eh bien, alors, quand ce Souverain Sacrificateur était ici sur terre, un jour, une femme a touché Son vêtement. Et elle a dit : « Si seulement je touche Son vêtement, je serai guérie. » Elle L’a donc touché, elle est partie et elle s’est assise, probablement tel que vous l’êtes là, ou elle s’est mise debout, peu importe comment la chose s’était faite. Jésus s’est retourné et a demandé : « Qui m’a touché ? Qui m’a touché ? » Et Pierre L’a réprimandé disant que c’est tout le monde qui Le touchait. Mais Jésus a dit : « Je perçois que Je suis devenu faible. Une vertu est sortie de Moi. » Et Il a parcouru l’auditoire du regard jusqu’à ce qu’Il trouvât la femme, et Il lui a parlé de sa perte de sang, et Il lui a dit que sa foi l’avait sauvée. Est-ce vrai ? Combien savent que Jésus a fait cela ? Dites amen.
Eh bien, combien savent que la Bible dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement ? Amen. Ensuite, la Bible dit que maintenant même, Il est votre Souverain Sacrificateur qui est assis à la droite de la Majesté, faisant des intercessions sur base de votre confession ; et qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut maintenant même être touché par les sentiments de vos infirmités ? Dites amen. Très bien.

69 Maintenant, vous… Je m’abandonne. C’est un don. Oui, oui, un don de Dieu, et il ne peut opérer sans vous. C’est vous qui devez avoir la foi. Ecoutez. Le Romain qui a mis un chiffon autour de Son visage, qui a pris un bâton, L’a frappé avec sur la tête au prétoire ce matin-là et qui a dit : « Si Tu es un prophète, dis-nous qui T’a frappé. »… Jésus n’a point ouvert la bouche. Il n’a pas senti la moindre vertu, ce soldat romain n’a pas...
Jésus se tenait là, tout Son visage et Sa barbe étaient recouverts de crachats, Il saignait, il y avait un chiffon autour de Son visage, comme ceci, et un soldat romain qui se tenait là, à moitié ivre peut-être, tenant un roseau, il a dit : « Hé! on me dit que Tu es un Prophète, que Tu peux discerner les pensées du coeur. Dis-nous qui T’a frappé. Dis-moi qui T’a frappé et je Te croirai.» Il n’a rien fait.
Quand le soldat a dit : « Si Tu es le Fils de Dieu, accomplis un miracle juste ici. Laisse-moi Te voir le faire. Laisse-moi Te voir le faire. Accomplis un miracle et je Te croirai. » Jésus a dit : « Arrière de Moi, Satan. »
Vous avez cependant entendu aujourd’hui dire : « Laissez–laissez-moi voir ces guérisseurs divins faire ceci. » Eh bien, assurément. Certainement. «Arrière de Moi, Satan.»

70 Jésus demeure toujours. Nous gardons nos yeux fixés sur Jésus, pas sur les critiques, sur Jésus. Si vous fixez vos yeux sur Christ – Christ, vous ne verrez pas les critiques. Continuez simplement à avancer. Je sais qu’Il est le même. Pour moi, Il est mon Dieu. C’est vrai, mon Sauveur.
Maintenant, priez, vous là-bas, et voyons. S’il fait la même chose à vous tous les nouveaux venus ici ce soir, vous qui n’avez jamais été dans les réunions auparavant, cela vous amènera-t-il à croire ? Levez la main et dites : « Je – je crois. » Environ trois mains. C’est pourquoi l’Amérique est en train de glaner. Il y a environ deux tiers de la foule qui ont dit qu’ils étaient de nouveaux venus. J’ai dit : « Combien croiront, si Christ apparaît ici et fait la même chose qu’Il a faite quand Il était en vie ? » Trois mains se sont levées. Eh bien, vous pouvez comprendre pourquoi les bandes… et ce que les prophéties disent. Voyez ? Très bien. Malgré cela, vous les vrais croyants, commencez à croire, commencez à réfléchir, commencez à prier. Cela m’amène à dire des choses que je ne veux pas dire, et cela me dérange juste un…?…

71 Père Céleste, je Te prie d’être miséricordieux, ô Dieu. Je – je ne sais pas. Peut-être que si ce n’est pas Ta volonté, alors, bien sûr, Père, la chose ne se fera pas. Mais je prie que Tu accordes que ces gens sachent que… J’ai parlé de Toi ; confirme que je dis la vérité, Seigneur. Laisse cela revenir. Je sais que Tu es ici. Eh bien, au-delà d’une ombre de doute, Seigneur, je sais que Tu es juste ici, et je prie que Tu accordes cela.
J’ai prêché durement, j’ai réprimandé les gens, je leur ai parlé de leur incrédulité, et peu importe combien ils vont à l’église, combien ils chantent, combien ils dansent, et quoi qu’ils aient fait, Seigneur, à moins qu’ils soient des croyants, ils sont – ils sont perdus. Et je Te prie, Seigneur, de permettre que cela soit connu comme étant la vérité, ce soir. L’incrédulité, c’est le seul péché que nous avons, et je Te prie, Père, de permettre que cela soit connu.
Ne les laisse pas avoir confiance dans leur propre justice. Ces pharisiens et ces prêtres étaient justes au possible, donc… Ils ne faisaient aucun mal, ils ne prononçaient pas de mauvaises paroles, ils ne réprimandaient personne, ni rien. Mais Tu leur as dit qu’ils avaient pour père le diable, parce qu’ils ne T’ont pas cru et ils n’ont pas reconnu que Tu étais le Messie. Père, avec cela, en voyant Ton même Esprit venir pour faire cela ce soir, je crie la même chose. Tiens-Toi près de moi, Seigneur. Je suis Ton serviteur. Au Nom de Jésus, je m’abandonne à Toi ainsi que cet auditoire. Parcours cet auditoire, Seigneur, et prends ceux qui sont là. Donne-leur la foi et laisse-les Te toucher ce soir avec leur maladie et leurs problèmes. Prouve que Tu es Dieu, et parle, Seigneur. Nous nous attendons à Toi au Nom de Jésus. Amen.

72 Je sais qu’Il est ici. Merci, Seigneur. Cet homme qui est assis ici à ma droite, un homme de couleur, celui qui est assis là en train de prier, au bout du siège, allez-vous croire de tout votre coeur, monsieur ?
La femme qui est assise là derrière souffrant du diabète, celle qui se tient toute droite, la deuxième par-là et qui est en train de me regarder, croyez-vous que Dieu va vous rétablir et vous guérir de ce diabète ? Celle qui est assise juste ici et qui est juste en train de me regarder, si vous croyez, cela vous sera accordé. Qu’en est-il de vous, révérend ? Qu’en pensez-vous ? Pensez-vous que Dieu fait – vous débarrasse de ces problèmes spirituels et vous fait croire ? Très bien, vous pouvez alors recevoir ce que vous avez demandé. Que Dieu vous bénisse. Qu’a-t-il touché ?

73 Cette dame qui est assise juste ici au bout de la rangée, cette dame de couleur, qui est assise juste là, souffrant du cancer, pensez-vous que Dieu vous guérira, madame ? Avez-vous une carte de prière ? Vous n’avez pas besoin d’une carte. Vous êtes guérie. Vous auriez dû avoir la réponse là même, madame. Vous l’avez manquée.
Voici une dame corpulente qui est assise ici en train de me regarder, juste par ici, elle porte des lunettes, elle a les cheveux renvoyés vers l’arrière, elle a un problème gynécologique, elle est assise là en train de prier; croyez-vous que Dieu va vous guérir, madame ? Croyez-vous cela de tout votre coeur ? Vous avez votre… Avez-vous une carte de prière ? Eh bien, vous n’aurez plus besoin de l’utiliser. Votre foi vous a guérie.
Je vais tourner le dos. Vous avez entendu cela, de ce côté-ci. Il y a une dame qui est assise juste ici derrière, elle a un problème de coeur, et elle a l’arthrite. Juste par ici. Madame Brady, levez-vous. Je ne connais pas la dame. Mais ils manquent cela. Qu’est-ce qui ne va pas avec cette incrédulité ici, ce soir ? Honte à vous.
Juste ici dans la rangée à partir de cette dame, presque une, deux, trois, quatre dames, une dame est assise là, elle a des crises qui lui causent de la faiblesse, cela est… Ne le manquez pas, soeur. Madame Rice, levez-vous et acceptez votre guérison. Amen. Croyez-vous de tout votre coeur ?

74 Voici une dame assise en face d’elle, elle se meurt du cancer, elle est assise à côté d’elle… Madame Sheldon, voulez-vous croire de tout votre coeur ? Levez-vous et recevez votre guérison au Nom de Jésus-Christ. Eh bien, si je ne vous connais pas, madame, agitez vos mains comme ceci ? Si nous ne nous connaissons pas, agitez vos mains de part et d’autre si je ne vous connais pas. Voyez-vous ?
Ne croyez-vous pas ? Quel est le problème avec vous les pentecôtistes ? Ne connaissez-vous pas qui est Christ ? Voulez-vous être guéris ? Alors, levez-vous et acceptez cela. Je vous invite à croire cela au Nom de Jésus. Levez-vous, posez vos mains les uns sur les autres et acceptez votre guérison. Souvenez-vous, c’est de vous qu’il s’agit. Croyez-vous de tout votre coeur ?

75 Levez vos mains vers Christ maintenant, et prions. Priez vous-même. Priez pour vous-même pendant que je prie pour vous. Père céleste, je Te remets cet auditoire de gens au Nom de Jésus-Christ. Guéris chacun d’eux, Seigneur. Que Ton Esprit et Ta puissance descendent sur eux et les guérissent. A la gloire de Dieu et pour la gloire de Dieu je le demande au Nom de Jésus-Christ.
Tout pécheur qui est ici et qui ne connaît pas Dieu comme son Sauveur, voulez-vous monter ici et L’accepter comme votre Sauveur, maintenant ? Montez juste ici maintenant. Je vous invite à monter ici maintenant et à recevoir Christ comme votre Sauveur. Voulez-vous venir ? Celui qui était incrédule il y a quelques instants et qui veut accepter ? Que Dieu vous bénisse, monsieur, venez juste derrière. Ce jeune homme ? Voilà. Oh ! c’est juste. Vous qui ne croyiez pas il y a quelques instants et qui voulez maintenant demander à Dieu de vous pardonner votre incrédulité, venez autour de l’autel. Dépêchez-vous maintenant. Crois seulement, crois seulement, (Que Dieu bénisse ces hommes qui viennent) Tout est possible, crois seulement ;
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement ;

76 Que les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les luthériens, les catholiques, les pentecôtistes qui ne croient pas viennent maintenant autour de l’autel. Venez afin que nous vous imposions les mains pendant que l’onction… Quoi d’autre pourrait faire cela ? Tous ces gens qui ont été appelés dans cette ligne, peu importe où c’était, si je ne vous connais pas, levez la main. Que ceux qui étaient appelés dans la ligne lèvent la main. Les voilà. Voyez ? Je ne connais pas ces gens.
Savez-vous ce que le Saint-Esprit m’a dit ? « Fais un appel à l’autel maintenant même. Il y a beaucoup d’incrédulité ici. » Je ne pourrais même pas continuer la réunion jusqu’à ce que nous ayons fait sortir cette chose d’ici. Qu’est-ce qui ne va pas ? Ôtez… Vous n’avez pas besoin d’un tel esprit autour de vous. Qu’en serait-il si Jésus pouvait venir en Personne ce soir, vous qui êtes assis là-bas ? Vous qui ne croyez pas, venez. Tout est possible, crois seulement ;
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement ; Montez. Venez maintenant, chacun de vous. Si Christ est si près de vous par cette Présence, pourquoi voulez-vous rester en arrière ? Si vous aviez un petit sentiment sceptique, faites sortir cela de vous. Venez maintenant. … car crois seulement,
Tout est possible, crois seulement ;
Crois seulement…

77 C’est tout ce qu’Il vous demande de faire, croire. Croyez simplement que c’est Lui. Si vous ne croyez pas cela, venez vous repentir pour cela et observez ce qui arrive. …est possible, crois seulement ;
Crois seulement… Venez, soeur, c’est ça. « Celui qui s’avance avec des larmes, retournera sans doute avec joie, en apportant de précieuses gerbes. » Tout est possible, crois seulement. Je suis heureux de voir des pasteurs s’avancer et être disposés à confesser qu’ils ont tort. Cro… seulement. Dieu honorera une confession pure et sans mélange. Il le fera certainement. Qu’allez-vous faire quand vous vous tiendrez en Présence de ce même Esprit qui est ici ce soir, pour répondre de cela au jour du Jugement ?
Souvenez-vous-en, c’est tout à fait conforme au programme. C’est ce qu’Il a dit qu’il allait faire, et voici que la chose est là. … crois… ment ...vous – vous venir maintenant, quelqu’un d’autre ? Cro… seulement. Je vous donne la liberté. Je vous donne la liberté pour vous débarrasser de toute votre incrédulité, si vous venez sincèrement et que vous vous repentiez et acceptiez Christ. Si vous êtes superstitieux, un membre d’église, vous ne savez pas si vous êtes dans le vrai ou pas, vous feriez mieux de venir. Crois seulement.

78 Maintenant, vous ouvriers indépendants, venez. Tous les ouvriers indépendants, venez tout de suite afin que… Vous savez ce qu’il faut faire avec les gens. Vous, les ouvriers indépendants, venez tout de suite et regroupez-vous autour d’eux maintenant, ces gens qui sont ici tout autour, parce que nous allons avoir la prière. Et s’il y a là derrière des incroyants qui veulent venir, venez juste devant, de toute façon.
En vous avançant ce soir, vous avez confessé que vous avez confiance, que vous étiez dans l’erreur avec votre conception, et que vous venez maintenant pour avoir une expérience avec le Dieu vivant. Ce même Dieu que vous voyez ici agir juste ici à l’estrade et au travers des gens là-bas, Il est votre Dieu. Si vous… Peut-être vous – vous ne vous êtes pas arrêté une minute pour considérer cela.

79 Il est ici. C’est Lui qui vous a appelés pour monter ici. Voyez ? Le même Esprit qui m’a oint pour prêcher l’Evangile, c’est le même Esprit qui est allé là dans l’auditoire et qui vous connaît. Vous pouvez Le toucher par le sentiment de vos infirmités. Les gens, au-delà de toute ombre de doute… Les gens que je n’ai jamais vus de ma vie se sont tenus là-bas soir après soir dans l’auditoire, ils sont venus ici à l’estrade soir après soir, jour après jour, année après année, semaine après semaine, réveil après réveil, et aucune fois cela n’a failli. Si c’est vrai, église, dites : « Amen. » Alors, pourquoi est-ce que si le Seigneur… ?
Laissez-moi vous dire : «AINSI DIT LE SEIGNEUR ! Tu ferais mieux de te repentir, Chicago. Ton heure est proche : repens-toi. Venez, croyez, car il viendra un temps où vous allez pleurer pour ceci, et cela n’y sera plus. Vous n’en recevrez plus un de réel ; ainsi il vous en sera donné un faux. Jésus a dit : ‘Je suis venu en Mon propre Nom et vous ne M’avez pas reçu. Quelqu’un d’autre viendra et vous allez le recevoir.’ » Souvenez-vous, je cite Ses Paroles. C’est enregistré sur bande.

80 Vous ferez mieux de Le recevoir pendant que vous le pouvez parce qu’il y a dans le monde beaucoup de choses qui sont sur le point d’arriver. Des insectes qui n’ont jamais existé auparavant viendront. Maintenant, c’est le temps de se mettre en ordre. Vous feriez mieux de le faire avant que vous… Alors, après quelque temps, le trône de miséricorde sera ôté, et il n’y aura plus de rédemption. Ainsi, venez quand vous le pouvez. S’il y a un brin de Dieu qui vous appelle, venez maintenant-même.
Ainsi, je serai sûr… Laissez-moi être sûr. Encore une fois : « Crois seulement », tous ensemble. Crois seulement,
( je continue à sentir qu’il y a quelqu’un là-bas ; il y a quelqu’un quelque part.) … crois seulement ;
Tout est possible, …seulement. Je ne suis pas un fanatique, peuple, j’ai dit quelque chose dont je n’ai vraiment pas l’intention dans mon coeur. Certainement, vous ne pouvez pas penser cela après ce que le Seigneur a fait. Voici venir tout un groupe d’adolescents.
Maintenant, tout est possible, crois seulement.

81 Maintenant, je veux que vous, les ouvriers indépendants, vous imposiez les mains aux… Que chacun de vous impose… Posez vos mains sur quelqu’un d’autre, juste comme notre frère Oral Roberts l’a dit, un point de contact. (Vous n’avez pas de pièce ici pour…?…) Dans ce genre de réunions, parfois, quand nous avons cela, vous savez, nous nous installons là où nous pouvons avoir des pièces pour communier…
Je veux que tout l’auditoire incline la tête partout, si vous le voulez. Vous là-bas qui êtes intéressés à ces âmes qui sont ici à l’autel, sachant que ces gens sont venus avec respect ce soir pour confesser leurs torts et – et demander pardon, afin que Dieu soit miséricordieux envers eux… Certainement.

82 Je pense que vous vous demandez pourquoi je continue à poser mes mains sur ces gens qui sont ici. Je ne suis pas superstitieux. De temps en temps, je regarde et je vois une vision et, alors, quand je vois des gens là-bas qui croient et qui sont guéris, c’est pourquoi je pose encore mes mains sur ceux-ci juste à ce moment-là. Voyez, frère, soeur, pouvez-vous être assez dérangés mentalement pour croire que quelqu’un pourrait se tenir ici et faire un... aller là-bas dans cet auditoire, un être humain ayant un… Juste un être humain qui irait là-bas et qui saurait que les gens souffrent et sont malades, puis faire des histoires ? Le pouvez-vous ? C’est le plus grand miracle qui se soit jamais produit au cours de deux mille années. Certainement.
Eh bien, vous pourriez penser à une maladie psychique, si un homme se levait d’un fauteuil roulant et s’en allait marchant. Cela – cela s’est produit. Assurément. Mais montrez-moi où une puissance… Montrez-moi où quelqu’un ayant un doctorat en philosophie peut venir ici, à cette estrade, se présenter là par le Saint-Esprit et dire à ces gens ces choses, juste comme le Saint-Esprit l’a fait ce soir, comme Jésus-Christ l’a fait quand Il était ici. Montrez-moi où il y a un tel homme. Amenez-le ici à l’estrade demain soir. Je l’attendrai. Il n’y en a pas.

83 C’est le Saint-Esprit. Et ces gens malades, ces chrétiens là-bas, qui prient, ils touchent Jésus-Christ. Et par un don divin, Il est… Je regarde juste là et je les vois. Il y a une lumière au-dessus d’eux. Elle se propage, et je vois ce qu’ils sont et qui ils sont, exactement comme je vous regarde ici. Je les vois ailleurs en train de faire quelque chose, et ensuite je parle. Et alors? Quand je termine de parler, je ne sais plus ce que j’ai dit. Voyez, c’est juste comme un rêve que j’oublie. Mais la chose est là. C’est exactement ce que Dieu a dit qu’Il ferait. Je demande à n’importe quel ecclésiastique de renier cela. Vous ne pouvez pas le faire, parce que c’est juste ici dans la Bible. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et voilà la chose à l’heure.
Maintenant, vous vous tenez ici vous repentant. Vous voulez être en ordre avec Dieu. J’aimerais vous rencontrer un jour dans un pays plus beau que celui-ci. Et je vous dis, mon frère, ma soeur, que Christ est toujours vivant ; Christ est ici. C’est presque la fin de temps. Moi, je crois qu’Il vient dans cette génération. Je crois que cette génération-ci verra Jésus venir. Je le crois de tout mon coeur. Je ne sais pas pourquoi, je sens que je Le verrai venir, moi, un vieil homme. Je crois toujours que je Le verrai venir.

84 Maintenant, j’aimerais que, chacun de vous qui êtes ici, vous priiez à votre façon. Confessez vos fautes. Dites : « Ô Dieu, je suis désolé. » Et tout le monde dans le bâtiment, vous qui avez des péchés et qui êtes ici, dites : « Ô Dieu, pardonne-moi. Je veux être un chrétien à partir de ce soir. »
Et vous qui êtes ici confessant que vous avez été paresseux et que vous – vous n’avez pas été capable de comprendre cela, dites : « Maintenant, Seigneur, me voici, je me tiens ici. J’ai mon coeur ouvert, mes bras levés vers Toi. Ma foi regarde à Toi. » Et quand vous faites cela, alors je crois que Dieu vous remplira du Saint-Esprit et vous donnera la chose véritable. Si le Saint-Esprit est ici, si vous aviez vraiment le baptême du Saint-Esprit, frère, Il doit rendre témoignage de ceci parce que c’est le Saint-Esprit. Maintenant, prenez ces…?… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]

85 Très bien. Eh bien, maintenant, nous voulons tous incliner la tête avec révérence et être… Priez silencieusement en vous-même pendant un moment. Ma foi regarde à Toi,
Toi, Agneau du Calvaire,
Sauveur divin ;
Maintenant, écoute-moi pendant que je prie,
Ôte tous mes péchés,
Ô laisse-moi dès ce jour
Être tout à toi ! Pendant que je marche dans le labyrinthe sombre de la vie,
Et que les chagrins m’entourent, (Cela vient)
Sois mon guide ; (Prends-moi maintenant, Seigneur, sois mon guide)
Oh ! ordonne que les ténèbres se changent en jour,
Essuie les larmes de peine,
Ne me laisse plus jamais m’égarer
Loin de Toi. [Frère Branham commence à fredonner – N.D.E.]

86 Ô Dieu, notre Père, ce service du mercredi soir arrive à la fin. Il y a deux cents personnes ou plus, je pense, qui sont debout autour de cet autel. Ils se repentent ; ils ont besoin de la grâce. Ce beau vieux cantique est joué : Ma foi regarde à Toi. Ils se rendent compte, Seigneur, que l’homme ne peut pas faire ces choses ; ils se rendent compte que c’est Toi. Et comme c’était le cas pour Michée dans notre leçon de ce soir, il savait que sa vision était de Dieu, parce qu’elle était conforme à la Parole de Dieu. Ainsi, je suis aussi sûr, Seigneur, ce soir, nous sommes aussi sûrs que cette vision est de Dieu, parce qu’elle est conforme à Sa Parole.
La semence d’Abraham se tient ici, l’Eglise élue, qui sort, qui veut être prête à venir auprès d’El Shaddai pour tirer la force de Dieu en vue d’un corps qui doit être changé afin de recevoir le Fils quand Il viendra. Je Te prie de leur accorder cela, Seigneur, ce soir, chacun d’eux. Donne-leur le désir de leur coeur. Pardonne le pécheur, ramène les rétrogrades, Seigneur ; enlève tout doute du coeur du croyant. Fais de ceci une grande heure, Seigneur.

87 Je crois que Tu es ici. Je sais que Tu es ici, et Ton – Ton Esprit agit. Nous ressentons la douceur de Ta Présence. Nous Te voyons Te mouvoir dans l’auditoire, faisant exactement ce que Tu as dit que Tu ferais. Maintenant, Père, nous Te remercions d’avoir accompli ceci. Nous croyons.
Et prends chacune de ces âmes qui se tiennent à cet autel. En tant que Ton serviteur, je me tiens entre eux et la mort ; je me tiens entre eux et l’incrédulité. Et je me dresse moi-même sur la voie au Nom de Jésus-Christ, et je m’adresse à Satan qui les lie, disant : « Tu ne peux plus les retenir ! » Je défie tout démon qui est présent de quitter ces gens. Sortez d’eux! Vous ne pouvez plus les retenir. Leurs péchés sont pardonnés ; leur incrédulité est partie. Ils sont des enfants de Dieu à partir de cette heure. Que le ministère qu’ils ont dans leur vie grandisse. La puissance de Dieu les accompagnera partout où ils iront. Ils seront des enfants de Dieu à partir de cette heure. Satan, c’est à toi que je m’adresse. Sors d’eux au Nom de Jésus. Sors d’eux !
Maintenant, tout le monde, si vous croyez cela, levez la main et rendez-Lui gloire, et vous pouvez être – partir d’ici libres ce soir au Nom du Seigneur Jésus.

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