Il est convenable que nous accomplissions toute justice

Date: 61-1001M | La durée est de: 1 hour and 58 minutes | La traduction: Shp
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1 C’est toujours un privilège de venir à la maison du Seigneur. Je n’ai jamais connu dans ma vie une seule fois où j’ai regretté de venir dans Sa maison. C’est un... Mais je pense que, ce matin, c’est quelque peu la fois où il m’était le plus difficile de venir. Oui, c’est vrai. Ainsi, des choses arrivent dans la vie, nous le savons, auxquelles nous devons faire face. Et nous devons nous rappeler ceci : cela arrive à tous.

2 Et nous sommes très reconnaissants ce matin, je le suis, et je sais que mes frères et ma soeur sont très reconnaissants à Dieu de savoir que notre mère est sauvée.

3 Et elle est vieille, nous nous sommes attendus à ceci depuis quelque temps, parce qu’elle est mère de beaucoup d’enfants, et elle a usé sa vie. Du temps de ma mère, on n’avait pas les choses qui existent maintenant pour prendre soin des mères lorsqu’elles avaient leurs bébés. Peut-être il a pu arriver que maman ait eu un de ses enfants le matin et qu’elle se soit levée pour faire la lessive l’après-midi même. Et ainsi, maintenant elles sont à l’hôpital pendant plusieurs jours, ayant toutes sortes de médicaments, ce qui est... Nous sommes reconnaissants pour de telles choses qui peuvent aider ces – ces mères et tout.

4 Elle est beaucoup plus proche de la mort maintenant. Et je... [Frère Branham pleure. –N.D.T.] C’est simplement un... simplement un peu dur ce matin, mais pourtant j’ai – j’ai promis d’être ici. Et je suis...

5 Maintenant, je ne puis dire que ma mère va partir. J’ai souvent dit ceci. Et beaucoup sont témoins, au sujet des visions. J’ai dit : «Si ma propre mère était couchée mourante et me regardait dans les yeux, disant: ‘Billy, que – qu’est-ce que je vais devenir?’» J’ai dit : «À moins que Dieu ne me le dise, je ne le saurais pas. Je – je ne pourrais pas le dire.» Et c’est la chose même qui est arrivée. Si maman part, Il l’a certainement gardé secret pour moi.

6 Avant que mon père ne meure, j’ai eu la vision de son départ.

7 Lorsque j’étais encore un pécheur, j’ai vu mon frère, le premier, qui partait. C’était Howard. Je vous ai raconté à vous tous son départ, deux ou trois ans avant qu’il ne parte

8 Mais, pour maman, Il ne m’en a jamais dit un mot. Et si elle doit partir, c’est quelque chose dont je ne sais rien. Quoique nous eussions... Le docteur a dit qu’il ne voit pas comment elle a pu continuer à vivre jusqu’à ce dernier dimanche. Et son état est très sérieux. Mais, quoi qu’il en soit, quand j’étais...

9 Il y a à peu près un mois, comme je l’ai fait pour madame Broy, j’ai toujours aimé me renseigner sur les gens, sachant qu’ils sont près de la fin, pour savoir simplement où ils se tiennent. Nous devons être sûrs de ceci. Nous ne voulons pas simplement dire : «Eh bien, peut-être que c’est en ordre.» Nous voulons être sûrs que c’est en ordre.

10 Un matin, j’ai eu un bon long entretien avec maman. Elle a dit : «Billy, je – j’ai vécu aussi longtemps que je devais vivre.» Elle a dit : «Je n’ai plus de raison de vivre.» Elle a dit : «Je dois partir.» Et elle disait : «Je préfère m’en aller pour être avec papa et quelques autres enfants qui sont de l’autre côté. J’ai la chance de vous voir tous souvent.»

11 Et quand elle a été installée dans l’ambulance pour l’amener à l’hôpital (afin qu’on lui donne du glucose, parce qu’elle ne pouvait rien manger, on devait lui donner du glucose par les veines), je lui ai dit, lorsque nous l’installions dans l’ambulance, j’ai dit : «Maintenant, maman, tout est en ordre.»
Elle a dit : «J’ai grande envie de partir.»

12 Et j’ai dit : «Maman, si tu me laissais un trésor sur la terre de cent millions de dollars pour nous les enfants, ou si tu nous laissais une maison qui irait d’une ville à l’autre, cela ne serait rien en comparaison de ce témoignage que tu nous laisses : ‘Je suis prête à partir!’ C’est un trésor que l’argent ne peut pas acheter, de savoir ça.»

13 Ainsi donc, malgré cela, je me tiens avec hardiesse, croyant ces choses que j’ai prêchées. Cela vaut pour ma mère, cela vaut pour les mères d’autres personnes, cela vaut pour nous tous. Je ne pourrais pas dire : «Dieu, ne la prends pas», parce que je sais que dès que son âme mortelle quittera ce corps, elle en a un autre qui l’attend. Et elle sera à nouveau une jeune femme, juste quelques minutes après qu’elle soit partie d’ici.

14 Avez-vous jamais remarqué qu’un petit bébé, lorsqu’il est né, ses petits muscles se contractent et remuent? Mais lorsqu’il vient sur la terre, il reçoit un esprit, et alors il devient une âme vivante. Et dès que l’âme repart de ce petit corps, il y en a un autre qui l’attend, voyez-vous. Parce que, d’abord, Dieu fait l’âme et l’esprit, et cela entre simplement dans les corps. Et – et lorsque nous partons d’ici, nous changeons simplement de lieu d’habitation et nous allons dans un autre. «En effet, si cette tente terrestre est détruite, nous en avons une autre qui nous attend déjà.» Ainsi, cela est notre consolation. Maintenant, prions.

15 Notre glorieux Père céleste, que pourrions-nous faire dans ces heures de besoin terrible si nous ne T’avions pas? Mais notre espérance est bâtie sur rien d’autre que le Sang et la justice de Jésus. Et nous sommes si heureux de savoir qu’il y a un Pays de l’autre côté de la rivière, que lorsque Tu en auras fini avec nous ici sur cette terre, nous changerons simplement de lieu d’habitation pour aller dans ce Pays glorieux, là-bas, où il n’y a ni maladie, ni chagrin, ni mort, ni séparation. Nous serons toujours avec Toi et avec nos bien-aimés. Ainsi, nous Te remercions pour cette glorieuse espérance qui est dans notre sein aujourd’hui.

16 Et il semblait, Seigneur, difficile pour moi ce matin de venir ici; pas de Te servir, mais sachant que je suis nerveux et que je me demande simplement comment je vais être capable d’aborder ce message ce matin pour l’église, message que je sens que Tu as mis sur mon coeur. Combien l’ennemi m’a poursuivi avec cela! Mais je suis arrivé au moins ici, à la chaire, en Ton Nom. Et je me remets, avec le message et tout, entre Tes mains, et je sais que Tu es plus que capable de l’apporter à chaque coeur et de pourvoir à tout ce dont nous avons besoin. Nous Te remettons tout cela maintenant, et nous-mêmes pour Ton service; mes lèvres comme Ton porte-parole, et les oreilles comme Ton poste d’écoute. Bénis-nous, Seigneur!

17 Et que d’autres mères, pères, et ceux qui le seront dans les jours à venir si le monde tient encore, se préparent et sachent aussi qu’ils devront arriver un jour à cette heure à laquelle maman est arrivée. Je prie, ô Dieu! qu’ils fassent leur préparation aujourd’hui. Car il n’y a pas une seule autre chose dans le monde qui soit importante. Aucun argent ne peut l’acheter, aucune popularité ne peut y pourvoir, seul Dieu peut aider, et Dieu seul! Et nous tenons fermement Sa main immuable, sachant qu’Il a dit : «Les pas du juste sont dirigés par le Seigneur.» Ainsi, cette petite souffrance que nous avons maintenant dans la vie présente ne signifiera plus rien. Comme le poète l’a dit : «Les labeurs de la route ne sembleront rien lorsque nous arriverons au bout du chemin!»

18 Aide-nous, Seigneur, à continuer à courir vers le but de la vocation céleste; sachant qu’un jour, là dans un grand au-delà, nous nous rencontrerons bientôt. Bénis maintenant Tes Paroles. Bénis Tes serviteurs. Que le coeur de chaque enfant de Dieu qui se trouve ici soit réchauffé et secoué ce matin. Et, Père, j’en ai besoin aussi moi-même! Je prie que Tu l’accordes, toutes ces choses, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen.

19 Maintenant, j’ai remarqué que nous avons ici quelques mouchoirs. Et je suis... Nous y viendrons dans un petit moment.

20 Je reviens d’un voyage où j’ai fait une partie de chasse avec un homme là-haut, en... près de l’Alaska. Vous savez, cette saison est un peu une saison que je mets à part, la fin de l’année, pour me remettre en forme, me préparant pour les saisons qui se trouvent devant moi, pour le service.

21 Je ne suis pas trop solide, eh bien, dirais-je, des nerfs. J’ai un – un très mauvais système nerveux. Et je me rends compte qu’il faut ce genre de système pour remplir le ministère que le Seigneur m’a donné. Tout ne peut être glorieux pour nous sur la terre. Physiquement, je suis très reconnaissant d’avoir un corps vigoureux. Mais mon système nerveux, comme je me situe juste à la limite entre le naturel et le surnaturel, cela – cela vous met en pièces! Et je n’ai jamais essayé de prendre le temps pour expliquer cela à mes auditoires, parce qu’on ne le comprendrait pas. Parce que je ne le comprends pas moi-même. Mais, même les docteurs qui m’ont examiné et ont fait ce test de pression sur mes nerfs ont dit qu’ils n’avaient jamais vu quelque chose comme ça, voyez-vous, comment cela se déplaçait d’un point directement vers un autre. Je ne comprends pas leurs recherches scientifiques et... ou ce qu’ils ont fait, leurs façons de faire les choses; mais je sais que quelque chose m’est arrivé un jour, quand Christ S’est emparé de moi. J’ai été changé.

22 Et je voudrais simplement dire ceci, cela pourrait me fortifier. Il semble que parler de cela pourrait paraître une chose bien bizarre ce matin. Mais juste avant d’entrer dans mon message pour me tranquilliser un peu, j’aimerais dire cela. Quand j’avais annoncé que je serais ici, je ne savais pas que maman allait être malade.

23 Et j’avais aussi annoncé la réunion de ce soir. Dieu voulant, nous allons... je serai ici ce soir pour prêcher, si le pasteur est d’accord. [Frère Neville dit : «Oui, monsieur.» –N.D.T.] Et je voudrais parler ce soir du sujet : «Le Consolateur est venu». Voilà donc pour le service de ce soir. Et nous aurons une service de communion ici ce soir. Et tout le monde est cordialement invité à venir prendre cette communion avec nous ce soir, et pour le message.

24 C’était au printemps dernier, quand j’étais en Alaska ou près de l’Alaska, en Colombie-Britannique, pour des réunions, que le Seigneur nous a donné un temps si glorieux. Et je – j’ai toujours aimé le plein air.

25 Est-ce que vous pouvez bien m’entendre au fond? Pouvez... Si vous m’entendez bien, levez la main, là-bas au fond.

26 J’ai toujours aimé le plein air. Tous ceux qui connaissent notre famille savent cela. Ma mère, qui est mourante là-bas maintenant, sa mère était une indienne. Et ma conversion n’a jamais changé ça, et je... mon amour pour le plein air, et je suis content, parce que c’est un endroit où je vois Dieu. Je n’y vais pas tellement pour chasser du gibier, c’est – c’est pour être seul avec Dieu. Et je chasse seul.

27 Et lorsque j’étais là-bas, j’ai rencontré d’excellents guides. Ce sont ces gars, au Canada et ailleurs, avant que l’on puisse aller dans les régions sauvages, le comité de chasse vous assigne un guide. Et ce guide doit être avec vous.

28 Et j’ai rencontré un merveilleux jeune frère, chrétien pentecôtiste, qui était un guide fameux au Canada. Sa femme était une femme merveilleusement sauvée. Et il a à peu près quarante ans, et ils avaient cinq petits enfants, des jeunes garçons de dix-huit à deux ans à peu près. Et on lui avait accordé une grande zone de l’Alcan Road, de huit cents kilomètres, comme champ d’activité.

29 Il y a quelques Indiens là-bas qui ne voulaient pas quitter l’endroit et ils étaient très arrogants et ils avaient placé un écriteau : «Si vous entrez ici, il y aura du sang versé.» Mais nous avons passé outre et nous sommes retournés parce que je voulais parler à ces Indiens. Après tout, le pays était le leur avant d’être le notre, vous savez. Et nous avons passé un bon moment avec eux, le printemps dernier en leur parlant.

30 Et un vieil homme, le vieux père de la tribu, avait presque cent ans. Il avait son... J’ai pu voir pourquoi il ne voulait point partir. Ils ensevelissent leurs morts dans un tronc d’arbre, et suspendent le tronc à un arbre. Ils avaient deux petits enfants ensevelis là. Bien sûr, il ne voudrait pas partir. Je peux comprendre pourquoi il ne voulait pas partir. Et la réserve, le – le gouvernement canadien, le dominion du Canada a dit que s’ils devenaient arrogants, ils les enlèveraient simplement de là et les feraient partir.
Eh bien, vous n’aimeriez pas qu’ils fassent cela, leurs bébés étant suspendus là aux arbres.

31 Et aussi, du reste, les rivières qui descendaient là nous ont coupé la route et nous n’avons pas pu rentrer dans la région où nous voulions aller chasser l’ours grizzly. Ce M. Southwick, c’est cela, Southwick, était le guide, et il... Et j’étais avec un jeune prédicateur, Eddie Byskal. Et donc son garçon... M. Southwick avait un – un jeune frère ayant entre 25 et 30 ans qui était sérieusement frappé d’épilepsie.

32 M.Southwick vient de devenir chrétien, cela fait environ un an. Il était cow-boy auparavant, et vous savez, il y a une sorte de rudesse dans leur façon de vivre. Mais il venait de devenir chrétien, et il croyait. Et il dit: «J’ai lu vos livres, Frère Branham.» Et il continua tout le long à faire des allusions à son frère épileptique. Il dit : «Oh! Si je pouvais simplement vous amener mon frère.» Eh bien, vous savez comment vous pouvez vous sentir, vous êtes impuissant, vous ne pouvez rien faire, et vous vous demandez simplement comment tout cela a bien pu arriver.

33 Et puis au Canada, habituellement, l’homme qui... Vous qui voyagez, vous connaissez le maniement des chevaux. Et j’aime les chevaux et les animaux. D’habitude, on attache un licou à la queue et on les laisse marcher à la file, en convoi, mais là, vous ne pouvez pas le faire à cause du schiste ; si vous perdiez un cheval, vous pourriez perdre toute la file. Nous devons donc les laisser marcher librement et les ramener sur le sentier.

34 Et j’étais très loin en arrière sur un jeune cheval essayant de m’occuper des égarés et de les ramener. Et le Saint-Esprit, dans Sa grâce, descendit. J’éperonnai mon cheval et je remontai la file jusqu’à l’endroit où M.Southwick conduisait tout devant, à travers les taillis. Et je dis : «Bud.»
Il dit : «Oui, Frère Branham.»
Je dis : «Me croirez-vous ?»
Il dit : «Oui, tout ce que vous direz.»

35 Et j’ai dit : «J’ai un AINSI DIT LE SEIGNEUR pour vous.» J’ai dit : «Allez chercher votre frère à Fort Saint John (ce qui est à environ douze cents kilomètres de distance), amenez-le ici sur l’autoroute.» Et il vivait dans une vieille baraque avec une vieille salamandre en guise de fourneau, il avait ses enfants là-bas. Je dis : «La prochaine fois qu’il aura une crise d’épilepsie, arrachez-lui la chemise. Je vous donnerai quelque chose à faire: jetez-la au feu et dites : ‘Je fais ceci au Nom de Jésus-Christ.’» Il dit : «Je le ferai.»

36 Il alla donc chercher son frère, et l’amena là. Et ce matin-là, il devait partir suivre une piste avec un certain monsieur de la protection de la nature. Et d’habitude, son frère avait deux ou trois de ces crises par jour, il les avait depuis qu’il était un petit garçon. Et sa femme mourait de peur lorsqu’il avait ces crises, parce qu’il devenait violent; c’était un jeune gars très fort.

37 Et il a eu une crise après le départ de Bud. Et elle, au lieu de sauter par la fenêtre comme elle faisait d’habitude pour mettre ses enfants à l’écart, elle a sauté d’un bond sur lui et lui a arraché la chemise. Cette petite femme remplie du Saint-Esprit lui a arraché la chemise et l’a jetée dans le feu en disant : «Je fais ceci au Nom de Jésus-Christ.» Il n’en a plus jamais eu depuis. C’était au printemps dernier.

38 Souvent, je sais que c’est une chose un peu difficile. Des personnes qui ne comprennent pas disent : «Frère Branham, pourquoi partez-vous donc pour une partie de chasse?» Voyez-vous, ils ne le comprennent simplement pas. Pas besoin d’essayer de l’expliquer, voyez-vous. Là, vous touchez des gens qui ne seraient jamais touchés.

39 Il y a à peu près deux mois, ou à peine, je m’étais réveillé un matin. Je crois, je n’en suis pas certain, que je l’ai raconté à la plupart des membres de l’église. Il y en a beaucoup ici qui m’ont entendu raconter ceci avant que cela n’arrive. Et dans la – une vision que j’ai eue, j’ai vu un grand animal ressemblant à un cerf. Et il avait de grands bois. Et il était... Il fallait que je contourne un côté, de l’argile schisteuse, comme ceci, pour l’atteindre. Et c’était un fameux animal. C’était un grand animal de trophée. Et il y avait un homme là dans la vision qui portait une chemise verte à carreaux. Et ensuite, sur la route, après avoir touché l’animal, j’ai entendu une – une Voix qui disait : «Les bois font 42 pouces [1,05 m – N.D.T.].» Cela fait à peu près cette hauteur. Et c’était un animal colossal. Et sur le chemin de retour, j’ai vu un grand et énorme ours argenté.

40 Maintenant, c’est ce fameux ours. Il y en a quatre dans la famille des grizzly. L’un est l’argenté, le plus fameux. Le suivant est appelé du nom indigène «Kadish», il est noir et a les oreilles rondes, la deuxième espèce. Le troisième est le grizzly ordinaire, il est entre le noir et le marron, un ours énorme. Et le suivant est le Kodiak, que l’on trouve seulement sur l’île Kodiak et en – en Alaska occidental. Il est grand, gigantesque, le plus grand de tous les ours, mais c’est un grizzly. Mais l’argenté est noir et le blanc est sur... C’est le bout de son poil qui est argenté. C’est le plus fameux, un ours très nerveux, à mauvais caractère.

41 J’ai descendu l’ours d’un coup dans le soeur, je l’ai tué. Mais on m’a posé des questions comment j’avais pu l’atteindre avec ce petit fusil de chasse que j’avais. Je l’avais raconté aux frères. Combien ici m’ont entendu parler de ça avant que cela n’arrive? Levez la main. Eh bien, bien sûr, la plupart d’entre eux. Voyez-vous?

42 Et donc, ensuite M. Arganbright m’a appelé et a voulu que j’aille en Alaska. Eh bien, au lieu d’aller en Alaska, je me suis senti conduit à revenir ici pour cette partie de chasse-ci, ici avec Bud, parce que je le lui avais promis.

43 Arrivé là-haut, j’ai raconté à sa femme et à toutes les personnes qui y étaient ces choses qu’Il m’avait dites. J’ai dit : «Mais, maintenant, qui parmi vous a une chemise verte à carreaux?» Personne n’en avait une. «Eh bien, ai-je dit, alors cela doit être pendant une autre partie de chasse que j’aurai. Mais quelque part le Seigneur va me le donner, exactement comme ça!» Donc j’ai dit : «J’ai pensé que ça pouvait bien être cette partie-ci.»

44 Bien, nous y sommes allés, à cette partie. Et le premier jour, alors que nous étions arrivés en altitude avec nos chevaux au-dessus de la ligne de végétation des forêts, où il n’y a plus d’arbres élevés, là-haut dans les glaciers... Et le deuxième jour, nous chassions quelque gibier, et nous avons trouvé quantité de moutons, trois-quarts frisés, etc., mais ce n’était pas exactement ça.

45 Et vous parlez d’une communion fraternelle! Chacun de nous était pentecôtiste et avait le Saint-Esprit. Nous avons passé de bons moments là-haut, et nous voyions les couleurs changer, et ces montagnes et tout en haut dans les montagnes où seul Dieu vit! Et nous avons eu un temps si merveilleux! Nous ne nous couchions pas avant une heure du matin, louant Dieu tout simplement et passant des moments glorieux

46 Et le deuxième jour nous sommes sortis. Et à environ dix kilomètres derrière nous, de l’autre côté des glaciers, nous avons repéré quelques grands béliers. Et nous nous sommes dit : «Eh bien, nous devrions retourner et, le lendemain au lever du jour, nous mettre en route.»

47 Ainsi nous sommes partis le lendemain, avant le lever du jour, et nous sommes arrivés... sur les neuf heures nous étions sur... là où nous les avions vus dans les glaciers.

48 Mais en montant, j’avais vu mon premier caribou sauvage. Je n’en avais jamais vu auparavant. J’en ai vu des domestiques en Laponie, etc., mais il n’y en a pas parmi les caribous; ce qui n’est pas... Un caribou est un nom indigène, c’est un «renne». Et ainsi, d’habitude ils ont des bois comme ceci, l’un allant jusqu’en face de leur nez, et ensuite un bois qui sort devant; et puis les bois se courbent avec un autre bois d’à peu près cette largeur. Bud m’avait dit : «Peut-être...»

49 J’ai dit : «Non, non. Il...» J’ai dit : «Ce n’était pas un caribou, parce qu’il n’avait pas ce genre de bois.» Mais ce matin-là, en montant, eh bien, j’avais vu la femelle et son faon. Et nous sommes allés sur un versant, et je l’ai repéré, un jeune mâle qui courait.

50 Et frère Eddie, qui voulait nourrir les Indiens parmi lesquels il est missionnaire... Voilà un homme bien, venant d’une famille merveilleuse, et son épouse vient d’une famille formidable. Et leurs bras ont des piqûres ici, ils ont des plaies où les mouches viennent, là où ils vivaient avec les Indiens, etc., essayant, là-bas, d’apporter Christ aux Indiens. Il faut la grâce pour faire cela. Ils vivent là-bas de beurre de cacahuètes et de mélasse, et ils dorment dans ces cabanes où ils sont piqués ainsi par des punaises, des puces, et autres insectes, pourtant c’est pour apporter l’Evangile de Jésus-Christ! Et ainsi le frère Eddie est parti, s’est faufilé de l’autre côté de la colline.

51 Et moi, j’étais assis là, impressionné pendant deux heures, quand j’ai vu la grande montagne au sommet enneigé. Je pensais : «ô Seigneur, mon Dieu! permets-moi de vivre ici pendant le Millénium.» Regarder ces amourettes jaunes en bas de la colline, et les buissons rouges à lapins, et tout se fondant avec ces hautes montagnes coiffées de neige, se reflétant dans les lacs. Il y a quelque chose à ce sujet qui vous fait asseoir là et pleurer, pleurer, pleurer, parce qu’il n’y a que Dieu qui puisse peindre cela. Il n’y a rien qui puisse le faire, voyez-vous?

52 Et j’étais assis là et il m’est venu à la pensée : «Eh bien, je me demande ce qu’est devenu le frère Eddie?»

53 Je suis allé vers Bud, et il était assis là, se réjouissant lui aussi à ce sujet pendant environ deux heures. Et nous sommes montés, et j’ai vu la caméra d’Eddie qui se trouvait là-haut. Sur le sommet de ces montagnes, il n’y a rien sauf de la mousse de caribous, seulement de la mousse; c’est tout en haut où les arbres ne poussent pas.

54 Et je l’ai aperçu en bas de la colline. Il avait ses doigts levés comme ceci, il traquait le jeune caribou mâle. Eh bien, il – il a tué le caribou. Et nous lui avons simplement enlevé la peau et nous sommes remontés sur la colline. Et j’étais descendu assez bas pour avoir un peu d’eau.

55 Et je regardais juste tout autour avec les jumelles. D’une façon ou d’une autre, à environ trois kilomètres de moi, était couché mon animal! Je l’ai vu. J’ai dit : «C’est lui. C’est celui-là!» Et j’ai dit : «Regardez par ici, voyez-vous cette argile schisteuse que nous devons contourner par le côté.» Et j’ai dit : «Le problème, c’est que la chemise verte à carreaux...» Et j’ai regardé, et Eddie portait une chemise verte à carreaux!
J’ai dit : «Eddie, je pensais que vous...»

56 Il a dit : «Frère Branham, je me... Ma femme a dû la mettre là-dedans.» Il a dit : «J’ai mis une chemise propre ce matin, mais je ne le savais pas. Ma femme a dû la mettre là-dedans.» Dieu ne faillit jamais en une seule chose! Il est simplement parfait. Voilà qu’il avait cette chemise verte à carreaux!

57 Le guide dit : «Frère Branham, je ne sais pas comment vous allez jamais réussir ça!»

58 J’ai dit : «Peu m’importe s’il est à cent kilomètres d’ici, il est à moi!» J’ai dit :«Il m’appartient.» Et nous avons commencé à faire le tour de cette argile schisteuse, c’était simplement, oh! escarpé comme ceci, passant juste par les côtés.

59 Et nous sommes arrivés de l’autre côté, et j’ai eu le grand caribou. Et – et au lieu d’avoir des bois, il avait des pointes; je n’en avais jamais vu un comme ça. Voyez-vous comment – comment – comment Dieu fait les choses?

60 Ainsi, nous avions dit aux garçons de descendre par le ravin et de prendre les chevaux et d’aller chercher la viande, et de revenir à notre rencontre en bas lorsque nous descendrions. En effet, le frère Bud avait regardé autour de lui disant : «La vision de frère Branham, si elle était vraie au sujet de la guérison de mon frère atteint d’épilepsie, il aura cet animal, peu importe où il se trouve.» Ainsi il a dit : «Venez à notre rencontre tout simplement, nous aurons cette tête là-bas.»

61 Et ainsi, lorsque nous l’avions dépouillé, et la peau et les cornes et tout pesaient à peu près soixante kilos; mais ce n’était pas juste la peau du corps, juste la peau tendre. Ainsi donc, il a dit : «Maintenant, Frère Branham, a-t-il dit, je veux vous demander quelque chose.» Il a dit : «J’ai à peine pu le dépouiller ici», lui et moi étions ensemble, un de chaque côté. Il a dit : «Vous dites que ces cornes font 42 pouces? [1,05 m -N.D.T.]»
J’ai dit : «Oui, monsieur!»
Il m’a dit : «Elles me semblent faire 90 pouces [2,25 m -N.D.T.]»
J’ai dit : «Elles font 42 pouces [1,05 m -N.D.T.]»
Et il a dit : «J’ai un mètre à ruban dans la sacoche de ma selle.»
J’ai dit : «D’accord, tu verras que c’est exactement ça!»

62 Il a dit : «Alors, d’après ce que vous m’avez raconté, quelque part entre ici et là où nous rencontrerons ces garçons, l’un avec cette chemise verte, vous allez attraper un ours argenté?» Il a dit : «Je n’en ai jamais vu un, et j’ai vécu dans ces montagnes toute ma vie.» J’ai dit : «Mais c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR!»

63 Il a dit : «Savez-vous où il est?» J’ai dit : «Non, mais il est quelque part entre ici et ces gars.» Nous pouvions voir exactement en bas où ils étaient, à environ cinq kilomètres, à la limite des arbres. J’ai dit : «Nous l’aurons!» Maintenant, çà, c’est quelque chose!

64 Il a dit : «Alors, nous serons là en bas en moins d’une heure et demie. Et vous voulez me dire que vous allez avoir un grand ours grizzly monstrueux, argenté, quelque part entre ici et ces gars?»
J’ai dit : «C’est selon Sa Parole.»
Il a dit : «Il est là.»

65 Ainsi, nous avons chargé les cornes sur nos têtes, et nous les avons traînées. Nous avons descendu la colline, jusqu’à ce que nous arrivions aux glaciers. Et lorsque nous sommes arrivés aux glaciers, il faisait si chaud. Il nous a fallu aller un peu dans les glaciers pour nous rafraîchir. Nous avons dépassé le glacier en descendant, jusqu’à ce que nous nous trouvâmes à l’endroit où l’eau sortait d’en dessous du glacier, et avons poursuivi jusque dans les... Nous commencions à arriver dans les bois. Nous nous sommes juste assis un moment pour nous reposer.

66 Je me suis retourné et j’ai regardé. Je dis : «Regarde, Bud, on dirait une vache, à environ trois kilomètres.»

67 Il a levé la lunette, a regardé et a dit : «Frère Branham, que Dieu me juge si je ne dis pas la vérité, c’est un ours argenté.» Il a dit : «Regardez comment il luit dans ce soleil.»

68 Je dis : «C’est lui.» J’ai dit : «Eh bien, allons l’attraper.» Ainsi, c’est ce que nous avons fait; nous sommes allés et l’avons attrapé. Conformément à la vision, il était trop tard pour le dépouiller, alors nous devions attendre jusqu’au lendemain.

69 Alors, après que nous avons eu le grizzly, nous sommes redescendus, alors il a dit : «Et vous dites que ces bois...» Il disait : «Si ses cornes font 42 pouces [1,05 m -N.D.T.], Frère Branham, je vais m’évanouir.»

70 J’ai dit: «Vous n’avez pas à vous évanouir. Mais elles font 42 pouces, c’est ce qu’elles font.» Ainsi nous sommes descendus au...

71 Et je pensais, dans la vision... Vous, les frères et soeurs qui avez levé la main il y a un moment, qui m’aviez entendu raconter ceci avant que cela n’arrive, j’avais dit que cela devait être Billy Paul. C’était un jeune garçon. Vous vous rappelez tous que j’ai dit cela, une petite main? Mais son fils a dix-huit ans, et est juste de la taille de Billy Paul. Voyez-vous?

72 Et lorsque je suis arrivé là en bas, il y avait Eddie avec sa chemise verte à carreaux. J’ai vu cette petite main parcourir ces bois, et lorsqu’il est allé prendre le mètre ruban et l’a posé là et l’a tenu, ce petit garçon a mis ses mains dessus. J’ai dit : «Regarde, Eddie, ces petites mains sur le bois.» Et lorsqu’il a tiré le mètre ruban comme ceci, il m’a regardé et est devenu tout pâle à hauteur de la bouche, il a dit : «Frère Branham, regardez ici! Tout juste 42 pouces, exactement.»

73 Vous pourriez dire : «Frère Branham, pourquoi racontez-vous ceci lors d’une école du dimanche?»

74 Je dis ceci pour la raison suivante : Autrefois, dans l’Ancien Testament, les vieux sages et prophètes parmi ceux qui sont partis, ils adoraient le Dieu du ciel qui leur donnait des visions. Ils aimaient, par Sa grâce, le Dieu qui les aimait. Ils désiraient ardemment voir une Cité quelque part. Quelque chose au-dedans d’eux! Ils ont quitté leurs maisons et ils sont devenus des pèlerins, parce qu’ils étaient à la recherche d’une Cité quelque part. Ils ont dit des choses que nous voyons arriver aujourd’hui.

75 Ce même Dieu qui les aimait et qui, par Sa grâce, a fait ces choses pour eux, est le même Dieu que nous servons ici dans ce Tabernacle ce matin, faisant les mêmes choses! Et il y a dans notre coeur un désir ardent de voir cette Cité, quelque part où ils sont allés. Et par Sa Parole et par les signes de Sa Puissance, avec le même Esprit et les mêmes prophéties, Il fait pour nous aujourd’hui la même chose qu’Il a faite autrefois pour eux. Et vous le voyez avec une preuve infaillible que c’est Dieu et la Vérité de Dieu.

76 Donc, où que soit cette glorieuse Cité, et où qu’ils soient rassemblés, je m’attends à voir ma mère mourante et vous tous avec eux là-bas dans cette Cité avec ceux-là : Abraham, Isaac, Jacob, Daniel, Esaïe, Jérémie. En effet, la même grâce de Dieu, le Dieu qui les aimait et leur a donné des visions et leur a montré les choses à venir, c’est le même Dieu aujourd’hui, faisant la même chose pour nous. C’est la Vérité infaillible! C’est la Vérité, mon ami.

77 Notre Père céleste, nous sommes reconnaissants. Je pense que la raison pour laquelle Tu as voulu que j’aie ces choses, Seigneur, c’est que Tu voulais juste m’encourager, sachant qu’il y avait un choc qui allait venir. Je ne le sais pas; Toi, Tu le sais. Et je sais que je ne suis plus un petit garçon. Je ne suis pas le petit garçon qui était pendu aux jupes de maman. Et je suis un homme d’âge moyen maintenant. Mais, oh! combien je T’aime, Seigneur! Combien je Te crois! Donne-nous Ta grâce maintenant. Aide-nous à enseigner Ta Parole, afin que d’autres puissent voir et apprendre, et entendre parler de Toi. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

78 Comme texte ce matin... Je pense que c’est tout ce que j’avais à... Eh bien, il y a des services ce soir : la communion, le lavage des pieds, etc., c’est tout. Je vous ai invités à rester pour être avec nous. Mais, comme texte ce matin, ouvrons la Bible dans saint Matthieu chapitre 3, pour lire un passage des Écritures. Je veux commencer au verset 10 du chapitre 3 de saint Matthieu.

79 Et je sais que beaucoup sont debout et nous n’aimons pas ça, mais si seulement certains d’entre vous voudraient bien changer de temps en temps de place avec ceux qui sont debout. Je... Excusez-moi de prendre mon temps, mais je... Vous comprenez. Maintenant, la lecture de la Parole. Déjà la cognée est mise à la racine de l’arbre : tout arbre donc qui ne produit pas de bons fruits sera coupé et jeté au feu. Moi, je vous baptise d’eau, pour vous amener à la repentance; mais celui qui vient après moi est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de porter ses souliers. Lui, Il vous baptisera du Saint-Esprit et de feu. Il a son van à la main; Il nettoiera son aire, et Il amassera son blé dans le grenier, mais Il brûlera la paille dans un feu qui ne s’éteint point. Alors Jésus de Galilée vint au Jourdain... pour être baptisé par lui, Mais Jean s’y opposait, en disant : c’est moi qui ai besoin d’être baptisé par Toi, et Tu viens à moi! Jésus lui répondit : Laisse faire maintenant, car il est convenable que nous accomplissions ainsi tout ce qui est juste.[Toute justice selon la version anglaise. –N.D.T.] Et Jean ne Lui résista plus.

80 Et je voudrais tirer le sujet de cette Parole là au verset 15. «Laisse faire maintenant, car il est convenable que nous accomplissions ainsi toute justice.»

81 A de nombreuses reprises, je me suis demandé pourquoi Jésus de Nazareth... Et souvent cela m’a été demandé : Pourquoi un homme comme Jésus devait-Il être baptisé? Pourquoi cette Personne devait-Elle être baptisée comme un acte de repentance et de confession alors qu’Il était le Fils saint, sans tache, pur, du Dieu vivant? Pourquoi cette Personne devait-Elle être baptisée comme un homme venant...? Le baptême vient après la confession. Il n’avait pas de choses à confesser, car Il était Dieu. Et Lui, pourquoi devait-Il être baptisé en signe de repentance comme Il le fut, car Il n’avait aucun besoin de repentance, parce qu’Il était le Dieu infaillible? «Il était dans le monde, et le monde a été fait par Lui; et le monde ne L’a point connu.» Pourquoi devait-Il donc être baptisé?

82 Et avez-vous remarqué la phrase qui précède cela, qui dit :
... il est convenable que nous accomplissions ainsi toute justice.

83 En d’autres mots : «Cela doit s’accomplir! Toute Parole que Dieu a prononcée doit s’accomplir!» Dieu ne peut pas dire quelque chose sans qu’Il ne fasse en sorte que cela s’accomplisse. Lorsqu’Il l’a prononcée, c’est une oeuvre terminée. Elle est déjà terminée lorsque Dieu la prononce. Dieu ne parle jamais avant qu’Il ne soit prêt à le manifester; et lorsqu’Il parle, c’est comme si cela était déjà arrivé.

84 Maintenant, si cela ne nous donne pas une base sur laquelle placer notre foi ce matin... Lorsque Dieu dit une Parole, c’est déjà chose faite. Et que dire de Ses promesses qu’il nous a données? Tout ce qu’Il a dit, c’est déjà une oeuvre terminée. C’est pourquoi donc, lorsque nous recevons la Parole dans notre coeur, c’est – c’est déjà fait, c’est achevé.

85 Et pourquoi devait-Il donc (cela ne répond pas à la question) être baptisé? Beaucoup ont dit : «Eh bien, Il a été baptisé parce qu’Il était notre exemple.» Cela est vrai jusqu’à un certain point, un certain niveau. Cela est vrai, mais ce n’est pas toute la vérité.

86 La vérité est qu’Il était l’Antitype, Il était le Souverain Sacrificateur. Et avant que le souverain sacrificateur puisse être oint, il devait être lavé.

87 Je veux vous lire un passage de l’Écriture, juste un moment, dans le Livre de l’Exode. Et je pense que c’est le verset 29 que j’ai marqué, le chapitre 29 plutôt. Et je veux commencer ici au verset 4 du chapitre 29. Tu feras avancer Aaron et ses fils vers l’entrée de la tente d’assignation, et tu les laveras avec de l’eau. Tu prendras les vêtements; tu revêtiras Aaron de la tunique, de la robe, de l’éphod – de l’éphod et du pectoral, pour mettre sur lui la ceinture de l’éphod. Tu poseras la tiare sur sa tête, et le diadème de sainteté sur la tiare. Tu prendras l’huile d’onction, tu en répandras sur la tête, et tu l’oindras.

88 Voyez-vous, Aaron, le souverain sacrificateur, avant d’être oint, il devait être lavé avec de l’eau. C’est pourquoi, quand Jésus... avant de pouvoir être oint comme notre Souverain Sacrificateur, Il a été lavé avec de l’eau.

89 Et puis, ce n’était pas l’huile d’onction qui était répandue sur Lui, pour l’oindre, comme c’était le cas pour Aaron, Lui a été oint du Saint-Esprit. «Car Jean rendit ce témoignage, voyant l’Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venant sur Lui, et une voix se fit entendre : «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, en Qui J’ai trouvé plaisir de demeurer.» Ainsi la Bible dit que «Jésus était oint du Saint-Esprit et S’occupait de faire le bien.» Voyez-vous, Il était oint.

90 Et avant d’être oint, Il devait accomplir toute justice. Voyez-vous, Il devait être lavé avec de l’eau avant que l’Onction vienne sur Lui.

91 Et c’est un très joli type qui nous concerne aujourd’hui. Comme sacrificateurs devant Dieu, nous devons d’abord être baptisés, confesser nos péchés et être baptisés au Nom de Jésus-Christ, ce qui nous lave de nos péchés; et ensuite vous recevez l’Onction, le don du Saint-Esprit. Voyez-vous? Etre lavé d’abord, et ensuite être oint pour le service. Aucun prédicateur ne devrait monter en chaire sans être baptisé d’abord au Nom de Jésus-Christ. Car il n’y a qu’un seul... La rémission des péchés existe seulement dans le Nom de Jésus-Christ, aucun autre nom sous le ciel n’a été donné parmi les hommes. «La repentance et le pardon des péchés doivent être enseignés en Son Nom, à commencer par Jérusalem.» C’est là que le Saint-Esprit est d’abord tombé et a oint les gens. Ainsi un serviteur de Dieu ou n’importe quel croyant doit d’abord être lavé de ses péchés, dans le Nom de Jésus-Christ, et ensuite être oint du Saint-Esprit pour produire un témoignage pour Dieu.

92 Et Christ était le témoignage de Dieu, car Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même. Maintenant, Il a dit : «Laisse faire, Jean.» C’est vrai.

93 En d’autres mots : «Jean, tu es un homme puissant, tu es un grand et puissant prophète. Et la révélation que tu as de Moi est exactement la Vérité. Tu sais Qui Je suis. Tu le sais, car ton ministère n’est pas venu des hommes. Ton ministère est venu de Dieu. Tu ne l’as jamais appris des hommes. Tu n’as jamais reçu cet enseignement dans un séminaire. Mais à l’âge de neuf ans, tu es allé au désert parce que tu es né un enfant étrange, particulier. Et depuis ta naissance, Dieu a commencé à traiter avec toi. Et même avant ta naissance, le prophète t’a vu. Et tu es une lumière de ce jour. Et au désert... Tu sais qui Je suis, car Dieu, au désert, t’a dit qu’un signe Me suivrait. Et tu en as déjà rendu témoignage, et tu le sais. Et nous savons qui nous sommes l’un l’autre. Nous nous connaissons l’un l’autre. Et il est vrai que Tu as besoin d’être baptisé par Moi. Mais laissons faire, car, Jean, si nous sommes les lumières de ce jour, nous devons accomplir toute justice. Toute la Parole de Dieu pour ce jour-ci doit être accomplie par nous, car cela nous incombe; cela nous sied, cela nous incombe, c’est bien pour nous. Car si nous sommes les vrais témoins de Dieu d’aujourd’hui, Jean, nous sommes les lumières de cet âge. Et si nous sommes les lumières de cet âge, il y a tant d’Écritures qui doivent être accomplies durant cet âge. Et c’est à nous de le faire. (Alléluia!) C’est à nous de veiller à ce que toute la justice de Dieu soit accomplie!»
Et qu’est-ce que Sa justice? C’est Sa Parole

94 En d’autres mots : «Jean, tu sais Qui Je suis. Je suis le Souverain Sacrificateur. C’est vrai, Jean, et J’ai besoin d’être baptisé par toi. Mais nous devons accomplir toute justice. Et je dois être baptisé par toi maintenant pour accomplir la Parole de Dieu, car la Parole tout entière doit être accomplie. Et nous sommes les lumières du jour, et c’est à nous d’accomplir tout ceci. Et Je sais que ta justice et ton désir, c’est d’accomplir la Parole. Cela nous incombe. Nous sommes les lumières.»

95 La lumière de chaque âge devrait faire la même chose. Nous savons ce qui doit être accompli. Vous qui êtes spirituels et qui connaissez la Parole de Dieu, vous voyez ce que Dieu a promis. Maintenant, la Parole ne viendra pas facilement, mais Elle vient par l’observation; vous devez vous frayer vous-même un chemin pour le faire. Mais, néanmoins, il nous incombe, il est convenable que nous accomplissions toute justice de Dieu. Nous devons le faire.

96 Et maintenant, Jésus a reconnu en Jean que Jean était un vrai prophète. La Parole avait parlé de Jean et Il savait qu’il était absolument le prophète de l’heure. Et Jean savait que Jésus était le Messie de l’heure. Et tous deux en avaient une claire compréhension.

97 Oh! si l’Église du Dieu vivant pouvait seulement recevoir cela dans la tête et dans le coeur ce matin, de sorte que l’Église ne sera pas séparée par des barrières dénominationnelles, ces différences de crédos et de couleurs, etc, afin que nous puissions nous rassembler au Nom du Seigneur Jésus, n’ayant rien pour nous éloigner de la vraie Parole du Dieu vivant, et suivre directement cette ligne des Écritures, pour accomplir toute la justice de Dieu d’aujourd’hui!

98 Car n’importe qui sait que nous vivons dans les Lumières du soir. Le prophète l’a dit : «La Lumière paraîtra au temps du soir.» Et ainsi, nous savons que nous vivons à cette heure, l’heure des Lumières du soir. Aussi, aide-nous, Seigneur Dieu, à nous rendre compte de cela.

99 Revenons en arrière juste un petit moment, et prenons quelques personnages qui connaissaient leur position en leur jour et acceptèrent de supporter la critique ou quoi que ce soit d’autre, afin que la Parole de Dieu puisse être accomplie.

100 Prenons, par exemple, Noé et son jour. Cela était convenable pour Noé, après qu’il a rencontré Dieu et connu le plan de Dieu pour ce jour-là.

101 Or, vous ne pouvez rien faire à moins que vous ne sachiez ce que vous faites. Vous devez savoir que c’est la volonté de Dieu. Vous devez savoir que c’est Son plan et Son désir, et si cela vous est révélé, alors rien ne l’arrêtera.

102 Maintenant, Noé était sûr, car il n’avait pas reçu son ministère d’une certaine école, mais il avait parlé face à face avec Dieu. Et il savait qu’un déluge allait venir. Il savait que les pluies se déverseraient des cieux, comme des fleuves qui se déversent, quoique cela fût fermement contre les sujets scientifiques de ce jour-là. Les savants ont sans doute critiqué Noé en disant: «Nous pouvons te prouver scientifiquement qu’il n’y a pas d’eau là-haut!»

103 Car ils étaient alors dans un grand âge, plus grand que celui dans lequel nous sommes aujourd’hui, plus scientifique que celui dans lequel nous sommes aujourd’hui. Vous savez, Jésus S’y est référé. «Comme il en était aux jours de Noé.» Comment ils ont construit les sphinx et les pyramides et des choses que nous n’arriverions pas à construire aujourd’hui. Et ils étaient de grands savants. Ils avaient des couleurs et autres choses semblables, du liquide pour embaumer en ce jour-là, qui leur permettait de préparer une momie. Nous ne pourrions pas le faire aujourd’hui s’il le fallait. Ils étaient plus avancés que nous. Et ils pouvaient prouver qu’il n’y avait pas d’eau là-haut.

104 Mais malgré tout, il incombait à Noé, après qu’il a connu le plan de Dieu, de travailler de toute manière à l’arche avec acharnement, car il savait que cette arche serait la seule chose qui flotterait. Peu importe s’il avait été prouvé scientifiquement qu’il n’y avait pas d’eau là-haut, puisque la Parole de Dieu avait dit qu’il pleuvrait, il allait pleuvoir

105 Et permettez-moi de m’arrêter ici pour dire ceci à cause des personnes malades. Si votre cas est si grave que peut-être le docteur dit qu’il n’y a plus d’espoir; quelle différence cela fait-il aussi longtemps que Dieu vous dit : «Je vais vous laisser vivre»?

106 Pourquoi... Si le docteur ou quelque savant disait : «Votre religion dont vous parlez, le Saint-Esprit, et votre parler en langues et votre – et votre manifestation, ce ne sont qu’une illusion mentale. Vous n’êtes pas rempli du Saint-Esprit, cela n’existe pas.» Et plusieurs milliers d’ecclésiastiques déclarent aujourd’hui que «vous êtes simplement tout excité, pareille chose n’existe pas.»

107 Et alors il y en a même certains d’entre eux qui m’ont dit : «Pourquoi n’adhérez-vous pas à une bonne dénomination et ne vous servez-vous pas de votre influence pour faire avancer cette dénomination?»

108 Et puis ils ont dit : «Eh bien, ce groupe pentecôtiste ici avec lequel vous faites le pitre, ils ne sont qu’un tas de charlatans religieux. Et ils – ils... Chose pareille n’existe pas! Ils sont simplement mentalement existés. Ils – ils – ils... Ils n’ont pas ce dont ils parlent. Nous pouvons prouver qu’ils ne l’ont pas»

109 Ô frère! vous êtes simplement trop en retard! Nous savons ce que nous avons. Nous sommes nés de nouveau du Saint-Esprit, car nous voyons Ses oeuvres ici même parmi nous, juste comme il en était au temps de la Bible. Si vous croyez en ce même Saint-Esprit, alors pourquoi ne fait-Il pas la même chose dans votre église? Car Il ne peut pas changer, Il est Dieu.

110 Donc, peu importe ce qu’indiquent les preuves scientifiques, si on dit que nous sommes simplement émotifs, si nous sommes simplement mentalement dérangés, qu’il n’y a en fait rien de réel dans notre grande religion, que – que ce n’est simplement pas ce que ça devrait être et ainsi de suite comme cela, que nous ne sommes qu’une bande de rebuts, ne le croyez pas. Ne le croyez pas.

111 S’il arrive que votre fille en rentrant de l’école dise : «Maman, nous avons prouvé aujourd’hui que le – le crâne d’un être humain est exactement comme celui d’un chimpanzé», voyez-vous, ou «nous – nous avons étudié et – et nous savons que nous sommes tous venus d’une seule cellule, que nous ne sommes tout simplement que des animaux», ne croyez pas ça.

112 Peu importe ce que quiconque dit, que ce soit un théologien, un docteur, un savant, un enseignant; vous, tenez-vous-en à la Parole de Dieu. Car, rappelez-vous, nous sommes en train de construire comme Noé en son jour, nous sommes en train de construire une arche.

113 Et Noé savait que s’il ne parvenait à achever cette arche, même sa propre famille ne pourrait être sauvée. Ainsi, il connaissait le plan de Dieu. Quoique environné des critiques, cela ne le dérangea pas du tout. Il travailla avec acharnement à cette arche.

114 Donc, peu importe combien on dit : «Il n’existe pas de baptême du Saint-Esprit; il n’existe pas de guérison divine», il nous incombe, il est convenable que nous accomplissions toute justice, que nous tenions bon en cette heure d’épreuve et que nous travaillions dur à l’Arche du Seigneur!

115 S’ils disent : «Frère, vous êtes tout embrouillé dans vos baptêmes et ainsi de suite. Il y a... Vous ne devriez pas être baptisé au Nom du Seigneur Jésus.»...

116 Je parlais à un aimable couple hier soir. Et il y a un jeune homme qui vient d’être baptisé et qui croit qu’il n’y a qu’un seul Dieu. Et lors d’une réunion des Hommes d’Affaires, on ne l’a pas laissé témoigner, parce qu’il ne croit pas qu’il y a trois dieux.

117 Maintenant, peu importe ce qu’ils disent, il nous incombe, il est convenable que nous accomplissions toute justice. La Parole demeurera la même quand les associations des Hommes d’Affaires et tout le reste auront disparu et que les églises ne seront plus. La Parole de Dieu demeurera toujours la même. Il est convenable que nous accomplissions toute justice.

118 Les prophètes n’ont-ils pas prophétisé au sujet de ce jour-ci? Rappelez-vous ces critiques-là, il est convenable qu’ils accomplissent cela aussi, parce que cela doit également être accompli.

119 Mais Noé, cela ne le gênait pas, il alla droit de l’avant parce qu’il connaissait le programme de Dieu. Il savait ce que Dieu allait faire, Frère Kidd. Il connaissait le plan de Dieu, parce qu’il avait parlé avec Dieu et c’était en conformité avec la Parole de Dieu, et il continua à le faire de toute façon. Que la science ait pu le prouver ou quoi que ce soit d’autre, ou quel que soit le nombre de critiques dont Noé fut l’objet, il resta fermement avec la Parole de Dieu et travailla dur. Pourquoi? C’était convenable pour lui, car Noé était un prophète. Et il était convenable qu’il garde la Parole de Dieu. Il resta avec Elle.

120 Il est convenable pour n’importe quel prophète, n’importe quel vrai prophète de Dieu, de rester avec la Parole. Sans tenir compte de ce que la science peut dire et de ce que ceci puisse prouver ceci ou cela, etc., il – il – il est convenable qu’il accomplisse toute justice.

121 [Frère Branham s’arrête et lit en silence une note. –N.D.T.] Très bien. On m’a envoyé un petit mot pour prier tout de suite pour maman. «Priez pour elle maintenant. Le docteur vient de partir.» Très bien.

122 Maintenant, Seigneur Jésus, je me tiens ici. C’est ma mère. Si elle se meurt, je remets son âme entre les mains de Dieu. Mais voici un Message qui doit continuer, Seigneur. Il y a des vivants ici qui vont mourir. Aide-moi, Seigneur. Je T’appartiens. Au Nom de Jésus.

123 C’est convenable pour nous! Il est convenable pour moi maintenant d’accomplir toute justice! La Parole de Dieu passe en premier! Il n’y a pas d’amour comme l’amour de Dieu.

124 Maintenant, Noé; peu importe de quelle critique le père Noé était l’objet, il savait où il se tenait, et ainsi il restait exactement avec la Parole. Et il a construit l’arche pour le salut de sa famille, car il était convenable pour lui de faire ainsi. Il était convenable pour Noé de – de faire ainsi.

125 Il est convenable pour chaque chrétien de se tenir auprès de la Parole. C’est parfaitement. Tenez-vous auprès de la Parole de Dieu. Les cieux et la terre passeront juste. Vous passerez. Je passerai. Les églises passeront. Les organisations passeront. Mais la Parole de Dieu ne passera jamais. Sois fidèle, pèlerin fidèle.

126 Dans les jours d’Enoch, juste avant le déluge, lorsqu’Enoch regarda là dehors, il vit Noé en train de construire cette arche. Enoch était un prophète. Enoch savait qu’il était un type. Et il savait qu’il devrait donner un exemple avant que le déluge ne vienne. Ainsi, un après-midi, il a été convenable pour lui de faire une promenade. Il était convenable pour lui de faire cette promenade avec Dieu. Et, pour une certaine raison, il changea de chemin ce jour-là. Au lieu de faire le tour de la colline, il a pris la Grand-Route du Roi, et il a juste continué à marcher. Et on ne le trouva pas, parce qu’il ne fut plus, mais il s’était engagé dans la Grand-Route du Roi

127 Ô Dieu! permets-moi d’être comme Enoch! Lorsque l’heure viendra où je devrais emprunter ce Sentier, laisse-moi trouver la Grand-Route du Roi.

128 Je peux voir Enoch. Comme il savait que c’était convenable pour lui, car il était un prophète, il savait ce qui allait arriver; ainsi, je puis le voir faire à sa femme un baiser d’adieu en disant : «Chérie, je te verrai plus tard.» Je le vois soulever ses enfants et leur faire un baiser d’adieu, et aller chez son fils marié et sa fille mariée et leur faire un baiser d’adieu.

129 Et ils disent : «Où vas-tu, papa? Sors-tu faire une petite promenade?»
«Oui, je vais faire un tour.»

130 Mais il n’a pas du tout pris le vieux chemin habituel ce jour-là. Il a pris la Grand-Route du Roi et il a continué jusque dans la gloire. Il était convenable pour lui qu’il fasse ainsi. Il ne voulait pas partir, mais pourtant il était convenable pour lui qu’il accomplisse toute justice, car il était un type de l’Église d’aujourd’hui. Il était un type de l’Église qui va faire une petite promenade d’après-midi, un de ces après-midi. Nous allons prendre la Grand-Route du Roi et nous partirons.

131 Oui, il était convenable pour Noé, il était convenable pour Enoch, qu’ils accomplissent toute justice.

132 Je veux donc parler maintenant d’un autre. Il y avait un homme nommé Daniel. Et il vivait dans un jour de critiques. Vous savez, les enfants d’Israël avaient été pris de leur patrie et emmenés à Babylone, et là ils étaient tristes, et ils s’y trouvaient depuis près de soixante-dix ans. Mais il y avait un jeune prophète qui était descendu avec eux, du nom de Daniel.

133 Et lui et un petit groupe, juste une petite poignée de frères, s’étaient rassemblés et avaient fait à Dieu le voeu qu’ils n’allaient pas se souiller avec la – avec la tendance moderne de ce temps-là. Ils n’allaient pas toucher aux mets du roi. Ils n’allaient pas boire ses liqueurs fortes. Ils n’allaient pas assister à ses fêtes. Mais ils allaient se garder saints et consacrés à Dieu, car c’était convenable pour eux.

134 Cela était convenable pour Daniel, parce qu’il était un prophète, de rester avec la Parole.

135 Tout vrai prophète qui connaît la Parole de Dieu, qui... S’il ne connaît pas la Parole de Dieu, alors il n’est pas un vrai prophète. Un vrai prophète reste avec la Parole. Quoi que la Parole dise, il reste juste avec Elle. Peu importe quelle est la tendance du jour, ou ce que dit la – l’église moderne ou ce que quelqu’un d’autre dit, ou que quelqu’un d’autre fasse autre chose, le vrai prophète reste juste avec la Parole.

136 Et Daniel savait ce qu’allait lui coûter de rester avec la Parole. Cela allait lui coûter sa popularité. Cela allait lui coûter sa communion fraternelle avec le reste des frères. Cela allait lui coûter un tas de choses. Mais ils avaient fait une proclamation qu’ils allaient prier un certain dieu, ensuite après cela ils pouvaient retourner prier n’importe quel dieu.

137 Mais vous savez quelque chose au sujet de Dieu, c’est qu’avec Dieu il n’y a pas de compromis. Il n’y a pas de compro-... compromis avec Dieu. Dieu reste simplement Dieu. Il ne s’attend pas à ce que le dimanche nous soyons des chrétiens qui Le louent et L’adorent, et que le lundi nous soyons mous et laissions tomber cela et que nous ayons toutes sortes de pensées : «Peut-être que j’ai eu tort et j’aurais dû faire ceci ou cela.» Nous restons bien centrés sur la Parole de Dieu, et nous nous appliquons juste à cela.

138 Ainsi, nous trouvons qu’il était convenable que Daniel, en tant que prophète, restât avec la Parole, peu importe ce qui se passait. Un décret était donc promulgué, disant que quiconque adorerait un autre dieu que le dieu qu’ils avaient choisi... En d’autres termes : «Si vous ne coopérez pas avec nous, nous vous jetterons simplement dans la fosse aux lions.» Eh bien, il était convenable pour Daniel; il était convenable pour lui d’accomplir toute justice, de n’adorer aucun autre dieu ou de ne pas s’empêtrer dans le monde; ce ne devrait être qu’à Dieu seul. Ainsi, il a simplement repoussé les volets, a relevé la fenêtre et a ouvert les rideaux et il a dirigé les regards vers l’orient et a prié trois fois par jour juste comme il l’avait toujours fait. Pourquoi? Il ne s’est pas éclipsé quelque part pour se cacher pour le faire, mais il a ouvert les fenêtres, permettant à tous ceux qui voulaient le voir de le voir. Il n’avait pas honte de sa religion.

139 Car il est convenable qu’un chrétien n’ait pas honte de sa religion. Comme Paul d’autrefois disait : «C’est selon la voie qu’ils appellent une secte, une folie, que je sers le Dieu de nos pères.» Voyez-vous? «Je n’ai point honte de l’Évangile de Jésus-Christ, dit-il, car c’est la puissance de Dieu pour le salut de quiconque Le croit.» C’est vrai, ne pas avoir honte de l’Évangile! C’est la chose qui tient dans les heures où le navire est ballotté et que chaque étoile est invisible, ainsi que la lune et les étoiles. Et quand les tempêtes font rage, cela tient toujours, parce que c’est l’Evangile de Jésus-Christ! Daniel était fidèle, cela lui incombait.

140 Les enfants hébreux, cela leur incombait, c’était convenable pour eux, après qu’ils eurent pris position pour Dieu. Cela était convenable pour eux. Ils ne s’inquiétaient pas de la fournaise ardente. Dans de dures épreuves, de quoi s’inquiétaient-ils? Ils avaient pris position.

141 Ô Dieu! si les chrétiens d’aujourd’hui pouvaient seulement voir ça! «Je prendrai le chemin avec les quelques méprisés du Seigneur. J’ai commencé avec Jésus. ô Seigneur! mène-moi jusqu’au bout.» Dans l’épreuve, les difficultés, la peine, la mort, la maladie, la tristesse, je prendrai toujours parti pour Jésus, afin de prendre position! «Sur Christ, le Roc solide, je me tiens, tout le reste n’est que sable mouvant.» Tout le reste est en train de sombrer. Les royaumes tomberont, et les nations se disloqueront, et les dénominations se disperseront et les théologiens mourront, mais la Parole de Dieu restera toujours la même.

142 Oui, il était convenable pour eux qu’ils prennent position. Et il était convenable pour eux, après avoir pris position, de rester sur leur position.

143 Lorsque vous venez ce matin croyant que Dieu va vous guérir, et que vous prenez position, il est convenable que vous ne témoigniez jamais quoi que ce soit de contraire à cela; ou alors, ne venez pas. C’est juste. Si vous ne sentez pas que Dieu vous guérira, alors restez éloignés, vous n’allez en faire qu’un sujet de moquerie.

144 Si vous sentez ce matin, quand l’appel à l’autel viendra, que : «Je veux prendre position pour Christ...» Si vous le sentez, calculez le prix! Comptez vos hommes, voyez si vous êtes capable d’aller au combat. Voyez si vous êtes prêt. Si vous ne vous sentez pas prêt, ne venez pas. Mais si quelque chose vous dit : «C’est mon jour, c’est mon matin», alors venez et restez là pour toujours! Ne bougez pas du tout, peu importe si la mort vous fait face et que le brouillard flotte devant votre visage. Qu’est-ce que ça peut vous faire? Tenez-vous-en là! Car, «les cieux et la terre passeront, Mes paroles ne failliront jamais!» Vous resterez avec Elles.

145 Lorsque vous dites : «Je crois que Jésus-Christ est mon Guérisseur. Je crois ce matin qu’Il va guérir mon corps malade. Quelque chose m’a dit de venir à l’église. Je suis ici parmi les croyants. Je prends position ce matin. Je le crois! Je vais monter pour qu’on prie pour moi. Quand on aura prié pour moi, je resterai sur cette position! Peu importe combien il fait noir, ou à quel point ça en est, je resterai toujours sur cette position!» Vous avez pris position car il est convenable que vous le fassiez.

146 Une fois que vous avez fait une confession, vous devez vous accrocher à votre confession. C’est vrai. Il vous incombe, en tant que chrétien, en tant que croyant, de garder votre conviction.

147 Ne laissez pas le diable vous pousser au loin ça et là. Vous êtes toujours embrouillé. Vous êtes toujours en dehors de la route principale. Vous êtes toujours dans la confusion. Et c’est la raison pour laquelle vous ne pouvez vous tenir nulle part. Vous ne pouvez pas avoir confiance en vous, et personne non plus. Vous devez prendre position. Et lorsque vous aurez fait tout ce que vous pouvez pour prendre position, alors gardez-la! Gardez simplement votre position! C’est vrai. Nous devons le faire. Cela est convenable pour nous. Il nous incombe de le faire.

148 Il incombait à Élie, il était convenable pour Élie le prophète de prendre position pour accomplir la Parole de Dieu, car il connaissait la Parole de Dieu. Et il savait que cet archevêque, Jézabel, et toutes les différences dénominationnelles suivaient la tendance du monde. Il était convenable pour Elie, en tant que prophète qu’il tienne ferme. Et il se tenait seul! Il a dit à Dieu : «Ils sont tous partis sauf moi, et je me tiens seul.» C’est tout ce qu’il savait. Dieu dit qu’Il en avait quelques-uns de plus qui prenaient la même position; peut-être pas au point où – où en était Élie, car il était la cible de la nation. Ils ne recevaient pas des critiques comme lui, car ils tiraient tous sur lui parce qu’il était le prophète. Mais il était convenable pour lui, au milieu de l’épreuve, au milieu des critiques, au milieu de l’indifférence, il était convenable pour Elie, en tant que prophète, de prendre position pour Dieu et de se tenir là.

149 Il est convenable que nous accomplissions toute justice. Ce grand et puissant homme préfigurait ce jour-ci où les religions de Jézabel et les choses semblables apparaissent alors, les choses que nous avons aujourd’hui, qui essaient de prendre le dessus. Il est convenable qu’un serviteur de Dieu, peu importe ce que quiconque dit, ce qui se passe, garde sa position, car il est convenable que nous restions avec la Parole.

150 Elie savait qu’il était prophète. Il avait des visions. Dieu avait confirmé qu’il était un prophète. Donc, peu importe si ses frères n’avaient jamais... Ils étaient des dizaines de milliers; regardez simplement les Israélites, des millions d’entre eux, des gens qui prétendaient croire en Jéhovah, s’étaient organisés. Ils étaient devenus modernes, comme ils le sont aujourd’hui. Ils étaient devenus modernes. Ils avaient établi des compromis au sujet de Sa Parole. Alléluia! Mais il était convenable pour lui Élie d’accomplir toute justice. Ainsi il se tenait là, seul, criant de toute sa voix contre le mal! S’ils lui avaient ôté la vie, qu’importait? Il était convenable qu’il accomplisse toute justice. Le mal était dans le pays. Il y avait de l’indifférence dans le pays. Il y avait des erreurs au sujet des Écritures dans le pays. Et il était convenable pour Élie d’accomplir toute justice, de prendre position pour Jéhovah; et Jéhovah a pris position pour Élie. Amen! C’était convenable pour lui.

151 Abraham, c’était convenable pour Abraham de se séparer de l’incrédulité. Il était convenable pour tout croyant de se séparer de l’incrédulité! Abraham, c’était convenable pour lui de marcher dans son propre pays, lui et Dieu étant seuls, car il était prophète. Le monde ne comprit pas pourquoi Abraham fit un choix pareil. Pourquoi quitta-t-il sa maison? Pourquoi quitta-t-il son église? Pourquoi quitta-t-il les siens? Pourquoi fit-il une chose si irréfléchie, de séjourner dans un pays étranger où il n’y avait ni eau ni nourriture? Pourquoi alla-t-il dans ces mornes déserts où les hommes n’étaient pas encore allés? Mais il était convenable pour lui, car il était un prophète, de se séparer de toute incrédulité et de marcher seul avec Dieu. Dieu avait dit : «Sépare-toi, et Je te bénirai.»

152 Lorsque vous vous séparez de toute incrédulité, Dieu vous bénira. Et il est convenable pour chacun de nous, peu importe le prix, de se séparer du monde incrédule. «Sortez du milieu d’eux, et séparez-vous, dit Dieu, Je vous accueillerai.» Il est convenable, pour nous, en tant qu’hommes et femmes de Dieu, de prendre position en cette heure sombre dans laquelle nous vivons.

153 Abraham, ne se souciant pas de ce que le reste d’entre eux pensait, s’est séparé. Pourquoi? Il avait vu Dieu. Il avait eu une vision. La vision était vraie. La vision s’est accomplie. Il savait que Dieu était avec lui, Abraham, c’est pourquoi il fit une telle déclaration téméraire; un homme âgé de cent ans et une femme de quatre-vingt-dix ans, et elle était stérile et lui était stérile, et ils allaient avoir un enfant à cet âge-là! Eh bien, la science médicale de ce jour-là l’aurait traité d’excentrique; ils l’auraient traité de fou. Mais c’était convenable. Alléluia!

154 Parfois il est convenable de devenir excentrique, si c’est en accord avec la Parole! Dieu lui avait parlé, disant : «Abraham.» Il avait répondu : «Oui, Seigneur.»

155 «Je suis le Dieu de tes pères. Je suis le Dieu de l’éternité. Je suis El-Shaddai; Je suis le Sein, Je suis la Poitrine, Je suis Celui qui donne la force. Peu m’importe combien tu es vieux, Abraham, qu’est ce que ça fait pour moi? Peu m’importe combien tu es stérile ou combien son sein est stérile, Je vous donnerai un fils!»
Et Abraham a dit : «Je Te crois, ô Dieu!» Alléluia.

156 La Bible dit : «Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu; mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu.» Pourquoi? Cela était convenable pour lui. Il avait vu la main de Dieu agir, en puissance.

157 Ô Branham Tabernacle! quel genre de parole allons-nous donner au jour du jugement alors que nous avons vu Sa main puissante? Nous avons vu Sa puissance, nous avons contemplé Sa gloire. Nous avons vu ce qu’Il a dit. Cela ne faillit jamais. Nous avons vu Sa Personne, la grande Colonne de Feu, une Lumière suspendue ici dans la salle. Nous L’avons vue là-bas, la science En a pris des photos, et tout le reste. Et nous entendons le Message sortir, tout à fait dans la ligne : «Séparez-vous d’eux! Ne vous associez avec rien qui a trait à l’incrédulité.» Il est convenable pour nous d’accomplir toute justice.»

158 Abraham professait qu’il était pèlerin et étranger. Il n’avait rien à faire; il ne connaissait personne sur la terre. Il marchait avec Dieu, parce que cela était convenable pour lui, car il L’avait vu. Cela était convenable pour Abraham. Lorsque tous les rois se sont rencontrés là-bas, vous savez, pour faire de lui un grand homme – tous les rois, après qu’Abraham eût remporté cette grande victoire – lorsque les rois l’ont rencontré là-bas, tous les frères dénominationnels, ils ont dit : «Tu sais, Abraham, nous allons – nous allons faire un pacte avec toi. Nous allons faire ceci et cela.»

159 Il a dit : «Je ne prendrai même pas un lacet de chaussures pour moi, afin que vous ne puissiez pas dire : ‘J’ai fait d’Abraham quelque chose.’»

160 Oh! Cela était convenable pour lui, car il savait (Alléluia!) que Dieu lui avait juré : «Je te donnerai chaque endroit où ton regard se pose : l’est, le nord, l’ouest et le sud.»

161 Quelle différence cela fait-il que nous ayons une pièce de cinq cents ou de dix cents, que nous ayons quelque chose à manger ou pas, que nous vivions ou que nous mourrions? Dieu a promis que les humbles de coeur hériteront la terre. Il nous incombe, il est convenable pour nous de vivre ainsi, d’agir ainsi, d’accomplir toute justice. Dieu veut des hommes et des femmes qui prendront position et accompliront toute justice. Bien sûr, la justice c’est Sa Parole!

162 Comme je l’ai dit au début de la prédication, c’est la raison pour laquelle Jésus fut baptisé. Peu importe combien c’était... s’Il affirmait être le Fils de Dieu, comment pouvait-Il alors se faire baptiser pour la rémission des péchés? Il n’en avait point! Mais Il devait être lavé, car Il était le Souverain Sacrificateur. Il devait accomplir toute justice. Il a dit : «Laisse faire, Jean. Je sais que tu le sais. Je sais que Je le sais. Et nous nous connaissons. Mais nous allons supporter qu’il en soit ainsi, mais ainsi cela est convenable pour nous!» Amen! Alléluia!

163 Alors je prendrai le chemin avec les quelques méprisés du Seigneur! Il est convenable pour moi, il est convenable pour vous, en tant que serviteurs de Dieu, que nous prenions le chemin avec les quelques méprisés du Seigneur; que nous marchions d’une façon pieuse, juste, sainte, dans cette vie présente, rejetant tout fardeau qui nous enveloppe si facilement, ayant les regards sur le Chef et le Consommateur de notre foi, Jésus-Christ! Amen!

164 Cela était convenable pour Abraham, lorsqu’il alla là-bas, et Dieu lui dit : «Maintenant, prends ce petit garçon. Maintenant tu as environ cent vingt ans. Et tu as ici un petit garçon, un petit aux cheveux bouclés. C’est une mignonne petite chose. Mais Je veux que tu l’amènes là-haut sur la montagne et que tu l’offres en sacrifice. À travers lui, Je vais faire de toi beaucoup de nations.» Comment cela était-il possible? Il semblait que Dieu S’était tout embrouillé. «A travers Isaac, Je prendrai et bénirai le monde entier, chaque nation, avec lui; mais Je veux que tu l’amènes là-haut et que tu le tues. A travers la semence d’Isaac...» Alléluia! «À travers la semence d’Isaac, Je bénirai chaque nation qu’il y a sous les cieux, mais Je veux que tu l’amènes là-haut et que tu le tues.»

165 Oh! ce vieux père austère, ferme, avec le bois et un sac sur le dos, menant un âne. Oh! la la! Le petit Isaac marchant devant lui! «Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu.» Cela était convenable pour lui!

166 Car Abraham dit en lui-même : «Je l’ai reçu comme quelqu’un revenant des morts, et je suis pleinement persuadé que Dieu est capable de le ressusciter à nouveau.» Amen! Il était convenable pour Abraham d’accomplir toute justice. Il savait de quoi il parlait. Il connaissait son Dieu. Il savait que ce que Dieu dit, Dieu est capable de l’accomplir. Quelle que soit la promesse que Dieu a faite, Dieu est capable de la tenir malgré tout. Ainsi, il était convenable pour Abraham d’accomplir toute justice.

167 Il était convenable pour les disciples, à la Pentecôte, d’aller dans la chambre haute. Pourquoi? Pourquoi était-ce convenable? Parce qu’ils avaient rencontré un Homme, un Charpentier, connu du monde, un Etranger galiléen avec un mauvais nom, celui d’enfant illégitime. Mais ils avaient vu cet Homme ressusciter les morts. Ils avaient vu cet Homme ouvrir des yeux aveugles. Ils avaient entendu cet Homme prêcher la Parole de Dieu non altérée. Et ils savaient qu’Il était le Messie. Ils avaient vu tous les signes autour de Lui. Ils avaient entendu Dieu répondre des cieux. Ils avaient vu cette Colonne de Feu suspendue au-dessus de Lui. Ils savaient qu’Il était le Messie. Et quand Il leur dit : «Il est avantageux que je m’en aille; mais Je veux que vous montiez là-haut dans la ville de Jérusalem et que vous y restiez. Attendez simplement là!»
«Combien de temps?»
«Jusqu’à ce que!»
«Combien de temps cela prendra-t-il, Seigneur?»

168 «Simplement jusqu’à ce que! Jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la Puissance d’En-haut! Alors vous serez Mes témoins.» «Combien de temps cela durera-t-il, Seigneur?»

169 «Jusqu’à cette génération-ci et jusqu’à cette génération-là et en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera : à Jérusalem, en Judée, en Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre! Mais, avant de partir, Je veux que vous attendiez! Je vais faire quelque chose pour vous.»

170 Il était convenable pour eux qu’ils entrent dans la chambre haute, parce qu’ils avaient vu Sa puissance. Ils savaient qu’Il était décédé, mort, qu’Il était tellement mort que même la lune et les étoiles témoignèrent qu’Il était mort. Elles cachèrent leur face et ne voulurent pas briller. La terre savait qu’Il était mort, à tel point qu’elle était secouée d’un tremblement nerveux. Les rochers ont été vomis de la terre, les rochers qui y étaient depuis la destruction du monde antédiluvien. Ils savaient que c’était le Messie. Ils savaient que c’était Sa Parole qu’Il renverrait le Saint-Esprit. Ils savaient que c’était une promesse. Ils savaient qu’ils devaient L’attendre là-haut. Ils L’avaient vu. Ils savaient qu’Il était mort; ils savaient qu’Il était ressuscité. Ils L’avaient vu, c’est pourquoi ils savaient de quoi ils parlaient.

171 Avant qu’un homme sache de quoi il parle, il ne peut pas beaucoup parler. Mais quand vous savez de quoi vous parlez... Si vous pensez que ceci est de l’excitation, venez Le recevoir une fois, alors vous saurez de quoi vous parlez. Ce n’est pas de l’excitation. C’est la puissance de Dieu pour le salut. C’est le Saint-Esprit. Je sais de quoi je parle. Quiconque L’a reçu sait de quoi il parle.

172 Il incombait aux disciples, il était convenable pour eux de garder Sa Parole, d’attendre à Jérusalem. Ainsi ils sont allés attendre à la Pentecôte, jusqu’à ce qu’ils aient reçu le Saint-Esprit. Car, ils savaient alors que leur ministère ne pouvait pas continuer avant qu’ils aient reçu le Saint-Esprit, pour rendre témoignage de Lui. Ils savaient qu’ils étaient impuissants. Mais ils avaient besoin de Sa Présence, donc, ils sont partis pour L’attendre. Cela incombait à Pierre, après que Jésus l’avait rencontré.

173 Dans Marc 16, il est dit : «Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : En Mon Nom ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront des serpents, s’ils boivent des breuvages mortels, cela ne leur fera point de mal; s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.»

174 Cela incombait à saint Pierre, le vieux pêcheur! Il n’avait pas assez d’instruction pour écrire son propre nom! Mais un jour, lorsqu’il passait par la «Belle porte» que Salomon avait construite, il y avait là un homme couché qui était paralysé. Ses genoux étaient faibles, ses chevilles, il ne pouvait pas marcher. C’est ainsi qu’il était. Il n’avait aucune force. Un homme de quarante ans environ, il n’avait aucune force. Mais quand Pierre a entendu le bruit de la tasse et qu’il a baissé les regards et a vu un homme boiteux couché là, Quelque chose a frappé fort dans son coeur! Il avait été à la Pentecôte; il avait le Saint-Esprit! Il avait la promesse de Jésus, ainsi cela lui incombait, il était convenable qu’il dise : «Je n’ai ni argent ni or.» Il a donné son témoignage : «Je n’ai ni argent, ni or; mais ce que j’ai, je te le donnerai, si tu peux le recevoir.»
Je peux m’imaginer l’homme dire : «Je peux le recevoir!»

175 «Il dit : Alors, au Nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et sois guéri!» Et il s’est baissé pour le prendre, pour exercer sa foi, et l’a levé comme cela; et les os de ses chevilles ont reçu de la force, et il est parti, en sautant, en louant et en glorifiant Dieu!

176 Il lui incombait de le faire, cela était convenable pour lui. Il devait le faire, car il était un disciple oint. Il avait été avec Jésus. Le monde entier savait, le jour précédent, à la cour du Sanhédrin, lorsqu’on l’avait ramassé, lui et Jean, tous les deux ignorants et sans instruction, ils savaient qu’ils avaient été avec Jésus, parce qu’ils avaient entendu de quelle façon ils parlaient, et voyaient leur hardiesse. Ils savaient que quelque chose leur était arrivé. Et Pierre savait cela. Ainsi c’était convenable pour Pierre, c’était convenable pour lui parce qu’il avait la promesse de Dieu pour ce jour-là.

177 «Je vous donnerai la puissance. Je vous donnerai la puissance. Vous marcherez sur la tête des serpents et des scorpions. Tout ce que vous demanderez en Mon Nom, Je le ferai. Si vous dites à cette montagne : Ote-toi de là, et que vous ne doutiez pas dans votre coeur, mais que vous croyez que ce que vous avez dit arrivera, vous pourrez avoir ce que vous avez dit!»

178 Il incombait donc à Pierre de Le croire. Cela était convenable pour lui. C’est ce qu’il devait faire, parce qu’il savait qu’il vivait au jour de cette commission. C’était la Lumière de l’heure. La résurrection venait d’avoir lieu, le Saint-Esprit était là. Cela était convenable pour lui.

179 C’était convenable pour saint Paul, après avoir été un critique. Et sur son chemin vers Damas, un jour, cette Colonne de Feu qui avait conduit Israël de l’Égypte à la Terre Promise, qui avait été faite chair et avait habité parmi eux et qui S’en était retournée à Dieu, lui a parlé là. Et il se demanda: «Comment ceci pourrait-il être Jéhovah? Comment est-ce possible? Et Le voici, dans la même Colonne de Feu, suspendue là.» «Seigneur, Qui es-Tu, Toi que je persécute?»

180 Il a dit : «Je suis Jésus.» Oh! la la! Il l’a commissionné, lui a donné son ministère. Il a commissionné Paul, lui a donné son ministère.

181 Paul avait été dans la Présence de Dieu, il avait vu la Colonne de Feu. Il avait vu ce Jésus qui autrefois avait été la Colonne de Feu, puis fut fait chair et habita parmi nous, et qui S’en était retourné dans une Colonne de Feu et le commissionna pour son ministère. Alléluia! Rien n’allait l’ébranler. Cela était convenable pour lui, quand on a retiré des mouchoirs de son corps et qu’on les a envoyés aux malades. Cela était convenable pour lui, parce qu’il savait qu’il était l’apôtre oint. Il avait les visions de Dieu, et Dieu apparaissait devant lui et parlait, et il voyait cela arriver, juste exactement. Eh bien, il était convenable pour Paul, lorsqu’il essayait d’aider les gens, d’accomplir la Parole pour laquelle il était commissionné. Il était la Lumière du jour. Il était la Lumière pour les nations. Il le savait. Dieu l’avait commissionné pour qu’il le soit. Il était la Lumière en ce jour-là. Ainsi, Paul était commissionné pour cela.

182 Maintenant, cela est convenable pour nous, convenable pour nous en ce jour-ci. Nous le savons! Nous avons juste traversé les âges de l’Église. Nous savons que nous avons reçu le Saint-Esprit, nous savons cela sans l’ombre d’un doute. Nous savons que nous avons la Lumière de l’Évangile.

183 «Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit.» Il n’y a pas d’ecclésiastique au monde ni rien d’autre, qui puisse défier ça. Jusqu’où ceci devrait-il être fait? «La promesse est pour vos enfants, pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»

184 Le prophète a dit : «Il y aura la Lumière au temps du soir, ces Lumières de l’Évangile reviendront.» Comme le même soleil se lève à l’est et se couche à l’ouest, Elle reviendra dans les derniers jours. Nous voici dans les derniers jours.

185 Nous avons reçu le Saint-Esprit. Nous savons cela. Nous avons parlé en langues comme ils l’ont fait à la Pentecôte. Et nous savons que vous pouvez Le recevoir.

186 Nous savons que le septième ange a donné le Message. Nous Le voyons confirmé par des signes.

187 Nous savons que nous sommes à la fin de l’âge de Laodicée. Nous savons que des conflits nationaux, des signes et des prodiges apparaissent partout. Nous savons que nous sommes au temps de la fin.

188 Dieu en rend témoignage! Et il nous incombe, il est convenable pour nous d’accomplir toute justice. Nations contre nations, un temps de perplexité, d’angoisse, toutes ces choses que nous avons entendues. Si vous pouvez Le recevoir!

189 Maintenant, nous sommes à la dernière heure. Nous sommes dans l’âge de l’Église de Laodicée. Chaque messager a donné en son âge, a donné son message en son âge. Et nous voici à la fin de l’âge, et nous voyons que Dieu l’a confirmé par des signes et des prodiges. Et personne ne peut dire qu’il n’en est pas ainsi.

190 Il est ici maintenant! Il est dans l’Église! Il est dans les gens. Personne ne peut dire qu’il n’en est pas ainsi. Nous savons qu’Il est ici.

191 Et il nous incombe de prendre Sa Parole. Nous... il nous incombe de croire toute justice. Cela nous incombe. Il est convenable que nous accomplissions tout ce dont Il a parlé.

192 L’Église est faible, les églises d’aujourd’hui. Nous sommes divisés suite à la lutte entre les organisations, la fraternité est brisée; méthodistes, baptistes, presbytériens, unitaires, trinitaires, quinquetaires, toutes sortes de choses. Nous sommes divisés. C’est ainsi que c’est censé être. Il doit en être ainsi.

193 Ensuite, il viendra un Message! Oh! alléluia! Nous savons que c’est la même Colonne de Feu qui a conduit Israël. Nous savons que le même ministère qui a accompagné Jésus-Christ par cette Colonne de Feu qui L’avait oint, accompagne l’Église aujourd’hui. La science l’a prouvé; nous n’avons pas besoin de ça. Dieu l’a prouvé! Nous avons besoin du ministère de Jésus-Christ pour s’adapter à la Pierre de faîte qui arrive là-bas, qui a amené l’Église à un point où le ministère est exactement comme il l’était quand Jésus est parti. Exactement!
Les nations s’écroulent, Israël se réveille,
Les signes que les sages avaient prédits;
Les jours des gentils sont comptés, remplis d’horreur,
Retourne chez toi, ô dispersée.

194 Nous sommes dans les derniers jours. Et il nous incombe, il est convenable que nous accomplissions toute justice.

195 Rappelez-vous, Jésus a dit : «Ce qui arriva du temps de Lot arrivera à la Venue du Fils de l’Homme.» Combien se rappellent cela? [La congrégation dit : «Amen.» –N.D.T.] Très bien. Qu’est-ce qui arriva du temps de Lot? Quel signe Dieu a-t-Il donné?

196 Il y avait trois catégories de gens du temps de Lot. Est-ce vrai? [La congrégation dit : «Amen.» –N.D.T.] Il y avait les incroyants, les soi-disant croyants et les croyants. Chacun d’eux a reçu un messager. C’est vrai. Quand Abraham était assis sous son chêne, qu’est-il arrivé? Regardez ce qui est arrivé.

197 Un Ange est descendu et est entré dans Sodome. Cet Homme est descendu là et leur a enseigné la repentance, qu’ils devaient se repentir et se tourner vers Dieu. Qu’est-il arrivé? Seulement trois sont sortis, Lot et ses deux filles. Sa femme se changea en une colonne de sel. Seulement trois sont sortis, après qu’un Billy Graham moderne leur a proclamé le message, là-bas.

198 Et nous voyons cela arriver aujourd’hui. Nous voyons apparaître un messager qui prêche à l’église de nom.

199 Et il y en eut Un qui vint vers Abraham et l’Église élue. Il leur donna un signe. Et nous savons que c’est vrai. Nous savons que c’est un fait. Il s’assit le dos tourné à la tente, Il dit qui était Sara, ce qui était sur son coeur, quel était son problème. Il donna le message, exactement. Abraham sut que c’était Dieu. Car, immédiatement après qu’il eut dit cela, il L’appela «Elohim», un Messager, sous la forme d’une chair humaine, pour apporter un Message à Sodome et Gomorrhe.

200 Et lorsque nous voyons ces choses que Jésus a annoncées, il est convenable que nous accomplissions toute justice. Il est convenable que nous prenions Dieu au mot. Croyez-vous cela? [La congrégation dit : «Amen.» –N.D.T.] Ainsi, laissez faire maintenant.

201 «Frère Branham, vous n’êtes – vous n’êtes – vous n’êtes pas dans la même ligne que les autres dénominations.»

202 C’est possible. Laissez faire maintenant. C’est juste, laissez faire maintenant.

203 «Eh bien, vous seriez plus à l’aise si vous alliez de l’avant et que vous coopériez.»

204 Laissez faire maintenant, que... Mais c’est ainsi convenable pour nous. Nous sommes Son peuple, Ses prophètes, Ses sages. Il est convenable que nous accomplissions toute justice. Ainsi, faisons-le, pendant que nous inclinons nos têtes.
Les nations s’écroulent, Israël se réveille,
Les signes que la Bible a prédits
Les jours des gentils sont comptés, remplis d’horreur;
Retourne chez toi ô dispersée Un jour de rédemption est proche,
Le coeur des hommes défaille de peur,
Soyez remplis de l’Esprit, vos lampes nettoyées et claires,
Levez les yeux, votre rédemption est proche Les faux prophètes mentent,
Ils nient la Vérité de Dieu,
Que le Christ Jésus est notre Dieu, (Combien cela est vrai; oh des centaines!) Mais nous marcherons sur les pas des prophètes. Car le jour de la rédemption est proche,
Le coeur des hommes défaille de peur;
Soyez remplis de l’Esprit, ayez vos lampes nettoyées et claires,
Levez les yeux, votre rédemption est proche.

205 Pendant que vous avez la tête baissée, est-il convenable pour vous ce matin de donner votre vie à Christ? Vous a-t-Il parlé? Si oui, levez simplement la main vers Lui et dites : «J’accepte Christ maintenant. Il est convenable pour moi de Lui abandonner tout, ma volonté, ce matin. Je lève maintenant la main en disant : ‘Seigneur Jésus, sois miséricordieux, j’ai besoin de Toi, oh! combien j’ai besoin de Toi! A chaque heure, j’ai besoin de toi!’» Que Dieu vous bénisse. «Ô Sauveur béni, je viens à Toi.»
J’ai besoin de Toi, oh, j’ai besoin de Toi;
(Qu’en serait-il, si vous étiez couché là où maman est couchée maintenant?) A chaque heure, j’ai besoin de Toi!
Oh, bénis-moi maintenant, mon Sauveur,
Je viens à Toi! J’ai besoin de Toi, oh, ô Seigneur,
Nous avons besoin de Toi!
À chaque heure j’ai besoin de Toi; Oh ! bénis-moi maintenant,
(Seigneur, j’ai besoin de Toi, maintenant plus que pendant longtemps.)
Je viens à Toi.

206 [Frère Branham commence à fredonner. «J’ai besoin de Toi à chaque heure.» N.D.T.]

207 Père céleste, nous marchons à travers les vallées, sachant que Tu as promis : «Je ne te délaisserai point, et je ne t’abandonnerai point.» «Cherchez premièrement le Royaume de Dieu et la justice de Dieu, et toutes les autres choses vous seront données par dessus.» Ainsi je viens à Toi.

208 S’il y en a ici, Seigneur, qui ne sont pas en ordre dans leur âme; s’ils allaient passer par le chemin où ma mère est en ce moment même, ô Seigneur, qu’ils puissent avoir ce témoignage aussi. Cela nous incombe aujourd’hui, Seigneur.

209 Nous sommes à la fin de la route, l’âge de l’Église de Laodicée; un Message; le rejet du Message; la confirmation du Message; et la Présence de Christ prouvant qu’Il est le même, hier, au jours de Lot, aux jours de Sa chair, et aux jours d’aujourd’hui; hier, aujourd’hui et éternellement.

210 Qu’ils Te reçoivent maintenant comme leur Sauveur béni! Accorde-le, Seigneur. Je le demande au Nom de Jésus. Oh, bénis-moi maintenant, mon Sauveur,
Je viens à Toi! Très précieux Seigneur,
Les tentations perdent leur puissance,
C’est vrai, Seigneur, quand Tu es près.
J’ai besoin de Toi, oh, j’ai besoin de Toi.

211 Si Tu nous l’as reprise, que son âme précieuse se repose au ciel. Accorde-le. Accorde-le, Seigneur. Mon Sauveur, je viens à Toi.

212 Père Divin, entends-nous. Il est convenable que nous accomplissions toute justice ici. Nous savons ce que la Parole dit. Nous ne sommes pas dans les ténèbres. Nous savons ce que la Parole a promis. Aide-nous, ô Seigneur, afin que nous accomplissions toute justice. Accomplis Ta Parole. Que chaque croyant ici puisse avoir la foi maintenant, alors que nous en arrivons aux malades. Nous aimons tous vivre, Seigneur; mais la première chose devrait être la Vie éternelle, pour ce monde à venir. Entends-nous, Père, pendant que la congrégation prie, spécialement les malades et les affligés.

213 Je me demande aujourd’hui s’il y a des étrangers ici avec nous, qui n’ont jamais été au Tabernacle auparavant, et qui êtes malades, et qui comptez sur Dieu pour de l’aide. Ayez la tête baissée, vous tous. Voudriez-vous lever la main, vous qui m’êtes étranger, qui ne me connaissez pas ou que je ne connais pas, et qui êtes venus à Christ maintenant pour recevoir de l’aide. Levez simplement la main. Voyez-vous? Que Dieu vous bénisse, et vous, et vous. Il y en a plusieurs.

214 Vous n’avez qu’à croire seulement. Ce message n’est pas en vain, c’est la Parole de Dieu.

215 Je vois une dame... Gardez les têtes courbées. Elle reste avec la main levée. Elle souffre de troubles cardiaques. Elle s’appelle Madame Nance. Elle est de Madisonville, dans le Kentucky. C’est juste. N’est-ce pas, madame? Vous pouvez lever la tête maintenant. Vous aviez la main levée, vous l’avez gardée levée. C’est vrai, n’est-ce pas? Si c’est le cas, levez la main. Voyez-vous dans quel temps nous vivons, mes amis? Je ne connais pas cette dame. Je ne l’ai jamais vue. Mais qu’est-ce? C’est un signe de l’Évangile. Afin que vous puissiez...

216 Croyez-vous que je suis Son prophète, madame? Le croyez-vous? Pourtant nous sommes étrangers. Je ne vous connais pas. Le nom était juste, n’est-ce pas? Si c’était exact, tout ce qu’Il vous a dit, agitez simplement – simplement la main vers l’auditoire, pour qu’ils puissent voir que c’était juste.

217 Qui est-ce qui pourrait faire ça? Jésus de Nazareth. Afin que vous sachiez que je suis le prophète de Dieu et que je vous dis la Vérité, car ainsi cela nous incombe. Une femme a touché Son vêtement, et Il S’est retourné et lui a parlé de sa perte de sang et a dit que cela s’était arrêté.

218 La dame assise à côté de vous a aussi des troubles cardiaques. C’est vrai. Oui. Je ne la connais pas. Vous savez que je ne la connais pas. Voyez? Mais Dieu la connaît. Il connaît son problème, n’est-ce pas? Mlle Allen, croyez-vous que Dieu peut vous guérir? Si cela est bien votre nom et votre problème, levez la main. Levez la main si cela est vrai.

219 Une dame assise à côté de vous là... Je parle de Mme Bennett. Vous êtes toutes du même endroit. Elle souffre de problèmes rénaux au lieu de problèmes cardiaques. Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez être guérie aussi. Le croyez-vous, madame? Levez la main et dites : «Je l’accepte.» Alors vous pouvez rentrer à la maison et être guérie. Si vous pouvez le croire. Vous êtes du fond du Kentucky, d’une ville appelée Madisonville.

220 Assise là-bas dans le fond, il y a une dame, Mme Bone. Elle est des environs de Madisonville. Elle n’habite pas à Madisonville même; elle me regarde maintenant. Et voilà cet Ange qui Se tient juste au dessus d’elle. Elle habite juste près de Madisonville. Son nom est Bone. Un problème du sinus, de l’asthme, de la toux. Si cela est vrai, agitez la main de droite à gauche, madame. Croyez au Seigneur Jésus-Christ, et rentrez à la maison et soyez guérie.

221 Des ennuis de la gorge, monsieur. Croyez-vous que Dieu peut guérir des problèmes de gorge et vous guérir? Soyez guéri! Ayez seulement foi en Dieu.

222 Mlle Hopkins, la dame de couleur qui vient de Chicago. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue de ma vie. Mais voulez-vous être guérie de cette nervosité, de ce problème du sinus? Allez, croyez, et vous pouvez être guérie aussi.

223 Mme Hanes de Colombus, dans l’Ohio. Si vous croyez au Seigneur Jésus-Christ, vous pouvez aller à la maison et être guérie aussi.

224 Nous sommes à la fin de la route. Le croyez-vous? Il nous incombe d’accomplir toute justice. Il a promis que ces choses arriveraient. Nous y sommes. Le croyez-vous?

225 Eh bien, posez les mains les uns sur les autres. Je veux vous poser une question. Est-ce que Jésus a promis que ces choses arriveraient dans les derniers jours? Dites «amen». [La congrégation dit : «Amen.» –N.D.T.] «Ce qui arriva du temps de Lot. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» A-t-Il aussi dit ceci : «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris»? Êtes-vous prêts à prendre position comme un croyant? Car ainsi est-il convenable que nous accomplissions toute justice.

226 C’est la justice de Dieu, que lorsque ces mouchoirs ici (Je pose les mains dessus au Nom de Jésus) vous touchent... Je sais que le Saint-Esprit est ici, le Même qui était avec Paul. «On retira de Paul...» Ainsi vous serez guéris, si seulement vous le croyez.

227 Je crois par le Saint-Esprit que le même Saint-Esprit est ici ce matin, confirmant Lui-même le Message du dernier jour, le grand Saint-Esprit Lui-même se personnifiant Lui-même, venant dans une chair humaine, faisant Ses oeuvres.

228 Je me suis tenu ici ce matin dans des circonstances difficiles. Vous savez ce que je vais probablement apprendre bientôt en quittant ce lieu. Mais il est convenable pour nous que toute justice soit accomplie.

229 Dieu a placé le Message sur mon coeur. Maintenant, il est convenable pour vous, en tant que croyants, de croire. Pendant que vous avez les mains les uns sur les autres, il n’y aura pas une personne malade parmi nous, si vous le croyez seulement de tout votre coeur, et que vous soyez prêts à prendre votre position.

230 Maintenant, Père céleste, nous T’apportons cet auditoire, après ce Message. Seigneur Dieu, certainement les gens peuvent voir maintenant que cela est convenable pour nous. Il est convenable pour un prophète de se tenir sur la Parole. Cela est convenable pour un membre de l’église; il est convenable qu’ils prennent position. Il est convenable que les personnes malades croient la Parole de Jésus-Christ, quand Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.»

231 J’allais appeler la ligne de prière, Seigneur, mais le message qu’on vient de me donner par téléphone m’a ébranlé, Père. Ô Dieu, Ta Parole dit: «Il est convenable que nous accomplissions toute justice.» Les voici, chacun.

232 Le Saint-Esprit est ici prouvant qu’Il est parmi nous. Maintenant, que la Puissance de Dieu, que le témoignage du Saint-Esprit entre dans le coeur de ces personnes à l’instant même, leur donnant une assurance comme Daniel l’avait, comme Noé l’avait, comme Enoch l’avait, comme Jean l’avait, comme Pierre l’avait, et comme Paul l’avait, comme Jésus l’avait, comme Abraham l’avait, comme eux tous l’avaient, Seigneur; que cela est convenable pour nous en ce temps-ci, où la puissance de la guérison divine est déversée, que des signes et des prodiges se font, qu’un grand réveil est venu parmi les gens, que le Saint-Esprit est tombé parmi les gens. Ils ont crié, parlé en langues, prophétisé, de grands dons, et des signes et des prodiges. Et l’Ange du Message, l’Ange de cet âge nous est apparu sous la forme du Saint-Esprit, et Il nous apporte un Message. Nous voyons Cela s’accomplir. Nous Le voyons prendre nos corps et nous transformer d’êtres humains mortels en des agents de Dieu, pour proclamer de grands et mystérieux signes et prodiges. Lorsque nous voyons ces choses, alors il est convenable que nous accomplissions toute justice.

233 Alors que nous savons qu’Abraham a regardé en arrière vers Lot, que Daniel pouvait regarder vers Abraham, que Jean pouvait regarder vers Daniel, (Ô, Dieu!) que Pierre et Jean pouvaient regarder vers Jésus. Et alors que nous pouvons regarder vers eux et qu’aujourd’hui nous voyons les mêmes résultats parmi nous, alors il est convenable que nous accomplissions toute justice.

234 Que la puissance de Jésus-Christ déferle sur ce bâtiment, avec la foi divine, et guérisse chaque personne ici présente de toute affliction et de toute maladie, Seigneur. Et, comme Ton serviteur, j’ordonne à ce démon qui m’a poussé toute la matinée, qui a essayé de me faire quitter cette chaire... Par la grâce de Dieu, je suis resté ici.

235 Tous ces pauvres êtres mortels de Dieu malades et souffrants. Sors d’eux, Satan. Je t’ordonne, par Jésus-Christ, le Dieu vivant, de quitter ces gens, et de ne plus les ennuyer, car ils se tiennent là comme les enfants hébreux à l’heure de l’épreuve, pour prendre leur position et être guéris à partir de cette heure! Par le Nom de Jésus-Christ, j’ordonne à la maladie et aux démons de cette congrégation, qui sont venus pour rendre malades ces personnes, de les quitter.

236 La tête courbée, nos coeurs tournés vers Dieu, je vais chanter un cantique. Je vais l’essayer, avec votre aide et l’aide de Dieu. «Ma foi regarde à Toi.» Je ne veux pas que vous doutiez du tout; je veux que vous croyiez maintenant. Cela est convenable pour nous. Combien y a-t-il de chrétiens ici? Levez la main et dites «amen». [La congrégation dit «amen.» -N.D.T.] Combien sont croyants? Dites «amen.» [«Amen!»] Combien ont imposé les mains sur d’autres? Dites «amen.» [«Amen.»] Alors il est convenable que nous accomplissions toute justice. Ma foi regarde à Toi,
Toi, Agneau du Calvaire,
Sauveur divin,
Écoute moi quand je prie,
Enlève tous mes péchés (le péché, c’est l’incrédulité)
Ô, laisse-moi dès ce jour
Être tout à Toi. Pendant que je parcours le labyrinthe de la vie,
Et que les douleurs se répandent autour de moi,
(Ô Dieu, sois mon guide maintenant!)
Sois mon Guide;
Ordonne aux ténèbres de se changer en jour,
Essuie les larmes de la tristesse,
Et ne me laisse jamais errer loin de Toi.

237 Avec la tête courbée. Si ma vieille maman chérie est morte pendant que je prêchais, que ma voix puisse retentir à travers les grandes gorges du ciel.

238 Lorsqu’elle m’a parlé l’autre jour, elle a dit : «Billy, tu m’as nourrie. Tu as payé mon loyer et ma note d’électricité, tu m’as donné quelque chose à manger.» Elle a dit : «Chéri, lorsque tu étais un petit garçon, je suis sortie par le mauvais temps et j’ai fendu du bois et fait un feu pour que tu aies chaud. Et j’ai préparé pour toi ce que nous avions à la maison à préparer.»
La voir couchée là, et ces vieilles petites mains faibles qui ont lavé nos habits sales. On est impuissant, je ne pouvais rien faire.

239 J’ai dit: «Maman, entre les mains du Dieu vivant, je confie ton âme juste.»

240 Elle est partie depuis. Tous sont partis. Il ne reste plus que mes frères. Le message qui est venu ici sur la chaire était plutôt mauvais. Si elle est partie, que Dieu donne du repos à son âme. Si elle est encore parmi nous, et avec nous jusqu’à ce soir, par la grâce de Dieu, je serai ici à la chaire pour accomplir mon devoir, car il est convenable pour moi d’accomplir toute justice. Et je verrai.

241 Je passe le service à frère Neville, mon pasteur associé béni. Frère Neville.

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