Expectative

Date: 51-0930E | La durée est de: 1 hour and 33 minutes | La traduction: Shp
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1          Bonsoir, mes amis. Je suis très content d’être encore ici ce soir pour prier pour les malades. Je regrette que celle-ci soit notre dernière soirée de ce réveil particulier. Si le Bon Seigneur me permet de revenir et que vous tous, vous vouliez que nous venions, nous espérons revenir vers vous un jour pour–pour tenir une–une longue série de réunions à un moment donné, là nous pourrons bien rester continuellement. La préoccupation majeure au sujet des réunions, l’une des tragédies, c’est que nous n’arrivons pas à disposer d’auditoriums assez longtemps pour voir vraiment des réunions aller jusqu’au bout, tel que ça devrait l’être. La plupart du temps, il arrive que des gens sont... Ils prennent... Avant que des résultats commencent à se manifester sur des gens, je suis parti, la plupart du temps.

            Mais j’apprécie certainement toute votre communion, votre gentillesse, et tout ce que vous avez fait; je ne vous oublierai jamais tant que je serai en vie. Que Dieu vous bénisse, c’est ma prière. Et juste... Vous continuerez à prier pour moi, j’en suis sûr, en tant que chrétien, comme je cherche à aller dans d’autres parties du monde maintenant pour apporter l’Evangile à d’autres peuples: aux nécessiteux, aux rejetés dans d’autres pays. Je sollicite certainement vos prières en ma faveur. Que Dieu soit avec vous et qu’Il vous assiste.

2          J’aimerais vous remercier. Frère Baxter venait de me dire qu’on a prélevé une offrande d’amour pour moi. Je vous remercie beaucoup. Je ne suis pas digne d’avoir une offrande d’amour; je ne fais pas assez pour mériter une offrande d’amour. Et je–j’aurais voulu ne pas la prendre. J’ai été pasteur d’une église pendant quinze ans; je n’avais jamais prélevé une offrande d’amour de ma vie, jamais de toute ma vie je n’avais prélevé une offrande pour moi-même ni pour quelqu’un d’autre. J’avais toujours travaillé et–et je subvenais à mes besoins. Quand j’arrive à un endroit comme celui-ci, on me donne une offrande d’amour. C’est ce dont je vis. J’ai une famille, je dois avoir un moyen de subvenir à leurs besoins. Et tout l’argent... Ma femme qui est ici présente sait que chaque sou que je n’utilise pas pour notre propre subsistance, juste ce que nous... Nous ne menons pas une vie de luxe; nous essayons simplement de vivre comme... juste avec ce qui nous permet–nous permet de nous en tirer. Et ce qui reste de l’offrande d’amour, nous le réaffectons droit aux missions à l’étranger, pour être utilisé à l’oeuvre du Seigneur. Ce ne sont pas les choses du monde que nous voulons; ce sont les choses célestes que nous attendons tant. Un jour, comme l’a dit le poète: Que ça soit une tente ou une cabane, pourquoi m’en faire?On me bâtit un palais là-bas!Des rubis et des diamants, de l’argent et de l’or, Remplissent ses coffres. Il a des richesses ineffables.

3          Et maintenant, nous n’aimerions pas prendre trop de temps ici en parlant maintenant même. Juste afin de vous dire un–juste un petit mot: «Merci, pour toute votre gentillesse.» Et puis, s’il y a un quelconque mérite qui jamais revienne à quelqu’un, c’est à la personne dont j’ai l’intention de parler maintenant même. Les hommes disent: «Frère Branham, je sais que vous passez un temps vraiment dur, beaucoup de gens appellent et tout.» J’aime ça; ça fait partie de ma vie. Mais s’il y a... Nous avons une très aimable petite famille à la maison. Ma première famille fut brisée par la mort, il y a beaucoup, beaucoup d’années. Je me suis donc marié un peu plus de deux ans après que la mère de Billy était rentrée à la maison ainsi que mon enfant. Et puis, j’ai essayé de vivre fidèlement envers Dieu, là quand j’ai imposé les mains sur la tête de mon bébé et que je l’avais béni, les anges de Dieu étaient venus amener sa petite âme auprès de sa mère. J’ai placé son petit corps à côté de celui de sa mère et je les ai ensevelis ensemble. Billy et moi, année après année, nous allons à cette tombe-là y déposer une fleur, sachant une seule chose, qu’à une glorieuse aube Jésus viendra.

            Je ne pensais jamais que je me remarierais donc. Billy avait assez grandi pour aller à l’école. Vous savez comme Job d’autrefois, quand ce qui lui avait été retiré, Dieu l’a restauré. Je ne pense pas que je pouvais avoir trouvé un quelconque moyen. Ce n’était pas mon choix; c’était Dieu qui m’avait donné une compagne qui est vraiment une–une chérie pour moi et une vraie mère pour Billy. Elle est juste une jeune fille; elle est de loin plus jeune que moi. Elle a beaucoup travaillé et tout, travaillant pour l’Evangile au point que ses cheveux ont grisonné à trente ans. Elle est certainement une vraie reine dans notre maison. Chérie, j’aimerais que tu te lèves juste une minute. Elle est assise juste ici devant moi. Je sais que c’est un peu ostensible; c’est ma femme et mon amie là. Très réservée, timide, un peu... Nous sommes un jeune homme et une jeune fille de campagne.

4          J’ai eu beaucoup de bons partenaires dans ma vie, de bons partenaires de chasse. J’aime chasser, aller à la chasse. C’est dans l’Etat de New York que j’ai été initié. J’aime toujours ces montagnes Adirondack par-dessus tout lieu que j’aie jamais vu de ma vie, les montagnes Adirondack. J’ai un très bon partenaire de chasse. J’appelle ma femme miel, j’appelle ma petite fille sucre; ainsi, nous avons une délicieuse famille. Elle est tout aussi réservée que sa maman, mais je me demande si ma petite Rebecca aimerait se lever juste une minute et nous allons... Oh! Je vais avoir un temps horrible pour avoir fait ceci; je vois. Elle a la tête inclinée, et aimerais-tu... Que dire de venir ici et de te tenir ici à côté de papa juste une minute? Voudras-tu que les gens voient quel bon partenaire de chasse est-ce? Ne sois pas timide. Tu as déjà rougi. Elle est assise là, la tête inclinée. Très bien, chérie. Oh! la la!

            Très bien, Billy Paul, je ne... Vous le connaissez, évidemment, mon jeune garçon. Où es-tu, Billy? Il est ici quelque part. Il a ce dur travail de distribuer les cartes de prière. Nous avons eu... C’est le travail le plus difficile qu’il y a dans une campagne, cela a fait faire la dépression à trois ou quatre personnes. Ainsi donc, Billy essaie d’exercer cette fonction-là. C’est juste un jeune garçon dans ses seize ans. Mais c’est un travail un peu difficile pour lui, mais il revient de l’Afrique avec moi; si le bon Seigneur le veut, il entrera donc au collège Bob Jones pour parfaire son instruction, tout ce que Dieu a choisi pour lui de faire dans le pèlerinage de la vie. J’espère que Dieu lui donnera donc un appel.

5          Ce n’est pas très facile de quitter la maison, de quitter les bien-aimés et les autres. J’ai une fillette chez moi maintenant; son nom est Sara, une fillette aux cheveux noirs, aux yeux bleus, tout aussi douce que possible. Je l’aime de tout mon coeur. Nous l’avons laissée l’autre jour, et ma femme est venue jusqu’ici. Ils retournent à la maison le matin pendant que nous, nous prendrons l’avion pour l’Afrique pour apporter le Message. Priez pour eux. C’est elle qui se tient à la porte, qui se tient entre le vrai et le faux, et me sert de bouclier. J’apprécie vos prières pour elle. Que Dieu nous accorde un bon voyage retour ensemble une fois de plus.

6          Maintenant, dans les réunions, maintes, maintes, maintes fois, des choses sont dites et faites, ainsi de suite, que nous ne pouvons guérir personne. Nous le savons. Nous ne prétendons pas guérir quelqu’un; nous soutenons seulement prier pour les malades. C’est Dieu qui opère la guérison. Un ministère que le Seigneur m’a donné; c’est un peu, on dirait, un tout petit peu différent du ministère des autres ministres, mais Dieu donne différemment selon Sa volonté. Croyez-vous cela? Juste tel qu’Il veut, c’est ce qu’Il–Il fait.

            Ainsi donc, nous savons qu’Il est le Rémunérateur de ceux qui Le cherchent. Est-ce vrai? Maintenant, j’aimerais lire juste un petit passage des Ecritures, et nous allons directement aborder le service. Je crois que Dieu va nous accorder un grand service ce soir. Je priais juste avec mon jeune garçon, et le révérend Ford est venu me prendre. Que Dieu veuille faire quelque chose de spécial pour nous ce soir et qu’Il veuille bénir les gens. Généralement, la dernière soirée, il y a plus de gens guéris par rapport à toutes les autres soirées, c’est parce qu’il y a une grande pression, une force d’attraction et–et les gens veulent entrer dans la ligne.

7          Eh bien, cela ne guérit personne, mais j’ai demandé à Dieu ce soir de faire quelque chose de spécial, de guérir les gens partout dans la salle, partout dans la salle. J’aimerais qu’Il le fasse. Maintenant, je sais qu’Il va le faire. De toute ma vie, je ne me suis jamais agenouillé et prié très sincèrement selon Sa volonté, sans qu’Il ait exaucé. Je n’ai jamais fait cela.

            Eh bien, parfois, si je pensais à quelque chose qui n’était pas correct, peut-être que j’étais quelque peu égoïste sur quelque chose que je demandais dans la prière, cela ne me ferait aucun bien. En effet, si ma prière me revenait simplement, et que je n’avais aucune foi, même pour commencer, cela serait exaucé. Mais juste essayer de percer seulement, vous ne pouvez rien tirer de Dieu qui ne soit pas correct; cela doit être correct.

8          Maintenant, j’aimerais lire quelques passages des Ecritures à deux endroits, dans la Sainte Parole de Dieu. Si vous voulez les lire avec moi, ou me suivre, prenez Saint Matthieu, chapitre 4, à partir du verset 23. Et puis, allez, si vous le voulez, dans Saint Luc, chapitre 1, à partir de, je vous demande pardon, chapitre 2, verset 25. Et j’aimerais lire deux portions. L’une d’elles, c’est le commencement du ministère; l’autre, c’est Sa mort, ou pas Sa mort, Sa naissance plutôt, pardonnez-moi. Maintenant, dans Saint Matthieu, chapitre 4, verset 23, Jésus commence Son ministère.

            Jésus parcourait toute la Galilée, enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume, et guérissant toute maladie... toute infirmité parmi le peuple.

            Sa renommée se répandit dans toute la Syrie, et on lui amenait tous ceux qui souffraient de maladies et de douleurs de divers genres, des démoniaques, des lunatiques, des paralytiques; et il les guérissait.

            Une grande foule le suivit, de la Galilée, de la Décapole, de Jérusalem, de la Judée, et d’au delà du Jourdain.

            Et puis, au chapitre 2 de Saint Luc, voici ce que nous lisons, à partir du verset 25:

            Et voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui. Il avait été divinement averti par le Saint Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.

            Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi,

            Il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit:

            Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole.

            Car mes yeux ont vu ton salut,

9          Inclinons la tête juste un instant. Dieu Tout-Puissant, nous Te remercions pour cette grande leçon ce soir. Et il est écrit ici dans les Ecritures qu’Il parcourait toute la Judée, la Samarie, le Décapole, et tout le monde connu de l’époque, faisant le bien, guérissant les malades, chassant les démons, libérant les captifs. Nous savons cela donc, que Tu n’as pas changé depuis ce jour-là, que Tu es toujours le même. A l’époque, en répondant à une question, Tu as dit que Tu faisais ce que le Père Te montrait de faire. Dans une prière adressée à Ton Père, Tu as dit que Tu avais terminé l’oeuvre qu’Il T’avait donné de faire. Et puis, le Saint-Esprit doit venir sur les hommes, ils doivent continuer avec l’Evangile jusqu’à la fin de l’âge. Et nous voici, Seigneur, l’âge touche à la fin.

            Nous Te remercions pour cette grande ville, New York, l’apogée et la chute de plusieurs. Nous Te remercions pour l’Amérique, un pays de liberté et une demeure des braves. Nous savons, Seigneur, qu’il a fallu un sacrifice suprême de beaucoup de précieux sang pour que nous soyons libres ce soir d’adorer ici, selon ce que nous dicte notre propre conscience. Que Dieu bénisse notre pays.

10        Nous nous souvenons de nos jeunes gens là-bas en Corée ce soir. Ô Dieu, je crois que si beaucoup de missionnaires y avaient été envoyés, ces choses ne se seraient pas produites. Mais nous avons de l’argent pour des appareils, tout, mais on dirait que quand on en arrive à Ton travail...

            Père, je pense que si l’argent qui est dépensé pour la défense était affecté aux missionnaires dans le champ de travail, il n’y aurait pas eu de guerre. Mais je suppose qu’il doit en être ainsi. Aide-nous donc à faire notre part, Seigneur.

            Et comme ce soir est la dernière soirée de cette série de réunions ici dans notre patrie, ô Dieu, peu importe où je vais, je me rappellerai toujours ces grands et longs pins, ce vieux drapeau sous lequel je suis né, mes aimables amis à travers le pays. Ô Dieu, bénis-les. Aide-les, Seigneur. Puissent-ils, pendant que nous serons partis... Que le grand réveil continue à gagner des milliers d’âmes.

11        Bénis cette grande ville, envoie-leur un réveil, Seigneur. Envoie Tes serviteurs ici, venant de différentes parties des nations où ils prêchent maintenant, et donne à cette grande ville une secousse pour Dieu. Quand Tes serviteurs arriveront, Billy Graham et les autres, Seigneur, déverse Ton Esprit sur eux. Que littéralement des milliers soient sauvés et convertis à Christ.

            Aide-nous, Seigneur, alors que nous préparons la voie, découpant les ronces, repoussant des pierres, enlevant les souches, sur la ligne de front, donne-nous du courage, Seigneur, et des coeurs très forts; resserre l’armure; donne-nous une grande force et la puissance de Ton Esprit.

            Et maintenant, Seigneur, bénis soeur Brown, cette veuve; que Dieu soit avec elle et qu’Il lui vienne en aide. Aide frère Byrd, le pasteur; ces autres églises, des églises qui collaborent partout dans la ville, chaque membre laïc, bénis-les tous ensemble. Père, fais que nous revenions vite, donne-nous une grande victoire en Afrique et à des endroits là-bas, ramène-nous ici pour un autre réveil à l’ancienne mode, accorde-le, Seigneur.

12        Bénis tous ceux qui sont ici ce soir. Bénis ma petite famille alors que je les quitte, Seigneur. Que Ta grâce les soutienne. Que l’Ange de Dieu nous fortifie et nous aide maintenant. Bénis la famille de frère Baxter et celle de frère Bosworth; ils sont en train de partir. Ces autres chers amis, frère Richey, et les autres ici, Seigneur, qui se tiennent près, beaucoup d’autres prédicateurs dans la prière, soutenant nos mains devant Dieu, comme Caleb d’autrefois avec Josué, et ceux qui soutenaient les mains de Moïse. Donne-nous une grande effusion de Tes bénédictions ce soir et manifeste-Toi et confirme que Tu es ici. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

13        Juste parler un moment. Je déteste même prendre ce temps, mais je dois simplement dire un mot ou deux avant de vous quitter. La première fois que j’étais venu à New York, je me disais: «Il y a un groupe de riches aristocrates qui ne recevraient jamais l’Evangile.» Mais j’étais certainement en erreur. Je pense–je pense que certains des gens les plus doux et les plus humbles que j’aie jamais rencontrés, sont ici même à New York. C’est vrai; il y en a beaucoup dans les rues, c’est à peine que vous pouvez rencontrer quelqu’un...

            Ce soir, pendant que nous prenions un petit repas, il y a des gens qui sont entrés; ils ont regardé de ce côté-là, ils ont un peu souri, et je me suis dit: «Ça doit être des chrétiens.» Quelques instants après, ils m’ont serré la main; ils ont dit: «Oui, nous sommes du–du tabernacle, Glad Tidings Tabernacle.»

            Eh bien, voici ce que je–j’ai trouvé; j’ai dit à ma femme une fois dehors, j’ai dit: «Tu peux aller en Finlande, en Suisse, en Allemagne, en France, en Belgique, où tu veux, quand tu trouves des gens nés de l’Esprit, ils sont les mêmes partout dans le monde. Car ils sont tous un en Jésus-Christ, concitoyens du Royaume, co-ouvriers dans ce champ de la moisson. Nous sympathisons les uns avec les autres.»

14        Maintenant, ce soir, j’aimerais parler juste un petit instant sur: L’Expectative. Siméon était un homme; il était vieux; il était loin... Les théologiens nous enseignent qu’il était dans les quatre-vingt et quelques. Mais il avait un vrai coeur, il attendait Dieu. Parfois, l’église en est arrivée au point où il ne restait que très peu des croyants. Mais Dieu a toujours eu un reste parmi les gens quelque part qui croient en Lui. Saviez-vous cela? Considérez le monde antédiluvien. Il y avait juste quelques-uns: Noé, ses fils, ses belles-filles et sa femme. C’étaient tous ceux qui étaient entrés dans l’arche. Est-ce vrai? Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» «Etroite est la porte, resserré le chemin, mais il y en a peu qui le trouveront.»

            Oh! Chrétien, soyez l’un de ce petit nombre; vous avez une invitation, avancez simplement. «Ce qui arriva du temps de Noé.» Considérez les moeurs: «Ils mangeaient, buvaient, se réjouissaient, donnaient en mariage, et ils n’ont pas su cela jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche.» Soyez l’un de ceux qui entrent. Priez pour moi que je sois avec vous. J’aimerais y être; j’aimerais certainement être là; c’est le désir de mon coeur d’entrer en ce jour-là avec vous tous et d’être présent.

15        Souvent, j’ai voulu prendre chacun de vous, sortir, m’asseoir, parler un peu, vous amener dans ma chambre d’hôtel; je souhaiterais pouvoir le faire. Dieu connaît mon coeur. Quand j’étais un petit garçon, j’étais plus ou moins ce qu’on appelle une brebis galeuse de la famille. Je ne buvais pas, les membres de ma famille étaient tous Irlandais...?... Ils boivent, eux tous, fument, jouent à l’argent. Moi, je prends mon fusil et je vais à la chasse. Aucun d’eux ne me comprenait. Et quand j’ai été ordonné dans l’Eglise missionnaire baptiste, ils ont dit: «Un jour, tu deviendras un saint exalté.» Ils ne me comprenaient pas. Je ne pouvais, eh bien, trouver nulle part quelqu’un qui voulait de moi.

            Et finalement, un jour, Dieu m’a placé à côté de quelqu’un qui m’a aimé, et je–je suis content d’être l’un de vous. Je crois que c’est la crème de la moisson sans manquer d’égards envers qui que ce soit d’autre. Juste quelque part où je sens que je conviens comme un gant, donc je... Jamais je n’avais... je ne pouvais trouver un endroit où...?... J’avais toujours été mal compris. Et je me disais: «Certainement, il y aura quelqu’un d’autre.» J’avais toujours voulu avoir des amis. Oh! Je faisais tout pour avoir un ami.

16        Il n’y a pas longtemps, je me rappelle... Evidemment, mon père buvait et tout; nous n’avions pas une très bonne réputation dans la ville. Je descendais en ville, quand j’étais un petit garçon en lambeaux, me tenant là, les cheveux pendant, pratiquement sans habits. Je me rappelle avoir porté un vieux manteau pour aller à l’école tout l’hiver durant, pas de chemise en dessous. Je le boutonnais jusqu’en haut, comme ceci; et je ne pouvais pas enlever cela. Au printemps, la monitrice m’avait demandé si je n’avais pas chaud dans ce manteau-là; j’ai dit: «Non, madame.» Je ne pouvais pas l’enlever; je ne portais pas de chemise. Et je–je n’oublierai jamais cela, comment ces gens, vous savez, on a toujours été considéré comme de pauvres blancs rebus. Je descendais en ville, je me mettais à parler à quelqu’un. Si–s’il n’y avait personne d’autre à qui parler, il me parlait. Et je me disais: «Qu’ai-je fait? Je n’ai rien fait; je n’ai fait du mal à personne.» Si quelqu’un d’autre passait par là, pour lui parler il se détournait, me laissait seul et s’en allait.

17        L’autre jour, j’étais assis sur le porche en train de parler à ma femme, il n’y a pas longtemps. Je disais: «Penses-y, chérie, il y a quelques années, je ne pouvais même pas avoir quelqu’un à qui parler; maintenant, il me faut aller quelque part dans le bois me cacher pour avoir un peu de repos.» Je sais. Qu’était-ce? Ma personnalité? Je n’en ai pas. L’instruction? J’ai l’instruction de l’école primaire, de septième primaire. Qu’était-ce? Le Sang de Jésus-Christ est descendu et m’a ramassé. Et je L’aime de tout mon coeur, d’un amour immortel. C’est par Son mérite, Son amour.

            Et je vois des gens qui m’aiment; vous ne savez simplement pas quel sentiment j’éprouve vis-à-vis de vous. Je peux vous donner un rendez-vous, amis; je pourrais ne pas être en mesure ce soir de tenir cela, mais un glorieux jour, quand tout sera terminé, que nous monterons dans la Gloire... Si vous arrivez là avant moi, un matin, lorsque vous sortirez de votre palais, que le soleil se lèvera à l’horizon, regardez en bas dans une petite cabane, là en bas, quelque part sur le flanc de la colline, vous entendrez quelqu’un se tenant dehors sur la véranda de derrière, en train de chanter: Grâce étonnante, oh! quel doux son!, vous direz: «C’est frère Branham qui est arrivé.» Ça sera moi. Je n’ai jamais été capable de chanter, mais j’ai toujours voulu chanter Grâce étonnante. Je me tiendrai là en train de chanter Grâce étonnante, oh! quel doux son qui sauva un vil comme moi.

18        Nous nous assiérons ensemble là-bas à côté du puits de Jacob; nous n’aurons pas à nous dépêcher, pour avoir des réunions de prière pour les malades; il n’y aura pas de malades là-bas; on sera tous biens portants alors. Nous nous assiérons et nous causerons pendant quelques milliers d’années ensemble, nous parcourrons les rues d’or. Ne sera-ce pas merveilleux? Ce n’est pas un rêve monté de toutes pièces; c’est la Vérité de l’Evangile. Nous verrons... Un ancien cantique baptiste que nous chantions dans le Kentucky, nous chantions:

            Je Le reconnaîtrai, oui, je Le reconnaîtrai,

            Et racheté, je me tiendrai à Ses côtés;

            Je Le reconnaîtrai, je Le reconnaîtrai,

            Par les empreintes des clous dans Ses mains.

            Je Le reconnaîtrai. Ce que nous serons n’a pas encore été manifesté, mais nous aurons un corps semblable au Sien, car nous Le verrons tel qu’Il est. Et tant que je pourrais Le voir et être avec Lui, peu m’importe l’aspect qu’Il aura, tant que c’est Lui, ça sera le Ciel pour moi, où que ce soit. Et je sais que c’est le même sentiment que vous éprouvez. Un reste, que Dieu m’accorde le privilège d’être associé avec vous tous ce soir, un reste qui attend Dieu, comme c’était à l’époque de notre texte.

19        Le Saint-Esprit avait promis à Siméon qu’il ne mourrait pas sans avoir vu le Christ du Seigneur. Il est donc allé çà et là raconter aux gens qu’il ne mourrait pas sans avoir vu le Christ du Seigneur. Pouvez-vous vous imaginer ce que cet homme avait senti? Allant çà et là... C’était un vieux sage, à la barbe blanche et aux cheveux blancs qui retombaient jusqu’en bas. Il allait çà et là dire aux gens: «Eh bien, je ne mourrai pas sans avoir vu le Christ du Seigneur.»

            Eh bien, les gens disaient: «Il se peut que le vieil homme ait un peu perdu la tête.» Mais le Saint-Esprit lui avait fait la promesse. Il croyait qu’il recevrait... qu’il verrait le Christ avant de mourir, car le Saint-Esprit avait appelé. Il avait donc ce désir là dans son coeur, car il avait la promesse.

20        Si vous croyez, tout ce que vous croyez... Si vous êtes venu à la réunion ce soir, rien que pour trouver quelque chose à critiquer, le diable vous le montrera; vous le verrez. Et si vous êtes venu trouver quelque chose au sujet de Dieu, de sorte que vous puissiez vous en aller, béni, Dieu vous le montrera. Tout ce que vous désirez, tout ce que vous êtes: «L’homme est comme les pensées de son âme.» Vous partirez et vous direz: «Eh bien, je–je ne m’attendais pas à être appelé dans la ligne de prière.» Bon. «Je–je ne m’attendais pas à ce que le Saint-Esprit parle et me désigne ici.» Si vous ne vous attendez pas à cela, vous ne recevrez pas cela. Mais, selon votre foi (Voyez?), l’expectative.

            Une fois, ma mère m’avait envoyé quelque part pour rencontrer sa soeur. Je ne l’avais jamais vue. Elle m’a décrit, elle l’a décrite, disant: «Eh bien, elle a un front fuyant.» Elle a dit: «Elle a des cheveux noirs.» Ma mère est une métisse; c’est une Indienne. Et alors, elle a dit: «Elle a un front fuyant. Elle a des cheveux fins.» Elle l’a décrite, disant: «Elle est mince, une petite femme.» Elle a dit: «Tu la reconnaîtras par des traits donnés.»

            Je parcourais l’assistance du regard, j’avais une idée de son aspect, et aussitôt que je l’ai vue, j’ai dit: «Tu es ma tante.»

            Elle a dit: «Qui es-tu?»

            J’ai dit: «Connais-tu Ella Branham?»

            Elle a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «C’est ma mère.»

            Elle a dit: «Ma soeur.» Et nous étions là. Voyez?

21        Eh bien, nous devrions avoir une certaine idée ce soir, de ce à quoi le Saint-Esprit devrait ressembler dans Son opération. Le... Jésus nous a décrit exactement à quoi ressemblera l’Eglise du Dieu vivant. Il a dit: «En Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront des serpents, s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais»: connaître les pensées du coeur, décrire, discerner, et tout. Est-ce vrai?

            Or, si vous vous attendez à Dieu, cela montre qu’il y a quelque part ici quelque chose que vous attendez. Eh bien, David dit dans les Ecritures: «Quand la profondeur appelle la profondeur...» La profondeur appelle la profondeur, en d’autres termes, quand il y a un–un désir ici à l’intérieur, il doit y avoir quelque chose là dehors qui cause... En d’autres... Ici, avant qu’il y ait un désir ici à l’intérieur, il doit y avoir quelque chose qui crée ce désir-là. Voyez? Et s’il y a un Créateur qui crée ce désir-là, de cette création... Comprenez-vous ce que je veux dire?

22        Tenez, avant qu’il y ait une–une nageoire sur le dos d’un poisson... Vous ici, vous avez beaucoup de poissons qui passent par ces baies ici. Regardez, avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson là-bas, il a dû y avoir premièrement une eau où ce poisson nagerait, sinon il n’y aurait pas eu cette nageoire-là. Voyez, Dieu a placé cette nageoire sur lui pour nager dans l’eau, il a donc dû y avoir premièrement de l’eau avant qu’il y ait une nageoire sur son dos.

            Avant qu’il y ait un arbre qui pousse dans la terre, il a dû y avoir premièrement une terre où il devait pousser, sinon il n’y aurait pas eu d’arbre pour pousser. Et s’il y a un désir dans le coeur humain pour davantage de Dieu, il doit y avoir davantage de Dieu quelque part pour répondre à cette profondeur qui appelle la profondeur. Voyez-vous ce que je veux dire?

23        Eh bien, quand la profondeur appelle... Eh bien, combien ici croient dans la guérison divine? Faites-nous voir les mains. Eh bien, c’est merveilleux. Très bien. Maintenant, quelque chose dans votre coeur vous dit qu’il y a la guérison divine en Dieu. Est-ce vrai? Eh bien, maintenant, avant que vous puissiez avoir cela dans votre coeur, il doit y avoir un Créateur pour placer cela dans votre coeur. Voyez? C’est...?...

            Il n’y a pas longtemps, je lisais dans un journal qu’un petit garçon mangeait les pédales d’une bicyclette, il mangeait la gomme d’un crayon. Eh bien, le médecin, quand il a reçu le petit garçon, il a dit... Il l’a consulté, il lui a fait faire cet examen; il a dit: «Vous savez quoi? Le petit garçon n’a pas de calcium dans son corps.» Eh bien, son petit corps est constitué de façon à avoir besoin de calcium; ou je vous demande pardon, pas le calcium, c’est du soufre. C’est le soufre qui est l’un des éléments constitutifs du corps humain. Il a dit: «L’enfant n’a pas de soufre, il y a certains organes à l’intérieur qui doivent avoir du soufre.» Il y a donc quelque chose ici qui réclame du soufre. Voyez? Si cela réclame du soufre, il doit y avoir du soufre quelque part, sinon ceci n’aurait pas éprouvé le désir du soufre. Voyez?

24        Et s’il y a quelque chose dans le corps humain qui a un ardent désir de la guérison divine (Oh! la la!), nous voici partis, la guérison divine existe; il y a une fontaine ouverte quelque part. Il doit y en avoir. Si vous éprouvez un vif désir... Quand vous étiez là-bas, avec juste une expérience tiède, alors votre coeur a commencé à avoir un vif désir pour davantage de Dieu, il devait y avoir une fontaine ouverte quelque part. Est-ce vrai? Et Dieu a envoyé cela. Et comme vous éprouvez un vif désir pour la guérison divine, il doit... il y a un Créateur qui a placé cette création dans votre coeur. Elle réclame, la profondeur appelle la profondeur. Il y a une fontaine quelque part.

            Alors, le Saint-Esprit avait promis à Siméon qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Il y avait un appel dans son coeur. Présentons cela sous forme d’une saynète une minute. Disons qu’on était un lundi matin.

25        Il y avait environ deux millions de Juifs en Palestine à l’époque ou plus, probablement quelques centaines d’enfants naissaient chaque soir. Chaque jour, il y avait des enfants. Huit jours après, on les amenait au temple pour la circoncision, la purification.

            Et quand Il naquit dans une mangeoire en Judée, à Bethléhem de Judée, il n’y avait personne là pour célébrer Sa naissance. Dieu a donc envoyé du Ciel des anges, ils ont chanté des cantiques, comme on chante généralement à la naissance des rois. Des bergers sur des collines, ils sont allés le leur annoncer. Trois mages sont venus en suivant l’étoile, qui était passée par-dessus chaque planétarium, et personne, à part ces mages, ne l’avait vue, et elle les avait conduits vers Christ. On ne connaissait pas grand-chose à ce sujet, il n’y avait pas de presse à l’époque comme nous en avons aujourd’hui, la radio et la télévision. Le message se transmettait juste de bouche à oreille.

26        Eh bien, huit jours après, voyons, la petite Marie, avec une mauvaise réputation, pour commencer, elle était censée avoir eu un Enfant illégitime avec Joseph, né en dehors du lien de mariage. Tout le monde dans la contrée se moquait alors d’elle: «Voilà cette femme qui a eu un Enfant sans avoir été même mariée.» Dans son coeur, elle savait de Qui cet Enfant était. Nous en avions donc parlé cet après-midi.

            La voici venir au temple; regardons, eh bien, peut-être deux cents femmes, ou trois cents se tiennent dans la ligne. Là loin se tiennent certaines d’entre elles avec un agneau; c’est l’offrande d’un homme riche. Mais là loin vers le bas, je vois une petite vierge d’environ dix-huit ans, le visage tout voilé, tenant un petit Enfant emmailloté.

27        C’est quoi, emmailloté? D’après ce que j’ai appris, c’était un morceau d’étoffe retiré du joug d’un veau. Et quand il labourait, on mettait là ce morceau d’étoffe pour empêcher le frottement. On n’avait rien à mettre dans l’Enfant... sur l’Enfant, on a donc retiré cette étoffe et on en a emmailloté l’Enfant. Et Il était là, dans les bras de Sa mère, au temple. Tout le monde se tenait à distance: «Je n’aimerais pas m’approcher d’une telle femme. Ce drôle de petit Enfant, ça doit être sûrement une pauvre Créature, Il n’a même pas d’habits à porter.» Mais c’était le Prince de gloire.

            Elle tenait deux petites tourterelles en main, l’offrande des paysans. Personne ne faisait cas d’elle. Regardons là loin au temple... Je vois un vieil homme assis là en train de lire le rouleau, les larmes lui coulant sur les joues, disant: «Seigneur, Tu m’as promis que je ne mourrais pas avant d’avoir vu Ton Christ. Maintenant, je pense que Tu le feras un jour; je deviens terriblement vieux, mais Tu me le montreras un jour.»

28        A ce moment-là, le Saint-Esprit est descendu sur lui, Il a dit: «Lève-toi, Siméon, mets-toi en marche.»

            «Où, Seigneur?»

            «Avance simplement.» Peut-être qu’Il vous parle ce soir, c’est votre tour d’être guéri.

            «Lève-toi, mets-toi en marche.»

            «Où?»

            «Je ne sais pas, lève-toi.» Très bien.

            Le voici traverser là, conduit par le Saint-Esprit. Il s’avance vers cette ligne-là. Il parcourt cette ligne sous la conduite du Saint-Esprit, il va droit là où se tenait cette femme, dans la honte, la tête inclinée, regardant son petit Enfant, alors que les larmes tombaient sur Son visage; Il était emmailloté dans Ses petites langes. Ce vieux sacrificateur étendit ses bras là, sans mot dire, il prit l’Enfant dans ses bras, leva les yeux, les larmes lui coulant sur la barbe, il dit: «Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix, selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Là loin où fourmillaient un demi-million de gens, au temple, il y avait une vieille prophétesse assise là, du nom d’Anne. Nous avons appris qu’elle était aveugle, mais elle attendait la consolation d’Israël. Le Saint-Esprit lui avait parlé. Elle se lève donc, aveugle; elle parcourt le temple, traversant le temple, conduite par le Saint-Esprit, elle est allée droit devant l’Enfant, elle a levé les mains et a béni Dieu.

29        Qu’est-ce? Ce même Dieu qui avait agi sur eux... Si vous croyez dans la guérison divine ce soir et que vous croyez qu’il y a une Fontaine ouverte quelque part, le même Saint-Esprit qui était sur Siméon, qui était sur Anne, vous a fait entrer au temple ce soir, là où il y a une Fontaine ouverte, gratuite pour la guérison ce soir. Attendez-vous à cela. Dieu vous a donné la promesse, que vous pouvez être guéri par Sa puissance. Il est ici pour faire cela ce soir. Croyez-vous cela?

            Oh! ce que j’ai vu, ça émerveillait dans les réunions, oh! les conduites de l’Esprit! Il y a une femme assise ici présentement; je souhaiterais lui parler. J’étais à Fort Wayne, dans l’Indiana. Un grand réveil était en cours là chez B.E. Rediger et Paul Rader, beaucoup de ces vaillants hommes. Frère Bosworth était assis là, il était à la réunion, il prêchait. Je restais à l’hôtel Indiana, et les gens avaient découvert que je restais à l’hôtel Indiana. Alors, le huissier est venu, le garçon d’hôtel est venu me parler, disant: «Frère Branham, vous ne pouvez même pas descendre, il y a trop de gens là.»

30        Ils m’ont donc fait sortir. C’était là que cet homme qui souffrait de sclérose en plaques avait été guéri. On a envoyé un message à ce roi George d’Angleterre pour que j’aille, ce roi George d’Angleterre a envoyé un message pour que j’aille prier pour lui pour sa sclérose en plaques, Dieu l’en a guéri. Cet homme avait été alité, malade pendant dix ans, paralysé depuis la taille jusqu’en bas. Il était assis là, il ne pouvait même pas entrer dans la ligne en se tordant. Et un homme d’affaires, ce soir-là, la dernière soirée de la réunion (Frère Bosworth, assis ici, en est témoin), l’a relevé.

            Combien lisent We The People? [Nous le peuple]? Vous avez vu cet article dans We the people, ce célèbre livre qui parcourt le monde. Mes réunions y étaient publiées, au sujet de la jeune fille aveugle et tout, dans cette réunion de Fort Wayne, qui était... Combien reçoivent le Pentecostal Evangel [L’Evangile de la Pentecôte]? Cela y avait été aussi publié, et partout. Vous avez sans doute vu l’article; il a été publié dans ce très célèbre livre We The People de cette année.

31        Et puis, alors que nous montions à l’estrade, eh bien, cet homme, un homme d’affaires l’a relevé; il n’avait pas marché pendant dix ans, il était alité à cause de la sclérose en plaques. On a essayé de l’étendre là; les gens lui marchaient dessus. Nous avons juste eu ce que nous appelions une ligne rapide. Et cet homme, on l’a retiré de l’estrade; et il était pratiquement mort. Et il était assis dans son fauteuil roulant une fois de plus; il a levé le regard comme cela. Et je me suis retourné, j’ai senti l’attraction de la foi, j’ai regardé vers le bas et il était assis là. Il a dit: «Oh! Frère Branham, a-t-il dit, si seulement je pouvais toucher la jambe de votre pantalon, je serais guéri.» Il cherchait à toucher la jambe de mon pantalon pour être guéri. J’ai dit: «Que Dieu vous bénisse, frère.» Je l’ai encore regardé; je l’ai vu en vision s’en aller en marchant. Je savais que cela devait donc se produire. J’ai dit: «Frère, ça fait dix ans que vous êtes alité, malade.»

            «C’est vrai, monsieur.»

            J’ai dit: «Mais Jésus-Christ vous guérit.»

            Il s’est levé de ce fauteuil roulant, comme cela, et il s’en est allé.

32        Un vieil homme était couché là-bas, il a dit: «Si seulement je pouvais toucher vos habits, mon frère, je serai guéri.» Il était paralysé, il souffrait de l’arthrite. Et je suis descendu vers lui; il a mis sa vieille main estropiée sur moi, il a dit: «Merci, Seigneur. Merci, Seigneur, c’est ce que je voulais faire.» Voyez, son attente. Quoi? Qu’il vous soit fait selon votre foi.

            J’ai reçu une lettre de leur part environ six mois plus tard, l’homme qui souffrait de la sclérose en plaques conduisait sur la route, et l’homme qui était paralysé, ou qui souffrait de l’arthrite, était là dans le champ labourant sur un tracteur. Et l’un a vu l’autre, c’étaient des copains, ils étaient assis tout au long de la réunion, et se parlaient. C’était la dernière soirée. Et là, cet homme qui était estropié pendant des années à cause de l’arthrite, recroquevillé, malade au lit, a vu l’autre descendre la rue, celui qui souffrait de la sclérose en plaques, et cet homme a sauté du véhicule et il a couru dans le champ. Et cet autre, l’autre homme a sauté du tracteur, ils ont couru, ils se sont saisis, ils se sont mis à s’étreindre, criant et poussant des cris là dans le champ: «Grâce étonnante, oh! quel doux son, qui sauva un vil comme moi!» Oui, là-bas.

33        Je me rappelle un matin, je sortais, ma femme et moi, madame Morgan, une infirmière de chez les Mayo, qui avait été guérie d’un cancer. On l’avait abandonnée avec cela et tout, le cancer s’était propagé partout. Elle pesait une quarantaine de livres [18 kg], son état était de loin pire que celle de mademoiselle, cette dame que je vous ai montrée, mademoiselle Florence Nightingale d’Angleterre, de l’Afrique du Sud plutôt; de loin pire qu’elle. Et on disait que rien ne pouvait être fait. Elle pèse cent cinquante-cinq livres [70 kg] aujourd’hui, elle jouit d’une parfaite santé.

            Elle était avec nous, et nous descendions la rue; nous sommes passés par le–le sous-sol, et nous sommes sortis, nous descendions la rue. Et j’avais relevé mon manteau; je portais la petite Becky, placée dans mes bras. Nous descendions la rue. Et tout d’un coup, le Saint-Esprit a dit: «Ne va pas chez Toddle House», là où ce grand monsieur Eaton du Canada avait été guéri, là, dans cette petite Toddle House. Il a dit: «Descends par ici pour le petit-déjeuner.»

34        Je me suis retourné dans cette direction-là, sans savoir où j’allais. J’ai continué à marcher; les femmes me suivaient. J’avais entendu Sa Voix; j’ai regardé, et j’étais devant un restaurant où il était mentionné: «Miller’s Cafeteria. Il a dit: «Entres-y.» Et je suis entré. J’ai commandé des prunes et une tasse de café. Je me suis assis. Je venais de demander la bénédiction et, à ce moment-là, quelqu’un a dit: «Gloire à Dieu!»

            Mademoiselle Morgan a dit: «Eh bien, on vous a eu, n’est-ce pas?»

            J’ai dit: «Mais attendez un instant.»

            Et elle remerciait Dieu, une vieille mère s’est levée et a dit: «Frère Branham, a-t-elle dit, mon frère ici... j’ai suivi réunion après réunion, réunion après réunion, cherchant à entrer, je n’y arrivais pas.» Elle a dit: «Et, hier soir, j’ai prié toute la nuit, a-t-elle dit, nous avons même vendu notre vache.» (Ils venaient de Texas.) Elle a dit: «Nous avons vendu notre vache pour avoir de l’argent et venir ici, et la dernière réunion se termine ce soir.» Elle a dit: «Nous ne pouvons pas avoir une carte de prière.» Elle a dit: «Nous avons eu plusieurs cartes, mais nous n’avons pas pu être appelés.» Elle a dit: «Nous savons que nous n’avons pas d’autres ressources, pas du tout, que nous pouvons vendre pour suivre une autre réunion.» Elle a dit: «J’ai prié toute la nuit durant, et vers quatre heures ce matin, je me suis endormie.» Elle a dit: «J’ai vu en songe que je devais venir à la Miller’s Cafeteria, et que je devais me rassurer d’être ici à neuf heures, et il est neuf heures pile.» 

35        Oh! combien Il est merveilleux! Dieu a guéri cet homme là même. Je suis rentré sans avoir mangé, je sortais, le Saint-Esprit conduisait, je suis allé à la porte, une petite dame, une jeune dame bien habillée, habillée en noire, est tombée pratiquement dans la rue, elle a dit: «Ça par exemple!» Elle venait de Chicago; elle est dans cette réunion ici ce soir quelque part; elle était ici hier. Dieu lui avait parlé, sachant que sa vie était en danger, en fin de compte, Il a dit: «Va, tiens-toi devant la Miller’s Cafeteria à neuf heures dix.»

            Je me demande si la dame est ici quelque part maintenant; elle et son mari ont une fabrique de spaghetti à Chicago. Si vous êtes ici, levez la main ou faites signe de la main, l’une ou l’autre chose. On m’a envoyé un mot qu’elle était ici. La voilà, là même. Rendons gloire à Dieu. Là même. Un cancer malin, fort avancé. Je pense que les Mayo et tous les autres l’avaient abandonnée, et la voilà ce soir après deux ans. Grâce étonnante. Voyez, elle était conduite par le Saint-Esprit, elle est en parfaite santé. Je pense qu’elle vient de rentrer de l’Amérique du Sud, elle était dans une réunion ici il n’y a pas longtemps, donnant un témoignage. Très bien.

36        Après l’avoir quittée, je me suis mis à descendre la rue. Le Saint-Esprit a dit: «Ne bouge pas.» Madame Morgan et Meda ont dit: «Allons-y», ma femme. J’ai dit: «Traversez la rue, allez dans le drugstore, et achetez un livre à colorier pour l’enfant. Montez en passant par le sous-sol, la place est archicomble.» J’ai dit: «Le Saint-Esprit n’a pas encore terminé.» Je me tenais là dans le coin; je suis rentré. J’aime les fusils, les articles de pêche et autres. Je regardais cela et j’observais, personne ne me voyait; je me suis glissé furtivement dans un coin; j’ai dit: «Père céleste, que veux-Tu que je fasse?»

            Il a dit: «Descends au coin, traverse la rue, et tiens-toi là un petit instant.»

            Je suis allé, j’ai traversé la rue, et je me suis tenu là. Ceci arrive tout le temps. Je me suis tenu là au coin un petit moment; je ne savais pas ce qui allait se passer. Je me suis tenu là environ dix minutes et les gens continuaient à aller et venir, aller et venir. Peu après, un gros policier Irlandais a fait retentir le sifflet et d’autres piétons ont traversé. Alors, j’ai regardé, une dame venait, coiffée d’un petit béret écossais et en tailleur à carreaux, tenant un–un sac à main sur son bras. Elle a traversé la rue. Moi... Elle est passée juste à côté de moi comme cela, elle a continué. Il avait dit: «Approche-toi d’elle.» Et c’est ce que j’ai fait. Il est passé comme cela, et je me suis dit: «C’est étrange. Pourquoi a-t-Il voulu que je m’approche d’elle?» Et je me suis tenu là un petit moment; elle s’est retournée et a dit: «Oh! a-t-elle dit, Frère Branham.»

            J’ai dit: «Oui, madame.»

            Elle a dit: «Oh! J’ai failli m’évanouir.»

            J’ai dit: «Qu’y a-t-il, soeur?»

            Elle a dit: «Je viens du Canada.» Elle a dit: «Je reçois juste une allocation de cent cinquante dollars par an par ici, j’ai dépensé tout mon argent.» Elle a dit: «J’avais cinq cents pour le café; j’ai dormi dans le couloir de l’hôtel hier soir dans un fauteuil, là où on m’a laissée dormir.» Et elle a dit: «J’avais cinq cents pour le café ce matin, je descendais pour faire l’autostop afin de retourner au Canada. J’étais à environ deux ou trois pâtés de maisons ici en bas, en train de pleurer, disant: ‘Il me faudra rentrer telle que j’étais venue.’ Il a dit: ‘Tourne à ta droite.’ Puis, elle a dit: «Je suis entrée dans l’Esprit, je ne savais pas où j’étais jusqu’à ce que je vous ai vu vous tenir ici.» Elle a dit: «Je ne sais combien de tours j’ai effectués.»

            J’ai dit: «Qu’y a-t-il, soeur?»

            Elle a dit: «Mon bras est infirme. Je conduisais un chien quand j’étais une petite fille et je m’étais fracturée la main.»

            J’ai dit: «Tendez votre main, Jésus-Christ vous a guérie.» Ce gros policier-là a dit: «Je sais qui vous êtes: Frère Branham.» Comme cela. Et vous parlez d’une ligne de prière, nous en avons formée une là-bas dans la rue pendant environ une heure donc, jusqu’à ce qu’on ait dû venir me prendre. Beaucoup, beaucoup de choses, et comment... l’une des choses, encore une chose juste un instant. Tard... Il me reste encore cinq minutes.

37        Regardez, vite maintenant, je revenais de Dallas. Frère Bosworth se souvient des choses là-bas. Je rentrais à la maison, par avion. Une tempête a éclaté, et j’ai atterri à Memphis. On m’a dit, la compagnie aérienne a dit: «Nous vous appellerons le matin.» Je suis allé à l’hôtel Peabody. On est resté toute la nuit là-bas. Le lendemain matin, on m’a appelé tôt, on a dit: «Maintenant, soyez prêt à huit heures.»

            J’ai dit: «C’est en ordre.» J’avais quelques courriers, j’avais des courriers à expédier. Alors je suis sorti, et je priais. Je descendais à la poste en courant pour placer les courriers dans la boîte. Ecoutez attentivement ceci maintenant, comment le Saint-Esprit conduit. Je descendais à la poste, descendant la rue, je descendais en chantant ce petit cantique que vous les pentecôtistes, vous chantez: «Il raconte maintenant partout que Sa puissance est juste la même.» Avez-vous déjà entendu cela? «Je suis content de pouvoir dire que je suis l’un d’entre eux.» Je descendais en chantant: «Je suis l’un d’entre eux, je suis l’un d’entre eux. Je suis content de pouvoir dire que je suis l’un d’entre eux.» Je descendais comme cela. Je traversais la rue, et le Saint-Esprit a dit: «Arrête-toi.»

38        J’ai senti l’approche de l’Ange du Seigneur, et je suis revenu parmi ces quelques grandes colonnes là-bas et j’ai dit: «Père céleste, que veux-Tu que Ton serviteur fasse?»

            Il a dit: «Fais demi-tour et rentre. Continue simplement à aller.» J’ai fait demi-tour, je suis retourné dans la rue. Je continuais à marcher, je continuais, je continuais, une distance, voyez, d’environ trois ou quatre miles [4,8 km ou 6,4 km]. Il était huit heures, neuf heures. Oh! la la! Je savais que j’étais... l’avion était parti, mais je continuais simplement à marcher. Peu après, j’étais dans le quartier des gens de couleur. J’ai regardé là, il y avait une drôle de petite maison peinte en blanc, à la chaux, là-bas, avec des roses en floraison autour de la porte. J’ai regardé, il y avait un vrai type de tante Jemima, appuyée sur le portail, elle était appuyée là. Elle avait une chemise d’homme nouée autour de la tête, comme ceci. Elle était appuyée contre le portail, comme ceci, et (Oh!) je l’ai vue, oh! à cent yards [91 m]. Et je chantais «Crois seulement, crois seulement, tout est possible, crois seulement», en descendant. J’ai arrêté de chanter, je commençais à passer, j’ai regardé là, elle a dit: «Salut, parson.»

            J’ai dit: «Salut, tantine.»

            Et là dans le Sud, on appelle un prédicateur parson; alors, j’ai dit, j’ai dit: «Salut, tantine.» Et j’ai regardé: Les larmes lui coulaient sur ses très grosses joues. Elle m’a regardé; j’ai dit: «Dites donc, comment avez-vous su que j’étais un parson?»

            Elle a dit: «Je savais que vous veniez.»

39        J’ai dit: «Eh bien, comment avez-vous su que j’étais un parson?»

            Elle a dit: «Avez-vous déjà lu sur la femme sunamite dans la Bible, qui avait un enfant?»

            J’ai dit: «Oui.»

            Elle a dit: «Bon, j’étais ce genre de femmes.» Elle a dit: «Je–j’étais stérile, et j’avais promis au Seigneur que s’Il me donnait un enfant, je l’élèverais pour Lui. Mais, a-t-elle dit, j’ai fait de tout mon mieux.» Elle a dit ensuite, elle a dit: «Tout d’un coup, vous savez, mon jeune garçon a pris une mauvaise voie.» Elle a dit: «Il a contracté une horrible maladie, et il est étendu là, mourant.» Elle a dit: «Les médecins ne peuvent rien faire pour lui; il est maintenant inconscient, ça fait deux jours. Les médecins lui ont donné toutes sortes de piqûres et rien ne peut arrêter cela.» Elle a dit: «Cela est entré dans la moelle de l’os et, a-t-elle dit, rien ne l’en évacue.» Elle a dit: «Il est inconscient, ça fait deux jours mais, a-t-elle dit, lui, un rétrograde.» Elle a dit: «Oh! a-t-elle dit, j’ai prié toute la journée, et toute la nuit: ‘Seigneur, s’Il te plaît, envoie quelqu’un.’» Et elle a dit: «Ce matin, vers quatre heures, le Seigneur m’a dit de sortir et que je verrais un homme en costume brun. Un petit homme aux cheveux noirs qui descendrait la rue, et ça serait un parson.» Et elle a dit: «Je me tiens ici depuis ce temps-là. J’ai vu ce costume brun tourner ce coin-là, a-t-elle dit, j’ai su que c’était le parson.»

40        Oh! Alléluia! De quoi suis-je en train de parler? Le même Saint-Esprit qui avait conduit Siméon, c’est le même Saint-Esprit qui conduit l’Eglise aujourd’hui. Voyez? J’ai dit: «Tantine, je m’appelle Branham. Avez-vous déjà entendu parler de moi?»

            Elle a dit: «Non, non, parson Branham, je n’ai jamais entendu parler de vous.» Elle a dit: «Voulez-vous entrer voir mon garçon?» Elle a dit: «Je n’aimerais pas qu’il meure un rétrograde, a-t-elle dit, j’aimerais qu’il soit sauvé, parson.»

            Et j’ai dit: «Oui, madame.» J’ai dit: «Tantine, je prie pour les malades, avez-vous déjà entendu parler de mes réunions?»

            Elle a dit: «Non, non, parson Branham.» Elle a dit: «Tout ce que je sais, c’est que le Seigneur m’a décrit que vous seriez un petit homme aux cheveux noirs et que vous porteriez un costume brun, que vous descendriez par ce chemin.»

            Oh! Ce même Saint-Esprit qui avait vécu à l’époque de Siméon est le même Saint-Esprit aujourd’hui. Il est prêt à venir quand la profondeur appelle la profondeur.

41        Alors, amis, ce matin-là... J’ai été aux palais des rois; j’ai été dans des maisons des aristocrates, là, qui valent vingt-huit millions de dollars ou plus. J’ai été chez les plus pauvres. Mais je n’avais jamais eu un accueil comme celui que j’avais eu dans cette petite vieille cabane peinte à la chaux ce matin-là, alors que le soleil se levait au-dessus de la colline là-bas, séchant le doux parfum de roses en floraison. Une vieille chaîne était accrochée au portail, un soc de la charrue suspendu là à son bout pour faire contre poids.

            Je suis entré dans cette vieille petite maison, il y avait là un petit lit métallique en cuivre, un petit lit en fer placé dans un coin, avec une paillasse dessus servant de matelas; et au-dessus de la porte, il était mentionné: «Que Dieu bénisse notre maison.» Un vieux baquet à lessive était placé là dans la cuisine, mais c’était un foyer.

            J’ai regardé: Là, sur le lit, était étendu un grand gaillard de couleur, fort, tenant des couvertures en main et faisant: «Hmm, Hmm, Hmm, il fait si sombre. Hmm.»

            J’ai dit: «Qu’y a-t-il, tantine?»

            Elle a dit: «Parson, il pense être dehors sur une...?... mer, a-t-elle dit, il est perdu ces deux derniers jours.» Elle a dit: «Il est perdu et il pense que c’est...»

            Il a dit: «Il fait si froid ici, hmm.»

            J’ai dit: «Tantine, prions donc.»

            Elle s’est agenouillée, et cette vieille sainte a offert une prière. Frère, je vous assure, je me suis agenouillé aux pieds du lit et des larmes tombaient simplement par terre. Elle s’est relevée, elle a pris son vieux tablier et s’est essuyé les yeux. Elle a dit: «Seigneur, ne le laisse pas mourir, Seigneur, jusqu’à ce que j’entende mon petit garçon dire à sa maman qu’il est sauvé.»

42        J’ai touché ses pieds: ils étaient froids, moites; la mort était sur le jeune homme, il avait contracté la syphilis, ça s’était répandu en lui, pas moyen. On lui avait administré le Salvarsan, le 606, le mercure, et tout le reste, la pénicilline. Rien n’avait pu arrêter cela; cela avait continué. Il avait eu de mauvaises fréquentations.

            Je me suis alors agenouillé, j’ai dit: «Tantine, prions.» Je me suis mis à genoux pour prier; et j’ai dit: «Père céleste, l’heure pour cet avion-là est maintenant passée, ou plus.» J’ai dit: «Mais Tu m’as dit de faire demi-tour et de venir de ce côté-ci, et Tu as dit: ‘Ceux qui sont enfants de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu.’ Je ne sais pas, Père, pourquoi Tu m’as envoyé par ici. Cela se fera connaître un autre jour. Mais de toute façon, je crois que c’est ici le lieu où Tu m’as conduit, comme ça se présente. Tu m’as montré à cette femme, elle m’a vu en train de venir, et Tu m’as fait venir par ici.» J’ai dit: «Tout ce que je sais, Seigneur, j’impose les mains à cet homme mourant au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ. Je T’en supplie, épargne sa vie.» Dès que j’ai dit cela, il a crié: «Oh! Maman, a-t-il dit, il fait clair dans la pièce maintenant.»

43        Quelques minutes après, il était assis sur le bord du lit, nous parlant, dans son bon sens. Environ six mois plus tard, je passais à bord du train, j’allais en Arizona à bord du train. Je passais... J’étais descendu à Memphis, j’allais m’acheter quelque chose à manger là-bas. La petite gare, si quelqu’un parmi vous était... a été là, vous savez comment le train se dirige tout droit et la gare est de l’autre côté devant. Et j’ai entendu quelqu’un crier: «Oh! Parson Branham.»

            Et j’ai regardé, il venait là; c’était l’un des porteurs là-bas. Il est venu en courant, il m’a saisi par la main, sautillant çà et là, et il a dit: «Parson Branham, vous souvenez-vous de moi?»

            J’ai dit: «Je ne pense pas.»

            Il a dit: «Un matin, le Saint-Esprit vous avait conduit à la cabane de ma maman, a-t-il dit, là où j’étais mourant.» Il a dit: «Parson Branham, je suis non seulement guéri, mais je suis sauvé maintenant. Je suis chrétien, parson Branham.»

44        Alléluia! Je dis que le Dieu qui avait vécu à l’époque est le même Dieu aujourd’hui. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Soyez dans l’attente. Cette maman-là s’attendait à ce que son jeune garçon... s’attendait à ce que Dieu fasse quelque chose. Je m’attends à ce que Dieu fasse quelque chose ce soir. Vous attendez-vous à cela? Je m’attends à ce que la gloire de Dieu descende. Je m’attends à ce qu’il y ait une telle explosion de foi ici qui introduira littéralement des milliers de ces gens dans une sphère, où ils pourront toucher le bord de Son vêtement et se rétablir.

            Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir pour le grand prix. Ô Dieu, combien nous L’aimons! Alors que nous étions des pécheurs, Il est mort à notre place; Il a pris notre place au Calvaire, Lui qui ne connaissait pas de péché, Il a cependant été rendu coupable de tout péché. Son âme est allée au séjour des morts, Tu n’as pas souffert que Ton Saint voie la corruption. Le troisième jour, Il est ressuscité. Et ce soir, comme c’était sur le chemin d’Emmaüs, Il est avec nous, ressuscité, se tenant ici parmi nous maintenant, le Fils de Dieu, se tenant parmi nous, prouvant par des signes et des prodiges qu’Il est ici, entrant dans les coeurs des saints par le Saint-Esprit, prenant les Paroles de Dieu et Les envoyant là dans cette assistance.

45        Ô Dieu, exauce la prière de Ton serviteur, et comme ceci est la fin de nos réunions dans cette tournée pour ce beau et magnifique, Dieu sauve l’Amérique. Ô Dieu, envoie les anges de Dieu ce soir, et qu’il y ait une effusion du Saint-Esprit telle que littéralement chaque personne dans la salle sera guérie. Accorde-le, Seigneur. Je T’en supplie, exauce ma prière, ô Dieu, alors que j’essaie de Te servir, implorant avec tout ce que j’ai. Ô Dieu, pendant que nous essayons de faire quelque chose pour Toi, aide-moi, Bien-Aimé Jésus, à être Ton serviteur. Et que plusieurs, plusieurs, plusieurs qui sont dans cette salle ce soir, tous ceux qui sont malades et affligés, soient complètement guéris.

            Et Seigneur, combien nous en serons contents! Et nous Te rendrons toute la louange, toute la gloire. Nous savons que Tu es ici pour guérir, pour répondre. Tu es un Tendre Père, un intermédiaire entre la maladie et la mort. Oh! Que Tu es magnifique! Grâce étonnante, comme Tu nous as sauvés par Ta grâce, Tu nous as guéris par Tes meurtrissures, Tu nous as rendus complètement des vainqueurs de toutes choses par le Bien-Aimé Fils de Dieu. Maintenant, accorde une grande effusion ce soir, au Nom de Ton Fils Jésus. Amen.

46        Gloire à Dieu! Quelqu’un a été guéri maintenant là derrière. Amen! C’est bien merveilleux. Comment pouvez-vous rester tranquille? Très bien. Maintenant, soyons à mesure de... Combien aiment le Seigneur? Dites amen. Combien croient qu’ils vont être guéris ce soir? Faites-nous voir les mains. Très bien. Que... Où est Billy? Billy, quelle–quelle lettre est-ce? Très bien. Billy dit qu’ils ont distribué toutes les cartes qu’il avait laissées, des centaines... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Crois seulement. Allons-y maintenant, allons-y, très bien:

            Crois seulement, crois seulement,

            Tout est possible, crois seulement;

            Crois seulement, crois seulement

            Tout est possible, crois seulement.

            Chantons cela comme ceci:

            Seigneur, je crois, Seigneur, je crois,

            Tout est possible, Seigneur, je crois;

            Seigneur, je crois (C’est vrai.), Seigneur, je crois,

            Tout est possible, Seigneur, je crois.

            Changeons cela comme ceci et chantons. Maintenant je crois... Maintenant, maintenant même. Combien croient maintenant même? Très bien. Maintenant, chantons cela très fort maintenant, faisons retentir les chevrons. Allons-y.

            Maintenant je crois, maintenant je crois,

            Tout est possible, maintenant je crois;

            Maintenant je crois, maintenant je crois,

            Tout est possible, maintenant je crois;

            Maintenant que nous... Doucement, fredonnons cela. [Frère Branham se met à fredonner.–N.D.E.]

47        Un matin, un modeste Galiléen descend d’une montagne, là où Son Père avait dit: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui J’ai mis toute Mon affection.» Je vois un papa monter avec son enfant qui souffrait de l’épilepsie; il a dit: «Je l’ai amené à Tes disciples; ils n’ont pu lui faire aucun bien.» Il a dit: «Seigneur, peux-Tu m’aider?»Il a dit: «Je le peux, si tu crois. Car tout est possible à ceux qui croient.» Il a dit: «Seigneur, je crois; viens au secours de mon incrédulité.»

            Ce même Jésus est ici ce soir parmi nous tous. Soyons tous en prière, tout le monde maintenant, nous attendant à Le rencontrer.

48        Maintenant, un à un, alors que vous vous mettez en ligne maintenant, veuillez être tout aussi respectueux. Je vais vous demander de faire pour moi quelque chose ce soir. Je vous ai parlé, et j’aimerais que vous fassiez ceci pour moi, s’il vous plaît. Ne vous déplacez pas, s’il vous plaît, s’il vous plaît; restez tout aussi respectueux que possible pendant que la ligne continue, car cela me désarçonne ici. Et le diable veut simplement une seule chose de travers. Il ne cherchera pas toutes les bonnes choses; il cherchera cette seule mauvaise chose. Voyez? Et maintenant, soyez vraiment respectueux, et Dieu parlera et témoignera que je vous ai dit la vérité.

            Maintenant, souvenez-vous de ceci: Je ne prétends pas être un guérisseur divin. Je soutiens simplement un don prophétique, avec lequel je suis né dans ce monde avec, il détecte, il connaît, il voit, juste tel que le Père me montre. Et je soutiens que c’est la même Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël dans le désert vers la promesse. Etait-ce une Colonne de Feu? Eh bien, quand le Saint-Esprit, cet Ange de Dieu, a permis que Sa photo soit prise, c’est exactement ce que C’était, une Colonne de Feu, la même Chose.

49        Et je sais, et n’importe quel érudit sait, que cet Ange était l’Ange de l’alliance (Est-ce vrai?), C’était Christ. C’est vrai. Il avait rencontré Moïse dans le buisson ardent; C’était la Colonne de Feu. Ce n’était pas Moïse qui accomplissait les oeuvres, mais c’était cette Colonne de Feu qui le conduisait; c’était Elle qui accomplissait les oeuvres. Et je crois que c’est le même Esprit qui était sur Christ qui est ici aujourd’hui. Il ne peut pas guérir, seulement Il a déjà accompli la guérison, Il a déjà accompli la guérison. Maintenant, mes amis, vérifiez maintenant vos cartes les uns les autres, il peut y avoir des sourds; j’ai appelé de 1 à 20 pour commencer. S’ils sont... Huissiers, tous vos clients sont-ils là? Sont-ils tous là, tout...? C’est merveilleux. Très bien. Faites venir votre patient.

50        Eh bien, s’il vous plaît, s’il vous plaît, amis, c’est la dernière soirée, et on est dimanche soir. Et nous avons juste un peu de temps maintenant. Et peut-être que j’ai beaucoup par ici; cela peut isoler certaines personnes qui sont en train de prier. Mais que chacun de vous reste assis, ceux qui sont–qui sont dans leur siège donc. Et soyez tout aussi respectueux, regardez de ce côté-ci et priez. Partout dans la salle, partout, jusque là au fond, là sur les côtés, en haut, de ce côté-ci, partout où vous êtes, maintenant, soyez vraiment sincère ce soir, et voyez si Dieu ne parle pas et ne confirme pas votre foi. Très bien.

            Et je crois que le–l’un des organisateurs ici, dans la salle m’a dit qu’on a arrangé ce microphone. Entendez-vous très bien là tout au fond? Là tout au fond? Veuillez lever les mains, si vous entendez très bien. C’est magnifique.

51        Bonsoir, monsieur. Je pense que nous sommes inconnus, monsieur. Je ne vous connais pas. Eh bien, je fais ceci juste pour–pour établir un contact avec votre esprit humain. Voyez? Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Croyez-vous? Maintenant, il y a quelque chose qui cloche chez vous. Et maintenant, si moi, par l’Esprit de Dieu, je peux voir tout ce qui cloche chez vous, je pourrais être en mesure d’avoir un moyen surnaturel d’analyser cela (Est-ce vrai?), sinon je ne saurais rien à ce sujet.

            Je... L’aimez-vous? N’est-Il pas merveilleux? Certainement qu’Il... Vous êtes juste un peu nerveux maintenant. Voyez? En effet, vous êtes bien sous tension du fait d’être là-bas. Mais il n’y a rien de nuisible. Tout cela, c’est pour faire donc du bien; tout cela, c’est pour vous aider. C’est la raison de ma présence ici ce soir. Si je ne croyais pas que Dieu m’avait envoyé faire quelque chose pour aider ces pauvres malades, je ne serais certainement pas ici comme un séducteur. Si je ne pensais pas et n’étais pas sûr que Dieu m’avait envoyé pour aider les gens, je ne–je n’irais certainement pas en Afrique, je retournerais chez moi auprès de ma famille. Le matin, je reprendrais mon travail et j’irais travailler là-bas pour le service de la conservation de la nature. Mais je–je ne pourrais pas être un séducteur. Mais je crois et je sais que Dieu m’a envoyé pour aider les gens. Et c’est pourquoi je suis ici ce soir, c’est que je crois que si–que si Dieu peut faire quelque chose par moi pour augmenter votre foi au point d’accepter le Fils de Dieu comme votre Guérisseur, alors vous serez guéri. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Vous le croyez. Oui, oui.

52        Eh bien, oui, oui. Je vois que vous–vous souffrez d’une maladie horrible; ça s’appelle le cancer. Est-ce vrai? C’est un cancer. Ce cancer se localise sous la langue; je pense que c’est dans la bouche. N’est-ce pas vrai? Vous êtes horriblement nerveux, et je vois que c’est la prostatite qui en est la cause. Cela a eu lieu il y a quelque temps, vous avez été un peu dérangé. Vous n’avez jamais été en mesure de mener votre vie, évidemment, vous avez des yeux en mauvais état, quelque chose cloche dans vos yeux. Votre ouïe n’est pas saine. Dernièrement, vous vous êtes senti horriblement abattu et épuisé, vous vous êtes affaibli. N’est-ce pas vrai? Etait-ce vrai? Eh bien, si c’est vrai, afin que l’assistance voie cela, levez cette main si c’était vrai, chaque parole de cela. Très bien.

            Acceptez-vous maintenant Jésus comme votre Guérisseur? Je vous impose les mains et, selon Sa Parole qui dit: «Les malades seront guéris», vous aurez votre guérison, mon frère. Rentrez chez vous en vous réjouissant et soyez heureux et rétabli. Au Nom de Jésus-Christ. Dites: «Gloire au Seigneur!» Disons: «Gloire à Dieu!»

53        Oh! Ceci est si merveilleux. Souvent cela vous affaiblit beaucoup. Hier soir, ils ont passé un petit moment avec moi. Mais je me rends compte que je ne peux pas rester plusieurs années comme ceci, ami. Cela vous consume la vie. Beaucoup parmi vous peuvent ne pas comprendre pourquoi parfois on doit me retirer de cette estrade. Là, c’est un cas de ce démon qui quitte cette personne tout à l’heure, qui me fait vaciller, tituber. Voyez? Le côté humain est parti; le surnaturel entre et opère au travers de la chair humaine, ce n’est pas la chair humaine, mais le surnaturel opère au travers. Juste comme la lumière qui passe par cette ampoule-là. Ce n’est pas l’ampoule; c’est la lumière. Le courant passe par cela. Voyez? On peut éteindre, il fait sombre. C’est pareil avec l’humain ...

            Combien se souviennent quand une femme avait touché le vêtement de Jésus et qu’Il était devenu très faible? Combien se souviennent du prophète Daniel? Quand il avait eu une seule vision, il a dit: «J’ai eu mal à la tête pendant plusieurs jours.» Est-ce vrai? Maintenant, comprenez-vous ce que je veux dire? Vous voyez, vous entrez dans une sphère dont les gens ne savent rien. Ça ne sert à rien d’essayer d’expliquer cela; vous ne savez pas cela; et cela ne sera pas connu. Après mon départ, ceci viendra sur quelqu’un d’autre. Très bien.

54        Bonsoir, soeur. C’est vous la patiente, n’est-ce pas? Mais nous sommes inconnus, je pense, madame; je ne pense pas vous avoir déjà vue. Si nous sommes inconnus, alors je me tiens ici en tant qu’un homme, vous en tant qu’une dame; et il y a des milliers de personnes qui nous regardent. A part cela, un Etre surnaturel se tient ici, c’est l’Ange de Dieu dont je parle. Et tout aussi certainement que je me tiens ici, vous en êtes consciente. Vous savez qu’il y a quelque chose que vous n’avez jamais ressenti comme cela de votre vie. N’est-ce pas vrai? Si c’est vrai, levez la main afin que les gens voient que c’est vrai. En effet, votre foi commence à agir, à tirer.

            Oui, madame, je vous vois vous éloigner de moi maintenant; vous revenez, vous vous arrêtez à côté d’un lit. Je vous vois tenir le côté d’un lit, vous êtes estropiée, ou–ou non, vous souffrez de l’arthrite, ou d’une espèce de maladie. Je vous vois ensuite traverser la rue, vous descendez très doucement pour traverser la rue. Et vous portiez les mêmes habits. C’est récemment. Dites donc, vous avez à l’esprit quelque chose qui vous inquiète. Vous êtes bouleversée, je vois quelque chose près de vous. Vous êtes–vous êtes bouleversée au sujet de quelque chose, n’est-ce pas? Vous êtes inquiète. Maintenant, soyez honnête avec moi; il y a–il y a quelque chose dont vous vous inquiétez. Voici cela apparaître; oui, c’est concernant un enfant, l’accouchement. Vous craignez de faire une fausse couche comme vous attendez un enfant. Est-ce vrai? Ne vous en faites pas, allez, et Jésus-Christ... Disons: «Gloire à Dieu», à Jésus-Christ. Louons Dieu, comme ceci, glorifions Dieu.

55        Maintenant, Il est ici pour rétablir, pour guérir, pour tout faire. La raison pour laquelle je continue à retenir cette dame... Je ne cherche pas à retenir les gens trop longtemps. Si je vois une seule chose, je laisse simplement aller. Mais cette dame était déconcertée quand j’ai dit qu’elle s’inquiétait au sujet de quelque chose. J’ai alors constaté, j’ai vu pourquoi elle était inquiète, je suis allé de l’avant jusqu’à ce que sa foi fût confirmée. Parfois, vous devez parler plus longtemps pour les uns que pour les autres. Mais évidemment, cela détend, cela réduit les foules. Peut-être qu’on doit écourter. Mais soyez respectueux maintenant.

            Très bien. Madame, avancez maintenant. Tout le monde, soyez respectueux. Vous êtes bénie, ma soeur. N’ayez pas peur; ayez seulement foi. Ne laissez personne vous mettre autre chose dans l’esprit; vous allez être bien portante. Allez de l’avant. Quand elle est passée, ce qui me l’a fait savoir, c’est, j’ai senti cela aller de nouveau vers elle. Voyez? Je sais que Dieu a honoré la foi de cette femme.

56        Très bien. Voudriez-vous vous approcher, madame, s’il vous plaît? Je pense que vous et moi, nous sommes inconnus. Je ne me souviens pas de vous. Si jamais je vous ai vue, ça a dû être quelque part dans la vie, que je ne me rappelle pas. Mais vous êtes... Vous êtes venue pour être guérie, n’est-ce pas, soeur? Et je vois tout de suite que vous êtes une chrétienne. Vous êtes du genre charitable; vous avez un coeur qui fait que vous aimez donner et faire du bien aux autres. Dites donc, vous êtes une femme d’affaires, n’est-ce pas? N’est-ce pas que vous êtes dans une espèce d’affaires? C’est vrai, vous y êtes. Je pense que vous êtes dans l’habillement, n’est-ce pas vrai? Est-ce vrai? Voyez, oui, madame. Et vous, eh bien, dites donc, vous m’avez même envoyé des habits, madame. Vous m’avez donné des habits. L’avez-vous fait? Vous l’avez fait.

            Et vous souffrez d’une espèce de maux de tête et tout. Vous éprouvez une drôle de sensation. Vous avez jeûné pendant les quelques derniers jours, n’est-ce pas? Oui, oui. Vous n’avez plus éprouvé cette sensation depuis que vous jeûnez, c’est parce que cela va mieux. Est-ce vrai? Est-ce vrai? Vous avez aussi subi une intervention chirurgicale, n’est-ce pas? C’est vrai, oui, oui. Et maintenant, vous avez toujours cru que si je vous impose les mains et que je demande à Dieu, cela vous quitterait. Quand ces sensations vous frappent, vous éprouvez des sensations drôles, vous sentez comme si cela vous tire et vous pousse en avant. Est-ce vrai? Venez ici, soeur; ceci vous donnera une confirmation.

            Au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, bénis cette femme que je bénis. Tu as dit: «Tout ce que vous lierez sur terre, Je le lierai au Ciel; tout ce que vous délierez sur terre, Je le délierai au Ciel.» Dieu Tout-Puissant, sachant que ce mauvais esprit a quitté cette femme par les jeûnes, puisse cela rester loin d’elle maintenant au Nom de Jésus-Christ, qu’elle s’en aille et qu’elle soit bien portante. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez en vous réjouissant, soyez heureuse, et soyez bien portante. Disons: «Gloire au Seigneur», tout le monde.

57        Mon âme, bénis l’Eternel, que tout ce qui est en moi bénisse son saint Nom. Mon âme, bénis l’Eternel, et n’oublie aucun de Ses bienfaits, c’est Lui qui guérit toutes tes maladies, qui pardonne toutes tes iniquités; ce sont là les bienfaits de servir le Seigneur.

            Très bien. Faites venir la dame. Tout le monde, soyez respectueux. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez seulement; ayez foi en Dieu.

58        Je crois que le Tout-Puissant va faire quelque chose de merveilleux. Oh! S’il vous plaît, amis, s’il vous plaît. Puisque Dieu confirme ces choses, je sais que cela semble trop profond pour être sondé, et je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais juste un groupe là dans l’assistance se pose des questions. Ce n’est pas que vous ne croyez pas, mais vous êtes simplement dans l’admiration, vous vous posez des questions. Eh bien, faites savoir à l’assistance que c’est vrai. N’est-ce pas vrai? Si c’est vrai, levez la main. Là dans cette assistance ici, je sens cela (C’est vrai), juste une admiration, juste une sympathie. Eh bien, ne vous posez pas des questions; acceptez simplement. Personne ne peut comprendre Dieu. Vous ne le pouvez pas, ça ne sert à rien de l’essayer. Vous ne comprendrez jamais Dieu; vous devez Le croire par la foi.

59        Bonsoir, madame. Eh bien, je ne sais pas, comme si je vous ai déjà vue dans ma vie; nous sommes inconnus. Et maintenant, regardez, assistance, Dieu a dit à Moïse: «Je vais t’envoyer là en Egypte délivrer les enfants d’Israël.»

            Il a dit: «Je suis un homme à la langue embarrassée.»

            Il a dit: «Mais je vais te donner un signe à accomplir devant les gens. Et si tu l’accomplis devant les gens, alors...» Changer sa main, la guérir de la lèpre, et attacher un serpent au bâton. Il a dit: «Alors, les gens vont croire que Je t’ai envoyé.» Il a fait cela une fois et c’était réglé. Est-ce vrai?

            Maintenant, voici une femme, à ce que je sache, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Elle se tient ici; je ne la connais pas, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Elle ne me connaît pas non plus, je pense donc que c’est par les journaux, ou pour avoir été dans une réunion et m’avoir vu. Mais nous sommes inconnus, et si je vous témoigne que quand je suis né, étant un petit garçon, là-bas dans les montagnes, cette Lumière est venue et était suspendue au-dessus de là où j’étais. Elle m’a suivi tous les jours de ma vie, je ne dis pas que c’était à cause de ma justice... Cela était prédestiné par Dieu. Ephésiens 1 dit: «Ce qui était prédestiné avant la fondation du monde.»

60        Maintenant, certains parmi vous aimeraient un passage des Ecritures pour cela, je le pense. Très bien, je vais vous le donner. Très bien, dans Jude, les quatre premiers versets se lisent comme suite:

            Les gens d’autrefois prédestinés, il s’est glissé parmi vous certains hommes, dont la condamnation est écrite depuis longtemps, c’est la dissolution, des gens qui changent la grâce de notre Seigneur en dissolution. Est-ce vrai? Des gens dont la condamnation était écrite depuis longtemps, comme Pharaon en Egypte, Juda Iscariot, né fils de la perdition. Et si vous avez la moindre étincelle dans votre coeur pour Dieu, vous devriez remercier Dieu et Le servir de toute votre force. (C’est vrai.) Car Il vous en donne une opportunité.

            Maintenant, je me tiens ici, manifestant le Créateur des cieux et de la terre, Jéhovah Dieu. Eh bien, je soutiens être Son représentant en ces derniers jours pour susciter la foi de Son Eglise. Une femme se tient ici à côté de moi, et si je dis la vérité, alors que Dieu confirme mes paroles comme étant la vérité. Si je ne dis pas la vérité, Il n’aura rien à faire avec moi. Tout homme peut dire n’importe quoi, mais si Dieu en parle et confirme que c’est la vérité, alors, croyez la vérité, croyez Dieu.

61        Maintenant, si je vous dis la vérité, si donc Dieu me vient en aide, je pourrai voir notre soeur. Eh bien, savez-vous ce que je veux dire par la voir? Non pas que je sais la voir maintenant, mais quand Elie, quand ils descendaient, le roi Jéroboam et–et le fils d’Achab, et tous se sont présentés devant, et Josaphat aussi, se sont présentés devant Elie et ont dit: «Devrions-nous aller à la bataille?» Ou ceci, cela. Savez-vous ce qu’Elie a dit? «Si je n’avais égard à Josaphat, je ne ferais aucune attention à toi, ou je ne te regarderais pas.» Est-ce vrai? Le prophète a dit: «Je vais... Mais par égard à lui, je ferais attention à toi.»

62        Maintenant, madame, j’aimerais que vous regardiez de ce côté-ci et que vous sachiez avec assurance que cette sensation que vous éprouvez maintenant, c’est le Dieu Tout-Puissant. Croyez-vous cela? J’aimerais que vous soyez aussi respectueuse que possible dans Sa Présence.

            Maintenant, regardez ici et permettez-moi de vous parler juste un peu. Eh bien, vous êtes nerveuse; je le vois. En effet, vous vous tordez les mains continuellement. En fait, n’importe qui peut le voir, vous voir trembloter et savoir que vous êtes nerveuse. C’est un peu plus maintenant que jamais, à cause de la–de la Présence. Maintenant, soyez en prière, frère Richey, je vois cela revenir là-bas, interférant avec moi ici. Eh bien, j’aimerais que vous vous tourniez de ce côté-ci juste un instant.

            Voyez, parfois, ce n’est pas que j’ose vous dire de ne pas croire, mais vous êtes des êtres humains possédés par un–par un esprit. Et lorsque cela vient de ce côté-ci, cette vague vient de ce côté-ci, la vision ne va pas se matérialiser correctement. Voyez-vous?

63        Et maintenant, oui, vous souffrez du coeur. Est-ce vrai? Vous souffrez du foie; cela dérange votre foie. C’est vrai. Vous êtes extrêmement nerveuse. N’est-ce pas vrai? Et vous avez... Dites donc, on avait prié pour vous auparavant, n’est-ce pas? Je vous vois dans une espèce de grande réunion, où on a prié pour vous. C’est une grande réunion aussi. Je vois un noir, il y a frère Osborn. Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez la main. C’est vrai. Venez ici une minute. Allez-vous... Vous allez être... Allez-vous croire maintenant de tout votre coeur?

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie et Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur la femme et rétablis-la. Jésus de Nazareth, guéris la femme. Je Te prie, Père, au Nom de Jésus, que cette horrible chose la quitte, surtout cette nervosité, afin qu’elle se calme. Qu’elle quitte ce tabernacle ce soir, rentrant chez elle en se réjouissant, heureuse, guérie, chantant les louanges de Dieu, et qu’elle ne soit plus jamais dérangée, car je la bénis au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ. Amen.

64        Que Dieu vous bénisse, soeur. Croyez-vous de tout votre coeur? Vous croyez que vous ferez cela de tout votre coeur et de toute votre force, croire que Dieu pourvoira, et fera... Croyez-vous que vous êtes guérie? Croyez-vous? Oui. Dites donc, il y a quelque chose ici. Juste pour confirmer votre foi un peu plus. Je vois un chirurgien à côté de vous dans une salle d’opération; vous avez subi une intervention chirurgicale, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? N’était-ce pas une intervention chirurgicale pour les reins, ici? J’ai vu qu’on avait déposé cette chose sur vous dans ce sens-ci. Eh bien, est-ce la vérité? Si c’est vrai, levez ce bras-ci. J’ai vu qu’on avait placé cette chose sur vous comme ceci, et on vous a tournée en travers, lorsqu’on vous a administré l’anesthésie. C’est vrai, n’est-ce pas? Très bien. Maintenant, croyez-vous de tout votre coeur? Très bien. Quittez l’estrade en vous réjouissant, en réclamant votre guérison. Ne dites plus jamais autre chose à ce sujet, si ce n’est que vous êtes guérie. Disons: «Gloire au Seigneur!» C’est ça la malédiction de passer de ligne de prière en ligne de prière. Une fois que vous avez accepté votre guérison, ne passez plus jamais par une autre ligne de prière. Laissez cela être réglé une fois pour toutes. Voyez? Chaque fois que vous revenez, cela rend la chose plus difficile, de plus en plus difficile (Voyez?), et c’est ce qui brise cela.

65        Maintenant, frère Baxter a tiré ces rideaux par ici, et cela sera donc de loin mieux pour moi maintenant, je suis sûr. Très bien, faites venir la dame. Très bien. Bonsoir, soeur. Croyez-vous maintenant de tout vote coeur? Croyez-vous que le Seigneur Jésus-Christ est ici pour vous bénir et vous–vous rétablir? Croyez-vous? Très bien, monsieur. Vous êtes anémique, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? Vous souffrez aussi des nerfs, vous étouffez beaucoup, à cause d’une maladie du coeur, ce sont les pensées que ça vous donne, mais ce ne sont que des nerfs. Mais vous allez vous rétablir, croyez-vous cela?

            Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, quittez l’estrade en vous réjouissant, disant: «Merci, Seigneur, pour ma guérison.»

            Disons: «Gloire au Seigneur.» Avancez maintenant. Ayez foi; ne doutez pas. Combien dans cette ligne maintenant vont croire de tout leur coeur? Très bien, là dans l’assistance, continuez donc à croire. Très bien, faites venir la dame.

66        Bonsoir, soeur. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu est ici pour vous guérir? Croyez-vous que le Saint-Esprit confirmera Son oeuvre ce soir et fera cela? Tout ce que vous vous demandez maintenant, c’est ce qui va être dit à votre sujet, ce n’est pas la lecture de vos pensées, mais votre maladie du coeur vous a quittée, et vous pouvez partir, et votre mal de dos aussi. Vous pouvez donc quitter l’estrade, vous réjouir et dire: «Merci, Seigneur, je suis guérie.» Disons: «Gloire au Seigneur.»

            Très bien, venez, madame. Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Est-ce de tout votre coeur? Croyez de tout votre coeur. Vous êtes diabétique, n’est-ce pas? Rentrez chez vous et soyez rétablie au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

            Soyez respectueux, tout le monde, soyez respectueux. Restez partout dans la salle si vous le pouvez. Maintenant, ne vous déplacez pas. Soyez en prière. Voyez, amis, si seulement vous saviez combien cela me désarçonne ici. Combien croient, comprennent ce dont je parle? Voyez? C’est un...?... Voyez, c’est juste... C’est le Saint-Esprit, Il est très timide, tout aussi timide que possible. Très bien. Que tout le monde soit très respectueux. Très bien.

67        Venez, madame. Bonsoir. Croyez-vous en tant que Dieu... moi en tant que serviteur de Dieu? Vous avez deux ou trois choses qui vous dérangent. Une chose qui vous préoccupe, ce sont vos yeux, ce dont vous souffrez. Vous souffrez d’une petite affection d’estomac aussi, cela est causé par une maladie des nerfs et le stigmatisme, et cela vous abat. Aimeriez-vous être guérie? Dites: «Jésus, j’accepte Ton expiation maintenant même.» Que Dieu vous bénisse, allez et soyez guérie au Nom du Seigneur Jésus.

            Venez, madame. Si vous venez dans ce sens-ci, si Dieu me parle et me dit ce qui cloche chez vous, allez-vous accepter cela? La maladie du coeur. Partez et soyez rétablie au Nom du Seigneur Jésus. Disons: «Gloire au Seigneur!» C’est comme ça. Si vous continuez à croire, si seulement vous avez foi, continuez à croire.

68        Vous assis là en train de parler à cette soeur muette, continuez à croire; il y a quelqu’un qui croit là même, qui croit très fermement. J’ai observé cela à deux ou trois reprises maintenant. Je surveille cette dame là juste un instant, en robe verte. J’ai vu Cela se mouvoir au-dessus d’elle à deux reprises maintenant. Dites-lui de se rassurer d’avoir la foi, de ne pas douter; croyez de tout votre coeur.

            Je crois que la femme va recouvrer son parler et son ouïe. Que tout le monde soit respectueux; je ne peux dire exactement que ce qui arrive. Je vois ce qui se passe; elle a été comme cela depuis longtemps. Je pense qu’elle est née dans cet état-là. Je la vois en vision venir, mais cela continue à paraître sombre autour de sa tête. Que tout le monde soit respectueux. Très bien.

69        Venez, monsieur. Evidemment, maintenant Cela quitte, Ça va vers cet homme. Bonsoir, monsieur. Vous êtes guéri de votre mal de dos, vous pouvez donc quitter l’estrade et remercier Dieu d’avoir guéri votre mal de dos, vous n’en souffrez plus. Que Dieu vous bénisse, frère.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» Tout le monde, soyez respectueux, croyez de tout votre coeur. Quelque chose a frappé quand j’ai parlé de mal de dos. Il y a un esprit sympathisant qui a frappé tout de suite, quelqu’un d’autre... juste un instant. Je sais que quelqu’un a été guéri de la même chose tout à l’heure. J’ai encore senti cela me tirer de côté. Attendez que cet homme passe. Voilà cela passer, oui, c’est une dame. Non, c’est–c’est une dame assise là, avec ces cerises sur son chapeau. Elle souffre de dos. Elle a été guérie. La dame assise là derrière, n’est-ce pas que vous souffriez de colonne vertébrale? Une maladie de colonne vertébrale là à l’intérieur? Tenez-vous debout, Jésus-Christ vous guérit, madame. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez rentrer chez vous maintenant, bien portante.

            Très bien, madame, votre maladie du coeur vous a quittée pendant que vous étiez ici debout. Vous pouvez rentrer chez vous maintenant et être bien portante au Nom du Seigneur Jésus.

70        Venez, madame. Ayez foi, croyez. La petite dame là debout dans le noir, continuez à croire, Cela s’est dirigé vers vous tout à l’heure, il y a quelques instants, ayez foi, croyez, ne doutez pas.

            Bonsoir, soeur. Croyez-vous de tout voter coeur? Votre trouble d’estomac sera guéri. Rentrez chez vous et mangez ce que vous voulez et dites: «Merci Dieu de m’avoir guérie, mon estomac.» Très bien, disons: «Gloire au Seigneur!»

            Très bien, viens ici, chérie. Tu veux guérir de cet asthme, n’est-ce pas? Eh bien, viens ici, fais passer tes bras autour de frère Branham.

            Notre Père céleste, je Te demande d’être miséricordieux envers cette enfant. Dieu Tout-Puissant, qu’elle porte ce Message à son peuple catholique, qu’elle leur annonce que Jésus-Christ, le grand Guérisseur, l’a guérie. Je maudis cet asthme au Nom de Jésus-Christ; qu’elle soit guérie dès maintenant. Amen. Que Dieu te bénisse, chérie. Rentre chez toi et sois bien portante. Disons: «Gloire au Seigneur!»

71        Très bien, venez, mon frère. Bonsoir, frère. Croyez-vous de tout votre coeur? Vous souffrez, il y a quelque chose qui cloche aussi dans votre coeur, n’est-ce pas? Vous souffrez aussi du coeur. Non seulement cela, mais vous souffrez aussi de l’arthrite, n’est-ce pas vrai? Allez-vous m’obéir en tant que prophète de Dieu? Levez les mains, martelez vos pieds de haut en bas. Ne dites plus rien au sujet de souffrir de l’arthrite, quittez l’estrade; vous êtes guéri de l’arthrite, de la maladie du coeur et autres. Que Dieu vous bénisse.

            Disons: «Gloire au Seigneur!»

            Très bien, madame, croyez-vous là où vous êtes assise? Si je peux par l’Esprit de Dieu vous dire ce qui cloche chez vous, là où vous êtes debout, allez-vous accepter votre guérison maintenant même? Vous souffriez d’une tumeur, n’est-ce pas? Quittez l’estrade et ne dites plus cela, soyez guérie au Nom de Jésus.

            Croyez-vous de tout votre coeur? Qu’en pensez-vous là en haut? Soyez respectueux. Soyez respectueux, et Dieu fera s’accomplir cela. N’ayez pas de doute, ayez toujours foi. Dieu guérira cela, Il vous guérira.

72        J’observe cette dame assise ici dans ce fauteuil, et cet homme aussi. Frère, j’aimerais vous voir tous sortir de ces fauteuils ce soir et marcher. J’aimerais que vous croyiez. Quelqu’un... Parfois, les gens pensent, quand ils sont ici dans des fauteuils, ils en arrivent à penser qu’ils constituent des cas désespérés. Vous ne l’êtes pas. Vous n’êtes pas des cas désespérés. Non, non. Jésus-Christ vous aime et Il veut vous guérir. Très bien. Soyez respectueux maintenant.

            Très bien. Faites venir votre patiente. Très bien, soeur. Oh! victime de circonstances, des maladies, j’en ai vu beaucoup de cela dans votre vie. Maintenant, ici, vous souffrez du dos, vous éprouvez tout le temps des douleurs lombaires. Vous avez une rate enflée; vous souffrez du coeur; oui, mais vous n’en souffrez plus. Votre foi vous a guérie. Rentrez chez vous et soyez bien portante... C’est comme ça. C’est comme ça. Une personne qui a la foi comme ces petites femmes, elles ont été toutes guéries là-bas dans l’assistance maintenant. C’est bien. Ayez foi en Dieu et ne doutez pas. Très bien, venez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? N’aimeriez-vous pas aller manger un bon repas une fois de plus comme vous en aviez l’habitude? Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Allez manger tout ce que vous voulez. Au Nom de Jésus-Christ, soyez guérie.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» Rendons gloire à Dieu comme ceci. Oh! la la! C’est comme ça. Soyez respectueux.

73        J’ai vu un petit enfant être guéri; il porte une chemise blanche; il souffrait du coeur. Je ne pouvais pas identifier l’endroit exact où il était. On dirait qu’il était assis à droite. Maintenant, que tout le monde soit respectueux, il y a un petit garçon, un petit garçon un peu étourdi, d’environ huit ans, qui souffrait du coeur, en chemise blanche. Très bien. Que tout le monde soit respectueux. Si cet enfant est dans l’assistance, il est guéri. Je l’ai vu apparaître devant moi, en chemise blanche. Et il... C’est un petit garçon un peu écervelé. Il a à peu près... on dirait qu’il est de cette taille, il souffre du coeur. Si cet enfant est dans l’assistance, parents, n’ayez plus peur, car l’enfant va se rétablir.

74        Très bien, soeur, avancez. Croyez-vous de tout votre coeur? Alors, votre maladie du coeur est terminée. Très bien. Aussi, je vois autre chose. Je vois, oui, vous avez souffert aussi de l’estomac, n’est-ce pas? Très bien, monsieur, allez de l’avant, mangez ce que vous voulez maintenant. Croyez-vous? C’est tout ce qu’il vous faut faire; vous pouvez aller...?... Que Dieu vous bénisse.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» Cela peut ne pas représenter beaucoup pour vous, par rapport à ce que cela représente pour elle. Elle a eu de l’acide dans l’estomac; elle n’a pas mangé depuis longtemps. Voyez, je l’ai vue tourner la tête, vomir et tout comme cela, et se laver de nouveau le visage, et tout, elle a failli s’évanouir. Mais elle va se rétablir maintenant même. Cela ne représente peut-être pas beaucoup pour quelqu’un d’autre qui n’en souffre pas, mais si c’était vous, vous seriez très–très reconnaissant de recevoir cela. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

75        Très bien, madame, vous assise dans un fauteuil. Croyez-vous de tout votre coeur? Passez et serrez-moi simplement la main. Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Vous allez donc guérir de la tumeur, et allez au Nom du Seigneur. Disons: «Gloire au Seigneur!» Bénissons le Seigneur. Oh! la la! Mon âme. Regardez ici, des gens se posent des questions au sujet de ces gens dans des fauteuils roulants. Juste un instant, ayez foi. N’ayez pas peur. Ecoutez donc, je vous observe, mais le problème avec vous tous, souvent, quand les gens sont dans des fauteuils roulants, ils pensent: «Oh! la la! Je–je suis un cas désespéré. Je... Le médecin m’a dit que je ne peux pas en guérir.» Alors, vous–vous croyez cela. Tant que vous croyez, il en sera ainsi.

            Maintenant, je peux vous voir; je vous ai vus soirée après soirée. J’ai vu beaucoup de choses. J’ai vu cette dame assise ici pendant les deux ou trois dernières soirées, j’ai eu une vision chaque soir. Je sais ce qui cloche chez la femme, certainement que je peux lui dire ce qui cloche chez elle, mais je ne peux pas–je ne peux pas la guérir.

76        Cette dame assise là même a une espèce de crise; elle a des crises d’affaiblissement. Quand elle se lève, elle se met bien à avancer, n’est-ce pas vrai, madame? Si seulement vous vous servez d’un peu de foi, ayez foi comme votre infirmière en a là, et vous pouvez sortir de ce fauteuil roulant, parcourir la salle, continuer jusque chez vous et oublier cela; vous pouvez être guérie. Je peux vous voir en vision, mais je ne peux pas vous guérir.

            Ce gentleman assis ici avec la main levée, que pensez-vous, papa? Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Vous m’êtes inconnu; vous êtes assis là avec une armature orthopédique autour de votre jambe. Vous savez ce qui vous est arrivé, vous avez connu un accident, vous vous êtes fracturé la hanche, et cela ne se guérira pas. N’est-ce pas vrai? C’est vrai, levez la main et faites signe de la main comme ceci. C’est vrai. Ayez foi en Dieu, et Dieu guérira votre hanche. Vous pouvez rentrer à la maison, rétabli. Amen. Croyez-vous de tout votre coeur? Ne demandez pas...

77        Cet homme assis ici, je vous vois me regarder, monsieur. Regardez de ce côté-ci et croyez que je suis le prophète de Dieu. Me croyez-vous? Très bien. Je sais ce qui cloche chez vous; vous souffrez de sclérose en plaques. Mais Dieu vous guérira. Maintenant, voyez, Dieu... N’est-ce pas vrai? Levez la main, n’est-ce pas vrai? Dieu peut vous rétablir, si seulement vous croyez cela. Ayez foi; ne doutez pas; croyez de tout votre coeur. Oh! Que c’est merveilleux!

            Paralysie, mais Dieu peut vous guérir et vous rétablir. Est-ce vrai? Paralysé, j’ai vu ce qui est arrivé. Vous tirez vos membres...?... Mais Dieu peut vous rétablir. Voyez, là, amis, ce n’est pas l’infirmité; ils en sont arrivés à penser qu’ils ne peuvent pas...

            Maintenant, le même esprit est en train de se mouvoir parmi ces gens, ils manquent d’avoir un peu de foi. Si vous faites la même chose, vous sortirez de la salle en marchant ce soir. Je ne peux guérir personne, si je le pouvais, je leur demanderais d’accepter leur foi, d’accepter la foi et de croire. Je défie n’importe qui dans cette salle de regarder ici et de croire que Dieu m’a envoyé et de croire le témoignage que je donne, que c’est la vérité, et Dieu vous rétablira. C’est vrai. Dieu le fera.

78        Je vois une dame assise ici même maintenant, elle regarde de ce côté-ci; elle porte un chapeau noir, une robe noire. Tenez-vous debout là même, madame. Vous là même, oui, non, oui. Comme vous êtes debout, tenez-vous debout, vous tous deux, tenez-vous simplement debout une minute. Très bien, madame, regardez dans cette direction et croyez-moi. Me croyez-vous de tout votre coeur?

            Maintenant, ne vous tenez pas tous debout, vous allez interférer avec la... interférer avec cette vision qui se déroule devant la dame. Laissez-moi la voir premièrement. Ceci ici même.

            Oui, monsieur, vous souffrez des nerfs. N’est-ce pas vrai? N’est-ce pas vrai? Levez la main si c’est la vérité. Le recevez-vous maintenant comme votre guérison? Au Nom de Christ, soyez guéri. Amen.

            Qu’en est-il de vous, madame, là debout avec un truc blanc sur votre chapeau? Croyez-vous de tout votre coeur? De tout votre coeur? Vous souffrez du coeur, n’est-ce pas, d’une maladie du coeur? Levez la main. Recevez votre guérison au Nom de Jésus-Christ. Amen.

79        Eh bien, amis, il n’y a pas de fin à cela. Cela peut continuer sans cesse et sans cesse. Croyez-vous de tout votre coeur? Il y a un petit homme ici, cet homme, assis ici en train de me regarder, assis juste derrière la dame. Cet homme assis là souffre de, je pense, de la hernie, assis juste derrière; n’est-ce pas vrai, monsieur? Levez-vous, levez la main et recevez votre guérison au Nom du Seigneur. Assurément. Il y a un autre homme assis juste là à côté de vous maintenant en veste avec cravate. Il regarde de ce côté-ci. Cet homme là a une grande foi, levez-vous, monsieur. Vous souffrez du cancer, mais maintenant, vous êtes guéri au Nom du Seigneur Jésus. Allez et soyez bien portant. Amen. Maintenant, croyez-vous de tout votre coeur? Il y a un homme assis de ce côté-ci avec une chevelure fine, portant un petit noeud à carreaux. Là même, monsieur, vous souffriez de l’arthrite, n’est-ce pas? Vous avez été guéri il y a quelques instants pendant que vous étiez assis là. Levez-vous et recevez cela, et soyez guéri au Nom du Seigneur Jésus. Vous y êtes; c’est ainsi qu’il faut être guéri.

80        Là tout au fond, regardez de ce côté-ci, croyez de tout votre coeur. Combien là derrière croient que Dieu m’a envoyé accomplir Son oeuvre? Levez la main. Je vois une dame, assise par ici, quelque chose arrive. Cette dame est en robe bleue, avec une espèce de fleur épinglée de côté ici, on dirait une rose. Cette dame souffre de l’estomac, là au fond au balcon. Elle est assise là même à côté de la balustrade. Levez-vous, madame. Vous là derrière, de ce côté ici, en robe bleue avec une rose; c’est vous, oui, madame. Tenez-vous debout. Vous souffriez de l’estomac, n’est-ce pas? Levez la main si c’est vrai. Très bien, vous êtes guérie; rentrez chez vous et soyez rétablie au Nom du Seigneur Jésus.

            N’importe qui ici peut être guéri maintenant même pour la gloire de Dieu. Nous pouvons nous tenir ici une demi-heure. Croyez-vous cela? Qu’en est-il de vous ici, madame? Vous pouvez marcher; vous pouvez le faire si seulement vous demandez à Dieu et...?... Vous aussi, monsieur. Ça ne sert à rien que vous restiez assis là, vous pouvez être rétabli. Levez-vous, au Nom de Jésus-Christ, chacun de vous qui est malade. Soyons guéris.

81        Imposez-vous les mains les uns aux autres. C’est bien, vous allez être... Imposez-vous les mains les uns aux autres; élevez la main, et élevez les mains vers Dieu.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie et Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur les gens, guéris chacun d’eux, Seigneur. Accorde-le. Au Nom de Jésus-Christ, je maudis la maladie sur ces gens dans l’assistance. Seigneur, accorde que ces gens ici dans les fauteuils roulants se lèvent au Nom de Jésus-Christ, qu’ils soient rétablis. Ô Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, que le Saint-Esprit descende maintenant sur chaque personne ici présente, l’enveloppe de Ta puissance divine... de la foi, Seigneur, qu’elle se consacre, qu’elle se lève au Nom du Seigneur Jésus-Christ et qu’elle glorifie Dieu, sortant de ce bâtiment en marchant, en criant, en louant Dieu, avec une parfaite victoire.

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