Les Principes De La Guérison Divine

Date: 51-0923 | La durée est de: 2 heures et 3 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1          Je suis très content d’être ici ce soir, de voir tous mes amis assemblés ici. C’est dommage que je sois sur le point de quitter pour un petit moment, mais je suis reconnaissant pour cette occasion. J’aimerais prendre le temps maintenant pour remercier ceux qui ont parrainé cette réunion: Monsieur McDowell de l’entreprise d’électricité McDowell et monsieur McSpadden du Marché de la Sixième Rue, monsieur Morgan, et les autres qui sont... qui ont parrainé cette réunion.

            L’autre jour, je suis revenu à la maison, venant de Kansas City, et il y avait des pancartes dans les rues et des gens qui distribuaient des circulaires dans la–la ville, et je me suis dit: «Eh bien, ils vont avoir une réunion ici.» Je les remercie donc.

            Je remercie le responsable de cette école pour cette précieuse collaboration qu’il nous a accordée, et ces hommes ici. Ils nous ont permis d’avoir ce gymnase ce soir pour tenir ce service d’au revoir. Ma petite église n’est pas assez spacieuse. Je les remercie, et tous les concierges, tous ceux qui ont eu quelque chose à faire dans... avec ce service, j’aimerais vous remercier. Et il fait–il fait un peu chaud ici à l’intérieur ce soir. Nous avons reçu un accueil très chaleureux, n’est-ce pas?

2          Et si le Seigneur le veut, le matin, je quitterai pour l’arène Saint Nicolas à New York City, pour cinq soirées. Et de là, ma prochaine réunion sera en Rhodésie du Sud, en Afrique, en Afrique du Sud. De là, nous irons en Afrique du Nord; et de là, en Inde; et puis, en Palestine. Nous reviendrons à la maison, si le Bon Seigneur le veut, le premier de l’année prochaine.

            Je parlais au responsable de l’école il y a quelques semaines, il me disait que, quand je serai revenu, nous pourrons avoir le grand gymnase là-bas, pour une bonne réunion à un moment donné. Apprécierez-vous cela? Donnons-lui un coup de main. [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Merci beaucoup...?... Merci. J’ai toujours voulu tenir l’une de nos réunions ici, chez nous. Il y a quelque chose chez soi, si modeste soit-il, qui fait qu’il n’y a pas de lieu semblable à ça, n’est-ce pas? La maison, c’est... J’ai toujours été plus ou moins une pierre tournante, comme on l’appelle, rôdant à travers le pays. Mais certains des moments de plus grandes réjouissances, dans ma vie, c’est quand j’entends annoncer dans l’avion: «Serrez vos ceintures, nous sommes au-dessus de Louisville.» Oh! lala! C’est–c’est alors magnifique. J’aime ça. Je pense que tout le monde aime ça, rentrer chez soi.

3          Mon oeuvre pour le Seigneur, ça a été d’évangéliser, et je suis... peut-être que ça le restera jusqu’à ce qu’Il me rappelle à la maison. Eh bien, j’aimerais demander combien parmi vous ici prieront pour moi pendant que je serai parti là où je pourrais juste entendre de vos nouvelles. Oh! Ce serait vraiment magnifique. Merci beaucoup. J’apprécie ça. On dirait qu’il m’incombe maintenant d’aller auprès des tribus, là en Afrique du Sud, aider les missionnaires et les autres là-bas. J’espère que ça sera une grande bénédiction pour plusieurs.

4          Maintenant, comme il fait très chaud ici à l’intérieur, je tâcherai de ne pas vous parler très longtemps. J’aimerais juste parler un peu sur le sujet de la guérison divine. Et ensuite, nous allons former une–une ligne de prière ce soir et prier pour quelques malades. Je n’ai eu qu’un seul service de guérison: c’était là au tabernacle il y a environ deux ans, et c’était vraiment dommage, les gens étaient debout sous la pluie et tout. Alors, ces hommes d’affaires de la ville ont dit qu’ils s’arrangeraient pour avoir l’auditorium, si je pouvais venir ici. Voyez? Je leur ai donc dit que je serais content de faire cela.

            Et nous sommes maintenant désolé, je vois qu’il y en a debout dans les couloirs de part et d’autre dans les rues, alors que nous–nous pensions peut-être que... peut-être qu’il n’y en aurait pas beaucoup qui viendraient; que ce petit gymnase ferait l’affaire. Mais la prochaine fois, nous aurons le grand là de l’autre côté. Et j’aimerais vraiment, quand je serai revenu, peut-être avoir cinq ou six soirées ici, dans la ville, pour une campagne, et puis... [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Merci. Merci beaucoup...?... Cela me réjouit beaucoup d’être à la maison et de voir les gens vous applaudir; ils assistent à nos réunions.

5          Et à maintes reprises, il y a quelques années, je parcourais la rue ici, quand j’étais un petit garçon, je–je n’avais jamais pensé que j’aurais l’occasion de voyager pour notre Seigneur. Mais Il a tellement béni les réunions que, eh bien, nous sommes donc allé dans le monde, c’est international. Et ceci est mon deuxième voyage outre-mer, et je–j’espère que ça va... cette fois-ci, ça va être plus que l’autre.

            La dernière fois que nous étions en Finlande, en Suède, en Angleterre, dans tous les pays scandinaves, jusqu’en France, en Belgique, en Ecosse, en Irlande, il y avait littéralement des centaines, et des centaines et des milliers de gens qui avaient assisté aux réunions. Parfois, on atteignait quarante mille à la fois, dans un seul rassemblement. Et il s’est accompli beaucoup de guérisons et autres, tellement nombreux qu’on ne peut pratiquement pas en parler.

6          Maintenant, je pensais juste avant de quitter... J’étais à Houston, au Texas, en train de tenir une–une série de réunions là-bas, quand le... on m’a téléphoné pour aller en Afrique du Sud, prendre l’avion vers là, et visiter une demoiselle, Florence Nightingale. Elle est une–une arrière-petite-fille de feue Florence Nightingale, la fondatrice de la Croix Rouge. Beaucoup parmi vous connaissent Florence Nightingale. Et celle-ci est l’une de ses arrière-petites-filles. C’est une femme célèbre en Afrique du Sud. Elle souffrait d’un cancer. Et le cancer était dans l’estomac, et rien ne pouvait être fait; ça s’était trop emparé d’elle avant qu’elle ne s’en rende compte. Un cancer est plus ou moins séduisant, elle l’a simplement découvert. Elle ne voulait pas manger beaucoup, elle restait simplement là, s’enfermant. Et quand on l’a opérée, c’était impossible de réaliser l’intervention chirurgicale. On l’a simplement renvoyée, soit pour mourir, et on a refermé la–la bouche de l’estomac jusqu’à ce qu’elle... ou plutôt l’entrée, là où l’estomac se vide dans la voie intestinale. Ils ont refermé là-bas au point qu’elle ne pouvait plus du tout manger. On la nourrissait de glucose de diverses manières, par ses veines jusqu’à ce qu’on ne pouvait plus la nourrir. Et puis, on a tout simplement eu à attendre que la mort vienne.

7          Elle m’a envoyé une photo, et c’est l’une des vues les plus horribles que j’aie jamais vues d’un être humain. Je me suis dit, des fois, en regardant cela, qu’elle était plus mince que–que la petite Georgie Carter. Elle est probablement ici ce soir. Elle pesait trente-cinq livres [15,8 kg] quand elle fut guérie. Elle était invalide, alitée pendant neuf ans et huit mois. Elle n’avait pas bougé de son dos pendant neuf ans et huit mois: un cas de tuberculose. Et quand, par une vision, je suis allé vers les gens... Elle habitait Milltown, dans l’Indiana, je suis allé là et j’ai prié pour elle, et notre Seigneur l’a guérie. Et depuis lors, elle n’a plus jamais été alitée pour quoi que ce soit, sauf juste aller au lit pour dormir la nuit. Elle est parfaitement normale, rétablie, elle joue le piano dans l’église baptiste de Milltown, en ce moment-ci.

            Je me demande si Georgie est dans la salle ce soir, elle peut témoigner ou simplement se lever. Levez simplement la main, mademoiselle Carter, si vous êtes ici. Généralement, elle est près. Je pense qu’elle n’est pas à l’intérieur. Oh! La voici, oui. Disons: «Gloire au Seigneur», de ce côté-ci, juste avec nos mains comme ceci. C’est bien. [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Neuf ans et huit mois sans se relever du lit; elle pesait pratiquement trente-cinq livres [15,8 kg].

8          Et il y avait une dame ici, j’oublie son nom maintenant. Je pense que c’est Weaver. Elle était une patiente de certains célèbres chirurgiens d’ici au pays.

            Et m’entendez-vous là dans l’assistance? Je pense que le microphone s’est éteint quelque part. Très bien. Maintenant, ça va mieux. Je peux entendre le... Peut-être que j’ai marché sur quelque chose ici. Très bien.

            Alors, cette dame Weaver était simplement des os. Son médecin lui avait donnée jusque le lendemain pour vivre. Elle était si mince qu’elle n’arrivait pas, à peine, à lever sa main pour que je la serre. Pendant qu’on priait pour elle, le Saint-Esprit a parlé et lui a dit qu’elle serait une personne bien portante.

            Et je me demande si madame Weaver présente là? Madame Weaver, voudriez-vous vous lever, celle qui a été guérie du cancer, dans un état vraiment horrible? Etes-vous présente maintenant? Si elle a pu être à l’intérieur... Faites signe de la main, où que vous soyez. Je n’arrive pas à voir; il y a beaucoup d’éventails, peut-être, qu’on agite. Si madame Weaver est près... Voici la soeur assise ici. Oui. Maintenant, est-ce que... peut-elle... où est-elle? Est-elle... Elle est chez elle. Vous êtes témoin du cas que... Disons: «Merci Seigneur», pour–pour cela. [L’assemblée applaudit.–N.D.E.]

9          Mademoiselle Margie, madame Margie Morgan, une infirmière diplômée, vingt et un ans, elle souffrait du cancer, elle se mourait dans un hôpital à Louisville, là où il y avait... des serviteurs de Dieu, les médecins, avaient fait tout leur possible pour elle. Et elle avait été ramenée à la maison. Son mari venait de me ramener ce soir. Il a dit...Je ne sais pas s’ils sont dans le bâtiment ou pas. Son papa de quatre-vingt-dix ans... Je me demande si elle est près, madame Morgan, si elle peut se lever quelque part, comme témoin de la grâce du Seigneur et de la puissance de guérison. Je... Tout d’un coup... Oh! La voici, elle est debout ici même. Eh bien, donnons-lui encore une main. Elle était restée peau et os; regardez-la maintenant, de...?... [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Certains chirurgiens les plus célèbres du pays l’avaient abandonnée comme un cas désespéré, et mourant. Et elle est là maintenant en parfaite santé.

10        La prière change des choses. Alors, cette dame Florence Nightingale. C’était un cas semblable à n’importe lequel de ces trois cas. Il y en a d’autres assis ici, mais je n’aurai vraiment pas le temps de présenter cela, beaucoup d’autres sont ici dans le pays, des témoignages irréfutables de la puissance de Jésus-Christ ressuscité.

            Ainsi donc, cette–cette madame Nightingale, quand ma femme a vu sa photo, elle s’est mise à pleurer. Nous avons déposé la photo sur le plancher, et nous nous sommes mis à prier. Et j’ai dit: «Père céleste, si Tu guéris cette chère personne, ça sera pour moi un feu vert pour aller en Afrique.» Et j’ai simplement confié cela au Seigneur.

            Le roi George d’Angleterre m’avait appelé prier pour lui à cause de cette sclérose en plaques. Je comprends par la radio aujourd’hui qu’il a attrapé une espèce d’affection pulmonaire maintenant.

            Et en route vers là, quand nous nous sommes arrêtés à l’aéroport international, juste en dehors de Londres, je les ai entendus m’appeler, et j’ai vu toute la garde là-bas. Et quand je suis allé là, certains membres de la haute église, là-bas, étaient venus, et ils m’ont parlé, disant: «Mademoiselle Florence Nightingale vous a précédé ici dans un avion venu de l’Afrique du Sud.» Et ils ont dit: «Nous pensons qu’elle se meurt. Nous ne pouvons pas la faire sortir de l’avion.» Ils ont dit: «Voudriez-vous venir prier pour elle.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, je ne pourrais pas me frayer le chemin à travers cette foule de gens là-bas», là où probablement, je pense, on estimait environ vingt-six mille personnes. J’ai dit: «Je... Comment pourrais-je arriver auprès d’elle?» J’ai dit: «Amenez-la chez vous, et nous irons au palais Buckingham. Nous sommes attendus à l’abbaye Westminster, et ensuite, nous retournerons à l’hôtel Piccadilly.» J’ai dit: «Téléphonez-moi, et j’irai là-bas prier pour elle.»

11        Et je n’étais pas rentré ce jour-là. Le lendemain, ils m’ont téléphoné et, amis chrétiens, l’une des vues les plus pathétiques que j’aie jamais vues de ma vie, je l’avais alors vue. Comme beaucoup parmi vous ici, jeunes gens, étaient dans les forces armées lors de la dernière guerre, en Angleterre, leurs maisons sont au-dessus de l’histoire... Et on m’a amené dans une belle maison où deux infirmières assistaient cette dame Nightingale. Et quand je suis entré, il y avait plusieurs ministres là-bas. Quatre de mes organisateurs m’avaient accompagné. Et quand nous sommes entrés dans la chambre, je vous assure, jamais je–je n’avais vu une chose semblable à cela, même avec ces femmes qui sont ici. Madame Carter, là derrière, elle pesait probablement moins, seulement elle était une jeune fille beaucoup plus petite. Cette jeune fille pesait... Comme elle mesurait cinq pieds six ou sept pouces [1,7 ou 1,74 m], son poids normal devrait être cent cinquante ou cent soixante livres [68 ou 72,5 kg], peut-être cent soixante-dix [77 kg], une femme élancée, grande et mince, on dirait. Et elle était restée là, au point qu’elle se fanait.

12        Eh bien, on est dans une assistance mixte et je suis sûr que vous me considérez comme votre frère, pour un... Dans son corps, à ce niveau-ci, il n’y avait plus rien là, ses seins–ses seins s’étaient enfoncés sous les côtes, et quand on a enlevé le drap qui la couvrait, eh bien, son... elle était si mince que la–la peau, au niveau de l’anneau de sa hanche, ici, se rencontrait. Et elle pleurait, je n’arrivais pas à entendre ce qu’elle disait. Certaines infirmières se sont abaissées très bas. Elle disait: «Demandez... Dites à frère Branham, j’aimerais lui serrer la main.» Et quand j’ai saisi... on a soulevé ce bras-là, j’ai tenu ces os, vous ne saurez jamais la sensation qui m’a envahi: Une mortelle dans cet état-là!

            Et l’infirmière savait qu’elle voulait autre chose, je me suis incliné très bas. Et alors, je n’arrivais pas à la comprendre. Et l’infirmière m’a parlé. Elle disait: «Dites à frère Branham de demander à Dieu de me laisser mourir. Je–je ne peux pas continuer comme ceci.» Et elle se fanait simplement. Et je ne pouvais pas demander sa mort après qu’elle avait tant prié et qu’elle avait parlé à Dieu; elle avait dit: «Si je peux... Si–si seulement je peux...» Elle voulait qu’Il m’accorde d’aller là prier pour elle. Et elle disait que si jamais je priais pour elle, elle savait qu’elle guérirait.

            Et avec une si vaillante foi, comme cela, et puis, aussitôt que je l’ai rencontrée, lui demander de... demander à Dieu de la laisser mourir, c’était plus que ce que je pensais être correct. Alors, je lui ai dit, j’ai dit: «Soeur, je ne peux pas demander à Dieu de vous laisser mourir. Agenouillons-nous et prions.»

13        Et, généralement, en Angleterre, c’est brumeux, pratiquement, c’est comme une île. Et la fenêtre était en haut. Et je n’oublierai jamais cette expérience. Je me suis agenouillé pour prier, et j’avais... ces ministres s’étaient tous assemblés. Et je me suis mis à prier, j’ai dit: «Notre Père qui es aux cieux, que Ton Nom soit sanctifié...» Et aussitôt que j’avais dit cela, une petite tourterelle est entrée par la fenêtre et s’est mise à parcourir la cellule, le rebord de la fenêtre en faisant: Coucou, coucou, coucou. Et tout le temps que je priais, elle allait çà et là, çà et là le long du rebord de la fenêtre. Puis, quand j’ai dit amen, le petit oiseau a déployé ses ailes et s’est envolé.

            Ces ministres se sont relevés et ont dit: «Avez-vous constaté?» Et avant que je puisse dire quoi que ce soit, l’Esprit du Seigneur est venu et lui a dit qu’elle se rétablirait.

            J’ai présentement ses photos, huit mois près. Il m’est arrivé de les apporter ce soir, car c’était pour moi le feu vert pour aller en Afrique, et elle a vraiment embrasé le pays. On affirme qu’il y aurait cent mille personnes à la première réunion.

            Voici sa photo juste avant que je prie pour elle. Voyez-vous cela là derrière? Je pense que c’est un peu difficile. Je pourrais demander à l’un des huissiers de bien vouloir s’avancer ici, prendre cette photo et faire juste un petit tour par là.

            Eh bien, je... Quand je l’ai vue; c’était huit semaines après ceci: on la nourrissait de glucose et autres. Et puis, voici sa photo aujourd’hui. Miracle... Eh bien, c’est madame Florence Nightingale. Son arrière-grand-mère était la fondatrice de la Croix Rouge, et une–une femme vraiment célèbre que...

            Teddy, fiston, voudras-tu venir prendre celle-ci aussi, s’il te plaît, et la faire circuler juste avec toi? Juste descendre les allées et tourner latéralement pour monter cela si tu le peux.

14        Ça fait longtemps, mes chers amis, ici à Jeffersonville. Probablement, sans aucun doute du tout, qu’il y a quelques années, certaines personnes pensaient que j’étais un détraqué mental quand j’avais commencé à parler de Dieu comme étant le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il y avait dans mon coeur quelque chose qui était ancré là, dont je ne pouvais pas me défaire. Je sais qu’un jour Dieu m’accordera le privilège de prouver que c’était vrai, car c’est l’Ecriture.

            Et aujourd’hui, je suis très content d’être dans ma propre ville avec une confirmation divine de la vérité, qui est universellement connue, que ce que j’avais déclaré concernant notre Seigneur Jésus est la vérité, que Dieu a confirmé cela, que c’est la vérité.

            Ne vous lassez jamais de faire le bien, car vous récolterez certainement au moment favorable, si vous ne vous lassez pas. Faites toujours le bien. Et tout ce que Dieu a dit dans Son Livre, croyez cela. En effet, vous pouvez accrocher votre âme à tout trait de la Parole de Dieu. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Eh bien, tout ce qu’Il a promis dans la Parole, Dieu le fera; car Dieu est tenu à Sa Parole.

15        Maintenant, cela peut continuer heure après heure, mais vous avez des enfants; il y a des gens debout dans les rues, dans des allées, dehors, et je–j’aimerais commencer le service de guérison. Et avant cela, j’aimerais parler un peu sur: Les Principes de la guérison divine, avant que nous tenions un service de guérison.

            Mais alors, si jamais je ne revenais de l’Afrique... Je n’en ai aucune assurance. Mais si jamais je ne revenais, mes amis chrétiens, j’ai été véridique et fidèle. Et j’ai servi Dieu, et j’ai fait de tout mon mieux, au mieux de ma connaissance. Et j’apprécie toutes vos prières. Beaucoup parmi vous ici ont prié jour et nuit pour moi. Le fait que j’ai pu faire ces choses pour mon Seigneur, par Sa grâce, c’est parce que vous m’avez soutenu devant le Trône de Dieu dans la prière. C’est grâce à cela. J’apprécie cela, mes précieuses mères et mes précieux papas, de tout mon coeur. Je ne vous oublierai jamais.

            Ainsi donc, si jamais je ne revenais, ce que j’ai déclaré est certainement confirmé par Dieu comme étant la vérité, dans le monde, partout, à travers le–le monde.

16        Et je me rappelle quand j’étais un petit garçon (et ceci est adressé à certains enfants de cette école-ci et d’ailleurs)... Peu importe que vous essayiez de faire ce qui est correct, jeune homme, jeune fille, faites le bien et Dieu vous bénira. Faites toujours le bien. Vous ne pouvez pas aller de ce côté-ci pendant que vous allez de cet autre côté. Attachez-vous toujours au bien, faites le bien, et vous finirez bien.

            Eh bien, quand j’étais un petit garçon, je n’avais pas beaucoup d’amis. Mais j’aimais toujours les gens. Je voulais avoir des amis. Et aujourd’hui que j’essaie de servir Dieu et de faire tout ce que je sais faire, ce soir, je pense avoir environ six ou huit millions d’amis à travers le monde. Cela montre simplement ce que Dieu fera pour vous si vous lui faites confiance. Est-ce vrai? Je suis content d’entendre cet amen. Le mot amen veut dire ainsi soit-il.

17        Et maintenant, j’aimerais lire juste un petit passage des Ecritures dans le Livre. Et avant de le faire cependant, j’aimerais vous dire au revoir. Que Dieu bénisse chacun de vous. Mes remerciements à tous, à vous tous pour ce que vous avez fait pour moi: m’aider, aider ma famille. Quand nous étions dans le besoin, vous êtes venus vers nous. Oh! Combien j’apprécie cela. Et que la petite ville produise des prédicateurs, à partir de cette ville-ci, qui voyageront dans le monde entier et accompliront de grandes choses pour Dieu. Voilà ma prière.

            Maintenant, maintenant, voici ce que j’aimerais déclarer: Je suis content. Les habitants de Jeffersonville, je suis content de savoir ceci, que le responsable de notre école ici est un chrétien dévoué. Que Dieu le bénisse. Il n’a point dit un mot quand nous lui avons demandé cet auditorium. Il nous a aussi dit que nous pourrions avoir le vaste. J’apprécie certainement cela. A tout le personnel, que Dieu le bénisse.

18        Maintenant, dans l’Evangile selon saint Jean, chapitre 5, je souhaiterais lire juste une portion. Vous savez, la foi vient de ce qu’on entend et ce qu’on entend vient de la Parole de Dieu. Est-ce vrai? Très bien. Maintenant, écoutez attentivement alors que je lis.

            Après cela, il y eut une fête des Juifs, et Jésus monta à Jérusalem.

            Or, à Jérusalem, près de la porte des brebis, il y a une piscine qui s’appelle en hébreu Béthesda, et qui a cinq portiques.

            Sous ces portiques étaient couchés en grand nombre des malades, des aveugles, des boiteux, des paralytiques, qui attendaient le mouvement de l’eau.

            Car un ange descendait de temps en temps dans la piscine, et agitait l’eau; et celui qui y descendait le premier après que l’eau avait été agitée, était guéri, quelle que fût sa maladie.

            Là se trouvait un homme malade depuis trente-huit ans.

            Jésus, l’ayant vu couché, et sachant qu’il était malade depuis longtemps, lui dit: Veux-tu être guéri?

            Suivez attentivement.

            Le malade lui répondit: Seigneur, je n’ai personne pour me jeter dans la piscine quand l’eau est agitée, et, pendant que j’y vais, un autre descend avant moi.

            Lève-toi, lui dit Jésus, prends ton lit, et marche.

            Aussitôt cet homme fut guéri; il prit son lit et marcha.

            C’était le jour de sabbat.

19        Le verset 19, quand il fut interrogé sur ce... Maintenant, j’aimerais vous faire remarquer, cela paraît très étrange. Eh bien, notre cas, c’est juste avant la crucifixion, quand Jésus monta à la fête à Jérusalem.

            Et maintenant, combien ici sont malades et ont besoin de la prière ce soir? Faites-nous voir les mains. Elles se lèvent bien de partout. Oh! lala! Regardez donc. Mes amis, ceci est un monde malade, n’est-ce pas? Et considérez le jour où nous avons les meilleurs médicaments qu’on ait jamais utilisés, nous avons les meilleurs médecins qu’on ait jamais eus (Croyez-vous cela?), nous avons les meilleurs établissements hospitaliers, les meilleurs médicaments qu’on ait jamais utilisés, nous avons plus de maladies que le monde ait jamais connues. Aimeriez-vous avoir mon analyse là-dessus? Nous avons plus de péchés et d’incrédulité que le monde ait jamais connus. En voilà la raison exacte. Certainement.

20        Eh bien, quand on parle de la guérison divine, on est... nous devons aborder cela aussi raisonnablement que cela se trouve dans les Ecritures. Or, beaucoup ont mal compris la guérison divine. Certaines personnes pensent que la guérison divine est une espèce de (Savez-vous?), de supercherie exercée sur les gens, faire une espèce de–d’incantation sur eux afin qu’ils se rétablissent, ou quelque chose comme cela, ou l’hypnotisme. C’est une erreur. La Bible enseigne la guérison divine pour ce jour-ci et la guérison divine tout au cours de l’âge.

            Eh bien, Dieu a toujours pourvu à une voie pour que les gens soient guéris. Il a donné cela à l’époque, lors du pèlerinage d’Israël. Il avait le serpent d’airain. Après la disparition du serpent d’airain, quand les gens en avaient fait une idole, alors le prophète a brisé le serpent en morceaux, il l’a taillé en pièces, il l’a jeté.

            Puis, Dieu faisait descendre un ange dans une piscine d’eau, appelée en hébreu Béthesda, au marché des brebis, là où on apportait les brebis, à la porte de Damas, à Jérusalem. Si le Bienveillant Seigneur le veut, d’ici quelques semaines, on visitera ce lieu même dont nous parlons.

21        Il y avait une–une–une piscine là, au marché. Et de temps en temps, un ange descendait et agitait l’eau. Eh bien, combien savent ce que c’est l’eau agitée, ceux qui habitent ici à la rivière? De l’eau agitée, c’est quand un courant d’eau va dans un sens, et les vagues, dans un autre: clapotant; ça fait de l’eau agitée et une eau très dangereuse.

            Les gens croyaient alors que c’était un ange, ce que Dieu avait confirmé, qui descendait. En effet, il n’y avait pas de courant d’eau, mais cela était juste de l’eau un peu agitée, clapotant. Et les gens étaient couchés là, en grand nombre.

            Maintenant, écoutez ce que les Ecritures déclarent: Les boiteux, les estropiés, les aveugles, les paralytiques. Quel spectacle de l’humanité souffrante, attendant le mouvement de l’eau! Et alors, tout celui qui entrait dans l’eau le premier, après que l’eau fut agitée, était guéri, quelle que fût sa maladie, car le... toute la vertu de l’ange qui était dans l’eau allait vers l’individu et le guérissait de sa maladie. Eh bien, croyez-vous que c’est la vérité? Je le crois, car cela est dans les Ecritures. Et c’est pourquoi je crois que c’est la vérité. Je crois que c’était un ange, pas une superstition, pas la théologie de quelqu’un. C’était un ange que Dieu envoyait du Ciel pour servir les malades et les nécessiteux.

            Maintenant, si Dieu a pris des dispositions dans le... dans chaque âge, ne serait-ce pas plus que juste, que Dieu prenne des dispositions dans cet âge-ci pour les malades? Eh bien, Il en a prises.

22        Remarquez. Eh bien, Jésus monta à cette piscine, à Jérusalem. Il traversa le marché, Il alla vers cette grande foule de l’humanité. Combien parmi vous croient qu’Il était le Fils de Dieu? Il était plein d’amour et de compassion, n’est-ce pas?

            Eh bien alors, cela ne paraît-il pas étrange que notre Tendre Jésus dépasse ce grand nombre de boiteux, d’estropiés, d’aveugles et de paralytiques, et qu’Il ne guérisse qu’un seul homme qui peut-être souffrait du coeur, ou du diabète, ou de quelque chose comme cela; et qu’Il abandonne cette grande foule d’estropiés couchés là-bas? Je pense que s’Il devrait leur dire à eux tous...

            Pensez-y donc, cette petite assistance ce soir ne représenterait qu’une poignée à côté de ce grand nombre qui était couché là-bas. Un grand nombre est constitué de plus de deux mille, un grand nombre. Il est difficile de dire combien de milliers étaient là, des boiteux, des aveugles, des paralytiques. Il a guéri un seul homme, Il s’en est allé et Il a laissé tous les autres là.

            Eh bien, cela ne... Si vous regardez cela sous un bon angle, eh bien... Notez, c’était étrange que le Fils de Dieu n’ait guéri qu’une seule personne et qu’Il ait laissé toute la foule couchée là. Cela paraît étrange, n’est-ce pas? On dirait qu’Il devrait les guérir eux tous. Et je pense que s’Il avait dit: «Vous tous, vous êtes guéris», je pense qu’ils auraient été tous rétablis. Croyez-vous cela?

23        Mais maintenant, quand les Juifs L’ont interrogé, écoutez ce qu’Il a dit:

            Jésus reprit donc la parole, et leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu’il voit faire au Père; et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement.

            Car le Père aime le Fils, et lui montre tout ce qu’il fait; et il lui montrera des oeuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l’étonnement.

            Or, Jésus dit cela de Lui-même, qu’Il ne pouvait rien faire; qu’Il ne pouvait faire que ce que le Père Lui montrait. C’est l’Ecriture. Jésus a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi qui fait les oeuvres.» Est-ce vrai? Dieu...

24        Aucun homme ne peut s’attribuer les mérites de la guérison, même pas un médecin. Il n’y a aucun médecin qui puisse vous guérir. Eh bien, les médecins vous accorderont une assistance, ils effectueront une intervention chirurgicale, des choses qui sont nécessaires; mais vous n’avez jamais entendu un médecin dire qu’il pouvait vous guérir; en effet, il ne le peut pas. Il n’y a qu’un seul Guérisseur, et c’est Dieu.

            Maintenant, dans le Psaume 103.3, il est dit:

            Mon âme, bénis l’Eternel! Et n’oublie aucun de ses bienfaits! C’est Lui qui pardonne toutes tes iniquités,

            Qui guérit toutes tes maladies.

            Maintenant, je n’ai jamais... J’ai reçu des critiques très acerbes. Certaines personnes qui pratiquent la guérison divine ne croient pas au médecin. Vous avez... vous pouvez avoir vos propres opinions là-dessus, mais moi, je crois dans les médecins. Je crois que c’est Dieu qui les a placés ici sur terre et qu’ils sont Ses assistants. Mais aucun d’eux ne peut vous guérir. Ils peuvent placer un os, arracher une dent, mais s’ils–s’ils arrachent une dent, qui va rétablir l’alvéole d’où elle a été arrachée? S’ils placent un os, ils peuvent assembler cela; ils examinent par les rayons X, vérifiant s’ils ont mis cela correctement, mis l’os en place. Mais qui va vous guérir? Qui va produire le calcium et des matières qui vous guérissent?

25        Voyez combien c’est simple. De tous nos médicaments efficaces que nous avons aujourd’hui, il n’y en a aucun au monde qui puisse guérir une entaille faite à la main avec le couteau. Saviez-vous cela? Nous n’avons pas de médicament qui guérirait une entaille faite avec le couteau. Et si... N’importe quel médicament qui guérirait une entaille à la main faite avec le couteau guérirait une déchirure à mon manteau faite avec le couteau. «Eh bien, direz-vous, Frère Branham, là, on va à l’extrême.» Eh bien, cela guérirait l’entaille faite avec le couteau, c’est ce dont je parle. «Eh bien, direz-vous, Frère Branham, le médicament a été fait pour votre corps (C’est exact) et non pas pour votre manteau.» C’est exact. Eh bien, nous allons découvrir Qui est le Guérisseur?

26        Maintenant, nous savons que le médicament a été fabriqué pour le corps. Mais maintenant, un exemple. Je me blesse ici à la main, je tombe mort à l’estrade, et on m’amène peut-être à la morgue, chez l’entrepreneur des pompes funèbres. Ils ont un fluide avec lequel ils peuvent embaumer mon corps, de sorte que je conserve un air naturel pendant les cinquante prochaines années. Et nous pourrons envoyer, ou même, on m’amène à la clinique Mayo, et on les laisse soigner cette main-là chaque jour, pendant cinquante ans. On y met toute la pommade, le mercurochrome, la pénicilline qu’on peut mettre dans mon corps. Et dans cinquante ans, cette blessure sera là exactement telle qu’elle était au moment où elle avait été faite par le couteau. Est-ce vrai? Assurément. Vous direz: «Certainement, Frère Branham, la vie a quitté votre corps.» J’aimerais alors vous demander qui est le guérisseur; est-ce le médicament ou la vie? La vie, exact. Eh bien, si donc vous me montrez et que vous ôtez de vous cette partie qui est la vie ou la nature, je peux vous montrer quelle partie de vous est Dieu. Dieu est la Vie. Vous y êtes. C’est donc Lui le Guérisseur, le Guérisseur de toutes les maladies.

27        Il n’y a pas longtemps, j’étais interviewé. Je suis allé me faire examiner à la clinque Mayo, la plus grande du monde. Ils m’ont fait passer un bon examen. Et c’est une bonne chose d’aller se faire examiner de temps en temps. Mais quand j’ai subi cet examen là-bas à la clinque Mayo, quelque complet qu’il fût pour ainsi dire, je n’ai jamais eu d’autres examens que chez mon propre petit médecin ici, docteur Sam Adair, ici dans la ville. Il peut me faire suivre le même genre d’examen et, à mon avis, il est tout aussi bon médecin que ceux qu’on a là-bas. Et je ne dis pas cela pour lui faire de la publicité; je le dirais à travers le monde.

28        Mais remarquez. Après qu’on m’eut examiné, ils ont eu l’occasion de m’interviewer. Et alors, ils parlaient du travail, ils ont dit: «Révérend Branham, ont-ils dit, nous ne confessons pas être des guérisseurs ici.» Ils ont dit: «Nous confessons seulement assister la nature. Il n’y a qu’un seul Guérisseur, et c’est Dieu.»

            J’ai dit: «C’est exact. J’accepterai cela à cent pour cent.» Et l’une des choses qui ont ravi mon coeur l’autre jour, après avoir été patient là-bas, et la clinique Mayo m’avait dit que j’étais un... qu’il n’y avait pas d’espoir pour moi de me rétablir... Je n’avais jamais pesé plus de cent trente livres [58,9 kg] de toute ma vie, cent trente-cinq [61 kg], je pense, une fois, et maintenant, je pèse cent cinquante-cinq livres [68 kg] et je jouis d’une parfaite santé. La prière change les choses.

            Les meilleurs médecins de là en Afrique du Sud et en Angleterre avaient dit à madame Florence Nightingale qu’elle était un cas désespéré. Mais elle est là. La prière change les choses.

29        Or, Jésus a dit qu’Il ne pouvait faire que ce que le Père Lui montrait. Eh bien, vous avez vu les journaux et certains des magazines qui tiennent la tête de file, ils ont écrit à mon sujet, disant: «Frère Branham, le guérisseur divin.» Eh bien, c’est une erreur. Je ne suis pas un guérisseur divin ni aucun autre homme n’est un guérisseur divin. Même Christ ne soutenait pas être un Guérisseur divin. Il affirmait seulement faire ce que le Père Lui montrait de faire. Est-ce vrai? Il n’était pas un Guérisseur; Il ne prétendait pas l’être. Il disait: «Ce n’est pas Moi, c’est Mon Père.» Et si Christ, le Fils de Dieu, ne prétendait pas être un Guérisseur, à combien plus forte raison un pauvre pécheur comme moi-même ne peut prétendre être un guérisseur. Cela se fait uniquement par un don divin, pour relever la foi des gens.

            Eh bien, Jésus, quand Il était ici sur terre, Il servait les malades et les nécessiteux. Environ soixante-dix pour cent de Son ministère, ou plus, étaient basés sur la guérison divine; cela attire l’attention des gens. Cela les captive, à la pensée de...

            Autrefois, le diable avait dit à Job la chose correcte, en disant: «Qu’est-ce qu’un homme ferait pour sa peau?» C’est vrai. Un homme ferait n’importe quoi pour se rétablir quand il est malade. Peut-être que vous n’avez pas encore atteint ce point-là. Mais il peut arriver des fois où vous atteignez ce point-là, comme madame Morgan, ou certains parmi ces autres ici présents, qui ont été guéris par la guérison divine.

30        Eh bien, la première chose qu’une personne fait quand elle tombe malade, peut-être qu’elle a à la maison quelques médicaments et autres comme cela, vous essayez. La chose suivante, c’est que–c’est que peut-être, vous faites venir un médecin. C’est la chose raisonnable à faire. Si le médecin ne peut rien faire de bien pour vous, alors vous avez le droit d’aller auprès de Dieu. Ce–c’est ce que vous devez faire: invoquer Dieu, et Dieu est l’Auteur des circonstances. Il peut–Il peut agir quand rien d’autre ne peut agir. Quand l’homme en arrive au bout du rouleau, Dieu peut agir.

            Eh bien, remarquez. Et n’oubliez jamais ceci, vous qui êtes étendus ici, malades et nécessiteux: une bonne attitude mentale envers n’importe laquelle des promesses divines de Dieu la fera s’accomplir. Quand vous croyez, et que vous prenez Dieu au Mot, vous dites que c’est vrai, vous croyez que c’est vrai, Dieu fera s’accomplir cela.

            J’espère que je ne suis pas en train de crier après vous; cette histoire fait vraiment sortir la voix maintenant. Exact. Une bonne attitude mentale envers n’importe laquelle des promesses divines de Dieu la fera s’accomplir. Si vous êtes un pécheur, confessez vos péchés. Croyez que Dieu vous a sauvé, et puis mettez-vous à en témoigner, disant aux gens que vous êtes sauvé. Cela produira la justice. Peu après, vous deviendrez un chrétien. Croyez-vous cela?

31        Maintenant, regardez, dans Hébreux 3 et 1, Jésus-Christ est le Souverain Sacrificateur de notre confession. Il est ce que nous confessons qu’Il est. Et toute bénédiction rédemptrice pour laquelle Il est mort, Il est assis à la droite du Père ce soir, pour confirmer tout ce que vous acceptez en Lui. Oh! lala! J’espère que vous saisissez cela.

            Regardez [Frère Branham frappe sur la chaire.–N.D.E.], mes chers amis, ceci n’est pas du fanatisme, non pas un petit quelque chose monté de toutes pièces dans un coin. Il y a environ sept ou huit ans, des gens disaient que ce programme ne pouvait pas être exécuté, qu’il ne le sera jamais. Mais quand l’Ange du Seigneur m’est apparu là-bas sur le rivage de Greens Mill, là dans cette petite cabane cette nuit-là, Il m’a dit de partir, et que je prierais pour les hommes d’Etat, des grands hommes, des rois et des monarques, que cela balayerait le monde entier. Et aujourd’hui, il y a un réveil qui balaye le monde, il tire son origine de Jeffersonville, Indiana. Amen. Oh! Comme c’est merveilleux!

32        Aujourd’hui, des rois, des chefs, des grands hommes, ils ne traitent pas cela de fanatisme. Eh bien, je vais accepter que le diable a des épouvantails le long de la route. Il a des gens qui essaient d’imiter quelque chose. Il a des gens... Le diable a des gens qui imitent un chrétien, qui cherchent à faire croire aux gens qu’ils sont des chrétiens alors qu’ils ne le sont pas. Mais cela ne dévalue pas un vrai chrétien. A mon avis, cela le met en évidence.

            Et c’est pareil pour la guérison divine. Il y a des gens qui vont çà et là avec un tas d’émotions et de fanatismes, ils appellent cela la guérison divine. Cela ne dévalue pas la Parole de Dieu, ainsi que Sa mort à la croix. Cela met seulement la chose en évidence, que c’est vrai. Car, tant qu’il y a une contrefaçon, il doit y avoir un article authentique à partir duquel cela a été contrefait. C’est uniquement une confirmation qu’il y a un article authentique.

33        Maintenant, remarquez, nombreux ont été les épreuves, les chagrins, et les difficultés; mais ce soir nous sommes plus que vainqueurs en Jésus-Christ. Quand Christ mourut à la croix, Il fut blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui; et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. C’est la pure Parole de Dieu. Exact.

            Eh bien, alors, Il a mis au Calvaire ces grandes choses et tout... Le voici; j’espère que vous voyez cela. Regardez. Chaque croyant chrétien a droit à n’importe laquelle de ces bénédictions rédemptrices pour lesquelles Jésus-Christ est mort. Vous voilà en marche. Mais on ne s’en sert pas. Les gens ont peur de prendre Dieu au Mot. N’ayez pas peur. Dieu est tenu de confirmer cela.

34        Regardez les gens ici: Des petits enfants affligés assis ici; des gens là dans l’assistance, certains parmi vous rongés par le cancer, des maladies du coeur, et des choses dont vous ne pouvez pas guérir par–par le traitement médical. Et puis, Satan vient et cherche à vous dérober l’unique espérance que vous avez? Si vous me permettez cette expression devant un groupe de croyants: «La qualité se révèle à l’usage.» Il y a ici des gens au sujet desquels nos propres médecins de la ville et des alentours avaient déclaré qu’ils ne pourraient pas vivre plus longtemps, et ils sont des témoins vivants et des témoignages vivants ce soir de la puissance de Jésus-Christ ressuscité. Comment pouvez-vous douter?

            Regardez, il y en a couchés ici devant moi. Evidemment, c’est juste une petite réunion d’une soirée. Parfois, ils sont étendus par milliers. Mais je pense que si je rassemblais les témoignages sur ce que j’ai vu s’accomplir, avec des preuves irréfutables, les médecins en ont témoigné, durant les six dernières années que j’ai passées sur le champ de travail, cela dépasserait plus de cent mille. Et j’ai vu le cancer sarcome être guéri par une bonne attitude mentale envers la Parole divine de Dieu (C’est vrai), si vous croyez Cela, que vous acceptiez Cela.

35        Peu importe à quel point vous êtes pécheur, peu importe à quel point vous vous êtes plongé dans le péché, si vous regardez à Jésus-Christ et que vous croyiez en Lui comme votre Sauveur et que vous confessez qu’Il l’est, Dieu vous sauvera par Sa grâce. Peu importe à quel point vous êtes tombé bas dans la maladie, peu importe la gravité de votre état, si le serviteur de Dieu, le médecin, vous a abandonné, après avoir fait de tout son mieux, vous avez le droit d’accepter Jésus-Christ comme votre Guérisseur et d’être guéri.

            Il y en a qui sont assis ici même ce soir: des preuves irréfutables; ce n’est pas quelque chose qui est arrivé dans la rue, mais quelque chose qui s’est accompli ici.

36        Eh bien, aucun homme ne peut vous guérir. Quand un prédicateur arrive, ou n’importe qui d’autre, et dit: «Eh bien, j’ai la puissance de la guérison», c’est une erreur. La puissance de la guérison réside au Calvaire, pas dans un homme; au Calvaire.

            L’autre soir, je disais dans une conférence internationale, où plusieurs, plusieurs milliers étaient assis ensemble, je disais: «Je trouve deux groupes de gens dans le monde. L’un d’eux, c’est le groupe de fondamentalistes. Côté position, ils savent. Et l’autre, c’est le groupe des gens du plein Evangile qui a la chose et qui ne le sait pas. C’est comme un homme qui a beaucoup d’argent à la banque, mais il ne sait comment remplir un chèque. L’autre n’a pas d’argent à la banque, mais il sait remplir un chèque. Si jamais vous pouvez mettre les deux ensemble, vous aurez alors quelque chose.»

            Si vous pouvez vous rendre compte que vous êtes fils et filles de Dieu par la mort de Christ, et que vous ayez un chéquier en main pour tirer les dividendes du Calvaire, pour lesquels Christ est mort (Amen. C’est vrai.), n’ayez pas peur. Mettez cela à l’oeuvre. Que votre foi soit mise en action, déployez-la.

37        Regardez, il y en a couchés ici ce soir, ici présents, ils se meurent devant moi. Il y a des gens assis ici, étendus ici qui seraient morts d’ici quelques semaines, si la miséricorde n’avait pas été manifestée quelque part. Quel genre de personne serais-je? Dieu me tiendrait pour responsable au jour du Jugement si j’égarais quelqu’un. Mais si je connais un remède efficace pour vous et que je peux vous le présenter, ça sera une bénédiction.

38        Remarquez, juste quelques instants maintenant et nous allons commencer la ligne de prière. Maintenant, tout ce qu’un prédicateur peut faire, c’est vous prêcher le salut par la croix. Il ne peut pas vous sauver. Il n’y a aucun prédicateur qui vous dit qu’il peut vous sauver. Il vous demande d’accepter ce que Jésus a déjà accompli. Est-ce vrai? Combien parmi vous sont pasteurs et font cela? Levez la main. Assurément, vous acceptez Christ. Maintenant, il peut prêcher, mais il ne peut pas sauver; mais il vous indique le Calvaire. Vous acceptez cela, puis quand vous vous avancez, vous dites: «Maintenant, j’accepte Jésus comme mon Sauveur personnel», vous croyez dans votre coeur que vous êtes sauvé.

            Or, les critiqueurs à l’extérieur diront: «Oh! John, il n’y a aucun changement en toi. Eh bien, tu as toujours le même aspect que tu...» Mais vous pouvez avoir le même aspect; vous pouvez ne rien sentir de différent; mais dans votre coeur, vous croyez que vous êtes différent. Voyez? Ensuite, vous confessez que vous êtes différent. «Quiconque Me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant le Père et les saints anges.»

39        Maintenant, si vous croyez que vous êtes mieux, qu’ensuite vous dites que vous êtes mieux, agissez comme étant mieux. Vous voyez? Vous dites: «Oui, monsieur, je suis–je suis sauvé.» Vous vous associez à ceux qui sont sauvés. Vous croyez que vous êtes sauvé. Vous agissez comme étant sauvé, et cela produit la justice. Est-ce vrai? C’est vrai, car Il a été blessé pour vos péchés, Il est assis à la droite du Père confirmant tout ce que vous confessez.

            Eh bien, et si vous avanciez à l’autel et que vous disiez: «Eh bien, je ne sais pas», mais que, dans votre coeur, vous croyiez que vous êtes sauvé, et vous ne dites rien à ce sujet? Vous ne serez jamais sauvé avant de le croire, de l’accepter et de le confesser.

40        Eh bien, c’est pareil avec la guérison divine. «Madame, vous êtes très malade. Vous, vous, vous, vous, les cas de brancards ici, probablement à l’article de la mort. Je ne vous connais pas. Je ne reconnais personne parmi vous. Et la fillette ici, je ne la connais pas. Et d’autres, ici, je ne vous ai jamais vus de ma vie; mais je vous apporte, ma soeur, le Message que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Son amour et Son attachement à vous est comme toujours. Il n’y a aucune autre chose qu’Il puisse faire dans Son grand Royaume pour vous guérir, car Il a déjà fait cela. Il y a mille neuf cents ans, quand Il mourait, Il a sauvé chaque créature sur terre. L’a-t-Il fait? Il l’a certainement fait. «L’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde.»

            Or, cela ne vous fera aucun bien avant que vous l’acceptiez. Est-ce vrai? Voyez? Il vous a sauvé jadis. Le Sang s’est répandu sur la terre: «Père, pardonne-leur; ils ne savent pas ce qu’ils font.» Mais maintenant, vous êtes sous la miséricorde, quand... vous avez le libre arbitre. Mais quand la vie quitte votre corps et que vous entrez dans la Présence de Dieu, vous êtes déjà jugé, car Dieu a déjà jugé le péché. Alors: «Il a été blessé pour vos péchés; c’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéri.» Et comment quelqu’un peut-il faire maintenant ce que Jésus a fait il y a mille neuf cents ans? Vous y êtes. Vous ne le pouvez pas.

41        Maintenant, tout ce qu’un prédicateur peut faire, c’est prêcher l’Evangile, vous dire la vérité. Et vous croyez cela, vous acceptez cela, vous agissez sur base de votre confession. Vous sortez, vous dites que vous êtes guéri. Vous croyez que vous êtes guéri. Vous agissez en conséquence. Vous dites: «Frère Branham, devrais-je faire cela avant que cela...» Vous ne sentez rien, jamais. Jésus n’a jamais dit: «Avez-vous senti cela?» Il disait: «Avez-vous cru cela?» C’est par la foi, pas par le sentiment. Vous n’êtes pas sauvé par le sentiment. Eh bien, le diable peut vous flouer partout dans le pays, en disant que c’est par vos sensations. Je ne suis pas sauvé parce que je sens que je suis sauvé. Je suis sauvé parce que la Parole de Dieu déclare que je suis sauvé.

42        Maintenant, et écoutez, juste un instant. La Parole de Dieu vaincra le diable n’importe où, partout, n’importe quand dans n’importe quelle circonstance. Quand Jésus était ici sur terre, le Père était en Lui. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Nous croyons cela. Toutes les bonnes qualités étaient en... qui étaient dans le Père étaient en Lui. Mais quand Il a rencontré Satan, regardez comment il avait agi. Il a mis cela à votre portée, et à la vôtre, à la vôtre, et à celle de vous tous. Voyez? Il ne s’est jamais servi de Son grand don.

            Quand Satan est arrivé et a dit: «Si tu es le Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent des pains.» Il a dit: «Il est écrit: L’homme ne vivra pas de pain seulement.» Il L’a amené au sommet du temple. Jésus a dit: «Il est écrit.» Il L’a amené sur une haute montagne, il Lui a montré les royaumes du monde, il a dit: «Je te les donnerai tous, si tu te prosternes et m’adores.» Jésus a dit: «Il est écrit.» Voyez? Chaque fois: «Il est écrit», la Parole.

            La Parole de Dieu est une Semence. Acceptez-La dans votre coeur: croyez-La; arrosez-La; témoignez-En; et prenez Cela d’après votre propre besoin, et Dieu La fera s’accomplir.

43        Maintenant, vous dites donc: «Frère Branham, qu’est-ce qui rend votre ministère si remarquable?» Cette dernière déclaration.

            Quand j’étais un petit garçon, je suis né ici dans le comté de Cumberland, dans le Kentucky, dans une petite cabane en rondins. Ma chère vieille mère est assise ici ce soir dans cet auditorium. Elle avait quinze ans à ma naissance. Mon père en avait dix-huit.

            Le matin où je suis né, il se tenait là avec ses (ce qu’on m’a rapporté), avec ses mains dans les bavettes de sa salopette. Et par une drôle de petite fenêtre sur le côté de la hutte, après ma naissance, une Lumière est entrée, par cette fenêtre-là, Elle s’est posée là où j’étais. Elle m’accompagne depuis ce jour-là jusqu’aujourd’hui.

44        Quand j’étais un enfant, vingt-deux ans avant que ce beau pont ait enjambé la rivière, j’étais dans la cour, chez nous, j’ai vu ce pont traverser la rivière et j’ai vu des hommes perdre leur vie là-dessus. Ma mère pensait que j’étais nerveux.

            Ici même chez Wathen, à Utica Pike, quand je transportais de l’eau dans deux petits sceaux à sirop, du buisson s’est fait entendre un son: Whooush. [Frère Branham émet un bruit de vent.–N.D.E.] Je n’ai pas vu des feuilles bouger sous l’effet du vent, nulle part, j’ai levé les yeux dans l’arbre, on dirait, de la taille d’un tonneau, parcourant l’arbre. Et de là a retenti une voix audible, disant: «Ne fume jamais, ne bois jamais ni ne souille ton corps d’aucune manière. Il y aura une oeuvre pour toi à accomplir quand tu seras devenu plus grand.»

            Je suis chez moi. Je suis parmi les miens. Je suis parmi des jeunes dames que j’ai fréquentées dans ma jeunesse. Je suis parmi les jeunes garçons ici, mes amis avec qui j’ai joué. Je vous demande aujourd’hui si vous m’avez déjà vu fumer, boire ou être ivre, ou–ou me souiller de–de quelque manière que ça soit. Absolument pas. Je ne l’ai pas fait. Ce n’est pas par ma bonté, mais c’est par Sa miséricorde, Sa volonté prédestinée pour moi, de faire ceci.

45        Plus tard, je suis devenu un prédicateur. Vous vous rappelez très bien quand l’Etoile était apparue ici à la rivière, cette Lumière-là. Elle est apparue: nous avons Cela accroché maintenant à Washington, D.C. L’unique fois au monde, jusqu’à ce temps-là, où on ait pu produire des preuves scientifiques de l’existence d’un Etre surnaturel; cela a été confirmé par le FBI, que c’était absolument un Etre surnaturel. Cela entre dans des réunions. Il est ici même à l’estrade maintenant. Et ce n’est pas moi; je n’ai rien à faire avec cela. C’est l’Ange du Seigneur. Et Il est ici maintenant.

            Un homme peut parcourir cette contrée, vous dire n’importe quoi, un prédicateur peut dire n’importe quoi. L’homme est sujet aux erreurs et il raconte des histoires. La parole d’un homme reste la parole d’un homme. Mais quand Dieu dit que c’est vrai, alors croyez cela, car c’est vrai. Dans les quelques minutes qui vont suivre, la Parole de Dieu vaudra plus que toutes les paroles que je peux prononcer.

46        Je suis né... Je crois que les dons et les appels sont sans repentir. Combien de chrétiens croient cela? Ce n’est pas ce que vous essayez de vous efforcer à faire qui compte; c’est ce que vous devez être, de par votre naissance. Voyez? Jadis lors de la formation... Vous commencez dans votre germe de vie, quand vous étiez sous forme de germe de vie dans votre arrière-grand-père. C’est scripturaire. Lévi a payé la dîme pendant qu’il était dans les reins d’Abraham, son grand-père. Voyez? Très bien, mais votre germe, votre vie, votre âme, cela tire son origine dans la création de Dieu au début. Jésus n’a-t-Il pas dit à Ses disciples: «Je vous ai connus avant la fondation du monde»? Il nous a appelés, Il nous a ordonnés à être des prédicateurs de l’Evangile, et autres; c’est la prédestination de Dieu.

47        Eh bien, combien... Maintenant, ici présents, en travaillant... Maintenant, suivez. Jésus a dit... Merci, Teddy. [Frère Branham parle à frère Teddy.–N.D.E.]

            Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez de plus grandes, car Je m’en vais au Père.» Est-ce vrai? Le croyez-vous?

            Maintenant, vous les malades, regardez ici une minute maintenant. Croyez-vous que c’est la vérité, que Jésus a dit dans Saint Jean 14.7, ou plutôt–ou plutôt je veux dire 14.12: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez de plus grandes, car Je m’en vais au Père»? Et Jésus a clairement déclaré... Maintenant, suivez. Et vous là dehors, j’espère que vous suivez. Jésus a clairement déclaré qu’Il ne pouvait rien faire de Lui-même, mais que ce que le Père Lui montrait à accomplir, en vision, c’est ce qu’Il faisait. Est-ce vrai?

48        Maintenant, voyons comment ça marche. Après qu’Il eut fait Ses déclarations sur ce qu’Il était, Philippe fut converti, il alla trouver Nathanaël. Et quand il trouva Nathanaël, Nathanaël... Il a dit: «Viens voir Qui j’ai trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

            Et qu’est-ce que Nathanaël a dit? Eh bien, vous les enseignants de la Bible, ici, qu’a-t-il donc dit? Il a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?» Une ville mesquine, méchante, mauvaise, pire que Jeffersonville. Et puis...?... Ainsi donc, il a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Il a dit: «Viens, et vois.»

            Et quand il est arrivé là où était Jésus, Jésus était dans la ligne de prière. Et quand Nathanaël s’est approché, Jésus a dit: «Voici vraiment un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» En d’autres termes–en d’autres termes: «Tu es un bon chrétien, un homme véridique.»

            Et Nathanaël fut surpris, et il a dit: «Quand m’as-Tu connu, Rabbi?» Ou Docteur, ou Révérend.

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Est-ce l’Ecriture?

            Eh bien, et si Philippe avait dit... ou plutôt, si Nathanaël avait dit, comme beaucoup de gens disent aujourd’hui: «C’est la lecture de vos pensées; c’est de la télépathie mentale»? Eh bien alors, les Script... auraient... la chose ne se serait jamais accomplie. Mais il a dit: «Tu es le Fils de Dieu.» Est-ce vrai?

49        Quand la femme était au puits, Il lui a révélé son péché, combien de maris elle avait eus. Est-ce vrai? Il savait là où se trouvait un poisson qui avait une pièce d’argent dans sa bouche. Dieu Lui avait montré où était couché un homme qui souffrait d’une–d’une maladie. Et Il faisait tout comme le Père Lui montrait de faire.

            Eh bien, si je venais, mon frère et ma soeur, ce soir et que je vous disais que l’esprit d’un grand artiste était en moi, vous vous attendriez à ce que j’étale une toile ici sur place et que je peigne un tableau comme l’artiste le peindrait. Est-ce vrai? Si l’esprit de l’artiste était en moi.

            Et si je vous disais que l’esprit d’un criminel, John Dillinger, était en moi, alors vous vous attendriez à ce que j’aie de grosses armes et que je sois un hors-la-loi comme John Dillinger. Si son esprit est en moi, j’agirai comme lui. Et si nous sommes chrétiens et que l’Esprit de Christ est en nous, nous ferons les oeuvres de Christ.

50        Eh bien, comme je l’ai dit auparavant, je ne peux rien–rien faire du tout, sinon ce qu’Il me montre. Eh bien, dans des réunions... [Je suis désolé, j’ai tiré là-dessus, frère.] [Quelqu’un répond: «C’est en ordre.»–N.D.E.] Eh bien, dans des réunions, je parle par la vision. Je ne peux pas guérir, mais je vois ce qui cloche chez le patient. Je peux lui dire par l’Esprit de Dieu quoi faire et ce qui en sera l’issue. Cela remontera dans le passé et vous dira les choses passées, dans votre vie, puis cela va les faire ressortir ici. Si vous savez que c’est vrai, alors à partir d’ici, cela va vous dire ce qui arrivera, observez et voyez si ce n’est pas vrai. Cela ne faillit jamais.

51        Maintenant, un autre cas. Il y a quelques semaines, j’étais à Los Angeles. M’entendez-vous au fond? Levez la main si vous le pouvez.

            J’étais à Los Angeles, en Californie, je tenais des réunions. Eh bien, écoutez ça, juste comment se déroule la réunion avant que nous commencions. Je prie, je jeûne. Je reviens d’une réunion. J’étais parti depuis donc deux jours. Je suis à la maison, et je suis revenu à la maison, il y a quelque temps. Je me mets à l’écart et je prie, je ne mange pas, je jeûne, j’attends. Et Quelque Chose descend, s’empare de ma vie, de mon corps, et je ne suis plus moi-même. Non plus...

            Cette lampe ne peut pas dire: «Voyez-vous quelle lampe je suis?» Ce n’est pas cette ampoule qui produit la lumière; c’est le courant qui passe dans l’ampoule qui produit la lumière. Et avant qu’il y ait une quelconque lumière là-dedans, il doit y avoir un interrupteur pour établir le contact, et alors la lumière jaillit.

52        Eh bien, quand Il parle au travers de moi, je sais ce qu’Il me dit. Je vois cela juste comme je regarde ici. Mais quand Il ne parle pas, je ne peux rien dire. Ou dans la réunion, là, je monte simplement à la chaire. Alors, aussitôt entré, j’ai regardé, j’ai vu un tas de foin se matérialiser simplement devant moi. J’ai commencé à en parler. J’ai vu un petit garçon se fracturer sur une charpente à foin. Je l’ai vu, des années plus tard, vendre des livres dans un fauteuil roulant ou quelque chose comme cela. Je l’ai vu devenir un grand homme dans un grand bureau, là où les hommes portaient une espèce de cols ronds. Je me suis mis à en parler. Mon organisateur est venu vers moi, ou l’un des prédicateurs, et il a dit... Et j’ai vu l’homme assis là derrière dans l’assistance. J’ai dit: «Cet homme est assis là.» Il a amené un fauteuil roulant et tout...

            J’ai dit: «Cet homme est assis là même. Il est dans une certaine église.»

            Quelqu’un est venu vers moi et il a dit: «Savez-vous qui c’était?», l’un de mes organisateurs.

            J’ai dit: «Non.»

            Il a dit: «C’est Upshaw, le membre du Congrès. Avez-vous déjà entendu parler de lui?»

            J’ai dit: «Non, monsieur.»

            Il a dit: «Il avait postulé comme président.»

            J’ai dit: «Cela... Je ne me souviens pas de lui.»

            Et il a dit: «Il est invalide, estropié depuis soixante-six ans.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Et il a dit–il a dit: «Eh bien, que va-t-il arriver?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas.»

53        Et j’ai vu sa femme prier avec lui. Je me retournais pour dire: «Faites venir la personne suivante dans la ligne de prière.» Et quand la personne suivante commençait à venir, j’ai vu par ici devant moi: il y avait un médecin, un homme mince, aux lunettes en écailles, il portait une paire de ce genre, je ne sais quoi on porte sur la tête pour regarder dans la gorge. Il était découragé; il secouait la tête. J’ai dit: «Je vois un médecin mince. Il secoue la tête. Il–il vient d’effectuer une intervention chirurgicale sur une petite fille de couleur; cela l’a paralysée. Et elle est paralysée depuis les épaules jusqu’en bas.»

            Et je me suis retourné, j’ai dit à mon frère: «Faites venir votre patient.» Et alors, là loin en bas, là à l’intérieur, j’ai entendu quelqu’un lâcher un cri, et j’ai regardé. Il y avait là un brancard d’hôpital, du genre de ce qu’il y a par ici, et une vieille femme de couleur rampant sur ses genoux, suivait derrière en criant: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi.» Alors, j’ai regardé, il y avait une petite fille de couleur que j’avais vue en vision. Elle a dit: «Seigneur, miséricorde!» Elle a dit: «Pasteur, vous avez décrit exactement le genre de médecin que c’était. Est-ce que Dieu permettra à mon enfant de vivre?»

            J’ai dit: «Tantine, je ne sais pas.» J’ai dit: «Je ne peux que dire ce que je vois.»

            Et elle a dit: «Ô Dieu, aie pitié, aie pitié», continuant à pleurer. La petite créature est paralysée. Elle est...

            J’ai dit: «Il y a de cela environ deux ans, n’est-ce pas, tantine?»

            Elle a dit: «C’est ça, monsieur.»

            Et je me suis retourné pour appeler un patient. J’ai regardé, j’ai vu quelque chose devant moi. Et j’ai vu quelque chose se matérialiser, on dirait une route. Mais c’était une rue, et dans cette rue-là, descendait cette petite fille de couleur avec une poupée sur son bras, marchant comme ceci. Frère, soeur, tous ces démons de l’enfer ne pouvaient pas arrêter alors cela. J’ai dit: «Tantine, votre foi a sauvé l’enfant; elle est guérie.»

54        J’ai vu cela dans des centaines de cas, des milliers de cas. Et ici devant moi ce soir, j’autorise toute personne. Avez-vous déjà vu une seule fois, déjà, où Cela dit quelque chose qui ne soit pas parfaitement comme cela? Combien ont été dans mes réunions et ont vu cela? Faites-nous voir la main. Levez la main partout. Ça y est. C’est parfait à chaque coup. Car c’est Dieu, pas un homme. C’est Dieu, et Cela ne peut pas être faux. Remarquez donc, elle a dit: «Mon enfant est-elle guérie?»

            J’ai dit: «Oui, madame.» Elle a saisi la petite créature par la main, et la petite enfant s’est levée, elle a entouré sa maman de ses bras, elle s’est levée et elle est sortie du bâtiment en marchant, parfaitement guérie. Les gens ont commencé à s’évanouir.

55        Et la–la réunion a continué; quelques minutes après, j’ai dit: «Je vois le membre du Congrès. Il porte un costume à rayures très fines. Il est guéri.» Il était incliné comme ceci, après avoir été estropié pendant soixante-six ans. Le membre du Congrès, Willie D. Upshaw, un ancien membre du Congrès. Je pense qu’il a été sénateur de la Géorgie, il avait postulé comme président, à cause de sa justice en tant que croyant, ce qu’il croyait par rapport au whisky, il a été vaincu dans la compétition. Et Dieu a honoré sa foi. Et ce soir, il est assis à l’estrade, c’est le membre du Congrès Willie D. Upshaw, il était estropié pendant soixante-six ans, Il est ici devant nous, parfaitement rétabli.

            Venez ici, monsieur Upshaw, mon frère. Voici un homme qui était estropié pendant soixante-six ans. Que Dieu vous bénisse, Frère Willie. [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Dites tout ce que vous voulez dire aux gens.

56        [Frère Upshaw se met à parler et frère Branham lui parle durant ce témoignage: Vous ne savez quelle joie j’éprouve en entourant de mes bras, par communion, ce cher homme de Dieu, et ce qu’il représente, ce qu’il représentait pour moi. Je sais que ça ne le dérange pas que je vous dise ceci. Le soir, après la réunion au cours de laquelle ma guérison avait eu lieu, il avait autorisé, il savait que je voulais parcourir six Etats que je n’avais pas encore parcourus depuis que j’avais quitté le lit où j’étais resté cloué sept ans durant, il a autorisé, il a offert de m’acheter un véhicule, il savait que j’avais livré tout ce que je faisais donc, pour aider les gens en détresse. Je pense qu’il serait heureux maintenant, comme il l’avait commencé, de savoir que pour ce véhicule-là, il manque deux cents vingt dollars, pour compléter cela, et commencer notre... certains de ces voyages.

            Et que tout celui qui serrera la main à monsieur Upshaw, et à moi ce soir, aura un dollar là-dedans, ou quelque chose comme cela, et...?... vous aura plus que couvert, car vous y mettrez l’argent du carburant, en plus; ou si vous ne pouvez pas faire cela, envoyez-le à l’Hotel Times Square, New York, nous... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Rappelez-vous ceci, vous qui êtes étendus ici et qui aimerez être guéris, sortez comme Dieu m’avait aidé à le faire. J’ai dit: ‘La Voix de Dieu m’a parlé’, quand même j’ai demandé au frère... [«Branham.»] Branham a dit: ‘Le membre du Congrès est guéri.’ J’ai dit: ‘C’est la Voix de Dieu.’ Et je suis l’homme le plus heureux depuis que je me suis débarrassé de béquilles, et j’ai commencé à témoigner de Sa guérison aussi bien que de Sa puissance qui sauve. L’homme le plus heureux qui ait jamais été à Jeffersonville depuis que Colombe a découvert l’Amérique.–N.D.E.]

57        Amen. Disons: «Gloire au Seigneur», pour le vieux frère. Il est jeune de quatre-vingt-cinq ans. Regardez. On dirait que s’il lui fallait être guéri, il aurait été guéri dans le passé, quand il avait environ dix-sept ans, n’est-ce pas? Mais Dieu, au cours de l’âge, a retenu cela. Et maintenant, il a témoigné là, et au–au Congrès, dans différents bâtiments, allant là aux réunions, et ne voyez-vous pas comment Dieu fait fonctionner Son corps en ce jour-ci? Ne pouvez-vous pas voir cela? Vous voyez donc le surnaturel chez un homme qui était couché là, qui était un patient dans un fauteuil roulant, sur des béquilles pendant tout ce temps, et maintenant, c’est un homme bien portant, sain, de quatre-vingts... il va avoir quatre-vingt-cinq ans.

            Abraham avait cent vingt cinq ans. Avant qu’Isaac lui soit né, Dieu lui a fait une promesse et Abraham a témoigné de cela pendant vingt-cinq ans avant qu’Isaac vienne donc sur terre. Est-ce vrai? Il est le même Dieu hier, aujourd’hui et éternellement. Ses promesses sont toujours vraies.

58        Maintenant, il y a deux personnes assises ici. Je pense que je reviendrai dans cette ville, ici, une fois de plus, bientôt, pour une série de réunions qui durera plusieurs semaines, ou plusieurs jours, je devrais dire, Dieu voulant. Il fait très chaud, et on n’arrive pas à retenir l’attention des gens quand il fait si horriblement chaud. Ils sont en foule et serrés. J’ai parfois essayé cela dans des réunions où il y avait plusieurs, plusieurs milliers de gens debout sous tente. Priez pour moi. Je vous aime d’un amour chrétien, cela brûle dans mon âme.

            Et les choses que je vous ai dites ce soir, concernant la guérison divine et Sa puissance, elles sont vraies. Elles sont vraies, avec ma Bible ici sur mon coeur. Elles sont la vérité. Je ne peux guérir personne.

59        Mais j’aimerais vous poser une question. Une fois, il y avait des lépreux au portail. Ils ont dit: «Pourquoi restons-nous assis ici jusqu’à mourir? Faisons quelque chose à ce sujet.» Fournissez un effort. Levez-vous. Le médecin a fait tout son possible. Tous ont fait tout leur possible. Le prochain effort... Dieu a fait tout Son possible. La chose suivante à faire, c’est que vous agissiez et que vous mettiez votre foi à l’oeuvre dans la Parole de Dieu. Eh bien, regardez, tout le monde.

            Un voyant... Combien ici ont déjà eu un songe? Faites-nous voir les mains. Très bien. Pratiquement tous les gens normaux en ont eu. C’est votre subconscient, comme nous l’appelons. Maintenant, suivez ceci. Votre subconscient... Voici un norma-... votre conscience, et voici votre subconscient. Pour vous qui n’avez pas du tout de songe, le leur est là loin en arrière. Eh bien, je crois que Dieu traite dans des songes (C’est vrai): Le roi Nebucadnetsar et Joseph, et beaucoup d’autres, et tout, Il a traité dans les songes. Mais il n’en est pas ainsi d’un voyant.

60        Eh bien [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... nous allons former une ligne de prière. Et puis, à partir de cela, certains parmi vous ici... Combien n’ont pas de cartes de prière? Faites-nous voir la main. Oh! lala! Très bien. Voici ce que je vais vous dire. Si vous faites ceci, si vous regardez de ce côté-ci, vers moi... Me croyez-vous d’abord? Partout, partout, allez-vous croire que c’est la vérité? C’est un peu difficile pour moi de vous demander de monter ici dans cette petite pièce où il fait chaud, et des gens sont debout, des enfants pleurent, et tout, essayer d’avoir un message décousu comme ceci, mais j’avance maintenant, et je laisse Dieu témoigner. Si je–si j’ai dit la vérité, que Dieu vous a envoyé ceci, pas à moi, c’est à vous...

61        Il y a un homme assis ici juste derrière, là donc, à qui l’un des meilleurs médecins qu’il y a dans ce pays, avait dit, il y a quelques jours, il souffrait d’un cancer de foie, il était mourant, qu’il ne se relèverait jamais. Il m’arrive de voir cet homme maintenant. Il a été amené à Louisville auprès d’un très bon spécialiste, un homme, un médecin ici dans la ville qui est un ami à moi, il avait dit de faire cela. On l’a amené là-bas, et mon ami médecin m’a appelé et il a dit: «Cet homme va mourir: le cancer est dans le foie.» Et cet homme est allé à deux grands établissements hospitaliers, et tous les deux l’ont renvoyé. Et j’aime cet homme. Il a été converti dans ma réunion. Il se frottait les mains. Sa femme se frottait les mains et pleurait. Et j’étais assis au bord de mon lit, un matin, il y a de cela quelques jours, et j’allais faire cela, sortir avant l’aube.

            Et pendant que j’étais assis là, il m’est arrivé de regarder devant moi, et il y avait là une pomme très verte, rongée par des vers, décharnée. Et je me suis dit: «Eh bien, où...» Et c’était vraiment très réel, juste comme vous regardez ici. J’ai tendu la main, et j’ai vu cela bouger. Et j’ai vu, j’ai dit... J’ai reconnu que c’était une vision. Et une autre est apparue, puis une autre, puis une autre: cinq d’entre elles ont apparu. Ensuite, une très grosse pomme est descendue du ciel et a avalé ces cinq pommes décharnées. Et l’Ange du Seigneur a parlé dans la chambre, Il a dit: «Ceci concerne ton frère Hall.»

            J’ai dit: «Fère Hall...» Je suis allé vers lui, j’ai dit: «Ne t’inquiète pas. Tu as eu... combien–combien de semaines es-tu malade, Frère Hall?»

            Il a dit: «Cinq.»

            J’ai dit: «Mais le temps de ta délivrance arrive.» Il était là au...Cela n’a pas été juste comme cette photo ici. Et le voici assis dans la salle ce soir, il mange, il s’occupe de ses affaires, il loue Dieu. Disons: «Gloire au Seigneur!» Levez la main, Frère Hall. Il est là, là même. Voilà l’homme. Il y a quelques semaines...

            Et le médecin, je vous ai vu assis là derrière. Voilà un homme qui allait mourir l’autre jour. Disons: «Gloire au Seigneur!» Amen. Il est bien digne de toutes les louanges. Merci, monsieur. C’est un prédicateur de Milltown, le lieu même où en vision...

62        Jamais de ma vie je n’avais entendu parler de Milltown. J’étais ici avec monsieur Wright, un autre homme qui est assis ici. J’étais à ma petite église. Beaucoup parmi eux étaient... Je n’avais jamais entendu parler de... J’avais eu une vision. J’ai entendu un agneau bêler: «Milltown, Milltown.» Je ne savais pas où c’était. Je m’y suis rendu. Je suis sorti, et monsieur Wright m’a dit où c’était. Je suis allé là-bas. Je ne savais que faire. J’ai acheté une petite caisse à savon et j’allais prêcher, monté là-dessus, dans un coin d’une rue. Le Seigneur m’a dit: «Gravis la colline.» Je suis monté là, il y avait là une grande église baptiste; en fait, je suis membre de l’église baptiste. Et j’ai dit: «Eh bien, y a-t-il quelqu’un là?»

            «Non, a-t-on répondu, il y a eu des problèmes et on n’a plus utilisé ça pour quoi que ce soit.»

            J’ai dit: «Seigneur, si Tu veux que j’entre dans cette église-là, ouvre la porte.»

            Alors, un homme est passé par là, cinq minutes après, il a ouvert la porte pour moi. Je suis entré et j’ai commencé une réunion. Je me posais toujours la question. Monsieur Hall est venu à la toute première soirée et il a été converti. C’est lui le pasteur là maintenant.

63        Puis, je me suis dit: «Ce n’est pas là l’agneau.» Quelques jours plus tard, quelqu’un m’a dit qu’il y avait une dame aux pieds de la colline, une petite fille qui avait reçu un de mes livres et qui le lisait. Elle était mourante, et elle était restée alitée neuf ans et huit mois. Je suis allé là et j’ai prié pour elle; elle et sa mère. Et regardez, écoutez ceci: je suis allé, j’ai continué, j’ai prêché le réveil.

            Deux semaines ou trois semaines plus tard, je suis revenu et j’ai tenu un autre service. Elle voulait se faire baptiser. Elle n’était pas sortie du lit. Je suis allé à la maison avec monsieur Wright qui est assis ici, pour le dîner, après que j’avais eu le service de baptêmes. Elle avait pleuré toute la journée. Elle avait vu le cas de cette jeune fille Nail, ici. Elle peut être ici dans la salle ce soir. Elle vient de l’église méthodiste ici au–au, j’oublie le nom de cette ville-ci au nord de Salem. Elle était infirme, à sa mai-... droite... au pied droit et à la main gauche. L’arthrite l’avait recroquevillée. Elle a été instantanément guérie grâce à une vision.

64        Voyez, il ne s’agit pas de ce que moi, je fais, c’est ce que Lui m’avait montré. Je ne peux rien faire. Ce qu’Il me dit, je vais simplement le dire, et je fais cela comme Il le dit. Si ma propre mère qui est ici, si elle était étendue ici mourante, je ne pourrais rien dire avant que Lui ne le dise. Voyez? Combien comprennent maintenant? Ce n’est pas moi; c’est Dieu. Je ne peux rien faire avant qu’Il me le dise. Et puis, c’est ce que l’Ange du Seigneur m’avait dit, quand Il m’avait rencontré là à Green’s Mill. J’ai dit–j’ai dit... Il a dit: «Tu vas apporter le... ce don aux peuples du monde; et tu prieras pour les rois et de grands hommes.» Regardez ça.

            J’ai dit: «Oh! Je ne suis pas instruit, Seigneur.» C’était un Homme, pas donc une ombre. C’était un Homme. Il pesait à peu près deux cents livres [90 kg], Il avait des cheveux noirs qui lui retombaient sur les épaules, et Il avait des bras croisés comme cela. Il a dit: «C’est dans ce but que tu es né.»

            Et j’ai dit: «Seigneur, ils ne me croiront pas; je ne suis pas instruit.»

            Il a dit: «De même qu’il en était avec le prophète Moïse, Il lui avait donné deux signes pour confirmer son ministère, il te sera aussi donné deux signes.» Et Il a dit: «L’un d’eux, tu tiendras la personne par la main, sans que toi, tu parles, mais Je parlerai par toi et te dirai ce qui cloche chez le patient. La chose suivante, tu feras comme–comme notre Maître avait fait, et tu leur révèleras des choses qu’ils ont faites dans leur vie, qui étaient des obstacles et qui étaient à la base, comme notre Maître avait fait.» Eh bien, c’était difficile pour moi de me tenir ici devant mes amis à Jeffersonville et aux alentours, et faire cette première déclaration.

65        Mais quand mademoiselle Margie Morgan, là-bas, le premier cas qui est arrivé, était étendue là, un cas très désespéré, elle était rongée par le cancer, on lui avait fait suivre les traitements par rayons X, et le médecin avait dit que le cancer s’était enroulé autour de ses intestins comme une racine autour d’un arbre... Ça s’était enroulé. Et elle était couchée là. Je suis allé, je lui ai saisi la main, et j’ai lâché cela. Je l’ai regardée, et l’Esprit du Seigneur est descendu, Il lui a dit qu’elle vivrait, et elle est là. C’est juste un cas parmi des milliers. Des gens sont sortis des institutions psychiatriques et tout. Il l’a promis. Il le fera. Il est Dieu.

            Alors, là-bas à Milltown, ce jour-là, je suis allé chez monsieur Wright pour prendre le souper. Il est assis ici, ici même. Et il... J’ai dit: «Frère Wright, je dois monter à la colline pour prier.» Et je suis monté, là haut, je me suis agenouillé dans les buissons, et je priais alors que des épines me piquaient. On dirait que je n’arrivais pas à arrêter de prier. J’avais entendu la cloche sonner, invitant au dîner, et je savais que maman Wright voulait que nous y allions. J’ai simplement continué à prier et prier. Je disais: «Seigneur, que veux-Tu que je fasse?» Et tout d’un coup, cette Lumière est arrivée là, Elle est directement descendue dans le cornouiller, Elle m’a éclairé et j’ai entendu une Voix dire: «Passe par chez les Carter.» C’était assez.

66        Ils avaient formé des équipes pour me chercher. J’ai sauté la clôture, j’ai couru vers ma voiture, et cela... j’ai atterri en plein dans les bras de monsieur George Wright, qui se tenait là. Lui et monsieur Brace, un homme de Texas, qui venait d’arriver. Et sa femme avait été guérie. Ils voulaient... Ils ont dit: «Veux-tu me dire que Georgie Carter va être guérie?» Eh bien, ses petites jambes étaient comme des tiges de balai, à ce niveau-ci de ses hanches.

            J’ai dit: «Elle sera guérie dans les trente prochaines minutes. Si ce n’est pas le cas, alors collez-moi l’étiquette de faux prophète et dites que je ne sais pas de quoi je parle.» Nous sommes entrés dans le véhicule. Au même moment, sa mère était devenue très sérieuse. Sa fillette pleurait. Elle était couchée là, et sa mère était restée à ses côtés depuis neuf ans et huit mois au point qu’elle grisonnait. Et alors, elle est entrée, elle priait dans une chambre, demandant à Dieu ce qui était arrivé, que moi, je parcourais la contrée et que j’avais parlé à la jeune fille et... ou que la jeune fille était tout embrouillée et tout. Et elle a affirmé avoir vu en vision quelqu’un qui venait; elle pensait que c’était sa fille, qui habite à côté, qui venait.

            Elle a regardé et c’était Jésus qui se tenait là, une ombre au mur. Il a dit: «C’est qui qui vient?» Elle m’a vu sortir du véhicule avec cette même Bible sur mon coeur, elle a pu voir tous mes cheveux fins là, elle a reconnu que c’était moi qui arrivait, elle a dit: «Qui est-ce?» Et elle s’est relevée d’un bond, pour courir l’annoncer à Georgie, et aussitôt qu’elle est entrée dans la chambre, la porte s’est fermée, et je sortais du véhicule. Dieu opère aux deux bouts de la ligne. Il est toujours à temps.

67        Je suis entré dans la chambre sous l’onction du Saint-Esprit...?... la jeune fille était là tout au fond, je lui ai imposé les mains. J’ai dit: «Georgie, Jésus-Christ même que tu aimes m’est apparu là-bas, chez monsieur Wright. Il m’a dit de venir t’imposer les mains et que tu seras guérie. Lève-toi au Nom du Seigneur Jésus.» Et elle n’avait même pas assez de force pour...

            On ne pouvait même pas mettre un bassin hygiénique en dessous de la jeune fille; on a dû utiliser des alaises pendant des années. Sa maman est là. C’est vrai. Et elle était dans un état critique, et on m’a montré son lit l’autre jour, quand j’étais là-bas, tout dépeint à force de frotter avec ses mains pendant qu’elle pleurait et prier comme cela, tenant ça, frottant cela, cela... Et elle ne pouvait même pas faire descendre ses mains. Quand elle se mettait à tousser, elle faisait... [Frère Branham illustre.–N.D.E.] dans le crachoir, quand sa mère soulevait cela.

68        Je me suis avancé là sous l’onction du Saint-Esprit et j’ai déclaré la jeune fille guérie. Et au Nom du Seigneur Jésus, elle s’est levée de là, elle est sortie, elle s’est assise, elle a béni l’herbe et les arbres et elle a joué du piano. Elle est assise là ce soir comme un témoignage parfait. Et Dieu, devant Qui je me tiens maintenant et Qui me jugera en ce jour redoutable quand je me tiendrai devant chacun de vous, sait que des centaines et des centaines de cas semblables se sont produits. Et il n’y en a jamais eu aucun jusqu’à présent qui ait échoué. Et cela n’échouera pas ce soir. Dieu ne me laissera pas tomber, alors que je me tiens ici devant mon peuple, parmi lequel j’ai grandi. Je sais qu’Il sera ici pour me rencontrer. C’est vrai.

            Est-ce que ce témoignage-là est vrai, madame Carter, où que vous soyez? Veuillez lever la main, où que vous soyez. Si ce–c’est ça, levez la main. Cela... Monsieur Wright, est-ce que ce témoignage-là est vrai? Oui. N’importe où, amis? Ça pourrait être des milliers.

69        Maintenant, regardez. Les gens arrivent. Je vais me retirer discrètement tout à l’heure pour prier quelques instants. J’aimerais que vous... Combien ont des cartes de prière? Je crois que c’est... mon jeune garçon a dit qu’on avait la série O. Il y en a des centaines. Que les quinze premières ou les vingt premières s’alignent ici, qu’ils passent par l’estrade suivant leurs numéros. Numéro 1, numéro 2, numéro 3, numéro 4, nous allons simplement prendre... En effet, on ne peut pas mettre trop de gens debout. Qui a la carte de prière numéro 1? Levez la main. Numéro 1? La carte de prière numéro 1, levez la main. La carte de prière numéro 2, levez la main. Numéro 3, numéro 4, numéro 5, alignez-vous juste ici, comme cela, juste–juste au bout de cette ligne par ici, pendant que le piano joue Crois seulement, s’il vous plaît. Et nous tous, pour changer de position, levons-nous maintenant et chantons Crois seulement, pendant que vous vous alignez suivant votre numéro, c’est le premier groupe. Ensuite, nous prendrons un autre groupe juste dans un instant.

            Très bien, venez. [L’assemblée chante Crois seulement.–N.D.E.]

70        Merci. Pendant que nous inclinons la tête maintenant, s’il vous plaît, pour un mot de prière. Notre Père céleste, nous Te remercions pour cette grâce étonnante; pour Christ qui est mort pour nous, à notre place, Lui l’Innocent pour nous les coupables pécheurs. Nous sommes indignes de venir auprès de Toi ce soir, Père, et de Te demander ce genre de choses que nous allons demander. Ô Dieu, ne considère pas notre iniquité. Considère les meurtrissures qui sont sur le dos du Fils de Dieu. Il a été meurtri pour notre guérison. Nous ne venons pas sur base de notre justice, car nous n’en avons pas à offrir, mais nous venons comme des croyants, Ses témoins en ce dernier jour.

            Nous Te remercions pour tout ce que Tu as fait pour l’humanité; pour les hôpitaux; pour les médecins, pour les infirmiers, ainsi que pour beaucoup de grandes assistances que Tu nous as données. Seigneur, nous Te remercions. Et, Père, que là, dans des laboratoires et ailleurs, qu’on découvre bientôt quelque chose qui aidera contre le cancer, la maladie du coeur, et ces maladies graves qui emportent beaucoup de gens. Nous prions pour eux, Seigneur.

71        Maintenant, ce soir, il y a ici des gens mourants. Je–je–je ne sais quoi dire, Seigneur, et voici... Tu as dit dans Ta Parole qu’un prophète n’est pas sans honneur sinon dans son propre pays. Seigneur, veux-Tu repousser cela un tout petit peu ce soir pour moi? Et que l’Ange de Dieu qui m’a nourri tous les jours de ma vie et qui m’a aidé quand j’étais un petit garçon, courant ici avec l’un des souliers de mon papa et un autre de ma maman... allant à l’école sans habits... Je T’aime. Avant d’aller dans les pays des Noirs, là en Afrique, veux-Tu venir vers Ton serviteur ce soir et oindre, Seigneur, pour le service? Tu sais que je Te rends toute la louange. Ce n’est pas moi, Seigneur, mais c’est Toi que je représente.

            Et maintenant, de même que Tu as exaucé dans d’autres pays et ailleurs, les voici étendus ici ce soir, Seigneur, paralysés, étendus ici sur des brancards et des civières, assis dans des fauteuils. Ils sont là dans l’assistance souffrant du coeur, du cancer, de la tuberculose, je pense, et de toutes sortes de maladies. Je ne connais aucun d’eux. Tu les connais tous.

            Père, je sais que Jésus a payé le grand prix au Calvaire. Maintenant, veux-Tu envoyer l’Ange de Dieu à Ton serviteur, que je sois à mesure, par une vision, de voir ces gens. Cela les encouragera à croire au Seigneur et à être guéris. Accorde-le, Seigneur. Bénis-les tous ensemble maintenant.

            Je vais m’attendre à Toi. Je sais que Tu es ici. Tu as dit qu’un passereau ne peut tomber sans que Toi, Tu le saches. Et Tu es si sensible que Tu connais même un passereau qui tombe ainsi que tout ce qui tombe. A combien plus forte raison es-Tu sensible pour ces pauvres estropiés qui souffrent, des gens alités, étendus ici? Sois miséricordieux, Dieu Tout-Puissant, et aide-moi maintenant. Si j’ai parlé de Toi, parle pour moi, Seigneur, que j’ai dit la vérité, le veux-Tu, Père? Et confirme cela par des signes et des prodiges; car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

72        Quand je pense à Sa bonté et à Sa miséricorde... Maintenant, ami, je vais vous poser une question très sérieuse (C’est bien, Crois seulement), aussi sérieuse que je peux... Maintenant, si... Maintenant, je n’ai pas le temps d’expliquer toutes ces choses; notre temps ne le permettra pas. Il y a des choses qui vont avec cela, qu’aucun homme ne connaît; c’est entre Dieu et moi.

            Mais voici une seule chose que je connais avec certitude: «Les maladies sont causées par la démonologie. Si vous ne savez pas ce que je veux dire... Par exemple, Jésus, quand un homme était sourd-muet, les médecins ont dit: «Eh bien, ses cordes vocales sont inertes.» Il a dit: «Qui a tué cela? Pourquoi cela n’a-t-il pas tué tout le reste de son corps?» Jésus a dit: «Quand l’esprit sourd-muet était sorti d’un homme, il a pu parler et entendre.» «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé. Celui qui ne croira pas sera condamné; voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Est-ce vrai? «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. En Mon Nom, ils chasseront les démons.»

73        Or, si vous êtes ici, un critiqueur... Si vous êtes un critiqueur, rappelez-vous, cher ami, à votre place, je lui demanderais de me délivrer de cela, car, rassurez-vous-en, ils vont de l’un à l’autre. Eh bien, c’est vrai. C’est scripturaire, et cela est arrivé ici il y a quelques soirées. Je parlais. J’avais un petit enfant et l’épilepsie ne voulait pas le quitter. L’épilepsie est un démon.

            Regardez Jésus, quand quelqu’un est arrivé là, ayant amené ce petit garçon qui souffrait de l’épilepsie. Il a dit: «Il a un démon et il tombe souvent dans le feu et tout, comme cela.» Et Jésus a réprimandé le démon, et le petit garçon est tombé évanoui, il s’est relevé, rétabli.

            Considérez ces jeunes gens qui pensaient que, pour avoir vu Paul chasser les démons, faire des choses semblables, ils pensaient qu’ils pouvaient aussi le faire. Ils sont donc allés là (dans Actes 19), ils ont dit à un homme qui souffrait de l’épilepsie, ils ont chassé ce démon-là, ils ont dit: «Nous t’adjurons par Jésus que Paul prêche, sors.»

            Le démon a dit: «Jésus, je Le connais, et Paul, je le connais, mais vous, qui êtes-vous?» Et ils ont attrapé l’épilepsie. Vous devez savoir de quoi vous parlez. Voyez? Et il n’y a pas du tout moyen.

74        Il y a quelques soirées, on avait loué les services d’un hypnotiseur dans une grande ville, pour qu’il vienne m’hypnotiser. Il parcourait les camps militaires et faisait aboyer les jeunes gens comme des chiens. Vous en avez entendu parler. Et j’étais là devant environ–environ douze mille personnes. Et je continuais à sentir un esprit drôle quand l’onction était là: «Il y a un homme assis là, il me regarde fixement comme cela.» Et j’ai encore tourné le regard, et j’ai vu un groupe de jeunes gens, ceux dont on avait loué les services pour faire cela. J’ai dit: «Pourquoi le diable a-t-il placé dans votre coeur de faire pareille chose?» Et avant que cet homme quitte le bâtiment, il était paralysé, et il est encore paralysé ce soir. Voyez?

            Je cherchais à chasser l’épilepsie de ce petit enfant; il y avait un prédicateur assis là derrière avec un groupe de ses membres, vingt-huit personnes. Ils ne croyaient pas, et ils ne croyaient pas dans la guérison divine. Et je n’arrivais pas à faire partir cela de cet enfant. J’ai dit: «Y a-t-il ici quelqu’un qui ne croit pas?» J’ai regardé en arrière. J’ai dit: «C’est l’homme assis là, en costume gris, avec ce groupe de gens qui est avec lui.» Et j’ai dit: «Inclinez la tête, monsieur.»

            Et il a dit: «Je ne suis pas obligé.»

            J’ai dit: «Vous êtes un...?...» J’ai dit: «Père, ne tiens pas ce pauvre petit enfant innocent, coupable à cause de cette personne-là. Satan, sors, tu es libre.» Et vingt-huit personnes sont tombées par terre sous le coup de l’épilepsie là même. C’est vrai. Voyez? On ne fait pas la religion, mes amis. Si vous ne comprenez pas, soyez respectueux. Maintenant, rappelez-vous, vous êtes en erreur...?...

75        Si vous êtes respectueux, tout ce que je vous dis de faire, faites-le, mais ne vous déplacez pas pendant que les bâtiments... pendant–pendant que le service est en cours. J’accorderai des interviews après chaque période de quelques minutes, pendant que les jeunes gens me ramènent, ou quelque chose comme cela.

            Eh bien, quand l’onction est là, j’aimerais que vous compreniez ceci. Si vous me voyez agir de façon étrange, je suis dans un état subconscient. C’est alors que cette onction descend, c’est Quelque Chose d’autre qui parle, pas moi. Que tout homme sache cela avec certitude. Maintenant, soyez tout aussi respectueux. Gardez vos enfants près de vous. Restez tout aussi calme que possible maintenant, pendant que nous prions.

76        Maintenant, Père, s’il Te plaît, je Te prie au Nom de Ton Fils, Jésus, de venir maintenant vers Ton humble serviteur et de m’aider, Dieu Tout-Puissant, à accomplir Ta volonté. Maintenant, approche-Toi de moi, Père, oins Ton serviteur et fais moi passer de cette–de cette existence rattachée aux sens dans les sphères où Tu vis. Et que ceci se fasse par le Nom de Jésus-Christ, que je connaisse les maladies et les pensées de l’esprit des gens. Et Tu as dit: «Vous ferez aussi des choses que Je fais, car Je m’en vais au Père. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez; car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du siècle.» Je crois en Toi, Seigneur.

            Maintenant, viens, Seigneur. Mets-moi de côté et entre, que les oeuvres de Dieu soient accomplies ici dans cette ville. Je me rappelle quand Tu es allé dans Ta ville, ils ont dit: «Nous avons appris qu’Il a fait ces choses ailleurs. Qu’on Le voie faire cela ici.» Et Il était étonné par leur incrédulité. Ils ont dit: «Qui est-ce, le Fils du charpentier?» Puis, Tu as dit: «Un prophète n’est pas sans honneur sauf dans sa propre nation.» Mais, Père, ces gens ici m’aiment. Ils croient. Alors, aide ce soir, car je le demande au Nom de Ton Fils, Jésus. Amen.

77        Maintenant, s’il vous plaît, laissez juste l’orgue et le... s’il vous plaît, jouer constamment et doucement.

            Maintenant, à vous qui êtes là, dans cette direction, qui êtes malades, liés, affligés, sans cartes de prière ni rien, maintenant, regardez ici. Et regardez de ce côté-ci, croyez de tout votre coeur, et acceptez l’histoire que je vous ai racontée.

            Priez au Père, comme ceci: «Seigneur Jésus, je sais que Tu as promis ces choses pour les derniers jours. Notre frère est ici. Nous avons grandi avec lui. Et nous savons qu’il est juste un homme, juste un pauvre garçon illettré, mais nous croyons que Tu traites avec lui, et je crois qu’il a dit la vérité. Maintenant, s’il a dit la vérité, parle-lui et amène-le à m’appeler et à dire ce qui cloche chez moi, ce que je... tout, tout ce qui peut constituer un obstacle.» Et demandez cela, voyez le Saint-Esprit se mouvoir alors au-dessus de l’assistance, partout dans la salle. Il le fera. Et alors, si vous doutez et que vous êtes un incroyant, observez Cela agir de même pour vous.

78        Très bien. Maintenant, soyez respectueux, soyez en prière autant que possible. Faites venir la bien-aimée patiente. Venez, madame...?... Avez-vous vérifié ces cartes ici, tout le monde? Vous n’étiez pas parmi ces numéros-là, madame? Vous avancez loin dans la ligne, n’est-ce pas? Regardez. Je vais vous dire ce que vous allez tous faire: Mettez-vous à prier et à croire. Allez-vous le faire? Allez-vous prier et croire là? Allez-vous faire ce que je demande? Allez-vous le faire, vous les deux dames ici, et vous là, vous là? Priez simplement maintenant et demandez, dites: «Seigneur, aide-moi.» Et si Dieu parle et vous aide, madame, vous croirez en Lui, n’est-ce pas, vous sur le brancard, et vous ici sur le brancard? Vous tous, vous croirez de tout votre coeur? La petite fille ici...

79        Mesdames, je ne connais personne parmi vous. Je ne vous ai jamais vues de ma vie, à ce que je sache. Vous m’êtes toutes inconnues. Et là derrière, vous qui n’avez pas eu de cartes de prière et autres, je ne vous connais pas. Je ne connais personne ici. Je crois que je connais cette dame assise là. Je pense qu’elle vient de Tennessee. Je pense que vous avez été guérie, ou je ne sais quoi, votre petite fille ou quelque chose comme cela dans la réunion une fois, n’est-ce pas? Je l’ai reconnue.

            Et là–là dans cette ligne-là, je ne reconnais personne. Je connais cette dame assise là; c’est une infirmière...?... C’est vrai. Vous êtes avec elle. Très bien. Très bien, monsieur. Maintenant, je crois que c’est ça.

            Maintenant, dans les galeries et aux balcons plutôt, ayez simplement foi et croyez. Maintenant, croyez de tout votre coeur. Laissez simplement tout tomber de côté. Dites simplement: «Maintenant, je vais tout mettre en arrière, je vais observer.»

80        Maintenant, si j’ai dit la vérité, notre Père céleste le dira par moi. Si je ne dis pas la vérité, Il n’aura rien à faire avec moi. Est-ce loyal? C’est loyal. Maintenant, que le Père céleste, au Nom de Qui je prie, vienne confirmer que ce que je dis est la vérité.

            Je suis juste un peu court, et maintenant, le micro par rapport à moi. Je ne sais pas quand je... où je suis, souvent quand je fais ceci, quand Cela vient sur moi.

            Combien savent que c’est scripturaire? Eh bien, Daniel a eu une seule vision. Il a eu des maux de tête pendant plusieurs jours. Est-ce vrai? Et Jésus, quand une femme toucha Son vêtement, Il dit: «J’ai connu que la vertu est sortie de moi.» Il était devenu très faible, Il s’est couché à la poupe et Il n’a même pas su qu’il y avait la tempête. Maintenant, soyez respectueux.

81        Maintenant, c’est vous la patiente, n’est-ce pas, madame? Très bien. Maintenant, je suis... J’aimerais juste parler. Pouvez-vous entendre ma voix, là au fond maintenant, par rapport à ici où je suis? Très bien. Maintenant, soyez respectueux, tout le monde.

            Maintenant, je crois que vous m’êtes inconnue, madame. Je ne–je ne vous connais pas. Et je–je ne vous ai jamais vue de ma vie. Eh bien alors, nous sommes de parfaits inconnus ce soir. Eh bien, évidemment, vous avez éprouvé une sensation très drôle. Eh bien, ce n’est rien de nuisible pour vous. C’est juste l’onction qui vient sur moi. Et–et vous me croyez. Voyez? Vous me croyez. En effet, je peux sentir cela être le bienvenu (voyez?), et je sais que vous êtes une croyante. Eh bien, Cela ne vous fera pas de mal. C’est pour–c’est pour vous guérir, pour vous rétablir.

            Maintenant, s’il y a n’importe quoi dans votre vie, ou vous concernant, ça–ça, je ne–je ne le saurais pas, je n’ai aucun moyen de le savoir, à moins que cela me soit révélé par l’Esprit. Est-ce vrai? Ça doit être un Surnaturel.

            Eh bien, si nous sommes inconnus, levez la main là afin que les gens voient. Nous ne connaissons pas... Et tout ce que vous savez maintenant, c’est qu’il y a une réelle... un genre de sensation sacrée, calme, ici: Ce–ce–ce–ce–c’est un genre de sentiment de satisfaction. Si c’est vrai, afin que les gens voient, rai...? D’accord.

82        Maintenant, qu’est-ce, assistance? Cela descend maintenant même, le Seigneur Jésus, l’Esprit qui était sur Lui. Et mon corps commence à se retirer maintenant (Voyez?), ou plutôt ma vie. Maintenant, cela paraît laiteux partout dans l’assistance. Voyez? Maintenant, je ne sais pas si je peux vous parler plus longtemps ou pas. Maintenant, c’est pour la soeur. Maintenant, j’aimerais que vous compreniez, madame, que c’est–c’est véritablement l’Esprit du Seigneur. Et maintenant, Jésus, quand Il était là, c’était la même chose, la même façon, la même opération. Et ce n’est pas moi. Il a dit: «Le monde ne Me verra plus, d’ici peu, mais vous, vous Me verrez, car je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.»

83        Maintenant, ce que j’essaie de faire maintenant, c’est de juste établir un contact avec votre esprit. Voyez? Vous êtes une humaine. Et la femme au puits, Il lui a parlé, Il a dit: «Va, apporte-Moi à boire», juste pour engager une conversation. Ensuite, Il lui a dit exactement ce qu’était son problème. Est-ce vrai? Maintenant, si Son Esprit est ici ce soir, Il peut faire la même chose pour vous. Est-ce vrai? Maintenant, n’est-Il pas aimable? Merveilleux Christ, n’est-ce pas? Je L’ai aimé, madame, de tout mon coeur. Je L’aime maintenant. Et j’ai fait... Je sais que comme je vais dans le pays des Noirs, là-bas, je vais affronter les sorciers et les magiciens, et... mais je sais en Qui j’ai cru, et je suis persuadé qu’Il est capable de garder mon dépôt pour ce jour-là.

            Oui, madame. Maintenant, je vois, devant vous, vous venez de subir une intervention chirurgicale, n’est-ce pas? Vous avez subi une intervention chirurgicale il y a quelque temps. Il y a des années; c’était à cause d’une tumeur. Et cette tumeur était au visage donc, je pense. Est-ce vrai? Je vois les chirurgiens en train d’effectuer l’intervention chirurgicale. Cette tumeur est revenue. N’est-ce pas vrai? Est-ce vrai? Très bien, vous êtes maintenant guérie; vous pouvez quitter l’estrade et être bien portante. Que Dieu vous bénisse, soeur.

            Autre chose, j’ai remarqué par là, vous étiez en train de prier, n’est-ce pas? Vous n’avez jamais... et dans votre vie, vous n’êtes pas satisfaite de vivre juste comme vous l’avez toujours voulu. Est-ce vrai? Cela va vous être accordé, soeur. Et allez simplement de l’avant, vous allez être guérie. Je vous ai vue en train de prier, et j’ai su; vous étiez en train de prier à côté d’un fauteuil, et cela... Que Dieu vous bénisse, partez maintenant.

            Disons: «Gloire à Dieu!» Cela l’a quittée. Vous pouvez la regarder. Elle est bien portante alors. Elle est rétablie.

84        Oh! lala! Que son petit coeur soit béni; amenez-la. Viens, chérie. A-t-elle une carte de prière? Salut là, chérie. La maman? Ne pleurez pas, maman. J’aimerais que vous me regardiez, de ce côté-ci. Me croyez-vous en tant que Son prophète, en tant que prophète de Dieu? Je vous suis inconnu; je ne connais pas l’enfant; je ne l’ai jamais vue. Mais cette enfant souffre du coeur. N’est-ce pas vrai? Elle est née avec une maladie du coeur. Elle est née dans cette condition-là. Est-ce vrai? J’ai entendu un médecin dire cela, que c’était ça. Maintenant, vous avez prié. Et quand vous avez appris que j’allais tenir cette réunion-ci, vous avez dit: «Si je peux l’amener à frère Branham et qu’il prie pour elle, elle sera guérie.» N’est-ce pas vrai? Je ne suis pas en train de lire vos pensées. Mais je vous dis ce que vous avez fait. Est-ce vrai? Très bien, amenez-moi l’enfant.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, je bénis cette enfant au Nom de Ton Fils, Jésus, pour un... établir la foi de cette mère; que l’enfant vive et soit guérie. Au Nom de Jésus-Christ, j’ordonne à cette maladie du coeur de quitter l’enfant. Amen.

            Ne vous faites pas des soucis pour votre enfant. Votre enfant va être guérie. Ôtez cela maintenant.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ, qui L’a ressuscité d’entre les morts.» Maintenant, Il est ici pour guérir et rétablir.

85        Maintenant, très bien, faites venir la dame ici. Très bien. Que tout le monde soit respectueux. Maintenant, si vous remarquez bien, assistance, l’expression sur le visage des gens quand qu’ils s’approchent de la chaire, voyez-vous ce que c’est? Si seulement vous pouvez sentir juste ce que c’est maintenant.

            Combien parmi vous ont vu Sa photo, celle qui a été prise là? Faites voir les mains comme ceci. George J. Lacy, de FBI, eux tous avaient examiné cela. Cela est près de nous ici même maintenant. C’est ce qui se passe avec la dame. Elle sent Cela. Maintenant, il y a quelque chose qui cloche chez elle. Je sens cela me frapper (Voyez?), juste comme un nuage noir faisant: Whoouush, whoouush, whoouush. [Frère Branham imite le vent qui souffle.–N.D.E.] Maintenant, qu’est-ce? Je ne sais pas. Maintenant, j’aimerais que vous regardiez de ce côté-ci, juste un instant, madame. Maintenant, essayez d’être aussi calme que possible. Voyez? Et ... Maintenant, nous sommes inconnus, je pense. Je ne vous connais pas. Je ne–je ne pense pas vous avoir déjà vue. Eh bien, alors, nous–nous sommes de parfaits inconnus donc. [La dame parle à frère Branham.–N.D.E.] Oui. Eh bien, il n’y a rien ici qui vous nuira, madame. Maintenant, vous, j’aimerais que vous regardiez de ce côté-ci, vers moi. Regardez simplement vers moi et croyez de tout votre coeur que vous allez être guérie. Croyez-vous? Très bien.

86        Si–si je ne sais rien qui cloche chez vous, cela devra venir de notre Père céleste. Est-ce vrai? Maintenant, soyez vraiment respectueux. Evidemment, je vous vois tousser, mais c’est juste un chatouillement dans votre gorge. Eh bien, ce n’est pas cela votre maladie. Je vous vois comme... Oh! Oui, vous avez eu un chir-... Non, vous venez d’être examinée, et vous avez–vous avez un cancer. Et le cancer se situe dans le ventre. Le médecin vous a dit qu’il n’y a rien qui puisse être fait pour cela. Et maintenant, cela... il n’y a qu’un seul espoir pour vous, et cela réside en Jésus-Christ. Est-ce vrai? Ces choses sont-elles vraies, ce qui a été dit? Croyez-vous donc que si je Lui demande, vous guérirez? Vous serez comme mademoiselle Morgan et les autres? Voudriez-vous incliner la tête, assistance?

            Notre Père céleste, nous Te remercions pour Ta miséricorde. Et je Te prie de bénir cette femme que je bénis en Ton Nom. Et que Ton Esprit vienne maintenant sur elle. Elle veut vivre. Et je réclame cette bénédiction. Et que ce démon hideux de cancer quitte la femme, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez maintenant, mettez-vous à témoigner de votre guérison et louez-Le de tout votre coeur.

87        Très bien, faites venir la dame. Bonsoir, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Vous êtes... Vous éprouvez une sensation très étrange, n’est-ce pas? Surtout tard l’après-midi. Je vous vois avoir un peu peur, un sentiment de lassitude on dirait. Vous êtes nerveux, c’est ça votre problème. Cela est dû au temps de ménopause. C’est un moment de changement de vie. Vous devenez très inquiète.

            Il y a quelques jours, quand vous avez entendu parler de cette réunion, vous avez dit à Dieu que si vous arrivez, qu’Il vous permettait de venir, on priera pour vous et vous serez guérie. N’est-ce pas vrai? Et vous recevez une espèce de piqûre pour cela, n’est-ce pas, soeur? Oui, je vous vois recevoir cela. Je les vois vous donner cela dans le... N’est-ce pas vrai? Venez ici. Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Vous ai-je dit la vérité? Et croyez-vous que cela vient de Dieu? Eh bien, si je vous ai dit ce qui était la vérité, alors, par l’Esprit de Dieu, je vous dis maintenant ce qui est la vérité. Partez d’ici; soyez très heureuse. Vous allez vous rétablir, car Christ vous a bénie, et vous allez être rétablie. Que Dieu vous bénisse, soeur. Oui, madame.

            Pouvons-nous dire: «Grâces soient rendues à Dieu!» Ça peut ne pas paraître grand-chose pour vous; et si c’était vous? Ayez foi en Dieu. Croyez en Lui de tout votre coeur, et Dieu fera s’accomplir cela.

88        Très bien, la dame? Bonsoir, dame. Je pense que nous sommes aussi inconnus, n’est-ce pas? Où était... Dans quel service avez-vous été? A Louisville. Vous avez été dans l’auditorium de l’école secondaire Male. Oui. Nous avions eu un agréable service, le meilleur dont je me souviens. Vous n’avez pas pu avoir une carte de prière. Mais là, alors quand vous avez eu cette carte de prière-ci, oh! vous avez éprouvé de la joie. Vous... disant dans vos prières que si vous pouvez entrer dans la ligne de prière, Dieu vous guérira. Vous vous demandez maintenant ce que je vais dire. Vous souffrez du coeur. N’est-ce pas vrai? Vous souffrez du coeur. Et c’est un coeur qui s’est élargi. Donc, vous aussi, vous–vous... N’est-ce pas que vous souffrez également de vésicule biliaire? N’est-ce pas là, un peu... N’est-ce pas que vous avez des caillots dans la vésicule biliaire? Est-ce vrai? Poursuivez votre chemin et soyez rétablie, soeur; au Nom du Seigneur Jésus, qu’Il accorde cela.

            Disons: «Gloire à notre Seigneur!» Cela peut vous paraître très étrange, mais c’est la même chose que pour le membre du Congrès Upshaw, après qu’il était resté invalide pendant soixante-six ans, il a été guéri. Il est ici. Sa Présence est ici maintenant. Il connaît toutes choses, et Il peut faire toutes choses.

89        Croyez-vous cela, madame? Croyez-vous? Croyez-vous cela, madame? Vous croyez de tout votre coeur, n’est-ce pas? Qu’en est-il d’ici à l’intérieur? J’aimerais que vous priiez maintenant. Continuez à prier. Croyez de tout votre coeur.

            Très bien, madame, venez. Maintenant, que tout le monde soit très respectueux. J’ai confiance en Dieu, nous pouvons parcourir cette ligne d’estropiés, d’ici peu.

            Bonsoir, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous? Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Vous aimeriez guérir de cette maladie d’asthme, n’est-ce pas? Oui. N’est-ce pas que vous aimeriez... Allez, qu’il vous soit fait selon votre foi. Et que Dieu vous bénisse. C’était vraiment...

            Maintenant, juste un instant. Que tout le monde soit vraiment respectueux maintenant. Tout le monde, respectueux. Que cette dame vienne.

90        Il y a quelqu’un juste ici à l’intérieur qui est en train de prier. On dirait qu’il y a quelque chose qui vous tire. Cela affaiblit.

            Bonsoir, madame. Je vois que vous êtes une croyante. Maintenant, ce sentiment aimable... Si notre Seigneur Jésus était ici, Il pouvait vous dire ce qui cloche chez vous. Il pourrait vous aider, n’est-ce pas? Eh bien alors, s’Il–s’Il se tenait ici, Il... tout ce qu’Il pouvait faire, ce serait vous dire ce qui cloche chez vous, ou–ou votre empêchement. N’est-ce pas vrai? Voyez? Il pouvait... Il a déjà fait l’expiation pour votre guérison. Maintenant, regardez de ce côté-ci juste un instant. Aimeriez-vous être délivrée de cette nervosité-là? L’aimeriez-vous? Levez la main comme ceci, dites: «Merci, Seigneur.» Maintenant, poursuivez votre chemin et soyez guérie au Nom du Seigneur Jésus. Que Dieu vous bénisse, soeur.

91        Disons: «Gloire au Seigneur.» L’aimez-vous? Il est ici maintenant. Soeur, arrêtez de vous inquiéter au sujet de votre garçon là derrière. Il va se rétablir. Le petit garçon sur qui on a roulé, il va être bien portant. Le père s’est appuyé sur l’enfant. Vous voyez? Très bien, n’ayez donc pas peur maintenant. Il va se rétablir. Que tout le monde soit respectueux.

            Très bien, venez, madame. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Croyez-vous? Croyez-vous que le... Jésus qui portait la croix du Calvaire est présent maintenant et qu’Il est ici à l’estrade pour vous guérir? Croyez-vous? Vous tombez par moment, n’est-ce pas? Oui, madame. Très bien, vous aimeriez guérir de cet asthme dont vous souffrez. Venez ici juste un instant.

            Père, je bénis cette femme au Nom de Ton Fils Jésus, qu’elle se rétablisse. Accorde cette bonne bénédiction au Nom de Jésus-Christ. Amen. Très bien, madame, n’ayez plus peur. Poursuivez votre chemin et soyez heureuse. Christ vous rétablit.

92        Disons: «Gloire au Seigneur!» L’aimez-vous de tout votre coeur maintenant? Vous sentez un grand changement maintenant, n’est-ce pas? Voyez, cette nervosité vous a quitté, cette tension. Maintenant, souvent on dit, la nervosité, «Ressaisissez-vous.» Voyez? Ce n’est pas ça la chose à faire. Il y a quelque chose qui est à la base de cela. Eh bien, pendant que vous vous teniez ici il y a quelques instants, il y a eu, on dirait, un nuage noir qui est venu en flottant contre moi, faisant: Whoouush, whoouush. [Frère Branham produit un bruit du vent qui souffle.–N.D.E.] Maintenant, cela vous a quitté. Vous êtes bien portant maintenant. Maintenant, allez, et que la paix de Dieu soit sur vous, car vous allez vous rétablir.

            Très bien, que tout le monde soit respectueux, et faites venir l’enfant. Bonsoir, maman. Miséricorde, regardez l’enfant. Vous êtes très malade, n’est-ce pas? Oui, madame. Oui, madame. Vous croyez qu’Il va vous rétablir. Est-ce qu’il entend? Dans quelle oreille était-ce, madame? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Venez ici, juste un instant.

            Miséricordieux Père céleste, je viens au Nom de Ton Fils Jésus, en tant que Ton serviteur, réclamer la délivrance de cette femme. Accorde-le, Dieu Tout-Puissant. Qu’elle parte d’ici ce soir une personne bien portante normale au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Me comprenez-vous très bien maintenant? M’entendez-vous faire cela? Depuis combien de temps êtes-vous ainsi? Etes-vous rétablie maintenant même? Entendez-vous très bien? Tout est parti. Vous êtes guérie maintenant. Vous pouvez poursuivre votre chemin en vous réjouissant. Que Dieu vous bénisse, soeur. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu.» Que la petite femme... Oui. Très bien. Que tout le monde soit respectueux.

93        Très bien, venez, madame. Amen. N’ayez pas peur. Ayez seulement foi. Notre Seigneur est ici pour vous guérir. Vous avez–vous avez trop peur cependant. Quelque chose cloche. Je ne... Oui, je vois. Le cancer. Vous savez quoi? Vous redoutez que cela vous emporte. Ayez foi en Dieu. Vous êtes dans Sa Présence maintenant, soeur. L’unique chose qui puisse jamais vous aider, qui puisse vous faire un quelconque bien, vous vous tenez près de Cela maintenant; pas de moi, votre frère, mais de ce que vous savez être présent, près de vous. Vous en êtes consciente, n’est-ce pas? Vous savez qu’il y a quelque chose là.

            Très bien, venez ici juste un instant. J’aimerais vous montrer quelque chose. J’aimerais que vous regardiez ma main. Elle a bien l’aspect de la main d’un homme ordinaire, n’est-ce pas? J’aimerais vous montrer les effets d’un cancer. Placez votre main ici sur la mienne. Maintenant, regardez là. Voyez-vous ces petites taches blanches qui me parcourent la main? J’appellerais cela une vibration du cancer. J’aimerais que l’assistance regarde cela.

            Maintenant, observez ici. Je vais enlever ma main. Regardez ma main maintenant. Voyez? Je place ma main dessus. Placez cette autre main ici dessus, soeur. Viens ici, Billy. Je sais qu’il n’y a rien qui cloche chez vous. Touchez la main de mon garçon ici. Je vais mettre... Regardez ma main maintenant: Tout aussi normale que celle de n’importe quel homme. Est-ce vrai? Maintenant, regardez ici. Je vais placer ma main dessus. Maintenant, mettez votre main gauche dessus. Maintenant, changez de main, soeur. Maintenant, placez cette main dessus. Eh bien, regardez là. Voyez-vous ce que je veux dire? Maintenant, il y a quelque chose, vous savez que cela est là. Eh bien, je crois, dans la vision, il vous a été dit ce que c’était: le cancer.

94        Maintenant, voyez, il y a en vous une–il y a une–une puissance. En d’autres termes, c’est une grosseur, une vie. Eh bien, quand vous êtes né, vous étiez juste un petit germe dans le ventre de votre mère. Puis vous avez commencé à développer, développer des cellules, et cela est devenu un enfant, et vous êtes ce que vous êtes maintenant: une multiplication de cellules. Est-ce vrai? Maintenant, il y a autre chose là dedans qui a multiplié des cellules. Cela est appelé le cancer. Cela a une vie, une vie différente de la vôtre. Cela est en vous, ça vous ronge. Maintenant, cette vie qui est à l’intérieur, quand je suis oint et que vous êtes... Vous savez qu’il se passe quelque chose, n’est-ce pas? Eh bien, observez ici quand vous placez votre main dessus, observez les résultats que cela produit. Eh bien, Jésus a dit ici dans la Bible: «Ils imposeront les mains aux malades.» Est-ce vrai? C’est ce qu’Il veut dire. Eh bien, voyez-vous cela? Eh bien, quand j’enlève vos mains, cela disparaît. Observez ici. Je place ma main dessus, il n’y a pas de changement. Eh bien, assistance, vous voyez cela.

            Maintenant, je ne peux pas faire partir cela de la femme. Je sais ce qu’elle a. Eh bien, il y a une vie là-dedans: une grosseur maligne. Cela va lui ôter la vie, si quelque chose est... Maintenant, l’unique chose qui puisse arriver serait comme, si vous retiriez sa vie d’elle, son corps tomberait ici mort. Il serait toujours ici, mais il serait... il ne serait pas actif. Mais elle finira par pourrir et disparaître. Maintenant, si cette vie sort du cancer, le cancer meurt. La femme va être bien portante pendant environ soixante-douze heures, puis, quand le cancer commencera à se décomposer, ou pourrir, alors la corruption s’installe, et le cancer est là en elle. La grosseur est morte, comme une tumeur, ou quelque chose comme cela et un tas de chair. Et puis, le flot du coeur, ou plutôt la circulation du sang prend cela, cela lui donnera de la fièvre et la fera tomber malade pendant environ vingt-quatre heures, quelque chose comme cela, peut-être un peu plus longtemps. Et puis, elle se rétablira.

95        Mais maintenant, observez ici. La Bible déclare: «Toute parole sera établie sur la déposition de deux ou trois témoins.» Est-ce vrai? Combien disent que c’est scripturaire? Très bien. La femme m’est inconnue. Je ne me rappelle pas ce qui lui a été dit En effet, cela... je n’avais... je n’ai... Mais je sais que c’était le cancer. Mais ce que j’ai dit était la vérité, n’est-ce pas? Maintenant, vous êtes une inconnue et nous sommes tous deux des humains. Et vous êtes venue ici, vous avez posé votre main sur la mienne. C’est donc là d’abord un témoin; c’est cela, Il vous a dit ce qui n’allait pas ou ce qui a été fait, ou... C’était vrai, n’est-ce pas? C’était là un témoin. Il y a un autre témoin, c’est qu’il y a quelque chose de physique qui s’est passé, que vous pouvez voir avec vos propres yeux. Regardez. Regardez ces petits... comme des verrues qui parcourent ma main. Voyez? Dites donc, il y a aussi un trouble gynécologique. N’est-ce pas vrai? Vous en avez souffert depuis un temps. Oui, oui. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Et comment ai-je su cela? Vous savez qu’il y a Quelque Chose de surnaturel qui est en train d’oindre ici, n’est-ce pas? Maintenant, si je devais ôter cela... si cela vous quittait, cela s’arrêterait. Sinon, je–je ne pourrais pas le faire partir. Mais me croyez-vous? M’acceptez-vous comme prophète de Dieu, et Jésus-Christ en tant que votre Guérisseur? Croyez-vous cela? Et croyez-vous que je vous ai dit la vérité?

96        Prions. Maintenant, assistance. Maintenant, ceci est un... un cas résistant de cancer. Je ne sais pas si cela va la quitter ou pas. J’aimerais qu’elle regarde. J’aimerais que vos yeux restent ouverts, que vous regardiez ma main. Que je puisse poser... j’aimerais que vous remarquiez, madame. Ce n’est pas comme quelqu’un là dans l’assistance pense. Ne pensez pas que c’est de la télépathie mentale. Ce n’est pas cela. Maintenant, faites sortir cela de votre esprit (Voyez?), car ça ne l’est pas.

            La télépathie mentale, montrer quelque chose comme ceci? Vous dites: «Vous êtes en train de lire la pensée de cette femme.» C’est vrai, mais je ne suis pas un liseur de pensées. Jésus-Christ lisait les pensées de gens. Est-ce vrai? Il connaissait leurs pensées. Mais Jésus a dit... Avez-vous déjà vu un liseur de pensées prêcher l’Evangile? Faire n’importe... Vous avez vu ce petit insigne placé ici sur la rue, demandant aux gens de l’argent pour les séduire; mais Jésus a dit: «C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.» Un arbre corrompu ne peut pas produire de bons fruits, et un bon arbre ne peut pas non plus produire des fruits corrompus. Est-ce vrai? Et ce n’est pas de la télépathie mentale, certainement pas. Voyez?

97        Maintenant, comme je l’ai dit, madame, voyez, vous ne pouvez pas... Vous voyez, ça ne dépend pas de la position dans laquelle vous... votre main se trouve, c’est partout. Voyez? Mais j’aimerais que vous observiez ma main. Si cela quitte, j’aimerais que vous croyiez. Si cela quitte, ça va. Si cela ne quitte pas, vous êtes... Tout ce que je sais, soeur, c’est faire la paix... garder la paix avec Dieu, aller à Sa rencontre dans la paix. Si cela vous quitte, vous êtes guérie. Maintenant, c’est votre foi en Dieu qui détermine cela. Mais je vais aider par le moyen de la prière et voir si cela vous quittera, cela vous encouragera. Voyez? Mais cela reviendra simplement si vous doutez. Vous devez croire. C’est pareil pour le salut, vous devez croire que vous êtes sauvé, et agir sur base de cela.

            Mais maintenant, que tout le monde incline la tête. Et si quelqu’un qui est assis ici entend difficilement, dites-lui de garder la tête inclinée pendant ce temps et de ne pas relever la tête jusqu’à ce que je vous invite à le faire. J’aimerais que vous, madame, la patiente, vous observiez. C’est vous qui souffrez du cancer.

            Notre Père céleste, Tu connais toutes choses et Tu sais que je ne suis pas ici pour essayer de faire une démonstration publique, démontrer Tes dons divins. Mais mon coeur est ravi ce soir de savoir qu’ici, dans cette ville, Ton–Ton Esprit a oint Ton serviteur pour voir et connaître ces choses. Et les membres de ma famille sont assis ici, mes soeurs, ma mère, beaucoup de mes bien-aimés sont assis ici. Ô Dieu, combien je Te suis reconnaissant de ce que Tu es toujours près.

            Et maintenant, cette femme est venue, souffrant du cancer, un démon hideux appelé, selon les termes de la médecine, cancer. Tu l’appellerais un démon. C’est ce qu’il est: un tourmenteur de son corps à elle. Je sais qu’elle a peu de temps à vivre, à moins que Tu l’aides. Je Te prie d’être miséricordieux. J’ai demandé maintenant que cette femme ici voie et qu’elle montre des résultats physiques, et comment mon bras se raidit et dépérit. On dirait qu’il est–qu’il est endormi, ou quelque chose comme cela, sous l’effet de la puissance de cet ennemi qui est envoyé pour lui arracher la vie. Ô Dieu, sois miséricordieux. Toi esprit de Satan qui as lié cette femme, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, quitte-la. Sors d’elle.

98        Maintenant, que tout le monde garde la tête inclinée; je n’ai pas ouvert mes yeux, mais, madame, cela n’a pas changé, n’est-ce pas? C’est juste comme c’était. Le cancer est toujours là, caché. Maintenant, ayez donc foi. Prions. Que tout le monde incline la tête maintenant et reste en prière. Et regardez.

            Père, s’il Te plaît, si j’ai mal agi, pardonne-moi. Et cet ennemi cherche à retenir sa vie à elle. Et Dieu bien-aimé, je me tenais là, Toi, l’Esprit qui est venu vers moi cette nuit-là dans cette pièce, Tu m’as dit d’aller faire ces choses et que Tu serais avec moi, Tu as béni cela, Seigneur, et Tu as confirmé que c’est vrai. Et maintenant, Seigneur, je viens humblement en Ton Nom demander cette bénédiction. Et je n’ai... Ne veux-tu pas, Père, s’il Te plaît, ne pas retenir cela contre moi? D’essayer comme ceci, ce serait une démonstration publique, mais, Seigneur, bénis cette chère femme et donne-lui ce grand témoignage, alors qu’elle regarde ma main, avec respect, sachant qu’elle n’a que peu de jours à vivre, à moins que Toi, Tu l’aides. Elle rentrera chez elle encouragée et guérie. Bénis Ton serviteur, Seigneur. J’ai témoigné de Toi. Eh bien, Tu as dit: «En Mon Nom, ils chasseront les démons.» Aide-moi alors que je m’avance dans le duel de la foi pour défier ce démon très hideux qui a pris sa vie. Toi démon appelé cancer, je viens au Nom représentatif de Jésus-Christ qui est mort au Calvaire. Je t’ordonne par Sa mort, faisant valoir un don de guérison divine qui m’a été donné par un Ange, et tu le sais, sors de la femme; au Nom de Jésus-Christ, quitte-la. Maintenant, gardez la tête inclinée partout.

99        Maintenant, madame, avant que j’ouvre les yeux, quelque chose est donc arrivé, n’est-ce pas? Vous pouvez relever la tête, tout le monde, avant moi. Quelque chose arrive. Cela... Vous êtes guérie, madame; vous savez quand cela vous a quittée. Rentrez maintenant chez vous; vous allez vous rétablir. Que Dieu vous bénisse. Disons donc: «Grâces soient rendues à Dieu.» [«Grâces soient rendues à Dieu.»] Maintenant, ramenez la dame ici juste un instant, s’il vous plaît, afin que cela...

            Venez ici, soeur. J’aimerais que l’assistance ici voie maintenant ma main. Revenez directement de ce côté-ci, pour voir ce qui vous est arrivé. Maintenant, il y a quelques instants, quand je tenais votre main, eh bien, il y avait de grosses rayures très blanches qui parcouraient ma main. Regardez-la maintenant. Voyez-vous? Maintenant, quelque chose est arrivé, n’est-ce pas? Qu’est-il arrivé? Vous êtes gué–vous êtes guérie. Rentrez chez vous; soyez rétablie maintenant, soeur; votre foi vous a guérie.

            Disons: «Gloire à Dieu!» La Bible dit: «Les gens louèrent Dieu pour une si merveilleuse...» Ce n’est pas moi; c’est le Seigneur Jésus, votre Sauveur. Il est ici à l’estrade. Le même acte qui s’est passé dans les Ecritures se passe ici même. Crois-tu cela? Très bien. Ayez foi.

100      Très bien. Venez, madame. Bonsoir. Une personne très gentille, je vois, une chrétienne. Comment ai-je su que vous étiez une chrétienne? Vous vous rappelez, l’Esprit était sur notre Seigneur. Quand Philippe est venu vers Lui, Il lui a dit: «Voici vraiment un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Maman... Il a dit: «Quand m’as-Tu connu?» Il a dit: «Quand tu étais sous l’arbre.» Et je vous ai connue quand on vous a dit que vous souffriez du coeur. N’est-ce pas vrai? Maintenant, allez et soyez guérie au Nom du Seigneur Jésus. Dieu vous bénira. Vous allez être...

            Disons: «Gloire au Seigneur!» Que cette assistance dise: «Gloire au Seigneur!» Gloire au Seigneur. Cela sonne bien.

            Très bien. Venez maintenant, faites venir la dame, s’il vous plaît. Bonsoir, soeur. Vous et moi, nous sommes de parfaits inconnus, n’est-ce pas? Je ne vous connais pas. J’aimerais vous parler juste un instant, quelque chose comme cela; je vois cela bouger devant moi. Vous souffrez d’une maladie gynécologique, cela a causé une brûlure (Est-ce vrai?) de...?... Je vous ai vue dans une pièce...?... Est-ce vrai? Ces choses sont-elles vraies? [Frère Branham lui parle en aparté.–N.D.E.] Est-ce vrai? Eh bien, personne n’a vu cela, pas du tout, à part Dieu Tout-Puissant. Est-ce vrai? Levez la main si c’est vrai. Seul Dieu Tout-Puissant connaissait cela, ce qui a été dit à cette femme tout à l’heure. Et je l’ai vue, ce qu’elle faisait et cela a été révélé maintenant. Est-ce vrai, madame? Très bien. Vous êtes guérie. Vous avez cru. Vous pouvez aller et être bien portante...?...

            Disons: «Grâces soient rendues au Seigneur Jésus», tout le monde maintenant. Amen. Ayez foi en Dieu. Dieu fera s’accomplir cela. Croyez-vous? Notre Seigneur Jésus est ici maintenant.

101      Amis, je crains que vous ne soyez pas conscients de ce qui se passe. Le Dieu même de l’Eternité, le Dieu qui a créé les cieux et la terre, le Dieu qui était sur notre Seigneur Jésus, Celui qui L’a ressuscité d’entre les morts, qui L’oignait et Il allait çà et là, faisant du bien, est ici dans cet auditorium, à Jeffersonville, dans l’Indiana, ce soir. Il est ici maintenant. Soyez respectueux; croyez de tout votre coeur.

            Très bien. Faites venir la dame. Que tout le monde soit respectueux. Très bien, venez. C’est vous la–c’est vous la dame, n’est-ce pas vrai, soeur? Très bien, venez ici juste un instant. Bonsoir, soeur. Une croyante, vous savez bien où vous vous tenez maintenant. Maintenant, Cela ne vous fera pas de mal. Voyez? C’est pour vous faire du bien. Maintenant, il y a quelque chose qui cloche chez vous. Vous êtes... Je vous vois traverser une rue. Et vous vous abaissez, on dirait, doucement. Vous êtes en robe claire... et vous vous penchez en arrière. C’est l’arthrite, n’est-ce pas, ou quelque... Est-ce vrai? L’arthrite? Vous sortez du lit le matin, je vous ai vue vous déplacer lentement, n’est-ce pas? En effet, c’est à peine que vous arrivez à vous lever. Mais vous avez cru. M’acceptez-vous comme prophète de Dieu? Levez les mains au Nom du Seigneur. Martelez vos pas de haut en bas. L’arthrite vous quitte; quittez l’estrade; voici votre porte–porte-monnaie. Dites: «Merci, Seigneur», et allez de l’avant, louez-Le.

            Disons: «Gloire au Seigneur», comme ceci, tout le monde. Rendez- gloire à Dieu. Très bien. Ayez foi.

102      Venez, madame. Bonsoir, madame. Vous essayez de croire, n’est-ce pas, madame? Maintenant, ayez foi. Je sais ce qui cloche chez vous, mais si seulement vous avez un peu plus de foi, vous pourrez vous lever de là et rentrer chez vous. Voyez? Maintenant, ayez foi.

            Bonsoir, madame. C’est vous qui venez ici, la patiente? Je... Ne trouvez pas cela étrange. Je vois une table apparaître devant moi. Il y a de la nourriture dessus, et vous refusez cela. Vous souffrez de l’estomac, suite à un état acide, peptique, de votre estomac, causé par une maladie de nerfs. Cela rend votre nourriture aigre. Il y a de l’acide dans votre estomac et tout. Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Est-ce vrai? Vous... Est-ce vrai? Me croyez-vous en tant que Son prophète? Rentrez chez vous et mangez ce que vous voulez; Jésus-Christ vous guérit. Amen. Oui. Que Dieu vous bénisse, madame. Disons: «Gloire au Seigneur!»

            Très bien. Faites venir–faites venir la dame ici. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Bonsoir, soeur. Croyez-vous que... moi en tant que serviteur de Dieu? Si je peux connaître votre vie par l’Esprit de Dieu, alors je–je suis serviteur de Dieu. Croyez-vous cela? Vous souffrez également de l’estomac. Vous souffrez également d’un trouble gynécologique, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? Que pensez-vous qu’il est arrivé tout à l’heure? Vous avez été guérie. Quittez l’estrade. Soyez rétablie au Nom du Seigneur Jésus. Ne doutez pas, ou n’ayez plus peur. Allez simplement en croyant. Croyez-vous de tout votre coeur? Combien parmi vous croient là dans l’assistance?

103      Une pauvre vieille femme de couleur ici, étendue sur un brancard, ayant la main levée, croyez-vous, tantine? De tout votre coeur? Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Rappelez-vous, il y a mille neuf cents ans, dans les rues de Jérusalem, se traînait une vieille croix rugueuse. Elle était tirée sur les empreintes ensanglantées de Celui qui la portait. Il était en route vers le Calvaire, Son petit corps frêle tombait sous le poids et Simon de Cyrène passait par là, et il L’a aidé à porter la croix. Il sait ce qui cloche chez vous. Croyez-vous cela? M’acceptez-vous comme prophète de Dieu? Croyez-vous que je dis la vérité? Vous souffrez du coeur. N’est-ce pas vrai? Croyez-vous de tout votre coeur? Si vous croyez, levez-vous, prenez votre couchette, rentrez chez vous. Levez-vous. Ne doutez pas. Levez-vous maintenant. Vous avez cela là au Nom du Seigneur.

            Qu’en est-il de vous, madame, couchée sur ce brancard ici? Croyez-vous de tout votre coeur? Madame, couchée ici sur le brancard, ici, que pensez-vous? Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? M’acceptez-vous en tant que prophète de Dieu? Faites-vous ce que je vous dis? Vous êtes à l’article de la mort suite à un cancer. Est-ce vrai? Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, levez-vous, et Il vous fortifiera, et vous pourrez prendre votre petit lit et rentrer chez vous. Croyez-vous cela? Levez-vous. Soulevez-la du lit. Ayez foi. Très bien. La voilà venir. Très bien. L’ordonnateur des pompes funèbres peut venir chercher le brancard, quoi que ce soit.

104      Qu’en pensez-vous, l’autre dame? Vous étendue sur ce brancard-là, me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? M’acceptez-vous comme tel? Si je peux vous dire ce qui cloche chez vous, me croirez-vous? L’affection de la vésicule biliaire est sur le point de vous emporter. N’est-ce pas vrai? M’acceptez-vous en tant que Son serviteur? Croyez-vous que ce que je vous dis est la vérité? Alors, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, levez-vous de ce brancard-là et rentrez chez vous. Tenez-vous debout. Levez-vous. Ne doutez de rien.

            C’est bien; tendez-lui la main là, l’un de vous, huissiers. Très bien, croyez. Regardez de ce côté-ci, chacun de vous. Tenez. Très bien, madame. Regardez droit de ce côté-ci, chacun de vous. Soyez respectueux pendant qu’ils se lèvent. Regardez ici. Croyez-vous là derrière? Que certains parmi vous prient.

            Que dites-vous, madame? Vous assise là-bas, assise là en train de pleurer et prier avec des larmes qui coulent. Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Vous souffrez des nerfs. Est-ce vrai? Levez-vous juste une minute. Je vois une vision se dérouler à côté de vous. Quelque chose est en train de se passer. Tenez, vous avez connu un accident il n’y a pas longtemps. Est-ce vrai? Un accident d’automobile. Est-ce vrai? Levez la main. Acceptez Jésus-Christ qui vous a guérie. Rentrez chez vous et soyez rétablie.

            Croyez-vous tous? Etes-vous prêts? Levez maintenant les mains.

            Notre Père céleste, nous Te demandons maintenant, au Nom de Ton Fils Jésus-Christ, de guérir chaque personne qui est dans la Présence divine maintenant même; qu’elle soit complètement guérie. Satan, quitte cette assemblée. Sors de chaque personne ici présente...?...

Up