Crois-Tu Cela?

Date: 53-0906A | La durée est de: 1 heure et 30 minutes | La traduction: Shp
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1          Bien, ce serait une bonne chose lors de mes funérailles. Ce serait très bien.

            J’aime certainement penser à la Divinité de notre Seigneur Jésus-Christ, pas vous? Aujourd’hui, alors que les gens essaient de dire qu’Il n’était juste qu’un philosophe d’un certain genre, moi je crois qu’Il était Dieu Emmanuel. Certainement.

            Et je pense que toute louange Lui revient. Grâces soient rendues à Son saint et vénérable Nom. Je vis en Son Nom, travaille en Son Nom, chante en Son Nom, prêche en Son Nom, et guéris en Son Nom. Je veux mourir en Son Nom et ressusciter en Son Nom. C’est exact.

            Hier soir, frère Baxter... Je lui ai demandé, j’ai dit: «Frère Baxter, voudriez-vous me faire une faveur? Je voudrais terminer un peu tôt.» J’ai dit: «Si nous devons avoir une ligne rapide, ai-je dit, je voudrais que vous prêchiez quelque chose pour moi.» J’aime l’entendre prêcher cela.

            Il a dit: «Sur quoi donc?»

            J’ai dit: «Sur Schamgar.» Il a tué tous les Philistins. J’aime bien me débarrasser d’eux, pas vous? La–la Bible déclare qu’ils seraient des chardons dans votre chair si vous les laissez vivre dans le pays. Ainsi, débarrassons-nous d’eux. Hier soir, je suis donc resté assis là, et j’ai beaucoup apprécié la prédication sur Schamgar.

2          Aujourd’hui, il a dit: «Et si on prêchait sur la résurrection de Lazare?»

            Alors j’ai dit: «J’ai peut-être déjà prêché cela auparavant.» Ainsi, je crois que Dieu nous accordera une grande soirée avec cela, et que la bénédiction de Dieu soit sur vous tous.

            Je suis heureux d’être ici dans ce tabernacle qui est un mémorial aujourd’hui, là où de grands hommes se sont tenus à l’estrade, des hommes qui sont allés au Ciel.

            Je ne sais pas à quel point ceci est vrai. D’une source digne de foi, j’ai appris que feu Paul Rader qui, je crois, était le fondateur de ce tabernacle, si je ne me trompe pas... Le fondateur du tabernacle... J’ai eu l’occasion de l’entendre une fois dans ma vie à Fort Wayne, et hier soir on a dit qu’on l’a vu dans une vision ici à l’estrade. Il n’est pas mort, mais il est vivant. Son nom sera immortel dans les coeurs des gens pendant des années et des années à venir.

3          On rapporte que lorsqu’il était mourant, et c’était en Californie, les gens chantaient des cantiques; et selon ce que j’ai appris, frère Rader, juste... ou plutôt les gens qui étaient juste autour de frère Rader; et il avait vraiment le sens de l’humour, et on dit que ces gens chantaient des cantiques mélancoliques, et il a dit: «Dites donc, qui est en train de mourir, moi ou vous?» Il a dit: «Relevez ces rideaux... ces stores, plutôt, et chantez-moi de très bons cantiques évangéliques, pleins d’entrain.»

            Ils se sont mis à chanter quelque chose: A la Croix, ou quelque chose comme ça, et il a dit: «Voilà qui est mieux!» Il a dit: «Où est Luc?» Et Luc qui, naturellement, ne voulait pas voir son frère mourir, est entré dans la pièce, et on dit qu’il saisit Luc par la main et dit: «Luc, nous avons fait un long chemin ensemble mais, penses-y un peu, dans cinq minutes je serai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice.»

            Je pense que la vie de grands hommes nous rappelle à tous,
            Que nous pouvons rendre nos vies sublimes,
            Et en partant laisser derrière nous,
            Des traces de pas sur le sable du temps.

            C’est exact. Le grand et éminent Billy Sunday qui a prêché dans ce tabernacle, semaine après semaine lors des réveils, certains d’entre vous ici probablement venaient pour l’entendre...

4          Je me rappelle, alors que j’étais encore petit garçon, quand il est mort. On disait: «Billy Sunday s’est avancé dans l’allée de sciure.» Il les a peut-être invités à plusieurs occasions à s’engager dans ces allées de sciure. On l’a trouvé mort dans son lit, pas mort, mais parti pour être avec Jésus.

            Il n’y a pas une seule Ecriture dans la Bible qui dise qu’un chrétien meurt. Les chrétiens ne meurent pas. Vous ne pouvez pas mourir. Vous avez la Vie Eternelle, comment peut-Elle avoir une fin? Elle ne peut pas en avoir.

            C’est pourquoi, lorsque nous nous mettons à y penser, cela réjouit nos coeurs, n’est-ce pas?

5          Il s’est fait que je suis arrivé à temps pour entendre frère Baxter qui prélevait une offrande d’amour pour moi. Je suis désolé que nous ayons même à faire cela. Je–je reçois une offrande d’amour chaque semaine. Et frère Baxter aussi. C’est juste... Alors on règle les dépenses de la réunion, et ensuite après que nous avons reçu ça, si toutes les dépenses ont été couvertes, alors nous recevons chacun une offrande d’amour.

            Je puis vous assurer, mes amis, de ma gratitude, du fond de mon coeur, j’apprécie cela. Je ferai tout ce que je peux pour utiliser cela avec beaucoup de crainte pour la gloire de Dieu, au mieux de ma connaissance.

            Si j’arrive à payer ma dette initiale maintenant avec les deux offrandes d’amour que j’ai reçues dans cette série de réunions, j’irai à une conférence qui est... Les gens prélèvent des offrandes missionnaires et tout pendant la conférence, et cela ne... Les gens ne peuvent pas... Ce sont peut-être seulement mes dépenses ou quelque chose comme ça qu’ils payent. J’irai ensuite à Kansas City, ensuite à Los Angeles.

6          Et nous craignons simplement pour nous rendre où que ce soit, parce que je–je sais que les réunions d’outre-mer approchent, et je–je dois y aller. C’est pourquoi je crains de prendre un itinéraire trop long, car le Seigneur pourrait m’appeler à tout moment, pour partir à tout moment. J’ai déjà reçu les injections et tout ce que je dois recevoir, et je suis prêt à partir quand le Seigneur m’appellera à partir.

            C’est aussi de cette manière que je veux être prêt à aller au Ciel: que tout soit prêt quand Il appellera.

            Et j’apprécie beaucoup ceci. Que Dieu vous bénisse en toutes choses; si cela suffit et va au-delà du montant nécessaire pour couvrir mes dépenses initiales, alors je mettrai cela dans les missions à l’étranger.

7          Et si seulement vous connaissiez les missionnaires qui sont dans cette réunion cet après-midi, et bien des fois quand je suis allé là-bas... Bon nombre d’entre vous connaissent cette histoire; Dieu m’avait dit d’aller à un certain endroit, et j’ai laissé un groupe de prédicateurs me dissuader d’y aller. Et je suis allé ailleurs, parce qu’eux voulaient que j’y aille; et j’ai certainement payé pour cela. Il m’a dit que je paierai pour cela.

            Mais alors, je suis tombé malade, des parasites, le médecin a même dit que je n’avais aucune chance de vivre.»

            Il me restait dix heures à vivre, et le Seigneur Jésus est venu vers moi dans une vision, et Il a dit: «C’est terminé.»

            Je suis retourné chez le même médecin, environ deux... huit heures après et j’ai dit: «Docteur, faites-moi examiner pour des parasites.»

            Il a dit: «Bien, Révérend, vous avez attrapé des parasites.» Il a dit: «Eh bien, je vous ai tout donné» et voici l’obs-...l’observation qu’il a faite. Il a dit: «Je vous ai tout donné, et je vous ai lancé la boîte», et il a dit: «Vous avez toujours des parasites.»

            J’ai dit: «Mais maintenant je n’en ai plus.»

            Il a dit: «Oh! Vous en avez.»

            J’ai dit: «Voudriez-vous me faire examiner?»

            Il a dit: «C’est inutile.»

8          J’ai dit: «Voudriez-vous le faire juste sur base... Je vais vous payer pour cela. Je veux juste vous montrer ce que notre Seigneur est capable de faire.»

            Il a dit: «Vous avez des parasites, Révérend.»

            J’ai dit: «Faites-moi examiner.» Après l’avoir fait, il ne savait pas... C’était totalement négatif.

            Il a dit: «Eh bien, que s’est-il passé?»

            J’ai dit: «Le Seigneur Jésus-Christ en qui je me confie, c’est Lui qui a fait cela. Il m’en a délivré.»

            Il a dit: «Révérend, où allez-vous à présent?»

            J’ai dit: «Je retourne outre-mer.»

            Il a dit: «Au même endroit?»

            J’ai dit: «Oui, oui.»

9          Il a dit: «Vous voulez me dire que vous retournez, alors que vous étiez sur le point de laisser votre épouse et vos enfants, et toutes ces choses qui arrivent, des avions qui ont fait des accidents et tout le reste, et qu’en venant cinquante-deux personnes qui vous précédaient ont perdu la vie comme cela?»

            J’ai dit: «Ça ne change rien. Quelque Chose ici au fond appelle, me disant que je dois retourner, qu’il s’agisse de vivre ou de mourir; je dois obéir à Dieu.»

            Et, les amis, c’est–c’est exact. Quand je pense aujourd’hui, quand je regarde partout dans les rues de Chicago et d’autres villes, et que je vois les–les enfants et tout, et que je regarde dans les restaurants, et que je vois des mets copieux et excellents qui sont servis et des choses semblables...

            J’apprécie un pays comme celui-ci, mais quelque part là-bas en Afrique, il y a un petit garçon noir qui ne sait même pas ce que c’est qu’un bonbon, qui n’a jamais porté un bout d’étoffe, qui n’a jamais pris un bain, qui n’a jamais bu un verre d’eau potable!

10        Le pauvre petit gars affamé, qui ôte la poussière de ses yeux en les essuyant et qui pleure comme cela, désirant entendre parler de Jésus-Christ une fois. Il a autant le droit d’entendre parler de Lui que ma petite fille assise là qui entend parler de Lui chaque jour. Est-ce juste? Quelqu’un doit l’apporter. C’est exact. Quelqu’un doit l’apporter, et j’ai cela sur le coeur de le faire.

            Et je prie Dieu de bénir tout celui qui a mis sa part dans cette offrande, et tout ce que je puis faire en dehors de mes propres... ce que je... Et nous vivons comme des hommes ordinaires, mes amis. S’il était question d’argent, je serais un millionnaire. Une fois, j’ai reçu de la part d’une personne une offrande d’un million et cinq cent mille dollars. Les agents du FBI me l’ont apportée, et j’ai refusé même de regarder à cela.

11        Il a dit: «Révérend Frère Branham, ceci... Vous ne savez pas ce que c’est.»

            J’ai dit: «Ça ne change rien, monsieur. Je ne prends pas l’argent des gens.» Je suis venu pauvre dans ce monde, et pauvre je m’en irai. Comment pourrais-je être riche alors que les gens qui sont ici... Il n’y a pas longtemps, quelqu’un voulait m’offrir une grosse Cadillac. Mon vieux petit camion Chevrolet, là-bas, était presque rétrograde, alors je... C’est un terme fort pour un baptiste, n’est-ce pas? Rétrograder, pourtant on peut faire cela.

            Ainsi c’était... Il a dit: «Etes-vous... Est-ce que c’est à bord de ça que vous roulez?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur. Elle est chouette.»

            Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, je vous assure, Frère Branham, a-t-il dit, nous avons offert une Cadillac à Avak, a-t-il dit, nous allons carrément vous en offrir une toute neuve pour que vous rentriez chez vous en roulant à bord.»

            J’ai dit: «Je–j’apprécie cela, frère.» J’ai dit: «Je–j’apprécie cela de tout mon coeur, ai-je dit, mais je–je ne pourrais pas rouler en Cadillac.» J’ai dit: «J’apprécierais que quiconque puisse rouler en Cadillac», mais j’ai dit: «Moi, je ne pourrais pas le faire.»

12        Qu’en serait-il si je devais traverser maintenant l’Arkansas (Voyez-vous?), où toutes ces pauvres petites récolteuses de coton et ces petites mères sont là dehors dans les champs avec sur le dos un sac de coton pesant environ cinquante ou cent livres [22,6 ou 45,2 kg] qu’elles traînent le matin, leurs pauvres vieilles petites mains couvertes de bourres de coton comme cela, prenant du lard gras et du pain de maïs comme petit déjeuner, et voilà–voilà frère Branham qui passe là à bord d’une grosse Cadillac?

            Pas moi. Non, monsieur. Non, monsieur. Ce n’est pas dans mon sang. Si je devais obtenir ce que je mérite, je serais à pieds, je roulerais à bicyclette ou quelque chose comme ça. Oui, monsieur. Je le déclare du fond du coeur, et je préférerais avoir la faveur de Dieu plutôt que d’avoir la plus belle maison que vous avez à Chicago et être hors de la commission de Dieu. Pour moi la chose principale, c’est avoir la faveur de Dieu.

13        Eh bien, j’apprécie chaque homme que Dieu... J’aime voir des pauvres quand ils n’ont rien, et les voir prospérer et acquérir une jolie petite maison et une automobile. Et, oh! vous ne savez pas le bien que ça me fait juste de voir des pauvres... Je sais ce que ça signifie d’être pauvre. Je suis encore pauvre, je mourrai pauvre, mais je suis... Ce que ça signifie pour moi de voir des gens quand ils prospèrent, quand Dieu les a bénis. Cela fait tressaillir mon coeur.

            Certains frères qui sont assis ici maintenant, j’étais chez eux, je suis resté chez eux la dernière fois que j’étais ici, et ce sont d’aimables familles et oh! je... Ils m’ont raconté qu’ils sont venus ici à Chicago presque sans rien, et ensuite ils ont acquis une belle maison, et ils ont de beaux enfants, et de charmantes épouses; des frères doux qui sont en plein dans le ministère et dans l’oeuvre du Seigneur. Oh! la la! Avec ça–avec ça je me mets simplement à genoux, et je remercie le Père céleste pour de telles personnes. Certainement.

14        Je pourrais dire tant de choses, mais je dirais ceci: «Que Dieu vous bénisse tous.» Je pense que c’est la plus merveilleuse parole qui puisse être... Si Dieu me bénit, voilà tout ce dont j’ai besoin. Est-ce juste? Si Dieu me bénit, c’est–c’est suffisant. C’est tout ce qui m’intéresse.

            Maintenant, je ne veux pas que mon temps s’épuise. Je dois prêcher un petit peu cet après-midi, ou plutôt–ou plutôt parler. Je ne suis pas un prédicateur. Je suis juste... Comme je vous le disais l’autre jour, je suis un pneu de rechange. Quand vous avez une crevaison, vous savez, c’est à ce moment-là que vous l’utilisez. Eh bien, nous n’avons pas de crevaison pour le moment, mais nous... Mais je suis juste un pneu qu’on a gardé en réserve cet après-midi.

            Je me rappelle par exemple une petite chose que je dis souvent aux gens, et que je me rappelle le fait d’être prédicateur. Ma mère est ici présente. Elle peut mettre les doigts dans ses oreilles maintenant. Mon père était un cavalier. Et aussi ç’en était un bon, il faisait de l’équitation. Et c’était un fin tireur. Il prenait des fusils, et il jetait là ces grosses billes en argile, et d’un fusil il tirait sur une autre bille, et il la soulevait, et il faisait éclater la bille avec l’autre fusil. Eh bien, moi je ne pourrais pas, en tirant, toucher des bassines comme cela, mais lui il... mais lui il était un excellent, et j’ai toujours désiré être comme mon père.

15        Je me souviens donc quand nous étions enfants, nous avions l’habitude de labourer, et je–j’entendais maman quand elle m’appelait. Et elle... la seule chose que j’entendais c’était: «...-iam!», vous savez. «William.» J’entendais cela tout au fond du champ, vous savez. Je prenais mon vieux chapeau de paille, et je l’agitais pour faire signe, et je prenais ces vieilles cordes. Combien ont déjà labouré avec les vieilles cordes? Voyons. Eh bien, il y a quelques garçons de campagne assis ici. Oui, oui. Les vieilles cordes, je les ôtais de mon cou, vous savez, et je rentrais pour le dîner.

            Maintenant, je me souviens qu’après avoir labouré pendant toute la journée, vous savez, et oh! on était fatigué. Ce soir-là, quand nous sommes rentrés, eh bien, papa était encore dans le champ. Moi, je devais rentrer tôt, parce que je devais traire la vieille vache. Ainsi, on faisait le tour. J’allais à l’abreuvoir. Quelqu’un sait-il ce que c’est qu’un abreuvoir, là où les chevaux s’abreuvent? Oh! Maintenant, je me sens chez moi, n’est-ce pas? Très bien.

16        J’allais là, vous savez, et je–je... Mes frères et tous les autres venaient là et me regardaient, vous savez, je rentrais et j’allais derrière la colline, en venant de la maison; j’entrais là et je prenais la selle de papa, vous savez, et je me cherchais une poignée de graterons et la mettait sous la selle, et je plaçais la selle sur le vieux cheval, vous savez, et je le montais.

            Le pauvre, il était si fatigué et si vieux aussi, vous savez, et il était raide, il n’était même plus en mesure de soulever ses pattes du sol. Elle braillait tout simplement, vous savez. Je retirais ce chapeau, vous savez, et j’étais un vrai cow-boy; je chevauchais, vous savez, et tous mes frères s’asseyaient là et m’acclamaient, vous savez. J’étais un vrai cow-boy.

            Quand j’ai eu environ dix-neuf ans, j’ai quitté la maison. Maman ne m’a pas encore suffisamment fouetté pour cela. J’ai donc quitté la maison, et je suis allé à l’Ouest. Je voulais devenir un cavalier. Je voulais alors remporter la selle d’argent, Frère Osborn. Vous savez de quoi je parle.

17        Ainsi j’étais donc... je suis allé à l’Ouest, je suis allé en Arizona, et ils avaient organisé un rodéo là. J’ai dit: «Je suis... J’ai besoin d’argent.» Et je suis allé me procurer un pantalon Levis, et je suis allé, je me disais: «Je vais faire de l’équitation. Ces gars qui sont ici n’en savent pas plus que moi sur l’équitation.»

            J’ai donc escaladé la–la clôture qui entourait le–l’endroit où se déroulait le rodéo. Et aussitôt, ils ont fait sortir les chevaux, ainsi que les chevaux qui font des ruades, et il y avait là un cheval qui était fameux. On disait: «Eh bien, quiconque peut monter ce cheval...»

18        Et on a fait venir un cavalier célèbre, et j’ai compris qu’il allait gagner environ, oh! je pense, deux cents dollars ou plus en montant un cheval. Et il... Et dans sa grande et belle tenue de beau type, il a sauté sur la selle. Quand il est sorti, s’engageant dans une lutte libre, il est sorti du couloir, et quand il est sorti de là, ce cheval n’a fait qu’environ une seule ruade, s’est cabré et la selle est allée d’un côté, et l’homme est allé de l’autre. Le personnel du ramassage a récupéré le cheval, et l’ambulance a ramassé le cavalier, et il saignait des oreilles et des yeux.

            Et l’homme longeait la clôture, et il a dit: «Quiconque d’entre vous les cow-boys qui êtes ici, quiconque d’entre vous peut monter ce cheval et rester sur lui pendant une minute, je lui donnerai cent dollars par minute.» Alors, personne ne disait mot. Il s’est avancé et il a fixé son regard droit sur moi qui étais assis là, vous savez, portant un pantalon Levis, faisant impression, et confondu parmi les autres cow-boys, vous savez. J’étais un enfant. Il a regardé comme cela, vous savez, et il s’est dirigé droit vers moi et il a dit: «Etes-vous un cavalier?»

            J’ai dit: «Non, monsieur. Non, monsieur.» Je savais que ce n’était pas le vieux cheval raide de labour de papa. Voyez-vous? Je savais qu’il y avait là quelque chose de différent.

            Ainsi donc quand je venais d’être ordonné comme ministre, j’avais l’habitude de porter ma Bible sous le bras. Les gens me demandaient: «Etes-vous prédicateur?»

            «Oui, monsieur. Oui, monsieur. Je suis un prédicateur.»

19        Un jour, j’ai entendu un prédicateur du Plein Evangile prêcher dans une réunion sous tente. Il prêchait jusqu’à perdre le souffle; son visage devenait rouge. Il descendait jusqu’au plancher, il ployait ses genoux et se redressait en reprenant son souffle. On pouvait l’entendre à environ deux pâtées de maisons, toujours en train de prêcher. Alors les gens demandaient: «Etes-vous prédicateur?»

            Je disais: «Non, monsieur.» A ce moment-là, je n’étais plus un prédicateur, après que j’avais entendu un homme qui était capable de prêcher. Et je... Alors, je me gardais toujours de dire que j’étais un prédicateur. Voyez-vous? Cependant, j’aime vraiment arriver à un point où nous pouvons avoir un... vous savez, savourer les bénédictions du Seigneur, pas vous?

20        Le jeune monsieur Osborn qui est assis là me rappelle quelque chose. Ce matin il parlait, nous étions ensemble, lui et moi, le jeune homme, et cela me rappelle une fois... De voir une bonne vieille réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode... Qui aime ce genre de réunions là? Aimez-vous cela? Dites: «Amen.» Oh! Nous aimons certainement cela.

            Ce que nous appelions une réunion pop-corn... Savez-vous ce que c’est qu’une réunion pop-corn? Prenez un petit grain de maïs jaune et placez-le sur un poêle chaud. Il double de volume et devient deux fois plus léger, et il passe du jaune au blanc. C’est cela une réunion pop-corn. C’est ce qu’il faut.

            Un petit gars qui a peur de témoigner et qui saute tout à coup, qui est prêt pour l’Enlèvement et qui change son vêtement, du jaune au blanc...

21        Ça me rappelle une fois où je faisais la pêche un matin. Je pense que j’ai beaucoup d’amis ici qui sont aussi des pêcheurs. Ce lac-ci est si près, et j’étais tout au fond dans les bois du Nord, en train de pêcher; et je–j’aime vraiment–vraiment les crêpes. Combien aiment les crêpes? Oh! la la! J’aime vraiment les crêpes, et j’avais l’habitude d’amener avec moi un seau de mélasse, vous savez, tout un seau, un grand seau, parce que je suis un baptiste. Moi, je les baptise. Je ne les asperge pas. J’en déverse une grande quantité quand je la mets dessus, la mélasse, vous savez, je les recouvre d’une couche épaisse.

            Ainsi donc, je–je me suis dit: «Oh! la la! Maintenant si je peux simplement avoir ce...» J’ai pris avec moi un grand seau de mélasse, vous savez, et j’étais là-bas, et j’avais une vieille petite tente. Il y avait beaucoup d’ours noirs dans ces bois. Votre fils a fait une expérience l’autre jour avec l’un d’eux. Alors, oh! ils ne sont pas dangereux. Je ne sais pas d’où lui vient la mauvaise réputation qu’il a, mais il est... qu’est-ce qu’il détruit! Oh! la la! Il est–il est terrible.

22        Et ainsi, j’avais dressé une vieille petite tente, et j’attrapais quelques grosses truites arc-en-ciel. Et j’avais descendu le courant, et j’avais ici dans ma main une petite hache, une petite hache de scout; et quand je suis revenu, voilà que ma tente était démolie. Et j’ai regardé, et voilà une vieille mère ourse était assise là avec quelques petits oursons: il y en avait deux. Et elle s’est plutôt enfuie quand elle m’a vu venir, sortant des saules, et elle s’est plutôt enfuie sur le flanc de la colline; et elle a appelé ses petits en roucoulant, et un seul petit ourson l’a suivie.

            L’autre petit ami avait le dos tourné vers moi, juste comme ceci, vous savez. Il ne bougeait pas du tout. Eh bien, je me suis dit: «Regardez ce qu’ils ont fait! Oh! la la! Ils ont tout détruit.» Eh bien, une ourse qui a des petits vous grifferait. Alors je–je n’ai pas voulu m’approcher trop d’elle, et, bien sûr, j’avais un fusil là, mais je ne voulais pas les laisser orphelins dans les bois. Alors, je–je... J’ai dit: «Va-t-en d’ici», comme cela, et la vieille mère s’est enfuie à une distance; et elle appelait sans cesse cet autre ourson en roucoulant, et ce dernier n’allait pas.

23        Et je me suis dit: «Qu’est-ce qui intéresse tant ce petit compagnon?» J’ai regardé tout autour. J’ai continué à faire le tour comme ceci, essayant de lui lancer une pierre, et il ne détournait même pas la tête. Il était tout simplement penché comme ceci, occupé à quelque chose. Je me suis dit: «Eh bien, qu’est-ce qui intéresse tant ce petit compagnon?»

            Chaque fois, vous n’avez pas votre appareil photo avec vous quand une telle scène se déroule, vous savez. J’ai donc contourné comme ceci, et j’ai regardé. J’ai dit: «Va-t’en de là», comme cela, et il s’est retourné et il m’a regardé.

24        Ce petit ami s’était emparé de mon seau de mélasse. Il le tenait entre ses pattes comme ceci. Il en avait ôté le couvercle. Il plongeait tout simplement sa petite patte là-dedans comme cela, et toute sa face était couverte de mélasse. Son petit ventre était tout simplement rempli de mélasse. Ses yeux, vous savez, il ne savait même plus les ouvrir. Il battait les yeux, me regardant comme cela. Il léchait comme cela, et il plongeait sa petite patte dedans, et ensuite il léchait la mélasse.

            J’ai dit: «Passe un bon moment, mon ami.» Cela m’a simplement rappelé une bonne réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode, où nous ouvrions le pot de miel, vous savez, et plongions carrément les doigts dedans, et on avait du miel jusqu’au front et tout, vous savez, on passait vraiment un temps à l’ancienne mode au point qu’on oubliait simplement où on se trouvait. Mais ce qui était amusant, c’est que lorsqu’il avait pris assez de mélasse, il en était complètement couvert.

            La mère ne cessait de l’appeler en roucoulant. Il a déposé le seau et il s’est enfui, et quand je me suis approché, la mère et l’autre ourson se sont mis à le lécher. Alors... Amen! C’est ce qu’il nous faut, une réunion à l’ancienne mode où vous pouvez pratiquement lécher cela. N’est-ce pas vrai? Oui, tout simplement une vraie réunion à l’ancienne mode.

25        Très bien. Jean, chapitre 11. J’aimerais lire maintenant un petit passage de la Parole, et ensuite nous allons prier.

            Maintenant, nous lisons ceci au verset 18:

            Et, comme Béthanie était près de Jérusalem, à quinze stades environ,

            Beaucoup de Juifs étaient venus vers Marthe et Marie, pour les consoler de la mort de leur frère.

            Lorsque Marthe apprit que Jésus arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison.

            Marthe dit à Jésus: Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.

            Mais, maintenant même, je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera.

            Jésus lui dit: Ton frère ressuscitera.

            Je sais, lui répondit Marthe, qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour.

            Jésus lui dit: Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort;

            Et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?

            Elle lui dit: Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui devait venir dans le monde.

26        Inclinons la tête. Maintenant, Seigneur, comme des enfants qui jouent sur la place du marché, tandis que nous nous tenons ici, et que nous savons que Tu désires que nous soyons heureux et que nous nous réjouissons; Tu as dit: afin que votre joie soit parfaite... Et maintenant, Père, nous avons lu la Parole de Dieu, et maintenant nous Te prions de mettre en nous de bonnes dispositions.

            Et puisse le Saint-Esprit saisir chaque coeur. Accorde-le, Seigneur, et que chaque pécheur soit sauvé aujourd’hui. Que chaque rétrograde soit ramené dans le Royaume de Dieu, et que chaque personne malade présente dans la salle sorte d’ici rétablie. Accorde-le, Père, et que le Saint-Esprit vienne maintenant prendre les choses qui appartiennent à Dieu et les apporte à chaque coeur, selon le besoin de chaque coeur, car nous le demandons au Nom de Jésus et pour Sa gloire. Amen.

27        Ce chapitre que nous lisons maintenant, nous allons en tirer juste une petite toile de fond. Je crois que je peux voir l’horloge qui est là, ainsi je ne prendrai pas trop de temps. Si vous pouvez simplement m’accorder toute votre attention maintenant... Ne pensez pas à la réunion de ce soir, ou à ce qui va se passer demain. Pensons que le Seigneur Jésus est ici maintenant même, et que chacun dise: «Eh bien, je suis un pécheur, si tu es... mais s’il y a... Seigneur, si Tu as quelque chose pour moi, Seigneur, parle à mon coeur.»

            Et que chaque personne qui n’a pas le baptême du Saint-Esprit dise: «Seigneur, je n’ai pas le Saint-Esprit, et je connais tout sauf cela, eh bien, j’ai peur. C’est pourquoi je–je désire naître de nouveau, car Tu as dit: ‘Si un homme ne naît de nouveau, il n’entrera pas dans le Royaume.’ C’est pourquoi je désire naître de nouveau.»

28        Maintenant, je ne veux pas dire que vous n’êtes pas chrétien avant d’avoir reçu le Saint-Esprit, comprenez bien cela. Je veux dire que vous êtes... le Saint-Esprit, c’est le sceau de votre foi. Voyez-vous? Dieu... Abraham crut à Dieu par la foi, et ensuite Dieu lui donna le sceau de la promesse. Voyez-vous? Et vous croyez à Dieu par la foi et vous êtes justifié par la foi, mais vous êtes scellé dans le Corps de Christ par le baptême du Saint-Esprit.

            Vous entendez ces évêques et ces archevêques, et tous les autres, venir et témoigner de cela. Si vous n’avez jamais reçu cela, venez et essayez cela. C’est merveilleux. C’est une... C’est... Je ne sais pas comment... Une fois, quelqu’un m’a dit après que je fus sorti d’une maladie, il a dit: «Frère Branham, avez-vous gardé votre religion pendant le temps de votre maladie?»

            J’ai dit: «Non, monsieur. Ce n’est pas moi qui l’ai gardée. C’est elle qui m’a gardé pendant le temps de ma maladie.» Ainsi c’est... Oui, c’est le Saint-Esprit qui me garde, ce n’est pas moi qui Le garde. Ce n’est pas là la question. C’est Lui qui me garde. Je L’ai juste reçu, et–et Il prend soin de moi. C’est ce qu’il en est de chaque croyant.

29        Bon, ceci c’était juste au commencement, notre texte de cet après-midi, lorsque le ministère de Jésus était en pleine floraison. Il est entré en scène. Il a commencé à guérir les malades, et de grandes foules ont commencé à affluer vers Lui.

            Maintenant, nous voyons que c’était la première année de Son ministère. La deuxième année de Son ministère, les gens ont commencé à trouver de quoi Le stigmatiser, et [après] la troisième année, au milieu de l’année qui a suivi, ils L’ont crucifié.

            C’est exactement ainsi que vont les choses. Un réveil commence. Oh! c’est tout flambant. Ensuite le réveil connaît une baisse. Ensuite, bien vite, il n’y a que ce qui est vraiment authentique qui demeure. Les autres s’en vont. C’est la fin de la chose.

30        Bon, mais dans ce cas-ci, Jésus restait chez Marthe et Marie. Eh bien, c’est ce que l’on nous–nous apprend, je ne sais pas à quel point c’est vrai, mais on nous apprend que Marthe et Marie vivaient à Béthanie, où il y avait... qu’elles étaient... avaient quitté l’église orthodoxe, l’église juive et qu’elles étaient venues pour croire en Jésus; et Jésus demeurait dans leur maison.

            Elles avaient un frère qui s’appelait Lazare, et j’ai appris que c’était un scribe, que son travail c’était d’écrire les lois, les lettres, et ainsi de suite, en rapport avec la loi, sur des parchemins.

            Et l’on nous apprend que Marie et Marthe faisaient des tapisseries, de petits ouvrages pour le temple, et tout comme cela. C’est ainsi qu’elles gagnaient leur vie, en faisant les travaux d’aiguille. Et à ce moment-là, la vie de Jésus devenait merveilleuse. Les gens Le voyaient, et ils L’aimaient. Et–et puis il en est arrivé au point où Il a dû être appelé à s’éloigner de cette maison. C’est étrange, la façon dont ces choses arrivent, mais parfois... Tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu.

31        Bon, Jésus, par Sa naissance, Il était merveilleux; mais quand Il est venu au monde, Il est venu ici avec une réputation d’enfant illégitime collée à Lui; en effet, les gens disaient que Son–Son père c’était Joseph, et qu’Il était un Enfant qui était... que Sa mère était enceinte avant qu’ils ne soient en fait légalement mariés.

            C’est donc ainsi que ça a commencé pour Lui, et ensuite Il est passé par la peine capitale. Il est venu par la porte d’une étable, et Il s’en est allé par la peine capitale. Voilà de quelle manière le monde a reçu le Seigneur Jésus-Christ.

            Mais juste avant Sa–Sa naissance... Dieu prend toujours des dispositions pour les choses. Ne le croyez-vous pas? Je désire que vous écoutiez attentivement. Aujourd’hui, je crois de tout mon coeur... Eh bien, ça c’est juste frère Branham qui parle. Vous voyez? Je crois que ces choses que vous voyez arriver maintenant, ce sont des dispositions qui se prennent. Dieu prend des dispositions pour quelque chose juste avant le point culminant. Dieu avertit toujours le monde, et alors si les gens ne veulent pas–ne reçoivent pas l’avertissement, alors il ne reste qu’une seule chose, c’est le jugement.

            Noé a averti le monde, et les gens n’ont pas voulu recevoir cela. Et tout au travers des âges, Dieu a toujours averti les gens. Il envoie la miséricorde, et si les gens rejettent la miséricorde, la seule chose qui reste, c’est le jugement. Mais le Père miséricordieux envoie d’abord la miséricorde.

32        Maintenant, durant la période qui a précédé la Venue du Seigneur Jésus, il y avait des hommes... L’église en était arrivée à un point où très peu de gens attendaient la chose, les gens étaient tout simplement indifférents, à peu près comme ils le sont aujourd’hui. Juste... Mais Dieu a toujours eu un reste qui croit en Lui.

            Et l’un d’eux c’était un homme du nom de Zacharie, ainsi que son épouse Elisabeth. C’était des justes, ils marchaient en suivant toutes les lois et gardaient tous les statuts et commandements de Dieu, et puis là au temple, la tâche de Zacharie consistait à brûler l’encens. Pendant que les gens priaient à l’extérieur, Zacharie brûlait l’encens.

            J’aurais souhaité que nous ayons le temps de bien appuyer cela maintenant et de poser une fondation pour montrer ce que représente l’encens, tout cela représente Christ, tout. L’encens maintenant, c’est Son Sang, la Rose de Saron, le Lys de la vallée; et le souverain sacrificateur, avant d’entrer dans le Saint des saints, devait être oint de cette huile depuis la tête, et elle coulait sur sa barbe, jusque sur les bords de son vêtement. Et quand il entrait... Si par hasard les gens–si par hasard quelqu’un vous dit que ces gens du Plein Evangile sont un peu bruyants, voici quelque chose pour eux.

33        Quand Aaron entrait dans le Saint des saints une fois l’an, il devait porter un certain genre de vêtement, il devait être oint, et il devait emmener du sang avec lui. Est-ce juste? Et sur le bord de son vêtement, il portait une grenade et une clochette... une grenade et une clochette; et en marchant il devait faire que cela résonnant dise: «Saint, saint, saint est l’Eternel.»

            Et le seul moyen que les gens avaient pour savoir que cet homme était encore en vie, que Dieu ne l’avait pas tué là-bas derrière le rideau, c’était ce bruit-là. Ils pouvaient entendre cette clochette résonner. Je vous assure; le seul moyen de savoir qu’il y a la vie dans l’église, c’est quand il commence à y avoir un peu de bruit quelque part, vous savez, juste un petit «amen», de temps en temps, ou quelque chose comme ça, vous savez, qui fait un peu de bruit.

            Certains d’entre eux ont dit: «Eh bien, Frère Branham, c’est de l’émotion.» Eh bien, je peux vous prouver scientifiquement que tout ce qui est dépourvu d’émotion est mort. Si donc votre religion ne contient pas d’émotion, enterrez la chose (c’est exact), car elle n’est bonne à rien. Elle est morte.

            Je peux donc voir maintenant ce Zacharie. Présentons ici un petit drame. Il est là, lui et sa femme, ils avaient désiré avoir un enfant depuis des années et des années; ils avaient prié et avaient vécu droitement. Il semblait que la chose allait tout simplement passer, qu’ils n’allaient pas avoir l’enfant. Mais c’est justement à l’heure la plus sombre que Jésus vient, c’est à ce moment-là que Dieu répond toujours.

34        Nous, nous sommes pressés. «Eh bien, on a prié pour moi hier soir. Ce matin, je ne me sens pas du tout mieux.» Vous êtes trop pressé. Acceptez la promesse de Dieu et tenez-vous-en à elle. Tenez-vous-en à cela.

            Ils avaient prié et prié pendant des années. A présent, Elisabeth avait vieilli. Elle n’était plus en âge d’avoir des enfants. Il semblait que tout espoir d’avoir un–un enfant était perdu.

            Eh bien, un jour Zacharie, je peux me représenter le temple, il faisait brûler l’encensoir comme ceci, il est allé au fond et il se tenait là, balançant l’encensoir à plusieurs reprises tandis que le parfum s’en échappait, à mesure qu’il faisait brûler l’encensoir. Et tout à coup il aperçut un Ange debout du côté droit.

            Dieu a toujours eu des anges, des esprits qui sont à Son service. Croyez-vous cela? Les anges ne meurent pas. Que se passait-il? Dieu s’apprêtait à faire quelque chose sur la terre. C’est pourquoi avant de faire quelque chose, Il envoie toujours une annonce.

35        Or, quand... Des anges viennent. Il est possible que l’ange puisse me visiter et... vous visiter et ainsi de suite... Il peut y avoir des anges mineurs, mais quand vous apprenez que cet Ange Gabriel est venu, faites attention, il se passe quelque chose. Gabriel a annoncé la Première Venue de Jésus-Christ, et Gabriel annoncera la Seconde Venue de Jésus-Christ. Est-ce exact? Amen. Je commence déjà à me sentir religieux. Ecoutez.

            Quand je pense à Sa Venue... Zacharie se tenait là. Il a regardé, et il était effrayé, et l’Ange lui a parlé, disant: «Zacharie...», ce qui allait arriver; et après les jours de ce service-ci, il allait rentrer chez lui, être avec son épouse qui allait concevoir et enfanter un fils.

            Maintenant, je désire que vous remarquiez ce prédicateur; c’est comme certains prédicateurs d’aujourd’hui. «Oh! a-t-il dit, comment cela pourrait-il se faire? Eh bien, mon épouse aussi est avancée en âge», quelque chose comme ça.

            Il a dit: «Je suis Gabriel qui se tient dans la Présence de Dieu. Parce que tu as douté de ma parole, tu seras muet jusqu’au jour de la naissance de l’enfant.» C’est exact.

36        Quand Dieu parle, il n’y a rien qui puisse anéantir la Parole de Dieu. La Parole de Dieu demeure à toujours. Quand Dieu La prononce, Elle est confirmée dans le Ciel pour toujours. Elle est juste là, toute prête, tout autant que si Elle était déjà accomplie, quand Dieu La prononce.

            Oh! C’est au point que nous les mortels, nous pouvons être en mesure de dire: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, c’est réglé», prenant Dieu au Mot et nous en tenant à cela malgré les circonstances et les conditions qui peuvent nous bousculer. Nous nous en tenons à la Parole de Dieu. «Dieu l’a dit. Je crois cela. Ça règle la question.» Amen.

            Eh bien, il a dit: «Tu seras muet jusqu’au jour de la naissance de l’enfant, mais Mes paroles s’accompliront en leur temps.» Dieu est déterminé.

            Peu importe combien vous dites que cette bande de–de saints exaltés va se consumer et disparaître un de ces jours, qu’il n’en restera rien, la Parole de Dieu demeurera éternellement. C’est juste. Elle demeurera très exactement telle que Dieu L’a annoncée.

37        Eh bien, quand il est ressorti, bien sûr, nous savons que les gens... il était muet. Il ne savait plus parler, et il leur faisait des signes et ensuite il est rentré chez lui. Et quand les jours de son service là furent accomplis, il est rentré chez lui, et son épouse a conçu; et elle s’est cachée pendant six mois.

            Et alors, au bout de six mois, voilà revenir cet Ange. Amen. Et il y avait une jeune fille qui vivait à Nazareth, la ville la plus méchante du pays, presque aussi mauvaise que Chicago, excusez-moi. De toutes les façons, aussi méchante que Jeffersonville où j’habite... Oh! une ville très mauvaise, très méchante, mais peu importe combien la ville est mauvaise, vous pouvez toujours mener une vie correcte dans la Présence de Dieu. Et Dieu cherche un coeur fidèle comme Il l’a fait en ce temps-là.

            Il a trouvé cette jeune paysanne. Disons que c’était un lundi matin; c’est le jour de la lessive. Et la voici qui vient marchant avec une cruche d’eau sur la tête et une autre sur la hanche. Et elle revient du puits, et elle se prépare à épouser un homme. Elle n’est qu’une jeune fille, et aussitôt, une Lumière brille devant elle; et dans cette Lumière se tient Gabriel, le grand Archange; qui dit: «Je te salue, Marie!»

38        Et elle... Cela l’a effrayée... Il lui dit qu’elle allait mettre au monde un Enfant sans connaître un homme. Il lui a parlé d’Elisabeth, sa cousine, qui avait conçu et qui allait avoir un enfant. Et il a dit qu’on L’appellerait du Nom de Jésus, parce qu’Il sauverait Son peuple du péché.

            Oh! Cela a effrayé la petite vierge, une telle salutation, cela vous effraierait aussi. Que feriez-vous si vous rencontriez un Ange se tenant là sur votre chemin comme cela, les bras étendus et disant: «Je suis Gabriel qui se tient dans la Présence de Dieu.» Certainement que cela vous ferait peur.

            Et alors, je vois la petite vierge qui dit... Maintenant, je veux que vous remarquiez. Tenez. J’espère que cela pénètre profondément, que cela s’enfonce sous la cinquième côte du côté gauche et s’y ancre. Voilà un sacrificateur, un prédicateur, qui connaissait la Parole, et qui avait beaucoup d’exemples. Agar avait reçu des enfants, Sara de même, et beaucoup d’autres avaient reçu des enfants. Il avait beaucoup d’exemples, mais il a douté de l’Ange. Mais cette jeune fille, elle n’en a pas douté un seul mot.

            Elle a dit: «Je suis la servante du Seigneur; qu’il me soit fait selon Ta Parole!» Amen. Voilà comment s’y prendre. Prenez Dieu au Mot.

            Considérez Marie. Avant d’être certaine, avant de ressentir un quelconque signe de vie... Je suis dans un auditoire mixte, mais vous... ou écoutez. Avant qu’il y ait un quelconque signe physique, elle a commencé à louer et à glorifier Dieu de ce qu’elle allait avoir un enfant, avant qu’il y ait un quelconque signe.

            Ô Dieu, donne-nous quelques-unes de ces Maries cet après-midi à Chicago (Amen), qui prendront Dieu au Mot. Amen. Ne pensez pas que je suis excité. Je–je–je ne suis pas en train de dire amen à moi-même, mais amen veut dire qu’il en soit ainsi, donc je crois la chose. Très bien.

39        La voilà qui part, elle part à la ville, disant partout aux gens qu’elle va avoir un Enfant, sans connaître un homme. Oh! Certainement. Elle a simplement pris Dieu au Mot. Elle est directement montée dans les collines de Judée. Elle avait eu des nouvelles d’Elisabeth, elle avait appris qu’elle aussi avait été bénie.

            Or, c’est ce que font les gens qui sont réellement nés de nouveau. Quand ils apprennent que quelqu’un a reçu le Saint-Esprit, ils partent pour s’en rendre compte. Amen. Quand Dieu fait quelque chose en guérissant quelqu’un, le voisin viendra se joindre et il sera content et se réjouira de cela.

            Ainsi juste en bas dans la ville de Bethléhem, elle est montée directement en Judée, et quand elle est arrivée là où était Sara, ou plutôt Elisabeth... Eh bien, Marie et Elisabeth étaient des cousines germaines. Jean et Jésus étaient des cousins issus de germains, et quand ils sont arrivés près de là où se trouvait la maison, je vois Elisabeth tout au fond de la pièce. Elle s’était cachée. Elle a soulevé le rideau. Elle a aperçu une jeune fille venir. Eh bien, elle s’est dit: «C’est Marie, ma cousine.» Et elle est sortie. Oh! la la! Je la vois si heureuse, et elle l’a entourée de ses bras et s’est mise à l’étreindre et à l’embrasser.

40        C’est de cette façon que les femmes se rencontraient autrefois, mais, frère, vous savez quoi, ces temps-là ont changé maintenant. Les gens n’ont plus ce genre d’amour là les uns pour les autres. Maintenant les gens sont tels qu’ils ne vous parlent même pas. N’est-ce pas vrai?

            Oh! autrefois là dans la ferme, quand–quand un homme tombait malade, on allait là et on coupait du bois pour lui, ou on coupait du foin ou quoi que c’était, pour nous ce n’était pas un problème, et on allait là et on restait là la nuit.

            Aujourd’hui, vous n’êtes même pas au courant du décès de votre voisin, à moins que vous le lisiez dans le journal. C’est une honte que l’amour fraternel ait disparu. C’est exact. Nous n’en avons simplement plus comme à l’époque.

            Oh! papa, quand il était à court d’argent, il allait là et il empruntait cinquante dollars pour lui permettre de s’en sortir jusqu’à la récolte. Il n’y avait pas de problème. Nul n’était besoin de mettre quelque chose en gage. Oh! aujourd’hui vous ne pourriez pas emprunter cinq dollars sans mettre quelque chose en gage. L’amour fraternel est en train de disparaître. Dieu a dit qu’il en serait ainsi. Oui, oh! combien nous en avons besoin!

41        L’autre jour, je... Mon épouse est présente, elle m’en dira probablement un mot après. Nous sommes allés en ville, et il y avait une jeune fille qui descendait la rue, une jeune femme que nous connaissions. Et j’ai dit: «Dites donc, l’as-tu vue?»

            Elle a dit: «Je–je lui ai parlé.»

            J’ai dit: «Je ne t’ai pas vue le faire.»

            Et elle a dit: «Je lui ai souri.» Ça, ce n’est pas parler. Vous savez ce que j’aime. Moi, j’aime une bonne et vigoureuse poignée de mains à l’ancienne mode de la campagne. On dit: «Bonjour, frère. Comment allez-vous?» Oui, monsieur. De nos jours, au lieu de ça, on offre tout simplement un petit sourire ridicule et on dit: «Bonjour.» Oh! la la! Moi, je n’aime pas ça. Cela me fait geler à mort.

            Un jour, frère Bosworth et moi étions chez lui à Miami, en Floride, et nous avions fait dresser une tente là. Un jeune homme tenait une réunion, et il était dans le pétrin, et je suis allé pour tenir des réunions pendant quelques jours pour lui, et il y avait une duchesse ou quelque chose comme ça. Je... Oh! la la! Je ne m’y connais pas beaucoup en matière de dignité et des parades. Alors, les gens... C’était une femme importante. Elle avait accordé que cette tente soit dressée sur son terrain ou là à un endroit où elle avait son parc.

42        Et je suis allé là, vous savez, je prêchais, et frère Bosworth a dit: «Voudriez-vous bien vous tenir là derrière, Frère Branham?» Il a dit: «La Duchesse désire vous voir.»

            Et j’ai dit: «La qui?»

            Il a dit: «La Duchesse.»

            J’ai dit: «Eh bien, qui est-elle?»

            Et il a dit: «Eh bien, c’est la dame qui nous a permis d’avoir ce terrain.»

            J’ai dit: «Eh bien, en quoi est-elle plus importante que quiconque d’autre?» Voyez-vous?

            Alors il a dit: «Eh bien, tenez-vous juste ici. Elle arrive.»

            Quelques minutes après, voilà venir une femme de très forte corpulence comme cela. Elle tenait dans sa main une paire de lunettes, montées sur un bâton, qu’elle tenait à cette distance. Vous savez, on ne peut pas voir à telle distance de vous comme cela avec des lunettes.

            Et elle est venue là, ayant sur elle suffisamment de vêtements pour mettre dans... pour bourrer un mousquet, elle se tenait comme cela, marchant comme cela. Elle a dit: «Etes-vous le docteur Branham?»

            J’ai dit: «Non, madame. Non, madame.» J’ai dit: «Je suis frère Branham.»

            Elle a dit: «Eh bien, docteur Branham, a-t-elle dit, enchantée de faire votre connaissance», en tendant cette grosse main grasse comme cela.

43        Je l’ai saisie. J’ai dit: «Ecoutez ceci, soeur, abaissez-la comme ceci afin que je puisse vous reconnaître quand je vous reverrai.» Voilà! Il y en a trop parmi nous qui cherchent à «faire de l’épate», comme on dit. Qu’êtes-vous de toute façon? C’est juste. Vous n’êtes que des hommes.

            Je passais près d’un colisée, ou plutôt d’un musée, il n’y a pas longtemps, et il y avait là la photo d’un homme qui pesait cent cinquante livres [68 kg], et il était dit que la valeur de produits chimiques qui le constituaient était de quatre-vingt-quatre cents.

            Vous mettez un complet de cent dollars sur quatre-vingt-quatre cents, vous vous promenez le nez relevé en l’air, et apparemment s’il pleuvait vous seriez noyé, et vous pensez que vous êtes une personnalité. Vous ne valez que quatre-vingt-quatre cents, si vous pesez cent cinquante livres. Vous enroulez un vison de cinq cents dollars autour de quatre-vingt-quatre cents, et vous ne voulez même pas parler à votre voisin. C’est vrai.

44        Voilà le problème qu’a le monde aujourd’hui (amen): les gens sont prétentieux et empesés. Dieu devra déverser le Saint-Esprit et détruire cette chose en vous. Chacun de nous, nous sommes très exactement au même niveau.

            Dieu nous a tous faits sur base d’un même modèle. Peu importe que vous habitiez dans un meilleur quartier, que vous fréquentiez une meilleure église, vous n’êtes que ce que Dieu a fait de vous, et qui êtes-vous pour vous glorifier? La gloire revient à Dieu. Absolument.

            Il y avait deux garçons qui se tenaient là, l’un a regardé et a dit: «Eh bien, John, nous ne valons pas grand-chose, n’est-ce pas?»

45        J’ai dit: «Ecoute, mon ami. Ça, c’est votre corps, mais vous avez une âme qui vaut dix mille mondes.» C’est juste. J’ai dit: «Ce corps retournera à la poussière un de ces jours, mais vous avez une âme qui vivra pour toujours. Prenez-en soin.»

            Considérez la valeur que Jésus-Christ y a accordée, en quittant la gloire pour mourir afin de vous racheter. Voilà le problème: nous considérons l’extérieur et nous prenons soin de l’extérieur, mais nous négligeons l’intérieur. Oui, monsieur.

            Je vois Marthe tandis qu’elle... ou plutôt Marie; elle a accouru et elle a étreint Elisabeth, et elle l’a embrassée et s’est mise à lui donner de petites tapes, vous savez, et elle se réjouissait et était heureuse. Elle dit: «Oh!...» Maintenant, suivons leur conversation.

            Je peux entendre Marthe dire... Eh bien, ceci est une illustration dramatique. J’entends Marthe ou plutôt Marie dire: «Oh! Elisabeth, je suis si heureuse. Oh! le... J’ai appris (on ne sait pas comment), mais j’ai appris que tu es enceinte.»

46        «Oui, dit Elisabeth, c’est exact, mais, dit-elle, je suis un petit peu inquiète.»

            «Pourquoi?»

            «Eh bien, cela fait six mois que je suis enceinte, à ce que je sache, il n’y a pas encore de signe de vie.» C’est anormal. Voyez-vous? La vie se manifeste environ au troisième mois, au deuxième mois. Alors elle a dit: «C’est anormal. Je ne ressens encore aucun signe de vie, et je–je suis inquiète, et je suis dans mon sixième mois.»

            Elle dit: «Mais l’Ange Gabriel m’a rencontrée, et Il m’a dit que moi aussi je deviendrais enceinte, sans connaître un homme, et Il a dit aussi que j’aurais cet Enfant et que je Lui donnerais le Nom de Jésus.»

47        Et la première fois que des lèvres mortelles ont prononcé ce Nom de Jésus, le petit Jean qui était mort, qui était dans le sein de sa mère, a reçu le Saint-Esprit, et il s’est mis à bondir et à sauter de joie. C’est exact, et si le Nom de Jésus-Christ peut apporter la vie à un bébé mort, que devrait-Il faire à une église née de nouveau? Alléluia! Amen. Absolument.

            Elle a dit: «D’où vient que la mère de mon Seigneur...? Car aussitôt que ta salutation est parvenue à mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse dans mon sein.» Alléluia! Oui, monsieur. Oh! Frère, nous ne sommes pas dans le brouillard. Nous savons où nous sommes. Certainement.

            Elle a dit: «Dès que ta salutation est parvenue à mes oreilles, mon bébé a tressailli d’allégresse dans mon sein.» Et Jean a reçu le Saint-Esprit. Amen.

48        Que fera le Nom de Jésus-Christ? Je L’ai vu lier des sorciers. Je L’ai vu lier des démons au point qu’ils... couverts de honte, je les ai vus s’effondrer sur l’estrade, s’affaisser dans leurs sièges, paralysés au Nom de Jésus-Christ, alors qu’ils étaient assis là.

            Oh! la la! Foi dans le Père, foi dans le Fils,

            Foi dans le Saint-Esprit, ces Trois sont Un.

            Les démons tremblent, les pécheurs s’éveillent;

            La foi en Jéhovah ébranle toute chose.

49        C’est exact. C’est tout à fait exact. Gardez votre foi en Dieu. C’est juste. Oh! Dieu a toujours eu un peuple qui croit en Lui. Là-bas autrefois, quand Il est sorti du désert, ou plutôt quand Il a amené les enfants d’Israël dans le désert... Quel moment!

            Après qu’ils ont traversé la mer Rouge, qu’ils sont arrivés là, ils ont eu une réunion sous tente à l’ancienne mode. Ils ont regardé en arrière, et ils ont vu tous les chefs de corvées morts dans la mer. Myriam a commencé à danser dans–dans l’Esprit et à battre un tambourin, ce qui est un tableau vraiment typique d’une réunion sous tente à l’ancienne mode. Est-ce exact?

            Moïse entra dans l’Esprit, il leva les mains et chanta un cantique dans l’Esprit. Amen. Si ce n’est pas là une réunion à l’ancienne mode, je n’en ai jamais vu une!

50        Et maintenant, écoutez. Dieu avait promis de pourvoir à tous leurs besoins, et juste au moment où ils ont traversé, eh bien, ils n’avaient rien qu’un–un petit panier de pains sur la tête. Cela s’est épuisé.

            Alors Dieu a promis qu’Il pourvoirait à leurs besoins. Le lendemain matin, lorsqu’ils se sont levés, le sol était couvert de manne, c’était comme de la gelée blanche.

            Alors, on dit que pour goûter cela, ils tiraient la langue et léchaient cela, ils ont goûté cela. Cela avait le goût d’un gâteau au miel. Oh! la la! C’était vraiment un plat baptiste, n’est-ce pas? Des gâteaux et du miel... Très bien.

            Alors, ils... Ils ont commencé à manger cela. C’était délicieux. Vous savez, je crois que c’est David le psalmiste qui a dit une fois: «Goûtez et voyez combien le Seigneur est bon! C’est comme le miel du rocher.» Est-ce exact? Oui, monsieur. Du miel du rocher...

            Le rocher a quelque chose qui a... dans la Bible, il est toujours parlé du rocher. Il était le Rocher. Il était le Rocher qui était dans le désert, et le Rocher...

51        C’est comme dans l’ancien temps, quand les gens avaient un... quand quelqu’un se faisait mordre par un chien enragé. On l’amenait à une pierre antirabique, et on le collait à cette pierre antirabique. S’il se collait, eh bien, il était guéri. S’il ne se collait pas, il mourait.

            Le pire des chiens enragés que je connaisse aujourd’hui, c’est le diable. C’est exact, et si vous vous faites mordre par lui, allez à la Pierre, au Rocher, Jésus-Christ; attachez-vous au Rocher des âges du Calvaire, qui a été fendu pour moi, laisse-moi me cacher en Toi. Accrochez-vous-Y; peu importe ce que déclare le monde, ce que déclare votre église, ce que déclare le médecin, accrochez-vous au Rocher des âges. Restez collé là; accrochez-vous-Y, et Dieu veillera à ce que vous vous rétablissiez. Ne croyez-vous pas cela? Amen. Oui, oui. Oh! la la!

            Et puis autre chose, cette manne avait le goût du miel du rocher. En avez-vous déjà pris? Avez-vous déjà goûté cela? Aujourd’hui nous avons une manne spirituelle. Croyez-vous cela? Dieu leur fournissait cette manne aussi longtemps qu’ils étaient dans le voyage.

            Dieu... C’était un type du Saint-Esprit. Croyez-vous cela? La manne naturelle était fournie pour l’homme naturel. A présent, l’homme spirituel reçoit la Manne du Ciel qui est le Saint-Esprit.

52        Lorsque l’Eglise fut inaugurée le jour de la Pentecôte, un très beau type de la descente de la première manne; ils étaient tous là-haut, d’un même accord, dans la chambre haute; et tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux, qui remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues séparées les unes des autres apparurent sur eux, comme du feu.

            Ils furent tous remplis du Saint-Esprit et sortirent dans la rue, hurlant, criant et se comportant étrangement. Et tout le–tout le monde religieux qui se tenait là dit: «Eh bien, ces gens sont ivres. Ils sont pleins de vin doux. Eh bien, écoutez-les. Je n’ai jamais entendu un tel bruit de ma vie.»

            Laissez-moi vous dire quelque chose, mon cher ami catholique qui êtes ici cet après-midi: la sainte vierge Marie était avec eux. C’est exact. Et si Dieu... Ecoutez ceci maintenant, vous qui pensez que vous êtes empesé; suivez. Si Dieu n’a pas fait acception de la mère de Jésus-Christ, et qu’elle n’a pas pu aller au Ciel jusqu’à ce qu’elle soit montée là-haut et qu’elle ait reçu le baptême du Saint-Esprit, et qu’elle se soit comportée comme une femme ivre, à combien plus forte raison vous, vous devez Le recevoir avant d’y entrer! C’est exact.

53        Et elle titubait comme si elle était ivre (alléluia!), titubant comme une personne ivre. Oh! avez-vous déjà entendu un ivrogne dire: «Oh! tout va bien»?

            Eh bien, «ne vous enivrez pas de boissons enivrantes, mais soyez ivre de l’Esprit». Alléluia. Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est un baptême du Saint-Esprit à l’ancienne mode qui enivre, qui consume le péché, qui est un double remède, une religion de l’ancien temps, du fond des bois, bleue comme le ciel, qui tue le péché. Alléluia.

            Ce dont le monde a besoin aujourd’hui, c’est d’un réveil à l’ancienne mode à la saint Paul, et c’est du retour du Saint-Esprit de la Bible dans l’Eglise. Amen. Voilà le problème qu’a l’église aujourd’hui, la raison pour laquelle elle est si formaliste et si indifférente. Absolument.

            Alors, quand ils ont tous reçu cela, les gens ont commencé à se poser des questions. Ils ont dit: «Hommes frères, que pouvons-nous faire?» Eux, ils mangeaient la manne (Oh! la la!), passant un bon moment, glorifiant simplement Dieu.

            Et Pierre a dit: «Repentez-vous, que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit.» Quoi?

54        Or, Aaron, dès que la manne est tombée pour la première fois, Dieu a dit à Aaron et à Moïse: «Sortez là, ramassez-en plusieurs omers pleins et mettez cela là dans le Saint des saints, afin que les enfants de vos enfants, afin que tous ceux qui entreront dans le sacerdoce, puissent goûter de cette manne originale.» Oh! Quel privilège quand un homme devenait un sacrificateur...

            Or, souvenez-vous qu’en dehors du Saint des saints... c’était la seule manne qui était conservée. Elle ne se conservait pas pendant vingt-quatre heures. Elle devenait infestée de vers. Voilà le problème qu’a l’Eglise pentecôtiste aujourd’hui. Amen. Qu’y a-t-il? L’expérience que vous avez eue il y a une année contient aujourd’hui des larves; débarrassez-vous-en, faisons-en une autre maintenant.

            Vous savez ce que sont ces petites termites ou je ne sais quoi qui se tortille là-dedans, dans ces citernes crevassées, dans les eaux stagnantes... Je sais ce que j’avais hier. Je sais ce que j’ai aujourd’hui. Alléluia! Je cherche davantage de cela. Ô Seigneur, remplis mon âme chaque jour. Oui, monsieur.

55        Donc, chaque sacrificateur qui entrait pouvait prendre une bouchée de la manne originale. Et maintenant, écoutez. Pierre a dit de vous repentir et d’être baptisé, et que vous recevriez le don du Saint-Esprit, car cette manne, en d’autres termes, est pour vos enfants et les enfants de vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.

            Or, aujourd’hui, eh bien, le mur de séparation a été démoli et chaque homme, chaque homme, qui qu’il soit, qui désire naître de nouveau peut entrer dans le temple de Dieu, s’agenouiller à l’autel, lever les mains, et obtenir une bouchée, pas quelque chose qui y ressemble, mais la manne originale qui était tombée le jour de la Pentecôte: les mêmes oeuvres, les mêmes manifestations, la même puissance, la même évidence. Tout ce qu’ils reçurent à la Pentecôte, nous pouvons l’avoir aujourd’hui, pas quelque chose qui y ressemble, mais exactement la même chose. Amen. Alléluia!

            Ces gens d’autrefois n’avaient pas dans ce vieil omer quelque chose qui ressemblait à cela. Ils avaient l’original. Alléluia. Je suis heureux aujourd’hui que vous puissiez recevoir le baptême original du Saint-Esprit: la puissance, les signes, les mêmes prodiges, les mêmes miracles, le même Seigneur Jésus ressuscité. Fiou! frère!

56        Oh! «la promesse est pour vous, pour vos enfants et les enfants de vos enfants, pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera».

            On a dit: «Cela a le goût du miel du rocher», a dit David: le miel du rocher.

            Vous savez, les Israélites, quand ils étaient dans leur voyage, il y avait un creux dans le rocher, et ils sont entrés dans ce rocher, ils y ont trouvé du miel. Tout ce dont ils avaient besoin était juste là dans le rocher. Tout ce dont vous avez besoin aujourd’hui est juste dans le Rocher, Jésus-Christ. Est-ce exact? Oui, monsieur.

57        Or David, étant un berger, avait l’habitude de... Les bergers avaient l’habitude de porter une gibecière sur le côté, et chaque fois qu’ils avaient une brebis malade, ils faisaient sortir de cette gibecière un peu de ce miel et ils l’appliquaient sur un rocher, sur un rocher calcaire, et alors la brebis se mettait à lécher ce miel, et elle absorbait le calcaire du rocher, et cela guérissait la brebis malade.

            Eh bien, frère, j’en ai une gibecière pleine. Je vais l’appliquer non pas sur l’Eglise pentecôtiste, non pas sur l’Eglise baptiste, mais sur Jésus-Christ; et vous brebis malades, mettez-vous à lécher. Et je vous assure, quand vous vous mettez à lécher le miel, vous allez lécher la guérison divine, aussi sûr que je me tiens debout aujourd’hui à cette chaire. C’est pourquoi léchez, léchez, léchez, léchez jusqu’à ce que vous soyez guéri. Amen.

58        Oh! C’est ce dont vous avez besoin. Versez tout simplement le miel sur Jésus-Christ. Comme c’est merveilleux! Comme c’est glorieux! Comme c’est puissant! Et que sais-je encore! Mettez-vous tout simplement à lécher cela, et voyez ce qui arrive. Vous verrez que ce cancer aura disparu. Vous verrez ces yeux aveugles s’ouvrir; ces jambes boiteuses marcheront; et cette langue muette parlera, cette oreille sourde entendra. Alléluia! Amen.

            Oh! Comme c’est délicieux! Remarquez, ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est que cela retourne dans l’Eglise. Croyez-vous cela?

            Il n’y a pas longtemps, mon frère... Oh! cela fait des années. Un jour, mon frère et moi sommes descendus là. Nous observions une–une vieille tortue d’eau douce. Vous savez ce que c’est, vous ici qui êtes nés en... la tortue. Elles marchent un peu drôlement, vous savez. Et j’en ai vu une marcher. J’ai dit: «Regarde cette drôle de créature!»

59        Et nous nous sommes approchés d’elle, et–et vous savez ce qu’elle a fait? Dès que nous nous sommes approchés d’elle, elle a fait «chhhou!», elle s’est rétractée dans sa carapace. Cela me fait penser à certains membres d’église. C’est exact. Approchez-vous d’eux avec le véritable Evangile, ils se rétracteront dans leur carapace, vous savez, et ils diront: «Je ne crois pas dans cette histoire. Les jours des miracles sont passés.» Oh! la la! Oui, monsieur.

            J’ai dit: «Sors de là!» Elle ne voulait pas sortir. Vous ne pouvez pas la faire sortir en la grondant. Je suis donc allé, et j’ai dit: «Je vais la faire sortir.» J’ai pris une badine et j’ai vraiment fait pleuvoir des coups sur elle. Cela ne lui a rien fait du tout. Elle est tout simplement restée à l’intérieur. Vous ne pouvez pas l’atteindre pendant qu’elle est dans la carapace. C’est exact. Avec vos programmes, quoi que ce soit, vous n’y arriverez pas.

60        Alors j’ai dit: «Je vais lui régler son compte!» Et je l’ai amenée au ruisseau, et je l’ai enfoncée dans l’eau. J’ai dit: «Je vais la noyer ou bien elle marchera.» Je l’ai enfoncée, et juste deux ou trois bulles sont remontées. Elle s’est carrément cantonnée dans sa carapace. Vous pouvez les baptiser face en avant, trois fois en les renvoyant en arrière, quatre fois en les renversant, les asperger, tout ce que vous voulez, ils resteront des pécheurs. Mais, frère, je me suis procuré une feuille de papier et j’ai fait un petit feu, et je l’ai posé sur elle. Mon garçon, à ce moment-là, elle s’est vraiment mise à marcher. C’est exact.

            Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est un déversement à l’ancienne mode du baptême du Saint-Esprit et du Feu. Cela mettra l’église en action quand rien d’autre ne peut la toucher. Croyez-vous cela? Amenez du Feu dans l’église.

            L’ennui est que nous l’avons entièrement mis dans la chaudière et nous l’avons ôté de l’autel. Amen. Oui, oui.

61        Je peux voir Jean là maintenant alors que... ou plutôt Zacharie. Dès que l’enfant est né, le voilà qui s’avance, il parle et prophétise, disant ce qui arriverait. Nous savons quel genre d’enfant il devait être. Toutes les régions se demandaient quel genre d’enfant ça devait être.

            Et Zacharie a prophétisé, la mère aussi, à la naissance de l’enfant. A l’âge de neuf ans environ, il n’est pas allé à un cimetière, ou plutôt à un séminaire. Vous savez, je commets toujours une erreur là, parce que ce sont des choses si semblables que je n’arrive pas à les distinguer. Un cimetière et un séminaire sont tous deux des endroits morts. Très bien.

62        Frère, aujourd’hui nous n’avons pas besoin de connaître la théologie. Aujourd’hui, nous avons besoin de la genoulogie, c’est ce qu’il nous faut pour naître de nouveau. C’est exact. La simplicité de l’Evangile...

            J’ai toujours eu pitié d’un poussin sorti de l’incubateur. Quand un pauvre petit poussin d’incubateur éclot, il ne fait que piauler sans arrêt, il n’a pas de maman auprès de qui aller. Cela me fait penser à un prédicateur de séminaire qui n’en sait pas plus sur Dieu qu’un Hottentot n’en sait sur un chevalier égyptien, qui n’a appris que la théologie et qui a lu juste un tas de choses dans le papier. Je préférerais avoir un homme qui ne connaît pas son abc, mais qui peut prêcher la Bible sous la puissance du Saint-Esprit, plutôt que toute la théologie que vous pourriez lui faire avaler pendant dix ans. Alléluia!

            Fiou! Pourquoi est-ce que je me sens comme ceci? Ecoutez. Amen. Oui, oui. Que nous faut-il aujourd’hui? C’est un nouveau nettoyage dans l’église. Ne croyez-vous pas cela?

63        C’est presque... Quand vient la saison des amours, tout d’abord les oiseaux vont construire leurs nids. Ils construisent un–un nid là-haut dans l’arbre. Ils prennent tous leurs oeufs et les placent là, et l’oiseau femelle les couve, et elle les réchauffe, elle les fait éclore, elle s’en va. Mais alors, si cet oiseau femelle n’a pas été en contact avec l’oiseau mâle... Le germe de vie vient du sexe mâle. Nous savons cela.

            Une poule peut pondre un oeuf, mais si elle n’a pas été avec l’oiseau mâle, cet oeuf n’éclora jamais. C’est exact. Le germe vient du mâle, et c’est exactement pareil chez les oiseaux. Vous pouvez prendre un oiseau femelle, si elle n’a pas été avec l’oiseau mâle, elle peut avoir construit un nid, faire un beau nid rempli de gros oeufs ronds... Elle peut se mettre là et les couver et les réchauffer, et devenir si faible qu’elle n’est même plus en mesure de s’envoler de son nid, ces oeufs resteront juste là et pourriront. C’est exact. Ils n’écloront jamais, parce qu’ils ne sont pas fécondés.

64        Et c’est ce que je pense au sujet des églises d’aujourd’hui, mes frères, nous avons un très grand groupe de diacres et ainsi de suite, qui ne connaissent rien sur Dieu, au point que nous devons les tapoter dans le dos. Et parce qu’ils sont ceci, cela, nous leur donnons des postes de direction, et tout comme cela, dans l’église. Nous avons un nid plein d’oeufs pourris.

            Ce qu’il nous faut, c’est quelqu’un qui a été en contact avec Jésus-Christ. Il est temps de vider le nid et de recommencer à zéro. C’est exact. Renversez tout simplement votre nid et placez-y quelqu’un qui a été en contact avec le Créateur, Jésus-Christ, et qui croit que Dieu est vivant. Alléluia.

            Vous allez me traiter de saint exalté de toute façon, vous feriez donc mieux de commencer tout de suite. Voyez-vous? Oui, oui. Ce que je veux dire aujourd’hui, c’est qu’il nous faut la Vie dans l’église, la Vie Eternelle.

            Hommes et femmes, si vous avez des hommes et des femmes nés de nouveau, eh bien, vous parlez d’une campagne de guérison dans votre église! Les gens diront: «Hum! ne croyez pas dans ce genre d‘histoires.» Bien sûr qu’ils ne le peuvent pas. C’est un vieil oeuf pourri. Absolument.

65        Tout d’abord, ces gens se tiennent là tout autour, et la plupart des membres... Je–je prêche... Ecoutez, frère, un jour je devrai rendre compte à Dieu. C’est exact.

            Il n’y a pas longtemps, vous gens de la sainteté, la façon dont vous faisiez votre... preniez vos femmes ici, la façon dont elles s’habillaient.

            Il n’y a pas longtemps, un gars... J’avais loué le service d’un homme pour conduire un gros camion. Il fumait la cigarette, et un homme m’a parlé disant: «Eh bien, vous ne pouvez pas avoir une telle histoire parmi nous, les gens de la sainteté.»

            J’ai dit: «Cet homme est un homme de bien. Il ne prétend pas être chrétien, je l’ai simplement laissé conduire l’un de ces gros camions là-bas.»

            Il a dit: «Eh bien, frère, vous ne pouvez pas faire ça.» Il a dit: «Cet homme fume la cigarette.»

            Et ce même jour-là, en Californie, dans mes réunions, ils ont amené une... Il a dit: «Je voudrais que vous fassiez la connaissance de notre ancien de district.»

            J’ai dit: «Bonjour, monsieur. Je suis heureux de faire votre connaissance, frère.»

            Il a dit: «Voici mon épouse. Je voudrais que vous fassiez connaissance.»

66        Et frère... Eh bien, femmes, que ceci ne vous offense pas. Voyez-vous? Mais elle était maquillée comme je ne sais quoi, avec deux grosses boucles d’oreilles qui pendaient très bas, on dirait que le diable utilisait son cou comme une selle et ces boucles d’oreilles comme des étriers, elle était assise là-haut vêtue d’habits qui la faisait paraître comme je ne sais quoi.

            Et j’ai dit: «Voulez-vous me dire que c’est elle l’épouse de ce prédicateur-là?»

            Il a dit: «Oui.»

            Et j’ai dit: «Est–est-elle une sainte?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Elle m’a l’air d’un fantôme plutôt que d’une sainte», alors qu’elle était assise là comme cela.

67        C’est une honte. Vous avez laissé tomber les barrières, frère et soeur. C’est exactement ce que vous avez. On a une église empesée. Vous devriez revenir à l’Evangile à l’ancienne mode, qui nettoie les hommes. Amen.

            Voici un petit quelque chose pour vous. Je vais vous le dire, mes soeurs, et j’ai toujours eu mon opinion au sujet des femmes qui... Aujourd’hui, je constate qu’à quatre-vingt-dix-huit pour cent, des cas de cancers de la gorge et des poumons, d’après la déclaration des médecins, proviennent de cette cigarette qu’ils fument, et les femmes fument la cigarette. Il y a plus d’hommes qui souffrent des cancers des poumons et de la gorge, mais à présent les femmes aussi commencent à attraper cela, car il faut environ vingt ans pour que cela se développe.

68        A Saint Louis, dans le Missouri, on a pris sept rats, et on les a placés dans une cage, on leur faisait absorber chaque jour la fumée de sept cigarettes, et à la fin de l’année chaque–tous les sept rats avaient le cancer. Oh! C’est une disgrâce, et aujourd’hui, quatre-vingt-dix pour cent des membres de l’église fument la cigarette. C’est exact. C’est une disgrâce. Oui, monsieur.

            Et si vous les femmes, si seulement vous vous rendiez compte des centaines de milliards de dollars que les femmes dépensent chaque année en Amérique pour la manucure, ou je ne sais quoi là que vous appliquez sur vos genoux–lèvres. Je ne sais pas ce que c’est que cette histoire-là. De toute façon, combien de millions de dollars ces gens gagnent avec cette histoire-là qu’elles appliquent sur le visage et les maquillages comme cela.

            Et pendant ce temps de pauvres petits enfants sont là-bas et des missionnaires sont ici inactifs, parce qu’ils ne sont pas en mesure d’aller. Ils n’ont pas assez d’argent pour continuer. Dieu vous demandera des comptes à cause de cela au jour du Jugement. C’est juste. C’est la vérité.

69        Oui, vous chrétiennes, vous qui vous dites chrétiennes, vous vous présentez là toutes fardées et maquillées. Dans la Bible, il n’y a eu qu’une seule femme qui s’est peint le visage et c’était Jézabel. Savez-vous ce que Dieu a fait d’elle? Il l’a donnée en pâture aux chiens. C’est exact.

            Et quand vous voyez une femme se comporter comme cela et se dire chrétienne, dites: «Bonjour, madame viande pour chiens.» C’est ce qu’elle est: de la viande pour chiens. Dieu l’a livrée aux chiens. Absolument.

            Oh! Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est une bonne secousse du Saint-Esprit à l’ancienne mode parmi les gens, pour ramener les hommes et les femmes au Dieu vivant. Quel est le problème? Le monde est mort. Nous voilà partis!

            Je peux voir quand cet homme de Jean est né, quand il est sorti du désert de la Judée, il n’était pas en smoking, il n’avait pas un col retourné, il ne prenait pas du poulet frit et de la crème glacée trois fois par jour, il prenait plutôt des sauterelles et du miel sauvage; et il était drapé d’un grand morceau de peau de mouton, et il s’était ceint d’une ceinture en peau de chameau.

70        Oh! quel prédicateur, il avait le visage couvert d’une barbe hirsute comme cela, mais, frère, il ne connaissait aucune théologie, et il ne connaissait pas ces expériences de séminaire. Il est resté dans le désert, sous l’influence de la puissance de Dieu, jusqu’à ce que Dieu l’a envoyé. Alléluia.

            Que Dieu nous donne davantage des hommes qui sont envoyés de Dieu. Quand il est sorti de là, frère, il n’était pas si éloquent pour attirer le regard. Plutôt il n’avait pas une expression très éloquente; mais je vais vous dire ce qu’il a fait: Il a apporté des sermons qui ont secoué toutes les régions qui environnaient la Judée et Jérusalem. Tout le monde venait l’écouter. Pourquoi? Il prêchait Christ (Alléluia), pas la théologie, mais Christ.

            C’est cela le problème qu’a le monde aujourd’hui; nous avons substitué au Saint-Esprit nos crédos et tout. Les crédos ne feront jamais avancer l’Eglise. C’est le Saint-Esprit qui conduit l’Eglise. Amen.

            Frère, c’est l’Evangile à l’ancienne mode et qui vient des bois, mais cela m’a sauvé, et cela fera de même pour vous. C’est la vérité. C’est dur. Je sais que c’est dur, mais, frère, parfois vous devez être mis en pièces avant que vous puissiez être remodelé. C’est la vérité.

71        Je peux voir Jean debout là en train de prêcher, mais il a secoué toutes les régions qui environnaient le Jourdain. Voici venir Jésus: Il fut baptisé par Jean. Dès qu’Il sortit de l’eau, les cieux se sont ouverts et une Voix a dit: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, en qui Je me plais de demeurer.»

            Jésus s’est avancé... Maintenant, on en vient à notre texte, rapidement à notre passage. Ecoutez attentivement. Alors Son ministère a commencé. Il est allé habiter chez Marthe et Marie et les autres, à Béthanie. Alors, Il a été appelé à s’éloigner de là.

72        Quand Jésus s’est éloigné de cette maison, la maladie et le chagrin sont entrés; et quand Jésus s’éloigne de votre maison, la maladie et le chagrin vont y entrer. Absolument. Observez. Quand vous chassez Jésus de votre maison, que vous cessez d’avoir la prière en famille, que vous cessez de lire la Bible et ainsi de suite dans votre maison, attendez-vous à ce que les ennuis y entrent. C’est exact. Ils sont en route dès ce moment-là.

            Jésus s’était éloigné, le cas était différent ici; Il n’avait pas été chassé. Ce n’est pas que Jésus ait été chassé par une vie immorale de leur part, mais Il s’était retiré parce que le Père Lui avait montré une vision. Il s’est éloigné.

            Ils L’ont envoyé chercher pour qu’Il vienne prier quand Lazare est tombé malade. Il a continué Son chemin. Oh! la la! Qu’arriverait-il aujourd’hui si votre pasteur faisait cela?

73        Eh bien, Il s’en est allé. Aussitôt, ils L’ont encore envoyé chercher: Lazare était à l’article de la mort. Il les a simplement ignorés, Il a continué Son chemin. Si cela vous arrivait avec votre pasteur, eh bien, vous diriez: «Cet hypocrite! Je vais aller chez les Assemblées de Dieu. Je ne perdrai plus mon temps avec lui.» Si les Assemblées de Dieu vous faisaient cela, vous diriez: «Je vais aller chez–chez les méthodistes ou les baptistes.»

            C’est ce qu’il y a: vous emmenez votre lettre d’une église à l’autre, d’une église à l’autre, au point que vous l’avez usée et qu’elle a jauni. Ayez votre nom inscrit dans le Livre de Vie de l’Agneau et restez stable. Amen.

74        De toute façon, vos lettres d’église ne représentent rien. Cela ne vous fait pas le moindre bien. Dieu n’en reconnaît aucune du tout. Dieu ne reconnaîtra que ceux dont le nom est inscrit dans Son Livre, là-bas, avec le Sang de Son propre Fils.

            Et dans ce cas-ci, ils étaient allés. Maintenant, souvenez-vous, Lazare est mort, c’était l’heure la plus sombre que cette famille eût jamais connue. Eh bien, ils avaient quitté leur église, on les avait chassés de la synagogue parce qu’ils avaient suivi Jésus. Et Il les avait déçus.

            Eh bien, n’est-ce pas là ce que la vie nous réserve parfois? On dirait que tous les malheurs leur étaient arrivés. Mais, rappelez-vous, la Bible dit: «Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu.» Cela doit être pour le bien.

            Aussitôt, après que tout ceci était arrivé, alors Jésus... Il a entendu dire... Il a dit: «Lazare est mort. Lazare dort», a-t-Il dit premièrement.

            Les disciples ont dit: «Oh! Eh bien, s’il dort, il va bien.»

75        Il a dit, Il leur a parlé en leurs propres termes. Voyez-vous? «Lazare est mort, et à cause de vous Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là, mais Je vais aller le réveiller.» Le voilà qui y va. Je vois que le Père Lui avait déjà montré ce qu’Il devait faire. C’est pour cette raison qu’Il était resté pendant ces trois jours. C’est pour cette raison que lorsque le temps était venu... c’est ce qui allait arriver.

            Le voilà qui y va. Maintenant, écoutez. Apparemment Marthe et Marie avaient le droit de Le réprimander, et ici nous dirions donc, Le rabrouer. «Pourquoi n’étais-Tu pas venu?» Mais Marthe, elle qui avait été lente dans bien des choses, cependant quand elle a appris que Jésus venait, elle est sortie à Sa rencontre.

            Je peux entendre les pharisiens, qui se tenaient là au coin, dire: «Ha ha! Eh bien, où est passé ce saint exalté, ce Guérisseur divin? Voilà Son copain qui est couché malade. Maintenant il est mort. Pourquoi n’est-Il pas venu? Hum! Je vous avais dit que de toute façon ce n’était que de la télépathie mentale, je vous avais dit qu’il n’y avait rien de sérieux là-dedans.» Le voilà debout au coin. Voilà venir la petite Marthe. Ils ont dit: «Voilà–voilà–voilà maintenant l’une d’entre elles. Nous l’avons chassée de la synagogue. Tu penses que tu vas rentrer.»

76        «Continuez avec votre vieille synagogue.» Elle allait à la rencontre de Jésus. Elle avait quelque chose à voir auprès de Lui. Je crois que Marthe avait lu cette histoire-là dans la Bible, là où la Sunamite était venue dans la détresse, et il lui avait fallu aller chercher son... le prophète. Et la Sunamite croyait à propos de cet enfant qui était mort que Dieu était dans Son prophète. Marthe s’est dit: «Si Dieu est dans Son prophète, alors Dieu est certainement dans Son Fils.» C’est exact.

            Alors elle s’est dit: «Eh bien, la Sunamite a dit: ‘Tout va bien. Que j’arrive jusqu’auprès du prophète et il comprendra.’» J’aime ça chez cette Sunamite.

            Elle a dit–elle a dit: «Pars et ne t’arrête même pas à moins que je te le dise.»

            J’aime ça. «Pars.» Oui, monsieur. Et quand elle est arrivée auprès du prophète, le prophète a dit: «Voici venir cette Sunamite, a-t-il dit, elle est dans l’affliction; mais Dieu me l’a caché.» Il a dit: «Te portes-tu bien? Ton mari se porte-t-il bien? Ton enfant se porte-t-il bien?» Oh! J’aime ceci!

77        Elle a dit: «Tout va bien.» Amen. Oh! je me sens bien. J’ai envie de me précipiter sur une troupe en armes, et de franchir une muraille. Ecoutez. Elle a dit: «Tout va bien.» Pourquoi? Son enfant était étendu là, un cadavre, son mari était en train de crier, il faisait frénétiquement les cent pas devant la maison, tous les voisins étaient... «Tout va bien.» Amen. J’aime cela. Qu’y avait-il?

            Elle était venue auprès du–du représentant de Dieu, de ce prophète, Elie. Elle s’est approchée de lui. Elle a dit: «Tout va bien.»

            – Te portes-tu bien?

            – Oui.

            – Ton mari se porte-t-il bien?

            – Oui.

            – L’enfant se porte-t-il bien?

            – Tout va bien.

            Alors, elle a accouru et elle est tombée à ses pieds, et elle a commencé à lui révéler ce que...

            Il a dit: «Maintenant, je ne sais que faire.» Il a dit à Elie de prendre le... ou plutôt à Guéhazi de prendre son bâton et d’aller, mais Elie est allé là, il a ressuscité l’enfant et le lui a rendu.

78        Eh bien, Marthe avait probablement lu cette histoire. Ainsi, tout allait bien du moment que cette femme pouvait parvenir auprès du représentant de Dieu sur terre. Eh bien, elle s’est dit: «Si la Sunamite a pu faire cela avec un prophète, combien plus elle l’aurait fait si elle était venue auprès du Fils de Dieu!»

            Maintenant, observez quand elle est venue. Eh bien, au lieu de Le réprimander en disant: «Pourquoi n’étais-Tu pas venu? Nous allons quitter Ton église.» Non, non. Elle a directement couru vers Lui, de là où elle était... elle... là où Il se trouvait et Il... elle est tombée à Ses pieds. Et elle a dit: «Seigneur.» C’est ce qu’Il était. Elle L’a appelé par Son titre exact qui exprimait ce qu’Il était. Elle a dit: «Seigneur, si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.» Quel compliment! «Seigneur, si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.» Maintenant, suivez attentivement. «Mais, même maintenant, Seigneur.» Il était mort depuis quatre jours. «Mais, même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te L’accordera.» J’aime ça, pas vous? Il était mort depuis quatre jours, «mais, même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu».

79        Fiston, cela fait longtemps que tu es paralysé comme cela, «mais, même maintenant, Seigneur». Beaucoup d’entre vous qui sont assis ici atteints du cancer, atteints d’un trouble cardiaque, «mais, même maintenant, Seigneur». Le médecin a dit: «Vous ne pouvez pas vous rétablir.»

            «Mais, même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu.»

            Il est assis à la droite du Père (Croyez-vous cela?) pour intercéder. «Même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas, Dieu le fera.» Tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera; même maintenant.

            Vous direz: «Frère Branham, j’ai essayé d’entrer dans la ligne de prière. J’ai essayé d’obtenir une carte de prière. J’ai essayé de faire en sorte que l’on prie pour moi. Je suis estropié. Cela fait si longtemps que je ne peux pas marcher.» Mais, même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera. Amen. Alléluia.

80        «Même maintenant, Seigneur.» La petite dame assise là dans un fauteuil roulant est paralysée comme cela depuis des années, «mais, même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te L’accordera». Et Il est assis à la droite du Père, intercédant pour vous. «Tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Oh! J’aime cela!

            Maintenant, observez. Maintenant les vieilles roues prophétiques sont en train de tourner ensemble. Quoi donc? Une femme est dans la détresse. Son frère est mort. Elle vient auprès de la seule ressource qui peut lui rendre la vie. Eh bien, elle est en train de satisfaire aux exigences. Elle a dit: «Seigneur (C’est ce qu’Il est), je sais que tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Je vous l’assure, quelque chose commence maintenant à prendre forme. Quelque chose va arriver.

            Il a dit: «Ton frère ressuscitera.»

            Elle a dit: «Oui, Seigneur, je sais qu’Il ressuscitera.» Les Juifs croyaient dans la résurrection générale. Elle a dit: «Je sais, Seigneur, qu’il ressuscitera au dernier jour, à la résurrection générale. C’était un bon garçon, et je sais qu’il ressuscitera au dernier jour, à la résurrection.»

81        Observez-Le. La Bible dit: «Son aspect n’avait rien pour nous plaire.» Jésus était un petit maigrichon. Ce n’était pas un homme très corpulent aux allures sacerdotales, c’était plutôt un petit maigrichon, et Il a redressé Son petit corps. Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie.» Alléluia! «Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort. Crois-tu cela?»

            Suivez attentivement. Tout marche comme il faut. C’est exact. Elle a dit: «Oui, Seigneur, je crois que Tu es ce que Tu as dit. Je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.»

82        Quelque chose doit arriver. Quelque chose doit arriver. La voilà qui reconnaissait, qui reconnaissait Sa divinité, qui reconnaissait Son autorité, qui reconnaissait la relation qu’Il avait avec le Dieu Tout-Puissant, qui reconnaissait Sa puissance devant Dieu. Elle a dit: «Tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera. Et je crois que Tu es très exactement ce que Tu as dit être.»

            Oh! la la! Maintenant quelque chose doit arriver. Les cordes se rassemblent et s’enroulent. Il a dit: «Où l’avez-vous enseveli?»

            Elle a dit: «Viens et vois.» Et ils sont partis.

83        Il n’y a pas longtemps... Je ne dis rien contre votre religion, vous les gens de la Science chrétienne. Mais une femme de la Science chrétienne me parlait, elle a dit: «Révérend Branham, vous mettez trop l’accent sur la Divinité de Jésus-Christ.»

            J’ai dit: «Comment est-ce que vous...»

            Elle a dit: «Vous avez lu trop de choses à Son sujet.» Elle a dit: «Vous... Vous êtes dieu; vous êtes dieu; tout le monde est un dieu en soi.»

            J’ai dit: «Oh! Non! Non, non.» J’ai dit: «Lui, Il était...»

            Elle a dit: «Il n’était qu’un simple homme.»

            J’ai dit: «Il était Dieu.»

84        Elle a dit: «Oh! Il ne pouvait pas L’être.» Elle a dit: «Si je vous prouvais par les Ecritures qu’Il n’était rien de plus qu’un homme, allez-vous l’accepter?»

            J’ai dit: «Oui, madame, si les Ecritures déclarent qu’Il était un simple homme, je croirai ce que déclarent les Ecritures, mais d’abord j’aimerais savoir où vous allez.»

            Elle a dit: «Eh bien, je vais vous le prouver maintenant.» Elle a utilisé cette même Ecriture. Elle a dit: «Quand Jésus se rendait à la tombe de Lazare, la Bible dit qu’Il pleura.»

            Elle a dit: «Cela montre qu’Il était un mortel, car Il a pleuré comme un homme.»

85        J’ai dit: «C’est vrai, madame. Il était un homme quand Il pleurait. Quand Il s’est rendu à la tombe, Il était chagriné comme les autres qui étaient tristes. Il s’est réjoui avec les autres quand ils étaient dans la joie, mais, ai-je dit, Il était plus qu’un homme.» J’ai dit: «Quand Il s’est rendu à la tombe de Lazare, Il pleurait comme un homme, mais quand Il s’est tenu là, et qu’Il s’est redressé, et qu’Il a dit: ‘Lazare, sors!’, et qu’un homme qui était mort depuis quatre jours, dont l’âme était quelque part à quatre jours de voyage, la corruption a reconnu son Maître. Son âme qui s’en était allée depuis quatre jours... Je ne sais pas où elle était allée, vous non plus, nous n’allons donc pas discuter là-dessus, mais cette âme est retournée vers le corps, et un homme qui était mort depuis quatre jours s’est tenu debout et est revenu à la vie. Frère, à ce moment-là c’était plus qu’un homme qui avait parlé. C’était Dieu qui parlait dans Son Homme.» Croyez-vous cela? Oui, monsieur.

86        C’était un homme quand Il descendit de la montagne ce soir-là, très affamé. Il cherchait à trouver quelque chose à manger, Il inspectait l’arbre de tout côté, cherchant à trouver quelque chose à manger. C’était un homme quand Il était affamé. C’est exact, mais quand Il a pris cinq petits pains et deux petits poissons, les a brisés, et en a nourri cinq milles personnes, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu qui parlait dans cet Homme. Il était un Dieu-Homme. C’est exact.

            C’était un homme quand Il était couché sur–à l’arrière de cette petite barque ce soir-là. Celle-ci flottait sur l’océan, portée par ces vagues, comme le bouchon d’une bouteille, et dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer ce soir-là. La tempête s’est levée avec de grands coups de vent. La barque s’emplissait d’eau. Les voiles avaient été arrachées. Les disciples avaient perdu courage.

87        C’était un homme quand tout ce désastre et tout ne Le réveillaient pas. C’était un homme qui était couché là, après avoir prié pendant toute la journée pour les malades. La vertu était sortie de Lui et, épuisé, Il se reposait. C’était un homme quand Il était endormi, mais quand Il a placé Son pied sur le bastingage de cette barque et qu’Il a dit: «Silence, tais-toi!», c’était plus qu’un homme quand la mer et les vagues ont obéi. C’était Dieu qui parlait dans Son Fils. Dieu était dans Son Fils, réconciliant le monde avec Lui-même.

            Croyez-vous cela? C’était un homme quand Il implorait miséricorde là-bas au Calvaire, suspendu entre les cieux et la terre, le sang coulant de Ses veines, le Sang de Jéhovah Lui-même tombant sur la terre de péchés; Il la baignait de Son Sang.

88        Quand Il a crié: «Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné?» C’était un homme quand Il est mort, mais au matin de Pâques, quand les tombeaux se sont ouverts et que le sceau de la mort et les liens furent rompus, Il ressuscita des morts triomphant, Il prouva qu’Il était Dieu. Alléluia!Vivant, Il m’aima; mourant, Il me sauva;Enseveli, Il emporta mes péchés au loin;Ressuscitant, Il me justifia gratuitement pour toujours:Un jour Il va venir, oh! quel jour glorieux!

89        Crois-tu cela? Je crois que ce même Jésus est ici aujourd’hui. Croyez-vous cela? Je crois que ce même Jésus est ressuscité parmi nous ce soir, ou aujourd’hui, manifestant des signes et des prodiges de Sa résurrection. Crois-tu cela? Je crois que c’est la même Personne dont cette femme toucha le bord du vêtement. Crois-tu cela?

            Je crois qu’Il est Celui qui ressuscita Lazare d’entre les morts. Crois-tu cela? Je crois qu’Il est Celui qui fit sortir les enfants hébreux de la fournaise ardente. Crois-tu cela?

            Je crois qu’Il est ici à cet instant même. Crois-tu cela? Je crois que c’est ce que nous ressentons dans notre âme à l’instant même. Crois-tu cela? Je crois que c’est de cela que l’assistance est ointe en ce moment. Crois-tu cela?

90        Je crois qu’Il est ici pour guérir chaque personne malade à l’instant même. Crois-tu cela? Je crois qu’Il est ici pour remplir tout le monde du Saint-Esprit à cet instant même. Crois-tu cela? Alléluia! Je crois qu’Il va le faire à l’instant même. Crois-tu cela?

            Je crois que les boiteux vont marcher, que les aveugles vont voir, que les sourds vont entendre. Crois-tu cela?

            Tenons-nous debout et rendons-Lui gloire. Je crois que Dieu va le faire. Crois-tu cela? Elevons nos voix vers Dieu. Alléluia.

91        Père, nous croyons que Tu es le Fils de Dieu. Nous croyons que Tu es ici parmi nous aujourd’hui. Nous croyons que Ta puissance est éternelle. Nous croyons que Tu ne peux pas faillir. Nous croyons que Tu as déversé Ton Esprit depuis les Cieux. Nous croyons que la Pentecôte est ici.

            Nous croyons que la puissance de Dieu est ici. Nous croyons que des signes et des prodiges sont ici. Nous croyons que le Saint-Esprit est ici. Nous croyons à toutes ces choses, Seigneur. Maintenant, envoie encore le Saint-Esprit comme un vent impétueux. Remplis la salle, Seigneur, où les gens sont assis.

            Que la puissance de Dieu déferle sur cette salle et se déverse de nouveau, Seigneur, car j’ai vu Tes miracles et des prodiges, des signes des croyants de ce jour; et donne la paix, la joie et la satisfaction, guéris les malades, ressuscite les morts et purifie les lépreux. Ô Dieu, accorde-le, nous prions au Nom de Jésus-Christ.

            Rendons gloire à Dieu. Alléluia! Alléluia! Alléluia! Gloire au Dieu vivant! Alléluia! Alléluia!

            Je crois que chaque personne ici présente peut recevoir le Saint-Esprit. Combien désirent Le recevoir? Levez votre main. Combien désirent recevoir le Saint-Esprit? Continuez simplement à agiter la main et levez les yeux. Levez les yeux, continuez à agiter la main. Seigneur, je crois. Seigneur, je crois. Sauveur, élève ma foi en Toi...?... Seigneur, je crois. Tous mes doutes sont ensevelis dans la Fontaine. Alléluia! Gloire à Dieu.

92        Quel moment merveilleux! Combien parmi vous pécheurs désirent venir ici et dire: «Je veux être sauvé maintenant même, Frère Branham. Je veux accepter Jésus-Christ comme mon Sauveur.» Levez la main. Levez la main, tous les pécheurs, levez vos mains, partout. C’est juste.

            Voudriez-vous bien venir ici? Si Dieu exauce mes prières en ouvrant les oreilles sourdes, en faisant voir les aveugles, ne m’exaucera-t-Il pas pour votre salut? Venez ici. Chaque pécheur est invité à l’instant même, pendant que nous chantons:

            Ne m’oublie pas, ô Doux Sauveur,
            Ecoute mon humble cri;
            Pendant que Tu appelles les autres,
            Ne m’oublie pas.

            Ecoutez, les amis, et si Paul Rader pouvait regarder ici bas, votre pasteur, cet après-midi? C’est le même genre de services que Paul Rader tenait. Et si le vieux Billy Sunday, qui se tient là-bas dans les lieux éternels de la Gloire, assis à côté de Dieu, là-bas sous les arbres à feuilles persistantes, qui a prêché du haut de cette même chaire venait ici cet après-midi, il crierait: «Avancez dans l’allée de sciure de bois!» C’est exact.

93        Oh! Hommes et femmes. Combien ici qui n’ont pas Jésus-Christ désirent recevoir le baptême du Saint-Esprit? Levez vos mains. Voulez-vous bien vous avancer maintenant pendant que nous chantons? Ne m’oublie pas, ô doux Sauveur. Très bien. [L’assemblée chante: Ne m’oublie pas.–N.D.E.]

            ... (Voulez-vous venir...?...)

            Oh!écoute mon humble cri;
            Pendant que Tu appelles les autres,
            Oh! ne m’oublie pas.

            Venez maintenant, avançons...?... ici près de l’autel. [L’assemblée continue à chanter.–N.D.E.]

            ... Sauveur...
            Ecoute mon humble cri;
            Pendant que Tu appelles les autres,
            Ne m’oublie pas.

            Sauveur, Sauveur,
            Ecoute mon humble cri;
            Pendant que Tu appelles les autres,
            Ne m’oublie pas.

            Sauveur, Sauveur,
            Ecoute mon humble cri;
            Pendant que Tu appelles les autres,
            Ne m’oublie pas.

94        Ecoutez, les amis. Ceci pourrait être–être le dernier jour de ce côté-ci de l’éternité, où vous avez encore l’opportunité de venir à Dieu. Ne voulez-vous pas venir maintenant? Ne voulez-vous pas venir maintenant pour recevoir Jésus-Christ dans votre coeur, ainsi que le baptême du Saint-Esprit?

            Si vous n’avez pas le Saint-Esprit aujourd’hui, ceci pourrait être la toute dernière fois où Dieu répètera encore la Pentecôte. Dans quelques minutes, cette salle pourrait être illuminée par la puissance de Dieu, les gens sortant d’ici avec le baptême du Saint-Esprit.

95        Ecoutez. Voici ici debout quelques centaines de gens, je pense, debout autour de l’autel. Ne voulez-vous pas venir prendre place maintenant pendant que nous chantons encore une fois, voulez-vous venir? Venez. Vous êtes invité. Dieu attend que vous veniez maintenant. Très bien. Tournez-vous carrément, serrez la main à quelqu’un et dites: «Etes-vous chrétien?» Très bien.

              Ne m’oublie pas, ô Doux Sauveur,
            Ecoute mon humble cri;
            Pendant que Tu appelles les autres,
            Oh! ne m’oublie pas.

            Sauveur, Sauveur,
            Oh! écoute mon humble cri;
            Pendant que Tu appelles les autres,
            Ne m’oublie pas.

96        Ne voulez-vous pas écouter l’Esprit de Dieu maintenant? Alors que vous êtes dans ces réunions, vous voyez le surnaturel se lever. Vous voyez des choses arriver, des signes que vous n’aviez jamais vus, qui ne se sont pas répétés depuis le temps de la Bible quand Jésus était ici.

            Que se passe-t-il? Le jugement va frapper ce monde très bientôt. Si vous êtes en dehors du Royaume de Dieu, que vous ne soyez pas surpris dans cet état. Venez maintenant même.

            Que Dieu te bénisse, jeune homme. Tu as donné ton coeur à Christ tout récemment. Je vois une Lumière encore suspendue au-dessus de toi. Que Dieu te bénisse. Tu vas recevoir le Saint-Esprit maintenant. Tiens-toi juste là et crois cela de tout ton coeur. Le Saint-Esprit était en train de te parler il y a quelques minutes, quand j’ai commencé à faire l’appel à l’autel. Tu sais que tu devrais venir. C’est exact. Et j’attendais de te voir venir.

97        Je sais qu’il y en a d’autres ici qui devraient se tenir ici tout autour de ce groupe à l’instant même. Ne voulez-vous pas venir, encore une fois, pendant que nous chantons: Oh! Pourquoi pas ce soir? Connaissez-vous cela, mon frère? Très bien. Oh! Pourquoi pas ce soir? Voulez-vous venir maintenant même? Veux-tu être sauvé? Oh, pourquoi pas ce soir?, un appel à l’autel wesleyen à l’ancienne mode. Très bien, s’il vous plaît, frère.

            Oh! pourquoi pas ce soir?
            Oh! pourquoi pas ce soir?
            Veux-tu être sauvé?
            Et pourquoi pas ce soir?
            Demain, le soleil pourrait ne jamais se lever
            Pour bénir ta vue qui se trompe fortement;
            Voici le temps, oh! alors sois sage,
            Sois sauvé, oh! ce soir.
            Oh! pourquoi pas ce soir? Oh...

98        Ne voulez-vous pas venir maintenant? Quittez ces allées–allées où vous êtes. Si vous vous déplacez maintenant même et que vous vous approchiez ici, Dieu va vous sauver maintenant même. Voulez-vous venir? ...sauvé? Oh! pourquoi pas ce soir?

            Inclinons la tête une minute. Seigneur Jésus, Tu connais le coeur de chaque homme ici présent. Tu connais le coeur de chaque femme, de chaque garçon ou de chaque fille, ou de chaque enfant. Ceci pourrait être le dernier appel à l’autel qui aura été fait avant la Venue de Jésus. Peut-être qu’il y a des hommes et des femmes ici qui ne seront pas de ce monde dans une semaine. Ils pourraient ne plus être de ce monde demain.

99        Ô Dieu, je Te prie de parler à leurs coeurs maintenant même, sachant que l’Evangile de Jésus-Christ a la grâce salvatrice pour tout le monde; et quiconque veut, qu’il vienne. Mourir sans Christ, c’est aller dans l’enfer du diable et dans une éternité de châtiment sans fin, mais accepter Jésus-Christ et naître de nouveau de Son Esprit, c’est la Vie Eternelle pour quiconque veut le croire.

            Ne veux-Tu pas l’accorder aujourd’hui, Seigneur? Parle encore à Ton peuple, je prie au Nom de Jésus.

            Maintenant, pendant que vous avez vos têtes inclinées, y a-t-il quelqu’un là-bas dans l’assistance qui voudrait dire: «Frère Branham, je ne suis pas suffisamment convaincu pour me tenir là avec ces gens et accepter Christ, mais veux-tu bien te souvenir de moi dans la prière?» Voulez-vous bien lever votre main et dire: «Il s’agit de moi, Frère Branham.» Je ne connais pas votre coeur. Dieu le connaît.

            Eh bien, que Dieu vous bénisse, madame, je vois votre main. Que Dieu vous bénisse. Je vois votre main. Que quelqu’un d’autre par ici lève la main et dise: «Je ne suis pas convaincu pour venir, mais je désire que vous priiez pour moi, Frère Branham.» Que Dieu vous bénisse, monsieur. Je crois que maintenant l’autel est vide ou plutôt prêt pour vous recevoir. Jésus-Christ se tient là, les bras tendus.

100      Chaque homme ou chaque femme ici présente qui a besoin de Dieu peut recevoir cela maintenant même. Croyez-vous cela? Combien croient de tout leur coeur maintenant? Avec... Maintenant, vous pécheurs et vous qui cherchez le Saint-Esprit, voici de quoi le Saint-Esprit est l’ami, vous qui Le cherchez. Vous n’avez pas à chercher, à supplier et à attendre. Il est juste avec vous maintenant. Voyez-vous?

            Vous direz: «Eh bien, il nous faut une réunion d’attente.» «Attendre» [«tarry»] veut dire «patienter» [«wait»], pas prier. Comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit... Ils durent patienter jusqu’à la fin des quarante jours ou plutôt des cinquante jours, pour la Pentecôte. Après cela, il n’y a plus à patienter. Vous pouvez Le recevoir maintenant même. Il n’est plus question d’attendre, c’est juste maintenant, il est juste question d’avoir un coeur disposé. Levez juste les mains vers Dieu.

            L’autre jour, quand cet archevêque se tenait là... Il a combattu mon... Il a dit... Il y a quatre mois il m’a critiqué, il s’est moqué de moi et tout le reste; il est entré dans la pièce, il a dit: «Je veux recevoir le Saint-Esprit.» Je lui ai simplement imposé les mains, et le Saint-Esprit est venu sur lui. Voyez-vous?

101      Le docteur Lee, l’un des grands fondamentalistes du Sud est venu là pour...?... lui qui m’a traité de sorcier, et l’autre jour, il s’est assis chez moi, les larmes coulant sur ses joues, et il a reçu le Saint-Esprit, et il n’arrivait plus à parler anglais. C’est exact. Il a dit: «Frère Branham, maintenant je suis votre frère.» Oh! Quelle différence!

            Ce qu’Il a fait pour le docteur Lee, pour le docteur Reedhead, pour l’évêque et toutes ces autres personnes, Il est juste ici prêt à le faire pour le plus petit et le plus... Le...?... personne, l’ivrogne qui quittera la rue et qui se repentira de ses péchés, Dieu vous accordera ce Saint-Esprit béni.

            Hier soir, pendant que je traversais en voiture le quartier des clochards ou le quartier pauvre par ici, j’ai vu cette scène de la vie, l’autre côté, ces pauvres personnes ivres entassées dans la rue, et frère Boze et moi nous passions par là, de voir quel spectacle pitoyable c’était! N’eût été la grâce de Dieu, ce serait vous. N’eût été la grâce de Dieu, ce serait moi.

102      Oh! Des mères, des garçons, des hommes qui autrefois étaient des hommes bien, ils étaient étendus là maintenant à cet endroit, mon coeur saignait tout simplement. Hier soir, j’ai eu de la peine à m’endormir pendant des heures après être rentré à la maison, à force d’y penser. «Que puis-je faire, Seigneur?»

            Et Dieu vous a donné le privilège de vous tenir ici aujourd’hui en bonne santé, dans votre bon sens, regardant droit là-bas au Calvaire. Eh bien, Dieu va vous bénir et vous donner le baptême du Saint-Esprit à l’instant même. Croyez-vous cela?

            Maintenant, j’aimerais que vous fassiez quelque chose. Si vous voulez bien faire ceci, oublier qui se tient à côté de vous, oublier qui est dans la salle, oublier même où vous vous trouvez, dites tout simplement: «Seigneur Jésus, je viens à Toi. Tu m’as promis le Saint-Esprit, et avec Ton aide je ne quitterai point cet autel jusqu’à ce que Tu m’aies donné le baptême du Saint-Esprit.»

103      Si vous êtes déterminé à ce point devant Dieu, et que vous soyez sincère à ce point, vous sortirez d’ici avec le baptême du Saint-Esprit, étant scellé dans le Royaume de Dieu. Pour combien de temps? Jusqu’à la fin de votre voyage ici sur terre. Ephésiens 4.30 dit: «N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu par lequel vous avez été scellé pour le jour de votre rédemption.»

            Alors vous êtes en sécurité là-bas en Christ, une fois que vous avez été... avez reçu le baptême du Saint-Esprit. Désirez-vous Le recevoir? Combien dans la salle désirent Le recevoir maintenant même, le baptême du Saint-Esprit? Très bien. Dieu est-Il un menteur? Loin de Dieu de dire quoi que ce soit de faux!

            Maintenant, Dieu a fait la promesse que quiconque désire, qu’il vienne boire aux fontaines de l’eau de la Vie. Est-ce exact? Je vais vous dire ce que je désire que vous fassiez. Tenez-vous autour de l’autel, posez vos mains les uns sur les autres, ici, chacun de vous, et partout là-bas, je veux que, vous qui êtes là et qui désirez recevoir le Saint-Esprit, vous posiez les mains les uns sur les autres.

104      Et je veux que vous répétiez ceci dans votre coeur: «Ô Dieu, je ne quitterai pas ce lieu jusqu’à ce que Tu m’aies donné le Saint-Esprit maintenant même», et Dieu va vous L’accorder. Croyez-vous cela? Maintenant, levons nos mains. Relevons nos têtes, rendons grâces à Dieu, et rendons-Lui gloire pour le baptême du Saint-Esprit.

            Seigneur Jésus, envoie le Saint-Esprit maintenant même. Remplis chaque coeur ici, Seigneur. Que la puissance du Saint-Esprit se mette à descendre sur ces gens. Que des signes et des prodiges accompagnent, Seigneur. Que ceci soit le plus grand jour de ce réveil. Que le Saint-Esprit descende, et que les malades soient guéris. Que les sourds entendent, que les aveugles voient, et que l’Esprit de Dieu remplisse le coeur de chaque croyant ici présent. Accorde-le, Seigneur.

            Maintenant, nous avons demandé. Tu as dit que lorsque le peuple a prié d’un même accord, le bâtiment où ils étaient rassemblés trembla. Envoie une secousse à l’ancienne mode sur chaque âme, Seigneur, afin que ces gens puissent recevoir le baptême du Saint-Esprit.

105      Continuez à louer. Continuez simplement à Le louer. Oubliez où vous vous trouvez. Levez vos mains. Louez-Le...?... Je demande...?... gloire. Levez vos mains. Continuez simplement à Le louer. Ne regardez pas à–ne levez pas vos yeux ici. Regardez là-bas au Ciel. Louez-Le. Dites: «Merci, Seigneur. Merci, Seigneur Jésus. Je Te loue, Seigneur. Merci, Seigneur.»

            Louez-Le tout simplement, et Dieu vous remplira du Saint-Esprit à l’instant même. Amen. Amen. Que Dieu te bénisse, fiston. Amen. Continue à Louer. Continue à Louer. Lève les yeux vers Lui, dis: «Merci, Seigneur Jésus.» C’est juste. C’est cela, maman. Il y a une femme qui a reçu le Saint-Esprit pendant qu’elle se tenait juste ici maintenant, une autre. Venez maintenant. C’est juste. Continuez à louer Dieu. Alléluia. Partout dans l’assistance, louez-Le. Louez-Le et rendez-Lui gloire. Alléluia! Gloire à Dieu. Gloire à Dieu. Amen. Alléluia!

            [Frère Branham s’éloigne du microphone.–N.D.E.]...?... Louez-Le. Louez-Le. Louez-Le. Louez, louez-Le...?... Alléluia. Alléluia. Battez les mains. Louez-Le. Dites: «Merci, Seigneur. Merci, Seigneur. Merci, Seigneur. Merci, Seigneur. Merci, Seigneur.»

E-1 Well, that would be good enough at my funeral. That would be all right.
I certainly like to think of the Deity of our Lord Jesus Christ, don't you? Today, when the people are trying to say that He was just a philosopher of some type, I believe He was God Emmanuel. Certainly.
And I think all praises belongs to Him. Thanks be to His Holy and reverent Name. I live in His Name, work in His Name, sing in His Name, preach in His Name, heal in His Name. I want to die in His Name and raise in His Name. That's right.
Last evening, Brother Baxter... I asked him, I said, "Brother Baxter, will you do me a favor? I want to get over a little early." I said, "If we're going to have a fast line," I said, "I want you to preach something for me." I love to hear him preach it.
He said, "What's that?"
I said, "Shamgar." He slays all the Philistines. I just like to get rid of them, don't you? The--the Bible said they'd be thorns in your flesh if you let them stay in the land. So let's get rid of them. So I set back last night and enjoyed it very much, preaching on Shamgar.

E-2 Today he said, "What about preaching on the resurrection of Lazarus?"
So I said, "I've perhaps preached it before." So I trust that God will give us a great evening of it, and God's blessing be upon you all.
I am happy to be here in this memorial tabernacle today where great men has stood on the platform, men that's gone on to heaven.
I don't know how true this is. It is told to me by a good authority that the late Paul Rader, I believe the founder of this tabernacle if I'm not sure... The founder of the tabernacle... I got to hear him once in my life at Fort Wayne, and they said last night he was saw in a vision here at the platform. He's not dead, but he lives. His name will be immortal in people's hearts for years and years to come.

E-3 They said when he was dying, and out in California, that they were singing songs; and as I understand Brother Rader right or they, or the people right about Brother Rader, he quite a sense of humor, and said they were singing sad songs, and he said, "Say, who's dying me or you?" He said, "Raise those curtains--shades, rather, and sing me some real good snappy, Gospel songs."
They started singing something: "Down at the Cross," or something, he said, "that sounds better." Said, "Where's Luke?" And Luke, 'course, not wanting to see his brother die came into the room, and said he grabbed Luke by the hand and said, "Luke, we've come a long ways together, but think of it, in five minutes from now I'll be standing in the Presence of Jesus Christ, clothed in His righteousness."
I think lives of great man all remind us;
We can make our lives sublime,
With partings leave behind us,
Footprints on the sands of time.
That's right. The great notable Billy Sunday that's preached in this tabernacle, week after week in revivals, some of you people here has probably come to hear him...

E-4 I remember as a little boy when he died. They said, "Billy Sunday hit the sawdust trail." He's called them down these aisles perhaps a many time. He was found dead in the bed, not dead, but gone to be with Jesus.
There's not a Scripture in the Bible says a Christian dies. Christians do not die. You can't die. You have Everlasting Life, and how can it have an end to it? It can't have.
So when we go to thinking of that, it makes our hearts rejoice, doesn't it?

E-5 I happen to come in to hear Brother Baxter when he was taking my love offering. I'm sorry we even have to do that. I--I get a love offering each week. And Brother Baxter does the same. It's just... Then the expense of the meeting is taken care of, and then after we get that, if everything's paid off, then we each get a love offering.
I can assure you, friends, that my gratitude from the depths of my soul, I appreciate it. I'll do all that I can to be as reverent to spend it to the glory of God the best that I know how.
If I should get my initial debt paid up now with my two love offerings of this meeting, I go to a conference which is... The people are taking up missionary offerings and things in the conference, and it doesn't... They can't... Just maybe they pay my expenses or something. I go to Kansas City next, then to Los Angeles.

E-6 And we're just afraid to make a move anywhere, 'cause I--I know that overseas is coming up, and I--I must go. So I'm just afraid to make any too much of a itinerary, 'cause He might call me at any time, just go at any time. I've got my shots and everything I have to have and ready to go when the Lord will call for me to go.
That's the way I want to be ready to go to heaven too: everything all ready just when He calls.
And I appreciate this very much. God bless you in everything, if it's enough and more to pay my initial expenses, then I--I'll put it into foreign missions.

E-7 And if you would only know of missionaries that are in this meeting this afternoon, and lots of times when I went over there... Many of you know the story, how God told me to go a place, and I let a bunch of preachers talk me out of it. And I went somewhere else, because they wanted me to go, and I certainly paid for it. He told me I would.
And so, but I got sick, parasites, even the doctor said, "There's not even a chance for me to live."
I had ten hours to live, and the Lord Jesus came to me in a vision and said, "It's over."
I went right back to same doctor, two--about eight hours later and I said, "Doctor, give me an examination for parasites."
Said, "Well, Rev. you got parasites." Said, "Why, I give you everything and here's the re... remark." He said, "I give you everything and throwed the box at you," and said, "and still you got parasites."
I said, "But I haven't got them now."
He said, "Oh, you got them."
I said, "Would you examine me?"
He said, "There's no need."

E-8 I said, "Would you do it just upon... I'll pay you for it. Just want to show you what our Lord can do."
He said, "You got parasites, reverend."
I said, "Take the examination." When he did, he couldn't... Perfectly negative.
He said, "Well, what happened?"
I said, "The Lord Jesus Christ in Whom I trust in, He is the One Who did it. He taken them from me."
He said, "Rev., now where are you going now?"
I said, "I'm going back overseas."
He said, "Back in that same place again?"
I said, "Yes, sir."

E-9 He said, "Do you mean to tell me, when you come pretty near leaving your wife and babies and what all the things, the planes wrecked and so forth and coming over and fifty-two was killed ahead of you and like that?"
I said, "It doesn't make any difference. There's Something down in here calling that tells me I must go back, regardless if it's live or death; I must mind God."
And friends, that's--that's right. When I think today, when I look around on the streets of Chicago and other cities and see the--the children and things and look in the restaurants and seeing the big fine meals being set and things like that...
I appreciate a land like this, but down yonder in Africa somewhere's a little black boy never even knowed what a piece of candy was, never knowed what a stitch of clothes was, never knowed what a bath was, never knowed what a decent drink of water was.

E-10 The poor, little, hungry fellow, wiping the dirt out of his eyes and crying like that wanting to hear about Jesus Christ one time. He's got just as much right to hear as my little girl setting there who hears it every day. Is that right? Somebody's got to take it. That's right. Somebody's got to take it, and it's on my heart to do it.
And I pray that God will bless each one that give in that offering, and everything that I can do outside of my own... what I just... And we live like common people, friends. If I'd have been money, I'd been a millionaire. I had give to me in one offering one million five hundred thousand dollars. FBI agents brought it to me, and I refused even to look at it.

E-11 He said, "Rev. Brother Branham, this... You don't know what this is."
I said, "It don't makes any difference, sir. I don't take people's money." I come into this world poor. I'll go out poor. How could I be rich and the people setting here... Not long ago they were going to give me a big Cadillac. My little, old Chevrolet truck out there was just about backslid so I... That's a big word for a Baptist, isn't it? Backsliding, but you can do it.
So it was... He said, "Are you... Is that--what you're riding?"
I said, "Yes, sir. It's a dandy."
And he said, "Well," he said, "I tell you, Brother Branham," said, "We give Aviack a Cadillac," said, "we'll just give you a new one to ride home in."
I said, "I--I appreciate it, brother." I said, "I--I appreciate it with all my heart," but I said, "I--I couldn't ride in a Cadillac." I said, "I appreciate anybody can ride in one," but I said, "I couldn't do it."

E-12 What if I'd be going down through Arkansas now (See?), where all them poor little cotton pickers out there and them little mammies out there in the field with a cotton sack on her back about fifty or a hundred pounds of cotton dragging of a morning, her poor, little, old hand stuck up with cotton burrs like that, eating fat bacon and some corn bread for breakfast and there--there's Brother Branham going down through there with a big Cadillac?
Not me. No, sir. No, sir. That don't run in my blood. If I got what I deserved, I'd be walking, riding a bicycle or something. Yes, sir. I mean that from my heart, and I'd rather have favor with God than to have the best beautiful home you got in Chicago and be out of commission of God. My main thing is to be in favor with God.

E-13 Now, I do appreciate every man that God... I like to see poor people when they haven't got nothing and see them come up and get a nice little home and a automobile. And oh, you don't know how good that makes me feel just to see poor people... I know what it means to be poor. I'm poor yet, will die poor, but I'm... What it means to me to see people when they've come up, God has blessed them. It just shakes my heart.
Some brother setting here now that I was in their home, stayed in their home last time I was here, and a lovely home and oh, I... They told me they come here to the Chicago without a scratch hardly, and then they got a lovely home, and lovely children, and lovely wives, and sweet brothers who's right in the ministry and the work of the Lord. Oh, my. That just--that just makes me kneel on me knees and thank our heavenly Father for people like that. It does.

E-14 So many things I could say, but I'd say, "God bless you all." I think that's the greatest word can be... If God will bless me, that's all I want. Is that right? If God will bless me, that's--that's enough. That's all I care for.
Now, I don't want my time to get away. I'm to preach this afternoon a little bit, or--or talk. I'm not a preacher. I'm just... As I told you the other day, I'm a spare tire. That's when you have a flat, you know, you use it. Now, we haven't got a flat now, but we... but I'm just one they put on the spare this afternoon.
I remember as a little thing I usually tell to the people about being a preacher reminds me. My mother's here. She can put her finger in her ears now. My daddy was a rider. He was a good one too, and he used to ride. And he was a good shot. He'd take guns and throw them big clay marbles out and take one gun and hit another marble and raise it up and burst the marble with the other. Why, I couldn't hit washtubs like that, but he--but he was good, and I always wanted to be like my daddy.

E-15 So I remember when we was kids and used to plow, and I--I could hear Mama when she called me. And she... the only thing I hear was a "iam" you know. "William." I'd get that way back in the back of the place, you know. I'd take my old, straw hat and wave and take them old rope lines. How many ever plow with old rope lines? Let's see. Well, there's a few country boys setting around here. Yes, sir. The old rope lines, take it off my neck, you know and go on in for dinner.
Now, I remember after we'd plowed all day long, you know, and oh, it would be tired. That night time when we come in, well, dad would still be in the field. I had to come in early, 'cause I milked the old cow. So we'd get around. I'd go down to the watering trough. Anybody ever know what a watering trough is, where there horses will water? Oh, now I'm getting down home, ain't I? All right.

E-16 I'd go down there, you know, and I'd--I'd... My brothers and all of them would get there and watch me, you know, and I'd come in and get around behind the hill from the house; I'd go in and get pop's saddle, you know, and I'd get me a handful of cockleburs and throw it up under the saddle and pull the saddle down on the old horse, you know, and climb upon him.
Pour old thing, so tired and old too, you know, and stiff, he couldn't even get his feet off the ground. He'd just bawl, you know. I'd take off this hat, you know, and I was a real cowboy, a riding, you know, and all my brothers would set up there and cheer me, you know. I was a real cowboy.
About nineteen years old, I run off from home. Mama hasn't whipped me enough for that yet. So I run off from home and went out west. I was going to be a rider. I was going to have the silver saddle, Brother Osborn. You know what I'm talking about.

E-17 So then I was--went out west, and went to Arizona, and they was having a rodeo. I said, "I'm... I need some money." And I went down to get me a pair of Levi's and got out there, and I thought, "I'll ride. These fellows out here don't know no more about riding than I do."
So I get up on the--the fence around the--where they was having the rodeo. And the first thing you know they let the horses out and the bucking horses, and they had one there that was famous horse. They said, "Now, any guy can ride this horse..."

E-18 And they got some famous rider to come in, and I seen he was going to get about, oh, I guess, two hundred dollars or more for riding a horse. And he... All of his big nice dude outfit on and he jumped in the saddle. When he come out, his catch-as-catch-can as he come out of the chute, and when he come out of there, that horse made just about one buck, a sunfish, the saddle went one way, the man went another way. The pick-ups got the horse, and the ambulance got the rider, and the blood was running out of his ears and eyes.
And the man come along side of the fence, said, "Any of you cowboys around here, any of you can ride that horse and stay on him for a minute, I'll give a hundred dollars a minute." So nobody said a word. He rode on down and looked right straight at me and me setting up there, you know, with just a pair of Levis on, looking high, matched up with the rest of the cowboys, you know. That's a kid. Looked like that, you know, and he walked right up to me and said, "Are you a rider?"
I said, "No, sir. No, sir." I knowed that wasn't pop's old, stiff plow horse. See? I knowed there was something different in that.
So then when I first got ordained as a minister, I used to pack my Bible under the arm. Some of them say, "You a preacher?"
"Yes, sir. Yes, sir. I'm a preacher."

E-19 One day I heard a full Gospel preacher preach in a tent meeting. He preached till he got out of breath; his face had turned red. He'd go plumb to the floor, buckle his knees and come back up catching his breath. You could hear him about two city blocks still preaching. Some of them said, "Are you a preacher?"
I said, "No, sir." I was no more preacher then, after I heard a man that could preach. And I... So I always be careful about saying being a preacher. You see? But I do like to get to a place where we can have a--you know, enjoy the blessings of the Lord, don't you?

E-20 Little Mr. Osborn setting out there reminds me. He was talking this morning, he and I, the little boy, and it reminds me of one time... See a good, old fashion Holy Ghost meeting... Who likes them kind? Do you like it? Say, "Amen." Why, sure we do.
What we used to call a popcorn meeting... You know what a popcorn meeting is? You take a little yellow grain of corn and put it on a hot stove. It gets twice the size and twice as light, and it turns from yellow to white. That's a popcorn meeting. That's what it takes.
A little fellow scared to testify and bumps up all at once, ready for the rapture and changes his garment from a little yellow to a white...

E-21 Reminds me one time I was a fishing one morning. I guess I got plenty of fellow friends here, fisherman. This lake this close, and I was way up in north woods a fishing and I--I just--just love pancakes. How many likes pancakes? Oh, my. I just love pancakes, and I used to take me a bucket of molasses, you know, a whole, big bucket 'cause I'm a Baptist. I baptize them. I don't sprinkle them. I pour it on heavy when I get it on there, the molasses, you know, get them real thick all over it.
So then I--I thought, "Oh, my, now if I can just get this..." Took me a big bucket molasses, you know, and I was up there, and I had a little, old tent. There was a lot of black bear in that woods. Your boy had some experience the other day with one. So, oh, they are nothing to them. I don't know wherever they got that big name he's got, but he's--just what he tears up. Oh, my. He's--he's awful.

E-22 And so I had a little old tent setting up, and I was catching some big rainbow trout. And I'd been down the stream, and I had a little old chopping axe here in my hand, a little scout axe, and I come up and my tent was down. And I looked and here set an old mother bear and some little cubbies setting there: two of them. And she kinda run off when she seen me coming out of the willows and she kinda run off and upon the side of the hill; and she cooed to them cubs, and one little cub come.
The next little fellow he had his back turned to me, just like this, you know. He just wasn't moving at all. Well, I thought, "Looky what they've done. My, they've tore up everything." Well, a bear with cubs will scratch you. So I--I didn't want to get too close to her, and of course I had a gun there, but I didn't want to leave them orphans in the woods. So I--I just... I said, "Get away from here," like that, and the old mother run off a piece; and she kept cooing to that other cub, and he wouldn't come.

E-23 And I thought, "What's the little fellow so interested about?" I looked around. I kept getting around this a way trying to throw a rock at him, and he wouldn't even turn his head. He just down like this, doing something. I thought, "Well, what's that little fellow so interested about?"
Always, you haven't got your camera when something like that going on, you know. So I got around this a way, looked. I said, "Get up from there," like that, and he turned around and looked at me.

E-24 That little fellow had got my bucket of molasses. He had them all hugged up in his arm like this. He had the lid off of it. He just sock his little paw down in it like that, and he was molasses all over his face. His little belly was just as full of molasses. His eyes, you know, he couldn't even open them. He was batting his eyes back and forth looking at me like that. Licking like that and he'd sock his little paw down and then just lick molasses.
I said, "Have a good time, fellow." It just reminded me of a good, old fashion Holy Ghost meeting, when we opened up the jar of honey, you know, and stick our fingers right down in and just get it all over your eyebrows and all, you know, just get a real old time where you just forget where you're at. But the funny thing was when he got enough molasses, he had them all over him.
The old mother kept cooing to him. He set the bucket down and run off and when I got over there, the mother and the other cub started licking him. So... Amen! That's what we need is an old fashion meeting where you can almost lick it. Isn't that right? Yes, just a real old fashioned meeting.

E-25 All right. Saint John the 11th chapter. I want to read a little portion of the Word now and then we'll have prayer.
Now, in the 18th verse, we read this:
Now Bethany was nigh unto Jerusalem, about fifteen furlongs off:
And many of the Jews came to Martha and Mary, to comfort them concerning their brother.
And Martha, as soon as she heard that Jesus was coming, went and met him: but Mary sat still in the house.
Then Martha unto Jesus, Lord, if thou would have been here, my brother would not have died.
But I know, that even now, whatsoever thou will ask God, God will give it to thee.
Jesus said unto her, Thy brother shall rise again.
Martha said unto him, I know that he shall rise again in the resurrection at the last days.
Jesus said unto her, I am the resurrection, and life: he that believeth in me, though he were dead, yet shall he live:
Whosoever liveth and believeth in me shall never die. Believeth thou this?
She said unto him, Yea, Lord: I believe that thou art the Christ, the Son of God, which should come into the world.

E-26 Shall we bow our heads. Now, Lord, as children playing in the market place, as we stand and know that You want us to be happy and rejoice, You said that Your joys might be full... But now, Father, we have read the Word of God, and now we pray that You will settle us down.
And may the Holy Spirit catch a hold a every heart. Grant it, Lord, and may every sinner today be saved. May ever backslider be brought back to the Kingdom of God, and may every sick person in the building go out of here well. Grant it, Father, and may the Holy Spirit now come and take the things that are God's and deliver them to every heart as each heart has need, for we ask it in Jesus' Name and for His glory. Amen.

E-27 This chapter that we're now reading from. We'll get just a little background. I believe I can see the clock there, so I won't take too much time. If I can just have your undivided attention now... Don't think about the meeting tonight or what's going to take place tomorrow. Let's think about the Lord Jesus being here right now, and each one of them saying, "Now, I'm a sinner, if your are, but if there's--if, Lord, have You got something for me, speak to my heart."
And every person without the baptism of the Holy Spirit, saying, "Lord, I haven't got the Holy Spirit and I know anything short of that, well, I'm afraid of it. So I--I want to be borned again for You said, "except a man be borned again, he will not enter the Kingdom.' So I want to be borned again.

E-28 Now, I don't mean to say you're not a Christian till you get the Holy Ghost, get that. I mean that you're--the Holy Ghost is the seal of your faith. You see? God--Abraham believed God by faith, and then He give him the seal of a promise. You see? And you believe God by faith and you're justified by faith, but you're sealed into the body of Christ by the baptism of the Holy Spirit.
You hear these bishops and archbishops and everything else come and testifying about it. If you've never received it, just come and try it. It's fine. It's a... It's I don't know how... Someone said to me one time after I'd come out of my spell of sickness, he said, "Brother Branham, did you keep your religion during the time of your sick spell?"
I said, "No, sir. I never. It kept me during the time of the sick spell." So that's... Yeah, the Holy Ghost keeps me, not me keeping It. That isn't the question. It keeps me. I just received It, and It takes care of me. That's the way it is with every believer.

E-29 Now, this was right in the beginning, our text this afternoon, to the very bloom of Jesus' ministry. He came out. He was beginning to heal the sick, and great throngs begin to come to Him.
Now, we find out that was the first year of His ministry. The second year of the ministry they begin to find fault against Him, and the third year, in the middle of the next year, they crucified Him.
That's just the way it goes. There's a revival comes on. Oh, the great tinsels on. The revival then settles down. Then the first thing you know, just what's really genuine stays. The rest of them goes away. That ends it.

E-30 Now, but in this case, Jesus was staying at the home of Martha and Mary. Now, we--we're taught, I don't know how true this is, but we're taught that Martha and Mary living at Bethany there was... that they were... had left the Orthodox church, the Jewish church and had come to believe on Jesus; and Jesus was staying in their home.
They had a brother named Lazarus, and they tell me that he was a scribe, that his work was to make the laws, the letters, and so forth of the law on parchment. And we're told that Mary and Martha made tapestries, the little stuff for the temples and so forth like that. That's how they made their living in needlework.
And about this time, Jesus' life was becoming wonderful. People was seeing Him, and they was loving Him. And--and then He come to a place where He had to be called away from this home. That's strange how them things happen, but sometimes... All things work together for good to them that love God.

E-31 Now, Jesus in His birth, He was marvelous, but when He came to the world, He came here with a illegitimate background hanging over Him, because they said that His--His father was Joseph, and the child was--the mother was to be with a child before they were really legally married.
So that begin with Him, and then He went out through capital punishment. He come in by the way of a stable door, and went out through capital punishment. That's the way the world received the Lord Jesus Christ.
But just before His--His birth, God always makes a preparation for things. Don't you believe that? I want you to listen close. I believe today with all my heart... Now, this is just Brother Branham speaking. You see? I believe that the things that you see are taking place now, is a preparation. God is preparing something just before a climax. God always warns the world, and then if they won't--will not receive warning, then there's only one thing left; that's judgment.
Noah warned the world, and they would not receive it. And all through the age, God's always warned. He sends mercy, and if they spurn mercy, there's nothing else left but judgment. But the merciful Father will send mercy first.

E-32 Now, this time just before the coming of the Lord Jesus they had men... The church had got down to a place till it was very few that was looking for it, just unconcerned about like they are today. Just... But God always has had a remnant of people who believed him.
And one of them was a man named Zacharias and his wife named Elisabeth. They were righteous people, walking in all the laws and keeping all the statues and commandments of God, and then down at the temple, Zacharias' part there was to burn incense. While the people were making prayer outside, Zacharias burned incense.
Wish we had time to back that up good now and lay a foundation what incense mean, and all speaking of Christ, everything. The incense now is His Blood, the Rose of Sharon, the Lily of the Valley, and how the high priest before he went in to the holiest of holies, He had to be anointed with this oil from the top of his head, run down over his beard, plumb to the hems of his skirt. And when he went in, if they happen to... somebody happens to tell you that these full Gospel people are just a little noisy, here's something for them.

E-33 Aaron when he went into the holiest of holies once a year, he had to wear a certain kind of a garment, and he had to be anointed, and he had to take blood with him. Is that right? And on the hem of his garment he had a pomegranate and a bell--a pomegranate and a bell; and as he walked he had to make that play "Holy, holy, holy unto the Lord."
And only way that they knowed that that man was still alive that God hadn't slayed him back there in behind the curtain is because that noise. They could hear the bell a ringing. I tell you; the only way I know there's any life in the church, when a little noise gets started somewhere, you know, just a little "amen" once in a while or a little something you know, make a little noise.
Some of them said, "Well, Brother Branham, it's emotional." Well, I can scientifically prove to you anything without emotion is dead. So if your religion hasn't got any emotion in it, bury the thing (That's right.) 'cause it's no good. It's dead.
So I can see now this Zacharias. Let's get a little drama here. He's down, him and his wife, they'd wanted a child for years and years, prayed, lived upright. Looked like the thing was just going to pass by; he wasn't going to get the baby. But it's just in the darkest of hour when Jesus comes, when God always answers.

E-34 We get in a hurry. "Well, I was prayed for last night. I don't feel any better this morning." You're in too much of a hurry. Accept God's promise and stay right with it. Stay right there.
They had been praying and praying for years. Now, Elisabeth had gotten old. She was past the age of bearing. Looked like all hopes was gone that she was ever going to have a--a child.
Well, Zacharias one day, I can imagine the temple, he had the censor burning like this, and he got back over the place and was standing there waving it back and forth, and back and forth as it went back and forth and the ointments a going as it was making the incense burning. And all at once he happened to look standing on his right hand side, and there stood an Angel.
God has always had Angels, ministering spirits. Do you believe it? Angels doesn't die. What was happening? God was just fixing to do something on the earth. So before He always does something, He sends an announcement.

E-35 Now, when.. There's angels comes. Perhaps the Angel visits me and to--visit you and so forth... There might be minor angels, but when you hear this Angel Gabriel coming, you take heed, something's taking place.
Gabriel announced the first coming of Jesus Christ, and Gabriel will announce the second coming of Jesus Christ. Is that right? Amen. I begin to feel religious already. Look.
When I think about Him coming. There stood Zacharias. He looked, and he was startled and he told him, he said, "Zacharias..." what was going to happen and after the days of this administration here, he was going home, be with his wife, and she was going to conceive and bear a son.
Now, I want you to notice that preacher: just about like some of them today. "Why," he said, "How could this thing be? Well, my wife's too old," something like that.
He said, "I am Gabriel that stands in the Presence of God. And because you've doubted my word, you'll be dumb till the day the baby's born." That's right.

E-36 God will speak, and there's nothing can take God's Word away. God's Word holds forever. When God speaks it, it's confirmed in heaven forever. It's right there ready, just the same as done, when God speaks it.
Oh, that we mortals might be able to say, "THUS SAITH THE LORD; it's settled," taking God at His Word and stand there no matter what comes, how many ways push sideways. We stay right with God's Word. "God said so. I believe It. That settles It." Amen.
Now, he said, "You'll be dumb until the day the baby's born, but My words will be fulfilled in their season." God's determined.
No matter how much you say that bunch of--of holy-rollers will burn up and go away some of these days, they'll be nothing left, God's Word will remain forever. That's right. It'll stay just exactly the way God said it would be.

E-37 Well, when he came back out, of course, we know the people they--he was dumb. He couldn't speak, and he motioned to them and then he went home. And at the days after he had accomplished his work there, he went home, and his wife conceived; and she hid herself six months.
And now at the end of six months, here comes that Angel back again. Amen. And there was a little old girl living down in Nazareth, the meanest city in the country, pretty near as bad as Chicago, excuse me. Anyhow, bad as Jeffersonville where I live... Oh, very bad, wicked city, but no matter how bad the city is you can still live right in the Presence of God. And God's searching out true heart like He did then.
And He found this little old peasant girl. Let's think it was on Monday morning; that's the wash day. A pitcher of water setting on her head and one on each hip and here she comes a walking. And she's coming back from the well, and she's fixing to get married to a man. She's just a young lady, and the first thing you know a Light shines in front of her; and standing in this Light stands Gabriel, the great Archangel; He said, "Hail, Mary!"

E-38 And she... Startled her... He said that she was going to bring a Child in the world knowing no man. Told them about Elisabeth, her cousin, how that she'd conceived and was going to bring a child. And said they'd call His Name, Jesus, for He'd save His people from the sin.
Why, it startled the little virgin, such a salutation as that, and it would startle you. What would you do to meet an Angel standing in your path like that with His arms stretched out and said, "I'm Gabriel Who stands in the Presence of God." Certainly it would frighten you.
And then I see the little maid as she said... Now, I want you to notice. Here it is. I hope it soaks real deep, goes down under the fifth rib on the left side and anchors. There was a priest, preacher, knowed the Word, had plenty of examples. Hagar had received children, so had Sarah, and many of the rest of them had received children. He had plenty of examples, but doubted the Angel. But this little girl, she never doubted a word of it.
She said, "Behold the handsmaid of the Lord. Be it unto me according to Thy Word." Amen. That's the way to do it. Take God at His Word.
Look at Mary. Before she was positive, before she had any signs of life... I'm in a mixed audience but you... or listen. Before any physical sign, she started out giving God praise and glory that she was going to have a baby before there was any sign.
God give us some of them Marys this afternoon in Chicago (Amen.) that'll take God at His Word. Amen. Don't think I'm excited. I--I--I'm not amening myself, but "amen" means "so be it," and I believe it then. All right.

E-39 Here she goes, goes down to the city everywhere telling people she's going to have a baby, knowing no man. Why, sure. She just took God at His Word. Right up into the hills of Judaea she went. She'd heard about Elisabeth, heard that she had a blessing too.
Now, that's the way real borned again people do. When they hear somebody gets the Holy Ghost, away they go to find out all about it. Amen. When God does something to heal somebody, the next neighbor comes over and just joins in and happy and rejoicing with it.
So right down through the city of Bethlehem, right on up into Judaea she went, and when she come up to where a Sarah, or Elisabeth rather... Now, Mary and Elisabeth were first cousins. John and Jesus was second cousins, and when they come right up to where the home was, I can see Elisabeth way back in the room. She'd hid herself. She raised up the curtain. She seen a young lady coming.
Why, she said, "It's Mary, my cousin." And out she went. My, I can see her so happy, and she threw her arms around her and begin to hug her and kiss her.

E-40 That's the way women used to meet one another, but, brother, you know what, them days is changed now. They don't have that kind of love one for another. They got so now they don't even speak to you. Isn't that right?
Why, it used to be back on the farm when--when some man would get sick, we'd go out and cut the wood for him, or shock the hay, or whatever it was, think nothing about it, go over and set up at night time.
Now, you don't even know your neighbors dead, unless you see it in the paper. It's a shame how brotherly love has ceased. That's right. We just don't have it like we used to.
Why, pop, if he'd run out of money, he'd go over and borrow fifty dollars to run him through till the crops come in. That was all right. You didn't have to have any security.
Why, you couldn't borrow five dollars today without security. Brotherly love is ceasing. God said it would. Yes, oh how we need it.

E-41 The other day, I... My wife's present, she'll probably tell me about this afterwards. We went downtown, and they was a girl going down the street, a young woman that we knew. And I said, "Say, did you see her?"
She said, "I--I spoke to her."
I said, "I didn't see you."
And she said, "I smiled at her." That's not speaking. You know what I like. I like a great big old pump handle handshake, a old country type. Say, "Hello, brother. How are you?" Yes, sir. Now-days instead they just turn a little silly grin and say, "Hello." My, I don't like that. That freezes me to death.
One day down at Brother Bosworth and I we were down in Miami, Florida, and we had a tent pitched out there. Some little boy was having a meeting and got up against it, and I come down to have a couple of days for him, and there was some Duchess or something like that. I... My, I don't know very much about dignity and parade. So, they... She was some great woman. She let this tent be set on her lot or out there a place where she had her a park.

E-42 And I went down there, you know, and I was preaching and Brother Bosworth said, "Would you stand right back here, Brother Branham?" Said, "The Duchess wants to see you."
And I said, "The who?"
He said, "The Duchess."
I said, "Well, who's she?"
And he said, "Well, it's the lady that let us have this lot."
I said, "Well, what's she any more than anybody else?" See?
So he said, "Well, you stand right here. She's coming around."
In a few minutes here come a great big woman around like that. She had a pair of specks in her hand on a stick, holding them out that far from her. You know people can't see that far out from you like that through glasses.
And she come around there with about enough clothes on to go in a--wad of musket shotgun, and she was standing along like that, walking around like that. She said, "Are you Dr. Branham?"
I said, "No, ma'am. No, ma'am." I said, "I'm Brother Branham."
She said, "Well, Dr. Branham," she said, "I'm charmed to meet you," holding that big, fat hand up like that.

E-43 I got a hold of her. I said, "Looky here, sister, bring it down here so I'll know you when I see you again." That's it. There's too many of us today trying to put on what we call the expression "put on the dog." What are you anyhow? That's right. You're not nothing but just people.
I was passing by a coliseum, or museum, rather, here not long ago, and they had a picture of a man's body in there that weighed a hundred and fifty pounds, said he was worth eighty-four cents in chemicals.
Put a hundred dollar suit on eighty-four cents, walk around with your nose up in the air, like it'd rain it'd would drown you, thinking you're somebody. You're not worth but eighty-four cents if you weigh a hundred and fifty pounds. Wrap a five hundred dollar mink coat around eighty-four cents and won't even speak to your neighbor. That's right.

E-44 That's what's matter with the world today (Amen.): people stuck-up and starchy. God will have to pour out the Holy Spirit and wilt that thing down in you. Everyone of us, we're just exactly on the same level.
God made us all out of one pattern. No matter if you live in a better neighborhood, go to a better church, you're nothing but what has God's made you, and who are you to glory. Glory comes to God. Yes, sir.
Them couple boys standing there, one looked and said, "Well, John, we're not worth very much, are we?"

E-45 I said, "Look, fellow. That's your body, but you got a soul that's worth ten thousand worlds." That's right. I said, "That body will go back to the dust some of these days, but you got a soul that will live forever. Take care of that."
Look at the value that Jesus Christ put on it to come from glory to die to redeem you. That's the trouble. We look at the outside and take care of the outside, but the inside we let it go. Yes, sir.
I can see Martha, as she, or, Mary, rather; she run and hugged Elisabeth, and she kissed her, and begin to pat her, you know, and having a rejoicing, happy. Said, "Oh..." Now, let's listen in on their conversation.
I can hear Martha say... Now, this is drama. I can hear Martha, or Mary say, "Oh, Elisabeth, I am so happy. Oh, the... I have been told (not how), but I have been told that you are to be mother."

E-46 "Yes," Elisabeth said, "that's right," but she said, "I'm just a little bit worried."
"Why?"
"Why, it's six months as me as a mother and as far as we know, there was no life yet." That's subnormal. See? Life about three months, two months. So they said, "It's subnormal. I have no life yet, and I--I'm worried, and it's six months with me."
She said, "But the Angel, Gabriel, has met me and told me that I was going to be mother too, knowing no man," and said, "I would bring forth this Child, and I would call His Name, Jesus."

E-47 And the first time that that Name Jesus was spoke through mortal lips, little dead John, laying in his mother's wombs got the Holy Ghost, and begin to leap and jump for joy. That's right, and if the Name of Jesus Christ will bring life to a dead baby what ought it to do to a borned again Church? Hallelujah. Amen. Yes, sir.
She said, "Whence cometh the mother of my Lord? For as soon as your salutation come into my ears, my baby leaped in my womb for joy." Hallelujah. Yes, sir. Oh, brother, we're not in a fog. We know where we're at. Sure.
Said, "As soon as your salutation come to my ears, my baby leaped in my womb for joy," and John received the Holy Ghost. Amen.

E-48 What will the Name of Jesus Christ do? I've seen It bind witch doctors. I've seen It bind demons to where they'd... shamefully, I've seen them drop on the platform, fall in their seats, paralyzed setting there over the Name of Jesus Christ. Oh, my.
Faith in the Father, faith in the Son,
Faith in the Holy Ghost, three in the One.
Demons will tremble, and sinners awake;
Faith in Jehovah will anything shake.

E-49 That's right. That's exactly right. Hold your faith in God. That's right. Oh, God has always had a people who would believe Him. Back yonder when He come out of the wilderness, brought the children of Israel rather into the wilderness... What a time.
After they had crossed the Red Sea, got over there, they had an old fashion camp meeting. They looked back and seen all the old taskmasters dead in the sea. Miriam begin to dance in--in the Spirit and beat a tambourine, a very typical picture of an old fashion camp meeting. Is that right?
Moses got in the Spirit, and raised up his hands, and sang a song in the Spirit. Amen. If that ain't an old fashion meeting, I never seen one.

E-50 And now, look. God promised to supply all their needs, and just when they'd crossed over, why, they didn't have nothing but a--a little box of bread setting on top of their head. It give out.
So God promised He'd supply their need. The next morning when they got up, the ground was laying full of manna, looked like hoarfrost.
Now, they said to taste it, they'd lick their tongue on it, taste it. It taste like wafers and honey. My, that was a real Baptist dish, wasn't it? Wafers and honey... All right.
So he... They begin to eat it. It tasted good. You know, David, I believe the Psalmist said one time, "Taste and see the Lord is good. It tastes like honey in the rock." Is that right? Yes, sir. Honey in the rock...
There's something about a rock that has, in the Bible, it's always the rock. He was the Rock. He was the Rock that was in the wilderness, and the Rock...

E-51 Like used to in old times when they'd have a... Someone would get bit by a mad dog. They'd take him to a mad stone, and they'd stick him to this mad stone. If he stuck, why, he got well. If he didn't stick, he died.
The worst mad dog I know today is the devil. That's right, and if you're bit by him, go to the Stone, the Rock, Christ Jesus; hold on to Calvary's Rock of Ages, cleft for me, let me hide myself in Thee. Hold on to it; no matter what the world says, what your church says, what the doctor says, hold on to the Rock of Ages. Stick there; hold to it and God will see that you get well. Don't you believe it? Amen. Yes, sir. Oh, my.
Then another thing, that manna taste like honey in the rock. Did you ever get it? Did you ever taste it? We got some spiritual manna today. Do you believe that? God was furnishing them with that manna as long as they were in the journey.
God... That was a type of the Holy Ghost. You believe that? They furnished the natural manna for the natural man. Now, the spiritual man receives the manna from heaven which is the Holy Ghost.

E-52 When the church was inaugurated on the day of Pentecost, very beautiful type of the first manna falling, they was all up there in the upper room in one accord; and suddenly there came from heaven a sound like a rushing mighty wind, filled all the house where they were setting. Cloven tongues appeared on them, was like fire.
They were all filled with the Holy Ghost and out into the street they went, screaming and shouting and going on. And all the--all the religious world standing out there said, "Well, these guys are drunk. They're full of new wine. Well, listen at them. I never heard such a noise in my life."
Let me tell you something, my dear Catholic friend, here this afternoon: The blessed virgin Mary was with them. That's right. And if God... Listen here, now you that think you're starchy; look. If God wouldn't have respect no more the mother of Jesus Christ, and she couldn't get into heaven until she went up there and received the baptism of the Holy Ghost and act like a drunk woman, how much more you got to have It before you get in there? That's right.

E-53 And she staggered like she was drunk (Hallelujah.), staggering like a drunk person. Oh, you ever hear a drunkard saying, "Oh, everything's just fine."
Now, "be not drunk upon strong drink, but be drunk on the Spirit." Hallelujah. That's what we need today is an old fashion drunken baptism of the Holy Ghost that burns out sin, double cure, an old-time backwoods, sky-blue, sin-killing religion. Hallelujah.
What the world needs today is an old fashion Saint Paul's revival and the Bible Holy Ghost back in the church. Amen. That's what's the matter with the church today, the reason so formal and indifferent. Yes, sir.
Now, when they all received this, they begin to wonder. Said, "Men and brethren, what can we do?" They were eating the manna (Oh, my.), having a good time, just a glorifying God.
And Peter said, "Repent ever one of you and be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of your sins, and you shall receive the gift of the Holy Ghost." What?

E-54 Now, Aaron as soon as the first manna fell, God told Aaron and Moses, "Go out there and pick up several omer's full of it and put it back in the holiest of holies, that when your children children, all that come into the priesthood, will get a taste of the original manna." Oh, what a privilege when a man become a priest...
Now, remember outside of the holiest of holies, that was the only one that kept. It wouldn't keep twenty-four hours. It got worms in it. That's what's the matter with the Pentecostal church today. Amen. What's the matter? The experience you had a year ago has got wiggletails in it today; get rid of the thing, let's have one now.
You know what them little termites or whatever it is wiggles around in them, broken cisterns, stagnated water... I know what I had yesterday. I know what I got today. Hallelujah. I'm looking for more of it. Lord, fill my soul every day. Yes, sir.

E-55 Then every priest that come in could have a bite of the original manna. And now, look. Peter said to repent and be baptized, and you would receive the gift of the Holy Ghost, for this manna, other words, is for your children and to your children's children, and to them that's far off even as many as the Lord our God shall call.
Now, today, now, the middle wall of partition is torn down and every man, every man, no matter who he is that wants to be borned again can come into the temple of God, get down to the altar, raise up his hands, and get a mouthful, not a something like it, but the original manna that fell on the day of Pentecost: the same works, the same manifestations, the same power, the same evidence. Everything that they got on Pentecost we can have today, not something like it, but the same thing. Amen. Hallelujah.
These fellows back yonder in this old omer, they didn't get something looked like it. They got the original. Hallelujah. I'm glad today that you can get the original baptism of the Holy Ghost: power, signs, same wonders, the same miracles, the same resurrected Lord Jesus. Whew. Brother.

E-56 Oh, "The promise is unto your children and your children's children, to them that's far off even as many as the Lord our God shall call."
He said, "It taste like honey in the rock," David did: honey in the rock.
You know the Israelites when they was in the journey, where they had a cleft in the rock, they went in the rock and found honey. Everything they had need of was right there in the rock. Everything you got need of today is right in the Rock, Christ Jesus. Is that right? Yes, sir.

E-57 Now, David being a shepherd, he used to... Shepherds used to carry a scrip bag on their side, and every time they'd get a sick sheep, they'd take some of this honey out of the scrip bag and rub it on a rock, on a limestone rock, and the sheep would go licking this honey, and he'd get that limestone out of the rock, and it would heal the sick sheep.
Now, brother, I got a whole scrip bag full of it. I'm going to put it on, not the Pentecostal church, not the Baptist church, but on Christ Jesus; and you sick sheep start licking. And I'm telling you; when you go to licking on the honey, you're going to lick off Divine healing as sure as I'm standing in this pulpit today. So just lick, lick, lick, lick until you're well. Amen.

E-58 Oh, what you need. Just pour the honey over Christ Jesus. How wonderful, how glorious, how powerful, how everything. You just start licking on It and see what happens. You'll find that cancer gone. You'll find those blinded eyes open; them crippled legs will walk; and that dumb tongue a speaking, that deaf ear hearing. Hallelujah. Amen.
Oh, how good. Notice, what we need today is that back in the church again. You believe that?
Not long ago my brother... Oh, it's been years ago. My brother and I one day, we got down. We was looking at an--an old terrapin. You know what they are, you people here born in--the turtle. They walk kind of funny, you know. And I seen one walking. I said, "Look at that funny thing."

E-59 And we got down to him, and--and you know what he done. Soon as we got to him he went, "Shoo," drawed up in his shell. Puts me in the mind of some church members. That's right. Get around close to them with the real Gospel, they draw up in their shell, you know, say, "I don't believe it that stuff. Days of miracles is past." Oh, my. Yes, sir.
I said, "Get out of there." He wouldn't do it. You can't scold them out of it. So I went down, and I said, "I'll make him get out." I got me a switch and I really poured it on him. Didn't do him a bit of good. He just stayed right in it. You can't beat them into it. That's right. Your programs, whatever it is, you'll never do it.

E-60 So I said, "I'll fix him." And I took him down to the creek and stuck him down in the water. I said, "I'll drown him or he will walk." I stuck him down, and just two or three bubbles come up. He just hunched right in his shell. You can baptize them face forward, backward three times, four times, upside-down, sprinkle them, whatever you want to. They're still a sinner. But, brother, I got me a piece of paper and kindle a little fire and set it on him. Boy, he really went then. That's right.
What we need today is a old-time pouring out of the baptism of the Holy Ghost and Fire. That'll move the church when nothing else will touch it. You believe it? Get some Fire in the church.
The trouble of it is we put it all in the furnace and took it off the altar. Amen. Yes, sir.

E-61 I could see John back there now when, or Zacharias. As soon as the baby was born, here come forth and he spoke and prophesied and said what would take place. We know what kind of a child must this be. All the regions was wondering what kind of a child this must be.
And Zacharias prophesied. So did his mother prophesy at his birth. About nine years old, he never went over to some cemetery, or seminary. You know, I always make a mistake there, because they're so much alike I can't hardly tell them apart. A cemetery and a seminary is both dead places. All right.

E-62 Brother, we don't need to know theology today. We want kneeology today is what we need to be born again. That's right. The simplicity of the Gospel...
Always felt so sorry for a incubator chicken. A little old incubator chicken is hatched out. He just chirp, chirp, chirp and ain't got no mammy to go to. Puts me in the mind of seminary preacher that knows no more about God than a Hottentot knows about Egyptian knight, no but learn theology and read a whole lot off a piece of paper. I'd rather have a man that didn't know his ABC's and could preach the Bible under the power of the Holy Ghost than all the theology you could poke down his throat in ten years. Hallelujah.
Whew. What am I feeling this way about? Look. Amen. Yes, sir. What we need today is what? Is a new cleaning up in the church. Don't you believe that?

E-63 It's just almost... When mating seasons come, the first thing you know birds go out and build their nests. They make a--a nest up in the tree. They take all their eggs and lay them, and the old mother bird sets over them, and she warms them, hatches them, goes away. But now, if that mother bird hasn't been in contact with the male bird... The germ of life comes from the male sex. We know that.
A hen can lay an egg, but if she hasn't been with the male bird, it'll never hatch. That's right. Germ comes from the male, and just like birds. You can take an old mother bird, if she hasn't been with the male bird and she can make a nest, lay a nice nest full of big, round eggs. And she can set there and hover them and warm them and get so poor she can't even fly off the nest, and them eggs will lay right in there and rot. That's right. They'll never hatch, because they're not fertile.

E-64 And that's what I think about the churches today, brethren, we've got a great, big bunch of deacons and so forth who don't know nothing about God till we got to pat them on the back. And because they're this and that, we put them in the church and heads and everything like that. We've got a nest full of rotten eggs.
What we need is somebody in contact with Jesus Christ. It's time to dump the nest out and get started again. That's right. Just turn your nest up-side-down and get somebody in there that's been in contact with the Maker, Jesus Christ, who believes that God lives. Hallelujah.
You're going to call me holy-roller anyhow, so you might as well get started right now. See? Yes, sir. What I mean today, that we need Life in the Church, Eternal Life.
Men and women if you get men and women borned again, why, you talk about a healing campaign in your church. They say, "Hum, don't believe in that old kind of stuff." Sure, he can't. He's an old rotten egg. Yes, sir.

E-65 First think you know these people set around there, and most of the members... I'm--I'm preaching... Listen, brother, I got to answer before God someday. That's right.
Not long ago, you holiness people, how you used to do your... take your women out here, how they would dress.
Here not long ago a fellow. I had a man driving a truck. He smoked cigarettes, and a man said to me, said, "Well, you can't have that around us holiness people."
I said, "The man's a good man. He don't claim to be a Christian, and I'm just letting him drive one of them trucks out there."
Said, "Well, brother, you can't do that." Said, "That man smokes cigarettes."
And the very same day in California, in my meeting, they brought a... He says, "I want you to meet our District Presbyter."
I said, "How do you do, sir. I'm glad to meet you, brother."
He said, "Here's my wife. I want you to meet..."

E-66 And brother... Now, women, don't let this hurt you. See? But she was painted like I don't know what, two big earrings hanging way down like, like the devil was using her neck for a saddle and them for stirrups and setting up there with her clothes on that looked like everything.
And I said, "Do you mean that's that preacher's wife?"
He said, "Yes."
And I said, "Is--is she a saint?"
Said, "Yes."
I said, "She looks like a hain't to me, instead of a saint," setting there like that.

E-67 It's a shame. You've let down the bars, brother and sister. That's exactly what you got. You got starch in the church. You ought to come back to the old fashion Gospel again that cleans men up. Amen.
Here's a little one for you. Let me tell you, sisters, and I've always had my opinion of women that... Today I see where that ninety-eight percent, medical claims, of cancer of the throat and lungs comes from cigarette smokers, and women smoke cigarettes. There's more men has lung cancer and throat cancer, but the women's begin to get it now, 'cause it takes about twenty years for it to develop.

E-68 They taken seven rats and put them in a cage in St. Louis, Missouri, give them seven cigarette smokes a day, and at the end of the year every--all seven of them had cancer. Why, it's a disgrace, and ninety percent of the church members today smoke cigarettes. That's right. It's a disgrace. Yes, sir.
And if the women, if you only realized how many hundreds of billions of dollars each year that women spend in America for manicure, every what you put on your lap--lips. I don't know what the stuff is. Anyhow, how many millions of dollars that these people make of that stuff they put on their face and makeup like that...
And when poor little kids over yonder and missionaries setting here dormant because they can't go. They ain't money enough to go on. God will make you answer for it at the day of judgment. That's right. It's the truth.

E-69 Yeah, Christians, calling yourself Christians, coming around all fixed up and made up. There was only one woman in the Bible that ever painted her face and that was Jezebel. You know what God did to her? He fed her to the dogs. That's right.
And when you see a woman acting like that and call herself a Christian, say, "How do you do, Miss dog meat?" That's what she is: dog meat. God gave her to the dogs. Yes, sir.
Oh, what we need today is a good old fashion Holy Ghost stirring among the people to get men and women back to the living God again. What's the matter? The world's dead. There we go.
I can see when this man John was born, when he come out of the wilderness of Judaea, he didn't have a tuxedo on, his collar turned around in the back, eating fried chicken and ice cream three times a day, but he'd had locusts and wild honey; and he had a big old piece of sheepskin draped around him, with a camel skin belt lapped on him.

E-70 Oh, what a preacher, hair all bulged out around his face like that, but brother, he didn't know any theology and he didn't know any of these seminary experience. He stayed in the wilderness under the power of God until God sent him out. Hallelujah.
God give us some more men that's God-sent men. When he walked out of there, brother, he wasn't so eloquent to look at. His speech wasn't so eloquent, rather, but I'll tell you what he did. He preached the sermons that stirred all the regions around Judaea and Jerusalem. Everything come out to hear him. Why? He preached Christ (Hallelujah.), not theology, but Christ.
What's the matter with the world today; we've substituted our creeds todays to take the place of the Holy Ghost. Creeds will never shove the Church on. And the Holy Ghost leads the Church. Amen.
Brother, that's the old fashion sassafras Gospel, but it saved me, and it'll do the same thing for you. It's truth. It's hard. I know it's hard, but brother, sometimes you have to get broke up before you can get made up again. It's the truth.

E-71 I can see John standing out there preaching, but he stirred all the regions around about Jordan. Here come down Jesus: was baptized of him. When He went straightway out of the water and the heavens opened, said, "This is My beloved Son in Whom I am pleased to dwell in."
Jesus went forth... Now, it comes to our text, our place quickly. Listen close. Then His ministry started. He went over to live with Martha and Mary and them at Bethany. Now, He was called away.

E-72 When Jesus went away from that home, sickness and sorrow come in, and when Jesus goes away from your home, sickness and sorrow will come in. Yes, sir. Watch. If you turn Jesus down at your home, quit having family prayer, quit having Bible readings, and so forth in your home, look for trouble to come in. That's right. It's on its road right then.
Jesus went away, not this case; He wasn't driven away. Their immorals wasn't driving Him away, but He went away because the Father had showed Him a vision. He went away.
They sent for Him to come pray when Lazarus got sick. He went on. Oh, my. What would that happened today if your pastor'd do that?

E-73 Well, He went away. First thing, they sent again: Lazarus at the point of death. He just ignored them, went on. If that would've happened to your pastor, why, you'd say, "That hypocrite. I'll go over to the Assemblies of God. I won't fool with him." The Assemblies of God did you that way, "I'll take down to the--to the Methodists, or the Baptists."
That's what it is: You pack your paper from one church to another one, and one church to another one, till you've wore the thing out and it's turned yellow. Get your name written on the Lamb's Book of Life and stay put. Amen.

E-74 Nothing to your church letters anyhow. Don't do you one bit of good. God wouldn't never recognize one at all. Only those who's got their name written on His Book up there by the Blood of His own Son is the only one God will recognize.
And here they'd went. Now, remember, and Lazarus died, the darkest hour that home ever seen. Now, they'd left their church, put out of the synagogue to follow Jesus. He had disappointed them.
Now, doesn't life get that way sometime? Look like everything in the world happened. But remember the Bible said, "All things work together for good to them love God." It's got to be for the good.
Then first thing you know after all this happened, then Jesus... He heard... He said, "Lazarus is dead. Lazarus sleepeth," He said first.
The disciples said, "Oh, well, if he sleepeth, he doeth well."

E-75 He said, He told them in their own words. You see? "Lazarus is dead and for your sake I am glad I wasn't there, but I go wake him." Here He goes down. I see the Father had already showed Him what to do. That's the reason He stayed those three days. That's the reason that when this time was up, what was going to happen.
Here He goes in. Now, look. It seems like that Martha and Mary had a right to upbraid Him, and we'd say now here, "scold Him." "Why didn't You come?" But Martha, as she'd been dilatory in many things, but when she heard that Jesus was coming, she went to meet Him.
I can hear the old Pharisees standing on the corner there, going, "Ha. Ha. Now, where'd that holy-roller go, that Divine healer? There's His buddy laying sick. He's dead now. Why didn't He come? Uh-huh, I told you it was all mental telepathy anyhow, told you there is nothing to it."
There they are standing on the corner. Here comes little Martha. Say, "There--there--there's one of them now. We stuck her out of the synagogue. You think you're coming back."

E-76 "Go on with your old synagogue." She was making her way to meet Jesus. She had something to see to Him. I believe Martha had read that story in the Bible, that where that Shunammite woman come in distress and she had to go get her--the prophet. And the Shunammite woman believed for that dead baby, that God was in His prophet. She said, "If God is in His prophet, then surely God is in His Son." That's right.
So she said, "Now, the Shunammite women said, 'All is well. Just let me get to the prophet, and she'll understand.'" I like that about that Shunammite woman. She said--she said, "Go forward and don't you even check your going unless I bid you."
I like that. "Go forward." Yes, sir. And when she got to the prophet, the prophet said, "Here comes that Shunammite," and said, "she's grieved; but God's kept it from me." He said, "Is all well with thee? All well with thy husband? Is all well with thy child?" Oh, I love this.

E-77 She said, "All is well." Amen. Oh, I feel good. Run through a troop, leap over a wall. Look. Said, "All is well." Why? Her baby laying there a corpse, her husband screaming, and frantically walking up and down in front of the house, the neighbors all... "All is well." Amen. I like that. What had it?
She had come to the--the God's representative, that prophet, Elijah. She come up to him. She said, "All is well."
"All's well with you?"
"Yes."
"All well with your husband?"
"Yes."
"All well with the baby?"
"All is well." Then she run up and fell down at his feet begin to reveal what...
He said, "Now, I don't know what to do." Told Elijah, take the, or Gehazi take his staff and go on, but Elijah went over there and woke the baby up and give it back.

E-78 Now, Martha had probably read that story. So all was well as long as this woman could get to God's representative of the earth. Now, she thought, "If the Shunammite woman could do that with a prophet, how much would she have if she come to the Son of God?"
Now, watch when she come. Now, instead of scolding Him, saying, "Why didn't You come? We're going to leave Your church." No. No. She run right up to Him where she's at--she--where He was at and He--she fell down at His feet. And she said, "Lord." That's what He was. She give Him His right title what He was. She said, "Lord, if Thou would've been here, my brother would not've died." What a compliment. "Lord. If Thou would've been here, my brother would not have died." Now, watch. "But even now, Lord." He had been dead four days. "But even now, Lord, whatever You ask God, God will give it to You." I like that, don't you? He's dead four days, "But even now, Lord, whatever You ask God."

E-79 You've been paralyzed like that a long time son, "but even now, Lord." Many of you setting out here with a cancer, with heart trouble, "But even now, Lord." The doctor said, "You can't get well."
"But even now, Lord, whatever You ask God."
He's setting on the right hand of the Father (You believe that?) to make intercession. "Even now, Lord, whatever you ask, God, I'll do it." Whatever you ask God, God will do even now.
You say, "Brother Branham, I've tried to get in the prayer line. I've tried to get prayer cards. I've tried to be prayed for. I've been lame. I couldn't walk for so long." But even now, Lord, Whatever you ask God, God will give it to you. Amen. Hallelujah.

E-80 "Even now, Lord." The little lady setting there in a wheelchair, been paralyzed like that for years, "but even now, Lord, whatever you ask God, God will give it to You." And He's setting at the right hand of the Father making intercessions for you. "Whatever you ask God, God will give it thee." Oh, I love that.
Now, watch. The old prophetic wheels are moving together now. What? There's the woman in distress. Her brother's dead. She's coming to the only resource that can give him life. Now, she's meeting the conditions. She said, "Lord (That's what He is.), I know that whatever You ask God, God will give it to You." I tell you: Something's beginning to come together now. Something's going to happen.
He said, "Thy brother shall rise again."
She said, "Yes, Lord, I know he will raise." The Jews believed in the general resurrection. Said, "I know, Lord, he will raise in the last days at the general resurrection. He was a good boy, and I know he will raise in the last days at the resurrection."

E-81 Watch Him. The Bible said, "There's no beauty we should desire Him." Little old skinny Guy, Jesus was. He wasn't a great, big priestly looking fellow, but He's a little skinny Fellow, and He straightened His little frame up. He said, "I am the Resurrection and Life." Hallelujah. "He that believeth in Me though he were dead, yet shall he live. Believeth thou this?"
Watch. Everything's moving up just right. Right. She said, "Yea, Lord, I believe what You said You was. I believe that You're the Son of God that was to come into the world."

E-82 Something's got to happen. Something's got to happen. There she was recognizing, recognizing His Deity, recognizing His authority, recognizing what relationship He was to Almighty God, recognizing His power before God. She said, "Whatever You ask God, God will give it to You, and I believe You're just exactly what You said You was."
Oh, my. Something's got to happen now. The strings are coming together, winding around. He said, "Where you buried him?"
She said, "Come, see." And away they went.

E-83 Here not long ago... I ain't saying nothing about your religion, Christian Science. But a Christian Science woman said to me, she said, "Reverend Branham, you put too much emphasis on the Deity of Jesus Christ."
I said, "How do you..."
Said, "You've read too much about Him." Said, "You... You're god; you're god; everybody's a god in theirself."
I said, "Oh, no. No, no." I said, "He was..."
She said, "He was no more than a man."
I said, "He was God."

E-84 She said, "Why, He couldn't have been." Said, "If I'll prove to you by the Scripture that He wasn't no more than a mere man, will you accept it?"
I said, "Yes, ma'am, if the Scripture said He was mere man, I'll believe what the Scripture said, but first I want to know where you're going."
She said, "Well, now I'll prove it to you." She used this same Scripture. She said, "When Jesus was going down to the grave of Lazarus, the Bible said He wept." Said, "That showed that He was mortal that He wept like a man."

E-85 I said, "That's true, lady. He was a Man when He was weeping. When He went to the grave He sorrowed with the rest of them that was sorrowful. He joyed with the rest of them when they was joyful," but I said, "He was more than a man." I said, "When He went to the grave of Lazarus, He was weeping like a man, but when He stood there and pulled His little self together and said, 'Lazarus, come forth.' And a man that'd been dead for four days, his soul four day's journey somewhere, corruption knew its Master. His soul that'd been gone four days... I don't know where; neither do you, so we wouldn't argue about that, but that soul returned back to the body and a man been dead for four days stood on his feet and lived again. Brother, that was more than a man then speaking. That was God speaking in His Man." Do you believe that? Yes, sir.

E-86 He was a man when He come down off the mountain that night so hungry. He's trying to find something to eat, looking all around the tree, trying to find something to eat. He was a man when He was hungered. That's right, but when He took five biscuits, and two little fishes, and broke them, and fed five thousand, that was more than a man. That was God speaking out of that Man. He was a God Man. That's right.
He was a man when He was laying on--back of that little boat that night. It flopped around on the ocean, them waves, like a bottle stopper, and ten thousand devils of the sea swore they would drown Him that night. The storms come down as gale. The boat was filling up. The sails was gone. The disciples' heart was failing them.

E-87 He was a man when all that wreckage and things wouldn't wake Him up. He was a man laying there that had been praying for the sick all day. Virtue had gone out of Him and He was weary and resting. He was a man when He was asleep, but when He put His foot on the brail of that boat and said, "Peace be still." That was more than a man when the seas and the waves obeyed. That was God speaking out of His Son. God was in His Son reconciling the world to Himself.
Believeth thou this? He was a Man when He screamed for mercy yonder at Calvary, hanging between the heavens and the earth bleeding out His Blood, the Blood of Jehovah Himself dropping down upon the sinful world, bathing it with His Blood.

E-88 When He screamed, "My, God, My, God, why has Thou forsaken Me?" That was a man when He died, but on Easter morning, when the tombs broke and the seals of death and chords was unloosed, and He rose from the dead triumph, He proved He was God. Hallelujah.
Living, He loved me; dying, He saved me;
Buried, He carried my sins far away;
Rising, He justified freely forever:
Someday He's is coming, oh, glorious day.

E-89 Believeth thou this? I believe that same Jesus is here today. Do you believe this? I believe that same Jesus is risen among us tonight, or today, showing signs and wonders of His resurrection. Believeth thou this? I believe It is the same One the woman touched the hem of His garment. Believeth thou this?
I believe He's the One that raised Lazarus from the dead. Believeth thou this? I believe He's the One took the Hebrew children out of the fiery furnace. Believeth thou this?
I believe He's here right now. Believeth thou this? I believe that's what we feel in our soul right now. Believeth thou this? I believe that's what the audience is anointed with now. Believeth thou this?

E-90 I believe He's here to heal ever sick person right now. Believeth thou this? I believe He's here to fill everybody with the Holy Ghost right now. Believe thou this? Hallelujah. I believe He's going to do it right now. Believeth thou this?
I believe the cripples will walk, the blind will see, the deaf will hear. Believeth thou this?
Let's stand to our feet and give Him praise. I believe God will do it. Believeth thou this? Let's raise our voices to God. Hallelujah.

E-91 Father, we believe that You're the Son of God. We believe that You're here with us today. We believe that Your power is everlasting. We believe that You cannot fail. We believe that You've poured out Your Spirit from on high. We believe that Pentecost is here.
We believe the power of God is here. We believe that signs and wonders are here. We believe the Holy Ghost is here. We believe all these things, Lord. Now, send the Holy Ghost again like a rushing mighty wind. Fill the room, Lord, where they're setting.
May the power of God sweep through this building and pour out again, Lord, as I saw You're signs and wonders, and signs of the believers of this day; and give peace, joy, satisfaction, heal the sick, raise the dead, cleanse the lepers. God, grant it in the Name of Jesus Christ we pray.
Let's give God praise. Hallelujah. Hallelujah. Hallelujah. Praise be to the living God. Hallelujah. Hallelujah.
I believe every person here can get the Holy Ghost. How many wants It? Raise your hands. How many wants the Holy Ghost. Just keep waving and look up. Look up, keep waving. Lord, I believe. Lord, I believe. Saviour, raise my faith in Thee...?... Lord, I believe. All my doubts are buried in the fountain. Hallelujah. Praise be to God.

E-92 What a wonderful time. How many of you sinners wants to come up here and say, "I want to be saved right now, Brother Branham. I want to accept Jesus Christ as my Saviour." Raise up your hand. Raise up your hand, all sinners, raise up your hands, everywhere. That's right.
Would you come here? If God will hear my prayers to open the ears of the deaf, make the blind to see, won't He hear me for your salvation? Come up here. Every sinner's invited right now while we sing,
Pass Me Not, O Gentle Saviour,
Hear my humble cry;
While on other Thou art calling,
Do not pass me by.
Listen, friends, what if Paul Rader could look down in here, your pastor, this afternoon? This is the same kind of services Paul Rader had. What if old Billy Sunday, setting yonder in the eternal realms of glory, setting down by God at the evergreen trees yonder, that preached over this same pulpit here come in here this afternoon he would holler, "Hit the sawdust trail." That's right.

E-93 Oh, men and women. How many here without Jesus Christ wants the baptism of the Holy Ghost. Raise your hands. Will you come forward now while we sing? "Pass Me Not, O Gentle Saviour." All right. [Congregation sings: "Pass Me not."--Ed.]
... (Will you come out...?...)
Oh, hear my humble cry;
While on others Thou art calling,
Oh, do not pass me by.
Come on now, let's come on...?... here near the altar. [Congregation continues to sing--Ed.]
Saviour...
Hear my humble cry;
While on others Thou art calling,
Do not pass me by.
Saviour, Saviour,
Hear my humble cry;
While on others Thou art calling,
Do not pass me by.
Saviour, Saviour,
Hear my humble cry;
While on others Thou art calling,
Do not pass me by.

E-94 Listen, friends. This may be--be the last day this side of eternity that you'll ever have an opportunity to come to God. Won't you come now? Won't you come now and receive Jesus Christ into your heart and the baptism of the Holy Spirit?
If you're without the Holy Ghost today, this might be the very time where God will repeat Pentecost again. In another few minutes from now, this building may be illuminated with the power of the God, people going out of here with the baptism of the Holy Spirit.

E-95 Look. Here stands a couple hundred people, I guess, standing around the altar. Won't you come, take your place now while we sing once more, will you? Come. You're invited. God's waiting for you to come now. All right. Turn right around and shake hands with somebody and say, "Are you a Christian?" All right.
Pass me not, O gentle Saviour,
Hear my humble cry;
While on others Thou are calling,
O do not pass me by.
Saviour, Saviour,
O hear my humble cry;
While on other Thou are calling,
Do not pass me by.

E-96 Won't you listen to the Spirit of God now? You're setting in these meetings, watching the supernatural rise. You're seeing things taking place, signs that you'd never seen, that hasn't been repeated since the Bible days when Jesus was here.
What's happening? Judgment is going to strike this world pretty soon. If you're outside the Kingdom of God, don't be caught like that. Come right now.
God bless you, young man. Just give your heart to Christ recently. I see a Light still hanging above you. God bless you. You'll get the Holy Ghost now. Stand right there and believe it with all your heart. The Holy Spirit was speaking to you just a few minutes ago when I first made the altar call. You know you should've come. That's right, and I was waiting to see you come.

E-97 I know there's others in here ought to be standing around this group right now. Won't you come once more while we sing, "Oh, Why Not Tonight?" You know it, my brother? All right. "O Why Not Tonight?" Will you come right now? Will thou be saved? "O Why not tonight?" old fashioned Wesleyan altar call. All right, if you will, brethren.
O why not tonight?
O why not tonight?
Will thou be saved?
And why not tonight?
Tomorrow the sun may never rise
To bless thy long deluded sight;
This is the time, O then be wise,
Be saved O tonight.
O why not tonight?
O...

E-98 Won't you come now? Move out of the aisles--aisles right where you are. If you'll move right now and come up here, God will save you right now. Will you come?
... saved?
And why not tonight?
Let's bow our heads a minute. Lord Jesus, You know the heart of every man in here. You know the heart of every woman, boy, or girl, or child. This may be the last altar call that'll ever be made before Jesus comes. Maybe there's men and women in here that won't be here one week from today. They may not be here one more day.

E-99 God, I pray that You'll speak to their hearts right now, knowing that the Gospel of Jesus Christ has saving grace in it for every whosoever will let him come. To die without Christ is to go to a devil's hell and a ceaseless punishing Eternity, but to accept Jesus Christ and to be borned again of His Spirit is Life Eternal to everyone who will believe it.
Won't you grant it today, Lord? Speak to Your people again I pray in Jesus' Name.
Now, while you have your heads bowed, is there someone back out there in the audience, saying, "Brother Branham, I haven't got conviction enough to stand up there with those people to accept Christ, but will you remember me in prayer?" Will you raise up your hand and say, "It's me, Brother Branham." I don't know your hearts. God does.
Well, God bless you, lady, I see your hand. God bless you. I see your hand. Someone else over in here raise up your hand and say, "I haven't conviction to come, but I wish you would pray for me, Brother Branham." God bless you, sir. I trust now the altar's empty or ready now to receive you. Jesus Christ is standing with outstretched arms.

E-100 Every man and woman here who has a need of God can receive it right now. Do you believe that? How many believes with all your heart now? With... Now, you sinners and people seeking the Holy Ghost, here's what the Holy Ghost is friends, you that's seeking It. You don't have to seek and beg and tarry. It's right with you now. See?
You say, "Well, we need a tarrying meeting." "Tarry" means "wait," not pray. While Peter spake these words, the Holy Ghost... They had to wait till the end of the forty days or fifty days for Pentecost. There's no more waiting after that. Right now you can receive It. No more tarrying, just now, just have a willing heart. Reach right up to God.
The other day when that archbishop standing here... Fought my... He said... Four months ago he criticized me and made fun of me and everything else; and he come into the room, he said, "I want to receive the Holy Spirit." Just laid hands on him and the Holy Ghost come on him. See?

E-101 Dr. Lee, one of the great fundamentals of the south, come up there to...?... and called me a witch, and the other day set in my house with tears running down his cheeks had received the Holy Ghost and couldn't hardly talk in English. That's right. He said, "Brother Branham, I am your brother now." Oh, what a difference.
What he done for Dr. Lee, Dr. Reedhead, the bishop and all those others, He's right here ready to do for the least and most... The...?... and person, the drunkard that'll come off the street and repent of his sins, God will give you this blessed Holy Ghost.
Last night when I was riding through the bowery or skid row down here, see that picture of life, the other side, them poor drunks laying piled on the street, and Brother Boze and I going down through there, to see it was a pitiful looking sight. That would be you if it wasn't for the grace of God. That--that would be me if it wasn't the grace of God.

E-102 Oh, mothers, boys, and fine men it once was, laying there on that place now, my heart just bled. I couldn't sleep hardly last night for hours after I got home, of a thinking of it. "What can I do, Lord?"
And God has give you the privilege to stand here sane and in your right mind today looking straight yonder at Calvary. Well, God will bless you and give you the baptism of the Holy Ghost right now. Do you believe it?
Now, I want you to do something. If you'll do this, if you'll forget who's standing next to you, if you'll forget who's in the room, forget even where you're at, just say, "Lord Jesus, I'm coming to You. You promised me the Holy Ghost, and by Your help I'll never leave this altar until You give me the baptism of the Holy Ghost."

E-103 If you'll be that determined with God and that sincere, you'll go out of here with the baptism of the Holy Ghost, sealed into the Kingdom of God. How long? Until the end of your destination here on earth. Ephesians 4:30 says, "Grieve not the Holy Spirit of God, whereby you're sealed until the day of your redemption."
Then you're secured off yonder in Christ when you've been--received the baptism of the Holy Ghost. Do you want It? How many in the building wants It right now, the baptism of the Holy Ghost? All right. Is God a liar? God forbid that God would ever tell anything that was wrong.
Now, God has promised, that whosoever will, let him come and drink from the fountains of the water of Life. Is that right? I tell you what I want you to do. You stand around the altar, lay yours hands over on one another here, each one of you, and out yonder somewhere, I want you out there that wants the Holy Ghost lay your hands on one another.

E-104 And I want you to repeat this in your heart. "God, I'm not going to leave here till You give me the Holy Ghost right now," and God will grant it to you. You believe it? Now, let's raise up our hands. Let's raise up our heads, and thank God, and give Him praise for the baptism of the Holy Ghost.
Lord Jesus, send down the Holy Ghost just now. Fill ever heart here, Lord. May the Holy Ghost power go to falling upon these people. May signs and wonders follow, Lord. May this be the greatest day of the revival. May the Holy Ghost fall, and may sick people be healed. May deaf hear, blind see, and may the Spirit of God fill every heart of the believer in here. Grant it, Lord.
Now, we've asked. You said when the people prayed with one accord, the building was shook where they were assembled together. Send an old fashion shaking to ever soul, Lord, that these people may receive the baptism of the Holy Ghost.

E-105 Keep praising. Just keep giving Him praise. Forget about where you're standing. Raise up your hands. Give Him praise...?... I ask...?... praise. Raise up your hands. Just keep praising Him. Don't look at--don't look up here. Look up yonder to heaven. Give Him praise. Say, "Thank You, Lord. Thank You, Lord Jesus. I praise You, Lord. Thank You, Lord."
Just give Him praise, and God will fill you with the Holy Ghost right now. Amen. Amen. God bless you, sonny boy. Amen. Keep praising. Keep praising. Look up to Him, say, "Thank You, Lord Jesus." That's right. That's it, mother. There's one woman received the Holy Ghost standing right here now, another one. Come on now. That's right. Keep praising God. Hallelujah. All out through the audience, give Him praise. Praise Him and give Him glory. Hallelujah. Glory to God. Glory to God. Amen. Hallelujah.
[Brother Branham steps from the microphone--Ed.]...?... Praise Him. Praise Him. Praise Him. Praise, give Him praise...?... Hallelujah. Hallelujah. Clap your hands. Give Him praise. Say, "Thank You, Lord. Thank You, Lord. Thank You, Lord. Thank You, Lord. Thank the Lord."

Up