Jésus-Christ, Le Vivant

Date: 53-0906E | La durée est de: 1 heure et 6 minutes | La traduction: Shp
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1          Tout est possible
            Seigneur, je crois.

            Si nous pouvons incliner la tête juste un moment. Et pendant que nous allons prier, frère Boze venait de m’apporter un message ici au dos d’une lettre, disant qu’une mère se trouve ici ce soir, avec un bébé qui souffre d’une maladie cardiaque si grave qu’il peut mourir ce soir. Il se trouve dans la salle. Offrons à Dieu une prière, lui demandant de bénir cet enfant afin qu’il puisse vivre.

2          Notre Père céleste, ce soir nous nous approchons de Toi, aussi humblement que nous pouvons le faire, afin de T’offrir des actions de grâces et des louanges pour la mort de Jésus-Christ au Calvaire, Lui qui a acquis notre salut et notre guérison.

            Ô Dieu, nous implorons Ta miséricorde en faveur de ce bébé. La mère a montré de la révérence en l’amenant à l’église. Tes serviteurs, les médecins, ne peuvent rien faire pour ce bébé; mais, Seigneur, Toi, Tu peux faire quelque chose pour lui. Ô Toi, la Source de toute miséricorde pour nous, nous Te prions, Père, d’étendre Tes grandes bénédictions divines jusqu’à cet enfant, qu’il vive et que cette maladie du coeur le quitte.

3          Nous disons, en tant que des serviteurs de Dieu, nous disons: «Maudite soit cette maladie du coeur qui est sur l’enfant, et qu’il puisse vivre; que la maman le ramène à la maison maintenant; qu’il puisse avoir un bon repos cette nuit, et que demain il soit bien portant en route, Seigneur. Puisse son état de santé s’améliorer continuellement jusqu’à ce qu’il sera complètement guéri. Nous Te rendrons grâces et Te glorifierons pour cela, Père.»

            Maintenant, pour tous les autres, les cas spéciaux et ceux qui sont partout ailleurs, ceux qui ont appelé, qui ont envoyé des télégrammes, et qui veulent apporter leurs bien-aimés de partout, ô Dieu, sois miséricordieux envers eux. Aide-nous ce soir alors que nous nous tenons ici, comme Tes serviteurs pour servir Ton peuple. Nous Te remercions pour tout ce que Tu as fait, et Te prions de nous bénir pendant le service de ce soir, car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

4          Que la grande paix de Dieu ainsi que Sa miséricorde soient avec chacun de vous. A présent, je voudrais lire ce passage des Saintes Ecritures, le verset 27 du chapitre 16 de Jean. Je sais que frère Baxter est... généralement, il a toujours un service... un sermon dynamique pour vous. Et maintenant, pour ma part, j’aime lire un petit passage des Ecritures, parce que si ce que je dis faillit, Ceci ne faillira pas. Ceci ne change jamais. Je suis donc sûr que ça servira à un bien. N’est-ce pas vrai, Frère Osborn? C’est vrai. Très bien.

            Car le Père lui-même vous aime, parce que vous m’avez aimé, et que vous avez cru que je suis sorti de Dieu.

            Je suis sorti du Père, et je suis venu dans le monde; maintenant je quitte le monde, et je vais au Père.

            Ses disciples lui dirent: Voici, maintenant tu parles ouvertement, et tu n’emploies aucune parabole.

            Maintenant nous savons que tu sais toutes choses, et que tu n’as pas besoin que personne t’interroge; c’est pourquoi nous croyons que tu es sorti de Dieu. Jésus leur répondit: Vous croyez maintenant.

            Que Dieu ajoute Ses bénédictions à Sa Parole.

5          Quand Il parlait en paraboles, les gens ne pouvaient pas Le comprendre; mais lorsqu’ils se sont rendu compte que Dieu Lui montrait des choses, ils ont alors cru Son témoignage, à savoir qu’Il était sorti de Dieu.

            Et maintenant, je vais donner ce soir un témoignage de ce même Homme: Il a été crucifié, et Il a dû mourir pour ôter le péché du monde. Mais le troisième jour, Il est ressuscité et Il est monté auprès du Père, et Il est retourné sous la forme du Saint-Esprit, vivant parmi nous, en nous, accomplissant ce soir les mêmes oeuvres qu’Il avait accomplies autrefois.

6          Pouvons-nous dire comme Ses disciples: «A cause de ceci, nous croyons maintenant.» Que Dieu accorde qu’il en soit ainsi ce soir, que par le témoignage de Dieu, le témoignage de la résurrection de cet Homme, qui connaissait les pensées des gens, qui savait ce qui arriverait, et qui n’agissait que selon la conduite de Dieu... toutefois, tout ce que Dieu Lui disait était parfaitement la Vérité. N’est-ce pas merveilleux?

            Eh bien, vous savez, mes amis, ce–c’est assez pour qu’un coeur se mette à bondir et à brûler, n’est-ce pas? Vous voyez? Ce Jésus-Christ-là, et tous ceux qui jamais ont réalisé quelque chose dans ce monde, c’étaient des hommes et des femmes qui ont cru en Jésus-Christ. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... corps...

            Eh bien, le Seigneur est bon et bienveillant. Il est plein de compassion, de miséricorde envers nous tous.

7          Maintenant, le frère Ryan, là, qui voulait que je dise quelque chose concernant les Indiens... Je pense que ça fait environ six, sept ans lorsque j’en étais au début de mes campagnes. Je me trouvais à Phoenix, en Arizona, et c’était la première fois qu’une personne, en dehors des hommes de couleur ou, était entrée dans la–la ligne, en dehors des hommes de couleur et des Blancs, et donc ces gens qui passaient, c’étaient des Indiens; ils étaient tout habillés en tenue traditionnelle.

            Lorsque l’un d’eux est passé, le Saint-Esprit a dit: «Elle est alcoolique.» Vous voyez? Et elle a été délivrée. La personne suivante est passée; et j’ai dit: «Seigneur, si Tu me révèles ce que sont ces Indiens, je Te promets que j’irai à la réserve.»

8          La suivante qui est passée, une femme, je lui ai dit qu’elle souffrait de la tuberculose; et on la–on la transportait. Elle s’est juste relevée et s’en est allée, en marchant. Ainsi donc, la personne suivante est passée. J’oublie de quelle maladie cette femme souffrait, mais elle a été guérie.

            Il se trouvait que le missionnaire était assis là. Ainsi, quand j’étais en Californie, eh bien, les gens–ce missionnaire s’est approché de moi et m’a dit: «Vous rappelez-vous ce que vous avez promis à Dieu à Phoenix? N’est-ce pas que vous avez promis que vous retourneriez chez les Indiens Apaches?»

            Il ne nous restait donc qu’une soirée à passer chez les Indiens Apaches. Nous nous sommes assemblés tôt dans l’après-midi, parce que la réunion devait se tenir en plein air. Ils avaient une petite église là à San Carlos, dans les confins des collines désertiques de l’Arizona.

9          Eh bien, je me disais que nous aurions peut-être, peut-être vingt à trente Indiens qui se présenteraient là, mais, oh! la la! des milliers s’étaient rassemblés là, et c’était le spectacle le plus dramatique, de voir ces gens qui étaient assis partout là-bas, le vieux père, la vieille mère, et tous les petits Indiens assis sur des couvertures. Juste qu’à perte de vue dans le désert comme cela, ils étaient assis là, des haut-parleurs avaient été installés.

            Parmi eux tous, il n’y avait qu’une seule personne qui pouvait interpréter, et dans le dialecte indien, s’il y a quelqu’un qui connaît ce dialecte, leur grammaire... Ils n’ont pas de phrases ni rien. Ils commencent à parler tout bas et se mettent à crier à plein gosier, et puis–et puis leur intonation baisse subitement, vous savez. Alors vraiment ils... il n’y a pas de ponctuation du tout.

10        Ainsi, cette interprète faisait donc l’interprétation, et j’ai essayé de parler aux Indiens. Maintenant, comme un... Eh bien, ce n’est pas un étranger. C’est un véritable citoyen américain de naissance; le seul Américain que nous avons, c’est l’Indien. Dieu lui a donné ce pays. Et nous, nous le lui avons arraché.

            En tant que des citoyens américains, s’il y a jamais eu quelque chose qui, à mon avis, ait constitué une tache sur notre drapeau, s’il devrait y avoir une tache dessus, c’est la manière dont nous traitons ces Indiens là-bas. Alors que nous amassons des milliers et des dizaines de milliers, et des milliards de dollars pour les envoyer outre-mer, là au Japon et ailleurs, eux ils nous renvoient cela par des bombardements, pendant que nos Indiens meurent de faim là-bas chaque année.

11        Après tout, ceci c’est leur pays, le pays que Dieu leur a donné, et j’ai dit: «J’ai certainement pitié de vous, et je sympathise avec vous, mais ai-je dit, je ne constitue qu’une seule voix en Amérique. Nous sommes un ensemble constitué de toutes les voix possibles.» J’ai dit: «Mais étant donné que le pays vous a fait subir un dur traitement, toutefois, ai-je dit, je connais une Personne qui ne vous en fera pas subir un pareil. C’est Jésus-Christ.» J’ai dit: «Il vous donnera ce que–ce que vous méritez réellement. Christ sera bienveillant envers vous.»

            Eh bien, un Indien est un homme bien singulier. Il ne–il ne se laisse pas attirer par n’importe quoi. Je me souviens qu’une fois Billy était en train de distribuer des cartes de prière à Phoenix, alors que nous tenions une grande série de réunions sous une tente; il ne nous restait que quelque jours, et j’ai dit: «Billy, ne remets pas ces cartes de prière aux gens qui souffrent de maux des dents et des maladies semblables. Donne-les à ceux qui sont mourants.»

12        Il y avait alors un Indien âgé qui était assis là. Lorsqu’il a vu Billy venir, il l’a regardé, s’est levé et s’est avancé vers lui; et mon fils a vraiment un sens d’humour, vous savez, il a donc dit... Il a tapoté Billy dans le dos, et Billy lui a dit–lui a dit: «Qu’y a-t-il, chef?»

            Il a dit: «Moi malade.»

            «Bien, a-t-il dit, chef, mon papa m’a dit de n’en remettre qu’aux gens qui sont sérieusement malades. Etes-vous sérieusement malade?»

            Il a dit: «Moi malade.» C’est tout ce qu’il savait [dire]. Alors Billy a continué. Chef s’est rassis et l’a encore regardé; il observait ces cartes de prière dont la pile ne cessait de diminuer. Il s’est donc avancé et l’a tapoté dans le dos encore une fois et a dit...

            Mon fils lui a demandé: «Que voulez-vous, Chef?»

            Il a dit: «Moi malade.»

13        Il a dit: «Je sais, mais a-t-il dit, qu’est-ce–qu’est-ce que vous avez, Chef? Etes-vous sérieusement malade? Avez-vous le cancer ou une maladie qui vous...»

            Il a dit: «Moi malade.» C’est tout ce qu’il pouvait obtenir de lui. Les cartes ont donc continué à diminuer un peu plus, et il ne lui en restait que quelques-unes. Chef l’a saisi, l’a fait tourner et lui a dit: «Moi malade.»

            Et Billy a dit: «Dites donc, prenez cette carte de prière et écrivez dessus: ‘Moi malade.’ Et amenez ça là-bas et remettez-la à l’huissier.»

            «Moi malade.» Mais ça, c’est–ça, c’est l’Indien, vous savez. Ce–c’est un type très singulier, et ce soir-là, lorsque j’ai fini de prêcher, j’ai dit: «Maintenant, voudriez-vous bien former...» Nous étions sur les marches d’une petite église qu’ils ont là-bas. Et je ne sais pas de quelle dénomination il s’agissait, mais c’était une toute petite église là-bas. Et la femme missionnaire se tenait là. Elle ne parlait pas leur langue; il y avait une femme interprète.

14        Alors, j’ai remarqué que tous, ils... de petits feux ont commencé à s’allumer là dans le désert. Et j’ai dit: «Maintenant, tous ceux qui croient et veulent qu’on prie pour eux, alignez-vous par ici à ma droite, tous ceux qui veulent qu’on prie pour eux.» Ils avaient assez d’espace, ils avaient tout le désert pour qu’on les y aligne.

            J’ai dit: «Tous ceux qui veulent qu’on–veulent qu’on prie pour eux, tenez-vous debout ici à ma droite.» Personne ne s’est levé. Ils sont tout simplement restés assis là. Eh bien, je me suis dit: «Eh bien, c’est la première fois que ceci m’arrive.» Personne ne s’est levé.

            Alors j’ai dit: «Eh bien, maintenant c’est curieux.» Ainsi donc le... suivant... Je... la–la femme missionnaire est rentrée dans l’église, et la voici ressortir avec quelques–quelques femmes indiennes.

            Alors j’ai dit: «C’est ce qu’on aura comme ligne de prière?»

            Elle a répondu: «Oui.»

15        Ainsi, je regardais la première femme, alors que je lui parlais par l’intermédiaire de l’interprète, et j’ai vu quel était son problème, et je lui ai dit qu’il s’agissait d’une maladie vénérienne. J’ai dit: «Ce n’est pas que vous soyez immorale, mais c’est à cause du mode de vie que vous êtes obligée de mener.»

            Elle s’est retournée et m’a regardé. Elle a bafouillé quelque chose à l’interprète. Et ce dernier m’a dit–elle a dit: Comment l’avez-vous su?»

            Et j’ai répondu: «Eh bien, c’est un don de Dieu.» Ainsi elle... C’était vrai. J’ai dit: «Croyez-vous que Christ va vous guérir de cela?»

            «Oui, a-t-elle dit.» J’ai prié pour elle. Elle est passée.

16        Deux ou trois personnes sont passées: l’une, ses yeux étaient affectés d’un glaucome et ainsi de suite; et quelque temps après, une–une fillette était passée, ayant presque la taille de cette fillette qui venait de recouvrer la vue l’autre soir alors qu’elle était assise ici, et elle avait donc la tête baissée et sa petite chevelure était aussi épaisse que les poils d’une brosse. Elle ne voulait pas relever sa tête. Elle gardait simplement la tête baissée.

            Et je l’ai tenue par la tête. Et elle gardait simplement la tête baissée. Et j’ai dit: «Qu’a-t-elle?» Et–et j’ai dit: «Elle est sourde-muette, n’est-ce pas?»

            –Oui, m’a-t-on répondu.

            Et j’ai dit: «Cela n’a-t-il pas été causé par une fièvre?»

            Elle a dit: «Oui. Elle a fait une si forte fièvre qu’elle en est devenue sourde et muette.»

            Et j’ai dit: «Croyez-vous?» Et la mère se tenait là. J’ai dit: «Croyez-vous que Christ va guérir votre enfant?»

17        «Oui.» Elle croyait bien cela. Ainsi donc, j’ai prié pour la fillette comme cela, et je me suis penché vers elle, et j’ai fait [Frère Branham fait claquer ses doigts.–N.D.E.] comme cela. J’ai dit: «Est-ce que tu m’entends?

            Elle a débité quelque chose à toute vitesse: «Bleub! bleub! bleub! bleub! bleub!»

            J’ai dit: «Un jour, elle parlera mieux que ça.»

            Elle a dit: «Hum, maintenant, elle parle très bien.» Vous voyez? Je ne savais pas ce qu’elle disait; elle a dit: «Elle parle très bien maintenant.»

            Et tous ces Indiens ont commencé à regarder, vous savez, et bien entendu, chacun d’eux avait une pipe à peu près grosse comme ça, et fumait, vous savez, et se mettait à cracher, vous savez, et ils regardaient de travers puis levaient les yeux. Eh bien, c’est un type étrange, mais une fois qu’il est convaincu, c’est tout. Vous voyez?

18        Et ils se parlaient les uns aux autres là-bas, vous savez. Et la femme missionnaire ou l’interprète les a encore ramenés au calme. Et la suivante est montée avec un–un petit garçon. Il se tenait debout, la tête baissée, et la mère se tenait là; et elle n’a pas attendu que je lui dise ce qui n’allait pas. Elle l’a saisi par le sommet de la tête comme ceci, et a brusquement renvoyé sa petite tête en arrière. Eh bien, ses petits yeux louchaient comme tout; et il avait un petit visage rouge et était joufflu comme ça, un petit mignon! Et alors j’ai dit: «Puis-je le prendre dans mes bras?»

            Et elle m’a regardé. J’ai pris le petit dans mes bras, et il a posé sa tête sur mon épaule. J’ai dit à l’interprète: «N’interprète pas la prière.»

19        J’ai dit: «Dieu bien-aimé, ces gens qui ont été repoussés, rationnés, et nous qui sommes venus ici et qui nous sommes emparés de leur pays, qui avons exterminé le bison, abattu le cerf, et nous les avons repoussés sur ces plaines par ici pour y mourir de faim, et nous brûlons là-bas sur les prairies des milliards de dollars de quoi avoir du jambon là-bas sur les prairies et tout comme cela ainsi que de la viande, et nous les laissons mourir de faim. Ce n’est pas juste.» J’ai dit: «Ô Dieu, montre que Tu ne fais acception de personne, et fais-leur savoir ce soir que je leur ai dit la Vérité, que Tu es pour eux.» Cela est arrivé.

            Avant de regarder, j’ai retourné le petit garçon dans l’autre sens. J’ai dit: «Maintenant, dis-leur de regarder.»Ses petits yeux étaient devenus aussi droits que les miens. Et tout le monde commençait à regarder. Oh! la la! Vous parlez de la pagaille! C’était alors parti, là. Il a donc fallu les ramener au calme.

20        Quand la personne suivante est passée, ils ont pratiquement commencé une–une ruée. Ça leur a donc pris un bon bout de temps, et la poussière volait dans tous les sens, au point qu’ils... les gens se précipitaient tantôt dans un sens, tantôt dans l’autre, et je me demandais: «Que se passe-t-il là-bas?»

            Elle a finalement réussi à les tranquilliser. Alors j’ai eu une ligne de prière qui s’est allongée jusqu’à environ quatre pâtés de maisons. Je vous assure, je n’ai jamais vu de ma vie un si grand nombre de gens pour lesquels prier; et j’ai dit à... J’ai dit: «Qu’est-ce qui... Comment est-ce possible?»

21        Elle a dit: «D’abord, ils pensaient que c’était... ce n’était pas vrai, mais a-t-elle continué, maintenant ils sont convaincus.» Elle a dit: «Eh bien, ce sera glorieux maintenant», a dit la missionnaire.

            Ainsi donc, frère Moore... Quelqu’un connaît-il Jack Moore? Il était avec moi, Jack Moore; il y avait aussi beaucoup d’autres frères là, ainsi que frère Brown. Eh bien, il était impossible de–il était impossible d’avoir un... il vous fallait alors repousser les gens.

            Et il y avait une pauvre vieille Indienne, qui était censée être la suivante; et elle avait deux manches à balai sciées avec un morceau de bois au dessus, qui lui servaient de béquilles; et ce bois était recouvert de morceaux d’étoffe. Très... Je pense qu’elle avait quatre-vingts ans.

22        Elle avait un morceau de cuir plaqué dans ses cheveux, et son visage portait de grandes rides, et elle s’efforçait de parvenir jusqu’à moi. Son arthrite était très aiguë; et elle s’efforçait comme cela de [Frère Branham fait une illustration.–N.D.E.], juste comme cela, elle s’efforçait de marcher, et ce petit garçon indien essayait de dépasser l’autre. Et frère Moore n’arrivait pas à le faire retourner. Il l’a donc simplement soulevé et l’a déposé derrière elle.

            J’ai alors fait monter la pauvre vieille. Là voilà qui s’est avancée comme ça, posant en avant son bâton comme cela. Et quand elle est arrivée tout près de moi, je l’ai regardée, vous savez, et elle a relevé sa tête, en tremblant comme ça, elle a regardé, et les larmes dégoulinaient en suivant les sillons de ses joues de vieille femme. Et je me suis dit: «C’est la mère de quelqu’un!» C’est juste.

23        Je l’ai regardée comme cela. Elle a levé ses yeux sombres de vieille dame pour me regarder comme cela. Elle a esquissé un petit sourire, elle a tendu le bras et a saisi une canne; et de l’autre main elle a pris chacun des manches et me les a remis. Et elle s’est redressée, et elle est descendue de l’estrade en marchant comme cela, sans aucune prière du tout, sans aucune prière du tout, elle avait cru tout simplement.

            Et, frère, vous parlez d’une ligne de prière! Vers trois heures ou quatre heures ce matin-là, j’avais déjà cessé de parler quant au discernement, je faisais passer les gens et leur imposais les mains. J’en ai vu passer qui étaient trempés jusqu’au niveau des membres supérieurs comme ça. Et j’ai dit: «Eh bien, qu’y a-t-il?»

24        La petite rivière Gila coule par là, et elle a dit: «Eh bien, d’abord ils–ils pensaient que ce n’était pas juste.» Il a dit: «Eh bien, il y a un gué à environ–environ vingt miles [32 km] en aval, mais, a-t-il dit les gens sont allés dans les régions sauvages, ils sont allés prendre leurs bien-aimés, et ils les ont transportés et ont traversé ce cours d’eau.»

            Et ici ils avaient... n’avaient pas de brancards, juste comme ça se fait dans les champs de mission à l’étranger, ils avaient... Voici–voici venir un vieil homme... Ça, c’est bon, ça. Je vous le dis avant de terminer.

            Ils avaient une planche au–au dos de laquelle passait en travers un morceau de bois; et un morceau de bois était disposé comme ceci, et un vieil homme était étendu là, les mains enroulées autour de ce morceau de bois; et ses jambes étaient posées sur cet autre morceau de bois dans l’autre sens, et il s’en servait comme brancard, et l’homme était étendu sur cette planche.

25        Un vieil homme, bien avancé en âge et souffrant d’une paralysie, était étendu là, tremblotant comme cela, vous savez. Et ils... un gaillard se tenait là, un Indien très corpulent et costaud, qui tremblait sans cesse comme cela; et ses lèvres étaient devenues tout bleues; il avait froid et il était trempé jusqu’au- dessus, à ce niveau. Dans ce désert, il fait froid le matin.

            Et j’ai dit: «N’as-tu pas peur? Tu parles anglais?»

            Il a dit: «Un peu.»

            Et j’ai dit: «Ne crains-tu pas de contracter la pneumonie?»

            –Non, dit-il, Jésus-Christ prend soin de moi. J’emmène mon père.

            J’ai dit: «Hum!» J’ai dit: «Crois-tu que Jésus-Christ va guérir ton père?»

            –Assurément.

26        J’ai dit: «Faites-le passer.» J’ai dit: «Dieu bien-aimé, cet homme est venu par la foi. Au Nom de Jésus-Christ, conformément à Ta Parole, je lui impose les mains.»

            J’ai dit: «Amenez le suivant.» Alors qu’ils commençaient à le faire, j’ai entendu quelqu’un pousser des cris et hurler. J’ai regardé; le vieil homme portait la planche sur sa propre épaule, l’agitant pour l’exhiber à tous; et il avançait par là, transportant cette planche lui-même, en partant. Juste une simple foi d’enfant, c’est tout.

            Eh bien, lorsque les Indiens voient cette puissance de Dieu opérer, ou là en Afrique ou dans les îles, ils ne mettent pas ça en cause. Nous, avec toute notre érudition, nous mettons cela en cause. Nous sommes des «je sais tout», vous voyez? Nous avons des explications à tout. Nous connaissons ce qu’il en est des choses, ce que docteur Untel a dit, et ce que docteur Untel a dit. Mais écoutez. Dieu veut que nous croyions Sa Parole exactement comme Elle est écrite là.

            «Quiconque ajoutera ou retranchera, de même de–sa part sera retranchée du Livre de Vie.» Voyez-vous? Ainsi, croyons-La tout simplement tel qu’Elle est écrite.

27        Jésus a dit, après qu’Il a été ressuscité des morts, Il a dit, lorsqu’Il est ressusci-... ou... Il a dit ceci: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Ça devrait être la marque d’identification d’une catégorie de gens, des croyants. Et nous avons vu ce qu’Il a fait.

            Puis Il a dit: «Je serai avec vous, jusqu’à la fin du monde.» Et la dernière commiss-... première commission qu’Il a donc donnée à la race humaine lorsqu’Il était ici sur terre... Savez-vous ce qu’elle était? Matthieu 10: «Guérissez les malades, purifiez les lépreux, ressuscitez les morts, chassez les démons. Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement.»

            Est-ce juste? La première commission... La dernière commission: «Allez par tout le monde, prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé. Celui qui ne croira pas sera condamné. Voici les (au pluriel)–les miracles (au pluriel) qui accompagneront ceux (au pluriel) qui auront cru.» Est-ce juste?

28        «En Mon Nom, ils», iront à l’église et se feront inscrire... «En Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; s’ils saisissent des serpents, ou s’ils boivent quelque breuvage mortel, cela ne leur fera point de mal; s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Est-ce juste?

            Et quand Il fut enlevé au Ciel, les disciples s’en allèrent prêcher partout. Le Seigneur travaillait avec eux, et confirmait la Parole par les miracles qui L'accompagnaient.

            Et ce sont là les ordres généraux venant de Jésus-Christ, lesquels devraient être observés jusqu’au jour de Son retour. Béni soit Dieu de ce que des hommes sincères partout à travers le pays, partout...

            Pensez-y tout simplement, l’autre soir, l’archevêque de l’Inde est venu, il a reçu le baptême du Saint-Esprit, et s’en est retourné avec un message pour les églises évangéliques.

29        De grands hommes partout reçoivent cette bénédiction. C’est l’heure, mes amis, et beaucoup, beaucoup parmi vous se pressent pour entrer dans le Royaume de Dieu, car je crois que vous êtes en train de recevoir votre dernier appel avant la Venue du Seigneur.

            Nous pouvons incliner la tête alors que nous Lui demandons de venir parmi nous. Notre Père céleste, ce soir nous venons à Toi avec des coeurs reconnaissants, et Te rendons grâces du fait que Tu es ressuscité des morts et que Tu es vivant parmi les hommes ce soir. Nos coeurs sont très enthousiasmés et dans la plus grande effervescence ce soir à cause de Jésus-Christ, le Vivant.

            Lorsque Tu étais ici sur terre, Tu disais que Tu ne faisais aucun miracle, aucun prodige, avant que le Père ne Te le montre. Tu as promis que la même chose accompagnerait l’Eglise tout au travers des âges. Et dans ce dernier jour, ô Dieu, nous Te sommes reconnaissants de ce que Tu ramènes ces choses dans Ton Eglise à nouveau.

            Partout des signes apparaissent juste avant la Venue du Seigneur. Chaque poteau indicateur pointe dans cette direction-là. Dans peu de temps l’Enlèvement aura lieu. Alors nous verrons Celui que nous avons aimé et attendu.

30        Maintenant, ô Dieu, je prie que Tes glorieuses bénédictions reposent sur chaque personne qui est dans cette salle; et s’il y a ici des gens qui ne sont pas encore des croyants, puissent-ils ce soir être pleinement convaincus dans leur coeur que Jésus-Christ, le Véritable et le Vivant, est ressuscité des morts et qu’Il vit dans les membres de Son Eglise ce soir.

            Accorde-le, Seigneur; et par un seul Esprit nous sommes tous baptisés pour former cette Eglise. Ô Dieu, sois miséricordieux envers nous. Pardonne-nous nos péchés. Et maintenant, Père, comme Ton humble serviteur inutile se tient ici pour servir par cette Parole prophétique, je prie que l’Ange de Dieu s’approche tout près ce soir comme Il le fait toujours.

            Et nous Le remercions et prions qu’Il continue à être avec nous ce soir et qu’Il accomplisse de grands signes et prodiges, afin que tous les malades et les nécessiteux qui sont dans cette salle soient guéris ce soir, et que les pécheurs soient appelés à la repentance, et que les rétrogrades soient ramenés à Dieu. Car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ qui est mort pour ce ministère. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

31        Maintenant, nous ne serons pas en mesure d’aligner une centaine de personnes comme nous le faisons, cinquante à cent personnes à la fois. Il n’y a pas assez de place ici. J’ai de la peine à croire que nous pourrons aligner un nombre important de gens.

            Très bien. Voyons. Hier soir, nous avons distribué la série B, n’est-ce pas? Je pense que c’était...?... Billy était ici, mais il est déjà parti. Mais moi, je... Oh! Excusez-moi. Il est du mauvais côté par rapport à moi. C’est ça. Etait-ce la série E, mon fils?

            Très bien. Prenons la série E alors; c’est la série des cartes qui ont été distribuées aujourd’hui. Et hier, on s’est occupé de tous les cas; et maintenant, ce soir, nous allons essayer d’en prendre autant que possible.

32        Maintenant, ceux qui ont une carte de prière, prenez votre... C’est une petite carte plate. Elle porte un–votre nom et votre adresse au recto, et ici au verso, elle porte une lettre et un numéro. Maintenant, tournez-la et vous verrez un «E» inscrit dessus. Qui dans la salle a la carte de prière E-1? Carte de prière E-1. Où c’est? La personne est-elle dans la salle? Est-ce que tu étais en train de leur parler? Oh! Excusez-moi.

            Très bien, madame. E numéro 1. Très bien. Numéro 2, E numéro 2, la personne est-elle dans la salle? Si oui, levez la main. Très bien, vous madame, là-bas. E numéro 2. Très bien. Maintenant, numéro 3, carte de prière E numéro 3, où est la personne en question? 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10.

33        Eh bien, regardez à côté de vous. S’il y a un muet ou une personne qui ne peut pas se lever, et qui détient une de ces cartes de prière, amenez alors cette personne juste ici devant moi. Ou, si la personne est muette, mettez-la simplement dans la ligne. Si elle ne peut pas se lever, eh bien, imposez-lui simplement la main. Très bien. Très bien.

            E, de E numéro 1 jusqu’à E numéro 10. Voyons combien nous pouvons aligner à la fois parmi ceux que nous avons. Peut-être que nous ne pouvons en aligner qu’environ 10 à la fois.

            Très bien. Très bien. Essayons avec quinze personnes...?... Très bien. Passons ensuite au numéro 15, E-15. Je pense que nous pouvons en prendre là encore quelques-uns, ils–ils sont juste ici en ce moment. De E-1 jusqu’à E-15, essayons avec ceux-là maintenant et voyons comment nous allons avancer.

34        Très bien. Vérifiez maintenant. Que les huissiers comptent; et s’il y a quelqu’un qui manque, qu’on attire son attention, parce qu’il y a peut-être quelque part dans la salle quelqu’un qui est sourd ou qui ne peut pas se lever. Soyez en prière partout. Soyez en prière s’il vous plaît.

            Maintenant, pendant qu’on aligne les gens, j’aimerais que toute l’église regarde par ici et que vous–que vous m’accordiez votre attention pendant un moment. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... vous vous rendez tous compte de la position qui est la mienne? Evidemment, il y a des critiqueurs qui sont assis ici. Vous voyez? Il y a des gens qui sont assis ici, qui désireraient trouver des fautes juste en ce moment. Vous voyez? Et, souvenez-vous bien, je dois me trouver dans la condition la meilleure, où le Saint-Esprit peut m’utiliser de n’importe quelle manière.

            Si une telle personne devrait... s’il arrivait quelque chose, si vous avez déjà assisté aux réunions, vous savez ce qui arrive, mais vous devez savoir de quoi vous parlez. Vous voyez? Je n’ai jamais vu une fois où Dieu soit sorti sans avoir eu une victoire éclatante. Vous voyez? Et observez ce qui arrive à cette personne. Très bien.

35        Combien ont déjà été dans la salle... combien ont déjà assisté à mes réunions et ont vu de telles choses arriver? Vous voyez? C’est vrai. Vous voyez? Faites attention.

            Eh bien, cependant il faut que je sois bien en forme pour prier pour les malades. Maintenant, est-ce que tout le monde comprend? Je ne suis pas un guérisseur. Je ne peux pas guérir. Je–je ne peux pas faire ce que Jésus a... tout... Si j’étais capable de guérir, je serais capable de sauver; mais je ne peux pas sauver, parce que Jésus a déjà sauvé. Est-ce juste? Eh bien, si... Je ne peux donc pas guérir parce qu’Il l’a déjà fait.

            Mais maintenant, ces deux choses, Jésus les a déjà faites au Calvaire. Combien croient que cela est vrai? C’est vrai. Il a fait cela au Calvaire. Alors je ne peux pas faire ce que Lui a déjà fait.

36        Or, si Jésus se tenait ici ce soir, portant ce costume qu’Il m’a donné, eh bien, maintenant, Il ne pourrait pas vous guérir, n’est-ce pas? Eh bien, en se basant sur les Ecritures, qu’en dites-vous, Frère Osborn? Il ne pourrait pas vous guérir. Il ne peut plus faire–faire ce qu’Il a déjà fait. Eh bien, Il dirait: «J’ai fait cela au Calvaire.»

            Eh bien, vous direz: «Eh bien, Il pourrait me guérir.»

            Non, Il ne le pourrait pas, non; à moins que vous croyiez cela. Car Il ne pouvait pas faire beaucoup de miracles à cause de sa propre foi, ou plutôt à cause de leur incrédulité. Est-ce juste? Il ne pouvait pas faire beaucoup de miracles à cause de leur incrédulité.

37        Vous ne pouvez avoir un réveil à Chicago sans que vous soyez déjà prêts pour ça. Est-ce juste? Cela nécessite absolument votre foi à vous.

            Bon, bon, ces choses, Jésus les a déjà accomplies. Il vous a déjà guéris et sauvés. Il vous faut l’accepter. Mais maintenant, passons à autre chose. Eh bien, c’est ce que frère Osborn vous enseigne sur base de la Parole, et ces autres ministres aussi.

            A présent, entrons dans le domaine spirituel. Ça, c’est le domaine spirituel aussi. Toutefois, venons-en aux dons dans l’Eglise. Dieu a établi dans l’Eglise les uns premièrement comme apôtres, deuxièmement comme prophètes, les dons de guérisons (Est-ce juste?), diversités de–de manifestations, des dons, le parler en langues, l’interprétation des langues et tous ces dons ont été établis dans l’Eglise.

38        Bon, bon, ça, c’est destiné à l’individu en particulier. Vous voyez? Dieu donne des dons et place les gens dans l’Eglise pour diverses choses, comme une confirmation de Sa Parole et de Son amour. N’est-ce pas merveilleux? Ne devrions-nous pas être tous heureux pour ça?

            Eh bien, et si... Est-ce la patiente? Approchez, madame. Bon, est-ce que vous vous rendez compte de ceci, qu’il y a, je pense, cinq cents ou six cents personnes dans cette salle ce soir, peut-être plus? Mais, savez-vous que s’il y a–disons s’il y a six cents personnes ici, il y a six cents esprits, des êtres humains peut-être plus plusieurs démons qui ont lié les gens. Comme nous l’avons expliqué hier soir, le terme médical pour décrire ces choses, c’est parfaitement lié à la démonologie, et c’est appelé cancer, tumeur, cataracte, tuberculose, pneumonie, et ainsi de suite. Ce sont des démons.

39        Eh bien, en fait, il s’agit d’un... il est question de faire la différence entre l’Esprit de Dieu et l’esprit du diable. Et puis, sur base de l’expiation au Calvaire, ce démon est chassé. Et je vous assure, si le croyant s’approche et croit, juste ici, présentement, peu importe le problème, la chose arrivera ici, sur-le-champ. C’est vrai. Vous n’avez jamais vu cela faillir, et ça–et ça ne faillira pas. Mais maintenant, si en sortant d’ici vous doutez, ou si vous n’avez qu’une toute petite foi faible, la maladie reviendra directement sur vous, et elle deviendra même pire qu’elle ne l’était au départ.

            Car, lorsque l’esprit impur sort d’un homme, il va dans des lieux arides. Est-ce juste? Puis, il retourne, et si le maître de la maison n’est pas là pour le repousser... Vous devez prendre Dieu au Mot, non sur base de vos sentiments, mais prendre Dieu au Mot. Votre foi le repoussera. Rejetez cela tout simplement. Il tourmentera, frappera à votre porte, il hantera vos fenêtres, mais détournez simplement la tête, et regardez continuellement en avant vers Christ, et allez de l’avant.

            Bon, bon, si Jésus était ici, s’Il se tenait ici ce soir sur l’estrade, et je crois qu’Il se tient ici; pas seulement ici, mais Il est partout dans l’assistance. Il est partout. Mais dans ces esprits...

40        Eh bien, il y a un groupe d’esprits ici en bas; il y a un groupe d’esprits ici en haut. Me voici donc qui me tiens entre ces deux groupes. Chacun ici en haut est peut-être en train de prier, un bon nombre de gens. Il y en a un bon nombre par ici qui sont en train de prier et là au milieu aussi; tout cela exerce une traction en un seul point. Est-ce que vous réalisez ce que je veux dire?

            Ici, il est possible qu’une vision apparaisse, peut-être pendant que je parle à cette femme, une vision qui pourrait se rapporter à quelqu’un qui est là-bas ou qui est ici. Soyez donc en prière, s’il vous plaît, aidez-moi et priez. Priez silencieusement.

41        Si je vous demande d’incliner la tête, je veux que vous le fassiez instantanément. Et si je–vous continuez à regarder, à croire, mais si je vous demande d’incliner la tête, c’est parce que parfois... Vous l’avez remarqué dans les réunions, parfois les esprits s’opposent vraiment, et on doit les chasser.

            Si le patient est un bon croyant, eh bien, c’est automatique, il–il–il lâche prise, mais sinon... Et puis, parfois, il s’agit d’un épileptique, et ces esprits se comportent affreusement (Vous voyez?), et ça dérange la réunion et tout, mais restez alors tranquilles.

            Ne vous agitez pas. Tenez-vous simplement tranquilles. Laissez le patient, peu importe ce qui se passe, laissez cela tranquille, parce que...

42        Et maintenant, si vous êtes sceptique, à votre place, je ne resterai pas là pendant que ceci se passe. Parce que si cette personne est délivrée, vous serez certainement la prochaine proie pour cet esprit, une bonne proie, et cela arrivera, et vous savez que... beaucoup d’entre vous. Eh bien, ça passe d’une personne à l’autre, et ces démons doivent avoir un lieu, un corps, sinon ils sont impuissants. Un jour, ils voulaient entrer dans un troupeau de pourceaux quand ils sont sortis d’un fou et d’autres personnes.

            Maintenant, venez ici juste un instant, madame. Je suppose que vous et moi sommes inconnus l’un de l’autre. Je pense que je ne vous ai jamais vue de ma vie. Si je vous ai déjà vue, je ne vous reconnais plus. Non, nous ne–nous ne nous connaissons pas. Vous m’avez vu cet après-midi. Avez-vous assisté à la réunion de l’après-midi?

43        Eh bien, maintenant, alors vous êtes simplement une dame qui–qui a pris une carte de prière ici, il y a quelque temps, vous avez simplement été appelée ici à l’estrade. C’est–c’est tout ce qu’il... Maintenant, si nous ne nous connaissons pas vous et moi, alors il faudra que ça soit Dieu qui... s’il y a quelque chose que moi, je peux connaître à votre sujet, ou vice versa, il faudra que ça soit Dieu qui le fasse.

            Maintenant, réfléchissons juste pendant quelques minutes. Lorsque Jésus-Christ était ici sur terre, un jour Il s’est mis à parler à une femme au puits. Il a continué à s’entretenir avec elle, jusqu’à ce qu’Il a trouvé ce qu’elle avait comme problème. Est-ce juste?

            Il a donc continué la conversation et Il lui a révélé son problème; celle-ci entra dans la ville en courant et dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Christ.»

44        Eh bien, seul Jésus-Christ peut faire ça. C’est juste. Je veux dire que la seule façon dont Il peut le faire, c’est d’une manière parfaite. Maintenant, pour autant que... Je ne sais pas; vous êtes ici peut-être pour quelque chose d’autre. Je–je ne saurais l’affirmer. Seul Dieu le sait. Moi, je ne le sais pas. Mais vous êtes ici peut-être... peut-être que vous avez un problème de ménage ou quelque chose du genre. Peu importe ce que c’est, Dieu le révélera. Je le crois. Pas vous? C’est... Je suis heureux de vous entendre dire que vous le croyez.

            Maintenant, s’Il est ressuscité des morts, et s’Il est vivant parmi les hommes, alors Il peut manifester ce soir Sa Vie ici sur terre dans Son Eglise, exactement comme Il le fit autrefois. Est-ce vrai?

45        Une opération vous attend; ou au moins c’est ce que le médecin vous a dit. Et cette opération, c’est à cause d’un problème gynécologique et une maladie du côlon. Est-ce juste? Et vous croyez que Dieu vous guérira de cela.

            Et n’avez-vous pas un de vos bien-aimés... Je crois, c’est votre mari qui... Il marche à l’aide d’une béquille ou de quelque chose d’autre; il a un problème. Il... Oh! il–il–il–il a des artères qui se durcissent, et c’est à cause de ça qu’il boîte, ou qu’il a les membres raides. Est-ce vrai?

            Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Croyez-vous qu’il va aussi guérir votre mari? Jésus-Christ est-Il le même hier, aujourd’hui et éternellement? Approchez.

46        Notre Cher et Précieux Père céleste que nous aimons et en qui nous croyons, que le diable quitte cette femme ce soir, et qu’elle soit guérie. Ô Dieu, accorde-le. Et que le démon quitte son mari et qu’ils soient tous les deux heureux et en bonne santé, et qu’ils Te servent tous les jours de leur vie. Amen. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Vous pouvez partir maintenant, et que la paix de Dieu soit avec vous.

            L’homme qui est assis juste là est son mari. C’est le même homme que j’ai vu ici en vision il y a quelques minutes. Très bien, monsieur. Abandonnez votre béquille ou votre canne; vous–vous marchez à l’aide de quelque chose. Eh bien, avez-vous cela avec vous? Très bien, monsieur. Vous pouvez l’abandonner là où ça se trouve. Vous n’en avez plus besoin, vous pouvez retourner chez vous maintenant et vous en passer.

            Ayez foi en Dieu. Très bien. Chacun de vous croit-il de tout son coeur? Disons: «Gloire au Seigneur!» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur!»–N.D.E.] Très bien.

47        Maintenant, cet homme... Eh bien, je vous demanderais d’être respectueux juste pendant un moment. Salut, soeur. Croyez-vous de tout votre coeur que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ressuscité des morts et qu’Il vient pour faire le... se révèle selon la guérison divine et les bontés de Sa résurrection? Croyez-vous cela de tout votre coeur? De tout votre coeur.

            Vous avez quelque chose d’étrange, madame. Vous êtes... vous ressemblez à quelqu’un que je connais ou quelque chose comme ça. Et vos–vos traits me surprennent un peu, mais je–je veux seulement que vous me regardiez, et comme l’a dit Elie: «Regarde, si je n’avais égard à Josaphat, je ne te regarderais pas.»

            Et Pierre et Jean ont dit: «Regarde-nous.» En d’autres termes, non pas qu’on les considère comme des guérisseurs, mais: «Regarde-nous, nous avons quelque chose à te dire.»

48        Vous... Vous avez–vous avez été opérée tout récemment. Vous avez subi une opération, c’était l’opération d’une tumeur. On a ôté une tumeur et elle était au niveau de la vessie. Et ils ont fait quelque chose, ils vous ont fait subir une sorte de traitement pour voir si vous aviez une autre chose qui clochait. Et le traitement a été administré pour quelque chose qui s’est dissout et qui a disparu, et ils pensent que c’est une–c’est une tumeur maligne.

            Votre nièce, je la vois debout près de... Je ne l’ai pas vue dans la réunion, mais je sais qu’elle... Je la vois debout à vos côtés, souriant. Ces choses sont-elles vraies? Tout ce qui vous a été dit, est-ce vrai? Est-ce l’exacte vérité?

            Eh bien, ce n’était pas moi qui vous parlais, madame. C’était bien ma voix, mais c’était Quelque Chose d’autre qui parlait. Croyez-vous que c’était le Seigneur Jésus-Christ avec Sa miséricorde pour vous? Approchez.

            Notre Cher et Précieux Père, qu’elle soit guérie de tout mal dont elle souffre ce soir, et que le diable soit maudit au Nom de Jésus-Christ. Qu’il sorte de cette femme, et qu’elle soit délivrée pour la gloire de Dieu. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. Que les bénédictions de Dieu reposent sur vous et qu’Il vous guérisse.

49        Maintenant, croyez. Est-ce que vous croyez? De tout votre coeur maintenant... Soyez d’un même accord, et vous tous là-bas dans la–dans l’assistance, croyez aussi...?... Croyez. Ça ne change rien ce que–que vous soyez sur l’estrade ou partout où vous êtes. Dieu vous connaît de toutes les façons.

            Croyez-vous cela? Ça va. Alors ayez la foi. Ne doutez pas. Placez votre foi en Dieu. Très bien. Approchez, madame.

            Maintenant, respectueusement... Et à présent, chacun de vous pendant–pendant que vous regardez, acceptez-Le comme votre Guérisseur; et voyez s’Il ne va pas me faire tourner vers vous pour vous révéler cela. Vous voyez? Croyez simplement cela de tout votre coeur.

50        Très bien, madame. C’est vous la patiente. Maintenant, montez par ici un peu, pour que je puisse vous parler. Il y a des gens autour de moi, derrière moi et partout, mais je dois vous amener à parler... ordinaire.

            Vous savez, une fois Jésus a conduit un homme hors de la ville pour lui parler. Il lui a parlé de ses yeux, et ce qu’il fallait faire pour ça, et puis une autre fois, Il a été emmené dans un–un lieu où la... une petite fille était morte, et les gens se moquaient de Lui. Alors, Il les a tous fait sortir de la maison, à l’exception du père et de la mère de l’enfant, de Pierre, Jacques et Jean dont Il était sûr qu’ils avaient la foi. Vous comprenez ce que je suis... Vous comprenez.

            Maintenant, nous sommes de parfaits inconnus. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, je ne connais rien à votre sujet, Dieu le sait. Et je doute que vous connaissiez quelque chose à mon sujet, à moins que vous ayez lu cela dans les magazines, ou dans les journaux ou ailleurs. Mais, vous êtes sincère, et vous êtes venue avec sincérité. Vous êtes une chrétienne, et vous êtes membre de l’Eglise baptiste.

51        J’ai entendu votre pasteur. Je connais la doctrine des baptistes. Il y a plus que ça pour vous. Vous devenez un peu... et vous vous éloignez de moi. Vous avez... Je vois un hôpital. Vous–vous avez récemment été dans un hôpital pour l’estomac, quelque chose dans l’estomac, et on allait vous opérer, mais ils n’ont pas pu trouver ce qui n’allait pas dans votre estomac.

            Et ils vous ont renvoyée à la maison, et vous vous préparez à retourner à l’hôpital pour un autre examen, pour voir s’ils peuvent découvrir cette maladie de l’estomac. Et vous avez demandé à Dieu de vous guérir, et qu’on ne trouve rien. N’est-ce pas vrai? Est-ce que vous êtes en train de toucher Son vêtement maintenant? Alors, ils ne trouveront rien.

            Dieu Tout-Puissant, bénis ma soeur et guéris-la, et qu’il en soit tel qu’elle a cru. Et nous savons qu’il en sera ainsi, car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, ma soeur.

52        Salut, soeur. Croyez-vous de tout votre coeur? Vous croyez. Eh bien, je suppose que vous et moi, nous ne nous connaissons pas. Pour votre bébé... Maintenant, évidemment, une mère est très sincère quand son bébé a des ennuis. Maintenant, je ne lis pas votre pensée. C’est seulement votre... vous êtes consciente que Quelque Chose est près de vous. Avez-vous déjà vu cette photo de l’Ange du Seigneur, cette Colonne de Feu, ce... Oui. L’avez-vous déjà vue sur une photo? Eh bien, c’est précisément Ça qui vous fait éprouver cette sensation-là en ce moment; en effet, on le ressent, et cela émane de vous.

            Votre bébé a une–une lésion cérébrale, et les médecins se sont trom-... Et il a été–il a été opéré ou quelque chose comme ça. Les médecins l’ont opéré pour un cas d’hydrocéphalie, ou de l’eau dans le cerveau, ou pour une... Est-ce ça? Et ils se sont rendu compte qu’ils s’étaient trompés. Et le bébé a une lésion cérébrale. Et vous avez prié et vous avez promis d’abandonner votre vie à Dieu, s’Il... à la table, s’Il guérissait cet enfant. Est-ce juste?

53        La grand-mère du bébé est aussi souffrante, elle a une tumeur à l’estomac. Est-ce juste? Que Dieu vous bénisse. Oui. Croyez-vous que Dieu vous rétablira et qu’Il guérira votre bébé?

            Notre Père céleste, au Nom de Ton Fils Jésus, que cet enfant se relève pour être un merveilleux jeune chrétien, Seigneur. Accorde-le alors que je pose mes mains indignes que voici sur cet enfant, qui est trop jeune pour avoir la foi; mais que la puissance qui a ressuscité Jésus d’entre les morts, qui L’a ramené à la Vie, et qui accomplit des signes et des prodiges dans l’église ce soir...

            Dieu Tout-Puissant, je bénis ce bébé et dis à l’ennemi qui a tenté de le tuer dès sa naissance: Sors de cet enfant! Laisse-le! Tu es exposé et réprimandé. Au Nom de Jésus-Christ, quitte cet enfant!

            Maman, croyez-vous que votre bébé va être guéri et qu’il redeviendra un enfant normal maintenant? Il en sera pour vous exactement comme vous l’avez cru. Que Dieu vous bénisse. Allez, et que le Seigneur...?...

54        Croyez-vous de tout votre coeur, de toute votre âme, de tout votre esprit? Ayez simplement la foi. C’est tout ce que je veux que vous fassiez.

            Vous n’êtes pas loin de recevoir votre guérison, frère. Tournoyé...?... deux fois autour de vous maintenant. Continuez simplement à avoir la foi. Amen. Ayez foi en Dieu. Dieu accomplira tout ce dont vous avez besoin. Croyez-vous cela?

55        Salut, madame. Maintenant, voici encore une reproduction parfaite de la scène du puits. Jésus était un Juif. L’autre femme là-bas, celle qui Lui parlait était une–une Samaritaine. Et ce soir, nous... Ils représentaient deux races de gens, et c’est pareil ce soir. Et Jésus dit à la femme: «Va, apporte-Moi à boire.»

            Et la femme dit: «Il n’est pas de coutume que vous, les Juifs, demandiez aux Samaritains une telle chose.»

            Mais Jésus Lui dit: «Si tu connaissais qui est Celui qui te parle, c’est toi qui Lui aurais demandé à boire.»

            Maintenant, Il est le même Jésus ce soir, qui a démoli ce mur de séparation; c’est ce qu’Il était en train de faire alors. En fait, ce soir dans le Royaume de Dieu, il n’y a pas de différence. Que l’on soit blanc, de couleur, jaune, brun, quel que soit le pays où nous habitons, quelle que soit la couleur de notre peau, quelle que soit notre race, Jésus-Christ est mort pour nous tous; Il a répandu Son Esprit sur nous tous.

56        Mais croyez-vous qu’Il est ressuscité des morts? Vous êtes une chrétienne et vous croyez pour... vous avez une foi merveilleuse, et j’en suis heureux; en effet, vous êtes dans un état grave. Vous avez subi une opération, et cette opération a été faite ici bas dans les organes féminins, et on a trouvé un cancer. Et suite à cela, ce cancer s’est répandu et est allé dans tout votre corps, dans tous vos organes inférieurs. Est-ce juste?

            Puis-je vous parler à l’écart pendant une minute? [Frère Branham parle à la femme en privé.–N.D.E.]... même de l’eau, dans l’eau fraîche. Je ne pouvais pas dire cela devant l’auditoire, mais c’est la vérité, n’est-ce pas? Personne dans ce monde ne pourrait connaître cela en dehors du Dieu Tout-Puissant seul. Est-ce juste? Croyez-vous donc qu’Il vous guérit maintenant? Que Dieu vous bénisse. Allez, vous recevrez ce que... Que Dieu la bénisse au Nom de Jésus-Christ.

57        Disons: «Dieu soit loué!» [L’assemblée dit: «Dieu soit loué!»–N.D.E.] Il est toujours le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Maintenant, continuez de garder la foi. Les visions vous rendent très faible. Ça fait maintenant quinze jours que j’en ai, vous savez, je suis constamment sous l’onction, alors ça... On a l’impression que dans toute la salle, c’est juste un groupe de gens qui de temps en temps sont là. Ainsi, c’est juste–juste comme une masse confuse qui se tient ensemble; mais ayez la foi. Dieu est ici. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Dieu est ici pour rétablir, pour guérir tout le monde et pour faire tout ce que nous Lui demandons de faire. Il fera infiniment au-delà de tout ce que nous pourrions faire ou imaginer.

58        Si notre Seigneur... Cela devrait... ce que notre Seigneur a déjà fait ce soir devrait être suffisant pour vous rendre... Si vous ne pouvez pas croire maintenant, je–je–je ne pense pas que vous puissiez encore croire. Vous voyez? Et certains d’entre vous, vous vous êtes assis dans les réunions et vous avez vu jusqu’à cent patients à la fois passer dans la ligne.

            Et pour chacun d’eux, ce que le Seigneur a déclaré était parfait et exact; ce qu’Il a annoncé comme devant arriver, et ce qu’Il a dit concernant le passé. Croyez-vous en Lui de tout votre coeur? Oh! Comme c’est merveilleux! Je prie que Son Esprit soit sur chacun de vous, qu’Il rétablisse chacun de vous, en guérissant vos maladies, et en bénissant vos coeurs. Combien de chrétiens y a-t-il ici? Faites voir la main.

59        Bon, je vous remercie. Maintenant, combien parmi vous qui n’êtes pas des chrétiens ont réellement cru être dans la Présence de Dieu et aimeraient dire: «Frère prédicateur, priez Dieu d’être miséricordieux envers moi, car je suis un pécheur»? Voudriez-vous lever la main partout où vous êtes dans la salle? «Sois miséricordieux envers moi, je suis un pécheur.» Y a-t-il quelqu’un dans cet état dans la salle? En haut au balcon, en bas à droite, par ici... il n’y a pas de pécheur dans la salle. Combien dans la salle... C’est merveilleux.

            Combien dans la salle n’ont pas encore reçu le Saint-Esprit et aimeraient qu’on se souvienne d’eux afin que Dieu leur donne le Saint-Esprit? C’est merveilleux. Beaucoup de mains se sont levées partout.

60        Oh! Combien Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est beau! Très bien, madame. Vos troubles cardiaques et tout le reste vous ont déjà quittée. Vous pouvez quitter l’estrade...?... Très bien. Soyez révérencieux. Croyez de tout votre coeur.

            Maintenant, soyez tous d’un même accord. Maintenant, monsieur, voulez-vous être guéri de cette maladie des reins et retourner chez vous bien portant? Voulez-vous croire que Dieu le fera? Très bien. Recevez cela, et allez maintenant au Nom de Jésus-Christ; qu’Il puisse accomplir cela pour vous. Maintenant... Oh! Notre Seigneur, n’est-Il pas merveilleux?

61        Salut, soeur. Croyez-vous que ce que vous voyez vient de Dieu? De tout votre coeur? Je crois que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, ma soeur. Si peut-être le Seigneur me révèle votre maladie, allez-vous croire cela de tout votre coeur? Eh bien, si c’est la vérité, vous serez obligée d’affirmer que c’était la vérité. N’est-ce pas juste?

            Evidemment, à votre âge, il y a quelques maladies dont on souffre, mais une des choses remarquables dont vous cherchez à vous débarrasser, c’est l’arthrite. N’est-ce pas juste? Croyez-vous que vous en êtes délivrée maintenant? Le croyez-vous? Eh bien, c’est ce dont vous souffrez. Je suis simplement Son prophète. Acceptez-vous cela maintenant? Très bien. Levez la main et dites: «Merci, Seigneur Jésus.» Sautillez. Vous pouvez quitter l’estrade. Voilà. Vous n’avez plus d’arthrite. Que Dieu vous bénisse.

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu est ici pour vous rétablir et vous guérir, et faire tout ce que nous allons Lui demander de faire? Vous croyez qu’Il va le faire? Croyez-vous cela de tout votre coeur?

62        Cette dame de couleur qui est assise là avait aussi de l’arthrite juste à ce moment-là. Oui, madame. Vous avez été guérie à ce moment-là. Vous pouvez vous tenir debout, madame, là au bout. Oui, madame. Tenez-vous debout. Vous êtes–vous êtes guéries toutes les deux. Vous toutes ensemble là. Vous aviez toutes deux l’arthrite. Vous avez été guéries au moment où cette femme a commencé à s’avancer vers vous.

            Ce démon-là a reconnu cela, et il vous a lâchées toutes les deux. Levez vos mains comme ceci. Vous êtes délivrées. Amen. Vous êtes totalement délivrées. Vous ne vous êtes jamais senties comme cela depuis des années, n’est-ce pas? Amen. Vous êtes guéries maintenant. Vous pouvez retourner chez vous en vous réjouissant, et racontez les choses glorieuses que Jésus-Christ a faites pour vous. Amen. Elle s’est décontractée, vous voyez. Elle était là, raide à cause de l’arthrite; et maintenant elle est parfaitement normale. Aucune prière n’a été offerte pour elle; c’est sa foi qui l’a guérie. Amen.

63        Eh bien, vous non plus vous ne vous êtes pas sentie comme cela depuis un bon bout de temps, n’est-ce pas? Vous êtes guérie maintenant. Vous êtes totalement guérie de votre arthrite. Vous êtes normale et bien portante.

            Eh bien, madame, toute votre vie durant vous avez connu des problèmes d’yeux, mais Jésus-Christ va vous guérir maintenant. Croyez-vous cela? Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez partir, et le Seigneur vous l’accordera selon votre–votre foi.

            Oh! N’est-Il pas merveilleux? Chantons-Lui simplement un cantique, si vous le voulez bien. Jésus est merveilleux pour moi. Je suis en train de m’affaiblir terriblement je ne sais pas pourquoi ce soir. Vous tous, voulez-vous chanter pour nous maintenant?

            Merveilleux, merveilleux, Jésus est pour moi,

            Il est Conseiller, Prince de paix, Dieu puissant;

            Il me sauve, Il me garde de tout péché et de la honte,

            Merveilleux est mon Rédempteur, gloire à Son Nom!

            Il use d’amour et de miséricorde envers Ses enfants. Ô Dieu, encore une fois, encore une fois, ma prière est que tu visites Tes enfants.

            Croyez-vous que votre maladie du coeur vous a quitté, frère? Allez de l’avant. Vous êtes...

            Oh! combien j’aime Jésus,

            Oh! combien j’aime Jésus,

            Oh! combien j’aime Jésus,

            Parce qu’Il m’aima le premier.

64        Croyez-vous que votre arthrite est partie? Descendez de l’estrade en vous réjouissant, en disant: «Merci, Seigneur Jésus.» Combien notre Seigneur est miséricordieux!

            Maintenant, vous voyez, je n’étais pas en train de lire leurs pensées du tout. Amen. Ô Dieu, sois miséricordieux. Croyez-vous que votre maladie du coeur va vous quitter et que vous allez vous rétablir? Que Dieu vous bénisse alors. Partez et vous pouvez recevoir ce que vous avez–vous avez demandé. Combien notre Seigneur Jésus... merveilleux. Oh! Il est le Prince de paix, le Père éternel.

            Salut, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Je n’en suis pas digne, mais qui en est digne? Personne. Mais par Sa grâce divine, croyez-vous qu’Il m’a envoyé pour vous aider? Vous le croyez certainement. Vous vous tenez ici pour un de vos bien-aimés, et il s’agit, je pense, il s’agit d’une demi-soeur, et elle est dans un Etat où la région est plane et elle est dans un asile d’aliénés. Elle y est depuis des années. C’est une malade mentale. Est-ce dans le Kansas? Que Dieu vous bénisse.

65        Passez-moi ce mouchoir. Que Dieu soit miséricordieux. J’envoie maintenant ce mouchoir, et que l’esprit de démon quitte la fille, et qu’elle revienne à la maison étant normale et en parfaite santé. Nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen. Ne laissez personne le toucher ni le manipuler; mettez cela juste dans une lettre dès demain et envoyez-le-lui. Que Dieu vous bénisse; et puis écrivez-moi le témoignage, s’il vous plaît. Très bien.

            L’aimez-vous? Comment pourrions-nous faire autrement que L’aimer? Maintenant, si vous pouvez croire de tout votre coeur, Dieu vous rétablira. Croyez-vous cela? Ayez la foi.

            Vous venez de l’Indiana pour la guérison de ce diabète, n’est-ce pas, monsieur? C’est ça. Tenez-vous debout et acceptez votre guérison? Que Dieu vous bénisse. Retournez, et soyez rétabli.

66        Une opération vous attend pour une fistule par là, n’est-ce pas, madame? Et vous souffrez aussi des hémorroïdes. Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérira, et vous tirera d’affaire? Si vous le croyez de tout votre coeur, vous pouvez l’obtenir. Acceptez simplement cela. C’est entre vous et Dieu pour que cela se fasse. Très bien.

            Approchez, s’il vous plaît. Que Dieu vous bénisse, soeur. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu est ici pour révéler les... mêmes... pour dévoiler les pensées secrètes de votre coeur? Croyez-vous qu’Il vous voit depuis que vous étiez bébé? Il vous a nourri depuis que vous étiez bébé. Croyez-vous qu’Il peut dévoiler tout ce que vous avez fait depuis que vous étiez bébé? Certainement. Il est Dieu, et rien n’est impossible à Dieu, ou rien n’est impossible à ceux qui croient en Dieu. Est-ce juste?

67        Qu’en pensez-vous, madame, vous qui êtes assise là, la main levée. Vous désirez certainement être guérie de ce rhume des foins, n’est-ce pas? Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Comment ai-je su que vous avez le rhume des foins? Vous ne le savez pas. Eh bien, c’est Jésus-Christ qui révèle cela. C’est ça. Si vous croyez de tout votre coeur...

            Eh bien, qu’en pensez-vous, madame, vous qui êtes assise à côté d’elle? Aimeriez-vous...? Oui, vous souffrez de l’hypertension, n’est-ce pas? C’est juste. Voulez-vous aussi en être guérie? Levez simplement les mains et dites: «J’accepte Jésus.»Toutes les deux, dites: «J’accepte Jésus comme mon Guérisseur.» Vous pouvez obtenir ce que vous–ce que vous désirez. Dieu va vous l’accorder. Amen.

            Oh! Combien notre Dieu est miséricordieux! Croyez-vous en Lui de tout votre coeur?

68        Il semble qu’une personne est accablée là dans l’auditoire d’une pneumonie grave; cela a causé une maladie des poumons, un cas de pneumonie. N’est-ce pas juste, madame, vous qui êtes assise là en train de regarder droit vers moi? Je pensais que la vision se tenait juste au-dessus de vous parce que la maladie de la poitrine est là. Est-ce juste? Eh bien, Jésus-Christ vous rétablit maintenant. Que Dieu vous bénisse. Vous n’avez plus à vous inquiéter à ce sujet. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez retournez chez vous et être rétablie.

            Oh! N’est-Il pas merveilleux? Est-ce que tout le monde croit? Etes-vous prêts à L’accepter maintenant comme... Vous avez dit qu’Il est votre Sauveur. Etes-vous prêts à L’accepter comme votre Guérisseur? Que tout le monde dans la salle soit guéri, et qu’il monte ici pour témoigner. Voudriez-vous le faire? Vous qui ne pouvez pas marcher, montez et montrez-moi que vous pouvez marcher. Vous qui n’entendez pas, que quelqu’un à côté de vous puisse monter ici pour constater que vous pouvez entendre. Voudriez-vous le faire?

69        Eh bien, Il est ici maintenant et Il l’a fait pour vous si vous voulez bien l’accepter. Croyez-vous cela? Je ne vous vois presque plus. C’est vraiment... Je pense que c’est la faiblesse qui me gagne.

            Est-ce le dernier pa-... Excusez-moi, madame. Je suis–je suis désolé. Vous voyez? Regardez par ici. Croyez-vous de tout votre coeur? Bon, nous ne nous connaissons pas, soeur, n’est-ce pas? Vous avez un problème gynécologique; c’est votre matrice qui s’est affaissée. N’est-ce pas juste? Votre mari a aussi une affection, n’est-ce pas? Une maladie de l’estomac, est-ce juste? Allez lui imposer les mains. Que Dieu vous bénisse. Croyez Dieu de tout votre coeur, et vous recevrez très exactement ce que vous demandez. Moi, je vous impose les mains. Vous, imposez-lui les mains au Nom de Jésus.

70        Combien veulent qu’on prie pour eux là dans l’assistance? Combien veulent être guéris là-bas? Maintenant, je vais vous demander de faire quelque chose. Je veux que le piano joue pour nous accompagner, l’orgue, lentement, doucement, Crois seulement, s’il vous plaît. Inclinons la tête juste un instant.

            Que tout le monde enferme son âme avec Dieu. Au cours de quinze soirées, des boiteux marchent, des estropiés prennent leurs lits et sortent de la salle, des malades sur des brancards sont guéris et retournent chez eux. Les sourds entendent et les muets parlent. Les pécheurs reçoivent la réprimande à cause de leurs péchés. Les gens qui ont vécu dans le péché tout en professant le christianisme ont été dénoncés directement et ce qu’ils ont fait leur a été dit: Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

71        Vous pourriez passer un à un à l’estrade, Dieu vous révélera tout ce qui cloche. Vous connaissez ce qu’il y a de mal en vous. Réglons cela maintenant même. Je veux que vous vous imposiez les mains les uns aux autres, s’il vous plaît, pour la guérison de votre corps. Je veux que vous répétiez cette prière. Répétez-la au fur et à mesure que je la fais. Eh bien, je vais l’offrir, et vous, répétez-la dans un esprit de prière.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, abaisse Ton regard sur moi maintenant dans Ta grâce. Vois mon péché et mon état, et plonge Ton regard jusque dans mon coeur, Seigneur. Et s’il y a de l’incrédulité, ô Dieu, ôte-la de moi en ce moment, car je crois en Toi. Viens au secours de mon incrédulité. Je viens maintenant avec un coeur sincère pour accepter ma guérison. Maintenant, que ma foi soit suffisante pour recevoir cela. Je le demande au Nom de Jésus-Christ.

72        Maintenant, gardez simplement la tête inclinée. Que tout le monde prie, peu importe ce que vous avez comme problème en ce moment. Eh bien, ne relevez surtout pas la tête. Gardez les yeux fermés. Imaginez simplement ce que Jésus est en train de faire juste en ce moment, le Saint-Esprit est au-dessus de vous, vous faisant la cour; Ses bontés et Sa puissance se déversent dans votre corps maintenant même, vous guérissant. Les Anges de Dieu planent autour de vous.

            Maintenant, ce démon d’incrédulité est la seule chose qui pourrait vous empêcher d’être guéri. Maintenant, en tant que serviteur de Dieu, je vais le sommer de quitter cette salle. Je vais le sommer de sortir de chaque personne et de quitter ce lieu, et alors lorsque je le somme de sortir, croyez qu’il est parti, et puis glorifiez Dieu pour cela et votre maladie commencera à vous quitter sur-le-champ. Vous serez rétabli.

73        Maintenant, s’il ne peut pas résister ici à l’estrade devant la prière, il ne peut pas résister là dans l’assistance devant la prière. Maintenant, il s’agit tout simplement de votre foi. Un homme a dit: «Viens imposer les mains à ma fille.»

            Un autre a dit: «Dis seulement une Parole, Seigneur.» Maintenant, croyez cela. Si Dieu a dit la vérité, je saurai à coup sûr ce qu’est la vérité. Maintenant, gardez vos têtes inclinées, et je vais demander à Dieu de m’aider pour forcer Satan à libérer chacun de vous.

            Satan, toi démon d’incrédulité, c’est fini. Jésus vous a déjà guéris.

            Notre Père céleste, alors que ce groupe de gens a baissé ici la tête, avec des coeurs ouverts pour recevoir Ta Vérité, quand bien même ils ont regardé chaque soir et qu’ils ont vu de grands signes, des prodiges et des miracles que Tu accomplis...

74        Des hommes de grand renom sont debout, ils se prosternent à Tes pieds et T’acceptent, Seigneur. Et je Te remercie pour cela. Et maintenant, Seigneur, je crois que le jour du plus grand réveil qui ait jamais balayé les pays est vraiment proche. Je crois que nous nous approchons de quelque chose. Je crois que Jésus vient, et Tu envoies toujours la grâce avant le jugement.

            Et maintenant, Seigneur, Satan rôde comme un lion rugissant. Nous savons que les mauvaises herbes et le blé croissent ensemble et atteignent la maturité ensemble. Et juste au moment où l’iniquité et la méchanceté répandent de mauvaises herbes dans le pays, nous savons que le blé aussi atteint la maturité.

75        Et maintenant, Seigneur, laisseras-Tu Satan garder Ton peuple sous son emprise? A Dieu ne plaise. Lève-Toi, ô Jéhovah, lève-Toi. Que ce soir Tes yeux se tournent vers ce peuple qui fait la confession. Ô Seigneur, chevauche sur les nuées. Toi qui viens sur les vents du matin, viens en chevauchant dans cette salle, Seigneur. Montre à Satan qui est le Patron. Prends le contrôle, Seigneur.

            Et maintenant, en tant que Ton serviteur qui me tiens ici à Ta place, je réprimande le diable qui a lié ces gens. Toi démon, en tant que serviteur de Jésus-Christ, je t’adjure de déguerpir complètement de cette salle. Sors de ces gens! Laisse-les au Nom de Jésus-Christ.

            Frère Osborn...

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