Le Rideau Du Temps

Date: 55-0302 | La durée est de: 1 heure et 47 minutes | La traduction: Shp
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1          Bonsoir, les amis. Nous sommes heureux d’être à Phoenix ce soir à ce culte, mais nous regrettons que ça soit la dernière soirée. Nous espérons donc que Dieu nous accordera Ses plus grandes bénédictions ce soir, et qu’il n’y aura aucun malade, aucun affligé parmi nous lorsque nous quitterons ce soir. J’aimerais que vous par ici, vous qui êtes sur les brancards, sur les lits de camp, et les fauteuils roulants, j’aimerais que vous fassiez quelque chose pour moi ce soir. J’aimerais que vous croyiez de tout votre coeur. J’aimerais vous voir tous sortir ce soir en marchant, guéris.

            Il vous aime, les amis. Le fait que vos maladies et autres semblent incurables, ça c’est simplement Satan qui vous le dit. Vous guérir n’est pas plus difficile pour Lui que de guérir n’importe qui d’autre. Croyez de tout votre coeur ce soir. Croyez simplement cela ; cela ne change rien combien vous... ce que votre esprit dit à ce sujet ; acceptez simplement ce que Dieu dit à ce sujet. Je sais que c’est la vérité. Je ne vous l’aurais pas dit, si je n’étais pas réellement sûr que c’est absolument la vérité.

2          Bon, nous voulons premièrement remercier, je pense, frère Moore ; généralement c’est le manager qui le fait, mais je–j’aimerais saisir cette occasion moi-même pour vous remercier tous de votre contribution pour que cette série de réunions soit la meilleure, je pense, qui a... que nous ayons jamais tenue à Phoenix. C’est la série de réunions la plus spirituelle et la plus ordonnée de toutes les réunions que j’ai déjà tenues à Phoenix.

            Je voudrais remercier ce merveilleux groupe de ministres, les ministres qui ont collaboré, qui nous ont aidés à tenir cette série de réunions. Tous les sponsors, beaucoup d’entre eux n’ont pas pu sponsoriser, parce qu’ils avaient leurs propres réunions de réveil et d’autres choses en cours. Jamais nous n’essayons de, oh ! d’organiser quelque chose de si grand que tout le monde sera obligé de fermer son église. Certains frères ont de grandes tentes et autres ; ils étaient obligés... Tout le monde était obligé de fermer, sinon les gens ne pourraient pas venir. Oh ! je n’ai jamais tenu mes réunions de cette façon-là. Et je rends les choses simples et modestes, juste pour aller faire le mieux que je peux.

            J’apprécie tous ceux qui sont effectivement venus. Et ceux qui n’ont pas pu venir, eh bien, je les apprécie autant. Ainsi nos dépenses sont bas, notre budget n’est pas très gonflé ; et par conséquent, nous n’avons pas à faire pression sur les gens, nous prélevons simplement une offrande ordinaire et nous payons nos dettes. Et aussitôt que le budget est élaboré, tout est réglé.

3          Et j’entends dire que ce soir on a donné une offrande d’amour pour moi ; j’apprécie certainement cela. J’aurais souhaité ne pas devoir prendre cela. J’ai une grande obligation ; vous pouvez imaginer ce que c’est. Et comme le bureau fonctionne tout le temps, il me faut cent dollars par jour, peu importe l’endroit où je me trouve. Ça, ce n’est qu’à Jeffersonville, que je tienne des services ou pas. Vous pouvez vous rendre compte à quel point je suis redevable.

            Et, eh bien, nous envoyons beaucoup de cartes de prière, comme celles qu’on a ici. Et nous en envoyons partout dans le monde. Parfois nous en envoyons mille en un seul jour. Et vous êtes tous les bienvenus, à tout moment que je peux vous être d’un quelconque secours, eh bien, écrivez-moi et tenez-moi informé. Je ne dis pas que... Voyez, bien des fois les gens disent: «Ecrivez-moi», juste pour obtenir votre adresse. Mais je n’ai pas d’émission de radio à sponsoriser. Je n’ai rien, juste... vous... rien du tout juste pour que je puisse vous aider. Pour ce qui est de vous envoyer un linge de prière ou quelque chose du genre, je serai heureux de le faire. Prier pour vous, ça je serai heureux de le faire.

4          Et maintenant, j’aimerais remercier chacun de vous pour votre collaboration ; vous tous pour être venus, pour tout ce que vous avez donné. Et l’offrande d’amour de ce soir, chaque sou qui ne devra pas exactement aller dans notre petite... Quant à notre mode de vie, nous menons une existence pauvre juste comme les autres. Les gens ne comprennent pas pourquoi ayant été dans le champ de mission plus longtemps que tous les autres, je n’aie cependant rien. C’est parce que je dépense le peu que j’ai dans les missions à l’étranger, mes amis, tout. Dieu est mon Juge solennel pour cela (Vous voyez?), que tout ce que je reçois, je...

            Quand il est question des finances, quand nous essayons de mener une vie ordinaire comme le reste du monde, alors le peu qui nous reste, je l’économise, je l’économise, jusqu’à ce que j’aie assez d’argent pour nous permettre d’aller outre-mer. Nous partons alors prêcher l’Evangile à ceux qui ne L’ont jamais entendu auparavant, pour gagner des milliers et des milliers à Christ. Lorsque notre argent s’épuise, nous revenons. Nous revenons en Amérique et nous allons visiter nos amis. Ils nous aident un peu, et aussitôt que nous avons économisé assez, nous voilà repartis.

5          Maintenant, je le sais, j’ai beaucoup d’amis. J’ai des amis qui sont assis juste ici dans cette salle ce soir, qui disent tout simplement: «Tenez, Frère Branham, je vais vous établir un chèque pour vous permettre d’aller outre-mer.»Mais cela ne serait pas juste vis-à-vis d’autres personnes. Voyez-vous? Chacun de nous aimerait avoir sa petite part là-dedans. C’est juste. Chacun y a sa part de dix cents, quinze cents, vingt-cinq cents, peu importe ce que c’est, ça contribue à l’avancement du Royaume. Et ainsi, je suis alors sûr que c’est le Seigneur qui m’envoie là-bas.

            Je pense qu’avant de vous revoir, j’aurai probablement effectué une autre tournée outre-mer. Il y en a une qui est en vue maintenant pour toute l’Afrique, le Tanganyika, la Rhodésie, et en Inde une fois de plus. Et ainsi, nous espérons que vous serez en train de prier pour nous, pendant que nous ferons notre voyage.

6          J’ai rencontré aujourd’hui un ami, qui m’a dit de ne pas citer leurs noms à l’estrade, mais s’il est présent, il sait combien nous les apprécions, eux tous. Je les aime de tout mon coeur. Et puis, certaines personnes ont été... Ils savent que je suis un–j’aime bien chasser, j’ai donc mangé beaucoup de gibier. Ils m’ont amené...

            Deux ou trois personnes m’ont apporté de la viande de cerf là où je restais. Ils m’ont apporté de l’élan, même du bison, du pécari, ainsi j’ai–j’ai vraiment passé un temps merveilleux.

            C’est ma première fois de manger certains de ces gibiers. C’était vraiment bon. Que le Seigneur vous bénisse. Vous ne savez pas combien j’ai aimé cela. Je vous adresse tous mes remerciements. Et c’est la première fois que j’ai goûté du sanglier ou–ou du bison, c’était vraiment bon. Et j’apprécie beaucoup cela. Et la viande de l’élan et du cerf était délicieuse. J’aime vraiment ce genre de nourriture. Je ne sais pas ce qui me fait raffoler cela, mais je–j’aime ça de toute façon. J’aime le bois et le plein air. J’aime donc tout ce qui s’y rattache. Ainsi je vous apprécie très–très infiniment.

7          Et maintenant, vous tous qui vous êtes assemblés, quelle foi merveilleuse, ça a été merveilleux ! Pour moi, ça a été un peu dur, les amis. Ça a été la première fois dans mes réunions où j’ai essayé de faire mon propre appel à l’autel, de prêcher, de faire mon appel à l’autel, d’amener les gens à Christ, et puis de prier pour les malades. Ça a été vraiment dur. Pour les quelques derniers jours, j’étais presque exténué. En effet, ceci ce n’est pas l’unique réunion à laquelle je participe.

            Je vais immédiatement me rendre en Californie. Nous avons déjà apprêté maintenant la plupart de nos bagages, nous sommes prêts à partir pour la Californie. Et nous serons là-bas, et puis nous reviendrons directement à Macon, en Géorgie. De là, on ira directement à... dans le Colorado, et nous continuerons sans arrêt. Et ça devient certainement un peu fatiguant.

8          Eh bien, une fois... les plus grands transports de joie que j’ai eus dans mes réunions, surtout récemment... je remets toujours l’appel à l’autel au manager, à quelqu’un. Mais moi je... Combien cela me fait tressaillir de joie de voir les gens se lever et accepter le Seigneur Jésus comme leur Sauveur personnel ! Et j’en suis si heureux.

            Et j’aimerais faire... j’aimerais que les ministres comprennent, mes sponsors et mes proches, que j’aimerais revenir un jour à Phoenix, si Dieu le veut, juste pour tenir des services de prédication de l’Evangile et appeler les gens à l’autel et leur imposer les mains pour qu’ils reçoivent le Saint-Esprit. Avec... C’est le discernement, les visions qui m’épuisent tant.

9          Combien parmi vous aimeraient que nous revenions pour tenir une réunion de ce genre? Aimeriez-vous cela? Eh bien, que Dieu vous bénisse. Merci beaucoup. Peut-être prier pour les malades, mais pas sous le discernement, de sorte que je puisse rester longtemps (Vous voyez?), au lieu de rester seulement quelques soirées et devoir ensuite repartir ; eh bien, nous pourrions rester plus longtemps. Tous mes remerciements.

            Alors que j’effectue ma tournée à travers la nation pour le moment, avant d’aller outre-mer, c’est ce que je demande. A Los Angeles, chez les Hommes d’Affaires Chrétiens, les cinq premières soirées de réunions consisteront à prêcher et à imposer les mains aux malades, et à prier pour eux à mesure qu’ils passeront dans la ligne. Nous prendrons chacun d’eux à ce moment-là.

10        Et maintenant, ce n’est pas exactement de cette façon-là que je me sers de mon ministère, mais c’est de cette façon que les gens ont été enseignés, et c’est ce qu’ils croient, j’aimerais donc procéder de cette manière pendant un temps. Vous ne pouvez pas mélanger les choses ; en effet, lorsque les visions commencent au début, alors vous n’en avez pas le contrôle ; elles continuent tout simplement. Et maintenant, ce soir j’aurais aimé pouvoir vous expliquer et vous dire comment ça se passe, mais je ne le saurais pas. Ça reste un mystère pour moi autant que ça l’est pour vous.

            Maintenant, je pense que cela couvre tout, à l’exception des gardiens, des huissiers et ainsi de suite. Nous sommes reconnaissants à cette fraternité du Temple Shriner de nous avoir permis d’obtenir cet amphithéâtre. J’espère que les gardiens, les managers et les autres sont présents. S’ils ne sont pas là, nous vous prions de leur transmettre notre appréciation la plus profonde. C’est pour la deuxième fois qu’ils nous l’accordent, et nous apprécions cela. Que le Seigneur les bénisse tous.

11        Et nous remercions aussi les huissiers qui ont été si gentils pour nous aider à apprêter la ligne de prière. Et surtout un petit huissier qui accompagne Billy, qui m’aide par ici, un petit homme. C’est un merveilleux petit gars, j’ai dû lui serrer la main il y a quelques instants. Et lorsqu’ils me conduisent pour me faire entrer, ils ne parlent pas, comme tout le monde le sait. Ainsi nous passons à l’estrade après être sorti de la prière.

            Et nous remercions certainement ce frère. Et les autres aussi, frère Ballard et tout ce merveilleux groupe de frères qui sont assis ici derrière, frère Walk–Fuller, oh ! ils sont très nombreux. Je reconnais leurs visages, mais parfois leurs noms m’échappent. Je pense que ce sont des hommes merveilleux. Et je crois, l’un d’eux, je crois que c’est frère Fuller, commence un réveil juste après ceci, n’est-ce pas? Ce sera demain soir, nous en faisons certainement l’annonce. Ce frère Fuller ici présent, du... est-ce du Fuller Tabernacle? Faith Temple [Temple de la Foi]. Avez-vous déjà annoncé cela ici? Je pense que de toute façon...

12        Et nous sommes vraiment heureux d’annoncer n’importe quel réveil, à tout moment, et le lieu où ils vont tenir... Dépêchez-vous, hâtez-vous, que tout le monde assiste à ces réveils qui sont maintenant annoncés, et allez directement de l’avant et servez le Seigneur. Ne laissez pas la lumière de votre maison s’éteindre. Continuez simplement à avancer avec ces réveils.

            Oh ! c’est si merveilleux de savoir que le Seigneur Jésus est vivant aujourd’hui, n’est-ce pas? Il vit et Il règne au-dedans de nos coeurs... Et maintenant ce soir je n’aimerais pas prendre beaucoup de temps. J’aimerais parler juste un petit peu sur la Parole, et ensuite entrer directement dans la ligne de prière pour les malades.

            J’avais plutôt annoncé que je ferais peut-être juste un appel...?... Et puis, j’ai plutôt ressenti que nous devrions laisser peut-être simplement cela au Seigneur, pour voir ce qu’Il va faire à ce sujet, jusqu’à la fin de la–la route, lorsque nous en arriverons à ce moment-là. Parfois Il nous laisse simplement aller jusqu’au dernier moment, alors Il nous dit ce qu’il faut faire. Mais nous L’aimons pour cela, n’est-ce pas?

13        Eh bien, que le Seigneur vous bénisse. Priez pour moi. Combien parmi vous promettent qu’ils vont prier pour moi? Je... vraiment je... Que Dieu vous bénisse (Oh ! la la !), les enfants par ici... Je pense simplement entrer pour serrer les mains aux gens. Et combien j’aimerais traverser cette allée-ci ce soir. Je... C’est vraiment la vérité, j’aimerais aller à la maison avec chacun d’entre vous, passer toute la nuit, m’asseoir et causer un peu, me lever le matin et bavarder. J’aimerais faire cela ; mon coeur désire ardemment rencontrer les gens comme cela. Mais je suis presque obligé de me tenir isolé à cause du genre de ministère que j’ai, parce que c’est... Je ne peux tout simplement pas le faire, et tenir les réunions. Mais Dieu sait que je vous aime.

            Je prends donc rendez-vous avec chacun de vous. Ceci... Lorsque je vous verrai dans le Pays de gloire, si Dieu me permet d’être là avec vous, j’aimerais venir là et m’asseoir pendant mille ans avec chacun de vous et causer. Et nous allons simplement–simplement... Nous aurons infiniment du temps pour en parler. Nous allons nous dire tout à ce moment-là, n’est-ce pas? Ne sera-ce pas merveilleux de nous asseoir là, près de l’Arbre de la Vie?

14        Et vous savez que nous serons agrémentés par les... tous les grands chanteurs. Il y aura Sankey, Beverly Shea, et tous les autres, là-bas sur la colline, juste chantant les louanges de Dieu. Nous nous assiérons près de l’Arbre de la Vie, où les eaux sortent du dessous du Trône. Ne sera-ce pas merveilleux? Oh ! je soupire après ce jour. Qu’est-ce que ça fait pour un chrétien qui est réellement ancré en Christ? Car dès que ce vieux tabernacle terrestre est ôté, nous entrons directement dans un autre, qui se trouve juste là. Oh ! la la ! N’est-ce pas merveilleux?

            Pensez-y, on tombe malade et on est fatigué et brisé, chagriné, rien ne marche, le monde est tout agité, pensez-y bien. «Viens, Seigneur Jésus.» Bien vite, ce vieux corps tremblant commence à dépérir, et vous ressentez les douleurs le gagner, les vagues froides de la mort qui vous envahissent. Puis lorsque vous vous tenez là de l’autre côté et que vous regardez, il y a un corps tout nouveau qui se tient juste là. Juste en sortant de celui-ci, vous entrez dans celui-là.

15        «Nous savons, en effet, que, si cette tente terrestre est détruite, nous en avons déjà une autre qui attend», nous allons simplement entrer dans cette tente-là. Une nouvelle tente, qui n’est pas faite de main d’homme, mais Dieu Lui-même l’a faite, Dieu l’a façonnée pour être éternelle, la gloire de Dieu. D’y entrer directement, de redevenir une nouvelle créature et jeune, pour ne plus jamais tomber malade... Oh ! la la ! Que peut... Eh bien, la mort n’a pas de–d’emprise sur un chrétien, n’est-ce pas? La mort, c’est tout simplement quelque chose pour amener le chrétien directement dans la Présence de son Créateur. Il est merveilleux lorsque vous pouvez penser à Lui dans ce sens-là, n’est-ce pas juste? Le fait que la mort ne peut pas avoir de l’emprise sur un chrétien, elle ne fait que l’emmener directement...

            Maintenant, quel genre de corps ça sera, avant que nous retournions pour prendre ce corps-ci? Je ne sais pas ; cela n’est pas encore révélé à l’homme. Mais nous savons que nous ne serons pas un esprit après que nous aurons quitté ici. L’esprit quittera cette tente, pour entrer dans une autre que Dieu a faite. Ce n’est pas simplement un esprit ; c’est un corps. Amen. Ça a une forme, ça a une physionomie, tout. Oh ! Ce sera merveilleux, n’est-ce pas?

16        Maintenant, on va juste lire une petite portion de la Parole, parce que Ses Paroles ne vont pas faillir. Mes paroles à moi failliront, et la parole de n’importe quel autre homme faillira, mais Sa Parole ne faillira pas. Ainsi dans Saint Luc... Je prêche beaucoup sur l’Ancien Testament, ce soir je me suis dit que je devrais un petit peu changer, et prendre quelque chose dans le–le Nouveau Testament. Etant donné que je suis un typologue, je dois faire plutôt demi-tour pour prendre une ligne dans l’Ancien Testament, pour être sûr de ce que le Nouveau Testament est. Ainsi je crois que si j’ai l’ombre de la chose, je saurai exactement ce que c’est, lorsque cette chose sera là, si nous voyons l’ombre de la chose.

            Maintenant, dans le Nouveau Testament, Saint Luc, au–au chapitre 24, à partir du verset 30. Juste pour avoir une Ecriture qui nous serve de référence. Nous lisons ceci dans ces versets:

Pendant qu’il était à table avec eux, il prit le pain ; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna.

Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent ; mais il disparut de devant eux.

Et ils se dirent l’un à l’autre: Notre coeur ne brûlait-il pas au dedans de nous, lorsqu’il nous parlait en chemin et nous expliquait les Ecritures?

17        A présent, demandons-Lui, Lui le Seigneur Jésus ressuscité, de bien vouloir nous ouvrir les Ecritures en ce moment, pendant que nous sommes assis et que nous nous attendons à Lui. Inclinons la tête, pendant que nous prions.

            Notre Bien-Aimé Sauveur, nous sommes venus à Toi ce soir, avec des coeurs ouverts, du mieux que nous les connaissons. Nous venons à Toi avec cette assurance bénie, qui a été placée tout au fond de notre être, à savoir que Tu es le Fils du Dieu vivant, que Tu es mort pour nos péchés, que Tu nous sépares donc du péché, et que Tu es ressuscité d’entre les morts, et que maintenant Tu es assis à la droite de la Majesté Divine dans les lieux célestes et Tu as envoyé sur terre le Saint-Esprit.

            Et nous Te rendons grâces pour le témoignage du Saint-Esprit, qui confirme la Parole avec des signes qui L’accompagnent. Nous Te remercions pour cette merveilleuse et glorieuse série de réunions, car c’est seulement par Ta grâce que nous avons pu être en mesure de–de communier ici. Combien nous avons communié autour de la Parole, et autour de l’Esprit de Dieu. Nous sommes tous membres des différentes organisations, pour ainsi dire, mais tous ensemble nous sommes dans ce... assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ, et nous avons ouvert nos coeurs à la Parole, et nous avons laissé le Saint-Esprit entrer. Nourris-nous.

            Des centaines de gens T’ont reçu comme leur Sauveur ; nous en sommes si reconnaissants. Et les malades, les infirmes, ceux qui ont été cloués dans les fauteuils roulants, paralysés, ceux qui étaient couchés sur les lits de camp, les brancards, ont été guéris et sont sortis en marchant. Les aveugles, les sourds, les muets, toutes sortes de maladies ont été guéries. Et Toi, ô Dieu, Tu es venu au milieu du peuple, et leur foi a attiré des Paroles surnaturelles, leur expliquant leur vie, ce qu’ils ont fait, ce qu’ils doivent faire, et ce qui arrivera. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...

18        ...Dieu, qui était une partie de Dieu. Dieu a vu ce que serait la fin depuis le commencement, et le Logos est venu sur la terre, Lequel était Christ la Parole, la Parole parlée de Dieu, une partie de Dieu, Il a été fait chair et a habité parmi nous. Et alors, nous sommes sortis de Christ, ce qui fait que la même Vie qui était en Dieu est entrée en Christ, et puis en vous. Et tout aussi sûr que Dieu a ressuscité Celui-ci, nous devons aboutir à la même chose, si le même Esprit est en nous. Parce que c’est l’Esprit de Dieu qui fait de nous des fils et des filles de Dieu.

            Oh ! N’est-ce pas merveilleux? Comment recevons-nous cela? En croyant au Seigneur Jésus-Christ, voilà. Et en acceptant cela, alors Dieu en retour nous donne le Saint-Esprit, qui crie dans nos coeurs: «Abba Père, mon Dieu, mon Dieu.» Et alors nous sommes ressuscités dans les derniers jours pour être enlevés. Et Il a dit: «En ce jour-là vous connaîtrez que Je suis dans le Père, le Père en Moi, Moi en vous, et vous en Moi.»

19        Voilà l’Esprit qui sort de Dieu, manifesté comme étant le Logos, Il est descendu et a été fait chair, et a habité parmi nous, il est re–res-... mort, Il a pris sur Lui le salaire du péché, Il est ressuscité, Il est assis à la Majesté Divine dans les lieux célestes, à la Droite de Dieu. Et le Saint-Esprit revient, amenant le même Esprit dans les individus maintenant, pour rétablir la relation entre eux et leur Créateur. N’est-ce pas merveilleux?

            Alors toutes les bombes atomiques et tous les... Avez-vous vu le journal aujourd’hui? On dirait que la guerre est sur le point d’éclater une fois de plus ; ils sont en train de se braquer leurs armes. Qu’est-ce que cela change pour un véritable croyant, le nombre d’armes qu’ils braquent? Amen. Dieu tient les rênes dans Ses mains. Amen. Et lorsqu’il sera temps pour que nous quittions ici, que ça soit par... quelle que soit la manière par laquelle nous quitterons ; il n’y a rien, ni la mort, ni rien d’autre qui puisse nous séparer de Dieu. Nous avons la Vie Eternelle. Nous ne pouvons pas venir en jugement, parce que Christ l’a dit: Nous sommes déjà passés de la mort à la Vie.

20        Nous sommes maintenant à Jérusalem, le commencement de notre texte de ce soir, ça avait été une très merveilleuse période de trois ans et demi. Ils avaient eu un réveil. Et les gens avaient été dans une très grande attente d’un Homme que le monde et l’église avaient rejeté, le Seigneur Jésus. Il était considéré comme un fanatique. C’est comme nous le dirions aujourd’hui, si nous devions le dire dans les termes modernes, Il était un saint exalté. Il était complètement en désaccord avec leur théologie. Et pourtant, Dieu avait confirmé qu’Il était avec Lui.

            Pierre a dit dans Actes 2, il a dit: «Hommes Israélites, vous auriez dû reconnaître ceci. Car ce Jésus de Nazareth était un Homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous, par des signes et des prodiges que Dieu a opérés par Lui, au milieu de vous tous, et vous en êtes tous témoins. Vous auriez dû reconnaître cela, mais, a-t-il dit, vous avez crucifié le Prince de la Vie par la main des impies. Dieu L’a donc ressuscité, et nous en sommes témoins.» Voilà. Dieu a prouvé que c’était Son Fils bien-aimé, par des signes et des prodiges qu’Il a opérés, montrant que Dieu était avec Lui.

21        J’aimerais vous demander quelque chose, vous les croyants, surtout à vous mes frères ministres qui êtes ici derrière. Au cours des deux derniers mille ans, chaque fois que l’Eglise a eu un réveil, ou chaque fois que l’Eglise a eu un réveil, des signes et des prodiges accompagnaient ce réveil. Absolument. Les signes du Dieu surnaturel vivant dans les gens, qui donne aux gens une vision. Quelle espérance avons-nous, si nous ne sommes pas sûrs qu’il y a quelque chose de surnaturel?

            Tout homme essaie de regarder au-delà du rideau du temps. Vous savez que vous venez de quelque part ; vous allez quelque part ; il faut donc jeter un petit coup d’oeil au-delà du rideau du temps. Moïse voulait voir cela. Dieu l’a laissé voir cela. Nous pouvons donc voir cela aussi, Christ le ressuscité.

22        Maintenant, l’Eglise qui avait quitté ses affiliations avec–avec la grande église juive orthodoxe de ce temps-là, le sanhédrin, elle était sortie, et avait suivi le Seigneur Jésus. Peu importe combien les gens avaient jeté le discrédit sur Son Nom en L’appelant «Enfant illégitime», eux avaient reconnu que Dieu était en Lui.

            Il a dit: «Mes brebis connaissent Ma Voix.» Vous voyez, ils étaient spirituels à l’intérieur, et lorsqu’ils L’ont vu, ils ont reconnu qu’Il était différent des sacrificateurs, des docteurs de la loi et des autres. Aussi L’ont-ils suivi partout où Il allait. Ils L’aimaient. Les gens ne pouvaient pas Le comprendre. Il était un Mystère, même pour les apôtres. Personne ne pouvait Le comprendre, parce qu’il y avait deux Personnes qui parlaient tout le temps.

23        La Personne de Jésus-Christ parlait, et Dieu parlait aussi en Lui. Parfois c’était Christ Lui-même ; parfois c’était le Père qui habitait en Lui. Vous voyez cela? Il... Les gens ne pouvaient pas comprendre certaines choses qu’Il disait ; Il leur parlait en énigmes. Finalement Jésus, un jour, pendant qu’Il leur parlait, a dit: «Je suis venu de Dieu ; Je suis venu dans le monde ; et Je retourne à Dieu.»

            Et alors les disciples ont dit: «Maintenant Tu parles ouvertement. Maintenant nous comprenons, et nous croyons que–que Tu sais toutes choses, et à cause de ceci nous croyons que Tu es le Fils de Dieu. Nous croyons en Toi, maintenant, parce que Tu sais toutes choses ; Dieu Te montre toutes choses, et Tu n’as pas besoin que quelqu’un Te le dise, parce que Dieu Te le montre tout simplement. Et voilà pourquoi nous croyons que Tu es sorti de Dieu.» Voyez, après qu’ils... Juste avant Sa crucifixion, Saint Jean, je crois, vers le chapitre 15 ou 17, je ne me rappelle plus, c’est le chapitre 15, je pense.

24        Très bien, remarquez, maintenant ils L’aimaient et ils croyaient en Lui, parce qu’ils avaient vu Ses oeuvres, montrant que Dieu était avec Lui, confirmant la Parole qu’Il prêchait. Voyez, un homme peut venir et dire n’importe quoi. Ça, ce n’est que la parole d’un homme. Mais lorsque Dieu vient là et dit: «C’est la vérité», qu’Il confirme cela, alors vous feriez mieux de croire cela, parce que c’est Dieu qui l’a dit. Vous voyez?

            Ainsi Il disait que Dieu était en Lui. Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres ; c’est Mon Père qui habite en Moi ; c’est Lui qui fait les oeuvres. Je ne fais rien de Moi-même ; Je ne fais que ce que le Père Me montre, c’est ce que Je fais.» Eux ils ont découvert que ce que le Père Lui montrait, ce qu’Il Lui disait, c’était très exactement la vérité.

25        Il se tenait devant l’assistance, et Il discernait les pensées des gens. Il a dit: «Pourquoi avez-vous de telles pensées dans vos coeurs?» Et Il discernait les choses comme cela ; les gens savaient que cela venait de Dieu. Et Il a dit que les choses qu’Il avait faites, que le Père les Lui avait montrées, Il voyait que tout ce qu’Il disait était la Vérité. Ainsi, c’était là un signe pour les Juifs de toute façon.

            «S’il y a parmi vous un homme qui est spirituel ou un prophète, Moi l’Eternel, Je Me ferai connaître à lui par des visions, Je lui parlerai dans des songes. Et si ce que ce prophète dit s’accomplit, alors écoutez-le, car Je suis avec lui. Mais si cela ne s’accomplit pas, alors ne l’écoutez pas, Je ne lui ai pas parlé. C’est simplement faux et charnel, Je ne l’ai pas entendu, ou plutôt Je n’ai pas été avec lui.»

            Mais c’était un signe, et ils avaient vu que Dieu effectivement se manifestait au travers de Christ. Et c’est exactement ce que l’Ecriture dit: «Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.»

26        Maintenant, remarquez, puis vint le temps de déception. Ce grand Personnage merveilleux qui pouvait parler aux morts, et ceux-ci ressuscitaient... Pas tous les morts, Il n’a parlé qu’à trois morts, d’après les récits des Ecritures. Et les trois sont ressuscités, parce que trois constituent un témoignage, un–un témoignage. «Toute parole sera établie sur la déposition de deux ou trois témoins.» Et chaque fois, Il disait que c’est le Père qui faisait cela, que le Père Lui montrait ce qu’il fallait faire.

            Maintenant, ils voient un Homme qui pouvait ressusciter les morts, mourir Lui-même. Et pas juste mourir d’une mort ordinaire, tomber malade et mourir, mais on L’a exposé là et on L’a raillé, un Homme qui pouvait discerner les pensées des gens et leur révéler ce qu’ils faisaient, et puis quand le test est arrivé, l’épreuve, on Lui a mis un bandeau à la tête, et on L’a frappé sur la tête avec un bâton, et on Lui a dit: «Toi qui prophétises, dis-nous qui T’a frappé ; et nous croirons en Toi maintenant.»

            Et quelqu’un a étendu la main et Lui a arraché la barbe de Son visage, et Lui a craché au visage. Une Personne divine, comment était-ce possible? J’imagine que Ses disciples ont dit: «Eh bien, pourquoi ne fait-Il pas quelque chose à ce sujet?» Eh bien, s’Il avait fait quelque chose à ce sujet, vous et moi, nous serions dans une condition horrible ce soir. Il ne pouvait rien faire à ce sujet, se sauver Lui-même et sauver les autres. Il devait se livrer Lui-même.

27        Ainsi Il ne faisait pas le clown avec Ses dons et Sa puissance. Ils L’ont frappé sur la tête et ils ont dit: «Eh bien, dis-nous qui–qui T’a frappé.» Et puis, lorsqu’Il était sur la croix, Lui qui avait pu sauver les autres et calmer la mer en furie, Le voici qui avait une forte fièvre, et Il se mourait, le sang sortait de Ses veines, et les Juifs disaient: «Maintenant, si Tu es le Fils de Dieu, montre-nous un miracle. Fais quelque chose devant nous. Descends de la croix, et nous croirons que Tu es le Fils de Dieu. Nous croirons en Toi si Tu descends de la croix.» Voyez, cet esprit de critique, et Dieu a simplement laissé ces choses arriver de la sorte, «afin que cela confonde les sages et les intelligents et soit révélé aux enfants qui veulent apprendre». Il vous faut oublier tout ce que vous connaissez, et vous soumettre à l’Esprit de Dieu, alors Dieu peut se mettre à vous enseigner.

28        N’essayez pas de vous en aller et d’acquérir toutes ces grandes instructions et éruditions pour connaître Dieu. Vous ne connaîtrez pas Dieu par l’érudition ; on connaît Dieu par la foi. Vous croyez en Lui, et Dieu se révèle à vous. J’aime cela, pas vous? Il a rendu cela si simple, si humble.

            Maintenant, c’est si modeste, et c’est si simple que les sages ne peuvent pas comprendre cela. Cela a été tellement simplifié que les sages ne comprennent pas cela. Ils essaient de rendre cela compliqué pour l’église.

            Ils essaient de faire de cela tout un tas de choses que vous devez faire pour vous sanctifier, arrêter de faire ceci, de faire cela, et tout, ceci, cela, et... Eh bien, ce n’est pas ça du tout ; croyez tout simplement cela, et acceptez cela, et cela règle la question. Dieu entrera dans votre coeur, et Il prendra soin du reste. Si jamais Il peut gagner le–le... dans votre coeur, gagner une place dans votre coeur, alors le reste ira de soi. J’aime cela.

29        Remarquez, comment donc un Homme divin, que les gens pensaient être le Roi qui devait venir, le Libérateur d’Israël, comment cet Homme pouvait-Il s’humilier, laisser les Gentils impies Le frapper à la tête sans leur dire un mot? Pourquoi n’a-t-Il pas montré Sa puissance? Dieu a des temps et des voies pour faire les choses. Ils Lui ont arraché la barbe, ils Lui ont craché au visage, quelle insulte ! «Fais quelque chose ; Tu es le Roi.»

            Il a dit: «Je pourrais demander à Mon Père, et Il M’enverrait douze légions d’anges, mais Mon Royaume n’est pas de ce monde.» Voyez-vous? Il a dit: «Vous ne comprenez pas cela.»

            Oh ! Ils ont dit: «Ôtez cet hérétique !» Et ils L’ont fait monter là-haut et L’ont crucifié, et Il est mort, et ils L’ont enterré, et ils se sont débarrassés de Lui, et ils L’ont scellé dans la tombe. Maintenant, vous parlez d’un peuple déçu qui devait aller affronter une fois de plus le monde, après qu’ils étaient sortis de leurs églises, qu’ils avaient cru dans ce type de religion... Et ils étaient sortis de leurs églises, ensuite ils devaient retourner et affronter encore leurs églises, après que la chose même qu’ils avaient crue, apparemment, avait failli. Ils avaient... Ils... Apparemment il n’y avait plus aucun espoir.

30        La Personne même qu’ils avaient pensé être le Dieu Prophète, ou le–le Messie, on L’avait tellement maltraité devant les gens qu’Il était vraiment impuissant et sans secours. Lorsqu’Il était là parmi les gens, Il avait accompli toutes sortes de signes, mais quand Il se tenait là au tribunal, Il n’a même pas essayé de se défendre, Il a simplement laissé les gens Le frapper ici et là, L’attacher contre un poteau pour y être flagellé, Il les a laissés prendre ces martinets, munis de grosses boules de plomb au bout du cuir, et Lui lacérer le dos avec, et pendant qu’ils Lui flagellaient le dos, Il n’a point ouvert la bouche.

            Ils L’ont amené au sommet de la colline, ils L’ont cloué sur une croix, ils L’ont soulevé et ils L’ont placé là, et la chair de Ses mains s’arrachait. Et Il criait même, implorant miséricorde. C’est vrai. Maintenant, dans la pensée des gens, comment pouvait-Il être le Fils de Dieu, Lui qui pouvait laisser les gens Le traiter ainsi, Le meurtrir et Le traiter de la sorte? Vous voyez, leur ignorance des Ecritures, c’est ce qui a fait qu’ils agissent, qu’ils–qu’ils fassent cela. Maintenant, nous verrons cela dans quelques minutes.

31        Très bien, ils L’ont enseveli...?... le sabbat était passé, le premier jour de la semaine était venu, ainsi ils avaient donc veillé à cause du sabbat. Pierre a pris ses filets de pêche, et il voulait retourner pour reprendre ses activités commerciales, la pêche. «Eh bien, je pense que j’étais dans l’erreur après tout. Peut-être que cet Homme était un fanatique.»

            Je peux le voir, Cléopas et ses amis dire: «Eh bien, retournons à Emmaüs ; c’est terminé. L’Homme en qui nous avions tant confiance comme étant un véritable et authentique Homme divin envoyé de Dieu, une véritable Personne divine, qui pourtant aurait dû à coup sûr être... Peut-être que la grande église avait raison: c’était de la télépathie ; Il lisait les pensées des gens.» Vous voyez?

            Les hommes se disaient: «Peut-être, Il... Il était réellement un spirite. Peut-être qu’Il n’était qu’un spirite, voilà pourquoi la terre a tremblé et tout, lorsqu’Il est mort là-haut. Peut-être qu’Il n’était que ce que les prêtres disaient de Lui, un Béelzébul. Ce que toute l’église... Peut-être que c’était juste.»

            Ainsi il a pris son ami, et il a dit: «Allons maintenant, retournons–retournons à Emmaüs, chez nous, et nous allons reprendre notre métier de charpentier (ou peu importe ce que c’était), recommencer la construction», ou peu importe ce qu’ils voulaient faire. Ils étaient tous découragés, alors qu’ils marchaient sur le chemin, tristes, ignorant que le Seigneur béni était ressuscité le matin de Pâques, et qu’Il était vivant parmi le peuple.

32        Frère, la botanique ne signifie pas seulement des fleurs et ces autres choses, ça signifie aussi la résurrection, dans ce cas-là. Amen. Juste comme au printemps, lorsque les fleurs de Pâques s’épanouissent, tout est si beau, un type même de la nature ; la résurrection doit avoir lieu au printemps. C’est la raison pour laquelle la résurrection se fait au printemps ; la résurrection de tout, et certainement que le Roi de la nature est ressuscité, le Créateur de la nature est ressuscité avec le reste de la nature qui est ressuscité.

            Et les voici, en route vers chez eux, marchant sur la route. Vraiment j’aurais–j’aurais aimé les écouter, pas vous, juste une minute, me tenir là et voir ce qu’ils disaient? J’entends l’un d’eux dire: «Eh bien, Cléopas, qu’en penses-tu? Je suis déçu, moi. Eh bien, j’imagine que nous allons devoir encore affronter ce prédicateur, lui dire: ‘Je pense que nous avions tort concernant cet Homme.’ Oh ! la la ! Je déteste faire cela ; j’avais vraiment fondé ma confiance en Lui.»

33        Et remarquez, pendant qu’ils parlaient de Lui, qu’ils s’entretenaient à Son sujet, Il est apparu. C’est une bonne façon de L’amener à venir auprès de vous: parlez de Lui tout le temps. Amen. Gardez votre conversation centrée non pas sur qui est... ou sur quelle chaîne de télévision sera diffusée la prochaine pièce de théâtre, ou le prochain film qui va paraître, ou qui sera élu président ; parlez de Jésus.

            En ces jours-ci les chrétiens parlent de tout, sauf de Christ. Sortez, ils ont toujours un tas de non-sens et tout dont ils veulent parler ou quelque chose du genre, mais jamais ils ne parlent de Christ. Parlez de Lui. Chantez Ses cantiques. Aimez-Le ; gardez-Le sur votre coeur et dans votre esprit tout le long du jour et toute la nuit.

            David disait au sujet de... qu’il aimerait attacher les lois à ses doigts et aux colonnes de son lit, ainsi il serait constamment devant Lui. Voilà ; gardez-Le devant vous dans votre mémoire, dans vos pensées, dans vos louanges, dans vos propos. Tout ce qu’il vous faut faire, c’est garder Christ devant vous. Voilà la manière de Le garder près de vous.

34        Pendant qu’ils étaient en train de parler de Lui, Il est apparu sur la scène, Il leur était inconnu. Beaucoup de gens qui L’aimaient réellement ne savaient pas qu’Il était ressuscité des morts. Et c’est... et si ce n’est pas le vrai sens du mot ce soir, je ne sais pas ce que c’est. Beaucoup de gens qui aiment réellement le Seigneur Jésus ne peuvent pas comprendre qu’Il est ici.

            Il est dans cette salle en ce moment même. Il agit parmi les gens, le Seigneur Jésus ressuscité. C’est si difficile pour les gens de voir cela. Ecoutez, vous qui êtes assis tout le long ici dans ces fauteuils, dans ces lits de camp et autres, si vous pouviez voir cela, vous alliez... si vous croyez cela de tout votre coeur, et acceptez Sa Parole, vous sortirez d’ici ce soir en parfaite santé, bien portant. Oui, car Il est ressuscité des morts.

            Remarquez, Il marchait avec eux, ils L’aimaient, mais eux ne le savaient pas ; eux ne savaient pas qu’Il était ressuscité. Bien des fois Il est resté à côté de vous, et même là peut-être, lorsque vous avez failli connaître un accident. Il s’est passé quelque chose ; vous ne savez pas ce qui s’est passé. Il s’est passé quelque chose ; c’était Lui. Lorsque le médecin est venu et qu’il a dit: «Le bébé, je ne vois pas comment il peut survivre.» Et peu après, le bébé s’est rétabli ; c’était Jésus. Il est avec vous. Oh ! Comme c’est merveilleux !

35        Il y a longtemps, une petite femme qui était... Je me rappelle qu’elle est allée vivre là en bas, non loin de mon église ; c’est là qu’elle habite maintenant, à Jeffersonville. Elle était dans un sanatorium à Waverly Hills, et on l’a amenée, et ils ont dit: «Le médecin a dit qu’elle va certainement mourir dans peu de temps.» Ils estimaient qu’il ne lui restait que, je pense, dix jours, deux semaines à vivre ; un cas de tuberculose. Et je suis allé là pour la voir.

            Ils m’ont appelé ça fait environ–ça fait environ huit ou dix ans, c’était juste avant que je ne vienne à Phoenix pour la première fois. Je me suis rendu là et je me suis mis à prier pour la femme. Elle avait environ cinq gosses. Et j’ai prié avec elle ce soir-là ; et pendant que je priais, je me suis relevé, et je l’ai même vue avec des cheveux teints en gris. Et elle était... ses cheveux étaient brun sombre. Et je l’ai vue avec des cheveux teints en gris. Ses enfants sont entrés, et lui ont serré la main, quelques années plus tard. Et j’ai dit: «Soeur, AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous allez vivre.»

            Elle a commencé à pleurer. Elle a dit: «Révérend Branham, il s’est passé quelque chose dans mon coeur.» Elle a dit: «Je–je–je sens vraiment que je vais vivre. Quelque Chose vient de me convaincre que je vais être guérie.»

            J’ai dit: «Vous êtes guérie, car c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.»

            Je suis remonté, je le leur ai dit à l’église. Il y avait un homme qui habitait la porte qui suivait la mienne, un précieux ami, et il avait comme occupation de fabriquer des objets en cuir. A propos, il m’avait fabriqué ce portefeuille que j’ai... que je porte depuis dix ans. Il l’avait fait en peau de daim que j’avais moi-même attrapé: j’ai l’image de mon tabernacle dessus ; et à l’intérieur il y a un poisson par ici et une tête de cerf ici. Il m’a donc fait ce vieux portefeuille, et je le porte comme souvenir de cela, depuis si longtemps.

36        C’était un homme de science qui était totalement et parfaitement infidèle. Il travaillait au dépôt du gouvernement. Il ne croyait pas à l’existence de Dieu. Il disait: «Quiconque croit une telle chose est fou.» Il disait: «Ces gens sont...»

            Je–je n’arrive pas à comprendre facilement comment les gens peuvent avoir cela dans leur esprit. Ce matin, pendant que j’étais dans le bureau d’un homme d’affaires, ici dans cette ville, avec quelques ministres, ils parlaient de la façon dont l’islam est en train de gagner du terrain là en Afrique. Ecoutez, vingt-cinq musulmans contre un chrétien, c’est la pression. Pourquoi? Dans l’islam on est uni, il y a l’unité. Ils croient que le Coran est inspiré.

37        Nous les chrétiens, au départ, nous sommes séparés entre catholiques et protestants. Les catholiques disent: «La Bible est inspirée, mais l’Eglise catholique est au-dessus de la Bible.»

            Les protestants eux disent: «Eh bien, Elle est inspirée pour autant que je la crois. Le reste n’est pas inspiré.»

            Des disputes, des luttes, des discussions, des séparations, oh ! c’est pitoyable. Je suis certainement heureux que Dieu se soit emparé de moi avant que l’église ne le fasse (C’est juste. Oui, oui.), que Dieu m’ait enseigné le premier, parce que probablement je serais un incroyant. Lorsque je vois les gens qui se disent chrétiens et–et l’église et toutes ces choses, chacun veut chercher la petite bête et tout chez l’autre, et ils se séparent, apparemment, n’ayant pas la foi. Certainement.

38        Maintenant cet homme était un parfait infidèle. Et quelqu’un a répandu la nouvelle le jour suivant que j’avais dit cela de cette femme. Je n’étais pas encore parti pour tenir des services. J’étais en train de faire la patrouille sur une ligne de haute tension et mes habits étaient en lambeaux. Je suis monté sur ma vieille bicyclette, et je suis allé me procurer quelques provisions au magasin, et je devais tourner au coin où cette femme habitait, juste deux pâtés de maisons en bas de là où je me trouvais. Et voici venir cet infidèle qui descendait la rue. Et il m’a parlé.

            J’ai dit: «Bonjour, monsieur.»

            Et il a dit: «Salut, prédicateur.» Il a dit: «Juste une minute, j’aimerais vous parler.» Il a dit: «N’avez-vous pas honte de vous-même?»

            Et j’ai dit: «Quoi?»

            Il a dit: «Vous avez dit à cette pauvre petite mère mourante là-bas qu’elle allait vivre, nourrissant ces gens d’un faux espoir comme cela.»

            J’ai dit: «Eh bien, je ne les ai jamais nourris d’un faux espoir.»

            Il a dit: «Eh bien, elle est mourante.» Il a dit: «Son mari travaille avec moi là au gouvernement.» Et il a dit: «Il m’a dit que vous vous êtes rendu là hier soir, et, ou plutôt c’était donc avant-hier soir, et que vous avez prié pour elle. Et elle... vous lui avez dit qu’elle allait se rétablir et qu’elle vivrait jusqu’à la vieillesse.»

            J’ai dit: «C’est juste. Ce n’est pas moi qui ai dit cela ; c’est Dieu qui a dit cela.»

            Il a dit: «C’est du non-sens, a-t-il dit, honte à vous. Vous devriez être assez gentleman pour ne pas laisser les gens compter sur de telles choses, de telles faussetés.»

            J’ai dit: «Ce n’est pas faux.»

            Il a dit: «Allez-vous-en avec de telles faussetés !» Il s’est retourné et s’en est allé.

39        Je me suis dit: «Eh bien, OK.» Et j’ai continué mon chemin et je me suis procuré mes provisions, et je suis revenu. Environ deux ou trois jours après cela... Il avait une jolie petite femme qui était une croyante, et ainsi je... ma femme la connaissait très bien, elle a dit qu’elle était une jolie dame. Elle était membre de l’Eglise chrétienne. Alors ma femme m’a dit, lorsque j’entrais, elle a dit: «Eh bien, madame Andrews est très malade, Billy.» Elle a dit: «Tu devrais aller la voir.»

            J’ai dit: «Ça va.» J’ai dit: «Son mari est cet infidèle-là, ai-je dit, je–je dois y aller doucement.»

            J’ai donc dit: «J’irai lui demander si je peux lui amener le bois d’allumage et du charbon, et peut-être qu’il demandera... peut-être qu’elle me demandera si j’aimerais prier pour elle.»

            Ainsi je suis allé, et j’ai dit: «Bonsoir, monsieur Andrews.»

            Il a dit: «Salut, pasteur.»

            Et j’ai dit: «J’ai appris que votre femme est malade.»

            Il a dit: «Oui, c’est ça, mais j’ai un bon médecin qui s’occupe d’elle.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur. Je voulais juste vous demander, Monsieur Andrews, étant donné que nous sommes des voisins très proches, si je pouvais vous aider pour vous procurer du charbon ou faire une course à l’épicerie, n’importe quoi, je–je le ferai pour vous.»

            Il a dit: «Oh ! Bon, merci beaucoup.» Mais il a dit: «Nous avons un bon médecin qui s’occupe d’elle ; tout ira très bien.» Et il m’a dit qui était ce médecin de la ville.

            Et j’ai dit: «C’est un homme bien.» J’ai dit: «Et je l’apprécie beaucoup.»

            «Oui, nous avons la situation sous contrôle, a-t-il dit, elle a l’appendicite.» Et il a dit: «Tout ira bien, a-t-il dit, il insensibilise cela ; ce sera OK.»

            Et j’ai dit: «Merci, monsieur Andrews, j’espère certainement qu’il en est ainsi. Si je peux vous être d’un quelconque secours, j’habite à côté de vous ; appelez-moi tout simplement.» Il a fermé la porte, il est rentré, il n’était pas plutôt intéressé. Eh bien, le lendemain le médecin est venu et a dit: «Il nous faudra l’amener à l’hôpital ; elle gonfle terriblement.» Il a dit: «Il nous faudra l’amener à l’hôpital pour l’opération.»

40        Ainsi, ils l’ont amenée à l’hôpital, et lorsqu’ils ont prélevé son sang, le test a révélé qu’elle n’avait pas d’appendicite. Ils ont donc envoyé chercher un spécialiste à Louisville.

            Et ils ont fait venir le spécialiste là, et celui-ci l’a examinée, et après l’examen il a dit: «Elle n’a plus que quatre à six heures à vivre. Il y a un caillot de sang tout près de son coeur, c’est ce qui provoque le gonflement.» Il a dit: «Elle va trépasser ; c’est tout.»

            Alors le lendemain matin ma femme m’en a parlé et a dit: «Madame Andrews va mourir, Billy.» Elle a dit: «Je viens d’apprendre qu’elle a un caillot de sang. L’infirmière, l’une de mes amies infirmière m’a appelée et a dit: ‘Elle est sur le point de mourir.’ Elle a dit: ‘Elle est déjà inconsciente.’»

            J’ai dit: «C’est déplorable, Meda, ça me fait beaucoup de peine d’entendre ça. La pauvre !» J’ai dit: «Nous allons tout simplement prier pour elle.» Ainsi nous avons prié, et j’ai continué et je suis allé au travail.

41        Et il pleuvinait, et je voulais aller dans les champs. Quelque Chose ne cessait de me dire: «Fais demi-tour et rentre. Fais demi-tour et rentre.»

            Je me suis donc dit: «Eh bien, je vais faire demi-tour et rentrer.» Je suis donc rentré, j’ai appelé et j’ai tourné dans... Il faisait mauvais temps, alors je ne pouvais pas travailler à cause de cela, parce que je savais que le Seigneur voulait quelque chose. Ainsi, peu après, j’étais assis là, et je démontais mon vieux fusil, et je le nettoyais. Et tout à coup, voici venir monsieur Andrews, faisant le contour de la maison, il marchait là, il avait le bonnet enfoncé jusqu’aux oreilles, il a frappé à la porte et il a dit: «Madame Branham, a-t-il dit, est-ce que le pasteur Branham est là?»

            Elle a dit: «Oui, Monsieur Andrews, veuillez entrer.» Il est donc entré.

            J’ai dit: «Salut, Monsieur Andrews ; prenez place.» J’ai tout simplement continué à travailler sur mon fusil, vous savez.

            Et il a dit: «Pasteur.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Ma–ma femme est gravement malade. Avez-vous appris cela?»

            J’ai dit: «Oui, j’ai appris qu’elle était mourante, Monsieur Andrews.» J’ai dit: «C’est vraiment dommage.» J’ai dit: «Bien sûr, vous avez un très bon médecin là-bas.» Et j’ai dit: «Je–j’espère vraiment qu’elle se porte très bien.»

            Il a continué... Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, nous avons eu un spécialiste ; avez-vous appris cela?»

            J’ai dit: «Oui, on m’a fait savoir que vous en avez eu un, Monsieur Andrews. J’ai appris que c’était un caillot de sang près du coeur.»

            Il a dit: «Oui, a-t-il dit, c’est exact.» Il a continué: «Oh ! la la ! a-t-il dit, elle est en très mauvais état.»

            J’ai dit: «Oui, oui, c’est vraiment dommage.»

42        Je me suis dit: «Tu en as pour ton compte. Tu m’en as fait voir de toutes les couleurs, maintenant c’est alors à ton tour de transpirer un peu.» Ainsi j’ai simplement continué à nettoyer mon fusil, je l’ai laissé transpirer. J’ai donc continué à nettoyer mon fusil, et je l’examinais comme cela. Il était déjà propre, mais je voulais tout simplement qu’il transpire encore un peu. Et j’ai continué à examiner ma carabine comme cela.

            Et il a dit: «Pasteur, a-t-il dit, vous savez quoi?»

            J’ai dit: «Vous dites, Monsieur Andrews?»

            Il a dit: «Pourriez-vous lui venir en aide un petit peu?»

            Et j’ai dit: «Que voulez-vous dire?»

            Il a dit: «Vous comprenez.»

            J’ai dit: «Vous voulez dire que je prie pour elle?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Je pensais que vous ne croyez pas dans de telles histoires.» J’ai dit: «Si je me rappelle bien, vous m’avez dit il n’y a pas une semaine, là-bas au coin, que vous ne croyiez même pas que Dieu existe.»

            Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, vous comprenez...»

            Je me suis dit: «Oui, lorsque le moment sera venu, tu croiras. C’est juste, que cela s’approche une fois assez de ta propre porte, tu croiras cela.» Et j’ai dit: «Eh bien, il n’y a pas de quoi, Monsieur Andrews.»

            Ce qu’il... Il a dit: «Voudr-... voudriez-vous aller prier pour elle?»

            J’ai dit: «J’aimerais vous demander quelque chose, Monsieur Andrews.» J’ai dit: «Et je vous demanderais de vous agenouiller ici avec moi, et que nous priions pour elle juste ici.»

            Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, c’est à peine si je–je–je sais ce qu’il faut faire.»

            J’ai dit: «Agenouillez-vous tout simplement ici ; je vais vous donner des instructions.»

43        Alors il s’est agenouillé là. J’ai dit: «Maintenant, levez vos mains, et dites...» J’ai dit: «La première chose: du fond de votre coeur dites: ‘Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi, un pécheur.’» Je l’ai donc amené à prier, et il s’est mis à pleurer. Mais oh ! oh ! la la ! nous avons eu un...

            Il a dit–il s’est relevé et a essuyé ses yeux ; il a dit: «Eh bien, pasteur, vous–vous–vous pensez maintenant qu’elle recevra du secours?» J’ai dit... Il a dit: «Voudriez-vous aller?»

            Et j’ai dit: «Oui, je vais aller la voir.» Alors j’ai dit à Meda: «Porte ton manteau.» Nous sommes allés là, et alors, elle ne nous a pas reconnus: à la voir, ses yeux étaient tout gonflés comme ça et ses lèvres étaient retournées. Ainsi, lorsque la petite infirmière est entrée, elle a dit: «Venez, Frère Branham.» Elle m’a conduit là. Et je me suis agenouillé et j’ai prié pour elle, j’ai posé ma main sur elle, je me suis tenu là un petit peu. Ma femme aussi s’est tenue là, et elle a dit: «Tu vois quelque chose?»

            J’ai dit: «Non, chérie, je ne vois rien.»

            Nous sommes sortis et nous avons fait un tour du côté où étaient les bébés et nous avons jeté un coup d’oeil là du côté de la maternité, vous savez, où tous les bébés étaient couchés. Elle parlait d’eux. Je suis encore retourné vers monsieur Andrews ; juste au moment où j’ai franchi la porte, j’ai vu cela. Oh ! la la ! j’ai dit: «Chérie, ça va passer. Ne t’en fais pas ; Dieu a entendu.»

44        Et je suis rentré chez moi. Monsieur Andrews est venu et il a dit: «Qu’en pensez-vous, pasteur?»

            J’ai dit: «Elle va vivre.»

            Il s’est mis à pleurer, oh ! la la ! Et il–j’ai dit: «Elle va vivre.» J’ai dit: «Ne vous inquiétez pas ; Dieu l’a déjà dit par le même moyen de la vision, Il a dit que cette femme-là allait vivre, et maintenant elle est debout là-bas, cette femme.» J’ai dit: «Bon», madame Reece alors...

            Et j’ai dit: «Maintenant, elle aussi va vivre.»

            Et il a dit: «Oh ! Je suis si heureux, pasteur.»

            Quelques instants après le téléphone a sonné, et il est parti. Et on lui a dit: «Venez auprès de votre femme sans tarder ; elle est mourante.»

            Alors il est venu me le dire, et j’ai dit: «Croyez-vous ce que je vous ai dit?»

            Il a dit: «Oh ! Pasteur, je veux bien, a-t-il dit, mais ils me disent qu’elle est mourante.»

            J’ai dit: «Ce qu’ils disent ne change rien du tout.» J’ai dit: «Lorsque Dieu dit quelque chose, cela doit s’accomplir parfaitement à la lettre.»

            Alors il a dit... Ainsi aussitôt, vous savez, il a dit: «Oh ! je ne peux pas aller voir cela.»

            J’ai dit: «Assister à quoi?» J’ai dit: «Vous pensez toujours qu’elle va mourir, n’est-ce pas?»

            Il a dit: «Je suis simplement tout nerveux.»

            J’ai pensé: «C’est bon pour toi maintenant même (Vous voyez?), de bien transpirer.»

45        J’ai donc laissé la chose aller de soi ; peu après, il y a eu un autre appel téléphonique ; on l’a appelé de l’autre côté de la rue. Le voilà qui traverse, puis il est revenu. Et alors il a dit: «Je suis obligé d’aller à l’hôpital immédiatement.» Alors il s’est rendu à l’hôpital.

            Et moi–Meda a dit: «Qu’en penses-tu?»

            Et j’ai dit: «Eh bien, ne t’inquiète pas là-dessus. Dieu l’a déjà dit ; cela règle la question.» J’ai dit: «Si d’ici trois jours cette femme ne me fait pas une tarte aux pommes, et que je ne la déguste pas en étant assis sur cette porche, alors je suis un faux prophète.» C’est juste. Elle a pu vraiment en faire une délicieuse. Ainsi je–je le savais ; aussi le lui ai-je dit. Je le leur ai dit juste là à l’hôpital, je l’ai dit à l’infirmière. J’ai dit: «Elle me fera une tarte d’ici trois jours. Au cas contraire, alors je vais–je vais quitter le ministère.» C’est juste. J’ai dit: «Parce que cela est absolument la vérité.»

46        Et, vous savez, il est revenu traversant le champ quelques instants après, la morve coulant de ses narines, et il était en train de sauter, de bondir comme cela. Et il a dit: «Pasteur, pasteur, devinez ce qui est arrivé.» Il a dit: «Je me suis rendu là pour la voir, et au moment où je suis arrivé, a-t-il dit, le... quelque chose s’est défait, et toute l’eau est sortie d’elle, et elle était assise dans un lit et elle a dit qu’elle avait faim. J’ai appelé l’infirmière.» Et il a dit: «On lui a apporté du bouillon, et elle a dit: ‘Enlevez cette histoire ; je veux des saucisses de Francfort et de la choucroute.’» Il a dit: «Elle est tout à fait normale et en bonne santé...» Aujourd’hui elle est vivante. Et le Dieu du Ciel qui a baissé Ses regards...

            Et presqu’une semaine après cela il m’a fabriqué ce petit portefeuille que j’ai toujours porté depuis lors dans ma poche, à travers le monde. C’est juste ; c’est la vérité ; Dieu dans le Ciel le sait. Elle est vivante ce soir. Pourquoi? Parce que Jésus-Christ vit, elle aussi vit. Que Dieu bénisse...?... Vous voyez? C’est vrai.

47        Lorsque Jésus leur a parlé, Il a commencé à leur révéler... Remarquez, la chose même... Ils ont dit–Il a dit: «Pourquoi êtes-vous tristes?» Les chrétiens ne devraient pas être tristes ; ils devraient être heureux, très heureux, dans la joie. Il a dit: «Pourquoi êtes-vous si tristes?»

            Lui... ils ont répondu: «Es-Tu un étranger, qui ignore que Jésus de Nazareth, un Prophète, Lui dont nous nous attendions qu’Il prenne le trône de David...» Ils ont dit: «Nous avions tous foi en Lui. Il a accompli de grands miracles et prodiges devant nous, et quel grand Prophète Il était. Et ensuite ils L’ont livré... Les gens L’ont livré à Pilate, ils L’ont crucifié, ils L’ont enseveli.» Et ils ont dit: «C’est le troisième jour depuis que ces choses sont arrivées.» Ils ont dit: «Certaines femmes d’entre nous se sont rendues à la tombe, probablement pour y déposer quelques fleurs ou on ne sait quoi, et, ont-ils dit, elles ont dit que la tombe était vide ; et elles ont vu une vision où il leur a été dit qu’Il était ressuscité d’entre les morts.» Et ils ont dit: «Eh bien, alors, évidemment nous croyons que c’est une histoire ridicule.» Et ils ont dit: «Et puis, ont-ils dit, une autre personne de notre groupe a dit qu’elle a vu quelque chose à ce sujet.»

            Et ils ont continué, et Il a dit... Il a commencé... Suivez attentivement. Jésus ne s’est pas mis à discuter avec eux ni à parler. Il a dit... Observez ce qu’Il a fait: Il s’est directement référé à la Parole. C’est cela, frère, la Parole de Dieu, c’est la base et le fondement de tout salut et toute guérison ; ça réside dans la Parole, ce n’est pas dans vos sentiments, ce n’est pas dans ce que vous pensez à ce sujet, mais c’est dans ce que Dieu a dit à ce sujet. Amen. Oh ! J’aurais souhaité avoir une punaise pour attacher cela dans votre coeur, là où cela ne pourra jamais quitter.

48        Juste aujourd’hui, j’étais en train de lire un petit passage des Ecritures, Joël... Amos 8.11, là où il est dit qu’il y aurait une famine, non pas du pain, ou non pas du pain et de l’eau, mais d’entendre la Parole de Dieu ; que les gens iraient d’une mer à l’autre, de l’est à l’ouest, çà et là, partout, pour chercher la–la Parole de Dieu et ils ne La trouveraient pas. Si cela ne correspond pas à la situation de cette nation en ce temps-ci, je ne sais pas à quoi cela correspond. C’est juste. Nous n’avons pas besoin de pain ; nous en avons beaucoup. Nous avons beaucoup à manger, beaucoup d’habits à porter, de belles maisons où habiter, et tout ; mais il y a une famine d’entendre la Parole de Dieu. L’homme ne sait que croire. C’est vrai.

            On est dans la confusion totale ; l’un dit ceci, et l’autre dit cela ; et l’un dit ceci, et l’autre dit autre chose. Fondez vos pensées sur l’AINSI DIT LE SEIGNEUR ; Dieu confirmera cela.

49        Jésus s’est directement référé aux Ecritures et a commencé à déverser la Parole ; Il a dit: «Hommes sans intelligence et dont le coeur est lent à comprendre.» Il est retourné dans l’Ancien Testament et Il a commencé à prouver que Christ devrait souffrir et ressusciter le troisième jour.

            Alors ils sont arrivés au petit village où ils se rendaient, ainsi ils sont entrés dans le restaurant. Alors Il a fait comme s’Il continuait son chemin. Vous est-il déjà arrivé une fois... Peut-être ce pauvre homme souffrant qui est couché là sur ce lit de camp, Il a fait comme s’Il allait vous passer ; Il ne va pas vous passer. Vous voyez? Invitez-Le à entrer.

            Peut-être ce pauvre homme qui est assis là avec une–une béquille, cet homme assis ici dans un fauteuil roulant, Jésus pourrait faire comme s’Il va vous passer ce soir, mais Il ne le fera pas. Invitez-Le tout simplement à venir vers vous pour voir ce qui se passe. Invitez-Le tout simplement à entrer.

            Ils ont dit: «Oh ! Entre ; nous aimons vraiment T’entendre enseigner la Parole. Nous avons entendu tous les pharisiens et les autres ; mais il y a dans Ton enseignement quelque chose de différent. Entre, enseigne-nous encore un tout petit peu.» Alors ils sont entrés. Et une fois à l’intérieur, c’était peut-être une modeste petite hutte, peu importe combien elle était modeste, mais ce n’est jamais trop modeste pour qu’Il ne puisse pas y entrer.

50        Peu importe combien vous êtes pauvre, combien vous êtes démuni, vous ne serez jamais trop démuni pour que Jésus ne réponde pas à votre invitation. Peu importe à quel point vous avez péché, ce que vous avez fait, adressez-Lui une invitation, Il viendra directement chez vous et Il y fera Sa demeure. N’est-ce pas merveilleux?

            Très bien, ils L’ont invité à entrer, et une fois à l’intérieur, les portes fermées derrière Lui, Il enfermera le reste du monde à l’extérieur. Maintenant, si ce soir vous êtes un peu superstitieux, concernant la Présence du Seigneur, pendant que la réunion va se poursuivre, invitez-Le à entrer dans votre coeur, et ensuite fermez la porte, laissant toute votre incrédulité dehors. Voyez s’Il ne se fera pas connaître à vous.

51        Une fois là à l’intérieur, ils se sont assis à table ; et la servante s’est probablement présentée, et ils ont commandé leur souper. Et pendant qu’on servait le souper à table, sans doute que Son coeur battait pendant qu’Il les regardait et qu’eux Le regardaient, Il... Ils ne savaient pas qui c’était. Eh bien, la Bible dit que leurs yeux étaient empêchés de Le reconnaître ; ils ne–ils ne comprenaient pas. Ils étaient bel et bien assis avec Lui, ils avaient bel et bien marché en Sa compagnie, ils s’entretenaient bel et bien avec Lui ; ils étaient en train de manger avec Lui, mais ils ne savaient pas qui Il était.

            Et mon ami, cela est vrai au possible aujourd’hui. Cela est tout aussi vrai que le fait que je me tiens debout à cette estrade, le Ressuscité Jésus-Christ est juste dans cette salle, parlant aux individus juste en ce moment. Si seulement vous pouviez reconnaître que c’est Sa voix à Lui. Je prie qu’Il se manifeste après un moment, et qu’Il vous confirme qu’Il est ici dans cette salle.

            Jésus n’est pas mort, Il est ressuscité des morts. Et Il est ici sur terre, continuant le ministère qu’Il avait lorsqu’Il était ici sur terre dans un corps physique. Il continue à l’exercer au travers des êtres humains comme Il l’avait promis. «Vous ferez aussi les mêmes choses que Je fais.» Chaque jour Il accomplissait la volonté du Père, c’est ce pour quoi Il était venu. Et Il est ici ce soir.

52        Et lorsqu’Il était avec Ses disciples là à l’intérieur, assis à table, Il les a regardés, Il a pensé: «Eh bien, vous M’avez donc entendu enseigner l’Evangile. Vous M’avez entendu prêcher l’Evangile aujourd’hui, Je crois donc que Je vais simplement vous faire savoir que c’est bien Moi.» Alors Il a pris du pain, et Il a simplement fait la chose un peu différemment des autres hommes ; ils se sont alors rendu compte que c’était Lui. Et leurs yeux s’ouvrirent, et ils Le reconnurent, et Il disparut de devant eux.

            Oh ! la la ! Ils avaient effectué une distance d’un chemin de sabbat, pour se rendre là-bas, mais ils sont certainement retournés d’un pas léger, le coeur déchargé, sautant et bondissant, louant le Seigneur. Ils ont su qu’Il était ressuscité des morts. Ils sont retournés... Il n’est donc pas retourné pour discuter de leur religion ; ils sont retournés avec une seule chose dans le coeur: Jésus-Christ était ressuscité des morts.

53        Voilà la chose essentielle ce soir. Cessez de discuter sur vos religions, de discuter sur vos différentes doctrines, de discuter sur les différentes églises dénominationnelles, de discuter sur les différentes nations ; ce dont le monde a besoin de savoir ce soir, c’est que Jésus-Christ est ressuscité des morts, et qu’Il vit parmi les hommes. Amen. Il n’est pas question de discuter sur le fait de mettre le doigt sur ceci, et de retrancher ceci, de retirer ceci, de dire que ceci est inspiré ; oubliez tout simplement cela, et regardez à Lui, et croyez qu’Il est ressuscité des morts, et Il se manifestera à vous. Amen. C’est si simple...

            Vous direz: «Eh bien, si un Ange prêchait cela», Dieu n’a pas ordonné des Anges pour prêcher l’Evangile. Il a ordonné des hommes pour prêcher l’Evangile. Il n’a jamais dit aux Anges: «Je serai avec vous et en vous.» C’est aux hommes qu’Il a dit: «Je serai avec vous et en vous.» Il n’a jamais dit aux Anges: «Vous ferez aussi les choses que Je fais.» C’est aux hommes qu’Il a dit: «Vous ferez aussi les choses que Je fais.»

            L’Evangile vient par la prédication de la Parole. Dieu se manifeste au travers des êtres humains. Amen. Les seuls yeux que Dieu a sur terre ce soir sont les miens et les vôtres. Les seules mains qu’Il a sont nos mains à nous ; Dieu travaille dans Son peuple ; Dieu dans l’univers, Dieu dans Sa Parole, Dieu est dans Son Fils, Dieu est dans Son peuple.

54        Dieu est ici en ce moment, ressuscité des morts, soirée après soirée, Il confirme qu’Il est vivant parmi nous, amenant les pécheurs, les pécheurs morts, étrangers, séparés de Dieu, Il les amène à reconnaître Dieu ; Il sauve leurs âmes, Il les remplit du Saint-Esprit, Il guérit les malades, Il rend la vue aux aveugles.

            Réveillez-vous, oh ! les amis. Ne soyez pas emportés à tout vent de doctrine, disant: «Le temps des miracles est passé ; ces choses sont pour un autre âge.» Ne soyez pas ballotés, croyez au Seigneur Jésus ressuscité. C’était là leur enseignement à cette époque-là lorsqu’Il est ressuscité et–en ce matin de Pâques là. Mais Il était vivant, et Il est ici ce soir. Il est ici ; n’oubliez jamais cela.

            Si jamais vous ne vous souvenez pas d’une chose que je vous ai déjà dite, souvenez-vous de moi par ceci: Jésus-Christ le Fils de Dieu est ressuscité des morts et Il est vivant aujourd’hui parmi les hommes, à la recherche des pécheurs, guérissant les malades et les affligés. Il est en tout le même qu’Il a toujours été et qu’Il sera toujours, le même hier, aujourd’hui et éternellement, le Seigneur Jésus, qui cherche les pécheurs perdus.

55        Etes-vous perdu? Si vous êtes sauvé, c’est merveilleux. Mais si vous êtes perdu, Dieu a préparé une voie pour vous sauver. La pire des choses que je puisse imaginer, c’est quelqu’un de perdu. Etant un–un chasseur, je vais dans les montagnes... Juste une minute avant de terminer donc, et puis nous allons commencer à prier pour les malades, juste dans un instant. Je sens que le Saint-Esprit voudrait que j’invite les gens à monter ici et que je prie pour eux.

            Maintenant, une fois j’étais perdu dans les bois. Je suis monté jusque près de la frontière canadienne où j’étais. Je me disais que je m’y connaissais trop bien comme homme des bois pour me perdre. Et c’est lorsque vous vous fiez à vous-même que vous vous perdez ; c’est à ce moment-là que vous vous perdez. C’est à ce moment-là qu’Adam s’est perdu, lorsqu’il s’est fié à lui-même, en se faisant des feuilles de figuier pour s’en couvrir. Vous voyez? Il devait venir sur base des mérites du Sang versé.

56        Et quand vous vous dites: «Oh ! je vais à l’église ; je suis aussi bon que vous, pasteur.» Vous l’êtes certainement, mais êtes-vous bon autant que Dieu veut que vous soyez? Pour commencer vous n’êtes pas bon, et moi non plus je ne suis pas bon pour commencer. La seule bonté qui est en nous, c’est ce que Dieu a fait pour nous à travers Jésus-Christ. C’est juste. Oui, oui. Nous sommes tous des pécheurs, mais l’unique façon pour que nous soyons sauvés, c’est en acceptant le Seigneur Jésus et Son pardon gratuit.

            Eh bien, je m’étais totalement égaré. J’ai dit à ma femme que j’allais retourner. Je l’avais amenée ; Billy n’était qu’un petit enfant, un tout petit gars d’environ trois, quatre ans. Je crois qu’il avait cinq ans. Et nous étions très loin au sommet des Adirondacks, près de la frontière canadienne. Et nous avions parcouru en voiture environ vingt-cinq, trente miles [40 km, 48 km] en montant une vieille route en rondins comme cela, où on avait coupé du bois, coupé du bois à pâte. Et nous sommes arrivés au camp du garde forestier. J’avais fait la chasse là depuis des années.

57        J’ai dit à ma femme que j’allais faire la chasse à l’ours, et j’ai dit: «Je me rends là pour chasser le cerf, et je vais attraper un cerf, puis je vais revenir ; je serai de retour d’ici midi.»

            Elle a dit: «Je t’attendrai.» Il avait fait froid cette nuit-là ; nous avions dû prendre le petit Billy et le placer entre nous deux, pour qu’il ne meure pas de froid ; par ce temps froid de novembre les branches d’arbres gelaient et tombaient de ces derniers. Il y avait un petit abri pour se reposer, et la cabane était fermée.

            Le mont Hurricane, la tour le surplombait là, et nous voulions aller tout au fond dans l’autre partie de la contrée pour chasser.

            Ainsi il allait ouvrir la cabane, et elle pourrait y entrer, et elle et Billy pourraient y rester pendant que nous effectuerions une petite randonnée et que nous serions partis. Ainsi, elle était presque une enfant elle-même, dans les vingt et un, vingt-deux ans. Et ainsi, cette nuit-là–cette nuit-là nous avons failli geler. Alors on a fait un petit feu et un petit appentis, et puis alors le lendemain matin, je suis sorti pour aller attraper un cerf, parce qu’il était censé venir ce jour-là.

            Et ainsi, je lui ai dit que je serais de retour à midi. Et je suis allé de l’autre côté de la colline pour relever les traces du gibier. Je suis revenu en longeant la crête, et je–j’ai vu un lynx roux traverser, et je ne pouvais pas m’approcher assez de lui pour l’abattre, alors j’ai gravi une colline. Et j’ai longé la piste le long du flanc et je suis entré dans une grosse tanière d’ours. Et il n’y avait rien dedans ; je suis revenu, je suis descendu vers les géants, ce qu’on appelle les géants. C’est une grande forêt dense qui s’étend là sur des kilomètres et des kilomètres, qui ressemble complètement à une forêt des régions basses par là et dont les arbres sont couverts comme d’une sorte de bitume.

58        Alors je suis descendu très loin là sur le côté, et j’ai vu là un cerf, un gros cerf, et je l’ai abattu. Lorsque j’ai terminé là, j’ai dit: «Eh bien maintenant, écoutez, il est quatorze heures passées, il faut donc que je me dépêche.» Et je suis retourné, j’ai repris le chemin du retour dans cette direction. Je... un... est survenu... l’orage venait, il y avait du brouillard. Lorsqu’il y a du brouillard dans la forêt, n’importe quel chasseur sait que c’est un temps dangereux. C’est à peine si vous pouvez voir vos mains devant vous.

            Eh bien, je me suis mis à marcher. J’ai dit: «Il faut que je me dépêche.» Et j’ai fait un contour ; j’ai continué à marcher, à marcher, à marcher, à marcher. Je me suis dit: «Eh bien, oh ! la la ! à quel endroit est-ce que j’avais pris le tournant?» Et bien vite, je me suis arrêté par hasard, j’ai regardé, et je me suis dit: «Eh bien, j’ai vu cet endroit quelque part.» J’ai levé les yeux, et mon cerf était suspendu là. J’ai compris que j’avais tourné en rond quelque part. Ainsi j’ai dit: «Maintenant, je dois aller dans une certaine direction.» Et j’ai encore marché, je suis retourné au même endroit à trois reprises, directement.

            Eh bien, les Indiens appellent cela la marche de la mort, vous savez. Ainsi c’est ce que vous faites ; vous tournez en rond. Et je m’en suis rendu compte, mais comment allais-je en sortir? Et alors, l’orage était pratiquement descendu, soufflant dans les sommets des arbres, le brouillard tournoyait. Et je me suis dit: «Maintenant, la chose raisonnable à faire...» Je pourrais entrer quelque part, et–et aller quelque part et me retirer là jusqu’à ce que l’orage soit terminé, et ensuite monter jusqu’à un endroit élevé pour voir où je me trouvais, et continuer. Mais j’avais une femme et un enfant là-bas, qui gèleraient à mort et qui mourraient ce soir-là. Ils n’avaient jamais été dans les bois dans leur vie. Ils ne savaient pas comment se débrouiller, et cela leur donnait une peur bleue de toute façon. En effet, je savais que tous les deux mourraient ce soir-là ; et il fallait que je les rejoigne. Et quel sentiment ! Oh ! la la ! L’enfant et ma femme mourir dans les bois ce soir-là !

59        Et... mais je pensais que je m’y connaissais trop pour me perdre dans les bois. Ainsi donc j’ai fait un contour ; je me suis dit–je me suis dit: «Eh bien maintenant, voici que je dois aller dans une direction.» Je me suis dit: «Quand j’ai gravi la montagne, le vent me frappait au visage. Je suis descendu dans cette direction, ainsi cela devrait être dans cette direction.» Je me suis demandé: «Maintenant, quand l’orage approchait, il venait dans quelle direction?»

            Et le vent avait changé de direction, et dans ces poches et ces circuits le vent va souffler dans n’importe quelle direction, ça va souffler dans cette direction pendant un moment, et ensuite ça va souffler dans l’autre direction pendant un moment. Et oh ! le ciel était nuageux, une bourrasque soufflait, il y avait de la mousse des deux côtés des arbres là dans ce lieu encaissé, au point qu’il n’y avait rien que je pouvais trouver pour me servir de repère. Mais là au fond, évidemment le vent ne descend pas jusque là comme lors d’un blizzard, et puis les deux côtés étaient épais. Je ne pouvais rien trouver du tout pour m’aider à sortir des bois.

60        Alors je me suis dit: «Eh bien...» Je–j’ai commencé à devenir nerveux. Et n’importe qui sait ce qui arrive, à ce moment-là vous attrapez la fièvre ; soit vous vous suicidez, soit vous mourez. Alors j’ai dit: «Oh ! la la !» J’ai pensé: «Il faut que je sorte d’ici ; il faut que...» J’ai dit... Je me suis assis une minute. J’ai dit... Je me suis frappé d’un côté du visage, j’ai dit: «Ecoute, William Branham, tu ne t’es pas perdu. Qu’est-ce qui te prend, mon garçon? Tu sais comment sortir d’ici.» J’étais en train de me leurrer.

            J’étais perdu, certainement j’étais perdu. J’ai dit: «Eh bien, tu t’y connais trop dans les bois, et tu ne peux jamais te perdre. Mon Dieu, qu’aurait pensé ton grand-père à ton sujet, de te voir assis ici agir comme ça? Eh bien, lève-toi d’ici.» Je me suis levé et j’ai avancé encore un peu, et j’étais néanmoins perdu ; c’est tout. Et j’ai dit: «Eh bien, il faut que je fasse un... Il faut que je sorte d’ici d’une manière ou d’une autre.» Alors j’ai dit: «Je vais aller droit dans ce sens en ligne droite.» Et j’ai dit: «Je ne vais pas me tourner du tout. Je vais aller tout droit dans cette direction, et je suis sûr que je vais bien atteindre directement la montagne Hurricane. Si seulement je vois le mont Hurricane, je saurai où est la tour, et je pourrai descendre à partir de là. Je ne sais pas si je suis à l’est ou si je suis à l’ouest de la tour, ni l’endroit où je me trouve.»

61        Le brouillard s’est mis donc à souffler, les arbres ont commencé à craquer, ainsi j’ai dit: «Voilà, je vais droit dans cette direction.» Et je commençais à me mettre dans tous mes états. Quelque chose me parlait à l’oreille, disant: «Je suis un secours qui ne manque jamais en temps de détresse.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... «Je suis l’Eternel ; Je suis un secours qui ne manque jamais en temps de détresse.»

            Je me suis dit: «Ecoute, je–je suis certain que je vais sortir maintenant. Il y a quelque chose qui ne marche pas en moi.» Vous voyez? J’ai dit: «J’entends des voix. Je–il–il y a quelque chose qui cloche en moi.» J’ai dit: «Ecoute, ressaisis-toi, mon garçon, qu’est-ce qui te prend? Il faut que tu continues. Tu n’es pas perdu. Tu connais exactement où tu te trouves, maintenant continue.» Et j’ai pensé–j’ai baissé les yeux par là ; il était déjà seize heures trente.

            Et j’ai pensé: «Oh ! la la ! J’étais supposé être là à midi. Elle est en train de pousser des cris maintenant.» En effet, elle savait... Cette gosse dans le bois, elle n’a jamais été dans les bois dans sa vie, et avec ce petit enfant là-haut. Elle ne savait même pas comment faire un feu, ni rien.

62        Ainsi ils auraient peur de sortir comme cela, il y a–il y a certainement des animaux sauvages et... Rien ne pouvait leur nuire, naturellement, mais ils avaient–ils avaient peur. Ainsi, j’ai simplement continué à marcher et j’entendais sans cesse quelque chose dire: «Je suis un–un secours qui ne manque jamais en temps de détresse. Un... jamais... Je suis le Seigneur. Je suis un secours qui ne manque jamais en temps de détresse.»

            Je me suis arrêté et je me suis dit: «Je me demande si ça pourrait être Lui qui est en train de me parler?» J’ai dit: «Suis-je assez homme pour admettre que je suis perdu? Suis-je assez homme pour admettre que je suis perdu?» J’ai ôté mon chapeau, je l’ai déposé par terre, et j’ai dit: «Dieu bien-aimé, je suis perdu. Je suis perdu ; je ne sais pas où je suis. Je ne sais pas comment sortir d’ici.» Je me suis agenouillé sur mon chapeau, et j’ai posé mon fusil contre l’arbre.

            J’ai dit: «Père, je suis totalement perdu, je suis... en ayant en moi ce sentiment que je peux m’en tirer tout seul, je–je mérite de mourir ; mais, Seigneur, aie pitié de ma pauvre petite femme et de mon enfant qui sont là-bas. Ils vont aussi mourir. Eux ils sont dignes de vivre ; mais moi, je ne le suis pas. Mais je suis... Seigneur, je suis perdu, et veux-Tu m’aider à cause d’eux?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Si c’est Toi qui parles, disant que Tu es un secours qui ne manque jamais dans la détresse, sois ma boussole maintenant. Fais-moi sortir. Il n’y a aucun signe naturel autour de moi. Mais je suis perdu. Veux-Tu m’aider?»

63        Je me suis relevé, j’ai essuyé mes yeux et j’ai pensé: «Eh bien, ô Dieu, dirige-moi. J’y vais, je ne sais quelle direction prendre, mais je vais marcher. Je crois que je suis venu par ici.» J’ai dit: «Je vais... maintenant, ça c’est mon avis. Je vais prendre cette direction.» Et j’ai porté mon chapeau, j’ai pris mon fusil, et j’ai commencé à aller dans cette direction.

            Eh bien, tout aussi vrai que je me tiens ici sur cette estrade ce soir, avec cette Bible, j’ai senti Quelqu’Un poser Sa main sur mon épaule. Et je me suis retourné pour voir qui c’était, et juste au moment où je me suis retourné, le brouillard s’est dissipé, il s’est écarté dans cette direction. Et j’ai vu la tour sur le mont Hurricane, derrière dans cette direction.

            Je me suis tourné aussitôt dans cette direction et j’ai fait face à la tour, j’ai ôté mon chapeau, j’ai déposé mon fusil à terre, et j’ai levé les mains. J’ai dit: «Ô Dieu, oh ! combien j’apprécie ceci ! Seigneur, je me dirigeais droit vers le Canada. Je me retrouverais à... je n’allais jamais m’en sortir.» J’ai dit: «Seigneur...» C’était ma propre opinion. Et parfois en suivant votre propre opinion, chaque fois vous irez à côté. Priez et demandez à Dieu ce qu’il faut faire.

64        Et j’ai regardé en direction de cela ; j’ai pensé: «Il faut que je garde mon visage dirigé droit dans cette direction.» Maintenant, le brouillard a encore couvert les lieux. Il s’était dissipé assez pour que je voie que le... Je savais que si je pouvais monter jusqu’à cette tour ou traverser cette ligne jusque de l’autre côté de la montagne...

            J’avais aidé le garde-forestier à placer cette ligne téléphonique qui descendait jusqu’au camp où sa femme restait en été. Et je savais que si jamais je pouvais arriver jusque là, je tiendrais cette ligne. Peu importe combien l’orage faisait rage, je pouvais retrouver mon chemin vers ma famille. Et je... pendant que je me tenais là, en train de regarder dans cette direction-là, Quelque Chose est venu vers moi et m’a dit: «Oui, tu étais aussi perdu et dans une situation pire que ça. Mais garde tout simplement tes yeux fixés sur le Calvaire.»

            Je me suis mis à marcher, à marcher, comme cela. Je ne pouvais pas faire un détour ; je ne pouvais pas faire un contour ; cela me détournerait de mon–mon chemin. J’étais presque, au moins à cinq miles [8 km] de là. Et à ce moment-là il commençait à faire sombre. Je suis entré dans les buissons, et des cerfs sautaient devant moi. J’ai failli tomber et m’écorcher complètement les jambes. Il faisait sombre et j’étais en train alors d’accélérer à ce moment-là, essayant de monter ces falaises et tout, essayant de garder mon itinéraire le mieux possible.

65        Et je me suis dit: «Maintenant je suis au sommet, on dirait.» Maintenant, je ne voyais pas cette ligne, alors j’ai simplement gardé mes mains levées comme ceci. J’ai mis ma carabine sur l’épaule en bandoulière, j’ai levé mes mains et j’ai continué à marcher. J’ai dit: «J’ai les mains levées, Seigneur. Fais que je touche cette ligne lorsque j’y arriverai.» La neige me frappait au visage, elle m’effleurait. J’ai continué à marcher ; et tout à coup ma main a touché quelque chose. J’ai senti cela ; c’était ce fil. Oh ! la la ! Vous ne savez pas le sentiment que j’ai éprouvé. Je savais que si je suivais ce fil-là, sans le lâcher, que si je suivais ce fil en descendant cette colline sur environ deux miles et demi [4 km] ou trois [4,8 km], je retrouverais bien ma femme et mon enfant là au bas de la colline.

            Et là, ceci m’est venu à l’esprit: Oui, tout homme est étranger à Dieu, il est séparé de Lui dans ce monde, il ne sait pas où il va, il est emporté çà et là. Mais si vous regardez au Calvaire et que vous gardiez vos mains levées vers Dieu, et acceptiez Christ comme votre Sauveur jusqu’à ce que quelque chose frappe votre main, c’est ça le chemin du retour à la Maison. Suivez alors la conduite du Saint-Esprit. De votre main tenez Sa main immuable ; elle vous conduira droit jusque vers votre Seigneur Jésus, Celui qui vous aime. Croyez-vous cela?

66        Inclinons la tête juste un moment et prions. Notre Père céleste, je pense à ce vieux chant, qui dit: «Autrefois j’étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé ; j’étais aveugle, mais maintenant je vois.» Et je pense à cet orage aveuglant ce soir-là, et mon coeur bondissait, alors que la fièvre attaquait mon corps, j’ai eu une peur bleue, comprenant que j’allais périr cette nuit-là, et ma femme et mon enfant aussi...

            Ô Dieu, il y a peut-être des hommes et des femmes assis ici ce soir, qui sont aussi, spirituellement parlant, dans la même situation malencontreuse. Leurs familles périront si papa ne vient pas, ou si maman ne vient pas rapidement. Les enfants seront emportés ici dans le monde. Puissent-ils ce soir regarder au travers de ce brouillard qui est suspendu au-dessus de la terre et voir le Calvaire, qu’ils lèvent leurs mains vers le Seigneur Jésus et touchent la ligne de sauvetage qui conduit jusqu’à la maison.

           

            Accorde-le, Seigneur, dans notre dernière soirée de cette série de réunions. Bénis toute femme et tout homme qui est perdu et rétif. Peut-être qu’ils se sont confiés dans le bras de chair. Peut-être qu’ils se sont confiés dans un credo d’église, mais ils n’ont jamais touché cette ligne. Ils n’ont jamais eu cette assurance bénie dans leur coeur, comme quoi ceci est la ligne qui mène au bonheur, à la liberté et au Seigneur Jésus, la ligne qui va du Calvaire jusqu’à la Gloire.

            Puisse toute personne étrangère titubant et qui est dans l’obscurité dans cette salle ce soir étendre sa main, ô Père, et chercher juste un moment. Ils toucheront quelque chose qui ancrera la foi dans leur coeur, qui les conduira jusque dans la Gloire.

67        Pendant que nous avons nos têtes inclinées, que tout le monde soit en prière. Si je dois retourner d’ici une année, beaucoup d’entre vous ici ne seront plus de ce monde. Il y a deux mille personnes, je pense, ici ce soir ; quelqu’un peut sortir discrètement. Etes-vous en train de tituber dans l’obscurité? Et vous venez aux réunions, vous regardez, et vous voyez les signes du Seigneur Jésus ressuscité ; vous écoutez la Parole ; Il vous parle là au fond, et vous titubez tout le long du chemin dans l’obscurité, veuillez lever la main vers Lui ce soir, et dites: «Seigneur Jésus, je–j’aimerais toucher la ligne de sauvetage en ce moment. Je lève mes mains, je...» Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, oui, vous. C’est bien, partout. Que Dieu vous bénisse, maman, avec... Que Dieu te bénisse, jeune homme. Que Dieu te bénisse, petit garçon. Là tout au fond, y a-t-il quelqu’un parmi ceux qui sont debout là au fond, qui aimerait dire...

            Levez la main, pas vers moi, mais vers Dieu. Que Dieu vous bénisse, le frère espagnol. Que Dieu vous bénisse, la demoiselle. Que Dieu vous bénisse, la dame blanche qui est assise là. Là au balcon, à ma gauche, oui, vous tous regardez là au-dessus les mains par là. Touchez simplement cela juste une minute et dites: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi, un pécheur.»

68        Que Dieu vous bénisse, la dame espagnole par ici. Au balcon à droite, levez vos mains et dites: «Oui, je crois en Lui maintenant même. J’ai erré dans toutes sortes d’obscurité. En réalité, je ne le savais même pas ; je suis allé à l’église. Oh ! Oui, j’ai fait inscrire mon nom dans le registre. Mais en réalité, quant à avoir cette espérance de manière à l’avoir dans ma main juste en ce moment, en réalité je n’ai jamais eu cette assurance. Mais maintenant, je viens fermement sur base du Sang versé de Jésus et de Sa puissance de résurrection. Et cet Esprit du Ressuscité parle à mon coeur, et je lève mes mains juste en ce moment, pour dire: ‘Ô Dieu, voici j’ai levé ma main pour saisir la ligne de sauvetage.’»

            Plusieurs dizaines de personnes ont levé leurs mains. Quelqu’un d’autre aimerait-il lever la main maintenant, quelqu’un qui n’a pas levé sa main il y a quelques instants, quelque part? Que Dieu vous bénisse là-haut, frère. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse là, soeur. Que Dieu vous bénisse là au fond, frère. Que Dieu vous bénisse, soeur ; je vois votre main. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, frère, là au fond ; je vois votre main. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, vous, vous par ici, la petite dame qui a les deux mains levées. Quelqu’un d’autre? L’homme qui est assis ici, que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est une bonne façon d’obtenir la guérison, il est juste question d’accepter le Seigneur comme cela. Quelqu’un d’autre? Un petit garçon ici a levé les deux mains, que Dieu te bénisse, chéri. Quelqu’un d’autre? Une dame par ici, une dame âgée, qui a levé les mains, oui. «J’ai perdu beaucoup d’années, mais je reviens à la maison maintenant.»

69        Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse, frère, par ici. Quelqu’un d’autre? Souvenez-vous, lorsque vous levez la main, et que vous êtes sincère dans votre coeur, Dieu est obligé de faire cela à l’instant. Que Dieu bénisse, la soeur de couleur qui est assise ici. Le frère par ici qui a la main levée, en petit pull-over brun, que Dieu vous bénisse. Que Dieu bénisse la dame qui est assise par ici ; c’est juste, soeur.

            Jésus a dit: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle», maintenant même. Que Dieu vous bénisse, frère là au fond, qui avez les deux mains levées et qui juste en ce moment même êtes en train de recevoir Jésus. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Le jeune homme là-bas, juste dans le...

70        Qu’a dit Jésus? «Vous avez, maintenant même, la Vie Eternelle. Celui qui écoute Mes Paroles,» (j’ai fait de mon mieux pour vous les apporter), «maintenant, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement.»

            Que Dieu vous bénisse, soeur, là-bas à côté du poteau, la jeune fille espagnole. «Il a la Vie Eternelle, il ne mourra jamais, il ne mourra jamais...» Si vous avez pris la résolution de tout votre coeur. Que Dieu vous bénisse, maman, la femme âgée. Il faut que quelqu’un l’aide à tenir sa main levée, mais vous venez auprès du Seigneur Jésus.

            Vous dites: «Frère Branham, est-ce que–qu’est-ce que cela veut dire?» Cela veut dire que vous êtes passé de la mort à la Vie, juste là. Dieu prendra soin du reste, pour ce qui est de vous donner le Saint-Esprit. Prenez une fois la résolution dans votre coeur ; laissez Christ venir dans votre coeur, alors vous croîtrez dans la grâce de Dieu. Dieu va simplement vous dévoiler la chose. Premièrement commencez correctement. Agenouillez-vous. «La foi–c’est par la foi que vous êtes sauvé, par le moyen de la grâce, non pas des oeuvres, afin que personne ne se glorifie.» Il n’y a rien que vous puissiez faire, cesser de faire ceci ou cesser de faire cela. Croyez simplement ; Dieu vous sauve par la grâce.

71        Que Dieu vous bénisse, soeur, vous là au-dessus, qui avez la main levée. Que Dieu vous bénisse, la demoiselle, là au fond ; et vous, vous, vous, oh ! la la ! c’est juste. Ce sont les nouveaux qui sont en train de lever la main partout, acceptant le Seigneur Jésus. Oh ! la la ! Je pense que nous sommes environ soixante ou soixante-dix maintenant. Que quelqu’un d’autre qui n’a pas levé la main lève la main et dise: «Ô Dieu, souviens-toi de moi.»

            Que Dieu te bénisse, la petite, la petite dame là-bas, qui a levé le mouchoir. Partout ailleurs avant que nous commencions à prier. Que Dieu vous bénisse, je vois cet homme là au fond, oui là au fond, le frère espagnol, là au fond, vous qui tenez la main d’une autre personne levée, oui, je vous vois. Que Dieu vous bénisse ; Dieu vous voit. Que Dieu bénisse, la petite fille là-bas qui a levé la main. C’est juste une enfant, mais elle vient au Seigneur. Très bien, que Dieu vous bénisse par ici, soeur. Oh ! C’est merveilleux.

72        Attendons juste quelques instants, pour donner au Saint-Esprit juste le temps de parler aux coeurs. Peut-être qu’Il est en train de se mouvoir au-dessus de l’assistance, frappant à chaque porte. Qui vous a dit de lever la main? Qui vous a dit cela? Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire. Et tout celui qui vient à Moi», après que Mon Père a frappé à son coeur, tout celui qui vient, qui lève les mains pour saisir la ligne de sauvetage: «Je lui donnerai la Vie Eternelle, et Je le ressusciterai au dernier jour.»

            Un jour, lorsque la vie vous quittera en glougloutant dans votre gorge, peut-être dans un accident d’automobile, peut-être par une fièvre, par la maladie, ou simplement lorsque la mort viendra vous prendre, lorsque vous sentirez les vagues froides de douleurs vous envahir, et que vos amis seront en train de pleurer, vous verrez ce Rédempteur béni se tenant là, les bras étendus pour prendre votre âme et l’introduire dans un nouveau corps, un nouvel homme, un jeune homme ou une jeune fille, qui ne vieillira plus jamais, et qui vivra dans Sa Présence éternellement. En effet, ce que vous aurez fait, c’était de croire simplement et de lever la main.

73        Que Dieu te bénisse, la plus douce petite fille aux cheveux blonds bouclés, qui est assise par ici, la main levée, et dont les petits yeux sont remplis de larmes, regardant dans cette direction. Vous direz: «Dieu n’est pas en train de parler à cette enfant.» Bien sûr qu’Il est en train de lui parler. Elle n’a pas encore rendu son coeur insensible avec les choses du monde. Elle est innocente, ce n’est qu’une petite enfant d’environ six, sept ans. Que Dieu te bénisse, ma soeur là-bas, la demoiselle. Maintenant, s’il y a quelqu’un d’autre, avant que nous terminions.

            Que Dieu vous bénisse, il y a toute une rangée de gens, apparemment, qui s’avancent là au fond. Je suis désolé de devoir terminer, et vous levez encore la main pour le salut. Combien ici dans la salle en ce moment aimeraient recevoir le Saint-Esprit? Voulez-vous levez la main? Partout dans la salle, partout. Oh ! la la ! Regardez simplement ces mains partout. Que Dieu soit miséricordieux. Prions maintenant. Que tout le monde ait la tête baissée, et les yeux fermés.

74        Jésus est ressuscité des morts. Oh ! la la ! De penser que celle-ci est la soirée où nous allons donc nous séparer... Toutefois vous avez accepté Christ. Nous nous reverrons dans un endroit où nous ne nous séparerons plus jamais, simplement parce que vous L’avez accepté ce soir, voilà qui change tout.

            Père céleste, la grande série des réunions de Phoenix tire maintenant à sa fin. Et à la fin, beaucoup, beaucoup de pécheurs ont levé la main vers Toi, sur base de l’enseignement de la Parole selon laquelle Tu as dit: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, il ne mourra point ou ne viendra point en jugement», il ne sera pas condamné. Il ne sera plus condamné devant Dieu, mais il a accepté Jésus-Christ et les souffrances qu’Il a endurées à sa place.

75        Maintenant, ô Père, continue à les conduire humblement et doucement alors qu’ils gardent leurs mains agrippées à la ligne de sauvetage, marchant vers la Gloire. Ne veux-Tu pas les bénir en ce moment? Sauve chacun d’eux, Père. Que dans Ton Royaume, je puisse les voir et leur serrer la main. Et si cela est possible, puisses-Tu nous faire revivre le service de ce soir à ce moment-là. Ils diront: «Oui, c’était à cette réunion-là, c’est là... C’est moi qui avais levé la main.»

            Et Dieu dira: «Oui, Je t’avais vu. J’ai tiré ton coeur, tu as levé la main ; et Je t’ai agréé. Et maintenant tu es Mon enfant bien-aimé ; entre dans les joies de la Vie qui ont été préparées pour toi depuis la fondation du monde. Entre dans la joie.»

76        Nous Te remercions, Père. Ceux qui sont déjà venus à Toi et qui veulent être remplis du Saint-Esprit, et se mettre à part pour le service, accorde-le-leur aussi, Seigneur. Finalement, à la fin de la route, lorsque la vie sera complètement terminée et que le grand souper des noces sera offert, là à cette table longue de milliers de kilomètres, ceux qui ont été lavés par le Sang de tous les âges seront assis là tout autour. Le Roi fera son entrée, Il essuiera les larmes de leurs yeux, et dira: «Il n’y a plus de souffrance maintenant. Il n’y a plus de raison de pleurer maintenant ; nous sommes tous ici. Venez, vous les bénis de Mon Père.»

            En attendant ce temps-là, Père, garde-les heureux dans leurs âmes, purifie-les de toute impureté et de toute injustice. Puissent-ils marcher chaque jour en naviguant vers la Gloire, amenant d’autres à Toi. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils bien-aimé, qui les a appelés maintenant à la Vie Eternelle. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

77        Croyez de tout votre coeur, de toute votre force. Ôtez simplement tous les sentiments que vous pouvez vous imaginer, ou toutes les superstitions que vous ressentez, jetez-les tout simplement de côté. Alors regardez tout droit à Dieu et dites: «Je crois cela de tout mon coeur, solennellement.» Et observez et voyez ce que le Saint-Esprit fera.

            Maintenant, tout le monde est-il prêt? Maintenant, pour la gloire de Dieu, et pour le témoignage de la résurrection de Jésus-Christ, je prends tout esprit qui est dans la salle sous mon contrôle. Maintenant, soyez respectueux ; ne vous déplacez pas, tenez-vous tranquilles, s’il vous plaît. Maintenant, en cette soirée de clôture, faites-moi cette faveur, au Nom de Jésus, je vous prie. Soyez très respectueux, tenez-vous tranquilles. Les gens vont m’observer. Ils ne voudront pas me laisser trop longtemps avec cette ligne. Et alors... En effet, je suis très faible et très fatigué.

78        Et je vous aime tous avec la chaleur de l’amour chrétien. Que Dieu vous bénisse. Quand l’onction vient sur moi, bien sûr je ne sais pas quand on me retire de la chaire, ou ce qui se passe. Et j’espère vous revoir, dans peu de temps. En attendant, je serai en train de prier pour vous. Que Dieu vous bénisse. Très bien, madame. Maintenant, veuillez vous approcher ici juste un instant, soeur. Maintenant, nous sommes en principe, je suppose que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. C’est ça. Vous m’avez déjà vu, mais je ne veux pas dire que je ne vous connais pas. Je... si je vous connais, je ne vous reconnais pas. Je ne vous reconnais pas.

            Et nous nous sommes simplement vus l’un l’autre, c’est juste comme si vous étiez dans l’auditoire et qu’en vous retournant vous me voyiez.

            Mais quant à savoir qui vous êtes, où vous êtes, ce qui est arrivé, c’est–c’est impossible, n’est-ce pas? A moins que ça soit révélé au moyen d’une révélation spirituelle, ou d’une vision, ou de l’un des moyens pour connaître les choses. Je n’ai aucune idée du motif de votre présence ici, pas plus que je ne connais le motif, eh bien, de la présence de qui que ce soit d’autre ici. Je ne le connais pas ; mais Lui, Il connait le motif de votre présence ici. Et Il peut me révéler le motif de votre présence ici, me montrer ce pour quoi vous êtes ici. Je pourrais vous le dire, si c’est pour la guérison de votre corps donc, eh bien, Dieu pourrait, Il pourrait faire cela par votre foi, quand vous croyez.

79        Je vois que vous servez le Seigneur en indépendant. Ainsi, mais s’Il–s’Il me révèle le motif de votre présence ici... Maintenant, je suis en train de vous parler juste comme un homme qui parle à une femme, juste comme Jésus parlait à la femme à Samarie.

            Maintenant, à l’assistance, voici une femme que je ne connais pas. Il se pourrait que vous la connaissiez. Etes-vous d’ici, de Phoenix, n’est-ce pas? Vous êtes de Phoenix? Les gens là dans l’assistance la connaissent, n’est-ce pas? Eh bien, moi je ne la connais pas. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Mais vous savez si ceci est la vérité ou pas. Et vous savez si je connais quelque chose à son sujet ou pas. Je n’en ai aucun moyen ; je ne connais pas cette femme, sans parler de connaître quelque chose à son sujet.

80        Maintenant, l’unique façon dont cela pourrait se faire... Si cela était fait conformément aux Ecritures, eh bien, détournez-vous de la vieille sorte de credo que vous avez appris et regardons à la Bible. Jésus a dit: «Vous ferez aussi les choses que Je fais.» Maintenant, lorsqu’Il a rencontré une femme comme ceci, Il a commencé à lui parler. Et aussitôt, vous savez, Il a trouvé exactement où résidait son problème. Et dans ce cas-là, elle était une femme qui avait cinq maris. Il a dit: «Va–va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’en ai pas.»

            Il a dit: «Tu en as eu cinq.»

            Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit: «Je sais que lorsque le Messie viendra, ce sera là Son signe.» Voyez, le signe du Messie, de faire cela... Les gens aujourd’hui disent que c’est de la télépathie, que c’est le diable. Il n’est pas étonnant que nous soyons dans l’état dans lequel nous sommes. C’est le Seigneur Jésus ressuscité, le signe du Messie.

            Mais cette femme a dit: «Qui es-Tu, Toi?»

            Il a dit: «Je Le suis.»

            Elle est entrée dans la ville en courant, et elle a dit: «Venez, voir...» Un réveil a commencé dans cette ville, simplement à cause du témoignage d’une seule femme, après qu’Il lui a dit–après qu’Il lui a dit une chose. Si ceci n’est parfaitement pas un cas similaire, à part le fait de connaître ce qu’elle a comme problème, ce soir. Est-ce juste? Est-ce que tout le monde reconnaît cela?

81        Maintenant, vous... c’est une femme de Phoenix, a-t-elle dit. Et vous la connaissez tous. Beaucoup d’entre vous ont levé la main ; vous la connaissez. Maintenant le Seigneur peut me révéler ce qu’elle a comme problème. Mais si elle est–si elle est ici pour un problème de ménage, un problème financier, ou pour la guérison, parce qu’elle est malade, ou quoi que ce soit, ou s’il s’agit de son âme, quoi que cela puisse être, Dieu peut le révéler. Et elle saura si cela est vrai ou pas. Alors s’Il connaît ce qui était, certainement qu’Il connaît ce qui sera.

            Maintenant, que tout le monde soit respectueux. Maintenant, pendant que je parle à cette femme, juste pour capter son esprit...

            Eh bien, j’attends plutôt que vous vous calmiez, s’il vous plaît. Ne vous déplacez pas. Il y a toute sorte d’esprits ici ce soir (Vous voyez?), qui se déplacent, je veux dire la maladie. Et maintenant voyez, surtout chez les enfants. Les enfants, ça attrape les enfants si facilement. Ainsi ne–ne... juste au moment où j’ai dit cela, l’épilepsie commence à tirer. C’est juste. C’est la chose que... Aussitôt que ces... Vous...

            Je vous assure, connaître les choses spirituelles, mes amis, voyez juste comment les paroles changent les attitudes spirituelles, et tout. Vous voyez? Dès qu’il m’a entendu dire cela, alors l’épilepsie a commencé à agir.

82        Maintenant, maintenant j’aimerais simplement vous parler juste un instant. Juste pour voir votre esprit humain. Maintenant, si Dieu... Etant donné que vous êtes... vous êtes un croyant chrétien. Et si Dieu ôte, ou plutôt s’Il intervient et me dit pourquoi vous êtes ici, alors vous croirez. Vous savez bien que croire vient de Dieu.

            Avant tout, vous avez des difficultés pour manger ; il s’agit d’une maladie de l’estomac. Vous avez une maladie de l’estomac, c’est la gastrite, dans l’estomac. En effet, cela fait remonter des choses jusqu’à la bouche et tout. C’est la gastrite dans l’estomac.

            Et puis, vous avez un–un bras qui est mal-en-point. Il s’agit de votre bras gauche. Et il a été écrasé par une automobile. C’est la vérité. Vous croyez maintenant? Vous croyez maintenant? Approchez.

            Père céleste, je Te prie de bénir maintenant. Donne-lui le désir de son coeur. Au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen.

83        Ayez la foi, croyez de tout votre coeur. Maintenant, nous sommes totalement des inconnus l’un pour l’autre aussi. Maintenant, voici le tableau parfait du Seigneur Jésus au puits. Lui était un Juif, et cette femme était une Samaritaine: il y avait un problème racial, juste comme on en a aujourd’hui, moi je suis un Blanc, et vous une femme de couleur. Mais il s’agit de... Jésus leur a fait savoir immédiatement que cela ne changeait rien pour Dieu. Nous sommes tous issus d’une seule personne. Nous sommes tous les enfants de Dieu.

            Mais que ça soit les Juifs, les Gentils, les Blancs, les hommes de couleur, les Jaunes, les Bruns, cela ne fait aucun problème. Dieu, par un seul Sang, par Son Fils, Jésus-Christ, nous a tous rachetés. Et par cela, nous sommes devenus des frères et des soeurs. Maintenant, étant donné que je vous suis étranger, croyez-vous que Dieu fera quelque chose pour vous, comme Il...

84        Maintenant, vous savez que je ne vous connais pas, n’est-ce pas, madame? Je–je... nous ne nous connaissons pas. Mais vous–vous souffrez d’une–d’une maladie des nerfs. Vous êtes nerveuse, agitée. Vous avez beaucoup de choses dans votre coeur, le chagrin. Vous êtes complètement brisée au sujet de quelque chose. Je vois qu’il commence à faire sombre, et à faire de plus en plus sombre. Il semble y avoir quelqu’un qui se tient là au fond, mais c’est un homme. Il titube en se penchant de côté ; il rentre à la maison. C’est votre mari ; c’est un ivrogne. Et vous êtes ici pour... Aie pitié, ô Dieu. Très bien. C’est vrai, soeur. Approchez. Père, je Te prie de lui accorder ce qu’elle demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Bonsoir, soeur. Je voudrais que vous soyez respectueux, partout. S’il vous plaît, ne vous déplacez pas. Maintenant, madame, nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Nous ne nous connaissons pas, n’est-ce pas? Nous sommes de parfaits inconnus? Eh bien, Jésus-Christ le Fils de Dieu est mort pour... sauver.

85        Vous avez un problème au côté, n’est-ce pas, soeur, vous qui êtes assise là, juste là devant? Vous avez un problème au côté. Une chose vraiment étrange est arrivée lorsque cette dame a appris quelque chose au sujet d’un bien-aimé il y a quelques instants ; en effet, vous priez aussi pour un bien-aimé: c’est un papa qui n’est pas sauvé. Je le vois debout, et vous priez pour lui. C’est vrai, n’est-ce pas? Que Dieu vous bénisse, jeune dame.

            Maintenant, là vous... Ces deux–ces deux personnes qui sont assises juste là au bout, vous souffrez de l’épilepsie. C’est juste. Toi, démon, au Nom de Jésus-Christ, quitte-les, sors d’eux.

            Croyez-vous maintenant, madame, de tout votre coeur? Croyez-vous que Jésus-Christ le Fils de Dieu est ici pour vous guérir? Je crois que vous le croyez. Vous êtes–vous vous êtes rendu compte juste maintenant, que vous êtes dans la Présence de Quelque Chose, n’est-ce pas, soeur? C’est Sa Présence. N’est-ce pas que ça vous donne une sensation merveilleuse de se tenir dans cette Présence?

86        Maintenant, si c’est juste, afin que l’assistance voie, levez la main. Cette merveilleuse consolation de l’amour qui, on dirait, se déverse... Vous–vous souffrez d’une maladie aux poumons, c’est un problème de poumons. Il semble que vous avez eu de... Une de vos côtes s’est déplacée, n’est-ce pas? Ou quelque chose du genre, une sorte de problème de côte? C’est sous votre... déplacement des côtes, oui. Je vois qu’on vous ôte ou qu’on vous fait quelque chose aux côtes.

            Et vous êtes... vous avez une–une déviation de la colonne vertébrale. Et ça provoque une maladie de l’estomac, parce que l’estomac est poussé d’un côté, et ils ont dit que l’estomac est repoussé dans une mauvaise position. Et puis, vous avez des douleurs dans le dos. C’est la vérité. Croyez-vous que Jésus-Christ est ici pour vous guérir? Si c’est donc Lui qui parle, alors ce n’est pas moi.

            Venez, permettez que je vous impose les mains. Ô Dieu, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, guéris notre soeur et donne-lui tout ce qu’elle demande. Au Nom de Jésus. Amen. Ayez la foi ; ne doutez pas.

87        Maintenant, soeur, vous qui êtes assise là et qui avez une maladie de foie, vous qui êtes assise juste là, vous étiez alors en train de prier. Vous disiez: «Ô Dieu, permets qu’il me parle, et je croirai.» N’est-ce pas exactement ce que vous avez dit? Levez la main si c’est...?... Maintenant, tenez-vous debout. La maladie du foie vous a quittée, soeur.

            Bonsoir, monsieur. Croyez-vous? Nous ne nous connaissons pas, frère. Jésus-Christ nous connaît tous les deux. Si Dieu me dit exactement le motif de votre présence ici, accepterez-vous de recevoir ce pour quoi vous êtes venu ici par Jésus-Christ? L’accepterez-vous? Il y a une ombre de la mort qui est suspendue au-dessus de vous. Et cela est causé par quelque chose dans votre estomac. Et il s’agit d’un cancer dans l’estomac. Croyez-vous maintenant, que Jésus-Christ va vous guérir? Acceptez-vous cela juste en ce moment sur base de Son Sang versé? Alors allez manger. Au Nom de Jésus-Christ, que le démon quitte mon frère. Amen.

88        Ayez la foi ; ne doutez pas. Jésus a dit: «Si tu peux croire...» C’est ça, petit ami. Amen. Cette femme indienne qui est assise là au bout, elle avait la tête inclinée et priait tout à l’heure ; elle a un peigne dans les cheveux. L’Ange du Seigneur, cette Lumière, est suspendue au-dessus de la femme. Elle souffre d’un rhume des foins. C’est vrai, la dame indienne. Jésus-Christ vous guérit.

            Dites donc, votre amie qui est assise à côté de vous, cette autre femme indienne là, elle souffre de maux de tête. Posez votre main sur elle aussi, afin qu’elle soit aussi guérie. Levez la main là-bas, madame, et recevez votre guérison par Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen. Ça y est: elle est guérie. Le trait sombre et obscur est en train de quitter, de s’en aller. Il y a quelque chose de blanc qui le repousse. C’est terminé. Ayez la foi.

89        Est-ce la patiente? Croyez-vous, madame, de tout votre coeur que je suis le serviteur de Dieu? Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue. Mais votre vie, vous ne saurez pas la cacher maintenant, parce que j’ai contacté votre esprit par Jésus-Christ. Vous êtes ici pour une chose noble. Vous êtes une femme stérile et vous voulez avoir des enfants. Et vous voulez que je vous impose les mains, afin que vous receviez un enfant. Père céleste, donne à cette femme le désir de son coeur. Je la bénis, en tant que Ton serviteur, au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus. Amen.

            Ayez la foi. Ne doutez pas. Vous voulez être guérie de cette arthrite, vous qui êtes assise juste là au fond? Levez-vous ; votre foi vous a guérie, soeur. C’est juste, levez-vous, levez les mains et que les gens voient que vous êtes guérie. Absolument, vous en êtes délivrée maintenant. Amen. Votre foi vous guérit. Amen. Ayez foi en Dieu ; ne doutez pas.

90        Approchez, madame. Vous croyez? Je suis un inconnu pour vous. Nous ne nous connaissons pas, je pense, mais Jésus-Christ nous connaît tous les deux. Les esprits sont en train d’implorer du secours. Je... Juste un instant, madame. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, nous ne nous sommes jamais vus, si je... si le Saint-Esprit, plutôt, par moi révèle ce qu’est votre maladie, allez-vous croire? Et allez-vous croire que cela vient de Dieu?

            L’assistance va-t-elle croire que cela vient de Dieu? Eh bien, naturellement, plus je vous parle, plus des choses pourraient être dites, mais vous êtes tellement bouleversée. Je vois quelque chose autour de votre bras. Vous souffrez de la tension. Et aussi vous avez un esprit qui vous étouffe. C’est un goitre dans votre gorge, qui vous étouffe, c’est un goitre interne. C’est la vérité. Vous n’êtes pas de cette contrée. Vous venez d’une contrée lointaine de l’est. Vous venez de Grand View, dans le Tennessee. C’est juste. Est-ce que cela vous choque? Vous vous appelez Mlle Lily Edwards, aussi. C’est vrai. Maintenant, rentrez chez vous et soyez guérie au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Ayez la foi.

91        Bonsoir. La première chose que je vais vous dire, mon ami, concerne votre–votre vie avec Dieu. Vous n’êtes pas–vous n’êtes pas satisfait vous-même de votre marche. Vous voulez une marche un peu plus rapprochée avec le Seigneur. C’est vrai. Je vous vois le Lui demander en prière. Et puis, je vois que vous avez une grosseur. Et cette grosseur est en train de se développer. Et elle se trouve dans l’estomac. N’est-ce pas vrai?

            Vous voulez une marche plus rapprochée avec Dieu? Vous voulez être guéri? Alors croyez que ce qui vous parle, ce n’est pas votre frère, le Seigneur Jésus-Christ vous l’accordera. Allez-vous le faire? Alors au Nom de Jésus-Christ le Fils de Dieu, recevez ce que vous demandez. Amen.

92        Vous êtes près du Royaume, soeur. Madame... Cette femme, est-ce elle la patiente? Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, je pense. Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît.

            Vous êtes une croyante. Vous ne vous tenez pas ici pour vous-même. Vous vous tenez ici pour un ami. Et vous venez de recevoir une sorte de message venant de cet ami. On va l’opérer le matin pour un cas de cancer. Et c’est près d’un grand lac ou de quelque chose comme ça, c’est près de Chicago, dans l’Illinois. C’est juste. Ô Dieu, au Nom du Seigneur Jésus, accorde la guérison de tout ce qu’elle demande, au Nom de Jésus.

            Le Seigneur Jésus peut guérir la maladie du coeur tout autant qu’Il peut guérir n’importe quelle maladie. Croyez-vous cela? Croyez-vous que vous allez obtenir cela maintenant? Au Nom de Jésus, allez et recevez cela. Amen.

93        Approchez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Je dois vraiment me dépêcher un peu. Juste, pour que je ne reste pas longtemps debout ici. Regardez encore dans cette direction juste une minute. Croyez-vous? Aimeriez-vous aller prendre votre souper? Cette maladie de l’estomac qui vous a dérangée, qui vous a complètement bouleversée, qui vous donne des crampes, qui vous fait mal, c’est ce qui vous cause aussi une double... des problèmes gynécologiques. Poursuivez votre chemin, Jésus-Christ vous guérit.

            Croyez-vous? Croyez-vous que Dieu vous guérira de cette anémie? Croyez-vous que vous pouvez rentrer chez vous, et être guérie de cette anémie? Que Dieu vous bénisse. Partez, et recevez ce que vous demandez, au Nom de Jésus.

            Ça va, approchez, madame. Je vous vois lever cela pendant que vous vous approchez...?... Non, ce n’est pas ça, vous n’avez pas une hanche brisée ; c’est l’arthrite qui vous dérange. Croyez-vous que votre... que Jésus-Christ va vous guérir? Allez, et soyez guérie au Nom de Jésus.

94        Voulez-vous approcher, madame? Croyez-vous? Voulez-vous être rétablie de ce mal de dos, de cette maladie des reins? Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérit? Alors partez, Jésus-Christ vous guérit et vous rétablit totalement. Amen.

            Votre arthrite a été guérie pendant que vous étiez assis juste là-bas, monsieur, ce soir. Vous êtes déjà passé par...?... Très bien, vous étiez assis là dans l’assistance en train de me regarder ce soir, juste là-bas. Il y a une grande fraîcheur qui a parcouru votre estomac ; c’est à ce moment-là que l’ulcère vous a quittée. Vous êtes guérie.

            Bonsoir. Votre maladie du coeur est terminée, frère. Partez, en vous réjouissant et en louant Dieu. Croyez de tout votre coeur.

            Les yeux et l’estomac, mais Jésus-Christ vous guérit. Ayez la foi.

            Juste une minute. Ne craignez pas ; votre maladie des reins et tout vous ont quittée, madame. Partez, en croyant.

            La maladie de l’estomac, n’importe quoi, Dieu peut guérir tout cela, n’est-ce pas? Il peut vous guérir, Il peut vous guérir parfaitement. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, j’offre cette prière pour mon frère. Amen. Tant de... Ecoutez, c’est vraiment partout. Ecoutez, c’est partout.

95        Vous avez une maladie du coeur, madame. Tout celui qui a une maladie du coeur, tenez-vous debout juste un instant. Voyez ce que je vous ai dit? Comment va-t-on discerner? Cela vient de partout. Tenez-vous ici juste une minute. Croyez de tout votre coeur maintenant. Tenez-vous ici ; restez debout une minute.

            Ecoutez, madame. Vous avez la tuberculose. Tout celui qui a la tuberculose, tenez-vous debout juste une minute. D’un bond tenez-vous debout sans tarder...?... Soyez–soyez loyal ; croyez de tout votre coeur. Les poumons, les poumons, ça continue. Ça va, monsieur. Tenez-vous debout de toute façon. Vous n’avez pas la tuberculose, vous ; mais vous avez la pneumonie dans vos poumons. C’est juste, vous qui vous tenez juste là. C’est juste, vous. Tenez-vous tranquille.

            Cet homme qui est étendu juste ici a la pneumonie dans ses poumons, celui qui est sur ce brancard. Levez-vous, monsieur, Jésus-Christ vous gué...?.. Vous autres, tenez-vous debout une minute. Levez-vous. Ô Dieu, au Nom de Jésus-Christ le Fils de Dieu, je T’apporte ces malades et ces affligés. Je réprimande chaque démon qui a lié les gens, la tuberculose, tout, tous ces infirmes, ces malades, ces affligés, ô Dieu, au Nom de Jésus, ôte cela. Croyez cela. Sors de...?... Tenez-vous debout partout, et soyez guéris.

E-1 Good evening friends. We are happy to be in Phoenix tonight at this service, but we're sorry being the last night. And so we hope that God will give us His greatest blessings tonight. That there'll be no sick among us when we leave tonight, no one afflicted. I want you here, on the stretchers, cots, and chairs; I want you to do something for me tonight. I want you to believe with all your heart. I'd like to see every one of you walking out tonight, well.
He loves you, friends. Just because your diseases and things seems to be incurable, that's just Satan telling you that. It's no more for Him to heal you, than it is to heal anybody. You believe with all your heart tonight. Just believe it; don't make any difference how you--what your mind says about it; just take what God says about it. I know it's the truth. I wouldn't tell you that, 'less I really knew that it was absolutely the truth.

E-2 Now, we want to thank first, I guess, Brother Moore, usually the manager does this, but I--I want to take this opportunity myself to thank each and every one of you, for helping make this the best meeting, I believe, that has--we've had in Phoenix. More spiritual and settled than any meeting I've had in Phoenix.
I want to thank this fine group of ministers, the cooperating ministers, that helped us to have this meeting. All the sponsors, many of them couldn't sponsor, 'cause they had their own revivals and things going on. We never try to, oh, make such a great big thing till everybody has to close up their churches. Some of the brethren has big tents and so forth; they got to have... Everybody's got to close up or they can't come. Oh, I've never carried my meetings just like that. And I make it simple and little, and just to go and do the best I can.
Appreciate all that did come. And those who couldn't come, why I appreciate them just the same. And our expenses that way is low, our budget's not very much to make; and so therefore, we don't have to strain the people, just take up a ordinary offering and pay off our debts. As soon as the budget's made, that settles it.

E-3 And I hear that tonight they've given a love offering to me; I certainly appreciate that. Wished I didn't have to take it. I just got a big obligation; you can imagine what it is. And office going all the time, my obligation's at a hundred dollars a day, regardless of where I'm at. It's just in Jeffersonville, regardless of whether I'm in the services or not. You can realize how far I go back in the hole, sometime.
And now, we send out lots of prayer cards, like these here. And we send them all over the world. Sometimes as many as a thousand in one day, we've sent out. And all of you are welcome, any time that I can be of a help to you, why write me and let me know. I don't say that... See, many times they say, "Write me," just to get your address. But I don't have any radio programs to sponsor. I don't have any thing, just... you... Nothing that I just so I can help you. Just to send you a prayer cloth or something or other, I'd be glad to do it. Have prayer for you, I'll be happy to do so.

E-4 And now, I want to thank each and every one of you for your cooperation. All you people's been coming, all that you have given. And the love offering tonight, every penny that doesn't have to go exactly for our little... What living we have, we live poor just like the rest of the people. People can't understand that, why been on the field longer than all the rest of them, and yet don't have anything. It's because that I spend what little I do have in foreign missions, friends, everything, God is my solemn Judge to that (See?), that everything I get, I...
If it's in the line of finance, if we try to live common like people, and then what little we have left over, I build it up and build it up, till I get enough to get us overseas. We go over and preach the Gospel then to those who's never heard it before, and win thousands times thousands and thousands to Christ. When our money runs out, we come back. Come to America and go through and visit our friends. They help us out a little, and as soon as we enough built up, away we go again.

E-5 Now, I know it, I got plenty friends. I got friends setting right here in this building tonight that just say, "Here Brother Branham, I'll write you a check to go overseas." But that wouldn't be fair to the rest of the people. See? Every one of us wants a little bit in that. That's right. Every fellow his dime, fifteen cents, quarter, whatever it is, that's part in the Kingdom. And that way, then I know it's the Lord sending me over there.
I suppose 'fore I see you again, I'll probably have another overseas tour. One's coming up now for all of Africa, Tanganyika, Rhodesia, up through into India again. And so, we trust that you'll be praying for us, as we go along.

E-6 I met one friend today, told me not to mention their name from the platform, but if they're present, they know how we appreciate them, every one of them. I love them with all my heart. And then, some people has been... They know that I'm a--like to hunt so well, so I've been very well fed with wild animals. They brought me... Two or three people brought deer to the place I was staying. Brought elk, and even buffalo, and javelina hog, so I--I just had a great time.
That's my first time for some of that. It was really good. The Lord bless you. You didn't know how I loved that. And I thank you so kindly. And first time I'd ever tasted any javelina hog or--or buffalo, and it's was really good. And I appreciate it very much. And the elk and deer was wonderful. And I just love that kind of stuff. I don't know what makes me do it, but I--I like it anyhow. I like the woods and the outdoors. So I like what goes with it. So I appreciate you very, very much.

E-7 And now, all of you's rallied around, wonderful faith, been wonderful. To me, it's been a little hard on me, friends. This has been the first time in my meetings that I've ever tried to make my own altar call, preach, make my altar call, bring the people to Christ, and then pray for the sick. Been pretty hard. For the last few days, I've been almost knocked out. 'Cause this is just not the only meeting I go to.
I have just start right straight in California. We're packed right now, most of our stuff, ready to leave for California. And we'll be over there, and then come right back, Macon, Georgia. Right from there to--up into Colorado, and just on and on. And it certainly gets kinda tiresome.

E-8 Now, one time... The greatest thrills that I've been having in my meetings, especially recently, always turn the altar call over to the manager, someone. But I... What a thrill it gives me to see people raising up and accepting the Lord Jesus as personal Saviour. And I am so happy for that.
And I want to make--I want the ministers to understand this that my sponsors and those who are near, I would like to come back to Phoenix sometime, if God willing, just to have a meeting of just preaching the Gospel, and bring the people to the altar, and laying hands upon them to receive the Holy Spirit. With... This discernment, the visions is what knocks me out so.

E-9 How would you like for us to come back and have a meeting like that? Would you like it? Well, God bless you. Thank you very much. Maybe pray for the sick, but not under the discernment, so I can stay a long time (You see?), instead of just staying a few nights and having to leave, why, we could stay longer. Thank you kindly.
As I'm making my tour across the nation now, before going overseas, I'm asking that. In Los Angeles on the Christian Businessmen, the first five nights of the meeting is just preaching, and laying hands on the sick, and praying for them as they come through the line. We catch every one then.

E-10 And now, that is not exactly the way I use my ministry, but it's the way the people are taught, and they believe for that, so I'd like to do it that way awhile. You just can't mix it up, 'cause when visions first starts then you have no control of it; it just keeps going. And now, I wish tonight I could explain and tell you how that happens, but I can't. That's just as much mystery to me as it is to you.
Now, I think that that covers everything, except the custodians, and the ushers, and so forth. We thank this Shriner brotherhood for letting us have this auditorium. I hope that the custodians, and managers, and so forth are present. If not, may you tell them that deepest of appreciation. This is the second time they've let us have it, and we appreciate that. The Lord bless them all.

E-11 And the ushers that's been so kind to help us get the prayer line ready. And especially a little usher that's been coming with Billy, helping me in out here, little fellow. Wonderful little chap, I got to shake his hand a few moments ago. And when they're bringing me in, they don't talk, as anyone knows that. So we get to the platform after coming out from prayer.
And we sure thank the brother. And the rest of them, too, Brother Ballard and all this fine bunch of brothers that's setting back here, Brother Walk--Fuller, oh so many. I know their face but sometimes can't call their name. I think they are wonderful man. And I believe one of them, I believe it's Brother Fuller, starting a revival right after this, is it? That's tomorrow night, we sure make that announcement. That Brother Fuller here, of the, is it Fuller Tabernacle? Faith Temple. Have you already announced it here? I guess anyhow...

E-12 And we're just glad to announce any revival, anytime, and where they're going to have... Hurry, quickly, everybody attend these revivals that's announced now, and go right on and serve the Lord. Don't let your house light die down. Just keep a moving in these revivals.
Oh, it's so wonderful to know that the Lord Jesus lives today, isn't it? Lives in and reigns within our hearts... And now tonight I don't want to take very much time. I want to speak just a little while on the Word, and then go right into the line of praying for the sick.
I had it kinda announced out, that maybe I'd just make a...?... call. And then I kinda feel like, maybe, we just leave it to the Lord, and see what He's going to do about it--that down to the end of the--the road, when we get to that time. Sometimes He just lets us go right to the last moment, then tell us what to do. But we love Him for that, don't we?

E-13 Now, the Lord bless you. And pray for me. How many will promise me that you will pray for me? I--I just... God bless you, oh, my. Children out here... Just think of going in and shaking hands with the people. And how I'd just like to come down through this aisle tonight. I lo... Really the truth, I'd like to go home with every one of you, stay all night, set and talk awhile, get up in the morning and talk. I'd love to do that; my heart just longs to meet people like that. But I almost have to be in isolation on account of the type of ministry that I got, 'cause it's... I just can't do that and have the meeting. But God knows that I love you.
So I'm making an appointment with every one of you. This... When I see you in the glory land, if God permits me to be there with you, I just want to go over and set down for a thousand years with each one of you and talk. And we will just--just... We won't have no less time to talk than when we first began. We'll talk it all over then, won't we? Won't that be wonderful, set down, the Tree of Life?

E-14 And you know we be entertained by the--all the great singers. There'll be Sankey, and Beverly Shea, and all of them, over on the hill over there, just a singing the praises of God. We'll be setting down by the Tree of Life, where the waters are coming out from under the throne. Won't that be marvelous? I just long for the day. What does it matter to a Christian that's really anchored in Christ, for just as soon as this old earthly tabernacle is taken away, we move right into another one, it's right there. My, isn't that marvelous?
Think, sick, and weary, and broke down, and heartbroken, everything going wrong, the world all in a turmoil, and think well, "Come, Lord Jesus." The first thing you know, this old shaky body, begin to wither away, and you feel the pains a moving to it, the chilly death moving up the sleeve. Then look standing yonder; there's a brand new body, standing right there. Just move out of this one, right into that one.

E-15 "For when this earthly tabernacle be dissolved, we have one already waiting," just we'll move into it. A new one, not made with hands, but God has made it, fashioned eternally, the glory of God. To move right into, to become new and young again, to never be sick... Oh, my, what can... Why death hasn't got any--any hold on a Christian, has it? Death is just something to bring a Christian right on into the Presence of his Maker. He's wonderful when you can think of Him that way, isn't that right? How that death can't hold a Christian, he just sweeps him right...
Now, what kind of body that'll be, before we return to pick up this body, I don't know; it's not revealed to man yet. But we know that we're not going to be spirit after we leave here. The spirit's going to leave this tabernacle, to move into one that God has made. Not just a spirit; it's a body. Amen. It's got form, fashion, everything. Oh, it'll be wonderful, won't it?

E-16 Now, to read just a little out of the Word, 'cause His words isn't going to fail. My words will, and any other man's word will, but His Word isn't going to fail. So over in Saint Luke... I been preaching so much about the Old Testament, I thought tonight I'd turn around a little bit, and get something out of the--the New. Just being a typologist, I have to kinda go back and get a line of the Old, to know what the New looks like. So I believe if I had the shadow of the thing, I'll know just about what it is when it gets here, if we see the shadow of it.
Now, in the New Testament, Saint Luke the--the 24th chapter, and beginning with the 30th verse. Just for a way of text, we read this through these verses.
And it came to pass, as He sat at meat with them, that He took bread, and blessed it, and brake it, and gave to them.
And their eyes were opened, and they knew Him; and He vanished out of their sight.
And they said one to another, "Did not our hearts burn within us, while He talked to us by the way, and while He opened unto us the scriptures?"

E-17 Now, let's ask Him, the resurrected Lord Jesus, if He won't open to us the Scriptures now, while we set and wait on Him. Shall we bow our heads, while we pray?
Our beloved Saviour, we have come to Thee tonight, with open hearts, if we know them. We come to Thee with this blessed assurance, that's been placed in our innermost being, that Thou art the Son of the living God, that You died for our sins, and separating us then from sin, and has raised from the dead, and now seated at the right hand of the majesty on high, and has sent back the Holy Spirit.
And we thank Thee for the witness of the Holy Spirit, confirming the Word with signs following. We thank Thee for this great, marvelous meeting, that only by Thy grace have we been able to--to fellowship in. How we've fellowshipped around the Word, and around the Spirit of God. All of us belonging to different organizations, as to say, but all together in--seated in heavenly places in Christ Jesus, has opened our hearts to the Word and let the Holy Spirit come in. Feed us.
Hundreds has received Thee as their Saviour; we're so thankful for it. And the sick, the crippled, those who've been setting in wheelchairs, paralyzed, laying on cots, stretchers, has been made whole and walked out. Blind, deaf, dumb, all kinds of diseases has been healed. And Thou O God, has come into the midst of the people, and their faith has drawed out supernatural words, explaining to them their life, of what they have done, and what they must do, and what will be. [Blank.spot.on.tape--Ed.]...

E-18 God, which was a part of God. God seen what the end would be, from the beginning, and the Logos come to the earth, which was Christ the Word, spoken Word of God, part of God, and was made flesh and dwelled among us. And then, we come out of Christ, which makes the same life that was in God, in Christ, in you. And just as sure as God raised this up, we've got to come with the same thing, if the same Spirit's in us. Because it's the Spirit of God making us sons and daughters of God.
Oh isn't it marvelous? How do we get it? By believing on the Lord Jesus Christ, that's what. And accepting it, and then God in return, give us the Holy Spirit, crying in our hearts, "Abba Father, my God, my God." And then we are resurrected in the last days to be caught up. And He said, "That day you shall know that I am in Father, the Father in Me, I in you, and you in Me."

E-19 There's the Spirit coming out of God, manifested as the Logos, come down and made flesh, dwelt among us, re--res--died, taken on penalty of sin, raised up again, setting at the majesty on high, at the right hand of God. And the Holy Spirit coming back, bringing in the same Spirit in the individuals now, to bring them back into relationship with their Creator. Isn't that marvelous?
Then all the atomic bombs, and all the... Did you see the paper today? Looks like war's fixing to boom again; they're turning their guns. What difference does that make to a real believer, how many guns they turn? Amen. God's got the reins in His hands. Amen. And whenever it gets time for us to--to get away from here, whether it's by--however way that we go; there's nothing, not death, nothing else can separate us from God. We have Everlasting Life. Can't come into condemnation, 'cause Christ said so: we've already passed from death to Life.

E-20 Now, in Jerusalem, the beginning of our text tonight, it had been a very marvelous three and a half years. They'd had a revival. And great anticipations waited upon the people, on a Man that the world and the church rejected, the Lord Jesus. He was considered a fanatic. And we'd call today, if we'd put it in the words today, He was a holy-roller. He absolutely disagreed with their theology. And yet, God vindicated that He was with Him.
Peter said at Acts 2; he said, "You man of Israel, you should of known this. For this Jesus of Nazareth was a Man approved of God among you, with signs and wonders which God did by Him, in the midst of you all, which you also are witnesses. You ought to have knowed it," but said, "You with wicked hands have crucified the Prince of Life. Wherefore God's raised Him up, and we're witnesses." That's it. God proved that that was His beloved Son, by the signs and wonders that He did, showing that God was with Him.

E-21 I want to ask you something, believers, and especially to my ministering brethren back here. Any time the church in the last two thousand years has ever had a revival, or any time in the world that the church ever had a revival, there was signs and wonders accompanied the revival. Yes, sir. Signs of the supernatural God, living in the people, that gives the people a view. What hope do we have, unless we know that there is something supernatural.
Every man, he's trying to look a past the curtain of time. You know you come from somewhere; you're going somewhere; so it takes a little peek a past the curtain of time. Moses wanted to see it. God let him see it. So we can see it also, Christ the resurrected One.

E-22 Now, the church that come out of their affiliations with--with the great Orthodox Jewish church of that time, the Sanhedrin, and had brought themselves out, and had followed the Lord Jesus. No matter how black the people tint His Name as a illegitimate child, they recognized that God was in Him.
He said, "My sheep know My voice." See, they were spiritual inside, and when they seen Him, they recognized that He was different from them priests, and teachers, and so forth. So they followed Him wherever He went. They loved Him. They couldn't understand Him. He was a mystery, even to the Apostles. No one could understand Him, because there was two people talking all the time.

E-23 The Person Jesus Christ was talking, and God was talking in Him, also. Sometimes it was Christ himself; sometimes it was the Father that dwelt in Him. You see it? He--they couldn't understand some things He would say; He talked in riddles to them. Jesus finally said, when He was talking to them one day, how, "I came from God; I come into the world; and I go back again to God."
And so the disciples said, "Now You speak plainly. Now we understand, and we believe that--that You know all things, and by this we believe that You are the Son of God. We believe on You, now, because You know all things; God shows You all things; and You need no man to have to tell You, because God just shows it to You. And that's the reason we believe that You come out from God." See, after they... Right before His crucifixion, Saint John about, I believe the 15th or 17th chapter, I don't remember, 15 I think.

E-24 All right, notice, now they'd loved Him and they believed Him, because they'd seen His works, that God was with Him in confirming the Word that He preached. See, a man can come and say anything. That's just a man's word. But when God comes around and says, "That's the truth," confirms it, then you better believe it, because God said so. See?
So He spoke of God being in Him. He said, "It's not Me that doeth the works; it's My Father that dwells in Me, He doeth the works. I do nothing of Myself; just what the Father shows Me, that I do." And they found out, that ever what the Father showed Him, and He told them, was just exactly the truth.

E-25 He stood in the audiences, and He perceived what they were thinking about. He said, "Why are you reasoning in your heart about that?" And He found out things like that; hey know it come from God. And He said that--things that He had done, and how the Father had showed Him, and He found out every thing that He said was the truth. So that was a sign to the Jew anyhow.
"If there be one among you who's spiritual or a prophet, I the Lord, will make Myself known to him in visions, speak to him in dreams. And what this prophet says, if it comes to pass, then hear him, for I'm with him. But if it isn't coming to pass, then don't hear him, I haven't spoke with him. Just falsely in flesh, I haven't heard him, or I haven't been with him."
But it was a sign, and they seen that God was actually manifesting Himself through Christ. And that's exactly what the Scripture said, "God was in Christ, reconciling the world to Himself."

E-26 Now, notice, then along came the disappointing time. That this great, wonderful One Who could speak to the dead, and they would raise again. Not all the dead, He just spoke to three of them, as recorded in the Scripture. And the three raised up, because three's a testimony, a--a witness. "Mouth of two or three witnesses, every word's established." And each time, He said the Father that did it, the Father showed Him what to do.
Now, and they see a Man Who could raise the dead, and yet die. Not only die an ordinary death, take sick and die, but would be stood and made fun of, a Man who could perceive their thoughts and tell the people what they were doing, then when come to the test, the trial, had a rag wrapped around His head, and they hit Him on the head with a stick, and said, "You're a prophesier; tell us who hit you; we'll believe you now."
And reached over and pulled beard out of His face, and spit in His face. A Divine person, how could that be? I imagine His followers said, "Well, why don't He just do something about it?" Well, if He'd have done something about it, you and I would've been in an awful fix tonight. He couldn't do nothing about it, save Himself and save others, He had to give Himself.

E-27 So He didn't clown with His gifts and powers. They hit Him on the head and said, "Now, tell us who--who hit you." Then when He was on the cross, He could save others and still the raging of the sea. And here with a raging fever on Him, and Him dying, the blood coming out of Him, and the Jews said, "Now, if you be the Son of God, show us a miracle. Do something for us. Come down off the cross, and we will believe you to be the Son of God. We'll believe you if you'll come off the cross."
See, that critical spirit, how that God, how He just let those things happen so. "That it fools the wise and prudent and will reveal it to babes, such as will learn." You've got to forget all you ever know, and let yourself be submissive to the Spirit of God, then God can going to teach you.

E-28 Don't try to go away and get all these big educations and scholarships and know God. You don't know God by scholarships; you know God by faith. You believe Him, and God reveals Himself to you. I like that, don't you? He's made it so simple, so humble.
Now, so humble and it's so simple, till the wise people can't understand it. It's so simplified, till the wise don't get it. They try to make it complicated to the church. They try to make it a great big lots of sanctifying things you have to do, and stop this, and do this, and all this, that, and the other, and... Why it's not at all; just believe it, and accept it, and that settles it. God comes into your heart, and He takes care of the rest of it. If He can ever gain the--the--in you heart, gain a place in your heart, then the rest of it will take care of itself. I love that.

E-29 Notice, then how could a Divine man, Who they thought would be the King that was coming, the Deliverer of Israel, and that Man to humiliate Himself, to let the unclean Gentiles hit Him on the head, and not say a word to them. Why didn't He show His power? God has times and ways of doing things. They pulled His beard out, spit in His face, what a insult. "Do something about it; you're the king."
He said, "I could ask My Father, and He'd send Me twelve legions of Angels, but My Kingdom's not of this world." See? Said, "You don't understand it."
Oh, they said, "Away with such a heretic." And they got Him up there and crucified Him, and He died, and they buried Him, and put Him away, and sealed Him in the tomb. Now, you talk about a disappointed people that had to go out and face the world again, after they'd come out of their churches, believing in that type of religion... And they come out of their churches, then had to go back and face their churches again, after the very thing they'd believed on, seemingly, had failed. They had... they... Seemingly all hopes was gone.

E-30 The very one that they thought was the Divine prophet, or the--the Messiah, He had been so thoroughly abused before the people, and so powerless and helpless. When He was out amongst the people He'd done all kinds of signs, but when He was standing here on trial, He never even tried to defend Himself, just let them beat Him around, put Him against the lashing post, take those great cat-o-nine-tails, great big balls of lead on the end of leather, and split His back down with them, when they give Him the lashes across His back--never opened His mouth.
Took Him up the hill, nailed Him to a cross, pulled Him up and set Him down, the flesh tearing from His hands. And He even screamed for mercy. That's right. Now, in with the peoples minds, how could that been the Son of God, and could let the people treat Him, and mash Him around, and do that to Him? See, not knowing the Scriptures is the reason they did--they--that was. Now, we'll see in few minutes.

E-31 All right, they'd buried Him...?... the sabbath was over, the first day of the week come along, so they stayed up for the sabbath. Peter got his fish nets and was going back up to go at his commercial trade again, fishing. "Well, I guess I was wrong after all. Maybe that Fellow was a fanatic."
I can see him, Cleopas and his friends saying, "Well, let's go on back to Emmaus; it's all over. The Man we had so much confidence in to be a real, true, Divine Man sent from God, a real Divine Person, yet must've really been... Maybe the big church was right: that was mental telepathy; He was reading their minds." See?
Human beings, "Maybe, He--really He was a spiritualist. Maybe He was just a spiritualist, and that's the reason the earth shook and things, when He died up there. Maybe He was just what the priest said He was, a Beelzebub. What all the church... Maybe that was right."
So he picks up friend, says, "Let's go on the road back now, back over to Emmaus, the home, and we'll start our carpenter trade (or whatever it was), start back to building," or whatever they was going to do. All dishearted, going along the road, sad, not knowing that the blessed Lord Jesus had resurrected on that Easter morning, and was alive among the people.

E-32 Brother, botany don't only mean flowers and things, it means resurrection too in that case. Amen. Just as the springtime, when the Easter flowers are blooming, everything's so pretty, a very type of nature; resurrection has to come in the spring. That's the reason the resurrection is in springtime. Resurrection of everything, and surely the King of nature resurrected, the Creator of nature, resurrected with the rest of the resurrection of nature.
And here they are, on their road going over to their place, walking along the road. I'd just--I'd like to listen in on them, wouldn't you, just a minute, stand around and see what they were saying? I hear one of them saying, "Well, Cleopas, what do you think about it? I'm disappointed. Well, I guess we'll just have to face the preacher again, tell Him, 'I guess we were wrong in this Fellow.' My, I hate to do that; my confidence was really built up in Him."

E-33 And notice, while they spake about Him, talked about Him, He appeared. That's a good way to get Him around you: talk about Him all the time. Amen. Keep your conversation, not on who's... Or where the next play comes up on the television, or the next movies going to come, or who's going to be elected president: talk about Jesus.
Christians talk about everything but Christ in these days. Go out, they always got a bunch of nonsense and everything they want to talk about or something, but never talking about Christ. Talk about Him. Sing about Him. Love Him; keep Him on your heart and mind all the day and night.
David said about the, he'd bind the laws upon his fingers and the bedpost, and so He'd be before him all the time. That's the way; keep Him before you in memory, thoughts, praise, speech. All that you do is keep Christ before you. That's the way to keep Him near you.

E-34 While they were talking about Him, He appeared on the scene, unknown to them. Many of the people that really loved Him didn't know that He had raised from the dead. And that's--if that isn't a true sense of the word tonight, I don't know what it is. Many of the people that really loved the Lord Jesus, can't understand that He's here.
He's in this building right now. He's moving in and out of the people, the resurrected Lord Jesus. It's so hard for people to see that. Look, you setting along here in these chairs and cots and things, if you could see that, you'd--and believe it with all your heart, and accept His Word, you'd go out of here tonight a perfect, well person. Yes, for He has risen from the dead.
Notice, walking with them, they loved Him, and He didn't know it; they didn't know that He was. Many times He's been right along with you, and there maybe, when you was just about to have a accident. Something happened; you don't know what happened. Something took place; that was Him. When the doctor come over and said, "The baby, I don't see how it can live." And after while, the baby got well; that was Jesus. He's with you. Oh, how wonderful.

E-35 Here long ago, a little woman that was... I remember she went to live down below my church; she does now, in Jeffersonville. She was in a sanitarium at Waverly Hills, and they brought her down, and they said, "The doctor said she had to die right away." They was going to give her, I believe ten days, two weeks to live, a Tubercular case. And I went down there to see her.
They called me down about--been about eight years ago or ten, just before I come to Phoenix the first time. And I went down there and was praying for the woman. She had about five little children. And I was praying with her that night, and while I prayed and got up, I seen her even with tinted gray hair. And she was--hair was dark brown. And I seen her with tinted gray hair. Her children walking in, shaking hands with her, years later. And I said, "Sister, THUS SAITH THE LORD; you're going to live."
She started weeping. She said, "Reverend Branham, something's happened in my heart." She said, "I--I--I just feel that I'm going to live. Something just satisfied me I'm going to get well."
I said, "You are, for it's THUS SAITH THE LORD."
I went back up, told them at the church. There was a man lived next door to me, very fine friend, and he had a hobby of making leather things. By the way, he made me this pocketbook, that I've had--carried that for ten years. He made it out of a deer skin that I got myself: Got the picture of my tabernacle on it; and the inside, got a fish here and a deer head here. So he made me that old pocketbook, and I've carried it in memorial of that, for so long.

E-36 A perfect, total infidel, a scientist. Worked at the government depot. He didn't believe there was such a thing as God. Said, "Anybody that believed such is crazy." He said, "They're..."
I--I can understand easily, how people can get that in their mind. This morning, standing at a business man's office, here in this city, with some ministers, how they talked about how Mohammedanism in Africa, is sweeping. Look, twenty-five Mohammedans to one Christian, that's the pressure, why? Mohammedanism is hooked together, one unity. They believe that the Koran is inspired.

E-37 We Christians, the first thing, we're separated between Catholic and Protestant. The Catholic says, "The Bible's inspired, but the Catholic church is over the Bible."
The Protestant said, "Well, it's inspired as much as I believe. The rest of it's not inspired."
Fussing, fighting, arguing, separating, oh, it's a pitiful thing. I'm sure glad God got a hold of me before the church did (That's right. Yes, sir.), that God taught me first, 'cause I'd have probably been an unbeliever. When I see what people call themselves Christians and--and church and so forth, and each one wanting to pull little gnats and everything from one to the other, and separating, unseemingly, not having the faith. Sure.

E-38 Now, this man was a perfect infidel. And somebody got the news out the next day that I said that about the woman. I hadn't went out having services yet. I was patrolling out on a high-lines and my clothes ragged. I got on my old bicycle and went over to get some groceries down at the store and had to turn the corner where that woman lived, just two blocks below where I was. And here come the infidel walking down the street. And He spoke to me.
I said, "Good morning, sir."
And he said, "Hello, preacher." Said, "Just a minute, I want to talk to you." He said, "Aren't you ashamed of yourself?"
And I said, "What?"
He said, "Telling that poor little dying mother in there, that she was going to live, building that people up under a false hope like that."
I said, "Well, I never built them up under no false hope."
He said, "Well, she's dying." Said, "Her husband works with me out there at the government." And said, "He told me that you'd come over there last night, and, or night before last it was then, and prayed for her. And she--you told her that she was going to be well and live to be an old woman."
I said, "That's right. I never did that; God did that."
He says, "Nonsense," he said, "shame on you. You ought to be gentleman enough not to build people up under such things, false as that."
I said, "That's not false."
He said, "Away with such." Turned around and walked on.

E-39 And I thought, "Well, okay." And I went on and got my groceries, I come back. About two or three days after that... He had a lovely little wife was a believer, and so I--my wife knew her real well, said she was a lovely lady. And she belonged to the Christian church. So my wife told me when I come in, said, "Well that Mrs. Andrews is very ill, Billy." Said, "You ought to go over and see her."
I said, "All right." I said, "Her husband's that infidel," I said, "I--I have to walk easy." So I said, "I'll go over and ask him if I can get him some kindling and coal for him, and maybe he will ask--maybe she'll ask me if I want me to pray for her."
And so I went over, and I said, "Howdy do, Mr. Andrews."
He said, "Hello, preacher."
And I said, "I hear you got a sick wife."
Said, "Yes, I have, but I've got a good doctor with her."
I said, "Yes, sir. I just wanted to ask you Mr. Andrews, being that we're neighbors here so close, if I could help you get in some coal or run a errand to the grocery, anything, I--I'd do it for you."
Said, "Oh, well, thank you very much." But said, "We got a good doctor with her; everything will be all right." And he told me who the doctor was in the city.
And I said, "He is a fine man." I said, "I like him very much."
"Yeah, we got the situation," said, "She's got appendicitis." And said, "It'll be all right," said, "He's freezing it out; it'll be okay."
And I said, "Thank you, Mr. Andrews, I certainly hope so. If I can be of any help to you; I live next door; just call me." Shut the door, went on back, kinda unconcerned. Well, the next day the doctor come up, said, "We'll have to take her to the hospital; she's swelling awful bad." Said, "We'll have to take her to the hospital and operate."

E-40 So they took her out to the hospital, and when they took the blood test from her, found out she didn't have appendicitis. So they sent to Louisville for specialist. And they got the specialist over there, and the specialist examined her, and when he did he said, "She's got between four and six hours to live. There's a blood clot right near the heart; that's what's swelling." Said, "She's gone; that's all."
So my wife told me the next morning said, "Mrs. Andrews is going to die, Billy." Said, "I just heard that she's got a blood clot." The nurse, one of the nurse friends called up and said, "She's fixing to die." Said, "She's already unconscious."
I said, "Too bad, Meda, I hate to hear that. Poor thing," I said, "We'll just pray for her." So we prayed, and I went on and started off to work.

E-41 And it was kinda drizzling rain, and I was going out through the fields. Something kept saying, "Turn and go back. Turn and go back."
So I thought, "Well, I'd turn and go back." So I went back, called up and turned in... It was inclement weather, so I couldn't work, just for that, 'cause I knew the Lord wanted something. And so, first thing you know, I was setting there, and taking my old gun apart, and was cleaning it out. And the first thing you know, coming around the house, come Mr. Andrews, walking along, cap pulled down over his ears, knocked on the door, and he said, "Mrs. Branham," said, "is preacher Branham here?"
Said, "Yes, Mr. Andrews, won't you come in?" So he come in.
I said, "Hello, Mr. Andrews; get you a chair." I just kept working on my gun, you know.
And he said, "Preacher."
I said, "Yes, sir."
He said, "My--my wife's pretty sick. You heard about it?"
I said, "Yes, I heard she was going to die, Mr. Andrews." I said, "It's too bad." I said, "'Course you got a real good doctor out there." And I said, "I--I just hope she gets along all right."
He kept... He said, "Well," said, "we got a specialist; you understood that?"
I said, "Yes, I understood you did, Mr. Andrews. Heard it was a blood clot near the heart."
Said, "Yes," said, "that's right." Said, "My," said, "she's in awful shape."
I said, "Yes, sir, that sure is too bad."

E-42 I thought, "You sweat it out. You made me sweat it, so now you sweat awhile." So I just kept cleaning on my gun, let him do some sweating. So I just kept cleaning on my gun and looking through it like that. It was clean, but I just wanted him to take a little while. But I kept looking through it like that.
And he said, "Preacher," he said, "you know what?"
I said, "What, Mr. Andrews?"
He said, "I wonder if you could help her a little bit."
And I said, "What do you mean?"
He said, "You know."
I said, "You mean, pray for her?"
He said, "Yes."
I said, "I thought you didn't believe in such." I said, "I thought you told me less than a week ago, down there at the corner, you didn't even believe there was a God."
He said, "Well," he said, "you know..."
I thought, "Yeah, when the time comes you'll believe. That's right, just let it get close enough to your own door one time, you'll believe it." And I said, "Well, all right, Mr. Andrews."
What he... He said, "Wou--would you go out and pray for her?"
I said, "I want to ask you something, Mr. Andrews." I said, "How about you kneeling here with me, and let's pray for her right here."
And he said, "Well," he said, "I--I--I don't hardly know what to do."
I said, "You just kneel here; I'll instruct you."

E-43 And so he got down there. I said, "Now, raise up your hands, and say..." I said, "The first thing: from the bottom of your heart say, 'God, be merciful to me a sinner.'" So I got him to praying, and he got to crying. But oh, my, we had a...
He said--got up and wiped his eyes; he said, "Well, preacher, you--you--you think now she's going to be helped?" I said... He said, "Would you go out?"
And I said, "Yes, I'll go out and see her." So I said to Meda, "Get your coat on." We went out there, and when she did, she didn't know us: Looked swollen way up her eyes and her lips turned out. So, the little nurse when they come in, she said, "Come on, Brother Branham." Taken me up there. And I knelt down and prayed for her, put my hand over on her, stood there a little while. And my wife stood there, and she said, "See anything?"
I said, "No honey, I don't."
We walked out, down around where the babies was and looked in the maternity ward there, you know, where the babies is all laying. She was talking about them. I went back to Mrs. Andrews again; just as I went in the door, I seen it. Oh, my, I said, "Honey, it's going to be over. Don't worry; God has heard."

E-44 And I went home. Mr. Andrews come over, and he said, "What do you think about it, preacher?"
I said, "She's going to live."
He started a crying, my. And he--I said, "She's going to live." I said, "Don't worry; God's done said by the same vision told that woman down there she was going to live, and now she's up, down there the woman." I said, "Now," Mrs. Reece now... And I said, "Now, she's going to live too."
And he said, "Oh, I'm so glad, preacher."
In a few moments the phone rang, and he went over. Said, "Come to your wife at once; she's dying."
So he come told me, and I said, "Do you believe what I told you?"
He said, "Oh, preacher, I want to," said, "but they tell me she's dying."
I said, "That don't make a bit of difference what they say." I said, "When God speaks anything, it's got to be just that way."
So he said... So the first thing you know, he said, "Oh, I can't go see it."
I said, "See what?" I said, "You still think she's going to die, don't you?"
He said, "I'm just all nervous."
I thought, "That's good for you right now (You see?), to sweat it out good."

E-45 So just let it go; and the first thing you know, another phone call come; they called him across the street. Here he went over, and he come back. And then he said, "I got to go to the hospital right at once." So out to the hospital he went.
And I--Meda said, "What do you think about it?"
And I said, "Why, don't worry about it. God's done said so; that settles it." I said, "If that woman don't bake me an apple pie in three days from now, and I'll be setting on that porch and a eating it, then I'm a false prophet." That's right. She could really bake a good one too. So I--I knew it; so I told her--told them right there at the hospital, told the nurse that. I said, "She bakes me a pie in three days from now. If that isn't so, then I'll--I'll walk out of the ministry." That's right. I said, "Because it absolutely is the truth."

E-46 And you know, he come back across the field in a few moments, and the mucus running out of his nose, and he was a leaping and a jumping like that. And he said, "Preacher, preacher, guess what happened." Said, "I went there to see her, and time I got there," said, "the--something had broke loose, and all the water had run out of her, and she was setting up in a bed, said she was hungry. And I called the nurse." And said, "They brought her up some bouillon, and she said, 'Take that stuff out; I want some wieners and sauerkraut.'" Said, "Just as normal and well..." She lives today. And God of heaven Who looked down...
And about a week afterward he made me that pocketbook that I've carried ever since in my pocket, around the world. That's right; that is the truth; God in heaven knows it. She lives tonight, why? 'Cause Jesus lives, she lives also. God bless...?... See? That's right.

E-47 Jesus, when He spoke to them, begin to reveal to them... Notice, the very thing... They said--He said, "Why are you sad?" Christians shouldn't be sad; they should be happy, real happy, joy. He said, "Why are you so sad?
"He--they said, "Are You just a Stranger, and don't know that Jesus of Nazareth, a prophet, that we expected to take the throne of David..." Said, "We all had faith in Him. He done great signs and wonders before us, and what a great prophet He was. And then they delivered Him... The people delivered up to Pilate; they crucified Him, buried Him." And said, "This is the third day since that's happened." Said, "Some of our women of our group went up to the grave, probably to put some flowers on it, or whatevermore, and," said, "they said the tomb was empty; and they seen a vision that told them He was raised from the dead." And said, "Well then, 'course we believe that was a foolish story." And said, "Then," said, "one more was with our group, he said that he seen something about it."
And went ahead, and He said--He started... Watch, Jesus never started to arguing with them or talking. He said... Watch what He did: went straight to the Word. That's it. Brother, the Word of God, that's the basis and foundation for all salvation and healing, lays in the Word, not your feelings, not what you think about it, but what God has said about it. Amen. Oh, I wished I could have a tack, that I could tack that in your heart, where it would never leave.

E-48 Just today, I was reading a little place of Scripture, Joel--Amos, 8:11, where it said there would be a famine, not for bread, or for bread and water, but for hearing of the Word of God. That people will go from the sea to the sea, from east to west, to and fro, everywhere, seeking the--for the Word of God and fail to find it. If that don't fit this nation at this time, I don't know where it does fit. That's right. We don't need bread; we got plenty of it. We got plenty to eat, plenty clothes to wear, nice homes to live in, and everything; but there's a famine for the hearing of the Word of God. A man won't know what to believe. That's right.
You're all confused; one say this, and one say that; and one say this, and one say something else. Base your thoughts on THUS SAITH THE LORD; God will confirm it.

E-49 Jesus went right straight to the Word and begin to pour the Word in; said, "Fools and slow of heart, not to understand." Went back in the Old testament and begin to prove how that Christ should suffer and raise the third day.
So they got to the little place where they were going, so they went into the restaurant. So He made out like He was going on by. Did you ever have a time... Maybe this poor man laying here suffering on this cot, He's made out like He's going to pass by you; He won't. See? Invite Him in.
Maybe this poor man setting here in a--a crutch, the man setting here in a wheelchair; He might act like He's going to pass by you tonight, but He won't. Just invite Him to come to you and see what happens. Just invite Him in.
They said, "Oh, come in; we just love to hear You teach the Word. We heard all the Pharisees and so forth, but there was something about Your teaching was different. Come in, let's teach just a little more. So they went in. And once inside the door, maybe a humble little hut, no matter how humble it was, but it's never too humble for Him to come into.

E-50 No matter how poor you are, how bad off you are; you're never too bad off but what Jesus will come in at your invitation. No matter how much you've sinned, what you've done, just give Him an invitation, He will come right in and make His abode. Isn't that lovely?
All right, they invited Him in, and once in, the doors closed behind Him, He will shut the rest of the world out. Now, if you're just a little superstitious tonight, of the Presence of the Lord, when the meeting's going on, invite Him into your heart, and then close the door and the rest of your unbelief on the outside. See if He don't make Hisself known to you.

E-51 Once in there, set down at the table, the waitress probably come, and they ordered their supper. And as they put it out on the table, no doubt His heart beating, looking at them, and them looking at Him, He... They didn't know it. Why the Bible said their eyes were closed; they didn't--they didn't understand it. They were setting right with Him, walking right with Him, talking right with Him; they had eating with Him, and didn't know Who He was.
And friend, that's as true as it could be today. That's as true as I'm standing on this platform, that the resurrected Jesus Christ is right in this building, talking to individuals right now. If you could only recognize that that's His voice. I pray that it'll make Hisself manifested after while, and prove to you that He's here in the building.
Jesus is not dead, He's risen from the dead. And He's here on earth, carrying on the ministry that He had be--when He was here on earth in the physical form. He's carrying on through human beings as He promised He would. "The very things that I do, shall you do also." Daily doing the will of the Father, that's what He came for. And He's here tonight.

E-52 And when He had those disciples in there, set at the table, He looked at them, He thought, "Well, you've heard Me teach the Gospel now. You've heard Me preach today, so I believe that I'll just let you know that I'm really Him." So He picked up some bread, and He just done it a little different from what other men did it, so they realized that it was Him. And their eyes were opened, and they recognized, and He vanished from their sight.
My, they was a Sabbath day's journey, getting over there, but they sure went back light-footed, light-hearted, leaping and jumping and praising the Lord. They knew that He was risen from the dead. Went back... He didn't go back to argue their religion, now; they went back with one thing in their heart: Jesus had risen from the dead.

E-53 That's the thing tonight, quit arguing religions, arguing different phases, argue about different church denominations, arguing about different nations, what the world needs to know tonight: Jesus has risen from the dead, and He lives among men. Amen. Not argue about pinpoint this, and cut this, and move this, and this inspired; just forget it, and look unto Him, and believe He raised from the dead, and He will manifest Hisself to you. Amen. Just that simple...
You say, "Well, if an Angel was preaching that," God didn't ordain Angels to preach the Gospel. He ordained men to preach the Gospel. He never said to the Angels, "I'll be with you and in you." He said to men, "I'll be with you and in you." He never said to Angels, "The things that I do, you'll do also." He said to men, "The things I do, you'll do also."
The Gospel comes by preaching of the Word. God's manifest Himself through human beings. Amen. The only eyes God's got on the earth tonight is mine and yours. The only hands He has is our hands: God working in His people. God's in the universe; God's in His Word; God's in His Son; God's in His people.

E-54 God is here now, resurrected from the dead, night after night proving Hisself alive among us, bringing sinners, dead sinners, alienated, cut off from God, bringing them to a recognition of God, saving their souls, filling them with the Holy Spirit, healing the sick, giving sight to the blind.
Wake up, people. Don't be carried about with every wind of doctrine, saying, "The days of miracles is past, and these things are for another age." Don't be tossed about; believe the resurrected Lord Jesus. That was their teaching back there when He was raised and--on that Easter morning. But He was alive, and He's here tonight. He's here; don't never forget that.
If you never remember a thing that I've ever said to you, remember me by this: that Jesus Christ the Son of God raised from the dead and is alive today among men, hunting out sinners, healing the sick and the afflicted. He's the same in every way that He ever was and ever will be, the same yesterday, today and forever, the Lord Jesus, seeking lost sinners.

E-55 Are you lost? If you are saved, it's wonderful. But if you're lost, God has a preparation to save you by. The worst thing I can think of is somebody lost. Being a--a hunter, I go into the mountains... Just a minute before closing now, and then we'll start praying for the sick, just in a minute. I feel the Holy Spirit would have me to call the people up here and pray for them.
Now, I was lost once in the woods. I went up near the Canadian border where I'd been. I thought I was just too good a woodsmen to ever get lost. And when you trust in yourself, that's when you get lost; that's when you are lost. That's when Adam was lost, when he trusted in himself to make a fig leaf to cover himself over. See? He had to come on the merits of the shed blood.

E-56 And whenever you think, "Oh, I go to church; I'm as good as you are, preacher." Certainly you are, but are you as good as God wants you to be? You ain't good in the first place, and I ain't good in the first place. The only goodness that's in us, is what God did for us through Jesus Christ. That's right. Yes, sir. We're all sinners, but the only way we can be saved is by accepting the Lord Jesus and His free pardon.
Now, I was totally lost. I told my wife I'd be back. I took her; Billy was just a little baby, little bitty fellow about three, four years old. I believe five years old. And we was way in the head of the Adirondack, near the Canadian border. And we drove up about twenty-five, thirty miles up an old log road like that, where they'd done some chopping, cutting pulp wood. And we come to the ranger's camp. I'd hunted in there for years.

E-57 I told the wife I was going to bear hunt, and I said, "I'm going down here to hunt deer, and I'll pick up a deer, come back; I'll be back by noon."
She said, "I'll be waiting for you." Cold that night; we had to take little Billy and put him between us, keep him from freezing to death: cold November and the limbs were freezing, dropping off the trees. Had a little shelter rest, and the cabin was locked. The Hurricane Mountain, the tower set up there, and we was going to go way back over in the other part of the country to hunt.
So he was going to unlock the cabin, and she could go in there, and her and Billy stay while we taken the trip and went away. So, her just a kid nearly herself, about twenty-one, twenty-two years old. And so, that night--that night we liked to froze. So building a little fire and making a little lean-to, and so then the next morning I started out to get a deer, 'cause he was supposed to come that day.
And so, I told her I'd be back at noon. And I went down across the hill to do some tracking. Come back up along the ridge, and I--I seen a bobcat crossing, and I couldn't get close enough to it to shoot it so I went on up over a hill. And I trailed up along-side and went into a great big bear den. And there wasn't nothing in there; I come back, went down towards the giants, what they call the giants. It's a great massive forest in there for miles after miles, all flat woods like in there and tarred.

E-58 So I got way down on the side, and I seen a deer over, a great big fellow, and I shot the deer. When I got through over there, I said, "Well now, looky here, it's after twelve o'clock, so I got to hurry." And I went back, started back up this way. I--it come a--the storm was coming down, fog. When it gets foggy in the woods, any hunter knows that's a dangerous time. You can't hardly see your hands before you.
Well, I started walking. I said, "I've got to hurry." And I went around; I kept walking, walking, walking, walking. I thought, "Well my, where'd I turn off at?" And the first thing you know, I happen to stop, look, I thought, "Well I've seen this place somewhere." Looked up, and there hung my deer. I knowed what I'd walked around somewhere. So I said, "Now, I've got to go one certain way." And I walked again, come back to the place three times, right straight.
Now, the Indian calls that the death walk, you know. So that's what you are; you're walking in circles. And I knew that, but how was I going to get out.
And now, the storm was right down, blowing in the top of the trees, fog just a turning. And I thought, "Now, the sensible thing to do..." I'd have went into somewhere, and--and a came somewhere and hibernated up till the storm was over, and then climbed up to a high place, and see where I was, and go on. But I got a wife and baby up there, would freeze to death and die that night. They never in the woods in their life. They didn't know how to take care of themselves, and scare them to death anyhow. For I knowed they'd both die that night; I had to find them. And what a feeling. Oh, my. Baby and wife to die in the woods that night.

E-59 And--but I thought I was too good to ever be lost in the woods. So then I went around; I thought--I thought, "Well now, here I've got to go one way." I thought, "As I come up the mountain, the wind was facing me in the face. I come down this way, so that would throw it this way." I thought, "Now, the storm coming, which way did it come?"
And the winds had changed, and them pockets and circuits will blow any way, blow this way awhile and then this way awhile. And oh, it was cloudy, and squalling, moss on both sides of the tree down in that low place, till wasn't nothing in the world I could find for a landmark. But down in there, 'course the wind don't get down in there like it does in a blizzard and then both sides was thick. There was nothing in the world I could find to get myself out of the woods.

E-60 So I said, "Well," I--I had begin to get nervous. And anyone knows what happens, then you take a fever, and you either commit suicide or die. So I said, "Oh, my." I thought, "I've got to get out of here; I've got..." I said... Set down a minute. I said... Slapped myself on the side of the face, I said, "Looky here, William Branham, you're not lost. What's the matter with you, boy? You know how to get out of here." I was bluffing myself.
I was lost, sure I was lost. I said, "Why, you're too good in the woods to ever get lost. My goodness, what would your grandfather think about you, to see you setting here acting like this? Why get up from here." I got up and walked a little bit farther, and I was still lost; that's all. And I said, "Well, I got to make a... I've got to get out of here some way." So I said, "I'm going to make one straight beeline right this a way." And I said, "I'm not going to turn at all. I'm going right straight this a way, and I know I'm going to come right out straight to Hurricane Mountain. If I could only see Hurricane Mountain, I'd know where the tower was, and I could get down from there. I don't whether I'm east of it, or west of it, or where I'm at."

E-61 So fog just a blowing, the timbers a cracking, so I said, "Here I go, right this a way." And I started going, frantic. Something telling me right beside of my ear, said, "I am a very present help in the time of trouble." [Blank.spot.on.tape--Ed.]...?... on: "I'm the Lord; I'm a very present help in the time of trouble."
I thought, "Looky here, I--I know I'm going out now. There's something getting wrong with me. See?" I said, "I'm hearing voices. I--there--there's something wrong with me." I said, "Looky here, straighten yourself up, boy, what's the matter with you? You've got to go on. You're not lost. You know exactly where you're at, now go on." And I thought--looked down here; it was already four-thirty in the afternoon. And I thought, "Oh, my, I was supposed to be there at noon. She's having screaming spells now." 'Cause she knowed... That kid in the woods, never was in the woods in her life, and that little baby up there. Wouldn't even know how to make a fire, nothing.

E-62 So and then they'd be scared to be out like that, there's--there's sure wild animals and... Wasn't nothing to hurt them, of course, but they was--they was scared. And so I just kept walking on, and I kept hearing something said, "I'm a--a very present help in a time of trouble. A very--I'm the Lord. I'm a very present help in the time of trouble."
I stopped and I thought, "Wonder if that could be Him speaking?" I said, "Am I man enough to admit I'm lost? Am I man enough to admit that I'm lost?" I took off my hat, and laid it down, and I said, "Dear God, I'm lost. I am lost; I don't know where I am. I don't know how to get out of here." I knelt down on my hat, and I set my gun beside the tree.
I said, "Father, I am totally lost, I'm... By feeling that self-sustaining in myself, I--I deserve to die. But, Lord, have mercy on my poor little wife and baby out there. They're going to die too. They're worthy to live, and I'm unworthy. But I'm... Lord, I'm lost and will You help me for their sake?"
I said, "I don't know what to do. If that's You speaking, saying You're a present help in the time trouble, You be my compass now. You take me out. There's none of the natural signs around me. But I'm lost. Will You help me?"

E-63 I raised up, wiped my eyes, and I thought, "Well, God, You direct me. Here I go, I don't know which way I'm going, but I'm going to walk. I believe I come this a way." I said, "I'm going," now that's my own opinion. I'm going this a way." And I put my hat down, picked up my rifle, started off going this a way.
Now, just as true as I'm standing on this platform tonight, this Bible, I felt somebody put their hand on my shoulder. And I turned to see who it was, and just as I turned the fog cleared away, back this a way. And I seen the tower on Hurricane Mountain, back this a way.
I turned this way real quick and faced myself, took off my hat, throwed down my rifle, raised up my hands. I said, "O God, oh how I appreciate this. Lord, I was going right in to Canada. I'd have been to--I'd never come out of it." I said, "Lord..." That was my own opinion. And sometimes you taken your own opinion, you'll go wrong every time. Pray and ask God what to do.

E-64 And I looked towards that; I thought, "I've got to keep my face set right straight the way." Now, the fog covered up again. It just cleared back enough till I could see that the... I knowed if I could ever get up to that tower or cross that line across that side of the mountain...
I helped the ranger put up that telephone line that run down to the camp where his wife stayed in the summertime. And I knowed if I could ever get to that, I'd get a hold of that line. No matter how bad it was storming, I could find my way to my family. And I--as I stood there looking that way, something come to me, said, "Yes, you was lost again worse than this. But just keep your eyes on Calvary."
I started like that, walking, walking. I couldn't by-pass; I couldn't go around; it'd throw me off of my--my course. I was about, at least five miles from it. And it getting dark right then. And I went through the bushes, and deers jumped up ahead of me. I'd fall and skin my legs all up. Pitch dark, and I was pulling then trying to get up these cliffs and things, trying to keep my course just the best as I could.

E-65 And I thought, "I'm on top now, it's looks like." Now, I couldn't see that line, so I just kept my hands up like this. Put my rifle down over my shoulder in the sling, put my hands up and just kept walking. I said, "I got my hands up, Lord. Let me feel that line when I pass over it." Snow hitting me in the face and brush, I kept walking; and first thing you know something touched my hand. I felt it; it was that wire. Oh, my, you don't know what a feeling it was. I knowed if I'd follow that wire, don't take my hand off of it, follow that wire right down that hill about two and a half or three miles, I'd be right with my wife and baby down at the bottom of the hill.
And there it come to me: Yes, every man alienated from God, cut off in this world, not knowing where he's going, carried about everywhere. But if you'll look to Calvary, hold up your hands to God, and accept Christ as your Saviour until something strikes your hand, that's the way home. Follow the leading of the Holy Spirit then. Hold your hand in His unchanging hand; it will lead you right straight to your Lover, the Lord Jesus. You believe it?

E-66 Shall we bow our heads just a moment and pray? Our heavenly Father, I think of the old song, it said, "I once was lost, but now I'm found, was blind but now I see." And I think of that blinding storm that night, my heart jumping, fever raging in my body, scared to death, knowing that I'd perish that night, and so would my wife and baby...
God, there may be men and women setting in here tonight, that's also, in the spiritual realms in that same prediction. Their family will perish if dad doesn't come, or mother one, quickly. The children will be carried about out here in the world. May they tonight, look through this misty fog that hangs over the earth and see Calvary, raise their hands to the Lord Jesus and touch the lifeline that leads home.
Grant it, Lord, our last night in this series of services. Bless every wayward, lost man or woman. Maybe they trusted in the arm of flesh. Maybe they've trusted in some church creed, but never ever touched the line. They never had that blessed assurance in their heart, that this is the line that leads to happiness, freedom, and to the Lord Jesus, the line that runs from Calvary to glory.
May every dark, staggering, alienated person in the building tonight reach their hand, Father, feel around just a moment. They'll touch something that will anchor a faith in their heart that'll lead them to glory.

E-67 While we have our heads bowed, everyone praying. If I should return a year from today, many of you here won't be here. Two thousand people, I guess, in here tonight; somebody will slip out. Have you been staggering in darkness? Been coming to the meetings, you look, and you see the signs of the Lord Jesus resurrected; You hear the Word; He's been talking to you back there, and you're staggering along in darkness, will you raise your hand to Him tonight, and say, "Lord Jesus, I--I want to touch the lifeline, now. I'm raising up my hands, I..." God bless you, brother. God bless you, sister. God bless you, yeah you. That's right, everywhere. God bless you, mother, with... God bless you, young man. God bless you, little boy. Way back in the back, any standing around back there, would say...
Raise up your hand, not to me, to God. God bless you, Spanish brother. God bless you, little lady. God bless you, the white lady setting there. Up in the balcony, to my left, yeah all look up there at the hands along there. Just feel that just a minute, say, "God be merciful to me a sinner."

E-68 God bless you, Spanish lady down here. Balcony to the right, raise up your hands, and say, "Yes, I believe Him right now. I've wandered around in all kinds of darkness. I really never even knew; I've went to church. Oh, yes, I've put my name on the book. But really to have that hope that I got it in my hand right now, I've never really had that assurance. But now, I'm coming firmly upon the basis of the shed Blood of Jesus and His resurrection power. And that resurrected Spirit is speaking to my heart, and I'm raising my hands right now, to say, 'God, here I raised my hand for the lifeline.'"
Many dozens has raised their hands. Would someone else put up your hand now, that did not raise your hand a few moments ago, anywhere? God bless you up here, brother. God bless you. God bless you there, sister. God bless you back there, brother. God bless you, sister; I see your hand. Someone else? God bless you, brother, back there; I see your hand. Someone else? God bless you, you, you here, the little lady with both hands up. Someone else? The man setting here, God bless you, sir. That's a good way to be healed, is just accept the Lord like that. Someone else? A little boy up here with both hands up, God bless you, honey. Someone else? A lady over here, elderly, with her hand up, yes. "Wasted many years, but I'm coming home now."

E-69 God bless you young man. God bless you over here, brother. Someone else? Remember, when you raise your hand, and mean it from your heart, God's obligated to do it right then. God bless the colored sister setting here. The brother over here with his hand up, with the little brown sweater on, God bless you. God bless the lady setting here; that's right, sister.
Jesus said, "He that heareth My words, believeth on Him that sent Me has Everlasting Life," right now. God bless you, brother back there with both hands up, right now is receiving Jesus. God bless you, sir. God bless you, lady. God bless you, sir. God bless you, sir, young man there, just in the...

E-70 What did Jesus say? "You have, right now, Everlasting Life. He that heareth My words," I've done my best to bring them to you. "Now, believeth on Him that sent Me, has Everlasting Life and shall never come into condemnation."
God bless you up there, sister, standing by the side of the post, a little Spanish girl. "Has Everlasting Life, shall never perish, never perish..." mean it from your heart. God bless you, mother, aged woman. Someone has to help her hold her hand up, but your coming to the Lord Jesus.
Say, "Brother Branham, does--what does that mean?" That means you passed from death to life, right there. God will take care of the rest of it, about giving you the Holy Spirit. Just once mean it it in your heart; let Christ come to your heart, then you'll grow in the grace of God. God will just unfold the thing to you. First get started right. Get down, "Faith--by faith are you saved, through grace, not of works, lest any man should boast." Nothing you can do, quit doing this, or quit doing that. You just believe; God saves you by grace.

E-71 God bless you sister with your hand up there. God bless you, little lady back there. And you, you, you, oh, my, that's right. New ones just putting up their hands everywhere, accepting the Lord Jesus. My, I guess we're around sixty or seventy now. Someone else raise your hand, that hasn't raised their hand, and say, "Remember me, God."
God bless you, the little fellow, the little lady there with her handkerchief up. Anywhere else before we go to prayer? God bless, I see the man back there, yes in the back, the Spanish brother, back there holding the hand up of another, yeah, I see you. God bless you; God sees you. God bless the little girl there with her hand up. Just a child, but coming to the Lord. All right, God bless you over here, sister. Oh, that's wonderful.

E-72 Just waiting a few moments, giving the Holy Spirit a time just to speak to the heart. Maybe He's moving over the audience, knocking at every door. Who was that told you to put up your hand? Who was that said that? Jesus said, "No man can come to Me, except My Father draws Him. And all that comes to Me," after My Father's knocked at their heart, all that comes, raises up their hands to the lifeline, "I'll give them Everlasting Life, and I'll raise them up at the last day."
Someday when the life is gurgling out of your throat, maybe in a automobile accident, maybe by a fever, sickness, or just death coming to you, when you feel the chilly pains coming up your sleeve, your friends a weeping, you'll see that blessed Redeemer standing there with His outstretched arms to take your soul to place it into a new body, a new man, a young man or young woman, never to get old no more, to live in His Presence forever. Because, what you did, just believed and raised up your hand.

E-73 God bless you, the sweetest little curly headed, blond headed girl setting here, with her little hand up, her little eyes watering, looking this a way. You say, "God's not speaking to that child." Sure He is. She hasn't callused her heart with the things of the world yet. She's innocent, just a baby, about six, seven years old. God bless you, sister there, the young lady. Now, if there's just another, before we close.
God bless, there's a whole row of them, look like, coming up back there. I just hate to close, and you're still raising your hands for salvation. How many in here now would like to receive the Holy Spirit? Would you raise your hands? All over the building, everywhere. My, just look at the hands everywhere. God be merciful. Shall we pray now? Every one with your heads bowed, your eyes closed.

E-74 Jesus raised from the dead. Oh, my, to think that this is the night that we're parting now. But you've accepted Christ. We'll meet again where we'll never part, just because that you accepted Him tonight, that means the difference.
Heavenly Father, the great Phoenix meeting is now drawing to a close. And at the end, many, many sinners raised their hand to Thee, upon the teaching of the Word that You said, "He that heareth My Words and believeth on Him that sent Me, has Everlasting Life, shall not perish or come into condemnation," be condemned. No more condemned before God, but has accepted Jesus Christ and His suffering in their stead.

E-75 Now, Father, sweetly, humbly lead them on, as they hold their hands against the lifeline, walk towards glory. Won't You bless them now? Save everyone of them, Father. In Thy Kingdom, my I see them and shake their hands. And it'd be possible, may You be able to review tonight's service for us. They'd say, "Yes, that was the one, there's where... That was me put up my hand."
God say, "Yeah, I saw you. I tugged at your heart. You raised your hand; I accepted you. And now you're My beloved child; come into the joys of life, been prepared for you since the foundation of the world. Enter into the joy."

E-76 We thank Thee, Father. Those who have already come and wanting to be filled with the Holy Spirit, set aside for service, grant it to them also, Lord. Finally at the end of the road, when life's all finished, and the great wedding supper is set, there that table thousands of miles long, the Blood-washed of all ages setting around there. The King come out, wipe the tears from their eyes, say, "There's no more suffering now. There's no reason to cry now; we're all here. Come, ye blessed of My Father."
Until that time, Father, keep them happy in their souls, cleanse them from all uncleanliness and unrighteousness. May they walk each day with their sails set towards glory, bringing others to Thee. For we ask it in Jesus' Name, Thy beloved Son, Who has now called them to Everlasting Life. Amen. [Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-77 Believe with all your heart, with all your strength. Just take all the feeling away that you just imagine, or all the superstitious feeling, just throw it aside. Then just look right straight to God and say, "I believe it with all my heart, solemnly." I'm watch and see what the Holy Spirit will do.
Now, all ready? Now, for the glory of God, and for the testimony of the resurrection of Jesus Christ, I take every spirit in the building under my control. Now, be reverent; don't move around, set still, please. Now, this closing night, do me that favor. In Jesus' Name, will you? Just be real reverent, set still. They'll watch me. They won't let me too long in the line. And then... Because I'm very weak and tired.

E-78 And I love you all with warmness of Christian love. God bless you. If the anointing strikes me, 'course I don't know when they take me, or what happens. And I hope to see you again, right away. Until then I'll be praying for you. God bless you.
All right, lady. Now, if you'll come here just a moment, sister. Now, we are supposingly, I suppose we are strangers to one another. We are. You've seen me, but I mean to--not to know you. I--if I do, I don't recognize you. I don't recognize you. And we just seen one another just like, you'd be in the audience and look back and see me.
But to know who you are, where you are, what's happened, that's--that's impossible, isn't it? Only 'less it would be revealed by a spiritual revelation, or a vision, or some way of knowing. I have no more idea what you're here for, than I know what, well, anybody else is here for. I don't; but He knows what you're here for. And He can tell me what you're here for, show me what you're here for. I could tell you, if it's for healing of your body then, well, God would--could do that by your faith believing.

E-79 I see you're a personal worker. So, but if He--if He will let me know what you're here for... Now, I'm talking to you just like man to a woman, just like Jesus to the woman at Samaria.
Now, to the audience, here's a woman that I don't know. You may know her. Are you from Phoenix here, are you? You're from Phoenix? People out there know here, don't you? Well, I don't know her. I've never seen her in my life. But you know whether this is truth or not. And you know whether I know anything about her or not. I have no way; I don't know the woman, let alone know anything about her.

E-80 Now, the only way that would be done... If it was done in the Scriptural terms, now take away from the old some kind of a creed you've learned and let's look at the Bible. Jesus said, "The things that I do, shall you also." Now, when He met a woman like this, He begin to talk to her. And the first thing you know, He found just exactly where her trouble was. And in that case, she was a woman that had five husbands. Said, "Go--go, get your husband."
She said, "I don't have any."
Said, "You got five."
She said, "I perceive that You're a prophet." Said, "I know when Messiah cometh, that'll be His sign." See, the sign of a Messiah, to do that... The people today says it's mental telepathy, it's the devil. No wonder we're in the condition we're in. It's the resurrected Lord Jesus, the sign of the Messiah.
But she said, "Who are You?"
He said, "I am He."
She run into the city and said, "Come, see..." Started a revival in that city, just because of one woman's testimony, Him telling him--telling her one thing. And if this ain't perfectly the case, outside of knowing what's wrong with her, tonight. Is that right? Everybody recognize that?

E-81 Now, you--she's a Phoenix woman, she said. And you all know her. Many of you raised your hands; you know her. Now, the Lord can tell me what's wrong with her. But if she's--if she's here for domestic trouble, financial trouble, or healing, sick, or whatever it is, or for her soul, whatever it might be, God can reveal it. And she'll know whether that's true or not. Then if He knows what was, surely He knows what will be.
Now, everyone be reverent. Now, as I talk to the woman, just to catch her spirit. Now, I'm kinda waiting for you to quieten, if you will. Don't move around. There's all kind of spirit in here tonight (See?), moving, sickness I mean. And now see, especially children. Children, it gets to children so easy. So don't--don't... Just as I said that, epilepsy begin to pull. That's right. That's the thing that... As soon as these... You...
I tell you, to know spiritual things, friends, see just how words will change spiritual attitudes and everything. See? Just as he's heard me say that, then epilepsy begin to move in.

E-82 Now, now I just want to talk to you just a minute. Just in order to see your human spirit. Now, if God will... You being, you are a Christian believer. And if God will remove, or move in and tell me what you're here for, then you will believe. You know that believing, it comes from God.
The first thing, you have something wrong about eating; it's about a stomach condition. You have a stomach trouble, which is a gastric condition in the stomach. Because it's causing stuff to come in your mouth and things. It's a gastric condition in the stomach.
Then you've got a--a arm that's bad. And that's your left arm. And it was crushed by an automobile. That's the truth. You believe now? You believe now? Come here. Heavenly Father, I pray that You'll bless now. Give to her the desire of her heart. In Jesus Christ's Name I ask it. Amen.

E-83 Have faith, believe with all your heart. Now, we're total strangers to each other too. Now, here's the perfect picture of the Lord Jesus at the well. He was a Jew, and she was a Samaritan: a racial condition, just like today, me being a white man, you a colored woman. But it's... Jesus let them know right quick, that it didn't make any difference to God. We're all off of one person. We're all are children of God.
But whether Jew, Gentile, white, colored, yellow, brown, it doesn't matter. God, by one Blood, through His Son, Jesus Christ, has bought us everyone. And in that, we become brothers and sisters. Now, me being a stranger to you, do you believe that God will do something for you, as He...

E-84 Now, you know I don't know you, do you, lady? I--I--we're strangers. But you're--you're suffering with a--a nervous condition. You're nervous, upset. You got a lot of things in your heart, sorrow. You're all broke up about something. I see it getting dark, coming darker. There seems to be somebody standing back in there, but it's a man. And he's weaving sideways; he's coming home. It's your husband; he's a drunkard. And you're here to... Have mercy, God. All right. That's true, sister. Come near. Father, I pray that You'll grant her request in Jesus Christ's Name. Amen. God bless you.
Howdy do, sister? I want you to be reverent, everywhere. Please don't move. Now, lady, are we strange to each other? We don't know each other? Total strangers? Well, Jesus Christ the Son of God died to save...

E-85 Got something wrong with your side, haven't you, sister, setting there, right there in front? Got trouble in your side. A real strange thing happened when that lady a few minutes ago was told something about a loved one, because you're praying for a loved one too: That's a unsaved father. I see him standing, and you are praying for him. That's true, isn't it? God bless you, young lady.
Now, there you... Them two--both them people setting on the end right there, suffering with epilepsy. That's right. Thou, demon, in the Name of Jesus Christ, you leave them, come out of them.
You believe now, lady, with all your heart? You believe that Jesus Christ the Son of God is here to make you well? I believe you do. You're, realized that just now, you're in the Presence of something, don't you, sister? It's His Presence. Isn't it a wonderful feeling to stand in this Presence?

E-86 Now, if that's right, so the audience will see, raise up your hand. That wonderful consolation of love like pouring... You are--you are suffering with a trouble in your lungs, a lung trouble. Seems like you had some... Did you have a rib moved or something, some kind of a rib trouble? It's under your... Ribs move, yes. I see them taking you or doing something to the ribs.
And you are, got a--a curvature of the spine. And it's got a stomach trouble, 'cause it's pushed over, and they said, and got the stomach pushed in the wrong condition. And then you have a hurting in your back. That's the truth. You believe Jesus is here to heal you? Then if that's Him speaking through, then it's not me.
Come, let me have my hands upon you. God, in the Name of the Lord Jesus Christ, make our sister well and all she asks for. In Jesus' Name. Amen. Have faith; don't doubt.

E-87 Now, sister, setting there with the liver trouble, setting right there, you was praying then. You said, "God, let him speak to me and I'll believe you." Isn't that exactly what you said? Raise your hand if that's...?... Now, stand upon your feet. The liver trouble's left you, sister.
How do you do, sir. You believe? We are strangers to one another, brother. But Jesus Christ knows both of us. If God will tell me exactly what you're here for, will you accept what you've come for, through Jesus? You will? There's a shadow of death hangs over you. And that's a cause in your stomach. And that's a cancer in the stomach. You believe now, that Jesus Christ is going to make you well? You accept it right now upon the basis of His shed Blood? Then go eat. In Jesus Christ's Name, may the devil leave my brother. Amen.

E-88 Have faith; don't doubt. Jesus said, "If thou canst believe..." That's the way, little fellow. Amen. That Indian woman setting on the end out there, had her head down praying just then, she's got a comb in her hair. The Angel of the Lord, that Light, hangs over the woman. She's suffering with hay fever. That's right, Indian lady. Jesus Christ make you whole.
Say, your friend setting next to you, that other Indian woman there, she's suffering with a head trouble. Put your hand over on her too, that she may be made well also. Raise up your hand there, lady, and receive your healing through Jesus Christ the Son of God. Amen. There it goes: healed. Dark streak of blackness leaving, moving out. Something white shoving it. It's over. Have faith.

E-89 Is this the patient? You believe me, lady, as God's servant, with all your heart? I don't know you, never seen you. But you're life, you couldn't hide now, because I've contacted your spirit through Jesus Christ. You're here for a worthy thing. You're a woman that's barren and want children. And you want me to lay my hands on you, that you'll receive a child. Heavenly Father, give unto this woman the desire of her heart. I bless her, as Your servant, in Name of Your Son, the Lord Jesus. Amen.
Have faith. Don't doubt. You want to get over that arthritis, setting right back there? Raise up; your faith healed you, sister. That's right, raise up, shove your hands up in the air and let the people see that you're healed. Absolutely, you're free from it now. Amen. Your faith makes you whole. Amen. Have faith in God; don't doubt.

E-90 Come here, lady. You believe? I'm a stranger to you. We do not know each other, I suppose, but Jesus Christ knows both of us. Spirits are begging for help. I... Just a moment, lady. Us being strangers to each other, not never seeing each other, if I--if the Holy Spirit, rather, through me would tell just what your trouble is, would you believe it? And you'd believe it come from God?
Will the audience believe it comes from God? Now, 'course more I'd talk to you, more it would say, but just so upset. I see something around your arm. It's high blood pressure, you have. And also you have a choking spirit. It's a goiter in your throat, choking, inward goiter. That's the truth. You're not from this country. You've come from way in the east. You've come from Grand View, Tennessee. That's right. That shock you? Your name's Miss Lily Edwards, too. That's right. Now, go home and be well in the Name of the Lord Jesus Christ. Have faith.

E-91 How do you do? The first thing to say to you, my friend, is your--your life with God. You're not--you ain't pleasing yourself the way you're walking. You want a little closer walk with the Lord. That's right. I see you ask Him in prayer. Then I see you've got a growth. And the growth is growing. And the growth is in the stomach. Isn't that true?
You want a closer walk with God? You want to be healed? Then believe that what's talking to you, is not your brother, the Lord Jesus Christ will give it to you. Do you do it? Then in the Name of Jesus Christ the Son of God, receive what you ask for. Amen.

E-92 You're near the Kingdom, sister. Lady... This the woman, this the patient? We're strangers to each other, I suppose. I don't know you, but God knows you. You're a believer. You're not standing here for yourself; you're standing for a friend. And you've just received some kind of a message from that friend. And they're going to be operated on in the morning for cancer. And that's a near a big lake or something, it's near Chicago, Illinois. That's right. God, in the Name of the Lord Jesus, grant the healing of whatever she asks for, through Jesus' Name.
Lord Jesus can heal heart trouble just the same as He can heal anything. You believe that? You believe you will get it now? In Jesus' Name, go and receive it. Amen.

E-93 Come, lady. You believe with all your heart? I just got to hurry a little. Just, no just hold me up. Look again this way just a minute. Do you believe? You want to go eat your supper? That stomach trouble's been bothering you, all upset, cramping, hurting, drawing you double, lady's trouble. Go on your road, Jesus Christ make you well.
You believe? You believe God will heal you of this anemia condition? You believe you can go home, be made well of this anemic condition? God bless you. Go, and receive what you ask for, in Jesus' Name.
All right, come lady. See you lifting it when you come...?... No it isn't, you haven't got a broken hip; it's arthritis that's bothering you. You believe your--Jesus Christ is going to make you well? Go, and be made well in Jesus' Name.

E-94 Will you come, lady? You believe? You want to get over that back trouble, kidney trouble? You believe Jesus makes you well? Then go, and Jesus Christ heal you and make you completely well. Amen.
Your arthritis was healed when you was setting right down there, sir, tonight. You done pass by...?... All right, you were setting out there looking at me tonight, right down there. There's a real cool thing went to your stomach; the ulcer left then. You're healed.
Howdy do? Heart trouble is gone, brother. Go, rejoicing and praising God. Believe with all your heart.
Eyes and stomach, but Jesus Christ makes you well. Have faith.
Just a minute. Don't fear; your kidney trouble and everything's gone from you, lady. Go, believing.
Stomach trouble, anything, God can heal it all, can't He? Make you well, heal you perfectly. In the Name of the Lord Jesus Christ, I pray the prayer for my brother. Amen.
So much... Look, it's just everywhere. Look, it's just hitting everywhere.

E-95 You got heart trouble, lady. Everyone with heart trouble, stand on your feet just a minute. See what I told you? How are you going to discern? It's just coming everywhere. Stand here just a minute. Believe with all your heart now. Stand here; remain standing a minute.
Look here, lady. You got TB. Everyone with TB, stand on your feet just a minute. Jump up real quick...?... Be--be faithful; believe with all your heart. Lungs, lungs, it keeps moving. That's all right, sir. You stand up anyhow. You haven't got TB, but you have got pneumonia in your lungs. That's right, standing right there. That's right, you. Stand still.
This man laying right here's, got pneumonia in his lungs, on this stretcher. Stand up, sir, Jesus Christ makes you...?... The rest of you stand up a minute. Get up. O God, in the Name of Jesus Christ the Son of God, I bring these sick and afflicted people to You. I rebuke every devil that's bound the people, TB, everything, all these crippled, sick, afflicted, God, in Jesus' Name, take it out. Believe it. Come out of...?... Stand upon your feet everywhere, and be made well.

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