La Présence Du Seigneur Jésus

Date: 55-0612 | La durée est de: 2 heures et 1 minute | La traduction: Shp
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1          Tous mes remerciements. Merci, monsieur.

            Bonsoir, mes amis. Je suis heureux d’être ici ce soir au service du Seigneur Jésus-Christ et de voir cette belle foule de gens dehors. Je pense que si on avait, là en place, ce qui était sur terre, nous aurions à peu près rempli cela à craquer ce soir.

            Nous sommes donc très reconnaissant de voir cette agréable et belle assistance. Nous n’aimerions pas que vous montiez, si vous êtes assis ici, parce que cela pourrait... vous aimeriez être près de la réunion. Et nous aurions voulu qu’il en soit ainsi, que nous puissions avoir tout le monde juste autour d’ici où nous nous tenons.

            Et juste au moment où je montais en chaire tout à l’heure, le jeune garçon a couru. Quelqu’un a donné le... mon jeune garçon, là, ce fil venant d’un petit enfant hydrocéphale, à qui on s’était adressé l’autre soir ici. Et voici le fil de la première soirée, environ un pouce et demie [3,81 cm]. Et puis, la deuxième soirée, un pouce [2,54 cm] ou plus, c’est encore parti la deuxième soirée. Cela fait donc entre trois et quatre pouces [7,62 et 10,16 cm], ça s’est rétréci pendant les quarante-huit dernières heures. Nous remercions le Seigneur et nous Le louons pour Sa bonté.

            J’étais donc en train de penser ; six personnes paralysées étaient assises dans des fauteuils roulants et elles se sont levées de leurs fauteuils roulants, elles ont marché dans cette série de réunions, elles s’en sont allées. Et beaucoup d’autres qui étaient sur des civières et des brancards, avec différentes maladies dans leur corps, rapportent que le Seigneur Jésus les a guéris. C’est donc certainement merveilleux, n’est-ce pas? Nous sommes heureux pour tout ça et nous rendons gloire à Dieu pour tout cela.

2          Maintenant, que Ses bénédictions reposent sur vous. Maintenant, j’aimerais profiter de cette occasion pour dire que ça a été une série de grandes réunions pour moi. J’avais souvent eu autant de gens dehors, mais ça a été une très bonne série de réunions en tout, et nous avons tout apprécié. Je parle pour ma part et de la part de mon équipe, ou pour mon équipe et moi-même plutôt. Et à mes frères dans le ministère, ceux qui ont parrainé cette série de réunions, c’est certainement un plaisir pour moi, frères, d’être avec vous ici sous votre parrainage. Vous avez effectué un merveilleux travail de publicité, de collaboration, et tout, et je regrette de n’avoir pas eu à rencontrer chacun de vous personnellement et à vous serrer la main.

            J’ai été un peu empêché, frères, cette fois-ci. Ce n’est pas quelque chose qui vous incombe, mais ça incombe à frère Moore (Il n’est pas venu ici.) et nous nous sommes retrouvés sans organisateur. Monsieur Wood, mon bien-aimé frère ici, n’a jamais essayé d’organiser une réunion, et il ne savait pas comment s’y prendre. Et j’ai un jeune garçon ici, qui est juste un enfant, il ne saurait donc pas quoi faire. Alors... Et franchement, je ne saurais quoi faire. Alors, nous avons simplement eu à faire de tout notre mieux, et vous avez été très gentils, et je vous apprécie.

            Et j’espère revenir un jour auprès de vous une fois de plus sous le même parrainage, pour en avoir une plus longue, et peut-être que Dieu nous accordera une série de réunions plus glorieuse. Et je prie que cela... que cette série de réunions soit une chose glorieuse pour toutes vos églises. Que vos églises grandissent. Que les bénédictions de Dieu reposent sur chacun de vous. Et que de grands ministères sortent de vos églises, des évangélistes et autres, pour évoluer dans ce dernier jour au service du Seigneur.

3          Et à vous le peuple, c’est votre argent qui a payé toutes nos dettes. Mon jeune garçon a essayé de s’en occuper cette fois-ci et c’est du nouveau pour lui, il a essayé de son mieux. Et il a dit: «Eh bien, papa, nous partons sans aucune dette ni rien et, a-t-il dit, ils vous donnent une offrande d’amour ce soir. On sera quitte.»

            Je reçois toujours mon offrande d’amour... Généralement, je la reçois à la fin de la réunion, et si on n’a pas payé les dettes, eh bien, je m’en sers pour payer toutes les dettes, et essayer de... Nous n’aimerions jamais exercer une pression sur une réunion à aucun moment. Je ne supporterais absolument pas cela. Jamais je ne le fais. Nous ne sommes pas ici pour prendre l’argent des gens. Nous sommes ici pour vous aider, pour faire tout notre possible pour vous permettre d’avoir un contact plus intime avec Celui que nous tous, nous aimons, le Seigneur Jésus-Christ. Et c’est notre unique but dans n’importe quelle réunion. Et si j’avais pris l’argent, non pas ce que j’ai réclamé, mais l’argent qui m’a été donné, je serais un multimillionnaire.

            J’avais eu un million cinq cent mille qui m’avaient été donnés par un seul chèque bancaire, et j’ai refusé de mettre ma main dessus. Et je–je ne recevrais pas cela, car vous... Il y a à peu près trois choses auxquelles vous allez veiller, cela peut effectivement amener un ministre à rétrograder, et l’une d’elles, c’est l’argent: L’argent. Ensuite, la popularité, lorsque vous pensez être quelque chose alors que vous savez que vous n’êtes rien ; donc, la popularité. Et puis, courir avec une femme ou quelque chose comme cela. Cela, alors, une... Ces trois choses, vous êtes donc... Vous... Ces choses-là, gardez-vous-en, et Dieu prendra soin du reste de cela pour vous, si seulement votre tête réfléchit bien.

            Et par la grâce de Dieu, j’ai essayé d’éviter toutes ces choses. J’ai refusé l’argent, des fermes et tout le reste que les gens m’avaient donnés. Eh bien, je refusais de prendre cela juste dans ce but-là. Je n’aimerais pas que cela me dérange. Je veux juste avoir assez d’argent pour financer cette série de réunions, et Dieu pourvoira à ce qui suffit pour la réunion suivante quand nous y arriverons. Et puis, s’Il ne pourvoit pas, peut-être que j’étais en dehors de Sa volonté.

            Ainsi donc, c’est ainsi que j’essaie, et je... Et puis, quant à la popularité, je l’ai évitée. Vous le savez. Et je sais que je ne suis rien, et je... Où... Comme Dieu a dit à David: «Je t’ai pris», alors qu’il était au pâturage. C’est là que j’étais aussi, seulement pire que ça. Et Il m’a aimé. Et je–j’ai trois repas par jour, je suis en bonne santé, et je peux manger. J’ai une petite maison là-bas, la maison du pasteur, ça appartient au tabernacle dont j’étais le pasteur. Ils peuvent me mettre dehors, mais ils ne le feraient pas. J’ai donc un lieu où rester, trois beaux petits enfants, et ce jeune garçon ici, et je–je suis... et une aimable petite femme. Je l’aime de tout mon coeur. L’unique femme au monde que je–j’aime. Ainsi donc, ce–c’est réglé. Et j’espère que Dieu me gardera toujours comme cela.

4          Ainsi donc, je suis très heureux d’être à ce service et de trouver ceci, ma première fois d’être en Géorgie. Mais c’est certainement, je... On vous a certainement enseigné la grâce par ici, et de savoir comment s’emparer de Dieu.

            J’aurais bien voulu que frère Moore soit ici, de la sorte les réunions auraient pu avoir plus de–de force.

            Si je dois prêcher... Hier soir, mon jeune garçon m’a amené un peu tôt, alors que je pensais qu’il devait avoir fait cela. Mais il a dit: «Papa, tu es devenu complètement pâle.» Si ce jeune garçon s’adonnait à Dieu... Il a aussi des visions. Et... mais il est simplement dans l’adolescence, et priez pour lui. Je le maintiens dans des réunions parce que je sais ce qu’est la vie des jeunes. J’ai été autrefois jeune moi-même. Et j’ai été à la fois mère et père, les deux, pour lui. Sa mère est morte alors qu’il était un tout petit enfant, un bébé de dix-huit mois. Et je l’ai élevé, le transportant dans mes bras, mettant son biberon sous mon manteau ici pour le conserver chaud pendant l’hiver, je le mettais sous mon oreiller la nuit pour le conserver chaud au contact de mon propre corps. Et il a simplement grandi dans mes bras. Ainsi, je–je–je l’aime, et il m’accompagne.

            Et nous allons directement quitter cette série de réunions pour aller à Zurich, en Suède, directement... Zurich en Suisse plutôt, tout de suite. Et nous avons voyagé à travers le monde ensemble. Priez pour nous pendant que nous serons en déplacement.

            Et chaque sou que vous donnez dans cette offrande d’amour ce soir... J’aurais voulu ne pas avoir à prendre ça. Je–j’aurais voulu ne pas avoir à prendre ça. Mais je–je suis obligé, pour... Je n’ai aucun moyen de subvenir à mes besoins si ce n’est les aumônes des gens ; c’est ainsi que je vis.

5          Et autre chose, je–j’ai une forte dépense à la maison. Mes dépenses, que je sois en train de tenir une réunion ou pas, s’élèvent entre soixante-quinze et cent dollars par jour. J’envoie des milliers de lettres et tout à travers le monde, tout autour du monde ; des livres et–et tout le reste. Mes dépenses sont donc très lourdes.

            Et puis, chaque sou, quand je reçois une offrande d’amour, je vais voir ce que nous devons à la banque. Je paie cela, et je paie bien assez pour ce temps-là. Ce qui me reste est directement affecté aux missions à l’étranger, pour aller outre-mer, aider les gens là-bas. Et je–je suis sûr, par la grâce de Dieu, d’en dépenser chaque sou aussi respectueusement que je sais comment le faire pour le Royaume de Dieu. Et alors, au jour du Jugement, quand nous nous rencontrerons tous ensemble, vous verrez que ce qui a donné accès à l’homme noir, ou à l’homme jaune, ou quelque part dans les autres nations, ça sera votre argent qui avait aidé à m’envoyer là-bas pour qu’eux soient sauvés. Et il... Je sais que vous crierez victoire au cours des âges à venir, à cause de cela.

            Et je serai... Je suis votre frère et je vous aime. J’avais l’habitude de dire ceci: «La nuit ne sera jamais trop sombre ni la pluie ne tombera jamais trop abondamment pour m’empêcher de venir auprès de vous.» Je disais cela à mes tout débuts. J’aurais bien voulu en être capable maintenant. Mais il y en a simplement trop. Je–je ne pourrais pas le faire. Mais je serai content à n’importe quel moment de prier avec vous au téléphone.

            Ecrivez-moi si vous voulez l’un de ces tissus sur lequel on a prié, si je suis à la maison. Eh bien, or, si le petit formulaire qui a été rédigé peut avoir été rédigé par une machine à ronéotyper, cependant le tissu, c’est moi personnellement qui ai prié dessus. Je sais, et si c’était mon enfant qui était malade et que j’avais confiance en un frère dont Dieu exauçait les prières, je n’aimerais pas qu’un secrétaire s’en occupe, j’aimerais que cela vienne de lui. Ainsi donc, on recommande de faire aux autres ce qu’on veut qu’on fasse pour vous. Si vous avez donc besoin d’un...

            Or, je ne dis pas ceci... Je sais qu’il y a beaucoup de propos tenus à la radio par des frères qui ont des émissions à la radio, ils veulent que vous leur écriviez afin qu’ils obtiennent vos adresses et–et qu’ils vous envoient des demandes d’offrandes et tout. Cela... Vous ne recevrez pas une lettre comme cela, ami.

            Et je crois que votre argent appartient à votre église. C’est exactement là–là sa place. Et mettez ça dans votre église, vos dîmes et autres, pour soutenir votre église. Je ne... j’essaie simplement de vous aider. Vous n’avez rien à envoyer. On envoie cela juste pour... tout est gratuit. Juste, vous avez besoin d’un tissu sur lequel on a prié, gardez-le. S’il n’y en a pas ici ce soir, et que vous manquez le vôtre, envoyez la demande. Si vous en voulez un à garder simplement, envoyez dans... placez-le dans Actes 19, dans la Bible, et quand la maladie frappera votre maison, allez épingler ça sur votre enfant, s’il a attrapé le croup ou je ne sais quoi, et alors, croyez Dieu de tout votre coeur. Et c’est absolument sans frais, gratuit, pour tout. Et j’aimerais simplement que vous soyez aidé par le Seigneur.

            Et si jamais je n’ai plus l’occasion de vous voir de ce côté-ci de la Gloire, j’espère que nous nous assoirons de l’autre côté, à côté de l’arbre à feuilles persistantes, là à côté de Christ, la Fontaine de... la Fontaine inépuisable de la Vie, et nous nous serrerons la main et nous passerons mille ans à parler l’un à l’autre de tout cela, là dans l’autre monde.

6          Le soleil se couche, mes amis. Il nous faut travailler maintenant. Je vous aime et je sais que vous m’aimez. Et j’apprécie tout ce qui a été fait. Que le Bienveillant Seigneur vous bénisse, c’est ma sincère prière.

            Inclinons la tête juste un instant. Précieux Père céleste, ce soir, nous en arrivons à la fin de cette merveilleuse série de réunions à Macon, après que celle-ci a été la dixième soirée où on a vu Ta glorieuse puissante main se mouvoir parmi les gens. Et de grandes évidences infaillibles du Seigneur Jésus-Christ ressuscité se mouvant parmi les gens, révélant leurs péchés à l’estrade, guérissant les sourds, les aveugles, les handicapés moteurs, les estropiés, les boiteux, les infirmes, le cancer, les maladies du coeur, les rétablissant, montrant de grands signes, que Tu es toujours le Dieu vivant, que la mort n’a fait que Te glorifier, que Tu es ressuscité et que Tu es vivant aux siècles des siècles. Cela a beaucoup aidé nos coeurs, Seigneur. Et cela aidera cette partie du pays, Ta visitation ici parmi nous. Et nous sommes très heureux.

            Nous prions, ô Dieu, que cela–que cela augmente le nombre des membres dans chaque église à travers la Géorgie. Ô Dieu, accorde-le, et que les résultats soient à la base de l’éclatement d’un réveil à l’ancienne mode d’échelle nationale, et que des foyers qui étaient brisés soient réunis une fois de plus, que des hommes et des femmes qui s’étaient éloignés de Dieu reviennent une fois de plus. Et ceux qui sont loin de l’église reviennent et regagnent la communion une fois de plus. Accorde-le, Seigneur.

7          Et envoie bientôt Jésus, le grand Berger du troupeau, car nous avons un vif désir de Le voir, de contempler Son visage, L’aimer, Lui exprimer nos adorations. Combien nous Le louerons et nous L’adorerons pour tout ce qu’Il a fait pour nous, et nous Lui rappellerons que quand le chemin devenait trop lassant et que nous étions fatigués, Il était toujours là pour nous rencontrer et nous aider. Oh ! Nous L’aimons ce soir, Père. Et nous prions que ces grandes bénédictions reposent sur chaque église à travers cette communauté, sur chaque maison et sur chaque individu qui a eu quoi que ce soit à faire dans cette série de réunions. Et que tout cela soit pour Ta gloire.

            Maintenant, alors que nous abordons la dernière partie du service ou la fin de ce service, nous Te prions de nous accorder une double portion de Tes bénédictions ce soir. Que le Saint-Esprit vienne et bénisse chaque coeur ici. Et fais au milieu de nous ce soir, Seigneur, infiniment au-delà de tout ce que nous pouvons faire ou penser. Nous reviendrons T’accorder toute la louange, car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.

            Je ne suis pas très fort quant à m’exprimer, dire aux gens ce que... combien je les apprécie et tout. Mais j’espère que Dieu Lui-même, le Saint-Esprit, exprimera à chaque coeur le sentiment exact que j’éprouve à votre sujet ce soir.

8          Ceci–ceci n’est pas une chose facile. Et je–je ne suis pas un isolationniste. J’aime mes frères. Et juste au moment où je me familiarise avec les gens, où on en arrive à se connaître, où on commence à sympathiser donc, où leur confiance commence à augmenter, c’est alors que je dois dire au revoir ; je dois aller ailleurs. Voyez? Mais l’un de ces jours, nous allons nous rencontrer là où nous n’aurons pas à dire au revoir. Exact. Nous aurons alors beaucoup de temps. Dieu comprend, et j’espère qu’Il le révélera à votre coeur.

            Priez pour la prochaine série de réunions en Suède. Je continue à appeler cela Suède. Ce n’est pas Suède ; c’est la Suisse, à Zurich. Nous nous attendons à environ cent cinquante mille personnes à la première réunion à Zurich, en Suisse.

9          Quand j’étais là (juste entre parenthèse), la vision qui avait en fait conduit vers cette grande réunion en Finlande tout récemment, cette vision avait eu lieu quand j’étais de passage ici en Géorgie, à bord d’un train. J’avais vu un petit garçon ressusciter d’entre les morts. J’allais à Miami et là, j’ai prédit cela devant des milliers de gens. Y a-t-il ici présent ce soir quelqu’un qui était à la réunion de Miami quand j’avais prédit? Je vois des mains se lever ici, ici. C’est bien. Eh bien, c’est bien.

10        Vous rappelez-vous ce que j’avais dit? Il avait décrit l’aspect du petit garçon. Il serait tué dans un accident d’automobile. Il y aurait des strates rocheuses comme cela et des arbres verts, hauts. Le petit garçon aurait ce qu’on appelle les cheveux coupés courts, des yeux bruns. Son pied transpercerait sa petite chaussette et tout. C’est arrivé exactement ainsi. J’avais prédit cela partout à travers les Etats-Unis.

            Deux ans plus tard, j’étais à Helsinki, en Finlande. De là, nous sommes allés à Kuopio ; c’est chez les Lapons. En descendant la montagne un jour... J’ai vu que nous avions tenu une série de merveilleuses réunions, nous étions montés là afin qu’on me fasse visiter la tour d’où l’on voyait venir les Allemands, et–et ils bombardaient leur petite ville, là, et–et les Russes.

11        Et sur mon chemin en descendant, j’ai vu là qu’une–une voiture de fabrication américaine avait tamponné deux petits enfants, elle avait cogné l’un sous le menton, l’avait projeté contre l’arbre et lui avait écrasé la cervelle contre l’arbre, l’aile. Et l’autre, elle avait roulé sur l’autre petit garçon et l’a traîné en dessous, et elle l’a projeté sur la route, et il était couché mort, couvert de manteau.

            Et les gens en Finlande, ils–ils vivent en ville et–et cultivent dans les campagnes et font des va-et-vient, des gens très pauvres. Et moi, frère Moore, frère Gordon Lindsay, et les autres, nous nous sommes approchés pour jeter un coup d’oeil à ce petit garçon. Et ils sont revenus, ils pleuraient ; ils ont dit: «Frère Branham, vous devriez aller le voir.»

            J’ai dit: «Je n’aimerais pas le voir.»

            J’avais été en France, en Angleterre et à divers endroits, j’avais mon petit Billy Paul, il avait à peu près cet âge-là à l’époque. J’avais la nostalgie de le voir, et je–je ne voulais pas aller voir ce petit garçon mort.

            Ils ont alors fini par me persuader d’y aller. Et quand je suis allé voir le petit garçon, j’ai baissé le regard sur lui, et mon coeur était brisé de voir le petit garçon et je me suis retourné.

12        Et quand je me suis retourné, Quelque Chose a posé Sa main sur mon épaule. J’ai pensé que c’était frère Lindsay. Je me suis retourné, il n’y avait personne autour de moi, pas du tout, et une main était toujours posée sur mon épaule. Voyez-vous combien un prédicateur peut être stupide? J’ai alors baissé le regard et je n’arrivais pas à comprendre ce que c’était. J’ai encore regardé et j’ai dit: «Voudriez-vous relever ce manteau-là?»

            Et on était parti chercher le père et la mère, j’ai donc pensé au sentiment que ce petit père et cette mère allaient éprouver en arrivant là et en trouvant leur petit garçon gisant là, mort. Et ça faisait environ trente minutes qu’il était donc mort. Alors, on était parti à la campagne chercher le père et la mère.

            Et j’ai dit: «Voudriez-vous... Puis-je regarder encore une fois?»

            Alors, l’interprète a parlé, et ils ont soulevé cela. Et je me suis dit... Eh bien, où... Et il m’est arrivé de lever les yeux et voici apparaître ces strates rocheuses descendant comme ceci, et ces arbres verts. J’ai vu ces petits cheveux coupés courts, ses petits yeux bruns enfoncés là. Chaque os de son corps était brisé, et son pied ressortait à travers ses chaussettes. C’était parfaitement ce garçon-là.

            Et j’ai dit: «Frère Moore, viens ici, toi et frère Lindsay. Regardez la feuille de garde de votre Bible.»

            Il a dit: «Qu’y a-t-il?»

            J’ai dit: «Lisez la feuille de garde de votre Bible.» J’avais demandé à tout le monde d’écrire cela sur la feuille de garde.

            Il a regardé là et il a dit: «Un petit garçon serait...» Il a dit: «Eh bien, Frère Branham, c’est ce petit garçon.»

            J’ai dit: «C’est lui.»

            Oh ! la la ! Quel sentiment ! Peu m’importe le nombre. Vous pouvez prendre chaque homme de science qu’il y a au monde, et les aligner là, et chaque démon qui vient du lieu de tourment peut se tenir là, cela va arriver de toute façon. Ça ne demande pas alors la foi. Dieu l’a déjà dit. Cela va arriver.

13        J’ai dit: «Si ce petit garçon n’est pas sur ses pieds dans les cinq prochaines minutes, je suis un faux prophète.» Voyez? Et nous nous sommes agenouillés là, eux tous se sont retirés. Et le responsable de la ville, le numéro 1, quelque chose comme l’équivalent du maire ici aux–aux Etats-Unis, était là. Ils ont reculé. Et je me suis agenouillé là, juste tel que la vision me l’avait montré, j’ai prié pour le petit garçon et j’ai dit: «Seigneur Dieu des cieux et de la terre, là dans ma patrie, Tu m’avais montré cette vision pendant que je traversais la Géorgie une nuit.» J’ai dit: «Je Te prie, Seigneur Dieu, de confirmer maintenant la Parole, afin qu’ils sachent que Tu es toujours le Seigneur Jésus, et que la Finlande sache que Tu es la Résurrection des morts.» J’ai posé mes mains sur le petit garçon selon ce qu’Il avait montré... Tout devait se conformer parfaitement à la vision. Et j’ai ordonné à la mort de restituer sa petite vie. Il a bondi, il s’est mis à crier et à courir çà et là.

            Ça a parcouru la Finlande. J’ai cela à la maison avec la signature du maire et tout. Cela était diffusé à la radio. Ce soir-là, on ne pouvait même pas accéder au bâtiment sur six ou huit pâtés de maisons. Il y avait des soldats finlandais là dehors pour assurer la garde sur le parcours.

14        Maintenant, je–j’aimerais vous raconter quelque chose, amis. Eh bien, je ne suis pas un politicien, mais on dit qu’il n’y a pas de chrétiens en Russie. C’est une erreur. Il y avait ces Russes-là. Si vous habitez en Russie, il vous faudra un visa pour vous déplacer sur quarante miles [64 km] de votre lieu de naissance. Beaucoup de ces bons chrétiens étaient venus là.

            Et pendant qu’ils se tenaient là dans la rue, quand ces soldats finlandais m’escortaient, ils se tenaient au garde à vous, esquissant un salut à la russe et les larmes leur coulaient sur les joues, et ils disaient: «J’accepterai un tel Dieu.» C’est exact, voyez? Ils en avaient simplement marre de credos et de rites ; c’est tout. Tout celui–celui qui jouit de son bon sens recevra un véritable Dieu vivant et réel qui ressuscite les morts. Il Le recevra certainement.

            Et il n’y a pas longtemps, je parlais au Baron Von Blomberg. Probablement que vous le connaissez, c’est un cher ami à moi. Il avait un jeune prisonnier allemand, il venait d’outre-mer, et il l’a eu là derrière le rideau de fer et il a dit: «Frère Branham, je suis surpris que vos réunions ne soient pas plus connues qu’elles le sont ici. Elles sont mieux connues derrière le rideau de fer qu’elles ne le sont de ce côté-ci, après la résurrection de ce petit garçon.» Il savait cela, que c’était arrivé.

            Je me rappelle... si nous avons juste un temps... C’est une bonne soirée, prenons donc juste un moment et finissons-en complètement avec cette petite histoire, si vous voulez.

15        J’aimerais vous parler de l’autre petit garçon. Ce soir-là, quelque chose était arrivé alors que j’entrais à Messuhalli, comme on l’appelait. On y faisait entrer vingt-cinq mille personnes, et ensuite, on les faisait sortir pour permettre à vingt-cinq mille autres d’entrer, juste pour qu’elles vous entendent parler. Ainsi donc, quand j’entrais ce soir-là, je suis passé... Ils étaient très pauvres. Quand je traversais une pièce, monsieur Baxter, mon organisateur, était en train de chanter à l’estrade. Et ils essayaient de chanter Crois seulement, ces Lapons. Et vous... Oh ! la la ! Vous auriez dû entendre cela.

            Ainsi donc, quand j’allais pour entrer dans le bâtiment, je traversais cette pièce, là, il y avait le dortoir des dames à côté et des toilettes. Et quand je–je... Ces quatre jeunes soldats, de pauvres petits enfants, ces Russes les avaient tellement tués qu’ils... Les jeunes gens ne s’étaient jamais rasés de leur vie, juste de petit visage lisse... C’était pitoyable à voir, ces petits garçons de pas plus de quatorze, quinze ans, en très longs manteaux drôles, avec de grosses bottes, martelant tout le long. Et ils avaient leurs petits fusils, ils empêchaient la foule de s’approcher de moi, leur faisant dégager la voie au fur et à mesure que nous avancions sur six pâtés de maisons pour essayer d’accéder au lieu.

16        Et alors, quand nous sommes arrivés là et que nous traversions, eh bien, une petite fille est sortie, venant du dortoir là. Et il y avait des instructions qu’on ne devait pas m’adresser un seul mot si on me voyait dans la rue. Tout comme cela, vous savez, afin que nous puissions sortir, car j’étais sur le point de mourir. Il y avait donc... Imaginez quels services ça a pu être. Et je faisais que je...?... dans le service de l’après-midi, je prenais de cet argent qu’ils avaient, je sortais là m’acheter beaucoup de bonbons, j’avais une file de petits enfants depuis ici jusqu’à la porte. J’aime vraiment les enfants de toute façon.

17        Et alors, ce soir-là, en entrant, la petite fille finlandaise est sortie, sa petite chevelure défaite, elle portait une petite jupe et de petits haillons qui lui descendaient. Et elle avait une... deux béquilles sous le bras, elle avait un énorme appareil orthopédique qui l’entourait comme ceci et c’était bouclé au dos. L’une de ses jambes était un peu plus courte que l’autre. Et cette jambe droite, elle ne s’en servait pas, elle ne pouvait pas s’en servir. Et elle avait, juste au bout de son soulier, elle avait une lanière et un fermoir. Alors, le fermoir montait, un morceau de cuir, ça lui passait par-dessus le dos et se rattachait à cet énorme appareil orthopédique ici derrière. Elle avait deux béquilles. Et alors, ces appareils orthopédiques montaient et soutenaient cette jambe et la fortifiaient. Alors, quand elle se mettait à marcher, elle soulevait sa petite épaule comme cela et soulevait la petite jambe, la faisait avancer comme ça, avec cette lanière qui tirait ça (Cela n’a pas d’organe de commande.), alors cela s’avançait ; ensuite, elle pouvait marcher. Son autre jambe était en bon état. Elle avançait ses petites béquilles comme cela, alors elle marchait.

18        Et quand elle est sortie là et qu’elle a fait avancer ses petites béquilles, elle m’a regardé ; elle a incliné sa petite tête ; elle pensait avoir fait quelque chose de mal. Et j’ai regardé cette pauvre petite enfant. Je–je savais qu’elle voulait venir vers moi. Je l’ai regardée et je me suis arrêté. Les deux autres soldats ont continué à marcher. Ils se sont retournés, ces deux autres que je ne pouvais pas... ils ne parlaient pas un seul mot anglais, et je n’en parlais aucun finlandais. Ils essayaient donc de me faire avancer ; et je me suis simplement tenu là. Et je continuais à leur faire signe de ne pas faire cela. Puis, j’ai regardé cette enfant-là, il n’y avait personne à part–à part les–les deux... les quatre soldats, moi-même et la petite fille. Alors, elle m’a regardé. Elle pensait avoir fait quelque chose de mal. J’ai dit: «Veux-tu me voir, chérie?»

            Et elle–elle n’a pas... évidemment, elle ne pouvait pas savoir de quoi je parlais. Et je lui ai fait signe comme cela. Et j’ai observé cette petite enfant, elle s’est avancée, elle a avancé sa béquille, et sa petite épaule, elle s’est avancée jusque près de moi. Et je me tenais simplement là, la regardant pour voir, ce qu’elle ferait. Et elle s’est approchée de moi. Elle a tendu la main et elle a tenu mon manteau, elle a soulevé la poche, elle m’a baisé sur la poche. Elle a laissé son petit... mon manteau et le petit... Le mot merci, c’est kiitos. Elle a fait avancer ses petites béquilles, elle a tenu sa petite jupe, elle l’a déployée comme cela et elle a dit: «Kiitos.» Et elle a levé les yeux, et ses petites lèvres tremblaient, les larmes lui coulaient sur ses petites joues...

            J’ai fini par découvrir qu’elle était une petite orpheline de guerre. Sa mère et son père avaient été tués pendant la guerre. Et–et ils étaient juste... Elle était ballottée partout où elle pouvait.

19        J’ai regardé. Je me suis dit: «Ô Dieu, si j’étais le plus gros hypocrite du monde, Tu–Tu honorerais cette enfant-là.» Voyez? A cause de sa–à cause de sa foi. Elle m’a baisé sur la poche, et ensuite elle m’a remercié, elle a déployé sa petite jupe comme cela, elle a dit: «Kiitos.» Et elle a essayé de se balancer au possible.

            J’ai posé ma main sur elle ; j’ai alors regardé. J’ai vu une petite fille s’en aller en marchant comme une ombre, sans appareils orthopédiques du tout, s’en aller en marchant comme ceci. J’ai dit: «Chérie, regarde, regarde. Oh ! Si seulement je pouvais te le dire.» J’ai dit: «Chérie, tu es–tu es guérie. Oh ! la la !», ai-je dit.

            Et vers ce moment-là, frère Baxter a surgi à la porte et a dit: «Frère Branham, tu es en retard, viens.» Il m’a saisi par l’épaule et je suis entré. J’ai alors commencé le service et je suis arrivé vers, oh ! je pense, pratiquement à la fin, quand mon frère et les autres sont vite montés, ils se sont mis à me tapoter de côté. Je sais alors que je deviens mi-conscient, quand il y a des visions. Et Cela peut aller là dans l’assistance et dire à ces gens leurs noms, disons que son nom était Runningwater. Et on devait interpréter cela, dire cela, ce que c’était, et leur dire où ils habitaient, ce qu’était leur nom, et tout à ce sujet. Je vous assure, ces gens ont tout simplement jeté leurs béquilles et des cannes et se sont levés de civières, et ils sont partis, guéris. C’était tout. Ils étaient simplement–simplement emballés.

20        Et puis, quand... On n’avait pas à leur imposer les mains. On n’avait à rien dire, juste leur faire savoir que Dieu était là, et c’était tout ce qui était–tout ce qui était nécessaire pour les gens. Ainsi donc, quand je me suis retourné, j’ai dit... Howard me disait sans cesse, mon frère, il disait: «Allons.» Et il allait faire passer mon bras autour de son cou. Et j’ai dit: «J’aurais bien voulu que nous puissions rester un tout petit peu longtemps.»

            Et alors, quand il a dit: «D’accord», et alors la personne suivante qu’ils ont aidée à monter par la grâce souveraine de Dieu, c’était cette petite fille-là. Et elle s’est avancée vers moi. Elle souriait, vous savez, avec ces petites béquilles.

            Et j’ai dit à l’interprète là, madame Isaacson... Et peut-être qu’elle est assise dans cette réunion, à ce que je sache. J’ai alors dit: «Madame Isaacson, répétez exactement ce que je dis.» J’ai dit: «Chérie, c’est toi la petite fille qui était là dehors, qui avait saisi mon manteau.» Et elle hocha sa petite tête. J’ai dit: «Jésus t’a guérie, chérie.» J’ai dit: «Maintenant, va là, et demande à quelques-uns de ces hommes de t’ôter ces appareils orthopédiques, et pendant qu’on sera en train de le faire, d’enlever les appareils orthopédiques, fais descendre tes petites mains jusqu’au niveau de ta petite jambe courte, puis reviens montrer à frère Branham.»

            J’ai fait venir le suivant. Cela m’a rappelé la petite fille qui était assise ici hier soir. Quand j’ai vu cette petite enfant, j’ai vu le papa la débarrasser de l’appareil orthopédique, aussitôt elle est venue devant moi comme cela. Alors, hier soir, quand l’Esprit de Dieu m’a frappé, j’ai vu la petite enfant s’en aller. Je savais qu’elle allait se rétablir. Ainsi donc, elle s’en est directement allée, rétablie.

            C’est donc... Et puis, cette petite–petite fille, quand elle est allée là-bas, j’ai fait venir quelqu’un d’autre. Quelques instants après, elle a parcouru l’estrade avec des appareils orthopédiques, les béquilles, partout sur sa tête, courant et criant à tue-tête. Eh bien, sa photo et son adresse, je pense, et tout, c’est dans notre livre là dehors.

21        Alors, quand je suis rentré cette nuit-là, il y avait cette autre petite dame, ce petit garçon qui avait été écrasé. Il n’était point revenu à lui-même. Il était dans ce qu’on appelle un hôpital, c’était juste une maison là comme ça. On avait un médecin et trois ou quatre dames là qui offraient des soins de... comme infirmières. Et, oh ! c’était pitoyable à voir. Et ils... La petite dame, quand je suis rentré, on a eu à me tirer par-dessus, à l’hôtel. «Viens guérir mon petit garçon.»

            Eh bien, nous lui avons dit que c’était contraire aux instructions, que j’abandonne la campagne pour aller auprès d’une personne, car vous... L’un est tout aussi précieux pour l’un que l’est l’autre. Nous n’arrivions donc pas à lui faire comprendre. Et finalement, ce jour-là, elle était là. Et ils voulaient que j’aille là. Et je leur ai parlé, j’ai dit: «Faites-la monter, et laissez-moi lui parler.»

            Alors, elle et son mari sont montés, c’étaient juste des jeunes gens d’environ vingt-cinq ans. Et elle a dit: «Eh bien, va guérir mon petit garçon.» Eh bien, c’était par l’entremise d’un interprète.

            Et j’ai dit: «Eh bien, ce n’est pas moi qui ai guéri ce petit garçon-là.» J’ai dit: «Là dans ma patrie, Dieu m’avait montré une vision sur le petit garçon.»

            C’était une gentille petite femme. Elle a dit: «Allez-y, ayez une vision pour mon petit garçon.»

            Je me suis dit: «Eh bien, c’est vraiment formidable, mais je–je–je ne peux pas le faire. Je–je n’ai aucun moyen d’avoir une vision ; c’est ce que Dieu montre. C’est la souveraineté de Dieu. Ce n’est pas moi.» J’ai donc dit: «Etes-vous une chrétienne?»

            «Non.»

            «Est-ce que votre mari est un chrétien?»

            «Non.»

            «Eh bien, ai-je dit, si donc vous voulez trouver grâce à mes yeux, vous feriez quelque chose pour moi.» Et j’ai dit: «C’est pareil avec Dieu. Eh bien, si votre petit garçon meurt, il ira au Ciel, ai-je dit ; si après vous mourez, pécheur, vous ne le verrez plus jamais. Et si vous êtes un chrétien, et que lui meurt et va au Ciel, alors vous irez au Ciel ; vous serez avec lui, là où nous ne connaîtrons plus d’accidents.» Et j’ai dit: «En procédant ainsi donc, vous pourrez trouver grâce aux yeux de Dieu.»

22        Eh bien, elle ne pouvait pas perdre sur un plan ou sur un autre. Alors, elle... Ils se sont agenouillés, ils ont donné leurs coeurs à Christ. Eh bien, pas juste un semblant, ils se sont en fait relevés, évidemment, le père, il s’est relevé en pleurant ; il était prêt à retourner à la maison, vous savez. Alors, la petite mère a dit: «Maintenant, allez avoir une vision pour mon enfant.»

            Alors, j’ai dit: «Eh bien, j’aurais bien voulu en être capable. Mais allez de l’avant...»

            Elle a dit: «Allez à l’hôpital.»

            «Non.» J’ai dit: «Rentrez à la maison, si le Seigneur me montre quelque chose, je ferai... je viendrai vous l’annoncer.»

            Alors, après, toutes les quinze minutes à peu près, elle appelait: «Frère Branham a-t-il déjà eu la vision? Frère Branham a-t-il déjà eu la vision?»

            Alors, évidemment, c’est là une mère pour son enfant. Et puis, vers la nuit, après que j’étais rentré de la réunion, que cette petite fille avait été guérie, ainsi que beaucoup d’autres, je me tenais là ; c’était vers vingt-trois heures trente ou vingt-quatre heures, on pouvait lire un journal dans la rue, c’était là-haut en Laponie, il ne fait pas, juste... Il y a juste un seul jour par année, un seul jour et une seule nuit. Voyez? Six mois, il fait sombre, et six mois, le soleil est là, et six mois il se couche.

            Eh bien, j’avais cette Bible-ci, et je La tenais sur mon coeur. Et quand je suis rentré, mon frère Howard a dit... Eh bien, s’il y a des Canadiens ici, je n’aimerais pas qu’ils s’offensent à ceci, frère. Mais nous étions une fois au Canada, et nous avions acheté des bonbons. Et, oh ! la la ! c’était mauvais. Ils n’avaient pas d’ingrédients à y mettre, comme ici en Amérique. Alors, Howard m’a donné quelques bonbons, mon frère. Il a dit: «Tu parles de ces bonbons finlandais... canadiens ; goûte une fois celui-là.»

            Je suis donc entré, je suis allé à ma chambre. Et frère Moore et frère Lindsay sont allés ensemble ; Howard et frère Baxter, eux tous sont allés dans leurs chambres. Mais je restais seul tout le temps, à cause des visions. Je suis donc entré dans la chambre. Et j’ai simplement déposé le... sur la table les bonbons. Je me suis tenu là comme ceci. Et je regardais à l’est, et j’ai dit: «Grand Dieu Jéhovah...» pendant que je regardais ces petits Finlandais qui parcouraient ce parc-là, criant et louant Dieu, et j’ai dit: «Grand Jéhovah, un jour, Tu viendras. Oh ! Que ça sera merveilleux quand Tu seras revenu !» Et je Le louais. Et j’ai entendu quelque chose faire... [Frère Branham produit un bruit.–N.D.E.] clic, ça s’est posé comme cela. Et il y avait un–un petit long verre, posé devant moi. Et il y avait là deux, je pense qu’on les appelle des jonquilles ou quelque... Pour moi, ce sont des fleurs de Pâques. Ça ressemble à l’une de ces vieilles cornes de phonographe, vous savez. Et deux d’entre elles étaient posées là, l’une étalée dans cette direction-là, et l’autre étalée dans cette direction-ci. Celle qui était étalée dans cette direction-là était complètement à plat. Et celle-ci descendait comme ça.

23        Alors, je me suis dit: «Eh bien, d’où est venu cela?» Et j’ai regardé à ma droite, Il se tenait là, cet Homme grand, aux cheveux noirs retombant sur Ses épaules, Il avait les bras croisés, Celui qui me parle toujours, Celui qui parle ici même, la Lumière au-dessus de Lui. Il se tenait là. Et Il a dit: «Qu’est-ce que ton frère t’a donné?»

            J’ai dit: «Ces bonbons, Seigneur.»

            Il a dit: «Mange-les.» Et j’ai pris cela. J’ai mis un bonbon, un bonbon dans ma bouche, et je l’ai avalé. Eh bien, ne me demandez pas ce que cela veut dire ; je ne peux pas vous le dire. Quand j’ai avalé cela, cette fleur de Pâques qui était étalée dans ce sens-là a fait... [Frère Branham imite un bruissement.–N.D.E.] Ça a produit un bruissement, ça s’est directement relevé, comme ça.

            Il a dit: «Maintenant, mange l’autre.» Et j’allais le manger et, oh ! c’était horrible. Je l’ai fait sortir de ma bouche, et cette autre fleur faisait... [Frère Branham produit un bruit.–N.D.E.] en descendant. Il a dit: «Refuse de manger cela, et l’autre petit garçon mourra.» Il m’est alors arrivé de penser que c’étaient les positions géographiques dans lesquelles ces jeunes gens étaient couchés, quand ils ont été cognés, quand nous les avons trouvés, ils étaient étendus l’un tourné vers le sud, et l’autre vers le nord.

            Et j’ai remis cela dans la bouche et, on dirait, vous savez comment vous retenez votre goût, ou plutôt votre souffle, on dirait, vous savez. J’ai très vite mâché et avalé cela. Et quand je l’ai avalé, cette fleur de Pâques qui était de ce côté-ci a fait... [Frère Branham produit un bruissement.–N.D.E.] Ça s’est redressé comme cela. Il a dit: «Va annoncer à la mère: AINSI DIT LE SEIGNEUR, ses prières sont exaucées.»

24        Oh ! la la ! Après que j’étais revenu à moi-même, après l’engourdissement, je suis vite sorti de la chambre ; on pensait que l’armée du salut était par là. J’ai lâché un cri, les fenêtres et les portes se sont ouvertes. Tout le monde est vite sorti. J’ai dit: «Venez ici, soeur Isaacson, vous tous, et frère Moore.» Je leur ai raconté la vision. J’ai dit: «Passez au téléphone et annoncez à cette petite femme que j’ai dit: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR. Ne vous inquiétez pas, car l’enfant s’en remettra. Il sera rétabli !»

            Alors, elle a appelé la maison et la... Ils avaient un tout petit bébé, et c’était... la baby-sitter le veillait. Et elle a dit: «Ils ont été appelés à l’hôpital ; le petit garçon se mourait.»

            Alors, elle a appelé l’hôpital, et la maman est venue au téléphone, criant donc à tue-tête. Madame Isaacson a dit: «Eh bien, ne vous en faites pas.» Elle a dit: «Il va se rétablir.» Elle a dit: «Il va...»

            Elle a dit: «Eh bien, nous sommes venus ici le visiter ; on pensait qu’il se mourait. Il vient simplement de se relever maintenant même ; nous lui lavons le visage pour le ramener à la maison. Il va bien.»

            Oh ! la la ! Voyez-vous? Oh ! Je vous assure, notre Seigneur est Dieu. C’est tout. Il est le Dieu des Cieux. Il est le Dieu de la terre. Il guérit les malades. Il ressuscite les morts. Il fait tout bien. Maintenant, avais-je eu quoi que ce soit à faire avec la guérison de ces deux jeunes garçons? Je n’ai rien eu du tout à faire. C’était Dieu qui avait opéré la guérison. Tout ce que j’avais fait, c’est ce qu’Il m’avait ordonné. Que le Seigneur vous bénisse.

            Rappelez-vous toujours, amis, si jamais vous oubliez tout ce que je vous ai dit, rappelez-vous que je crois que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il n’est pas mort, mais Il est vivant.

25        Lisons juste un petit passage des Ecritures maintenant et nous allons vous parler pendant les dix ou quinze prochaines minutes, si vous supportez jusque-là. Nous allons commencer à faire passer une bonne longue ligne de prière, nous nous mettrons à prier pour les malades, le Seigneur voulant.

            Maintenant, là dans Saint Jean, chapitre 11, et nous aimerions lire juste une portion de Sa Parole. Commençons au–au verset 18:

Et, comme Béthanie était près de Jérusalem, à quinze stades environ,

Beaucoup de Juifs étaient venus vers Marthe et Marie, pour les consoler de la mort de leur frère.

Lorsque Marthe apprit que Jésus arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison.

Marthe dit à Jésus: Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. (Ecoutez ceci maintenant.)

Mais, maintenant même, je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera.

Jésus lui dit: Ton frère ressuscitera.

Je sais, lui répondit Marthe, qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour.

Jésus lui dit: Je suis la résurrection et... vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ;

Et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?

Elle lui dit: Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui devait venir dans le monde.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole maintenant, alors que nous parlons de la Parole, juste pendant quelques instants. Ensuite, nous prierons pour les mouchoirs et nous commencerons à prier pour les malades.

26        Combien aiment la Parole? Tout le monde... Oh ! Je sais que vous L’aimez. La foi vient de quoi? De ce qu’on entend, et ce qu’on entend de la Parole de Dieu. Il n’y a rien de pareil à Cela, C’est la Semence. C’est la Semence de toute espérance. Et si vous... Voici une autre chose, rappelez-vous toujours que je fais cette déclaration, qu’une bonne attitude mentale envers n’importe quelle promesse divine de Dieu dans cette Bible la fera s’accomplir. Si vous regardez cela correctement et que vous croyez cela, cela s’accomplira.

27        Eh bien, dans notre passage de ce soir, nous trouvons une scène très triste qui se transforme en une victoire très glorieuse, grâce à la Présence du Seigneur Jésus.

            Maintenant, l’histoire nous apprend que Jésus, après, Il avait quitté Sa propre maison, et Il est allé vivre avec Son ami Lazare. Et comme le petit roman Le Prince de la Maison de David, si certains parmi vous les prédicateurs, peut-être, presque tous les prédicateurs ont lu cela. Et ce sont des romans. C’est le livre d’Ingraham. Et il a dit que quand Il est allé rester avec Lazare, parce que son père nourricier, Joseph, était décédé, Il est allé habiter chez Marthe, Marie et Lazare. Et Lazare apprenait pour devenir un scribe au temple. Marthe et Marie faisaient le tricotage, elles faisaient des tapis et autres pour le temple.

            Et puis, Son ministère était devenu si populaire qu’Il était juste... Il a quitté la maison. Et chaque fois qu’Il quitte une maison, les ennuis commencent alors. Souvenez-vous-en donc, amis, vous les chrétiens. Chaque fois que Jésus quitte votre maison, attendez-vous aux ennuis. C’est en route vers chez vous.

            Et dans ce cas-ci, Jésus n’avait pas... Il n’avait pas quitté pour y avoir été obligé, mais c’est Son ministère qui L’avait forcé à partir. Pour notre contexte ce soir, remontons juste un peu, prenons un texte sur Jésus. Dieu, chaque fois, avant de faire quelque chose ici sur terre, Il donne généralement un avertissement avant de faire quoi que ce soit.

            Je crois que ce grand réveil qui parcourt les pays aujourd’hui, même si nous avons beaucoup de choses que nous aimerions ratisser de cela, le fanatisme et des choses qui surgissent au milieu de cela... Mais, malgré tout cela, c’est un avertissement au monde, que le jugement est sur le point de frapper le monde à tout moment. Dieu donne Son dernier appel juste avant la Venue.

28        Rappelez-vous, si vous rejetez la miséricorde, il ne reste que le jugement. C’est tout ce que vous pouvez... Si vous transgressez et que vous franchissez la ligne de démarcation de la miséricorde, il ne reste que le jugement. Alors, Dieu, avant de faire quoi que ce soit sur la terre, Il envoie toujours un avertissement.

            Eh bien, avant la naissance de Jésus, Il avait envoyé un avertissement. Et Il a toujours... Autre chose à garder à l’esprit: Peu importe combien le monde devient formaliste et indifférent, Dieu n’a jamais manqué de témoin sur la terre. Il a toujours eu quelqu’un sur qui Il peut mettre la main et dire: «Celui-ci est Mon serviteur.»

29        Et en ce jour-ci, avant la Venue du Seigneur, l’Eglise s’était éloignée, à peu près comme elle l’a fait aujourd’hui. C’était sous le gouvernement romain. Et les genres à l’ancienne mode avaient pratiquement disparu. Mais on avait quelqu’un qui gardait la foi. Et le nom de cet homme, c’était Zacharie. Et il avait une femme du nom d’Elisabeth. C’était un homme et une femme justes. Ils vivaient ensemble pieusement. Ils servaient le Seigneur de tout leur coeur.

            Elisabeth était stérile. Son mari, sacrificateur au temple, son devoir était de brûler le parfum pendant que le peuple priait. Et un jour, pendant qu’il était là au temple en train de brûler le parfum et que les prières étaient offertes, un homme juste... Remarquez, un homme saint, il craignait Dieu, il avait sa maison en ordre. Pendant qu’il offrait là cette offrande, du parfum, il a regardé à droite de l’autel, et là était Gabriel l’Archange.

            Maintenant, croyez-vous aux anges?

30        Il n’y a pas longtemps, un homme m’a rencontré, il a dit: «Frère Branham, j’ai essayé d’examiner votre ministère, votre enseignement, mais il n’y a qu’une seule chose...» Et c’est un frère du Plein Evangile. Il a dit: «Il n’y a qu’un seul point sur lequel vous commettez une erreur.» Il a dit: «C’est que vous parlez d’un Ange.» Il a dit: «C’est Dieu.»

            J’ai dit... Il a dit: «Il n’y a pas d’anges dans le Nouveau Testament. Les anges étaient dans l’Ancien Testament.» Il a dit: «Daniel avait des anges et autres, qui le suivaient, ainsi que les anciens prophètes et autres. Mais dans le Nouveau Testament, c’est le Saint-Esprit qui règne et conduit l’Eglise.»

            J’ai dit: «Vous avez raison. C’est le Saint-Esprit qui le fait. Mais nous avons toujours des anges qui sont des esprits envoyés de Dieu pour servir.»

            Et il a dit: «Pas dans le Nouveau Testament, Frère Branham.»

            Et j’ai dit: «Si.» J’ai dit: «Qu’en est-il de l’Ange Gabriel avec Marie?»

            Il a dit: «Là, c’était avant la Pentecôte.»

            J’ai dit: «Voulez-vous donc dire après la Pentecôte?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Croyez-vous que Philippe avait le Saint-Esprit?»

            Il a dit: «Bien sûr.»

            J’ai dit: «Qui était celui qui l’avait retiré de ce grand réveil qui était en cours là-bas et qui l’avait envoyé au–au désert, à Gaza, en ce temps-là? Qu’était-ce? Etait-ce le Saint-Esprit ou était-ce l’Ange du Seigneur?» C’était l’Ange du Seigneur.

31        J’ai dit: «Qui douterait que ce grand saint Pierre avait le baptême du Saint-Esprit? Vous croyez cela, n’est-ce pas? Et quand il était en prison cette nuit-là et qu’on allait le décapiter le lendemain matin, et là chez les Jean Marc, on tenait une réunion de prière, qui était entré comme une grande Colonne de Lumière et avait éclairé, et l’avait libéré? Etait-ce le Saint-Esprit? Non, absolument pas. C’était l’Ange du Seigneur.» C’est exact.

            Qui oserait dire que saint Paul n’avait pas le Saint-Esprit? Et là à bord de ce navire, qui était rempli d’eau, quatorze jours et quatorze nuits sans lune ni étoiles, ils n’avaient plus d’espoir d’être sauvés. Et il est descendu dans la cale pour prier, et quand il en est remonté, il a dit: «Prenez courage, car un ange du Dieu que je sers m’est apparu cette nuit, et m’a dit: ‘Paul, ne crains point ; il faut que tu comparaisses devant César, et voici, Dieu t’a donné tous ceux qui naviguent avec toi.’» Il a dit: «C’est pourquoi, ô hommes rassurez-vous. Car j’ai cette confiance en Dieu qu’il en sera comme il m’a été dit.» Amen ! Paul avait le Saint-Esprit.

32        Et regardez, tout le Livre de l’Apocalypse a été écrit, envoyé, un Message par un Ange. «Moi, Jésus, J’ai envoyé Mon ange pour attester ces choses qui doivent s’accomplir bientôt.»

            Eh bien, un vrai ange, vous allez vous en prendre à Joseph Smith et aux autres, à moi. Mais, suivez. Cela ne marche pas avec les Ecritures. Un véritable et réel ange viendra confirmer cette Ecriture à la lettre. Oui, oui.

            Remarquez, Jean s’est prosterné et il voulait adorer cet ange-là. Il a dit: «Garde-toi de le faire, car je suis ton compagnon de service et celui des prophètes, adore Dieu.» Un vrai ange ne se laissera pas adorer. Il n’est pas question d’adorer les anges ; il est question d’un ministère des anges, qui vient de la part de Dieu.

            Or, ces anges mineurs viennent, peut-être, il y a des anges avec nous, ou ils viennent vers votre–votre humble serviteur. Et c’est probablement un ange mineur. Mais quand Gabriel vient, frère, quelque chose est effectivement en route, quelque chose d’important va se passer. Puisse... Gabriel a annoncé la Première Venue du Seigneur Jésus, et Gabriel annoncera la Seconde Venue du Seigneur Jésus. Amen.

33        Là, Zacharie a regardé et le grand archange se tenait là, Gabriel. Et il–il l’a salué et a dit: «Maintenant, après les jours de ton service, a-t-il dit, tu as trouvé grâce aux yeux de Dieu ; tu rentreras chez toi rester avec ta femme Elisabeth, et elle va concevoir et enfanter un fils.»

            «Eh bien, a-t-il dit, ces choses ne peuvent pas se faire. Je suis vieux.» Et il lui a annoncé qu’il deviendrait muet jusqu’à la naissance de l’enfant et qu’on l’appellerait Jean.»

            Voyez, peu importe ce que l’homme pense, Dieu a un programme, et celui-ci va être exécuté. Peu importe: «De ces pierres Dieu peut, a dit Jean, susciter des enfants à Abraham.»

            Vous connaissez donc la suite de l’histoire. Les gens se demandaient pourquoi il traînait tant. Et peu après, il est sorti, et il était muet. Il leur a fait signe, leur demandant de partir. Et il est rentré chez lui. Et sa femme a conçu, elle s’est cachée pendant six mois.

            Et au même moment, il y avait une petite vierge qui habitait dans la ville de Nazareth, la ville la plus perverse du pays, de loin pire que Macon. Et elle habitait là. Peu importe combien une ville est mauvaise, peu vous importe combien les membres de votre communauté sont viles, combien c’est méchant, vous pouvez mener la vie chrétienne, il n’y a pas d’excuse pour cela. Et là, sur toutes les femmes du monde, Dieu a choisi une petite dame, une petite vierge, dans la ville la plus perverse qu’il y avait dans le pays.

34        Présentons ici une saynète pour les enfants, beaucoup d’entre eux regardent et écoutent.

            Je peux voir Marie, d’après les habitudes de l’Orient, peut-être qu’on est lundi matin ; c’est un mauvais temps pour–pour les femmes, c’est le jour de la lessive. Ou c’est le cas chez nous donc. Je peux voir Marie descendre à la fontaine des vierges pour puiser de l’eau. Elle met la cruche sur la tête, à la manière des Orientaux, ou soit sur ses épaules. Elle marche le long du sentier. Et tout d’un coup, une grande Lumière apparaît sur le sentier, elle regarde dans cette Lumière et là se trouve le puissant archange, Gabriel.

            Il a dit: «Je te salue, Marie.»

            Eh bien, cela a frappé la petite vierge. Cela vous frapperait. Je sais comment je m’étais senti la première fois que j’avais vu l’Ange qui me parle. Eh bien, vous... Ils disent: «Pourquoi ne Lui demandez-vous pas Son Nom?» Vous–vous ne demandez rien ; vous ne faites qu’écouter.

            Il a donc dit: «Je te salue. Tu es bénie entre les femmes, car tu as trouvé grâce aux yeux de Dieu.» Oh ! la la ! Quelle salutation ! Et il a dit: «Eh bien, voici, Elisabeth, ta parente... (En fait, c’était une cousine à Marie ; Jean et Jésus étaient des cousins germains.) Il a dit: «Elle est à son sixième mois de grossesse, elle qui était taxée de stérile. Mais tu vas avoir un Enfant, sans avoir connu un homme.»

            Elle a dit: «Comment cela se peut-il?»

            Il a dit: «Le Saint-Esprit te couvrira de Son ombre. Et le Saint Enfant qui naîtra de toi sera appelé le Fils de Dieu.»

35        Eh bien, j’aimerais que vous remarquiez la différence. Il y avait là un vieux prédicateur qui avait beaucoup d’exemples, dont Sara qui avait eu un enfant alors qu’elle était plus âgée que sa femme. Anne, au temple, priait de telle manière que le sacrificateur avait pensé qu’elle était ivre. Beaucoup parmi le peuple de Dieu sont mal compris. Ils ne sont pas fous. Ils sont simplement mal compris. Et elle priait que Dieu la débarrasse de l’opprobre. Zacharie avait cela comme exemples. Mais il douta.

            Regardez cet homme-là, il servait le Seigneur, un homme de bien, mais cependant, il douta du surnaturel, lui un prédicateur. Mais la petite vierge, elle ne douta de rien, jamais, et elle avait beaucoup plus à croire par rapport à ce que lui avait à croire. Il n’y avait jamais eu d’enfant né d’une vierge. Mais elle a dit: «Voici la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon Ta Parole.»

36        Ce dont nous avons besoin ici à Macon et dans tous les autres Etats ce soir, c’est davantage de Marie. Elle n’a pas attendu de sentir la vie. Elle n’a pas attendu de sentir quoi que ce soit. Elle n’a pas attendu d’en être sûre. Elle a pris Dieu au Mot et s’est mise à s’En réjouir. C’est–c’est comme ça. N’attendez pas que vous puissiez dire: «Eh bien, si je... ma main se redresse, je me sentirai mieux.»

            Considérez ces gens ici, quand je leur imposais la main l’autre soir, ils sont simplement restés là quelques minutes, regardant leurs mains. Tout d’un coup, vous savez, le Saint-Esprit a commencé à se mouvoir, et ces vieux os tordus ont commencé à se relâcher, et ils ont parcouru l’estrade, ils ont tournoyé, se réjouissant dans le Seigneur. Amen.

            Ne pensez pas que vous avez à sentir quelque chose, voir quelque chose ; prenez Dieu au Mot et mettez-vous à vous réjouir. Je peux la voir aller ici et là, disant: «Gloire à Dieu, je vais avoir un Enfant sans avoir connu un homme.»

            «Eh bien, disait-on, cette jeune fille est folle.» Mais elle avait pris Dieu au Mot. Elle avait eu une vision. Elle savait que c’était la Vérité. C’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui, quelqu’un qui prendra Dieu au Mot.

37        Sur son chemin, elle a entendu parler de ceci, qu’Elisabeth, sa cousine, allait avoir un enfant. Elle a donc vite gravi la région montagneuse de Judée pour lui rendre visite. C’était alors un grand honneur d’avoir un enfant. Aujourd’hui, c’est pratiquement une disgrâce.

            Je n’engueule pas les gens. Je ne prêche pas avec des notes. Je ne sais pas ce que je vais dire. Juste ce... Je dois simplement tendre la main et prendre cela. Et quand cela vient, je dois simplement le dire. Je–je... C’est tout ce que je sais faire.

            Mais aujourd’hui, c’est pratiquement un déshonneur de voir encore une grande famille. Oui, oui. On préférerait payer cent dollars pour un petit chien au nez couvert de morve et le trimbaler, lui accorder l’amour maternel, pratiquer le contrôle de naissance plutôt que d’avoir des enfants. On pense que c’est vieillot, on va... trainaillant dans des bars, boire, jouer aux cartes, rouler tout l’après-midi dans le véhicule de votre mari. Eh bien, c’est une disgrâce. C’est vrai. Le plus grand honneur qu’une femme puisse avoir, en dehors du fait de venir à Christ et d’être loyale à son mari, c’est d’avoir un enfant. Amen ! Vous allaitez peut-être un petit prédicateur, comment le savez-vous? Alléluia ! Je sais que c’est le genre de pain de maïs à l’ancienne mode, mais, frère, cela vous collera aux côtes. Cela se fera à votre mort. Ça se fera assurément.

38        Ensuite, je peux la voir. Elle monte en courant pour saluer sa cousine. Et alors, quand elle a atteint la partie montagneuse de Judée, elle s’en est approchée. Eh bien, Elisabeth s’était cachée pendant six mois comme elle attendait famille. Et le petit enfant n’avait point bougé. Il était mort dans le sein de sa mère.

            Vous savez, c’est anormal à six mois. A deux ou trois mois, il y a la vie. Mais elle s’était cachée, elle ne voulait pas se faire voir. Et quand elle a vu la vierge Marie venir, elle a couru l’embrasser, elle l’a étreinte et l’a baisée. J’aime voir des femmes se rencontrer comme cela. J’aime voir des hommes se rencontrer et se saluer.

            Vous savez, on en est arrivé aujourd’hui à ne pas avoir communion parmi les gens. C’est vrai. Les hommes s’avancent et disent... juste une toute petite poignée de main drôle et froide. J’aime ce genre de très forte poignée de main vigoureuse. On la rapproche ici, comme cela, il y avait de l’émotion. C’est bien. J’aime l’ancienne mode.

39        Il n’y a pas longtemps, j’étais ici en Floride dans une réunion. Il y avait une espèce de duchesse, ou quelque chose comme ça là, je pense qu’il a appelé cela, une espèce de femme: Duchesse? Ou elle avait cédé une concession là. Et là derrière la tente, le docteur Bosworth a dit–a dit: «Frère Branham, la duchesse aimerait vous voir là derrière.»

            J’ai dit: «La qui?»

            Il a dit: «La duchesse.»

            J’ai dit: «Eh bien, qui est-elle?»

            Il a dit: «Eh bien, c’est une grande dame ici.»

            J’ai dit: «Il y a aussi beaucoup de malades là dehors.» J’ai dit: «Elle n’est pas plus que ces gens malades. Si je vais voir qui que ce soit, permettez-moi de voir quelques malades là dehors.»

            Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, vous voyez, c’est une grande dame.»

            Eh bien, on l’a fait venir, l’organisateur et les autres l’ont placée sur la route, et quand je suis passé derrière... Je ne fais pas de commentaire sur cette femme, je n’en ai pas l’intention. Mais pour comprendre ce que je veux dire. Une femme énorme se tenait là avec assez de bijoux pour envoyer cinquante prédicateurs outre-mer, et une main très potelée. Elle avait une paire de lunettes, dressée comme ceci sur un bâton. Et quand elle s’est présentée comme cela, elle a regardé par-dessus ce bâton et a dit: «Est-ce vous docteur Branham?»

            J’ai dit: «Non, madame.»

            Et elle a dit: «Eh bien, docteur Branham, a-t-elle dit, enchantée de faire votre connaissance.» Et elle a levé les mains comme ça, faisant simplement parade, c’est tout. Elle a soulevé sa grosse main potelée comme ça ; elle a dit: «Enchantée de faire votre connaissance.»

40        J’ai saisi sa main, j’ai dit: «Eh bien, abaissez-la ici, afin que je vous reconnaisse lorsque je vous reverrai.» Je n’aime pas ce montage, chercher à se faire passer pour quelque chose alors qu’on n’est rien. Après tout, qu’est-ce que vous êtes? Que vous soyez duchesse, ou je ne sais quoi vous êtes, vous êtes un mètre quatre-vingt-deux de poussière de terre. Si vous n’êtes pas né de l’Esprit de Dieu, vous êtes en route vers l’enfer aussi certainement qu’un martinet se dirige vers son nid ; peu importe qui vous êtes. Vous êtes le président ou un roi, ou je ne sais quoi vous pouvez être, vous êtes tous un mètre quatre-vingt-deux de poussière de terre. Vous retournez droit vers là. Vous mettez un tas d’histoires alors que vous n’êtes rien. C’est vrai. Elle avait l’air d’être moulée dans les habits, et il n’y en avait pas assez pour entrer dans une boîte d’aspirine, boucher un fusil ; elle se tenait là, regardant comme cela, comme si elle était quelqu’un. Ça ne veut rien dire. Juste un peu de temps ici sur terre, et vous devez vous coucher et l’abandonner complètement. Oui, oui. Une duchesse? Porter quelque chose comme cela?

41        Les gens ne savent même pas... Autrefois, il y a longtemps, nous sortions, et... si un voisin, quand nous étions dans la ferme, et–et que quelqu’un tombait malade, nous allions couper le maïs, couper du bois et le ramener. Et de nos jours, eh bien, vous ne savez même pas que votre voisin est mort, à moins de le lire dans un journal. Il y a quelque chose qui cloche. L’amour fraternel a cessé.

            C’est horrible. Tenez, l’autre jour, je descendais en ville avec madame. Il y avait une femme qui avait dit: «Salut, soeur Branham.»

            J’ai regardé Meda, j’ai dit: «Eh bien, tu n’as pas parlé à cette femme-là.»

            Elle a dit: «Si, je lui ai parlé.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, je ne t’ai pas entendue.»

            Elle a dit: «J’ai souri.»

            J’ai dit: «Oh ! Ce petit sourire sans émotion, ai-je dit, ce n’est pas cela parler à quelqu’un. Va là dans la rue, serre-lui la main, et dis: ‘Salut, soeur ; je suis contente de vous rencontrer.’» Amen !

            Frère, c’est ce que... Revenez à la vieille ligne de démarcation une fois de plus, là où les hommes sont... les chrétiens sont chrétiens, des hommes et des femmes vivent comme ils le devraient. Amen.

42        Je peux voir Marthe sortir précipitamment là, ou plutôt je veux dire, ou–ou–ou, je vous demande pardon, je veux dire Elisabeth. Elle sort en courant à la rencontre de Marie, l’embrasse et dit: «Chérie, je suis très contente de te voir. Oh ! la la ! a-t-elle dit, je suis très heureuse, je ne t’ai pas vue ça fait longtemps.»

            Et je peux entendre Marie dire: «Eh bien, alors, Elisabeth, je suis très contente de te voir, chérie. Et je pense beaucoup à toi. Et je vois que tu es enceinte.»

            Elle a dit: «Oui, je–je suis enceinte. C’est vrai, Marie.» Elle a dit: «J’ai eu du plaisir avec mon seigneur.» Elle a dit: «Je vais avoir un enfant. Mais, a-t-elle dit, Marie, je suis inquiète. Le petit enfant a six mois et il n’a point bougé, cependant le petit enfant est mort.»

            Eh bien, vous savez, Marie a dit: «Sais-tu comment je l’ai su? Je revenais de la pompe un jour, là-bas, et j’ai rencontré l’archange Gabriel, le même qui avait rencontré–avait rencontré ton mari. Et il m’a dit que j’allais avoir un Enfant sans avoir connu un homme. Et il a dit que je Lui donnerais le Nom de Jésus.»

            Et la toute première fois que ce Nom-là, Jésus, a donc été prononcé par des lèvres humaines, ce petit enfant mort a tressailli de joie dans le sein de la mère, comme cela, il s’est mis... et il a alors reçu le baptême du Saint-Esprit.

43        Elle a dit: «Qu’est-ce qui fait que la mère de mon Seigneur... Car aussitôt que ta salutation a frappé mes oreilles, eh bien, mon enfant a tressailli de joie dans mon sein.»

            Et si ce Nom, Jésus, a pu faire qu’un enfant mort dans le sein de sa mère tressaille de joie la première fois qu’Il a été prononcé par les lèvres humaines, qu’est-ce que Cela devrait faire à un chrétien né de nouveau, ou à un homme ou une femme qui croit et qui Le sert? Amen.

            Il a tressailli de joie dans le ventre. Alors, le Saint-Esprit est venu sur Elisabeth, et elle s’est mise à prophétiser. Oh ! C’est ça la religion à l’ancienne mode. C’est comme ça que ça marche dans le surnaturel.

            Quel genre d’enfant ça allait être?

            Quand le petit Jean est né, eh bien, il n’est jamais parti à un séminaire pour décrocher un diplôme de licencié en lettres. Mais il est allé dans le désert, pensait-on à l’âge de neuf ans, et il y est resté avec Dieu. C’est ainsi qu’il faut s’y prendre pour avoir un diplôme, là avec Dieu. Et il est resté là jusqu’à l’âge de trente ans.

44        Et à l’époque, Jean-Baptiste sortit du désert de Judée, prêchant, disant: «Le Royaume des Cieux est proche.» Et il a secoué toutes les régions avoisinantes de Jérusalem, de Judée et de Samarie. De grandes foules affluaient. Oh ! la la ! Nous nous posons des questions. Eh bien, c’est le genre de baptistes dont nous avons besoin aujourd’hui, mes frères baptistes. Nous avons besoin d’un baptiste comme cela.

            Eh bien, eh bien, le vieux Hérode est venu, et je peux entendre quelqu’un dire: «Eh bien, ne prêche pas sur le mariage et le divorce ce soir.» Pouvez-vous vous rappeler... Vous imaginez-vous un homme plein de Saint-Esprit retenir quoi que ce soit? Il s’est avancé droit en face de lui et a dit: «Il ne t’est pas permis de l’avoir.» Oui, oui, frère.

            Il avait le Saint-Esprit, et il prêchait le Saint-Esprit. Et toutes les régions avoisinantes étaient secouées. Ecoutez. Prêcher l’Evangile de Jésus-Christ même dans sa simplicité, c’est le Message le plus puissant qui ait jamais été prêché, ou qui soit jamais apporté: L’Evangile du Seigneur Jésus-Christ. Et là, il a secoué les régions avoisinantes.

45        Puis, Lazare est descendu avec Jésus. Et quand on se disputait là, Jean sur un rivage du fleuve, et un sacrificateur sur l’autre rivage, celui-ci a dit: «Veux-tu dire qu’un temps arrivera...»

            Il a dit: «Il arrivera un temps où le sacrifice perpétuel sera retiré. Un Homme mourra pour les péchés des gens.»

            Et ils diront: «Ô Rabbi, tu ne sais pas de quoi tu parles, Jean.»

            Jean a dit: «Il y a...» Et il a promené le regard, et il a dit: «Voici venir l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. Voici veut dire: considérer, ou regarder. Il a dit, là, comment il L’avait reconnu, il a dit: «Celui qui m’a parlé dans le désert m’a dit: Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et s’arrêter, c’est Celui-là qui baptise du Saint-Esprit.» Il y avait un signe qui suivait le Messie. Il y a un signe qui suit toujours le Messie, le peuple du Messie. «Les signes et les prodiges, a dit Jésus, les suivront jusqu’à la fin du monde.» Il sera avec eux, même en eux jusqu’à la fin du monde.

            Il a dit: «Voici venir l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde.» Et Lazare a failli s’évanouir, je suppose.

            Jésus, après qu’Il fut baptisé, alla au désert et resta là quarante jours, tenté par le diable. Et quand Il sortit du désert... Oh ! la la ! J’ai regardé à cette horloge-là, et cela m’a ruiné maintenant, il se fait si tard. Juste une minute maintenant, car nous terminons.

46        Ecoutez. Quand Il sortit du désert, Il sortit en prêchant, accomplissant des signes et des prodiges ; Son ministère devint si puissant qu’Il quitta la maison, ou je pense que Dieu Lui avait donné une vision pour quitter. Ça s’est avéré que Dieu Lui avait donné une vision.

            Quand Lazare tomba malade, Il s’en alla. On envoya Le chercher, Il continua à s’en aller. On envoya encore Le chercher ; Il continua à partir. Si votre pasteur faisait cela, vous ne reviendriez plus jamais dans cette église-là. C’est la raison pour laquelle le pasteur ne peut rien faire pour vous. Vous devez croire qu’il est un homme de Dieu.

            Il continuait donc de plus en plus. Peu après, Il a su que le temps du Père était arrivé, pour qu’Il accomplisse la vision, Il a dit: «Lazare est mort, et maintenant, à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là.»

47        Il est donc rentré. Et ils avaient eu... Lazare était tombé malade. Ils avaient été enseignés juste un peu... Je ne sais pas si c’est la vérité ou pas, mais il était mort d’hémorragie. Peut-être que le médecin était venu, qu’il avait fait tout son possible. Ils avaient envoyé chercher Jésus ; Il n’était pas venu. Et l’homme avait été abandonné, il est allé et il est mort. L’heure sombre. Ils l’ont fait sortir, ils ont embaumé son corps, ils l’ont mis dans un caveau sous terre, ils ont mis une pierre contre cela (C’est le genre d’ensevelissement en Orient), puis, quand on l’a déposé là, le premier jour est passé, le deuxième, le troisième, le quatrième jour, alors les vers du corps y grouillaient. Le corps humain, la première chose qui s’affaisse, c’est le nez. Et peu après, cela commence à dépérir et à pourrir, et les vers du corps, les insectes et autres, grouillent, ça ronge le corps humain. Quatre jours, cela puait déjà. Après soixante-douze heures, la corruption s’installe.

            Il n’y avait alors plus d’espoir. Marthe et Marie étaient là, elles avaient quitté leur église, elles avaient renoncé à tout ce qu’elles avaient. Leur frère était là, mort. L’Homme en Qui elles avaient placé leur confiance, comme étant le grand Homme qui allait çà et là et faisait des miracles, Il les avait quittés et s’en était allé. Il n’était pas venu quand on L’avait envoyé chercher pour prier pour leur frère. A l’heure la plus sombre que cette petite famille ait jamais connue... Et généralement, c’est à l’heure la plus sombre que Jésus vient.

48        A l’heure la plus sombre que j’aie jamais vue, quand un médecin m’avait dit que je n’avais que trois minutes à vivre, alors Jésus vint. Oui. A l’heure la plus sombre, peut-être, que vous ayez jamais connue, puis Jésus vient. Ceci peut être l’heure la plus sombre pour vous assis là dans ces fauteuils roulants, comme c’est la fin de la réunion. Les espoirs que vous aviez d’être guéris, après avoir vu ces autres estropiés et tout marcher. Peut-être que vous vous dites: «Je pense qu’il n’y a plus d’espoir pour moi.» L’heure la plus sombre, mais ne vous en faites pas, Il sera là. Continuez simplement–continuez simplement à garder la foi en Lui. Il sera là. Il ne fait jamais défaut. Il sera bien là.

            Quelqu’un est venu et a dit: «Jésus vient dans la ville.»

            Oh ! la la ! Je ne peux pas m’imaginer... ces critiqueurs ont dit: «Eh bien, où est allé ce saint exalté?» Voyez, quand Son ami tombe malade, eh bien, Lui s’en va. Il n’est donc plus ici maintenant. Mais quand on a dit: «Voici, Il rentre discrètement dans la ville maintenant après que le jeune homme est déjà mort, enseveli ; voici, Il revient dans la ville.»

            Mais la petite Marthe qui, d’habitude, traînait un peu sur beaucoup de choses, mais elle avait une foi inébranlable. Quand elle a donc vu Jésus, qu’elle a su qu’Il venait, elle est directement sortie en courant, elle a dépassé les critiqueurs, elle est allée jusque là où Il était.

            Eh bien, on dirait qu’elle avait là le droit de le réprimander, du fait que–qu’elle avait... elle Le réprimanderait, disant: «Pourquoi n’es-Tu pas venu vers mon frère? Nous avons quitté notre église. Nous avons abandonné notre religion. Nous avons tout fait pour Toi.»

49        Si elle L’avait rencontré dans cet–cet état-là, ce miracle-là n’aurait jamais eu lieu. C’est votre... C’est l’approche que vous avez du don de Dieu qui détermine ce que vous allez en retirer. Voyez? L’approche que vous en avez.

            Mais Marthe, quand elle est venue auprès de Lui, elle s’est prosternée à Ses pieds. Elle a dit: «Seigneur...» C’est exactement ce qu’Il était. Elle Lui a accordé Son vrai titre. Eh bien, observez la foi se mettre à l’oeuvre.

            Je crois que Marie... Marthe avait lu l’histoire de la femme sunamite, quand son enfant était mort, elle savait que Dieu était en Elie.

50        Elie était l’homme de Dieu de l’heure pour la nation. Et elle savait que Dieu était en Elie. Alors, elle a demandé à son serviteur de seller un âne et de conduire jusqu’à ce qu’elle arrive auprès d’Elie pour découvrir pourquoi son enfant était mort. Et vous connaissez l’histoire, comment Elie est venu et a ressuscité l’enfant pour elle.

            Eh bien, Marthe a peut-être pensé: «Eh bien, si Dieu avait été dans Elie le prophète, certainement qu’Il est dans Son Fils.» Amen ! «Eh bien, a-t-elle dit, maintenant, si seulement je peux arriver auprès de Lui, je peux découvrir la raison.» Elle est donc allée auprès de Lui avec révérence. Peu importe ce qu’Il avait fait, quelle erreur ça paraissait être, elle est allée auprès de Lui avec révérence, s’est prosternée devant Lui et a dit: «Seigneur...» C’est ce qu’Il affirmait être, le Seigneur. Elle a dit: «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.»

            Elle n’avait pas perdu confiance. «Si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant même, quand bien même il est mort, que les vers du corps sont en train de le ronger, mais maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» J’aime ça.

51        Peut-être que vous avez pêché à la seine dans chaque hôpital de la ville. Peut-être que chaque médecin vous a abandonné. «Mais maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»

            Peut-être on dit: «Vous ne vous lèverez jamais de ce fauteuil roulant.» «Mais maintenant même, Seigneur», pas le matin, pas d’ici peu, «mais maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Il est à la droite de la Majesté Divine, intercédant sur base de notre confession. Il a dit: «Quand vous priez, croyez que vous recevez ce que vous avez demandé et cela vous sera accordé.»

            «Maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»

            Oh ! la la ! Cela a remué Son coeur. Il a levé les yeux vers elle, Il a dit: «Ton frère ressuscitera.» Amen !

            Elle a dit: «Oui, Seigneur. Je crois qu’il ressuscitera. C’était un bon garçon.» Ils croyaient dans la résurrection générale, ces Juifs-là. «Je sais qu’il ressuscitera lors de la résurrection des derniers jours.»

            Ecoutez-Le. Il n’était pas beau à voir, Il était un tout petit Homme rabougri, Il n’avait pas de beauté pour attirer le regard.

52        Et je peux Le voir redresser Ses petites épaules, Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort ; et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?»

            Elle a dit: «Oui, Seigneur. Je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.» Quelque chose doit arriver. Frère, ces pensées se consolident. Là, la foi a trouvé la... a trouvé sa trajectoire juste dans cet Homme-là, la Ressource. Le Dieu du Ciel était là, voilé dans la chair. Là était cette femme avec la foi parfaite en Lui. Alors, les roues tournent ensemble. «Je sais que tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu l’accordera.»

            Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort ; et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Toi... Crois-tu cela?»

            Elle a dit: «Oui, Seigneur, je crois que Tu es le Christ, le Fils de Dieu (Ce que Tu confesses être) qui devait venir dans le monde.»

            Il a dit: «Où l’avez-vous mis?» Amen !

            Frère, quelque chose doit se passer quand le croyant entre en contact avec son Créateur. Quelque chose se passe. Amen ! Quelque chose doit se passer. Le voilà se diriger vers la tombe. Il s’est mis à pleurer alors qu’Il y allait.

53        Avec tout le respect dû à ce... Il y a quelque temps, une femme me parlait, elle a dit: «Révérend Branham, vous vantez trop Jésus.» Eh bien, c’était une femme de la Science Chrétienne. Et eux ne croient pas que le Sang de Jésus-Christ... Ils L’acceptent juste comme un prophète, pas comme Dieu.

            Et j’ai dit: «Je crois qu’Il était Dieu.»

            Elle a dit: «Oh ! Vous Le vantez trop !»

            J’ai dit: «Comment puis-je trop Le vanter?»

            Elle a dit: «Vous faites de Lui Dieu. Vous faites de Lui Dieu.»

            J’ai dit: «Il était Dieu.» Amen ! Dieu était manifesté dans la chair. Il était Emmanuel. J’ai dit: «Soit Il était le Dieu Tout-Puissant voilé dans un corps appelé Son Fils, le Seigneur Jésus, soit Il était le plus grand séducteur que le monde ait jamais connu.» J’ai dit: «Il était Dieu.»

            Elle a dit: «Non, non, non. Il n’était pas Dieu.»

            J’ai dit: «Il était Dieu.»

            Elle a dit: «Je vais vous prouver par les Ecritures qu’Il n’était pas Dieu.»

            J’ai dit: «Si vous arrivez à le faire par les Ecritures, je vous croirai.»

            Et elle a dit: «Je vais vous montrer pourquoi Il n’est pas Dieu.» Elle a dit: «Dans Saint Jean, chapitre 11, quand Il se dirigeait vers la tombe de Lazare, Il pleura.» Et elle a dit: «Une personne divine ne peut pas pleurer ; en effet, Il ne peut pas. Il n’était pas Dieu. Il pleurait en allant à la tombe de Lazare. Qu’en est-il de ça?»

            J’ai dit: «Femme, votre argument est plus mince qu’un bouillon fait à base de l’ombre d’une poule qui a crevé de faim.» J’ai dit: «Ça n’a pas de fondement pour subsister là.» J’ai dit: «Il a certes pleuré. Je l’accepterai. Il a pleuré quand Il se dirigeait vers la tombe. Mais quand Il a redressé Son petit corps là et qu’Il a dit: ‘Lazare, sors’, et qu’un homme mort depuis quatre jours et quatre nuits est revenu à la vie, la corruption avait reconnu son Maître, et un être immortel, une âme qui avait effectué un voyage de quatre jours, quelque part, avait reconnu son Maître et était revenue. Un homme s’est tenu sur ses pieds et a encore vécu.» Amen !

            Il était un Homme quand Il pleurait, mais Il était Dieu quand Il a ressuscité le mort. Amen ! Dieu était dans Son Fils, réconciliant le monde avec Lui-même. Oui, oui.

54        Il était un Homme quand Il descendait la montagne cette nuit-là, affamé. Il n’avait rien à manger. Il a contourné ce figuier-là, cherchant quoi manger là. C’était un Homme quand Il avait faim. Mais quand Il prit cinq petits pains et deux poissons et qu’Il nourrit cinq mille personnes, C’était Dieu parlant par Son Fils. Amen. Il était alors plus qu’un homme. C’est vrai.

            Il était un Homme quand Il était... Il guérissait toute la journée et que la vertu sortait de Lui, Il avait prêché, Il avait prié pour les malades. Il était couché à bord d’une petite barque cette nuit-là, et dix mille démons de la mer juraient de Le noyer. Et cette petite barque-là dans la tempête était agitée de part et d’autre comme un bouchon d’une bouteille...

            C’était un Homme qui était couché sur la poupe de la barque, endormi, si fatigué et épuisé que même ni le vent ni les vagues ne L’ont réveillé. Les portes étaient fracassées, le mât était tombé, le voile était parti ; et Il était toujours endormi. Il était un Homme pendant qu’Il dormait. Mais quand Il s’est avancé et qu’Il a mis Son pied sur le bastingage de la barque, qu’Il a levé les yeux et a dit: «Silence, tais-toi», C’était plus qu’un homme qui parlait là. C’était Dieu parlant par Son Fils. Il était le Divin Fils de Dieu. Amen.

            Il était un Homme au Calvaire quand Il implorait la miséricorde. C’est vrai. Il était un Homme quand Il criait: «Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné?» Mais quand Il ressuscita le matin de Pâques, ayant brisé le sceau de la tombe, le séjour des morts et la mort étant détruits, Il a prouvé qu’Il était le Fils de Dieu. Amen. «Crois-tu cela?»

Vivant, Il m’aima ; mourant, Il me sauva ;
Enseveli, Il emporta mes péchés au loin ;
Ressuscitant, Il me justifia librement pour toujours ;
Un jour, Il va venir, oh ! quel jour glorieux !

            Amen. Oui, oui. C’était le même qui était avec les enfants hébreux dans la fournaise ardente. «Crois-tu cela?» Je crois que ce même Jésus qui ressuscita Lazare est ici ce soir. «Crois-tu cela?»

55        Je crois que le même Jésus qui ressuscita d’entre les morts est ici même maintenant. «Crois-tu cela?» Je crois que le même qui était avec Daniel dans la fosse aux lions est ici ce soir. «Crois-tu cela?» Je crois que Celui qui avait touché la femme, ou plutôt dont la femme avait touché le bord du vêtement, et Il l’a guérie, est ici ce soir. «Crois-tu cela?» Je crois qu’Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» «Crois-tu cela?»

            Je crois qu’Il a dit: «Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez et cela vous sera accordé.» «Crois-tu cela?» Amen !

            Je crois qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Sa paix éternelle, le même Saint-Esprit qui est descendu le jour de la Pentecôte est ici ce soir. «Crois-tu cela?»

            Je crois que c’est Lui qui a été avec nous cette semaine, pour faire marcher les paralytiques, faire entendre les sourds, faire voir les aveugles, guérir les malades et les affligés, accomplir les signes et les prodiges. Il est le Christ ressuscité. «Crois-tu cela?»

            Je crois qu’Il restera toujours le même Christ. Je crois qu’Il est ici ce soir pour guérir les malades, sauver les perdus, et nous amener un jour au Ciel. «Crois-tu cela?» Il est ici.

56        Prions. Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus, Ton Fils bien-aimé, Seigneur, nous croyons cette ancienne histoire avec tout ce qui est en nous. Nos coeurs, nos âmes, notre corps croient cette histoire, que Tu es le Fils de Dieu, le Ressuscité. Les âges peuvent s’écouler ; les sceptiques peuvent se lever ; les démons peuvent combattre. Ils peuvent posséder des gens. Mais cependant, Tu resteras Dieu dans les âges sans fin. Tu resteras toujours Dieu. Maintenant, je Te prie, ô Dieu, de sauver chaque personne perdue ici ce soir. Guéris tous les malades qui sont ici ce soir. Ramène les rétrogrades, Seigneur, à l’Eglise du Dieu vivant. Accorde-le, Seigneur, pour la gloire de Dieu. Nous le demandons au Nom de Christ.

            Avec nos têtes inclinées, je me demande, ici dans cette vaste assistance maintenant même, avant que nous commencions la ligne de prière: Y a-t-il ici un pécheur, qui a vu les grandes oeuvres de Dieu cette semaine, qui est ici ce soir et qui est en dehors de Dieu... Mes amis chrétiens, priez comme vous n’avez jamais prié auparavant. Et si vous êtes ici ce soir, pécheur, voudriez-vous lever les mains vers le Dieu Tout-Puissant pour dire: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi un pécheur»? Voudriez-vous lever la main? Que Dieu vous bénisse partout. C’est bien. Levez la main partout. Juste des vingtaines de personnes ont levé leurs mains, partout.

            Je pense à la vieille aveugle Fanny Crosby. Elle a dit:

Ne m’oublie pas, ô Doux Sauveur ;
Ecoute mon humble cri ;
Pendant que Tu appelles les autres,
Ne m’oublie pas.

Toi la Fontaine de tout mon réconfort,
Plus que vie pour moi,
Qui d’autre ai-je sur terre à part Toi?
Qui au Ciel sinon Toi?

57        Chaque homme ou chaque femme qui ait jamais abouti à quoi que ce soit, dans ce monde, ça a été des hommes et des femmes qui ont fait confiance en Dieu et qui ont cru que Jésus était le Fils de Dieu. Ils ont cru cette ancienne histoire de l’Evangile.

            Je peux voir Eddie Perronet là, alors qu’il était persécuté par des hommes. Il n’arrivait à vendre sa musique à personne. Personne ne voulait de lui. Un jour, dans son bureau, après avoir été persécuté et chassé, il a pris le stylo, le Saint-Esprit s’est emparé de son stylo ; alors, il a composé le cantique inaugural de la Seconde Venue de Jésus. Quand il a dit:

Que tous acclament la puissance du Nom de Jésus !
Que les anges se prosternent ;
Apportez le diadème royal,
Et couronnez-Le Roi de tous.

            Un autre a écrit. Oh ! la la ! Que de grands poètes, auteurs, prophètes et ministres avons-nous vus au cours de l’âge ! Que Dieu ait pitié ! Y a-t-il ici quelqu’un qui n’a pas le Saint-Esprit ce soir, qui mène une vie à moitié, et qui aimerait recevoir le baptême du Saint-Esprit? Voudriez-vous lever la main, non pas vers votre frère, mais vers votre Créateur? Dites: «Souviens-Toi de moi, ô Dieu. Sois miséricordieux.»

            Rappelez-vous, il y a un ange qui enregistre chaque main. Il sait exactement qui vous êtes. Que moi, je vous voie ou pas, que votre voisin vous voie ou pas, nous ne demandons pas que votre voisin voie. Je demande que vous regardiez à Dieu, l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde.

58        Notre Père céleste, Tu vois certes des mains se lever. Et, Seigneur, à la fin de ce service de guérison, que chacun d’eux s’avance, Seigneur, qu’il se tienne à l’autel à l’ancienne mode ici et prie. Beaucoup de ces jeunes gens et jeunes filles, là dans l’assistance, ont levé la main. Peut-être, une vieille mère et un vieux papa sont déjà partis depuis des années. Leurs prières sont encore sur l’autel de Dieu, et les anges de Dieu sont rassemblés ici ce soir pour exaucer la prière de cette mère-là.

            Ô Dieu, accorde qu’ils reçoivent Jésus ce soir comme Sauveur. S’il y a un membre d’église tiède ici, Seigneur, qui ne fait que fréquenter l’église, mais qui ne sait pas ce que représente naître de nouveau, qui n’a jamais reçu le Saint-Esprit, comme Paul a dit à ceux qui étaient là dans Actes chapitre 19, il leur a demandé: «Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?»

            Ô Dieu, accorde ce soir que le Saint-Esprit se déverse sur eux et qu’ils rentrent dans leur église, enflammés pour Dieu. Accorde-le, Seigneur. Suscite un réveil à l’ancienne mode, qu’il se déclenche de ceci, Seigneur, dans chaque église dans le pays. Nous savons que Tu viens bientôt. Demain, Seigneur, nous serons en route, pour outre-mer, on connaîtra des temps de tempête, là où Tu nous as ordonné: «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création.» ...

59        Ô Dieu miséricordieux, envoie Ta grâce à ceux-ci ce soir. Il y en a beaucoup assis ici que nous ne reverrons plus jamais après ce soir: dans une assistance de beaucoup de gens, des milliers assemblés ici, certains d’entre eux sont vieux et juste sur le point de traverser la ligne. Alors, Seigneur Dieu, je sais, d’après la nature, qu’il y en a beaucoup ici qui ne me verront plus jamais. Et je ne les verrai plus jusqu’à ce que nous nous rencontrions au tribunal de Christ.

            Ô Dieu, j’aimerais laisser ce témoignage, que j’ai dit la Vérité. Je leur donne l’invitation à venir à Toi. Et, Père, tout le monde, sauve-les. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

            Oh ! la la ! Après un appel à l’autel comme celui-ci, à l’ancienne mode, vous avez bien l’impression d’être tout purs, récurés, n’est-ce pas? Oh ! C’est merveilleux ! Oh ! C’est magnifique ! Quel temps dont se souvenir du réveil à venir, se souvenir de ce genre de réunions où vous avez été sauvé, quand il y avait une de ces réunions en cours: une réunion à l’ancienne mode, du Saint-Esprit, envoyée de Dieu, où les gens sont sauvés. Qu’Il bénisse chacun de vous.

            Maintenant, après le service de guérison, voudriez-vous vous avancer alors que les ministres ici feront l’appel? Venez ici, tenez-vous là et priez juste un petit instant, amis.

            Comme je l’ai dit dans la prière il y a quelques minutes, ceci est notre dernière rencontre avec beaucoup parmi vous. Je ne vous reverrai plus jamais donc. Je ne verrai plus beaucoup parmi vous jusqu’à ce que nous nous rencontrions aux pieds de Jésus. Et je dois rendre compte de ce qui s’est passé ici cette semaine pour l’Evangile que j’ai prêché. Quand vous voyez là debout, par la grâce de Dieu, je crois toujours la même ancienne histoire avec laquelle j’avais commencé. Jésus sauve du péché et guérit les malades. Amen.

60        Oh ! C’est ma vie. C’est–c’est moi ; c’est tout ce que je suis, tout ce que je peux être, tout ce à quoi je peux penser.

            Il n’y a pas longtemps, mon petit garçon... Nous sommes allés à un petit restaurant, nous étions là à Wood River dans l’Illinois, juste avant que nous allions outre-mer, en Inde, où nous avons eu l’assemblée la plus vaste, de cinq cent mille personnes. Mais alors, quand nous étions à Wood River, la salle était bondée, nous sommes allés dans un petit restaurant. Et après le service, il a dit: «Maintenant, papa, tu dois manger un peu ce soir, car tu deviens faible.» Je suis entré dans un restaurant pour manger, et il y avait des petits écoliers à l’intérieur. Vous savez comment ils sont, ils jouaient ce drôle de petit, ce que vous appelez le Mickelodeons, ou je ne sais pas ce que ce petit... Je n’arrive guère à manger dans un restaurant où il y a ce genre de choses, des cris et un tas de comportements.

            Et il a dit... Mais les enfants, vous savez, ils introduisent une espèce de–de pièce d’argent à l’intérieur. Ils jouaient une espèce de petite chanson. Et j’étais assis là. Et Billy a dit: «Papa, n’est-ce pas une belle chanson?»

            J’ai dit: «Quelle chanson?» Je ne savais même pas que ça jouait.

            Et il a dit: «Tu sais, papa, a-t-il dit, tu as tellement trop lu et trop prié que tout ce à quoi tu penses, c’est Jésus-Christ.»

            J’ai dit: «Merci, fils ; c’est le meilleur compliment que j’aie jamais eu.» Oui, oui. C’est vrai. J’ai dit: «C’est bien. C’est tout ce que je veux sur mon coeur, sur mon coeur, dans mon esprit, tout au long de la journée, de la nuit, méditer sur Ses préceptes et sur Son amour.»

61        Maintenant, juste avant de commencer à prier pour les malades, je ne dis pas que Jésus fera ceci ce soir. Je ne peux pas le dire, car je ne le sais pas. Mais j’aimerais dire à cette assistance mixte ce soir: Si Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ressuscité d’entre les morts, la Bible dit que le... qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est l’Ecriture. S’Il est le même, Il doit prouver qu’Il est le même. S’Il s’est manifesté aux gens dans les jours d’hier, Il doit se manifester aux gens aujourd’hui. Et Il a promis dans Sa Bi-... dans Sa Parole. Tout ce qu’il y a, c’est que vous avez simplement peur de vous avancer prendre Dieu au Mot. C’est tout. N’ayez pas peur. Tenez-vous là même, peu importe combien ça paraît sombre, voyez si Jésus ne vient pas là. Je ne L’ai jamais vu faillir. Il le fera. Mais vous devez rester là même. Vous devez... Vous n’avez pas juste à espérer comme ça ; vous devez effectivement prendre Sa Parole là-dessus et croire cela de tout votre coeur.

62        Eh bien, quand Il était ici sur terre, Il n’affirmait pas être un Guérisseur, ami. Ce n’est pas ce qu’Il soutenait. Il affirmait même le contraire. Eh bien, je sais que les étrangers sont peut-être ici ce soir, vous risquez de vous en aller, disant: «Frère Branham, le guérisseur divin.» Eh bien, c’est une erreur. Je ne suis pas un guérisseur divin. Il n’y a aucun homme ici sur cette terre qui soit un guérisseur divin. C’est contraire aux Ecritures. Les Ecritures ne permettent à aucun de nous d’être le guérisseur divin, même pas Christ Lui-même. Christ a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui habite en Moi qui fait les oeuvres.»

            Il a dépassé un grand nombre de gens (Saint Jean 5), des estropiés, des infirmes, des aveugles, des boiteux et des paralytiques. Il est passé droit à côté de cette piscine-là, après qu’une femme qui se tenait là dans une foule avait touché Son vêtement. Il s’était retourné, Il avait promené Son regard sur la foule et avait dit: «J’ai senti la vertu sortir de Moi.» Il a regardé la foule et a dit: «Toi, ta foi t’a guérie.» La perte de sang s’était arrêtée. Voyez? Eh bien, C’était Jésus-Christ d’hier. C’est Jésus aujourd’hui.

            Il est passé au milieu de ce groupe de gens, qui étaient estropiés, aveugles, boiteux et paralytiques, Il est passé droit au milieu d’eux, et Il a trouvé un homme couché sur un grabat. Et Il a dit: «Veux-tu être guéri?»

            Suivez. Jésus a dit... Il savait qu’il était là, et Il savait qu’il était dans cette condition depuis plusieurs années. Quand on l’a trouvé transportant son lit, on a attrapé Jésus et on L’a interrogé. Bien sûr, Il serait interrogé. Il serait interrogé à Macon ce soir.

63        Il n’y a pas longtemps, une femme qui reste avec nous là (Soeur Wood, je pense que c’était elle) a dit que quelqu’un était allé là, il est entré dans un magasin, il a demandé aux gens de bien vouloir venir aux réunions. Un homme a dit: «Je ne crois pas ce non-sens.» Il a dit: «Si cet homme a pu faire cela, eh bien, pourquoi ne va-t-il pas là à l’hôpital relever tous les malades?» Voyez?

            Or, cela témoigne donc d’une déficience mentale, c’est tout. Eh bien, l’homme qui connaît même la Bible, Jésus-Christ n’avait même pas fait cela. Il ne prétendait pas faire cela. Il est passé à côté de pire qu’un hôpital, environ quatre ou cinq mille personnes couchées à la piscine de Béthesda, rien que des estropiés, des boiteux, des infirmes et des aveugles, Il est passé droit au milieu et Il n’a point guéri aucun d’eux. Il est allé auprès d’un petit homme couché sur un grabat, Il savait qu’il était couché là, Il l’a guéri et Il s’en est allé. Et les Juifs L’ont interrogé. Maintenant, écoutez ce qu’Il a dit.

            Il a dit (Saint Jean 5.19), Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis...» Ce mot, en vérité, veut dire absolument. «Absolument, absolument, Je vous dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement. Le Père Me montre quoi faire, et Je vais le faire. Le Père agit jusqu’à présent, et Moi aussi, J’agis.» Voyez? «Je ne fais rien de Moi-même. Je fais exactement ce qu’Il Me dit de faire.»

            Maintenant, Cela est la Parole de Dieu. Combien ont déjà lu cela. Dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen !»–N.D.E.] Saint Jean 5.19. Puis Jésus, quand Il était ici sur terre, Il pouvait connaître les pensées des gens. Il–Il a simplement fait... Le Père Lui montrait une vision, Il allait faire cela exactement comme le Père le Lui avait montré, mais Il ne faisait rien à moins que le Père le Lui ait montré. Il ne peut pas mentir. Il était Dieu.

            Il a dit: «Je ne fais que ce que le Père Me montre.»

64        Maintenant, regardez. Il est allé auprès d’une femme au puits. Il l’a trouvée. Il lui a parlé un instant. Et ensuite, Il a découvert ce qu’était son problème. Il lui a révélé le point exact où était son problème. Elle L’a regardé, elle a dit: «Eh bien, attends une minute. Je... Tu dois être un Prophète?» Elle a dit: «Je sais que le Messie, quand Il viendra, c’est ce qu’Il fera ; mais Toi, qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» C’était le signe du Messie.

            Quand Philippe est venu auprès de Lui et qu’il a été sauvé, il est allé trouver Nathanaël, il l’a ramené, il est entré dans l’assemblée. Jésus l’a regardé, Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât quand, tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

            Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.»

            Maintenant, regardez. Quand Jésus quitta la terre, voici ce qu’Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous en ferez même de plus grandes», ce qui veut en fait dire davantage. Il ne pouvait pas faire de plus grandes. Mais vous pouvez en faire davantage. «Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.» Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde (Ce sont les incroyants) ne Me verra plus. Ça sera terminé pour le monde quand Je partirai d’ici dans cette forme physique. Je serai parti, c’est tout ce qu’ils verront jamais de Moi. Mais cependant, vous, vous Me verrez.» Maintenant, suivez ce qu’Il a promis. Il a dit: «Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde.»

65        Maintenant, c’est qui le vous? Qui est l’incroyant? Il y a des incroyants dans chaque génération. Il y a des vous dans chaque génération. «Cependant, vous, vous Me verrez.» Il a promis de revenir dans Son Eglise et d’accomplir les mêmes oeuvres qu’Il avait accomplies quand Il était ici sur terre. Et la Bible déclare qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. N’a-t-Il pas tout bien accompli cette semaine? L’a-t-Il fait? Les aveugles ont vu. Les estropiés ont marché. Les handicapés moteurs se sont relevés. Le péché a été réprimandé. Il y a eu des visions. Tout ce qui a été dit a été parfait, tout à fait. Est-ce vrai? Des pécheurs ont été sauvés. Des gens ont reçu le Saint-Esprit, ils sont nés de nouveau, ils ont rendu témoignage de l’Esprit ; des signes et des prodiges ont été accomplis partout. Qu’est-ce? C’est Jésus-Christ, le Fils de Dieu, non pas juste avec frère Branham, avec Son Eglise, partout. Vous y prenez autant part, ou plus que moi. Il se fait que ceci est juste un don. Ça ne veut pas dire que ça me rend plus que vous, probablement pas autant que vous. Voyez?

            Si la résurrection avait lieu ce soir, vous les anciens qui avez combattu pour gagner le prix et qui avez navigué sur des mers ensanglantées, vous me précéderiez, et vous mériteriez d’entrer. Je ne fais que suivre la route que vous, vous avez pavée. C’est tout. C’est juste un don. Dieu l’a envoyé, Il l’a placé ; je n’ai rien avec la venue de ce don. Cela est inné, comme cela, et c’est juste un don pour glorifier Jésus-Christ, ou pour... pas glorifier, mais Le magnifier, Le montrer, permettre aux gens de voir qu’Il est ici. Dieu fait cela par la prédication de la Parole, par des signes et des prodiges. Il est le même Seigneur Jésus. Croyez-vous cela?

66        Maintenant, regardez. Encore une petite pensée. Quand Jésus fut crucifié et enseveli, les disciples se sont dit: «Eh bien, ça y est.» Voyez? «C’est tout ce que nous verrons de Lui.» J’aimerais que vous suiviez juste quelques instants.

            Il y eut deux d’entre eux qui étaient en route vers Emmaüs un matin, ils se rendaient à Emmaüs. D’autres parmi eux étaient allés à la pêche. Oh ! Ils étaient découragés, ils longeaient la route en causant, disant: «Eh bien, nous voici rentrer chez nous, reprendre nos anciennes tâches», allant à Emmaüs, Cléopas et son ami, pendant qu’ils longeaient la route. Et pendant qu’ils communiaient, voici, Jésus sortit du buisson, juste un Homme ordinaire, et se mit à leur parler. Et eux n’ont pas reconnu cela.

67        Eh bien, vraiment... Ecoutez attentivement. Frère, soeur, il y en a beaucoup parmi vous à qui Jésus a parlé et qui ne s’en sont pas rendu compte. Il est ici avec nous. Il est vivant. Il vient vers vous chaque soir là et dit: «C’est à vous que Je parle. Vous êtes... Vous pouvez être guéri. Acceptez simplement cela, et confessez-le, et voyez ce qui arrive.» Voyez? C’est Lui qui vous parle.

            Il leur a parlé toute la journée. Et Il a dit: «Pourquoi êtes-vous si tristes et inquiets?» C’était un beau matin de Pâques, Jésus était vivant dans le monde après la résurrection, le premier Homme à ressusciter d’entre les morts, les prémices de ceux qui dormaient. Ainsi donc, Il–Il a marché et ils n’ont pas reconnu cela. Ils ont marché, ils Lui ont demandé: «Eh bien, es-Tu donc un Etranger? Eh bien, ont-ils dit, connais-tu Jésus de Nazareth...?»

            Et alors, Il a commencé avec les Ecritures et Il a expliqué exactement ce que Jésus était censé faire quand Il viendrait. Et quand Il est arrivé devant une petite maison, un petit bâtiment là, à la distance d’un chemin de sabbat, ils allaient entrer dans l’auberge, Lui parut donc vouloir aller plus loin. C’est ce qu’Il fait souvent. Il peut paraître vouloir te dépasser, fiston. Cette petite fille ici, cette petite fille assise ici dans un fauteuil roulant, ou vous par ici, ou vous ici en bas, Il peut paraître vouloir vous dépasser ; Il veut simplement voir ce que vous allez dire à ce sujet. Voyez?

            Alors, Il a dit... Il paraissait vouloir dépasser. Et ils L’ont contraint, disant: «Entre et reste avec nous.» Faites de même maintenant. «Entre et reste avec nous.» Il est donc entré. Aussitôt qu’Il s’est assis, ils... le serviteur est venu, et a apporté du pain. Et Jésus a fait quelque chose de juste un peu différent. Et leurs yeux s’ouvrirent et ils Le reconnurent. Alors, Il disparut de leur vue, s’en alla, simplement comme ça. Ils n’ont pas pu Le trouver, nulle part.

68        Eh bien, je prie que Jésus de Nazareth, le même Seigneur Jésus ressuscité, vienne ici ce soir et fasse quelque chose d’un peu différent de ce que cela est réellement dans un service ordinaire, vous savez, du genre sortir et avoir un service d’évangélisation. Je prie qu’Il fasse quelque chose comme ce qu’Il avait fait quand Il était ici sur terre ; quand Il était ici sous forme d’un corps, Il a fait quelque chose là pour Ses disciples. Ils ont dit: «Eh bien, c’est ainsi que Jésus le faisait. Eh bien, ça doit être Lui.» [Frère Branham tape les mains.–N.D.E.] Il avait disparu. J’espère qu’Il viendra ce soir faire ici devant nous la même chose, qui vous amènera à dire: «C’est Jésus ressuscité d’entre les morts.»

            Prions. Père céleste, maintenant, que Tes bénédictions reposent sur les gens. Alors que Ton glorieux Esprit commence à se mouvoir, et je sens Cela se poser sur cette estrade maintenant, je prie qu’il se fasse infiniment au-delà de chaque mesure ce soir. Accorde-le, Seigneur. Je prie, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Que tout le monde soit respectueux. Croyez simplement au Seigneur de tout votre coeur, de toute votre âme, de tout votre esprit.

            Maintenant, ce que–ce que... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Voyez? ... une prière. Priez pour moi maintenant, allez-vous le faire? Et quand je m’en serai allé dans des pays étrangers, et que des sorciers me défieront comme ils le font généralement et tout, puis-je compter sur les gens de la Géorgie, qu’ils seront en train de prier pour moi? Que Dieu vous bénisse. Et priez pour moi.

            Et écoutez, je préférerais en effet faire cette déclaration. Je n’ai jamais vu cela être défié jusqu’à présent sans que le Dieu Tout-Puissant vienne mettre tout le lieu en pièces...?... Jamais à aucun moment rien n’a été soumis au défi sans que Dieu ne vienne, toujours, confirmer que c’est la vérité. C’est vrai. Chaque fois. Vous n’avez donc pas à vous inquiéter. Croyez simplement au Seigneur Jésus et allez de l’avant, voyez ce qui arrive.

69        Maintenant, dans la ligne de prière, alignons quelques-uns d’entre eux ici. Qui a la carte de prière, qu’était-ce, S? Qui a la carte de prière S numéro, disons, numéro 1, qui a S numéro 1? Levez la main. Quelqu’un avec S numéro 1? Très bien, madame. Venez ici. Numéro 2, quelqu’un qui a numéro 2, levez la main, la carte de prière numéro 2? N’importe où? Avez-vous levé la main par là, madame? Quelqu’un avec S numéro 2, c’est vous qui l’avez, madame? Très bien. Numéro 3? Levez la main afin que je... C’est bien, numéro 3. Numéro 4? Voyez, je dois faire ça, les faire venir lentement, car ils ne... juste... Que la dame qui est là, s’il vous plaît. Très bien.

            Très bien. La carte de prière numéro 4. Ai-je vu cela? Levez la main. Numéro 5, voulez-vous lever la main? La carte de prière S numéro 5, très bien. Numéro 6, voudriez-vous lever la main? Numéro 6, très bien. Numéro 7, voudriez-vous lever la main? La dame ici derrière. Numéro 8, voudriez-vous lever la main? La carte de prière S-8, voudriez-vous lever la main, 8? Voulez-vous dire qu’elle n’est pas là? Regardez, quelqu’un parmi vous, l’un de vous. Venez ici, Frère Wood, regardez par ici, par ici, certains parmi ces gens ne sont peut-être même pas en mesure de lever la main. J’ai vu des cartes de prière déposées ici. Frère Thoms, veuillez commencer à partir de là.

70        Numéro 8, la carte de prière S numéro 8. Etait-ce la sienne? Est-ce la dame? C’est deux. Très bien.

            Numéro 8, c’est peut-être quelqu’un de sourd. Regardez la carte de votre voisin. C’est peut-être quelqu’un de sourd, et il ratera sa place. Ils... La carte de prière S numéro 8. 8? Et je vois quelqu’un pointer son doigt, mais je ne vois personne. Avec la main levée, 8, numéro 8.

            Tes bénédictions reposent sur les gens. Que le Grand, Tu vois tout, et Tu remplis tout l’espace, Tu remplis tout le temps, omniscient, omniprésent, omnipotent, le Grand JE SUIS, Tu seras toujours, Tu es l’Amant de nos âmes, le Guérisseur de nos corps, le Sauveur de notre être. Et je Te prie de bien vouloir venir maintenant oindre ces mouchoirs de Tes grandes bénédictions. Et quand ils seront posés sur les malades et les affligés, qu’eux tous soient guéris. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen !

71        Maintenant, j’aimerais donc vous poser une question, alors qu’on s’approche. Premièrement, dans la ligne de prière, là-bas, tous, vous suis-je inconnu à vous tous là de ce côté-là? Si je le suis, levez la main, tout le monde, dans la ligne de prière, à qui je suis inconnu. Tout le monde dans l’assistance à qui je suis inconnu, je ne vous connais pas, levez la main. Vous voyez donc, l’unique que je connais dans l’assistance, c’est mon associé ici, monsieur Wood et ces jeunes gens assis juste ici en bas, ainsi que ce prédicateur, je n’arrive pas à me rappeler son nom. Mais [Quelqu’un dit: «Palmer.»–N.D.E.] Palmer, frère Palmer. Et c’est à peu près tous ceux que je connais dans la–dans la réunion. Mais combien là dans l’assistance n’ont pas de carte de prière, et vous croyez que Jésus vous guérira et vous voulez qu’Il se souvienne de vous ce soir? Levez la main, maintenant même.

            Eh bien, rappelez-vous, Il connaît chacun de vous. Il connaît votre coeur. Maintenant, je prie qu’Il accorde cela à tout un chacun parmi vous. Que Son aimable Présence bénie soit toujours avec vous, c’est ma prière.

            J’aurais bien voulu pouvoir expliquer ceci à l’assistance. Si seulement je le pouvais, amis... Quelle différence par rapport à la joie de–de prêcher et d’entendre la Parole. Eh bien, Cela s’établit. C’est comme Quelque Chose qui se tient ici près de moi. C’est comme une sensation de véritable révérence. C’est Lui, Sa Présence, Son Etre. Ayez simplement foi.

72        Vous rappelez-vous l’aveugle Bartimée qui s’asseyait à l’entrée? Sa foi arrêta Jésus alors qu’Il était en route vers le Calvaire. Pensez donc. Un drôle d’aveugle mendiant arrêta le Seigneur Jésus-Christ en plein sur Sa route, et Son Esprit fixé sur le Calvaire, Il montait pour être crucifié. Et les gens se moquaient de Lui, criaient sur Lui, Lui sifflaient, mais ce drôle d’aveugle mendiant se tenait là, sa foi arrêta Jésus en plein sur la route. Et il a recouvré la vue.

            Vous pouvez recevoir ce que vous réclamez si seulement vous croyez. Très bien. Tous sont-ils en ligne, Paul? Tout est-il O.K.? D’accord. Ayez foi.

            Maintenant, cette dame ici...

            Eh bien, il se fait ce soir, assistance... Vous savez que je fais passer le temps pour une raison ; c’est tout à fait vrai. En effet, avant que cette onction vienne, on est juste comme ce microphone. Cela ne peut pas parler de soi ; cela doit avoir quelque chose de vivant qui parle à l’intérieur. C’est tout. Et maintenant, je ne sais quoi dire. Je dois simplement me tenir ici jusqu’à ce qu’Il vienne. Et je L’attends. C’est exact. C’est la raison pour laquelle nous voulions que la musique joue Crois seulement.

73        Chantons très doucement, juste une fois, si vous le voulez, ensemble, Crois seulement maintenant,

Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement ;
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement.

            Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque esprit ici sous mon contrôle pour la gloire de Dieu.

74        Maintenant, cette dame ici debout m’est totalement inconnue. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Peut-être qu’elle ne m’a jamais vu, à ce que je sache. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, mais vous m’avez juste vu depuis que je suis venu ici, vous m’avez vu depuis l’assistance. Eh bien, maintenant, j’aimerais que vous, madame, alors que je vous parle, sachant bien que c’est... Notre Seigneur...

            Rapportons cette petite histoire une fois de plus ; généralement, cela marche à merveille. Notre Seigneur descendait à Jéricho un jour et il est dit qu’Il devait passer par la Samarie. Je me demande pourquoi. Je pense que le Père Lui avait dit de monter là. Il a renvoyé Ses disciples, et Il a dit à Ses disciples d’entrer dans la ville pour acheter de quoi manger. Alors, pendant qu’ils étaient partis, une dame est allée au puits pour puiser de l’eau. Jésus a dit: «Apporte-Moi à boire.» C’est un entretien entre un Homme et une femme.

            Et elle a dit: «Le puits est profond et Tu n’as rien pour puiser. Il n’est pas de coutume que les Juifs demandent aux Samaritains pareilles choses, des faveurs, car nous n’avons pas de relations.»

            Et Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.» Il a poursuivi la conversation. Eh bien, je pense... Eh bien, je peux ne pas le prouver par les Ecritures ; mais à voir comment Il opère maintenant, et alors, ça doit être ce qu’Il faisait ; Il cherchait à contacter son esprit. Le Père Lui avait dit de monter là juste comme Il m’a dit de venir à Macon. Voyez?

75        Eh bien, nous nous sommes rencontrés ici. Eh bien, Il devait donc contacter son esprit pour découvrir ce que le Père dirait. Il lui a donc parlé un petit instant, directement, Il a découvert où était son problème, et c’était un problème de mariage. Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est vrai ; tu en as eu cinq.»

            Alors, elle a répliqué, disant: «Eh bien, je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit: «Eh bien, je sais que quand le Messie sera venu... (C’était Christ), a-t-elle dit, c’est ce qu’Il fera.» Voyez, c’est le signe du Messie. Elle a dit: «C’est ce qu’Il fera.»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Et sur ce, elle est entrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai donc fait.» Eh bien, ce n’est pas ce qu’Il avait fait ; elle était simplement frappée. Voyez? Il n’avait jamais dit... mais Il pouvait le faire si le Père le Lui avait montré, mais Il avait seulement dit une seule chose, c’était ça, là où était son problème. Elle a cru que c’était Lui le Messie.

76        Eh bien, s’Il est ressuscité d’entre les morts comme nous croyons qu’Il l’est, les Ecritures déclarent qu’Il l’est, et les Ecritures ne peuvent pas être anéanties... Il a affirmé qu’Il Le serait dans chaque génération, se manifestant jusqu’à la fin du monde, accomplissant les mêmes choses qu’Il faisait quand Il était ici sur terre. Nous voici donc ici ce soir, vous et moi de nouveau, comme un homme et une femme.

            Et vous êtes une chrétienne, je vois que votre esprit est le bienvenu aussitôt que vous êtes montée, que vous êtes une chrétienne. Et maintenant, si le Saint-Esprit de Dieu vient ici et me dit ce dont vous avez besoin, peu importe ce que c’est, ce pour quoi vous êtes ici, ou quelque chose à votre sujet, eh bien, vous reconnaîtrez si c’est la vérité ou pas. Alors, s’Il sait ce qui a été, et que vous, vous reconnaissez si c’est la vérité ou pas, alors, Il sait certainement ce qui arrivera. Est-ce vrai? Il en sera certainement ainsi. S’Il me permet donc de savoir ce que c’était... Et maintenant, j’ai une très longue ligne de prière. Je ne souhaiterais pas trop parler aux gens, car j’aimerais les faire passer tous et d’autres encore, si possible. Si donc j’arrive simplement à trouver quelque chose, une seule chose, ça sera en ordre. Est-ce que le reste dans l’assistance acceptera que Jésus est ressuscité s’Il fait ça?

77        Très bien. Regardez simplement de ce côté-ci juste un instant jusqu’à ce que l’Esprit du Seigneur commence à se mouvoir entre nous. Oui, oui. Maintenant, cette femme-ci a été effrayée au sujet de quelque chose. Elle est une... Elle a peur du cancer. Sa maladie est dans le colon, en bas dans l’intestin. C’est vrai. Et vous avez eu peur que ça dégénère en cancer, n’est-ce pas? C’est vrai.

            Maintenant, regardez simplement de ce côté-ci maintenant. Soyez vraiment respectueux, regardez-moi juste une minute. J’aimerais vous aider. Une vision est apparue sur vous tout à l’heure. Eh bien, tenez-vous simplement... Ne–ne soyez pas nerveuse. Il–Il ne va pas... Il n’est pas là pour vous faire du mal, c’est pour vous aider. Voyez?

            Eh bien, j’oublie simplement ce qu’Il disait. Eh bien, juste une minute, peut-être qu’Il fera autre chose qui... Tenez, je–je vous vois venir de quelque part. Vous–vous êtes on dirait un peu raide ce soir. Vous–vous êtes tombée. Vous êtes tombée, c’était ce matin, d’une marche près d’une église. Est-ce... C’est vrai, n’est-ce pas? Eh bien, n’ayez pas peur du cancer. Allez de l’avant, vous allez être guérie. Votre foi vous guérit, Jésus-Christ vous a guérie au Nom du Seigneur Jésus. Disons: «Gloire à Dieu !»

            De la mort à la vie... Quand la femme montait, il y avait un esprit noir suspendu autour d’elle. Cela a quitté maintenant (Voyez?), si seulement elle persiste dans la voie où elle est, elle sera rétablie. Peu importe ce que c’est, elle sera rétablie.

78        Très bien. Etes... ce... Est-ce vous la patiente, madame? Venez ici. Maintenant, ayez foi, croyez. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose. Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre, nous sommes de parfaits inconnus. Maintenant, quand la vision frappe et qu’Il se met à parler, alors ne dites rien. Ecoutez simplement ce qu’Il dit. Vous reconnaîtrez alors si c’est vrai ou pas. Croyez-vous? Ayez simplement foi.

            Notre Seigneur est merveilleux. Il n’échoue jamais. Maintenant, cette dame ici, alors que je parle avec elle, elle est... Vous souffrez des veines, comme des varices, au niveau des jambes. Oui, madame. Puis, vous souffrez aussi de l’arthrite. Je vois que c’est à peine que vous arrivez à vous lever le matin et à vous déplacer, c’est par moments difficile on dirait pour vous. C’est vrai. Et maintenant, afin que vous sachiez que je suis serviteur de Dieu, vous avez un mari aveugle. C’est vrai, n’est-ce pas?

            Notre Père céleste, que les bénédictions de Dieu reposent sur elle, je prie, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez en vous réjouissant maintenant et en remerciant le Seigneur Jésus. Passez directement de ce côté-ci, s’il vous plaît, vers l’homme là. Très bien.

            Ayez foi, ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur, et vous aurez ce que vous avez demandé. Maintenant, soyez respectueux.

79        Maintenant, je pense, madame... Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Le Seigneur Jésus nous connaît tous deux. Je ne vous connais pas, et peut-être que vous ne me connaissez pas. Vous êtes ici pour une raison, et Dieu sait cela. Vous êtes sur le point de subir une intervention chirurgicale ; en effet, c’est au niveau de votre estomac, et il s’agit d’une tumeur d’estomac. C’est ce qui vous a été dit. C’est la vérité, n’est-ce pas? Oui, oui, c’est vrai. Et vous souffrez aussi de l’arthrite. Et vous avez mal aux yeux ; votre vue devient tout le temps brumeuse. Ce qu’il y a, c’est un durcissement de nerf, qui se meurt au niveau de votre oeil. C’est vrai. Croyez-vous que Jésus est ici pour vous guérir? Avancez juste un instant.

            Maintenant, regardez, j’aimerais vous demander quelque chose. Celui qui est ici vous connaît (Et vous savez que moi, je ne vous connais pas)... Mais il y a un genre d’onction ici, vous en êtes consciente, n’est-ce pas, voyez? Vous–vous savez qu’il se passe quelque chose. C’est Lui. Voyez? Et s’Il est si proche, alors Il parle par moi ; et moi, votre frère, je me conforme alors à Sa Parole, que s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris. Est-ce vrai? Alors, je fais ceci au Nom de Jésus-Christ, afin que la vie de cette femme soit épargnée et qu’elle soit guérie, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. Réjouissez-vous simplement.

80        Venez. Ayez foi. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre, madame? Oh ! la la ! Quel temps ! Je crois simplement que ça sera l’une des plus glorieuses soirées que vous ayez jamais vues à Macon. Il y a simplement une merveilleuse masse compacte de foi partout, ça ne fait que se mouvoir, d’un commun accord. Je n’arrive guère à voir les patients.

            Vous avez quelque chose qui cloche avec votre dos. Je vois un accident, ou quelque chose comme ça, un accident d’automobile ; vous avez connu un accident d’automobile et vous avez eu mal au–au dos, cela vous fait mal au–au genou, et cela–et cela–cela vous fait mal à la hanche. Et aussi, vous souffrez de l’hypertension suite à cet accident-là. Allez en vous réjouissant, soyez heureuse, reconnaissante et louant Dieu et rétablie...?...

            Voyez-vous ce que le Saint-Esprit a fait à cette femme qui était liée? Je n’ai rien eu à faire avec cela. C’est sa foi qui a fait cela. Amen ! Ayez simplement foi, et vous pouvez recevoir ce que vous réclamez si seulement vous croyez. «Si tu peux croire...» Ne condamnez pas la dame. Si vous aviez été délivré d’une chose comme cela, vous crieriez aussi. Je sais que je crierais. Oui, oui.

81        Vous souffrez de vésicule biliaire, n’est-ce pas? Madame, là même au bout de la rangée, vous souffrez aussi de vésicule biliaire, n’est-ce pas, madame, assise ici même? Vous souffrez de vésicule biliaire. C’est vrai. Elle en souffre aussi ; ces deux esprits, une traînée de ténèbres s’est interposée entre vous. Amen. Oh ! Comme c’est merveilleux ! Maintenant, si votre foi... Vous voyez, c’est cet esprit-là qui appelle l’autre au secours. Voyez-vous? Mais les chrétiens sont en train de prier, et cela constitue un soutien. Voyez? Voyez? La bataille est engagée. Le monde n’en sait rien, mais c’est dans un autre monde, là où vous êtes... nous voyons.

            Croyez-vous de tout votre coeur? A propos, vous n’êtes pas venues de cette ville, n’est-ce pas? Vous venez de l’Atlanta. Votre nom est Annie, votre nom est Johnson, n’est-ce pas? Retournez guérie. Vous aussi, soeur. Jésus-Christ vous...?...

            Qu’en pensez-vous, vous assise là-bas, soeur, souffrant de la migraine? Là, croyez-vous que Jésus vous rétablira? Croyez-vous? C’est votre mère qui est assise là aussi, n’est-ce pas? Elle souffre de l’arthrite, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? Maintenant, écoutez. Vous êtes membre de l’Eglise de Christ, ceux qui ne croient pas dans ces–ces miracles et tout, mais retournez et dites-leur que c’est vrai. Imposez les mains à votre mère et soyez guéries. Amen.

            Au Nom de Jésus-Christ, je réprimande cet esprit, qu’il parte et que la personne soit guérie. Maintenant, allez rapporter à Dieu les grandes oeuvres qu’Il a accomplies pour vous. Ayez foi.

82        Venez, madame. Croyez-vous? Non, je n’étais pas en train de lire sa pensée non plus. Non, non, ne... Arrêtez d’avoir de telles pensées. Ce n’est pas ce que je faisais. Rappelez-vous, je connais ce que vous pensez.

            Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous connais pas. Dieu vous connaît certes. Il peut me révéler ce qu’est votre problème. Je ne peux pas vous guérir, mais Il le ferait par grâce. Après avoir prêché la Parole, vous devriez croire cela. Mais Dieu ne veut pas qu’aucun périsse ou soit malade. Dieu veut que nous prospérions en santé, n’est-ce pas? Il veut que vous soyez en bonne santé. S’Il me dit ce qui cloche chez vous, allez-vous croire qu’Il est ici, que c’est Lui plutôt que moi? Allez-vous croire? Vous souffrez de l’estomac. C’est vrai, n’est-ce pas? Vous n’arrivez pas à manger la nourriture grasse et tout? Vous quittez la table. Vous avez aussi un mari qui souffre de diabète. C’est vrai. Vous n’êtes pas de cet Etat. Vous venez de la Caroline du Sud. Vous êtes dans une équipe de six (Est-ce vrai?), trois hommes, trois femmes. Retournez en vous réjouissant et soyez rétablis au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

            «Crois-tu? Tout est possible si seulement tu crois.»

            Ayez foi.

83        Nous sommes inconnus l’un à l’autre, madame. Oh ! la la ! Oh ! Que c’est merveilleux ! Petite dame, assise juste là en retrait, vous avez mal au dos, n’est-ce pas, vous assise là au bout du siège? Vous souffrez du dos, n’est-ce pas? Vous portez un appareil orthopédique sur votre dos en dessous de vos habits. N’est-ce pas vrai? Quand vous retournerez chez vous à la maison, enlevez-le. Votre foi vous a guérie, Jésus-Christ vous a rétablie. Oh ! Il est merveilleux. Croyez simplement ; vous pouvez recevoir.

            Vous souffrez de la tête, n’est-ce pas, madame? Et je vois quelque chose au sujet de quelqu’un. Vous avez un membre de famille, c’est une petite fille, elle a connu un éclatement de veines au niveau de la tête, et elle saigne maintenant même. Rentrez à la maison, Jésus-Christ vous guérit. Votre foi vous guérit. Amen !

            Disons: «Gloire au Seigneur !» Et vous avez été guérie tout à l’heure quand vous montiez. Jésus-Christ vous rétablit. Poursuivez simplement votre chemin, heureuse et en vous réjouissant.

84        Venez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Je–je ne suis pas... Venez ici, madame, afin que quelqu’un ici sache que je ne suis pas en train de lire votre pensée. Posez votre main sur moi comme ceci pour juste établir un contact. Je ne vous ai point regardée, pas plus que pour voir que vous êtes une femme, que vous traversez l’estrade. Je ne vous ai jamais vue. Sans regarder votre esprit, je ne pense même pas à ce qui cloche chez vous. Mais croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Croyez-vous? Si Dieu me révèle (alors que je regarde de ce côté-ci, sans même vous regarder, je regarde de ce côté ici) ce qui cloche chez vous, allez-vous lever l’autre main si c’est la vérité? Vous avez une tumeur.

            Voyez, je ne suis pas en train de lire sa pensée. Cela vous a quittée, madame. Poursuivez simplement votre chemin en vous réjouissant et soyez guérie. Très bien.

            Venez...?... Que Dieu vous bénisse, soeur. Au Nom du Seigneur Jésus, soyez guérie pour la gloire de Dieu. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, disant: «Merci, Seigneur.» Très bien.

            Venez, madame. Vous aimeriez guérir de ce trouble d’estomac. Allez alors prendre votre souper et dites: «Merci, Seigneur», et soyez guérie. Que Dieu vous bénisse...?... Disons: «Gloire à Dieu !» C’est bien.

85        Regardez, il y eut une fois une croix au sommet d’une montagne d’où a coulé le précieux Sang du Fils de Dieu ; une transfusion par la foi depuis cela ce soir ôterait tout le diabète et vous rétablirait. Croyez-vous cela? Acceptez-vous cela? Recevez alors cela, au Nom de Jésus-Christ. Amen ! Que Dieu vous bénisse. Allez.

            Voudriez-vous venir, madame? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous souffrez d’une maladie gynécologique, un trouble féminin, ça vous dérange beaucoup, cela a formé un abcès ; mais Jésus-Christ peut vous rétablir. Croyez-vous cela? Je réclame donc votre guérison. Au Nom de Jésus-Christ, puissiez-vous recevoir cela, amen. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu !» Amen !

            Très bien, madame, venez. Ayez foi. Croyez-vous tous? Que Dieu soit loué.

            Maintenant, la dame ici debout... Est-ce la patiente? Très bien. Maintenant, madame, je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas? Nous ne nous connaissons pas. Vous m’avez vu une fois. Eh bien, je ne vous connais pas, c’est ce que... Il n’y a aucun moyen pour moi de vous connaître. Mais Dieu vous connaît ; Il sait ce pour quoi vous êtes ici. Si Dieu me révèle ce pour quoi vous êtes ici, accepterez-vous votre guérison?

86        Le vieux gentleman assis là avec des cheveux blancs, une barbe blanche, monsieur, vous souffrez d’une hernie, n’est-ce pas? Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Que Dieu vous bénisse. Ayez foi.

            Je vois une attraction venir de lui, là, d’un... Il y a un homme assis derrière lui là en petit noeud bleu. Il souffre aussi d’une hernie. Croyez-vous? Oui, oui. Voudriez-vous être guéri? Très bien. Vous avez une mauvaise habitude que vous aimeriez abandonner aussi, n’est-ce pas? Oui, oui. Cessez alors de fumer la cigarette. Allez de l’avant et servez le Seigneur ; cela s’arrangera complètement. Amen !

            Gloire soit rendue au Dieu vivant, Jéhovah-Jiré, Jéhovah-Rapha, le Grand JE SUIS, non pas J’étais, JE SUIS, l’Eternel, Celui qui était mort et qui est encore vivant, la Racine et le Rejeton de David, l’Etoile du Matin, la Rose de Saron, le Lys de la vallée, le Tout Tendre, le Tout-Suffisant, le Dessein global, le Tout-Puissant. Que Ses bénédictions soient élevées aux siècles des siècles. Amen !

87        Excusez-moi. Regardez, c’est vous la patiente. Je suis... je ne sais pas. Soeur, je–je–je ne vous connais pas. Dieu vous connaît. Mais maintenant, vous vous tenez là avec votre main levée et vos yeux fermés, mais le Seigneur Jésus sait tout à votre sujet. Il... je... Si je pouvais vous guérir, je le ferais, mais je ne le peux pas. Je ne peux pas le faire. Mais vous souffrez d’une maladie gynécologique. C’est une maladie de femmes. C’est vrai. Et vous vous intéressez aussi à quelqu’un d’autre. C’est un petit garçon, aux cheveux un peu châtains. Il porte des lunettes. Il souffrait des reins. Et je vois quelqu’un debout à côté de vous. C’est un... brun... Oh ! C’est votre femme, monsieur. Eh bien, que Dieu vous bénisse. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Alléluia ! Grâces soient rendues à Dieu !

88        Vous voyez que cet homme a un cornet acoustique à son oreille. Inclinons la tête juste une minute. Je ne sais pas, c’est un esprit de surdité qui est sur lui. Il peut y avoir d’autres choses que je ne peux pas dire. Inclinons la tête et que personne ne lève les yeux jusqu’à ce que je... vous entendiez ma voix dire: «Levez les yeux», maintenant, car ceci doit être chassé. Gardez donc vos têtes inclinées et attendez donc ici. Croyez-vous de tout votre coeur?

            Notre Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus, bénis cet homme que je bénis en Ton Nom, et que cet esprit mauvais qui essaie de lui ôter la vie, de l’amener à marcher devant les véhicules quelque part et être tué, et lui ôter la vie avant que son temps arrive, prématurément... Satan, nous t’adjurons par le Dieu vivant, le Seigneur Jésus, quitte cet homme.

            Depuis combien de temps êtes-vous comme ça? [L’homme répond: «Depuis que j’étais dans l’armée.»–N.D.E.] Est-ce exact? M’entendez-vous très bien maintenant? M’entendez-vous maintenant? Vous êtes parfaitement normal. M’entendez-vous maintenant? M’entendez-vous? M’entendez-vous maintenant? Je suis juste en train de chuchoter, juste à peine chuchoter. Vous L’aimez de tout votre coeur. Très bien, vous pouvez relever la tête. Regardez ici, voici son cornet acoustique. M’entendez-vous très bien? Dites: «Gloire au Seigneur !» Vous y êtes. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant et dites: «Grâces soient rendues à Dieu !»

89        Très bien. Venez, madame. Voudriez-vous guérir de cette tumeur-là? Croyez-vous que Dieu vous guérira? Levez la main et dites: «Je L’accepte de tout mon coeur.» Au Nom de Jésus-Christ, je réprimande ce démon qui veut retirer la vie de cette femme. Sors d’elle, au Nom de Jésus, amen !

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu.»

            Et si je vous disais que cela a été guéri pendant que vous étiez assis là dans un fauteuil, me croiriez-vous? Alors, poursuivez simplement votre chemin, heureux, en vous réjouissant, disant: «Grâces soient rendues à Dieu.»

            La maladie du coeur tue plus de gens que n’importe quoi, mais Jésus sauve. Croyez-vous cela? Acceptez-vous cela pour votre coeur maintenant? Amen. Alors, au Nom de Jésus-Christ, puissiez-vous être guéri. Amen.

            Très bien, voudriez-vous venir, madame? Croyez-vous, madame, de–de tout votre coeur, de tout votre esprit? Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablit maintenant même? Il le fait. Je vous impose les mains, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, et je demande que vous soyez rétablie. Amen.

90        Monsieur, assis là souffrant de prostatite, croyez-vous que Jésus vous guérit et vous rétablit? Croyez-vous? Que Dieu vous bénisse. Votre nom, c’est monsieur French, n’est-ce pas? Vous... Oui, monsieur. Est-ce vrai? B. French, est-ce vrai? Levez votre pied. J’ai entendu un Ange de Dieu citer votre nom. Votre foi vous a guéri, monsieur. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Amen.

            Le diabète, Dieu guérit simplement cela comme n’importe quoi d’autre, n’est-ce pas? Au Nom de Jésus-Christ, je réclame votre guérison. Amen. Allez, heureux et vous réjouissant.

            La petite dame qui vient de quitter ici il y a quelques minutes, avant cette dame-ci, quand vous vous teniez là dans la ligne de prière, madame, vous aviez éprouvé une sensation très étrange vous envahir, quand vous aviez inauguré la ligne de prière, n’est-ce pas? Cette dame souffrait de la même maladie, n’est-ce pas, madame? En effet, vous toutes deux, vous souffriez des reins. Voyez-vous? Vous avez été guérie, vous avez été guérie avant même que vous montiez ici, poursuivez donc votre chemin en vous réjouissant, disant...?... Amen...?...

91        Croyez au Seigneur Jésus. En effet, monsieur, j’ai... portez des lunettes, nous savons qu’il pourrait y avoir quelque chose qui cloche à vos yeux. Peut-être qu’il y a autre chose. Vous souffrez de l’arthrite. C’est vrai. Vous devenez de fois très raide, n’est-ce pas? Et puis, quand vous essayez de vous déplacer, parfois, vous soulevez votre pied de côté quand vous êtes assis comme cela, pour vous éloigner de quelque chose. Vous n’aurez plus à le faire. Votre foi vous a guéri. Allez, au Nom du Seigneur Jésus, et soyez rétabli. Amen.

            Ayez foi. Oh ! la la ! Ami chrétien, si seulement vous saviez, le Saint-Esprit semble donc comme s’établir sur le bâtiment, sur le lieu.

            Croyez-vous, madame? Feriez-vous ce que je vous ai dit? Eh bien, comme vous vous tenez ici, toute votre vie vous avez été nerveuse. Vous n’êtes pas une personne nerveuse qui s’agite, mais vous êtes une personne nerveuse par la réflexion. Vous envisagez toujours des choses à l’avance, vous planifiez des choses à l’avance. Généralement, ça n’arrive jamais comme cela. Nous appelons cela traverser le pont avant d’y arriver. En faisant cela, vous avez développé un trouble d’estomac. C’est vrai. C’est un ulcère d’estomac. C’est la nervosité. Eh bien, cessez d’être nerveuse. Ça ne sert à rien d’être nerveuse ; Jésus est avec vous. Maintenant, poursuivez votre chemin en vous réjouissant, en remerciant Dieu, en Le louant, et vous serez complètement rétablie, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Ayez foi. Croyez-vous?

92        Bonsoir, monsieur. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose. Nous sommes... Nous ne nous sommes jamais rencontrés et nous nous tenons ici, l’un, un homme blanc, et l’autre, un homme de couleur: deux nations différentes. Mais Dieu sait qu’il n’y a pas de mur de séparation entre nous et Christ. Vous souffrez de quelque chose qui cloche au niveau des genoux. C’est vrai. Vous n’êtes pas d’ici. Vous venez d’une autre ville appelée Ford Valley, quelque chose comme cela, Ford Valley, Géorgie. Et vous êtes un prédicateur: F. H. Henderson. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, monsieur Henderson ; Jésus-Christ vous rétablit.

            Est-ce... Hein? Est-ce faible? Ayez foi.

            Qu’en est-il de vous ici en bas sur des fauteuils roulants? Je vois mon jeune garçon me tapoter sur le flanc ; je sais qu’il se passe quelque chose, mais regardez encore une fois. Soyez fidèle ; ayez foi.

93        Cet homme-ci était en train de prier ici il y a quelques instants. J’ai vu la Lumière se tenir au-dessus. C’est au sujet d’un enfant assis là dans le fauteuil roulant. Chéri, crois-tu que Frère Branham est serviteur de Dieu? Crois-tu? Veux-tu être guéri? Crois-tu que Dieu te fera sortir de ce fauteuil roulant? Tu es juste un enfant ; tu ne peux pas avoir la foi pour toi-même. Papa, imposez-lui la main. Maintenant, ce démon qui lie son... Satan, au Nom de Jésus, lâche l’enfant. Lève-toi de là, chéri. Sors du fauteuil roulant.

            Vous y êtes. Repoussez son fauteuil roulant. Tu es rétabli maintenant, chéri. Le vieux...?... trouble te quittera.

            Le reste parmi vous, levez-vous partout. Voulez-vous être guéris? Peu m’importe ce qui cloche. Satan, tu as perdu la bataille. Tu ne peux plus retenir ces gens davantage. Sors d’ici. Au Nom de Jésus-Christ, je t’adjure de quitter ce groupe de gens. Chacun d’eux peut être guéri. Sors ! Quitte ! Au Nom de Jésus-Christ, que tu quittes cette assistance et que tout le monde soit réta-...?...

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