Jésus-Christ Est Le Même Hier, Aujourd’hui Et Eternellement

Date: 56-0225 | La durée est de: 1 heure et 57 minutes | La traduction: Shp
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1          Nous pensons au jeune garçon, au père qui était venu pour son fils qui souffrait de l’épilepsie. Il a dit: «Seigneur, je crois ; viens au secours de mon incrédulité.» C’est notre sincère prière ce soir, que Tu viennes au secours de notre incrédulité. Et que nous soyons débarrassés de tous nos doutes maintenant, que le Saint-Esprit ait la prééminence dans chaque coeur, dans chaque esprit, dans chaque âme, et qu’Il tire gloire du service, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

            Nous sommes vraiment content d’être encore ici ce soir pour servir au Nom de notre Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qu’Il a tant aimé qu’Il a envoyé au monde, afin que nous qui, autrefois, étions étrangers et éloignés de Dieu, nous soyons rapprochés de Lui et que nous devenions des fils de Dieu.

2          Ce soir, comme on va prier pour les malades, c’est un service différent de celui que nous tenions, nous... les services de prédication, c’est ce que nous avons eus. Et ce soir, nous avons annoncé que nous prierions pour les malades. Et nous espérons que Dieu nous accordera infiniment au-delà de toute mesure, un grand service ce soir, pour Ses pauvres enfants malades et souffrants.

            Et peut-être, au travers de... si le message de l’Evangile n’a pas saisi les coeurs de certaines personnes, ou peut-être que si notre Seigneur Jésus s’approche et apporte du secours, nous verrons Sa grande bénédiction pendant qu’Il nous assiste. Eh bien alors, peut-être que cela attrapera ceux que l’Evangile, ou la prédication de la Parole n’avait pas attrapés.

3          Encore une soirée, et puis nous devons partir ailleurs ; peut-être, on doit quitter demain soir. Et je dois me dépêcher ; j’ai beaucoup de services en perspective, ces services de prédication, avant que nous commencions sous une grande tente. Je dois aller à Mexico, et puis retourner en Alaska avant que nous commencions sous tente.

            Alors, sous tente, donc, nous irons encore pour les services de guérison. Et on dirait que partout où je vais, peu importe... je peux annoncer ; je dirai: «Je ne ferai rien d’autre que prêcher la Parole.» Mais aussitôt qu’on arrive là, alors l’appel. Ça me rend reconnaissant envers Dieu, de savoir qu’Il accomplit de grandes choses, et de voir souvent comment Il envoie même des animaux qui ne parlent pas, afin qu’on prie pour eux. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Son oeuvre, et c’est ce que je trouve.

4          Eh bien, ce soir, nous n’allons pas–nous n’allons pas prêcher, juste lire une portion de la Parole et–et peut-être parler juste un peu. Et puis, demain matin, l’école du dimanche... Eh bien, vous les visiteurs qui êtes ici, peut-être que vous venez de l’extérieur de la ville, peut-être pour un court séjour. Voici une très bonne église à fréquenter ici, c’est une... Vous devriez vous sentir le bienvenu ici, demain, je sais que vous le serez, et frère Der-... Durkes (J’aimerais l’appeler Curtz tout le temps), et frère Durkes, j’ai certainement appris à l’aimer et à le respecter en tant que véritable gentleman chrétien, un frère. J’ai rencontré cette femme ce matin, ainsi que beaucoup de braves hommes de la ville, au petit-déjeuner des Hommes d’Affaires Chrétiens ce–ce matin.

            Je suis arrivé sans pardessus. J’ai oublié mon pardessus, alors, j’ai pris celui de quelqu’un d’autre. Je ne savais pas ce qui était arrivé au mien, alors [Quelqu’un parle du manteau.–N.D.E.] et... Est-ce vrai? C’est bien ; c’est bien. J’ai donc renvoyé le sien et nous l’avons accroché. Et je pense qu’il a reçu le sien et que le mien attend à l’hôtel. C’est donc bien.

5          Et cela me rappelle une fois dans le sud, frère Moore et moi, nous allions tenir une série de réunions là-bas (Je pense que c’était à Sweetsie, en Louisiane), et nous avions environ deux ou trois cent miles [312 ou 482 km] à parcourir depuis Shreveport. J’avais déposé ma valise au-dessus, sur le porte-bagages de son grand véhicule de banlieue. En route vers là, je suis arrivé là, et nous avons perdu la valise. Tous les habits que j’avais, la Bible et tout, étaient dans la valise. Eh bien, frère Moore a dit: «Oh ! Nous l’avons probablement perdue là dans le quartier des gens de couleur.» Il a dit: «Frère Branham, vous avez certainement perdu cette valise-là.»

            Quelques amis venaient de me la donner, en Californie ; ils avaient payé environ cent dollars pour cela. Quelqu’un m’avait donné un nouveau costume bleu ; c’est soixante-dix dollars, c’était à l’intérieur. Et je portais un costume, c’est tout ce que j’avais. Ainsi donc, nous... et tout était à l’intérieur. Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, Frère Branham, vous–vous êtes tenu de perdre cela.» Il a dit: «Vous–vous–vous avez perdu cela.» Alors, il a dit: «Nous allons le signaler à la police.»

6          Un petit policier est venu et a dit: «Dites donc, le prédicateur a perdu sa valise là sur la route.»

            Il a dit: «Je vais simplement le dire... envoyer directement un télégramme et voir, demander aux autres jeunes gens de regarder le long de la route.» Là dans les marécages...?... Il a dit: «Non, vous n’avez point trouvé cela.»

            Il a dit: «Vous perdez, Frère Branham.» Il a dit: «En effet, pour commencer, si les chrétiens trouvent cela, a-t-il dit, ils vont découper ce costume-là tout en pièces pour se les envoyer les uns aux autres comme des tissus sur lesquels on a prié.» Il a dit: «Si le... Si certains de ces gens de couleur rude trouvent cela, a-t-il dit, je vais vous dire quoi, a-t-il dit, vous donc... ils garderont carrément le costume et prendront ce qui est à l’intérieur (un peu d’argent que j’avais dans ma poche, environ vingt dollars) et, a-t-il dit, et tout... Alors, vous, vous ne pouvez gagner en aucun cas.»

            J’ai dit: «Oh ! non. Eh bien, c’est en ordre.»

            Cela a donc continué, nous sommes donc allés de l’avant, nous avons prêché à la réunion là ; on n’arrivait pas à trouver cela, nulle part. Environ trois jours s’écoulèrent et je portais toujours la même chemise. Alors, frère Moore a dit: «Frère Branham, il vous faut simplement acheter des habits.»

            Et j’ai dit: «Non, eh bien, c’est en ordre.» J’ai dit: «Cela–cela. arrivera.»

            Il a dit: «Oh ! Non, c’est simplement impossible.»

7          Alors, le... ce jour-là où il s’est donc mis à dire: «Tu ne peux simplement plus faire ça, Frère Branham ; nous allons t’acheter d’autres habits ; c’est tout.» J’ai perdu cela ; je devrais être coincé là... J’aurais dû rattacher cela là-bas... J’aurais dû rattacher cela là. Nous sommes donc allés chez frère Brown, et je m’opposais toujours à cela. Alors, lui et frère Brown allaient me pousser à le faire de toute façon. Et aussitôt qu’ils se mettaient à prendre le dessus et que moi, je protestais, quelqu’un a appelé, il a dit: «On vous cherche au téléphone.» C’était un vieil homme de couleur, par là ; il a dit: «Est–est–est-ce vous monsieur Branham?»

            J’ai dit: «Oui, oui, oui.»

            «Frère Branham, j’ai certainement trouvé votre valise ; je l’ai trouvée dans le marécage, a-t-il dit, je suis en route avec cela.»

            J’ai donc retrouvé après tout la valise, après tout ce temps. Donc, il vous faut simplement avoir un peu de foi, n’est-ce pas? C’est vrai. Ça marche de toute façon. Croyez simplement cela. Jésus a dit: «Si tu peux croire, tout est possible.»

8          Frère Goad, je suis content de vous voir ce soir ; j’ai vu Henry hier soir. Je pense qu’il n’est pas ici. C’est à peine si je connais quelqu’un par ici, à part les Goad, et je vois madame Stadsklev assis ici même aussi, elle vient de Minneapolis, là. Frère Julius, son mari, c’est l’un de mes amis intimes, c’est lui qui a écrit le livre Un prophète visite l’Afrique. Il est aumônier quelque part à Greenland, ou quelque part là au nord maintenant.

            Frère Groat est le père de frère Henry. J’ai un petit quelque chose au sujet de frère Groat, je–je ne vais pas le raconter ce soir de toute façon. Donc, quelque chose qu’il avait fait à Jeffersonville, mais je vous raconterai ; nous... J’étais très malade. Son jeune garçon et lui, sa belle-fille et les autres, restaient là chez moi ; c’étaient de braves amis.

            Alors, un jour, il est sorti, nous sommes allés dans un champ de maïs pour prier. Vous vous en souvenez, Frère Groat. Je n’oublierai jamais cela ; il m’a entouré de son bras et a dit: «Maintenant, Papa Dieu, a-t-il dit, aide frère Branham.» «Papa Dieu...» Eh bien alors, Il l’a fait, Frère Groat, et nous voici. Amen. Il est notre Papa et notre Maman aussi, n’est-ce pas? Nous L’aimons de tout notre coeur...?...

9          Ainsi donc, ce soir, nous allons lire une portion des Ecritures ici. Et un texte que je veux ce soir, c’est ceci, parler juste quelques instants ; en effet, nous aimerions sortir tôt afin que vous puissiez aller demain à l’école du dimanche. Et je suis sûr que vous serez le bienvenu ici, si vous n’avez pas d’école de dimanche.

            Et demain soir, nous allons aussi, comme nous avons commencé cela, nous aurons encore un service de guérison demain soir, le Seigneur voulant. Ainsi donc, ceux qui n’entreront pas afin qu’on prie pour eux ce soir, ils le feront aussi demain soir.

            Maintenant, mon texte, c’est le–c’est le thème de ma campagne, Hébreux 13.8: Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Et comme contexte pour cela, j’aimerais lire dans Jude un passage des Ecritures que j’ai souvent lu, comme contexte, afin que vous voyiez et que vous sachiez ce pour quoi nous essayons de combattre.

10        Maintenant, je... peut-être qu’étant assis ici, voici... Si je disais, combien de méthodistes, de baptistes, de presbytériens, de catholiques, de pentecôtistes de protestants, de membres de l’Eglise de Dieu, je ne sais quoi encore ; il y en a probablement ici présents, venant de différentes dénominations. Mais j’aimerais que vous soyez vraiment à l’aise maintenant, peu importe la dénomination dont vous êtes membre. Et je ne pense pas que Dieu s’occuperait de différence au niveau de dénomination. Ce serait juste Ses enfants qui sont dans ces dénominations. Et–et chacun de nous aime son église, et nous... j’aime chacune de vos églises.

            Tenez, il y a quelque temps, il y a plusieurs années, j’étais à Little Rock une fois, je tenais un service là-bas. Et il y avait dans la réunion beaucoup de gens, qui avaient donc bloqué les tramways et tout le reste, à Little Rock.

11        Il y eut un vieil homme, un nazaréen, qui se servait de béquilles. Et le Seigneur l’avait guéri ce soir-là. Le lendemain, il a pris un très grand écriteau, qu’il a suspendu au bout de ses béquilles, pendant qu’il descendait la rue en criant à tue-tête: «Hé...?...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... besoin de cela, vous savez. Il se tapait un bon moment.

            Alors, le soir suivant... il était vraiment plein de joie et plein de bonté et de joie de Dieu pour sa guérison. J’étais en train de prêcher, il s’est directement levé dans la réunion, il a dit: «Juste un instant, Frère Branham.»

            J’ai dit: «D’accord, frère.»

            Et il a dit: «Je–j’aimerais vous poser une question.»

            J’ai dit: «C’est en ordre.»

            Il a dit: «Eh bien, à mon arrivée ici il y a quelques soirées, a-t-il dit, je–je vous ai entendu prêcher et, a-t-il dit, je me suis dit que vous étiez certainement un nazaréen.» C’est ce que lui était, voyez, un nazaréen. Et il a dit: «Et maintenant, je constate que pratiquement la plupart des gens de votre foule, ce sont des pentecôtistes ; et quelqu’un m’a dit que vous étiez pentecôtiste.» Et il a dit: «Puis, je vous ai entendu dire à l’estrade que vous aviez une carte de membre de l’Eglise baptiste.» Il a dit: «Je–je–je ne comprends simplement pas cela.»

            «Oh ! ai-je dit, c’est facile.» J’ai dit: «Je suis un baptiste pentecôtiste nazaréen.» Cela donc... Je–je suis toujours le même ce soir. Ha, ha, ha, ha.

12        Si donc quelqu’un dit: «De quoi frère Branham est-il membre?» Dites-lui que c’est un baptiste pentecôtiste nazaréen. Vous croyez qu’ils sont méthodistes, presbytériens, et je–je–je vous appartiens à vous tous. C’est vrai. En effet, j’appartiens à Christ qui est leur Maître. Lui le Maître à eux tous, c’est Lui qui a Ses enfants chez eux tous. Et ce sont tous mes frères et mes soeurs, et je les aime.

            Maintenant, j’aimerais lire juste un peu dans l’Epître de Jude, qui a été écrite trente-trois ans après la–après la Pentecôte. Et nous aimerions lire et tirer un contexte pour ici, pour ce que j’aimerais dire.

Jude, serviteur de Jésus Christ, et frère de Jacques, à ceux qui ont été appelés, qui sont aimés en Dieu le Père... et gardés pour Jésus Christ:

Que la miséricorde, la paix... la charité vous soient multipliées !

Bien aimés,... je désirais vivement vous écrire au sujet de notre salut commun, je me suis senti obligé de le faire afin de vous exhorter à combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

            Que le Seigneur ajoute Sa bénédiction à la Parole.

13        Maintenant, comme nous le comprenons, après environ trois soirées de prédication, juste notre fondement, et nous ne sommes plus inconnus les uns aux autres ; nous sommes concitoyens du Royaume de Dieu, pèlerins et étrangers sur cette terre, cherchant une Cité dont Dieu est l’Architecte et le Constructeur. Et nous ne sommes pas ici pour séduire, nous sommes ici pour nous entraider.

            Vous êtes venu ce soir, peut-être que vous n’êtes pas malade ; mais vous êtes venu soutenir la cause afin que quelqu’un d’autre, par votre foi... puisse... votre foi, unie à la mienne et à celle des autres, puisse aider notre pauvre frère et notre pauvre soeur qui sont malades et qui ont besoin d’être guéris. Si j’avais un autre motif en dehors de celui-là, je m’excuserais certainement et je quitterais la chaire.

14        Je n’aimerais jamais être trouvé un hypocrite ; je n’aimerais jamais être trouvé un séducteur. Je préférerais rester chez moi avec ma femme et mes enfants ce soir, travaillant comme garde forestier dans l’Indiana, mon ancien travail, regagner donc cela, plutôt qu’être ici, si je cherchais à séduire les gens. En effet, je saurais que, peu importe ce que je ferais donc, au bout du chemin, je serais rejeté. A quoi cela me servirait-il donc de le faire?

            Et tout le monde sait que je ne prends pas de l’argent, et je ne suis pas–je ne suis pas... Vous savez que j’évite les gens assez pour m’abstenir de la popularité, et je–je n’ai pas du tout de motifs d’être ici, ce soir, pas du tout, si ce n’est pour une seule chose: vous aider à trouver Jésus-Christ, l’unique Bien. Dieu le sait. J’essaie de mon mieux de vous aider...

15        Je crois que Dieu a placé dans l’Eglise des apôtres, des prophètes, des docteurs, des évangélistes, et tous ces dons et tous ces appels sont sans repentir. C’est Dieu qui les a placés dans l’Eglise. Dieu le fait par Sa volonté souveraine, Sa préordination, par la prescience. Dieu savait avant la fondation du monde qui serait qui ; ainsi donc, Il a pu mettre cela en ordre, dire et faire marcher cela pour Son bien.

            Or, il y a donc–il y a donc neuf dons spirituels dans 1 Corinthiens 12, qui opèrent dans l’église. Eh bien, ils peuvent bien être sur n’importe qui. Voyez? Ils sont juste sur l’église. Cet homme ici peut prophétiser ce soir, et–et ça sera l’exacte vérité, mais cela ne fait pas de lui un prophète. Un prophète et un pro-... et un don de prophétie, ce sont deux choses tout à fait différentes. Un–un don de prophétie a... peut ne même pas être spirituel ; il doit être jugé par trois juges spirituels.

            Un message en langues doit l’être avant que l’église le reçoive. Paul a dit: «Que deux ou trois jugent (Voyez?), par le discernement de l’Esprit, avant que cela soit accepté dans l’église.» Et cet homme peut prophétiser ce soir et ne plus jamais prophétiser le reste de sa vie. Demain soir, cela peut être sur cette femme assise ici, sur cet homme qui est là derrière. Voyez, c’est dans le corps des croyants, et tous les neuf dons spirituels devraient être dans chaque corps local, opérant pour manifester l’église.

16        Mais Dieu, pour le perfectionnement de l’Eglise, a placé dans l’église des apôtres. Vous direz: «Apôtres?» Oui, oui. Eh bien, comment les gens ont-ils donc changé leur nom et s’appeler missionnaires plutôt qu’apôtres? Je ne sais pas. Un missionnaire et un apôtre, c’est exactement la même chose, le même mot: Un envoyé, c’est vrai. Un missionnaire est un apôtre.

            Ainsi, ils... un apôtre est un missionnaire. C’est un envoyé. Et quand un homme se sent conduit par Dieu, il est envoyé de Dieu pour aller en Afrique, en Inde, cela fait de lui un apôtre et... ou un missionnaire, n’importe comment vous voulez appeler cela.

            Il y a donc des apôtres, des prophètes, des docteurs, des évangélistes et autres. Ils sont choisis par Dieu seul. Peu importe combien vous fréquentez l’école, quelle bonne instruction vous avez acquise, quelle bonne... ce que vous aimeriez prêcher, si Dieu ne vous a pas appelé à être un prédicateur, vous ne réussirez jamais. C’est vrai. Vous serez juste une pierre d’achoppement sur le chemin d’un vrai prédicateur. C’est exact. «Les dons et les appels sont sans repentir.» Correct.

            Je préférerais que mon jeune garçon devienne un prédicateur plutôt que n’importe quoi que je connaisse, mais c’est Dieu qui aura à le faire. Je... Personne d’autre ne peut le faire. C’est vrai, c’est Dieu qui aura à le faire.

17        Ainsi donc, à ce sujet, Jésus a levé le... J’aimerais savoir ce soir avant de commencer: Combien y en a-t-il ici qui croient réellement que le...?... Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts? Faites voir les mains. Croyez-vous cela? Très bien. S’Il est ressuscité d’entre les morts, Il doit donc être le même hier, aujourd’hui et éternellement ; est-ce vrai? Il doit donc être le même en essence, le même quant à la puissance, et tout ce qu’Il était, sauf le–le corps physique ; Il l’est ce soir. Ne croyez-vous pas cela? Il est venu de Dieu. Il était ici sur terre. Il était venu de l’Esprit. Il était avec le Père avant la fondation du monde. Il était le Logos qui était sorti de Dieu.

            Et puis, quand Il... Puis, Il s’est fait chair, Il a habité parmi nous. Et alors, nous pouvons Le toucher avec nos mains. Puis, Il est de nouveau retourné à Dieu. Il a dit: «Je suis venu de Dieu et Je retourne à Dieu.»

            Y avez-vous déjà pensé, comment Dieu s’est humilié pour aimer l’homme? Si jamais vous en aviez le vrai tableau dans le coeur, frères, je peux vous le dire, cela vous fendrait le coeur.

18        Dieu au commencement, dans le–le Christ, dans la Colonne de Feu, Il s’est posé sur le sommet de la montagne. Et même quand Sa Présence était si proche que même la... si une bête touchait cette montagne, elle aurait été absolument tuée avec une–avec une flèche. Oui, oui. Personne ne pouvait Le toucher.

            Maintenant, suivez. Premièrement, Il ne pouvait pas être vu ; ensuite, Il est venu ici dans une Lumière mystique, alors on pouvait Le voir. Mais personne ne pouvait s’approcher de Lui. Puis, Il se révèle, descend et se revêt de la chair humaine, quand bien même Il naquit d’une vierge, différemment des hommes, des hommes ordinaires. Il n’y a personne qui soit jamais né comme cela auparavant. C’était cette même Personne qui était sur le... avec Moïse dans le buisson. Il était le Rocher qui était avec Moïse dans le désert. Il était l’Ange qui était dans le buisson ardent. Il était le JE SUIS. Ainsi donc, ici, Il était dans un corps humain en ce moment-là, se manifestant dans un corps de chair. Il est descendu dans le corps de cette vierge ; en effet, Il est pur et saint, Il ne pouvait pas venir dans quelque chose de souillé.

19        Ainsi donc, Il a fait cela pour donner ce sang humain... Eh bien, comme cet homme disait: «Oh ! J’ai été sauvé par un Juif. Je... Le sang d’un Juif m’a sauvé.» Non, ce n’est pas le sang d’un Juif qui vous a sauvé. C’est le Sang de Dieu qui vous a sauvé. Il n’était ni Juif ni Gentil ; Il était Dieu. Ainsi donc, si c’était un Juif, eh bien.–eh bien alors, Il–Il avait un... Si Son sang était–était d’un Juif, alors Il avait un père terrestre. Mais Son Sang était un sang créé. En fait Jéhovah-Dieu, Son Père, avait créé une cellule de Sang dans le sein de Marie, et cela a donné naissance à un Fils, Jésus-Christ, qui était un Tabernacle pour que le Dieu Tout-Puissant y habite pendant qu’Il était ici sur terre. Et le Corps a été livré au Calvaire en sacrifice pour nous racheter, vous et moi, sans–sans condition, comme Dieu avait convenu avec Abraham, afin que Lui-même puisse revenir vivre en nous et nous aimer, et nous L’adorons, et Il nous courtise en nous attirant vers Lui. C’est exact.

20        C’est cela l’histoire, Dieu venant frayer une voie. Quelque chose que nous ne pouvions pas faire, Il l’a fait pour nous. C’est cela toute l’histoire. Cela réside là-dedans, que Dieu est descendu dans Son Fils, Jésus-Christ, Il est mort pour vos péchés, afin que vous l’indigne... Et il n’y a rien que vous puissiez faire à ce sujet. Cependant, par l’amour et la grâce de Dieu, Il vous appelle à Lui. Quand vous acceptez cela, vous n’êtes alors toujours pas juste. Mais Dieu ne vous voit pas, Il ne voit que ce qui est juste. Voyez? En effet, Il vous regarde au travers du Sang rouge de Son Fils. Et comme je le disais l’autre soir, le rouge regardé au travers du rouge paraît blanc. Et vous êtes–vous êtes racheté par le Sang précieux du Seigneur Jésus-Christ.

            Et le Seigneur Jésus, Il est... Lui, sous forme du Saint-Esprit, la troisième Personne, est ici ce soir dans Sa résurrection, accomplissant dans Son Eglise la même chose qu’Il avait accomplie quand Il était ici, pour continuer l’oeuvre jusqu’à ce que le dernier ennemi soit placé sous Ses pieds. C’est aussi clair que je connaisse l’Evangile. C’est très simple ; il n’y a rien de compliqué à ce sujet.

21        Maintenant, ici Jude disait, après environ trente-trois ans après la Pentecôte, il disait: «Je désirais vivement vous écrire au sujet de notre salut commun. Je me suis senti obligé de le faire afin de vous exhorter à combattre ardemment pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.»

            Or, si je demande: «Frères méthodistes, est-ce que votre église combat pour cette foi-là?»

            «Amen, Frère Branham.» Frères baptistes, est-ce que la vôtre le fait?

            «Oui, oui, Frère Branham.» Pentecôtistes, et la vôtre?

            «Oui, oui, Frère Branham.» Catholiques, et la vôtre?

            «Oui, oui, monsieur Branham.» Voyez? Tout le monde dira: «Mon église combat pour cette foi-là aujourd’hui.»

            Eh bien, j’aimerais dire: «C’est une bonne chose.» Mais combattez-vous pour toute la foi? Vous voyez, c’est là ma question.

22        Eh bien, il y a... Voyons donc... Rappelez-vous donc, je vous ai parlé de différentes dénominations, mais voyons donc... Il doit y avoir quelqu’un qui est dans le vrai et quelqu’un qui est dans l’erreur. Il ne peut pas y avoir trop de confusion. Et je vous le dis, là où en principe se trouve le faux, Dieu est dans chacune des églises, mais le petit pont que nous nous jetons entre les uns et les autres nous sépare. Si nous tous, nous pouvions... Si le méthodiste pouvait dire au baptiste: «Frère», et eux tous s’associaient pour dire: «En avant soldats chrétiens», alors les petites barrières disparaîtraient comme cela ; nous irions droit de l’avant. Et Dieu accomplirait simplement des prodiges dans Son Eglise. Et Il se révélerait à tout le monde.

            Mais maintenant, là où nous nous tenons ce soir, et la façon–la façon dont cela devait être du temps de Jude, il a dit: «Or, j’aimerais que vous combattiez ardemment pour la foi.»

            Or, il y a longtemps, quelqu’un me disait, il disait: «Frère Branham, cela est contraire à ma foi.»

            J’ai dit: «Quel genre de foi avez-vous? Il n’y a qu’une seule foi.» Une seule foi, un seul Seigneur, un seul baptême ; est-ce vrai? Voyez, il n’y a qu’une seule foi, et c’est la foi chrétienne. C’est vrai. Il n’y a pas de foi méthodiste ni de foi baptiste, ni de foi pentecôtiste ni de foi catholique, qui soient différentes. Il n’y a qu’une seule foi. Et c’est la foi dans le Seigneur Jésus-Christ. Eh bien, cela devrait être assez simple pour que les enfants puissent le comprendre.

23        Maintenant, suivez, ils sont donc... Tel que nous sommes ce soir, nous avons... La Parole de Dieu nous ordonne de combattre ardemment ; c’est l’unique passage de la Bible que je puisse trouver, où nous sommes censés combattre. Nous ne sommes pas censés avoir des disputes, comme quand nous combattons pour la mauvaise chose. Nous soutenons que l’Eglise méthodiste, l’Eglise pentecôtiste, sont dans le vrai, et que les autres sont en erreur. Voyez? Là, c’est un mauvais combat. Voyez? Mais nous devrions combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, la foi qui a été transmise une fois pour toutes.

            Eh bien alors, si chacun de nous affirmait que c’est la foi de son église... Eh bien, il n’y a qu’un seul moyen pour régler cela correctement dans nos coeurs et dans nos esprits. Et si vous me supportez (Je surveille l’horloge) pendant les vingt prochaines minutes, nous essayerons de commencer la ligne de prière à vingt et une heures pile, afin que nous puissions sortir à vingt et une heures trente. Cela vous donnera beaucoup de temps pour retourner à la maison. Eh bien, je n’aimerais pas prêcher ; en effet, je–je priais tout l’après midi et autres, pour l’onction du Saint-Esprit. Vous savez tous que c’est une onction différente, c’est quelque chose qui est... que je ne peux pas expliquer.

24        Eh bien, si nous allons découvrir maintenant même quelle est la foi pour laquelle nous combattons, et que cette foi-là est celle qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, il nous faudra retourner à cette époque-là pour découvrir quel genre de foi ils avaient. Et alors, nous pourrons dire si réellement nous combattons pour cette foi-là. Est-ce assez raisonnable? Nous retournons dans la Bible. Et maintenant, rappelez-vous, je suis un méthodiste, presbytérien, luthérien, pentecôtiste, tout, je–je... tout cela, je le suis. Voyez?

            Eh bien, retournons pour découvrir ce qui est vrai et ce qui est faux. La Bible devrait offrir un fondement solide. Ne le croyez-vous pas? Et je crois de tout mon coeur que Ceci est la Parole pure de Dieu. Je crois que tout ce qui est contraire à Ceci, c’est une erreur. Est-ce que tout le monde comprend cela? Je ne crois pas qu’il y ait quelqu’un sur terre aujourd’hui qui ait la puissance de guérir les malades. Je ne le crois pas. Je ne crois pas qu’il y ait quelqu’un sur terre aujourd’hui qui puisse pardonner le péché comme Dieu le ferait.

            Et Dieu ne pardonne pas vos péchés maintenant. Dieu ne vous guérit pas maintenant. Il l’a déjà fait. C’est une oeuvre achevée au Calvaire. Et notre foi repose sur ce que Dieu a déjà accompli pour nous.

25        Eh bien, c’est Jésus qui guérit, Il a dit: «C’est par Ses meurtrissures, a dit l’apôtre, que nous avons été...» Et avons été, c’est au passé. Nous avons déjà été guéris, là.

            Vous direz: «Frère Branham, je suis sauvé il y a un an.» Non, vous avez été sauvé il y a mille neuf cents ans ; vous avez accepté cela il y a un an. Voyez?

            Et vous étiez, chacun de vous ici ce soir qui est malade, vous avez tous été guéris là-bas il y a mille neuf cents ans, quand Jésus mourut au Calvaire. L’unique moyen par lequel... tout ce que vous pouvez faire ce soir, c’est accepter ce que Jésus a déjà fait. Et si Jésus a déjà payé le prix, à quoi servirait-il de faire... que puis-je faire pour payer le prix?

            Eh bien, nous vivons en un jour où il y a beaucoup de fanatisme rattaché à la Bible, tant sur le plan spirituel pour votre âme que sur le plan de la guérison du corps. Il y a beaucoup de fanatiques. Mais les fanatiques ne font que confirmer qu’il y a un véritable. Si je ramassais un dollar et que c’était un faux dollar, alors, je sais que si c’est un faux, c’est qu’il doit y avoir un véritable à partir duquel il a été contrefait. Voyez? Donc, un fanatique ne fait que confirmer qu’il y a un véritable et authentique quelque part. C’est vrai.

26        Maintenant, retournons au commencement. Eh bien, la première fois qu’ils ont été appelés saints, c’était dans le Nouveau Testament. Nous parlons du Nouveau Testament ; je pense, Luc 16.16 dit: «La loi et les prophètes ont subsisté jusqu’à Jean; depuis lors, le Royaume de Dieu est annoncé.»

            Eh bien, nous aurons à voir, Jean était juste l’arche, ou plutôt la brèche entre la loi et la grâce, quand il est venu faire la brèche à la voie. Il n’avait pas du tout accompli des miracles ; il était un grand prédicateur de–de la repentance. Savez-vous que ces esprits reviennent toujours? Croyez-vous cela? Assurément, certainement qu’ils reviennent. Ne savez-vous pas qu’aujourd’hui, dans le pays, le prédicateur qui a un grand message de la repentance qui dépasse n’importe qui dont j’aie jamais entendu parler depuis Charles Finney, c’est Billy Graham? Votre jeune homme d’ici dans ce pays ici, certainement. Je n’ai jamais entendu un homme avec un tel message de repentance comme Billy Graham. Voici cet esprit-là. Et cela est un précurseur de la Venue du Seigneur Jésus. C’est exact.

27        Puis Jésus vint ; Il n’était pas tellement un prédicateur comme ce que nous appellerions prédicateur ; en effet, il est dit qu’Il n’avait jamais élevé Sa voix dans les rues et autres. C’est Jean qui était grand, rude ; il allait prendre cela et tailler cela en pièces, et briser cela: «Il ne t’est pas permis de l’avoir.» Mais Jésus était une Personne du genre calme. Mais Dieu était avec Lui, Il accomplissait des miracles, Il faisait des oeuvres, des signes et des prodiges, et cela suivait directement le ministère de Jean, le soutenant.

28        Maintenant, observez donc, alors que Jean était le plus grand de tous les prophètes, a dit Jésus. En effet, tous les prophètes attendaient impatiemment la Venue du Seigneur Jésus, quoi qu’ils aient accompli beaucoup de miracles, Jean n’a pas du tout accompli des miracles, mais c’était lui qui avait présenté Jésus au monde. Cela a fait de lui le plus grand. Eux tous attendaient impatiemment Sa Venue ; eux tous attendaient impatiemment ce grand moment, et Jean a eu le privilège de dire: «Voici l’Agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde.» C’était lui.

29        Et puis, le ministère de Jean a pris fin là même, et Jésus a commencé. Il est allé au désert, Il a été tenté pendant quarante jours par le diable, lors du jeûne. Il est ressorti, et aussitôt.... Observons-Le donc. En effet, c’est Lui qui a introduit la foi chrétienne. Etes-vous tous prêts à accepter cela, que c’est Jésus qui a introduit cela? Si nous pouvons voir ce qu’Il a donné à l’Eglise, c’est certainement donc cela la foi dont Jude parlait, qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, ou à ceux qui sont sanctifiés. D’accord.

            Observez-Le maintenant, la première chose qu’Il commence, quand Il sort du désert, Il se met à prêcher, à prier et à guérir les malades. C’est vrai. Il commence par un grand ministère de guérison, non pas juste guérir les malades. Beaucoup de gens commencent à venir vers Lui. Il priait et leur imposait les mains, et ils étaient guéris. De grandes oeuvres étaient accomplies dans Son ministère.

30        Maintenant, nous allons commencer, de mémoire. Je pourrais mentionner cela ; vous pouvez noter cela sur papier si vous voulez, ces passages des Ecritures que j’aurais voulu lire. Nous pouvons commencer dans Luc ou Jean, l’un ou l’autre, au premier chapitre. Et c’est peut-être bien ou... et... de commencer avec Jean. Nous Le trouvons maintenant à un endroit où Il a–Il a trouvé des disciples. Et il y en a un parmi eux du nom de Philippe. Il a été effectivement converti. En effet, aussitôt qu’il a eu la foi, il voulait trouver quelqu’un d’autre pour l’amener à être sauvé. C’est un bon signe qu’il–qu’il a été sauvé, comme il voulait en parler à quelqu’un d’autre.

            Ainsi donc, il a contourné la colline... Je pense que la distance entre le lieu, peut-être, je dirais, n’importe... eh bien, dix, vingt miles [16 ou 32 km] ou plus, depuis l’autre côté où Jésus était en train de prêcher en ce moment-là. Il est allé trouver un bon ami à lui du nom de Nathanaël, un homme juste et pieux. Alors, quand il a trouvé Nathanaël, Nathanaël était en train de prier sous un arbre. Et alors, Philippe a dit à Nathanaël, il a dit: «Viens voir Qui j’ai trouvé: Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

            Et alors, cet homme était un homme de bien ; c’était un vrai orthodoxe. Alors, il a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Et je pense que Nathanaël lui a donné la meilleure réponse que–que... Philippe plutôt, il lui a donné la meilleure réponse qui puisse être donnée ; il a dit: «Viens, et vois.» C’est la meilleure façon de s’y prendre: venir voir. Il a dit: «Viens, et vois.»

31        Ils ont donc descendu la rue. Et quand finalement ils ont repéré Jésus... Nous ne saurions pas, peut-être qu’Il s’est avancé dans l’assistance, comme vous êtes assis. Ou peut-être qu’Il est entré dans la ligne de prière. Représentons-nous qu’Il s’est simplement avancé dans l’assistance ou qu’il était dans l’assistance. Jésus était là en train de prier pour les malades ; les pharisiens, les docteurs et les hommes religieux se tenaient là en train de regarder, de voir ce qu’Il faisait, ils Le critiquaient dans leurs coeurs. En effet, Il venait de leur dire qu’ils étaient une race de vipères dans l’herbe. Et Il a dit: «Oh ! vous race de vipères», ainsi de suite, ou de serpents. Ainsi donc, quand nous... Il a dit: «Ils ont des yeux, mais ils ne peuvent voir ; ils ont des oreilles, mais ils ne peuvent entendre.» Et pourtant, ils étaient orthodoxes au possible. Personne ne pouvait pointer du doigt leur vie, c’étaient de saints hommes, des hommes de bien, des hommes de renom, des érudits de la Bible, dépassant de loin ce que nous avons aujourd’hui.

            Ils ne devaient pas descendre, pas juste des hommes ordinaires comme nous, ils devaient descendre d’une lignée pour être un sacrificateur. Ils devaient descendre du sacerdoce lévitique, de Lévi. S’Il n’était pas né d’un homme saint, toute la lignée descendant comme cela, pour être parfaitement de bons sacrificateurs, sur toute la ligne... Et même un seul petit iota, ou quelque chose de faux, on les lapidait à mort. Ils devaient suivre la ligne. Ils devaient être orthodoxes, et tout droit comme le canon du fusil. Ils devaient être de vrais hommes. Oui, oui. Et ils devaient connaître cette loi-là. Et malgré tout cela, Jésus a dit: «Ils étaient du diable.»

32        Cela ne serait-il pas trop osé pour quelqu’un de dire cela aujourd’hui d’un homme qui a son doctorat en philosophie, son doctorat en droit, son doctorat en théologie? Et quelqu’un qui dirait qu’il est du... que son père est le diable, eh bien, il attraperait le même genre de spasme qu’eux avaient attrapé autrefois à ce sujet. Ils ne pouvaient pas... Eh bien, non, non. Eh bien...

            Voici, ils se tenaient tous là, ils passaient près de Lui, L’appelaient Rabbi et tout. Ils voulaient voir ce qu’était Sa théologie. Et ils tiraient donc leur propre conclusion. Ainsi donc, pendant qu’Il prêchait et qu’Il priait pour les malades, Nathanaël s’est avancé, Il est arrivé là, Philippe et lui ensemble. Jésus s’est retourné, Il a regardé Nathanaël droit dans les yeux et Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Eh bien, cela a fait sursauter cet homme. «Eh bien, a-t-il dit, je n’ai jamais vu cet Homme de ma vie. Comment a-t-Il su que j’étais un Israélite et qu’il n’y avait pas de fraude en moi? Eh bien, je pouvais bien être un pécheur ; je pouvais bien être un Galiléen ; je pouvais bien être n’importe quoi. Comment a-t-Il su cela? Mais Il sait que je...»

33        Si je prononce les mêmes paroles à votre égard dans le langage d’aujourd’hui, je dirais: «Voici un membre d’église, un homme honnête, un homme véridique.» Voyez?

            «Eh bien, a-t-il dit, un instant, comment m’a-t-Il connu?» Alors, il a dit: «Je pense que je vais Lui demander.» Il a dit: «Rabbi, (ou Docteur, Révérend, n’importe quel titre vous voulez donner) a-t-il dit, quand m’as-Tu connu?»

            «Eh bien, a-t-Il dit, avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

            Qu’a-t-Il dit? Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.»

            Et Jésus a dit: «Parce que Je t’ai dit cela, tu crois? Tu verras de plus grandes choses que celles-ci.»

34        Mais qu’ont dit les pharisiens? Ils ont dit: «C’est de la télépathie mentale, ou Il est le chef de tous les diseurs de bonne aventure.» «Eh bien, ont-ils dit, Il est Béelzébul, Il connaît cela parce qu’Il est diseur de bonne aventure.»

            Qu’a dit Jésus? Il a dit: «Toute sorte de péché et de blasphème seront pardonnés à l’homme, celui qui a blasphémé contre le Fils de l’homme. Mais celui qui blasphémera contre le Saint-Esprit, cela ne lui sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Et la Bible déclare qu’Il a dit cela parce qu’ils disaient: «Il a un mauvais esprit.» Savez-vous qu’il y a un danger là? Faites attention. Marchons donc humblement. Voyez, nous ne faisons plus de la religion ; ces jours-là sont passés. Nous vivons dans l’Eglise maintenant. Il a dit: «Si vous dites un mot contre le Saint-Esprit, cela ne vous sera jamais pardonné.»

35        Or, Jésus n’avait pas encore été glorifié. La cellule de Sang n’avait donc pas été brisée. Mais celui qui blasphémait contre Jésus et disait...: Qu’est-ce qu’un blasphème contre le Saint-Esprit donc? C’est taxer du diable l’oeuvre de Dieu. Faites donc attention. Cela ne sera jamais pardonné, nulle part, pas du tout, cela ne sera jamais pardonné. Quiconque dira que les oeuvres de Dieu sont du diable, Jésus a dit: «Cela ne sera jamais pardonné.» Faites donc attention à la façon dont vous taxez l’oeuvre de Dieu: de fanatisme, ou de télépathie mentale, ou de l’oeuvre de spirite, ou de quelque chose de ce genre ; vous feriez mieux de faire attention. Mais c’était là leur attitude. Et je regrette de le dire, c’est encore leur attitude.

36        Eh bien, rappelez-vous, Dieu ne retire jamais Son Esprit de la terre. Dieu retire Son homme, mais jamais Son Esprit. Saviez-vous cela? Il a retiré Elie, et l’Esprit d’Elie est venu sur Elisée. Est-ce vrai? Il est descendu sur–sur Jean-Baptiste, et Il est encore prédit pour les derniers jours. Voyez?

            Le diable retire son homme, mais jamais l’esprit, le même esprit. Rappelez-vous, ces enseignants religieux, et ces braves prédicateurs de jadis, très hautement cultivés et raffinés à l’extrême, avec leurs diplômes, cependant ce même genre d’esprit existe aujourd’hui, et c’est du diable.

37        Le péché, c’est quoi? L’incrédulité. Peu importe à quel point vous êtes raffiné, si vous essayez de placer les jours des miracles dans le passé, et que cela n’existe pas, et vous expliquez cela de travers, il n’y a qu’un seul mot pour vous frère: Vous êtes un incrédule. Exact. C’est la Parole de Dieu, tout aussi claire que possible. Rappelez-vous, je m’attends à être persécuté à cause de cela. Jésus a dit: «S’ils ont taxé le Maître de la maison de Bél-... Béelzébul, de quels noms taxeront-ils Ses disciples?» Vous pouvez vous attendre à cela. Et si cela n’arrivait pas, nous serions très déçus ; c’est qu’il y a quelque chose de faux.

            Mais remarquez donc, maintenant, nous allons juste un peu plus loin alors que nous continuons à parler de Lui. Nous voyons Son ministère prospérer. Un jour, il y eut une femme à la perte de sang. Elle avait entendu parler de Jésus. Et Jésus était allé ressusciter une jeune fille morte, Il avait traversé la mer, Il avait ressuscité cette jeune fille morte. Et sur Son chemin pour aller ressusciter la jeune fille, eh bien, cette femme à la perte de sang, ayant entendu parler de Lui, s’était dit: «Si seulement je peux toucher Son vêtement, je serai guérie.»

38        Eh bien, elle avait été frappée par l’hémorragie pendant des années et des années. Elle avait dépensé tout son argent, le payant aux–aux médecins, et ceux-ci n’arrivaient à rien faire de bon pour elle. Elle avait donc entendu dire que Jésus était là à la rivière, ou au lac. Alors, elle s’est frayé son chemin à travers la foule et avait touché Son vêtement, elle avait fait demi-tour et était rentrée dans l’assistance. Jésus s’est arrêté, Il a dit: «Qui M’a touché?»

            Et tout le monde a nié cela ; personne ne l’avait fait. Jésus a dit: «Mais J’ai connu que la vertu était sortie de Moi.» La vertu, c’est quoi? La force. «J’ai connu que Je suis devenu faible. Quelqu’un M’a touché.»

            Et les apôtres ont dit: «Eh bien, tout le monde Te touche.»

            Eh bien, c’est ce qui se passe aujourd’hui. Avec votre instruction, votre imagination, vous pouvez faire toutes sortes de toucher, mais je ne... ce n’est pas de ce toucher-là que nous parlons. Nous parlons du toucher qui produit un résultat, qui tire une vertu.

39        Eh bien, s’Il a pu être touché en ce jour-là par le sentiment de leurs infirmités, la Bible nous dit dans Hébreux qu’Il peut être touché aujourd’hui par le sentiment de nos infirmités. Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Est-ce vrai? Si vous parvenez donc à Le toucher aujourd’hui, vous devez avoir le même résultat que cette femme-là, s’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il est parmi les gens ce soir.

            Et s’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il est parmi les gens ce soir, la même chose doit arriver aujourd’hui, sinon Il n’est pas Jésus ressuscité, ressuscité d’entre les morts. Nous avons eu un autre esprit sur nous, ou nous avons eu une autre théologie que nous enseignons, mais Il n’est pas le même Jésus, s’Il ne fait pas la même chose. Amen. Comprenez-vous cela? Il doit être le même.

40        Alors, la femme Le toucha et s’éloigna de Lui. Et Lui connut que quelqu’un L’avait touché, Il a donc regardé, Il a dit: «Qui M’a touché?»

            Tout le monde disait: «Pas moi.»

            La petite femme a dit: «Pas moi.»

            Eux tous: «Pas moi.»

            Alors, l’apôtre a dit: «Voici, eh bien, tout le monde Te touche. Pourquoi dire: ‘Qui M’a touché?’»

            Il a dit: «Mais Je suis devenu faible ; quelqu’un M’a touché.» Il a promené le regard jusqu’à ce que ces yeux sacrés repèrent la petite femme. Il l’a désignée, disant: «Ta foi t’a guérie maintenant.» Voyez-vous cela?

            Or, s’Il est ressuscité d’entre les morts, Il doit faire la même chose maintenant, sinon Il n’est pas Jésus. Ce n’est pas le même Jésus. Si vous adorez un esprit qui n’est pas ce genre d’esprit, alors vous avez un mauvais esprit. Est-ce vrai? Maintenant, vous pouvez peser cela avec votre église.

41        Eh bien, c’est là la foi qui a été présentée aux chrétiens de l’époque primitive, aux saints. Voyez-vous ce que je veux dire? Il est monté en haut. Un jour, Il allait à Jéricho. Mais Il Lui fallait passer par la Samarie. Je me demande pourquoi. Eh bien, la Samarie se trouve en haut, de ce côté-ci, et Jéricho se trouve en bas, de ce côté-ci. Jérusalem est sur une colline, Jéricho se trouve ici, et Samarie se trouve de ce côté-ci. Au lieu de suivre directement ce chemin-là, Il a fait un détour dans cette direction. Il a contourné par le chemin de Samarie. Oh ! Vous devriez une fois voir l’Orient ; je dois y retourner une fois de plus d’ici quelques semaines.

            Remarquez, et là... J’aurais bien voulu que nous ayons le temps d’aborder cela, mais nous n’en avons pas, d’expliquer la disposition, afin que vous compreniez mieux cela, mais saisissez simplement ceci. Je prie que le Saint-Esprit vous l’apporte directement au travers de ces mots mélangés, afin que vous voyiez, et l’enseignement.

42        Alors, Il est monté par la voie de la Samarie, et quand Il est arrivé là... Je vais revenir de nouveau à ceci d’ici quelques minutes. Mais à cause du temps, je vais simplement vous en donner les points principaux ici.

            Et après qu’Il eut renvoyé Ses disciples dans la ville... Généralement, le puits est en dehors de la ville, là où ils allaient tous puiser leur eau. Les femmes y allaient en causant, et elles déposaient leurs cruches par terre, vous savez, et puisaient de l’eau, et tout.

            Alors, il est arrivé qu’il y avait... et pour–pour avoir le contexte ce soir, je vais dire qu’elle était une femme de mauvaise vie ; elle ne l’était pas. Mais je vais dire qu’elle était une femme de mauvaise vie. Elle habitait dans une ville et elle avait cinq maris.

            Les disciples étaient donc entrés dans la ville pour voir s’ils ne pouvaient pas avoir quelques vivres ou quelque chose comme cela. Et en leur absence... Généralement, ils ont un... comme une vigne qui pousse sur un mur. Et ces puits sont généralement arrangés là en dessous, à l’ombre. Et alors, le–le vieux treuil... Beaucoup parmi vous savent ce que c’est. On fait descendre la cruche. On enroule une histoire autour de cela et on fait descendre ça. Cela penche de côté, ça se retourne, ça se remplit, et puis, on fait remonter cela.

43        Alors, pendant que Jésus était assis là seul, personne là, une dame sortit de la ville, elle vint puiser de l’eau. Elle était une Samaritaine. Et un Samaritain est mi–Juif mi-Gentil, c’est une espèce de métis. Ils se disputaient beaucoup à l’époque. Alors, pendant que Jésus était assis là, cette femme samaritaine est venue puiser de l’eau, et Il lui a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Et elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez à nous les Samaritains pareille chose.» Un homme et une femme en train de converser...

            Il a dit: «Si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire. Et Je t’aurais apporté de l’eau que tu n’es point venue puiser ici.»

            «Eh bien, a-t-elle dit, le puits est profond, et Tu n’as rien pour puiser, quand as-Tu puisé cette eau? Mais nos pères ont adoré sur cette montagne et vous, vous dites que c’est à Jérusalem que les hommes doivent adorer Dieu.»

            Il a dit: «L’heure vient et elle est déjà venue où ils n’adoreront plus ici ni à Jérusalem.» Et la conversation s’est poursuivie.

44        Eh bien, peu après, je vous ai expliqué pourquoi Il lui parlait. Je vais le faire maintenant. Il cherchait à saisir son esprit. Et aussitôt qu’Il a découvert son problème, Il lui avait parlé assez longtemps pour saisir son esprit et voir là où était son problème. Le Père Lui avait dit d’aller là. Mais Il ne savait pas ce qui allait se passer une fois arrivé là ; tout ce qu’Il savait, c’était juste–c’était juste parler à la femme. Ce que la vision Lui avait montré, mais Il devait simplement aller là et parler à la femme. Quand Il a découvert où était son problème, Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est vrai ; tu en as eu cinq.»

            Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète.»

45        Maintenant, écoutez. Etes-vous prêts? Dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Ceci peut vous choquer très durement. Eh bien, remarquez ce que les Paroles... Saint Jean, nous sommes toujours dans Jean, chapitre 4. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Maintenant, nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses.» Mais elle ne savait pas Qui Il était.

            Eh bien, quel est donc le signe du Messie? Ces oeuvres-là. Voyez? Elle a dit: «Tu dois être un Prophète. En effet, je sais que quand le Messie sera venu... Nous savons, nous les Samaritains, on nous a appris à attendre le Messie. En effet, ces signes seront sur le Messie.» Elle a dit: «Quand le Messie sera venu, Il fera ces choses.» Mais elle n’arrivait pas à comprendre Qui Il était.

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Et sur ce, elle laissa sa cruche d’eau et entra dans la ville en courant, et dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit...» Voyez?

46        Eh bien, si c’était cela le signe du Messie en ce jour-là, et qu’Il est ressuscité d’entre les morts, ça doit être le signe du Messie aujourd’hui. Est-ce clair? C’est le signe du Messie aujourd’hui.

            Eh bien, oh ! comme nous pourrons continuer, et continuer ; notre temps s’écoule vite. Je pense que Pierre a bien expliqué cela le jour de la Pentecôte quand il a dit: «Hommes Israélites, Jésus de Nazareth, un Homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par des signes et des prodiges qu’Il a opérés par Lui, comme vous êtes aussi témoins...» Je pense que c’est cela l’explication à l’église ; ne le pensez-vous pas?

            Je pense que–que quand Nicodème vint de nuit auprès de Jésus, écoutez-le. Il a dit: «Rabbi...» Eh bien, il représentait l’Eglise orthodoxe, et c’est pareil pour beaucoup aujourd’hui. «Rabbi, nous (pharisiens, la grande église), nous savons que Tu es un Prophète envoyé de Dieu, ou un Homme envoyé de Dieu (Docteur plutôt, je pense que c’est le mot qu’il a utilisé)... Nous savons que Tu es un Docteur envoyé de Dieu, car aucun homme ne peut faire les oeuvres que Tu fais si–si Dieu n’était avec lui.» Est-ce exact?

47        Maintenant, il a exprimé... Mais pourquoi ne le faisaient-ils pas? Parce qu’ils étaient si–si organisés en dénomination, si raides et empesés ; pharisiens, sadducéens, publicains, hérodiens, tous. Ils avaient tellement organisé leurs sectes que si le sacrificateur, le souverain sacrificateur avait pris une décision: «Si quelqu’un croit en Lui, il sera excommunié de l’église»... C’est le même esprit aujourd’hui, n’est-ce pas?

            Et puis, si c’est le même esprit de persécution aujourd’hui, il doit y avoir le même genre d’esprit que cela persécute. Juste au moment où Jésus entrait en scène, Judas est entré en scène. Juste au moment où Jésus a quitté la scène, Judas a quitté la scène. Juste au moment où le Saint-Esprit est venu, l’esprit antichrist est venu. Ainsi donc, l’antichrist est en train de se manifester, et le Saint-Esprit est en train de se manifester, ici même à la fin. Voyez-vous cela? Parfait, cela ne donne pas lieu à l’incrédulité, à moins que vous soyez né pour cela.

48        Maintenant, écoutez attentivement. Jésus de Nazareth... Quelques Juifs, pas les Juifs, mais il y eut quelques-uns parmi les Grecs qui vinrent également, c’étaient des érudits, et ils dirent: «Messieurs, nous voudrions voir Jésus.» Ils voulaient Le voir. Et je pense que ce serait le désir du coeur de chaque homme, chaque femme, chaque jeune garçon et chaque jeune fille ici ce soir: Vous aimeriez voir Jésus.

            Eh bien alors, s’Il est le même ce soir qu’autrefois, excepté le corps physique, alors quel genre de Personne devrions-nous chercher? Nous... Allons–nous chercher un clochard? Non. Allons-nous chercher un homme habillé de façon très somptueuse, en robes et diverses choses différentes de ce que les autres hommes portent? Non, non. Il était si ordinaire parmi les hommes qu’Il faisait des va-et-vient au milieu d’eux sans qu’ils sachent même Qui Il était.

            Allons-nous chercher un Homme au langage agréable et mielleux, ou avec une–une instruction telle qu’Il parlerait pratiquement en langues inconnues pour les gens ordinaires? La Bible dit dans Luc que les gens du peuple L’écoutaient avec joie.

            Allons-nous chercher un Homme qui était accepté par la haute classe? Absolument pas. Il était condamné par les gens de la haute classe. Les sacrificateurs Le condamnaient. Les religieux de l’époque Le condamnaient, et ils avaient fini par Le tuer. Il était haï de ces gens-là.

49        Maintenant, attentivement... Allons-nous trouver un Homme qui va çà et là disant: «J’ai la puissance de guérir»? Absolument pas. Jésus a dit: «Ce n’est pas Moi qui accomplis les oeuvres.» Jésus ne prétendait pas être un Guérisseur divin. Combien le savent? Dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Jésus disait: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi ; c’est Lui qui fait les oeuvres.» Est-ce vrai?

            Eh bien, allons-nous chercher un Homme qui descend la route et fait marcher tous les boiteux qui entrent en contact avec Lui, qui fait voir chaque aveugle et qui fait entendre chaque sourd? Ferait-Il cela? Absolument pas. Il ne l’a pas fait.

50        Eh bien, tournons une autre page, Saint Jean 5. Maintenant, il y avait une piscine à Jérusalem, à Béthanie, la porte appelée Béthesda. Et dans cette piscine-là, autour de cette piscine, étaient couchés en grand nombre des malades. Considérez ce qu’ils étaient: Des boiteux, des aveugles, des estropiés, des paralytiques. Est-ce l’Ecriture? Des boiteux... ligne, à la fois boiteux et paralytiques, attendant le mouvement de l’eau. Car un ange descendait de temps en temps et agitait les eaux. Celui qui y descendait le premier était guéri de toute maladie dont il souffrait, s’il avait la foi. Dieu n’a jamais laissé les gens sans un remède pour la guérison, jamais, jamais.

            Vous souvenez-vous du partage des tourterelles l’autre jour? On ne les a pas découpées, ou la jeune colombe, c’était la même espèce que la tourterelle. Mais il découpa la génisse, le bélier et autres, mais il ne toucha point la tourterelle.

51        Dieu a toujours pourvu à une issue pour ceux qui veulent échapper. Alors, cet ange descendait et agitait l’eau. Pensez-vous que les gens croyaient cela? Eh bien, non. Les grosses légumes disaient: «C’est un tas de fanatisme ; c’est juste du vent qui souffle.» De l’eau agitée, c’est quoi? Vous devriez le savoir, avec tous ces lacs ici. Il y a un vent qui souffle dans un sens, un courant vient, et un autre vent renvoie cela dans un autre sens, ce qui produit l’agitation. Ce sont des eaux dangereuses. Mais le Seigneur envoyait un ange sur terre et Il faisait cela.

            Alors, voici venir Jésus, les vêtements couverts de vertu, Il passe au milieu de tous ces gens. Et beaucoup parmi vous qui lisez l’histoire, certains écrivains disent que quand l’ange agitait cette eau-là, alors la première personne à y entrer, qu’arrivait-il? Ecoutez maintenant attentivement. Toute la vertu de l’ange quittait l’eau, la première personne était guérie. Pensez-y, ils attendaient mois après mois, ils attendaient que cela revienne.

            Mais la première personne à entrer dans l’eau avec foi était guérie. Et les autres... La vertu de l’ange quittait l’eau. C’est pourquoi Jésus a dit: «Je me suis senti faible.» Les gens ne comprennent pas. Ça ne sert à rien d’essayer d’expliquer cela ; vous ne le pouvez pas ; vous devez croire cela. Nous aurions voulu avoir le temps d’aborder cela ; nous n’en avons pas. Mais c’est le... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... reviendra.

52        Voici venir le Fils de Dieu. Combien croient qu’Il était plein de compassion? Assurément. Maintenant, observez, je vais vous suspendre à un clou juste une minute, avec l’Evangile. S’Il était plein de compassion, ce que vous appelez la compassion, eh bien, ce pauvre vieux papa qui se tenait là tout estropié à cause de l’arthrite et disait: «Que quelqu’un ait pitié de moi, qu’il m’aide à entrer dans la piscine» ; cette vieille mère qui se tenait là avec un enfant hydrocéphale, et qui disait: «Que quelqu’un ait pitié de moi», une vieille mère aveugle avec une ribambelle d’enfants à la maison, qui disait: «Que quelqu’un m’aide à être la suivante», et Il les a directement dépassés, plein de compassion, et Il ne leur a point dit un mot.

            Croyez-vous toujours qu’Il est plein de compassion? Vous ne savez pas ce que c’est la compassion. Voyez? Voyez, comme je le disais l’autre soir au sujet de l’amour. La compassion humaine n’a rien en commun avec la compassion de Dieu. Nous nous embrouillons avec tout cela. Nous sommes si attachés aux sens que nous n’arrivons pas à comprendre les choses spirituelles. Il vous faut entrer dans la ligne de l’Esprit pour comprendre les choses spirituelles.

            Jésus avait plus de compassion que n’importe quel homme qui ait jamais vécu sur terre. Toute la fontaine de la compassion était en Lui, mais Il a dépassé les estropiés, les boiteux, les aveugles et les paralytiques. La Bible déclare qu’Il l’a fait. Est-ce scripturaire? Saint Jean 5, lisez cela pour vous-même.

53        Eh bien, qu’est-ce qui arriverait à Sioux Falls ici ce soir si quelqu’un passait par ici, se disant lui-même quelqu’un qui prie pour les malades, qu’on disait: «Allez là au coin, qu’il guérisse pour nous le vieil homme Jones, par ici, le vendeur des journaux, et tout comme cela, alors nous croirons cela»?

            Savez-vous ce que cela dit? Le même démon qui avait vécu autrefois: la même chose. Le même qui avait dit à Jésus: «Tiens, ordonne que ces–ces pierres deviennent du pain, laisse-moi Te voir faire cela. Accomplis un miracle ; laisse-moi Te voir faire cela ; et je croirai en Toi.»

            Il y a quelque temps, une église là dans l’Arkansas... Je prêchais ; ils ont dit: «Nous donnerons mille dollars à tout homme qui... si vous prouvez un seul cas d’une personne guérie par la puissance de Dieu; comme on l’appelle.»

54        Ce jour-là, j’ai pris avec moi trois femmes qui avaient souffert du cancer, et deux hommes estropiés ainsi que trois médecins, qui devaient rendre témoignage de cela, et nous sommes allés chez lui. J’ai dit: «Je suis venu prendre les mille dollars, afin de pouvoir les affecter aux missions à l’étranger aujourd’hui. J’ai besoin de vos mille dollars. Voici les gens dont le médecin avait dit qu’ils souffraient de cancer incurable ; voici le médecin pour en témoigner. Voici ici même un homme qui marchait sur des béquilles pendant des années et des années, il n’y avait pas d’espoir pour lui ; le voici marchant parfaitement sain et sauf. Et demandez au médecin ce qui a fait cela.»

            Il a regardé tout autour, il a dit: «Euh, oh ! eh bien, euh... Nous devons aller à Abilene, au Texas et, a-t-il dit, je vais vous dire comment nous procédons pour cela.» Il a dit: «Laissez-moi prendre une petite enfant, nous allons prendre tous nos frères et les rassembler. Et ensuite, nous prendrons un couteau et nous couperons la main de cette fillette, et puis, vous guérirez cela devant nous afin que nous puissions voir cela être accompli.»

            J’ai dit: «Vous avez besoin de la guérison mentale.» J’ai dit: «Monsieur, vous, étant un prédicateur, ça me gêne de vous le dire, mais vous êtes possédé de démon.» C’est vrai. J’ai dit: «C’est ce que le diable avait dit à mon Seigneur. Et je vais vous dire la même chose que–que mon Seigneur avait dite à votre père: ‘Arrière de moi, Satan ; tu ne tenteras pas le Seigneur ton Dieu.’» C’est vrai. Voyez?

55        Certainement ! Tout homme qui couperait la main à un enfant, c’est le diable qui avait dit: «Descends de la croix, et nous croirons en Toi» ; des conducteurs religieux: «Descends de la croix maintenant si Tu es le Christ, nous croirons en Toi.» «Ordonne que ces pierres deviennent du pain et accomplis ce miracle devant moi ; Tu as dit que Tu pouvais le faire.» Quand Il est allé dans Sa propre ville, ils ont dit: «Nous avons appris que Tu avais guéri à Capernaüm ; nous avons appris que Tu avais guéri là-bas ; laisse-nous Le voir guérir quelque chose ici.» Et Jésus s’en est allé, étonné de leur incrédulité, et Il n’a pu rien faire là. C’est le même Jésus aujourd’hui ; c’est le même Jésus. Ce n’est pas pour les incroyants ; c’est pour les croyants.

            Remarquez, alors Il passe au milieu de toute cette foule, probablement cinq fois le nombre des gens qu’il y a ici ce soir, tous estropiés, boiteux, infirmes et paralytiques. Les historiens rapportent qu’ils se poignardaient les uns les autres en cherchant à entrer pour mettre leur foi à l’épreuve face à l’ange qui était là-dedans.

56        Observez donc ce qui est arrivé. Jésus est directement passé au milieu de cette foule-là, contournant carrément cette vieille mère aveugle et un papa, contournant directement une femme paralytique qui était là, ce pauvre vieil homme aveugle qui se tenait là, Il a dépassé celui-ci couché là, tremblotant, mourant, Il est passé au milieu des autres, Il est passé à côté de l’enfant et tout ça, Il est allé là, et Il a trouvé un homme couché sur un petit grabat, un petit lit. Nous l’appellerions grabat dans le sud.  Et disons qu’il souffrait... C’était quelque chose qui n’allait pas lui faire du mal ; il en avait souffert depuis trente-huit ans ; cela avait duré. Disons qu’il souffrait de la tuberculose, ou qu’il souffrait de la prostatite, ou quelque chose comme cela. C’était quelque chose qui n’allait pas lui faire du mal. Il allait mener une vie normale. Et Jésus lui a dit: «Veux-tu être guéri?»

            Oh ! la la ! Le veux-tu? Qu’en est-il de toi? Pourquoi a-t-Il eu compassion d’un tel homme et a-t-Il laissé cet autre qui était là? Mais: «Veux-tu être guéri?»

57        Observez, c’est que Jésus savait qu’il avait fait longtemps là dans cet état. Il savait où il était. Juste une minute, nous allons aborder cela. Il a dit: «Je n’ai personne pour me jeter dans l’eau, Seigneur.» Eh bien alors, il pouvait marcher. Il a dit: «Pendant que je descends, quelqu’un (en d’autres termes) court plus vite que moi et entre là le premier.» Il pouvait marcher ; il pouvait se déplacer. Il n’était pas boiteux, ni estropié, ni aveugle, ni infirme. Il souffrait juste d’une espèce de maladie qui avait duré. Il a dit: «Pendant que je me dirige vers l’eau, quelqu’un d’autre descend avant moi.»

            Jésus a dit: «Prends ton lit, et rentre chez toi.» Cet homme a pris son lit et s’en est allé. Les Juifs l’ont attrapé, ils l’ont interrogé. Ils ont interrogé Jésus. Maintenant, Saint Jean 5.19. Ecoutez attentivement maintenant, je dois terminer. Jésus a dit, quand Il fut interrogé par les Juifs... Pensez-vous qu’Il serait interrogé ce soir? S’Il faisait une chose comme cela ici ce soir, pensez-vous qu’Il serait interrogé? Certainement, Il le serait, par le même esprit qui L’avait interrogé en ce temps-là. Mais cela...

            Si–s’il y avait là quelque chose à interroger, il y a un Esprit ici pour y réagir. Juste exactement comme Il avait fait. Ecoutez ce qu’Il a dit. Et si c’est le véritable Esprit de Dieu, Il suscitera la même réaction qu’autrefois. Si le diable demeure le même pour interroger Cela, donc Christ demeure le même pour réagir de la même façon qu’autrefois. Amen.

            Qu’a-t-Il dit? Il a dit: «En vérité, en vérité...» Cela veut dire: Absolument, absolument. Saint Jean 5.19 donc: «En vérité, en vérité, Je vous le dis: Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père ; le Fils aussi le fait pareillement.» Savez-vous que c’est dans la Bible? Saint Jean 5.19.

58        Regardez donc, Jésus-Christ n’a jamais opéré un seul miracle, ni accompli une seule oeuvre sans que Dieu Lui ait premièrement donné une vision pour faire cela. Sont-ce là Ses Paroles? «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Et tout ce que le Père fait, Il le montre au Fils. Le Père agit jusqu’à présent, le Fils aussi. En d’autres termes: «Je ne vais faire que ce que le Père m’ordonne de faire.» C’est l’Ecriture, n’est-ce pas? C’était Jésus hier.

            Si c’était là Jésus hier, cela s’appliquera de même aujourd’hui, sinon Il n’est pas ressuscité d’entre les morts. Et s’Il est ressuscité d’entre les morts, Il doit être le même aujourd’hui qu’autrefois. Est-ce clair? Amen.

59        Regardez-Le: «Je ne fais que ce que le Père Me montre de faire.» Nous aurions voulu passer une semaine là-dessus, remonter dans le passé et vous montrer que les prophètes faisaient la même chose, juste ce que Dieu montrait. Ce n’est pas un bluff, ce n’est pas une soi-disant foi, un... ; c’est quelque chose de certain.

            Eh bien, Jésus... après qu’Il eut quitté, est-ce que cela voulait dire la fin de la chose? Non, absolument pas. Ecoutez-Le alors qu’Il quittait ; Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis», ce sont toujours Ses Paroles ; Il s’adresse directement à l’Eglise. Voici quelqu’un, le... Saint Jean 5.7, je pense. Non, je vous demande pardon, Saint Jean 14.7. Il a dit: «Les oeuvres... Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» A-t-Il dit cela? Est-ce inspiré? C’est la Parole de Dieu.

            Jésus a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus.» Le monde, c’est quoi? Le mot grec cosmos, là, veut dire l’ordre du monde. Voyez? «Le monde, les incroyants ne Me verront plus.» Je présenterai cela comme ça. «Encore un peu de temps, et les incroyants ne Me verront plus ; mais vous, vous Me verrez (vous), car Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde.» «Je serai avec vous.» Et Il a aussi dit: «Je serai en vous, Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.»

            Maintenant, qu’était-ce? Les gens qui ne pouvaient voir qu’avec des yeux naturels, pour eux, comprendre avec leur entendement naturel, avec leur esprit naturel, c’est la fin pour Jésus, jusqu’au jugement. «Le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde.» Et Je est un pronom personnel qui veut dire que Jésus doit être ici le même ce soir pour chaque croyant qu’Il l’était autrefois, sinon Il n’est pas ressuscité d’entre les morts. Amen.

60        «Et vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.» Est-ce vrai? Le mot qui est utilisé là dans King James veut dire de plus grandes, mais la bonne traduction, c’est–c’est davantage ; en effet, vous ne pouvez pas faire de plus grandes. Il–Il a ressuscité les morts et Il a arrêté le cours de la nature et Il a tout fait. Pas de plus grandes en quan-... en qualité, mais de plus grandes en quantité. «Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.» Amen.

            Je suis en retard. Est-ce que les disciples ont fait cela? Le même ministère que Jésus avait, les apôtres ont continué exactement comme ils l’avaient toujours fait. Les apôtres...

            Paul passait par la Samarie, allait à Da–Damas plutôt pour arrêter les gens. Et Dieu avait là un homme du nom d’Ananias. Il était en train de prier, il l’a vu en vision. Il est entré, il a parlé à Paul, et il lui a dit que Jésus lui était apparu sur la route ; il avait vu cela en vision. Est-ce vrai?

            Regardez Pierre sur le toit de la maison, Il a eu une vision où il se voyait aller chez Corneille.

61        Regardez Paul sur l’océan, à bord d’un petit navire plein d’eau, pendant quatorze jours et quatorze nuits, sans lune ni étoile ni rien. Il n’y avait pas d’espoir, pour Paul non plus, qu’ils seraient jamais sauvés. Il est descendu dans la cloison, ou plutôt dans la cale, pour prier. Et je vois ce petit Juif réapparaître en agitant ses mains et il a dit: «Frères, ayez bon courage, car l’Ange de Dieu dont je suis serviteur s’est tenu à côté de moi hier soir et a dit: ‘Paul, ne crains point, il faut que tu comparaisses devant César, et voici, Dieu te donne tous ceux qui naviguent avec toi.’» Il a dit: «Néanmoins, j’ai vu en vision que le navire devra connaître un accident, sur un petit rivage, sur... près d’une rivière, ou quelque chose comme cela.» Il a dit: «C’est pourquoi, frères, ayez bon courage, car j’ai confiance en Dieu qu’il en sera tel qu’Il me l’a montré.»

            Est-ce là la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes? Elle doit donc être la même aujourd’hui. Et si Jésus est ressuscité d’entre les morts, Il est donc le même.

62        Notre temps s’est écoulé. J’aimerais défier votre foi. Maintenant, c’est une très forte déclaration à faire pour une personne. Mais j’aimerais vous donner cela juste de cette façon-ci, pensez à vous-même maintenant. Vous les méthodistes, baptistes, pentecôtistes, quoi que vous soyez, s’il nous faut combattre pour cette foi-là, et nous croyons que Jésus est ressuscité d’entre les morts...

            Ce même homme qui a lancé le défi cette fois-là ; j’ai dit: «On ne peut pas prouver Dieu en dehors du Surnaturel.» Car quand l’omnipotence parle, le miraculeux s’accomplit. L’omnipotence ne peut pas parler sans qu’il y ait le miraculeux. Est-ce vrai?

63        J’aimerais donc vous raconter le défi que le docteur Reedhead avait connu d’un Hindou. Et il a dit: «Oh ! Nous avons la joie, notre–notre Dieu est ressuscité d’entre les morts. Votre vieux prophète mort se trouve dans la tombe.»

            Il a dit: «Il est ressuscité?» Il a dit: «Prouvez-le-moi.»

            «Oh ! a-t-il dit, nous avons la joie.»

            Il a dit: «Eh bien, regardez ici, monsieur Reedhead [Espace vide sur la bande –N.D.E.]...?... est votre Bible?» Il a dit: «Je vais vous le dire, gentil monsieur, que chaque parole du Coran est inspirée.» Quelle disgrâce pour le christianisme ! Il a dit: «Qu’en est-il de ces autres promesses de la Bible? Il a dit que les oeuvres qu’Il accomplissait, vous les accompliriez aussi. Laissez-moi vous voir, vous les enseignants, produire cela.»

64        Alors, docteur Reedhead a dit: «Frère Branham, j’ai ratissé du pied la poussière, un chrétien vaincu.» Et il a dit: «J’ai levé la main et j’ai dit que si jamais j’avais l’occasion de vous parler, Frère Branham !» Il a dit: «Je tiens à vous parler.» Il a dit: «J’ai tellement de diplômes que je peux plâtrer les murs avec.» Il a dit: «J’ai essayé depuis l’âge de sept ans, tout...» Il a dit: «Eh bien, je décrocherai ma licence en lettres... Quand je fais ceci, je ferai ceci ; je trouverai cela.» Et il a dit: «Où est Jésus dans tout cela?»

            J’ai dit: «Il n’est dans rien de cela.»

            Il a dit: «Voulez-vous dire que les enseignants étaient en erreur?»

            J’ai dit: «Dans un sens, oui.»

            Il a dit: «Maintenant, regardez, Frère Branham, vous en tant que baptiste, vous devriez connaître la vérité.» Eh bien, c’était... Evidemment, lui aussi était baptiste, vous savez. Il a dit: «Vous devriez connaître la vérité.» Il a dit: «Mais j’ai vu des pentecôtistes donner des coups de pied aux chaises, crier, hurler, sautiller et baver, a-t-il dit, et détruire des meubles.» Il a dit: «Mais j’aimerais vous poser une question, vous qui traitez avec eux: Existe-t-il quelque chose comme le baptême du Saint-Esprit?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Quand puis-je avoir Cela?»

            J’ai dit: «Quand vous le voudrez.»

            Il a dit: «Je le veux maintenant.»

            Il est tombé sur ma table basse au salon ; et là, il a reçu le baptême du Saint-Esprit. Docteur Reedhead est le président de la grande Mission Soudanaise. Certainement.

65        J’ai dit: «Assurément, nous devons continuer ; nous avons un faux semblant, nous avons une soi-disant foi, et tout comme cela ; mais derrière tout cela, il existe un authentique Seigneur Jésus-Christ ressuscité.» Amen. C’est vrai. J’ai dit: «Certainement, le diable est en plein dedans, martelant avec tout ce qu’il peut, et donnant une fausse conception et tout le reste. Cela ne supprime pas la chose réelle. Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts.»

            Et ce soir, mon bien-aimé frère et ma bien-aimée soeur, je combats pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, selon laquelle Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts et qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Amen. Prions.

66        Notre Père céleste, Tes Paroles sont toujours vraies. Peut-être que nous n’avons pas la foi pour les confirmer, ou pour les faire revivre, mais Dieu bien-aimé, moi, de tout mon coeur, je crois que chaque Parole en est la vérité. Je Te prie d’aider ce soir cette merveilleuse assistance à recevoir et à s’abreuver de la Parole. Cela nous inspire simplement, Seigneur. Et peut-être que je dépasse l’heure. Je Te prie de Te manifester ce soir, comme quand le grand Paul prêchait le même Evangile et qu’un jeune garçon était tombé de la fenêtre et était mort ; il a posé son corps sur lui après avoir prêché ce genre d’Evangile, et la vie est revenue dans le jeune homme, après qu’il eut prêché toute la nuit.

            Ô Dieu, je Te prie d’apporter une nouvelle vie et un nouvel espoir à chaque personne qui est ici sans Dieu et sans espoir. Pour ceux qui sont sans espoir et qui sont malades, ô Dieu, que Ton Saint-Esprit vienne ce soir et accomplisse quelque chose qui fera que la foi s’élève pour recevoir Jésus-Christ comme leur Guérisseur et leur Sauveur. Je le demande au Nom de Jésus. Amen.

67        Maintenant, s’il vous plaît, vous qui êtes à la musique, soeur, très doucement: Crois seulement, juste un instant.

            Maintenant, combien ici feront ceci pour moi maintenant, juste pendant que vous prenez votre temps. Ne soyez pas nerveux. Vous êtes une assistance très gentille. Que tout le monde reste bien tranquille. Je–je vous félicite pour cela. Vous êtes l’une des assistances les plus gentilles auxquelles j’aie jamais parlé, et j’ai été à travers le monde entier. Donc vous... C’est beaucoup. Vous êtes très gentils. Je vous apprécie ; vous êtes très conservateurs, et je–j’apprécie cela. J’ai appris aujourd’hui qu’il y a ici des Allemands, des Suédois et que sais-je encore, mais vous êtes un groupe de gens gentils et je vous aime certainement et je vous apprécie.

68        Et je suis ici en tant que votre frère ; je ne prétends rien, aucune puissance pour guérir. Si je le prétendais, je serais un menteur. Je n’ai pas de puissance pour guérir. Et je le dis d’un coeur sincère ; je ne crois pas qu’il y ait quelqu’un qui ait la puissance de guérir. Absolument pas. Jésus a une fois donné à Ses disciples la puissance pour guérir, n’est-ce pas? Et ils avaient échoué, ils n’ont pas pu accomplir un miracle, ou ils ne pouvaient même pas guérir quelqu’un qui était malade, malgré toute cette puissance-là. Combien savent cela? Assurément, ils avaient échoué. On leur avait amené un enfant épileptique ; et ils étaient là en train de pousser des cris, hurlant, imposant les mains, chassant les démons. Et le démon restait là et les regardait. Certainement. Jésus a dit: «Jusqu’à quand vous supporterai-je? Amenez-le ici.» C’est vrai.

            Et ils avaient échoué, dix jours après qu’on leur eut donné la puissance de guérir les malades et de chasser les démons. Ils en avaient accompli quelques-uns, mais avec cette puissance qui leur avait été donnée, une puissance spéciale. Mais Dieu n’a jamais promis cela, à vous l’Eglise, cette puissance spéciale qu’Il avait donnée aux apôtres, mais Il a promis que si votre foi augmentait, qu’Il vous appellerait, que vous arriviez à voir ces oeuvres, alors vous devriez croire.

69        Maintenant, tout ce que n’importe quel homme peut faire en rapport avec la guérison... S’il est médecin, il peut mettre votre os en place, mais il ne peut pas guérir cela. Et si vous alliez au cabinet de médecins et que vous disiez: «Hé, doc, j’étais en train de démarrer mon véhicule à la manivelle, et je me suis fracturé le bras. Dites donc, guéris-moi cela très vite ; je dois ressortir pour terminer à démarrer ce véhicule-là à la manivelle.»

            Je pensais que vous aviez dit que le médecin était un guérisseur. Il ne l’est pas. Il n’y a qu’un seul Guérisseur, c’est Dieu. Le diable n’est pas un guérisseur ; le diable ne peut pas du tout guérir. Cela témoigne d’une faiblesse mentale, lorsque vous avez de telles pensées. Jésus a dit: «Comment Satan peut-il chasser Satan?» S’il le pouvait, son royaume serait divisé ; et il ne pourrait pas subsister. Il a fermement déclaré que Satan ne peut pas chasser Satan. Il ne peut donc pas le faire. Satan ne peut pas guérir.

70        Vous dites: «Eh bien, je connais quelqu’un qui a...» Oh ! Oui. Mais les gens y vont pensant qu’ils vont auprès de Dieu en faisant cela. C’est Dieu qui a guéri. Oui, oui. Mais c’était leur foi, leur foi personnelle en Dieu qui a accompli cela, ce n’était pas le sorcier guérisseur ni le devin, ni je ne sais quoi auprès de qui ils étaient allés, ou le oui-ja, ou ce que vous appelleriez démon... Cela est du diable ; certainement, c’est le diable. Dire la bonne aventure et toutes ces choses, c’est du diable, certainement ; tout lecteur de la Bible le sait.

            Mais Jésus-Christ vit aujourd’hui, le Fils de Dieu. Avez-vous déjà entendu parler d’un diseur de bonne aventure ou le oui-ja sortir prêcher l’Evangile, amener les gens à être sauvés? Certainement pas. Voyez? «C’est à leurs fruits qu’on les reconnaît.»

71        Et remarquez, or, si Jésus vient à l’estrade (Je ne dis pas qu’Il va venir, mais s’Il vient) et qu’Il accomplit ce soir ici à cette estrade-ci les mêmes oeuvres qu’Il avait accomplies quand Il était ici sur terre dans un corps de chair, semblable au mien ou au vôtre ce soir ; s’Il accomplit les mêmes oeuvres ici à l’estrade ce soir, vous tous, partirez-vous d’ici avec un coeur béni? Le recevrez-vous et croirez-vous cela, et continuerez-vous à L’accepter pour tout ce dont vous avez besoin? Feriez-vous cela? Si vous allez le faire, levez la main vers Lui pour dire: «Je le ferai.» Merci. Que Dieu vous bénisse. Qu’Il vous l’accorde.

            Maintenant, rappelez-vous, avant que nous commencions la ligne de prière, je ne dis pas qu’Il le fera. Je–je ne dis pas qu’Il le fera. Je suis... depuis que je... J’ai quarante-six ans, et la première vision dont je me souviens, je l’ai eue alors que j’avais environ, eh bien, pas plus de deux ans de toute façon, quand Il m’avait indiqué où j’habiterais et tout le reste, tout exact. J’étais un tout petit garçon ; Il m’a annoncé exactement ce qui arriverait. On note cela, et cela n’a jamais failli une seule fois, pas une seule fois.

72        Maintenant, observez ce qu’Il dit maintenant. Or, la vision ne guérit pas ; la vision vous donne seulement... élève votre foi au niveau où vous pouvez accepter votre guérison. Comprenez-vous ce que je veux dire? Elle élève votre foi au niveau où vous pouvez accepter votre guérison.

            Très bien. Maintenant, on a quelques cartes de prière...?... Très bien. 1 à 100? Très bien. Nous allons les aligner par ici. Nous ne pouvons pas les amener tous du coup, commençons donc à partir du numéro 1. Qui a la carte de prière numéro 1? Je ferais mieux de voir ; en effet, certains parmi eux, je vois, ils ne sont pas capables. Une dame assise dans un fauteuil, et il y a ici une dame assise ici. Qui a le numéro 1, voudriez-vous lever la main? La carte de prière numéro 1? Regardez, c’est une petite carte ; elle porte ma photo d’un côté et de le... Cela vous donne une place là, pour votre nom et adresse, afin que les gens puissent, les prédicateurs, s’ils en ont besoin, eh bien, alors ils peuvent vous suivre, suivre. Nous nous en servons dans de grandes campagnes pour les prédicateurs. Ils prennent les cartes afin qu’ils puissent suivre les gens et les amener à l’église s’ils sont... et tout.

            La carte de prière numéro 1, levez la main, si vous pouvez lever la main. Voulez-vous dire que la carte de prière numéro 1 n’est pas ici? Etes-vous sûr de l’avoir distribuée? La carte de prière numéro 2? Avez-vous la carte de prière numéro 2? Très bien. Numéro 1, 2, 3, 4, 5, tenez-vous debout ici même, si vous le pouvez. La carte de prière numéro 1, 2, 3, 4, 5 d’abord, vous les cinq premiers. Très bien.

73        Pendant qu’ils viennent, j’aimerais que vous regardiez dans cette direction-ci maintenant. J’aimerais que tout le monde soit très respectueux. Tenez-vous ici en bas, monsieur, ici de ce côté, et que quelqu’un veuille l’aider là en bas, s’il vous plaît. Très bien, très bien. 1, 2, 3, 4, 5. Voyons, il y a 1, 2, 3, 4. Très bien. Un... Il y a quelqu’un, je pense, il y a au moins... ou il manque quelques personnes, ou une personne là. Rappelez-vous, vous perdez votre place, votre place pour venir. Que vous veniez, oui ou non, ça dépend de vous, mais cela a été appelé. D’accord.

            C’est peut-être quelqu’un de sourd ; regardez la carte de quelqu’un d’autre. Je déteste voir quelqu’un manquer. Si c’est peut-être quelqu’un de sourd, il ne peut pas–il ne peut pas entendre. Regardez la carte de votre voisin et voyez si c’est la carte de prière numéro 1. C’est peut-être quelqu’un qui ne peut pas se lever, et qui a la carte de prière numéro 1. Et s’il le veut, les huissiers l’amèneront ici. D’accord. Est-ce que cette dame-là a... Est-ce que c’est la carte de prière numéro 1 là? D’accord. Je vous remercie, mon bien-aimé sourd, il ne pouvait pas entendre. Merci pour votre assistance là derrière, celui qui a fait cela. Très bien, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10. Très bien, les cartes de prière 6, 7, 8, 9, 10. Maintenant, qu’ils montent. Alors, qui... 1, 2, 3, 4 ; il y en a une qui manque là. 1, 2, 3, 4, non pas que c’est–c’est... Je pense, il y aura... 6, 7, 8, Est-ce que les cinq d’entre eux s’étaient levés? Très bien, 10, sera-ce assez, vous pensez, ou... essayer, commencer d’abord?

74        Eh bien, prenons 11, 12, 13, 14, 15. Très bien, prenons la carte de prière 11, 12, 13, 14, 15. Et vous comptez, docteur, pour vérifier s’ils viennent. Très bien, chantons doucement maintenant pendant qu’ils occupent leur place. Et les huissiers, s’il vous plaît, aidez-les là, si vous le voulez bien, juste une minute, mettre les gens en place. Très bien?

            Combien ici n’ont pas de carte de prière et aimeraient être guéris? Faites voir la main. Partout, au balcon ou n’importe où, peu importe où vous êtes. D’accord, voici ce que je vais dire: Si le Saint-Esprit entre dans la réunion, et si vous regardez de ce côté-ci et que vous ne doutez pas, de tout votre coeur, vous croyez de tout votre coeur, je vous assure que Jésus est ressuscité d’entre les morts, et que votre foi peut Le toucher, alors Il peut se tourner vers vous comme Il s’était tourné vers la femme à la perte de sang. Croyez-vous cela?

            Les cartes de prière ne représentent rien, c’est juste des gens qui montent ici pour qu’on prie pour eux. Voyez? C’est votre foi qui fait cela, toujours. Maintenant, chantons doucement.

75                               Crois seulement, crois seulement

(O.K. Que dites-vous? Numéro 15 manque.)

... crois seulement ;

            Ayons...?... parler norvégien...?... Hein? Quelqu’un qui est peut-être–peut-être un Allemand ou quelque chose comme cela, qui sait comment dire ce mot en allemand peut-être, je... Il en manque toujours dans la ligne de prière. O.K. Eh bien, nous en avons pour qui prier, peut-être, ils vont...?...

            Oui, oui. Maintenant, frère, observez cela là derrière, car ma voix devient très faible sous l’onction. Voyez?

76                    Maintenant, je crois...

            Pensez à la situation dans laquelle je me trouve, ami ; venez prendre ma place. Hein? Tout celui qui le veut, il est le bienvenu. Après un défi comme celui-ci contre la Parole de Dieu. Plusieurs milliers de gens ici, et ce défi a été lancé devant cinq cent mille personnes à la fois, des païens et tout. Assurément, Il ne me laissera pas tomber maintenant.

            Voici une ligne de prière des gens ici ; et eux tous me sont de parfaits inconnus. Je ne connais aucun d’eux. Il n’y a qu’une seule personne ou deux dans la salle que je connais. Je connais certes... Il y a frère Léo qui est assis là même, et Gene ici, les jeunes gens chargés de l’enregistrement. Ça, je connais. Et puis, cet homme, un–un ami à moi, que son coeur soit béni, je ne... L’homme qui m’a donné la flèche et l’arc l’autre jour, Norman, frère Norman. Il est–il est assis là même ; je connais frère Norman. Je viens de le rencontrer il y a quelques soi... depuis qu’il est venu ici. Je connais soeur Stadsklev, assise ici même. Et alors, frère Groat était quelque part, par ici, je pense que c’est–c’est juste derrière, frère Groat. Et ce sont les seules personnes dans la salle dont je peux dire que je connais, à part le pasteur.

77        Eh bien, maintenant, peu importe qui vous êtes, Jésus-Christ connaît chacun de vous. J’aimerais vous poser une question, dans cette petite ligne de prière ici: Sommes-nous tous inconnus les uns aux autres? Si nous le sommes, levez la main, si tous–tous ceux qui sont dans la ligne de prière peuvent entendre....?... Très bien. Je ne sais rien sur eux, je ne les ai jamais vus de ma vie.

            Eh bien, qu’est-ce qu’un miracle? C’est quelque chose qui ne peut pas être compris. Est-ce vrai? Jésus était reconnu par Ses miracles ; Il était reconnu par Son Esprit de discernement. Est-ce vrai? Il connaissait leurs (Quoi?) pensées. Est-ce vrai? La Bible le déclare-t-Elle? Levez la main si la Bible le déclare. Jésus connaît leurs coeurs ; Il connaissait leurs pensées. Voyez? Très bien.

            Je–j’attends... Vous dites: «Frère Branham, vous essayez de gagner du temps maintenant.» Oui, exact. Je L’attends. C’est vrai. S’Il ne le fait pas... Combien ont vu Sa photo ici? Avez-vous Sa photo? Voyez? On l’a juste là derrière. Si j’en avais une, je vous la montrerais, la photo. Je pense qu’une dame en a une sur ses genoux, là. Fils, voudriez-vous prendre cette photo-là?

78        Là au Texas, quand Cela avait été photographié, American Photographers Association [Association américaine des photographes]... Voici la photo, l’unique photo... Elle est à Washington, D.C., ce soir, l’unique photo qui peut scientifiquement prouver l’existence d’un Etre surnaturel. Il y a là l’Ange du Seigneur, la même Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël. En plein débat, devant environ trente mille personnes, Il est directement descendu et Il s’est tenu là où j’étais. Un appareil de photo allemand L’avait photographié il y a longtemps. Cela a été vu par des millions de gens à travers le monde. Je vous dis en Son Nom que ce même Ange n’est pas à deux pieds [60,9 cm] de là où je me tiens maintenant même. C’est vrai. Merci.

            Si vous en voulez une, vous pouvez l’avoir donc ce soir, ou... ainsi que les livres, ou je ne sais quoi, les bandes. Il n’y aura pas vente demain ; nous ne le faisons pas.

            Mais maintenant, ce que c’est, c’est Lui qui est là, je sais qu’Il est proche. Mais maintenant, Il doit être à l’intérieur. Voyez? C’est... La Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël était Christ. Ensuite, quand Il était ici sur terre, Il disait que Son Père «demeure en Moi», Jésus le Fils ; Il a dit: «C’est le Christ en Moi.» Il est né le Christ, on Lui a donné le Nom de Jésus. C’était Son surnom. Et Il était Jésus-Christ ; comme je suis né un Branham, on m’a donné le nom de William.

            Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, je prends chaque âme ici sous mon contrôle pour la gloire de Dieu, afin que les gens sachent sans aucun doute que Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts ; Il est ici. Que Ses bénédictions soient réclamées.

79        Maintenant, Père, je m’abandonne entre Tes mains. Et je prie que, comme j’ai essayé de tout mon coeur, à ma pauvre manière décousue et sans instruction, de parler aux gens de Ta bonté et de Ta miséricorde, maintenant, que Tu veuilles parler, Seigneur, à Ta propre manière miraculeuse et glorieuse, afin qu’ils sachent que j’ai dit la vérité. Ils peuvent douter de moi ; ça serait en ordre, mais Père, douter de Toi serait un péché impardonnable. Et je Te prie ce soir, Seigneur, alors qu’ils lèvent leurs mains pour dire qu’ils croiront, d’aider Ton serviteur maintenant, alors que je m’abandonne au Saint-Esprit, afin que Tu puisses m’utiliser. Car je demande ceci pour la gloire de Dieu, et pour que la Parole de Jésus-Christ soit accomplie, Celle qui dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» En Son Nom. Amen.

80        Très bien. Maintenant, que personne ne se déplace. Restez très calmes, écoutez maintenant. Il y a une bande en cours ici même maintenant. Voyez-vous? Maintenant, rappelez-vous, la vision ne vous guérit pas. Suivez cela ; cela parlera après et vous dira AINSI DIT LE SEIGNEUR, ce qui arrivera (Voyez?), ce qui arrivera. Mais la vision, ce que c’est, c’est pour élever votre foi au niveau où vous pouvez accepter cela.

            Eh bien, cette dame ici debout... Vous n’avez pas besoin de votre carte, laissez simplement cela dans votre poche pour ainsi dire. J’aimerais juste vous parler une minute, madame. Maintenant, je crois que vous et moi, nous sommes de parfaits inconnus, l’un à l’autre. Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez la main, afin que l’assistance voie. Nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant, dans la vie. Et elle est de loin plus jeune que moi. Donc, nous sommes peut-être nés à des kilomètres de distance, avec un décalage d’années, et c’est notre première rencontre. Ceci n’est pas une coïncidence, Dieu a planifié cela. Croyez-vous cela?

            Comment se fait-il ce soir que moi et elle, une femme, nous nous rencontrions comme ils s’étaient rencontrés à la porte, ou à... en Samarie, une femme et un Homme? Eh bien, que ferai-je si Jésus est ressuscité d’entre les morts...? Eh bien, elle a une âme ; elle a un corps ; elle est une femme. J’ai une âme, et un corps, et je suis un homme.

81        Maintenant, si elle... Je sais qu’elle est chrétienne ; elle est une croyante ; en effet, je perçois son esprit. C’est en soi un miracle ; vous êtes une croyante. Maintenant, si mon... Cet Esprit ici dit que vous êtes une croyante, et si vous ne l’étiez pas, cela pourrait... Et quelque chose pouvait vous arriver, ou n’importe quoi...

            Maintenant, si j’ai dit la vérité, si donc le Saint-Esprit de Dieu vient ici... Il essaie simplement de faire une seule chose: Parler par mes lèvres, entrer en contact avec vos sens, vous savez, votre ouïe ; cela vous dira quelque chose qui vous amènera à croire Dieu pour ce qu’Il a fait pour vous au Calvaire. Ne sera-ce pas vrai? Voyez? Je ne pourrais rien faire pour vous ; si je le pouvais et que je ne le faisais pas, je serais une brute. Mais je suis votre frère, et je–j’aime simplement vos bien-aimés. Voyez? Eh bien, je–je suis juste votre frère.

82        Mais par la grâce de Dieu, et avec l’assistance de Dieu, en vous parlant, je peux entrer en contact avec votre esprit par un don divin, en m’abandonnant au Saint-Esprit, cela produira la même chose que Jésus avait faite à la femme au puits. Maintenant, je n’ai aucune idée de ce pour quoi vous êtes ici. Vous êtes peut-être ici à cause de la maladie ; vous êtes peut-être ici pour quelqu’un d’autre. Vous êtes peut-être ici pour des problèmes d’argent. Vous êtes peut-être ici pour des problèmes spirituels. Je ne sais pas ; vous le savez. Je vous suis inconnu ; je ne vous connais pas.

            Mais Lui vous connaît certes. Si donc Il peut me faire savoir ce pour quoi vous vous tenez ici, allez-vous accepter cela et croire en Lui, qu’Il... que c’est Lui qui est ici? Vous savez que cela a une... fait une source surnaturelle, mais croirez-vous que c’est Lui, soeur? Est-ce que l’assistance croira la même chose? Que le Seigneur ajoute donc Ses bénédictions, c’est ma sincère prière.

83        Maintenant, si je... si Dieu me le permet. Voyez, elle est une... elle... C’est exact. «Que faites-vous, Frère Branham?» Je ne suis pas en train de lire ses pensées. Absolument pas. Con-... Dieu vous jugera pour cela ; n’ayez pas de telles pensées. Maintenant, vous ne pouvez pas vous cacher maintenant ; Il est ici. Voyez? N’ayez pas de telles pensées: «Il est embrouillé.» Je ne le suis pas ; je ne fais que contacter son esprit par le Saint-Esprit. La femme sait qu’il se passe quelque chose ; elle le sait. Il y a quelque chose... Vous éprouvez maintenant même une sensation différente de ce que vous avez jamais, peut-être, éprouvée ; en effet, un Esprit très doux et humble est autour de vous. N’est-ce pas vrai? Entre moi et la femme se meut cette Colonne de Feu (Voyez?) ; quelque chose est sur le point d’arriver, et elle le sait, en tant qu’un être humain.

            Maintenant, la dame semble s’éloigner de moi, et je sens... extrêmement nerveuse. Elle est dérangée par une maladie de nerfs, elle est vraiment extrêmement nerveuse ; c’est sa maladie. Est-ce vrai? Maintenant, si je vous parle davantage, il en sera dit davantage. Mais vous croyez déjà. En effet, je peux percevoir qu’elle se lève simplement. Je vous ai dit qu’elle était une croyante, et je vous dis qu’elle se débattait avec cette maladie des nerfs... Maintenant, que le Seigneur vous accorde votre guérison. Croyez-vous maintenant? Ayez foi.

84        Vous êtes nerveuse à cause d’un chagrin que vous avez eu récemment. Vous êtes une veuve. C’est vrai. Votre compagnon... Vous êtes une... Vous travaillez dur ; vous connaissez un temps difficile en cherchant à nouer les deux bouts, pour subvenir aux besoins. C’est vrai. Et vous avez été quelque part. Je vois quelque chose qui se passe ; c’est un... on dirait quelqu’un comme un médecin qui travaille avec vous. Oh ! Oui, vous avez subi une intervention chirurgicale, ou quelque chose comme cela. C’était à la gorge, oui, on a enlevé un tube et on a placé un tube en plastique ou quelque chose qu’on y remplace. Et maintenant, vous avez peur, vous avez peur que cela ne se transforme en cancer. Et cela vous donne beaucoup de nervosité. C’est la vérité ; c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous? N’ayez pas peur. C’est Lui qui se tient ici maintenant, qui est ressuscité d’entre les morts, et c’est Son Esprit qui vous parle. Vous savez que quelque chose est arrivé, n’est-ce pas? Les inquiétudes pour le cancer sont finies. Votre foi vous a guérie, soeur. Levez votre main.

            Cher Bienveillant Père céleste, Tu as dit... les dernières Paroles qui sont sorties de Tes lèvres alors que Tu quittais la terre, Tu as dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris.» Je fais ceci au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez en vous réjouissant maintenant ; tout est terminé.

85        Disons: «Gloire au Seigneur !» Croyez-vous maintenant? Vous avez dit que vous croiriez. Cela devrait régler la question pour toujours. Si vous pouvez croire, c’est tout ce qu’il vous faut faire. Maintenant, ne vous déplacez pas ; demain, c’est dimanche ; attendez bien une minute. Cela devrait régler la question pour toujours. Cela devrait le faire savoir ; un parfait inconnu. Mais Dieu connaît tout à son sujet. Maintenant, vous commencez à croire, n’est-ce pas? Vous êtes–vous êtes bien merveilleuse maintenant, différente.

            Bonsoir, monsieur. Je suppose, monsieur, que nous sommes aussi inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas? Nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant dans la vie ; nous sommes de parfaits inconnus. Mais vous savez que vous êtes dans la Présence de Quelque Chose d’autre que votre frère. Probablement que nous sommes nés à des kilomètres de distance, avec un écart d’âge de quelques années, c’est notre première rencontre. Mais Jésus vous connaissait et c’est Lui qui vous a donné tout ce que vous avez jamais mangé, l’air que vous respirez. Il m’a donné de même. Et me voici. Si mon vieux papa était en vie, il aurait pratiquement votre âge. Je ne me tiendrais pas à côté du papa de quelqu’un d’autre pour faire le séducteur. Je me tiens ici uniquement pour vous aider. Je n’ai aucune idée de ce que vous voulez ; vous le savez. J’ai...

86        Petite dame, souffrant de vésicule biliaire, assise au bout là... Vous souffriez de vésicule biliaire, n’est-ce pas? Votre foi L’a touché donc. Amen. J’ai vu cela arriver ici devant moi. Votre foi a fait cela, soeur.

            Vous souffrez, mon frère, de beaucoup de choses. D’abord, vous souffrez d’une hernie. C’est vrai. Et puis, je vois quelque chose qui est... Le sang, on dirait, qui coule, c’est léger ; c’est le diabète ; vous souffrez du diabète sucré. Vous êtes aussi extrêmement nerveux. C’est vrai. Et vous avez des ulcères, n’est-ce pas? C’est vrai, n’est-ce pas? Laissez-moi vous dire quelque chose. Vous n’êtes pas non plus d’ici. Vous êtes venu du sud vers ici ; vous venez de Nebraska, ici, n’est-ce pas? C’est vrai, n’est-ce pas? Maintenant, rentrez en vous réjouissant, disant aux gens ce que le Seigneur a fait pour vous, et soyez rétabli.

            Ô Dieu, notre Père, au Nom de Jésus, accorde la bénédiction. Amen. Allez en vous réjouissant, mon frère...?... Lui de tout votre coeur.

            Continuez simplement à croire, vous n’êtes pas loin du Royaume.

87        Bonsoir, madame. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Il y a cinq ans, vous m’avez vu quand j’étais ici. Eh bien, que le Seigneur vous bénisse, ma soeur. Evidemment, je ne me souviendrais pas de vous depuis tous ces cinq ans. C’est à peine si je... Peut-être qu’il y en a beaucoup ici que j’avais vus à l’époque, mais je ne les reconnaîtrais pas maintenant. Mais notre Adorable Père céleste nous connaît tous deux, n’est-ce pas?

            Vous avez subi une intervention chirurgicale pour cela ; elle n’a fait aucun bien. Et la–la chair et l’os sont en train de pourrir au niveau de votre genou. Le médecin ne sait plus quoi faire. Oh ! Ne vous en faites pas, ma fille, Dieu connaît tout au sujet de ces choses. Il... Vous vous tenez dans Sa Présence maintenant. Ce n’est pas votre frère qui fait que vous éprouviez une telle sensation ; c’est Sa Présence. L’acceptez-vous maintenant pour votre guérison?

            Bien-Aimé Père céleste, Toi qui as ressuscité le Seigneur Jésus d’entre les morts, j’impose les mains à ma soeur que voici et je condamne l’ennemi, je demande qu’elle soit–soit rétablie pour la gloire de Dieu. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.

88        Que Dieu vous bénisse, soeur. Maintenant, allez en croyant de tout votre coeur et vous serez rétablie. [La soeur dit: «Je n’ai jamais été à mesure de m’agenouiller depuis que j’ai connu cet accident de véhicule.»–N.D.E.] Mais vous êtes... [«Puis-je m’agenouiller maintenant?»–N.D.E.] Eh bien, je descendrais directement là m’agenouiller à l’autel, c’est ce que je ferais, et je Lui rendrais des actions de grâces. [La soeur dit: «Merci, Jésus.»] Elle ne s’était jamais agenouillée dans son... depuis qu’elle s’est fracturée. La voici à genou maintenant, louant Dieu. Disons: «Gloire au Seigneur», nous tous.

            Notre Père céleste, nous Te rendons gloire et louange pour toutes Tes grandes oeuvres que Tu accomplis devant nous. Merci, Père. Amen. Soeur, ça va, levez-vous directement. Maintenant, regardez comment vous vous levez et vous vous agenouillez habilement. Voyez? Voyez-vous la différence? Vous êtes guérie, soeur. Amen.

            Disons: «Gloire au Seigneur !», tout le monde. Dites simplement: «Notre Père céleste, nous Te remercions du fond de notre coeur, pour toute la bonté et la miséricorde que Tu as témoignées envers nous. Amen.»

            Croyez-vous maintenant? «Peux-tu croire?»

89        Madame, c’était juste ici... Imposez la main à la dame assise à côté de vous ; elle est en train de prier. Cette tumeur, que–que Dieu la rétablisse. Croyez-vous cela, madame? Cette maladie de gorge aussi, n’est-ce pas? Oui, oui. Le cancer aussi. C’est vrai. C’est vrai. Très bien. Amen.

            Notre Père céleste, nous condamnons ce démon appelé cancer. Sa foi, cette femme ointe assise à côté d’elle, sa foi T’a touché, et nous condamnons maintenant l’ennemi, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Est-Il ressuscité d’entre les morts? Amen. Voyez, la dame assise là à côté de cette dame-là? Elle est si ointe que la foi de la femme a vite contacté. Voyez? Vous n’avez pas à avoir des cartes de prière ; ayez foi. Ayez foi et croyez de tout votre coeur ; vous serez rétabli si vous croyez.

90        Que pensez-vous, monsieur?

            Madame, croyez-vous que Dieu vous a guérie du calcul biliaire et vous a rétablie? Croyez-vous qu’Il l’a fait? C’est ce dont vous souffrez, des calculs. Levez la main si c’est vrai. Maintenant, allez simplement de l’avant et oubliez cela. Oui, oui. C’est votre foi qui a fait cela. Amen. Grâces soient rendues à Dieu !

            Oh ! Vous dans l’assistance, monsieur, assis là avec votre mouchoir à la bouche, imposez la main à la petite dame qui souffre de l’asthme, qui est étendue là.

            Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, guéris-la, je prie, pour la gloire de Dieu. Amen. Croyez, ayez foi. Vous pouvez avoir ce que vous demandez.

91        Excusez-moi. Est-ce la dame? Vous êtes la dame qui êtes venue pour qu’on prie pour vous? Très bien. Ayez foi, tout le monde. Je ne peux que suivre Cela ; je dois suivre Cela. Maintenant, soyez très respectueux. Ayez foi.

            Un homme cherche à entrer en contact avec Christ, il est assis là où cet homme a été guéri. Il souffre de l’artériosclérose, il pense... Dieu peut vous guérir ; croyez-vous cela, frère? C’est vrai. Amen. Vous étiez en train de prier dans votre coeur, disant: «Ô Dieu, fais qu’il se retourne et me parle.» N’est-ce pas vrai? Si c’est vrai, faites signe de la main comme ceci. Voyez? Voyez? Comment ai-je su ce que vous demandiez dans la prière? Amen. Il est si réel.

            Vous avez aussi levé la main, monsieur. Oui, c’est vrai. Une hernie, une hernie. Dieu peut bien vous en guérir et vous rétablir, ne le croyez-vous pas? Amen. Croyez-vous que Dieu vous en guérit? Si vous croyez, faites signe de la main vers Lui pour dire: «Je vais devenir un homme nouveau.» Comment ai-je su ce qui clochait chez vous? Dieu me l’a dit. Votre foi L’a touché. C’est ce qui se fait. Ayez simplement foi. Soyez respectueux.

92        J’ai vu un enfant apparaître devant moi pendant que je parlais à cet homme ici, un petit garçon. Arrêtez-vous là même, huissier, juste une minute. Le petit garçon assis là souffre d’une hernie, une hernie. Imposez-lui la main, huissier. Et dites donc, à propos, sa mère qui le tient souffre des dents ; elle veut aussi qu’on prie pour elle. N’est-ce pas vrai, madame? Levez la main, le petit garçon qui souffre d’une hernie. Imposez-lui la main.

            Père céleste, au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus, guéris-le, je prie, pour Ta gloire. Amen.

            Voyez-vous le Saint-Esprit en action, amenant l’huissier là juste à temps pour imposer les mains à cette personne? N’est-Il pas merveilleux? Croyez. Qu’est-ce? Le Seigneur Jésus ressuscité est parmi nous. Maintenant, soyez vraiment respectueux maintenant. L’unique qui peut être guéri... Mais pendant que nous avons ces gens debout, debout ici juste un instant, formons la ligne si nous le pouvons.

93        Maintenant, cette soeur. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue de ma vie. Et nous sommes de parfaits inconnus ; est-ce vrai? Or, Dieu sait ce pour quoi vous êtes ici ; pas moi. Mais Il sait ce pour quoi vous êtes ici, n’est-ce pas? Et Il peut–Il peut me dire votre problème. Maintenant, je ne peux pas vous guérir, si c’est pour la guérison. Et si c’est pour de l’argent, je... il y en aurait très peu. Je pourrais vous aider, de tout mon mieux, mais ça serait très peu, ou quoi que ce soit. Ce–c’est peut-être un problème au foyer ; je n’en ai pas la moindre idée. Mais Dieu en a. Il sait. Donc, s’Il me révèle ce qui est sur votre...

94        [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... avoir une voix vivante derrière cela, pour que ça donne une voix. Est-ce vrai? Donc, ce microphone devient ma voix. Est-ce vrai? Maintenant, je suis juste un muet ; je ne sais rien au sujet de cette femme. Mais tout ce qui peut être fait, ce serait le Saint-Esprit qui parlerait par moi juste comme je parle au travers du microphone, une voix surnaturelle vivante lui disant quelque chose. Est-ce vrai? Vous tous, comprenez-vous très bien maintenant? Croyez.

            Madame est... Eh bien, elle a été chez un–un–un médecin, mais on ne sait pas ce qui cloche chez elle. N’est-ce pas vrai? Vous avez subi un examen radiographique et on ne sait toujours pas ce qui cloche chez vous. Et votre maladie commence dans votre dos et va jusque dans votre estomac. C’est vrai, n’est-ce pas? Amen. Maintenant, Il connaît ; n’est-ce pas? Oui, Il connaît et Il peut vous guérir. Oui, que Dieu vous bénisse.

            Vous n’êtes pas d’ici non plus, vous venez du sud, par rapport à ici. Vous venez d’une ville, je pense, je vois un nom juste dehors, là où un véhicule est passé, ça s’appelle Sioux City, dans l’Iowa. Votre prénom est Rachel. Et votre nom de famille est Burris. Rentrez chez vous en vous réjouissant, vous vous rétablirez. Jésus-Christ vous rétablit. Au Nom du Seigneur Jésus, je prie. Amen.

95        Ne soyez pas étonné. Quand Simon est allé auprès du Seigneur Jésus, Il lui a dit: «Ton nom est Simon, mais désormais, tu seras appelé Pierre.» Il vous connaît, qui vous êtes.

            Bonsoir, madame. Je suppose que vous et moi, nous sommes aussi inconnus l’un à l’autre? Nous ne nous connaissons pas. Mais il y a ici Quelqu’Un qui nous connaît tous deux, n’est-ce pas vrai. Oh ! la la ! Il y a beaucoup de gens qui sont guéris là dans l’assistance, je n’arrive simplement pas à vous désigner si vite. Vous découvrirez cela longtemps après mon départ, vous découvrirez ce qui se passe. Si seulement je peux continuer à vous parler juste un instant, soeur... Et Dieu sait tout à votre sujet, comme je l’ai dit. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vu.

            Mais si Dieu me révèle ce qu’est votre problème, eh bien, alors, vous croirez en Lui, n’est-ce pas, madame? Vous croirez. Croirez-vous là dans l’assistance, vous tous, d’un commun accord? Croirez-vous de tout votre coeur? D’accord. Maintenant, vous êtes... Je ne vous connais pas, et vous paraissez en bonne santé, mais Dieu sait tout à votre sujet ; pas moi–pas moi. Mais Il peut me le révéler, et vous saurez si c’est vrai ou pas, si c’est vrai.

96        En fait, vous n’êtes pas ici pour vous-même, vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. Et vous et une femme aviez fait un arrangement. Elle n’est pas ici. Vous avez fait un arrangement que vous viendriez essayer d’entrer dans la ligne de prière, et qu’elle serait en train de prier au même moment. C’est vrai. Et la dame a attrapé une apoplexie. C’est vrai. Et elle voulait venir, mais elle n’a pas pu venir à cause de son mari. Il y a une chose noire suspendue autour de son mari. C’est un parfait incroyant. C’est vrai.

            Je vois un autre homme apparaître, et cet homme est votre mari, et il est aussi, on dirait, tout déchiré au sujet d’une question ; c’est une question spirituelle. Et il s’est accroché ou... il est sur le point de s’accrocher à un fanatisme, quelque chose au sujet de quelqu’un qui lui dit d’aller prêcher, ou quelque chose comme cela, ou quelque chose de ce genre, beaucoup... Dites-lui de faire attention. Tout ce qui parle de Dieu n’est pas Dieu.

            Et de rentrer vers la femme, de lui imposer les mains, en invoquant le Nom du Seigneur Jésus, et le mouchoir que vous avez, resserré au poing, vous devez le prendre et le poser sur elle et croire de tout votre coeur, et que le Dieu du Ciel accorde la bénédiction, je prie, au Nom de Jésus...?... Que Dieu vous bénisse, madame. Maintenant, poursuivez votre chemin en vous réjouissant ; ne doutez de rien, mais croyez que Dieu l’accordera.

97        Venez, madame. J’ai perçu un ressentiment tout à l’heure venant de quelque part, quelque part. Je ne suis pas en train de conduire les gens ce soir. Je ne sais pas... Tenez, madame, posez la main sur la mienne ; allez-vous le faire? Je ne vous connais pas, n’est-ce pas, madame? Et je ne vous regarde pas ; je regarde l’assistance. Si Dieu me révèle ici dans l’assistance ce qui cloche chez vous, si donc... va... Si c’est vrai, alors vous lèverez votre main de la mienne et dire si c’est vrai ou pas. Allez-vous accepter Jésus comme votre Guérisseur? C’est une maladie gynécologique, une maladie de femme. C’est vrai. Levez la main si c’est vrai. Ça ne vient pas de la lecture des pensées. Maintenant, allez en vous réjouissant. L’abcès, mais ça s’arrangera. Jésus vous rétablira. Croyez de tout votre coeur.

98        Vous devenez très faible, n’est-ce pas, et très fatiguée ; le coeur vous dérange. Tard l’après-midi, vous devenez très fatiguée et lasse, est-ce vrai? Peut-être que vous ne le savez pas, mais vous souffrez aussi de la tuberculose. C’est ce qui vous affaiblit, et je sais que vous le saviez. Oui, oui. Les poumons vous font mal et tout. Vous voyez donc, Dieu connaît toutes choses, n’est-ce pas? Mais vous étiez en train de prier quand... avant de venir ce soir et vous demandiez à Dieu de vous accorder une occasion de vous tenir ici ; n’est-ce pas vrai? C’est vrai. Très bien. Maintenant, vous pouvez rentrer chez vous et être rétablie. Jésus-Christ vous a guérie ; c’est votre foi qui accomplit cela pour vous.

            Dieu du Ciel, je place les mains sur elle en confirmation de la Parole de Dieu, et je prie pour sa guérison. Maintenant, allez en vous réjouissant et soyez heureuse, remerciant Dieu pour Sa bonté...?... Que Dieu vous bénisse.

            Bonsoir, monsieur. La circulation sanguine... Jésus peut guérir le diabète, vous croyez cela, n’est-ce pas, monsieur? Croyez-vous que vous êtes guéri maintenant? Acceptez-vous cela? Alors, nous allons au Calvaire, par la foi pour une transfusion sanguine, et nous demandons que notre frère soit guéri par le Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse. Croyez. Allez et croyez de tout votre coeur.

            Quand j’ai fait mention de la maladie gynécologique à l’autre femme, quelque chose vous a envahie, n’est-ce pas? Vous vous teniez juste derrière elle là ; c’est à ce moment-là que vous avez été aussi guérie. Amen. Vous pouvez donc aller en vous réjouissant, disant: «Grâces soient rendues à Dieu !»

99        Viens, fiston ; viens ici, j’aimerais te poser une question. Je pense que tu es un très bon petit garçon. Regarde, vois-tu ce petit homme qui va là? Il souffrait d’une–une chose terrible ; ça s’appelait le diabète. Et c’est ce qui te dérange. C’est vrai. Tu vois, c’est facile pour lui d’en guérir ; c’est difficile, dit le médecin, pour un petit garçon comme celui-ci. Mais pas pour Jésus. Maintenant, si Jésus est ici, Il peut te rétablir, n’est-ce pas? Et Il est ici, et je... Il est ici avec nous. Maintenant, je prie pour toi.

            Père céleste, alors que je... le Saint-Esprit, assurément, ces gens peuvent voir que Tu es ici. Et maintenant, Seigneur, pendant que Tu as oint mon corps et que Tu l’as emporté dans l’Esprit, j’impose les mains à ce petit garçon et je condamne la maladie dans son corps, au Nom de Jésus-Christ ; je demande qu’il soit guéri. Amen. Maintenant, que Dieu te bénisse, chéri. Dis simplement: «Amen.» Va en te réjouissant, remerciant le Seigneur.

100      Venez, bien-aimée soeur. Croyez-vous que je suis prophète de Dieu, ou Son serviteur? Un prophète, c’est quoi? Quelqu’un qui voit, qui prédit, un voyant ; est-ce vrai? La Bible déclare que dans les derniers jours, ceci arrivera, n’est-ce pas? Si Dieu me fait savoir ce pour quoi vous êtes ici, croirez-vous cela et accepterez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous cela de tout votre coeur?

            Il y en a beaucoup dans l’assistance qui souffrent de la même chose. Je vois une table entre nous. Vous reculez, c’est le trouble d’estomac. Vous souffrez de l’ulcère de l’estomac ; vous êtes très nerveuse, n’est-ce pas? Ça fait longtemps que vous êtes nerveuse. C’est dû en fait à votre âge ; il en sera ainsi. Mais cela produit des effets dans votre estomac ; parfois, ça le rend sensible, après avoir fait des renvois de l’acide on dirait, dans votre estomac ; c’est l’ulcère gastro-duodénal qui atteint juste la paroi du duodénum. Et cela vous a amenée à faire, on dirait, des régurgitations comme cela ; ça remonte. Jésus-Christ peut vous guérir, n’est-ce pas la vérité? Croyez-vous que Jésus vous rétablira?

            Ainsi, Bienveillant Père céleste, avec les mains posées sur notre soeur que voici, je réclame sa guérison. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.

101      Bonsoir, monsieur. Croyez-vous de tout votre coeur? L’arthrite, c’est très facile à guérir pour Dieu, n’est-ce pas? Alors que je vous vois essayer même de quitter une rue, vous devez faire un pas de côté pour descendre et tout. Papa, je souhaiterais pouvoir vous guérir ; je n’ai pas la puissance pour vous guérir, mais ne croyez-vous pas que Jésus est ici, que vous allez être rétabli? Si je prie pour vous, allez-vous vous rétablir? Jésus a dit: «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» N’est-ce pas?

            Dieu bien-aimé, par obéissance à Tes commandements, j’impose les mains à mon frère, au Nom de Jésus-Christ, et je réclame sa guérison. Amen. Maintenant, allez en croyant, mon frère, de tout votre coeur et en louant Dieu, et vous serez rétabli.

102      Vous êtes un homme apparemment trop fort pour souffrir de la maladie de nerfs, mais vous n’y pouvez rien, vous en avez souffert pratiquement toute votre vie. Cela ne fait que vous déranger ; vous avez une nervosité mentale qui vous a fatigué. Et vous pensez toujours à des choses et vous vous faites des soucis pour l’avenir. C’est votre nature. C’est vrai, n’est-ce pas? Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais c’est la vérité. Vous élaborez toujours des projets pour des choses et cela n’arrive jamais ainsi, ça vous bouleverse et des choses comme cela, et vous chargez votre coeur de problèmes des autres, et vous vous en préoccupez alors qu’en réalité vous ne devriez pas le faire. Mais Dieu est ici pour vous rétablir, mon brave frère. Croyez-vous cela?

            Ô Père céleste, je condamne ce démon qui tourmente ce brave jeune homme. Satan, au Nom de Jésus-Christ, sors de lui et quitte-le. Amen.

            Maintenant, frère, c’est un témoignage par le Saint-Esprit. Cela n’est pas sur vous maintenant. Cela vous a quitté maintenant. Vous vous sentez très bien, n’est-ce pas? Maintenant, allez de l’avant en vous réjouissant, remerciant Dieu, et soyez rétabli.

            Disons: «Gloire au Seigneur !» Soyez respectueux. Croyez-vous en Lui?

103      Voyons, est-ce la personne? Crois-tu de tout ton coeur, fils? Crois-tu que je suis prophète de Dieu ou Son serviteur? Crois-tu qu’Il peut me parler à ton sujet et me révéler ce pour quoi tu es ici? Ta maladie est dans ton dos, tu as mal à la poitrine. Une chose, si tu arrêtes de fumer, cela t’aidera beaucoup. Je vais te dire quelque chose qui t’arrangera vraiment, si tu abandonnes ton coeur à Jésus et que tu deviens un chrétien ; en effet, tu ne l’es pas. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            ... chrétien, vas-tu L’accepter maintenant? Et croire de tout ton coeur et servir le Seigneur de tout ton coeur ; vas-tu le faire? Vas-tu maintenant L’accepter pour être guéri et rétabli? Vas-tu le faire? Que Dieu te bénisse. Tes péchés te sont pardonnés, fils. Va au Nom de Jésus-Christ et sois rétabli. Ton dos et ton mal de poitrine sont finis ; tes péchés sont sous le Sang. Maintenant, va en tant que chrétien. Amen. Que Dieu te bénisse, mon frère.

104      Trouvez-vous cela étrange? Jésus-Christ vit et règne encore. Il doit être temps. Je sens qu’on me tapote au flanc. Croyez-vous maintenant de tout votre coeur? Imposez-vous les mains les uns aux autres. Un prédicateur devrait voir cette dernière personne ici. Imposons-nous les mains les aux autres et croyons maintenant même de tout notre coeur. Imposez-vous les mains les uns aux autres, et prions. Etes-vous prêt? Vous qui êtes sourd, vous entendrez maintenant. Vous qui êtes aveugle, vous verrez maintenant. Vous qui ne pouvez pas marcher, vous marcherez, si vous acceptez ce Seigneur Jésus qui est ressuscité d’entre les morts. Il ne peut rien faire d’autre. Nous pouvons venir nous tenir ici toute la nuit, ce sera sans cesse la même chose. Mais Il est ici ; Il veut vous guérir tous maintenant même.

            Maintenant, Bienveillant Père céleste, il n’y a qu’une seule chose qui empêche maintenant ce groupe de gens, qui Te regardent d’être guéris, c’est un petit esprit noir d’incrédulité. Et je défie cet esprit-là. Satan, tu es réprimandé et tu es exposé. Je t’adjure, par le Dieu vivant, de sortir de ces gens et de les quitter afin qu’ils soient rétablis.

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