La foi, c’est notre victoire

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Date: 58-1004 | La durée est de: 1 heure 44 minutes | La traduction: MS
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1    C’est un privilège d’être ici ce soir au service du Seigneur, mais c’est vraiment regrettable que les gens ne puissent pas avoir de place pour s’asseoir, après que nous vous avons invités à venir, et puis il n’y a pas de place pour vous asseoir. Et à mon arrivée, tout à l’heure, eh bien, il y avait des gens près des fenêtres et partout dans les rues, et tout, et il n’y a pas de–même pas d’espace pour qu’ils soient–qu’ils entrent dans le bâtiment, ce n’est qu’une toute petite église. Et nous n’avons pas du tout annoncé cela ici, même pas dans le journal d’ici, simplement nous… Oh, certains de nos amis ont appelé au téléphone et ils ont dit qu’ils allaient venir pour que l’on prie pour eux et nous leur avons dit de venir tout simplement. Ainsi la nouvelle a commencé à circuler juste peu à peu, quelqu’un arrive de Louisville, et ensuite il parle à quelqu’un, puis à quelqu’un d’autre. Vous savez comment ça se répand.
    J’ai voulu obtenir l’école secondaire ici mais on… Je n’ai pas pu l’avoir parce qu’il y avait classe et… alors nous aurions pu annoncer cela. Nous voulons que les gens–que les gens d’ici sachent que nous n’étions pas en train d’essayer de vous éloigner de cela, mais nous savions seulement que la salle n’était pas du tout convenable. Ainsi nous… si nous avions pu avoir l’école secondaire, nous aurions fait cela, mais c’était impossible.

2    Ainsi maintenant, ce–ce soir ce sera le dernier soir pour les livres là derrière; monsieur Mercier et les autres ont ici les bandes et tout. Et ensuite, demain matin c’est l’école du dimanche, et immédiatement après l’école du dimanche, le Seigneur voulant, j’aimerais apporter un sermon d’évangélisation et… demain matin. Cela commencera à neuf heures trente, je pense, n’est-ce pas, Frère Neville? L’école du dimanche commence à neuf heures trente et, immédiatement après les classes de l’école du dimanche, nous aimerions parler d’un sujet du–du message d’évangélisation, un appel au pécheur.
    Et au cours de ces soirées, depuis le dimanche soir dernier, nous nous sommes principalement consacrés aux malades, aux nécessiteux et aux affligés. Et ainsi demain soir nous allons de toute façon faire tout notre possible pour essayer de prendre toutes les cartes de prière qui ont été distribuées, afin que tous ceux qui sont venus et qui ont une carte de prière… nous… quand le message sera terminé, si nous devons laisser certaines en arrière et alors prendre les autres, afin que nous puissions commencer une ligne de prière; nous serons heureux de le faire. Et les cartes de prière pour demain soir seront distribuées dans la matinée, après l’école du dimanche. Juste après l’école du dimanche, ce sera peut être aux environs de onze heures trente, afin que les–les cartes de prières soient distribuées, demain. Ainsi vous qui avez des bien-aimés et tout, qui viennent pour qu’on prie pour eux, eh bien, amenez-les ici au moins au tour de onze heures trente, s’ils ne peuvent pas être là pour le message du matin.
    Cela veut dire que, si vous avez un lieu d’adoration où vous avez l’habitude d’aller, eh bien, nous–nous ne voulons pas du tout vous arracher de là. Nous voudrons simplement que vous vous sentiez tout à fait libres dans ce que vous allez faire.

3    J’étais très occupé aujourd’hui, et il y a juste quelques instants, les gens sont venus et ont dit: «Eh bien, si vous y allez, vous pouvez commencer à prêcher tout de suite, le petit tabernacle est déjà plein.» Ainsi j’ai juste pensé à quelques versets, je me suis dit que je parlerais de cela ce soir. Et je voudrais premièrement remercier le Seigneur pour tout ce qu’Il a fait pour nous. Ces nouvelles qui proviennent de ceux pour qui on a prié et qui ont été dans les réunions, de grandes choses se produisent, juste en ce petit endroit ici. Et ce n’est pas plus qu’on doit avoir – venez pour que l’on prie personnellement pour vous, mais apparemment les gens là dans l’auditoire reçoivent mieux cela que vous qui êtes ici à l’estrade. Ainsi, nous sommes heureux pour cela. C’est très bien de les voir recevoir cela ainsi.

4    Eh bien, ce soir j’ai choisi comme texte: La foi, c’est notre victoire. Et je désire lire une portion de l’Écriture dans I Jean, chapitre 5, verset 4:
    Parce que tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde; et la victoire qui triomphe du monde, c’est notre foi.
    Eh bien, des paroles aussi merveilleuses. «Notre foi, c’est la victoire.» Et maintenant, en parlant de la victoire, il y a eu beaucoup de grandes victoires remportées au fil de toutes ces longues années que l’espèce humaine a existé sur la terre. Je lisais le livre sur la réédition de–de Paris, où, pendant la derrière, la Deuxième Guerre mondiale, quand Hitler fut amené à Paris à l’Arc de Triomphe, on dit que c’était une si grande victoire que cela prit des heures pour ses soldats allemands marchant à pas de l’oie, droit à travers l’Arc de Triomphe pendant qu’Hitler se tenait au garde-à-vous, et tout l’espace aérien était sombre. Il était interdit aux avions de voler. C’était un si grand moment de victoire, après qu’ils eurent gagné la guerre contre la France, et que la France eut capitulé devant l’Allemagne…

5    Et puis à Londres, en Angleterre, j’ai eu une fois le privilège de voir là, lors d’une conférence, un film de là où les–les Russes ont fait cela, lorsque Berlin avait capitulé devant la Russie, et comment cette impressionnante quantité d’équipement militaire, ces puissants canons qu’il y avait sur les… montés sur ces grands chars de combat qui pouvaient tourner dans tous les sens, ils ont foncé sur Berlin, on ne pouvait pas comprendre comment une vie pouvait même subsister. Sur des kilomètres et des kilomètres tous tiraient avec précision des coups de feu, à l’endroit où ils arrivaient comme une grande nuée de sauterelles. Et ils ont tout simplement bombardé Berlin et l’ont réduit en cendres. Et alors quand ils ont retiré leurs chars de combat et que le–l’infanterie est venue nettoyer les tranchées, ils ont envoyé chercher monsieur Staline. Et quand ils l’ont fait venir par avion et que l’avion a atterri, tous ces soldats russes sont descendus la rue comme cette troupe et ils ont marché en vainqueurs, le signe du vainqueur russe. Et comment Staline s’est tenu au garde-à-vous pendant que des dizaines de milliers de soldats marchaient dans les rues de Berlin, réduit en cendres.
    Et alors que les Allemandes étaient violées dans les rues, les petits tués et certains d’entre eux brûlés et tout le reste, mais pour la Russie, c’était une très grande victoire.

6    Puis on m’a parlé de Napoléon, le grand vainqueur d’autrefois; il y a quelques années, environ cinq ans, j’ai eu le privilège de m’arrêter près de Waterloo. Et j’étais–j’ai pris là un petit livre et je lisais la vie de Napoléon. Il détestait les Français. Il est venu en France, il est né sur une île et est venu en France se venger d’eux, et il est devenu un puissant conquérant. C’était un gentleman au départ, mais le succès lui est monté à la tête. Et il est dit: «Les femmes, quand elles allaient mettre leurs petits enfants au lit, on avait tellement peur de lui (Il mettait à mort tout celui qui n’était pas d’accord avec lui.), que ces femmes au lieu de dire: ‘Le vieux croque-mitaine va te prendre.’» Elles disaient: «Napoléon va te prendre.» Et les petits amis aux yeux brillants cachaient leurs têtes sous la couverture très rapidement, pensant à ce grand monstre, Napoléon.
    Mais, vous voyez, la victoire qu’il a remportée n’a pas duré. C’était un prohibitionniste au départ, mais il est mort à l’âge de trente-trois ans comme un alcoolique. Une victoire de ce genre ne dure pas parce qu’elle n’a pas été bien remportée. Le mal ne peut jamais engendrer le bien. Vous devez observer correctement la règle du jeu.

7    Et chacun de vous sait que dans les jeux olympiques ou dans n’importe quel autre exercice d’athlétisme, peu importe si vous arrivez le premier dans la course, mais si vous n’avez pas joué le jeu conformément aux règles, vous serez disqualifié. Vous devez observer correctement la règle du jeu.
    Et il en est ainsi de la vie humaine. Vous ne pouvez pas violer les règles du jeu de la vie et espérer gagner. Vous devez jouer cela en vous conformant à la Parole de Dieu, et à l’objectif pour lequel vous avez été placé ici.

8    Bien, il y a tant de gens qui ne semblent pas avoir un but dans la vie, spécialement en ce jour où nous vivons maintenant. Les gens semblent juste penser que tout ce qu’ils ont à faire, c’est de suivre quelqu’un d’autre, avec les habitudes du monde et avec la séduction que le monde leur offre. Juste comme ceci: si vous allez à l’école, et que certaines petites filles portent une petite robe ou habit ou peu importe comment vous appelez cela, toute l’ambition des autres écolières, c’est de prendre modèle sur cette fille.
    Certaines femmes voient paraître à la télévision une certaine dame habillée d’une certaine façon, eh bien, leur ambition, c’est de s’habiller et d’agir de la même manière. Et il semble que la limite de l’ambition américaine, c’est avoir un nouveau travail ou avoir une augmentation de salaire, et avoir une télévision ou une nouvelle voiture.

9    Laissez-moi dire ceci: ces choses peuvent être très bien, mais il y a dans la vie humaine des ambitions plus élevées que ces choses-là. Et les chrétiens doivent s’affectionner aux ambitions plus élevées.
    Je pense qu’il nous serait avantageux à nous tous de nous asseoir et de nous demander d’abord pourquoi nous sommes ici, et Quel est cet Être qui a été assez aimable pour nous amener ici; nous devons considérer cela et Lui demander ce qu’Il voudrait que nous fassions; le but que nous sommes venus accomplir, ce qu’Il a envisagé pour nous. Mais il semble que nous désirons juste suivre le monde.
    Or la Bible dit que nous pouvons vaincre le monde. Et comment le ferons-nous? Ce n’est pas en suivant les habitudes du monde, mais la Bible dit que la foi, c’est la victoire qui triomphe du monde.

10    Cela me rappelle une fois où… je n’aime pas prononcer ce mot, mais c’était juste un clochard qui est venu à la porte. Et il a dit: «Pouvez-vous me donner un–un sandwich?»
    J’ai dit: «Assurément, voulez-vous entrer?» Et au lieu de lui faire un sandwich, je me suis dit que je vais lui préparer quelque chose à manger. Et je lui ai préparé juste ce que je pouvais sur place et je l’ai fait asseoir pour manger. Et pendant qu’il mangeait, je me suis dit que j’allais lui parler, vu qu’il était un–un voyageur, et j’ai dit: «D’où venez-vous?»
    Il a juste haussé un peu les épaules et il a dit: «De nulle part.»
    J’ai dit: «Alors où allez-vous?»
    Et il a arrêté de manger, il m’a regardé et a dit: «Nulle part.» Il a regardé tout autour, il a avalé un gros morceau et il a dit: «Monsieur, juste là où repose mon chapeau, c’est là que je me repose.»
    J’ai dit: «Je comprends.» J’ai dit: «Depuis combien de temps faites-vous cela?»
    Il a dit: «Oh, une vingtaine d’années ou plus.» Sans aucune ambition pour–pour améliorer sa condition…

11    Bien, c’est juste là l’attitude des gens. Juste ce que j’appelle «Instables, vagabonds.» Et les gens qui se joignent à des églises, c’est presque la même chose. J’ai souvent pensé au fait de flotter, au bois flottant. Un bois qui flotte s’accroche juste à toute sorte de saleté. C’est juste ainsi que font les vagabonds dans l’église ou n’importe où.
    Maintenant, prenez un flot, comme le flot de la vie et beaucoup de bois flottants, s’accrochant à chaque tas de saleté; et pourtant le bateau s’avance, lui aussi fait de bois. Mais si vous remarquez bien, ce bois est fait et façonné par un maître, le constructeur du bateau. Non seulement il est façonné mais il est dirigé par un maître et il est propulsé par une force. Et nous sommes tous formés de la même matière. Cela dépend simplement de la manière dont vos ambitions sont dirigées.

12    Êtes-vous disposé à laisser le Maître Artiste faire de vous ce qu’Il pourra utiliser, ce qu’Il pourra contrôler et ce qu’Il pourra faire actionner. Si ce petit autre navire qui a été fait différemment et qui a été travaillé par la main du Maître doit chaque fois s’arrêter dans de mauvaises herbes le long des eaux peu profondes, il y a une force derrière cela, un petit bateau que le Maître peut mettre en marche et le pousser encore vers les eaux profondes.
    Dieu veut nous modeler et faire de nous ce qu’Il veut que nous soyons. Mais comment pourrons-nous faire cela, ou plutôt comment Dieu pourra-t-Il faire cela, lorsque nous ne voulons même pas rester tranquilles pour qu’Il le fasse. Nous voulons être maître de nous-même. Nous voulons penser à notre propre manière. Et beaucoup de gens viennent à l’église, s’y joignent et inscrivent leurs noms dans le registre, sans même considérer ce que cette église croit, ou bien sans examiner sérieusement cette église, comment ils prêchent la Parole de Dieu, s’ils soutiennent ou pas le Plein Évangile ou s’ils prennent juste une portion et ajoutent un credo, flottant, se laissant aller et sans jamais pouvoir réaliser quelque chose.

13    Mais laissez-moi vous dire quelque chose ce soir, vous qui êtes à l’intérieur et vous qui êtes à l’extérieur de ce bâtiment: Un de ces jours vous allez finir à une destination, et ce sera dans la vallée de l’ombre de la mort. Je vous conseille à cette heure-ci de vous préparer à rencontrer le Dieu qui devra vous rencontrer à cette heure-là. Vous Le rencontrerez soit comme un chef d’œuvre sur lequel Il a travaillé, soit comme un morceau de bois flottant, en route vers votre destination finale. Ainsi n’utilisez pas cette vie juste pour vous laisser aller ça et là et flotter ça et là et–et avoir un meilleur travail et être mieux habillé et avoir une nouvelle télévision ou une meilleure voiture. La vie vaut plus que cela. N’essayez pas de l’utiliser juste en disant : «Eh bien, je… Puisque les autres se joignent à l’église, je le ferai aussi.»

14    Lorsque vous vous joignez à une église, vous devez premièrement chercher à savoir ce qu’ils soutiennent. Est-ce tout simplement un lieu où les gens se rassemblent pour fraterniser, ou est-ce un lieu où on prêche la Parole du Dieu vivant et où on soutient chaque principe pour lequel Jésus est mort? Vous devez faire cela. Ne flottez pas simplement en suivant le courant, car «Étroite est la porte et resserré le chemin qui mène à la vie, et il y en a très peu qui entrent par-là. Car spacieux est le chemin qui mène à la perdition et il y en a beaucoup qui entrent par là.» Nous devons avoir un but pour quelque chose.
    Or, il n’en était pas ainsi autrefois ou en ce jour, en effet, quand un homme venait à Dieu, il avait un but en faisant cela. Si… Votre but est-il juste de vous laisser aller avec cette assemblée ou est-ce de regarder à Dieu?

15    Daniel, quand il fut amené à Babylone, quoiqu’il allait loin de sa patrie, et qu’il allait être obligé d’être l’esclave des gens d’une autre nation, mais peu importe ce qu’on lui a fait, il était résolu dans son cœur de ne pas se souiller avec le péché des Babyloniens.
    Oh, si on avait de braves hommes comme celui-là, qui seraient résolus dans leur cœur, disant: «Si je suis un chrétien, je vais chercher chaque bénédiction divine qui m’appartient et la réclamer. Si la Bible enseigne que je peux recevoir le Saint-Esprit, je resterai à genoux jusqu’à ce que Dieu me donne le Saint-Esprit et pas juste flotter.»

16    Il y a quelque temps, je lisais l’histoire de la vie du vieil oncle Buddy Robinson. Et c’était un très grand homme et un–un homme tendre, un homme de foi. Il a commencé à désirer ardemment le Saint-Esprit, car la Bible enseigne cela. Et il est dit qu’un jour, il cultivait du maïs et il a arrêté son vieux mulet, Ellie, et il est descendu dans la rangée de maïs et il a dit: «Ô Dieu, si Tu ne me donnes pas le baptême du Saint-Esprit, quand Tu reviendras sur la terre, Tu trouveras mes os étendus juste ici.»
    Ça, c’est prendre une résolution dans le cœur. Ça c’est vraiment se mettre au travail. Quand vous avez ce genre d’objectif dans votre cœur, Dieu va ouvrir les écluses des cieux. Quelque chose doit arriver. Vous devez vous mettre au travail avec Dieu, avoir un objectif et de la reconnaissance parce qu’Il vous a sauvé.

17    Et quand Daniel avait pris une résolution dans son cœur, le diable l’a amené à prouver cela, mais nous voyons que cela tint bon en face d’un lion affamé. Et un homme qui vient à Dieu, et réellement au fond de son cœur se trouve une foi fixe, celle-ci tiendra bon devant la mort ou devant la maladie, devant la tristesse, il tiendra bon car la foi, c’est la victoire. Vous avez vaincu par votre foi.
    Abraham était juste un homme sans un objectif précis dans la vie, juste avec son père et ses amis, ils venaient de Babylone et ils avaient séjourné à Shinear. Et là on avait fait construire une–la tour et… ainsi de suite. Et ils… Un jour, pendant qu’Abraham priait, sans doute, il pria jusqu’à ce qu’il toucha la main de Dieu. Comment le fit-il? Par la foi.
    Peut-être il a pensé comme ceci: «S’il existe un Dieu, qui a construit l’arche et qui a laissé Noé flotter jusqu’au bout, Il vit encore aujourd’hui.» Quelque part dans une terre des païens où il séjournait, il toucha la main de Dieu, et là, Dieu lui donna la révélation selon laquelle il existe une cité dont l’Architecte et le Constructeur est Dieu.

18    Et nous lisons que durant toute sa vie, Abraham était un pèlerin et un étranger au monde; en effet, sa seule ambition était de trouver cette ville dont l’Architecte et le Constructeur est Dieu. Il toucha quelque chose. Il saisit Dieu et eut foi en ce Dieu-là, ainsi il vit à l’avance la Nouvelle Jérusalem. Et il mit ses bagages au dos et devint un errant, pas juste un errant sans objectif, il avait foi qu’il y avait une cité dont l’Architecte et le Constructeur est Dieu, une cité éternelle. Il avait comme objectif dans la vie de trouver ce lieu.
    Et puis-je dire ici qu’un jour quand la bataille fut terminée, il rencontra le Roi de cette cité. Et celui-ci lui donna la communion, le pain et le vin; Melchisédek.
    Oh, vous ne pouvez pas être résolu dans votre cœur pour quelque chose que Dieu a promis, sans en avoir palpé la réalité. Si votre âme est tourmentée par les péchés, les doutes, les hauts et les bas, et les frustrations, et que quelque chose vous dise au-dedans de vous qu’il y avait un endroit où vous pouvez vaincre cela; pourquoi errez-vous alors d’église en église et de lieu en lieu? Restez tout simplement à genoux jusqu’à ce que vous touchiez le ciel, et comme je l’ai dit hier soir: «Franchissez le mur du son.» Alors vous aurez un but dans la vie. Vous aurez un objectif en appartenant à une église. Vous aurez un objectif en vous faisant baptiser. Vous aurez un objectif dans votre quête.

19    En effet, nous savons que Dieu est honnête, Dieu est véridique, et Dieu ne peut pas mentir. Et si Dieu avait placé cela dans le cœur d’Abraham par Sa Voix, Sa Parole, alors Dieu a placé cela devant nous dans Sa Bible et par le témoignage du Saint-Esprit, par le retour du Saint-Esprit au travers des miracles et des prodiges, que Jésus-Christ vit toujours et qu’Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Alors pourquoi continuerions-nous à rechercher ces choses que nous désirons?
    Si vous avez un besoin, n’importe quel besoin pour lequel Dieu a fait une promesse dans Sa Bible, Il est ici ce soir pour satisfaire à ce besoin, c’est inutile de chercher plus loin. Sa Présence est ici. Son Esprit est ici et Il est disposé et prêt, désirant ardemment vous donner ce que vous recherchez tant. Pourquoi attendriez-vous plus longtemps?

20    Quand vous venez à Lui, ne venez pas comme un errant. «Je vais aller, essayer cela pour voir et je verrai si ça va marcher.» Vous n’arriverez nulle part, mais quand vous venez avec ce genre de détermination, que vous avez tout vendu… Quand vous êtes fatigué du monde, du péché, de l’incrédulité, des frustrations et des doutes et que vous vous approchez du Dieu vivant avec une ancre sans doute fixée dans le Rocher des âges, le Saint-Esprit est ici pour vous attirer dans la Présence du Dieu vivant, ce qui vous donnera une foi qui vaincra tout ce qu’il y a au monde: la maladie, le mal et même la mort elle-même.
    Vous dites: «Vous dites la mort, Frère Branham!» Et c’est bien ce que je veux dire. La mort.

21    N’est-ce pas que Lazare gisait mort dans la terre, la corruption déjà installée en lui quand Jésus a dit à Marthe: «Où l’avez-vous enseveli? Et si tu ne doutes pas, tu verras la gloire de Dieu.»
    «Ne t’ai-je pas dit de ne pas douter? Dit-Il à Jaïrus ce soir-là, ou plutôt ce jour-là. Si tu crois seulement, tu verras la gloire de Dieu.»
    Alors la foi triomphe de la mort. La foi, c’est la victoire sur la mort. La foi, c’est la victoire sur le péché. La foi, c’est la victoire sur la maladie. La foi, c’est la victoire sur l’inquiétude. La foi, c’est la victoire sur les frustrations. La foi, c’est la victoire sur le monde.

22    Vous dites, Jean, quand il écrivait cela, il n’avait pas les problèmes que j’ai. Il n’a pas eu à traiter avec les gens avec qui je traite. Il n’a pas enduré les choses que j’endure. C’est exact. Il se peut qu’il n’ait pas eu à traiter avec les mêmes gens. Il se peut qu’il n’ait pas eu à vaincre la même chose, mais il ne les a jamais exclus. Car il a dit: «Ceci – la foi, c’est la victoire qui triomphe du monde, de tout.»
    Comment? Il s’agit là de la foi. Passez par-dessus cela. Quand nous avons la Parole écrite de Dieu placée devant nous et le Saint-Esprit ici, opérant et manifestant la résurrection du Seigneur Jésus, avec des promesses divines écrites ici selon lesquelles «tout ce que vous demandez en priant, croyez que vous l’avez reçu et vous le verrez s’accomplir», qu’avez-vous à faire alors? Ayez foi, pas juste une foi flottante, pas juste une soi-disant foi, mais une foi réelle.

23    Maintenant, la foi, c’est un vainqueur, la foi, c’est un triomphateur. Ce n’est pas simplement un–un pacificateur, elle triomphe. La foi, c’est la victoire qui triomphe du monde. Que fait-elle? Qu’est-ce que la foi? Qu’est-ce que le vainqueur? Conquérir et la victoire, c’est la même chose. Conquérir signifie «battre, l’emporter sur, mettre les menottes à, jeter en prison.» Cela signifie que le péché qui a une fois dominé sur vous, vous dominez sur cela maintenant. Cela signifie que vous avez triomphé de cela, vous êtes–vous avez vaincu cela. Vous êtes plus grand que cela. Oh, je me sens religieux, maintenant même.
    Qui était le premier, le pécheur ou le Sauveur? Le Sauveur, car le Sauveur est plus puissant que le péché. Qui était le premier, le Guérisseur ou la maladie? Ça ne pouvait pas être le Guérisseur s’il n’était pas au-dessus de la maladie. C’est le Guérisseur, Il peut conquérir la maladie. Et la foi, c’est la victoire qui triomphe de chaque malédiction du diable. La foi, c’est la victoire.

24    La foi en quoi? Non pas la foi dans une église, non pas la foi dans votre credo, non pas la foi dans un homme, mais la foi en Jésus-Christ qui a fait la promesse. C’est cela la victoire. Qu’est-ce? C’est la victoire. Vous dites: «Mon bras est toujours paralysé.» Mais la foi, c’est la victoire. Je suis toujours malade. Mais la foi, c’est la victoire. Oh, elle triomphe du monde. Quand vous pouvez monter vers Dieu par la prière jusqu’à ce que vous voyiez la chose être vaincue par vous. Il n’y a rien alors qui peut vous nuire. Vous avez vaincu. Vous avez 50 miles [130 km–N.D.T.] d’espace. Vous naviguez alors librement.
    Vous qui avez été un ivrogne et un esclave du whisky, vous serez alors le maître de cela. Ce vieux démon d’alcool qui vous faisait boire, est maintenant votre maître, mais quand vous recevez la foi, je ne veux pas dire une soi-disante foi, mais une foi réelle, il devient alors votre serviteur.
    Vous qui ne pouvez pas abandonner le tabac, vous femmes et hommes, lorsque vous en arrivez à ce niveau-là, où vous avez triomphé de cela par la foi, vous allez alors dominer cela.

25    Une petite dame qui est assise ici, maintenant, elle a été maintes et maintes fois à cet autel. Une brave femme, mais il y a longtemps, elle avait commencé à fumer, et elle n’arrivait simplement pas à vaincre cela. Et elle venait ici et je priais avec elle et c’est comme si elle ne pouvait simplement pas vaincre cela. Et la–la première chose, vous savez, je lui ai parlé ici, j’ai dit: «Il y aura un danger sur la route.»
    Elle a dit: «Eh bien, Frère Branham, j’ai pleuré; j’ai supplié.»
    Vous voyez, c’est juste émotionnel, battant l’air. Cela ne peut faire aucun bien. Je descendais prier avec elle, je lui imposais les mains et elle est rentrée; et quelques jours après je la revoyais, renvoyant la fumée de la cigarette, les mains toujours brunies.
    Et un soir, là-bas, elle est allée chez un médecin; elle commençait à souffrir et à maigrir au point qu’elle n’était qu’une petite créature chétive, et le médecin l’a examinée et il a dit: «Le cancer, vous fumez la cigarette…» Voilà qu’elle était couchée là en train de mourir; alors elle s’est mise au travail.

26    Voyez, dans une situation désespérée, on se raccroche à un rien. Tant que vous pouvez partir de cette église ce soir et que vous savez que vous pouvez aller vous joindre aux Méthodistes ou aux Baptistes, tant que vous pouvez vous asseoir ici à l’intérieur et dire: «Eh bien, je vais juste… Je suis une brave personne. Je n’ai pas de problème.» Oui, vous ne pouvez rien entreprendre. C’est exact. Mais quand vous voyez vos péchés comme Dieu les voit à la lumière de Sa Bible, quand vous les voyez, vous allez soit vous repentir ou soit périr, quelque chose va arriver. Vous allez vous mettre au travail.
    Si vous sortez d’ici et que vous suffoquiez dans votre cœur, peut-être que le médecin là derrière se lèvera, s’approchera, observera et dira «C’est une crise cardiaque.» Vous vous mettrez au travail. C’est alors qu’elle s’est mise au travail. Et la femme est assise en train de me regarder maintenant.

27    Et frère Roberson qui est là derrière et monsieur Wood qui est ici, frère Wood est assis quelque part ici, et moi, nous allions à la chasse, je crois, quelque part à bord de la camionnette. Et le Saint-Esprit semblait nous pousser à prendre la route qui mène chez les Knobs, vers là où elle était. Et quand je suis arrivé là, elle avait eu un songe, et quand le Saint-Esprit est entré dans la pièce et qu’elle s’est vraiment mise au travail, dès lors elle n’a plus jamais fumé et elle a pris du poids et on ne peut pas trouver une trace du cancer. Qu’est-ce? C’est la foi qui a triomphé. Pourquoi n’a-t-elle pas triomphé quand j’ai prié pour elle ici? Elle a flotté ça et là. Mais quand le médecin a dit: «Vous avez le cancer et vous allez mourir.» Elle s’est mise au travail. C’est ainsi que cela doit être.
    Quand vous vous mettez au travail, pourquoi attendre si longtemps? Pourquoi ne pas se mettre au travail maintenant? Mettez votre foi en Dieu. Qu’en serait-il si la femme avait eu foi en moi? Cela aurait échoué parce que je suis un homme. Mais quand elle a changé sa foi, non pas dans le Tabernacle Branham ou en William Branham, ou en quelqu’un d’autre, mais quand elle a placé sa foi en Jésus-Christ, alors elle a eu la foi. Elle s’est élevée au-dessus de toute peur et de tout doute, et Dieu l’a guérie. Et oh, elle a triomphé. La foi, c’est la victoire qui triomphe.

28    Je me suis souvent demandé pourquoi les chrétiens aiment s’agiter de toute manière pour ces choses. Bien des fois des hommes et des femmes viennent me voir et disent dans leurs confessions et tout, quand j’ai ces entrevues privées, et ils… nous les rencontrons, lorsqu’ils viennent pour faire des confessions de leur vie immorale et de toutes–toutes sortes de confessions, car ils ne peuvent pas nier cela. Le Saint-Esprit est juste là. S’ils essayent de cacher cela, Il révèle cela immédiatement pour eux. Ainsi ils feraient aussi bien de le dire. S’ils essayent de dévier, le Saint-Esprit les arrête, disant: «Juste une minute, voici telle et telle chose.»
    Ainsi quand ils viennent, ils commencent à me parler des petites choses du monde, je remarque cela au milieu de croyants. Vous êtes en route vers quelque part. Pourquoi vous laissez-vous entraîner? Il s’agit de votre ambition. Fixez votre objectif sur Christ et cessez de vous conformer au monde.

29    Si vous prenez un magazine, il dira: «Eh bien, les guérisseurs divins d’aujourd’hui, il n’existe pas des guérisseurs divins.» Cela mettra un doute dans votre esprit. Quelqu’un passe à la radio et dit, oh, il prêche un très bon sermon, mais il dit: «Les jours des miracles sont passés.» Vous soutenez cela. Voyez, cela vous affaiblit. Vendez tout. Mettez-vous en ordre avec Dieu. Soit soyez ce que vous êtes, soit ne le soyez pas du tout. La Bible de Dieu n’enseigne pas cela, alors éloignez-vous-en. Si Elle enseigne cela, tenez-vous-en à cela.

30    Cela me fait penser à ceci, par exemple, qu’arriverait-il si nous allions dans trente jours effectuer un petit voyage vers un autre pays, où le climat est tellement beau que nous ne voudrons plus jamais revenir; et là-bas nous n’aurions jamais à mourir ou à vieillir, mais serions juste là pour toujours. Pourrais-je me représenter vous allant au bazar acheter un tas de camelotes pour partir avec? Vous seriez en train d’essayer de vous débarrasser de cette camelote que vous aviez. Et quand vous vous troublez en vous joignant à une église, et puis à une autre, vous accumulez plus de camelotes. Mais si vous pensez bien à l’endroit où vous allez, vous vous débarrasserez d’un tas de ce doute et de non-sens. Vous aurez une véritable foi.

31    Je parle aux gens. «Êtes-vous le frère Branham qui prie pour les malades?»
    «Oui.»
    «Eh bien, c’est contraire à ma foi.» Alors vous n’avez pas la foi. La Bible enseigne cela.
    Et maintenant, beaucoup de gens entrent dans la ligne et ils disent: «Eh bien, j’ai toute la foi.»
    Alors que faites-vous ici? Oh, ce n’est pas ça. La foi véritable ne connaît aucune défaite. Elle ne peut pas être vaincue. Même la mort elle-même ne peut la vaincre. Elle ne connaît aucune défaite. Les épreuves connaissent la défaite, mais la foi ne connaît aucune défaite. Elle ne peut pas être vaincue, et c’est la seule façon pour vous d’être agréable à Dieu. «Car sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu,» dit Hébreux 11.

32    Et à cet endroit, puis-je m’imaginer vous allant ça et là, certains d’entre vous chrétiens qui utilisez l’argot, des paroles sales et grossières, tout en étant membres d’église. Puis-je m’imaginer vous allant dans un autre pays et alors vous allez ça et là en Amérique pour apprendre tout l’argot américain que vous connaissez–que vous entendrez? Vous ne le ferez certainement pas. Ce que vous essayeriez de faire, ce serait d’apprendre quelques mots de cette langue de là-bas. C’est exact. Comme par exemple «Bonjour,» de toute façon. Et je pense qu’il–qu’il appartient aux chrétiens, surtout aujourd’hui, d’essayer d’apprendre une langue céleste, les louanges de Dieu que nous allons chanter là-bas et nous en réjouir. Et vous qui ne croyez pas au fait de crier, qu’allez-vous faire quand vous arriverez là-bas? Vous vous y sentirez alors très mal à l’aise. Mieux vaut avoir la foi et triompher maintenant, car la foi, c’est la victoire qui triomphe. Non, vous ne suivriez pas des petites choses comme cela, vous auriez la victoire.
    Vous dites: «Comment le faire, Frère Branham?»
    Eh bien, c’est si simple, c’est juste… Maintenant, ici aux réunions, vous vous demandez comment se soumettre, ici comment… Les gens dans ce bâtiment, je n’en connais pas beaucoup. Et quelque fois dans mes réunions, je ne connais personne, même les autres langues. Mais comment est-ce que je–comment est-ce que je connais cela? Il s’agit de se soumettre. Abandonnez-vous simplement au Saint-Esprit. Alors ce n’est plus vous; vous ne savez pas ce que vous allez dire. Vous Le laissez tout simplement parler. C’est si simple que ça.

33    Beaucoup d’entre vous, vous avez foi dans vos médecins. Et il vous faut cela si vous avez un médecin. Et maintenant, si quelque chose ne va pas en vous, vous irez chez ce vieux et loyal médecin en qui vous avez confiance. C’est ce que vous devez faire. C’est une bonne chose. Et ensuite, vous lui soumettez votre cas. S’il dit que vous devez être hospitalisé, vous rentrerez simplement chez vous, vous emballerez vos habits, et vous vous ferez transporter à l’hôpital. Certainement. Vous avez foi dans le médecin. Et s’il ne décide pas qu’il vous faut aller à l’hôpital ou plutôt que vous devrez être hospitalisé, il fera une ordonnance et vous donnera un sachet plein de pilules. Et vous les avalerez, quoique vous ne sachiez pas ce que contiennent ces pilules, vous avez foi dans votre docteur.

34    Qu’en est-il de Dieu? Et vous avez peur d’avaler quelques pilules de l’Évangile. [En anglais «Gos-pills»–N.D.T.] qu’Il vous donne: «Par Ses meurtrissures vous avez été guéri. La foi, c’est la victoire qui triomphe du monde.» Avalez cela et voyez ce qui arrive. C’est la confiance; vous montrez combien vous avez confiance dans votre médecin en prenant son médicament que vous ne connaissez pas. Vous montrez votre confiance au médecin en vous soumettant à une opération. Cela prouve votre confiance dans le médecin. Mais quand on en vient à Christ, vous avez peur de Le prendre au mot. Comment est-ce possible? La foi, c’est la victoire.
    Vous pouvez soumettre votre cas à Jésus-Christ, ce soir, juste comme à votre médecin. Donne-moi tout ce que Tu veux, Seigneur, Tu es mon Médecin traitant. Alors vous avez la victoire. Alors vous avez la foi qui triomphe. Vous n’allez plus jamais rechercher une autre ligne de prière, vous ne rechercherez rien d’autre, vous aurez cela juste là; tout sera réglé. Vous ne sauterez jamais d’une église à l’autre pour voir si ceux-ci l’ont, ou si ceux-là l’ont, s’ils ne l’ont pas. Vous l’avez donc. Quand vous avez la foi, vous avez la victoire.

35    Je vous dis que ce dont nous avons besoin ce soir en Amérique, et ce dont nous avons besoin ce soir, ici dans ce tabernacle, c’est de laisser le Docteur Jésus venir et faire une opération de notre foi. Si le médecin vous dit que vous avez une petite appendicite: «C’est tout infecté, on doit l’enlever.» Vous avez telle, telle et telle autre chose qui ne marche pas. On doit enlever cela. Eh bien, il enlève cela, alors le reste de votre corps peut bien fonctionner. Et quel est le problème de notre foi ce soir? Nous avons peur de laisser Dieu prendre Sa Parole opératrice, Son bistouri, plus tranchant qu’une épée à deux tranchants, et nous opérer, et nous dire que notre petit fandango [Danse espagnole–N.D.T.], conter des blagues partout, c’est faux, et que nous devons nous libérer de toute ombre, et naviguer vers la promesse éternelle de Dieu. Oh, si nous faisons cela, Jésus va faire l’opération de notre foi, en enlevant tout doute, toute crainte, toute inquiétude, tout péché et tout ce qu’il y a. Et alors, quand notre foi a été bien opérée nous devenons une nouvelle créature. Nous sommes alors différents. Nous avons besoin d’une opération.

36    Pouvez-vous avoir confiance en Jésus-Christ pour cette opération? Pouvez-vous croire en Lui? Pouvez-vous dire: «Seigneur Dieu, sur Ta Parole» sur Ta Parole, comme les disciples ont dit dans Marc 5, quand ils ont dit: «Bien que nous ayons pêché toute la nuit, sans rien prendre; mais, Seigneur, sur Ta Parole, je jetterai les filets, a dit Pierre. Seigneur, je suis un pêcheur; je connais les signes quand la lune est bien droite. Je sais quand ils mordent et quand ils ne mordent pas. Je sais quand ils sont dans leurs écoles et quand ils n’y sont pas. Non pas seulement ça, mais j’ai pêché toute la nuit et voici le conseil des médecins ici avec moi, les docteurs pêcheurs. Et nous connaissons nos affaires et nous avons fouillé ce cours d’eau durant toute la nuit sans rien prendre. Mais sur Ta Parole, Seigneur, je jetterai le filet, car le–le Chirurgien en Chef l’a dit. Le Médecin en Chef l’a dit.» Et ils prirent une très grande quantité de poissons au point que leurs filets commencèrent à se rompre. Pourquoi? La foi, c’est la victoire. Peut-être qu’il n’y avait même pas un seul poisson dans l’eau. Mais quand Dieu a fait la promesse, Il créera les poissons et les mettra là.

37    Il se peut que vous n’ayez pas de chance de vivre; vous pouvez être en train de mourir du cancer, vous pouvez être cloué dans un fauteuil roulant, vous pouvez être totalement aveugle. Je ne connais pas votre problème, mais si vous prenez l’ordonnance du Médecin en Chef: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu et vous le venez s’accomplir. Et vous l’aurez.» Et croyez que cette foi triomphera de toute difficulté qu’il y a… Vous pouvez être tellement chargé du péché que votre âme est aussi noircie au possible. Vous pouvez avoir essayé de vous débarrasser de ce tempérament colérique, de cette langue calomnieuse, de ce commérage au téléphone. Vous pouvez avoir essayé tout remède que vous connaissez, mais si vous laissez simplement Jésus-Christ entrer en vous ce soir, Il opérera votre foi et vous donnera une foi qui s’élèvera au-delà de tout ce que le monde peut produire. Pourquoi? Parce que la foi, c’est la victoire qui triomphe du monde.

38    Comment pouvez-vous douter quand Jésus-Christ le Fils du Dieu vivant est présent ici maintenant, quand Son Glorieux Saint-Esprit est dans le bâtiment? La Parole a promis ceci: «Je serai toujours avec vous, jusqu’à la fin du monde.» Cela fut promis par le Seigneur. Dieu doit tenir Sa Parole. Croyez-vous cela? Quand Il a promis qu’Il fera ces choses, Dieu y est solennellement tenu. Maintenant, je veux que vous réfléchissiez là-dessus. Si vous avez un péché, s’il y a quelque chose qui ne va pas dans votre vie. Je veux que vous y réfléchissiez pendant que nous avons la tête inclinée, juste un moment pour la prière.

39    Avant que nous priions, j’aimerais poser cette question. J’aimerais demander s’il y a un homme, une femme, un garçon ou une fille, qui se trouve dans ce bâtiment, qui voudrait par une main levée dire: «Seigneur, je ne peux apparemment pas vaincre. C’est comme si je sais que je ne devrais pas faire ces choses, je–je sais que je ne devrais pas faire ceci et cela, mais je veux que Tu opères ma foi tout de suite, après ce message. Je veux que Tu me fasses un contrôle général et que Tu opères la–chaque petite maladie de ma foi qui m’empêcherait de triompher de ces choses.»
    Lever la main vers Lui, voulez-vous le faire? Que le Seigneur vous bénisse. Il y a des mains partout. Petite… Rejetons tout fardeau et le péché qui nous enveloppe si facilement et courons avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte, ayant le regard sur le Chef et le Consommateur de notre foi, le Seigneur Jésus-Christ.
    Combien de malades et de nécessiteux ici veulent lever la main et dire: «Seigneur, opère ma foi. Je suis dans le besoin ce soir, Seigneur?» Que Dieu vous bénisse. La foi, c’est la victoire. Comment obtenons-nous la foi? «La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole de Dieu.» Maintenant, pour vous qui êtes nécessiteux, si coupables, je ne peux pas faire l’appel à l’autel pour vous pousser à venir ici à l’autel, comme c’est la coutume du tabernacle, car il n’y a même pas d’espace. Il y a des gens qui se tiennent le long des murs. Il y a des gens qui sont–qui sont ici à l’autel et c’est vraiment un endroit où nous ne pouvons pas faire cela. Mais je vais prier pour vous maintenant, et abandonnez-vous simplement à Christ, juste en ce moment, pendant que je prie.

40    Dieu bien-aimé, nous implorons Ta miséricorde divine sur ces âmes contrites qui sont dans l’attente, et qui croient que Tu es le rémunérateur de ceux qui Te cherchent. Et je Te demande d’être miséricordieux envers eux, Seigneur, et peu importe le cas, le cancer du doute, le cancer de la colère, la malignité de l’incrédulité, enlève cela maintenant même, ô Seigneur, et donne-leur le Saint-Esprit. Remplis leurs âmes de Ta bonté. Baptise-les dans Ton Royaume maintenant même, comme ils ont levé leurs mains en confession de leur foi. Et je Te demande, ô Dieu miséricordieux, de faire cela pour eux. Car ils ont changé leurs pensées concernant–concernant le fait de flotter çà et là sur la mer. Ils veulent entrer dans le quai, pour être taillés par le Maître Bâtisseur, et devenir de nouvelles créatures en Christ Jésus, et ayant pleins pouvoirs par Son Esprit, étant dirigés par Sa volonté; ainsi donne-leur cela en ce moment, ô Père, alors que nous le demandons humblement au Nom de Jésus, Ton Fils.
    Et maintenant, ô Seigneur, beaucoup de gens qui se sont levés, ou plutôt des mains qui se sont levées. Ils se sont rendus compte qu’ils ont été de lieu en lieu, la plupart d’entre eux. Ils ont parcouru des kilomètres à travers les–les États pour atteindre telle et telle personne qui prie pour les malades. Et ils ont effectué peut-être une longue distance pour arriver ici, j’apprécie réellement cela, Seigneur. Qu’en serait-il s’ils ne croyaient pas en moi comme étant Ton serviteur? Ils ne seraient pas alors venus. Je Te remercie d’avoir permis qu’ils aient foi en ma prière.

41    Seigneur Dieu, je prie sincèrement pour chacun en ce moment, afin que Toi, le Grand Dieu du ciel, Tu fasses entrer Ton Saint-Esprit dans leur vie, et que Tu ôtes toute incrédulité. Qu’ils sachent que c’est la foi qui est la victoire, non pas une certaine personne de la terre, non pas une certaine église, ou une certaine prière d’un homme – tout cela aide – mais la foi, c’est la victoire.
    Nous avons lu là où Ton Fils, notre Sauveur, est allé dans Sa propre contrée, et il y en avait qui disaient: «Qui est ce type? N’est-ce pas le fils du charpentier? N’est-ce pas que nous le connaissons, lui et sa mère? Sa mère ne s’appelle-t-elle pas Marie? Et Jude, Joses et ses sœurs ne sont-ils pas ici?» Et Ils se sont achoppés de Lui. Et Il était étonné de leur incrédulité et ne pouvait faire des miracles.

42    Nous réalisons que peu importe combien une personne a trouvé grâce devant Toi, c’est néanmoins notre propre foi qui est la victoire. Je Te prie, ô Dieu, que Tu laisses sortir ces hommes de ceci, et que Tu Te manifestes ici ce soir, là où la foi est centrée sur les principes de la résurrection de notre Seigneur. Il n’est pas mort, mais Il est vivant à jamais. Et Il a promis: «Je serai avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde.» Et nous croyons qu’Il est ici. Et nous prions, ô Dieu bien-aimé, que ce soir Il Se rende visible, présent, et puisse alors le Saint-Esprit saisir chaque cœur, et faire l’opération sur la foi, afin que les gens triomphent de leurs maladies, de leurs afflictions, et de leurs maux, et sortent d’ici avec une foi ferme; peu importe si rien n’arrive, que cela produise cependant une foi qui dit que c’est accompli. C’est ça la victoire. Elle triomphe du monde. Car nous le demandons en Son Nom et pour Sa gloire. Amen.

43    Je vois qu’il serait difficile d’appeler une ligne de prière, car cette porte est bondée de monde jusque dans la rue, et celle-ci est bondée de monde jusque dans la rue, et aux fenêtres, et aux portes, et par ici. Je peux essayer cela, si vous le voulez. Je–je peux essayer d’appeler une ligne de prière, mais je dirais ceci, après cette chose, j’ai eu moi-même la conviction en prêchant…
    Je crois que si vous êtes simplement révérencieux, et que vous preniez toute la foi que vous avez, comme foi humaine, et la remettiez entre les mains de Dieu, en disant: «Maintenant, Seigneur, prends ma petite foi que je dois Te donner, et que Ta foi vienne sur moi.» Je crois qu’Il vous guérira, et me permettra de vous citer directement de cette estrade, sans même que vous veniez du tout ici.
    Pouvez-vous croire cela? [L’assemblée répond: «Amen.»–N.D.É.] Eh bien, si vous avez votre carte de prière, gardez-la; nous allons l’utiliser de toute façon. Nous croyons donc…

44    Maintenant j’aimerais… Cela me vient à l’esprit juste maintenant. Car Billy m’a dit juste au moment où nous entrions, il y a quelques minutes, qu’il a distribué encore ce soir quelques cartes de prière. En effet, nous en avons pris un bon paquet hier soir, et il a dit: «Il y en avait là, papa, qui voulaient des cartes de prière, et je leur ai donné des cartes de prière.»
    J’ai dit: «C’est très bien.»
    Il a dit: «Mais comment vas-tu appeler la ligne de prière?»
    La foule était alors là derrière, maintenant les gens sont partout sur les côtés. Ainsi, c’est difficile de faire cela, d’appeler une ligne de prière. Nous ne… Qu’est-ce que ça change, que vous vous teniez ici ou que vous soyez assis là où vous êtes? Mais il faudra la foi pour faire cela. Il faudra votre foi plus ma foi, avec la foi de Dieu; mélanger cela, et ma foi et votre foi disparaîtront, et la foi de Dieu prédominera, et la Parole sera accomplie.

45    J’aimerais juste vous demander ceci, sur cette base: «Croyez-vous que ceci est la Parole de Dieu?» Elle ne peut donc pas mentir, si c’est la Parole de Dieu. Elle doit être véridique. Si donc c’est la Parole de Dieu et qu’Elle est véridique, alors Dieu est tenu d’accomplir chaque Parole qu’Il a promise là-dedans. Il est tenu de tenir cette Parole.
    Maintenant, si vous étiez malade et que vous soyez en train de mourir de la leucémie, ou du cancer, ou–ou quoique vous ayez, la tuberculose, et que vous veniez ici, et ameniez les–tous les ministres que nous connaissons dans ce bâtiment, et que vous les ameniez ici et prIlez pour eux, chacun d’entre vous, néanmoins, à moins que vous ayez vous-même la foi, cela ne pourrait pas marcher. Voyez? Mais si quelqu’un est guéri, vous avez peut-être remarqué que Dieu l’a guéri, ou il a déclaré avoir été guéri, cela pourrait aider votre foi, car vous avez vu qu’il a été guéri.

46    Récemment à Durban, en Afrique du Sud, je priais, et on a amené une personne sur l’estrade. Et vous connaissez l’histoire; je l’ai racontée à beaucoup d’entre vous. Comment une dame était guérie là, qui était une musulmane, et on a amené beaucoup de gens de chaque tribu, il y avait là quelque vingt tribus ou plus. Et alors quand on en est arrivé à un garçon qui était né voûté et qui marchait sur ses mains… Et quand le Saint-Esprit a commencé à lui parler (C’était un–un Zoulou), et quand le Saint-Esprit s’est mis à parler, et a dit à cet homme, un Hottentot africain, qui ne savait même pas distinguer sa main droite de sa main gauche, et Il lui a même dit qui il était. Les gens se sont levés, et les sorciers se sont levés, tenus en haleine. «Quelle nouveauté!» se sont-ils exclamés. Et les chefs, qui étaient éventés avec des éventails, ont fait arrêter les éventails.
    Mais il a été dit: «Dans ta hutte, là où tu vis, il y a une photo de mon Seigneur suspendue au mur.» Et son père et sa mère, là au fond, avec des centaines de milliers de gens, se sont levés pour attester que c’était la vérité.
    Et il fut dit: «Maintenant, tu as un frère qui chevauchait une chèvre ou un chien blond, et il s’est blessé à la jambe, et il marche à l’aide d’une béquille, et il est ici à la réunion. Mais sa foi, à l’instant même, a triomphé, et il est guéri.» Pourquoi? À cause de ce choc face à un homme blanc, qui ne parlait même pas sa langue, et qui pouvait lui dire qui il était, et ce qui était arrivé. Quel genre de puissance était-ce?

47    Et le garçon a entendu cela par l’interprète, et il a jeté ses béquilles et il est venu en courant et en sautant de joie. Et lorsque son frère, qui ne savait pas distinguer sa main droite de sa main gauche… Et il pensa que j’essayais de l’amener à exécuter une–une danse, une danse indigène, en voyant son frère courir et sauter, cela lui a fait quelque chose, et il a franchi les barrières du péché d’incrédulité. Et j’ai regardé derrière, il y avait une vision qui lui disait de se mettre debout; il était guéri. Et le garçon n’était même pas assez intelligent, assez raisonnable pour comprendre ce que je disais, pendant que l’interprète le lui disait. Il portait une chaînette au cou, et j’ai saisi la chaînette et j’ai dit: «Jésus-Christ te rétablit, lève-toi.»
    Ce garçon, qui était né malade, s’est tenu debout, et non seulement cela, mais il était aussi dans son bon sens, les larmes coulant sur son ventre noir. Et la gloire de Dieu est descendue sur cet endroit jusqu’à ce que vingt-cinq mille purs païens étaient guéris en une seule fois.

48    Qu’ont-ils fait? Le lendemain matin, j’étais assis à la fenêtre, et après que le maire de la ville fut arrivé, il a dit: «Regardez par cette fenêtre; vous avez une surprise.»
    Et le lendemain matin, sept grands camions pour le bétail pleins de béquilles, de fauteuils roulants et tout, sont venus là, marchant dans la… passant dans la rue, avec les gens qui étaient présents là, la veille au soir, marchant dans la rue; et les Zoulous, les Shungai, les Buzutos, les Cozethas, toutes les différentes tribus qui étaient en guerre les unes contre les autres, étaient en paix, la main dans la main, chantant: «Toutes choses sont possibles, crois seulement» dans leur langue maternelle.
    Je me suis levé de la fenêtre, et j’ai levé les mains et j’ai répliqué «Grâce étonnante, combien doux est le son, qui sauva un vil comme moi.»
    C’était un spectacle glorieux, mes yeux ne voyaient presque plus, jusqu’à ce que j’aie vu le Seigneur dans une vision à ce moment-là.

49    Qu’est-ce? Cela stimule quelque chose. Ces gens n’étaient pas des vagabonds; ils n’avaient jamais entendu cela auparavant. Et quand ils ont entendu, avec une simplicité enfantine, ils se sont simplement saisis de cela. C’est tout ce qu’il en était, ils–ils n’avaient pas besoin d’opération. Ils ont simplement vu cela et ont suivi cela. C’était à eux. Personne ne pouvait leur dire le contraire; ils ont bien vu cela arriver.
    Eh bien, si le Seigneur Jésus est toujours vivant, et s’Il est ici à Jeffersonville, dans l’Indiana, dans ces États-Unis d’Amérique, s’Il est ici ce soir le même Dieu qu’Il a été, pour redonner la vue à ce prédicateur aveugle… Il est le même Dieu qui donna à ce petit enfant atteint de leucémie, mourant, quand les médecins, le lendemain matin, ont annoncé qu’elle était guérie…

50    Tout récemment, j’en ai l’article ici même, je crois, dans l’un de ces livres, je ne suis pas sûr. Je lisais cela l’autre jour, et je pense avoir mis cela dans ces affaires-ci. Et il se pourrait que je ne l’aie pas fait, je ne suis pas sûr. Mais je lisais un article l’un de ces jour… Le voici, juste ici. Un des journaux d’ici dans le Mich… ou là quand j’étais ici, lors de ma dernière campagne, avec un article dans le journal, là où il y avait une dame. J’ai… C’était à Burlington, dans le Vermont. Et elle était toute déçue; elle n’avait pas reçu des garçons une carte de prière, ce jour-là. Et Gene, Léo, Billy, et les autres qui étaient là, seront ici. Et elle était assise là derrière, et tout à coup, elle s’est demandé pourquoi elle ne pouvait pas entrer dans cette ligne de prière; et la première personne s’est avancée et il fut dit: «Vous êtes madame Unetelle, vous venez de tel endroit, et quelque chose–quelque chose est arrivé.»
    Juste à ce moment-là, elle a franchi cette barrière, et elle a dit: «Je connais cette dame, et je sais que c’est la vérité.»
    Elle n’avait pas fini de penser cela dans son cœur quand le Grand Saint-Esprit m’appela là et dit: «Madame Unetelle, assise là (là au fond, deux fois la dimension de ce bâtiment), la petite dame au bout, en robe verte, et Il a dit: «Vous êtes madame Unetelle, un nom comme cela.» Il a dit: «Vous souffrez d’épilepsie; vous faites quatre ou cinq crises par jour.» Et Il a dit: «Pourquoi…» Et elle s’est levée d’un bond; c’était elle. Et elle était si stupéfaite qu’elle ne savait que faire.

51    Et Il a dit: «Pas seulement ça, mais vous êtes très inquiète, parce que votre mari est à l’Hôpital Vétérans, et on est… on a pratiquement enlevé tout de son estomac, et maintenant la maladie a atteint une autre partie du corps, et il n’a aucune chance de vivre, d’après les médecins.» Et elle, les larmes coulant là sur les joues, comme l’explique le journal, elle a levé les mains pour montrer que c’était la vérité.
    Juste à ce moment-là, dans la vision, je l’ai vu, lui, rentrer chez lui. Et j’ai dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, ne vous inquiétez pas, il rentrera à la maison en bonne santé.» Et le lendemain matin, alors qu’il allait subir encore un examen pour l’opération, alors que cette énorme grosseur de la maladie de Hodgkin s’était vite répandue dans son corps, les médecins… Il a dit: «Je ne sens même pas de grosseur. Et les médecins ont examiné, et n’ont pas pu retrouver de grosseur. On l’a mis sous rayon X et tous les examens ont été faits, et il était en parfaite santé, et le lendemain il est rentré chez lui sain et sauf. Pourquoi? La foi, c’est la victoire. Pas de carte de prière, pas d’imposition de mains, rien, mais la foi, c’est la victoire qui triomphe de tout. C’est ainsi.

52    Lors de ma dernière réunion à Chicago, une dame de couleur se tenait sur l’estrade. Je–je m’excuse, je crois que c’était une Blanche qui se tenait sur l’estrade. Et la veille au soir, une vieille petite Suédoise était là, et Billy l’a vue tendre la main et mettre beaucoup d’argent dans l’offrande pour frère Osborn, pour son appel pour le «African Black Gold» [«L’Or Noir d’Afrique», titre d’un film–N.D.T.], sa campagne. Et Billy m’a dit: «Comment cette pauvre petite dame à la petite robe tachetée, comment a-t-elle eu tant d’argent à mettre dans cette offrande?»
    Et alors quand Billy a commencé à s’en aller, elle a dit: «Donne-moi une carte de prière, chéri.»
    Il a dit: «Je n’en ai plus.» Il est allé voir Gene et Léo, l’un ou l’autre, qui les distribuait, et il a demandé, il n’y en avait plus. Alors il a dit: «Sœur, je vous verrai demain soir et je vous en donnerai une.»
    Elle a dit: «Très bien, chéri.» Et elle est montée quelque part au balcon et s’est assise. Je n’en savais rien.

53    Puis quand je suis arrivé sur l’estrade ce soir-là, une dame était sur l’estrade; elle était assise là, et elle a franchi cette barrière pour atteindre un niveau où Dieu a opéré sur sa foi. Là, au moment où elle a atteint ce niveau, il fut dit: «Cette petite dame qui est assise très haut là au second balcon, la deuxième personne, portant une petite robe à carreaux, elle s’appelle madame Unetelle, et ainsi elle prie pour son mari qui est expéditeur sur la voie ferrée, et qui est sourd d’une oreille.» Et elle s’est presque évanouie; elle était luthérienne. Et cela… quand elle est rentrée chez elle, et le Seigneur avait dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, il est guéri.» Quand elle est rentrée chez elle, ce soir-là, l’homme se tenait à la porte, se réjouissant. Et au même instant, son oreille s’était débouchée pendant qu’il était assis sur une chaise au bureau d’expédition.

54    Une dame de couleur qui était assise là, a vu cela et elle a cru. Et elle croyait pour sa sœur, qui avait été dix ans dans un hôpital psychiatrique, à Little Rock, dans un asile d’aliénés. Le Saint-Esprit est venu vers elle et lui a dit qui elle était et qui était sa sœur; et il a dit: «Elle est une folle furieuse, elle cogne la tête contre le mur depuis dix ans, mais AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle vient d’être guérie.» Et le lendemain matin, alors que la surveillante générale franchissait la porte, elle l’a trouvée à la porte, suppliant pour sortir, étant dans son bon sens. Elle a envoyé un mot à sa sœur à Chicago qui s’est écriée: «Dieu miséricordieux, c’est ce qui a été dit hier soir sur l’estrade.»
    Elle a dit: «Ma chère, je sais que tu n’as pas d’argent, mais je vais immédiatement t’envoyer un billet d’avion; viens ici; les réunions se terminent demain soin.»
    Et la dame, qui avait été dans un hôpital psychiatrique pendant dix ans, le soir même qui a suivi, se tenait sur l’estrade et glorifiait le Dieu Tout-Puissant.
    Qu’était-ce? Sa sœur avait quitté les choses du monde. Les choses du monde, ça ne veut pas seulement dire fumer, boire, courir les spectacles; ça signifie l’incrédulité. Elle a franchi tout cela jusqu’à ce qu’elle a vu que sa foi avait triomphé. Elle a dit: «Si Dieu peut faire cela pour cette dame blanche, Dieu peut le faire aussi pour moi, une dame de couleur.» Dieu a fait cela, et Dieu le fera chaque fois que notre foi triomphera du doute. Peu importe combien c’est grave. Oh, Il est vivant.

55    Y a-t-il ici des gens qui se retrouvaient à Chicago, ce soir-là, et qui ont entendu cette dame témoigner? Levez la main. Eh bien, oui, regardez partout ici. Bien sûr qu’il y en avait. Il y avait là une dame qui avait été dans un hôpital pendant toutes ces années… Qu’est-ce? La foi, c’est la victoire.
    Eh bien, si ce même Jésus est ici ce soir, si donc je peux libérer ma foi pour qu’elle s’empare de Sa promesse, selon laquelle Il reviendra immédiatement pour faire la même chose, si vous pouvez libérer votre foi pour qu’elle s’empare de la promesse, s’Il fait cela à chacun de vous qui êtes assis là dans l’auditoire, croirez-vous qu’Il est toujours vivant? Est-ce cela ce qu’Il fit lorsqu’Il était sur la terre? Est-ce là ce que firent les apôtres? Paul fixa le regard sur l’homme et ainsi de suite, et quand Jésus parlait à la dame au puits, quand la dame a touché Son vêtement, et qu’elle est rentrée s’asseoir, Il s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?» Il ne savait pas qui L’avait touché. Alors Il a dit: «Qui M’a touché?» Tous nièrent l’avoir fait. Il a dit: «Mais Je me suis affaibli, une vertu est sortie de Moi.» Et Il a regardé tout autour jusqu’à ce qu’Il vit la dame qui avait fait cela, elle avait une perte de sang, et Il lui a dit: «Ta foi a vaincu.»

56    Qu’est-ce? Il n’a jamais dit: «Je t’ai guérie.» Il a dit: «Ta foi t’a sauvée.» Qu’avez-vous fait? Vous aviez la foi qui a triomphé, qui a soumis, qui a écrasé tout doute, car elle s’était dit en elle: «Si je peux toucher Son vêtement, je serai guérie.» Jésus avait… Elle devait prendre cela par quelque chose qu’elle avait conçu dans sa propre pensée. Voici Sa propre Parole a déclaré qu’Il serait ici aujourd’hui, et qu’il ferait ce qu’Il avait fait en ce temps-là. «Encore un peu de temps et le monde ne me verra plus, mais vous vous Me verrez. Les œuvres que Je fais, vous les ferez aussi, et même davantage, puisque Je M’en vais à Mon Père. Et vous en ferez davantage.»
    Tenez, nous vivons dans ces derniers jours. Jésus est ici. Prions, et croyons, et croyez pendant que je prie.

57    Seigneur, voici un groupe de gens, et Tu es un Grand Dieu. Nous voyons dans la Bible, là où Tu as guéri des multitudes, là où, lors du pèlerinage d’Israël, Moïse… quand ils sont sortis du désert, il n’y avait pas une seule personne faible au milieu d’eux. Tu es le Grand Médecin; Tu es le Grand Chirurgien.
    Et maintenant, Seigneur, que ces gens qui, ici ce soir, sont malades dans leurs corps ou dans leurs âmes, confient à l’instant même leurs cas entre Tes mains, Toi le Grand Médecin. Et opère-les, Père, jusqu’à ce que tout leur doute soit ôté.
    Maintenant, Ta Parole dit que Tu es le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Nous Te prions d’utiliser cela comme bistouri, d’apporter ce bistouri et de Te révéler comme étant le même. «Je serai avec vous, même en vous.» Et puis, Seigneur, quand les gens verront que Tu es ici, que leur foi s’élève au-dessus de toute maladie qu’il y a ici dans le bâtiment, maladie du péché ou des affections, qu’ils soient guéris. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

58    Pouvez-vous comprendre ou apprécier la situation dans laquelle cela me met? Eh bien, regardez ici, il y a au moins deux cent cinquante personnes qui se tiennent ici, plus que ça, je pense. Oui, je pense qu’il y en a plus. Je–je ne sais pas, mais il y a un grand nombre d’entre vous que je ne connais pas. Combien ici ne me connaissent pas, savent que je ne vous connais pas, que j’ignore ce qui ne va pas en vous? Levez la main. Regardez simplement …?… Eh bien, il y en a partout. Évidemment, j’ignore cela. Mais Lui le sait.
    Eh bien, s’Il veut… Si vous voulez simplement vous abandonner à Lui, et Le laisser vous parler par la même foi qu’avait la dame, croirez-vous en Lui? Si–si–si c’est–si quelque chose a été établi comme vrai, c’est établi comme vrai.

59    Si quelqu’un vient ici et dit: «J’ai un médicament contre le cancer.» S’il ôtait ici un cancer qui empirait, et qu’il amenait là des médecins et leur prouvait que le cancer pouvait être guéri, tous dans le monde accourraient pour cela – pour ce médicament. Eh bien, frère, j’ai vu Jésus guérir tant de cancers, mais cependant Il ne demande qu’une chose: si vous pouvez croire. Cela semble être la chose la plus difficile. Je L’ai vu ouvrir les yeux des aveugles, faire marcher les infirmes; je L’ai vu ressusciter les morts après que les gens étaient morts, d’après la déclaration du médecin. Tellement de choses qu’il faudrait… je ne saurais pas écrire des volumes de livres pour raconter ce que moi-même je L’ai vu faire. Et cependant, il est si difficile d’arriver à croire.

60    Eh bien, si vous tous les malades qui êtes ici… J’aimerais que chacun soit révérencieux au possible. Eh bien, je crois… Je suis un grand croyant des émotions. Je crois que tout ce qui n’a pas d’émotion est mort. Si votre religion n’a pas un peu d’émotion à ce sujet, vous ferriez mieux de l’enterrer, car… Mais il y a un temps pour toute chose.
    Si vous venez me voir et que je sois à mesure de vous donner cela, et que vous disiez: «Frère Branham, j’ai besoin de 100 dollars», vous deviendriez très respectueux et diriez: «Frère Branham, j’ai extrêmement besoin de 100 dollars.» Et–et vous savez que j’ai 100 dollars dans ma poche, et vous croyez que sur base de ma… en agissant sur ma compassion, je pourrais vous donner ces 100 dollars. Eh bien maintenant, vous vous tiendrez là avec révérence, espérant recevoir cela. Puis si je vous donnais ces 100 dollars, vous pourriez crier aussi fort que vous voudriez. Vous avez les 100 dollars en main. Vous voyez? Eh bien, mais quand vous venez, venez avec respect, ne venez pas en criant pour me demander de vous donner les 100 dollars, sinon je pourrais ne pas vous comprendre. Vous voyez? Mais venez me demander, puis si je vous donne les 100 dollars, alors commencez à crier. Ainsi, lorsque…

61    Venons à Dieu et demandons-Lui de faire mouvoir Son Saint-Esprit au–à l’intérieur, à l’extérieur, où que cela soit, peu m’importe où vous êtes. Peu m’importe l’endroit. Si c’est dans le pays, et que vous priiez pour quelqu’un, Il Le fera mouvoir.
    Et voyons simplement. Dieu a dit: «Éprouvez-Moi.» C’est une bonne façon de prouver si Dieu est Dieu ou pas. «Éprouvez-Moi» dit le Seigneur. Eh bien, s’il est Dieu, alors… et nous savons qu’Il l’est, demandons-Lui de faire ici ce soir des choses qu’Il avait faites, et alors vous n’aurez pas besoin de venir ici. Et si c’est fait, au moins trois personnes différentes dans le bâtiment, si cela arrive à–si cela touche les gens que je connais bien, je–je ne voudrais pas accepter cela. Voyez-vous? Je veux que cela arrive à–sur quelqu’un que je ne connais pas.

62    Eh bien, pour ce qui est de connaître les maladies, il n’y a qu’une seule personne ici dont je connais la maladie, et ce n’est pas une maladie, c’est ma brave et douce petite amie Edith Wright, qui est assise là derrière. Je la connais, elle a souffert pendant des années. Nous avons prié pour elle, et jamais elle ne–elle n’a cessé de souffrir depuis, elle a souffert pendant longtemps, mais le Seigneur n’a jamais délivré cette fille de son affliction. Je connais le problème d’Édith. En dehors de ça, je ne connais personne ici, de quelle maladie vous souffrez. Mais si vous me connaissez, alors j’aimerais–j’aimerais plutôt qu’il en soit ainsi pour que vous voyiez que ce n’est pas moi, que c’est le Seigneur. Maintenant priez; je vais prier, et croyons simplement le Seigneur.
    Et maintenant, sœur Gertie, aussi doucement que possible, je veux que vous jouiez: Le Grand Médecin est là maintenant, le Compatissant Jésus.

63    Je vois d’ici frère Banks Wood, un de mes amis. Tout le monde connaît–connaît frère Wood ici au tabernacle, c’est l’un des administrateurs ici, mais autrefois il était témoin de Jéhovah. Cela lui a vraiment fait quelque chose. Mais quand il est arrivé à Louisville et qu’il a vu le Seigneur faire quelque chose… Il avait un fils estropié, en quelque sorte une paralysie infantile avait recroquevillé sa jambe. Et il a suivi les réunions. Je ne le connaissais pas – je n’avais jamais entendu parler de lui. Mais quand il est venu ici… Je revenais de quelque part, d’outre mer, de Suède; et il était assis là derrière dans le bâtiment, ce soir-là. Le Seigneur Jésus appela ce garçon, David, et le guérit. Et aujourd’hui, le garçon sait à peine quelle est la jambe qui a été guérie. Vous voyez? Oh, des centaines de choses, si seulement vous croyez.

64    Eh bien, je peux me rappeler une fois, et j’avais vraiment demandé cela, je me souviens de… C’était… Je vois des amish, je crois, ou soit des mennonites, l’un ou l’autre, dans le bâtiment, avec de petites dames portant de petits chapeaux. C’est juste ce qui m’a fait penser à cela. J’étais à Fort Wayne, dans l’Indiana, et il y avait là une petite fille mennonite, qui avait reçu le Saint-Esprit, ou plutôt il se pourrait qu’elle fut une amish; c’était l’un de ces–l’un de ce groupe de gens, entre les mennonites et–et les amish. Et elle était une–une gentille fille, et elle jouait: Le Grand Médecin est là maintenant, le Compatissant Jésus. Et il y avait un–un petit enfant, qu’on avait mis dans mes bras et qui était estropié. Et quand j’ai prié, le petit enfant était guéri, et il a sauté de mes bras, et a couru sur l’estrade, et la mère s’est évanouie. Et la jeune fille amish ou mennonite connaissait la dame, et elle… le Saint-Esprit l’a saisie, et elle s’est mise à crier. Et elle a levé les mains et s’est éloignée du piano en courant, et le piano, sans manquer aucune note, a continué à jouer: Le Grand Médecin est là maintenant, le Compatissant Jésus. Venant de partout dans ces allées, les gens s’entassaient les uns sur les autres et ces touches d’ivoire montaient et descendaient, jouant Le Grand Médecin est ici maintenant, le Compatissant Jésus. Et les gens s’étendaient par terre, dans les allées, envahis par–par la terreur du… ou plutôt par la Présence du Saint-Esprit… Il est toujours vivant. Il est toujours Jésus.

65    Eh bien, fredonnons juste doucement cela pendant un instant, et puis nous–et puis nous verrons ce que le Seigneur a. Chacun maintenant, appliquez-vous à la foi, et commencez à regarder par ici, et croyez de tout votre cœur.
Le Grand Médecin est là maintenant…
    Seigneur Jésus, je Te demande d’accorder ces …?… [Frère Branham prie doucement–N.D.É.]
    Réconforte les cœurs…
Oh, écoute la voix de Jésus.
La plus douce note du chant des séraphins,
Le plus doux…
    Maintenant, vous qui êtes malades, commencez à vous débarrasser de tout doute. Beaucoup parmi vous n’ont jamais vu cela auparavant, dites: «Je crois cela de toute façon.»
Jésus, précieux Jésus.
    [Frère Branham fredonne le cantique–N.D.É.]

66    J’espère que je ne suis pas fanatique, mais il me semble maintenant, que j’entre dans mon bureau, je ferme complètement la porte, j’entre dans un lieu secret et je referme la porte. Je me retire simplement de tout l’auditoire maintenant. Vous voyez? «Et prie ton Père qui voit dans le secret, et Lui, qui voit dans le secret, te le rendra. Demandez et cela vous sera accordé; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l’on vous ouvrira. Car celui qui cherche trouve.» Représentez-vous qu’Il est ici maintenant, Lui que vous voyez là sur la photo, la Lumière, le Halo. Ce n’est pas loin. Il discerne les pensées. C’est Christ. «…un peu de temps… Je viens de Dieu, et Je retourne à Dieu.» Il l’a fait, Il est retourné directement à ce qu’il était. Lorsqu’Il reviendra, Il sera dans un corps de chair, comme Il l’était, le Seigneur Jésus.

67    Vous diriez: «Frère Branham, que faites-vous?» Je m’abandonne simplement. Eh bien, c’est… Je–je me tiens simplement ici. Ceci n’est donc pas un spectacle. Pas du tout. N’ayez pas de telles pensées; vous seriez sur un mauvais terrain. Il s’agit d’essayer–essayer de se presser à entrer quelque part. Il s’agit de la Parole de Dieu. J’ai dit: «C’est ce qu’Il était.» Et si ce n’était pas le cas? Il tiendra toujours Sa Parole. Je n’ai pas peur de cela. Quelqu’un, quelque part, touchera le bord de Son vêtement.
    La Bible dit: «Il est maintenant (maintenant même) un Souverain Sacrificateur qui peut compatir à nos infirmités.»

68    Vous me regardez avec sincérité, madame, vous qui êtes assise là, en robe bleue. Je ne vous connais pas, je ne pense pas. Il ne me semble pas entrer quelque part en contact avec la foi de quelqu’un. Peut-être que cela pourrait aider… Avez-vous besoin de Dieu? Si je suis un étranger, levez la main. Je ne vous connais pas, mais vous, vous me connaissez. Très bien. Je ne connais pas du tout la raison pour laquelle vous êtes ici; je ne vous ai jamais vue de ma vie, à ma connaissance. Vous avez été probablement à ma réunion quelque part. Si le Seigneur Jésus me dit ce qu’est votre problème, croirez-vous cela? Il vous faudra croire cela, si c’est la vérité. Et cela donnera peut-être aux autres la foi pour se mettre au travail. Vous voyez? Je ne sais pas. Je vous ai vue assise là en train de me regarder. Vous n’arrivez simplement pas à vous détourner de moi. Vous êtes captive.
    Cette dame qui est assise ici devant, je la connais. Ces gens-ci, je les connais. Je ne pensais pas que je vous connaissais. Non, mais Lui vous connaît. Et si vous avez un besoin, pendant que vous vous tenez ici à l’estrade… Oui. Eh bien, si tout le monde peut voir; j’espère que vous le pouvez. Il me semble que cette dame devient très pâle, mais elle est… l’une ou l’autre chose qui ne va pas, elle a une maladie de la peau. C’est vrai. Levez la main, si c’est vrai. Cela se trouve sur son corps et cela ne se voit pas, mais c’est ce qu’elle a. C’est juste. Vous voyez? Juste un contact, pendant que… Il a dit: «Regarde-nous.» Et pendant qu’il avait les yeux fixés sur eux… Paul a dit: «Je vois que tu as la foi pour être guéri.»

69    Qu’en est-il de cette petite dame qui est assise à côté de vous? Cela a en quelque sorte brisé la barrière pour elle, en effet elle priait aussi. Je ne vous connais pas; nous sommes étrangers l’un à l’autre. Est-ce vrai? Si le Saint-Esprit me révèle votre problème, ou la raison pour laquelle vous êtes ici, ou quelque chose dans votre vie, que vous êtes sûre que j’ignore, allez-vous croire que cela… la… que cette Puissance, cette Force invisible vient de Christ? J’aimerais vous poser une question, juste maintenant: vous éprouvez un sentiment sur vous, un sentiment très doux, très tendre et très humble. Si c’est vrai, levez la main? Vous voyez? C’est ça. C’est juste au-dessus de vous que se tient cette Lumière. Et vous avez mal aux pieds et aux jambes, c’est vrai, n’est-ce pas? Agitez votre mouchoir devant les gens, si c’est vrai, pour qu’ils voient. Je ne pense pas que cela vous dérangera encore.
    C’est… Qu’est-ce qui fait cela? Qu’est-ce que… Il y a des gens que je n’ai jamais vus de ma vie. Qu’est-ce qui fait cela? Ça fait deux.

70    Il y a un jeune homme assis juste à côté de cette dame, juste là maintenant. Et il s’est mis à pleurer dès que cela l’a frappé; c’est l’une ou l’autre chose concernant cette dame. Non, il s’agit du jeune homme, lui-même. Il est dérangé par sa gorge et sa tête. C’est vrai. Je crois que vous m’êtes étranger, jeune homme? Je ne vous ai jamais vu. C’est vrai. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main.
    Il y a trois personnes assises dans cette rangée; je ne les ai jamais vues, je n’ai jamais été en contact avec ces gens dans ma vie. Croyez-vous?
    Quelqu’un dans cette direction, maintenant, qui est ici. Combiens de malades et de nécessiteux y a-t-il par ici? Levez la main, tout le monde par ici, qui est nécessiteux. Oh, c’est simplement partout. Très bien. Maintenant, continuez simplement de croire.

71    L’homme qui est assis et qui me regarde, vous devez rencontrer Christ sinon vous allez mourir. Le cancer vous tuerait. Dieu est le Guérisseur.
    Cette dame âgée, qui est assise ici, juste ici sur le siège. Elle souffre des maux d’estomac et de l’arthrite. C’est juste. Croyez-vous que c’est fini?
    Vous qui vous retournez pour la regarder, croyez-vous? Avez-vous besoin de Christ? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Cette grosseur que vous voulez qu’on enlève, croyez-vous que Dieu peut le faire? Je ne vois pas de grosseur, mais elle est là. Elle est à votre cou, derrière. Peut-être que si je vous le dis, vous vous appelez madame Welch, croirez-vous alors en moi pendant que vous… C’est vrai, n’est-ce pas? Très bien. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, vous le savez. Vous avez foi en Dieu.

72    Il y a un signe de mort suspendu sur la petite dame qui est assise là; c’est aussi le cancer. Croyez-vous, madame, que Dieu vous guérira? Oui? Vous souffrez du cancer, il y a une ombre noire suspendue sur vous. Je vous le dis maintenant; c’est parti. Si vous croyez. Je ne connais pas cette dame; je ne l’ai jamais vue de ma vie. Je ne connais pas tous ces gens, à ma connaissance. Voulez-vous croire?
    Je regarde un homme, je ne pense pas l’avoir déjà vu de ma vie auparavant. Il souffre d’une hernie. Croyez-vous que le Seigneur vous guérira, monsieur, de cette hernie, qu’Il vous rétablira? Votre femme est nerveuse et faible. Révérend Reed, c’est ça votre nom. Je ne vous connais pas. De toute façon, vous n’êtes pas de cette contrée. Vous êtes de l’Ohio. C’est exact. Si c’est vrai, levez-vous. C’est fini maintenant, pour vous et votre femme. Croyez de tout votre cœur. Pouvez-vous croire maintenant?

73    Là derrière cette ligne, derrière, par ici… Ne voyez-vous pas cette Lumière suspendue juste là? Il s’agit d’une dame qui souffre d’une infection virale, juste là dans cette ligne ici. Vous n’êtes pas de cette ville. Vous venez d’un endroit appelé Columbus, dans l’Indiana. Vous vous appelez Elisabeth. Vous habitez sur une rue appelée Ohio. Votre numéro, c’est le 1932, uue Ohio. Partez, croyez, cela vous a quittée maintenant. Ayez foi.
    Et maintenant cet Esprit se déplace; Il va dans cette direction, par ici vers un homme. Il y a un contact. Non. C’est… il vient de Columbus, et il souffre des yeux, et d’un–un ulcère. Croyez-vous que le Seigneur Jésus vous guérira, monsieur, qu’il vous rétablira? Et votre petit neveu qui est assis là devant vous, l’enfant de votre sœur, il a une sorte de maladie des os, et il ne veut pas manger maintenant, cela lui donne comme un complexe, en quelque sorte. Si vous croyez de tout votre cœur, vous pouvez être rétabli. Ayez foi en Dieu. Combien parmi vous croient maintenant?

74    Je vois une autre ombre de cancer se tenant là; si vous croyez de tout votre cœur, ma sœur, ce sera fini. Pouvez… Votre foi a-t-elle franchi cette ligne du doute, maintenant? Combien croient que leur foi est allée au-delà de la ligne du doute? Levez la main. Alors qu’est-ce qui reste si ce n’est devenir libre. C’est parti.
    Ces petites filles, assises ici dans les fauteuils, je vous connais. Je ne vous connaissais pas hier soir, mais je vous connais maintenant. Ma dame m’a parlé de vous aujourd’hui. Votre maman s’appelait Falkerson avant son mariage. Et c’est une maladie dont personne ne sait rien. Vos doigts ont attrapé une infection, et c’est comme si vous avez attrapé une maladie du sang, ou quelque chose comme ça dans vos mains, et pour commencer, vous savez, vos doigts se coupent et ainsi de suite, vous deux, petites filles. Vous êtes deux belles petites filles; je connais votre mère. Votre grand-mère a été guérie de la tuberculose un soir, quand je suis allé chez elle, il y a vingt ans et quelques. C’est vrai. Madame Falkerson. Que Dieu réprimande ce démon qui vous embarrasse, belles petites filles; que la Puissance qui a ressuscité Jésus-Christ de la tombe chasse cette chose et que cela ne vous dérange plus jamais. Je dis ceci par l’autorité de la Parole de Dieu. Vous devez vous fâcher contre le diable. Dieu nous donne la victoire; nous avons cela juste maintenant. «Ceci est la victoire qui triomphe du monde, même votre foi à vous.»

75    Vous tous qui croyez que vous êtes guéris par Sa Puissance, tenez-vous debout et louez-Le, partout dans le bâtiment. Levez les mains maintenant, et louons-Le. Merci, Seigneur Jésus pour Ta Puissance de guérison. Ceci est la foi qui triomphe. Ceci est la victoire, même notre foi. Nous déclarons maintenant ces gens guéris au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Accorde-le, Seigneur.
    Je vais Le louer, Gertie, Je vais le louer. Avez-vous franchi la barrière?
Louer l’Agneau immolé pour les pécheurs;
Donnez-Lui gloire, vous tout le peuple,
Car Son Sang a lavé toute souillure. (Très bien. Avancez avec cela maintenant.)
Je vais Le louer, je vais Le louer,
Louer l’Agneau immolé pour les pécheurs;
Donnez-Lui gloire, vous tout le peuple,
Car Son Sang a lavé toute souillure.

76    Écoutez. Je crois toujours, mes amis, que vous ne pouvez pas atteindre ce niveau. Je ne vais pas laisser le diable défier ce genre de réunion. Il n’y a pas de raison à cela. L’Évangile a été prêché, et Christ est ici pour confirmer cela. Le diable est un menteur. Vous êtes tous guéris par Jésus-Christ …?… avec une telle foi là; ça y est; c’est à vous. Ne flottez plus; soyez stabilisés au Calvaire et donnez-Lui louange et gloire. Dites-Lui que vous L’aimez; dites-Lui que vous L’appréciez; et franchissez cette ligne de séparation, et Dieu vous guérira et vous rétablira. Soyez vraiment sérieux, ne dites pas simplement cela, soyez sérieux du fond de votre cœur et donnez-Lui gloire.
Je vais Le louer (Du fond de votre cœur maintenant, là.), je vais Le louer,
Louer l’Agneau immolé pour les pécheurs;
Donnez-Lui gloire, vous tout le peuple, (Donnez-Lui gloire.)
Car Son Sang a lavé toute souillure.

77    Quel genre de souillure? La souillure du doute. «Maintenant je suis guéri; par Ses meurtrissures je suis guéri. J’appartiens au Seigneur; mes maladies sont finies. Je vais Le louer. Je vais Le louer. Je vais Lui donner gloire. Je vais crier victoire. Je vais Lui dire que je L’aime. Je vais croire en Lui. Je suis libre.» Alléluia!
…peuple,
Car Son Sang a lavé toute souillure.
Je vais Le louer, je vais Le louer,
Louer l’Agneau immolé pour les pécheurs;
Donnez-Lui gloire, vous tout le peuple,
Car Son Sang a lavé (C’est ça; franchissez cela.) toute souillure.
Je vais Le louer, je… (Alléluia, alléluia!),
Louer l’Agneau immolé pour les pécheurs;
Donnez-Lui gloire, vous tout le peuple,
Car Son (c’est ça) …a lavé toute souillure.
Je vais Le louer (Sans cesse. Lavé dans le Sang…) Le…
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs;
Donnez-Lui gloire, vous tout le peuple,
Car Son Sang a lavé toute souillure.

78    Gloire! Louange au Seigneur! L’aimez-vous? Glorifiez-Le! Glorifiez-Le! Le Glorieux Agneau vivant, à jamais présent donc, le Jéhovah Dieu de l’Ancien Testament présent aujourd’hui. Combien Ses œuvres sont merveilleuses et extraordinaires! Ses miracles et prodiges se voient déjà. Oh, que c’est merveilleux! Oh, Il est glorieux.
    Combien parmi vous sentent la Présence de Dieu, juste maintenant? Certainement. Maintenant que tout doute vous quitte. Vous êtes guéris. Par Ses meurtrissures, vous êtes guéris. C’est fini. Louez-Le et donnez-Lui gloire. Le Saint-Esprit se déverse partout dans le bâtiment. Le Grand Halo de Lumière tournoie ici. Que c’est merveilleux! Combien nous L’aimons!
Et lorsque la bataille sera terminée, nous porterons une couronne!
Oui, nous porterons une couronne!
Oui, nous porterons une couronne!
Et lorsque la bataille sera terminée, nous porterons une couronne
Dans la nouvelle Jérusalem
Porter une couronne, porter une couronne,
Porter une couronne brillante et éclatante.
Et lorsque la bataille sera terminée, nous porterons une couronne
Dans la nouvelle Jérusalem.
Porter une couronne, porter une couronne,
Porter une couronne brillante et éclatante.
Et lorsque la bataille sera terminée, nous porterons une couronne.
Dans la nouvelle Jérusalem.

79    À mon avis, c’est tout juste comme le Saint-Esprit qui tomba à la Pentecôte, qui brisa les chaînes. J’ai pu remarquer, me tenant ici, dans la réunion, un frère mennonite, à Indianapolis. Il est venu et il avait l’épilepsie, pendant des années et des années. Et le Saint-Esprit l’a appelé dans la réunion, je crois que c’était ça, et il n’a plus jamais fait des crises de cela. Le Seigneur Dieu l’a guéri et l’a parfaitement rétabli, un prédicateur mennonite. Oh, n’est-Il pas merveilleux? Personne ne le sait, excepté ceux qui ont goûté Sa bonté, qui savent combien Il est bon.

80    Maintenant, mes amis, à mon avis celle-ci est l’ancienne religion, lorsque le Seigneur Jésus-Christ vient au milieu de nous et nous bénit. Nous sommes très heureux que vous soyez ici. Je crois que ceux qui sont dans la Présence divine qui est ici maintenant, si votre foi a rejeté tout doute derrière, vous êtes libre maintenant. Ne dites plus jamais avoir une quelconque maladie dès aujourd’hui. Partez. Vous avez confié votre cas à un médecin, confiez-le à Jésus maintenant. Il vous a opéré et Il a ôté de vous tout doute, nous pouvons donc avoir la chose. Que le Seigneur vous bénisse.
C’est l’ancienne religion,
Et elle est si bonne pour moi.
C’est l’ancienne religion,
C’est l’ancienne religion,
C’est l’ancienne religion,
Et elle est si bonne pour moi.
Elle me fait aimer tout le monde,
Elle me fait aimer tout le monde,
Elle me fait aimer tout le monde,
Et elle est si bonne pour moi.
Oh, c’est l’ancienne religion,
C’est l’ancienne religion,
C’est l’ancienne religion,
Et elle est si bonne pour moi.

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