Montre-Nous Le Père Et Cela Nous Suffit

Date: 56-0422 | La durée est de: 1 heure et 57 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci beaucoup, frère. Bonsoir, mes amis. Je suis très content d’être encore ici ce soir pour vous rencontrer au Nom du Seigneur Jésus, vous servir et–et prier avec vous. Je vois qu’il y a bien quelques mouchoirs ici ce soir, nous prierons dessus d’ici peu. Et nous sommes–nous sommes content que vous croyiez que c’est la vérité. Cela est tiré de la Parole de Dieu. Et je me rappelle, là en Afrique, j’étais... Il y avait environ seize sacs de mouchoirs juste identifiés par des lettres. Et un journal avait écrit: «Frère Branham est un peu superstitieux», avait-on dit, «il–il priait sur des mouchoirs.» Et c’est à ce point-là que les gens se sont éloignés de la Bible, en ignorant cela. C’est l’Ecriture, et cela est ordonné par la–par la Bible, par les gens, le Seigneur, de faire ces choses.

2          Maintenant, ce soir, demain après-midi, ça sera le service de clôture, je suppose que cela aura lieu vers–vers quatorze heures trente ou quinze heures, à l’un ou l’autre moment. Quand allez-vous commencer après tout? [Un frère dit: «Vers quinze heures.»–N.D.E.] A quinze heures. Ils distribueront alors des cartes de prière vers treize heures trente ou quatorze heures. Aussitôt que vous aurez donc quitté votre église, où que ce soit...

            Et vous les visiteurs ici maintenant, des gens qui viennent de l’intérieur de la ville, qui ont été ici, eh bien, il y a de très bonnes églises ici à travers la ville. Et le–le frère ici, il a–il a une très bonne église par ici, ainsi que ces autres prédicateurs ici, je suppose, qui collaborent. Je ne les ai point encore rencontrés, là derrière. Il y a de très bonnes églises. Et nous aimerions que vous alliez à l’une de ces églises le matin, à l’église de votre choix. Et si vous êtes membre d’une église, eh bien, soyez à votre poste de devoir demain.

3          Et j’aimerais complimenter frère Glenn pour–pour ce... pour avoir organisé cette réunion de clôture le dimanche après-midi. En effet, cela montre une véritable communion et une fraternité parmi les hommes. Nous aimerions que chaque personne soit à son poste de devoir, dans son église, là à sa place, il est de votre devoir d’y être.

            Et j’ai toujours essayé d’en faire une coutume, de clôturer mes réunions dimanche après-midi, dimanche après-midi, et après que nous aurons eu la tente pour l’Evangile, nous ferons la même chose: clôturer le dimanche après-midi, après le service de dimanche après-midi, et ne pas tenir de réunion le matin. Ainsi, les gens peuvent aller à leur propre église.

4          Nous trouvons que chaque personne est tenue d’aller à une église et d’en être membre en tant que chrétien. Eh bien, la Bi-... Beaucoup de gens disent: «Oh ! Je reste à la maison et je lis ma Bible. Je suis tout aussi bien.»

            Non, la Bible dit que nous ne devrons pas abandonner notre assemblée. Il nous faut le faire. Il nous faut nous réunir, et toutes les églises.

            J’ai suivi un petit prédicateur baptiste ce matin, j’oublie, c’était Guy quelque chose, d’ici. Je le suivais à la radio. Et je–j’apprécie certainement ce prédicateur-là, s’il est quelque part ici. Et, frère, gardez simplement ce message haut. C’est très bon. Guy Smith ou... Johnson, c’est ce qu’il est. Frère Johnson, je n’aimerais pas vous demander de lever la main, mais si vous êtes ici, je vous apprécie certainement. C’était un vrai message. Que Dieu vous bénisse.

            Notre frère ici aussi, vous avez suivi son message aujourd’hui. Et eux tous. Voyez, nous travaillons tous ensemble pour une seule grande cause: le Seigneur Jésus-Christ. Oh ! Si seulement nous pouvions détruire les barrières.

5          Hier soir, je parlais de la science médicale: la chiropractie, l’ostéopathie, et que sais-je encore, la chirurgie, la médecine, et toutes ces choses. S’ils ne se combattaient pas les uns les autres, s’ils essayaient tous de travailler ensemble, quelle grande assistance ça serait ! Si un médecin voyait que le chiropracteur pouvait l’aider, et qu’ils collaboraient ensemble, et que le chiropracteur pouvait voir que cela dépasse le fait pour lui de réduire la fracture ou je ne sais quoi ... Et puis, l’ostéopathe découvre que les affections musculaires pour lui ne pouvaient pas être guéries, qu’il fallait au patient une intervention chirurgicale, qu’il l’envoie chez le chirurgien, ne serait-ce pas excellent? C’est ainsi que nous devrions être. Et maintenant, ça, c’est pour l’association médicale.

            Maintenant, les ministres, les méthodistes, les baptistes, et les presbytériens, nous tous, les pentecôtistes, et ce que nous sommes, ça devrait être pareil. C’est vrai.

6          Quand j’étais pasteur du tabernacle baptiste à Jeffersonville, eh bien, l’église baptiste de Milltown et ailleurs, je me rappelle, j’avais mon tabernacle, qui est toujours à Jeffersonville... Et maintenant, pour vous montrer, nous avons maintenant là un prédicateur méthodiste qui prêche, il me remplace.

            Mais quand j’étais pasteur là-bas, j’avais un bon ami qui est né dans la même partie du Kentucky que moi, et il avait l’Eglise méthodiste de Main Street à New Albany, juste à quelques cinq miles [8 km] en bas de chez nous, c’est une très petite église mouvementée. Eh bien, nous avions la toute meilleure communion. Quand il tenait un réveil, moi, je fermais mon église et nous descendions là. Il faisait de même à mon égard.

7          Eh bien, nous nous amusions un peu l’un et l’autre, c’est juste parmi les prédicateurs, vous savez. Evidemment, là, vous les laïcs, vous ne savez pas ça. Voyez-vous? Mais nous nous amusions un peu l’un et l’autre. Par exemple, il me disait parfois... J’arrivais, quelqu’un pouvait arriver et être sauvé, et je disais: «Eh bien, frère, de quelle église avez-vous été membre?»

            «Eh bien, ma famille était méthodiste, Frère Branham, et j’aimerais que vous m’aspergiez (Voyez?). Je crois dans l’aspersion.»

            «Eh bien, disais-je, je vais vous dire quoi, frère, vous savez, vous ne serez jamais un bon membre par ici ; toutefois, vous êtes un frère. Mais j’ai un cher ami là à New Albany, du nom de Johnson. C’est un méthodiste et lui asperge. Je vais donc vous dire quoi: ‘Laissez-moi vous amener là-bas et parlez-en avec frère Johnson ; en effet, c’est un homme bon. Il est à tout point de vue un chrétien, il a une bonne église animée, avec des gens remplis du Saint-Esprit, très bons.’» Je disais: «Je vais vous amener là-bas et lui parler. Eh bien, c’est très sec. Il n’y a pas beaucoup d’eau là-bas, mais il vous traitera bien.»

8          Eh bien, si lui avait un membre qui disait: «Eh bien, Frère Johnson, je–je crois dans le baptême par immersion. Je–j’aimerais être baptisé.»

            Il disait: «Eh bien, je vais vous dire quoi: Je–je ne baptise pas, mais Billy, là-haut à Jeffersonville, au tabernacle, est un baptiste, et je–je... C’est un bon gars. Tu seras un bon membre chez lui. Mais je te le dis: C’est un baptiste, il va te maintenir sous l’eau jusqu’à ce que chaque bulle arrête de monter.»

            Ainsi donc, il va... Eh bien, nous nous taquinions l’un l’autre comme ça. Et nous étions... nous avions communion l’un avec l’autre. Il n’y a aucun défaut chez frère Johnson, un homme merveilleux, quoique nous soyons en désaccord sur la théologie, et le parler, mais nous... sur le même principe, nous croyons au Seigneur Jésus-Christ qui est mort pour sauver les pécheurs. C’est ça. Et je crois que nous tous, nous croyons cela. Et nos autres petites choses, nous devrions les oublier et continuer carrément à servir le Seigneur. Et si je ne peux pas être en accord avec quelqu’un, cela ne veut pas dire qu’il n’est pas mon frère. Et–et c’est très bien, j’aimerais que quelqu’un d’autre pense de même à mon sujet, car cela...

9          Nous sommes à neuf chez nous. Et moi... mon frère après moi, c’est un très grand gaillard d’un mètre quatre-vingt-deux, il pèse à peu près quatre-vingt-dix livres [86 kg], il est blond, il a un nez plat, un menton carré. Eh bien, il ne me ressemble pas. Nous ne nous ressemblons pas du tout. Et là... Eh bien, il aime–il aime jouer au golf, et–et moi, je pense que c’est du non-sens. Et moi, j’aime la chasse, et lui pense que ça, c’est du non-sens. Aussi, moi, j’aime la tarte à la cerise et lui, il aime la tarte à la pomme. Nous avons tous deux nos différences. Nous ne nous ressemblons pas. Notre nature n’est pas identique, mais son père est mon père.

            Si la famille Branham a pu le recevoir avec ses particularités, et me recevoir avec mes particularités, nous sommes donc frères. Et si Dieu peut vous recevoir avec votre doctrine particulière, et me recevoir avec ma doctrine particulière, et nous donner à nous deux le Saint-Esprit, nous sommes frères. C’est vrai, peu importe quoi, nous sommes frères. Et c’est ainsi que nous avons communion l’un avec l’autre pendant que le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous purifie de toute iniquité, tout péché est ôté.

10        Maintenant, concernant ces mouchoirs, j’ai eu plus de succès avec des mouchoirs, je pense, qu’avec n’importe quoi d’autre, surtout auprès du peuple américain. Le peuple américain a une conception dans sa tête, que quelqu’un doit le toucher, ou... ou faire quelque chose pour lui, ou lui imposer les mains. Ils ont donc eu cela, juste une tradition juive. Et j’essaie de vous amener à croire cela à la manière des Gentils. Voyez, les Juifs disaient: «Maintenant, viens imposer les mains à ma fillette et elle vivra.» Jaïrus, c’était un Juif.

            Mais le Romain avait dit: «Je ne suis pas digne que Tu viennes même sous ma maison, que Tu viennes sous mon toit.» Il a dit: «Je suis un homme sous autorité, et je dis à tel homme: ‘Va’, et il va. Tout ce qui est sous mes ordres doit m’obéir.» Et il reconnaissait que Jésus avait l’autorité suprême sur les maladies. Il a dit: «Prononce simplement la Parole, et mon serviteur vivra.»

            Maintenant, vous y êtes, c’est ça. Maintenant, Jésus n’a jamais dit beaucoup de choses sur Jaïrus, il a simplement obtenu ce qu’il avait demandé. Il est allé et Il a imposé Sa main à la fille. Il a dit à ces gens-là qui Le suivaient, Il a dit: «Eh bien, ça, c’est une grande foi. Je n’ai pas trouvé pareille foi en Israël.» Voyez?

11        Maintenant, nous avons besoin d’une foi plus grande. Nous voulons atteindre un niveau plus élevé. Ce n’est pas... Le Seigneur Jésus veut que nous croyions en Lui. Et maintenant, beaucoup parmi vous ont, en lisant le livre... Et c’est donc vraiment dommage, il y a juste quelques soirées, on se hâte comme ceci ce soir à... Ce–ce n’est vraiment pas dû aux gens. C’est ainsi que tout mon ministère a toujours été. En Afrique, en Inde, et à divers endroits, c’est une, deux ou trois soirées n’importe où, avec cent à cinq cent mille personnes. On ne peut pas savoir. Juste au moment où on commence à dire... à se familiariser, alors on doit se dire au revoir. Et ce n’est pas loyal vis-à-vis des gens.

            Et c’est la raison pour laquelle par une vision, le Seigneur m’a montré d’avoir cette grande tente et de passer quatre à six semaines à des endroits. Souvent les gens entrent dans cette ligne-là, ils sont guéris, ils s’en vont. J’ai vu des gens venir prendre la Bible, ceux qui étaient totalement aveugles, se tenir là et lire Cela pour la première fois qu’ils lisaient, depuis qu’ils avaient peut-être vingt, trente ans. Et deux semaines après cela, ils étaient tout aussi aveugles qu’ils l’étaient quand ils étaient montés à l’estrade la première fois. Ils ne comprenaient pas (Voyez?), ils ne savaient pas que quand l’esprit impur sort d’un homme, il va dans des lieux arides. Et il revient avec sept autres esprits pires que lui. C’est ce que dit la Bible. Il entre directement, et sa condition empire sept fois plus qu’au départ.

12        Voyez-vous ce que c’est? Vous devez savoir comment approcher. Vous devez savoir ce que sont les maladies. Je m’aventure à dire, à moins qu’il y ait un médecin, qu’un pour cent de gens ici présents sait réellement en quoi consiste un cancer, ce qu’est une tumeur, une cataracte, ce qu’est la tuberculose, ce qu’est un germe, comment cela apparaît, ce qui est à la base de cela ici, d’où provient sa vie, toutes ces choses. Et sans savoir cela...

            La chose étrange en est que, souvent, les médecins ne le savent pas. Ils connaissent les grosseurs là, mais qu’est-ce qui en est à la base? Il doit y avoir une raison. Cela a dû être là pour une certaine cause. Et c’est une vie. Ce n’est pas votre vie. C’est une autre vie qui est entrée en vous. C’est une autre cellule, un développement de cellules, une multiplication de cellules, c’est ce que vous êtes.

            Et c’est ce qu’est un germe. Un germe de cancer, de tumeur, de cataracte, n’importe quel autre germe. Cela est en vous dans un but. C’est une mort dans votre chair mortelle, un cancer, ça suce votre sang, ça vous tue. C’est une grosseur, ça n’a pas de forme. Votre forme suit la nature de votre père. Ou n’importe–n’importe quoi selon son espèce, chaque semence selon son espèce. Vous êtes la semence d’un être humain, cela produira un être humain. La semence d’un chien produira un chien, celle d’un oiseau produira un oiseau.

13        Mais un cancer, une tumeur, une cataracte, n’importe laquelle de ces maladies, elles n’ont pas... Ce sont des choses spirituelles. Et elles prennent simplement forme selon n’importe quelle espèce de–de malignité, ou je ne sais quoi, et cela se répand. Certaines d’entre elles... Eh bien, il y a des sortes de cancers, certains sont appelés sarcomes, et des cancers béants, et d’autres sont appelés cancer rouge, cancer noir et, oh ! diverses sortes. Des tumeurs, certaines sont petites, d’autres sont larges. D’autres poussent avec des pattes, et le mot cancer vient du mot crabe, qui veut dire des pattes qui ressortent comme cela.

            Mais toutes ces choses, derrière cela, il doit y avoir une vie, car cela vit, et cela mange. Et si c’est une vie, d’où est-elle venue? Eh bien, vous savez, je suis dans une foule mixte, et vous êtes une assistance gentille. Et c’est... je... jamais vous... vous écoutez votre médecin, et moi, je suis votre frère.

14        Ecoutez, comme l’enfant et la mère. Nous savons d’où il vient, des liens sacrés du mariage, ordonnés par Dieu. Mais d’où provient ce cancer-là? Qui l’a apporté? Où est-ce que cela... comment cela est arrivé? Il est ici pour vous ôter la vie. D’où est-il venu? Quelle est sa nature? C’est un tueur.

            Or, le médecin s’occupe de la matière, la grosseur. La guérison divine s’occupe de la vie. Une fois la vie sortie... Combien de chasseurs de biche y a-t-il ici? Faites voir la main. Très bien. Merci, j’ai un frère là derrière. Très bien. Y a-t-il un boucher ici, un entrepreneur des pompes funèbres, n’importe quoi qui s’occupe de quelque chose après que cela est mort?

            Prenez et tuez une biche ce soir, frère, tirez-la dessus dans un champ, déposez-la sur une balance et voyez combien elle pèse. Faites attention à ce que vous dites aux jeunes gens à votre retour au camp. Le matin, elle pèsera beaucoup moins, elle se rétrécit.

            Laissez un petit animal étendu ici, que quelqu’un meure, l’entrepreneur des pompes funèbres lui enlèvera la dent artificielle, ou l’oeil artificiel ; en effet, cela s’amenuise, le corps. Un chiot qui se fait rouler dessus dans la rue, il s’amenuisera. Mais laissez-le étalé là pendant soixante-douze heures, trois jours et trois nuits sous ce soleil là et tout, déposez-le sur la balance, ensuite et voyez combien il pèse. Son poids augmente plus que jamais. Il s’enfle, il se décompose, il s’amenuise.

15        Eh bien, le cancer, lorsque la vie sort de cela, le patient est libéré. La cataracte, n’importe quoi que ce soit, ça s’amenuise, oh ! quelques–quelques jours, peut-être dans quelque chose comme trois jours et trois nuits. C’est la raison pour laquelle le corps de Jésus ne pouvait pas rester étendu là trois jours et trois nuits dans la tombe, car David avait dit: «Je ne... Je ne permettrai pas que Mon Saint voie la corruption.» Aucune cellule ne peut pourrir, la corruption s’installe. C’est la raison pour laquelle certaines personnes disent: «Oh ! Il n’est jamais resté dans la tombe. Il est mort le vendredi après-midi et Il est ressuscité le dimanche matin.»

            Mais en l’espace de trois jours et trois nuits, Il savait qu’Il sortirait, car une prophétie, une Parole de la Bible, par un prophète, avait dit: «Je ne permettrai pas que Mon Saint voie la corruption.» Et Il savait qu’en l’espace de soixante-douze heures, la corruption s’établirait, et qu’à un moment de ce laps de temps-là, Dieu Le ferait sortir.

            Pensez-y donc, alors que vous avez six cents et quelques promesses dans le Nouveau Testament en rapport avec la guérison divine ! Pensez-y donc, vous ne pouvez pas... difficile de croire cela, n’est-ce pas?

16        Mais de toute façon, une fois cette grosseur morte, ça s’amenuise, le patient se réjouit. Oh ! Combien il est heureux ! Dans quelques jours, il se retrouve pire qu’il était pour commencer. «Oh ! Eh bien, dit-il, je pense avoir perdu ma guérison.» Et tout aussi certainement que la foi a fait partir cela, l’incrédulité ressuscitera cela. C’est donc réel, en action.

            Mais lorsque vous tombez malade après environ soixante-douze heures, vous êtes censé tomber malade, avec une boule de chair morte dans votre corps. Qu’est-ce qui purifie le sang? C’est le coeur qui purifie le corps, le sang, et cela... le coeur pompe cela, ça cause une infection, ça cause une fièvre, et cha... toutes sortes de sensations et de maladies. Après soixante-douze heures, si on a prié pour vous à cause du cancer, d’une tumeur, ou n’importe quoi, et que vous commencez à tomber gravement malade et à développer une forte fièvre, c’est l’un des meilleurs signes au monde que vous êtes guéri. Continuez simplement à garder...

            Voyez, votre foi n’est pas ce que vous sentez ; votre foi, c’est ce que vous croyez. Si vous croyez réellement cela, peu importe ce que vous sentez, vous ne diriez jamais–jamais que vous n’étiez pas guéri. Vous croiriez toujours cela. C’est ce qui le fait. Voyez?

17        C’est ce qui se passe ici à l’estrade quand j’ai des services de guérison. Des centaines de gens comme cela, ils viennent à l’estrade: «Oh ! Frère Branham, j’ai toute la foi.» Si c’était de l’encre, ça ne mettrait même pas un point sur le i. Voyez, vous avez de l’espérance plutôt que de la foi. La foi, c’est l’assurance. Il n’y a pas... rien ne peut ébranler cela. C’est l’assurance. Peu importe à quel point vous êtes tombé malade, comment tout allait, rien... Eh bien, si vous essayez de bluffer là-dessus, cela ne recevra pas de bluff. Le diable n’est pas... Il est un bluffeur lui-même, et il sait comment faire un bluff. Mais quand vous avez ce qui est réel, on n’a pas à crier haut, on n’a pas à marteler et à crier, il faut la foi. Il reconnaîtra cela. Ne vous en faites pas, dites simplement un mot.

            Regardez les disciples là en bas, ce qu’ils étaient tous en train de faire sur cet enfant, probablement qu’ils essayaient de le secouer et tout le reste. Mais Jésus a dit: «Sors de lui.» C’était réglé. Ce démon avait reconnu que c’était la foi. Voyez? Pas la quantité, c’est la qualité. Voyez? L’exercice corporel est utile à peu de choses. Vous n’avez pas à courir sur le pavement. En effet, je ne condamne personne qui a été guérie en courant, criant, poussant des cris. Vous dites: «Croyez-vous dans le fait de pousser des cris, Frère Branham?» Absolument, oui, oui. N’allez pas penser cela. Je suis un baptiste qui croit dans le fait de pousser des cris. Et je crois...

18        Maintenant, jamais nous, nous les baptistes, nous ne faisons comme vous les baptistes de par ici au nord. Nous les baptistes à l’ancienne mode, là dans le sud, les anciens baptistes missionnaires, là dans les montagnes du Kentucky, quand nous allions à l’autel, nous ne nous agenouillions pas pour nous serrer la main les uns aux autres, et inscrire nos noms dans un registre. Nous nous donnions des coups les uns aux autres dans le dos jusqu’à ce que nous ayons terminé. Nous avions quelque chose. C’est vrai. C’est vraiment dommage que nous soyons devenus raides avec cela, n’est-ce pas, frères baptistes? C’est vrai, vrai.

            Ces anciennes églises, de jadis, elles ne se souciaient pas que l’on soit baptiste, presbytérien ; lorsqu’on avait des réveils, on y allait, on prêchait l’Evangile, on criait et on louait le Seigneur. Vous pouviez perdre votre porte-monnaie sur le rivage de la rivière, qu’il y ait cent dollars là-dedans, quelqu’un vous le ramènerait s’il le trouvait. C’était en ordre. Franchement, je recevrais cela n’importe quand. Que le Seigneur vous bénisse.

19        J’aimerais juste vous parler ce soir, car j’ai très mal à la gorge, je suis fatigué, je suis simplement épuisé. Et je dois quitter demain après-midi, rentrer directement chez moi, et parler là, revenir directement commencer le mercredi soir là à Charlotte, à... Je ne connais pas le nom du lieu, je pense, c’est Fox Auditorium, ou l’amphithéâtre Fox. Je n’ai même jamais rencontré le ministre là-bas, qui il est, mais je sais que c’est le beau-frère de frère Bigsby. Et s’il a quelque chose à faire avec frère Bigsby, c’est qu’il est un homme de bien. Frère Bigsby est un homme de bien. Et ce frère ici le connaît et le recommande, alors... Je n’arrive pas à me souvenir de vous. Je vais vous appeler frère Glenn. C’est comme ça que je vous ai appelé l’autre jour, alors, je–j’aimerais l’appeler Spirgle, Sparson, et j’embrouillais cela.

20        Ainsi donc, quand vous apportez vos mouchoirs, eh bien, c’est biblique. Eh bien, beaucoup parmi vous, je lis vos lettres, il est écrit: «Frère Branham, voulez-vous oindre mon mouchoir?» Eh bien, c’est en ordre. Ce que le Seigneur fait, nous apprécions cela. Tout ce qu’Il bénit, nous soutenons cela. Mais veuillez me rendre témoignage avec la Bible, Paul n’oignait pas les mouchoirs. On retirait simplement les mouchoirs et les linges qui avaient touché le corps de Paul. Voyez?

            Eh bien, là où je pense qu’on a tiré cela, c’est quand la femme sunamite est allée vers Elie. Elle savait que Dieu était dans Son prophète, elle est donc allée découvrir pourquoi son enfant était mort. Et alors, Elie savait que tout ce qu’il touchait était béni, il a donc parlé à Guéhazi, disant: «Prends ce bâton et va le poser sur l’enfant.»

            Mais la foi de la femme n’était pas dans le bâton, c’était dans le prophète. Elle a donc dit: «Je ne te quitterai pas jusqu’à ce que–jusqu’à ce que je découvre ou que je sache ce que j’aimerais savoir.»

            Ainsi donc, il est allé avec elle. Et remarquez, ce n’était pas sa prière, il se coucha sur l’enfant mort et celui-ci revint à la vie. Voyez?

21        Eh bien, ces mouchoirs, nous en envoyons par milliers la semaine, partout à travers le monde. Et si à n’importe quel moment, vous en avez besoin, écrivez-moi simplement à Jeffersonville, Indiana, nous vous en enverrons. Eh bien, le... Et nous avons une équipe de prière à travers le monde, là où j’ai été. Et nous regardions le globe aujourd’hui, juste de très petits points où le Seigneur m’a permis de prêcher l’Evangile jusque-là dans le monde.

            Et alors, nous formons là une équipe de prière, des gens qui se réveillent à une heure, deux heures, trois heures du matin, à travers le monde, suivant la–la troisième, sixième, neuvième heure, neuf heures du matin, douze heures à midi, et quinze heures, l’après-midi. Et tout le monde, avec une prière universelle, priant les uns pour les autres, quelque chose doit arriver, ils sont des millions. Voyez? Et nous aimerions que vous rejoigniez cela, prier avec nous et nous aider à assister les gens. Ainsi, quand nous arriverons là-haut, nous aimerions que vous ayez une part dans le ministère.

22        Eh bien, je n’ai aucune émission radiophonique, je n’ai rien à vendre, nous avons des livres, mais je ne suis pas un vendeur de livres. J’achète ces livres avec quarante cents de réduction sur mon prix de vente. Je dois les transporter... Je n’ai jamais acheté un tas de livres sans faire une perte de centaines de dollars là-dessus. Il est recommandé à ceux qui les ont: «Si un pauvre vieil homme arrive, une femme, et qu’ils n’ont pas d’argent pour acheter cela, donnez-le-leur de toute façon.» Et on les déchire et tout le reste. Nous en perdons. J’ai toujours eu des dettes avec des livres. Là... J’ai plusieurs livres que des gens ont écrits sur moi, je n’ai jamais écrit des livres, mais je ne... Je ne suis pas un vendeur de livres.

            Les photos, je les achète au Studio Douglas, elles sont sous droit d’auteur. N’osez pas en toucher l’une de n’importe quelle manière. Elles sont sous droit d’auteur. Je les achète au Studio Douglas et puis, je les vends, je les achète par milliers, je les vends juste au prix d’achat afin que les gens puissent les avoir pour le Message.

23        Je n’ai pas d’émission radiophonique. J’ai toujours maintenu mon–mon assemblée petite, mon église petite, au niveau où je n’ai pas à demander de l’argent. Jamais de ma vie je n’ai prélevé une offrande. Je prêche depuis vingt-trois ans et jamais de ma vie je n’ai prélevé une offrande. Je me rappelle qu’une fois, j’allais le faire.

            Eh bien, vous savez, avez-vous déjà connu un temps (Nous sommes tous des gens pauvres) où vous n’arrivez pas à joindre les deux bouts? Avez-vous déjà connu ce genre de situation? Assurément, vous avez connu cela. Et je n’arrivais pas à joindre les deux bouts, il y a de cela environ quinze ans, douze ou quinze ans. Alors, j’ai dit à ma femme, j’ai dit: «Je vais prélever une offrande à l’église ce soir.»

            Elle a dit: «Je m’en vais te voir faire cela.»

24        J’ai donc dit à l’un des diacres de prendre mon chapeau, j’ai dit: «Amis, ça me gène de vous demander, mais, ai-je dit, je suis bien en difficulté, et j’aimerais que vous... J’ai besoin d’une petite offrande. Veuillez contribuer avec tout: Une pièce de cinq cents ou dix cents, l’une ou l’autre chose, pour m’aider à surmonter cette petite situation, et j’apprécierais cela.»

            Alors, le diacre a pris mon chapeau et il est parti. J’ai regardé en bas, une vieille mère était assise, elle priait toujours pour moi... Vous rappelez-vous quand les vieilles femmes portaient un petit tablier avec une poche à l’intérieur de cela? Avez-vous déjà vu l’une d’elles?

            Eh bien, les vieux, ma grand-mère avait l’habitude de porter son tabac et sa petite pipe là-dedans, vous savez, afin que les hommes ne la voient pas fumer.

25        Ainsi, mais cette petite vieille femme avait une petite poche comme cela, elle a fait sortir l’un de ces petits portemonnaies avec un bouton dessus, elle s’est mise à faire entrer la main pour prendre ces pièces de cinq cents. Je vous assure, j’ai pensé que le coeur allait me sauter par la bouche. Je ne pouvais pas prendre cela s’il me le fallait. J’ai dit: «Oh ! Je vous taquinais simplement. Je n’étais pas sérieux là-dessus.» Tout le monde m’a regardé de façon très drôle. J’ai dit: «Je vous taquinais simplement. Vous savez, je n’ai jamais prélevé une offrande.»

            Alors, quand je suis rentré à la maison, il y avait un vieil homme du nom de John Ryan, il est allé dans la Gloire tout récemment, un homme très vieux. Il montait à une vieille bicyclette là-bas, il avait l’air d’un membre de la maison de David. Il portait de longs cheveux et une longue barbe. Alors, il est arrivé, il a laissé une vieille bicyclette, et il me l’a donnée. Je suis allé et j’ai pris dix cents, je suis allé dans un bazar, j’ai acheté de la peinture, je l’ai peinte, je l’ai vendue à cinq dollars et je n’ai pas eu à prélever l’offrande après tout. Dieu pourvoira donc à chaque besoin, n’est-ce pas?

26        Donc, concernant ces choses, mais ce pour quoi j’ai dit cela, c’est quand je dis: «Ecrivez-moi.» Nous passons un temps horrible à répondre aux lettres. Ce n’est pas pour chercher à vous harceler ou à vous facturer, car je n’ai rien à facturer. Vous avez de l’argent à mettre comme contribution dans l’église, donnez-le à vos pasteurs. Et supportez vos propres émissions radiophoniques et tout ce que vous avez par ici. Quant à moi, je–je n’en ai pas besoin, c’est absolument gratuit. Tout ce que nous avons est gratuit.

            Je dis donc juste cela, et si vous avez besoin de l’un des tissus, envoyez demander. Et parfois, les gens y mettent un petit quelque chose pour aider à l’expédition, et–et nous achetons des timbres de plusieurs centaines de dollars par semaine et tout comme cela. Parfois, cela est couvert, mais il ne vous–vous est pas demandé de le faire. Envoyez simplement et recevez cela. Gardez cela dans votre Bible, c’est en ordre.

27        Maintenant, avant d’oublier, j’aimerais prier pour ces mouchoirs maintenant. Eh bien, non seulement j’aimerais prier, mais j’aimerais que vous priiez avec moi, chacun de vous. Ceci, c’est le papa de quelqu’un d’autre qui attend ça, la maman de quelqu’un d’autre, ils sont précieux à quelqu’un. Et ce sont des enfants de Dieu, des croyants. Prions donc ensemble.

            Maintenant, Père céleste, nous venons humblement à Toi en tant que groupe de croyants. Tu as dit dans Ta Parole: «Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je serai au milieu d’eux. Et s’ils s’accordent sur une chose et demandent, ils la recevront, elle leur sera accordée.»

28        Et maintenant, voici ces mouchoirs, et la Bible nous enseigne qu’on retirait des mouchoirs et des linges qui avaient touché le corps de saint Paul, les esprits impurs sortaient des gens, des maladies étaient guéries. Et, Père, nous savons que nous ne sommes pas saint Paul, mais Tu es toujours Jésus. C’est Toi qui guérissais, ce n’était pas Paul. Les gens Te reconnaissaient en lui. Et assurément, Tu ne pouvais pas agir ainsi en un temps critique, et puis, quand la même chose surgit, comme je le disais, Tu dois agir de même.

            Nous ne sommes pas dignes de demander cela. Il n’y a rien de bon en nous. Mais c’est parce que Tu nous as invité à le faire. Juste comme le serpent sur la perche, il n’y avait pas de vertu dans le serpent ni dans la perche, mais c’est l’obéissance qui produisait les résultats. Et qu’il en soit ainsi ce soir, Père.

            Là sur le flanc de la colline, là derrière les montagnes, une petite mère est en train de parcourir le pavement dans l’attente du mouchoir pour son enfant malade. Un pauvre vieux papa aveugle est assis là dans une petite chambre ce soir, une canne blanche en main, il a appris que la foi vient de ce qu’on entend. Il attend le retour de ce mouchoir. Ô Dieu, beaucoup d’autres à l’hôpital...

29        La Bible nous apprend que Tu avais promis aux Israélites la Terre promise, de Canaan à la Terre promise. Et un jour, après qu’ils furent sortis de l’Egypte pour prendre leur position afin d’aller à la Terre promise, la mer Rouge leur barrait le chemin. Ils furent acculés par l’armée de Pharaon. Les montagnes et les déserts d’un côté et la mer Rouge barrait le chemin. Un écrivain a dit: «Dieu a regardé par terre au travers de la Colonne de Feu avec des yeux courroucés. Et quand Il a regardé la mer Rouge, elle a eu peur, car elle bloquait le peuple de Dieu qui avait la promesse. Et ils ont continué la marche. Elle a eu peur et elle a reculé. Israël a continué son pèlerinage.»

            Ô Dieu, ce soir, quand ces mouchoirs seront placés sur les malades et les affligés, puisses-Tu encore regarder au travers du Sang de Jésus avec des yeux courroucés, que les maladies qui retiennent les gens aient peur, car la grande secousse le matin de Pâques avait prouvé qu’Il est vivant. Puisse cela reculer, et puissent-ils posséder la promesse de la bonne santé selon que la Bible nous en a donné la promesse. Accorde-le, Seigneur, et c’est dans ce but que nous envoyons ces mouchoirs au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.

30        Merci beaucoup d’avoir prié pour ces mouchoirs. Et maintenant, allons directement dans la Parole. J’aime la Parole, pas vous? J’aurais bien voulu avoir juste un peu plus de gorge. Peut-être, demain après-midi, si je ne suis pas sous une très forte pression ce soir, je vous parlerai un petit moment dans l’après-midi sur un sujet d’évangélisation.

            Ce soir, je pensais prendre juste un petit préliminaire, et peut-être voir ce que le Seigneur fera pour nous dans la prière pour les malades. Maintenant, dans Saint Jean, chapitre 12, verset 37, voici ce que nous lisons, à partir du verset 37, nous lisons jusqu’à 40 compris.

Malgré tant de miracles qu’il avait faits en leur présence, ils ne croyaient pas en lui,

Afin que s’accomplît la parole qu’Esaïe, le prophète, a prononcée: Seigneur, qui a cru à notre prédication? Et à qui le bras du Seigneur a-t-il été révélé?

Aussi ne pouvaient-ils croire, parce qu’Esaïe a dit encore:

Il a aveuglé leurs yeux ; et il a endurci leur coeur, de peur qu’ils ne voient des yeux, qu’ils ne comprennent du coeur, qu’ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse.

            Ils ne le pouvaient pas parce que le prophète l’avait dit. Maintenant, un autre passage que j’ai choisi, c’est dans Saint Jean, chapitre 10, les versets 37 et 38.

Si je ne fais pas les oeuvres de mon Père (a dit Jésus), ne me croyez pas.

Mais si je les fais, quand même vous ne me croyez point, croyez à ces oeuvres, afin que vous sachiez et reconnaissiez que le Père est en moi et que je suis dans le Père.

31        Et puisse-t-Il ajouter Sa bénédiction à la lecture de Sa Parole. Maintenant, on en arrive à cette pensée que nous affrontons ce soir, dans cet âge, avec un–un mouvement surnaturel du Dieu vivant... Et évidemment, nous savons que nous avons beaucoup de choses. Et à vous les presbytériens, catholiques, méthodistes, sans doute que vous avez entendu parler de beaucoup de fanatisme, en fait, nous en avons. Nous avouerons cela. Cela s’attache à tout. J’ai vu des fanatiques presbytériens. J’ai vu des fanatiques baptistes. J’ai vu des fanatiques catholiques. J’ai vu des fanatiques pentecôtistes. J’ai vu la guérison divine fanatique. J’ai vu des imitations du surnaturel.

            Mais qu’est-ce que tout cela représente? Une chose réelle. Tout cela représente l’existence d’une chose réelle dont cela est une imitation. Eh bien, il existe un vrai Dieu vivant, et Il est tenu à Sa Parole. Et maintenant, étant donné que le ministère...

            Je n’ai jamais acquis de l’instruction, ainsi donc, Il m’a donné un autre moyen, par la grâce souveraine, pour aider Son peuple, et c’était par des visions. Eh bien, ce soir, je pensais prendre quelques instants pour expliquer par les Ecritures tout ce que sont les visions.

32        Qu’est-ce qu’une vision? Quelqu’un a souvent demandé: «Frère Branham, êtes-vous impressionné pour dire certaines choses? Pensez-vous simplement cela dans votre esprit? Non, monsieur, je vois cela. Cela est simplement là, tel que je vous vois, juste tel que vous êtes. Seulement, vous savez que vous vous tenez ici, mais vous pouvez être à quarante ans, dans le passé, dans la vie de quelqu’un, voyant ce qui était arrivé. Vous le voyez même, la façon dont il est habillé, côté position, et tout.

            Et puis, je dois parler, et quand je parle, pendant que j’ai la vision, je ne sais pas si on m’écoute ici, si je parle à haute voix ou pas. C’est la raison pour laquelle je dis au technicien ici et partout, si juste dans ce petit bâtiment où je sais que vous recevez un écho dans ce gymnase, de ma voix, si vous comprenez réellement cela.

33        Mais une–une vision, c’est Dieu, par une parole de connaissance, qui amène quelqu’un à voir d’avance ou à voir avant quelque chose, Il dit quelque chose qui a été ou quelque chose qui sera.

            Maintenant, je vais rendre cela très simple. Nous avons des petits enfants aux yeux brillants assis ici. Et si Jésus tarde, ce sont des hommes et des femmes de demain. Et je pense à cela, trop souvent, que nous rendons l’Evangile trop compliqué, au point que juste peut-être les adultes et les autres peuvent comprendre cela, et on ne se rend pas compte que ces enfants saisissent aussi.

34        Maintenant, je vais dire qu’il y a un cirque dans la ville. Eh bien, la première chose, j’aimerais dire que tous les dons et les appels sont sans repentir. C’est ce que déclare l’Ecriture. Qui, par des soucis, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie? Vous existez parce que Dieu vous a créé.

            Il y a quelque temps ici, une femme est venue à une réunion. Elle était à la maison, quelque chose l’avait frappée. Elle souffrait de l’arthrite. Elle était recroquevillée. Quelque chose l’avait frappée, que le Seigneur allait la guérir. Elle en était sûre. Elle ne devinait pas cela, elle savait que c’était ainsi.

            Alors, quand elle a pris un taxi, elle est sortie du brancard pour entrer dans le taxi, on l’a amenée dans la salle... pendant qu’on était à la réunion ce soir-là, sans même qu’on ait prié pour elle, mais quand elle a vu l’Esprit de Dieu à l’oeuvre, en action, elle a dit: «C’est ça, Seigneur Jésus ; c’est ce que j’ai attendu avec impatience. Merci.» Et quand elle sortait du taxi, le taximan lui avait dit: «Madame, dois-je revenir après le service vous prendre?»

            Elle a dit: «Je n’aurai pas besoin de vous, je retournerai à la maison en marchant.»

            Et pendant le service, le Seigneur avait redressé ces jambes estropiées, et elle s’est levée droit et est rentrée chez elle en marchant. Evidemment, cela s’est ébruité. Une autre femme a dit: «Vous savez, je–je vais faire la même chose.»

            Elle prend un taxi, elle arrive, elle dit au taximan de partir. Mais le taximan a dû revenir la chercher. Elle essayait d’imiter la foi de quelqu’un d’autre. Et vous ne pouvez pas faire cela. Le diable est mieux avisé que cela. Vous ne pouvez pas le tromper. Il vous faut avoir ce que vous confessez avoir.

35        Eh bien, quand réellement dans votre coeur... C’est juste comme je parlais de la foi par la vue. Combien croient que cette chemise est blanche? Voulez-vous lever la main? Croyez-vous qu’elle est blanche? Eh bien, et si je vous disais qu’elle était rouge? Croirez-vous cela? Non, non. Vous avez confiance en votre vue. Vous savez qu’elle est blanche.

            Eh bien, si vous avez ce même genre de confiance dans votre foi, vous savez que vous allez être guéri ce soir. Tout aussi certainement que votre vue déclare que c’est blanc, votre foi vous dit que vous allez être guéri, c’est réglé. Tout est terminé, vous n’avez plus à vous inquiéter à ce sujet. La foi a déjà pris l’emprise.

            Cela devrait venir par la prédication de la Parole. C’est le premier moyen. Mais Dieu place dans l’Eglise divers dons pour rassembler Son Eglise. Au cours des années...

36        Vous voyez, la Bible déclare, le prophète a dit: «Ce sera un jour qui ne sera ni jour ni nuit. Mais vers le soir, la Lumière paraîtra.»

            Eh bien, la première fois que le Saint-Esprit est descendu sur l’Eglise, c’était sur les orientaux, à Jérusalem. C’est là que le Saint-Esprit était descendu. Et de grands signes et de grands prodiges avaient été opérés par l’Eglise, dans l’âge primitif, de la Pentecôte, de l’Eglise primitive. Ensuite, la génération suivante des apôtres, l’Eglise catholique est alors apparue ; après mille cinq cents ans, ensuite les luthériens. Et puis, après cela, il y a eu un jour où la Lumière avait disparu ; ce fut un jour avec assez de Lumière pour vous permettre de voir que Jésus était le Fils de Dieu, que vous devriez vous repentir. Mais la vraie Lumière brillante du Saint-Esprit n’avait jamais brillé au cours de ces âges. Certainement, la Bible déclare qu’Elle n’avait pas brillé. Comme le prophète avait dit qu’Elle ne brillerait pas. Tout aussi certainement qu’il avait dit qu’ils ne pourraient pas croire, parce qu’Esaïe l’avait dit, il n’y avait pas eu de Lumière parce que le prophète l’avait dit.

37        Il y avait assez de Lumière pour savoir que vous devriez faire le bien et éviter le mal. Il y avait assez de Lumière pour savoir que vous avez cru dans la résurrection du Seigneur Jésus, L’accepter comme Sauveur personnel, inscrire votre nom dans le registre de l’église et que vous avez mené une bonne vie. Mais quant aux signes et aux prodiges sous les rayons directs du soleil brillant, il n’y en avait pas depuis la Pentecôte.

            Mais la Bible déclare, et le prophète avait dit: «Vers le soir, la Lumière paraîtra.» Eh bien, géographiquement, le soleil se lève à l’est. C’était la première bénédiction de la Pentecôte. Et il se couche à l’ouest. La civilisation a évolué vers l’ouest. Et nous sommes tout là-bas sur la Côte Ouest maintenant, et cela retourne.

            Ainsi, le soleil du soir se couche, et Dieu, dans ces derniers jours, est en train de faire briller le même soleil qui avait brillé sur les gens à la Pentecôte, là, il brille de nouveau sur l’Eglise aujourd’hui avec les mêmes signes et les mêmes prodiges. La Lumière brillera au temps du soir. Les nuages se sont dissipés, Jésus est révélé. Il vient dans nos réunions, Il se fait connaître. Il se manifeste vivant comme Il l’avait fait dans le passé pour les autres.

38        Il se manifeste vivant ici. Les nuages se sont complètement dissipés maintenant ; Celles-ci sont des Lumières du soir. Quel heureux temps où vivre ! La Bible déclare: «En ce dernier jour, Il suscitera des jeunes gens, ils auront des visions, des vieillards auront des songes ; Il répandra Son Esprit sur toute chair.» Il l’a promis.

            Il a promis des prophètes pour les derniers jours. Il a promis des signes et des prodiges pour les derniers jours. Il a promis les mêmes résultats que ceux de la Pentecôte, que cela se fera de nouveau dans les derniers jours. Et c’est ça ; nous y sommes. J’aurais voulu avoir un peu plus de voix.

39        Très bien. De toutes les façons, qu’est-ce qu’une vision? Qu’est-ce qui produit une vision? Quelle dimension? Quel atome? Cela ne sera jamais connu. C’est le secret de Dieu. Mais voici ce qu’est une vision, pour exprimer cela d’une manière telle que les enfants peuvent le comprendre.

            Il y a un très grand cirque qui se déroule dans la ville. Et nous sommes tous des petits garçons et des petites filles, nous nous tenons dehors autour de ceci, et nous n’avons pas d’argent pour y entrer. Et vous savez, nous aimerions bien voir les éléphants, n’est-ce pas? Voyez? Et nous voulons voir les girafes et–et toutes les différentes choses là-dedans. C’est... Nous voulons voir cela. Voyez? Mais nous n’avons pas d’argent pour y entrer.

            Mais il y en a parmi nous qui ont de très larges épaules et des hommes forts comme lui. Et peut-être qu’il y en a parmi nous... il est fort. Peut-être qu’il y en a parmi nous d’élancés et de minces. Eh bien, nous... Peut-être que si nous sommes élancés et minces, eh bien, nous, nous aimerions être courts et forts. Mais cela ne fait aucun bien. Dieu nous a créés élancés et minces. Et si nous voulons être élancés... Le court et fort aimera être élancé et mince. Il n’y peut rien. Il doit rester tel que Dieu l’a créé. Voyez, Dieu nous a créés de toutes sortes.

40        Dieu est un Dieu de variétés. Il a créé des fleurs jaunes, des fleurs blanches, des fleurs bleues, des fleurs rouges. Voyez, Il ne les a pas créées toutes identiques. Il crée de toutes petites montagnes, de très grandes montagnes, de tout petits arbres, de grands arbres. Il crée des montagnes et des déserts. Il crée des eaux, des lacs, des ruisseaux et des rivières et...

            Voyez? Il est un Dieu de variétés. Il crée certains parmi nous avec des cheveux roux, d’autres avec des cheveux blancs, d’autres des cheveux noirs (Voyez?), Il nous a créés différents. C’est ainsi qu’Il aime ça. Voyez la façon dont Il s’y prend. Voyez-vous? J’aime aussi ça comme cela, pas vous? Tout le monde aime cela comme ça. Voyez?

41        Maintenant, voici ce que nous sommes: Nous sommes tous à un très grand carnaval. Et pendant que nous nous tenons là avec ce groupe ce soir, peut-être que le Seigneur m’a fait un peu plus élancé que vous. Mais peut-être que c’était Sa grâce en procédant ainsi, mais vous êtes un peu plus fort que moi.

            Eh bien, alors, nous regardons tout autour, et la chose suivante, nous voyons là en haut un petit trou dans le mur. Eh bien, je ne suis pas bien assez élancé pour atteindre cela de moi-même, assurément, vous ne l’êtes pas. Ainsi donc, j’aimerais voir ce qui se passe à l’intérieur et vous aussi. Vous dites donc: «Frère Branham, voyez ce qui se passe à l’intérieur.»

            Je dis: «Juste une minute.» Je m’accroupis pour faire un très grand saut. Mes doigts, bien à peine, attrapent le bout de la planche. Je me tire très fort, je regarde au travers de ce petit trou, je dis: «Je–je–je–je vois un éléphant.»

            «Oh ! C’est vrai?»

            «Oui, oui.»

            «Quoi d’autre avez-vous vu, Frère Branham?»

            Eh bien, j’essaie encore, je saute très haut et je saisis cela avec mes doigts: «Une girafe, oui, monsieur.»

42        Eh bien, peu après, le maître du carnaval passe par là: «Que se passe-t-il ici, jeune homme?»

            «Oh ! dis-je, j’étais simplement en train de regarder par ce trou-là.»

            Il dit: «Eh bien, juste une minute.» Il me tient par la nuque et me soulève. Il dit: «Regarde là. Eh bien, tu commences par ici, et c’est ça, ceci est ça, ceci est cela, ceci est cela», et ainsi de suite. «C’est là tout le tableau. Vois-tu?»

            Ensuite, il me dépose par terre. Je ne halète pas, je ne suis pas essoufflé. Il m’avait soulevé. Maintenant, savez-vous ce que je veux dire?

43        Maintenant, adultes, quand quelqu’un vient à l’estrade, et qu’une vision est produite, c’est sa foi. Comme la femme qui toucha Son vêtement. Il ne savait aucun... Comment avait-Il su qu’elle L’avait touché? Il a dit: «Je suis devenu faible.» Qu’était-ce? La femme avait tiré Dieu au travers de Lui, ce dont elle avait besoin pour sa guérison.

            Or, quel miracle était le plus grand? Quand la femme toucha Sa foi et fut guérie... toucha Son vêtement et allant dans l’assistance, et que Lui demanda: «Qui M’a touché?» Personne ne le savait.

            Elle a dit: «Pas moi.» Eux tous nièrent. Il a continué à promener Son regard jusqu’à repérer ce canal-là, comme nous l’appelons. Juste dire cela. Ce canal là par lequel Il a repéré la femme, Il a dit: «Oh ! C’est toi.»

            Alors, elle est venue, elle s’est prosternée et a dit: «Oui, c’est vrai.»

44        Eh bien, Il–Il s’était senti faible à cause de cela. Mais maintenant, quand Dieu avait voulu se servir de Son don, Christ, Il a pris Christ et a dit: «Maintenant, attends, Tu quittes cette maison, vas-T’en et absente-Toi pendant quatre jours. Ils vont envoyer Te chercher, mais ne va pas, car Lazare va mourir. Et le quatrième jour, Tu retourneras. Tu trouveras une pierre déposée sur la tombe. Je vais me glorifier Moi-même, et J’aimerais que Tu leur demandes d’ôter la pierre, et ensuite, que Tu parles. Et quand Tu appelleras le nom de Lazare, il sortira.»

            Jésus, obéissant au Père, ne fait rien, a-t-Il dit, avant que le Père Lui montre premièrement en vision. La Bible dit-Elle cela? Combien ont lu cela cette semaine depuis que nous en parlons? Saint Jean 5.19. Oui, oui. Jésus a dit: «Je ne fais rien du tout avant que le Père Me montre premièrement, ensuite, Je vais faire ce qu’Il Me dit. Je ne fais que ce qu’Il Me montre.» C’est exact. Jésus l’a dit. A-t-Il dit la vérité? Absolument.

45        Donc, quand Jésus avait eu cette vision-là, Il est rentré. Vous avez dit: «Lui avait-Il dit cela?» Eh bien, à la tombe, c’est ce qu’Il a dit. Il a dit: «Je Te loue, Père, c’est déjà dit, car Je l’ai dit pour ces gens qui se tiennent ici, afin qu’ils connaissent le modèle de la prière.» Voyez, Il était un modèle. Puis, il a dit: «Lazare, sors.» Il savait.

            Regardez là, Il a dit là, Il n’avait pas à attendre jusqu’à ce qu’Il arrive là, Il a dit: «Notre ami Lazare est mort. Et à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là, mais Je vais le réveiller.» Voyez? Voyez, Il savait ce qui allait arriver, car le Père le Lui avait montré.

46        Or, il n’y avait pas de vertu perdue là-bas. Dieu avait utilisé Son don. Eh bien, la femme s’est servie du don de Dieu pour obtenir de Dieu ce dont elle avait besoin. Dieu avait utilisé Son propre don pour montrer ce qu’Il voulait. Eh bien, c’est pareil aujourd’hui. Eh bien, quand une vision... une personne est dans l’assistance... Et certains n’arrivent simplement pas, on dirait, à se représenter cela. «Frère Branham, qu’est-ce qui vous rend si faible? Qu’est-ce qui vous rend si abattu?» Vous devriez une fois occuper la place. Voyez? C’est la foi des gens qui fait cela. C’est quand vous vous levez, vous dites...

47        C’est comme quelqu’un qui se tient ici... Voici une personne ici. Eh bien, qui? Je ne sais pas. Eh bien, qu’est-ce? Je m’abandonne moi-même. La personne bouge. La personne se tient là. La chose suivante, vous savez, je commence à discerner si c’est un chrétien ou pas. Il a un esprit accueillant.

            Eh bien, qu’est-ce? Nous voici partis, le défi, ce que... J’entends un médecin dire qu’elle a un cancer au dernier degré. Le cancer, oui, oui, c’est vrai. Quoi d’autre? Oh ! la la ! Voyez? Vous êtes déjà épuisé. Eh bien, parlons, voyons ce qu’Il... Cela se passe encore, et quand vous descendez, eh bien, vous venez de quelque part, vous avez eu certaines certaines choses qui... «Oui, c’est vrai.» Voyez? Là, c’est vous qui utilisez le don de Dieu.

48        Eh bien, quelqu’un dit: «Frère Branham, est-ce l’unique moment?» Ce n’est qu’un moment amateur. Ce n’est pas réellement la volonté parfaite de Dieu de faire cela. C’est Dieu qui le permet. La volonté de Dieu...

            J’ai deux jeunes gens ici avec moi ce soir, l’un d’eux est catholique, l’autre, je ne sais pas, je ne pense pas qu’il était membre d’une quelconque église, pas du tout. L’un montait des pipelines et l’autre, je pense, était... il a travaillé dans une espèce d’auberge.

            Et ils sont venus à Hammond, dans l’Indiana, ils ont vu ces choses, ils ont dit: «Il y a un truc là.»

            Alors, ils ont dit, ils ont formé eux-mêmes une petite équipe de FBI, la leur. Ils m’ont donc suivi. Ils sont entrés discrètement à Jeffersonville où j’habite, ils voulaient voir si cela se passait à la maison. Eh bien, il y en a plus à la maison, des milliers de fois plus qu’il y en a à la réunion. Là, c’est Dieu qui utilise Son propre don.

49        Ce matin... permettez-moi de vous dire quelque chose. Ce matin, AINSI DIT LE SEIGNEUR, avec ma Bible sur mon coeur, Dieu est mon Juge, très tôt, je me suis levé, je parcourais la chambre. Je continuais à Le sentir près, juste comme un sixième sens. Je ne voyais pas Cela, mais je savais qu’Il était là. Je suis allé m’asseoir dans un fauteuil. J’allais çà et là. Je me suis levé pour me raser, le soleil brillait à l’intérieur. J’ai dit: «Seigneur, que veux-Tu que je fasse?» J’ai continué à attendre. Rien n’a rien dit. Je me suis agenouillé à côté du lit, j’ai commencé à prier. J’ai dit: «Seigneur, que veux-Tu que je fasse? Y a-t-il quelque chose que Ton serviteur devrait faire aujourd’hui?»

            Puis, une vision est apparue, et Il m’a dit exactement quoi pour la journée, ce qui allait se passer la journée. J’ai appelé Gene, Léo (Monsieur Mercier et monsieur Goad, ils sont ici ce soir.), j’ai fait venir mon fils dans la chambre. J’ai dit: «J’ai eu une vision, ceci est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Je vais aujourd’hui à une certaine ville où je n’ai jamais été de ma vie. Nous allons rencontrer une certaine situation. Et il va y avoir un miracle qui va s’accomplir, il faudra même changer la nature pour le faire. Et une grande guérison va se produire.» Je leur ai expliqué juste ce qui arriverait.

            J’ai dit: «Sur le chemin de retour, nous irons à un immeuble qui abrite la Western Union, et là, il y aura un message que quelqu’un m’a envoyé d’un autre pays, il aimera que je fasse une certaine chose, et je dois dire à cette personne-là: ‘Non, je ne peux pas faire cela’, quand bien même cela paraît comme si je le devrais, mais je dois lui dire non.»

50        Ils sont ici maintenant. J’ai commandé... j’ai demandé à mon fils de prendre son véhicule. Il a pris le véhicule, nous avons roulé sur plus de cent miles [1.609 km] aujourd’hui, nous sommes allés droit à un endroit, et chaque parole de cela était tout aussi parfaite que possible. Dieu a changé tout le cours de la nature et Il a accompli un miracle. Vous en entendrez parler plus tard. Voyez?

            On revenait directement, il a dit: «Eh bien, qu’en est-il de Western Union?» Et si c’est cet homme est ici dans la salle, celui qui était à cette petite Western Union, ils se sont arrêtés ici, on a dit: «Non, ça, c’est une succursale, vous devez aller à un autre endroit ici en bas.»

            Nous sommes allés là, il y avait un télégramme avec chaque mot, il venait d’arriver là, exactement tel que la vision l’avait montré. Voyez? Cela arrive des centaines de fois. Voyez? Cela–cela ne m’a point dérangé. C’est Dieu utilisant Son don.

51        Mais si c’est vous qui tirez de cela, c’est vous qui utilisez le don de Dieu. Vous dites: «Frère Branham, pouvez-vous me dire ce qui...» Non, non, je ne le peux pas. Je ne peux pas faire ce que je veux. C’est Lui. Je ne peux pas avoir une vision de moi-même. C’est Lui qui fait cela. Mais Il m’a dit: «Si tu amènes les gens à te croire», quand l’Ange m’avait rencontré cette nuit-là, vous qui lisez le livre. Et Il a dit: «Si tu peux amener les gens à te croire, et qu’ensuite tu es sincère quand tu pries, rien ne résistera à cette prière-là.» C’est la raison pour laquelle je disais hier soir ce que j’avais fait. Si j’avais mal parlé, je regrette. Quand je disais: «Il vous faut vous tenir tranquilles.» Quand je dis: «Tenez-vous tranquilles, ne vous déplacez pas», et que vous continuiez à faire cela, cela montre que vous ne croyez pas. Voyez, vous devez croire cela. Voyez? «Si tu crois, si tu amènes les gens à te croire, ensuite si tu es sincère quand tu pries, alors rien ne résistera.» Mais peu importe...

52        Il n’y a pas longtemps, une femme est venue à l’autel, elle est montée–montée à l’estrade. Elle marchait avec deux béquilles, elle est montée là et j’ai dit: «Madame...» C’est le Saint-Esprit qui avait plutôt dit cela par les lèvres du serviteur. Voyez-vous tous ces enregistreurs? C’est grâce à cela que j’entends exactement ce qui a été dit. Je ne sais pas ce que je dis pendant que je suis en vision. Mais après, les jeunes gens ici avec les enregistreurs prennent cela, ils rejouent cela et nous suivons chaque service que nous avons eu année après année, ce qui est dit est exact. Et pas une seule fois cela n’a donc failli. Et cela ne faillira jamais.

            J’ai eu des visions depuis quarante et quelques années, et cela n’a jamais failli. J’ai eu des visions quand j’étais un pécheur. Pourquoi? C’était un don. La première vision que je me rappelle toujours (Ma mère me disait que je lui en avais parlé.) C’est quand j’avais–j’avais bien deux ans. «Les dons et les appels sont sans repentir.» On est né comme cela. Cet attribut est en vous. C’est juste comme vous naissez avec des yeux bleus, ou des yeux noirs, ou des yeux bruns, ou je ne sais quoi. C’est quelque chose que Dieu a fait. Et c’est juste, c’est l’unique moyen par lequel cela peut être correct. Ça doit venir de Dieu, pas quelque chose que vous avez fabriqué. C’est ce que Dieu a ordonné que ça soit. C’est donc de Dieu. Si vous bluffez simplement et que vous faites semblant, votre main... cela s’avérera faux. Voyez?

53        Maintenant, suivez ceci. Chaque fois... Cette femme, quand elle est venue, elle avait ses béquilles. Elle est montée. J’ai dit: «Madame, vous êtes venue à la réunion parce que quelqu’un vous a dit de venir. Vous ne croyez même pas par la foi.» Cela l’a bouleversée. Elle a dit: «Je suis membre de telle et telle église.» Elle a dit: «J’aime mon église.»

            J’ai dit: «Vous devriez le faire. Mais il vous faut croire.»

            Elle a dit: «Eh bien, pouvez-vous m’aider?»

            J’ai dit: «Non, madame, je ne le peux pas.» J’ai dit: «Votre assistance devra venir par votre foi individuelle dans les oeuvres achevées par Christ.»

            Et elle a dit, elle a dit: «Eh bien, je crois ça.»

            Et j’ai dit: «Allez-vous croire cela de tout votre coeur?»

            Elle a dit: «Oui.»

            Et j’ai dit (Je l’avais alors encore regardée et l’obscurité qui était tout autour d’elle avait quitté.), et j’ai dit: «Croyez-vous que je suis Son serviteur?»

            «Oui.»

            J’ai dit: «J’aimerais donc que vous montiez ici au bout des–des marches, que vous jetiez vos béquilles et que vous continuiez à marcher jusqu’à quitter l’estrade.»

            Elle a dit: «Vous vous attendez à ce que je fasse cela, après être restée sur ces béquilles toutes ces années?»

            J’ai dit: «Eh bien, je pensais que vous aviez dit que vous me croyiez.» Voyez? J’ai dit: «Eh bien, vous resterez toujours sur ces béquilles.»

54        Et juste à ce moment-là, on a fait entrer une vieille femme, elle était à moitié transportée par les huissiers, on l’a fait asseoir vers environ cinq ou six rangées. C’était à Houston, au Texas, la soirée avant... quelques soirées avant que cette grande photo soit prise là dans le grand colisée Sam Houston. Et les huissiers l’ont soulevée, et un jeune homme lui a cédé un siège. On l’a fait asseoir, la pauvre vieille créature était très estropiée. Et la bénédiction qui devrait aller à cette femme-ci, la Lumière s’est tenue là au-dessus de la femme, Elle a tournoyé ; la vieille femme. Je l’ai regardée, j’ai dit: «Soeur, êtes-vous une croyante?»

            «Oui.»

            J’ai dit: «On vient de vous amener ici par avion, vous venez d’Ohio.»

            Elle a dit: «C’est vrai, a-t-elle dit ; c’est vrai.»

            Et j’ai dit: «En effet, vous avez suivi plusieurs réunions, cherchant à entrer et vous n’avez jamais été à mesure d’arriver à temps.»

            Elle a dit: «C’est exact.»

            J’ai dit: «Jésus vous a guérie. Levez-vous, jetez vos béquilles.»

            Et cette femme, qui pouvait à peine bouger, a jeté ses béquilles, elle a couru dans la salle à toute vitesse, poussant des cris et criant. Voyez? C’était sa foi. Voyez? Peu importe. Voyez? Celle-là n’avait pas de foi, celle-ci avait la foi. Les visions arrivent par votre foi et par la volonté de Dieu.

55        Eh bien, si j’ai du temps, j’aimerais vous raconter une petite histoire qui est arrivée récemment. Combien de temps puis-je disposer... avoir des milliers de cas de–de visions. Et permettez-moi–permettez-moi de vous raconter celle-ci aussi vite que possible.

            J’étais en route vers... j’allais rencontrer frère Bosworth, là en Floride. Et j’ai vu en vision un petit enfant être tué. Il portait un petit pantalon court, du genre, frères, que nous portions quand nous étions des petits garçons, des chaussettes montantes... Il avait de petits, ce que nous appelons, des cheveux coupés courts, de petits yeux bruns. Il a été tué dans un accident d’automobile. Sa langue était ressortie, ses yeux enfoncés, et il était–il était étendu au bord de la route. Et il y avait des arbres aux feuilles persistantes, et des rochers étaient tout amoncelés.

            Et je suis allé là, je me suis tenu à l’estrade, et j’ai prédit, disant: «Monsieur Lindsay, la Voice Of Healing publiera cet article. J’ai vu cet enfant être tué, et je le rencontrerai quelque part. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.» J’ai dit: «Ecrivez cela sur la feuille de garde de votre Bible.» Et si seulement vous voyez les feuilles de garde de ma Bible, il y a des visions et autres qui sont écrits qui s’accompliront. Il n’y en a aucune qui ait failli. Mais cette dernière ici, elle est bien en train de s’accomplir maintenant. Cela ne peut pas faillir. Dieu ne connaît pas d’échec. Voyez? Si c’était moi, cela aurait failli à chaque coup. Si c’est Lui, cela ne peut pas faillir.

56        Eh bien, remarquez, deux soirées après cela, un père se tenait là dehors, frénétique, il savait qu’on m’avait fait entrer, des huissiers se tenaient là pour m’aider à accéder à cette tente... Et les huissiers sont venus vers moi et ont dit: «Il nous faut retenir un père là.»

            Et j’ai dit: «Pourquoi?»

            Ils ont dit: «Son petit garçon s’est noyé ce matin dans une rigole, et il n’a même pas permis aux entrepreneurs des pompes funèbres d’emporter cet enfant-là.» Et ils ont dit: «Il est étendu là sur une banquette.»

57        Et évidemment, personne ne connaît le lieu exact où je reste. En effet, je ne suis pas un isolationniste. J’aime les gens. J’aime rencontrer les gens. J’aimerais rentrer à la maison avec chacun de vous et voir combien vous pouvez bien préparer le pain de maïs et les haricots rouges. J’en raffole. Mais je–je ne peux pas être serviteur de Dieu et serviteur de l’homme. Je–je dois me tenir à l’écart à cause de ces choses, être en alerte, et quand on vient au service, être prêt. Tout ce que le Père veut que je fasse, que j’aille le faire. J’ai arrêté des réunions où des milliers de gens étaient assis, je m’en suis allé directement pour suivre la conduite du Saint-Esprit. A aucun moment cela n’a failli.

            Alors, ce père, j’ai dit: «Eh bien, je vais jeter un coup d’oeil à cet enfant.» On m’a amené derrière. Non, ce n’était pas l’enfant en question. L’autre enfant avait les cheveux noirs, il était bien habillé, c’était un tout petit garçon de cinq ans environ. Ce garçon-ci avait huit ou dix ans. J’ai dit: «Non, ce n’est pas le–ce n’est pas l’enfant, monsieur. Désolé, mais ce n’est pas lui.» J’ai offert la prière pour le père alors qu’il pleurait beaucoup pour son petit garçon, j’ai continué.

58        Eh bien, à travers l’Amérique et le Canada, il y a probablement des gens ici même qui ont noté cela dans leur Livre. Hé, combien en ont déjà entendu parler? Faites-nous voir les mains, tout celui qui avait noté cela dans son livre, cela? Ça a été écrit sur la feuille de garde de leur Bible. Des milliers et des milliers de fois.

            Là à Kuopio, en Finlande... J’ai été en Angleterre, en France, dans divers pays et là... J’ai été à Kuopio, en Finlande ; et nous étions sur une colline. Je n’avais pas mangé depuis plusieurs jours, et je priais. Monsieur Lindsay et les autres étaient avec moi. J’ai dit: «Quelque chose est sur le point d’arriver.»

            Ils ont demandé: «Qu’est-ce, Frère Branham?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas.» J’avais déjà oublié cette vision-là. J’ai dit: «Je ne sais pas, mais quelque chose est sur le point d’arriver.»

            Ils ont demandé: «Que pensez-vous que cela est?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas.»

            Nous descendions la colline, on a regardé au loin, à environ 1 mile [1,6 km] au-devant de nous, nous descendions de la montagne, nous avions été là-haut pour voir comment les Russes avaient traversé, ils avaient envahi la ville en grand groupe, ils avaient mitraillé cela et tout, durant le temps de guerre. Et je me suis dit: «Eh bien, de pauvres petits Finlandais, combien ils étaient gentils, et combien ils le méritent !» Et ils... Alors, j’ai regardé, il y avait une voiture, une automobile, une Ford de fabrication américaine. Et, oh ! ils n’en ont pas deux cents dans toute la nation, je pense. Et elle avait cogné deux petits enfants et avait roulé sur l’un d’eux, l’avait écrasé, l’avait projeté derrière le véhicule. Et le conducteur, l’aile avait cogné l’autre enfant du côté de son menton, et l’avait cogné contre l’arbre, et il lui avait fracassé... lui avait écrasé la cervelle ici derrière, et son dos.

59        Eh bien, environ vingt minutes plus tard, nous sommes arrivés sur le lieu. Monsieur Moore qui sera dans la réunion probablement demain, ou soit me rencontrera à l’autre réunion... Monsieur Lindsay, monsieur Baxter, beaucoup de témoins étaient là. Et quand nous sommes sortis du véhicule, eux étaient sortis pour regarder, le petit garçon était étendu, couvert d’un manteau. Et un autre véhicule avait emporté l’autre petit garçon, celui-là n’était pas mort, ils l’ont donc amené à l’hôpital.

            Ce petit garçon était étendu là et il... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] on n’arrivait pas à le bouger, car la loi interdisait de le bouger avant que les parents l’aient vu. Et on était parti chercher le père et la mère. Eh bien, je me suis dit: «Oh ! la la ! Ces pauvres petits père et mère, que penseront-ils en trouvant leur petit garçon couché là, mort?» Je me suis dit: «Et si je recevais un télégramme de l’Amérique que le petit Billy Paul a été tué et écrasé sur la route comme cela? Quel sentiment éprouverais-je? Là loin de l’autre côté des mers, avec ces réunions ici, que ferais-je?» Je me suis dit: «Qu’est-ce que ce petit papa va faire là avec la houe, là dans le champ? Cette petite mère avec une hache coupant des bâtons ou quelque chose comme cela, que va-t-elle penser, la pauvre petite créature?»

60        Je me suis simplement mis à pleurer. Je–j’ai prié. Frère Moore et les autres se tenaient là, je me suis dit: «Je pense que je jetterai un coup d’oeil à l’enfant.» Alors, ils ont soulevé le manteau, et ce pauvre petit enfant était étendu là, avec du sang partout dans ses oreilles et tout. J’ai dit: «Oh ! la la !» Eh bien, observez combien une personne peut être stupide. Et j’ai dit: «Oh ! la la ! Recouvrez-le.»

            Je–je m’éloignais, comme ceci, et j’ai senti Quelqu’Un poser sa main sur mon épaule. Je pensais que c’était frère Moore ou frère Lindsay, l’un ou l’autre. Combien ont déjà entendu parler de frère Moore et de frère Lindsay, le rédacteur de Voice Of Healing? Il était là même et il a vu tout cela.

            Et alors, Il a posé la main, et j’ai dit: «Frère...» Et frère Moore se tenait... Il n’y avait personne à dix pieds [3 m] de moi. Et une main était posée sur mon épaule. Voyez, quand Dieu parle, Dieu va confirmer cette chose-là. Et je me suis dit: «C’est la main de qui, ça?» Et quand je me suis retourné, la main m’a quitté. Et j’ai pensé: «Je... ai-je imaginé cela?» Je me suis retourné et je m’éloignais encore, et cette main est revenue. Et je me suis encore retourné, et on montrait le petit garçon à quelqu’un d’autre. Beaucoup de gens se tenaient là. Et j’ai regardé par terre. J’ai levé les yeux, et il y avait ces arbres aux feuilles persistantes, ces rochers amoncelés là. J’ai encore regardé. J’ai dit: «Soulev-...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

61        Oh ! Vous ne saurez jamais ce que cela représente, amis. Tous les démons de l’enfer ne peuvent pas alors arrêter cela. Dieu l’a dit. J’ai dit: «Frère Moore.»

            Il a dit: «Oui, Frère Branham.»

            «Frère Lindsay, frère Baxter.»

            «Oui.»

            «Prenez très vite vos Bibles.»

            «Qu’y a-t-il?»

            J’ai dit: «Prenez la feuille de garde.»

            Ils ont dit: «Eh bien, quel...»

            J’ai dit: «Regardez. Nous serons dans une région où il y a des arbres aux feuilles persistantes, et des rochers amoncelés, un petit garçon d’environ neuf ans, avec des cheveux coupés courts, des cheveux châtains, des yeux bruns, la langue ressortie, ses pieds ressortant par ses chaussettes, des chaussettes montantes...?...»

            Il a dit: «C’est lui.»

            J’ai dit: «Certainement, c’est lui.» Amen.

            Oh ! la la ! Il n’y avait personne. Il n’y a aucun moyen d’expliquer le sentiment qu’on éprouve. Ce n’est pas la foi. C’est au-delà de la foi. C’est alors la Parole parlée de Dieu.

            J’ai dit: «Si cet enfant...» Par l’interprète, j’ai dit: «Si cet enfant ne se lève pas brusquement vivant dans les cinq prochaines minutes, je suis un faux prophète. Eh bien, tenez-vous tranquilles maintenant et contemplez la gloire de Dieu.»

62        Je me suis mis en position, tel que c’était dans la vision. J’ai dit: «Père céleste, Toi qui as donc promis ceci là dans ma patrie deux ans auparavant, et Tu as amené ceci à s’accomplir... Maintenant, comme tous les communistes sont ici, et ils nient Ton unique Fils, et comme Tu avais préordonné ceci à exister, et Tu m’as montré cette vision dans ma patrie, par conséquent, je réclame son esprit, qu’il revienne, au Nom de Jésus-Christ.»

            Le petit garçon s’est levé brusquement, il a lâché un cri, il s’est mis à courir aussi parfaitement normal et bien portant que possible. Eh bien, le nom de ce petit garçon figure dans le livre, si vous voulez lui écrire aujourd’hui pour le lui demander.

            Ce soir-là, quand j’entrais dans la réunion, on devait m’amener sur tout le parcours, sur la route. C’est l’une parmi des milliers. Tout au long du chemin, alors qu’on m’amenait là, par un groupe de ces soldats, les pauvres petits garçons ne s’étaient même pas rasés, de petits garçons de seize ans dans l’armée finlandaise, avec de grosses bottes, et de très longs manteaux, et des baïonnettes fixées sur leurs pistolets...

63        Et ils m’amenaient, alors que je descendais la route... Frères, un homme d’honneur sera véridique. Et alors que je descendais la route, là se tenaient les soldats russes, exécutant le salut russe, les larmes leur coulant sur les joues, disant: «Nous recevrons un tel Dieu.»

            Assurément, quel est le problème? Qu’est-ce qui est à la base du communisme? C’est que l’église a laissé tomber les barrières. C’est exact. Vous réduisez cela à un Evangile social. Vous avez réduit cela à des crédos. L’Evangile a toujours la même puissance. J’ai vu ces soldats russes entourer de leurs bras des soldats finlandais et s’étreindre. Et tout ce qui amènera un Russe à étreindre un Finlandais mettra fin aux guerres pour toujours. C’est vrai. Christ est la réponse. C’est vrai.

            Nous n’avons pas besoin de tables rondes, de réunions de quatre grands et autres. Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est de l’Evangile de Jésus-Christ prêché en tout cas dans la simplicité, et cependant, dans Sa puissance et dans la démonstration de la résurrection. C’est ce dont le monde a besoin. C’est ce dont on a faim. Car tous, tout le monde en a faim.

64        Tout ce qui est ordonné: «Tous ceux que le Père m’a donnés viendront à Moi. Mes brebis connaissent Ma Voix.» Vous ne pouvez pas les nourrir d’épis de maïs, il leur faut du maïs, non pas là où était le maïs, mais le maïs lui-même. Non pas juste dans un puits sec, un évangile, comme nous l’appellerions un évangile historique, mais l’Evangile du Christ vivant.

            A quoi servirait-il de montrer à un homme qui gèle à mort un très beau tableau de feu peint? C’est ce que fait l’histoire. Elle peint un feu. Un homme qui gèle ne peut pas se réchauffer à un tableau peint. Il lui faut avoir la réalité. Ce dont le monde a besoin aujourd’hui, c’est le... ce n’est pas d’un tableau du Saint-Esprit et du feu, mais du véritable Christ ressuscité, par le baptême du Saint-Esprit et du feu une fois de plus. C’est ce dont le monde a besoin aujourd’hui. Une réalité, quelque chose sur lequel ils peuvent se reposer, pas une déclaration de paroles, mais se rendre compte du Christ vivant. Amen.

65        Eh bien, je n’oublierai jamais ; cette nuit-là, quand j’allais entrer, ces petits soldats me faisaient entrer, ils avaient leurs baïonnettes fixées, et les gens pleuraient debout dans la rue. Et on faisait entrer une vingtaine de milliers, et ensuite on les faisait sortir, et on faisait entrer une autre vingtaine de milliers. Alors, pendant que j’entrais, je passais par le dortoir des femmes, des dames, dans ce grand bâtiment. Alors, une porte claqua, et une petite fille est sortie.

            Et j’aime les petits enfants. Oh ! Je peux bien me représenter à mon retour à la maison le lendemain, j’aurai le petit Joseph sur mon dos, Rebecca sous un bras, Sara sous l’autre. Quel moment nous passons ! Je les aime simplement, les petits innocents.

66        Je pensais... là alors qu’on–alors qu’on tenait la réunion de l’après-midi, monsieur Baxter et les autres tenaient cela ; au cours de la réunion de l’après-midi, tous étaient là et les petits enfants étaient dans la rue. Je prenais leur vieille monnaie, je descendais là et j’achetais ces bonbons. Et j’avais une file d’enfants sur un pâté de maisons, qui me suivaient, alors que j’achetais des bonbons. Vous savez, je donnais cela aux petits enfants, je leur pliais les petites oreilles en cornet, vous savez, je tirais leur petit nez. Et nous passions un bon moment, vous savez, comme cela. Ils ne pouvaient pas parler, je veux donc dire, qu’ils pouvaient parler leur langue, mais je ne pouvais pas les comprendre. Ainsi donc, quand je voyais un adulte venir, je me faufilais au coin et je retournais à l’hôtel, vous savez. Ainsi donc, un bon moment...

            Et ce soir-là, quand j’allais entrer, j’ai entendu une porte claquer, et une petite fille finlandaise est sortie du dortoir. Et elle avait des béquilles. Je l’ai regardée, elle... très timide. Et j’ai regardé la petite créature. Il leur était interdit, on avait dit que si on me voyait dans la rue, il ne fallait pas s’approcher de moi ni faire l’une ou l’autre chose. Oh ! Je me sentais mal avec ça. Mais vous savez comment ça se passe ; il y a une débandade, alors on était obligé de dire cela.

67        J’ai donc regardé, elle se tenait là. Et elle... J’ai vu comment elle était: Une jambe un peu plus courte que l’autre. Et cette jambe ici n’était pas utilisée. Elle avait un.-.un.-.un appareil orthopédique qui lui allait jusqu’au soulier, et ça montait et contournait la hanche et un appareil orthopédique autour comme ça, et au bout de son soulier, elle avait un fermoir, une pièce de cuir passait au-dessus et ça se rattachait à la partie arrière de l’appareil orthopédique ici. Et quand elle se mettait à marcher, elle avançait ses petites béquilles, elle se servait de ce cuir ; cela soulevait ce pied-là, et elle faisait avancer ça. Cet appareil orthopédique maintenait cela si bien que ça ne pouvait pas céder, et c’est ainsi qu’elle marchait. Elle soulevait son petit pied, elle avançait cela et marchait.

            Maintenant, écoutez juste un instant. Chaque papa et chaque maman ici savent ce qu’un petit enfant représente pour vous. Et de voir cette petite créature, d’à peu près l’âge de ma petite Rebecca là. Je l’ai regardée. Je savais que cet enfant voulait venir vers moi. Je rabats simplement mon col pour vous parler en tant que papa ou maman. Je savais que cet enfant voulait venir vers moi, et j’ai dit: «Veux-tu me voir, chérie?»

            Evidemment, elle ne pouvait pas comprendre ce que je disais. Le soldat finlandais a dit: «Euh. Euh, euh.»

            J’ai dit: «Attends une minute.»

68        Et je l’ai encore regardée. Elle a redressé sa petite tête, et sa petite chevelure défaite, et ses petites jupes descendant très bas et en lambeaux. J’ai découvert qu’elle était une petite Finlandaise, orpheline de guerre. Elle n’avait ni père ni mère, et elle habitait dans une tente. Les Russes avaient tué son père et sa mère pendant la guerre quand ils avaient traversé la frontière. Je ne savais pas cela en ce moment-là.

            Mais j’ai vu ses petits habits en lambeaux, elle a redressé sa petite tête et les larmes lui coulaient sur ses petites joues, et ses petits yeux bleus d’enfant. J’ai dit: «Veux-tu me voir, chérie?»

            Il s’est fait que je portais ce même costume. Ce costume m’a été donné dans...?... Elle a dit... elle m’a regardé comme cela. Elle ne pouvait pas comprendre ce que je disais. Je lui ai fait signe comme cela. Eh bien, elle a fait comme si elle avait d’abord peur, ensuite, elle a avancé sa petite béquille, elle a soulevé sa petite épaule. Je me suis tenu calme comme ceci, observant cette enfant-là. Je peux faire semblant d’avoir si j’ai un coeur dur, mais je–j’ai un coeur.

69        Et quand cette petite créature s’est approchée de moi, elle a déposé sa petite béquille par terre. Je me suis dit: «Que va-t-elle faire? Je vais juste voir ce qu’elle va faire.»

            Elle a déposé sa petite béquille par terre comme cela à côté de moi, elle a saisi cette poche, ici même. Elle a soulevé mon manteau et elle l’a baisé, elle l’a laissé tomber. J’observais simplement le sentiment qu’on éprouve. Et elle a fait avancer ses petites béquilles, elle a tenu sa petite jupe et l’a déployée comme cela, à la manière même de petites Finlandaises, et elle a dit: Kiitos. Kiitos, cela veut dire merci.

            Je veux vous dire que je–j’ai simplement eu l’impression d’éclater en cris. Et on chantait Crois seulement à l’intérieur pour que j’entre. Je me suis dit: «Que ton petit coeur soit béni.» Et quand j’ai regardé, j’ai eu une vision. Assurément, si j’avais été le plus gros hypocrite au monde, Dieu aurait honoré sa foi. C’est vrai. J’ai eu une vision, et elle partait là sans appareils orthopédiques, marchant. J’ai dit: «Chérie, écoute.» Oh ! la la ! J’ai dit: «Comment puis-je lui faire comprendre cela?» J’ai dit: «Chérie, Jésus te guérit. Tu–tu comprends, chérie? Tu–tu...»

70        Et alors, un petit soldat... Quelqu’un est sorti de ce groupe et les autres: «Blah, blah, blah.» Il m’a saisi par le bras et je suis parti. Je me suis dit: «Eh bien, Dieu le lui fera savoir à un moment.»

            Je suis entré, et là le... après que le Seigneur avait commencé à agir dans l’assistance et à dire à ces gens toutes leurs histoires là, ils se sont mis à se lever, et Dieu guérissait. Puis, quand tous les Finlandais avaient distribué les cartes de prière, ils ont fait venir quelques-uns parmi eux. Et alors, j’ai dit: «Eh bien...» Mon frère est venu vers moi, il m’a un peu tapoté de côté, il a dit: «C’est assez, Billy. C’est assez, tu dois partir.»

            Monsieur Baxter m’a tenu le bras. J’ai dit: «Je me sens donc conduit, appelons-en encore quelques-uns.» J’ai dit: «N’appelez qu’environ cinq ou six autres, juste... Je me sens simplement conduit à faire cela, Frère Baxter.»

            Il a dit: «D’accord, appelez-les.»

71        J’ai dit: «Que d’autres, les cinq prochains montent», comme cela. On a interprété cela là. Et par la grâce souveraine de Dieu, elle était la suivante. Elle est venue là, on l’a fait marcher une petite distance, depuis la pièce où elle était, on l’a amenée à l’estrade devant des milliers de gens.

            J’ai dit: «Madame Isaacson, dites exactement ce que je dis.»

            «Oui, Frère Branham», a-t-elle dit.

            J’ai dit: «Chérie, c’est toi la petite fille qui était là dehors dans la pièce.»

            «Oui.» C’était elle.

            J’ai dit: «Jésus t’a guérie, chérie. J’ai déjà eu la vision, tu es guérie. Maintenant, va là-bas et demande à quelques hommes d’enlever ces appareils orthopédiques et alors, place ta petite main à la hanche, fais passer ta petite main au fur et à mesure, tout au long de ta jambe qui est courte, ensuite viens montrer à frère Branham.»

            Eh bien, elle est allée là. Et quand l’interprète a interprété cela, on l’a amenée de côté, j’ai appelé la personne suivante. Et juste au moment où la vision avait quitté, la voici parcourir l’estrade, la béquille sur la tête, les appareils orthopédiques sur la tête, courant, sautant, bondissant, et louant Dieu. Dieu...

72        Pouvez-vous nous accorder encore cinq minutes? J’aimerais vous raconter quelque chose. Allez-vous le faire? Pendant qu’on souffre, je sais qu’il fait chaud. J’aimerais vous parler de l’autre petit garçon, si–si vous m’excusez. Ceci est long, mais juste une minute.

            L’autre petit garçon était couché là, mourant. La deuxième soirée de la série de réunions, en effet, ceci était... Oh ! Cette petite mère, de l’autre petit garçon, était frénétique. Et quand on m’a ramené à l’hôtel la nuit, on a dû me tirer par-dessus sa tête. Ainsi donc, elle criait en finlandais, une jeune mère dans la vingtaine. Je suis donc allé en chambre, car c’était contraire aux instructions de m’arrêter pour elle. Je suis monté.

73        Cette nuit-là, quand je suis arrivé auprès de cette petite mère, j’ai été tiré par-dessus elle comme cela. Et ce jour-là, la veille de cela, madame Isaacson a dit: «Frère Branham, pouvez-vous lui accorder juste une minute?»

            J’étais dans le couloir. J’ai dit: «D’accord, faites-la venir.»

            Son mari et elle se sont approchés. Et j’ai dit: «Maintenant, interprétez pour moi.» Et elle, la petite mère, frénétique, vous savez, elle se frottait les petites mains.

            Et vous les femmes, et si vous aviez à vous habiller comme elles s’habillent ! En été, en de très grosses robes épaisses comme cela, avec de très grosses bottes, et pendant qu’elles soulevaient du foin. Vous pensez porter ces petits habits drôles et impies, et vous étaler ensuite dans la cour de devant. Voyez-vous? Voyez-vous comment elles sont? Mais des gens très honnêtes, aimables.

74        Et elle se tenait donc là, son petit visage et des cheveux blancs tirés en arrière comme cela. Et elle balbutiait quelque chose aussi vite que possible. J’ai dit: «Madame Isa-...»

            Elle a dit: «Elle dit qu’elle veut que vous alliez relever son petit garçon.»

            Et j’ai dit: «Soeur, je–je n’ai aucun moyen de le faire.» J’ai dit: «Cela...»

            Elle a dit: «Eh bien, mon petit garçon n’est pas mort, et l’autre petit garçon qui était mort, vous l’avez ressuscité.»

            J’ai dit: «Non, bien-aimée soeur, je n’ai rien eu à faire là-dedans.» J’ai dit: «Là dans ma patrie, il y a deux ans, Dieu avait montré cette vision-là. Elle est écrite dans des livres et tout.»

            «Eh bien, a-t-elle dit, allez avoir une vision pour mon petit garçon.» Eh bien, ça, c’est la vie d’une mère. Et j’ai dit: «Soeur, c’est très aimable de votre part, mais je ne peux pas avoir des visions. C’est Dieu qui doit me les montrer. Ce n’est pas ce que je veux. C’est ce que Lui veut.»

            Et elle a dit: «Eh bien...»

75        J’ai dit: «A propos, êtes-vous tous chrétiens?»

            «Non.»

            Eh bien, j’ai dit: «Ecoutez, si vous n’êtes pas chrétiens et que votre petit garçon meure, alors, il ira au Ciel, c’est juste un petit garçon d’environ six ou cinq ans.» Je pense que c’était ça. J’ai dit: «Il ira au Ciel. Et si vous mourez dans vos péchés, vous ne pourrez pas aller là où il sera. Mais si Dieu le retire et que vous devenez chrétiens, alors vous pourrez aller vivre avec lui. Il n’y aura plus d’accident là-bas.» Et j’ai dit: «Ecoutez donc, si vous voulez une faveur de ma part, vous me ferez une faveur.»

            «Oui.»

            J’ai dit: «Eh bien, maintenant écoutez. Pourquoi n’abandonnez-vous pas vos vies pour vous engager à mener une vie chrétienne, et peut-être que vous trouverez grâce aux yeux de Dieu?»

            Eh bien, ils ne pouvaient pas perdre, alors ils se sont dit que c’était la chose à faire. Ils se sont donc agenouillés sur le pavement, et je leur ai dit quoi faire. Et ils se sont relevés, pas juste des semblants, là. Ils avaient réellement prié et pleuré, la petite mère a tenu le papa par le cou, et ils pleuraient l’un et l’autre. Ils se sont relevés, j’ai dit: «Maintenant, allez et Dieu fera probablement quelque chose pour votre enfant.»

76        Elle a dit: «Venez, allez à l’hôpital.»

            J’ai dit: «Non, c’est contraire aux instructions. Voyez, si j’allais voir votre enfant, et qu’ensuite il y ait un autre enfant, alors, si je n’y allais pas, cela ferait mal à la maman de cet autre enfant.» Voyez? J’ai dit: «Je prierai simplement pour l’enfant. Oh ! Eh bien, ai-je dit, vous ne voudriez pas que je brise les instructions. Je ne suis pas censé le faire.»

            Et elle a dit: «Eh bien...»

            J’ai dit: «Si Dieu me montre une vision, je vous en parlerai.»

            Elle a dit: «Eh bien, allez, et ayez une vision.»

            J’ai dit: «Eh bien, je ne peux pas faire cela, soeur.»

            Elle a dit: «Je vais simplement attendre donc. Allez avoir une vision. Je vais attendre.»

            J’ai dit–j’ai dit: «Non, soeur, maintenant, ce n’est pas comme cela que ça se passe. Il pourra ne jamais me montrer quoi que ce soit à ce sujet. Rentrez simplement chez vous à la maison et croyez.»

77        Eh bien, finalement, madame Isaacson l’a fait partir ; elle lui a dit que si Dieu me donnait une vision, elle–elle rappellerait. Elle n’avait pas fait dix minutes d’absence que, tout d’un coup, vous savez, le téléphone a sonné... Y a-t-il quelqu’un qui a déjà été en Finlande, ou des Finlandais? J’espère que ceci ne vous offense pas, car je pense que ce sont certains des gens les plus gentils du monde. Ils ont un petit bâton comme ce que vous mettez ici, et ils tirent une manivelle. Et alors, la dame a téléphoné, disant: «Frère Branham, avez-vous déjà eu une vision?»

            «Non.»

            Environ dix minutes encore, elle a câblé: «Frère Branham a-t-il déjà eu une vision?»

            «Non.»

            Et ça a continué jusqu’à ce que nous sommes allés au service, et la petite fille avait été guérie cette soirée-là. Je suis entré... pas cette Bible-ci, mais une autre Bible... Je me suis avancé, et mon frère...

78        Eh bien, amis canadiens, ne–ne soyez pas blessés. Mais nous avions une fois acheté au Canada de mauvais bonbons. Ils n’avaient pas d’ingrédients à y mettre, juste après la guerre. Et Howard m’a dit, il a dit: «Billy, tu parles de bonbon fade du Canada, goûte celui-ci.»

            Il m’a donné deux petits bonbons. Eh bien, eux tous sont allés dans leurs chambres, et je suis allé dans la mienne. J’étais debout dans ma chambre, il y avait une très grosse table en marbre, et j’ai déposé... J’avais ma Bible sur le coeur. Et en ce temps-là, en mai, c’est à peine que le soleil se couchait. C’est le pays du soleil de minuit. Il y a juste une année. Toute l’année, ça fait juste un jour et une nuit. Vous pouvez donc lire un journal, pratiquement, dans la rue.

            Alors, je regardais vers l’est, j’avais ma main levée à la fenêtre comme ceci. Je disais: «Ô Grand Jéhovah, un jour, Tu enverras Jésus. Il viendra des cieux, à l’est. Quel merveilleux moment !»

            Et les soldats et tous parcouraient le parc, ils parlaient de ce qui s’était passé ce soir-là. Je me suis dit: «C’est beau, n’est-ce pas? Regarde-les, des chrétiens tout humbles.» Alors qu’ils avançaient en parlant, j’ai dit: «Ô Jésus, Tu es merveilleux.» Alors, j’ai entendu quelque chose faire... [Frère Branham tape du pied.–N.D.E.] Et j’ai regardé en bas, devant moi, et là était placé un grand vase long, d’à peu près cette grandeur, c’était déposé là, et il y avait deux... Nous les appelons des fleurs de Pâques. Je pense que vous les appelez jonquilles, ou ce que... Cela ressemble à une petite radio à l’ancienne mode ou les cornes d’un phonographe, on dirait, vous savez. Et certaines sont jaunes, d’autres blanches. Sont-ce les jonquilles, madame? Sont-ce les jonquilles ou la jong-... la jonquille? Je ne m’y connais pas beaucoup. De toute façon, elles sont petites, nous les appelons les fleurs de Pâques dans notre contrée.

79        Et elles étaient posées là, et l’une d’elles était tournée vers le sud, et l’autre vers le nord. Et celle qui se tournait vers le sud était toute étendue par terre ; ou celle qui se tournait vers le nord était toute étendue. Celle qui se tournait vers le sud était à moitié étendue.

            Alors, je me suis dit: «Eh bien, maintenant, elles n’étaient pas là il y a une minute. D’où sont-elles venues?»

            Et je me tenais juste comme ceci. Eh bien, rappelez-vous, je dois vous rencontrer tous dans la Gloire un jour. Et quand j’ai tourné la tête, Il se tenait là, Il se tenait là, cet Ange-là, un Homme grand, pas comme le Christ, Il est un Homme très grand, au teint sombre, brun, aux cheveux noirs retombant sur Ses épaules, en robe blanche, les bras croisés comme ceci, et chaque fois, Il... C’est la raison pour laquelle je fais passer les gens à ma droite, quand je les fais passer à l’estrade ; on passe d’abord par Lui. 80  Alors, j’ai regardé, là debout, et Il se tenait là. Eh bien, vous pouvez vous imaginer le sentiment éprouvé. C’est à peine que je pouvais respirer. J’ai encore regardé. J’ai de nouveau regardé. Je me suis mis à me mordre le doigt. J’ai de nouveau regardé. Il me regardait simplement, Il a dit: «Qu’est-ce que ton frère t’a donné?»

            Et j’ai dit: «Deux bonbons, Seigneur.»

            Il a dit: «Pourquoi ne les manges-tu pas?»

            Eh bien, j’ai coupé l’un d’eux et je l’ai mis dans la bouche. Je me suis mis à mâcher, ça avait un très bon goût. J’ai avalé cela. Quand j’ai avalé cela, la fleur qui était étendue, la fleur de Pâques qui était tournée vers le nord... Eh bien, c’était la position, du point de vue géographique, dans laquelle ces enfants étaient tombés. Et celle qui était tournée vers le nord a fait: «Ouf.» [Frère Branham illustre.–N.D.E.], elle s’est levée. Et je me suis dit: «Eh bien, maintenant, c’est...» J’ai dit: «Qu’est-ce que cela représente?»

            Il n’a point dit un mot. J’ai de nouveau observé ces fleurs-là. Je L’ai regardé. Il a dit: «Mange l’autre.»

            Eh bien, j’ai mis cela dans la bouche, c’est la chose la plus amère que j’aie jamais mise dans la bouche. Oh ! la la ! Quel goût ! J’ai craché cela comme cela. Et–et j’ai vu cette fleur là qui penchait vers le sud, ça faisait: «Teuf, teuf, teuf» [Frère Branham illustre.–N.D.E.], descendant de plus en plus bas, comme le battement du coeur, faisant: «Teuf, teuf, teuf.»

            Il a dit: «Si tu manques de manger cela, l’autre enfant mourra.»

81        Maintenant, ce que cela voulait dire, membres du clergé, ne me le demandez pas. Je ne le sais pas. Je l’ai directement mis dans la bouche, j’ai tenu la bouche, j’ai mâché très vite, je l’ai avalé. Et dès que je l’ai avalé cette fois-là, l’autre qui était tournée vers le sud a fait: «...?...» [Frère Branham illustre. –N.D.E.] Cela s’est levé à côté de l’autre. Il a dit: «Va dire à la mère: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, son enfant vivra.»

            Je suis sorti dans le couloir en courant, très vite, et je me suis mis à crier, à tue-tête. Frère Baxter est venu là en pyjama, frère Moore a couru dans le couloir, j’ai dit: «Faites venir madame Isaacson, très vite.»

            Ils sont allés la chercher. J’ai dit: «Appelez la mère et dites-lui: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR ; ses prières sont exaucées.»

82        Oh ! Quel sentiment ! Elle a appelé la maison. Le baby-sitter a dit: «La mère et le père ont été appelés à l’hôpital. Ils n’ont point...» Eh bien, c’était juste une petite maison là comme hôpital. Il a dit: «Ils ont été appelés là, l’enfant se meurt.» Il a dit: «Ils n’ont même pas encore lavé l’enfant.» En effet, il avait été écrasé au dos. Elle a dit: «L’enfant se meurt, et ils ont été appelés», et elle était juste là comme faisant le baby-sitter.»

            Madame Isaacson est venue directement. J’ai dit: «Raccrochez et appelez l’hôpital.» Alors, elle a raccroché, elle a appelé l’hôpital, et elle a eu.-. a eu la maman au téléphone. Elle a dit... La femme criait à tue-tête, et madame Isaacson a dit: «Maintenant, écoutez, ma chère, calmez-vous, juste une minute, calmez-vous jusqu’à ce que je vous parle.» Et je... Madame Isaacson, je pouvais l’entendre, je sais de par les gestes, elle disait: «Je vais essayer de la calmer. Elle crie.»

            Elle a dit: «Peut-être que l’enfant est mort.»

            J’ai dit: «Dites-lui de ne pas s’inquiéter, que l’enfant soit mort ou quoi, il va vivre.»

83        Et alors, elle a continué à chercher à la calmer. Elle a dit: «Maintenant, écoutez, écoutez-moi.» Voyez? Elle a dit: «Frère Branham vient d’avoir une vision d’une fleur qui se relève.» Et elle a dit: «Il a dit de vous dire: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, votre enfant vivra.’»

            Et quand elle est revenue à elle-même, autant que possible, elle a dit: «Je le sais bien.» Elle a dit: «Il vient de prendre conscience, nous l’avons lavé et nous sommes sur le point de le ramener à la maison maintenant.» Dieu avait exaucé la prière.

            Maintenant, regardez, je n’avais jamais rien eu à faire avec cela. Je n’avais jamais rien eu à faire avec la guérison de cet enfant-là. La prière de la foi de cette mère-là avait trouvé grâce aux yeux de Dieu. Dieu m’a simplement parlé et a dit: «Va le lui dire.» Voyez-vous ce que je veux dire? Cela ne vous fait pas pleurer ; cela vous fait crier. Ces choses sont vraies. Dieu au Ciel sait cela. Il y a leurs noms et leurs adresses si vous voulez leur écrire.

84        Il est le même Grand Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Amen. Les cieux et la terre passeront, mais Sa Parole ne passera point. Quand Il a fait une promesse, Il l’a faite souverainement, c’est à tout celui qui veut, il peut la recevoir, il peut la croire, il peut agir sur la même base. Les mêmes résultats se produiront chaque fois. Amen. Oh ! Je suis ému. C’est assez pour vous émouvoir, de savoir qu’un pauvre pécheur perdu, en route vers l’enfer...

            L’autre jour, je parlais à ma femme, on était assis là dehors, une dame est passée, elle m’a apporté un petit écriteau où il était mentionné: «Le coucher du soleil et l’étoile du soir, et une petite carte pour moi.» Et je me cachais dans la maison, il y avait eu beaucoup de gens là. J’ai dit: «Chérie, penses-y. Il y a vingt-cinq ans, mon père buvait beaucoup.» J’ai dit: «Penses-y donc, je descendais en ville et je parlais à quelqu’un, rien que parce que j’étais un Branham, les gens détournaient la tête et s’en allaient. Je n’y pouvais rien.» J’ai dit: «Maintenant, penses-y. Je dois me cacher quelque part dans un lieu isolé, pour avoir un petit temps de paix.» Qu’est-ce qui a fait cela? Mon instruction? Je n’en ai aucune. Qu’est-ce qui a fait cela? Ma personnalité? Je n’en ai aucune. Qu’est-ce qui a fait cela? Jésus-Christ, le Fils de Dieu, Il s’est abaissé:

Grâce étonnante ! Oh ! quel doux son !
Qui sauva un vil comme moi !
Autrefois j’étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé,
J’étais aveugle, mais maintenant je vois.

Oh ! Après que nous aurons passé dix mille ans là,
Brillants comme le soleil,
Nous n’aurons pas moins de jours pour chanter Ses louanges,
Par rapport à nos tout débuts.

85        Les âges éternels, alors qu’ils se déroulent, l’Agneau Rédempteur de Christ sera toujours reconnu parmi Son peuple, pendant que les les océans seront devenus des déserts, et quand le péché se sera entassé si haut que cela ébranlera la lune de ses orbites, l’amour de Dieu demeurera toujours. Et le Christ qui vit ce soir sera le même Jésus alors qu’Il sera assis sur Son Trône dans...?... de Gloire. Toute l’éternité, Il restera toujours le même. Oh ! J’aimerais Le voir ! Je L’aime.

86        Il n’y a pas longtemps, là dans le sud, un vieil homme de couleur avait été sauvé une nuit, là où on chantait d’anciens cantiques. Le lendemain, il s’est mis à dire aux esclaves, il disait: «Frère, Christ m’a libéré.»

            Alors, le maître est passé, et il a dit: «Mose, qu’est-ce que tu racontes?»

            Il a dit: «Patron, a-t-il dit, c’est vrai, je suis libre.»

            Il a dit: «Qui t’a dit que tu étais libre?»

            Il a dit: «Christ m’a libéré, patron.»

            Il a dit: «Mose, viens à mon bureau. J’aimerais te voir d’ici peu.» Il est allé là et il s’est assis. Il a dit: «Maintenant, répète cela, Mose.»

            Il a dit: «Je suis allé hier soir là à une réunion de prière.» Il a dit: «Je chantais des cantiques. Et j’étais un pécheur, patron.» Il a dit: «Christ m’a libéré de la loi du péché et de la mort.»

            Il a dit: «Tu dis vrai, Mose?»

            Il a dit: «Oui, patron.»

            Il a dit: «Je vais aller signer la déclaration de ton émancipation ce matin, et je te libérerai de l’esclavage, afin que tu puisses prêcher donc à tes frères.»

            Il a dit: «Merci, patron.»

87        Des années s’écoulèrent. Il avait prêché. Quand il est arrivé au moment de la mort, beaucoup de ses frères blancs s’étaient assemblés, ils le regardaient alors qu’il était entré dans le coma. Au bout de... Peu après, il s’est réveillé, il a regardé tout autour et a dit: «Je ne suis pas encore parti?»

            Ils ont demandé: «Mose, qu’as-tu vu?»

            Il a dit: «Eh bien, frères, a-t-il dit, j’ai franchi la porte.» Et il a dit: «Je me suis tenu là et je L’ai vu, a-t-il dit, je L’ai contemplé.» Et il a dit: «Un ange s’est avancé et a dit: ‘Mose, approche et reçois ta robe et ta couronne.’» Il a dit: «Ne me parlez pas d’une robe et d’une couronne. Tout ce que je veux faire, c’est me tenir là et Le contempler.»

            Je pense que c’est ce que nous tous nous éprouvons. Je n’ai pas besoin de robe ni de couronne. Je veux Le voir. Il était blessé pour mon salut. Et c’est par Ses meurtrissures que je suis guéri, c’est Lui qui m’a racheté de la vie du péché et de la mort. Prions.

88        Père céleste, les heures s’écoulent, Christ vit toujours. Oh ! Comment pouvons-nous donc exprimer Jésus-Christ devant un peuple? C’est au-delà de toute expression. Aie pitié ce soir, Père. Sauve les perdus ce soir. Guéris les malades ce soir et manifeste-Toi.

            Et, ô Dieu, là loin en Finlande, ces deux petits garçons vivent ce soir par Ta grâce. Combien d’autres, à travers le pays, à travers le monde, de tous les coins du monde, partout, Ton Esprit a agi, et Cela a guéri les malades, ressuscité les morts. En Afrique, en Inde, à travers l’Egypte, tout, oh ! à travers le monde, Tu as accompli ces choses glorieuses, et nous Te remercions pour toutes choses.

            Et maintenant, Tu es ici avec nous ce soir, Tu es omniprésent. Et nous sommes ici à Spindale, en Caroline du Nord. Tu es ici ce soir le même Tendre Seigneur Jésus. Que les gens comprennent pleinement, Seigneur, que la guérison ne réside pas dans un homme. Elle ne réside pas dans un groupe d’hommes. Cela ne réside pas dans une église. Cela réside dans l’oeuvre achevée, que Tu as accomplie pour nous là au Calvaire, et dans notre foi de croire dans l’oeuvre achevée par Jésus-Christ qui a été livré pour nous au Calvaire.

            Et, Père bien-aimé, nous prions que Ton Saint-Esprit entre avec bonté et douceur dans chaque coeur et qu’Il parle à ceux qui ne sont pas sauvés ce soir, Père, maintenant même. Accorde-nous un grand appel à l’autel, Père. Que les hommes et les femmes qui ne Te connaissent pas, qui ne T’ont jamais vu dans la puissance de Ta résurrection, que leur foi devienne plus grande que celle de ceux qui T’ont vu. Qu’ils croient même avant qu’ils voient. Et que cela s’accomplisse, qu’ils croient de tout leur coeur, chacun d’eux, qu’ils soient complètement guéris et pardonnés de chaque péché et de chaque offense. Accorde-le, Seigneur.

89        Pendant que nous avons nos têtes inclinées, et que l’orgue est en train de jouer, je me demande bien... s’il y a quelqu’un ici qui aimerait lever la main pour dire: «Seigneur, je ne lève pas la main vers ce prédicateur. Je lève la main vers Toi. Je crois que Jésus est le Fils de Dieu qui est ressuscité d’entre les morts, et j’aimerais maintenant L’accepter comme mon Sauveur personnel. Je Te demande d’avoir pitié de moi, afin que quand j’aurai à me tenir dans la présence de cette foule, avec ce prédicateur, et avec Ton Esprit qui est ici ce soir... J’aimerais être libre du péché, de la loi du péché. Je veux T’aimer, de la sorte, je veux contempler Ton visage en paix, T’entendre dire: ‘C’est bien, Mon bon et fidèle serviteur.’»

            Je sais que les jours dans lesquels nous vivons sont sombres. Voudriez-vous lever la main, quelqu’un d’autre n’importe où? Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu te bénisse, fiston. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. C’est bien, à ma droite, quelqu’un dans cette rangée? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre? Là derrière vers le bout, quelqu’un là qui lèverait la main? «Souviens-Toi de moi, ô Dieu, maintenant que j’offre ma main.»

90        Comment avez-vous levé la main? Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire.» Que Dieu vous bénisse, soeur. Je vous vois juste là en bas, dans la rangée de devant, oui, que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, petite dame. Quelqu’un d’autre qui lèverait la main? Je vois une toute petite fille, une toute petite créature lever la main.

            Eh bien, vous dites: «Cela sert-il à quelque chose, Frère Branham?» Que Dieu te bénisse, fiston. Que Dieu vous bénisse, monsieur. «Cela sert-il à quelque chose?» Ecoutez ce que Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire premièrement. Et tous ceux qui viennent à Moi, Je leur donnerai la Vie Eternelle. Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, et il ne périra pas, mais il est passé de la mort à la Vie.»

91        Voulez-vous lever la main maintenant même pour dire: «J’accepte maintenant Jésus comme mon Sauveur personnel»? Voudriez-vous... Gardez vos têtes inclinées. Continuez à prier. Voudriez-vous lever la main? Quelques huit ou dix personnes ou plus... Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre qui lève la main pour dire–pour dire si seulement... Que Dieu vous bénisse là derrière, monsieur. C’est vraiment bien. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre qui lève la main pour dire: «Ô Dieu, j’aimerais qu’on se souvienne de moi maintenant même dans la prière. Frère prédicateur, j’aimerais que vous priiez pour moi, que mon âme soit sauvée en ce jour-là.» Allez-vous lever la main? Dire: «Souvenez-vous...» Que Dieu vous bénisse, madame ; je vous vois là-haut au balcon. Quelqu’un d’autre? Très bien. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Je vous vois, jeune homme, c’est un très bon acte à poser. Vous pouvez avoir fait beaucoup de grandes choses dans votre vie, mais vous n’avez jamais fait une aussi grande chose que quand vous levez la main vers Jésus-Christ. «Celui qui vient à Moi...» Que Dieu vous bénisse, jeune homme assis là. Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à Moi.»

92        Voudriez-vous lever la main? «Ô Christ, je crois maintenant en Toi. Je crois maintenant. Je veux T’accepter comme mon Sauveur personnel.» Voudriez-vous lever la main en réponse à l’appel à l’autel? Le rétrograde qui aimerait revenir au Seigneur Jésus, qui aimerait qu’on se souvienne de lui ce soir dans la prière, voudriez-vous lever la main, les rétrogrades?

            Assurément, s’Il ouvre les yeux des aveugles, débouche les oreilles des sourds, assurément qu’Il entendra votre âme pécheresse. Voudriez-vous lever la main, vous les rétrogrades?

            Allez-vous, vous qui êtes–qui êtes maintenant en train de chercher le Saint-Esprit, allez-vous lever la main pour dire: «Souvenez-vous de moi»? Oh ! la la ! Les mains se lèvent partout. Eh bien, Il est tout autant disposé à déverser le Saint-Esprit sur vous maintenant même qu’Il l’a toujours été. Assurément. Maintenant, nous allons prier pour vous comme nous l’avons promis. Et aussitôt après le service de guérison, j’aimerais que vous veniez à cet autel-ci quand le prédicateur aura fait l’appel à l’autel, et j’aimerais que vous priiez ici même à l’autel, et que vous Lui abandonniez simplement votre vie, qu’Il vous accorde le désir de votre coeur.

93        Bienveillant Père céleste, nous Te remercions pour la solennité de cette heure, le caractère sacré de savoir que Jésus, le Fils de Dieu, est présent, Lui à qui nous devons rendre compte à la fin de l’âge. Nous devons nous agenouiller à un moment, soit ici, soit comme le jeune homme riche l’a fait alors qu’il était dans le séjour des morts, il a levé les yeux depuis le tourment. Et nous Te prions, Père, de sauver tout celui qui a levé la main et de le remplir ce soir du baptême du Saint-Esprit, de lui accorder le sceau béni de la promesse de Dieu, qu’il ne périra jamais, mais qu’il sera toujours dans Ton souvenir et écrit dans les paumes de Tes mains et dans le Livre de Vie de l’Agneau. Nous demandons ces bénédictions, Père, au Nom de Christ. Amen.

            Que Dieu vous bénisse. Oh ! Il est merveilleux, n’est-ce pas? Vous vous sentez comme étant tout récurés, la Présence de Dieu étant si proche de nous, n’est-ce pas? Quelles cartes avez-vous distribuées? Laquelle? Oh ! Il n’a point distribué des cartes. Eh bien, c’est en ordre. Christ est ici de toute façon. Nous n’avons pas besoin de cartes. Combien croient? J’aimerais alors vous poser une question. Ce n’est pas moi qui fais ça, généralement, j’essaie d’amener les gens ici à l’estrade afin que je puisse le faire de façon souveraine. Probablement qu’on a été occupé aux livres ou autre chose, on n’a point eu cela avant le début de cette réunion. Ils sont mieux avisés pour faire cela après que la réunion a évolué.

94        J’aimerais vous poser une question. Ce que je vous ai dit au sujet des visions, croyez-vous que c’est la vérité? Si donc vous regardez de ce côté-ci, alors que moi, je ne connais personne parmi vous, et que Jésus-Christ par Sa grâce et Sa puissance, fait ici ce soir la même chose qu’Il avait faite pour la femme qui avait touché Son vêtement, croirez-vous de tout votre coeur? Accepterez-vous cela de tout votre coeur? Accorde-le, ô Dieu, c’est ma prière.

            Donnez-nous juste un petit accord. Connaissez-vous Reste avec moi? Pouvez-vous bien jouer cela sans le livre? Donnez-nous un accord. Est-ce ce que vous voulez qu’Il fasse? Croyez-vous que Dieu vient par le cantique? Y a-t-il la puissance dans le cantique? Rappelez-vous qu’une fois la légitime indignation du prophète avait été suscitée ! Oh ! Il était dans tous ses états au sujet de quelque chose. Et le fils de Jézabel et Achab, était descendu et il voulait être instruit par une vision de sa part. Il a dit: «Pourquoi ne vas-tu pas vers tes propres prophètes? Pourquoi es-tu venu vers moi?» Oh ! Il était dans tous ses états. Il a dit: «Néanmoins, amenez-moi un joueur de harpe.» Et quand le joueur de harpe s’est mis à jouer, l’Esprit est venu sur le prophète et il a eu des visions. Est-ce vrai? Maintenant, ayez foi et croyez. Croyez simplement.

95        Ceci est difficile (Voyez?), quelque chose... Je ne connais personne parmi vous. Vous le savez. Mais Dieu vous connaît tous. Eh bien, derrière dans l’assistance, c’est un peu difficile, car quand je vous appelle, vous pourrez ne pas saisir cela. Mais souvent, Il se tient au-dessus des gens là derrière, mais vous pouvez voir Cela, et alors, si les gens ne réagissent pas vite, la vision quitte et je ne sais pas ce que j’ai dit. Voyez?

            Mais cela devrait régler la question. Si Christ est ressuscité d’entre les morts... J’allais avoir un type différent de prière, de ligne de prière, mais... Combien ici sont malades et nécessiteux? Faites-nous voir les mains une fois de plus. Partout. Des gens qui aimeraient qu’on prie pour eux, levez la main, partout. Eh bien, il y en a simplement trop. Il y a mille ou plus ici. Je ne pourrais pas dire qui serait le premier là. Nous allons simplement faire ceci comme ceci. Que le Seigneur nous bénisse s’Il le veut. Maintenant, je ne sais pas s’Il va le faire. Ça dépend de Lui.

96        Mais regardez de ce côté-ci et croyez que je vous ai dit la vérité. Et Dieu me fera passer en jugement, le jugement si j’ai dit cela à partir de la Bible ou pas. Maintenant, regardez simplement de ce côté-ci et croyez.

            Maintenant, comme nous le pensons: Reste avec moi, reste avec moi. Celui qui... «Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voulez et cela vous sera accordé.»

            Maintenant, je demande à Dieu, sur base de la promesse solennelle de ceci, d’envoyer Son Fils, Jésus-Christ, et d’oindre Son serviteur indigne, mais que les gens soient sans excuse au jour du Jugement, que Christ est vivant ce soir. Et puisse Dieu envoyer Son Saint-Esprit sur vous pour vous donner la foi de contacter le Saint-Esprit, afin qu’Il parle par moi pendant que nous restons selon Sa promesse divine. Vas-Tu l’accorder?

            Maintenant, quelque part de ce côté-ci, alors que je me consacre... me concentre de ce côté pour vous voir, juste voir là où Dieu agit, voudriez-vous regarder de ce côté-ci et prier? Puisse-t-Il l’accorder. S’Il le fait, que chaque personne ici présente dise solennellement: «Je veux croire en Dieu, qu’Il est ici, et croire que si je peux entrer en contact avec Lui par ma foi, par ce moyen-là, je sais qu’Il est ici pour être touché pour ma guérison.» Allez-vous croire cela de tout votre coeur? Levez la main vers Lui maintenant, au point où Il peut la voir (Voyez-vous?), voir votre main. Que Dieu vous bénisse.

97        Certainement, j’ai prêché cela. Mais je n’en avais pas l’intention, c’était juste parler quelques minutes. Je suis un peu dérangé. C’est vrai. Mais maintenant, soyez bien respectueux, juste quelques minutes. Je ne peux pas pousser Dieu à faire quelque chose. Je dois le Lui demander. Je le Lui demande donc. Je dois croire qu’Il existe et qu’Il est le Rémunérateur. Regardez, il y a probablement deux mille personnes, ou peut-être plus, ici présentes ce soir. Chacun de vous est un esprit, et cela est simplement en train de battre maintenant, comme ceci. Où est-ce? Je ne sais pas. Cela vient de tout côté. Mais si seulement vous restez tranquilles, juste une minute ; restez tranquilles, ne vous déplacez pas, restez bien tranquilles juste une minute et priez qu’Il puisse l’accorder.

            Ce sera un signe qu’Il est ressuscité d’entre les morts ; ça sera un miracle. Sera-ce un miracle? Oh ! Je devrais dire un miracle, l’un des plus grands. J’aurai simplement à attendre que vous vous calmiez, que tout le monde arrête de bouger et qu’on se calme. Soyez simplement respectueux. Voyez. Christ n’est pas... IL est, IL est Dieu. Et la Bible dit: «Que le monde garde silence. Dieu est dans Son saint lieu.» Ce n’est pas une agitation. Ce n’est pas une confusion. Dieu n’est pas l’Auteur de la confusion.

98        Je vois un homme debout devant moi. Grâces soient rendues à Dieu. Un homme on dirait un peu mince... Quelqu’un L’a touché juste comme la femme qui toucha notre Seigneur, quelqu’un a touché le... Il est là: Vous souffrez du coeur et des reins, n’est-ce pas, monsieur assis juste là en bas en train de me regarder de ce côté. Vous avez eu à regarder de ce côté-là ; oui, monsieur. Croyez-vous que Jésus-Christ est le Fils de Dieu? Très bien, levez-vous. C’est bien. Levez-vous. Vous vous sentez un peu hors de vous, mais vous êtes guéri maintenant. Que Dieu vous bénisse. Le coeur ne vous dérangera plus ; l’affection rénale, vous en êtes guéri. Vous pouvez donc rentrer chez vous maintenant et être bien portant. Dites: «Gloire au Seigneur», à Lui. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Maintenant, que quelqu’un dans cette rangée regarde et croie. «Si tu peux croire, a-t-Il dit, tout est possible à ceux qui croient.»

99        Vous souffrez du coeur, n’est-ce pas, vous assise là au bout, madame? Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérit? Oui. Oui. Vous priiez pour votre coeur. Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérit? Levez la main. Avez-vous une... de prière? Non, vous n’en avez pas, évidemment, vous n’avez pas de carte de prière. Maintenant, croyez-vous qu’Il touche... vous L’avez donc touché tout à l’heure? Peut-être que vous ne pouvez pas entendre ma voix. Ceci produit un écho. Croyez-vous que Christ vous a guérie tout à l’heure? Acceptez-vous votre guérison de la part de Christ? Que Dieu vous bénisse donc. C’est bien.

            Vous priiez pour ce petit garçon-là, n’est-ce pas? Croyez-vous, monsieur? Avez-vous foi en Dieu? Oui. Vous priez pour lui, n’est-ce pas, l’enfant? Croyez-vous que Dieu le guérira? Les interventions chirurgicales peuvent échouer, mais Christ n’échoue jamais, n’est-ce pas? Croyez-vous que sa respiration va se rétablir maintenant, qu’il sera rétabli et bien portant? Acceptez-vous cela? Levez la main si vous le voulez. Voyez, n’est-ce pas merveilleux? Vous pouvez avoir ce que vous demandez maintenant. Jésus-Christ le guérit. N’est-Il pas merveilleux?

100      Grand-mère, vous aimeriez qu’on prie pour votre petit garçon là, n’est-ce pas? Oui, maman, vous. Si Dieu me révèle ce qu’est votre problème, allez-vous m’accepter comme prophète de Dieu, Son serviteur? Vous souffrez vous-même du coeur. Le petit garçon là souffre d’une espèce de sinusite, de l’asthme, et Dieu peut le rétablir, n’est-ce pas? Levez la main si c’est vrai. Imposez la main à l’enfant. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il soit guéri. Amen.

            Disons: «Gloire au Seigneur !»

            Cette petite femme assise là derrière, avec cette petite écharpe autour de son cou, souffre de la bronchite. Croyez-vous, maman, que Jésus-Christ vous guérit?

            Croyez-vous, frère, qui souffrez de diabète, vous assis là, que Jésus-Christ vous guérira? Tenez-vous donc debout et acceptez cela. Retournez-vous et imposez les mains à la petite dame là derrière. Elle souffre de la bronchite, là derrière. Oui. Ô Dieu, sois miséricordieux et guéris-la, je prie au Nom de Jésus. Amen.

            Que Dieu vous bénisse. C’est terminé, rentrez chez vous en vous réjouissant ; votre foi vous a guérie.

101      Que pensez-vous,-vous là sur ces brancards? Regardez de ce côté et croyez. Monsieur, madame, vous assis là à côté de lui, croyez-vous? Vous croyez. Je ne peux pas guérir. Vous savez que je ne le peux pas. Mais vous ne pouvez pas cacher votre vie. Vous êtes mourant. Le cancer vous a frappé. C’est vrai. Mais Jésus-Christ peut vous guérir ; croyez-vous cela? C’est ça votre maladie, n’est-ce pas? Le cancer à une étape pire. Il y a une ombre sombre autour de vous. Dieu seul peut vous guérir. Croirez-vous cela? Acceptez-vous cela? Vous allez mourir là.

            Il y eut une fois des lépreux couchés à l’entrée. C’étaient des lépreux. Ils ont dit: «Si nous entrons dans la ville, là, ils mangent les uns les enfants des autres. Nous ne pouvons pas y entrer. Nous restons ici, nous allons certainement mourir.»

            Ils n’avaient qu’une seule chance, c’était de descendre dans la colonie des Syriens, l’ennemi. Et Dieu les a récompensés pour avoir pris ce seul risque qu’ils avaient. Et Dieu a épargné leur vie ainsi qu’eux tous qui étaient en–en captivité. Maintenant, on ne vous demande pas d’aller dans le camp de l’ennemi. Vous êtes invité à la maison de Dieu où on vous attend ce soir. Maintenant, c’est votre foi, monsieur. Je ne peux pas vous guérir. C’est votre foi. Si vous croyez cela, alors levez-vous et rentrez chez vous, oubliez cela. Si vous ne le pouvez pas, alors vous êtes... Vous ne pouvez vivre que peu de temps.

102      Je défie tout le monde de croire. Alléluia ! Croyez-vous? De tout votre coeur? Qu’attendez-vous donc? Prenons cela... soyons tous guéris. Vous tous, vous êtes déjà guéris. Jésus vous a guéris. Pouvez-vous accepter cela? Levons les mains vers Lui alors comme ceci. Répétez cette prière après moi. Je vais offrir la prière. Vous, répétez-la. Et soyez sérieux là-dessus.

            Père céleste, je crois maintenant en Jésus-Christ, Ton Fils. Je L’accepte maintenant comme mon Guérisseur. C’est par Ses meurtrissures que je suis guéri. Je crois de tout mon coeur qu’Il m’a guéri par Ses souffrances à ma place au Calvaire. Et je réclame maintenant cela comme ma possession. Et à partir de ce soir, je réclamerai ma guérison au Nom de Jésus.

103      Maintenant, fermez simplement les yeux, c’est votre prière. Maintenant, voici la mienne.

            Ô Dieu, il n’y a qu’une seule chose qui empêche qu’un miracle éclate à cet endroit. C’est cette petite ombre sombre qui est suspendue au-dessus de vous maintenant même, c’est votre incrédulité. Si seulement vous vous en débarrassez... Si quelque chose... cela quitterait, et chaque personne ici serait sauvée, chacun de vous. C’est l’unique chose qui empêche. Jésus a déjà fait cela. Et on dirait simplement que maintenant, dans cette dimension où je suis maintenant, vous ne pouvez pas cacher votre vie s’il vous le fallait. Christ est ici, le même qui a ressuscité le petit garçon d’entre les morts en Finlande. Il est ici ce soir. Les visions apparaissent. Je vois des gens être guéris partout dans la salle.

            Vous les prédicateurs, observez et voyez, des mois plus tard après mon départ, vos membres viendront, des femmes qui ont été guéries de maladies gynécologiques, de troubles d’estomac Tout le monde est en train d’être guéri maintenant même.

            Si vous me croyez, je vous dis la vérité. Christ est ici. Le Saint-Esprit est dans la salle. Je ne suis pas excité. C’est vrai.

            Père céleste, au Nom de Jésus-Christ, chasse chaque mauvais esprit.

E-1 God Bless you. Good evening, friends. I feel very humble and small to have a person like Brother Parton here to tell, say such a--an honorable introduction. And I certainly can repay that compliment and say it's mutually felt. I met some mighty fine men, but I don't believe I ever met a nicer, humbler, better brother than our Brother Parton. I'm so glad to know that this fine host of people here in this city and around about, has a--a pastor here like Brother Parton. He's a very fine brother.
And I'm sure the other day when we suggested to have this closing service on Sunday afternoon so that every pastor could have his--his own service that night. And Brother Parton so humbly said, "That's just--that's just fine." I'm sure that's appreciated by every pastor and--and every member of every other church...?... That's a real gentleman besides a Christian, isn't it? That's--that's right, to do that. I'm sure all the pastors appreciate that. Hoping someday that, God willing, we can get back up in this country with the tent, so we can stay longer and have a good long service.

E-2 I have come to you, brother, with difficulty, because I come to you real tired. This is the longest I've went for the last six or seven years without a break of rest. This is four months, constantly, from one service to another. And then it's made it awfully hard. My throat is weak and tired. And I've got two more services yet before I have any--any rest. I haven't been able to speak very much, or preach much on the Word. Just merely a little testimony or something and go ahead. You've rallied around it wonderfully and I do appreciate it. You don't know how I appreciate each and every one of you.
And I realize in audience of this size, if I should come back a year from now, there's some of you won't be here. If I'm here, some of you won't be. Somebody will go, maybe some of you young folk might be in an accident, go meet the Lord. And maybe it'd be some of you elderly people that's about lived your life up, some sick person, I don't know. Maybe I'll go; I don't know. That all lays in the hand of God.

E-3 But if I would come back, of this many people, I'm sure somebody will be gone, this will be our last time to see each other on earth. And I'm so happy to know that our last meeting like this, that you have come and have rallied around the Word of God that I have preached to you from the Bible. And I'm so glad to know that Brother Parton, here has... Am I saying that name right? Parton, Parton. That he was... brother... And the introduction he gave me the other night over at the church and saying when he read the book, he wondered sometime if I would come.

E-4 Well, I was to come to his church, not to an auditorium, to the church. And that's something I've seldom held a meeting in, in a church, because of the congestion. But I've always thought this, friends, we know one another, talk heart to heart with each other a while, don't we? Just for the closing this afternoon. I always try to do this...?... Usually, when a man just gets a little blessing from God, the first thing you know, he will go to thinking he's a little bigger than somebody else. And when you do that, you're on your road down. That's right. No matter how little the place is, I go to little churches sometime that won't even seat over a dozen people, little missions, preach just as hard as I would in a big auditorium. Well, what difference does it make? The Church is where we're gathered together. Jesus said, "Wherever two or three are gathered together in My Name, I'll be there in their midst."

E-5 And we come, who knows... You remember the conversion of Dwight Moody, I believe it was, and the old wash woman had washed all week and passed out her tracts in the early Methodist days. And no one would receive them, throw them on the ground and walk by and thought they were holy-rollers and so forth. And she'd rented an old livery stable, cleaned it out, put her old wash bench down there. Little old boy come by with his daddy's suspenders on, hair hanging down his face, said, "Woman, what are you passing out?"
Said, "Tracts, sonny." Give it to him.

E-6 When the preacher come to preach that night, you know who was there? The old woman and the little boy. The preacher was a gallant old man, in glory today. He preached that sermon just practically burning on his heart, made his altar call for one pupil, the little boy. I don't think it was Moody; I'm sorry, I think that it was either, it might've been Smith. Or ever who it was sent nearly a million souls to Christ when he knelt at the altar that night. He didn't know who it... You don't know what you're doing. Sometimes it's the little places, you're doing something for God; we're working for one big cause, the Kingdom of God. And that's for all people to work for that end.

E-7 I've noticed to... When I first started, and I knew there'd be a lot hooked up with this, and there's nobody on the field in them days. And me being a Baptist and coming out amongst Full Gospel people, I realized what it was going to be. And there was three things that I noticed in the Bible that always...?... a minister. And one of them was money, and the other one was popularity, and women. So I know that Saul fell because of popularity, Balaam because of money, and Samson because of women. So then I know those three things was a hindrance that we must always keep covered up. And money of course, would be the--the greatest. And... or trying to think you're just a little better than somebody else.

E-8 I--I tried, Christian friends, tried my best; by God's grace I can say with His grace, all of its been in the background. You pray that I can keep it that way. I never took money. I suppose that... Billy told me a few minutes ago, said, "Daddy, I think they took you up a love offering." That wasn't necessary, didn't have to do that. I never come for that purpose; God knows that. No, sir. I'm a poor man, could have been a multi-millionaire. Many of you knows that I was give at one time one million five hundred thousand dollars at one time. When the agents brought it to me, I refused to look at their order; I said, "No, sir, I wouldn't put my hand on it."

E-9 They said, "Oh, my," said, "but this man's worth twenty-eight million dollars. He owns a big Mission Bell Winery and all."
I said, "I don't care what he owns, sir; my Father owns the cattle of every hill and He... I--I don't have any need of the money."
And he said, "Well, I was just seeing your mother's home and yours here, the parsonage," and said, "you could use it."
I said, "Yes, when I need it, Father will send it to me. But I--I don't need it now."
And I refused to look at it: A million five hundred thousand dollars in one offering. I'd rather take fifty cents or a dime from so-and-so, and so-and-so, and let everybody have a part in it, then to take a big lot of money. Heartaches, troubles, and then you think, "Well..." It's just too much, the curse of the love of it. And I--I was born poor, raised poor; my people are poor; I want to die poor. The only thing I want to have when I die is favor with God; that's all I want. I brought nothing into this world, it's certain we take nothing out. That's true. So what we get from the line of God, is only thing we can take with us. So if you ever want to pray for me, it's not to have money, not to have big homes, or be popular, but just pray that I can stay in the hands of Christ, mold, clay, that He can mold me, and use me, in any way that He sees fit to do it. I'll pray the same thing for you, that you'll be the same way.

E-10 Now, perhaps, pretty soon, I'll be brazing the fronts of Africa, different parts of the world again. I always ask this at my meeting. Things are going hard... You can imagine how they go sometime. You'll never know, Christian friends, no, you'll never know what it is, a life of this type. Some of you think it's all flowers; you don't have the least idea, my dear brother, or sister. I wished I could swap my position today, if it be pleasing to God, for some minister who come just preach the Gospel and walk out and make his altar call, instead of having... going through this. Well, you don't know what it is. But that was my life; that's what I have to do.

E-11 A few years ago when I left on my first trip, my little girl Rebekah was remarking one of my going out. I was gone six months before returning. I'd just go from place to place. I stayed eight days and nights and never left the platform; I said, "I'll pray for all of them or die here trying." Well you, no need of trying, there's more at the end than there was when I started. The prayer line constantly going all the time, thousands and thousands coming through the prayer line. They'd bring orange juice; I'd sleep, put my head up against the pulpit, and sleep, and start the prayer line again. Stay right there with them. They'd stay right standing in the rain and everything, waiting.

E-12 When I got home, my little girl didn't know me. I was a stranger. She said... Her mother had been showing her my picture. But when I come home I'd lost my hair; my face was wrinkled, drawed up; I'd lost about twenty-five pounds of weight. That wasn't her daddy. That like to killed me when I know my own child wouldn't know me. Well, that's the way it's been...?... with Billy. But I know Him. I want Him to say on that day, "You done the best you could, so it'll be all right," as long as that's all right.

E-13 Some woman said to me not long ago; she had followed several meetings and tried to get in at different places to be prayed for, poor thing. Finally she got in; she was prayed for. When she started to leave, she just broke down, started weeping, said, "Brother Branham, can I ask a question?"
I said, "Sure, sister."
She said, "When do you ever get any rest?" This is about four o'clock in the morning. Said, "When do you ever get any rest? Look at that group of people that are still waiting."
I said, "Sister, when I cross over on the other side, that's when I want to get rest."

E-14 Here we can't rest here. The sun's a setting; souls must be saved; something's to be done. If it's to ever be done, it's got to be done right now. I believe that. And I--I want you to pray for me, that God will keep me so that He can use me. I want Him to say whenever He wants something done, say, "I got a servant I can put My trust in; he will do what I tell him to do." That's what I want to be.

E-15 And you don't know, I look around, think of the sick folks, look around see these gray headed men setting here, and women. Wished I had time to give you my view on what's going to happen to me someday, out of the Bible. I can prove it to you; you're going back to young men and women again. But when I see the way you are, and see some of you get sick...?... bad sick, heart trouble. And that's number one killer.

E-16 A crippled person, I've noticed, I'm so glad for cots and things has emptied up at night. But you see a crippled person, they might live an ordinary life like that; it's awfully hard, sure it is. But a man with heart trouble's got to have something done right away or he's going to die. See? The man may have a good heart and good lungs that's crippled; he will live. But this other fellow's got to have something done immediately or he's going to die. Tubercular, cancer, that's the thing; that's the killers. Crippled doesn't kill you, but them things is what kill you. When I think, "What could I do for the person? What's my best approach? What--what can I do?" Then that gets me. The only thing I can do is--is to, by a gift...

E-17 If I knowed that coming down, getting each one of you in my arms, and hugging you, and--and praying with you, and getting down on the floor, or take a quarter and lay it on the floor and push it with my nose all the way over these cities and back, I'd try; I sure would. But that wouldn't do you any good. The main thing is for you to get faith up here in Christ. See? And the little humble gift that He has given me, is to bring your faith up to meet that. I hope you always understand that. And maybe if you don't understand, just pray and I'm sure He will let you know it.

E-18 Thanks to you for the offering. Is that... That was right, wasn't it? Thank you Brother Par--Parton, I sure appreciate it. To you and all your members, all you people, the members of the Body of Christ. I do. I'm not worthy of your offering, that's right. But I have an awful expense. My office and home runs a hundred dollars a day right there whether I'm preaching or not (See?), a hundred dollars a day. I have no income at all, no sponsors of any denominations, nothing at all, no underwriters, nothing, just the free will offerings the people sends and give me. And sometimes I go hundreds of dollars in the red. And then maybe I get a good big love offering somewhere of four, five, six hundred dollars, maybe a thousand, two thousand. I have gotten as much as five thousand in an offering. What I do, I go to my secretary and say, "How much do we need?"
Say, "Well, Billy, we're about fifteen hundred in the red."
I say, "Well, go pay it off. Now, how much it going to take to run till we get this other?"

E-19 "And it'll take another five hundred to run till you go to the next meeting." Well then the rest of it, put it in foreign missions so that I know... Then when it's got enough built up there, enough momentum built up, I can go overseas and preach to them poor little naked, starving, heathens, and things, and see them led to Christ. Then I know I'm just a steward of God's money and I got to give an account for what I do with it. And I know then it isn't given out to some--something to be rode around and taken on safari trips and things like that. I know it's done gone to the Kingdom of God. That's right. And then where--when I answer it'll be the best that I know how to do. Because I take the money and preach the Gospel with it to the heathens.

E-20 And I know you're right there. Every missionary is always right. "Go ye into all the world and preach the Gospel to every creature," that's general orders. So you're always right. And I'll assure you this, friends, every penny... Some of you mothers and dads got little kiddies and things, I hope you didn't hurt yourself in doing that. I hope you didn't. And I pray that it'll return to you a hundredfold. And then, I'll assure you that every penny will put to, best of my knowledge, to the Kingdom of God.
I got children to feed; I got a home to be taken care of and things to do. But everything outside of that, I'll put it right to the Kingdom of God to the best of my knowledge. Thank you for your confidence to believe that I'd do it. The Lord bless you.

E-21 Some more handkerchiefs are here to be prayed over. Just remember, write me any time. The night never gets too dark, or the rain never falls to hard, but what I'm ready to do for you what I can do. So you just write me at any time; ask for a cloth or--or contact by telephone somewhere where I could get to it and pray for you. I couldn't come to your home 'cause... 'Less an...?... the Holy Spirit would give a vision, I'm constantly on the move with that all the time. But just say, I'd come to your home, you can imagine how many... We was estimated the other day that we come in personal contact with over ten million, so you can imagine of what that would be. See, you couldn't hardly make a statement and be just. I would like to do it, but just can't. And I'm sure you--you good people understand that. Hope to be back with you again sometime. Now, thank you again if I...
And I want to comment the ushers, the musicians, the lady that plays the piano here, and all, for all you--all you've done; you've just been real nice. Thank you.

E-22 And to you pastors, you cooperating pastors, God bless you. All of you get your hearts together now and let's come back again and all be together and have a great big meeting. All you Methodists, Baptists, Pentecostals, Full Gospel, Foursquare, all of you, let's be together. We're going to be together up there, so let's get together down here and work for the Lord together. Don't you think that's right? Yes. Let us speak to Him now while we pray for the handkerchiefs.

E-23 Dear heavenly Father, God is a looking here and even our little automobile, little toy of some child... O God, poor little fellow, maybe he didn't have a handkerchief, because I prayed over his little toy, while he was playing with it, it'd be healed. Will You grant it, Lord? From the depths of my soul I ask Thee to hear my prayer.
Here's little handkerchiefs and parcels; they're going to those who are needy. O God, look down, please God, grant that every one of them will be touched by Your power Divine, they'll get just what their asking for. Maybe some of them is for homes that are fixing to break up, Satan separating mother and dad. O God, come to them quickly; put Your arms around them, Father, and let them know that in the garden of Eden You made a helpmate for a man, husband and wife become one. Don't let it happen. Bless all these things. Grant it. Get glory out of it all, Father. We ask it in Jesus' Name, Thy Son. Amen.

E-24 Gypsy Smith once said, they took up a love offering for him one time and he said... It--it was a lovely big offering; it was in London, England, I think, maybe down at the Royal George Hall, somewhere he's holding his meeting. And he said after it was all over and when he started to leave that night, there was a little ragged girl standing on the back of the step. Said, "Mr. Smith, I didn't get to give you my love offering with the rest of them 'cause I couldn't get in. But I thought maybe I'd just give you my love offering here."
And he said, "Thank you, honey."
When he was coming in he opened it up, it was a little paper, had a little note on it: "Pappy give me this lollipop about two weeks ago, and my daddy was saved in a meeting from being a drunkard, and this is my offering."
He said, "Of all the money the people give him didn't mean anything like that, that poor little ragged child."

E-25 That's all she had. She thought maybe he could enjoy the lollipop or had a child somewhere. The simplicity of children teaches us a lot of things, doesn't it, just how simple? You seldom see God turn one down; He just can't. They come so simple like. That's the way we should be.
You're so nice, I could talk to you all evening, but I got six hundred and something miles to drive right now, soon as this is over, to get back to Charlotte to begin next Wednesday night. Pray. And the brother, I believe it's the Fox Theater up there. Come up and see us, we'll be glad to have you come up. I want to try to bring my wife and little Joseph back. We never get a... My two little children, three I have... Billy was from another mother that's gone on to glory many, many, years ago when I was a young Baptist minister. And I been both mother and daddy to him, and we been chums together, and he sticks with me, goes around, helps me, and been a lot to me. And pray for him too. And years I was single, and I remarried again. I have three children: two little girls, little Rebekah, Sarah, and Joseph.

E-26 If there's any--if there's any credit to be given to the Branham family, give it to Mrs. Branham. Thirty-seven years old, completely gray headed, she stood between me and the public for these years, the buffer at the door, everywhere. Where a lot of even fanatic and things which has come up with, they trying to curse and say if they don't do so-and-so... Poor little fellow's so nervous she can hardly get along. I'm going to try to bring her out because you're such a lovely people here in Carolina; I want her to meet you, and you to meet her. We take the little girl out of school next week, God willing, to bring her along for the time.

E-27 Now, to speak to you just a little from the Word, if you'll pardon it; we'll pray for the sick. Always remember, friends, that I say this, and I take it on record, you see these recorders are going on. Watch Him what He says. See? A vision does not heal you. A vision is what God is showing to build your faith to a place to accept the finished work of Christ at Calvary. How many knows that? Now, how many thoroughly understands it? See? There's nothing I have to heal you or the vision won't heal you.

E-28 Now, a vision will come to build a person, a lot of times I see you're going to die; I never say nothing, maybe just "The Lord bless you, go on." I say it that way so that, you know, even if death has been pronounced upon a human being, sometimes prayer can change death. Did you know that? The Bible said so. Well, it did happen. Hezekiah was laying sick, and the prophet Isaiah, he was a prophet of God, went up and told him he was going to die, he wasn't coming off the bed.

E-29 So Hezekiah turned his face to the wall and wept bitterly. Listen to his prayer. "Lord, I beseech Thee to consider me; I've walked before You with a perfect heart." That's the way to pray. "I've walked before You with a perfect heart." God spared him. How embarrassed that prophet was to go back, taken back all he said. He went back and said, "God's heard your prayer."
Now, listen, who is the biggest man in the nation? The king. Well, why didn't He speak to the king then if the king was speaking face-to-face with Jehovah? The conversation was between the king, or the king was speaking to Jehovah. Why didn't Jehovah speak right back to the king? 'Cause he's the highest man in the nation, and the king of the greatest nation in the world. And there the greatest King of heaven, the King of kings was speaking back to the king, or the king of the earth was talking to the King of heaven. And then He goes back and sends His prophet back around. Strange, isn't it? See?

E-30 I... You probably won't forgive me for holding you like this...?... Just--just showing you something, friends. Excuse me for saying that: explain something to you. God has certain ways to work. How many understands that say, "Amen." [Congregation says, "Amen."--Ed.] All right. God has certain ways to work. And you got to work according to His way of working. See? You can't go in your way and your thoughts, and--and you got to go His way.

E-31 Now, listen at this, let me give you a little illustration. Here's a--a crop over on this hill, and it's just burning up for water. Can you hear me? A crop on this hill a burning up for water, and over on this hill (you own both hills), and over here's a artesian well just spurting up water and going to waste. Now, what if you stand out there and say, "I want this water to come over on my crops. Water, I command you to go over there on my crops. Water, I command you to go over there on my crops." It'll never go over. Certainly not.

E-32 But there is a law of gravitation. Now, you can get that water over here if you'll work it the right way. If you'll work according to the laws of gravitation you can bring that water round that mountain and throw it right on this side and irrigate that whole crop. Is that right? You stand out there screaming, "Water, come over here, water, come over here," it won't do it. But if you work according to the laws of gravitation, you get your water over there. But you've got to work according to the laws of gravitation.
Now, Benjamin Franklin once said that there's enough electricity in a room to blow it up, if the--the heat and so forth was separated. And the heat from the cold, making the lightning, or the electric...

E-33 Now, what if you stood out in the middle of one of these great big woods some night out here on the mountain, and you were saying, "Oh, electricity, I'm lost out here; I can't see a thing; they're--you're here electricity; I know you're here. So all you electricity, come on, and light up the way, and make me a way out."
The electricity's there; that's true. But you don't get it that way. You have to work according to the laws of electricity. Is that right? If that electricity is brought down, run through a generator out to a light, it'll light the way to show you out. But you got to work according to the laws of electricity.

E-34 The same way it is by God. Here's a sick man dying; the doctor can do no more for him. But he can't just holler, "Hey, Jesus, I want You to come and heal me," say, "I'm going to do this." That won't work. You got to work according to the laws of the Spirit. That's right. See, you got to work according to God's laws.
Now, I'm going to read some out of His Word and then we're going to speak on the Word for a few minutes and have prayer service for the sick. In Saint John 14, and beginning with the 5th verse...
Thomas saith unto Him, Lord, we know not where Thou goest; and how can we know the way?
Jesus saith unto him, I am the way, the truth, and the life: no man cometh unto Me but by--or to the Father, but by Me.
If you had known Me, ye should have known My Father also: and from henceforth you know Him, and have seen Him.
Philip saith unto Him, Lord, show us the Father, it'll suffice us.
Jesus said unto Him, Have I been so long time with you, and yet hast thou not known Me, Philip? he that hath seen Me has seen the Father: and how sayest thou... Shew us the Father?
Believest thou not that I am in the Father, and the Father in Me? the words that I speak unto you I speak not of Myself: but of the Father that dwelleth in Me, He doeth the works.
May the Lord add His blessings to the Word. I'm going to speak this afternoon for the next twenty minutes, or so forth on "Show Us The Father, and It'll Satisfy."

E-35 Now, if God is such a great person, why can't we see Him? That all... That right? Now, we're going to see if I can make God, bring God, rather, to your--so you'll be sure to see Him right here this afternoon. Would you rejoice in it? Now, if God's such a great person, why can't we see Him? If He's the Maker of the human being, why can't we see Him? And Philip said, you know, "Show us the Father and it'll satisfy."
Now, I'm going to take four ways of seeing God. Wish we could take a hundred, but I'm just going to take four ways, and hurry right through them, and see if we can't see God. Now, we're going to speak of God in His universe, God in His Word, God in His Son, God in His people. And now, let's see if we can see God.

E-36 Now, it's many times it's been said that no man can see God at anytime, the Bible said so. But the only begotten of the Father has declared Him. Philip, here was very inquisitive; he wanted to see the Father. Says here He said, "I've been so long with you, Philip, and you don't know Me?" Said, "When you see Me you see My Father."
In other words, you see the Father express Hisself through the Son. Him and the Father were one in the sense that His Father was dwelling in Him, not Him doing the works; He was a Son, Himself, the immortal, virgin born, Son of God. And then in Him was dwelling the God the Father, expressing Hisself to the world, His attitude towards the people. See? Well, that's how Christ and God were one. God was in Christ reconciling the world to Himself. Now, He said, "When you see Me, you see the Father, and why do you say, 'Show us the Father?'"

E-37 Now, let's look at God in His universe. We take the great cycle of the world. Did you know, no man up to this day, or no science can prove what makes this world turn the way it's turning? Did you ever try it? They have many times to swing a ball into the air and make it whirl, and it won't stay in the same category. It'll be slowing up or speeding up; it'll never stand the same one split second, on the same turning, because it's whirled by a certain motion.
But this world is turning so perfectly that even they can tell you when the moon and star and sun will go into eclipse twenty years away. That's perfect. There isn't a piece of machinery in your automobile, or no other piece of machinery anywhere, will operate that perfectly. They can tell you the very minute, twenty and thirty years away when the sun will go into the eclipse, timing it by the revolution of its turning. How wonderful, how it sets there. And I said, "What is gravitation?"

E-38 No one knows. It's something a turning it, they don't know why it's a turning? But it's perfectly turning. If it would move just a little bit towards the world, it would burn up. If it went a little bit away from the world, it'd freeze up. But it stays just perfectly. And the summer and the winter and the seasons comes perfectly. That's shows there's a mastermind behind it. There has to be.
Here sometime ago, I was talking to an infidel. I was in Colorado. We were going back across the mountain. And I was walking along, trailing along an elk. And he rode up, and--on his horse, and he said, "Hello."
And I said, "How do you do, sir?"
And he said, "Where you going?"
I said, "I'm going back to see... The ranger sends me back to a--a camp back here, the cow camp."
"That's top of the hill," he said, "follow this--this trail." Said, "What are you doing?"
I said, "Trailing an elk."
He said, "I don't want to lie, tell you you're a liar, but you're trailing a cow."
And I said, "I've hunted enough to know the difference between an elk and a cow." See? And he said... "Elk don't have a foot like that, or a cow don't have a foot like that; it's an elk track."
He got down and looked at it again, said, "Well, maybe you're right." He said, "You hunted before?"
I said, "A little bit."
He said, "Where you from?"
I said, "Indiana."
He said, "What's your occupation?"
I said, "A game warden."
He said, "You're not even welcome in the country," real rough, hardboiled.

E-39 I said, "Well, I'm here anyhow." I said, "Bob Steel sent me back here which is the Interstate Game Commission. I'm back here to hunt a grizzly bear."
He said, "There's no grizzlies back here."
I said, "He said there was. I'll take his word for it."
So, he said, "Can you ride?"
Now, you have to be careful when saying that. And I said, "Oh," I said, "I rode a little bit." And I said, "I'm no rider though."
Said, "Think you can ride this horse?"
Said, "Yes, sir."
"Well, jump on." He said, "And you're a game warden?"
I said, "Not of this country." 'Cause I knowed if I'd been, he was a violator. So I said, "Not of this country, of Indiana."
And he said, "Well..."
I said, "I have got nothing to do with your laws here. I'm just back here as a courtesy; I'm hunting this bear."
And he said, "Well, I don't believe the bear's back there."
And I said, "Well, we'll know more about that when I hunt him."
And he said, "Get a pretty good wage?"

E-40 And I said, "No, not much." I said, "See, the reason I'm a game warden," I said, "I do that for my occupation, for a living, but I am minister."
He said, "A what?"
I said, "A preacher."
He said, "You look too intelligent for that."
And I said, "Well now, sir, that's the most intelligent thing that I know of."
And he said, "Now, you believe that virgin birth?"
And I said, "Yes, sir."
He said, "I want you to tell you the first place; I'm an infidel."
And I said, "Well, that's nothing to brag about."
And he said, "Well," he said...

E-41 A... I said, "I don't mean to get back at you; I'm riding your horse." But I said, "I just want you to know, tell you this thing, that you're a fallen brother, and you're--you should be straightened out."
Said, "You straighten me then. You straighten me on the virgin birth, I'll accept it." He said, "I don't believe there's one word of it true."
I said, "You don't?"
He said, "No, sir, it's against all scientific proof."
I said, "What books have you read?" He'd read Darwin, the "Ethics of Darwin" and so forth. I said, "Yeah, but you haven't read the right Book."
"Oh, I've read the Bible too."
I said, "Well, you don't believe It?"
He said, "Look, preacher,..." After about a hour's discussion, he said, "There's not a possible way in the world for that to be." He said, "It's against all scientific..."
I said, "You'll never know God by science. You know God by faith."

E-42 And he said, "It's against all scientific rules." He said, "Look, there has to be actual a contact between male and female even to a corn, and to fruit, and everything else, the bees packing the pollen, everything." Said, "It has to be." Said, "It has to be." Said, "It just simply can't be."
I said, "Well, you were telling me how the world got here, how the sun and moon slicked off of the piece of one another, just spilling out here. Where the--and how the first man was a sponge, and he become a monkey and so forth, all that." I said, "Now, all those things, there's... You have to believe that by book. And I just--I--I got faith enough to believe that. I just believe what God's said is the truth."
And he said... I said, "And you don't believe that that could be a virgin birth?"
He said, "No. The first place I don't even believe there's anything to make it a virgin birth."
I said, "Almighty God, the Creator."
Said, "I don't even believe in one."

E-43 I said, "Well, then you're in awful shape, sure enough." I said, "I want to ask you something." You know mama always told me, an old saying, "Give the cow enough rope and she'll hang herself." And that's right.
"I want to ask you something. Will you admit now that He had a mother, according to the Scriptures?"
"Yes, Mary was His mother. But it's impossible for be a Creator Being (See?), that created Him, He had to have a actual contact with a earthly father, which you claim was Joseph or some other man."
Said, "That's exactly right."
I said, "No man could come here by a mother without having an actual earthly father."
He said, "That's correct."

E-44 I said, "Then how did the first man get here, let it be monkey, tadpole, or whatever it might be; he had to have a papa and a mama both according to your sensation?" He's never answered me to this day. That's right. See, you have to believe that He is. I said, "Brother, your ideas are thinner than the broth made out of a shadow of a chicken that starved to death." I said, "You--you just haven't got nothing to stand on, 'cause that's wrong."
And now, the man is a staunch Christian, loves the Lord Jesus. I led him to Christ about two or three days after that. The man only camped back one night, about one o'clock when he looked at the stars hanging right above him.
Now, you see, you have to know God. God's in His nature working. How could that flower there, what would make that flower yellow, and the next one white, and the next one blue? How do they die and come up again? How did God move this great...?...

E-45 Did you ever stand and watch the sun go down and something come over you and just cry? I did that a many time. Here some time ago, I was speaking somewhere. Few days ago I was telling about it. I hope it wasn't here. But anyhow. I was hunting elk one fall, way up on top of a mountain. And it was cold up there. And in the fall of the year the rains come, and then the sun comes, and then the--the snow comes and melts it off. It's just stormy like. The elk herd was way high.

E-46 I love the mountains. My--my mother's mother was full blooded Cherokee Indian out of the valleys here, and my conversion never taken that away from me; I love nature. Because I see God in nature. How can a tree shed forth its leaves and--and all of its life run right down into the other house, and live down here till winter's a passed, then come back up and produce leaves and apples and things again? God has to do it. Certainly, anybody that's mentally right would know that. God's in His trees. God's in the sunset. God's in the little bees. How did you get air condition? Found it from the bee. How he packs the pollen, goes in there... He only lives six weeks. His little wings flops back and forth all night long where he totes water, some of them brings water, and he works himself to death. His little wings gets brittle, he drops off, and the birds pick him up. Six weeks is--is his normal life for a bee. And how that God moves through His nature, and watches it, how He does it.

E-47 Up there this year I was walking around, and there was a... If you'll just look anywhere, you'll see God, if you'll just believe it. And up there on the mountain I was going along, not so much to hunt the elk and things, my, no. Just to get to myself, out of the meeting, here alone, get the rifle in your hand, a pair of moccasins on, take off, hike thirty-five, forty miles a day, through the snow cliffs and around just everywhere, be by yourself, be alone, where you could stop and look around and see Him. Set up on top the mountain.
Florida, I hope I don't hurt your feelings, you from Florida. When I took my first visit to Florida and crossed the line, I signed my part of it over at the Seminole Indians. All that there artificial makeup puts me to the mind of a woman trying to be pretty with a lot of Max Factor on her. That's a shame. Yes, sir, she's artificial. Get her on a wash stand; she won't look that way. And that's what I think about Florida, all made up, and that's--that's not nature. I like to look at it the way God made it, way He had it in the beginning, the great hills, beautiful. That's the way God made it. And you look at God in the nature there, and you can see it.

E-48 So one day, walking along, there come up a storm, and I got behind a tree in and a old blow down way up high, because the elk herd never come down yet. The storm hadn't been severe enough to run them down; it's dry down the bottom; it has to take stormy weather to run them down. So I got behind the tree and was standing right like, this behind the tree till the storm blowed over.
After the storm blowed over... It turned cold during the time of the storm, when the twister went through. And I looked, and where the--it all froze, where the water froze and icicles hanging on the evergreens, you know; they was all froze over like chunks of ice. Way back over into the western country, between the crevices of the rock, the sun was setting. And I looked, and there formed a rainbow across the big valley there, where it way high. I was probably forty, fifty miles from a living human being. And there, that great beautiful rainbow, and I said, "O great Jehovah, how great You are. There's the sign that You'll never destroy the world with water." Rainbow means a promise. I looked at that and I thought, "O God, surely You're up here in the mountains. How wonderful it is."

E-49 Just then I heard something. I stopped as any hunter would, listened, it was a bugle. What was it? Was a bull elk; he was lost from the tribe. They begin to bugle over here; the storm had separated them, and they were bugling one to another. And oh, my, as David said, "The deep goes to calling to the deep."
Way back over on this side of the mountain the old gray wolf got to hollering. The mate answered it down in the bottom. Now, you talk about a man crying; it'll make you. There's something about it; you love it. There's something that moves. I was standing there, saying, "O Jesus, Son of God, how great You are." That's a great awesome God that we have everywhere you look. I could hear Him in the elk herd. I could hear Him in the timber wolf. I could see Him in the rainbow. Everywhere you look you can see Him. How beautifully it is to watch Him. You have to get it in here first.

E-50 A little boy in our country was, used to, he went to the church; and he'd got to hear about what a great Fellow God was. So he said, "Mama, can any man see God, He's so great?"
She said, "Ask the pastor, honey; how would you expect me to know?"
Well, she went--he went to the pastor, said, "Pastor," said, "could any man see God?"
Said, "No, son, no. No man can see God and live."
He went to his Sunday school teacher; she said, "No, no one can see God and live."

E-51 He loved nature. There's a island just above us called a Six Mile Island. And old man fished up there, just gone to glory recently, old white beard and white hair. One day the little boy had been with him up the river. Coming back down the river it come a rain, and the sun was going down in the west and causing a--a rainbow in the east. As the old fisherman tipping along with his oars, tipping the water as only a boatman can appreciate nature. And when he begin to tip them like that, the first thing you know, making a noise as he tipped along like that, he looked up, all the leaves was washed off from the dust in the midsummer, and seen the rainbow. He set pulling again, he'd stop his oars, and let them tip as the boat sailed along.

E-52 After while, the little boy, setting in the stern of the boat, noticed on the old fisherman's face, tears rolling down his white beard. The little boy got all excited; he run up to the middle of the boat, fell down at the old fisherman's lap, and said, "Sir, I'm going to ask you a question my father could not answer, my pastor could not answer, my Sunday school could not answer, my mother could not answer."
Said, "What's that, sonny?"
Said, "If God's so great, why can't we see Him?"
He just pulled the oars in his lap and commenced crying, put his arm around the little lad, he said, "Sonny, all I've seen for the past forty years has been God." See?
So much God in the old man's heart, that he could see Him everywhere he looked. If you get Him in here, you can see Him out there. That's right. He will use your eyes to look through. You'll not see harms, and dangers, and faults, and things, you'll only see God, wherever it is.

E-53 I remember standing there by the side of this tree, to finish the story of that 'fore we go to another subject. Standing there beside the tree, I was just a praising God. I lifted up my hands and started crying. You're--you'll probably call me a holy-roller anyhow, so you might as well get used to it now. I ran around that tree just as hard as I could go, screaming at the top of my voice. Why, if somebody come there, they'd thought somebody was there out of the insane institution, or the Salvation Army was out there in the woods. I was screaming, and a running, and a hollering as hard as I could. I had to give vent to my feelings. God was all around me. There He was in the rainbow. There He was in the wolves. There He was in the elk herd. There He was everywhere. I said, "O Jehovah, oh, I love You." And around, and around, and around that tree I went again just as hard as I could.

E-54 I looked out; I seen the sun setting; I said, "Oh, Your all-seeing eye, You watch over me. There You are hollering up yonder in the wolf? There You are bugling in the elk. Oh, You're everywhere, Jehovah." And around and around that tree I went again. I couldn't help it. There was something in me called out to worship. I was in His Presence in the greatest cathedral I ever set in in my life, God's great cathedral. Hearing them pines come together, that whisper in the pines singing, "There's a land beyond the river, that they call the sweet forever." As it was singing like that, them pines a whispering, oh, I thought, "That's right, Lord. Hallelujah." I said. That great land somewhere. And I was a worshipping. And I stopped. I was just having a great big old fashion jubilee by myself. But I didn't care who heard me. I was worshipping God. So I stopped a few minutes. I thought, "Oh, how wonderful."

E-55 I begin to hear something. I looked over to my side, and there set a little old pine squirrel. I don't know whether you have them here or not. That's the noisiest thing in the woods. And there it was setting up there with that little tail throwed up going chatter, chatter, chatter, chatter, chatter, chatter; chatter, chatter, chatter, chatter, chatter, chatter, chatter, chatter, like he was going to tear me to pieces. I thought, "Did I excite you, little fellow? Didn't aim to." But I said, "Oh, you're...?... like I did. Hallelujah. Hallelujah." And I said, "Oh, how wonderful."
And he kept chatter, chatter, chatter, chatter. His cotton blue eyes looked down like that. I thought, "You're not watching me." And all at once I noticed a great big old eagle had been forced down in the storm, under this blow down; and he jumped up there, looked at me with them big gray eyes, looked back at that little pine squirrel. I thought, "Now, God, You're in the wolf. You're in the elk. You're in the sunset. You're in the wind. You're in the tree. You're in the rainbow. What did You break this up for? Now, what--what--what--what's in that eagle? What--what's that pine squirrel got to do with it? Me here worshipping You, and something like that happens."

E-56 I looked at this big eagle; I thought, "Well, what makes him so brave?" I thought, "Say, fellow, are you scared?" He just... I seen he wasn't scared. I thought, "There's God right there." God's not a coward. And He can't use cowards that's afraid to testify of your healing or your salvation; He can't use you; you're no good. See? He's got somebody that's got a backbone in them that'll stand up and say right's right and wrong's wrong. That's the kind of people He can use. That's admired by anybody. That's admired among men by women. No matter how ugly she is, or what she might be, he will admire her if she holds her place, don't care what she is. That's right. It's admired among many, among soldiers, everywhere. It's among--in God's army, how that God admires, like David after His own heart.

E-57 I seen this old eagle setting there. I thought, "I admire you, but really, are you scared?" I thought, "You know, here sets my rifle; I could shoot you?" I wouldn't do it for nothing. So I said, "You know, I could shoot you?" That didn't bother him. I thought, "I believe I'll just find out how if--if he will jump if he knows what that rifle is." I grabbed that rifle. When I grabbed the rifle, he looked at me like that, snapped them big eyes, looked at me. But he wasn't worried about me. Look like that little chipmunk was getting on his nerves, that little pine squirrel, get that little tail throwed up, going chatter, chatter, chatter, chatter, chatter, chatter, chatter, chatter, chatter. And I thought, "My, my, you're a noisy little fellow." And I thought, "Why ain't you scared? What makes you not scared?"

E-58 Well, I happened to notice, he kept doing like this, you know, with his wings. "Aw," I said, "I see it." See? God give him two wings; that's God's provided way for him. He knowed before I could get that rifle to my shoulders, he'd be in that brush. See? He knowed where he was standing, so he wasn't scared.
And if God will give an eagle that much courage with two wings to go to safety, what would He do to a man that's filled with the Holy Ghost? What ought that to do, as long as He's present?" I thought, "That's right."
So after while he got tired of looking at that little old pine squirrel, or listening to him, so he just made one big jump, flopped his wings a couple of times, and he was out of the bushes out into the midair. And then I cried. He never flopped any more; he never tried to flop his wings and get away; he just set his wings. And every time that air would come in, he just knowed how to set his wings out in that air, just lift him up. I watched him. The air come in it lifted him up, lifted him up, until he went plumb out of sight, leaving that little old pine squirrel setting there cursing and going on the way he was. I thought, "That's it, Lord, not a jump, jump, here, run, run, here, join the Methodist, join the Baptist, come back to this and be baptized this way, that way; that isn't it. It's just setting your wings of faith, in the humble...?... of the Holy Ghost comes in rise from it, on and on, on and on, plumb out of sight, leaving this old earthbound doctrine here, "Chatter, chatter, chatter: Days of miracles is past. Chatter, chatter, chatter...?... Chatter, chatter, chatter, Don't get the Holy Ghost." Leave it, soar away, go on and set your wings, ride away. God sends the winds down, ride up on it. That's right. Get away from this earthbound chatter, chatter, "This can't happen and that can't happen." I said, "Lord, that's it."

E-59 That's it, friends. God in His universe. He speaks out to His people. You believe that? Now, we have to hurry; we can stay on that for hours. God is in His Word. Do you believe that? Every Word of God is a Seed. Jesus said so. The Word is a Seed. And what the seed is, it'll produce just exactly what the seed is. If you...
In the Bible He was called Jehovah-jireh, Jehovah-rapha, and Jehovah our banner, Jehovah-manasses, all those redemptive names, all that was promises, Who Jehovah was. Every Divine promise of God will come to pass if it fall in the right ground.
Here's what happens, here. Many times people, I notice in the meeting, watching these tapes as they come back through the lines of discernment. The people will be setting there, look like they're a million miles away. They don't even be... They don't think of something... They're even thinking about healing. But it's not their intellect here working; it's their subconscious a working. Your subconscious is your soul.

E-60 Now, not long ago, to show you how perfect God's Word is, the Bible said, "As a man thinketh in his heart (Is that right?), so is he." The old, old time infidel used to say, "Now, isn't that crazy? Why, there's no mental faculties in a man's heart. It's a little pump that pumps blood. He can't think in his heart. He thinks in his head. So the Bible is wrong according to that."
Last year, along about January of last year (two years ago it is now), I was in Chicago, and a great big headlines in the paper said, "Science has found..." listen to this, "Science has found in the human heart there's a little compartment that doesn't even have a blood cell in it. It isn't in the animal; it's only in the human." And they say, "It's the occupant of the soul." So then a man does think from his heart; God was right. Has it been... Now here. See, in--in here you say, "Now, let me see. Yes, that says that, but I wonder if that was for me. Hum! I just don't know whether that was or not." That's reasoning. You can reason with this.

E-61 That's the reason with preachers today that they don't believe in Divine healing...?... Salvation has never come down in their heart; it's only in their head. They've went through seminary, where they had all the theology. They ought to forget it all and follow Christ. How can you believe when there's nothing in you to believe with? It's only a mental theology.
Just recently we had a woman in Louisville, Kentucky, and she was a--she was around our church there, a pretty good girl. But a--a big fine church, a Methodist church. I always thought that the girl didn't have it, wasn't right. But she married some old boy that was really a good Christian boy full of the Holy Ghost. They went off, and after they'd got married. And her father was a deacon in that church, a fine man, Spirit-filled man.

E-62 And so she wandered around out in the country; and first thing you know, they, something arose, and his--his job called him to go to another city. When he went to another city, then he took a job there, and she, she's a pianist, so she become the pianist in that church. And come to find out, that Methodist church wasn't very spiritual. And noticed that all, nearly all the women smoke cigarettes. Shame on them. Biggest fifth column move the world's ever had. Wished I had time to dwell on it. Preachers will do that though.
Look, I've got my opinion of women that smoke cigarettes. And I sure have. I had it when I was a boy, and I never changed it. Oh, that's the littlest thing you ever done. That was the greatest harm to this nation and to motherhood that's ever been done. Statistics shows that eight, that, I believe about eighty or ninety percent of the children that's born, if a mother nurses them and don't give them a... 'less she gives them cow milk, she'll take nicotine poisoning, the baby will, and never live eighteen months. Talk about a fifth columnist, don't you worry about Russia coming over here and getting us. Russia ain't going to get us; it's our own rottenness that's getting us. That's what it is. It ain't the robin that pecks on the apple that hurts it; it's the worm at the core. That's exactly right. So that's--that's the other side, these preachers will tell you about that.
But now, that's what you need today, is a good old fashion house cleaning in the church (That's right.), get back to good old Saint Paul's revival and the Bible Holy Ghost again. No wonder we're in the corruption that we are. Certainly, it is. Just feel the Holy Spirit make you push it out anyhow.

E-63 Notice, and then all...?... this, this girl, she started smoking too. She begin to reason. "Why, if the other women could do it; they're well thought of, why can't I do it?" And begin to notice her neighbors, all of her sisters in the neighborhood, wear these little old scandalous clothes. And of course, you know, you have to wear them out when the man's coming in from the, you know, from the factories and things. You just have to get out the yard. You have... You don't appear before men like that; you don't appear before God like that; you're doing it to appear before man. And you mothers that let your kids do that, you ought to have a good old fashion time of posterior protoplasm stimulation added to you. That's exactly right.

E-64 What we need today is some good old fashion mammy's that would... I said I got two girls; they may lay stretched out, one of them one time too to get a suntan. They'll get a son-tan. But it won't be from that sun out there; it'll be with Mr. Branham's son with a barrel slat just as hard that I could reach them. They'll have a son-tanning all right. That's right. Be my father's, son doing it too. Yes, sir, it's a shame how you let down the bars. You Methodists, Baptists, and Pentecostal too... Certainly. Used to be wrong in the church, but now, oh, the devil might've went out of fashion, but he didn't run out of business, I'll tell you that now. Hallelujah. I feel religious.
Let me tell you, brothers, what we need today is a good old fashion taking the fire out of furnace and putting it on the altar again, get it right back out to the hearts of the people and--and the revival started. It was wrong then, it's now. That's right.

E-65 Notice, there, she begin to wear those little clothes. Her husband said, "Dear, I don't believe..."
"Now," she said, "Look, if Susie, and Ella, and all of them can wear them, why can't I?"
See, right down in her soul, it said, "That's wrong." Conscience will tell you that. But what did she do? She went to her intellect, to reasoning. "Well now, if the others can do it, why can't I do it? They're well thought of; they're all Christians; they go church. Why can't I do it if they do it?"

E-66 Now, you see, the Bible commands us to cast down reasoning. See? Like some preachers don't believe in Divine healing. like some people don't believe in the supernatural. Only thing they got is intellectual reasoning. Listen, this soul in here is God. And God will agree with His Word every time. He will not reason It; He will believe It. And when you believe it from your heart, the Bible said you'll have it. That's what it is, you're trying to make reason take it, when it's your heart that has to take it.
First thing you know, she begin to... A little slicker moved in the neighborhood with a barrel of grease on his hair nearly, and He begin to kiss her good night at the back fence in a little love affair. And the first thing you know, she left poor John, run off and married this little slicker. Didn't live together a little while, till he found one a little prettier than she was, so... See, she ought to have had sense enough to know that. He run off and left her. And she married another one. Then he run off and left her; then she had a common law wi... husband.

E-67 But you know, the Bible said, "The soul that sinneth, that soul shall die." "Death" means "separate." She just kept getting away from it farther, and farther, farther, just getting away from her. See? The first time that she started smoking, she ought to know. The soul says, "That's wrong." Reasoning said, "But the rest of them can do it, why can't I?" When she put on those little ungodly clothes, nature itself would tell her that's wrong. But she said, "If the rest of them do it, why can't I?" See where our American women's got to?

E-68 Now, it's got so bad that out there in San Angelo...?... here not long ago in Rome, and they had a sign up, "American women, please put on some clothes before you come, to respect the dead." In a place like Rome, shame on you. I maybe burning you up, but my mama used to tell me when I'd take castor oil... I can't stand it yet today.
Every Saturday night, a bath in an old cedar tub and then have to take a dose of castor oil. We didn't have the right kind of food to eat and things, so she'd... I'd--I'd say, "Mama, I can't stand it." I'd hold my nose and gag. I said, "It just makes me so sick."
Says, "It don't make you right good and sick, it don't do you no good." So maybe I'll apply the same thing here. See? It get you right good and sick, then maybe it'll stir up your spiritual organs, gastronomics, so you can digest a good Holy Ghost dinner once in a while.

E-69 Notice, let me tell you, then this woman, when after a while she got to a place to where she was a... she got sick. She put it off a little while, finally she went to the doctor. Well, brother, it'll catch up with you as sure as anything. They found out that she had an advanced malignancy, nothing to do but die.
The pastor of our church, Reverend Orman Neville, the Methodist church, he goes to see the woman. He said, "Now, I'll go and see her, 'cause I know Brother Branham knows her daddy and I think he knows her. And I know she's living over in that kind of a life." Said, "I--I'm going to see her and get her straighten up, 'cause that's what he'd tell her soon as he got there. And ask her if she wants me to come over."
She walks over and he said, "Being that we belong to the same church, lady, I come to speak to you."
She said, "All right, what is it, mister."

E-70 And he told her who he was, said, "Your father and I are very good friends; we both up there, and the pastor, we went to Asbury College together." He said, "We're very good friends." Said, "I just want to ask you something." Said, "Don't you want to straighten up your life and come back to Christ?"
She said, "What?"
Said, "Straighten up your life and come back to Christ?"
"Why," she said, "I'm just as good as you are."
He said, "That's not the sub... That's not the question. Don't you want to straighten up your life?"

E-71 She said, "I belong to the church, and I have since a child. I was on the cradle roll. And I'm a Christian; I've been a Christian, and I, when I die I'll go to heaven." She actually believed that, reasoning. And she said, "I'm just as good as you are."
He said, "You know Brother Branham?"
She said, "I've heard of him."
Said, "I want him to come over and see you." And said, "I know as soon as he come, he was going to call this thing to your hand."
Said, "What thing?"
Said, "Lady, this it's this thing laying in this package of cigarettes. What about that?"
She said, "Why, you fanatic, I guess you think that's wrong."
He said, "I know it's wrong."
She said, "I never sent for you to come."
He said, "Just a minute, lady." Said, "What about that common law husband?"

E-72 She said, "The door that you come in at, is ready for you to go out at. If I wanted somebody that had some sense to talk to me, I'd send for somebody and not you."
So he said, "All right, lady, just remember."
He come back and told me when I come in. He said, "I wanted you to go there."
I said, "Just watch her at the end."
When she come to die, her backslidden pastor standing out there let her get by with such as that without telling her the truth, they was all in the room. And the first thing you know, her intellectuals begin to fail, begin to break up. She couldn't think.

E-73 "Now, the soul that sinneth, it shall die," is that right? That means to separate. "Death" means "separation." "He that heareth My Word, believeth on Him who sent Me, has Everlasting Life," can't die. See? But when you grieve that soul, it goes away from you. It was done far from her, didn't talk to her no more. But when her intellects begin to break up, she said... Then nothing left here, but the soul had to come back. Well, what was--what condition was it in. See? When it walked up, it begin to rebuke her for the life she'd lived. She said, "My, God, I'm lost."
So the--the pastor said, "Oh, now, here, don't get hysterically."
She said, "I'm not hysterically." She said, "Go get Brother Neville right quick."
Said, "Here, here, here, here now, here, I'll call the intern." And the doctor come in, give her shot.
And she said, "I'm--I'm lost."
"Give her another, doctor."
"I'm--I'm lost; I'm lost. I'm lost. I'm..." And the hypo stopped the confession. But that soul that she grieved, she'll have to be tormented with it as long as there's an eternity to last. See? Be careful. You take God's Word. God is in His Word, not in some man's theology, but in His Word. Do you believe it?

E-74 God is in His Son. You [Blank.spot.on.tape--Ed.] that? You believe God's in His universe? You believe God's in His Word? Now, God is in His Son. Now, quickly we'll go. God's in His Son. Now, God is in Christ reconciling the world to Himself.

E-75 Here recently, a woman belonging to a certain church... I'm not making no light remarks; it's Christian Science. But I don't mean to harm you; I don't talk about anybody's religion. But look, that woman said to me; she said, "Reverend Branham, there's one fault you have you ought not to do."
And I said, "What?"
She said, "You brag too much on Jesus."
I said, "I couldn't brag half enough for Him."
She said, "You put too much emphasis on Him on being Deity."
I said, "He was Deity. He was God."
She said, "Oh, Reverend Branham," said, "surely, a man of your caliber ought to know better."
I said, "No, Ma'am, I don't know any better. And I hope I never know any different. If I do, I'm out of my mind."
She said, "Do you mean to tell me that He was Divine?"
I said, "He was Divine."
She said, "He couldn't be Divine."
I said, "He was Divine."
She said, "Oh, He was a great teacher. He was a prophet."

E-76 I said, "If He was a prophet and a great teacher, I'm lost and everybody's lost. That Blood was nothing but the Blood--Blood of Almighty God. He was Divine."
She said, "If I prove to you by the Bible that He was not Divine, will you accept it?"
I said, "If God's Word said He wasn't Divine, then I'll take back everything I said."
Said, "I'll prove it to you."
I said, "All right."
She said, "In Saint John the 11th chapter..."
"Yes."
Said, "When He was going down to the grave of Lazarus..."
I said, "Yes."
"The Bible said He wept."
"Why," I said, "what's that got to do with it?"
"Said, "That proved He wasn't Divine. How could a Divine man weep?" Said, "He could not be Divine for He wept."
I said, "You fail to see it, lady. God was in Christ reconciling the Word. He was a God Man. He was Emmanuel. See, God was in Him."
Said, "No, He couldn't be and weep."

E-77 I said, "Lady, I want to ask you something." I said, "He was a Man when He walked to that grave a weeping. But when He stood there and straightened up them little stooped over shoulders, a Man thirty, looking fifty they--they said, no beauty we should desire Him... When He throwed those little shoulders back and said, 'I am the Resurrection and Life,' saith God. 'He that believeth in Me, thou he were dead, yet shall live.' What do you mean? He did weep like a Man, but when He picked those little shoulders up, and spoke to a man that been dead four days, corruption in his body, corruption knew its Master, the soul knew its Creator, and a man had been dead four days stood on the ground and lived again. That's more than a Man. That was more than a Man. That was God in His Son."

E-78 When He come down off the hill that night, hungry, looking around over that tree for some fruit and couldn't find any, He was hungry like a man. That's right. He was a Man then. But when He took five biscuits and two little fishes and fed five thousand, that was more than a Man. That was God in His Son. Sure.
He was a Man when He laid out on one of those ship that night, just like a bottle stopper tossed about, and Him so tired, virtue gone out of Him, till the waves didn't wake Him up. Ten thousand devils of the sea swore they'd drown Him, Him laying back there in the back of that boat just pitching every way, and Him laying on a pillow. That was a Man laying there asleep, sure. But when He woke up, put His foot up on the brail of the boat, and looked up and said, "Peace be still," and the winds and waves obeyed Him, that was more than a Man. That was a Divine form of Jehovah God speaking from His Son, Christ Jesus. That's right.

E-79 When He cried yonder on the cross, cried out for mercy, that was a Man. That was a Man when He died. But when He broke the seal on Easter morning and rose up, He proved He was God when came out of the grave. Oh, even the poets said.
Living, He loved me; dying, He saved me;
Buried, He carried my sins far away;
Rising, He justified freely forever:
Some day He's coming--oh, glorious day!
God was in His Son; you believe it? Sure, He was. God is in His universe. God is in His Word. God is in His Son. Now, God's in His people too. Amen. You believe it?

E-80 A cowardly little bunch sneaking around the corner, locked themselves in an upper room; they'd been with Him for three years and six months. When they walked up there they were scared of the Jews. Jesus had told them, said, "A little while, the world won't see Me no more; yet I'll be with you to the end of the world."

E-81 And when they locked theirself up and waiting for the promise, they were a bunch of cowards. They had God on the outside; they knowed all the creeds and the formulas and everything. But all of a sudden God came down like a rushing mighty wind, filled all the house where they was setting. Something took place. Out...?... the doors and windows they went into the city, staggering under the mighty power of the Holy Ghost. They went around the country healing the sick, and raising the dead, casting out devils. And signs and wonders begin to fall...?... God's in His people. Amen.

E-82 God is in His people showing Himself alive. God's here this afternoon. God's in His people. Do you believe it? Sure is. Is He in His universe? Is He in His Word? Is He in His Son? And He's in His people. Do you know what? The Bible said you're gods because you're a part of God; you're sons and daughters of God. When your theology is left, all of your mental things here is not looking at anything else but the Word of God, and the Holy Ghost comes down here to bear witness, you are a part of God.
I'm a part of Charles Branham, because I'm his son. You're a part of God because you're His son, borned of His Spirit, washed in His Blood. Hallelujah. Yes, you are; you're a part of Him. And you become a creator. Do you know that? Did you know...

E-83 Let me give you a little speck of light just in a minute now. Just a few minutes now 'fore we start the prayer line. You are a creator yourself, a miniature creator. Listen. Did you ever see people that was nice people, though you just couldn't be around them hardly, something about them you just couldn't stand? Did you ever see people that you just love to be around? Did you ever see them kind of people? That's the atmosphere that they create themself.
And let me tell you today, my dear friends, the greatest thing there is this side of heaven is l-o-v-e, Divine love. God is Love. You read in the book when a maniac run out to kill me on the platform that night. I didn't hate the man; I loved him, sure, felt sorry for him. That's what slew him on the platform. That's what slew those witch-doctors standing there that day...?... human beings that God died for, standing there trying to throw spells on me, witches like that. Standing there before Him, and you see them fall to the ground, throw their head down like this, and give their hearts to Christ. It was love that did it. Love is the mightest force there is. Even phileo love will make a mother jump through a fire to grab her burning baby. She won't think of herself.

E-84 Think of the woman one time, standing, a young girl had been away to college and she come back. And when she did, she was standing out in the train station; the train pulled in and everybody was hollering, "Hurrah." And she brought her little snicklefritz girl with her from school. And her mother was standing out here, and the little snicklefritz girl said, "Hey, who is that horrible looking wretch there; look at the way she looks."

E-85 And the mother... The girl, being a little smart aleck, what she learned in school, she was ashamed of her mother. And when she got off the platform, her mother said, "Darling, I'm so glad to see you." She turned her back and walked away because her little friend had--had done that. It happened to be, the conductor knowed the story; he said, "Come here, girl," he grabbed her by the shoulder, said, "ain't you ashamed of yourself, denying your own mother."
She said, "I don't know her." Calls her little...
She said, "Martha, is this your mama?"
Said, "No, I don't even know her."

E-86 Conductor said, "Be ashamed of you." Said, "Look here, girl, I want to tell you something." And the crowd begin to listen. Said, "When... You're a beautiful woman today; that's right," Said, "you are." But said, "Your mother was a lot more beautiful woman than you were, or ever will be." And said, "One day when she was out in the back yard hanging up the clothes..." Said, "I lived on the same block." And said, "The house caught fire; you was a little baby upstairs in your crib. And when the fire engine came, the mother seen it stop in front of her house where the neighbors had called, away she went, but the stairs was just about ready to fall in." She said, "That mother, not thinking for her, jumped through those blazes and the fireman grabbing after her. She went through the blazes anyhow. And she run in there and grabbed you on the--off the bed. Jerked the clothes she had on her body and rolled them around your face and things. And she braved that fire blaze right out back out too." Said, "It burned her and scorched her; it...?... her down. And today because you're pretty, she was made ugly. And you mean to tell me, you'd deny that woman that saved your life and your beauty, that you're ashamed about now because of your mother, that you'd do that?"

E-87 When that story was told to me, I thought, "O God, how could I, though the old rugged cross so despised by the world, I see that Christ became sin that I by His righteousness might become a part of Him." How much do I care they call me a holy-roller. How much do I care they call me a divine healer. Whatever they want to, He came down and was made ugly and sinful, that by that...?... I might have a home in heaven and a right to be the son of the living God, and to believe on Him. How it is, He became me that I by His grace, might become Him. He taken my place as a sinner, as me as a sinner might take His place as righteousness. How could we deny Him? Sure.

E-88 Create around you love... Who could deny this great love? Listen just a moment what a great love is. Love will conquer, where hate and malice, and creed, debate, and fuss will drive away. Love will conquer. I'll tell you something now. It's just on my heart, the inside life, just a minute or two, and then we're going to--we're going to start the prayer line. We got just about maybe six or eight minutes. Look just a minute.
Here a few days ago I was showing someone, the house had been full all the day, people everywhere. The babies couldn't even eat, nothing. Finally when the house got emptied up, and somebody come in and just had the people to go, coming from, not one place, all over the world. Signs on the gate everywhere else, "Don't come in," they come anyhow. You can't blame them; they're human beings wanting help. If I'm not there, but just a few hours at a time; my family's a strange to me almost.

E-89 I went in, and there stood my dear beloved wife in a corner crying. There stood Sarah and Rebekah fighting over some blocks in the next room, little Joseph screaming at the top of his voice, the last one had left. Billy and them had come up and got them all out, Brother Wood and my neighbors and them. So I set there; I thought, "Why, they was all nervous and upset." I thought, "Heavenly Father, we got to make this situation here different."
So I walked over; she said, "Billy, honey, what am I going to do," said, "I'm losing my mind, all day long, that pounding, and everybody in here, people saying, 'If you don't come to this, Billy, they done got you advertised, and you're going to be cursed by God if you don't.'"
I said, "Honey, that's fanatics. If God wants me to go anywhere He will tell me." And I said, "I'm on speaking terms with Him." And I said, "If He wants to go... Don't pay no attention to them things." I said, "We have fanaticism in everything and saying this, that, and the other."

E-90 And she was crying, and I got talking to her; I said, "But you know, honey, I seen the prettiest little dress in a certain city, you know." And the first thing you know she was peeling potatoes, she was all quietened down. When she quietened the children quietened, Joseph quietened, all right. See, you have to change the situation. You can do it.
Let me tell you something. This is a little inside, you--you may judge me wrong after this. When I was game warden... I've had this to happen many times. You heard me speak about being in the mountains (See?), out in the mountains with wild life. Now, there's something about it. See, you have to know the Creator.

E-91 Now, wild animals will hurt you if you're afraid of them. But if you're not afraid of them, and you love them, they won't hurt you. You can't bluff it now, you can't... you got to really mean it. I've walked face to face with grizzly bears, African lions, and everything else. See? That's right. They won't hurt you if you're not afraid. But there's something about you, your body puts out a... Your nerves puts out an odor. Did you ever see a dog? He will... [Brother Branham imitates sniffing--Ed.] Don't try to bluff him; he knows whether you're afraid or not. He does. If you're afraid he will bite you. You're not afraid; I've never seen one yet, what I walk and pet him, walk on through the yard. See? If you're not afraid of them, they know it.

E-92 Here, one day I was down at the bottom of the hill, turning some fish loose; I was in the conservation. We're supposed to wear a pistol, but I didn't want no pistol. I talked to the man; I believe I make a better guy out of him, than I could arrest him anyhow.
So then, went down there to turn loose some fish. And I remembered, across the hill, I had an old friend over there that was dying, or very sick. I thought, "I'll walk over and see him." I just closed up the truck door and started walking across the field, walked up over it. It ain't like here; there's just some little shrubs out in the field. And when I walked right out there and got in the middle of the field, behind those shrubs I didn't notice, but there...

E-93 About six weeks before then a great big Durham bull had killed a colored man, now he's a killer, long horn...?... down at the Burk's farm, he'd killed him. So this was up at another farm; they'd sold him 'cause he was a fine breed of bull. But when he was... That bull raised right up in the field; I forgot about him being in there. And there he was not over twenty spaces from me. And he raised up and looked at me; he let out a roar and throwed them horns in the ground like that. I looked back to the fence; I couldn't outrun him. There was no tree to get into. What could I do? I was in the same spot like I was with that maniac you was reading in the book. What could I do?

E-94 Now, listen, you can't make it; it has to happen. Now, listen close. But somehow or another something happened in my heart, instead of being scared, I loved him. That sounds juvenile, but that's true. I thought, "Poor fellow, he was just a sleeping; I disturbed him."
And here he come, throwing his horns down like that, and he hit on his knees and throwed his horns again, twisting his tail, and here he come. Well, instead of being afraid, I wasn't no more afraid of that bull than I am of my brethren setting here on the platform. He come right to... If you could ever get that... Wish I could live in that all the time.

E-95 Well, here he come; he come right to--to me, and I said, "Now, I'm sorry I disturbed you; you are a creation of God. I am a servant of the Creator, Jesus. I'm on my road over to see His servant that's sick. I must go pray for him. I'm sorry I disturbed you. Now, in the Name of Jesus Christ, go back and lay down; I won't bother you; we will go on by."
And that bull, with his head down, here he come making a charge. Well, we'll have to meet... I don't know--know what you think about it, but I can only state fact. That bull got within about five foot of me, just as... and I was no more scared; I thought, "Poor fellow, I'm sorry I disturbed you." I was on his ground. And he run right straight to me, and he stopped, and he looked so depleted; he looked this a way, looked that way, turned around, walked over, and laid down. I stood there, walked by him, within five foot of him like that. He looked up at me, walked over and got through the fence, and I begin shaking.
What was it? God. He'd have killed me. The same God that could stop a lion, had that Angel of Fire, that Light standing between Daniel; the animal's scared of light. There the Angel stand there, sure, what happened? The lion went over and laid down.
The same God that lived in Daniel's day is the same God today. He could stop a lion, could stop the bull.

E-96 My grass was growing up in the yard last summer. I was mowing out there, and I had to make a couple of rounds and then change my overalls, come in pray for the sick, and go back out. It grow up in the front yard 'fore I get to the back. Now, listen.
I got back to the back yard; I took off my shirt, nobody back there; it's way back behind the place. And I was just a pushing as hard as I could, and this little old power mower and it bang, bang, bang. I forgot about a big nest of hornets hanging in the corner. And I ran this lawn mower into that, and in a minute I was covered over with great... You know what hornets are, great big fellows, they'll knock... They'll kill you.

E-97 And here I was with no shirt on, and covered over with hornets, about like that. Now, instead something happened again. Instead of being afraid, I wasn't afraid. And I thought, "Now, I disturbed them, isn't that a shame?" And I said, "Now, little creatures of God, I am the servant of God; I am mowing this grass. I've got to hurry, 'cause God's sick children is coming in to be prayed for, and I got to hurry. I'm sorry I disturbed you. I'm sorry. Now, in Jesus' Name you go back to your nest; I won't bother you."
And God Who's my solemn Judge, this Bible in here, them hornets whirled around me. I just stood there, they made one single file like that, and went right straight back into the nest, and that was all of it. I asked... I seen it happen many times.

E-98 Here's Leo and Gene; they're setting right here behind me now; they're kind of student ministers. They were setting on the porch last summer. Then we're closing. About ten o'clock in the morning, was it, boys? Around ten o'clock in the morning, setting there, I was talking to them about a colored girl; her picture was in the paper. She took her baby, a little lovely looking woman, and took her baby, and smothered it in a blanket, and took it out on the bridge in a taxi cab and dropped it off in the water. They caught her. And I said, "That was not a mother; that's a female, not a mother. A mother wouldn't do that."
And while... Here come the milkman up bringing the milk. Mr. Wood, he will be with me the next meeting. His wife's a veterinary, so they... Their boy had been cripple with a drawed up leg. He was a Jehovah Witness; she was a Methodist. They brought him to the meeting, was setting way back. Hundreds of... thousands of people in there at... What was that name, Paul? Where? No? The one that David Wood was healed? No, it--it's up here, where that big race is. Oh, I'll--I'll get it in a few minutes. Anyhow it's up here on the Great Lakes.
And he was setting way back in the meeting. And the Holy Spirit come over and said, "You're a contractor; you're a Jehovah Witness. Your wife now is a Methodist; she has a tumor sticking out. You got a boy with you that's got a drawed up leg from polio, but THUS SAITH THE LORD, you're healed." See?

E-99 And she set there a little bit; they begin to look. She said, "Banks," to her husband... If you're at the next meeting you can hear her testify. Said, "Looky here." Mrs. Wood, said, "David, stand up." There he was just as normal; he's my boy's buddy here now. So they just... He just quit contracting; she quit the veterinarian. They moved over and next door neighbors to me.
They were standing in the yard and Gene and Leo. And down the road come a opossum. You have opossums up here, don't you? Opossums? Now, anyone knows that knows conservation, a opossum is blind in the daytime; he's a night prowler. Here he come down the road, come a past three or four houses that didn't have no fences, turned right in mine with a fence, a rock wall, and come right up to meet me. I said, "There comes a opossum; he's got rabies." I said, "I'd better go out and stop him."

E-100 Mr. Wood had been raking in the yard, so I took the rake and laid over it. I called Gene and Leo out there, and they all come out and was looking at the opossum. I said, "Look at him." And I happened to notice; he didn't have rabies, but his left shoulder here was all chewed up. The dog's had got a hold of it. Now, this is bad to say, but gangrene had set in, and maggots had bloat it and that leg was broke to pieces, and a dragging it like this. I said, "Look at that poor thing." I said, "That's what's caused it to be that way."
And usually they'll play opossum when you touch them, but she was just a fighting to get up from there. And as I noticed, she... Now there's only two animals that has pockets; that's a kangaroo and a opossum, where they pack their little ones. And her nerves let down, and that little pocket come open, and she had nine little naked babies about that long, little opossums. And I said, "Look at there boys," I said, "come here. That opossum is more of a mother than that colored girl was." I said, "That colored girl with a healthy baby, so she could keep running around, she drowned her baby. And this old mother opossums got about twenty minutes longer, or half hour, at the most, to live, and she'll spend that twenty minutes fighting for her babies." Yes, sir. I said, "God will... God's with that opossum." And I said, "You look at there. Ain't that something?"

E-101 So I raised up, and all of them come out there and looked at her. And as soon as I raised up she started right straight towards my door. And when she got right in front of my door, there in the hot sun, in July, she exhausted and fell over. Mr. Wood said, "That's all of it."
I said, "Yeah, I guess she died." I said, "What a shame."
Went up there, she was just un--relaxed like that, and the little babies were sucking that from her. And I kept punching her with the stick; I said, "Wonder if she is dead?" And I punched her. Said, "Yeah, look at that leg turn all the way back like that." I said, "Isn't that a pity, that poor old mother, how she wanted to live for them babies."

E-102 And I looked at the little babies just a pulling and a nursing, Little bitty naked fellows about like that. And I--I said, "Isn't that too bad?" And I punched her, I said, "She's alive; look at her, comes a little grin like on her chin like that." I said, "I believe she's alive."

E-103 And Mrs. Wood said, "Well, Brother Branham," said, "now the only thing to do," said, "just take a... just--just go ahead and kill her, and take those little fellows and kill them," said, "because you can't raise them they got little round mouths, they had to... and they're just... that old milk from the mother, and her dead," said, "they'll die a horrible death."
I said, "But I--I can't do it."
And they said, "Well, my, let Banks do it then."
I said, "No, I--I just can't do it." I said, "Think, that's one mother fighting for her babies, wanting to live."
And she said, "Well," said--said, "you're a hunter, go and get one of your guns and shoot them. If you don't want..."
She wanted me to throw them on he ground and kill them. And I said, "I'm a hunter, but I'm not a killer." I said, "I can't kill them."
She said, "Well, you don't mean to tell me your going to let them lay there and die like that?" The woman was right, of course.
And I said, "Sister Wood, I--I think a lot of you as my Christian sister, but I--I can't kill it and I don't want no one else killing it."
She said, "Well, Brother Branham, you're doing wrong, sonny." She said, "That--that opossum," said, "them poor little things will die laying there. And what a death they'll die."
I said, "That may be right, but I just can't kill it."

E-104 So I went on. That afternoon, late come, she laid there. We poured water on her; we done everything. She never did come to, just laid there. Mr. Wood come up and got me, and so we went riding, said, "Now, you've been going all day, Brother Branham, you got to get out tonight." So we were riding around awhile. We come in about eleven o'clock, and there the old opossum was laying there still stretched out, dew all over her, them poor little babies still nursing at her. And he said, "If she'd ever moved, when that sun went down she'd have left." You know that too, you hunters. And said, "She would've left when that sun went down," 'cause that's when they start. Said, "She'll never move, Brother Branham." Said, "Why don't you kill her now?"
And I said, "No."

E-105 Billy come in from a fishing about twelve-thirty, the old opossum was still there. I thought about her all night. Now, listen. The next morning I got up real early, went out there, and when I got out there, there laid the old opossum still laying there. I thought, "Oh, my, what am I going to do with her?"
And little Rebekah... (She seen her first vision not long ago.) There's coming my little girl, not cause she's mine, but God is with her. So, she go to a meeting and get somebody on her--her--her heart and start praying for them, it isn't five minutes till the Holy Ghost calls it. That's right. See?
And she--she was there; she was looking down at this old... She said, "Daddy, what are you going to do with that poor old mother opossum?"
I said, "I don't know, honey."
Her pajamas on. Mother and them hadn't got up yet; there's nobody out there, on--on the runway yet. And I said, "Honey, I don't know what."
She said, "You going to kill her, daddy?"
And I said, "No, honey, I just can't kill her somehow."

E-106 I said, "What you doing up at this time? You better get back in bed with mommy; you better run on in there now."
And she said, "Well, daddy, I feel so sorry for that poor old mother."
I said, "I do to, honey, but she's dead." And He said--and I said, "Them little opossums, I don't know what to do?"
Said, "Are you... Why don't you let Brother Wood kill her?"
I said, "No, I don't feel like doing it, sweetheart." I said, "You run on back and get in bed."

E-107 I went in to the side door of my den room. I was sitting around with my hands right like this. I thought "What will I do with that opossum today? I don't know."
Now, I don't know how you're going to judge this, but Somebody said to me, said, "What are you leaving her lay there for?"
I said, "Well, I--I don't know." I said...
Said, "Well," said, "I--I sent her here. You preached a sermon on her yesterday and said what a mother she was."
I said, "Yes, that's right."
Said, "I sent her here to be prayed for, and she's laid at your door waiting her turn for twenty-four hours; you've never said a word to Me about it."

E-108 I said, "Well, I didn't..." Said, "Who am I talking to? Have I gone crazy?" I said, "What's the matter? What? 'I sent her here.'" I thought, "God, sure, You know the animals. You know the sparrows; one can't fall without You." I said, "Well...?... forgive me, Father, if You had a mother opossum... I seen You do human beings that way, but never a opossum. Would You send her here?"
And I went out there, and Becky was looking through the window. And I went out to where the old opossum was; I looked at her. Becky come out. I said, "Heavenly Father..." I got to meet this at the judgment. I said, "Heavenly Father, has Your servant been stupid enough not to know that You're in nature, that You're in animals, that You're everywhere? And how would...?... You knowing that You sent me to pray for people and You sent this opossum up here. Well, this opossum knows more about Divine healing than a lot of preachers does." I said, "Here sets this dumb animal; she ain't got a soul; she couldn't be led by no spirit; she hasn't got any soul. But You had to guide her by instinct, and You Who made her. And she wants to live to raise her babies. And You put her at my steps here, and she's laid here for twenty-four hours. Forgive me, God." I said, "Then, Lord Jesus, if You put that opossum here, then I pray that You'll heal her, in the Name of the Lord Jesus."

E-109 You have to take my word. When I said that, that opossum turned its head and looked at me, raised up from there, that leg just as normal as any other leg, picked her babies in her bosom, strutted down that road like that, got to the gate, that tail sticking up like that, turned around as if to say, "Thank you, sir." Right down the road she went to the woods.
O God, He's everywhere. Surely, if by instinct God can lead a opossum to a place to be prayed for, how much more can He a man and woman? Oh, God is in His universe; God's in...?... God's in His birds. God's in His people. God's in His Word. God's in His Son. God's in His creation, everywhere. And God is here today. God is in this building. Do you believe it? Let us pray.
Heavenly Father, oh, someday when it's all over, we can set down on the other side, then we'll know as we're known. What stories we hear the patriarchs rise, hear Daniel and the prophets and hear all of them rise with their--the great things that You've done. Why, we'll shake each other's hands, and rejoice, and look upon a throne and Him Who sets there, and know that through His goodness all things remain.

E-110 My mind goes back today to many things, to poor illiterate people, how that You've moved with great compassion and done great signs and wonders, and with the animals and everywhere looking around, seeing You. O God, move back that little veil from off of people's hearts today. Move back that intellectual thing that makes them want to hold on to some creed, and let them open up their soul and heart and see Jesus standing near with outstretched arms. "Behold, I stand at the door, and knock: if any man will open, I'll come in, and sup with him. Ask the Father what you will in My Name (anything you desire), I'll give it to you. Ye abide in Me, and My Words in you, ask what you will, it'll be done." Show us the Father, and it sufficeth us.
O God, just look at You; You're everywhere. You're right here moving in among these people. Set and cry awhile, then raise your hands and shout awhile, then set and drink in awhile, the great fountain is open today. I pray that each sinner will plunge. And You Who could lead a opossum, You know the story, Lord; You know how that same little story swept the world.

E-111 And, Father, I pray today, maybe that poor old opossums still over there with her babies, happy, because she was led by the Holy Spirit, laid and waited like a lady; You healed her, saved her life so she could raise her babies. God, You do that for a mother opossum, what about a daughter of Israel? What about a daughter of Christ, son of Christ, a child of Christ? Let them, Lord, open their understanding. May You speak in a special way just now, while we ask it in Christ's Name. Amen.

E-112 You're so lovely to talk to; I'm sorry I talked that long. I didn't know I did; forgive me. No, don't forgive me; I didn't mean that. I have no apology for the Word of God, or testimony of Jesus Christ, not a bit. I love you, and you love me; that's what's makes us one. Jesus is here with His people. You believe that? Now, we're going to... Did you give out prayer cards? You did. What was it? G...?... One to a hundred?
Boys give out prayer cards. Where did we call last? We didn't call any... We didn't call... We didn't have prayer cards last night, did we? Night before last, what? We called, I believe about fifteen, wasn't it? 85 to 100. Well, let's go back then, let's call from 1 today then. Who has G-number-1, raise up your hand. [Blank.spot.on.tape--Ed.]
And don't doubt, and you'll see the glory of God, if you can believe. But you must believe.

E-113 Is this the lady? Excuse me, come here just a minute. Someone wrote me a little note the other night and said, "Brother Branham, what makes you rub your face so?" Sometimes it feels like your lips are that thick. Then you--you just subconsciously do it. But I want you to believe now with all your heart. I'm your brother, and I declare that Jesus Christ is in His universe, in His Word, in His nature, in His animals, in His people, and He's here now. What more could He do?
He's proved that He's here in the Word, proved that He's here in the universe. He proves that He's here in His people. How it would certainly be sinful for you not to believe. You don't have one thing to stand on at the day of judgment, but just have to walk up there and know that you're condemned and gone.
Now, the lady standing here to me is a stranger to me. Is that right, lady? We're totally strange to one another. I don't know the woman. Now, isn't this a picture again, of the well where our Lord Jesus stood and talked to a woman? Now, I want you to answer me so I can hear the respond, because I can't see too far back at this time. See?

E-114 Jesus stood and talked to a woman one time to find out what her trouble was. How many believes that in Saint John 4, say, "Amen"? [Congregation says, "Amen."--Ed.] And He talked to her long enough until He found where her trouble was, and He told her what her trouble was. And she said, "Sir, You must be a prophet." How many knows that's so, say, "Amen." She said, "We know that when Messiah cometh (the Christ), He will do these things, tell us all things. But Who are You?"
He said, "I am He that speaks to you."
She knew that was the sign of the Messiah. And if Messiah is the same yesterday, today, and forever, raised from the dead, wouldn't that be the sign of the Messiah this afternoon? If it is, say, "Amen."
Now, now, if you--if you believe me... Now, He's just... His attitude to this woman will be just His attitude to you. Only the human part becomes so weaken. It--it's a heavenly operation in the human part till it just can't stand it; that's all.

E-115 But now the lady, I think, look at her gray hair, perhaps, a mother. Only God knows how many hard washings has went over that hand, how many times it wiped the tears from a little baby's cheeks, and held it up to your bosom and rocked it. God only knows that. I don't. But, lady, you're here for something. Could I be far from being a deceiver, for you are a believer, a Christian. And how would I stand here as a brother, professing this office in Christ, but what I--I know, sister, here's what He said when the Angel met me, "If you get the people to believe you..." Now, said, "I was born to pray for sick people."
And I said, "They Sir, I'm uneducated; they won't believe me."
Said, "By this they will." Said, "Now, if you can get them to believe you and be sincere when you pray, nothing will stand before that prayer."

E-116 So that... Now, I'd be the last person to try to do something wrong, sister, if I know my heart. And that's why... Looky here, I got to meet these people all in judgment someday. I got to meet you. And I sure I'd be home with my children this afternoon instead of up here trying to be a deceiver. 'Cause what would happen to me? See? I'm... I can only say. The world's all educated, and they don't believe it. No matter... Jesus said they wouldn't, said, "A little while the world won't see Me no more, yet you'll see Me." There's got to be some "ye's."

E-117 Now, if He will take this poor unworthy body of mine, this voice of mine, it's no good, even everything I am, nothing good... But to fulfill His Word, that He said He would do it. If He now, by your faith, will come and dwell here with me, and will do the same thing here that He done to that woman at the well, and tell you where your trouble is, and what's wrong with you, will you believe on Him with all your heart? Now, that's--that's just your word (You see?), and mine.
You're conscious, mother, that something's going on. See? Between you and I is the Angel of the Lord. Now, if the audience can hear me, the lady's moving, no, she's walking. I see her going somewhere; she's walking... No, she's in a house, moving through the rooms; she's real nervous. She's bothered with a nervous condition; she's wringing her hands, and she's trying to do something, picks up something by a window or something. And she's real nervous a doing it. She has to... I see the sun like it's going down, and she's looking out the window. And she gets real nervous and goes and sets down in a chair with the back towards the window. She gets nervous, especially late of a evening. And I see her at a bathroom, and she's got a lady's trouble, a female trouble, that's causing her a great lot of pain and upset. That's the truth.

E-118 And that you might know that I be God's prophet, or His servant, you're supposed to have a operation not long ago, and that was on a cyst, and that was on the left arm beneath your clothes there. There you are. Now, do you believe me? Do you believe Him? Now, there's Something here knows you, is that right? You believe it's the Lord Jesus doing the same thing...?... Then in Jesus Christ's Name, Satan, you who done the evil, you're not afraid of me; I know that. But I come in a representative Name. I come to represent Him Who stripped you of every authority you had at Calvary, Jesus Christ, the Son of God. He spoiled you; you have no power; you're a bluff. And we're calling your hand. In the Name of Jesus Christ come out of the woman; I adjure thee by the living God that you leave her.
God bless you, lady. Now, go on your road rejoicing and praising God. Amen.
Let's say, "Praise the Lord," everybody. [Congregation says, "Praise the Lord."--Ed.] Be reverent. Have faith. Now, don't move around; just be reverent.

E-119 Now, lady, look to me just a minute. Now, what I mean by that, "Look on me," like Peter and John passed through the gate called Beautiful. They said, "Look on us. Look on us," not that they were anything, but that... to see God in them.
Now, I... The lady standing here, I see her at a table. And the table is... No, she's moving away from the table; she's got a stomach trouble. That's right. And she doesn't know what it is. She's kind of upset about it; she thinks it's a growth that's a doing it. That's right. Now, do you believe that He's here? Do you believe if I pray for you... The Angel of God said these things would take place; the Bible said they would take place. Here He is in His people, in His universe. If He's standing here and He promised to do it, wouldn't you believe it? Come here.
Dear God, in the Name of Jesus, the Son of God, I take this curse off of the woman, in Jesus Christ's Name. Amen.
Why, sure, thank Him; that's right. It's gone from you. There's no more growth; it's gone.

E-120 Oh, friends, if you could only... "How did you know that there, Brother Branham?" Examine her, doctors, find out if that's right. She's just waking up to herself; she was so caught in the Spirit. That's what made her feel that way. Why, it's enough to make her shout. I'd shout too; so would you. If you were laying, dying, with a big malignant growth laying in you, dissolve and left out of you, you'd feel happy too.
Now, be reverent. Now, just... What I mean to say, "Be reverent." I don't mean don't praise Him. My, God wants to be praised. He--He--He--He wants to be worshipped. But what I mean, don't stir around; set still. See? You cause a--a an interruption.

E-121 Now, here's a lady, strange to me; I don't know her, never seen her. You're totally stranger to me. Praise be to God. Yes, sister, you were the one praying, wasn't you? That blood condition you got, having set there with a heart trouble, your faith has saved you. Go home.
What happened? Here it come before me right here in a vision, seen the woman praying, the Holy Ghost standing over her, or the Angel of the Lord. I turned; He went that way. I looked, and I seen her being examined. It's gone from you. Her faith made her well. Hallelujah.
"If thou canst believe, all things are possible." Every person in here ought to be healed at this minute. You are as far as God's concerned. It's just your faith keeping you from being healed. We could stop the prayer line right now, and every one of you, if you'd accept it upon those basis... But you got to believe. You got to have faith. Just believe; have faith; that's all I ask you to do.

E-122 He can heal diabetes, you believe it? Setting there praying about it, aren't you? That's right. Brother, you believe me to be His prophet? He can heal high blood pressure too. You believe that? Sister, here with your hand up, what's heart trouble to God, or arthritis, either one?
Oh, my, I wish you could... If you could catch the vision. This is the first that you really believed. This is it. Now, you're believing. Now, you got all the doubts moved back. The Christian spirit is overrode the other unbelievers. You're all...?... inside now. That's the way the Holy Spirit supposed to work. That's it. Said, "If thou canst believe..."

E-123 What about it, sir, with that prostate trouble, setting up there. You believe Jesus make you well? Can you accept it?
You're less...?... at night, nervous, setting up there looking at me. Yes, brother.
See the man lost his healing right there. See? It moved away and turned dark around him again. See, he didn't catch it. You got to answer, when the Holy Ghost is speaking at you, answer. Sure, He wants you to answer Him. It's your faith answering to the respond of the Word. It was turning light around a man; I tried to get his attention; he's somewhere setting in there. It left him again, went away. I called him, pointed right to him; it turned dark around the man and the vision left me, went back to him. See? Got to believe. You can't bluff God. And you can't bluff Satan. You got to know that God has the preeminence; He's God. Maybe I'll try to keep to the platform then.

E-124 Now, believe, lady. Was you just called just now, lady? You were? Was it diabetes? Got diabetes too, don't you, sir, setting the end of the row down there. Right? Something wrong with your ears too, don't you? Quit smoking them cigars; you smoke cigars; you shouldn't do it. So throw them away. Have faith in God.
Oh, hallelujah, something must...?... Don't think I'm beside myself. I know where I am.
Lady, I don't know you. Christ knows you. I don't. I see a young man, and he's walking over... He's staggering. It's your boy. He's a alcoholic. That's THUS SAITH THE SPIRIT. You're here to stand in his stead. That's the truth.
O Jesus, being a parent myself, God, be merciful and grant this woman her request. May her faith not fail; may she see this boy saved, filled with Your Spirit. I ask this for God's glory, in the Name of His Son. Amen.
"If thou canst believe, all things are possible." Do you believe? Have faith. Have faith; don't doubt.

E-125 The Spirit going to that lady... Lady, your trouble's thyroid gland. You're looking at me like that. Sure, someone would say, "Sure, she looks heavy-set, be thyroid. No necessary." Say, how about the lady next to you, lay your hand over on the lady next to you there, no, the heavy-set one, lay your hand on her. Look this way, lady. You got throat trouble, don't you? That's right, raise up your hand if that's right, so you see. All right. See that Spirit moving?
How do you do, sir? You believe with all your heart? Look this way just a moment. You been in a hospital. I see them with you opened up in the front part, this way. And they were taking your stomach and cutting a big portion of it out. That's your trouble. You're extremely nervous. That's right. And you're a preacher of the Gospel. And another thing, you're wanting to be prayed for; you have an impediment of speech. I see your trying to say something; you can't say it. It's caused by a nervous condition; that's what caused your stomach trouble. That's THUS SAITH THE LORD.
Dear God, in the Name of Christ, the Son of God, I pray that You heal the man. Amen.

E-126 Let's say, "Praise the Lord." [Congregation says, "Praise the Lord."--Ed.] You believe? Give Him praise. "If you can believe, all things are possible." Just have faith. God will grant it. The Bible said, "Let everything that has breath praise the Lord."
You ought to feel happy about that, sir, setting out there on end of the row? You do? Feel real happy cause that man was healed? You do? You have poor circulation, don't you, sir? That's right. Wouldn't you like to be that happy? Sure, you can too. Amen. Go on your road rejoicing and praising God.
Hallelujah. Praise be to Jehovah God. Satan's...?... Now, you're believing. Now, you're turning white. This is...?... gone on every night. Amen. Do you believe?

E-127 What about you, lady? Oh, you believe. You believe that I'm your brother. But do you believe that I become your brother plus God's prophet, servant. You believe that? Then I can help you. If you believe that solemnly in your heart, I can help you. You can go back to your own town rejoicing. You come from another. That's right. I see you looking at something, Mrs. Underwood. God can make you well. Do you believe that? That's who you are. That's right. And you got a kidney floating on the right kidney on the right side. That's exactly. Return back home and say, "Praise the Lord."
Does thou believe? Oh, He's wonderful. He knows all things. Believe.

E-128 Look here just a moment, lady. You believe me to be His servant with all your heart? That is right. Have faith...?... You believe...?... You believe? I can't hear you. But I can tell you where your trouble is, just like the woman that touched...?... You believe it? Asthmatic condition. That's right, isn't it? That's right, stand right here just a minute. Have faith.
Nervous condition causes stomach disorder (That's right.), a peptic ulcer... That's right. Heart trouble, asthma, stomach trouble. If you believe, "If thou canst believe, all things are possible." You believe it? Amen.
You believe me to be His prophet? Got arthritis. That's right, isn't it? Stand here just a moment.
Everybody, no...?... of these people been healed as yet. This woman's got heart trouble. Everybody's got heart trouble stand up; I'll show you something. Every person with heart trouble stand up.
What was yours? Stomach trouble. Everybody with stomach trouble stand up. Just remain, every one with stomach trouble.
Look here. Them spirits are calling one to another...?... happy.

E-129 Come here What was your trouble? Do I tell you right to the Spirit? Asthma? Asthma, stand up. What was yours? Arthritis. Arthritis, stand up.
Here you are. Them spirits are pulling one to the other. See?...?... believe it. You believe it? Let's stand and give Him praise. Praise God.
In the Name of Jesus, Son of God, I rebuke every spirit of the devil, and I claim that you can't hold them any longer. Come out of this audience...?...

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